#Elle est enfin là ! Elle est enfin là ! Elle est... elle est... elle est enfin là !
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lilias42 · 2 months ago
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5 : en train de faire une activité récréative (spa, cuisine, jardinage, etc…)
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Cours de cuisine avec Lamine ! Mercedes est ravi de pouvoir cuisiner avec son ancêtre, et Léonie a réussi à tirer Bernadetta jusqu'au réfectoire, même si cette dernier a peur de la difformité et des serpents de la Brave, surtout vu toutes les histoires qu'on raconte autour d'elle dans l'Empire avant qu'elle ne se fasse convertir qui la décrive comme un monstre empoisonnant tout ce qui l'entoure mais, au fur et à mesure de la leçon, elle arrive à sortir car ce qu'elle raconte l'intéresse et que Lamina est très patiente, même si elle est très stricte sur la sécurité.
Comme vous l'avez sans doute deviner, il s'agit de la Brave de Lamine et l'ancêtre de Mercedes directement arrivé du passé pour découvrir sa descendante, Lamina, Brave de la Guérison !
Pour ceux qui arrive en cours de route, petit point de contexte ! Dans ma fanon, il y a deux générations de Braves : la première génération entièrement composé de sorciers (l'ancêtre de la magie actuelle qui est bien plus puissante mais est aussi très dangereuse et déforme le corps de ceux qui lui survive à vie) venant de peuples différents tout juste arrivé à Fodlan après le Déluge de Sothis pour vaincre les agarthans. Ils sont de très bonnes personnes et qui ont plusieurs miracles à leurs actifs pour aider leur peuple (ex : Lucius Fraldarius Pertinax, Brave de l'eau dont le peuple débarque de Sreng, a rendu l'eau du lac éternellement pure et elle ne peut pas porter de maladie ; Kelon de la tribu Rieganos, venant à l'origine d'une cité des côtes de l'Almyra actuel, a fait en sorte que les vents dans la baie de Derdriu soit toujours favorables...). Ils ont reçu l'emblème de force après avoir été vaincu par Némésis qui les tuent à petits feux, et qui vont être tué par l'armée adrestienne qui pense qu'ils sont des alliés de Némésis par erreur et manipulation des agarthans. La deuxième génération est composée de leurs enfants, des humains normaux mais nés avec un emblème majeur, qui rejoigne Némésis pour se venger des adrestiens qui ont assassinés leurs parents, tout en ayant pour but ensuite de passer Némésis au fil de leurs Reliques étant donné que c'est lui qui a refilé l'emblème qui les empoisonnait lentement à leurs parents. ça permet d'expliquer pourquoi d'un côté, les Braves sont présentés comme ayant rejoints Sothis (1ère génération) avant de la trahir (2e génération), les parents et les enfants ont été fusionnés au fil du temps et de la tradition.
Si le surnom sous lequel elle est le plus connu actuellement est la Voix Guérisseuse, elle n'aime pas tant chanté que ça. Elle peut utiliser sa voix pour guérir les autres grâce à sa sorcellerie mais, elle s'en sert surtout pour attaquer, notamment pour manier son poison. Quand elle chante, le poison qu'elle secrète se disperse dans l'air et va infecter ses ennemis qui meurt souvent très vite à cause de ses toxines très puissantes. Elle ne voulait pas associer quelque chose qu'elle aimait à un outil de mort alors, elle a pris la chanson comme moyen d'atteindre ses cibles (un peu l'inverse de Pertinax : il adore chanter mais quand il se bat, il est très silencieux pour ne pas associer sa voix à la mort). En plus, ça permet de prévenir l'ennemi qu'elle est dans le coin et que s'il veut continuer à vivre, il doit s'enfuir très vite vu qu'il ne survivra pas à sa toxine.
Sa véritable passion, c'est plutôt la cuisine ! Elle adore cuisiner de bons petits plats et tester de nouvelles recettes alors, dans le futur avec autant de nouveaux ingrédients, elle ne va pas se gêner et régaler tout le monde ! En plus, on est vers la fin de sa vie alors, il n'y a plus trop de risque à ce qu'elle s'approche des autres.
En effet, étant donné que sa magie consiste à la base à pouvoir soigner et qu'elle est médecin, elle a aussi dû apprendre tout ce qui avait un lien avec les poisons, n'importe quel remède ayant une part de toxicité s'il est mal utilisé. Elle peut également "absorber" les maladies et les blessures en elle afin de soigner les autres, son immense capacité de régénération lui permettant de guérir extrêmement vite (même une décapitation ne la tuerait pas tellement son corps se régénère vite et s'est renforcé pendant 1000 ans, et il faut passer ses écailles avant). Cependant, à force de travailler là-dessus, une des fiertés qui est apparu en elle est la capacité à produire des toxines qui ne lui font rien à elle mais, qui sont mortels pour à peu près tout ce qui l'entoure. Son sang notamment est un poison mortel pour à peu près n'importe quoi, même d'autres sorciers du même âge qu'elle et même des nabatéens auraient du mal à l'encaisser. Pendant une grande partie de sa vie, elle dégageait ces toxines en permanence et ne pouvait approcher personne par sécurité, à part en utilisant constamment ses pouvoirs pour contenir le poison, ce qu'elle ne peut pas faire en permanence à cause de la concentration que ça demande. Au fil du temps, elle a pu mieux contrôler cette fierté et peut désormais retourner auprès des autres sans risque, sauf si vraiment elle se met dans une colère noire.
Elle profite donc de ça et du voyage dans le temps pour pouvoir s'approcher de sa descendante et de ses amis de Garreg Mach, même si elle est consciente d'être très effrayante mais, c'est une personne gentille et altruiste, même si elle ne plaisante clairement pas sur la sécurité, qui a vite su les mettre (entendez Bernadetta, je voie bien Léonie et Mercedes être très cool avec le fait de parler à une femme serpent, et c'est surtout dans l'empire qu'on efface tout l'aspect difforme qui est censé être la marque de leur barbarie qui disparait une fois convertis, là où dans la tradition faerghienne et leicester, les fiertés restent et sont même des éléments importants dans la représentation des Braves).
Petit point conception :
Brave de la guérison et du poison oblige, j'ai pas mal basé ses fiertés sur un serpent, que ce soit avec ses grosses écailles ventrale sur sa gorge, sa peau recouverte d'écailles plus petites, ou ses iris en amande comme celle d'une vipère (même si ça se voie peu). Elle a aussi deux crochets à venin dans sa bouche qui se rétracte comme ceux d'un serpent. J'avais aussi pensée lui faire avoir un corps de femme jusqu'à la taille puis une long corps de serpent histoire de pousser le délire des fiertés qui vont avec son âge, elle a quand même 1 000 ans... puis j'ai vu la forme lumineuse de la fille bourrée dans FEH et j'ai compris que ce n'était PAS une bonne idée. Elle garde donc ses jambes. Par contre, son nez s'est aplati avec le temps et ses oreilles ont pratiquement disparu, encore une fois comme un reptile.
Elle a aussi des serpents dans les cheveux un peu comme Méduse, même si c'était surtout pour rajouter des fiertés, et renforcer l'aspect effrayant. Ses serpents pouvant être très long, elle s'en sert pour récupérer des objets léger loin d'elle, lui servir d'yeux supplémentaire (même si c'est avec une vision de serpent), tâter l'air grâce à leur organe de Jacobson / voméronasal (organe qu'elle a aussi dans sa bouche avec une langue bifide), et effrayer l'ennemi, encore une fois parce qu'elle n'a pas envie de tuer des gens si elle peut les faire s'enfuir, elle a pas que ça à faire de ses journées et elle veut surtout soigner les gens. Ils n'ont pas d'autonomie propre mais, ils sont utiles, comme dans le dessin où ils restent proches de la nourriture pour vérifier tout le temps si elle ne l'a pas empoisonné par accident.
Pour ses quatre bras, c'est une fierté qui est très pratique : vu qu'elle ne pouvait pas se faire assister dans son travail quotidien à cause des toxines qu'elle dégageait (même quand elle donne une potion à quelqu'un, elle fait toujours attention à purifier tout ça par prudence et ne pas empoisonner les autres, et elle doit aussi y penser quand elle doit faire une chirurgie si ses pouvoirs ne suffisent pas). Elle a donc tenter de développer ses pouvoirs pour avoir des bras en plus et a réussi vu que ça ne se contredisait pas avec sa sorcellerie de base.
Enfin, ses habits sont basés sur cette reconstitution de vêtements féminins daces exposée lors de l'exposition temporaire "La frontière inconnue de Rome : Celtes, Daces, Sarmates et Vandales au nord du bassin des Carpates" en 2012-2013 au musée Musée celto-romain de Manching en Allemagne. Pour son pendentif, je me suis basé sur ce bracelet. Même si ce n'est pas très sérieux de se baser sur Wikipédia, cela m'a un peu dépannée pour le coup, surtout que la photo est plutôt bien sourcée pour une fois. Et pour son nom... comment dire... déjà que c'est la croix et la bannière de trouver un nom thraco-dace masculin vu que la Dacie s'est romanisé très vite (j'utilise cet article comme référence), autant à ce niveau-là que culturellement - vu ce que Trajan leur a mis, tu m'étonnes -, et que je me suis mis à cette évènement assez tard, j'ai pas encore fait beaucoup de recherche sur Lamine... je suis allée au plus simple, le nom de sa famille était son prénom car tout le monde se disait "fille de Lamine" et le nom s'est juste "fodlanisé" en remplaçant le A final par un E.
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randomnameless · 3 months ago
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Yo!
Pas de soucis, tu peux râler sans problèmes ici!
L'artbook sort le 18 - vendredi prochain! Et normalement, si Amazon ne me fait pas défaut, je pourrais l'avoir entre lundi et mercredi.
Il y avait une version collector avec une image plus détaillée (avec tous les personnages!) aussi disponible, mais comme elle n'est pas à la vente sur Amazon, ben... je l'ai pas prise lol
Ah ça reddit... Je pense que ça dépend des sous et je ne veux pas trop catégoriser les utilisateurs, puisqu'au final je pense que chaque "sous" a un public dédié, mais parfois c'est vraiment le 18-25 de JVC, avec encore plus de personnes lamentables
(je crois qu'un type m'a dit que je ne devais pas être considéré comme un être humain parce que j'avais osé suggérer que rendre les tests de paternité systématiques à chaque naissance c'était une dépense inutile pour la sécu juste faite pour flatter l'ego de certains messieurs qui n'ont pas envie de passer par la case judiciaire s'ils ont vraiment un doute sur "leur" bébé. J'ai bien rigolé hahaha.)
Et c'est marrant parce que pour Unicorn Overlord, il y a tellement de personnes, en tous cas de le fandom Fire Emblem, qui ont chié sur le dernier opus de la série (Engage) en utilisant des arguments foireux comme du "évidemment l'avatar est aimé de tout le monde les persos n'ont pas de profondeur et sont obligés de l'adorer" en se gargarisant sur UO - alors que ce n'est pas le même de jeu/genre de jeu/type, mais ils voulaient juste faire une comparaison foireuse - et au final, je suppose qu'on retrouve ces mêmes personnes faire du "self insert" avec Alain, et des tiers lists de waifu, mais attention, si tu leur dis que leur intérêt du jeu est simplement basé sur les éléments empruntés aux "dating sims", ils vont s'offusquer et râler :)
Les commentaires c'est vraiment du... enfin, tu en as fais la douloureuse expérience, mais je pense que ce qui m'a le plus emmerdé c'est les posts/commentaires essayant d'expliquer pourquoi Rosalinde est trop bien, et en gros, on reprend les vieux clichés de "ouah une elfe chocolat c'est génial je l'ai waifu-é direct!" enfin, merde quoi, il n'y a que moi que ça choque ces qualificatifs des années 50s ou c'est encore une autre bizarrerie culturelle outre-atlantique (je ne sais pas quelle est la nationalité majoritaires des personnes qui postent dans ce sous, mais si c'est la même chose que pour les sous de Fire Emblem, l'Oncle Sam est majoritaire!) qui fait que ce genre de "désignation" est mieux acceptée qu'ici...
Je pense qu'on se rejoint là-dessus, le côté harem/dating sim des jeux de stratégie est franchement chiant, surtout quand il prend le pas sur l'écriture et la caractérisation des personnages - au moins dans UO ce n'est pas systématique, Ummels (et Raenys? Ou je les confonds?) même si elle reçoit l'anneau, retourne auprès de Scarlett. Pareil pour Berengeria, mais quand ça existe je trouve ça franchement moche, shipping googles ou pas, on ne m'enlèvera pas l'idée que le couple entre Alain et Virginia est typiquement écrit, fait et pensé juste parce qu'il faut qu'Alain puisse se mettre en couple/donner son anneau à tout le monde! - mais alors quand en plus le fandom (surtout redshit) ne se focalise que sur l'aspect harem pour ensuite s'autocongratuler sur le "oui mais j'aime ce jeu tu vois il est tactique et il y a de bons persos" alors que justement, il ne discute que très peu des persos, c'est franchement bof.
