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#Les Ratés de la Bagatelle
mamusiq · 4 days
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Patachou - Chanson Censurée de 1959 Chanson
"La Chose, ou les Ratés de la Bagatelle"
Disque 45t de 1959, censuré par le visa : "Radiodiffusion interdite par le Comité d'écoute".
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Y a ceux qui font la chose en regar'dant l'plafond
Ou en comptant les mouches qui sont sur'l'guéridon Y a ceux qui font la chose en pensant à l'argent Et ceux qui n'pensent à rien parce que c'est fatiguant Y a ceux qui font la chose en s'demandant pourquoi Et ceux qui font la chose comm's'ils étaient en bois Ceux qui pendant la chose se mettent à bégayer Et qui s'étonnent après d'avoir des quintuplés
Y a ceux qui font la chose en chantant une chanson En battant la mesure en tapant du talon Y a ceux qui font la chose toujours un peu distants Parce que c'est l'seul moyen pour avoir des enfants Ceux qui pendant la chose poussent des cris violents Pour que les voisins croient qu'ils passent un bon moment
Y a ceux qui font la chose sans passion ni désir Parce que c'est le seul truc qui fasse vraiment maigrir Y a ceux qui font la chose pour battre des records Tous ces dont les appâts ne sont qu'un livre d'or Y a ceux qui font la chose avec des accessoires Qui ont besoin d'une trompette ou bien d'une balançoire
Ceux qui lorsque la chose est déjà terminée Se demandent si la chose va bientôt commencer Y a ceux qui font la chose pas pour la sensation Une seule fois dans l'année pour les allocations
Ils ont l’œil triste Le cou tendu Les ratés de la bagatelle Ils font la chose En par-dessus Les ratés du fruit défendu
Car tous ceux à qui la chose ne fait rien N'aiment pas ceux à qui la chose fait du bien
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belenose · 6 years
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Patachou - Chanson censurée de 1959
rene vil y a 10 moisRaconte moi une chanson Patachou, née Henriette Ragon en 1918 ,débute comme dactylo aux éditions musicales Raoul Breton qui éditent entre autres les chansons de Charles Trenet. Après la guerre elle ouvre avec son mari, à Montmartre, un restaurant qu'elle baptise «le Patachou « . De temps en temps elle y chante et c'est Maurice Chevalier qui va l'encourager à développer cette particularité du restaurant qui sera très vite transformé en cabaret . Désormais pour tous les clients elle devient Lady Patachou . Son influence sur la chanson française des années 50 a été très importante grâce à ses découvertes de nouveux talents , presque tous sont passés chez « Patachou «: Brasssens, Brel , Hugues Aufray, Maurice Fanon, Aznavour , etc... La chanson «La Chose « aussi apppelée « Les ratés de la bagatelle « sort en 1959 et est ausitôt interdite de diffusion en radio par le Comité de Censure ce qui à mes yeux constitue un honneur car on pourrait paraphraser Brassens qui ,sur un autre thème dans «les trompettes de la renommée « chantait : «ça confère à leur âme une once de plus value». Pour confirmer cette thèse il suffit de savoir que cette chanteuse, interdite de radio à une époque, a été nommée: a) officier de l' Ordre National du Mérite en 1989 , b) Commandeur des l'Ordre des Arts et des Lettres en 2003 , c) officier de la Légion d'Honneur en 2008 Mais ne soyons pas rancunier tout le monde peut se tromper .
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ailleurs-l4s · 4 years
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Confinement JOUR 4 (JOUR 12) - Lou
Changement de rythme Je suis en train de filer un mauvais coton : j’écris ces textes la nuit venue et me retrouve à me coucher tard, ou tôt, c’est selon. Et ce n’est pas bon pour mon équilibre physique, a fortiori mental puisque tout est lié (j’y reviendrai). Cela me rappelle les années où j’alimentais quotidiennement mon site de duos photo-texte (si vous avez du temps, allez-y, il y a plusieurs milliers d’histoires, de questionnements, de réflexions, de bagatelles disponibles…). Il faut croire que la nuit est agréable pour écrire… Passons cette information organisationnelle. Je prends mes marques, comme tout le monde. Car ce ne sera pas une épreuve de sprint mais bien d’endurance. Que l’on soit ici ou ailleurs. Il n’y avait plus de farine au New World. C’est un peu mon hémistiche moliéresque à moi. Donc pas de gâteau maison. Nous nous réjouissions à l’idée qu’une odeur de tarte aux pommes ou de gâteau au chocolat parfume l’appartement. Bref. En attendant, j’ai pris un paquet de sucre. Nous verrons en fin de semaine si la poudre blanche a fait son retour en rayons, mettant ainsi, en extase et sans danger aucun, des centaines de personnes. Dizaines plutôt, compte tenu du flux limité des clients autorisés à être simultanément dans le garde-manger collectif. Un par foyer, un entrant par sortant. J’en ai quand même vu faire la queue trois quart d’heure pour ne sortir qu’avec deux bouteilles de soda et une de limonade… Chacun sa façon d’occuper son temps ! Aujourd’hui (notion en devenir – ici, à cheval entre le 29 et le 30 