#Conflits Complexes
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lumieretrain · 9 months ago
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I finished to read War and Peace by Leo Tolstoy, which is one of the greatest masterpieces ever written that explores relevant topics about complex conflicts of an unforgettable historical event.
Ho finito di leggere Guerra e Pace di Lev Tolstoj, che è uno dei più grandi capolavori mai scritti che esplora argomenti rilevanti sui conflitti complessi di un evento storico indimenticabile.
Ich habe Krieg und Frieden von Lew Tolstoi fertig gelesen, eines der größten Meisterwerke, das je geschrieben wurde, die über relevanten Themen zu komplexen Konflikten von eines unvergesslichen historischen Ereignisses untersucht.
J’ai fini de lire Guerre et Paix de Léon Tolstoï, qui est l’un des plus grands chefs-d’œuvre jamais écrits, qu’il explore des sujets relevant sur les conflits complexes d’un événement historique inoubliable.
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ethereal-skies-forum · 3 months ago
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ROYAUME DE BRASÉA 🔥
DEVISE : Le feu forge la valeur.
INSPIRATION(S) PRINCIPALE(S) : Afrique du Nord-Est (couloir nilotique, Soudan et Nubie égyptienne à l’époque de Koush).
FORME DE L’ÉTAT, RÉGIME : État unitaire, monarchie absolue de droit divin.
DÉCOUPAGE ADMINISTRATIF : 4 nomes (Ywara, Teneke, Irewak, Irku).
PLUS GRANDES VILLES : Kaladmekki (capitale), Jebeldawi, Amanguni, Igsharti.
ALLIANCE(S) : République de Kyanós.
CLIMAT : Globalement aride (désertique au nord, tropical de savane au sud).
GENTILÉ : Braséenne, Braséen.
*Ces zones géographiques ont servi d’inspiration à certaines étapes du processus de création mais l’État n’en est pas une copie exacte.
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〖 DESCRIPTION GÉNÉRALE 〗À l'origine, quatre royaumes indépendants coexistaient sur le sol braséen : Ywara, Irewak, Irku et Teneke. Lorsqu'un peuple venu du Continent s'est aventuré jusqu'en Staraceste avec comme volonté de coloniser l'île, ils n'ont eu d'autre choix que d'unir leurs forces pour repousser l'envahisseur et récupérer le contrôle de leurs terres. C'est suite à l'unification de ces royaumes qu'est né l'État de Braséa tel qu'on le connaît aujourd'hui, gouverné par une lointaine descendante d'une figure majeure de la résistance au moment de l'invasion. Cependant, bien que la menace hranride ait donc été écartée il y a de nombreux siècles, le royaume ne connaît toujours pas la paix et se retrouve actuellement impliqué dans une terrible guerre qui l'oppose à l'État qui a été son allié par le passé : l'empire Garyanith. Nul ne sait quelle quantité de sang devra encore être versée avant qu'un accord ne parvienne à être trouvé.
〖 ⚠️ ÉCUEILS QU’ON VEUT ÉVITER 〗Ce disclaimer s’explique encore une fois par une volonté de notre part de nous distancer d’un schéma trop commun en fantasy : un.e auteur.ice occidental.e s’inspire d’un pays non occidental pour une région de son propre univers et décide oh surprise d’en faire "l’antagoniste" principal, le royaume "barbare" qui attaque ses voisins sans raison outre le "plaisir" de faire la guerre, sans réaliser que cette vision est imprégnée de biais. Il nous semblait donc important de mentionner que même si le royaume de Braséa est reconnu comme une puissance militaire redoutable dans tout Staraceste (ce qui fait aussi écho à son inspiration principale, le royaume de Koush), il est loin de se limiter à cette seule caractéristique (au même titre que les autres, il est riche de sa culture, de ses ressources…) et le peuple braséen n’est pas un peuple "va-t’en-guerre". Cette réputation guerrière lui vient avant tout de la résistance dont il a fait preuve lors de l’invasion hranride car, avec le Northunyre, il est l’un des seuls États de l’île à s’être farouchement battu contre les troupes coloniales. En lisant la chronologie de Braséa, vous comprendrez également que la guerre que le royaume mène actuellement contre l’empire Garyanith ne s’explique pas par une simple volonté d’étendre son territoire : c’est un conflit aux origines bien plus complexes (mais on en dit pas plus pour pas vous spoiler tout de suite non plus 🫢) . En bref, les braséen.nes ne sont pas les "méchant.es assoiffé.es de pouvoir" de l’île. Cet univers n’est de toute manière pas divisé de façon aussi manichéenne.
『 NOTE ↝ D’autres précisions sur le lore de chaque État suivront bientôt mais on reste disponible pour répondre à toutes vos questions en attendant ! Dans le prochain post : présentation générale du royaume de Hevenbyre. 』
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corinneecrivaine · 4 months ago
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Vi, une Guerrière des Temps Modernes à l'Âme de Xena
Comme j’ai comparé Jinx à Harley, je me suis amusée à faire une comparaison Vi/Xena.
Vi, c’est Xena version guerrière des temps modernes. Une véritable force brute. Son allure dégage ce mélange irrésistible de puissance et de vulnérabilité. Mais elle incarne aussi l’héroïne d’une tragédie grecque.
J’ai choisi une image sombre de Vi pour une raison simple : elle est mon personnage préféré, et tout en elle est splendide. Ses tenues, son physique sculptural, ce regard qui mélange défi et malice, sans oublier son humour bien à elle. Mais ce qui la rend encore plus fascinante, c’est son aura en mode sombre. C’est dans ces moments-là qu’elle est impressionnante, lorsque ses blessures refont surface. Sa jacket, avec son design d’une Vi sombre. J’adore.
Parallèle entre Vi et Xena
Toutes deux sont hantées par leur passé et leur quête de rédemption.
Xena, la Princesse Guerrière, porte le poids d’un passé sanglant. Ancienne conquérante et destructrice, elle cherche à se racheter en protégeant les innocents et en redressant les torts qu’elle a causés. Cette lutte intérieure est au cœur de son personnage : elle est une femme puissante mais brisée, en quête de sens et de pardon.
Vi est rongée par la culpabilité d’avoir échoué à protéger sa sœur Powder/Jinx. Comme Xena, elle utilise la violence comme moyen de survie et d’expression, et doit trouver son chemin de rédemption.
Xena est redoutable sur le champ de bataille, mais elle a également un côté profondément protecteur et maternel, notamment envers Gabrielle, sa compagne/amie. Leur relation, teintée d’amour et de complicité, révèle une Xena plus vulnérable, prête à tout pour protéger celle qu’elle aime.
Vi incarne cette même dualité. Elle est féroce au combat, mais montre une douceur désarmante envers Jinx (malgré leur conflit) et Caitlyn. Elle est à la fois une sœur protectrice, une amante vulnérable et une guerrière brutale.
Vi, une Xena des bas-fonds
Vi évolue dans un univers où la justice est corrompue, et où l'espoir est un luxe rare. Son combat n’est pas celui d’une héroïne mythologique contre des monstres fantastiques, mais d’une femme moderne contre des forces bien réelles : l’injustice sociale, les conflits familiaux, et ses propres échecs.
Là où Xena manie l’épée et le chakram face à des dieux, des mythes et des légendes, Vi brandit ses poings mécaniques dans un univers technologique marqué par l’oppression sociale et les inégalités. Elle lutte contre le système oppressif de Piltover et les démons de Zaun, tout en essayant de sauver sa sœur d’une folie qui semble inéluctable.
Contrairement à Xena, qui s’appuie sur des armes iconiques et des techniques de combat antiques, Vi est un produit de son époque. Ses gantelets mécaniques symbolisent la fusion entre l’humain et la technologie. Ils sont l’extension de sa rage et de sa force brute. Vi n’a pas seulement des muscles, elle a un sens aigu de la justice et une humanité profonde. Cela fait d’elle une guerrière moderne dans tous les sens du terme : une femme qui utilise à la fois la force physique, la technologie, et son intelligence émotionnelle pour naviguer dans un monde complexe et inhospitalier, même lorsqu’elle ne sait pas toujours gérer ses propres émotions.
Vi, une héroïne queer et actuelle
Là où Xena était une figure féministe des années 90, Vi incarne un féminisme contemporain, en étant à la fois queer et indépendante. Sa relation avec Caitlyn est un élément clé de son identité. Elle offre une représentation positive dans un univers sombre.
