#chansons pour enfants
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Dominick Cochlain on SoundCloud calls for donations.
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Chanson Pour Les Petits Enfants
Now young Mister Moon flew away in the night With his best friend Magnus right by his side They soared through the Milky Way counting the stars Once around Venus, twice around Mars
Then they spied an island rise out of the sea They fell back to Earth just as free as you please The children all gathered, the church bells did ring Suddenly everyone started to sing
Chanson pour les petits enfants Chanson pour tout le monde Chanson pour les petits enfants Chanson pour tout le monde
Queen of the island, she welcomed them in Asking 'em questions of where they had been She offered 'em chocolate, she offered them tea They all took their seats in the top of a tree
And racoons brought wine and the mice—they brought cheese Beautiful birds floated by on the breeze From out in the oceans the dolphins began Humming a tune that soon covered the land
Chanson pour les petits enfants Chanson pour tout le monde Chanson pour les petits enfants Chanson pour tout le monde
So young Princess Leia brought coral and pearls Gifts to the travelers from some other world The bush doctor mixed up a magical spell Swore them to secrecy, never to tell
So young Mister Moon flew away in the night With his best friend Magnus still right by his side The sun was just rising, they'd be home by noon Humming the words to this magical tune
Chanson pour les petits enfants Chanson pour tout le monde Chanson pour les petits enfants Chanson pour tout le monde
Chanson pour les petits enfants (Song for children) Chanson pour tout le monde (Song for the world) Chanson pour les petits enfants (Song for children) Chanson pour tout le monde (Song for the world)
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MA FRANCE ET MOI
"C’est celle de 1789, une FRANCE qui se lève, celle qui conteste, qui refuse !
La FRANCE qui proteste qui veut savoir, c’est la FRANCE joyeuse, curieuse et érudite, la FRANCE de Molière qui tant se battit contre l’hypocrisie, celle de La Fontaine celle de Stendhal, de Balzac, celle de Jaurès, celle de Victor Hugo et de Jules Vallès !
La FRANCE de l’invention, des chercheurs, celle de Pasteur, celle de Denis Papin et de Pierre et Marie Curie !
La FRANCE des Lettres, celle de Chateaubriand, de Montaigne, la FRANCE de la Poésie, celle de Musset, d’Eluard, de Baudelaire, de Verlaine et celle d’ Aimé Césaire !
La FRANCE qui combat tous les totalitarismes, tous les racismes, tous les intégrismes, l’obscurantisme et tout manichéisme !
La FRANCE qui aime les Mots, les Mots doux, les Mots d’Amour, et aussi la Liberté de dire des gros Mots !
La FRANCE qui n’en finira jamais de détester le mot "SOUMISSION" et de choyer le Mot RÉVOLTE !
Oui ma FRANCE à moi c’est celle des Poètes, des Musiciens, celle d’Armstrong, celle de l’Accordéon, celle des Chansons douces, des Chansons graves, des Espiègles, des Humoristiques, des Moqueuses ou celle truffée de Mots qui font rêver d’un Amour que l’on n’osera jamais déclarer à celle qu’on aime.
Ma FRANCE à moi c’est celle de Picasso, de Cézanne et celle de Soulages, celle d’Ingres, celle de Rodin !
La FRANCE des Calembours, des "Bidochons", celle de la Paillardise aussi bien que celle du "Chant des Partisans".
Ma FRANCE c’est celle de Daumier, celle de l’ "Assiette au beurre", du "Sapeur Camembert", celle de Chaval, celle de Cabu, de Gottlieb, de Siné, celle du "Canard", de "Fluide Glacial" et de "Charlie", drôles, insolents, LIBRES !
Ma FRANCE, c’est aussi celle des dictées de Pivot celle de Klarsfeld et celle de Léopold Sedar Senghor, la FRANCE des "Enfants du Paradis" et des "Enfants du Veld ’hiv", celle de la Mode libre, celle de la Danse, des flirts et des Câlins, celle de la Musique douce et des Rocks déjantés, celle de la Gourmandise !
Ma France à moi c’est une FRANCE capable de renvoyer dos à dos la Bible et le Coran s’il lui prend l’envie d’être Athée !
Eh oui ! Ma FRANCE est une FRANCE LIBRE, FRATERNELLE et éternellement INSOUMISE aux dictats de la "bien-pensance" !
Il n’est qu’en respectant toutes ces diversités qu’on arrive un jour à vivre la "DOUCE FRANCE" de Trenet.
Celle qui m’a toujours plu et que notre jeunesse lucide et combative fera perdurer par-delà les obscurantismes.
Figure révolutionnaire, emblématique, durant "La Commune", le "Père Duchêne" écrivait au frontispice du Journal qu’il publiait en 1793 ,
"LA RÉPUBLIQUE OU LA MORT !"
Son journal coûtait 1 sou… mais on en avait pour son argent !"
Pierre Perret
C'était aussi ma FRANCE...
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Là Pour Toi - Emily Prentiss
Masterlist
Résumé : Emily affirme qu'elle va bien après tout ce qu'elle a traversé, mais tu connais la vérité et tu fais tout pour être là pour elle.
Warnings : basé sur le 7x12, mention de Doyle et de la mort d'Emily, Emily qui ne va pas bien, angst, hurt/comfort.