Je ne sais pas si tu as tenté de lire des fics, mais il y en a pas mal en mode "Alain et son harem" alors que bon, je pense qu'il y a matière à faire autre chose, même si au final les gens écrivent ce qu'ils veulent et si je ne suis pas contente, ben j'ai qu'à écrire lol.
A vrai dire, c'est mon premier jeu Vanillaware et c'est vrai que le design "boing boing" m'a vraiment rebutée au début - je me suis mise à y penser de façon ridicule et ça m'a permis de tenir, mais enfin c'est vrai qu'en tant que joueuse, je sais que ce genre de choses n'est pas pour moi et je me demande bien pourquoi VW a besoin de faire appel à ce genre d'artifices alors que leur design/sprite art est franchement très beau et très détaillé.
Est-ce que c'est fait pour attirer les afficionados de la main droite? J'en sais rien, mais c'est vrai que ça m'attriste un peu, parce que pour pouvoir jouer à ce jeu, ben il faut quand même avaler certaines couleuvres qui ont de plus en plus de mal à passer.
C'est aussi pour ça que j'ai pris l'artbook puisque apparemment, il y aura aussi des designs et illustrations des personnages dans leur, selon Google Trad "private clothes", et j'ose espérer qu'on ne parle pas de slips, mais de vêtements de la vie "civile" et non les armures qu'on voit lorsqu'on utilise les unités - comme l'illustration de couverture (Railanor a des vêtements! Morard porte une tunique assez large pour ne plus se balader torse nu! Melisandre porte une robe longue!) - comme petit lot de consolation en mode, s'il faut mettre des fesses et des seins qui rebondissent pour titiller les joueurs, au moins les développeurs ont envisagé que ces personnages peuvent mettre des vêtements dans la vie "civile" qui n'est, certes, pas celle du jeu, mais enfin, que - je sais que j'en parle beaucoup mais c'est la seule perso féminin dans sa classe - Railanor est peut être pensée comme étant quelque chose d'autre qu'une paire de seins.
Après je ne me leurre pas, ces designs (jambes à l'air!) attirent un certain public et vendent, à tel point que maintenant, c'est devenu mainstream.
Je jouais jusqu'à peu à Fire Emblem Heroes, et franchement même les lancières elfes sont plus "modestes" que certaines unités qui sortent de ce jeu, donc je pense que j'y suis, malheureusement, habituée.
Pour le fanservice, je suppose que pour les personnes attirées par les hommes il y Alain qui se balade sans manches - le kink aisselles n'est pas mon truc mais à ce qu'il parait ça attire certaines personnes? - et les mercenaires/landskenecht (Magellan et Jeremy quoi) qui ont des gros bras avec des gros muscles pour ceux/celles que ça intéresse, mais on est absolument pas au niveau de Scarlett qui a des jiggle physics digne du flan de mes 5 ans, de Berengeria qui ne met pas de culotte et le fait savoir (même dans la couverture de l'artbook il y a un plan sur ses fesses enfin merde quoi :() et les bottes à talons cuirassées de Virginia/Ilénia.
Si je peux faire une comparaison, c'est un peu comme aller dans un restaurant connu pour ses hamburgers, en commander un et juste manger des frites - sûr elles sont bonne, mais enfin, la pub et le restaurant, à la base, c'est pour les burgers.
Donc même si je trouve le "sprite work" très beau et les designs de paysage ou, en général, les éléments en 2D supers, ben à la fin, ce ne sont que des frites puisque l'élément d'appel principal du produit, ben ça reste Yahna et qui se déhanche ou Scarlett qui rebondit à chaque action.
Et c'est super chiant, parce que Miriam/Monica, Chloé, les prêtresses, Hilda et Frau ont montré qu'ils peuvent faire des designs sans utiliser leur main droite, et ça reste quelque chose de très réussi, mais à côté de ça on a encore les lancières elfes, le speedo des jumelles elfiques, Dyna qui ne porte, ben, pas grand chose, Yunifee qui flashe son derrière, Berengeriat et "l'armure string" ou encore la robe avec "fente sur le côté" de Virginia/Ilénia qui ne sert, à mon sens, qu'à se poser la question "culotte ou pas culotte". Et quand tu compares ça au design des unités masculines, surtout pour les lanciers elfes c'est...
Enfin bref.
Est-ce que c'est l'aspect dating sim qui a poussé les développeurs à faire de tels designs, ou est-ce que, justement, ce sont les designs qui ont poussé à intégrer un aspect "dating sim", j'en sais rien, mais au final, je reste persuadée que ces questions de fanservice/design de personnages sont avant tout liées au public qui est visé par le jeu en question - même si je pense qu'en 2024, il est possible de développer un jeu de stratégie qui pourra être acheté par des jeunes gens (ou moins jeunes!) avec un spritework aussi détaillé que UO, sans absolument développer ce jeu à l'attention d'hommes en mal de galipettes.
#anon#replies#tout ceux qui disent ouin ouin l'aspect dating sim et les avatars ont ruiné fire emblem#et qui derrière voient Alain comme une extension d'eux mêmes et essaient de faire de la waifu war#en mode 'oui mais c'est pas de l'inceste parce qu'Alain est le cousin de Virginia mais pas moi!'#gros on ne parles pas de toi enfin je crois?#ces tierlists sont vraiment compliquées lol#Fais ta fanfic avec ton personnage en tant que self insert ou dessine ton avatar mais pas dans une discussion sur les persons#même si ce genre de discussion n'amène pas la conversation sur des terrains plus propices à autre chose que#'elle est joli elle a des gros lolos' 'oui mais elle elle est badass et a de belles fesses'#pour les memes et fanworks en général je me garde de faire des critiques parce qu'au final#les gens écrivent/dessinent/postent d'abord pour eux et ils font ce qu'ils veulent#mais c'est vrai que sur le reddit en tous cas essayer le sous n'est pas là pour discuter du concept de chevalerie différent#entre Clive et Jérôme#ou le développement qui a fini sur les rotules et a sabré la partie Albion en mode#après avoir joué à Drakengard avec Virginia et Gilbert on essaie de nous vendre Scarlett qui pensait très fort à ses amies et à son père#mais qui n'a jamais pipé un mot ou s'est demandé qu'est ce qu'il se passait à Albion? Sur elle a sa mission mais enfin merde#Sans compter le scénario qui se marche sur les pieds pour forcer Nigel et Sanation à combattre#mais tkt si tu veux discuter sur UO que ce soit d'un point de vue doyliste sur le développement et les designs#ou sur le jeu/scénar en mode watsonien tu peux le faire ici!#unicorn overlord stuff
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moinsbienquekaworu · 9 months ago
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I'm going to Give The Fuck Up
#okay i'm writing the rest in french 1) for spyld purposes because it's 1am but still#and 2) so i can pull that post out next time i'm seeing a therapist and maybe they'll take me seriously#donc je suis censée avoir fait un essai et une présentation pour demain (enfin. dans genre 8h)#et j'ai un autre exposé pour vendredi#j'ai rien commencé j'y arrive pas je peux pas#je suis au bout du bout j'arrive pas à me forcer à le faire je peux pas#c'est comme si ça faisait 4 ans que je courrais et qu'on me demandait de faire un sprint final#genre j'ai encore de l'énergie. mais bien sûr. je suis encore debout et c'est un miracle mais oui grave je vais sprinter#je vais aller en cours demain je vais dire au prof que je peux pas et que j'ai pleuré dessus plusieurs fois (ce qui est vrai)#et lui demander ce que je peux faire parce que là c'est pas possible#et on va voir!#je suis au bout de ma vie je n'en peux plus#plus le temps passe plus je me dis que ça vaudrait le coup d'abandonner et de rater mon année juste pour que ça s'arrête#ça fait des ANNÉES qu'à chaque période d'exam j'ai l'impression d'être un tout petit animal#qui s'est replié dans un coin de la pièce parce qu'un prédateur se rapproche#je suis dos au mur y a nulle part où aller et la menace se rapproche encore et encore et je peux rien faire#et je suis hors de moi tellement j'ai peur et je suis stressée#des mois et des mois que j'ai cette image de moi en toute petite souris qui gratte frénétiquement le mur derrière elle#parce que je peux pas aller devant moi. c'est là qu'y a le prédateur et je peux pas! je peux pas!!!#je peux pas fuir par là mais c'est la seule sortie et je vais pas y arriver et il faut que je parte il faut que je m'en sorte#si je reste là je vais mourir mais y a nulle part où aller et je suis pas en état de prendre une seule décision logique#je suis juste en train de paniquer et je peux rien y faire et il faut que je sois ailleurs où que ce soit mais pas ici pas ici pas ici#et toutes les fois où j'ai réussi à me mettre aux devoirs j'ai réussi à esquiver les conséquences mais pour combien de temps?#j'ai une semaine de répit. deux peut-être. et des fois ils faut que je le refasse immédiatement après et j'ai plus ce qu'il faut#si j'arrivais pas à me détacher de ça je serais paralysée toute la journée et je pleurerais au moins deux fois par jour#je mangerais pas je boirais pas je me doucherais certainement pas je parlerais à personne et je ferais absolument rien#rien qui me fait plaisir rien qu'y faut que je fasse rien rien rien. je serais figée tellement je suis stressée#du coup j'ignore et on dirait plus ou moins que ça va de l'extérieur mais je fais des crises de nerfs toutes les semaines#wow i have a ramble tag now
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camisoledadparis · 1 month ago
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saga: Soumission & Domination 358
Les petits frères
Enguerrand, Max, Nathan - João, Romain
La fin d'année approche en ce qui concerne ma " troupe " et mes amours, tous passent en année supérieure.
En ce qui concerne " les petits ", leur année s'est mieux terminée qu'elle n'avait commencée. Surtout pour Enguerrand.
Entrainé par Max, il finit dans les 5 premiers de son cours et peut intégrer finalement la terminale S rejoint par Max qui quitte son lycée public. Il n'a pas fallu discuter beaucoup avec ses parents pour les convaincre que ce serait plus simple qu'ils soient tous les 2 dans le même bahut.
Nathan lui aussi termine en beauté. Pour la pratique il n'y avait pas de problème mais pour la partie académique, le renfort/bachotage exercé par ma paire de " petits frères " l'a propulsé lui aussi en tête de son année. Julien en est aussi fier que si c'était son propre fils.
Ils sont tous les trois tout bronzés déjà. Malgré mon scepticisme, leurs révisions en maillot de bain autour de la piscine parentale (Max) ou bien sur notre terrasse rendent autant en bonnes notes qu'en prises de hâle. Et bien que quand ils sont chez moi ils bronzent à poil, leurs petites fesses restent un ton en dessous du reste de leur corps. Ludovic, PH et moi les suivons de près sauf coté fesses que nous gardons les plus blanches possibles. J'aime le contraste, je trouve cela plus sexy encore.
Nathan n'a droit qu'à 3 semaines de congés cet été mais au vu de ses bons résultats, Julien est tout prêt à faire un effort. Pour éviter que ça pèse sur les finances de sa boutique, je lui propose de prendre en charge les semaines supplémentaires. Car si je compte bien les petits comptent nous accompagner en Espagne pour les 3 semaines à Sitgès et ils ont prévu de continuer chez les parents d'Enguerrand. Ils espèrent bien aussi venir passer un séjour à notre campagne à nous. Je ne sais pas comment ils se sont débrouillés mais finalement ils arrivent à arracher à Julien 3 semaines supplémentaires début août pour Nathan.
Donc si je réfléchis, du 13 juillet au 1er août en Espagne, du 3 au 23 août en majorité chez les parents d'Enguerrand et le reste avec nous. Ils vont être bien malheureux cet été !!
Pour João et Romain, même régime exception faite du séjour à la " ferme ". Je ne vais quand même pas les laisser tout l'été en ville ! Même si jusque-là c'était leur régime de vacances, sauf pour Romain qui passait quelques semaines à encadrer des ados. Pour ces derniers, ils ont en plus les " vacances clients ". Pour eux, les demandes se bousculent mais cette année, je vais pouvoir fournir tous les clients demandeurs ce qui n'était pas le cas les étés précédents.
Ils sont réservés tous les deux pour la première quinzaine d'août. João partira sur le Portugal, alors que Romain, lui, participera à une croisière sur la méditerranée en 1ere classe bien sûr !
Ils sont un peu déçus d'avoir à se séparer mais quand je leur ai donné le montant de leurs salaires, ils se sont rapidement fait à l'idée ! 15 jours, 24h/24, full service, à 30 " kilo ", ça console d'être éloigné de son chéri !
La triplette (Max + Enguerrand + Nathan) est excitée de nous accompagner à Sitgès. Ils connaissent Ernesto et pour certains Pablo et du coup ils se font des plans sur la comète.