Des antagonistes façonnées par la tragédie
Dans les deux cas, Jinx et Callisto représentent ce qu’il y a de plus sombre dans le passé de leurs "créatrices". Elles incarnent la conséquence des erreurs commises et leurs échecs.
Jinx, malgré sa folie et sa violence, reste une figure tragique. Elle reflète à la fois l’échec de Vi en tant que sœur, mais aussi la douleur des traumas d’enfance dans un monde brutal comme Zaun. Callisto, quant à elle, est l’image du cycle de la haine. Pour Callisto, Xena est le monstre responsable de ses souffrances, et elle décide de devenir ce même monstre pour se venger.
Pour Vi comme pour Xena, Jinx et Callisto sont plus que des adversaires : elles sont des échos de leur propre échec. Elles forcent les deux héroïnes à affronter leur passé, à regarder leurs erreurs en face, et à tenter de s’en racheter.
Conclusion : Vi, une guerrière moderne avec l’âme d’une Xena
Vi et Xena partagent cette lourde responsabilité : avoir donné naissance, indirectement, à des figures de chaos. Cela les rend profondément humaines, car leurs combats ne sont pas seulement extérieurs, mais aussi intérieurs, contre leur propre culpabilité et leurs erreurs passées.
Vi peut être vue comme une héritière spirituelle de Xena, adaptée aux sensibilités et aux défis du XXIe siècle. Là où Xena s’est battue pour racheter un passé sanglant dans un monde de légendes, Vi se bat pour protéger son présent et sauver son futur dans un univers technologique et brutal.
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ernestinee · 9 months ago
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"Dans une histoire d'amour, on n'est jamais deux face à face, jamais isolés dans un imaginaire libre et généreux. On est tous les autres et toutes les autres qui ont aimé avant nous. Une longue chaîne de forçats menaçants qui nous tirent en arrière et nous lestent de leurs vieux conflits, leurs vieilles fripes, leurs masques grimaçants, leurs cœurs dévastés, impuissants. Nos mères et nos pères, nos grand-mères et nos grands-pères, nos arrière-grand-mères et nos arrière-grands-pères Ainsi de suite...
On porte, sans le savoir, leurs peurs et leurs angoisses, leurs rancœurs et leurs haines, leurs élans brisés et leurs blessures ouvertes, leurs espoirs déçus et cette scie meurtrière: on ne m'y reprendra jamais plus, jamais plus, jamais plus. Comme si l'amour n'était qu'une guerre en plus, un règlement de comptes impitoyable, une histoire de succession jamais fermée. Tous ceux qui murmurent à nos oreilles sans qu'on les entende: "J'étais là avant" nous bousculent, s'installent dans nos vies, y déroulent leurs histoires et nous bouchent nos plus beaux horizons."
Je termine ce soir la lecture de "J'étais là avant" de Katherine Pancol. J'avais déjà essayé de la lire, dans "Les yeux jaunes (ou verts ?) des crocodiles", et dans un autre livre au titre aussi tarabiscoté et je n'avais pas accroché. Babelio a dit "Oh j'avais bien aimé les yeux verts (ou bleus ? 'fin bref) des crocodiles et là j'ai été déçu".
Du coup j'ai foncé.
Le résumé parle ici d'une femme qui aligne les hommes sans lendemain et se sauve dès qu'ils montrent des signes d'amour, puis elle tombe sur un homme qui lui aussi, s'ébroue dans des relations problématiques, et justement celui-ci est digne d'intérêt et là comme ça on dirait un navet romantique à lire en vitesse le dimanche après-midi avec la F1 en fond sonore, mais pas du tout. Car les personnages sont complexes, on se retrouve à arpenter le passé de l'un puis de l'autre et comprendre d'où viennent leurs fonctionnements, leurs blessures, et c'est finalement une grosse réflexion (ou peut-être que je réfléchis trop et je devrais me contenter de lire ?) sur les fantômes du passé, sur les blessures qu'on hérite de nos parents et plus particulièrement de nos mères, sur les moyens de se détacher de "ce grand ennemi" et une conclusion superbe sur ce qu'est l'amour.
Je l'ai démarré en ayant envie d'un bouquin un peu chill et du coup au début j'ai eu du mal à entrer dans l'histoire qui n'était pas ce que j'attendais, arrête de me parler de sa mère et parle-moi de son coupleuuh. Mais j'ai été assez vite touchée par ce récit de vie finalement, et j'ai trouvé l'analyse et la réflexion intéressantes.
⭐⭐⭐⭐
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a-room-of-my-own · 7 months ago
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Hello ! J’ai une question un peu particulière (à laquelle tu peux répondre en privé comme en publique si tu veux)
Je m’abstiens de commenter le conflit israelo-palestinien dans mes cercles sociaux car j’estime ne pas en connaître suffisamment sur le sujet. De ce qu’on apprend au lycée, j’ai particulièrement retenu que c’était bien plus complexe que « les méchants contre les gentils ». J’arrive à un point où il me semble essentiel d’en savoir plus et de me former une vraie opinion. La manière générale dont les informations sont relayées est un peu trop subjective à mon goût. Je me demandais si tu conseillais des sources particulières pour se renseigner, qui ne sont pas aussi manichéennes que ce qu’on peut voir sur les réseaux et dans les cercles de gauche.
Je te suis depuis pas mal de temps maintenant et va savoir pourquoi, il m’a paru assez évident de me tourner vers toi pour cette question. Je me suis dit que je ne perdais rien à demander :)
Oh ça me flatte beaucoup!
Écoute déjà bien comprendre l’histoire de la région aide. Même une recherche tout simple dans une encyclopédie
- sur l’empire Ottoman et son influence dans la région
- sur ce qu’il s’est passé pendant la 1e guerre mondiale et surtout les accords Sykes-Picot
Déjà ça te donnera une bonne idée de ce qu’il s’est passé avant. Ensuite, tu peux de la même façon lire :
- Sur les prémisses du sionisme au XIXe eu Europe, pour comprendre comment ce mouvement est né et dans quel contexte.
- sur les mandats français et britanniques jusqu’à la fin de la 2e GM dans la région et en particulier la Palestine mandataire, gérée par le Royaume Uni
Ça c’est pour le contexte avant la création d’Israël.
Après tu peux lire sur les différentes guerres déclenchées par les pays voisins dès la création d’Israël : guerre des Six Jours, guerre du Kippour etc… et leurs conséquences sur la géographie actuelle du pays.
Puis sur la constitution depuis les pays voisins des mouvements type FPLP, et leurs conséquences sur la région : septembre noir en Jordanie, guerre civile du Liban, guerre Irak-Koweit etc… Et notamment la personnalité de ses leaders comme Yasser Arafat.
Pour le moyen orient de manière générale : l’expulsion des juifs du moyen orient après 1948, l’idéologie pan-arabe / parti baas, les rivalités chi’ites - sunnites et les guerres qu’elles ont provoqué, la montée du wahhabisme / islamisme dans le contexte de la guerre froide et son influence > révolution Iranienne etc
Puis à partir des années 90 : accords de Camp David, les différentes intifadas, l’histoire du Hamas, etc jusqu’à aujourd’hui.
Comme auteur français sur le sujet j’aime bien Martine Gozlan qui a aussi écrit des livres qui sont bien fait sur le sujet. Il y a une journaliste que je suis sur Twitter qui s’y connaît plutôt bien aussi c’est Laura-Maï Gravériaux. Mais tous les autres (Georges Malbrunot, et compagnie = 🚮 et j’espère qu’ils ont jeté leurs talkie walkie)
Mais déjà une bonne lecture encyclo fait du bien au cerveau, quand j’ai commencé à me renseigner là-dessus à la vingtaine je ne savais pas 5% du contexte (et pourtant j’étais très encouragée à avoir une opinion 😅).
Je me considère comme relativement bien informée maintenant mais je dois être à 60% peut-être !
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kilfeur · 10 months ago
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La nuance du conflit entre le paradis et l'enfer (The nuance of the conflict between Heaven and Hell)
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Y a quelque chose que j'apprécie dans le conflit c'est que ça apporte son lot de nuance. Au premier abord, on pourrait voir comme une énième histoire "le paradis est mauvais et l'enfer est bon". Mais je trouve que c'est quand même un peu plus complexe. Sera est un bon exemple de cette nuance. Elle tient à la sécurité du paradis et pense que sa solution d'exterminer les pêcheurs est la bonne solution. Elle dit plusieurs fois de ne pas poser de questions. Car la dernière fois que quelqu'un s'est rebellé, c'était Lucifer et elle était témoin de ça. Je me demande comment était la relation entre ces deux là. Sera est l'opposé de Lucifer, elle sait ce qui ce qui se passez chez elle et a une relation amicale avec Emily, qu'elle apprécie et se soucie d'elle. Mais pour la préserver de certaines vérités, elle lui cachera la vérité concernant l'extermination.