mars), dans un monde alternatif à jamais disparu, nous aurions dû prendre l’avion pour Buenos Aires où nous devions passer 5 jours avant de rentrer à Paris et reprendre notre vie tranquillement, le cœur et l’âme remplis des merveilles de la nature côtoyées pendant 3 mois et une foule d’histoires qui se terminent bien à raconter. Nous avions déjà réservé un appartement dans un quartier central mais calme, et reçu les recommandations de plusieurs personnes quant aux précautions à observer dans cette ville, certes belle, mais un peu dure depuis la crise économique argentine. Le vol Buenos-Aires / Paris est le premier à avoir été annulé. Si je me remémore ce jour, pas si lointain, où la suite du programme a basculé, alors qu’il s’est passé mille choses depuis, je crois que cette annulation nous a soulagées, n’ayant pas particulièrement envie d’être bloquées à l’aéroport de Buenos Aires en cette période confuse de décisions précipitées et de chaos prévisible… Aujourd’hui encore, nous aurions dû prendre l’alternative trouvée par Air New Zealand à l’époque, un vol retour pour Paris via Singapour. Celui-ci a aussi été annulé quelques jours après et les vols non pris transformés automatiquement en crédit à utiliser dans les 12 mois. Même régime pour notre billet de train entre Wellington et Auckland, ville de départ supposée. Nous avons donc du temps devant nous… même si le gouvernement néo-zélandais a annoncé que les vols commerciaux ne reprendraient pas avant début juillet. Potentiellement trois mois de plus ici donc. Voilà comment la vie prend des chemins inattendus. Nous sommes parties avec peu de livres, poids limité oblige. Mais il en est un – 716 pages tout de même ; cadeau fraternel, merci, merci ! – qui nous fait des clins d’œil tous les jours avec une certaine ironie mais aussi indéniable complicité : « Le voyage était presque parfait – Essai sur les voyages ratés » de l’anthropologue Jean-Didier Urbain. Page 42, dernière phrase de l’introduction de la 1re partie : « Bref, ce voyageur néo-moderne, qui préfère la bonne prévision à la bonne surprise, veut vivre et circuler dans un univers sensé : un monde de certitude, qui doit avoir un sens clair, précis, annoncé, par principe assuré ! C’est un mythe, bien sûr, mais il a le vent en poupe, la puissance de la norme, la banalité de l’habitude, la prégnance de l’évidence »… Ouf, nous ne sommes pas des néo-voyageuses !
© Lou Camino | Hans Lucas
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blogapart3bis · 5 years
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Du rock progressif, une pochette steampunk, un album qui se veut un hommage à l’œuvre du maître de l’animation japonaise Hayao Miyazaki, Toki no Kaze du groupe The Samurai of Prog a, sur le papier, tout pour me plaire. En vrai, c’est un peu plus compliqué.
The Samurai of Prog, c’est le projet de Marco Bernard, un musicien italien, installé en Finlande et fondu de rock progressif au point de participer à des fanzines, à des groupes de reprises et plein d’autres projets du même genre, jusqu’à fonder celui-ci.
Pour ce faire, il a invité le guitariste américain Steve Unruh et le batteur finlandais Kimmo Pörsti – et plein d’autres, mais c’est ce trio qui est au cœur du projet. On est clairement dans un rétro-prog, un style qui rappelle le prog des seventies, mais revisité.
Avec une telle profession de foi, le fait que Toki no Kaze compte la bagatelle de douze compositions pour une durée totale d’une heure quinze n’est pas vraiment une surprise. Si aucun morceau ne dépasse les dix minutes, il y en a quand même sept qui atteignent ou dépassent les six minutes.
Rétro-prog, donc. Genre qui me rend quelque peu méfiant, ne serait-ce que pour son côté oxymorique. Dans le cas présent, The Samurai of Prog sait se montrer plutôt convaincant dans un style qui rappelle par moments Genesis, ELP, ou Jethro Tull.
Il y a, dans Toki no Kaze, des plages instrumentales de toute beauté, des envolées qui parviennent à conjurer l’esprit des plus belles années du rock progressif symphonique de l’Âge d’Or.
Je citerais le trio d’ouverture « A Tear in the Sunset » / « Fair Play » / « Zéro », ainsi que « Au Contraire » (qui rappelle également les musiques de Joe Hisaishi). On a même des pistes qui flirtent avec la musique de UK, comme « Bicycle Ride » (ou les morceaux chantés « The Spirits Around Us » et « Think Green »).
Je suis beaucoup moins enthousiaste sur les parties chantées. Je les trouve nettement moins réussies. Elles sont heureusement moins nombreuses que les parties instrumentales et elles apportent une respiration bienvenue dans l’ensemble. Ce n’est pas qu’elles soient ratées, mais je les trouve plus plan-pan, moins prog. Limite pop japonaise…
Au final, Toki no Kaze est un peu inégal à mon oreille, avec des parties instrumentales brillantes et des parties chantées moins inspirées. C’est tout de même un album bien sympathique, qui évite pas mal des écueils du rétro-prog. Je soupçonne que si on cherche de la nouveauté, on risque la déception, mais les amateurs de prog seventies pas trop snobs devraient y trouver leur compte.