Nombre de mots : 1.3k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Let Me par Jade LeMac
Confortablement dans les bras de Morphée, tu te tournes dans le lit et inconsciemment, tu cherches ceux d’Emily sans succès. Avec difficulté, tu entrouves un œil, tu découvres une place vide à côté de toi, légèrement illuminée par la lumière du couloir. Ignorant où est ta petite amie, tu te lèves rapidement. Depuis qu’elle est revenue d’entre les morts, Emily est différente ce qui est compréhensible, mais ça veut aussi dire que tu n’arrives plus à la cerner aussi bien qu’avant. Emily était déjà secrète, maintenant, c’est pire. N’arrivant plus à la décoder, tu crains toujours le pire. Tu trottines en suivant la lumière et retrouves Emily dans la cuisine dos à toi. Tu l’entends renifler alors que tu appelles son prénom.
-Désolée, je ne voulais pas te réveiller, dit Emily en feignant un sourire.
-Tout va bien ?
-Oui, j’avais juste besoin de boire un verre d’eau.
-Tu as fait un autre cauchemar ? demandes-tu avec inquiétude.
-Non, je n’en fais plus depuis environ deux semaines comme tu le sais.
-Tu sais, il n’y a pas de honte à en avoir encore, surtout après ce que tu as vécu.
-Ne commence pas s’il te plait, réplique-t-elle, froidement, je vois déjà ma thérapeute demain, c’est suffisant… Pardon, je ne voulais pas être sèche, reprend-elle sur un ton plus doux.
-Ce n’est pas grave.
-J’avais juste soif, affirme Emily en posant le verre dans l’évier, mais tu vois clair dans son jeu. Je vais bien, je te le promets. Viens, on va se coucher.
Sans répondre, tu prends la main qu’elle te tend et vous retournez dans votre chambre. Alors que tu t’allonges sur le dos, Emily se colle un peu plus à toi et pose sa tête sur ta poitrine. C’est une habitude qu’elle a depuis qu’elle est revenue. Emily a besoin d’entendre tes battements de cœur pour s’assurer qu’elle n’est pas seule. Les muscles d’Emily se détendent un peu plus quand tu commences à passer ta main dans ses cheveux. Quand la tête d’Emily se fait de plus en plus lourde, tu t’autorises enfin à t’endormir, la tenant fort contre toi comme si elle pouvait disparaître la seconde suivante.
Pourtant, c’est bien ce qui se produit le lendemain matin. Emily est partie plus tôt à cause de sa séance de thérapie qu’elle a avant de partir pour une enquête. Tu soupires en remarquant son absence bien que tu sais que c’est pour le mieux. Tu es rassurée de savoir qu’Emily a parlé à un professionnel après tout ce qui s’est passé, tu aurais juste aimé qu’elle te dise au revoir avant.
Tu essayes de reprendre le dessus sur tes émotions le temps du travail. Tu dois t’occuper d’une classe de trente élèves de sept ans, tu dois être concentrée. Cependant, ça ne veut pas dire qu’à la moindre occasion tu ne regardes pas ton téléphone en espérant un message d’Emily.
Finalement, c’est en fin de journée, après que tu aies fini de dîner que ta petite amie t’appelle enfin et sans perdre une seconde, tu décroches le téléphone.
-Hey, Em’, comment tu vas ? L’enquête n’est pas trop compliquée ?
-Toujours un peu au début, mais on a déjà des pistes. Et toi, ta journée ?
-Oh, tu sais, j’ai dû expliquer quinze fois la même chose, un enfant a éternué sur mon pull et une autre m’a dit que j’étais belle, même si j’étais vieille. La routine, dis-tu sur un ton léger alors qu’Emily rigole.
-Encore une journée bien mouvementée.
-Comment ça s’est passé avec ta psy ?
-Elle a déclaré que tout va bien, que je suis apte à reprendre le travail, t’informe-t-elle après avoir pris une inspiration.
-Tant mieux. Enfin, si c’est la vérité, ajoutes-tu et tu peux voir Emily rouler des yeux mentalement. Je te connais, Em’, je vois bien déjà comment tu as dû mal à m’avouer quand tu as un cauchemar alors, j’imagine que ça doit être encore plus compliqué avec ta psy.
-Ça n’affecte pas mon travail, même Hotch me l’a dit.
-Je ne dis pas le contraire…, commences-tu, prudemment. Écoute, je sais que je ne pourrais jamais comprendre ce que tu as vécu, mais je sais qu’on ne s’en remet pas aussi vite. Tu as le droit de ne pas aller bien, d’avoir du mal à t’en remettre.
-Je suis en train de reprendre ma vie en main, rétorque-t-elle.
-Je le sais et je ne le nie pas, mais Emily, tu ne fais que de t’inquiéter pour Derek, Pénélope, Spencer et tout le reste depuis ton retour, mais tu ne t’inquiètes pas de la personne la plus importante. Toi. Et je suis là pour toi, pour te soutenir. Je ne dis pas que j’aurai toujours le bon mot, mais je ferai de mon mieux. Tu peux venir me parler quand tu ne vas pas bien.
-Je vais bien, répète Emily d’un ton neutre.
-Ta psy te croit peut-être quand tu le dis, mais je connais la vérité. Emily, arrête de repousser ceux qui t’aiment. Arrête de me repousser. Tu n’as pas à affronter ça toute seule, surtout quand tu n’arrives plus à ignorer ce qui s’est passé. Laisse-moi être là pour toi.
Emily reste silencieuse, seule sa respiration comble le blanc. Tu entends une autre voix indescriptible en fond puis Emily se racle la gorge.
-Je dois y aller. Je t’aime.
-Je t’aime aussi.
Emily raccroche et tu pousses un soupir, les larmes aux yeux. Tu ignores si ce que tu as dit a fait réagir Emily, tu espères que c’est le cas. Tu n’arrives plus à supporter cette situation. Tu sais qu’elle a besoin de plus de soutien, mais comment le faire quand elle ne le demande pas ? Tu n’aimes pas ce sentiment d’impuissance. Tu aimerais prendre toutes ses cicatrices pour qu’elle puisse enfin vivre librement.