Contrastant avec Lucifer qui a été absent, délaissant l'enfer et son statut de roi à cause de sa dépression Et il est contre l'idée de sa fille pour éviter qu'elle vive la même chose qu'il a vécu par le passé. Emily et Charlie se contrastent aussi, Charlie est pleinement consciente de la situation de l'enfer et au début idéalise le paradis avant de comprendre ce qu'il en retourne vraiment. Emily n'a pas vraiment d'animosité envers l'enfer, les démons voir même les pêcheurs. Mais elle est ignorante concernant les décisions que prennent le paradis pour l'enfer. Elle espérait que Sera soit dans l'ignorance mais non. On pourrait avoir un scénario où justement Emily soit déchue et tombe en enfer. Mais je pense que ce serait plus intéressant si elle change les choses de l'intérieur, avec l'aide de Sir Pentious, qui est la preuve que les pêcheurs peuvent se repentir. Ce serait un parallèle avec Charlie avec son Hazbin Hotel qui souhaite repentir les pêcheurs et Emily qui essaie justement d'ouvrir les yeux des habitants du Paradis.
Quand à Sera, je la vois pas foncièrement méchante, ses intentions sont compréhensibles mais ce sont ses méthodes qui sont mauvaises. On ne sait pas vraiment qui amène les âmes aux Paradis ou bien ce sont les âmes qui font le chemin tout seul entre le paradis et l'enfer. Et Sera pourrait se questionner sur les choses qu'elle a apprit, elle pourrait douter sur ce qu'elle croit. Je pense qu'elle sait bien qu'on ne le laisse le croire. Dans la chanson "Tu ne le savais pas" elle dit à Charlie qu'elle se bat pour une noble cause mais qu'elle ignore tant de choses. Donc y a encore de choses à découvrir.
One thing I like about conflict is that it brings its own nuance. At first glance, it might seem like the umpteenth "heaven is bad and hell is good" story. But I think it's a bit more complex. Sera is a good example of this nuance. She wants heaven to be safe, and thinks her solution of exterminating the sinners is the right one. She says several times not to ask questions. Because the last time someone rebelled, it was Lucifer and she witnessed it. I wonder what the relationship between these two was like. Sera is the opposite of Lucifer, she knows what's going on In Paradis and has a friendly relationship with Emily, whom she likes and cares about. But to protect her from certain truths, she hides the truth about the extermination from her.
Contrasting with Lucifer who has been absent, forsaking hell and his status as king because of his depression And he is against the idea of his daughter to avoid her experiencing the same thing he has in the past. Emily and Charlie also contrast, Charlie being fully aware of the situation in hell and initially idealizing paradise before understanding what it's really like. Emily has no real animosity towards hell, demons or even sinners. But she is ignorant of the decisions heaven makes for hell. She'd hoped Sera would be in the dark, but no. We could have a scenario where Emily falls into hell. But I think it would be more interesting if she changed things from the inside, with the help of Sir Pentious, who is proof that sinners can be redeemed. It would be a parallel with Charlie and his Hazbin Hotel, who wants to repent the sinners, and Emily, who is trying to open the eyes of the residents of Heaven.
When it comes to Sera, I don't see her as inherently evil, her intentions are understandable but it's her methods that are bad. We don't really know who brings souls to Heaven, or whether it's the souls who make their own way between Heaven or Hell. And Sera might question the things she's learned, she might doubt what she believes. I think she knows better than to let us believe it. In the song "You didn't know" she tells Charlie that she's fighting for a noble cause, but there's so much she doesn't know. So there's more to discover.
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culotteemaiscrevee · 1 month ago
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Être mère… et regretter : mon témoignage sans filtre
Oui, je sais, je commence fort ! Mais honnêtement, c’est un sujet encore tabou de nos jours… et ça ne devrait pas.
Être mère, ça peut être merveilleux, la plus belle chose au monde ou encore la meilleure expérience de votre vie. Seulement, vous avez aussi le droit de ne pas voir les choses comme ça. Vos enfants, vous les aimez, vous les avez voulus du plus profond de votre cœur… MAIS avec le temps, vous vous rendez compte que le rôle de mère, ce n’est vraiment pas pour vous. Vous étouffez. Eh bien, vous savez quoi ? Je vous comprends. Bien sûr, ce ne sera pas le cas de la plupart des gens à qui vous en parlerez (si vous osez). Vous risquez de vous heurter au jugement de votre grand-mère : « Mais rends-toi compte ma chérie, tu regrettes d’avoir eu tes enfants, c’est horrible ! », ou d’un inconnu sur les réseaux : « Mais des meufs comme ça, elles ne devraient même pas pouvoir être mères, c’est honteux ! » Vous avez saisi, l’un comme l’autre comprend totalement de travers. Essaie d’expliquer à Jean-Dylan que ce n’est pas du tout ce qu’il croit et tu te prendras une nouvelle dose de remarques désobligeantes dans la face… enfin, dans l’écran plutôt !
Dans ce premier article, je veux vous partager mon expérience, mon ressenti. Si ça peut vous faire culpabiliser un peu moins, c’est tout bénéf’ !
Vous êtes prêts ? C’est parti !!
Tout d’abord, je pense qu’il est nécessaire que vous sachiez que depuis toute petite (bien que je ne sois pas bien grande de nos jours, hein !), je me voyais maman de 4 enfants, heureuse, souriante et surtout « bienveillante ». Ouais, vous me voyez venir, non ? La réalité fut toute autre quand j’ai eu ma première fille en 2010. Déjà, à sa naissance, je n’ai eu ni coup de foudre pour elle ni même une larmichette. Il m’a fallu énormément de temps pour oser en parler librement mais toujours en ajoutant (avant ou après) « Attention, je ne dis pas que je ne l’aime pas, bien au contraire ! » pour éviter au maximum le quiproquo… qui parfois, était là malgré tout.
D’ailleurs, je pense que le début de notre relation a été complexe à cause de ça. Elle ne voulait jamais être dans mes bras, s’agitait et pleurait dès que je la portais. J’ai foiré mon allaitement au bout de trois jours… Bref, une véritable angoisse ! J’ai bien évidemment fait un petit burn-out qui, sincèrement, ne m’a jamais vraiment quittée pendant des années. Le quotidien n’était pas évident : nous étions en conflit permanent, elle avait des difficultés à s’exprimer, elle hurlait énormément.
Ça a évolué vers ses un an et demi, environ, quand j’ai appris que j’étais de nouveau enceinte. Cette grossesse n’était absolument pas désirée et c’était une catastrophe pour moi. Mais avec mon mari, on s’est dit que « ça se passerait mieux avec bébé 2 ». QUE NENNI !
Quand notre seconde fille est venue au monde, l’expérience n’a pas été la même. J’ai tout de suite eu les larmes aux yeux quand je l’ai eue sur moi, cette fameuse vague dont j’avais tant entendu parler… je l’ai enfin ressentie. Mais quelques jours après, le burn-out et l’échec de mon 2ᵉ allaitement étaient de retour, pour me jouer de mauvais tours !
Les 9 premiers mois de vie de cette deuxième petite fille furent bien calmes et géniaux à vivre. Et puis, elle a commencé à avoir un comportement inquiétant , dit comme ça, ça semble exagéré… et pourtant, après plusieurs consultations, tous les médecins nous ont dit que ce n’était rien de grave.
Jusqu’à ses 2 ans, à peu près, elle refusait de dormir (ni dans son lit, ni à bras…) jusqu’à 3h du matin, oui oui, tous les soirs ! C’était compliqué, vraiment. Ça s’est calmé par la suite — si l’on peut dire. Elle s’endormait seule dans son lit, mais régulièrement la nuit, elle se balançait en dormant. Après des recherches de ma part, il s’avère qu’elle est hypersensible sur plusieurs plans et que le fait de se balancer la rassurait énormément. Actuellement, les nuits se passent tout à fait normalement, par contre, les explosions d’émotions sont plus que quotidiennes et c’est très dur à gérer, pour elle comme pour nous.
