#avant la seconde version
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museumofsins-rpg · 3 days ago
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DESIGN VERSION 1.0 -- 31.10.24
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willcmsv · 4 months ago
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Soft Launch - Alain Laubrac x Fem Reader (FR)
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The story that follows is in French for my French Voltaire High's fans, English version is posted there!
Requested by @babydeersblog
Synopsis: Alain et toi aviez fait connaissance au début de l’année et aviez été associé à plusieurs travaux de groupes, ce qui a permis de faire évoluer votre relation au fur et à mesure. Cependant, après avoir été moqué lorsque tu as avoué des sentiments à un garçon, tu as décidé de les garder pour toi et de ne plus faire transparaître des traces d’amour. Mais Alain te fait malheureusement ressentir quelque chose que tu aimerais découvrir davantage.
Warnings: petits changements dans l'histoire de base.
Notes: n’hésitez pas à me recommander des idées de oneshots — j’écris en anglais et français!
Depuis le début de l’année, Alain et toi vous échangez des mots durant vos heures de cours. Tu as l’habitude de lui faire des petits dessins pendant qu’il t’écrit des citations ou des farces, dépendant de son humeur. Depuis son combat avec Joseph il y a quelques mois, tu es devenue la sorte d’ange gardien d’Alain, tu l’empêches de déraper et tu le défends lorsque tu en as l’occasion devant Joseph et ses amis.
Cependant, depuis ces dernières semaines, Joseph ne peut s’empêcher de vous taquiner en rappelant comment vous êtes proches et en assumant que vous vous aimez comme si cela était un jeu. Mais Joseph était comme ça. Tout était drôle pour lui et tout n’était pas grave.
Lorsque tu rentres à la maison les week-ends, tu as le droit à l'interrogatoire privé de ton frère Jean-Pierre, comme si les questions bidons de Joseph ne suffisaient pas. Pour Jean-Pierre, tu étais et resteras toujours sa petite sœur qu'il doit chérir et protéger. Il a arrêté de te voir grandir à l'âge de neuf ans.
"C'est qui Alain ?" Demanda Jean-Pierre la seconde où tu déposas ton pied à l'intérieur de ta maison.
"Un ami. Question suivante ?" Tu répondis.
Jean-Pierre fronça les sourcils. Pour lui, hors de question que tu sortes avec un garçon. Simone lui avait rappelé plusieurs fois que tu avais dix-sept ans et que tu étais assez grande pour avoir un copain, mais il était têtu et ne voulait rien savoir concernant ce sujet.
"Apparemment non, ce n'est pas ce que Joseph prétend dire."
"Joseph ! Tu le crois vraiment lui ?! C'est un idiot et il aime lancer des rumeurs sur tout ce qui bouge. Je te croyais plus intelligent…" Tu affirmas en attrapant un verre que tu remplis soigneusement d'eau.
Après ton échange avec ton frère, tu te dirigeas vers ta chambre et découvre une lettre déposée sur ton lit. Elle est signée A.L.
Tu as reconnu tout de suite l'écriture de l'expéditeur et ses phrases toujours si originales que captivantes. Tu ne pus t'empêcher de sourire à chacune de ses lettres, à chacun de ses mots, de ses actions. Mais bien que cela devrait te rendre heureuse, au contraire, cela t'angoissait.
Chaque soir avant de dormir, tu réfléchissais à ce que tu voulais vraiment. Tu avais deux choix qui se présentaient à toi : lui avouer tes sentiments et risquer de te faire humilier comme auparavant, ou les garder secrets et peut-être perdre l'amour de ta vie.
L'amour de ta vie, c'est peut-être un grand mot.
Le lundi matin, après avoir quitté ton domicile, tu arrivas au lycée un peu plus tôt. Tu espérais surtout voir Alain.
"Matinale." Une voix masculine t'interpella.
Sans même te retourner, tu pus reconnaitre cette voix entre cents, même si ce n'était pas réjouissant pour toi.
"Joseph, qu'est-ce que tu me veux encore ?"
"Qu'est-ce que je te veux ? Qu'est-ce que tu me veux plutôt."
Tu leva ton sourcil, lançant inconsciemment un regard noir à Joseph.
"Même si le lycée ne me connait pas encore sous ce nom, je suis ravi de me présenter, Joseph le Cupidon." Il se baissa en mimant une révérence.
"Joseph le quoi ?!" Tu pouffas de rire à cette nouvelle imprévisible. "Tu te moques de moi, c'est ça ?"
"Est-ce que j'en ai l'air ?"
Mon sourire s'effaça immédiatement de mon visage lorsque je compris qu'en effet, il était complètement sérieux. Mais Joseph, sérieux ou non, n'est pas quelqu'un de confiance.
"Va te chercher un autre client." Tu répondis en tournant les talons.
"Tu n'as pas envie de savoir ce que ton cher Alain pense de toi ?" Un sourire narquois se forma sur les lèvres du blond.
"Pas forcément, et sûrement pas grâce à ton aide." Tu déclares.
"C’est dommage, je connais beaucoup de choses à son sujet et des choses qui pourraient t’intéresser-" Joseph s’arrêta dans sa phrase lorsque Alain arriva.
"Ça va Y/n ? Joseph…" Alain lança un coup d’œil confus à Joseph. "On peut déjà se préparer à aller en cours, t’en dis quoi ?"
Tu acquiesces et tous les deux partirent jusque dans les couloirs. Alain s’adossa au mur.
"Si Joseph t’embête, dis-le-moi."
"C’est Joseph, il est comme ça." Tu déclares.
Alain baissa son regard, comme s'il était contrarié, et contrarié par ce qui venait de se passer.
Lors du premier cours de la journée, tu ne pouvais t’empêcher de jeter de nombreux coups d’œil à Alain qui paraissait tellement concentré sur le cours. Tu étais aussi concentrée sur lui que lui sur son cours que tu ne te rendais pas compte que son regard était maintenant tourné vers toi.
Ses yeux bleus étaient encrés sur toi. Il ne bougea même pas lorsque ton regard rencontra le sien. Tes joues prirent soudainement une teinte de rose pendant qu’un sourire narquois se dessina sur le visage d’Alain.
À la sortie des cours, tu croises à nouveau la route de Joseph qui te supplia de t’accompagner jusqu’à chez toi puisque vous habitez près l’un de l’autre.
Alain, qui marchait quelques mètres plus loin, a pu apercevoir ta silhouette et celle de Joseph marcher côte à côte. Il ne put s’empêcher de ressentir de la jalousie. Pourquoi Joseph était-il toujours obligé d’être avec toi alors qu’il rêvait seulement d’être à sa place.
***
Le lendemain, Alain et toi aviez un travail de science à terminer, un travail qui t’obligeait à travailler pendant une durée indéfinie avec lui. Tu te réjouissais déjà d’avance de te retrouver avec lui, mais bizarrement, tu ressentais de la pression, comme si cela allait mal se passer.
Tu marches rapidement vers la salle de science en apercevant Alain qui était déjà assis sur une chaise au fond de la salle.
"Je suis en retard ?" Tu demandas.
"On va plutôt dire que je suis en avance." Alain te sourit avant de te tirer une chaise.
Le travail avança plus rapidement que prévu, tous les deux étiez concentrés, mais prenaient quelques poses afin de discuter de choses plus divertissantes et amusantes que les cours de sciences.
"Toi et Joseph, il y a…" Alain commença.
Tu écarquillas les yeux avant de répondre.
"Non, non ! C’est seulement un ami, il ne m’intéresse pas." Tu t’empressas de répondre.
Alain lança un coup d’œil à son cahier sans dire un mot, comme si ta réponse ne lui convenait pas.
Ses doigts tenaient fortement son crayon avec lequel il gribouillait dans le coin de son cahier.
Tes yeux parcouraient tout son visage, de ses boucles brunes jusqu'aux courbes fines de sa mâchoire.
"Ça ne va pas ?" Tu demandas finalement.
Les yeux d’Alain se fixèrent une nouvelle fois sur toi. Ils descendirent jusqu’à tes lèvres avant de remonter à tes yeux. Bien qu’il ne parlait pas, son regard en dévoilait tellement plus.
Tes battements de cœur s’accélèrent et tes lèvres te démangeaient de l’envie de l’embrasser.
Son visage se rapprocha doucement du tien, ton cœur manqua presque un battement.
"Ça bosse dur ?" Une voix masculine lâcha.
Alain et toi vous retournez en un sursaut avant d’apercevoir Joseph dans l’embrasure de la porte. Il te souriait de manière espiègle comme s'il avait fait ça exprès. Et tu étais sûre que c’était le cas.
"Je vais te laisser, Y/n. On se remet en commun demain." Alain remballa ses affaires et te lança un bref sourire avant de s’en aller, frôlant légèrement Joseph.
"Ça t’amuse ?!" Tu déclares.
"J’ai cru que tu n’étais pas intéressée ?" Un sourire narquois apparut sur les lèvres de Joseph.
***
L'après-midi, tu t'étais rendue à l'infirmerie pour prendre des médicaments pour soigner ton mal de ventre irrépressible. Avant que tu puisses à nouveau enfiler ton gilet, la porte s'ouvrit sur Alain.
"Hey..."