Tout le reste de l’enquête, Emily reste assez distante. Elle t’envoie au moins un message par jour pour te dire qu’elle t’aime, habitude que vous avez depuis le début de votre relation. Étant donnée son métier dangereux, vous ne restez jamais une journée sans vous le dire, surtout depuis qu’il y a eu Doyle. Toutefois, quand tu réponds à son message et que tu essayes de créer une conversation, elle y coupe vite court.
Plus les jours passent et plus tu te fais un sang d’encre pour Emily. Quelque chose ne va pas, tu en es persuadée. Tu aimerais t’en assurer, mais tu as peur d’être trop oppressante. À force d’insister, tu risques de faire l’inverse de ce que tu veux en créant une atmosphère anxiogène pour Emily. Alors, tu essayes de rester à bonne distance, assez près d’elle pour la soutenir, mais assez éloignée pour ne pas qu’elle te repousse.
Afin de te distraire, tu mets toute ton énergie dans ton travail, retravaillant tes cours, corrigeant les exercices. Ça marche seulement un temps, ton esprit trouve vite un moyen pour te faire penser à Emily.
Un soir, après un peu plus d’une semaine après qu’Emily soit partie, tu es sur la table de la cuisine en train de travailler tout en mangeant quand tu entends la porte s’ouvrir et un sac se poser lourdement par terre. Sans attendre, tu poses ta fourchette et te diriges vers l’entrée avec hâte. Là, tu découvres une Emily avec un regard triste. Tu t’apprêtes à parler, mais elle te devance.
-Je ne vais pas bien, avoue-t-elle d’une voix tremblante.
Et en une fraction de seconde, elle fond en larmes. Tu accours dans ses bras et la serre contre toi en tentant de l’apaiser. En sentant que ses jambes ne supportent plus son poids, tu invites Emily à s'asseoir à même le sol tout en la gardant contre toi. Tu caresses tendrement ses cheveux en lui chuchotant des mots réconfortants. Les larmes d’Emily coulent de plus en plus sur ses joues alors qu’instinctivement, elle colle son oreille contre ta poitrine et écoute les battements de ton cœur. Dans tes bras, Emily s’autorise enfin à déverser toutes ses émotions et à confronter toute la douleur qu’elle a traversée. Vous savez toutes les deux qu’il faudra du temps à Emily pour guérir, mais tu comptes bien être là et la soutenir à chaque étape.
Masterlist
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Je donnerais la moitié de ma vie à celui qui fait rire un enfant en pleurs.
Et je donnerais l'autre moitié pour conserver la fraîcheur d’une fleur.
Je marcherais mille ans derrière une chanson.
Je traverserais mille vallées aux chemins épineux.
Je naviguerais sur chaque mer déchaînée,
Jusqu’à ce que je recueille le parfum du lilas.
Je suis l’humanité à la taille d'un homme.
Alors, puis-je me reposer
Tandis que le sang pur est versé!
Je chante pour la vie
Car à la vie j'ai dédié tous mes poèmes.
Et mes poèmes sont tout ce que je possède.
Tawfiq Zayyad (Palestine)
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Un beau matin d’une journée d’été,
Je me suis réveillée d’un sommeil paisible,
Sans rêve et sans cauchemars,
Et je t’avais oublié.
Les chansons d’amour ne me faisaient plus penser à toi,
Elles étaient redevenues douces à mes oreilles,
Et je pouvais chantonner leur air
Me remplissant d’espoir pour demain.
Je ne ressentais plus le besoin de partager avec toi
Et je pouvais enfin contempler seule
La beauté du ciel, le rire de cet enfant,
Et ce chat qui s’est arrêté pour me dire bonjour ce matin.
Je pouvais même te croiser dans la rue
Sans pour autant arrêter de respirer pendant des jours
Et te souhaiter de continuer ton chemin paisiblement
Même si tu allais là où je n’étais pas.
Un beau matin je me suis réveillée et je t’avais oublié.
Mes phalanges n’étaient plus blanches
A force de m’accrocher à l’espoir de ton retour
Et ce matin là je suis née de nouveau.
Enora Menguy
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🎁 CINÉ-CADEAU 🎄
Si vous passez au Québec pendant la période des Fêtes, si vous connaissez un Québécois (né ici) de 55 ans et moins, fort à parier qu'au fil d'une conversation vous entendiez parler de Ciné-cadeau.
Mais qu'est-ce que c'est?
Depuis 1982, Radio-Québéc (devenue télé-Québec en 1996), une chaîne de télévision québécoise publique à vocations éducative et culturelle, diffuse de la mi-décembre aux premiers jours de janvier une programmation spéciale jeunesse pour les Fêtes!
Films et séries, d'ici et d'ailleurs se succèdent. C'est grâce à Ciné-cadeau que ma génération a connu Astérix, Tintin, Lucky Luke, Garfield, Mafalda, Charlie Brown et j'en passe. Chaque année, la divulgation de la programmation engendre l'euphorie. On retrouve avec nostalgie nos premiers coup de coeur et on découvre avec joie les nouvelles trouvailles.
Le film le plus emblématique de Ciné-cadeau est sans AUCUN doute: La guerre des tuques. Premier film de la série "Les contes pour tous" de Roch Demers. Sortie en 1984, a été distribué dans plus de 125 pays. Il raconte l'histoire d'un groupe de jeunes cherchant à s'occuper pendant les vacances de Noël décide de se diviser en 2 groupes et de se faire la guerre de boules de neige. La chanson thème "L'Amour a pris son temps" est tout aussi classique que le film lui-même, chanté par Nathalie Simard.