Max a été trainer sur internet et, avec Enguerrand, ils ont achetés pour eux trois une 15aine de maillots de bain tous plus sexy les uns que les autres. ES, Addicted, Funky Trunks, Rufkskin et autres Mundo-UNICO sont parmi les marques qu'ils ont sélectionnées.
Ils nous font un véritable défilé pour nous les montrer. Nathan, après quelques semaines de retenue, s'est finalement lâché avec ses deux amoureux. Il ne lui a pas fallu longtemps pour me demander de le loger les semaines où il est au lycée professionnel. Enfin une semaine ! Car après, il a pris ses quartiers chez les parents de Max lui aussi. La mère est enfin au courant de la sexualité de son fils.
Elle m'a convoqué dès le lendemain de l'annonce de son fils. Persuadé qu'avec l'influence que j'ai sur son rejeton, j'allais pouvoir le raisonner.
Après avoir fait le point avec son mari et son fils sur ce qu'ils m'autorisaient à dire/dévoiler/avouer, j'ai accepté de la rencontrer. Merde, je suis pas psy ! J'ai pas toutes les clés et ne détient pas non plus la vérité vrai ! Ce n'est que parce qu'ils ont insisté que j'ai accepté.
Me voilà face à une mère larguée, n'ayant pas vu le coup venir et désemparée avec des aprioris des années 50 sinon plus anciens encore. Je la laisse parler. Elle me sort tous les poncifs sur les homos, Sida, MST, follasse... Quand elle reprend son souffle, je lui demande si tout ce qu'elle vient de me dire correspond à son fils ou à ses deux amis.
Elle réfléchit 5 minutes puis admet que non, les trois garçons ont une attitude irréprochable quand ils sont chez elle. Puis elle se souvient qu'ils dorment tous dans la même chambre. Elle me dit qu'elle est persuadée qu'ils font des trucs cochons.
Je la regarde et lui demande si quand elle est dans sa chambre avec son mari, ils ne faisaient pas eux aussi des " trucs cochons ".
Evidemment là, pour elle, ce n'est pas la même chose, elle l'aime son mari.
Quand je lui dis que c'est tout pareil pour les trois garçons, elle fond en larmes et me dit qu'ils vont être malheureux.
Là elle commence à m'énerver sérieusement. Je l'attrape par les épaules, la fixe dans les yeux et lui dis que je vis avec 4 hommes que j'aime tous comme un fou et que je suis très heureux et eux aussi.
Elle me regarde comme si j'étais malade. Je me lève, tourne sur moi-même et lui demande si je suis anormal.
Elle avoue que non et qu'en plus j'ai réellement eu une influence heureuse sur son fils. Avec son mari, ils ont cru un moment qu'il allait mal tourner.
Je lui rappelle que l'homosexualité n'est ni une tare, ni une maladie et encore moins une honte.
Là, elle me dit qu'elle ne connait pas d'autre homosexuel. Je lui cite quelques acteurs connus et quelques hommes politiques de droite comme de gauche. Elle est éberluée, n'ayant jamais fait attention à la vie privée des peoples, elle n'en savait rien.
Puis elle passe sur le registre façade sociale. Que va-t-elle dire à ses amies.
Je lui conseil rien ou la vérité. On est plus au moyen-âge. Et certaines de ses amies ont peut-être aussi des enfants gays !
Quand on se sépare, elle est d'accord pour ne pas penser à l'homosexualité comme une maladie, de laisser son fils vivre sa vie même si en ce moment c'est avec Ludovic et Nathan.
Elle me demande juste si elle peut me téléphoner en cas de besoin. J'accepte mais lui dis que c'est avec son fils qu'elle devrait parler.
Petit compte rendu téléphonique avec son mari et à la triplette qui passe au blockhaus avant de rentrer chez les parents de Max.
Je leur fait un résumé et leur conseille de faire en sorte que leur comportement prouve à la mère de Max qu'ils sont sérieux dans leur amour, qu'ils évitent les pelles de 10mn devant ses yeux surtout si ça fini en malaxage de bite.
Ils éclatent de rire et me disent qu'ils n'ont jamais fait ça même chez les parents d'Enguerrand qui eux savent pour les trois.
Quand Marc est en déplacement il nous arrive (PH, Ludovic et moi) de les accompagner à la ferme. Ils sont ravis car depuis notre premier " écart " (cf. J_SD353 et 354), ils sont toujours partants pour une touze familiale. Côme a beau être hétéro, comme par hasard, il est toujours là ces WE. Il ne rechigne plus à baiser avec nous 6.
La propriété des parents des trois frères est belle mais il manquait quand même l'essentiel surtout avec les beaux jours : une piscine !
Les deux ainés trouvent là une occasion de dépenser un peu l'argent qu'ils ont gagnés (surtout Côme car Ludovic ne fait pas beaucoup de prestation. Après tout c'est mon amour !!). Mi-mai, nous trouvons un grand modèle hors sol montants bois (11,3 x 5 x 1,40) rectangulaire que nous sommes obligés d'enterrer à moitié. Ce qui est bien de l'exploitation, c'est qu'une bonne partie du matériel est déjà là. Mais c'était sans compter Dorian (Second). Quand il apprend ce que nous voulons faire, il s'impose pour l'installation. Un premier WE nous creusons et coulons la dalle destinée à supporter la piscine. Elle sèche le temps que le kit arrive. 3 semaines plus tard, nous montons le bassin. Heureusement que Dorian est là. Son expérience nous est bien utile surtout quand l'eau commence à remplir la piscine et qu'il faut déplisser le liner en même temps.
Je participe en offrant la pompe à chaleur destinée à optimiser la température de l'eau. Les tuyaux enterrés, nous pouvons éloigner le local technique.
Quand nous pouvons enfin nous plonger dans l'eau, c'est parfait. Les parents ne savent comment nous remercier car eux même profitent bien de cette nouvelle installation principalement en soirée.
En maillots, ils font beaucoup plus jeunes que leur style classique ne le laissait supposer. Ils n'ont qu'une petite 40aine finalement ! Monsieur c'est Côme avec 25 ans de plus, bel homme et gros paquet lui aussi ! Même s'il est plus short de bain que slip ou shorty, quand il sort de l'eau et que le tissu se colle à ses reliefs c'est très net. Madame est très fine malgré ses trois grossesses. Pas de vergetures, pas de cellulite et encore moins de ventre, des seins moyens mais raccords avec son physique tout comme ses hanches marquées mais pas trop.
D'ailleurs la première fois où ils sont venu nous rejoindre dans l'eau, même leurs fils les ont sifflés !
Bien, c'est sympa mais le plus agréable c'est quand même nos petites parties communes de jambes en l'air comme dirait madame. Nous avons trouvé d'autres lieux de baise depuis notre première dans le pailler. Il faut dire qu'une grande exploitation regorge de recoins. Mais il faut compter avec les odeurs qui en réduisent le nombre. Le bâtiment des silos à grain est pas mal non plus mais un peu poussiéreux. Notre endroit préféré reste la réserve de paille avec ses bottes rectangulaires. Depuis notre premier " égarement ", nous avons privilégié le haut de l'empilement. Comme ça si le paternel débarque, nous aurions le temps de nous décoller et rhabiller.
En attendant, Côme nous a trouvé de veilles mais propres couvertures à poser sur la paille pour éviter les griffures de brins. Ces réunions quasi familiales nous font tous bander à mort. Les trois frères ne font plus de cas de leurs liens et prennent autant de plaisir entre eux qu'avec nous. On ressent même une tendresse particulière quand ils font l'amour entre eux. Les regards, les caresses, les pelles qu'ils se roulent sont toujours plus doux qu'avec nous !
Je les aime tous les trois, Ludovic beaucoup plus. Mais la première fois où j'ai laissé Enguerrand m'enculer, je crois bien que c'était comme si je lui avais donné le graal. Il m'avait déjà vu me faire défoncer la rondelle par Ludovic et Côme. Et je crois bien qu'il en mourrait d'envie lui aussi. Pour preuve sa fougue à me monter ! Ses 19x5 (hé oui, il grandit encore le petit) me paraissent 22 au moins vu comme il se démène. Il se couche sur mon dos (on était en levrette) il cesse un instant ses va et vient pour me glisser un " merci" dans l'oreille. Il me cueille. Je me retourne et me place sur le dos les jambes relevées et écartées pour qu'il revienne me planter. Quand il est bien profondément enfoncé dans mon trou, je replie les jambes autour de ses hanches pour l'emprisonner et tire sa tête vers moi. J'approche son visage tout près du mien. On reste un moment à se regarder dans les yeux tout pendant qu'il me laboure la rondelle avec efficacité. Puis je le tire un peu plus. Nos lèvres se touchent. Il est vraiment craquant. Je comprends Max et Nathan, tout comme ses deux frères.
Je souffle " sale gamin " avant d'ouvrir la bouche et de sortir ma langue à la rencontre de la sienne. Nous échangeons un baiser fiévreux. Alors que nous sommes tout près de " partir ", Enguerrand sort de moi et vient s'assoir sur moi ou plutôt sur ma queue. Il me regarde et me dit que finalement il se sent mieux dans ce sens-là. Pour plaisanter je lui demande si mon cul était trop " vieux ". Il pique un fard me dit " non, mais tu comprends, tu seras toujours celui qui m'a dépucelé " (enfin ! façon de dire).
Je le laisse me chevaucher et il ne nous faut plus beaucoup de temps pour exploser, moi dans son cul lui sur mes abdos. Comme les autres n'ont pas terminé, il se coule sous mon bras et pose sa tête sur mes épaules.
J'essaye alors de remettre les pendules à l'heure mais il me coupe et me dit qu'il avait décidé que j'étais son premier et qu'il n'y avait pas à revenir dessus. Pour atténuer ses propos il me roule un patin qui nous laisse tous les deux sans souffle.
Il se serre contre moi alors que nous voyons ses deux amours prendre leurs plaisir en 69 enculé l'un par Côme l'autre par Ludovic. Ils n'ont pas fini que nous recevons sur nous les corps de PH pour moi et de Max pour Enguerrand. Grosses pelles puis ils glissent à nos côtés sur le dos pour admirer le quatuor se finir.
Quand nous retournons dans le monde, nous tombons sur " papa " qui nous cherchait depuis quelques temps. Il avait besoin de bras pour l'aider. On y va tous et en 15 minutes son problème est réglé.
Autres modifications à la " ferme ", ce sont les literies. Nos chambres sont maintenant équipées de 2 lits 2 places réunis. Avec 2,80m de large par 2 de long, on peut maintenant s'étaler.
Nos triplettes sont officielles aussi pour " mère " et ça a moins posé de problème que chez les citadins (mère de Max). On a juste eu droit à " fermer vos portes à clef quand vous voudrez garantir votre intimité " et aussi de leur épargner les détails au petit déjeuner. Cette mise au point leur a valu d'être embrassés par 6 jeunes mecs reconnaissants.
Côme reste encore discret de son côté. Il n'est pas décidé définitivement et ne tient pas à alarmer plus que ça ses parents alors qu'il ne sait pas ce qu'il veut.
Je les apprécie de plus en plus. Je crois que " l'aventure " d'Enguerrand y est pour beaucoup. Ils ont eu une peur rétrospective d'avoir risqué de perdre leur dernier et ça leur a ouvert l'esprit. Je pense aussi qu'ils nous aiment bien (PH, Max, Nathan et moi). J'ai aussi l'impression qu'à nous tous, nous reconstituons une famille nombreuse que madame aurait souhaité avoir. Cette quasi-certitude me vient des discussions que nous avons eues. Elle-même est la 3ème d'une fratrie de 7. Notre présence l'oblige à modifier la gestion de sa maison mais on sent que cela ne lui coute pas.
Ce sont les deux garnements (Max et Enguerrand) qui lui ont glissé l'idée d'inviter à diner les parents de Max lors d'un de nos grands WE. Max pense que l'exemple de leur acceptation de la situation devrait aider sa propre mère à se faire à l'idée.
C'est comme ça qu'après nous avoir vu évoluer tous ensemble avec naturel, d'avoir vu la mère d'Enguerrand s'occuper de son fils Max et de Nathan comme des siens propre elle s'est rendu compte qu'elle se faisait beaucoup de sang pour rien.
Après ce WE là, lors des semaines de cours de Nathan, c'est chez eux et non plus au blockhaus qu'il a passé ses soirées et ses nuits.  
Pour cet été, je charge Ernesto de contacter Javier pour qu'il nous trouve une villa beaucoup plus grande. En même temps je lui annonce que la " triplette " sera du séjour, tout comme Ludovic et João accompagné de son Romain. De base nous seront donc 11 plus Paco le cuisinier et son probable petit copain du moment. Bien sûr il nous la faut avec grande piscine et installations de muscu.
Il me rappelle une semaine plus tard et m'envoi par mail deux propositions.