"Je- Je ne pensais pas voir quelqu'un ici à cette heure." Il affirma.
Son nez saignait légèrement et tu pouvais remarquer du sang sur ses phalanges.
"Tu t'es battu ?" Tu demandas directement.
Il ne répondit pas, ses lèvres se pincèrent et il détourna le regard. Des fois, le silence est plus fort que les mots.
Tu mouillas un coton avant d'attraper doucement sa main pour la désinfecter.
"C'était pas moi… Je n'ai pas commencé." Il murmura.
"C'est trop simple de dire ça à chaque fois, Alain."
Il inspira et expira un 'oui' silencieux et serra les dents lorsque tu appuyais sur sa plaie.
La proximité entre vous deux te permettait d'entendre les battements de son cœur et de sentir son regard sur toi pendant que tu désinfectais soigneusement sa blessure.
En déposant le coton sur la table à côté de vous, tu sentis la main immobile d'Alain frôler légèrement ta cuisse lorsque tu te déplaças.
Tu mordilles ta lèvre pour dissimuler ta préoccupation. Chacun de ses mouvements, de ses regards ou de ses mots te procurait toujours une sensation qui était impossible à décrire.
Il était devenu de plus en plus compliqué pour toi d'assumer tes sentiments sans toujours imaginer le pire. Cependant, tu voulais que ça marche avec Alain. Tu sentais toujours des papillons dans ton ventre lorsque tu le voyais te sourire dans la cour, ou lorsqu'il dissimulait des lettres dans ton sac. Sans compter les fois où tu pouvais croiser son chemin, comme dans l'infirmerie par exemple.
Tout te menait à lui et tu ressentais quelque chose de différent, quelque chose de captivant.
***
Le lendemain, après la fin des cours, Alain t’avait invité pour faire un tour en ville. Au début, vous marchiez en silence. Tes interactions avec lui n’étaient jamais aussi gênantes, et l’ambiance était presque pesante actuellement.
"Désolée pour hier…"
Alain tourna sa tête, presque étonné que tu t’excuses.
"Ce n’est pas ta faute." Il répondit brièvement.
Tu te mordais les lèvres, tu ne savais pas comment rendre l’ambiance plus joyeuse ou seulement moins morbide.
"Joseph est-" Tu commences avant de te faire interrompre par Alain.
"C’est toujours Joseph, Y/n. Sauf que Joseph prend un malin plaisir à t'embêter, je le remarque très bien. Il faut que tu l'ignores, parce qu'il ne va pas s'arrêter si rapidement. Alors arrange toi pour qu’il arrête, ou je vais m’en occuper moi-même."
Lorsqu’il finit de s’exprimer, tu n'as pu t’empêcher de sortir un court ‘non’ de ta bouche. Tu ne voulais pas qu’ils s’en prennent aux mains comme toujours.
Tu attrapes son bras pour le pousser légèrement vers toi. Soit tu attendais et tu risquais peut-être que la situation dégénère ou se finisse autrement que prévu, soit tu prenais ton courage à deux mains.
Alain te regardait de nouveau avec un regard rempli de désir. Tu ne savais pas ce que ce regard voulait exactement dire, mais bien que tu ne veuilles pas te tourner des films, il n’était en aucun cas amical.
"J’aimerais t’avoir à moi pour une fois… pour pouvoir agir sans que quelqu’un me coupe à chaque fois…" Alain affirma.
Vous arrivez dans une petite ruelle. Vous marchez de plus en plus lentement et vos corps se rapprochaient au fur et à mesure que vous avancez, jusqu'à ce que vos mains se frôlèrent à plusieurs reprises.
Vos deux regards se croisèrent lorsque vous sentez la main de l’autre. Alain s’avança devant toi et s’arrêta soudainement, ce qui mena à ton arrêt à toi aussi.
"Y/n, j'aimerais tellement que tu sois plus confiante, tu es jolie et intelligente. Ne te cache pas et ne te laisse pas marcher dessus par qui que ce soit."
Tes sourcils se levèrent lorsque tu entendis ses mots. Tes joues devinrent immédiatement rouges malgré le fait que tu essayais de les cacher.
Alain se pencha lentement vers toi, sa main se tendait vers ton bras. Il n’osait pas la poser autre part et attendait surtout une réponse de ta part pour le faire. Ses yeux se baissèrent de nouveau vers tes lèvres. Cependant, cette fois-ci, il ne détourna pas le regard. Malgré l’hésitation, il posa enfin ses lèvres sur les tiennes et tu répondis immédiatement au baiser. Ses lèvres douces s’appuyèrent contre les tiennes et bougeaient à la même allure que les tiennes.
Quelques secondes plus tard, vous reculez tous les deux vos visages et vous regardèrent dans les yeux avant qu’Alain t’affiche un sourire doux.
"Je n’aurais pas pensé faire ça ici… mais c’est même mieux." Il sourit et posa enfin une main sur ta taille.
Tu fus prise par les émotions et atteins à nouveau ses lèvres pour l’embrasser. Il appuya fermement sur ta taille en même temps que ses lèvres s’enfoncèrent dans les tiennes.
Sa respiration chaude soufflait contre ta peau et tu la sentais s’accélérer doucement.
Tu sentis ses lèvres former un sourire contre les tiennes et tu ne pus t'empêcher de sourire à ton tour.
De nouveau, tu sentais comme une sensation de flottement dans ton estomac. Sa main qui caressait tendrement ta taille et les mouvements de vos lèvres les unes contre les autres ne faisaient qu'empirer ton cas.
Cependant, ce que tu ne pouvais pas savoir était que du côté d'Alain, des tonnes d'émotions et de sensations envahissaient également son corps et faisait palpiter son cœur en rythme avec les battements du tien.
1758 mots.
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juliantheupsidedown · 1 year ago
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petit ange // leclerc family
this is a soft launch before the main part. maybe it will even grow into a series? I fell in love while I was doing it
it can be considered a kind of prologue. directed more to indicate the relationship between siblings leclerc
enjoy it! and be sure to let me know what you think about it
instagram edit
aurelie_leclerc
📍Monte Carlo, Monaco
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aurelie_leclerc les derniers jours de la maison avant le premier grand voyage dans une nouvelle vie (the last days at home before the first big journey into a new life)
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gg_giadagianni tu me manques déjà beaucoup (i miss you so much already)
aurelia_leclerc like your comments ❤️
arthur_leclerc i can't believe that a part of me will be at a distance of 10 thousand kilometres for most months of the year, disgusting! 😮‍💨
aurelie_leclerc no matter what distance separates us, you are always a part of me, and i am you
lorenzotl fier de toi et terriblement manqué (i'm proud of you and i miss you terribly)
leclerc_pascale mon petit ange ❤️
charles_leclerc come home soon
august 1, 2018
aurelie_leclerc
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aurelie_leclerc I still can't believe I missed his entire first season in Formula One. je suis si fier de toi, grand frère ❤️ (I'm so very proud of you, big brother)
tagged charles_leclerc
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charles_leclerc You should definitely visit Austin next year, miette ❤️
aurelie_leclerc Of course I'll be there!
leclercfans We are incredibly looking forward to seeing you in the paddock next year!
december 2, 2018
aurelie_leclerc
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aurelie_leclerc I'm not the one crying the night before the first class of the new semester, because my older brother won at Monza 😭❤️
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lerlecrfam She's such a proud sister, I can't now I'm crying again
charleslecfans the fact that Aurelia watches all the races live despite the huge time difference. CAN I HAVE A SISTER LIKE THAT?
september 8, 2019
lorenzotl
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lorenzotl SHE DID IT! I can't describe in words how proud I am of her, she proved to everyone - first of all to herself that she is worthy of it! And it was worth the tears we endured, the late-night Facetime calls in which she drops out of university and returns home, the terrible and difficult exams. My heart is overflowing with joy for my princess. I love you incredibly much, Aura. Nous sommes fiers de toi! (We are proud of you)
tagged aurelie_leclerc
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leclerc_pascale Papa est très fier de toi, petit ange! (Dad is very proud of you, little angel!)
aurelie_leclerc maman 😭
charlottesiine félicitations, chérie! tu es si bien (congratulations, dear! you're so good)
aurelia_leclerc like your comments ❤️
arthur_leclerc I always knew you wanted to spray everyone with champagne, sis. je t'aime et je suis très fier (i love you and i am very proud)
famleclerc congratulations on completing your studies and returning home! we've missed you
f1lclercgirl Aurelia who sprays champagne like her brothers. I'm pretty sure that all these years she was jealous of them and wanted to repeat this trick 🥂
aurelia_leclerc like your comments ❤️
charles_leclerc I'm so sorry that on one of the most important days in your life we weren't there. But I am incredibly proud of you, knowing how much you had to go through, miette. my heart is overflowing with pride for you. And I can't wait to meet you at home ❤️
justlecgirl I cried for the second time from Charles' comment. can I have such a relationship with my brothers?
june 27, 2022
aurelie_leclerc
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aurelie_leclerc Happy birthday to my soul, my mind, my heart, the male version of me. I was lucky to be born with this handsome man on the same day and to be his pillow sister from birth. From the first second of my life, I'm a fan of his. and I'm incredibly proud of everything he does and was able to do! you are my support, my twin brother 🫶🏻
tagged arthur_leclerc
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lerlecrfam Happy birthday to the most wonderful twins!