Bonus: une vidéo officielle avec des extraits de Toki no Kaze:
https://www.youtube.com/watch?v=0a9z-iHKtbU
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wildoute · 8 years
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" Trace l'inégal palindrome. Neige. Bagatelle, dira Hercule. Le brut repentir, cet écrit né Perec. L'arc lu pèse trop, lis à vice versa. Perte. Cerise d'une vérité banale, le Malstrom,Alep, mort édulcoré, crêpe porté de ce désir brisé d'un iota. Livre si aboli, tes sacres ont éreinté, cor cruel, nos albatros. Être las, autel bâti, miette vice versa du jeu que fit, nacré, médical, le sélénite relaps, ellipsoïdal. Ivre il bat, la turbine bat, l'isolé me ravale : le verre si obéi du Pernod -- eh, port su ! -- obsédante sonate teintée d'ivresse. Ce rêve se mit -- peste ! -- à blaguer. Beh ! L'art sec n'a si peu qu'algèbre s'élabore de l'or évalué. Idiome étiré, hésite, bâtard replié, l'os nu. Si, à la gêne secrète -- verbe nul à l'instar de cinq occis --, rets amincis, drailles inégales, il, avatar espacé, caresse ce noir Belzebuth, oeil offensé, tire ! L'écho fit (à désert) : Salut, sang, robe et été. Fièvres. Adam, rauque ; il écrit : Abrupt ogre, eh, cercueil, l'avenir tu, effilé, génial à la rue (murmure sud eu ne tire vaseline séparée ; l'épeire gelée rode : Hep, mortel ?) lia ta balafre native. Litige. Regagner (et ne m'...). Ressac. Il frémit, se sape, na ! Eh, cavale ! Timide, il nia ce sursaut. Hasard repu, tel, le magicien à morte me lit. Un ignare le rapsode, lacs ému, mixa, mêla : Hep, Oceano Nox, ô, béchamel azur ! Éjaculer ! Topaze ! Le cèdre, malabar faible, Arsinoë le macule, mante ivre, glauque, pis, l'air atone (sic). Art sournois : si, médicinale, l'autre glace (Melba ?) l'un ? N'alertai ni pollen (retêter : gercé, repu, denté...) ni tobacco. Tu, désir, brio rimé, eh, prolixe nécrophore, tu ferres l'avenir velu, ocre, cromant-né ? Rage, l'ara. Veuglaire. Sedan, tes elzévirs t'obsèdent. Romain ? Exact. Et Nemrod selle ses Samson ! Et nier téocalli ? Cave canem (car ce nu trop minois -- rembuscade d'éruptives à babil -- admonesta, fil accru, Têtebleu ! qu'Ariane évitât net. Attention, ébénier factice, ressorti du réel. Ci-gît. Alpaga, gnôme, le héros se lamente, trompé, chocolat : ce laid totem, ord, nil aplati, rituel biscornu ; ce sacré bedeau (quel bât ce Jésus !). Palace piégé, Torpédo drue si à fellah tôt ne peut ni le Big à ruer bezef. L'eugéniste en rut consuma d'art son épi d'éolienne ici rot (eh... rut ?). Toi, d'idem gin, élèvera, élu, bifocal, l'ithos et notre pathos à la hauteur de sec salamalec ? Élucider. Ion éclaté : Elle ? Tenu. Etna but (item mal famé), degré vide, julep : macédoine d'axiomes, sac semé d'École, véniel, ah, le verbe enivré (ne sucer ni arrêter, eh ça jamais !) lu n'abolira le hasard ? Nu, ottoman à écho, l'art su, oh, tara zéro, belle Deborah, ô, sacre ! Pute, vertubleu, qualité si vertu à la part tarifé (décalitres ?) et nul n'a lu trop s'il séria de ce basilic Iseut. Il à prié bonzes, Samaritain, Tora, vilains monstres (idolâtre DNA en sus) rêvés, évaporés : Arbalète (bètes) en noce du Tell ivre-mort, émeri tu : O, trapu à elfe, il lie l'os, il lia jérémiade lucide. Pétard ! Rate ta reinette, bigleur cruel, non à ce lot ! Si, farcis-toi dito le coeur ! Lied à monstre velu, ange ni bête, sec à pseudo délire : Tsarine (sellée, là), Cid, Arétin, abruti de Ninive, Déjanire... Le Phenix, ève de sables, écarté, ne peut égarer racines radiales en mana : l'Oubli, fétiche en argile. Foudre. Prix : Ile de la Gorgone en roc, et, ô, Licorne écartelée, Sirène, rumb à bannir à ma (Red n'osa) niére de mimosa : Paysage d'Ourcq ocre sous ive d'écale ; Volcan. Roc : tarot célé du Père. Livres. Silène bavard, replié sur sa nullité (nu à je) belge : ipséité banale. L' (eh, ça !) hydromel à ri, psaltérion. Errée Lorelei... Fi ! Marmelade déviré d'Aladine. D'or, Noël : crèche(l'an ici taverne gelée dès bol...) à santon givré, fi !, culé de l'âne vairon. Lapalisse élu, gnoses sans orgueil (écru, sale, sec). Saluts : angiome. T'es si crâneur ! ** * Rue. Narcisse ! Témoignas-tu ! l'ascèse, là, sur ce lieu gros, nasses ongulées... S'il a pal, noria vénale de Lucifer, vignot nasal(obsédée, le genre vaticinal), eh, Cercle, on rode, nid à la dérive, Dèdale (M... !) ramifié ? Le rôle erre, noir, et la spirale mord, y hache l'élan abêti : Espiègle (béjaune) Till : un as rusé. Il perdra. Va bene. Lis,  servile  repu  d'électorat,  cornac,  Lovelace.  