Et puis, en 2017, nous avons eu un petit garçon. Pour lui, j’ai réussi mon allaitement : je suis devenue une experte dans ce domaine ! Lui, il a un caractère bien (biiiien) trempé mais rien d’alarmant à signaler en dehors de ça.
Pour autant, mon rêve de 4 enfants ne se réalisera jamais. J’ai pris la décision (un peu avant le &er anniversaire de mon fils) de me faire ligaturer les trompes (ça sera le sujet d’un prochain article).
« Et depuis alors ? » me direz-vous. Eh bien… Nos 3 enfants sont sur piles électriques, n’obéissent pas, sont extrêmement bruyants et se chamaillent en permanence. Mais je les aime du plus profond de mon être. Je persiste à penser que le rôle de mère n’était pas fait pour moi : j’adore dormir, me coucher hyper tard et surtout… le calme. On est sur un 100 % d’objectifs non atteints, haha !
Mais clairement, je ne regrette pas d’avoir eu mes enfants. Sans eux, je ne serais pas la femme que je suis aujourd’hui. Ils m’ont apporté tellement… Et puis, il faut avouer aussi que je suis accro à leurs odeurs ! Donc bon, s’ils n’étaient plus là du jour au lendemain, je serais dans la mouise totale (la drogue, toussa toussa).
En résumé : vous n’êtes pas seules, votre ressenti est tout à fait NORMAL.
Simplement, les gens (mamans, papas, tonton Jacky et Mme Dupont, la voisine sans enfants) n’osent tout simplement pas en parler ouvertement.
Alors si vous le souhaitez, lâchez-vous dans les commentaires ci-dessous. Je vous lirai, vous comprendrai et vous répondrai...
Nymphéa
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lepartidelamort · 1 month ago
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« Zelensky, prophète juif »
Tout s'éclaire.
Quand finalement la presse juive reprend exactement les termes que nous employons ici depuis trois ans, c’est une reconnaissance certaine du travail accompli.
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Le Point :
L’altercation véritablement historique entre Volodymyr Zelensky et Donald Trump dans le Bureau ovale de la Maison-Blanche a ouvert les vannes à tous les commentaires. Un seul, me semble-t-il, a été négligé : la judaïté de Zelensky. On sait, bien entendu, que le président ukrainien est juif ; mais cette origine est rarement mentionnée, car ce serait une approche politiquement incorrecte du personnage. Et cependant, cette judaïté de Zelensky, pour moi, aura été extraordinairement frappante dans son violent dialogue de sourds avec Trump. Zelensky, en effet, est un survivant : un survivant de ce que fut la plus grande communauté juive d’Europe centrale, celle de l’Ukraine, exterminée presque en totalité pendant la Seconde Guerre mondiale. Cette extermination fut l’œuvre des nazis, bien entendu, mais malheureusement, comme en Pologne, avec la contribution massive de la population locale. Il n’empêche que cette collaboration avec des Ukrainiens de souche a été oubliée et qu’elle n’a pas empêché Zelensky de devenir président avec une légitimité incontestée auprès de son peuple.
Est-ce « son » peuple ou bien est-ce un juif à côté des « Ukrainiens de souche » ?
Mais cette judaïté apporte à Zelensky une dimension supplémentaire : l’homme étant un survivant, ou un fils de survivants, il sait ce qu’est le Mal, il sait ce qu’est un holocauste. Et il sait ce qu’est un assassin. Lorsqu’il a désigné Poutine comme un « tueur », Trump, évidemment, a rejeté le terme et n’a pas pu comprendre. Et lorsque Zelensky envisage, au pire, une extermination de l’Ukraine, il est évident que le passé de sa communauté lui revient à la mémoire et l’inspire. Tel est son prophétisme. Car il s’agit bien d’un prophétisme juif ancré dans une longue histoire, qui permet à Zelensky de la décrypter comme nul autre. Un discernement étranger à Trump ou à J. D. Vance, son acolyte particulièrement inculte, qui, l’un et l’autre, ignorent cette profondeur historique du conflit ukrainien.
C’est un peu confus, mais monsieur Guy Zormann (« Sorman ») traite ici Trump de goy stupide qui ne saurait être comparé au prophète Zelensky, membre du peuple élu, et à ce titre esprit doué d’omniscience d’origine divine.
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Les juifs ne sont pas le peuple du mépris par hasard.
Il est évident que si Poutine parvenait à ses fins, l’on n’assisterait pas, à strictement parler, à un holocauste du peuple ukrainien, mais à une occupation, qui ressemblerait beaucoup à celle des nazis en Europe centrale à partir de 1940. Il n’est pas inenvisageable par ailleurs que les Russes réservent aux rares juifs survivants d’Ukraine un destin particulier, puisque Poutine lui-même s’est indigné à plusieurs reprises publiquement de ce que les Occidentaux soutiennent un juif à la tête de l’Ukraine : c’est-à-dire, pour citer Poutine lui-même, en 2023, à Saint-Pétersbourg, « un être inhumain », également qualifié de « néonazi ».
J’avoue ne rien comprendre à ce que Sorman essaye de dire.
Et Poutine d’ajouter dans cette même déclaration qu’il a « beaucoup d’amis juifs ». Dans la haine de Poutine contre Zelensky, l’antisémitisme n’est jamais mentionné, mais il est bien présent : traiter les juifs de nazis est devenu un trait caractéristique de l’antisémitisme contemporain. On m’objectera qu’Israël a voté avec les États-Unis et la Russie, à l’ONU, pour ne pas soutenir l’Ukraine. Israël serait-il, donc, indifférent à la judaïté de Zelensky ? La relation entre Israël et le judaïsme de la diaspora est assez complexe pour expliquer cette stratégie calculée de Netanyahou. Zelensky, quoi qu’en disent Netanyahou ou Poutine, est bien juif, mais un Juif de la diaspora, un ultime conservateur de la tradition prophétique qui, en Israël, n’est devenu que politique. Sur un mode plus léger, regardant comme tout le monde à la télévision la tragicomédie qui opposa Trump à Zelensky, je n’ai pu m’empêcher de me souvenir du Dictateur, le film de Charlie Chaplin. Dans celui-ci, réalisé en 1940, à une époque où l’on ignorait encore ce que l’Holocauste allait devenir, on découvre un petit coiffeur juif de Varsovie s’opposant à un pantin gesticulant et hurlant qui est une parodie de Hitler. Eh bien, Zelensky, mal rasé, mal fringué, face à un Trump dominateur et cravaté de rouge, m’a immanquablement fait penser à Charlie Chaplin : le coiffeur contre le dictateur. On se souviendra aussi que Zelensky, avant de se lancer en politique, était comédien – je parierais que Charlie Chaplin fut l’un de ses modèles. Bien que Charlie Chaplin ne fût pas juif, le costume immédiatement reconnaissable de Zelensky est clairement une allusion à la tenue de Charlot, le clochard provocateur qui profère la vérité face aux puissants et aux assassins.
Les juifs, en somme, sont des êtres fragiles et sans fortune qui n’écoutent que leur coeur pour défier les goyim, tyranniques et cruels.
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Et tant pis si les juifs sont en réalité la plus puissante force internationale, contrôlant l’ensemble des circuits financiers et médiatiques occidentaux, placent toutes les démocraties à leurs pieds par ce moyen, règnent sur les consciences par le mythe des chambres à gaz dont Zormann nous a resservi une large louche au passage.
Zormann exprime assez clairement la tension entre les deux factions de la juiverie : la faction sioniste et la faction internationaliste à l’appétit de domination mondiale insatiable.
Cela n’empêche pas ces deux factions de travailler ensemble pour la suprématie juive, mais des différences de priorité existent.
La faction internationaliste, représentée par la juiverie ashkénaze du Parti démocrate américain dont Soros est le meilleur représentant, veut reconquérir la Russie perdue après la chute de l’URSS. Non seulement les ressources colossales de la Russie permettraient à la banque juive new-yorkaise de se renflouer, mais la Chine s’en retrouverait encerclée, vulnérable à un embargo complet.
C’est la promesse du Talmud et c’est en cela que Zelensky est un « prophète ».
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Les trésors d’au-delà des mers afflueront vers toi, vers toi viendront les richesses des nations. Des étrangers rebâtiront tes remparts, et leurs rois seront à ton service. Car nation ou royaume qui ne te servirait pas périra ; ces nations-là seront entièrement dévastées. Tu suceras le lait des nations, tu te gorgeras de la richesse des rois, et tu sauras que moi, le Seigneur, je suis ton Sauveur, ton rédempteur, Force de Jacob. 