leclercfans this collection of photos! I'M SO EMOTIONAL. happy birthday
valentinesine joyeux anniversaire, bébé. je t'aime beaucoup (happy birthday, baby. i love you very much)
charles_leclerc happy birthday, miette
f1fanmac are we really going to ignore the fact that Felipe liked the post?
october 14, 2022
arthur_leclerc
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arthur_leclerc I'm so happy because she chose me as her older twin brother. happy birthday 🤍
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famleclerc I feel that Arthur has deprived us of congratulations this year
mclarengim I think this is due to the fact that Aurelia is finally at home and he personally congratulated her, now there are not 10 thousand kilometers between them
leclerc_pascale mes petits anges, joyeux anniversaire (my little angels, happy birthday)
aurelie_leclerc I wish I had a choice. If I could, I would choose Charles as a twin. happy birthday, Arti
arthur_leclerc A dagger right in my heart on MY birthday
aurelie_leclerc *our birthday
felipedrugovich happy birthday 🎂
asstonmmartin omg Felipe appeared HERE TOO?!
october 14, 2022
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camisoledadparis · 6 days ago
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Soumission & Domination 335
Le tatouage d'Emma, nouveau plan pour Amaury
Début Janvier, j'emmène Emma chez mon tatoueur. Il est surpris de savoir que cette encore jeune femme est ma mère. Pour définir le travail à faire, elle se met quasiment nue puisque le dragon partira du sillon entre ses deux fesses jusqu'à son sein droit. Le tatoueur admire la plastique irréprochable d'Emma. Je crois bien que ça le fait même bander ! Je me dénude à ses côtés et lui dis que ce que nous voulons c'est le même mais qui passe sur la taille d'Emma avant de remonter vers son sein. Donc ce sera le même dragon mais dans une autre position. Le tatoueur souligne que le passage sur le flanc d'Emma va être douloureux pour elle. Cette partie du corps est fortement innervée, c'est bien pour ça que les chatouillis y sont pratiqués. Et sur les côtes, la faible masse musculaire qui les recouvre amortie peu les sensations des aiguilles. Emma balaye d'un geste ces considérations. Elle lui demande juste de faire tenir la " bête " dans les délimitations de son maillot une pièce. Pour cela elle enfile celui qu'elle avait amené pour qu'il se rende compte. Il la prend en photo et mesure les dimensions de la partie couverte. Il prend en photo aussi mon dragon car il ne garde pas les documents propres à chaque tatouage afin de ne faire que des oeuvres différentes. Je suis le premier à lui avoir demandé une réduction de mon dragon pour l'épaule de Marc et une nouvelle mouture pour Emma.
Une semaine plus tard, il nous téléphone de venir voir son travail. Il nous présente deux versions. La première avec la tête du dragon entre les seins mais du coup elle sort de la zone couverte, la seconde, à l'aide d'une torsion supplémentaire de son corps place la tête du dragon sur les côtes avec sa gueule ouverte autour du téton. Cette deuxième version entre dans les critères mais rend quand même moins bien. Dans les deux cas, la tête du dragon est déformée par le galbe du sein. Emma s'en rend compte et est un peu déçue du résultat. C'est à ce moment-là que le tatoueur sort un troisième projet. Il a placé la bestiole comme sur ma propre peau en dégageant un peu plus le cou d'Emma pour permettre des décolletés larges. Le corps du dragon passe en partie sur l'épaule et de l'autre côté, la patte, qui sur moi s'agrippe à ma clavicule gauche, là, lui enserre l'autre épaule. Le résultat est nettement plus lisible, la tête trouvant sa place sur l'aplat au-dessus du sein.
Des trois, c'est le plus beau des placements. Emma n'hésite pas longtemps même si quelques soit le maillot de bain, à moins de revenir à ceux du début XXème siècle, il sera impossible de le cacher. Elle choisit la troisième proposition. Il avait prévu cette éventualité et le calque est prêt. C'est au transfert que l'on peut se rendre vraiment compte. Le tracé laisse effectivement le cou d'Emma bien dégagé, suffisamment pour les décolletés qu'elle porte en publique.
Nous sortons de la séance avec le tracé noir totalement réalisé et un rendez-vous deux semaines plus tard pour la colorisation. Je l'accompagne encore d'autant plus que pour faire un sosie de mon dragon, il vaut mieux que le tatoueur l'ait sous les yeux. Le résultat quelques heures plus tard est parfait. Puis il est recouvert de cicatrisant puis de film alimentaire. Emma à l'air d'une momie ! Je la reconduis chez elle. Elle est assez fatiguée d'avoir combattu la douleur pendant autant de temps. Je la confie à Pablo pour les jours à venir. Heureusement qu'avec lui elle a plus qu'un simple cuisinier. Elle sait qu'elle peut lui demander plus (sans sexe) sans qu'elle soit jugée. Moi, je sais qu'il va prendre soin de sa cicatrisation et l'enduire deux fois par jour de Cicatryl. Après moi, il est le premier à voir le tatouage. Il le trouve superbe et trouve les modifications par rapport au mien sans effets néfastes. Elle cicatrise vite et dès le 10ème jour, après contrôle par le tatoueur, elle est autorisée à laisser tomber le cicatrisant. Son habitude de s'hydrater la peau suffira. Les couleurs brillent, elle est superbe. Nous fêtons ça par une soirée chez elle, PH, Ludovic et moi. Depuis 25 jours qu'elle n'avait fait l'amour, c'est elle qui nous a mis sur les genoux et tous les trois !
Mes deux acolytes trouvent le tatouage superbe et je vais avoir du mal à les retenir d'y passer aussi.
Ludovic qui déjà adorait s'écraser sur mon dos pour coller mon dragon et essayer en vain de prendre sa position, trouve ça plus facile sur Emma. C'est évident, elle est plus petite que moi plus une poitrine plus " développée " et du coup il arrive à lui prendre le téton entre les dents ! Un par un ou ensemble, nous la pénétrons pour calmer sa faim de sexe. Ernesto étant absent, j'aurais dû anticiper et demander à Jona et François de nous rejoindre. Peut-être qu'à 5 nous aurions réussi à satisfaire complètement. Là, nous l'avons finie à l'aide de godes.
Bon, elle n'a pas regretté quand même. Nous avons réussi quand même à la maintenir presque une demi-heure d'heure d'affilé au sommet de la jouissance par une triple prise : 1 anale et 2 vaginales. Explications : - Moi sur le dos ma bite enfoncée dans son anus, Emma couchés sur    mon torse, - Ludovic la sienne dans la chatte, ses jambes de chaque côté de nos tailles pour dégager au maximum l'espace entre nous deux, de plus la position le maintien enfoncé au maxi dans Emma, - PH debout, ses jambes de chaque côté des miennes, a donc la place d'enfoncer son gland à côté de celui de Ludovic. Le résultat : je suis super comprimé par les deux queues qui prennent de la place dans le ventre et sans avoir à bouger, l'excitation reste permanente par les va et vient de PH. C'est pareil pour Ludovic qui bénéficie en direct de PH.
Nous en sortons exténués et vid��s pour un moment ! Mais Emma elle a trouvé cela trop bon. Je suis sûr qu'elle imagine ce que cela donnerais avec les 24x6 d'Ernesto en remplacement d'un de nous. Par contre, deux dans chacun de ses trous ça va être impossible à faire !
Le matin qui a suivi cette nuit de folie, Pablo nous avait préparé un petit déjeuner roboratif. Après avoir avalé de quoi nourrir un régiment entier revenant d'opération sur le terrain, nous sommes partis en cours chacun de son côté. J'ai somnolé une bonne partie de la matinée. Evidement je me suis fait moquer par Morgan et Amaury qui se demandent bien ce que j'ai pu faire la nuit précédente.
Amaury me prend à part et me demande quand il aura droit à un nouveau plan hard multi partenaire. Il me dit d'en parler avec Samir. Je fais le point avec ce dernier. Il me dit qu'effectivement, même si Ammed devient dominateur avec lui sur Amaury, il voit bien que ce dernier demande plus. Pas dans le remplissage de sa rondelle, ça ils y arrivent sans peine, leurs deux bites de 19.5 x 6 et 19.2x5.6, réunies ensemble assurent. Les séances de godage et même de fist le font jouir surtout quand sa bite est contrainte dans sa cage. Mais c'est le côté psy qui pêche de temps en temps. Il recherche le service " vidage de bite par tous ses trous " qui lui apporte l'avilissement total dont il a besoin. 
Mes clients habituels sont trop proprets pour arriver à lui faire passer ce genre de sensation. En plus, je ne voudrais pas qu'ils reproduisent ça sur mes Escorts " classiques ". Je charge Samir de rechercher qui pourrait satisfaire la demande de mon Escort particulier.
Il met une semaine pour me trouver plusieurs options.
Larvage en cave dans la cité craignos du coin. Là une bonne quantité de jeunes Beurs et blacks en manque de meufs pourrait faire l'affaire mais le rapport sera faible et les risques de dérapage importants.