Un remake d’animation a été produit en 2015. Il a reçu un bon accueil, mais rien ne surpasse la version originale. Céline Dion a même chanté sur la bande originale de cette version.
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Je ne peux que vous suggérer fortement de voir ce film tellement il est magnifique. Toutes les répliques sont cultes.
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Sur une note plus personnelle, un de mes plus beaux souvenirs de Ciné-cadeau est le film suédois sorti en 1982: Peter le chat sans queue. (J'imagine que ça vous surprend qu'à moitié ^^) C'est tellement un beau film. Si vous avez des enfants ou si vous avez toujours votre coeur d'enfant, regadez-le aussi.
Sur ce, bonne journée! Et si vous me cherchez à 15:30, je serai devant Astérix chez les Bretons! Parce que oui, malgré mon âge ancien, je regarde toujours Ciné-cadeau!
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Patachou - Chanson Censurée de 1959 Chanson
"La Chose, ou les Ratés de la Bagatelle"
Disque 45t de 1959, censuré par le visa : "Radiodiffusion interdite par le Comité d'écoute".
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Y a ceux qui font la chose en regar'dant l'plafond
Ou en comptant les mouches qui sont sur'l'guéridon Y a ceux qui font la chose en pensant à l'argent Et ceux qui n'pensent à rien parce que c'est fatiguant Y a ceux qui font la chose en s'demandant pourquoi Et ceux qui font la chose comm's'ils étaient en bois Ceux qui pendant la chose se mettent à bégayer Et qui s'étonnent après d'avoir des quintuplés
Y a ceux qui font la chose en chantant une chanson En battant la mesure en tapant du talon Y a ceux qui font la chose toujours un peu distants Parce que c'est l'seul moyen pour avoir des enfants Ceux qui pendant la chose poussent des cris violents Pour que les voisins croient qu'ils passent un bon moment
Y a ceux qui font la chose sans passion ni désir Parce que c'est le seul truc qui fasse vraiment maigrir Y a ceux qui font la chose pour battre des records Tous ces dont les appâts ne sont qu'un livre d'or Y a ceux qui font la chose avec des accessoires Qui ont besoin d'une trompette ou bien d'une balançoire
Ceux qui lorsque la chose est déjà terminée Se demandent si la chose va bientôt commencer Y a ceux qui font la chose pas pour la sensation Une seule fois dans l'année pour les allocations
Ils ont l’œil triste Le cou tendu Les ratés de la bagatelle Ils font la chose En par-dessus Les ratés du fruit défendu
Car tous ceux à qui la chose ne fait rien N'aiment pas ceux à qui la chose fait du bien
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100 Days of Productivity [Day: 80] || 100 Jours de Productivité [Jour: 80]
interesting conversations were had in the office today. since I work alongside a few other FSL people [French Second Language], the conversation came up about how best to learn. Duolingo came up & all of us agreed that while it's a good app to practice already learned skills, it provides very little in terms of actually learning the language. before I enrolled in actual French classes, I used a combination of other language programs, listened to podcasts that were in slow-French [as people tend to speak quickly when talking in a language they're familiar with] but one of the biggest things that helped me learn was actually watching children's shows/reading children's books. no matter the language, any content produced for learning-age children use the basics of that language in order to communicate.
combining oral practice [speaking] as well as listening to & reading in a language are all essential in fluency. I started learning French in grade school at a young age, & even now I still struggle sometimes, especially when using it to communicate professionally. my grammar still isn't perfect, but thankfully I'm in an environment where I get to cultivate those skills daily - plus I have this blog where I write in both languages as regularly as I can :]
currently listening // we fell in love in october by girl in red
Des conversations intéressantes ont eu lieu au bureau aujourd'hui. Come je travaille avec quelques autres personnes en FLS [français langue seconde], la conversation a porté sur la meilleure façon d'apprendre. Duolingo a été évoqué et nous avons tous convenu que, bien qu'il s'agisse d'une bonne application pour mettre en pratique les compétences déjà acquises, elle n'apporte pas grand-chose en termes d'apprentissage réel de la langue. avant de m'inscrire à des cours de français, j'ai utilisé une combinaison d'autres programmes linguistiques, j'ai écouté des podcasts en français lent [car les gens ont tendance à parler vite lorsqu'ils parlent dans une langue qui leur est familière], mais l'une des choses qui m'a le plus aidé à apprendre a été de regarder des émissions pour enfants ou de lire des livres pour enfants. quelle que soit la langue, tout contenu produit pour des enfants en âge d'apprendre utilise les bases de cette langue afin de communiquer.
la combinaison de la pratique orale [parler], de l'écoute et de la lecture dans une langue est essentielle à la fluidité. J'ai commencé à apprendre le français à l'école primaire à un jeune âge, et même maintenant j'ai encore parfois des difficultés, surtout quand je l'utilise pour communiquer professionnellement. ma grammaire n'est toujours pas parfaite, mais heureusement je suis dans un environnement où je peux cultiver ces compétences quotidiennement - en plus j'ai ce blog où j'écris dans les deux langues aussi régulièrement que je le peux :]
chanson // we fell in love in october par girl in red
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Je suis folle de toi, mon amour qui viens chercher dans mon passé ces jouets cassés de mes paroles. Je te donne tout si tu veux, je ne suis de toute façon qu'une enfant pleine de poésie et couverte de larmes salées , Je veux seulement m'endormir sur la berge du ciel étoilé et devenir une douce brise de chansons d'amour pour toi.