De  visu, oser ? Coq cru, ô, Degas, y'a pas, ô mime, de rein à sonder : à marin nabab, murène risée. Le trace en roc, ilote cornéen. O, grog, ale d'elixir perdu, ô, feligrane ! Eh, cité, fil bu ! ô ! l'anamnèse, lai d'arsenic, arrérage tué, pénétra ce sel- base de Vexin. Eh, pèlerin à (Je : devin inédit) urbanité radicale (elle s'en ira...), stérile, dodu. Espaces (été biné ? gnaule ?) verts. Nomade, il rue, ocelot. Idiot-sic rafistolé : canon ! Leur cruel gibet te niera, têtard raté, pédicule d'aimé rejailli. Soleil lie, fléau, partout ire (Métro, Mer, Ville...) tu déconnes. Été : bètel à brasero. Pavese versus Neandertal ! O, diserts noms ni à Livarot ni à Tir ! Amassez. N'obéir. Pali, tu es ici : lis abécédaires, lis portulan : l'un te sert- il ? à ce défi rattrapa l'autre ? Vise-t-il auquel but rêvé tu perças ? Oh, arobe d'ellébore, Zarathoustra ! L'ohcéan à mot (Toundra ? Sahel ?) à ri : Lob à nul si à ma jachère, terrain récusé, nervi, née brève l'haleine véloce de mes casse-moix à (Déni, ô !) décampé. Lu, je diverge de ma flamme titubante : une telle(étal, ce noir édicule cela mal) ascèse drue tua, ha, l'As. Oh, taper ! Tontes ! Oh, tillac, ô, fibule à reve l'Énigme (d'idiot tu) rhétoricienne. Il, Oedipe, Nostradamus nocturne et, si né Guelfe, zébreur à Gibelin tué (pentothal ?), le faiseur d'ode protège. Ipéca... : lapsus. Eject à bleu qu'aède berça sec. Un roc si bleu ! Tir. ital. : palindrome tôt dialectal. Oc ? Oh, cep mort et né, mal essoré, hélé. Mon gag aplati gicle. Érudit rossérecit, ça freine, benoit, net. Ta tentative en air auquel bète, turc, califat se(nom d'Ali- Baba !) sévit, pure de -- d'ac ? -- submersion importune, crac, menace, vacilla, co-étreinte... Nos masses, elles dorment ? Etc... Axé ni à mort-né des bots. Rivez ! Les Etna de Serial-Guevara l'égarent. N'amorcer coulevrine. Valser. Refuter. Oh, porc en exil (Orphée), miroir brisé du toc cabotin et né du Perec : Regret éternel. L'opiniâtre. L'annulable. Mec, Alger tua l'élan ici démission. Ru ostracisé,notarial, si peu qu'Alger, Viet-Nam (élu caméléon !), Israël, Biafra, bal à merde : celez, apôtre Luc à Jéruzalem, ah ce boxon ! On à écopé,ha, le maximum Escale d'os, pare le rang inutile. Métromane ici gamelle, tu perdras. Ah, tu as rusé ! Cain ! Lied imité la vache (à ne pas estimer) (flic assermenté, rengagé) régit. Il évita, nerf à la bataille trompé. Hé, dorée, l'Égérie pelée rape, sénile, sa vérité nue du sérum : rumeur à la laine, gel, if, feutrine, val, lieu-créche, ergot, pur, Bâtir ce lieu qu'Armada serve : if étété, éborgnas- tu l'astre sédatif ? Oh, célérités ! Nef ! Folie ! Oh, tubez ! Le brio ne cessera, ce cap sera ta valise ; l'âge : ni sel-liard (sic) ni master- (sic)-coq, ni cédrats, ni la lune brève. Tercé, sénégalais, un soleil perdra ta bétise héritée (Moi-Dieu, la vérole !) Déroba le serbe glauque, pis, ancestral, hébreu(Galba et Septime-Sévère). Cesser, vidé et nié. Tetanos. Etna dès boustrophédon répudié. Boiser. Révèle l'avare mélo, s'il t'a béni, brutal tablier vil. Adios. Pilles, pale rétine, le sel, l'acide mercanti. Feu que Judas rêve, civette imitable, tu as alerté, sort à blason, leur croc. Et nier et n'oser. Casse-t- il, ô, baiser vil ? à toi, nu désir brisé, décédé, trope percé, roc lu. Détrompe la. Morts : l'Ame, l'Élan abêti, revenu. Désire ce trépas rêvé : Ci va ! S'il porte, sépulcral, ce repentir, cet écrit ne perturbe le lucre : Haridelle, ta gabegie ne mord ni la plage ni l'écart. " Georges Perec, Au Moulin d'Andé, 1969
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buz-muet · 5 years
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Patachou - Chanson censurée de 1959
Chanson "La chose, ou les ratés de la Bagatelle" de Patachou. Disque 45t de 1959, censuré par le visa : ""Radiodiffusion interdite par le Comité d'écoute".