Je choisi la plus grande. Elle coute plus cher mais nous laissera plus d'espace pour vivre et baiser bien sûr. Avec ses 8 chambres et sa piscine de 12m, elle remporte tous les suffrages français. En plus elle est plus près des plages intéressantes et ça je pense que ce sera idéal pour la triplette qui vient pour la première fois dans ce genre d'endroit.
Jardinier
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the surprise guest
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mrsines · 3 months ago
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Petite fête
à la demande de @babythere j’espère que ça plaira 😇
6« Wow, vous avez l'air... incroyable. »
Lilia X reader
Tout le monde s’en était sorti vivant de la route, et c’était une très bonne chose. L’atmosphère était remplie de soulagement et de joie. Billy, débordant d’énergie, avait envie de fêter cet événement. Avec un sourire charmeur, il avait supplié Agatha, insistant sur l’importance de célébrer leur chance.
"Allez, Agatha, ce serait tellement bien de le faire chez toi !" avait-il dit, ses yeux pétillants d’excitation.
Après de très longues heures de supplication, Agatha, finalement convaincue par l’enthousiasme de Billy, avait accepté. La nouvelle avait rapidement circulé, et tous s’étaient mis en tête de s’habiller pour l’occasion. Les préparatifs allaient bon train : les lumières scintillantes étaient accrochées, et la musique douce flottait dans l'air, créant une ambiance festive.
Les invités étaient tous présents, parés de leurs plus beaux atours, riant et discutant joyeusement. Chacun avait fait un effort, des robes élégantes aux costumes bien taillés, tous semblaient ravis d’être là. Pourtant, une ombre planait sur cette fête : Reader n’était pas encore arrivée.
Lilia était assise sur le canapé, les coussins moelleux l'entourant comme une étreinte réconfortante. Ses pensées vagabondaient, se heurtant à l'inquiétude qui s'était installée dans son esprit. "Où est donc passée Reader ?" se demandait-elle, le regard fixé sur la porte, espérant la voir entrer à tout moment. Le bruit des rires et des conversations joyeuses des autres invités résonnait autour d'elle, mais elle se sentait déconnectée, perdue dans ses réflexions.
C'est alors que Billy s'approcha et s'assit à côté d'elle, son sourire habituel illuminant son visage. Il remarqua immédiatement l'air préoccupé de Lilia.
"Hé, Lilia," commença-t-il, sa voix douce et rassurante, "ne t'inquiète pas. Reader va bientôt arriver, j'en suis sûr."
Lilia tourna lentement la tête vers lui, ses yeux se posant sur son ami. Elle lui offrit un sourire, bien que légèrement hésitant.
"Je sais, Billy," répondit-elle, sa voix trahissant une pointe d'anxiété. "C'est juste que… je me demande ce qui lui prend tant de temps."
Billy observa Lilia, son regard plein de compréhension. "Peut-être qu'elle a eu un contretemps," suggéra-t-il, tentant de la rassurer.
Lilia se laissa aller à un léger rire, appréciant le soutien de son ami. "Tu as raison, comme toujours," répondit-elle, un peu plus à l'aise.
Elle se redressa et observa la pièce, se laissant emporter par l'énergie de la fête, tout en gardant un œil sur la porte, espérant apercevoir Reader.
Reader était enfin arrivée, et elle avait l'air éblouissante dans son pantalon rouge qui épousait parfaitement ses formes, mettant en valeur son allure dynamique. Son haut noir, simple mais élégant, ajoutait une touche de sophistication à sa tenue.
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En la voyant entrer dans la pièce, Billy ne put s'empêcher de sourire, ses yeux s'illuminant de joie et d'admiration. Reader, réalisant qu'elle avait attiré l'attention de tous, s'approcha avec une petite moue d'excuse.
"Désolée pour le retard," dit-elle, sa voix douce mais pleine d'énergie, presque comme une mélodie qui résonnait dans l'air.
Lilia, qui observait Reader avec admiration, ne pouvait s'empêcher de la trouver tout simplement magique. Elle se sentit submergée par l'émotion, ses mots peinant à sortir. Après un moment de silence, elle réussit à articuler, le cœur battant :
"Wow, tu as l'air… incroyable." Ses mots, chargés de sincérité, firent briller les yeux de Reader, qui ne pouvait cacher son bonheur.
Reader rougit délicatement, un sourire timide se dessinant sur son visage. "Merci, Lilia," répondit-elle en s'asseyant à côté de son amie, leurs épaules se frôlant. "Je peux dire la même chose pour toi, cette couleur te va vraiment bien."
Lilia se sentit flattée, un léger sourire se dessinant sur ses lèvres. Elle jeta un coup d'œil à son propre haut, un doux rose qui contrastait avec le rouge flamboyant de Reader.
"C'est gentil de ta part," dit-elle, le cœur léger.
Les deux amies échangèrent un regard complice, conscientes que leur complicité ne faisait que grandir au fil des instants partagés, créant un moment inoubliable rempli de rires et de complicité.
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transparentgentlemenmarker · 2 months ago
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Le Pigeon et l’Homme. Sur le pavé froid et mouillé d’une ruelle de Paris, un homme gisait, oublié du monde. Ses haillons trahissaient une misère profonde, et son visage, marqué par le froid, portait l’ombre d’un destin brisé. Autour de lui, les passants passaient, pressés, insensibles, absorbés par les méandres de leur propre existence. Mais du haut d’un toit, un œil brillant observait cette scène. Un pigeon, humble créature des cieux, se tenait là. Son plumage gris semblait absorbé par la pâleur du ciel hivernal, et pourtant, en lui brûlait une lumière. Ce pigeon n’était pas ordinaire : il portait en son cœur une noblesse que peu d’hommes possèdent. Voyant l’homme abandonné, il descendit en une volée d’ailes, et se posa doucement à ses côtés. Là, il vit la détresse. L’homme, au bord de l’inconscience, murmura : Laissez-moi. Paris n’a plus besoin de moi. Mais le pigeon, dans son silence, avait entendu mille histoires. Et dans son instinct, il comprit qu’un geste devait être fait. Il battit ses ailes avec force, saisit les pans du manteau de l’homme entre ses serres, et dans un effort titanesque, il s’éleva. Oh, que dire de cette vision le ciel de Paris s’ouvrit comme un poème. Un pigeon, frêle et déterminé, portait un homme, lourd de douleur, à travers les brumes de la ville. Les toits d’ardoise devinrent spectateurs, et les cheminées, témoins muets d’un miracle. Il le déposa enfin sur un banc, sous la lumière vacillante d’un réverbère. Là, il vola en quête d’aide, et trouva une vieille femme, marchande de fleurs, qui passait avec un panier d’herbes. Elle s’arrêta, interloquée. Que fais-tu là, oiseau des rues ? demanda-t-elle en voyant le pigeon qui voletait autour d’elle avec insistance. Elle suivit son étrange guide, et trouva l’homme affaissé. Avec douceur, elle le ranima, partageant son pain et son vin. L’homme, éveillé, croisa le regard du pigeon perché non loin, comme un ange discret. Était-ce toi ? murmura-t-il, les larmes aux yeux. Le pigeon, dans un battement d’ailes, s’éleva vers le ciel, disparaissant parmi les étoiles naissantes. Et ainsi, dans cette nuit parisienne, un simple oiseau avait rappelé à un homme sa propre valeur, et à une ville son humanité. Car Paris, sous ses façades de pierre, est un théâtre d’ombres et de lumière, où même les plus humbles peuvent devenir héros, et où les cieux abritent des cœurs plus vastes qu’ils ne le laissent paraître. Barbesànthiel
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Une sculpture le passage de Fredrik Raddum
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empiredesimparte · 8 months ago
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⚜ Le Cabinet Noir | Episode III, N°10 | Francesim, Paris, 26 Thermidor An 230
On the eve of the coronation festivities, Charlotte tried to gently reason with her husband, to no avail. Napoleon V was obsessed with proving himself at the Naval Academy, but he promised his wife that he would spend as much time with her as possible. Charlotte tries to stay strong, but the exchange upsets her.
Beginning ▬ Previous ▬ Next
⚜ Traduction française
La veille des festivités pour le couronnement, Charlotte tente de raisonner avec douceur son époux, en vain. Napoléon V est obnubilé par son envie de faire ses preuves à l'Ecole Navale, mais il promet à sa femme d'être présent pour elle malgré tout. Charlotte essaie de rester forte, mais l'échange la chagrine.
(Napoléon) J'ai du mal à croire que tout soit enfin prêt
(Charlotte) Et toi, te sens-tu prêt ?
(Napoléon) Bien sûr, j'ai hâte (Charlotte) Tu seras resplandissant
(Napoléon) J'ai parlé avec le Conseil d'Etat et... (Charlotte) Oui ?
(Napoléon) Je formerai la régence, pendant 15 mois, tu seras la régente (Charlotte) Papa m'a prévenu
(Napoléon) Oh, super, j'ai cru que tu allais me faire une scène (Charlotte) J'y ai songé oui, mais je ne veux pas que nous nous disputions la veille des festivités
(Napoléon) Oncle Henri et Philippe seront là pour toi
(Charlotte) Ce n'est pas la régence qui m'inquiète (Napoléon) C'est le bébé ?
(Charlotte) Je veux que tu sois à mes côtés. Dans 15 moins, le bébé sera déjà là, est-ce que tu réalises ça ?
(Napoléon) Je suis désolé, chérie. Je serai là aussi souvent que je le puisse (Charlotte) Ne peux-tu pas attendre que le bébé arrive ?
(Napoléon) J'appartiens à une race de soldats. C'est mon destin (Charlotte) Très bien. Je réessaierai demain
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hurlumerlu · 26 days ago
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(Ao3)
Un pigeon rentre dans un bar.
Mais vous devez la connaître, c’est un classique. Kant en a trop peu d’autres dans son répertoire et la ressort à toutes les sauces, même début, même chute, et le public en redemande.
Le public non plus ne change pas.
Le pigeon, lui, est nouveau, avec ses airs de colombes et ses façons d’épervier – à moins que ce ne soit l’inverse. Trop nouveau : Kant se sent dépassé.
Ce n’est pourtant pas la première fois que Kant aime sa cible. Grosso modo, il les a toutes aimées, c’est plus facile ainsi. Moins on a à prétendre, plus mentir est aisé. Mais il les a aimées de loin, derrière ses murs, comme on aime le chien errant qu’on nourrit pour son karma et à qui on n’ouvrirait jamais sa porte.
L’autre nuit, Bison lui mangeait dans la main et Kant aurait voulu crier.
Ça lui rappelle cet oisillon ramassé par Babe il y a de ça… un bail, maintenant. Pas besoin d’être véto pour savoir que la bête allait crever mais Babe, plein de larmes et d’espoir, y croyait encore, alors Kant avait fait un nid dans une boîte et mis de l’eau, du riz, ce genre de choses. Un être aussi fragile, si évidemment condamné, comment ne pas l’aimer ? On peut en revanche aimer sans s'attacher, lorsqu'on sait que la fin est déjà écrite.
Quand Babe était rentré un soir, il y avait un petit cadavre dissimulé au fond de la poubelle et un mensonge tout prêt aux lèvres de Kant qui était désolé, il aurait voulu que Babe voit le miracle, mais la bestiole volait dans tout l’appart, elle s’affolait, elle chiait partout, il avait fallu la faire sortir avant qu’elle se fasse mal.
«  Bien sûr, avait dit Babe. Tu as eu raison. »
Kant a un chat, à présent. Il ne pourrait plus recueillir d’oiseau.
Un assassin rentre dans un bar.
On ne l’avait encore jamais faite à Kant, celle-là.
Enfin, ce n’est pas la première fois qu’il se frotte à des gens dangereux (le capitaine, pour commencer, premier entre tous). Il ne s’est jamais vu refiler d’enfants de chœur. Trafiquants, proxénètes… de beaux salauds, qu’il a aimé malgré tout parce que c’est plus facile ainsi. Ils n’auraient eu aucun remord à le faire disparaître, même si la plupart ne se serait pas tapé le sale boulot. Il n'a pas tant eu de remords lui-même.
Ce n’est pas ça qui change la donne.
Son assassin est beau et n’est pas un salaud. Pas vraiment. Probablement pas. A vrai dire Kant n’en sait rien, et a bien conscience qu’il ne veut pas savoir. Son assassin est beau et Kant voudrait se foutre du début de cette phrase. Voudrait glisser à genou, là, maintenant, au pied du zinc, poser ses mains contre deux hanches dures et son front contre un ventre souple. Si son assassin le désirait, Kant le prendrait en bouche sans hésiter, devant tout le monde. Il voudrait ne pas avoir eu cette dernière pensée.
Ce que Kant veut, l’univers s’en moque.