Alda Merini
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5 : en train de faire une activité récréative (spa, cuisine, jardinage, etc…)
Cours de cuisine avec Lamine ! Mercedes est ravi de pouvoir cuisiner avec son ancêtre, et Léonie a réussi à tirer Bernadetta jusqu'au réfectoire, même si cette dernier a peur de la difformité et des serpents de la Brave, surtout vu toutes les histoires qu'on raconte autour d'elle dans l'Empire avant qu'elle ne se fasse convertir qui la décrive comme un monstre empoisonnant tout ce qui l'entoure mais, au fur et à mesure de la leçon, elle arrive à sortir car ce qu'elle raconte l'intéresse et que Lamina est très patiente, même si elle est très stricte sur la sécurité.
Comme vous l'avez sans doute deviner, il s'agit de la Brave de Lamine et l'ancêtre de Mercedes directement arrivé du passé pour découvrir sa descendante, Lamina, Brave de la Guérison !
Pour ceux qui arrive en cours de route, petit point de contexte ! Dans ma fanon, il y a deux générations de Braves : la première génération entièrement composé de sorciers (l'ancêtre de la magie actuelle qui est bien plus puissante mais est aussi très dangereuse et déforme le corps de ceux qui lui survive à vie) venant de peuples différents tout juste arrivé à Fodlan après le Déluge de Sothis pour vaincre les agarthans. Ils sont de très bonnes personnes et qui ont plusieurs miracles à leurs actifs pour aider leur peuple (ex : Lucius Fraldarius Pertinax, Brave de l'eau dont le peuple débarque de Sreng, a rendu l'eau du lac éternellement pure et elle ne peut pas porter de maladie ; Kelon de la tribu Rieganos, venant à l'origine d'une cité des côtes de l'Almyra actuel, a fait en sorte que les vents dans la baie de Derdriu soit toujours favorables...). Ils ont reçu l'emblème de force après avoir été vaincu par Némésis qui les tuent à petits feux, et qui vont être tué par l'armée adrestienne qui pense qu'ils sont des alliés de Némésis par erreur et manipulation des agarthans. La deuxième génération est composée de leurs enfants, des humains normaux mais nés avec un emblème majeur, qui rejoigne Némésis pour se venger des adrestiens qui ont assassinés leurs parents, tout en ayant pour but ensuite de passer Némésis au fil de leurs Reliques étant donné que c'est lui qui a refilé l'emblème qui les empoisonnait lentement à leurs parents. ça permet d'expliquer pourquoi d'un côté, les Braves sont présentés comme ayant rejoints Sothis (1ère génération) avant de la trahir (2e génération), les parents et les enfants ont été fusionnés au fil du temps et de la tradition.
Si le surnom sous lequel elle est le plus connu actuellement est la Voix Guérisseuse, elle n'aime pas tant chanté que ça. Elle peut utiliser sa voix pour guérir les autres grâce à sa sorcellerie mais, elle s'en sert surtout pour attaquer, notamment pour manier son poison. Quand elle chante, le poison qu'elle secrète se disperse dans l'air et va infecter ses ennemis qui meurt souvent très vite à cause de ses toxines très puissantes. Elle ne voulait pas associer quelque chose qu'elle aimait à un outil de mort alors, elle a pris la chanson comme moyen d'atteindre ses cibles (un peu l'inverse de Pertinax : il adore chanter mais quand il se bat, il est très silencieux pour ne pas associer sa voix à la mort). En plus, ça permet de prévenir l'ennemi qu'elle est dans le coin et que s'il veut continuer à vivre, il doit s'enfuir très vite vu qu'il ne survivra pas à sa toxine.
Sa véritable passion, c'est plutôt la cuisine ! Elle adore cuisiner de bons petits plats et tester de nouvelles recettes alors, dans le futur avec autant de nouveaux ingrédients, elle ne va pas se gêner et régaler tout le monde ! En plus, on est vers la fin de sa vie alors, il n'y a plus trop de risque à ce qu'elle s'approche des autres.
En effet, étant donné que sa magie consiste à la base à pouvoir soigner et qu'elle est médecin, elle a aussi dû apprendre tout ce qui avait un lien avec les poisons, n'importe quel remède ayant une part de toxicité s'il est mal utilisé. Elle peut également "absorber" les maladies et les blessures en elle afin de soigner les autres, son immense capacité de régénération lui permettant de guérir extrêmement vite (même une décapitation ne la tuerait pas tellement son corps se régénère vite et s'est renforcé pendant 1000 ans, et il faut passer ses écailles avant). Cependant, à force de travailler là-dessus, une des fiertés qui est apparu en elle est la capacité à produire des toxines qui ne lui font rien à elle mais, qui sont mortels pour à peu près tout ce qui l'entoure. Son sang notamment est un poison mortel pour à peu près n'importe quoi, même d'autres sorciers du même âge qu'elle et même des nabatéens auraient du mal à l'encaisser. Pendant une grande partie de sa vie, elle dégageait ces toxines en permanence et ne pouvait approcher personne par sécurité, à part en utilisant constamment ses pouvoirs pour contenir le poison, ce qu'elle ne peut pas faire en permanence à cause de la concentration que ça demande. Au fil du temps, elle a pu mieux contrôler cette fierté et peut désormais retourner auprès des autres sans risque, sauf si vraiment elle se met dans une colère noire.
Elle profite donc de ça et du voyage dans le temps pour pouvoir s'approcher de sa descendante et de ses amis de Garreg Mach, même si elle est consciente d'être très effrayante mais, c'est une personne gentille et altruiste, même si elle ne plaisante clairement pas sur la sécurité, qui a vite su les mettre (entendez Bernadetta, je voie bien Léonie et Mercedes être très cool avec le fait de parler à une femme serpent, et c'est surtout dans l'empire qu'on efface tout l'aspect difforme qui est censé être la marque de leur barbarie qui disparait une fois convertis, là où dans la tradition faerghienne et leicester, les fiertés restent et sont même des éléments importants dans la représentation des Braves).