Le rabbi Isaïe
Démocratie Participative
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milas6666 · 2 months ago
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Le Déclin des Empires : Une Perspective Historique sur la Collapsologie
Introduction
I. Qu'est-ce que la Collapsologie ?
* Au-delà du Changement : Il est crucial de distinguer la collapsologie des notions de changement, de transformation ou de progrès. Les civilisations évoluent, se transforment, connaissent des cycles de croissance et de déclin. La collapsologie, elle, s'intéresse à un type de déclin particulier : celui qui mène à un effondrement systémique.
* Effondrement Systémique : Un effondrement systémique se caractérise par une perte significative de complexité sociale, économique et politique. Les institutions s'affaiblissent, les réseaux se désagrègent, la production diminue, les échanges se raréfient, et la capacité de la société à résoudre les problèmes diminue drastiquement.
* Un Processus Graduel : L'effondrement n'est pas un événement soudain et cataclysmique. C'est un processus lent, insidieux, souvent invisible au début, qui se manifeste par des crises de plus en plus fréquentes et intenses.
* La Chute de l'Empire Romain : L'Empire romain offre un exemple emblématique. Son déclin s'est étalé sur des siècles, marqué par des guerres civiles, des crises économiques, des invasions barbares, et une érosion progressive du pouvoir central.
II. Le Cadre d'Analyse : Une Approche Multidisciplinaire
* Interconnexion des Facteurs : La guerre, la sociologie, l'anthropologie et la politique sont des domaines interconnectés. Il est impossible de comprendre un effondrement civilisationnel en se focalisant sur un seul de ces aspects.
* La Guerre : Les conflits armés, qu'ils soient civils ou extérieurs, peuvent déstabiliser les sociétés, épuiser les ressources, détruire les infrastructures, et entraîner des pertes humaines considérables.
* Sociologie : La cohésion sociale, les valeurs partagées, les identités collectives sont essentielles à la stabilité d'une civilisation. Les inégalités, les discriminations, la perte de sens peuvent conduire à une fragmentation sociale et à un affaiblissement du vivre-ensemble.
* Anthropologie : L'étude des sociétés humaines, de leurs adaptations, de leurs mécanismes de résilience, permet de mieux comprendre comment les civilisations font face aux défis et aux changements.
* Politique : Les institutions politiques, leur légitimité, leur capacité à gérer les crises, à assurer la justice et l'équité, jouent un rôle crucial dans la stabilité ou l'effondrement d'une société.
III. Aperçu des Civilisations Étudiées
* Rome, les Mayas, l'Égypte, etc. : Nous explorerons en détail plusieurs civilisations qui ont connu des effondrements, en mettant en lumière les facteurs spécifiques qui ont contribué à leur chute.
* Points Communs et Différences : Chaque civilisation est unique, mais des schémas récurrents émergent de l'analyse comparative. Par exemple, la complexité croissante, l'incapacité à gérer les contradictions internes, la perte de cohésion sociale sont des thèmes récurrents.
IV. Thèse du Livre : Dynamiques Internes et Vulnérabilités
* Au-delà des Causes Externes : Les catastrophes naturelles, les invasions, les changements climatiques peuvent jouer un rôle, mais ils ne sont pas les seules causes d'effondrement.
* Le Rôle des Facteurs Internes : Nous mettrons l'accent sur les dynamiques internes aux sociétés : l'incapacité à gérer la complexité, les contradictions internes (par exemple, entre les riches et les pauvres, entre les villes et les campagnes), la perte de cohésion sociale, l'érosion du sens et des valeurs partagées.
* La Complexité comme Piège : Les civilisations, en se développant, deviennent de plus en plus complexes. Cette complexité peut devenir un piège si elle n'est pas maîtrisée, entraînant une bureaucratie inefficace, une économie fragile, et une perte de capacité à prendre des décisionsCollectivement.
Conclusion de l'Introduction
* Un Regard Lucide sur le Passé : Ce livre n'est pas une prophétie, mais une réflexion basée sur l'analyse du passé. * Comprendre les Enjeux Actuels : En étudiant les effondrements passés, nous pouvons mieux comprendre les défis auxquels notre propre civilisation est confrontée. * Un Appel à la Réflexion : Il est essentiel de prendre au sérieux les signaux de fragilité de notre système, et de réfléchir aux changements nécessaires pour éviter un scénario d'effondrement. Note : Cette introduction peut être enrichie avec des exemples concrets, des citations d'auteurs, et des références à des études de cas.
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abridurif · 2 months ago
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Il est possible de penser l’acte de création dans cette perspective comme une dialectique complexe entre un élément impersonnel, qui précède et dépasse le sujet individuel, et un élément personnel qui lui résiste obstinément. L’impersonnel est la puissance-de, le génie qui pousse vers l’œuvre et l’expression, la puissance-de-ne-pas est la réticence que l’individu oppose à l’impersonnel, le caractère qui résiste avec ténacité à l’expression et la marque de son empreinte. Le style d’une œuvre ne dépend pas seulement de l’impersonnel, de la puissance créative, mais aussi de ce qui résiste à cet élément au point presque d’entrer en conflit avec lui. La puissance-de-ne-pas, cependant, ne nie pas la puissance et la forme, mais, à travers sa résistance, les expose d’une certaine façon, tout comme la manière ne s’oppose pas directement au style, mais peut bien, parfois, le mettre en relief. Giorgio Agamben, Le feu et le récit, Éditions Payot & Rivages, 2015
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mmepastel · 5 months ago
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Très joli roman qui a attiré mon attention grâce au prix Femina des lycéens (je ne savais même pas que ce prix existait!).
Le point de départ (qui a l’air largement autobiographique), c’est Ilaria, petite fille de huit ans qui attend que sa sœur vienne la chercher après l’école. C’est son père qui déboule, inattendu, et qui l’emmène pour une escapade qui se transforme en cavale de deux ans. Ça se passe dans les années 80 en Italie, pendant les années de plomb.
Tout est vu à hauteur d’enfant, grâce à des phrases courtes, axées sur ce que comprend Ilaria des humeurs de son père. Car celui-ci a été rejeté par son épouse, il est malheureux, et terriblement égoïste : il arrache la petite fille à sa mère, sa sœur et son pays (elle vivait en Suisse au moment des faits). Il enlève sa fille pour des motivations obscures, sans doute pour mettre de la pression à Antonia, son ex femme. Il est tout à tour drôle, grandiloquent, éblouissant de charisme et sombre, taiseux, maltraitant, manipulateur. La petite fille est aux aguets, et prise dans un conflit de loyauté. C’est une équation complexe que j’ai connue, à ma façon, et c’est très bien rendu. On ne se rend compte que bien après de l’injustice de la chose. Pris dans les feux croisés, on souffre et on s’efforce d’être « bonne fille ». On apprend à mesurer ce que l’on peut dire et comment le dire. On marche sur des œufs. Ici, la situation est extrêmement et on peut craindre jusque pour la sécurité de l’enfant.
Ilaria doit alors conquérir sa façon de désobéir, pour faire face. Elle est trimballée comme un paquet dans divers endroits, et apprend à s’adapter vite, à saisir l’affection de celles et ceux qui arrivent à lui en donner sans que ce soit une monnaie d’échange. C’est assez poignant.
Les phrases sont courtes, syncopées, impressionnistes. Sensibles.
C’est triste. Pour l’enfant, mais aussi pour le père évidemment, complètement borderline et alcoolique.
On a le récit de cette errance en voiture, à travers l’Italie violente, avec le réconfort modeste et mélancolique des Autogril, où le duo s’arrête pour manger et dormir. De nouvelles habitudes se créent, mais face à un père aussi changeant, obsédé par ses arrêts dans les cabines téléphoniques d’où il harcèle celle qui le rejette, c’est l’insécurité psychologique qui s’installe. Un affreux cadeau à faire à un enfant.
Bref, joli livre sensible et touchant, qui scrute la psyché d’une petite fille prisonnière d’un problème qui n’est pas le sien. Un livre qui contient aussi une dose d’espoir, une échappée intérieure salvatrice.
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ethereal-skies-forum · 1 month ago
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【 LES MÉCANIQUES DE JEU 】• Configurez vos paramètres.