Le faire taffer un soir en foyer de travailleurs. Là leur pouvoir d'achat est un peu supérieur et la quantité d'homme sevré de femme sera importante. La moyenne d'âge plus élevée, la forte majorité d'immigré assurera un effet dépravation supplémentaire. Il a repéré deux foyers Sonacotra qui seraient idéaux pour ça.
Dans les deux cas, il faudra encadrer Amaury pour limiter au maximum le risque pour sa santé. Fournir les kpotes et le gel sera indispensable et surtout rester pour s'assurer que les " utilisateurs " les utiliseront. Et vu la population même les pipes devront se faire sous kpote. Il ne veut pas qu'Amaury y attrape une chtouille ou même plus.
Là-dessus je suis totalement en accord avec lui. Il serait bien de voir s'il n'y a pas un ou plusieurs " chefs " qui seraient capable de gérer leur groupe ethnique. Je lui dis de voir aussi avec Jona et François. Ils ont des entrées particulières de renseignement et en plus nous aurons besoin d'eux pour la sécurité. Entre Ammed, PH, eux deux plus nous deux, et notre pratique des arts martiaux, on ne devrait pas rencontrer de problème. Au pire s'il y a trop de participants potentiels, rien ne nous interdira de refaire une séance. Quant au tarif, il faudra probablement s'aligner sur les putes bas de gamme. La sodo simple à 50€ et celle après une pipe à 70, ça devrait le faire. A confirmer avec nos agents de renseignement !
La semaine suivante, nous avons les infos. Samir a rencontré les meneurs des trois groupes ethniques du premier foyer, blacks, algériens et turcs. Ils ont sondé leurs ouailles et il en ressort qu'une cinquantaine serait partante au tarif proposé. Samir me présente même une prévision à 20 sodos simples et 30 sodos après pipe. Soit une soirée à plus de 3 100 quand même ! Il me dit qu'il a rencontré quelques futurs bénéficiaires de notre plan " Dégorgement des couilles immigrée ", Amaury ne devrait pas être déçu. En plus du nombre, quelques bites devraient lui donner des sensations intéressantes. Il a négocié avec les trois hommes que leurs séides soient propres et douchés avant de venir. Le port de kpote aussi a été acté. Si ce n'était pas le cas, le mec serait sorti de la liste. Ils ont même tiré au sort la succession des ethnies. Le premier sera Turc, le deuxième Black et le troisième donc Algérien et reprise Turc, Black, les sodos simples au début et celles après pipe après... jusqu'au dernier.
L'affaire a l'air de rouler ! Nous la proposons à Amaury. Il s'y projette vite et nous demande de la programmer au plus tôt. Je lui dis qu'il devra quand même, par sécurité complémentaire à l'utilisation systématique des kpotes, suivre un traitement post exposition au HIV. Il en comprend la nécessité. De même il se fera dépister des autres MST avant de se permettre de nouveaux plans en réel. Il est d'accord avec toutes ces contraintes supplémentaires. Il avait pensé lui aussi au TPE mais pas aux autres MST.
Nous profitons d'un WE où Ludovic se fait une super chasse chez son paternel pour organiser cette affaire. Quand nous arrivons dès 13h30, nous rencontrons les 3 délégués. Ils nous remettent chacun les participations de leurs compatriotes. Je m'isole pour compter. Le montant prévu est là. Je rejoins les autres qui ont mis Amaury en situation. Ils ont réquisitionné un des T2 du rez-de-chaussée. Le Turc nous remercie de lui avoir mis une cage. Il n'en avait pas parlé mais certains de ses collègues lui avaient dit qu'ils espéraient que la " pute " ne banderait pas.
Amaury est à 4 pattes sur le lit, les fesses à l'aplomb du bord pour que les mecs puissent l'enculer direct, debout. Jona et François sont avec lui de chaque côté du lit prêts à intervenir. Samir et Ammed sont avec les trois " gérants " ils vont devoir gérer les participants en amont. Notamment ils ont la charge de fournir la kpote adaptée (à la taille du sexe).  Avec PH nous servons de renfort.
Amaury est prêt pour le premier assaut. Samir lui a préparé la rondelle afin qu'il soit performant dès la première saillie.
Les instructions ont été suivies. Dans le couloir qui sert pour la file d'attente, pas d'autres odeurs que celle des différents gels douche utilisés. Les mecs sont en majorité en jogging et T-Shirt. Ils sont propres aussi. Quelques-uns sont en shorts. Plus je remonte la file vers l'appartement, plus le silence se fait et les joggings se tendent. A la porte d'entrée je comprends. En provenance de la chambre, arrivent les gémissements d'Amaury. Entrecoupés de " vas-y, fuck, plus fort... ", ils font bander les 15 qui attendent leur tour. Je rentre dans l'appart. Dans le séjour, le trio vérifie que le mec fait bien partie de ceux qui ont payés et ils le font même mettre le pantalon aux genoux pour vérifier la propreté. Ça permet à Samir ou Ammed de donner la bonne taille de préservatif. Le mec rentre alors que le précédent sort. Il encule Amaury directement et le secoue jusqu'à jouir. Ce qui ne prend environ que 5 à 6 minutes. Quand il part, il retire son préservatif et le jette dans une grande poubelle, remonte son jogging ou son short et se casse. Durant cette première partie, je vois deux ou trois mecs ttbm qui arrivent à tirer des gémissements plus prononcés à Amaury. On fait une pause avant le second groupe (de ceux qui ont payé pour la pipe avant la sodo). Pour délasser Amaury et qu'il se détende les jambes, au milieu de la première série, on l'a installé sur une table. Entre le plateau et son dos on a plié une couverture et les jambes levées, il s'était fait ramoner jusqu'à la pause. Alors qu'il continuait ses demandes (fuck me, plus fort....) j'ai remarqué que les enculeurs étaient plus respectueux. Avant alors qu'ils ne voyaient que son dos et sa nuque, ils le traitaient comme un sac à foutre, une truie à engrosser. Là, depuis qu'ils le voient de face, ils sont plus doux et prévenants.
Avant de reprendre, les trois intermédiaires passent sur Amaury. Le black est très fortement membré mais pas tant que mes deux hommes de services réunis. Néanmoins, après la pause et le passage des deux petites bites de ses collègues, il doit forcer un peu. Je reste mater. C'est vraiment beau. Amaury est blanc et ses fesses le sont encore plus. Le black l'est de façon très foncée. La jonction de leur deux corps accentue le contraste. Le piston black qui défonce le cul bien blanc.... Quand ils sont collés on dirait les deux faces d'un domino.
Puis la seconde période commence. La seule différence avec la première c'est que celui qui attend pour enculer se fait pomper alors que le précédent est encore à chercher à jouir. On gagne du temps car les mecs arrivent tellement excité à la sodo qu'il faut encore moins de temps qu'aux premiers pour juter ! Sauf deux ou trois qui ont pris un quart d'heure, les autres se sont vidés après 4 ou 5 coups de rein. Du coup on est sorti du foyer après seulement 6 heures de prestation. Pas de problème de sécurité. Tous se sont pliés sans rechigner au port de la kpote, même pour les pipes. Amaury nous a dit n'avoir pas trop apprécié les pipes sous emballage mais c'était quand même plus sécure !
Retour au blockhaus il est 21h30. Amaury est fatigué mais il arrive encore à marcher. Dimanche matin. Je descends au premier voir Amaury qui est resté sur place, pris en charge par Samir. Il est plus courbaturé que la veille. C'est surtout les muscles internes des cuisses qui lui font mal. Quand j'arrive, il est en train de se faire masser par Ammed et ça lui fait du bien. Je m'installe à sa tête et on parle de sa prestation. Il me dit qu'il avait trop aimé la sensation de n'être qu'un trou à boucher. Même si la levrette le faisait sentir plus " chienne ", c'est sur le dos, avec la vue des visages de ses enculeurs qu'il a vraiment pris du plaisir. Comme pour le gang bang que j'avais organisé, les couleurs de peaux foncées ajoute à son plaisir. Je rigole et lui dis que c'est surtout parce que ce qu'ils ont entre les cuisses sont en général plus gros que ce que nous avons-nous autres blancs ! Ça le fait rire et il me dit que c'est peut être ça aussi.
Je lui souhaite un bon dimanche lui dit de ne pas oublier de passer à l'hôpital voir Blond2 (mon escort étudiant en 7ème année de médecine), il est prévenu pour ses analyses et son traitement post exposition. Il me promet d'y passer en rentrant chez lui.
Jardinier
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sinvulkt · 3 months ago
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find the english version here
pour @ash--00
Nemo serra les dents contre la bulle d’air qui poussait contre ses lèvres dans une vaine tentative d’évasion. Ses poumons lui brûlaient, d’une brûlure lourde et pinçante qui augmentait pour chaque seconde qu’il passait loin de la surface. Il ignora les signaux d’alertes de plus en plus pressant de son corps pour se concentrer sur la vitre de la tourelle qui lui faisait face, et qu’il attaquait de lourds coups de hache. Il y était presque.
Trois soldats anglais le regardaient l’air béhat, choqué dans l’immobilité par sa témérité. Nemo leur aurait ri au nez s’il n’était pas aussi occupé à lutter contre l’eau qui entravait ses mouvements, et la poussée d’archimède qui s'efforçait de le renvoyer à la surface.
Un coup de plus.