Petit point conception :
Brave de la guérison et du poison oblige, j'ai pas mal basé ses fiertés sur un serpent, que ce soit avec ses grosses écailles ventrale sur sa gorge, sa peau recouverte d'écailles plus petites, ou ses iris en amande comme celle d'une vipère (même si ça se voie peu). Elle a aussi deux crochets à venin dans sa bouche qui se rétracte comme ceux d'un serpent. J'avais aussi pensée lui faire avoir un corps de femme jusqu'à la taille puis une long corps de serpent histoire de pousser le délire des fiertés qui vont avec son âge, elle a quand même 1 000 ans... puis j'ai vu la forme lumineuse de la fille bourrée dans FEH et j'ai compris que ce n'était PAS une bonne idée. Elle garde donc ses jambes. Par contre, son nez s'est aplati avec le temps et ses oreilles ont pratiquement disparu, encore une fois comme un reptile.
Elle a aussi des serpents dans les cheveux un peu comme Méduse, même si c'était surtout pour rajouter des fiertés, et renforcer l'aspect effrayant. Ses serpents pouvant être très long, elle s'en sert pour récupérer des objets léger loin d'elle, lui servir d'yeux supplémentaire (même si c'est avec une vision de serpent), tâter l'air grâce à leur organe de Jacobson / voméronasal (organe qu'elle a aussi dans sa bouche avec une langue bifide), et effrayer l'ennemi, encore une fois parce qu'elle n'a pas envie de tuer des gens si elle peut les faire s'enfuir, elle a pas que ça à faire de ses journées et elle veut surtout soigner les gens. Ils n'ont pas d'autonomie propre mais, ils sont utiles, comme dans le dessin où ils restent proches de la nourriture pour vérifier tout le temps si elle ne l'a pas empoisonné par accident.
Pour ses quatre bras, c'est une fierté qui est très pratique : vu qu'elle ne pouvait pas se faire assister dans son travail quotidien à cause des toxines qu'elle dégageait (même quand elle donne une potion à quelqu'un, elle fait toujours attention à purifier tout ça par prudence et ne pas empoisonner les autres, et elle doit aussi y penser quand elle doit faire une chirurgie si ses pouvoirs ne suffisent pas). Elle a donc tenter de développer ses pouvoirs pour avoir des bras en plus et a réussi vu que ça ne se contredisait pas avec sa sorcellerie de base.
Enfin, ses habits sont basés sur cette reconstitution de vêtements féminins daces exposée lors de l'exposition temporaire "La frontière inconnue de Rome : Celtes, Daces, Sarmates et Vandales au nord du bassin des Carpates" en 2012-2013 au musée Musée celto-romain de Manching en Allemagne. Pour son pendentif, je me suis basé sur ce bracelet. Même si ce n'est pas très sérieux de se baser sur Wikipédia, cela m'a un peu dépannée pour le coup, surtout que la photo est plutôt bien sourcée pour une fois. Et pour son nom... comment dire... déjà que c'est la croix et la bannière de trouver un nom thraco-dace masculin vu que la Dacie s'est romanisé très vite (j'utilise cet article comme référence), autant à ce niveau-là que culturellement - vu ce que Trajan leur a mis, tu m'étonnes -, et que je me suis mis à cette évènement assez tard, j'ai pas encore fait beaucoup de recherche sur Lamine... je suis allée au plus simple, le nom de sa famille était son prénom car tout le monde se disait "fille de Lamine" et le nom s'est juste "fodlanisé" en remplaçant le A final par un E.
#fe3h oc drawcember#fe3h oc#jeu de questions#dessin de curieuse#écriture de curieuse#j'espère que ça vous plait surtout !#HIIIIII !!! J'avais trop hâte de vous la montrer ! Je tenais plus !#Elle est enfin là ! Elle est enfin là ! Elle est... elle est... elle est enfin là !#Les écailles ont été un enfer à faire ^^' Mais bon c'est ses fiertés alors- un porte mine- de la patience- du temps et roule !#Je me dis que ces trois-là serait curieuses de voir sa cuisine#Mercedes car elle partage cette passion avec son ancêtre#Léonie car elle est curieuse et que Lamine a des recettes où elle ne gaspille rien qui peuvent lui servir#(par contre j'ai simplifié sa chemise ça ne rendait pas super bien avec les motifs de l'académie...)#Et Bernadetta a très peur d'elle sur le coup mais vu qu'elle adore cuisiner elle arrive à surmonter sa peur et passe un bon moment#Le repas de Garreg Mach va être délicieux ce soir ! 😋#Mais on ne va pas parler de Jéritza... ou non... on en parlera pas vu que bon... voilà quoi... ça risque de mal tourné s'il tombe sur elle.
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#music#dominick (cochlain)#chansons pour enfants#chansons#children’s#children's songs#irish tradition#music for harp#songs
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Vieilles chansons et rondes pour les petits enfants. 1884
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Fréquente une fille qui lit. Fréquente une fille qui dépense son argent dans les livres au lieu des habits, dont les placards débordent parce qu’elle a trop de livres.
Aime une fille qui possède une liste de livres à lire et une carte de bibliothèque depuis l’âge de douze ans. Trouve-toi une fille qui lit. Tu la reconnaîtras parce qu’elle a toujours un livre à lire dans son sac. Elle regarde avec admiration les livres rangés sur les étagères des librairies, s’émeut discrètement quand elle a trouvé le livre qu’elle cherchait.