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Nous n’avons rien inventé d’extraordinaire et les possibilités de gameplay que nous allons vous présenter ici sont à priori peu révolutionnaires. Nous ne voulons pas d’un système de jeu trop complexe et/ou identique pour toustes les joueur.euses, notre but étant avant tout que tout le monde puisse trouver son compte sur ce forum et personnaliser son expérience suivant ses préférences !
〖 MODE BAC À SABLE OU MODE HISTOIRE 〗
Comme dans un jeu vidéo, vous avez la possibilité d’intégrer votre personnage aux intrigues principales que les maître.sses du jeu (les référent.es, avec l’aide des joueur.euses qui voudront apporter leur pierre à l’édifice) se chargeront d’étoffer et de dérouler, ou bien vous pouvez décider de rester un peu au-dessus de la mêlée afin de vous concentrer davantage sur votre propre microcosme avec vos camarades de jeu. Il est possible d’alterner les deux modes selon vos envies du moment.
☞ EXEMPLE : Votre personnage réside à Braséa qui est actuellement en guerre contre Garyanith. Si vous jouez en « mode histoire », on peut imaginer que ce conflit impacte de manière forte sa vie et influence particulièrement le contenu de vos rps. En « mode sandbox », il existe évidemment toujours mais peut demeurer simple toile de fond, une histoire politique qui paraît lointaine pour lui, afin que vous puissiez vous concentrer sur d’autres histoires.
〖 QUÊTES PRINCIPALES, SECONDAIRES & INITIALES 〗
Les joueur.euses qui le souhaitent (ce n'est pas une obligation) ont la possibilité de compléter des quêtes qui sont divisées en deux grandes catégories : les principales (directement reliées aux intrigues en cours dans chaque État) et les secondaires. Tout le monde est libre de créer une quête secondaire et de l’ajouter au tableau des quêtes. Certaines quêtes peuvent également être proposées par des PNJs (un peu comme des prompts).
☞ EXEMPLE : Votre personnage cherche un.e navigateur.ice pouvant le conduire en bateau de Sikyón à Káto la semaine prochaine ? Vous pouvez en faire une quête secondaire que n’importe qui pourra accepter (si les conditions que vous poserez seront réunies), ce qui débouchera logiquement sur un rp !
Si vous débarquez sur le forum sans aucun repère (ou pas nécessairement !) et que vous craignez de rencontrer des difficultés à élaborer votre premier rp, vous avez également la possibilité de demander une quête secondaire dite « initiale », entièrement personnalisée. Nous concerterons les joueur.euses qui auront accepté de prendre part à ces quêtes initiales afin de trouver quelqu’un de disponible pour se joindre à la vôtre, et nous vous transmettrons alors un prompt sur lequel vous appuyez pour lancer ce rp. La plupart du temps, ces quêtes restent concises : les réponses courtes sont privilégiées. Les modalités peuvent toutefois être discutées entre les joueur.euses.
〖 SYSTÈME DE RUMEURS 〗
Pour nourrir le jeu, vos personnages peuvent faire l’objet de rumeurs plus ou moins importantes, répandues dans tout Staraceste ou limitées à la sphère familiale, au voisinage… qu’importe. Grossières calomnies ou pures vérités, elles peuvent être ajoutées de manière anonyme à une liste générale des rumeurs dans laquelle toustes les joueur.euses peuvent piocher afin de mentionner ladite rumeur inrp (s’il est logique que leurs personnages aient fini par l’apprendre, car la cohérence est de mise). Nous vous demandons en revanche de ne pas ajouter une rumeur concernant votre propre personnage (sinon, c’est moins drôle !). Nous demeurerons également vigilant.es afin de nous assurer que personne ne soit gêné.e par l’ajout d’une accusation potentiellement grave à l’encontre de son personnage et qu’il n’y ait pas d’abus.
☞ EXEMPLE : Une rumeur circule dans la région sud de Garyanith : le savant X a volé les recherches du savant Y pour s’en accaparer tout le mérite ! Si votre personnage qui réside dans cette région (et a donc potentiellement entendu la rumeur) le rencontre, suivant l’importance qu’il y accorde et son caractère, il pourrait être particulièrement méfiant à son égard.
〖 AUTRES ÉLÉMENTS EN VRAC 〗
Possibilité de compléter des défis.
Plus légers que les quêtes (exemple random : utilisez les mots « château de sable » et « perruche » dans votre rp pour gagner l’accomplissement « roucouler, broyer la langue de Molière »).
Possibilité de lancer des dés.
Nous vous donnerons plus de précisions lorsque nous aurons déterminé leurs différents usages mais ils pourraient par exemple servir à déclencher un événement inrp, à trancher l’issue d’un combat, à choisir un partenaire aléatoire…
Pas de système de points pour le moment.
Nous n’en voyons pas l’utilité dans l’immédiat et cherchons surtout un moyen de récompenser autre chose que l’activité sur le forum, car tout le monde n’a pas les mêmes disponibilités.
Un compte accessible à toustes pour incarner temporairement un PNJ, selon les besoins.
Si une situation s’y prête, que quelqu’un souhaite absolument jouer une scène avec un personnage non joué…
⚠️ Tout élément est sujet à modification d’ici l’ouverture du forum.
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jenebloggepas · 7 months ago
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Au cours des siècles suivants, la statue a été déplacée à plusieurs reprises, en raison des guerres et des conflits entre les royaumes. Elle a finalement été placée à Bangkok en 1784, lorsque le roi Rama I a fondé Bangkok comme la capitale de la Thaïlande.
La statue a été abritée dans le temple royal du Wat Phra Kaew, faisant partie du complexe du Grand Palais de Bangkok, depuis cette époque. La statue est vêtue de robes en or, qui sont changées trois fois par an pour correspondre aux trois saisons du pays ; l'été, la saison verte et la saison sèche. La saison chaude a lieu de mars à mai, la saison verte de juin à octobre et la saison sèche de novembre à février.
Le changement d'habit de la statue du Bouddha Prakaew Morakot a lieu trois fois par an, à l'occasion de trois événements importants du calendrier bouddhiste :
1. Au début de la saison d'été, en avril.
2. Au milieu de la saison verte, en juillet.
3. Au début de la saison sèche, en novembre.
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christian-dubuis-santini · 1 year ago
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Ce que nous a démontré l’expérience comme la théorie qui a conduit Freud, c’est qu’il y a une certaine façon de s’introduire dans ce relief qui est le signifiant fondamental, que le complexe d’Œdipe est justement là pour ça, pour quelque chose que le fait que nous admettions maintenant comme un fait d’expérience courante que de n’avoir pas traversé l’épreuve de l’Œdipe…
c’est-à-dire de n’avoir pas vu s’ouvrir devant soi les conflits et les impasses, et de ne pas l’avoir résolu d’une certaine façon par une certaine intégration, qui n’est pas simplement intégration de ses éléments à l’intérieur du sujet, mais aussi prise du sujet dans ses éléments qui sont donnés à l’extérieur …si nous admettons si facilement que le fait de n’avoir pas réalisé cette épreuve, laisse le sujet précisément dans un certain défaut, une certaine impuissance de la réalisation des distances justes qui s’appellent la réalité humaine, c’est que nous tenons justement que le terme de réalité implique cette intégration à un certain jeu de signifiants.
Je ne fais là que simplement formuler ce qui est admis par tous d’une façon en quelque sorte implicite dans l’expérience analytique.
(Lacan - Les psychoses)
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De 1947 à 2023, un conflit complexe. 1947 : après la fin de la Seconde Guerre mondiale, des milliers de juifs européens dont de nombreux survivants de la Shoah émigrent vers la Palestine alors sous mandat britannique. À bord du navire Exodus 1947, ils sont interceptés par des navires de la marine britannique et renvoyés en Europe. Cet incident suscite l'indignation internationale et joue un rôle essentiel pour convaincre le Royaume-Uni qu'une solution négociée par les Nations unies est nécessaire pour résoudre la crise en Palestine. Le Comité spécial des Nations unies approuve un plan de partage, le 29 novembre, qui accorde 56,47 % de la Palestine à un État juif et 43,53 % à un État arabe. La ville de Jérusalem est, quant à elle, placée sous statut international.