La hache atterrit contre la vitre avec un coup sec. Les fissures déjà présentes se multiplièrent, formant un fascinant réseau de vers entrelacés. Le choc remonta en vibrant le long de ses bras, menaçant de le propulser loin du Dreadnought. Nemo s'accrocha à une des protubérances métalliques qui quadrillaient l'extérieur de la tourelle. Sa bouche s’ouvrit sous l’habitude, laissant échapper le peu d’air qu’elle contenait encore. La pression de ses poumons devenait insoutenable. Nemo serra les dents, crispa sa mâchoire, et leva de nouveau son bras.
Un coup de plus
La vitre éclata en morceaux.
L’eau se précipita vers le gouffre béant qui s’offrait soudainement à elle. Nemo vit l’un des soldats de la Compagnie crier, mais les mots exact ne l’atteignirent pas, tant le rugissement de l’eau noyant ses oreilles était assourdissant. Il s’accrocha à une des parties métalliques de la baie vitrée, mais ses doigts cédèrent sous la force du courant, et la mer l'entraîna à l’intérieur de la tourelle dans sa folie furieuse.
Par chance, sa main réussit à attraper un des bords de la vitre brisée. Nemo s’y accrocha de toutes ses forces alors que l'océan continuait de s’engouffrer par l’ouverture. La pression tumultueuse de l’eau qui s'aventurait en terre inexplorée lui broyait les os. Au moins réussit-il à attraper une gorgée d’air avant que l’eau ne remplisse entièrement la salle, mais il but la tasse en tentant d’en prendre une seconde. Son corps se plia dans un effort d’évacuer le liquide obstruant sa gorge, ses doigts se crispèrent, et le bord de la vitre si fragilisée par les coups de la hache qu’il avait abandonné aux bas fond, se fracassa à son tour.
Nemo se fit une nouvelle fois entraîné par le courant. Il avait l'impression d'être une bouteille lancée à la mer, mais dans un milieu si rocheux qu’il n’était qu’une question de temps avant que ses paroies n’éclate en morceau, et que son message ne s’évanouisse dans l'océan. Il se recroquevilla dans une tentative désespérée de laisser moins de prise à l’énergie qui le poussait. La position ne le sauva pas quand la vague qui le portait rencontra un mur, et s’y brisa nette. L’enceinte mécanique de la tourelle se fracassa contre sa tête, l’étourdissant lourdement. L’instant d’après, alors qu’il tournoyait comme perdu dans les flots, un barreau métallique vint s’écraser violemment contre sa nuque.
Nemo ne put jamais s’y accrocher. Sa bouche s’ouvrit sous le choque et l’eau salée s’y engouffra sans demander son reste. Un instant plus tard, de par le coup ou la noyade, il perdit connaissance
La main du capitaine Youngblood tira William par l’épaule vers l’échelle qui menait à l’écoutille, le sortant de sa torpeur. Alors même qu’il grimpait, l’eau se fracassant bruyament sous ses pieds, William ne pouvait pas s'empêcher de se retourner. La silhouette de Nemo face à lui, une hache dans sa main, était encore imprimée dans sa rétine. 
Parce qu’il se retourna, William vit Nemo entraîné par le courant, s’accrochant désespérément à un des bords de l’ouverture qu’il avait lui-même creusé. 
Parce qu’il se retourna, William vit la vitre se briser sous les doigts de son Nemesis, et le courant l'entraîner violemment dans la tourelle.
L’échelle vibra avec un bruit sourd quand le poids d’un corps entier s’y entrechoqua. William s'était arrêté, regardant fixement vers le bas. Les bras de Nemo étaient entremêlés aux premiers barreaux de l’échelle, mais il ne bougeait plus vraiment. L’eau lui recouvrait le visage, et les courants rugissants le ballottaient de droite à gauche, menaçant de l’envoyer valser entre les crocs broyeur du piège mortel en lequel les flots s’étaient transformés.
Nemo était vulnérable. Il était piégé, faible et probablement inconscient. Il était près, à moins d’un mètre du barreau auquel William s’était agrippé. Si près. En descendant sa botte, William était sûr de pouvoir le toucher. 
William jeta un coup d'œil à ses environs. Le capitaine Youngblood, lui, avait continué sa route et passait déjà par l’écoutille. Bientôt, il remarquerait que William ne l’avait pas suivi. Au-delà des vitres brisées, une silhouette en scaphandre s'approchait, sans doute pour récupérer leur capitaine. William serra des dents. L’idée que quiconque tire Nemo du piège où il s’était lui-même enfermé fut suffisante pour prendre sa décision. 
Nemo était à lui. 
Sans y réfléchir à deux fois, il sauta de l’échelle pour se laisser glisser dans les eaux froides et tumultueuses qui remplissaient petit à petit la nacelle. Il garda sa paume plaquée contre les poteaux verticaux et, dès que l’océan menaça de l’emporter, s’y accrocha de toutes ses forces. Bientôt, il arriva au niveau du corps ballottant de Nemo. Un simple regard à la couleur livide du visage de son nemesis lui confirma qu’il était inconscient, et que laissé ou il était, ne tarderait pas à mourir.
Il passa son bras sous le torse de l’autre homme, raffermit sa prise sur l’échelle, et le hissa. Un grognement échappa ses lèvres quand l’air remplaça l'océan et que la gravité reprit tous ses droits. Un peu d’eau s’était infiltré au travers de sa gorge, le secouant de violentes quintes de toux. Trop conscient du niveau des flots qui montait, William se hâta de grimper aussi vite que l’on pourrait tout en portant le poids mort d’un homme. L'océan lui léchait alternativement ou les bottes, ou les mollets, ou même le bassin lorsqu’il s’arrêta un instant pour réajuster la position du corps lâche sur ses épaules. Le rugissement torrentiel des flots s’était tue, l’ouverture profondément noyée, pour laisser place au vrombissement plus inquiétant d’une salle qui se remplit lentement mais sûrement.
Le capitaine Youngblood avait enfin remarqué sa disparition, et se penchait désormais par l’écoutille pour le haler tout en tendant le bras vers lui.
“Dépêchez-vous !”
William ne le fit pas répéter. Il attrapa fermement la main offerte et poussa sur ses pieds de toutes ses forces pour se hisser avec son fardeau dans la sécurité du corridor. Il s’écroula alors au sol, à bout de souffle, se débarrassant du poids mort de Nemo comme on se débarrasse d’un sac à charbon une fois arrivé dans la salle des moteurs. 
Vaguement, il entendit le capitaine Youngblood fermer l’écoutille d’un coup sec, isolant efficacement la fuite menaçante dans la coque du Dreadnought. La violence du bruit du métal qui frappe le métal fut le seul avertissement qu’il eut quant à la colère de l'officier avant que l’autre ne se précipita sur lui pour le soulever d’un coup sec, le presser contre le mur, les mains fermement serrées dans son col de son uniforme, et lui crier au visage."
“Vous voulez mourir ?!” 
William pointa mollement Nemo du doigt en réponse.
“Prisonnier…” il croissa.
Sa gorge lui brûlait, rendant chaque syllabe aussi douloureuse qu’une traînée de papier de verre le long de sa trachée. Le capitaine Youngblood tourna la tête, observa un moment le visage inerte et pâle de Nemo, puis relâcha William, qui s'affaissa contre le mur dans un soupir hargneux.
William suivit d’un œil le capitaine Youngblood se diriger d’un pas ferme vers le corps pâle de Nemo, tout en aboyant de multiples ordres pour souder la brèche. Son némésis ne bougeait pas, sa poitrine immobile et son souffle éteint. William se demanda même s’il était déjà mort. Le capitaine Youngblood ne dût cependant pas avoir de telles hésitations car, aussitôt arrivé aux côtés de Nemo, il s’agenouilla et se pencha au-dessus de son visage en relevant son menton vers le haut, attentif au moindre signe de respiration. De toute évidence, il n’y en eut aucun, car Youngblood se mit à presser sa poitrine à intervalles rapide et régulier, pour ensuite écraser son nez de sa main gauche pour embrasser le prisonnier. 
Il y eut de longues secondes de silence durant lesquelles William luttait pour respirer, les soldats s’activaient pour obéir aux ordres, et le capitaine Youngblood continuait ses mouvements précis tout en pressant alternativement le haut du torse de Nemo et lui insufflant de l’air par la bouche. Le corps restait mou sous ces ministrations. Puis, un tressaillement secoua le corps du noyé. L’instant d’après, il toussa, puis entrouvrit ses yeux devenus vitreux tout en avalant goulûment l’air qui lui avait tant manqué.
Il ne faudrait pas longtemps à Nemo pour reprendre pleine possession de ses moyens et, une fois conscient de la situation dans laquelle il se trouvait, lutter contre ses capteurs. Déjà, son regard perdu s’emplissait d’une lumière défiante, et ses doigts tressaillaient.
William s’était à peine relevé pour mettre fin à quelques idées d’escapades de son nemesis que le capitaine Youngblood l’avait déjà pris de court, Nemo piégé sous l’emprise d’une solide clé de bras, le visage plaqué contre le sol, alors que son corps était encore secoué par la toux qui s'efforçait de purger ses poumons. Il fit signe à deux soldats qui s'affairaient dans le couloir.