Tu vois cette fille bizarre qui respire les pages des vieux livres dans les librairies d’occasion ? C’est elle, la lectrice.
Elle ne peut pas s’empêcher de respirer les pages des livres, surtout quand celles-ci sont jaunies et usées.
C’est celle qui lit en passant le temps dans le café au coin de la rue.
Si tu regardes sa tasse, tu remarqueras que la crème a complètement fondu, parce qu’elle est déjà complètement absorbée par son livre. Perdue dans le monde imaginé par l’auteur.
Assieds-toi. Peut-être te lancera-t-elle un regard, car la plupart des filles qui lisent n’aiment pas être dérangées. Demande-lui si elle aime son livre.
Propose-lui une nouvelle tasse de café. Dis-lui ce que tu penses vraiment de Murakami.
Demande-lui si elle a dépassé le premier chapitre de Fellowship. Comprends bien que si elle te dit qu’elle a compris Ulysses de James Joyce, elle dit ça juste pour avoir l’air intelligente. Demande-lui si elle aime Alice ou voudrait être Alice.
C’est facile de fréquenter une fille qui lit.
Offre-lui des livres pour son anniversaire, Noël et toutes les autres fêtes.
Offre-lui des mots, en poème et en chansons.
Offre-lui Neruda, Pound, Sexton et Cummings. Montre-lui que tu as compris que les mots sont de l’amour. Sache qu’elle connait la différence entre les livres et la réalité, mais que malgré tout, elle essayera quand même de faire que sa vie ressemble un peu à son livre préféré. Ce ne sera jamais de ta faute si elle le fait. Il faut qu’elle essaie. Mens-lui. Si elle comprend la syntaxe, elle comprendra que tu as besoin de mentir. Derrière les mots se cachent d’autres choses : des raisons, des valeurs, des nuances et des dialogues. Ça ne sera pas la fin du monde. Déçois-la. Parce qu’une fille qui lit sait que les déceptions précèdent toujours des sommets d’émotions. Parce qu’une fille qui lit comprend que toutes les choses ont une fin, mais qu’on peut toujours écrire une suite. Qu’on peut recommencer encore et encore, et rester le héros. Que dans la vie, il y a toujours un ou deux méchants. Pourquoi avoir peur de tout ce que tu n’es pas ? Les filles qui lisent comprennent que les gens, comme les personnages, peuvent évoluer. Sauf dans Twilight. Si tu trouves une fille qui lit, ne la laisse pas t’échapper. Si tu la retrouves à 2 heures du matin, serrant un livre contre elle et pleurant, prépare-lui une tasse de thé et prends-la dans tes bras. Tu la perdras sûrement pour quelques heures, mais à la fin, elle reviendra toujours. Elle parlera comme si les personnages du livre existaient vraiment, parce qu’ils existent toujours, l’espace d’un instant. Tu la demanderas en mariage dans une montgolfière. Ou à un concert de rock. Ou l’air de rien, la prochaine fois qu’elle sera malade. Par Skype. Tu souriras tellement que tu te demanderas pourquoi ton cœur n’a pas encore éclaté dans ta poitrine. Tu écriras l’histoire de vos vies, vous aurez des enfants avec des noms étranges et des goûts encore plus étranges. Elle fera découvrir le Chat Potté et Aslan à vos enfants, peut-être même les deux dans la même journée. Vous passerez l’hiver de votre vie en vous promenant ensemble, et elle récitera doucement Keats pendant que tu feras tomber la neige de tes bottes. Fréquente une fille qui lit, parce que tu le mérites.
Tu mérites une fille qui peut, par son imagination, parer ta vie de mille couleurs.
Si tu n’es capable de lui offrir que de la monotonie, des idées ternes et des demi-mesures, mieux vaut rester seul.
Si tu veux le monde entier, et tout ce qui se cache derrière, fréquente une fille qui lit.
Encore mieux, fréquente une fille qui écrit.
Rosemarie Urquico
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Printemps 1920 - Champs-les-Sims
2/5
Pour changer de sujet (je pense que vous avez saisi que mon mari peut être compliqué sur de nombreux points), je n'ai pu m'empêcher de rire de la mésaventure de votre fils. Il devait se sentir penaud quand vous l'avez réprimandé, il n'est guère charitable de calomnier les souffreteux, ils ont bien d'autres choses dont se soucier sans qu'un jeune adolescent n'amène les torches et les fourches. Que voulez-vous ? C'est une jeune génération passionnée. Ces dames dont vous me parlez ont cependant l'air adorable. Si elles ont demandé à emprunter la photographie, cela ne m'étonnerait pas qu'elles aient perdu un fils à la guerre. J'imagine que cela suffit pour s'en rendre sévèrement malade.
J'ai fortement pensé à vous ces derniers temps. Selon Madame Eugénie, il fut un temps où Monsieur Auguste parlait à notre famille des anglais qui s'installent à Hylewood, et que les questions évoquant francophones et anglophones sont parfois tendus au Canada. Chez moi aussi, ces maudits anglais ont déclenché un incident diplomatique !