Babe avait fini par se douter d’un truc, pour cette histoire d’oiseau. Pas le jour-même, beaucoup plus tard, des années après. Il avait demandé à Kant s’il se souvenait de l’oisillon qu’ils avaient essayé de sauver, et Kant avait été bien obligé de répondre que oui, il se souvenait, pourquoi ? Babe s’était défilé.
« Non, avait-il dit. Rien. Quand j’étais petit, j’espérais qu’il revienne. »
Le grand amour de Kant rentre dans un bar.
Putain. Si seulement c’était une blague.
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alheureoublanchitlacampagne · 4 months ago
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viens lécher ma colère, là où elle brûle le plus, là où elle flue, où elle sue, là où elle est lave qui coule. enfonces-y ton meilleur argument, le plus gros, celui qui comble et qui interloque, celui qui étrangle ses jérémiades. abouches-y tes prétextes, tes mots, tes images, tes cendres, tes volcans, tes peurs, tes leurres, ta sueur, tout ce que tu peux lui donner à boire, qu’elle se grise, vacille, défaille, qu'elle se taise enfin.
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a-room-of-my-own · 6 months ago
Note
Tu as vu l'interview d'un des entraîneurs d'Imane Khelif sur le site du Point ? Il a avoué qu'Imane est xy avec un taux de testostérone masculin (testé dans un hôpital de Paris après les mondiaux de 2023), jure que l'endocrinologue a dit qu'il était une femme quand même mais lui a fait prendre un traitement pour réduire sa testostérone au cas où. Le reste c'est de la mauvaise foi de TRA de base ("elle a la sensibilité d'une fille", "on ne peut pas l'empêcher de faire du sport !", "et les grands basketteurs alors ??") Au moins on a enfin une confirmation qui ne vient pas de l'IBA ! Concernant le langage corporel, ce qui m'a le plus choquée/fait rire, c'est qu'Imane n'a aucun problème a donner une petite tape sur le sein de son adversaire à la fin d'un match, et quelqu'un de la délégation algérienne lui a fait ça quand il a gagné la médaille d'or. Sauf que personne ne tape le sein d'une femme pour l'encourager ou la féliciter, les mecs se font ça entre eux sur les pectoraux ! Pour avoir ce réflexe-là, ils savaient donc forcément qu'il était un mec depuis un bail.
Mais évidemment. Et puis je me suis faite avoir une fois par le storytelling autour de Caster Semenya, merci mais pas deux fois.
L’article du Point a le mérite de clarifier les choses même si l’entraîneur a été d’une euh… naïveté confondante en répondant comme ça. Mais oui c’est très clair qu’ils savent tous !
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northwest-by-a-train · 7 months ago
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Moi à ma famille socdem/macroniste demain: Il nous faut un cap clair. Un cap clair. On va pas refaire la NUPES là han. Pas refaire la NUPES là han. Il y a eu une inversion des rapports de force. Rapports de force. Méluche est en tête à gauche. Donc VOiLà mes conditions. Elles doivent être REMplies. D'abord: Une immense guillotine devant la demeure de Ciotti. Ensuite: Un soutien indéfectible à la résistance Corbyniste, car l'avenir du continent Corbynien se joue en Corbynie en ce moment. Un rejet, une abrogation de la Côte d'Azur, de la ville d'Hénin-Beaumont et de la personne d'Éric Zemmour. Une accélération de la transition de mes potes trans. Enfin, un rejet de la Glucksmannisation de la vie politique. Et la vérité c'est que ces conditions, je n'en changerai pas. Changerai pas. Cap clair. Han.
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urween · 7 months ago
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Spend an afternoon with Hedwig, GN reader
Split headcanon
notes : j'avais vraiment envie d'écrire quelque chose de doux sur Hedwig parce qu'il est tellement touchant <3
no spoiler
⚠︎ warning : aucun
2 512 mots
- Description à la deuxième personne
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Vous vous connaissez depuis plusieurs années déjà, ou plutôt tu connais certains alters depuis plusieurs années. Dennis, Hedwig, Barry et Patricia ont été les premiers à se présenter à toi. Jade, Orwell, Mary et Kevin se sont ensuite exposés, mais il reste encore beaucoup d’alters méconnus. Barry a expliqué les principaux traits de caractères de ces inconnus pour que tu puisses ainsi te les représenter et même parfois les reconnaître lorsqu’ils prennent la lumière. Tu as exprimé beaucoup de reconnaissance pour ça, car il arrive quelquefois que tu te retrouves face à une personne que tu ne connais absolument pas. Barry a aussi expliqué que ces alters ne prennent que très rarement la lumière et que par conséquent ils sont toujours un peu perdus ou inquiets lorsque ça arrive. Heureusement qu’Hedwig est là pour reprendre le front et ainsi les soulager.
Quoiqu’il en soit, on peut dire que tu t’entends assez bien avec tous les principaux alters. Certains ont des caractères bien spéciaux mais tu apprécies ce détail, ça leur donne un charme.
Patricia fait partie de ces alters. Les femmes sont peu nombreuses dans leur système comparées aux hommes, mais elles ont pour la plupart un fort caractère. Et dans ce lot, Patricia est certainement la plus complexe. Tu as mis beaucoup de temps à t’habituer à sa présence. Elle dégage quelque chose, une aura pesante. Elle a cette façon de parler sereine et douce qui au début t’effrayait énormément. Lorsqu’elle a pour la première fois proposé une discussion autour d'un thé, elle s'est mise à raconter à quel point les kilos de viandes qu’un lion peut manger sont impressionnants, et alors tu as imaginé beaucoup de scénarios où tu finissais en morceaux dans une cage à félins. Mais à présent les choses se sont calmées pour toi, enfin la plupart du temps. Patricia t’a bien fait comprendre qu’elle n’avait aucune mauvaise intention envers toi, mais tu ne peux pas empêcher les frissons dans ta nuque lorsqu’elle passe un peu trop près de toi. Mais au fond de toi, tu sais très bien que ces réactions ne sont plus vraiment dues à la peur.
✉ nouveau message de : Avengers
Ton attention lâche le plat de pâtes encore tout chaud que tu viens de commencer pour plutôt attraper ton téléphone portable. Un sourire illumine ton visage en voyant le destinateur.
✉Avengers
- cc !!
- tu peut venir à la maison ????? stp stp stp
Lorsque, plusieurs années en arrière, Dennis t'a donné leur numéro de téléphone, tu as désepéré devant l’option “nom du contact”. Tu ne pouvais pas mettre le prénom d’un des alters puisque c’était leur numéro à tous, et ils n'avaient pas de nom global pour leur système. Finalement tu as eu un souvenir de l’obsession pour les Marvels qu’avait développé Hedwig lorsque tu lui as parlé d’Iron Man, puis de la façon avec laquelle Dennis et Patricia ont des paillettes dans les yeux lorsque tu leur dis qu’ils sont extraordinaires. Par conséquent tu as décidé de les surnommer les Avengers, parce qu’ils ont tous des supers pouvoirs à leurs manières.
✉Vous
- coucou Hedwig
- oui je peux venir si tu veux ! D’ici environ trente minutes je peux être là, n’oublies pas de m’ouvrir le portail ;)
✉Avengers
- trop cool !!!
- mademoisele patricia a achetté un truc pour moi !
Tout en finissant rapidement ton plat, tu te diriges vers la salle de bain afin de préparer tes affaires pour gagner du temps.
✉Vous
- vraiment ? Génial et qu’est ce que c’est ?
✉Avengers
- plein de jouets animaux !
Un énième sourire étire tes lèvres au message alors que tu déposes l’assiette vide dans l’évier de la cuisine.
✉Vous
- wow plein ? On va pouvoir tous les essayer alors ;)
✉Avengers
- ouiiiii
- ah !!
- tu prend les bonbons bleus ???
✉Vous
- d’accord, mais je te préviens je te laisserais pas manger tout le paquet Hedwig
✉Avengers
- oui oui
- tfk ???????????
Tu poses ton téléphone contre le lit le temps d’attraper deux ou trois bagues, un collier et des vêtements propres.
✉Vous
- je t’ai déjà dis que c’était pas bon d’écrire comme ça, tu oublies les vrais mots à force
✉Avengers
- pardon !
- tu fais quoi ?????????????????
✉Vous
- je vais aller me laver puis je vais partir pour te rejoindre
- et toi ?
En tournant le robinet de la douche vers la gauche, tu commences à retirer tes chaussettes et ton pantalon. L’eau chaude a toujours pris beaucoup de temps pour arriver, mais comme ça tu peux continuer de répondre à Hedwig.
✉Avengers
- j’ai trouver des vieux dessins de barry
- ils sont beaux
- mais je dessines mieux !!
✉Vous
- fais attention à ne pas les abîmer, sinon il risque de bouder pour un long moment
- vous dessinez tous les deux de manière différente, et elles sont toutes les deux très belles ;)
Après avoir passé ta main sous l’eau pour voir la température de cette dernière, tu reprends une dernière fois ton portable.
✉Avengers
- t’s toujours trop cool !!!
- mademoiselle patricia elle a dis qu’elle aime bien ça et moi aussi j’aime bien ça
- et monsier dennis il penses que c’est rare d’être comme toi
- je suis d’accord moi persone à jamais été cool comme toi avant
✉Vous
- oh c’est adorable Hedwig, mais cette gentillesse vous la méritez tous
- en tout cas ça me touche beaucoup que les autres pensent ça de moi ! Tu pourras leur dire merci de ma part <3
- je suis désolé il faut que je te laisse si je veux pas arriver trop tard
✉Avengers
- derien !!!!
- d’accord à tt !
Une fois que tu as la certitude qu’il ne va pas envoyer d’autres messages, tu déposes ton téléphone sous ta pile de vêtements et finis de te déshabiller. Tu aurais très bien pu le faire tout en lui parlant mais il y a quelque chose de dérangeant dans le fait de se dévêtir en discutant avec Hedwig, ce n'est pas la même chose avec Dennis ou Mary par exemple. Il est déjà arrivé que vous parliez par messages pendant que tu te changeais ou même que vous soyez au téléphone lors de ton bain, et ce n’était vraiment pas la même chose.
Comme prévu, tu te dépêches de prendre ta douche et de t’habiller de nouveau. Tu enfiles les quelques bijoux que tu as pris précédemment et après avoir vérifié que tu n’as rien oublié, tu quittes ton chez toi. Heureusement pour toi, tu n’habites vraiment pas loin du zoo, et donc de leur appartement. Grâce aux nombreuses années à travailler là-bas, ils ont obtenu un logement de fonction dans la même rue que le parc animalier. Le seul problème est que cet appartement est assez petit, du moins trop petit pour avoir vingt-trois chambres, même s’ils n’ont pas réellement besoin d’autant de chambres. Mais par exemple Hedwig aime avoir sa propre pièce, où il peut afficher tous ses dessins et écouter de la musique, Dennis a besoin d’un endroit qui lui est totalement réservé, Barry aussi et encore d’autres. Ils n’ont pas tous besoin d’une chambre, mais les plus réguliers préfèrent en avoir une. Malheureusement cet appartement ne contient que deux chambres, une a alors été aménagée pour Patricia et l’autre pour Dennis. Hedwig, Barry, Orwell et d’autres ont les leurs ailleurs. Encore une fois, grâce aux années passées à travailler dans ce zoo, ils ont eu l’autorisation d'avoir une sorte de grand sous-sol rien que pour eux. Ce n’est clairement pas l’endroit le plus accueillant à première vue mais s’acheter une grande villa n’est absolument pas dans leurs moyens, et puis ils l’ont assez bien aménagé. Les murs restent rugueux et les lumières peu nombreuses, mais il y a malgré tout quelque chose d'apaisant là-bas. Leurs présences sont étalées dans chaque pièce, et c’est presque poétique de voir la façon dont ils doivent organiser la salle de bain ou la cuisine pour convenir aux envies de chaque alter.
Par automatisme, tu appuies sur l’interphone et fais défiler les noms jusqu’à trouver celui qui t’intéresse : Crumb. Sans avoir besoin de parler, la porte de l’immeuble s’ouvre devant toi et tu peux avancer vers l'ascenseur. Puisque cet immeuble est principalement occupé par des employés du zoo, ils ont fait installer un portail qui ne peut être ouvert qu’avec un badge ou un bouton chez les locataires, ça permet de limiter les squatteurs ou voleurs. Mais à cause de ça, tu dois attendre qu’Hedwig ou un autre alter t’ouvre ce qu’ils font toujours, sauf lorsqu’il y a un problème. Il est déjà arrivé qu’un alter “méconnu” prenne la lumière et dans ces cas-là il ne t’ouvrira pas le portail puisqu’il ne sait même pas ce qu’il fait ici. Pour cette raison, Barry a demandé un doublon de leur badge, prétendant que l’autre ne fonctionnait plus, et comme ça tu as toujours la possibilité de venir si jamais un problème survient.
Deux petits coups à la porte et Hedwig apparaît tout souriant devant toi.