“Emportez le prisonnier dans sa cellule.”
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soeurdelune · 1 year ago
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parce qu'on approche doucement mais sûrement de la spooky season 🎃, c'est l'occasion de parfaire votre culture en films d'horreur! voici une petite sélection de 10 diamants du genre, visionnables gratuitement sur youtube (et sous titrés en anglais pour ceux en langue étrangère! que demande le peuple...) il va sans dire que l'horreur étant un genre parfois costaud, pensez à vérifier vos triggers pour chaque film sur le site does the dog die?
carnival of souls, 1962 (vo: anglais américain), une masterclass, un des premiers grand films d'horreur moderne, il a inspiré des réalisateurs comme david lynch ou james wan. (la note de lune: 5/5)
el espinazo del diablo (l'échine du diable), 2001 (vo: espagnol), personne ne raconte une histoire de fantômes comme guillermo del toro, un très beau film qui inaugure sa trilogie de la guerre civile, à suivre avec le labyrinthe de pan et son pinocchio de 2022. (la note de lune: 4/5)
a tale of two sisters, 2003 (vo: coréen), des influences gothiques saisissantes et une histoire aux allures de diabolique petit puzzle. (la note de lune: 4/5)
ringu, 1998 (vo: japonais), un immense classique de la j-horror que l'on ne présente plus, efficace et très bien ficelé, featuring hiroyuki sanada ♥️ (la note de lune: 5/5)
the last man on earth, 1964 (vo: anglais américain), inspiré du roman i am legend qui a donné une palanquée d'adaptations au fil des années, celui-ci est de loin mon favori, vincent price est une ICÔNE et ce film est un pur plaisir à regarder. (la note de lune: 4/5)
kairo (pulse), 2001 (vo: japonais), un autre classique de la j-horror, l'ambiance est profondément troublante et mélancolique, avec des scènes qui vous hanteront pendant un bon moment. (la note de lune: 4/5)
hellraiser, 1987 (vo: anglais américain), tout le monde l'a probablement déjà vu mais la version youtube est tellement quali que je le mets ici quand même, pinhead est un méchant incroyable, le film a des défauts mais les qualités l'emportent sur le reste, un bijou de l'horreur un peu gory des 80s! (la note de lune: 3/5)
donnie darko, 2001 (vo: anglais américain), diffile à mettre dans une catégorie plutôt qu'une autre, un peu d'horreur mêlée à du thriller psychologique et une pointe de sci-fi, ça reste un classique au dénouement final incroyable. (la note de lune: 5/5)
one missed call, 2003 (vo: japonais), juré après j'arrête avec la j-horror, celui-ci est plus efficace dans sa seconde moitié que dans la première, il y a des moments qui font vraiment vraiment peur. (la note de lune: 3/5)
les yeux sans visage, 1960 (vo: français), avant la piel que habito d'almodovar, il y a eu les yeux sans visage, un petit précurseur considéré comme le premier film d'horreur moderne français. (la note de lune: 3/5)
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horyia · 5 months ago
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Seconde version (première après celle de l'ouverture)
Rejoignez-nous sur The Fall of a Kingdom qui s'est drapé de bleu pour les événements qui arrive très bientôt ♥
Scénario à découvrir ci-dessous
Nour est née quelques minutes avant Shirat, par un chaude nuit d’été dans la région de Helston. C’est le genre de personne qui se laisse emporter par le courant et qui s’adapte à tout et tout le monde. Ainsi, même si la vie familiale était difficile, Nour évoluait comme un poisson dans l’eau. Bien que jumelles, les soeurs Asghari ne pourraient pas être plus différentes. Elles ont passé leur jeunesse à être constamment comparées, ce qui a parfois insufflé un climat de compétition entre elles et une étrange jalousie malgré l'amour féroce qu'elles se portent.
Consciente du désir de sa sœur jumelle de fuir le bercail dès que possible, c’est Nour qui propose de partir à l’aventure en s’enrôlant à l’Académie des Chevaucheurs. Là-bas, Nour trouve sa place, sa vocation, alors que sa sœur a du mal à s’intégrer. Plus les années passent, plus le fossé se creuse entre Nour et Shirat. Nour tissera un lien avec un Étheria au cours de sa troisième année, et chaque nouvelle présentation aux différentes races d'Étheria est devenue d'une amertume insupportable aux yeux de Shirat qui en est venue à abhorrer le succès de Nour.
C'est sans un mot de félicitations que Shirat disparaît lors de la graduation de Nour. C'était il y a trois ans, et malgré ses lettres à l'Académie des Elementariste où Shirat a trouvé refuge, Nour n'est pas parvenue à rejoindre sa sœur depuis...
Caractère Les deux sœurs sont aux antipodes. Là où Shirat une femme discrète, solitaire, rancunière et colérique, Nour est pétillante, aimable, sociable et nonchalante. C'est une personne qui s'adapte facilement à son environnement et à ses interlocuteurs et qui parvient à se faire aimer de tout le monde. Ambitieuse et déterminée, Nour semble tout réussir avec aisance, mais en réalité, elle vit avec l'univers sur les épaules depuis toujours.
Le FC Golshifteh Faharani comme avatar, parce que j'aime bien sa bouille et qu'elles ont des traits physiques semblables. L'avatar est également négociable, mais je vous demande de vous restreindre à des faceclaims aux origines dans le moyen-orient pour un soucis de cohérence.
Résumé : jeune gradé de l'académie des chevaucheurs, lié à un Etheria (au choix) avec un ancrage (au choix) et une relation complexe avec sa jumelle.
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cafes-et-friandises · 7 months ago
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┃ Retour dans le temps
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「 𝙲𝙷𝙰𝚁𝙰𝙲𝚃𝙴𝚁𝚂 」 ▹ Xiao
─ ­ ­ 𝚃𝚈𝙿𝙴 ▹ One-Shot
─ ­ ­ 𝚁𝙴𝙰𝙳𝙴𝚁 ▹ ♀ Féminin
─ ­ ­ 𝙶𝙴𝙽𝚁𝙴 ▹ ­ Little Xiao | ♥ Romance | ♥ Rougeur en excès | ♥ Tendresse | ☆ Happy Ending
─ ­ ­ 𝚃𝚁𝙸𝙶𝙶𝙴𝚁 & 𝚆𝙰𝚁𝙽𝙸𝙽𝙶 ▹ R.A.S
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Note ­ ­ ▹ Ce One-shot est la seconde version du One-Shot : ❝ Retour dans le passé ❞, je me suis décidée à modifier ce One-shot, j'avais quelques petits problèmes avec le déroulement et la fin. Résultat, c'est un grow up de 1,6k de mots à 3.8k, j'espère que ce rework vous plaira. L'ancien one-shot sera toujours disponible. Je vous souhaite une : ❝ Bonne Lecture ! ❞
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─ ­ ­ ­ « Je ne suis pas réellement sûre de comprendre Verr Goldet... »
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Un sourire crispé s'était installé sur tes lèvres, alors que ton regard ne pouvait s'empêcher de disparaître sur la petite forme s'accrochant désespérément à sa jambe. Si la journée t'avait semblée classique, elle avait vite changée alors même que ses yeux lapis te regardaient avec tant de curiosité. Un sourire bienveillant naquit inconsciemment sur tes lèvres, visiblement attendrit par ce regard purement innocent. La jeune aubergiste prit son temps pour tout te répéter, essayant visiblement de comprendre, elle-même, ces mots rapportés par Souffle-Nuage.
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─ ­ ­ ­ « Il semblerait qu'avec de certaines circonstances, un adepte puisse reprendre l'apparence d'un enfant à cause de certains esprits, d'après Souffle-Nuage... » Verr Goldet ne pouvait pas l'expliquer autrement, Souffle-Nuage ne s'étant pas épanché sur le sujet. « Elle est restée assez évasive à ce sujet. (T/P), il y a bien trop de passage dans l'auberge et vous connaissez aussi bien que moi son caractère, je ne suis pas sûre qu'il soit sage de le laisser rester ici... »
─ ­ ­ ­ « Mais... »
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Ton regard glissa sur un Xiao aux joues légèrement plus rebondit, une bouille enfantine, dont de magnifiques grands yeux d'or liquide te regardait sans détour. C'était peu dire si ton cœur fondait devant cette vision plus qu'adorable du vigilant Yaksha, tu devenais complément prisonnière de ce petit être adorable. Une main passa dans tes (L/C) cheveux (C/C), remontant tes yeux vers la jeune femme qui attendait avec impatience la suite de tes mots.
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─ ­ ­ ­ « Je ferais de mon mieux... ? »
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Ce furent les seuls mots qui sortirent d'entre tes lèvres abdiquant devant les regard insistant du petit garçonnet froissant la robe de l'aubergiste. Allais-tu vraiment être à la hauteur ? Xiao t'avait de nombreuses fois répété que : " Tu étais trop maladroite pour te protéger ". Suite à sa déclaration, il s'était fait un point d'honneur à te protéger, comme si tu étais aussi fragile que du sucre. Celle-ci te remercia d'un sourire soulagé, passant une main douce dans les cheveux en bataille du petit Yaksha. Il la gratifia d'un coup sur la main, posant ses mains sur le haut de ses cheveux, alors qu'un air mécontent transformait ces traits enfantins, le rendant encore plus adorable. Tu ne pus retenir un doux gloussement attendri, une main couvrant rapidement ton rictus, peur de recevoir un regard noir du plus petit. Contre toute attente, celui-ci ne fit que te regarder, ses mains toujours placées sur le haut de sa tête, te dévisageant comme si tu étais devenue une créature étrange. Il te fixait de ses grands yeux, tu crus même y voir naître une certaine affection.