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the-entangler · 7 years
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Le Grand Palindrome, Georges Perec
9691 ,EDNA' D NILUOM UA CEREP SEGROEG
Trace l'inégal palindrome. Neige. Bagatelle, dira Hercule. Le brut repentir, cet écrit né Perec. L'arc lu pèse trop, lis à vice-versa. Perte. Cerise d'une vérité banale, le Malstrom, Alep, mort édulcoré, crêpe porté de ce désir brisé d'un iota. Livre si aboli, tes sacres ont éreinté, cor cruel, nos albatros. Être las, autel bâti, miette vice-versa du jeu que fit, nacré, médical, le sélénite relaps, ellipsoïdal. Ivre il bat, la turbine bat, l'isolé me ravale : le verre si obéi du Pernod -- eh, port su ! -- obsédante sonate teintée d'ivresse. Ce rêve se mit -- peste ! -- à blaguer. Beh ! L'art sec n'a si peu qu'algèbre s'élabore de l'or évalué. Idiome étiré, hésite, bâtard replié, l'os nu. Si, à la gêne secrète verbe nul à l'instar de cinq occis--, rets amincis, drailles inégales, il, avatar espacé, caresse ce noir Belzebuth, ô il offensé, tire ! L'écho fit (à désert) : Salut, sang, robe et été. Fièvres. Adam, rauque; il écrit : Abrupt ogre, eh, cercueil, l'avenir tu, effilé, génial à la rue (murmure sud eu ne tire vaseline séparée; l'épeire gelée rode : Hep, mortel ?) lia ta balafre native. Litige. Regagner (et ne m'…). Ressac. Il frémit, se sape, na ! Eh, cavale! Timide, il nia ce sursaut.
Hasard repu, tel, le magicien à morte me lit. Un ignare le rapsode, lacs ému, mixa, mêla : Hep, Oceano Nox, ô, béchamel azur ! Éjaculer ! Topaze ! Le cèdre, malabar faible, Arsinoë le macule, mante ivre, glauque, pis, l'air atone (sic). Art sournois : si, médicinale, l'autre glace (Melba ?) l'un ? N'alertai ni pollen (retêter : gercé, repu, denté…) ni tobacco. Tu, désir, brio rimé, eh, prolixe nécrophore, tu ferres l'avenir velu, ocre, cromant-né ? Rage, l'ara. Veuglaire. Sedan, tes elzévirs t'obsèdent. Romain ? Exact. Et Nemrod selle ses Samson ! Et nier téocalli ? Cave canem (car ce nu trop minois -- rembuscade d'éruptives à babil -- admonesta, fil accru, Têtebleu ! qu'Ariane évitât net. Attention, ébénier factice, ressorti du réel. Ci-gît. Alpaga, gnôme, le héros se lamente, trompé, chocolat : ce laid totem, ord, nil aplati, rituel biscornu; ce sacré bédeau (quel bât ce Jésus!). Palace piégé, Torpédo drue si à fellah tôt ne peut ni le Big à ruer bezef. L'eugéniste en rut consuma d'art son épi d'éolienne ici rot (eh… rut ?). Toi, d'idem gin, élèvera, élu, bifocal, l'ithos et notre pathos à la hauteur de sec salamalec ? Élucider. Ion éclaté : Elle ? Tenu. Etna but (item mal famé), degré vide, julep : macédoine d'axiomes, sac semé d'École, véniel, ah, le verbe enivré (ne sucer ni arrêter, eh ça jamais !) lu n'abolira le hasard ? Nu, ottoman à écho, l'art su, oh, tara zéro, belle Deborah, ô, sacre ! Pute, vertubleu, qualité si vertu à la part tarifé (décalitres ?) et nul n'a lu trop s'il séria de ce basilic Iseut.
Il a prié bonzes, Samaritain, Tora, vilains monstres (idolâtre DNA en sus) rêvés, évaporés : Arbalète (bètes) en noce du Tell ivre-mort, émeri tu : O, trapu à elfe, il lie l'os, il lia jérémiade lucide. Petard! Rate ta reinette, bigleur cruel, non à ce lot ! Si, farcis-toi dito le coeur ! Lied à monstre velu, ange ni bête, sec à pseudo délire : Tsarine (sellée, là), Cid, Arétin, abruti de Ninive, Déjanire.. Le Phenix, eve de sables, écarté, ne peut égarer racines radiales en mana : l'Oubli, fétiche en argile. Foudre. Prix : Ile de la Gorgone en roc, et, ô, Licorne écartelée, Sirène, rumb à bannir à ma (Red n'osa) niére de mimosa : Paysage d'Ourcq ocre sous ive d'écale; Volcan. Roc : tarot célé du Père. Livres. Silène bavard, replié sur sa nullité (nu à je) belge : ipséité banale. L' (eh, ça !) hydromel à ri, psaltérion. Errée Lorelei… Fi ! Marmelade déviré d'Aladine. D'or, Noël : crèche (l'an ici taverne gelée dès bol…) à santon givré, fi !, culé de l'âne vairon. Lapalisse élu, gnoses sans orgueil (écru, sale, sec). Saluts : angiome. T'es si crâneur !