« C’est trop bien que tu viennes ! Dit-il en te tirant par le bras vers le salon, les autres ont dit que je pouvais rester dans la lumière tout l’après-midi »
Sa façon de parler très atypique te réchauffe le cœur tandis que tu enlèves tes chaussures et les dépose avec soin sur un petit chiffon placé dans un coin de la pièce. Dennis a beau ne pas être dans la lumière, tu préfères respecter ses tocs.
« T’as pris les bonbons ? Te demande le jeune garçon en se mettant assis par terre »
D’un hochement de tête tu lui souris et sors le précieux trésor de ton sac à dos. Aussitôt, Hedwig se jette dramatiquement dessus, se mettant presque ventre contre le sol pour attraper le paquet de bonbons.
« Wow génial je vois qui tu préfères ici, déclares-tu en riant »
Le garçon te lance un regard avant de prendre trois sucreries dans sa bouche et de se tourner sur le dos pour te voir à l’envers. Son rire résonne faiblement dans la pièce alors qu’une conversation commence entre vous deux.
Hedwig est sûrement l’alter avec lequel tu peux le plus rire, il dit constamment tout ce qu’il pense, même si ça n’a aucun rapport avec votre conversation actuelle. C’est quelque chose qui manque dans beaucoup de relations à tes yeux, pas avec eux, mais avec d’autres personnes. Lorsque tu rencontres quelqu’un il y a toujours un moment de gêne, une envie de vite s’enfuir et de rentrer chez toi. Ce n’est pas toujours le cas, mais ça l’est presque toujours. Tu as du mal à t’intégrer dans le mode de fonctionnement des autres, leur façon de parler sur le dos de leurs amis et leurs obsessions pour la politique, ce n’est pas toi ça. Tu aimes tourner les mauvais événements au comique et admirer ce papillon qui se pose dans l’herbe. Les personnes que tu rencontres ramènent toujours le négatif au centre de la conversation, c’est mentalement épuisant de penser au réchauffement climatique et à la montée des impôts. Tu trouves ça dommage de revenir aux informations que les médias mettent déjà au centre de l’attention, pourquoi ne pas juste profiter du soleil dehors et du vent frais ? Bien sûr qu’il se passe des choses horribles dans le monde, mais y penser constamment ne les fera pas disparaître. Et Hedwig pense aussi comme ça, parce que c’est un enfant de neuf ans et qu’il a encore la chance de voir les beaux aspects de ce monde. Ça te fait vraiment du bien de passer du temps avec lui, il est ressourçant. Et même lorsqu’il évoque la mort, il le fait avec une façon tellement directe, sans pincette, que ça en devient rassurant. Ce qui le rend heureux c’est dessiner et danser, quoi de mieux pour oublier une mauvaise journée ?
« Elle est jolie ta bague, c’est un serpent ? »
Tu relèves la tête du livre que vous étiez en train de feuilleter pour regarder le jeune garçon et ses grands yeux bleus.
« Oh celle-ci ? Réponds-tu en levant ton index où se trouve le bijoux, je pense qu’on peut dire que c’est une sorte de serpent oui »
Tu l’as trouvée lors d’une brocante il y a plusieurs années de ça, la forme originale a tout de suite attiré ton œil et au faible prix auquel elle était tu n’as pas vraiment hésité pour l’acheter.
« Moi j’aime trop les tigres, ils sont super grands et forts, explique Hedwig en tournant les pages de son livre d’illustration, il s’arrête sur un dessin de tigre et passe son doigt dessus, regarde ils sont genre méga costauds »
Ton regard détaille l’illustration et ses traits très simples. Hedwig est le seul dans leur système qui fête son anniversaire, même s’il ne prend pas en âge. Alors l’année dernière, tu lui as offert une dizaine de livres, parce qu’il aime beaucoup ça. Tu as pris un peu de tout, de courts romans comme des livres à illustrations comme celui-ci. Un sourire prend place sur ton visage lorsque tu repenses à cette journée, Dennis faisait tout pour garder Hedwig loin de la lumière pendant que Jade et toi vous occupiez de faire le gâteau. Lorsque l’enfant parvenait à passer au front, il posait mille et une questions à la seconde alors que tu essayais désespérément d’éviter qu’il découvre la surprise. Finalement toi et les autres alters êtes parvenus à tout organiser sans qu’il ne découvre la vérité, et tu te souviens encore de ses yeux larmoyants lorsqu’il a vu le salon décoré ainsi que la pile de cadeaux qui l'attendait.
« Pourquoi tu viens ici ? Demande soudainement Hedwig, t’as pas des amis ? »
La question pouvait être mal interprétée, mais heureusement, tu arrives à comprendre le fond de sa pensée.
« J’aime venir ici tu sais, passer du temps avec toi et les autres »
« Oui mais t’es tout le temps disponible pour venir, enfin sauf quand tu travailles »
Tes doigts passent contre les pages colorées du livre alors que le garçon allongé à côté te regarde avec insistance.
« Honnêtement à part vous je n’ai pas grand monde, dis-tu en déviant tes yeux vers Hedwig, tu sais que je n’ai pas vraiment de famille et puis- je crois que j’ai un peu de mal à faire des rencontres, créer de nouvelles relations et tout ça, c’est compliqué pour moi »
Le jeune garçon fronce pendant quelques secondes ses sourcils avant de faire rouler son corps sur son dos et tourner de nouveau la tête pour te regarder.
« Moi non plus j’ai pas d’autres amis, avoue-t-il, les gens ils me trouvent bête je crois et ils se moquent de moi »
Un pincement au cœur, tu délaisses le livre en face de toi pour poser ta tête dans ta paume de main.
« Les gens ont du mal à comprendre les personnes comme nous, mais c’est pas grave parce que ça veut dire qu’on est spécial tu vois ? Eux ils peuvent pas être aussi géniaux que toi, c’est pour ça qu’ils sont jaloux »
« Alors c’est comme un super pouvoir ? »
De nouveau, ton cœur se réchauffe en voyant le sourire sur le visage du garçon.
« Exactement, le super pouvoir d’être extraordinaire »
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camisoledadparis · 7 days ago
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saga: Soumission & Domination 380
Dernier trimestre à Berkeley -Marines/1
Quand Robert (un pote d'art martial) m'a dit que Donovan son Navy-Seal de frère souhaitait me revoir une dernière fois avant mon départ, j'ai bien évidemment accepté l'invitation !
Quand j'arrive avec Robert à la propriété de leurs parents, je suis surpris de voir que Don n'est pas seul. Une masse de même nature est à ses côtés. À peine descendu de voiture, il me serre dans ses bras à m'écraser avant de me présenter son pote.
J'avais bien deviné c'est un de ses collègues, de ceux que mes deux " espions " avaient côtoyé.
Robert me laisse avec eux, ayant un plan avec ses potes.
Désolé on ne se saute pas dessus direct !!
Je fais connaissance avec l'autre invité du WE. Chad sait déjà que je suis l'employeur officiel des deux petits Français qu'ils avaient eu en formation l'an passé et juste que je sais me battre intelligemment d'après Don.
On papote situation internationale, il me demande ce que deviennent ses deux connaissances. Sans dévoiler les détails que je n'ai d'ailleurs pas, je lui explique l'exfiltration qu'ils venaient d'opérer sur le terrain Syrien. Quand il apprend le sacrifice qu'ils avaient dû accepter (viols, lavage de cerveau...), il me dit que c'était évidemment pour cet aspect-là que leurs supérieurs les avaient choisis. Ils étaient sûrs que mes deux escorts avaient la solidité psychologique pour passer ces épreuves. Il ajoute que c'est avec ce genre de capacité qu'ils leur étaient supérieurs à eux simples brutes super entrainées.
La conversation dérive sur le fait que je sache me battre et plus que bien selon Don. J'explique comment j'en étais venu à me former aux différents sports de combat et comment j'avais, sous la houlette de Jona, essayé d'intégrer les différents avantages de différentes disciplines. J'explique qu'aux dernières vacances, Jona nous avait appris de nouvelles attaques bien vicieuses en provenance du moyen orient. Là j'intéresse vraiment Chad et Don. On se retrouve rapidement en boxer dans le garage transformé en salle de sport. Echauffements, petits passages à soulever les barres et bien chauds on se confronte. Quelques passes et clés, Chad estime mon niveau. Il est impressionné, enfin pour un simple civil ! Comme Don il me domine de la taille et de son poids. Mais j'arrive à placer une des nouvelles attaques qui le met au tapis sans qu'il n'ait vu le coup venir. Je sautille autour de lui narquois. Ça me vaut de me retrouver à ses côtés, mis à terre par un simple fauchage de jambes.
Je n'ai pas le temps de me relever qu'il se couche sur moi. Je me cambre, essaye de le faire glisser de côté mais c'est peine perdue. Bras et jambes écartés, il résiste à mes tentatives de retournement.
Ok, je cède et cesse de résister, espérant ainsi qu'il se relâche et que j'arrive enfin à me dégager. Mais il n'est pas né de la dernière pluie et reste vigilent.
Comme sa tête est juste au-dessus de la mienne, j'essaye de le déstabiliser autrement. Je tente une pelle. Évidemment elle est acceptée mais toujours sans me relâcher. J'ai juste le plaisir de sentir contre moi grossir, grossir et grossir encore sa bite. La mienne durcit à son contact mais je sens bien que, là aussi, je ne joue pas dans la même cour. Don ajoute son poids en couvrant on collègue. Je dois bien avoir 200Kg qui m'écrasent. Ça ne dure pas car Don attrape Chad par les épaules et roule sur le côté pour me dégager. Je m'accroche à Chad et me retrouve en position dominante de l'empilement de corps. Ma main glisse vérifier l'état de Don. Il est comme nous raide comme une barre d'acier.
Comme il retient toujours Chad, je glisse en arrière pour vérifier avec mes yeux ce que mes abdos avaient subodoré. Son boxer blanc réglementaire est distendu par une bite dans les 23x7 au moins. Le gland est moulé mais la salive que j'ajoute en le prenant en bouche, colle encore mieux le tissu. Un beau gros gland rond avec une collerette intéressante !
Chad se laisse mettre nu sans résistance. Le boxer cachait un service trois pièces de toute beauté. Pubis blond tondu aussi court que ses cheveux, surplombant un sexe droit, bien gonflé de sang légèrement plus large aux deux tiers à partir de son gland qui comme je l'avais deviné au travers du boxer présente une forme bien ronde avec une couronne marquée. Les couilles sont rasées de frais. Bien qu'imberbe de torse, les aisselles du monsieur sont rasées elles aussi mais pas ses jambes sur lesquelles poussent quelques poils blonds aussi.
Je n'attends pas, j'enfourne la beauté qui n'attend que ça. Une déglutition et il passe ma glotte jusqu'à ce que ses poils pubien me fassent une moustache. Il ne peut retenir un rugissement de plaisir. Je l'entends dire à Don qu'il sait maintenant d'où venait le professionnalisme des deux petits français (allusion à mes deux escorts).
De mon côté la présence étouffante de son gros gland me fait bander à mort (le cas si je ne recrache pas ça !!). Sous lui, Don se tortille et dégage lui aussi sa bite qu'il pousse entre les cuisses de Chad. Pour le remercier d'avoir invité Chad, j'alterne ma pipe, suçant avec gourmandise les deux glands. Ma salive coule le long de la hampe de Chad, sur les couilles et entre ses fesses.
Pour savoir à qui j'ai affaire, quand je le suce, je pousse la bite de Don entre ses fesses. Don ne se retient pas et joue du bassin pour lustrer son gland entre les fesses de son pote. Pas de mauvaises réactions, j'en conclu avoir affaire à un des Navy-Seal homo de la troupe qui avait entrainé mes recrues.
Pas de pénétration, nous sommes " nus ". Chad se redresse le temps de m'attraper et de me soulever comme une plume avant de me poser en 69 au-dessus de lui.  Il suce aussi bien que moi et mes 20cm plongent entiers dans sa bouche. Sa bite, dans ce sens, me pénètre plus facilement et je vois que Don continu à s'astiquer contre la rondelle de son pote.
Bien excités et les sexes luisants de salive, nous passons à une pipe circulaire. Je pompe Chad qui pompe Don qui me pompe. Rapidement la langue de Don trouve ma rondelle et s'ingénie à la recouvrir de lubrifiant naturel au dehors comme au-dedans.
Quelques minutes plus tard il me pénètre sans que ma bouche n'ait lâché son " os ". Je ne peux m'empêcher de lâcher un gémissement de plaisir vite coupé par le gland de Chad. Je me laisse limer quelques instants avant de me dégager et de me retourner. Chad se couvre vite et gentiment me laisse faire le travail. Don assiste en spectateur intéressé par mon approche.