1948-1949 : David Ben Gourion, président du Conseil national juif, lit publiquement la Proclamation d'indépendance d’Israël, le 14 mai. L’État juif prend alors le contrôle de 77 % du territoire de la Palestine sous mandat, selon l’ONU. Cette déclaration précède d'un jour l'expiration du mandat britannique sur la Palestine. Pour les Palestiniens, cette date marque la Nakba (catastrophe) un exode forcé qui annonce leur déplacement et leur dépossession. Plusieurs centaines de milliers de Palestiniens ayant entendu parler de massacres dans des villages, tels que Deir Yassin, fuient vers l'Égypte, le Liban et le territoire jordanien. Les armées de l'Égypte, de la Syrie, du Liban, de la Jordanie (ex-Transjordanie) et de l'Irak attaquent Israël, le 14 mai, déclenchant la première guerre israélo-arabe. Les armées arabes sont repoussées durant les derniers mois de l'année. Un groupe de réfugiés arabes chassés de leur maison par des attaques en Galilée marche le long d'une route reliant Jérusalem au Liban, le 9 novembre 1948.
1949 : un cessez-le-feu est déclaré entre les parties prenantes au conflit durant la première partie de l'année. La Jordanie prend le contrôle de la Cisjordanie et de Jérusalem-Est, l'Égypte contrôle la bande de Gaza. Les lignes de cessez-le-feu deviennent, quant à elles, les frontières d'Israël plus favorables que celles du partage de l'ONU.
1956 : la deuxième guerre israélo-arabe a lieu après la nationalisation du canal de Suez par l'Égypte. Israël, le Royaume-Uni et la France forment une alliance, et l’État juif occupe la bande de Gaza et la péninsule du Sinaï. L'armée israélienne, sous la pression des États-Unis et de l'URSS, retirera plus tard ses troupes.
1959 : l’organisation palestinienne Fatah est créée dans la clandestinité à Gaza et au Koweït par Yasser Arafat et ses partisans. Elle va devenir par la suite la principale composante de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP).
1964 : la Ligue des États arabes crée l'Organisation de libération de la Palestine à Jérusalem. L’OLP regroupe toutes les organisations palestiniennes de l’intérieur et des camps de réfugiés à l’extérieur.
1967 : la troisième guerre israélo-arabe, ou guerre des Six-Jours, est déclenchée par Israël. Entre le 5 et le 10 juin, l’État juif obtient une victoire éclatante sur les pays arabes voisins. Ce bref conflit entraîne aussi un redécoupage spectaculaire de la carte du Moyen-Orient : Israël s'empare de la Cisjordanie et de Jérusalem-Est, de la bande de Gaza, de la péninsule du Sinaï et du plateau du Golan.
1973 : l’Égypte et la Syrie lancent, le 6 octobre, une offensive contre Israël pour reconquérir le Sinaï et le Golan. C’est le début de la quatrième guerre israélo-arabe, ou guerre du Kippour – car lancée lors de la fête juive du Yom Kippour. Israël repousse finalement les armées et le conflit se termine à la fin du mois, mais les deux parties subissent de lourdes pertes.
1978 : les accords de Camp David sont signés, le 17 septembre, par le président égyptien Anouar el-Sadate et le Premier ministre israélien Menahem Begin. Selon les termes de cet accord, l’Égypte regagne la péninsule du Sinaï qu’elle avait perdue lors de la guerre des Six-Jours. Anouar el-Sadate devient le premier leader arabe à reconnaître l’État d’Israël.
1979 : un accord de paix israélo-égyptien est scellé à Washington à la suite des accords de Camp David.
1982 : le ministre israélien de la Défense, Ariel Sharon, lance l’armée dans une opération militaire controversée au Liban, baptisée "Paix en Galilée". L’objectif affiché est de chasser les troupes de l’OLP du sud du Liban. Mais l’armée israélienne poursuit son offensive jusqu’à la capitale libanaise, Beyrouth. La déroute de l’OLP de Yasser Arafat laisse les camps de réfugiés palestiniens au Liban pratiquement sans défense. Du 16 au 18 septembre, des milices libanaises phalangistes chrétiennes se livrent à des massacres dans les camps de Sabra et Chatila, situés dans une zone sous contrôle israélien. Ces massacres, qui ont fait l'objet d'une enquête israélienne connue sous le nom de "Commission Kahane", vont conduire à la démission d’Ariel Sharon.
1987 : la première intifada (“soulèvement” en arabe) débute dans la bande de Gaza et s’étend rapidement à la Cisjordanie. Surnommée la “guerre des pierres”, cette révolte contre l’occupation israélienne dure jusqu’en 1993 et coûte la vie à au moins 1 000 Palestiniens. C’est aussi durant ce soulèvement que naît le mouvement islamiste Hamas, qui refuse la moindre légitimité à Israël.
1993 : après d’intenses négociations secrètes à Oslo, Yasser Arafat et le Premier ministre israélien Itzhak Rabin signent à Washington les accords d’Oslo. Ces accords prévoient la création de l'Autorité palestinienne, qui obtient le contrôle administratif de la Cisjordanie et de la bande de Gaza et à la tête de laquelle Yasser Arafat sera élu en 1996. Le 13 septembre, Itzhak Rabin et Yasser Arafat échangent sur la pelouse de la Maison Blanche
une poignée de main historique en présence du président américain Bill Clinton.
1995 : Itzhak Rabin est assassiné le 4 novembre par un extrémiste juif lors d’un grand rassemblement pour la paix à Tel-Aviv. 
2000 : le chef du parti de droite israélien Likoud, Ariel Sharon, se rend sur l’esplanade des Mosquées à Jérusalem, le 28 septembre. Cette visite est considérée comme une provocation par les Palestiniens. La seconde intifada, également appelée “Intifada al-Aqsa”, débute le lendemain. Elle va durer jusqu’en 2005, faisant pendant cinq ans 3 000 morts côté palestinien et 1 000 côté israélien.
2001 : Ariel Sharon est élu Premier ministre d’Israël et rompt tout contact avec Yasser Arafat. Ce dernier est confiné dans son quartier général de Ramallah par l’armée israélienne.
2002 : le gouvernement d’Ariel Sharon déclenche l’opération “Rempart”, le 29 mars. Israël commence la construction d'un mur de 8 mètres pour séparer Israël de la Cisjordanie. C’est aussi cette année-là que le Conseil de sécurité de l’ONU mentionne pour la première fois, dans plusieurs résolutions, la coexistence de deux États – Israël et la Palestine. Enfin, l’armée israélienne lève le siège de Ramallah.
2004 : le cheikh Ahmed Yassine, cofondateur et chef spirituel du Hamas, est tué par une frappe d'hélicoptère israélienne, le 22 mars. Huit mois plus tard, le 11 novembre, Yasser Arafat décède des suites d'une maladie dans un hôpital parisien. La mort du président de l’Autorité palestinienne est, depuis, sujette à controverse : certains experts font état d’une mort naturelle et d’autres envisagent la possibilité d’un empoisonnement au polonium 210.
2005 : Mahmoud Abbas est élu président de l’Autorité palestinienne. Après 38 années d’occupation, Israël se retire de la bande de Gaza.
2006 : le Premier ministre israélien Ariel Sharon est victime d’une attaque cérébrale, le 4 janvier – il tombe et reste dans le coma pendant huit ans avant de décéder le 11 janvier 2014. Ehud Olmert lui succède au poste de chef du gouvernement, ainsi qu’à la tête du nouveau parti Kadima qu’il avait fondé en novembre 2005. Le 12 juillet, une guerre de 34 jours démarre entre le Hezbollah libanais et Israël, à la suite d’attaques à la roquette du groupe islamiste chiite, ainsi que de l’enlèvement et de la mort de plusieurs soldats israéliens. Israël déclenche en retour une offensive, provoquant la mort d’au moins 1 000 Libanais (et plus de 100 morts côté israélien). L’État hébreu fait aussi face à sa pire défaite militaire depuis sa création, en 1948.
2007 : après des mois de luttes intestines entre le Fatah et le Hamas, ce dernier prend le contrôle de Gaza. La violence dans la région se poursuit. Aux attaques palestiniennes à la roquette, Israël répond par des raids. Le 29 mars, la Ligue arabe relance son "initiative" de paix au sommet de Riyad, en Arabie saoudite.
2008 : l’armée israélienne lance une offensive militaire sur Gaza pendant trois semaines, le 27 décembre. Nommée opération “Plomb durci”, c’est une offensive aérienne puis terrestre. C’est aussi à ce jour l'attaque israélienne la plus meurtrière jamais menée contre le territoire côtier palestinien : près de 1 400 Palestiniens – principalement des civils – sont tués, contre 13 côté israélien. Un rapport de l’ONU accuse alors Israël de “crime de guerre”.