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Rue. Narcisse ! Témoignas-tu ! l'ascèse, là, sur ce lieu gros, nasses ongulées… S'il a pal, noria vénale de Lucifer, vignot nasal (obsédée, le genre vaticinal), eh, Cercle, on rode, nid à la dérive, Dédale (M.. !) ramifié ? Le rôle erre, noir, et la spirale mord, y hache l'élan abêti : Espiègle (béjaune) Till : un as rusé. Il perdra. Va bene. Lis, servile repu d'électorat, cornac, Lovelace. De visu, oser ? Coq cru, ô, Degas, y'a pas, ô mime, de rein à sonder : à marin nabab, murène risée. Le trace en roc, ilote cornéen. O, grog, ale d'elixir perdu, ô, feligrane! Eh, cité, fil bu ! ô ! l'anamnèse, lai d'arsenic, arrérage tué, pénétra ce sel-base de Vexin. Eh, pèlerin à (Je : devin inédit) urbanité radicale (elle s'en ira…), stérile, dodu. Espaces (été biné ? gnaule ?) verts. Nomade, il rue, ocelot. Idiot-sic rafistolé : canon ! Leur cruel gibet te niera, têtard raté, pédicule d'aimé rejailli. Soleil lie, fléau, partout ire (Métro, Mer, Ville…) tu déconnes. Été : bètel à brasero. Pavese versus Neandertal ! O, diserts noms ni à Livarot ni à Tir ! Amassez. N'obéir. Pali, tu es ici : lis abécédaires, lis portulan : l'un te sert-il ? à ce défi rattrapa l'autre ? Vise-t-il auquel but rêvé tu perças ? Oh, arobe d'ellébore, Zarathoustra! L'ohcéan à mot (Toundra ? Sahel ?) à ri : Lob à nul si à ma jachère, terrain récusé, nervi, née brève l'haleine véloce de mes casse-moix à (Déni, ô !) décampé. Lu, je diverge de ma flamme titubante : une telle (étal, ce noir édicule cela mal) ascèse drue tua, ha, l'As. Oh, taper ! Tontes ! Oh, tillac, ô, fibule à rêve l'Énigme (d'idiot tu) rhétoricienne. Il, Oedipe, Nostradamus nocturne et, si né Guelfe, zébreur à Gibelin tué (pentothal ?), le faiseur d'ode protège. Ipéca… : lapsus. Eject à bleu qu'aède berça sec. Un roc si bleu ! Tir. ital. : palindrome tôt dialectal. Oc ? Oh, cep mort et né, mal essoré, hélé. Mon gag aplati gicle. Érudit rosse-récit, ça freine, benoit, net. Ta tentative en air auquel bète, turc, califat se (nom d'Ali-Baba !) sévit, pure de -- d'ac ? -- submersion importune, crac, menace, vacilla, co-étreinte…
Nos masses, elles dorment ? Etc… Axé ni à mort-né des bots. Rivez ! Les Etna de Serial-Guevara l'égarent. N'amorcer coulevrine. Valser. Refuter. Oh, porc en exil (Orphée), miroir brisé du toc cabotin et né du Perec : Regret éternel. L'opiniâtre. L'annulable. Mec, Alger tua l'élan ici démission. Ru ostracisé, notarial, si peu qu'Alger, Viet-Nam (élu caméléon !), Israël, Biafra, bal à merde : celez, apôtre Luc à Jéruzalem, ah ce boxon! On à écopé, ha, le maximum !
Escale d'os, pare le rang inutile. Métromane ici gamelle, tu perdras. Ah, tu as rusé! Cain! Lied imité la vache (à ne pas estimer) (flic assermenté, rengagé) régit. Il évita, nerf à la bataille trompé. Hé, dorée, l'Égérie pelée rape, sénile, sa vérité nue du sérum : rumeur à la laine, gel, if, feutrine, val, lieu-créche, ergot, pur, Bâtir ce lieu qu'Armada serve : if étété, éborgnas-tu l'astre sédatif ? Oh, célérités ! Nef ! Folie ! Oh, tubez ! Le brio ne cessera, ce cap sera ta valise; l'âge : ni sel-liard (sic) ni master-(sic)-coq, ni cédrats, ni la lune brève. Tercé, sénégalais, un soleil perdra ta bétise héritée (Moi-Dieu, la vérole!)
Déroba le serbe glauque, pis, ancestral, hébreu (Galba et Septime-Sévère). Cesser, vidé et nié. Tetanos. Etna dès boustrophédon répudié. Boiser. Révèle l'avare mélo, s'il t'a béni, brutal tablier vil. Adios. Pilles, pale rétine, le sel, l'acide mercanti. Feu que Judas rêve, civette imitable, tu as alerté, sort à blason, leur croc. Et nier et n'oser. Casse-t-il, ô, baiser vil ? à toi, nu désir brisé, décédé, trope percé, roc lu. Détrompe la. Morts : l'Ame, l'Élan abêti, revenu. Désire ce trépas rêvé : Ci va ! S'il porte, sépulcral, ce repentir, cet écrit ne perturbe le lucre : Haridelle, ta gabegie ne mord ni la plage ni l'écart.