Je recule et stoppe dès que je sens le gros gland de Chad sur ma rondelle. Je me sature les narines de poppers et d'un petit recul bref, fait pénétrer les premiers cm de Chad dans mon cul. Waouuuu putain d'effet. Ma rondelle se referme juste derrière la couronne emprisonnant la belle boule que forme son gland. Chad attend patiemment que je me rapproche de lui. Nouveau dosage au poppers et je recule encore. Je prends mon temps. Mon anneau m'envoie des ondes de plaisir au fur et à mesure que ses 23cm avance en moi. Je suis presque étonné quand mes fesses buttent sur son bassin. À partir de là ce n'est plus moi qui ai maîtrisé la chose.
Ses grosses mains sont venues me prendre par la taille et je suis devenu un jouet entre elles. Quel pied !!! Ballotté dans toutes les positions possibles, mais reste toujours plein de sa queue vibrante, je ne suis plus que jouissance pendant la demi-heure qui suit. Je passe par quelques " embrochements " de mes deux extrémités pour le plus grand plaisir de Don.
Chad me fait jouir et je jute alors que dos contre son torse, mes jambes enroulées avec les siennes et mes bras en arrière accrochés à son cou, alors qu'il est debout, il arrive à me soulever et me laisser retomber sur sa bite de malade. J'en mets partout n'ayant aucun moyen de maitriser mes éjaculations. Quand il me pose au sol, je n'ai même plus la force de me redresser et reste à plat ventre. Je reçois alors sur le dos le jus brulant de Don puis celui encore plus chaud et abondant de Chad.
Il nous faut à tous les trois une petite demi-heure pour s'en remettre et aller aux douches. J'ai encore les jambes en flanelle et ils me soutiennent sous les jets d'eau. Don nous passe des jock-strap propres alors que nous finissons de nous sécher. Ses parents étant absents, nous pouvons nous balade comme ça dans toute la maison. Petite collation roborative et nous reprenons le chemin de sa salle de sport. Nous passons les deux heures qui suivent à, pour moi, expliquer les attaques et parades apprise au retour de Jona et en apprendre encore plus sur les techniques américaines. On discute aussi, Chad est amusé de savoir que tout mon petit groupe d'escort possède quasiment mon niveau. Il nous dit qu'il ne doit pas falloir nous faire chier quand on se balade.
Je lui explique notre altercation aux 24h moto. Il connait le coup que j'ai utilisé. Quand le mec est tête nue, c'est le moyen le plus rapide pour le mettre hors d'état de nuire. J'ajoute que ça calme aussi les potes du mec. Rires de mes deux Navy-Seal.
Robert passe. Il nous dit s'être levé une minette et qu'il repart conclure dès ce soir. En riant, il nous dit que de toutes les façons, il n'allait surement pas nous manquer.
Réponse du grand frère : " à moins que tu n'ais envie de nous donner ton petit cul, ce sera le cas ".
Rires de nous quatre.
Au diner nous parlons taf. Ils sont curieux de savoir comment j'en suis arrivé à diriger une boite d'escort mâles. Je les amuse plusieurs fois avec des anecdotes sur mes premières prestations personnelles. Ils hallucinent quand ils apprennent que je vis réellement avec 4 mecs à la fois. Et Don s'amuse à ce que j'ai un petit côté Bi.
Chad, lui, l'est plus par le recrutement de Jona et François par mon client DGSE. Il sait, de source sûre, que leurs propres services de renseignements ont aussi ce type de recrues. Mais n'avaient pas encore eu vent qu'ils aient pût aller aussi loin sur les théâtres d'interventions. Ils servent plus pour mener des chantages sur les hommes visés par leur direction du renseignement. Je me récrie que Jona et François sont des hommes d'action qui sont homo et non l'inverse, ce qui explique cela. Il en convient.
Sans dévoiler de secrets, ils me racontent certaines de leurs sorties, principalement en Amérique centrale et en Colombie dans le cadre de la lutte contre les trafiquants de drogue. Malgré leur entrainement, il leur est arrivé de se faire quelques frayeurs sur le terrain. Et comme ils me disent, eux n'étaient pas en immersion !   
Petite période de digestion, on mate les infos à la TV tout en commentant l'actualité. Les primaires ont commencées et les remarques des deux militaires ne sont élogieux pour aucun des deux camps.
Chad me dit qu'il est temps de faire nos étirements et de se préparer pour la nuit. Je m'interroge sur ce qu'il entend par là. Don, lui, le sait. Sur les tatamis de sa salle de sport, nous passons une bonne demi-heure à allonger nos muscles maltraités dans l'après-midi. Pour certains, nous nous entraidons afin de forcer plus. Alors que je pense que c'est bon, ils passent au massage. J'y ai droit en premier et tous les deux s'occupent de moi. Je me laisse faire. Ils terminent ce que les étirements avaient commencé. Leurs mains couvertes d'huiles parcourent mon corps de la tête aux pieds. Même avec João et Clem je n'avais atteint ce stade de décontraction. Je suis décontracté sauf de la queue. On ne se refait pas. Le massage évolue vers une dimension sexuelle. Ma bite luisante glisse dans leurs mains et ma rondelle s'ouvre sous leurs doigts. Je suis trop bien. Mon excitation monte encore et j'en veux plus.
Je pousse Chad sur le dos, l'enjambe et Don a juste le temps de recouvrir sa bite d'une kpote que je me l'enfonce directe au fond de moi. Un gros soupir de contentement m'échappe. Je le monte façon course à Vincennes. Mes cuisses bossent et me brulent à faire pistonner mon cul sur sa grosse bite.
Mais j'en veux encore plus. Ils m'ont super bien préparés. Je demande à Don de venir rejoindre son pote. Il comprend de suite et aussitôt recouvert d'une kpote, il me plante son gland dans le cul. Malgré toute mon excitation, je la sens bien passer cette deuxième bite. Don s'en aperçoit et va pour ressortir. J'ai juste le temps de passer mes bras derrière moi et de lui attraper les fesses pour le retenir. Je me fais défoncer grave mais c'est trop bon. Chad m'attrape la tête et me roule des patins pour ralentir ma monté en jouissance. Enfin c'est ce qu'il croit et ça marcherait s'il était tout seul à me limer la rondelle. Malgré son baillonnage par ses lèvres et sa langue qui m'envahi la bouche, j'arrive à gémir encore sous le limage de Don. Il s'aperçoit aussi que ça ne sert à rien vu que sa queue se fait frotter par celle de Don sans arrêt. Il laisse aller et 15mn plus tard c'est une triple jouissance simultanée. Mes deux GI remplissent leurs kpotes alors que je recouvre les abdos et les pecs de Chad de ma production.
Je sens leurs retraits autant que leurs pénétrations. Don est impressionné par le volume de sperme contenu dans sa propre kpote. Il nous dit n'avoir jamais juté autant depuis sa première branlette d'ado. Chad est mort de rire à la sortie son pote.
Je me couche sur lui et tant pis pour mon sperme qui nous colle. Il passe son gros bras droit dans mon dos et me serre avant de me glisser assez bas pour que Don n'entende pas (il s'est levé pour aller se doucher) " good fuck little frenchie, you're a real bitch " en américain dans le texte !
Nouvelle douche, prise entre ces deux montagnes (1m95 chacun). Je me laisse me faire sécher et porter jusqu'à la chambre de Don que nous partageons pour la nuit.
Le sommeil nous attrape vite, ce qui n'empêche pas Chad de profiter de moi en pleine nuit. Je me réveille, il fait noir et ma rondelle est déjà envahie par sa grosse bite. Il s'y est pris en douceur et je n'ai repris conscience qu'une fois son gland bien au fond de moi. En cuillère, sans grands mouvement il me pilonne. C'est totalement différent de l'assaut en règle de la soirée, il y a limite une certaine tendresse. Je tends la tête en arrière et sa langue vient au contact de la mienne. Grosse pelle sans que son bassin ne cesse ses mouvements. Don dors toujours. Je suis maintenant bien réveillé et il me faut du plus viril ! Je me dégage et on part s'enfermer dans la salle de bain. La porte tout juste refermée, il me pousse en avant. Pour éviter la chute je m'appui à la baignoire. Penché en avant je me reprends ses 23x7 dans le cul. Confiants dans l'insonorisation de la porte, on ne se retient pas plus que ça et ses coups de reins me font monter le son. Il sort, me retourne et m'attrape par les fesses pour me soulever et me planter de face. Instinctivement mes jambes entourent sa taille et mes bras s'accrochent à son cou de taureau. Il se charge de la montée, la pesanteur du retour à la position de départ et son bassin de l'arrêt brusque de ma chute. 23cm de chute sans retenue d'une masse de 85Kg ça induit une belle inertie. C'est ma rondelle qui encaisse ! Ma prostate se fait aussi bien défoncer et chaque passage de son gros gland est comptabilisé ! J'arrive à lui dire que son copain doit être ravi d'avoir un insatiable comme lui.
Pour reprendre un simili de contrôle, je serre ma rondelle une fois en position basse. Quand il me soulève il est surpris d'être bloqué. Je recommence mais quand je n'ai plus que son gland dans mon cul. Il aime l'effet que ça lui fait. De mon côté non plus ce n'est pas désagréable !
Les pieds bien écartés, il pose mon dos contre le carrelage du mur et me pilonne sèchement pour se finir. Il m'achève aussi et nous avons le plaisir de juter au même moment.
Nous sommes sous la douche quand Don nous rejoint. Il est un peu déçu de voir que nous avons fini. Je lui fais une petite pipe pour qu'il ne parte pas se rendormir sur la béquille.
Jardinier
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mrsines · 3 months ago
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C’est à moi.
À la demande de @sayresse17 j’espère que ça va le faire 👀
23« Est-ce ma chemise ? »
Lilia X reader
Reader était une jeune orpheline de 25 ans, marquée par des années de vie en famille d'accueil. Elle avait toujours rêvé d'une vie stable, mais chaque nouvelle maison ne faisait qu'accentuer son sentiment d'instabilité. Aujourd'hui, elle avait décidé de fuir ses parents adoptifs, ne supportant plus leur indifférence.
Elle avait trouvé un petit travail dans la boutique de Lilia, Lilia avait tout de suite remarqué la douceur et la détermination de Reader. Avec le temps, un lien s'était tissé entre elles, si bien que Lilia avait proposé à Reader de s'installer dans sa chambre d’amie.
Cela faisait maintenant quelques mois que les deux femmes cohabitaient. Leur quotidien était rythmé par des rires, des discussions autour d'un café, et des soirées passées à lire ensemble. Reader se sentait enfin chez elle, entourée de chaleur et de compréhension. Pourtant, au fil des jours, un sentiment troublant commençait à s'installer en elle. Plus elle passait de temps avec Lilia, plus elle réalisait qu'elle l'aimait d'une manière qu'elle ne pouvait pas contrôler.
Reader se surprenait à la regarder plus longtemps, à apprécier chaque geste, chaque sourire de Lilia. Elle se sentait coupable de ces pensées, consciente que ce lien affectif pouvait être dangereux. "Je ne devrais pas ressentir ça," se répétait-elle en silence, mais son cœur avait déjà pris le dessus sur sa raison. Les moments passés ensemble, les éclats de rire partagés, tout cela la rapprochait d'une affection qu'elle n'avait jamais connue auparavant.
Reader avait enfin terminé de faire le ménage dans la maison, un sentiment de satisfaction l'envahissant. Elle se dirigea vers la salle de bain, impatiente de se plonger dans une bonne douche bien chaude. L'eau chaude coula sur sa peau, apaisant toutes les tensions accumulées de la journée. Elle ferma les yeux, profitant de chaque goutte, laissant la vapeur envelopper la pièce.
Après un moment de pur bonheur, Reader sortit de la baignoire, se sentant rafraîchie et revigorée. Elle s'enroula dans une serviette douce, absorbant l'humidité de sa peau. Une fois sèche, elle se mit à chercher ses vêtements, le cœur léger. Elle commença à enfiler son pantalon, soudain, un frisson de surprise la parcourut
. "Oh non, j'ai oublié de prendre un haut !" s'exclama-t-elle, réalisant qu'elle était restée là, à moitié vêtue, sans rien pour couvrir son buste.
Reader se sentit soudainement prise au dépourvu. Elle ne pouvait pas sortir ainsi, et la panique s'installa un instant. Ses yeux parcoururent la salle de bain, cherchant désespérément une solution. C'est alors qu'elle aperçut une chemise de Lilia accrochée au porte-manteau. "C'est mieux que rien", se dit-elle en l'enfilant rapidement, se sentant un peu plus à l'aise.
Elle attacha rapidement ses cheveux en un chignon désordonné, essayant de donner une impression de calme avant de sortir de la salle de bain. En marchant dans le couloir, elle espérait que personne ne la croiserait. Malheureusement, au moment où elle tournait le coin, Lilia apparut, surprise de la voir ainsi vêtue.
Reader se figea, le cœur battant. La gêne l'envahit, et elle ne savait pas quoi dire. Ses joues prirent une teinte rosée alors qu'elle cherchait des mots, mais rien ne venait. Elle se contenta de sourire timidement, espérant que Lilia ne poserait pas trop de questions sur sa tenue improvisée.