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─ ­ ­ ­ « Je vous le confis, (T/P). Faîtes attention, comme vous avez pu le voir, il a un certain caractère. »
─ ­ ­ ­ « Effectivement. » Un gloussement accompagna tes mots, alors que rapidement, tu te mettais à la hauteur du garçonnet tendant tes bras vers lui. « Et si nous allons manger du tofu aux amandes ensemble, Xiao ? »
─ ­ ­ ­ « Je ne suis pas sûre qu'il vo-... »
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Verr Goldet n'eut le temps de terminer sa phrase que timidement et calmement le petit garçon se décrocha de sa robe pour s'avancer vers tes bras tendus. Son regard ne quittait jamais tes yeux (C/Y), avant que ses petits doigts ne s'enroulent qu'autour de ta main. Une douce chaleur monta jusqu'aux joues rondelettes du garçonnet, les teintant doucement d'un petit rouge timide, tandis qu'il regardait le sol. Qui aurait pu penser que Xiao, le vigilant Yaksha, était en réalité un adorable petit garçon timide dans sa jeunesse. L'information montant au cerveau, tu posas délicatement tes lèvres sur sa joue, enroulant tes bras autour de lui. Léger comme une plume, pas plus haut que trois pommes, le petit Xiao se retrouva confortablement prit dans ton étreinte. Ses bras s'enroulèrent autour de ton cou, ses cheveux te chatouillant la joue, tandis qu'il se cachait contre toi, visiblement mort de gêne. Il te semblait si fragile et si mignon en cet instant, alors que quelques minutes plutôt il aurait pu mordre la main de Verr Goldet.
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─ ­ ­ ­ « Nous serons à l'étage, est-ce que Yanxiao pourra nous apporter des tofus ? »
─ ­ ­ ­ « Sans problème. » Hocha Verr Goldet, visiblement rassurée d'avoir trouvé une personne de confiance pour s'occuper de Mini-Xiao. « A tout à l'heure (T/P). »
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D'un signe de tête pour la jeune femme en guise de remerciement, tu quittas sans plus tarder le hall d'entée de l'auberge. Mal à l'aise à cause de cette foule de voyageurs aux yeux curieux, tu avais hâte de t'extirper de tout ça. Montant les escaliers avec hâte, le petit garçonnet dans les bras, tu sentais son regard d'or sur ton visage, étrangement curieux. Pourquoi mini-Xiao t'observait avec tant d'insistance ? C'était à peine si d'ordinaire, il t'épargnait ne serait qu'un coup d'œil. Même si son aura n'était pas aussi imposante que d'ordinaire, mini-Xiao te stressait légèrement à te détailler sans rien dire.
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─ ­ ­ ­ « (T/P). »
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Il avait marmonné ton prénom sans même s'en apercevoir, comme s'il cherchait à comprendre quelque chose. T'observer ne faisait que le rempli de plus en plus de questions sur ces sensations inconnues qui lui traversaient le corps. En entendant sa petite voix t'appeler, bien que très faiblement, un petit sursaut te traversa l'échine. Interrogative, la prunelle (C/Y) de tes yeux se posèrent sur l'enfant qui se gela sur place en les rencontrant. Sa petite tête semblait réfléchir à toute allure, ne s'attendant clairement pas à recevoir ton attention avec le tout petit murmure de rien du tout de ton prénom. N'ayant pas le courage, ou sans doute pas réponse à te donner, il se cacha timidement dans le creux de ton cou, fuyant l'interrogative de ton regard.
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─ ­ ­ ­ « Xiao, tout va bien ? Tu te sens mal quelque part ? »
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Même si sa timidité te paressait très claire, tu ne pouvais t'empêcher de t'inquiéter au vu de sa petite main fermement accrochée au-dessus de son cœur. Est-ce qu'il y avait un effet secondaire à sa situation ? Et si Souffle-nuage n'était pas au courant ? Légèrement stressée, tu terminas rapidement de monter les escaliers de la tour pour rejoindre la terrasse du bâtiment. À peine arrivée, tu posas doucement l'enfant sur une vieille table en bois, avant de t'accroupir l'instant d'après devant Xiao. Celui-ci semblait fuir ton regard, n'osant pas ouvrir la bouche. Il te semblait à la fois mal à l'aise et étrangement perdu, ce qui était plutôt normal si l'on prenait en compte ses tout juste quatre ans.
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─ ­ ­ ­ « Xiao ? »
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Muré dans son mutisme, le jeune garçonnet ne t'épargna pas ne serait-ce qu'un regard. Tu avais cette douloureuse impression de revenir à votre première rencontre, mais cela n'allait pas te décourager pour autant. Tu l'avais fait une fois, tu l'avais déjà fait parler ou apparaître devant toi juste pour passer le temps ou juste pour discuter avec lui, enfin tu faisais plus un monologue et lui te prêtait une oreille attentive. Malgré toi, un sourire nostalgique se plaça inconsciemment sur tes lèvres tandis que tes doigts passèrent avec tendresse dans les cheveux du jeune garçon. Détournant rapidement le regard, pour le pas rencontrer le regard noir de Xiao, tu te contentas de calmement observer le magnifique paysage des plaines de Liyue que vous offrait la tour.
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─ ­ ­ ­ « C'est ici que nous nous sommes rencontrés pour la première fois. » Commenças-tu d'une voix tendre, te remémorant sans peine cette première rencontre, elle était gravée dans tes souvenirs. « Tu étais aussi froid que la glace et bien trop méfiant envers une simple vagabonde perdue dans cette immense auberge. Pourtant, à ce moment-là, même si j'avais l'impression que tu me jetterais par-dessus la rambarde si je n'avais pas une bonne excuse pour t'avoir dérangé, je t'ai trouvé magnifique. » Te remémoras-tu avec un petit rire, ayant facilement capté l'attention du petit garçon. « Je n'ai aucun instinct de survie, tu avais raison. Je t'ai trouvé vraiment mignon alors que tu aurais pu me tuer... »
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Ton regard était si doux, si amoureux que Beidou en aurait probablement vomi rien qu'en l'apercevant, avant de te taquiner pour quelques dizaines d'années. Perdue dans ton propre monologue, pendant que ton regard survolait le paysage roux en face de toi, tu ne remarquas pas les adorables petits joues rebondies du garçonnet se colorer tout doucement d'un petit rouge. Il ne comprenait pas pourquoi, mais tout son corps brûlait et lui criait de s'enfuir, de s'enterrer sous vingt kilomètres de terres avant d'exploser littéralement de gênes. Pourtant, le mini-Xiao ne bougea pas, comme pendu à tes lèvres écoutant sagement tes divagations.
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─ ­ ­ ­ « Ce jour-là, je ne regrette pas de t'avoir rencontré. » Racontas-tu avec une tendresse infinie, ton cœur battait rapidement, alors que tes joues se colorèrent très légèrement de rosé. « Mon sens sixième sens devait le savoir que je te rencontrerais et ne te lâcherais plus jamais. » Rien que de parler de tes sentiments, te rendait incroyablement timide, mais pourtant, tu n'arrivais pas à t'arrêter. « J'aime que tu fasses partie de ma vie. »
­
À la fin de ta confession, bien que ce soit à mini-Xiao et non à l'adulte, le (C/Y) de ton regard se tourna de nouveau vers le petit garçon dont les joues brûlait de rouge. Il ne comprenait pas, à son âge, il ne comprenait pas tout, bien qu'il soit plutôt intelligent, il ne comprenait pas pourquoi son corps réagissait comme ça. Il sentait son visage brûler, son cœur battre dans ses tempes alors qu'il semblait à deux doigts de sortir de sa poitrine. Et pourtant, même si ça lui faisait mal, il se sentait bien et étrangement heureux qu'il aurait pu... Qu'est-ce qu'il pourrait faire ? Il n'en savait rien, il ignorait ce qu'étaient ces sentiments, il ne savait pas ce qui lui arrivait, une nouvelle fois, sa main s'accrocha une nouvelle fois à son haut. Son regard perdu sur le parquet en chêne de l'auberge, il ne remarqua pas l'état de panique dans lequel il t'avait plongé, trop assourdit par ses propres battements de cœur erratique, pas encore habituer à son ouïe de Yaksha.