Il y a peu de temps, un jeune gallois (à ce qu'il semble, je ne peux me vanter de savoir différencier un gallois d'un anglais ou d'un écossais), s'est présenté chez une jeune veuve, Anne Barthélémy (ses relations font que nous la connaissons pas le biais de Jeanne, la soeur de Jules). La pauvre jeune femme a perdu son mari en 1916, et il se trouve que le nouveau venu, Monsieur Norton, dis n'avoir eu sa vie sauve que grâce à son mari. Il a mis un moment à la retrouver, et s'est mis à la disposition de la jeune femme, affirmant qu'il devait bien cela à l'homme qui avait donné sa vie pour sauver la sienne. Il est arrivé avec de nombreux cadeaux venus du Royaume-Uni et d'Amérique, et parmi tous ces cadeaux, il y avait des enregistrements magnétiques de chansons américaines pour télégraphones. Ces enregistrements ont fait le tour du village. Je ne sais pas Madame Barthélémy va laisser Monsieur Norton la courtiser encore longtemps, mais en tous cas, la musique l'a séduite. L'enregistrement est donc arrivé chez nous et a beaucoup plu aux filles. Un certain Monsieur Gershwin, à ce qu'il parait, qui commence à devenir très populaire aux Etats-Unis. Peut-être est-il déjà connu au Canada ?
Il a en revanche moins plu à Madame Eugénie qui se plaint d'une invasion de tuniques rouges dans son salon. Cela pourrait prêter à sourire si elle n'avait pas, par ce biais, ramené ses vieilles obsessions et perturbé encore une fois mes enfants.
Transcription :
Eugénie « Que faites-vous jeunes filles ? »
Sélène « Tante Juliette nous a appris la valse la dernière fois qu’elle est venue. »
Arsinoé « Nous nous sommes dit que ce serait intéressant de pratiquer un peu pour ne pas perdre le peu que nous avons assimilé. »
Eugénie « Ce n’est pas précisément une musique adaptée à la valse. Qu’est-ce d’ailleurs ? »
Sélène « De la musique américaine. Je ne me souviens plus du nom de l’artiste. Ils l’ont joué chez les Hurelle la semaine dernière, c’est un cadeau d’un anglais je crois. »
Eugénie « Mmh… Et de quoi ça parle ? »
Arsinoé « Pas la moindre idée. »
Eugénie « Jeunes filles, si vous souhaitez pratiquer la valse, il faut une musique adaptée. Changez immédiatement. »
Eugénie « Voilà qui est mieux. D’ailleurs, comment cette satanée musique s’est retrouvée en ta possession jeune fille ? »
Sélène « Et bien l’anglais l’a joué à Anne pour essayer de l’égayer un peu. »
Eugénie « Oh oui, pauvre enfant. »
Arsinoé « Puis La petite Léone l’a entendue. Elle en a parlé à Simon à l’école, qui a eu envie de l’écouter. Il l’a fait écouter à la mère et à sa grand-mère aussi. »
Eugénie « Jeanne a apprécié ? »
Sélène « Je ne sais pas. »
Eugénie « Ah… Sélène, tiens donc tes grandes jambes plus droites et suis le rythme ! »
Sélène « Mais c’est si lent ! »
Eugénie « C’est normal, il faut commencer lentement. Redresse toi donc un peu ! Seigneur, on dirait ton père quand il a commencé à marcher ! »
Arsinoé « Aïe ! »
Sélène « Oh mince, je suis désolée ! Tu as mal ? »
Eugénie « Que tu es maladroite ! »
Arsinoé « Non, ça va. C’est n’est pas si grave. »
Eugénie « Tu es encore bien trop maladroite pour danser avec ta sœur, Sélène. Je demanderai à tes cousins de te donner des leçons. En attendant, demande donc à Cléopâtre de venir, elle sera plus à même de danser. C’est une enfant qui, à défaut d’être convenable, a un indéniable sens de l’élégance. »
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Mercredi
Dans onze jours, ce mois de juillet si bizarrement commencé va changer de visage, car si tout va bien, mes Eurasiens d’amour se jetteront alors dans mes bras. En attendant, je rêvasse au soleil, bois du thé glacé, me régale de chansons retrouvées de Bob Dylan, comme Life is hard (album « Together through life ») ou Spirit on the water (album «Modern Times », thème de la tournée qui m’avait permis de le voir en 2008 au Zénith de Toulouse). Et puis je lis avec bonheur « Que reviennent ceux qui sont loin », de Pierre Adrian, qui a pour cadre la Bretagne et la grande maison familiale où se croisent en été toutes les générations. Il écrit, et j’applaudis : Août était le mois qui ressemblait le plus à la vie. Aussi, plus loin : Et je songeais qu’il n’y a qu’au mois d’août qu’on est vraiment un enfant. (sous-entendu, libre, en plein air et en mouvement). Et encore : Je ne supportais pas l’idée d’un lieu où je ne reviendrais plus jamais. (...) Et je croyais que toute la vie, il serait possible de courir partout et de revenir. Comment ne pas penser à notre maison familiale, que j’ai contribué à faire vendre alors que je l'avais toujours considérée comme mon ultime refuge. Auparavant, j’ai lu deux bons romans offerts par mon amie J. : « A pied d’œuvre », de Franck Courtès, et « La Société très secrète des marcheurs solitaires », de Rémy Oudghiri, où j'ai pioché de belles citations : La musique est le désir des choses qu’on ignore, signée Gabriel Fauré, ou : Quand on écoute sans regarder, on voit, de Fernando Pessoa. Les nuages filent, héron cendré et grand cormoran s’affrontent sur les eaux paresseuses de la Garonne, les fruits s’énervent d’été, j'attends le retour de la lune et contemple, rassuré, la pile de livres qui m’attendent : « Dans son sillage », roman de Jessica Andrews recommandé par ma fille, dont je suis aveuglément, ou presque, les prescriptions littéraires et musicales ; « Chelsea Girls », récit autobiographique de la poétesse Eileen Myles ; « Les Jaloux », de l’excellent James Lee Burke (86 ans), dont je lis tout ce qui paraît depuis une quinzaine d’années, comme je le faisais avec d'autres vieux compagnons, Charles Bukowski ou Jim Harrison. Je sais, je parle trop, mais pas souvent.
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