Lilia se tenait dans l'embrasure de la porte, un sourire malicieux sur le visage.
"Est-ce ma chemise ?" demanda-t-elle, un coin de sa bouche se relevant en un sourire espiègle, ses yeux pétillants de curiosité.
Reader, encore un peu gênée par la situation, baissa les yeux sur la chemise ample qui flottait autour d'elle.
"Eh bien, je… je l'ai empruntée sans vraiment demander," commença Reader, sa voix hésitante trahissant son embarras. Elle se gratta la nuque, cherchant les mots justes. "Je n'avais rien d'autre à mettre, et je me suis dit que ça pourrait faire l'affaire le temps que j’aille chercher quelque chose dans mon placard.."
Lilia, cependant, ne semblait pas se soucier de l'explication. Ses yeux parcouraient le corps de Reader avec une admiration inattendue. Elle se rapprocha lentement, ses pas légers sur le sol.
"Tu sais," dit-elle, son regard ancré dans celui de Reader, "je trouve que ça te va vraiment bien."
Reader sentit son cœur s'emballer sous le compliment, ses joues s'empourprant légèrement. "Tu penses vraiment ?" demanda-t-elle, surprise mais flattée.
"Absolument," affirma Lilia, un sourire sincère illuminant son visage. "Garde-la, elle te va bien. Tu devrais porter des chemises comme ça plus souvent."
Reader, touchée par la gentillesse de son amie, ne put s'empêcher de sourire. "Merci, Lilia. Je vais réfléchir à ta suggestion," répondit-elle, se sentant à la fois gênée et heureuse.
Lilia lui fit un clin d'œil complice avant de s'éloigner, laissant Reader avec une nouvelle confiance, réalisant que même les moments les plus embarrassants peuvent se transformer en compliments inattendus.
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marie-swriting · 19 days ago
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Là Pour Toi - Emily Prentiss
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Résumé : Emily affirme qu'elle va bien après tout ce qu'elle a traversé, mais tu connais la vérité et tu fais tout pour être là pour elle.
Warnings : basé sur le 7x12, mention de Doyle et de la mort d'Emily, Emily qui ne va pas bien, angst, hurt/comfort.
Nombre de mots : 1.3k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Let Me par Jade LeMac
Confortablement dans les bras de Morphée, tu te tournes dans le lit et inconsciemment, tu cherches ceux d’Emily sans succès. Avec difficulté, tu entrouves un œil, tu découvres une place vide à côté de toi, légèrement illuminée par la lumière du couloir. Ignorant où est ta petite amie, tu te lèves rapidement. Depuis qu’elle est revenue d’entre les morts, Emily est différente ce qui est compréhensible, mais ça veut aussi dire que tu n’arrives plus à la cerner aussi bien qu’avant. Emily était déjà secrète, maintenant, c’est pire. N’arrivant plus à la décoder, tu crains toujours le pire. Tu trottines en suivant la lumière et retrouves Emily dans la cuisine dos à toi. Tu l’entends renifler alors que tu appelles son prénom.
-Désolée, je ne voulais pas te réveiller, dit Emily en feignant un sourire.
-Tout va bien ? 
-Oui, j’avais juste besoin de boire un verre d’eau.
-Tu as fait un autre cauchemar ? demandes-tu avec inquiétude. 
-Non, je n’en fais plus depuis environ deux semaines comme tu le sais. 
-Tu sais, il n’y a pas de honte à en avoir encore, surtout après ce que tu as vécu.
-Ne commence pas s’il te plait, réplique-t-elle, froidement, je vois déjà ma thérapeute demain, c’est suffisant… Pardon, je ne voulais pas être sèche, reprend-elle sur un ton plus doux.
-Ce n’est pas grave.
-J’avais juste soif, affirme Emily en posant le verre dans l’évier, mais tu vois clair dans son jeu. Je vais bien, je te le promets. Viens, on va se coucher.
Sans répondre, tu prends la main qu’elle te tend et vous retournez dans votre chambre. Alors que tu t’allonges sur le dos, Emily se colle un peu plus à toi et pose sa tête sur ta poitrine. C’est une habitude qu’elle a depuis qu’elle est revenue. Emily a besoin d’entendre tes battements de cœur pour s’assurer qu’elle n’est pas seule. Les muscles d’Emily se détendent un peu plus quand tu commences à passer ta main dans ses cheveux. Quand la tête d’Emily se fait de plus en plus lourde, tu t’autorises enfin à t’endormir, la tenant fort contre toi comme si elle pouvait disparaître la seconde suivante.
Pourtant, c’est bien ce qui se produit le lendemain matin. Emily est partie plus tôt à cause de sa séance de thérapie qu’elle a avant de partir pour une enquête. Tu soupires en remarquant son absence bien que tu sais que c’est pour le mieux. Tu es rassurée de savoir qu’Emily a parlé à un professionnel après tout ce qui s’est passé, tu aurais juste aimé qu’elle te dise au revoir avant. 
Tu essayes de reprendre le dessus sur tes émotions le temps du travail. Tu dois t’occuper d’une classe de trente élèves de sept ans, tu dois être concentrée. Cependant, ça ne veut pas dire qu’à la moindre occasion tu ne regardes pas ton téléphone en espérant un message d’Emily. 
Finalement, c’est en fin de journée, après que tu aies fini de dîner que ta petite amie t’appelle enfin et sans perdre une seconde, tu décroches le téléphone.
-Hey, Em’, comment tu vas ? L’enquête n’est pas trop compliquée ?
-Toujours un peu au début, mais on a déjà des pistes. Et toi, ta journée ?
-Oh, tu sais, j’ai dû expliquer quinze fois la même chose, un enfant a éternué sur mon pull et une autre m’a dit que j’étais belle, même si j’étais vieille. La routine, dis-tu sur un ton léger alors qu’Emily rigole.
-Encore une journée bien mouvementée.
-Comment ça s’est passé avec ta psy ? 
-Elle a déclaré que tout va bien, que je suis apte à reprendre le travail, t’informe-t-elle après avoir pris une inspiration.
-Tant mieux. Enfin, si c’est la vérité, ajoutes-tu et tu peux voir Emily rouler des yeux mentalement. Je te connais, Em’, je vois bien déjà comment tu as dû mal à m’avouer quand tu as un cauchemar alors, j’imagine que ça doit être encore plus compliqué avec ta psy.
-Ça n’affecte pas mon travail, même Hotch me l’a dit.
-Je ne dis pas le contraire…, commences-tu, prudemment. Écoute, je sais que je ne pourrais jamais comprendre ce que tu as vécu, mais je sais qu’on ne s’en remet pas aussi vite. Tu as le droit de ne pas aller bien, d’avoir du mal à t’en remettre. 
-Je suis en train de reprendre ma vie en main, rétorque-t-elle.
-Je le sais et je ne le nie pas, mais Emily, tu ne fais que de t’inquiéter pour Derek, Pénélope, Spencer et tout le reste depuis ton retour, mais tu ne t’inquiètes pas de la personne la plus importante. Toi. Et je suis là pour toi, pour te soutenir. Je ne dis pas que j’aurai toujours le bon mot, mais je ferai de mon mieux. Tu peux venir me parler quand tu ne vas pas bien. 
-Je vais bien, répète Emily d’un ton neutre.
-Ta psy te croit peut-être quand tu le dis, mais je connais la vérité. Emily, arrête de repousser ceux qui t’aiment. Arrête de me repousser. Tu n’as pas à affronter ça toute seule, surtout quand tu n’arrives plus à ignorer ce qui s’est passé. Laisse-moi être là pour toi.
Emily reste silencieuse, seule sa respiration comble le blanc. Tu entends une autre voix indescriptible en fond puis Emily se racle la gorge.
-Je dois y aller. Je t’aime.
-Je t’aime aussi. 
Emily raccroche et tu pousses un soupir, les larmes aux yeux. Tu ignores si ce que tu as dit a fait réagir Emily, tu espères que c’est le cas. Tu n’arrives plus à supporter cette situation. Tu sais qu’elle a besoin de plus de soutien, mais comment le faire quand elle ne le demande pas ? Tu n’aimes pas ce sentiment d’impuissance. Tu aimerais prendre toutes ses cicatrices pour qu’elle puisse enfin vivre librement. 
Tout le reste de l’enquête, Emily reste assez distante. Elle t’envoie au moins un message par jour pour te dire qu’elle t’aime, habitude que vous avez depuis le début de votre relation. Étant donnée son métier dangereux, vous ne restez jamais une journée sans vous le dire, surtout depuis qu’il y a eu Doyle. Toutefois, quand tu réponds à son message et que tu essayes de créer une conversation, elle y coupe vite court. 
Plus les jours passent et plus tu te fais un sang d’encre pour Emily. Quelque chose ne va pas, tu en es persuadée. Tu aimerais t’en assurer, mais tu as peur d’être trop oppressante. À force d’insister, tu risques de faire l’inverse de ce que tu veux en créant une atmosphère anxiogène pour Emily. Alors, tu essayes de rester à bonne distance, assez près d’elle pour la soutenir, mais assez éloignée pour ne pas qu’elle te repousse. 
Afin de te distraire, tu mets toute ton énergie dans ton travail, retravaillant tes cours, corrigeant les exercices. Ça marche seulement un temps, ton esprit trouve vite un moyen pour te faire penser à Emily. 
Un soir, après un peu plus d’une semaine après qu’Emily soit partie, tu es sur la table de la cuisine en train de travailler tout en mangeant quand tu entends la porte s’ouvrir et un sac se poser lourdement par terre. Sans attendre, tu poses ta fourchette et te diriges vers l’entrée avec hâte. Là, tu découvres une Emily avec un regard triste. Tu t’apprêtes à parler, mais elle te devance. 
-Je ne vais pas bien, avoue-t-elle d’une voix tremblante.
Et en une fraction de seconde, elle fond en larmes. Tu accours dans ses bras et la serre contre toi en tentant de l’apaiser. En sentant que ses jambes ne supportent plus son poids, tu invites Emily à s'asseoir à même le sol tout en la gardant contre toi. Tu caresses tendrement ses cheveux en lui chuchotant des mots réconfortants. Les larmes d’Emily coulent de plus en plus sur ses joues alors qu’instinctivement, elle colle son oreille contre ta poitrine et écoute les battements de ton cœur. Dans tes bras, Emily s’autorise enfin à déverser toutes ses émotions et à confronter toute la douleur qu’elle a traversée. Vous savez toutes les deux qu’il faudra du temps à Emily pour guérir, mais tu comptes bien être là et la soutenir à chaque étape. 
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ekman · 1 year ago
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Environ 18 heures après la diffusion de l’interview de Vladimir Poutine par Tucker Carlson, Twitter annonçait autour de 125 millions de vues. Je ne sais pas si ce missile-là est supersonique, ou s’il s’est déguisé en torpille au plasma, mais autant vous dire que c’est un brin la panique dans l’Occident collectif – pour ne pas dire “collecteur”. On m’a montré les réactions sur LCI (ou était-ce BFM ?) de chroniqueurs confus, d’experts délirants et de traine-sabres hystériques n’hésitant pas à se noyer dans leur logique de loser intégral : Poutine ment, alors mentons plus que lui encore. Fascinant ! Plus loin, c’est le chargé de communication du “National Security Council” des États-Unis, l’amiral John Kirby, qui ne parvient pas à dissimuler son agacement et son désarroi face au tsunami d’audience réalisé par cette longue séquence. “Les Américains savent qui est Poutine et ce qu’il a fait.” Oui, bien sûr John. Ils savent aussi que quelques heures plus tôt, Joe “Alzy” Biden affirmait que tout allait bien dedans sa boule d’escalier – deux jours après s’être entretenu avec Mitterrand. Les États-Unis fabriquent des mensonges comme ils impriment des dollars. C’est à dire sans vouloir comprendre qu’ils sont dans une fuite en avant qui un jour va cesser, Brics obligent. L’empire de la freedomerie s’écroule à son tour, emporté par cette méchante fièvre apparue un soir de novembre 1989. La liberté tue l’espérance et seuls ceux qui doivent lutter pour elle ont l’énergie pour se tenir debout. Je sais, c’est un poil sisyphien, mais c’est ce que j’ai observé tout au long des cinquante dernières années. Les combattants marxistes d’hier sont devenus des entrepreneurs libéraux et les porteurs de sacs de riz face caméra sont devenus des porteurs de parts anonymes. Mozambique et Amazon réunis dans la même équation fatale. Vladimir sourit. Il s’amuse à dérouler sa démonstration sans appel. Il aime bien Carlson, ça se voit, même s’il le rattache fatalement à cette nation de clowns psychopathes que sont devenus les États-Unis. Enfin “Unis”... pour quelques temps encore.
J.-M. M.
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