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blogpresso · 7 years
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Mbappé vers le PSG et le casse du siècle
Un accord a été trouvé pour le passage de Kylian Mbappé de Monaco à Paris, ont indiqué dimanche plusieurs médias: Paris SG est donc sur le point de réaliser un invraisemblable mercato cet été: Mbappé, 18 ans, lui coûtera 180 M EUR, à ajouter aux 222 M EUR déjà dépensés pour Neymar.
Peu de clubs sont en mesure de réaliser le transfert le plus cher de l’histoire. Mais jamais dans l’histoire un club n’avait réalisé les deux plus importants du football le même été.
France Info et RMC parlent d’un accord pour 180 M EUR, bonus compris, ce qui en ferait le 2e joueur le plus cher du monde, derrière Neymar (venu du Barça) et devant Ousmane Dembélé (passé de Dortmund à Barcelone pour 105 M EUR et des bonus de 42 M EUR).
Monaco et le Paris SG « ont trouvé un accord sur… un prêt de l’international français au club de la capitale. Ce prêt inclut une option d’achat à 180 millions d’euros assortie de bonus », précise de son côté L’Equipe.
Une ligne défendue par Le Parisien, qui précise que « Kylian Mbappé devrait donc rejoindre Paris ce lundi matin », et le Canal Football Club.
La solution d’un prêt permettrait de ne pas s’exposer davantage à des sanctions dans le cadre du fair-play financier (FPF) de l’UEFA selon lequel un club ne peut dépenser plus qu’il ne gagne.
En cas d’infraction au FPF, les sanctions peuvent aller du simple blâme à l’exclusion des compétitions de l’UEFA, telle la prestigieuse Ligue des champions. En 2014, des clubs comme le PSG et Manchester City ont été sanctionnés dans le cadre du FPF. Le PSG avait été notamment contraint à une limite de ses dépenses. Sanction levée depuis.
« Rêver plus grand »
Un accord était attendu ce dimanche soir. Car Didier Deschamps, sélectionneur des Bleus, en dévoilant sa liste, avait prévenu jeudi dernier: Mbappé « n’aura pas de porte de sortie », pour aller signer un contrat ou autre. « Il sait très bien ma position. Les joueurs qui arriveront lundi resteront (à Clairefontaine) et seront concentrés sur les deux matches ». Le mercato s’achève en France jeudi soir à minuit, jour d’un France – Pays-Bas capital pour les Bleus dans les éliminatoires du Mondial-2018.
Les sommes folles lâchées (222 M EUR tout de suite pour Neymar, et 180 M EUR plus tard pour Mbappé) par le PSG ne vont pas manquer de faire réagir sur la planète football. Et au-delà, témoignent de deux choses: d’abord, que l’inflation des indemnités de transferts s’accélère, dopée par les droits télévisuels anglais et par la puissance économique de clubs détenus par de richissimes actionnaires.
Ensuite, que le Paris SG a bel et bien décidé de tout changer cet été, après la saison qui l’a vu perdre son titre de champion de France et vivre une soirée de cauchemar à Barcelone (défaite 6-1).
Le club parisien, qui a raté son mercato l’été précédent, a cette fois sorti les (très) grands moyens pour se conformer à sa devise de « rêver plus grand ». Il a commencé par recruter un latéral espagnol méconnu, Yuri Berchiche, avant d’attirer l’expérimenté latéral brésilien Dani Alves, la superstar Neymar Jr et donc Mbappé.
Rester en France avant le Mondial
En 44 matches la saison dernière avec Monaco, Mbappé a inscrit la bagatelle de 26 buts, dont des réalisations en Ligue des champions contre Manchester City, le Borussia Dortmund et la Juventus Turin. Et malgré son tout jeune âge, il compte déjà quatre sélections en équipe de France.
Annoncé comme un crack depuis son plus jeune âge, le jeune ailier aux dribbles et à la vitesse foudroyante avait été repéré par l’équipementier Nike avant même d’avoir signé à Monaco. En décembre 2012, alors qu’il était âgé de 14 ans, il avait aussi été contacté par le Real Madrid qui lui avait fait visiter ses installations et rencontrer son idole, Cristiano Ronaldo.
Mais Mbappé, très bien entouré – selon tous ceux qui le connaissent – par un père longtemps éducateur dans son ancien club de l’AS Bondy et par une mère ancienne handballeuse professionnelle qui l’a suivi dans le Sud de la France, avait privilégié le choix sportif en rejoignant Monaco, où davantage de temps de jeu lui était promis. Il est resté sur le banc monégasque dimanche soir.
A moins d’un an du Mondial-2018 en Russie, Mbappé a donc choisi de changer de club, mais de rester en France, revenant même dans la région de son enfance. A suivre.
Par Philippe GRELARD et Corentin DAUTREPPE
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lejournaldelensan · 8 years
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C’est un beau roman, c’est une belle histoire
Las de se préoccuper des grands problèmes de notre époque, nous avons décidé aujourd’hui de nous détendre, d’une part, et de vous rassurer d’une autre quant à l’avenir de l’architecture au regard de la situation critique que nous décrivons depuis maintenant cinq ou six articles.