2011 : Israël déploie le Dôme de fer, le 27 mars. Ce système de défense antimissile permet aux forces israéliennes d'intercepter les roquettes de courte portée régulièrement tirées par le Hamas depuis Gaza.
2012 : l’armée israélienne lance une deuxième opération militaire contre les groupes armés à Gaza, le 14 novembre. Le commandant en chef du Hamas, Ahmed al-Jaabari, est tué durant cette opération “Pilier de défense” qui dure huit jours. L’organisation islamiste riposte aux frappes israéliennes en tirant des roquettes sur Jérusalem pour la première fois. Plus de 170 Palestiniens et six Israéliens sont tués.
2014 : trois adolescents israéliens sont enlevés et assassinés au mois de juin. Les autorités israéliennes rejettent alors la responsabilité sur le Hamas. Ce climat d'extrême tension conduit l’armée israélienne à déclencher, le 8 juillet, une nouvelle opération militaire (“Bordure protectrice”) sur Gaza la troisième en moins de six ans. Israël mène des frappes aériennes et une opération terrestre sur sept semaines, le Hamas réplique avec des tirs de roquette. Cette opération fait près de 2 200 victimes côté palestinien et 73 côté israélien.
2018 : des dizaines de milliers de Palestiniens se rassemblent près de la frontière israélienne, le 30 mars, pour protester contre le blocus israélien de la bande de Gaza. Les manifestations se poursuivent pendant plusieurs mois, au cours desquels les troupes israéliennes tirent à balles réelles sur les manifestants. Au moins 189 Palestiniens ont été tués et plus de 6 000 blessés au cours de ces manifestations entre la fin mars et la fin décembre 2018, selon la Commission d’enquête internationale indépendante mandatée par le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU.
2021 : en mai, des fidèles palestiniens affrontent la police israélienne dans l'enceinte de la mosquée Al-Aqsa à Jérusalem après des semaines de tension croissante. Le Hamas lance un déluge de roquettes sur Israël après avoir exigé que les forces israéliennes se retirent de l'enceinte. Israël répond par des frappes aériennes sur Gaza, déclenchant un conflit de 11 jours et causant la mort de plus de 200 personnes. 
2022 : Israël bombarde Gaza de frappes aériennes, le 5 août, tuant un militant de haut rang d'un groupe du Jihad islamique et déclenchant des tirs de roquettes en représailles depuis l'enclave palestinienne. Au moins 40 Palestiniens sont tués au cours des trois jours de combat qui suivent.
2023 : les forces israéliennes tuent neuf Palestiniens du Jihad islamique et des civils lors d'un raid dans une ville de Cisjordanie occupée, le 26 janvier. Les militants palestiniens ripostent en tirant deux roquettes, ce qui déclenche des représailles de la part d'Israël. Aucune autre victime n'est signalée. 
2024 : le 7 octobre, le Hamas lance une attaque surprise sans précédent sur plusieurs fronts contre Israël, des combattants infiltrant la frontière lourdement fortifiée en plusieurs endroits par voie aérienne, terrestre et maritime. Les forces israéliennes répondent par des frappes aériennes et des renforts militaires à la frontière de Gaza.
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esther-nvr · 1 year ago
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Référence commentées
Joaquin Sorolla
Ce peintre était connu pour ses œuvres lumineuses et vibrantes qui capturaient la vie quotidienne en Espagne à la fin du XIXe et au début du XXe siècle. Il excellait dans la représentation de la lumière, utilisant des couleurs vives et des effets de lumière pour créer des toiles éclatantes. Outre ses compétences artistiques, Sorolla était également un homme très engagé socialement. Il a utilisé son art pour sensibiliser aux problèmes sociaux de son époque, notamment en peignant des scènes de la vie quotidienne des pêcheurs, des ouvriers et des enfants défavorisés. Son engagement et sa vision de la famille reflétés à travers ses oeuvres, sont une source d'inspiration pour mes propres créations. 
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Frida Kahlo
Frida Kahlo est une artiste mexicaine du XXe siècle, célèbre pour ses autoportraits émotionnels et introspectifs. Son œuvre explore la douleur physique et émotionnelle, l'identité, le genre et la culture mexicaine. Elle a utilisé la peinture comme moyen d'exprimer son vécu, marqué par un accident traumatisant, une relation tumultueuse avec Diego Rivera et un engagement politique. Ses tableaux, riches en symboles, sont aujourd'hui reconnus mondialement, faisant d'elle une figure féministe emblématique de l'art. En tant que femme, la puissance de ses œuvres m'a inculqué une vision plus impactante de l'art.
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Willy Ronis
Willy Ronis était un photographe français renommé, reconnu pour ses contributions significatives à la photographie humaniste. Né à Paris, son travail a capturé la vie quotidienne et les scènes de rue, mettant en lumière la beauté de l'existence ordinaire. C'est à travers son livre "ce jour là" que j'ai découverts Willy Ronni, c'est avec son oeuvre que ma passion pour l'argentique fût révélée. Ses photographies, empreintes de sensibilité sociale, reflètent son engagement envers les valeurs humanistes et son intérêt pour la condition humaine. Ronis est particulièrement célèbre pour ses images intemporelles de Paris et pour avoir documenté la vie des travailleurs et des familles. 
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Tishk Barzanji
Tishk Barzanji est un artiste visuel et illustrateur basé à Londres, connu pour son travail artistique contemporain. Originaire du Kurdistan irakien, Barzanji a fui la région en raison de conflits armés pour finalement s'installer au Royaume-Uni. Son art se caractérise par des paysages urbains surréalistes et des compositions abstraites, souvent dominées par des teintes pastel et des formes géométriques. Barzanji explore des thèmes tels que la nostalgie, la mémoire et l'étrangeté à travers ses créations, qui ont été exposées dans plusieurs galeries et ont attiré l'attention pour leur esthétique distinctive et leur narration visuelle intrigante. Le parcours de cet artiste me touche particulièrement, il arrive à exprimer son histoire d'une façon poétique. 
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Iris van herpen
Iris van Herpen est une créatrice de mode néerlandaise renommée, née en 1984. Elle est reconnue pour son approche avant-gardiste et innovante de la mode, explorant les intersections entre la technologie, la science et l'art. Ses créations sont souvent caractérisées par des techniques de coupe complexes, des matériaux futuristes et des formes sculpturales uniques. Van Herpen a collaboré avec des scientifiques, des architectes et des artistes pour repousser les limites de la mode contemporaine. Je trouve sa façon de travailler avec les volumes et l'espace l'espace très intéressante. J’ai énormément apprécié son exposition sculpting the scene MAD (musée des arts décoratifs) cela m’a permis d’apprendre d’avantage sur sa manière de travailler ses créations ainsi que de comprendre sa vison du monde. Elle a fondé sa propre maison de couture, Iris van Herpen, en 2007, et ses collections ont été présentées lors de défilés de mode internationaux, suscitant l'admiration pour son approche visionnaire de la création de vêtements.
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Daniel Roseberry
Daniel Roseberry est un designer de mode américain, surtout connu pour son rôle de directeur artistique de la maison de couture Schiaparelli. Né en 1986, il a été nommé à ce poste en 2019, apportant une vision moderne et innovante à la maison de couture fondée par Elsa Schiaparelli. Roseberry a gagné en reconnaissance pour ses créations audacieuses, combinant l'héritage surréaliste de Schiaparelli avec des éléments contemporains. C'est ce que j'apprécie dans ses créations, souvent caractérisées par des détails excentriques et des formes inattendues. Il arrive à créer des pièces qui se démarquent dans le monde de la haute couture. Daniel Roseberry a ainsi contribué à insuffler une nouvelle vie et une nouvelle énergie à la maison de couture emblématique.
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Wes Anderson
Wes Anderson est un réalisateur, scénariste et producteur américain né le 1er mai 1969. Il est connu pour son style cinématographique distinctif et sa mise en scène visuellement captivante. Son travail est souvent caractérisé par des décors minutieusement conçus, des couleurs vives, des dialogues stylisés, une utilisation distinctive de la musique et une distribution récurrente d'acteurs tels que Bill Murray, Owen Wilson, et Jason Schwartzman. Les films de Wes Anderson sont souvent considérés comme des œuvres d'art visuelles, et il a reçu de nombreuses nominations et récompenses pour son influence unique dans l'industrie cinématographique. Son travail est remarquable et très pointilleux, tout est dans le détail et je trouve cela très important. Selon moi le détail est ce qui permet à une oeuvre d'apporter plus d'intention.
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