Inspirés par les paroles enjôleuses que vous aurez reconnu1, nous vous proposons de contempler les avancées remarquables de l’architecture depuis les dix dernières années et d’en établir une critique, pour une fois, un tant soit peu méliorative.
Tout d’abord, l’architecture est devenue, depuis quelques années2, un sujet de conversation dans les mœurs de nos concitoyens avertis. En effet, ces derniers, poussés par une communication toujours plus efficace, se sentent à présent concernés par la construction et le développement urbain. Tout autant de crétins, d’imbéciles, d’idiots et même d’incompétents qui s’imaginent donc pouvoir établir des assertions critiques aussi fines et justes que les nôtres, ce qui semble tout autant ubuesque que dévalorisant pour notre fière profession qu’est celle de rédacteur informel d’articles abscons et orientés sur l’architecture.
Ensuite, l’usage répandu de l’image et de l’outil informatique a conduit, vous l’aurez remarqué, à une évolution irréfrénable de la forme architecturale et urbaine vers la perspective, plutôt que le plan, ce qui est un point prégnant de la conception pour l’Homme. Tout autant d’images qui ne conduisent qu’à la formalisation a-sémantique3 d’une construction devenue produit de consommation dans un marché de masse qui n’est régulé que par le goût douteux de nos chers compatriotes du monde.
Enfin, les écrits produits quant à la question architecturale sont de plus en plus nombreux, ce qui est un pas vers l’approfondissement de la connaissance dans ce domaine, notamment sur le plan théorique. Tout autant de sottises énoncées au détour d’un parallèle déplorable tel que «le rôle du cinéma ouzbek dans la forme des cheminées alsaciennes du XVème siècle à 1993», qui contribuent à placer notre art au rang de bagatelle aussi signifiante que la permanente ratée de la voisine de palier.
L’ensemble de ces considérations joyeuses nous amène à clore cet aparté enthousiaste avec la même formule qui nous était venue en titre, et qui décrit si bien l’exercice de la représentation de la discipline architecturale dans la culture populaire, mais dans sons sens le plus satirique possible4 : c’est un beau roman, c’est une belle histoire.
Hermann Icadard
En tout cas je l’espère, puisque j’en ai oublié le nom. ↩︎
Impossible d’en préciser le nombre exact, cela nous demanderait une étude poussée. Et nous avons la flemme. ↩︎
Qui manque de sens. Oui, comme ces propos. ↩︎
On le dit pas, ça. ↩︎
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blogapart3bis · 7 years
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Pour ceux qui doutent du fait que Devin Townsend fait du prog, laissez-moi vous dire trois mots: triple album live. Car ce Ziltoid Live at the Royal Albert Hall contient en effet la bagatelle de 3 CD et un DVD, pour un show exceptionnel dans cette salle mythique. Comme le dit Devin lui-même: progressive heavy metal, it’s an adult sport!
Canadien multi-instrumentiste, généralement spécialiste d’un metal énervé et délirant, Devin Townsend s’est fait plaisir en organisant ce spectacle, dont la première partie reprend son précédent concept album de science-fiction débile, Z2, centré autour de Ziltoid the Omniscient, l’extra-terrestre passionné de café.
Imaginez Mars Attacks!, mais avec plus de metal et plus de café et vous aurez une vague idée du bazar. De la narration, plusieurs personnages, des accessoires, des effets spéciaux, des costumes, du grand spectacle. Le tout dominé par un Devin Townsend qui harangue un public tout acquis à sa cause. Évidemment, en audio seul, on perd beaucoup, mais ce n’est pas grave, c’est bien épique et ça donne une idée.
Les deux autres CD sont consacrés à la deuxième partie du spectacle, un show « à la demande » où Devin et sa joyeuse bande de fous enchaînent de plus anciens morceaux. On a droit à des classiques comme « Namaste », « Deadhead », « Supercrush! », « The Death of Music » et un exceptionnel « Earth Day » – piste pour laquelle j’ai une tendresse particulière, vu que c’est par elle que j’ai découvert Devin Townsend.
En général, les albums live servent soit à raviver la passion des fans, à être un témoignage d’à quel point un groupe en concert peut être énorme, soit à donner un aperçu de la carrière dudit groupe. Ce Ziltoid Live possède ces deux aspects: c’est à la fois un best-of et l’enregistrement pour la postérité d’un spectacle unique.
En tant que grand amateur de la musique de Devin Townsend, j’ai du mal à ne pas me laisser emmener par son enthousiasme quasi-juvénile et son humour très geek, entre autodérision et références pop-culture. Le grand défaut de ce Ziltoid Live, c’est qu’il donne des regrets: ceux qui adviennent quand on se dit qu’on a raté un truc grandiose, même si c’était très loin, très cher et on ne sait pas quand exactement.
Bref, même si c’est pour les fans du connu, ça reste un album délicieux.
Bonus, la vidéo « March of the Poozers », extrait du concert, qui devrait vous donner une idée de degré de débilité épique de la chose:
Cet article The Devin Townsend Project: Ziltoid Live at The Royal Albert Hall a été publié initialement sur Blog à part.
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