­
─ ­ ­ ­ « Xiao ! Qu'est-ce qu'il t'arrive ? » L'appelas-tu en vain, le garçonnet ne semblait pas te donner la moindre attention. Tu n'eus pas le choix, tu attrapas ses deux joues entre tes mains, avant de redresser délicatement son visage dans ta direction. « Xiao, qu'est-ce qu'il t'arrive ? »
─ ­ ­ ­ « J'ai chaud, (T/P). » Prononça-t-il alors qu'il semblait se calmer légèrement en rencontrant l'inquiétude présente dans tes billes (C/Y). « Il tape vite. Je veux partir. Mais, je me sens bien. Je suis content. Je suis trop content. Mais je comprends pas. »
­
Tout aussi perdue que lui, tu semblas te calmer légèrement quand il exprima son bonheur. Tes mains glissèrent de ses joues, légèrement rassurée, pour atterrir sur ses cuisses observant plus attentivement son visage, cherchant le moindre signe de mal-être. Cependant, tout ce que tu rencontras : fut un réel bonheur. Son visage rayonnait, il était bien différent de son lui habituel composé voir indifférent, il était rayonnant de bonheur. Ses prunelles d'or liquide brillaient de joie et ses fines lèvres se courbaient très légèrement d'un sourire heureux. Comment Xiao pouvait-il être aussi adorable ? Est-ce que ton Xiao adulte pouvait, lui aussi, rayonner pareillement ? Rien qu'à l'imaginer, tu sentais ton cœur fondre devant ce petit être adorable. Rassurer, tu poussas un soupir de soulagement, t'effondrant la tête la première sur les genoux du mini-Xiao.
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─ ­ ­ ­ « Je suis soulagée. Ne me refais plus peur comme ça. » Bougonnas-tu faussement au petit Yaksha alors que ton visage ne put s'empêcher d'afficher un beau sourire. « Tu es si mignon. »
─ ­ ­ ­ « Désolée (T/P). » S'excusa-t-il d'un air sincère en détournant le regard de ton visage souriant. « Le sourire de (T/P) me donne chaud ici. » 
­
Même s'il était bien différent de son lui adulte, il avait quelques mimiques ou réflexes similaires au Xiao adulte. Logique sachant qu'il est lui. C'était rafraîchissant d'avoir un Xiao un peu plus ouvert sur ses sentiments, ou tout du moins, un peu plus bavard. Quand celui-ci te montra son cœur tout en parlant, ton esprit ne put s'empêcher de s'emballer pour faire écho aux propres battements de ton palpitant. T'aimerait-il aussi ? Ou serait-ce juste toi et tes propres divagations amoureuses précédentes qui te répondaient à ton souhait. Même si tu essayais d'oublier l'idée, ça faisait sens avec tout ce que mini-Xiao avait dit. Tu avais besoin de te calmer et de t'étirer les jambes, qui devenaient douloureuses en restant trop longtemps accroupies, tu te redressas.
­
─ ­ ­ ­ « Il te met mal à l'aise ? »
─ ­ ­ ­ « Non. J'aime que (T/P) me sourit. » Te corrigea-t-il avec une expression étrangement satisfaite de ses explications. « J'aime aussi que (T/P) me fasse des câlins ou me porte. J'aime aussi écouté (T/P) parler. »
­
Ne devras-tu pas l'arrêter ? Ta conscience te criait qu'il le fallait, au cas où Xiao se souviendrait de ce moment et pour préserver ses pensées. Mais ton cœur lui te criait, t'implorait presque de le laisser continuer, bien trop contente d'enfin entendre les sentiments bien enfouis de l'homme que tu aimais. Même s'il était un enfant, ce qu'il ressentait en cet instant appartenait au Xiao plus âgé, il était impossible qu'un bambin puisse développer une confiance ou de l'affection en te rencontrant il y a à peine dix minutes. Le choix était compliqué, mais tu n'eus pas le temps de pousser plus loin que Yanxiao apportait une assiette bien garnie de tofus aux amandes.
D'un sourire chaleureux pour le cuisinier, tu ramassas l'assiette de ses mains avant de t'asseoir à ton tour sur la vieille table. Celle-ci grinça, alors que tu mettais la porcelaine entre les mains du plus jeune qui prit rapidement place sur tes cuisses. Adossée contre le mur extérieur de l'auberge, tu regardas d'un œil tendre le petit garçon manger, enfin dévorer, les sucreries moelleuses. Avait-il peur qu'on lui vole ? Ses joues gonflèrent comme celles des hamsters. Il était bien trop craquant pour ton pauvre petit cœur.
­
─ ­ ­ ­ « Tu peux prendre ton temps, tu vas t'étouffer. Ne t'inquiète pas, je ne t'en volerais pas, personne ne t'en volera. »
─ ­ ­ ­ « Ce n'est pas grave si c'est (T/P) qui m'en prend. »
­
À quel point pouvait-il être adorable ? N'y tenant plus, tes lèvres se posèrent sur sa joue, absolument conquise par le petit être innocent sur tes cuisses. Ses joues rougirent d'un seul coup, mais il ne fit aucun geste pour se défaire de ton emprise, appréciant, d'un plaisir coupable, sentir tes lèvres sur ses joues. Comment était-il arrivé à s'asseoir sur tes cuisses ? Pourquoi ses mains étaient-elles si petite ? Xiao s'adaptait tout doucement à sa situation, ses souvenirs remontant petit à petit à la surface. Pas encore noyé dans la gêne, pas réellement conscient de la quantité de baisers déposés sur ses petites joues, il se laissait faire.
­
─ ­ ­ ­ « Si mignon. Ce n'est pas ton tofu que je vais dévorer, mais toi, mon adorable Xiao. »
­
Tes bras l'entouraient, il sentait ta chaleur bercer son corps enfantin alors que ton rire résonnait au creux de son oreille. Tes paroles avaient du mal à s'imprimer, mais dès qu'elles le furent, tout son corps brûla de gêne, il s'était complètement raidi dans ton étreinte. Cet homme voulait disparaître. Il ne savait plus quoi faire. Il ne savait plus comment réagir. Il était mortifié. Il voulait partir et en même temps, il pouvait profiter encore plus longtemps de cette douce chaleur qui le câlinait. Pourrait-il en profiter une nouvelle fois quand il serait à nouveau dans son corps d'adulte ? Non. Il le savait déjà. Alors pour une fois, pouvait-il céder à son désir égoïste ? Avec son corps dans cet état, il ne pourrait pas remplir ces devoirs de Yaksha. Même si sa rigidité et sa loyauté au souverain de la roche l'appelaient à faire son devoir, son souhait, son désir, mortel d'être tenue entre tes bras prenaient le pas.
­
─ ­ ­ ­ « Je t'aime tellement Xiao. »
­
C'était une confession naïve et imprudente à faire à un Yaksha, c'était ce que pensait Xiao alors qu'il avait l'impression de sentir son cœur raisonné dans tout son corps. Même s'il se sentait légèrement coupable d'avoir entendu ta confession tandis que tu pensais sans doute qu'il ne s'en souviendrait pas, il se sentait rempli de bonheur. Tu t'adressais sûrement ces sentiments à son lui enfant, mais il en était quand même heureux. Il se sentait heureux, mais son esprit s'embuait petit à petit. Il se sentait étrangement lourd. Est-ce à cause de son physique d'enfant ? Il ne pouvait que s'en douter. Apaisé, par le sommeil et ton cœur battant contre son sommeil, il se laissa bâiller à s'en décrocher la mâchoire, ses yeux luttant contre le sommeil.
­
─ ­ ­ ­ « Il faut croire, que tu sois en modèle réduit me fait parler plus facilement. » Te lamentas-tu ensuite d'un coup d'œil vers l'enfant qui sombrait tout doucement. « Je suppose que ce petit corps a besoin d'un peu de repos. Tu peux dormir, Xiao, je veille sur ton sommeil. »
─ ­ ­ ­ « Merci. Je t'aime. »
­
C'était un murmure. Un murmure qui aurait dû être inaudible. Un murmure que tu avais entendu. Un murmure qui fit battre ton cœur comme un fou. Avais-tu rêvé ? Est-ce encore ton esprit qui s'emballait ? Mais tu ne pouvais pas lui demander. Il dormait si paisiblement. Déposant l'assiette de côté, tu t'étais résignée, déplaçant ton regard sur le côté pour s'égarer sur le paysage. Un brin d'air soufflait, caressant avec chaleur vos peaux, ondulant les cheveux désordonnés de l'enfant. Petit à petit Morphée t'entraîna avec elle au son doux des marchand et du brouhaha lointain des voyageurs de l'auberge.
Ta respiration était lente, toujours profondément dans les bras de Morphée, quand Xiao se réveilla. La lune était haute dans le ciel ancre de Liyue, et la température bien plus fraîche que des heures plutôt. Les souvenirs bien en mémoire, le Yaksha te couvrait d'un regard empli d'affection, d'une adoration nouvelle. Est-ce qu'un jour, il avait pu se sentir aussi débordant d'amour et de bonheur ? Sûrement pas. C'était nouveau, il lui faudrait du temps pour s'y habituer, mais ce n'était clairement pas désagréable. Il avait peur de te réveiller, mais il ne pouvait pas te laisser à l'extérieur. Aussi précautionneux qu'avec le plus précieux des trésors, Xiao te ramassa comme une mariée, avant de t'emmener dans une des chambres de l'auberge, la sienne, enfin du moins celle que Verr Goldet lui avait attribué dans l'espoir qu'il s'en serve.
Il t'allongea précautionneusement sur les draps, te recouvrant par la suite d'une couverture. Xiao prit un instant, un instant pour t'observer dormir. Il hésitait à caresser tendrement à ta joue. Il avait peur de te réveiller. Est-ce une erreur de t'avoir répondu ? Était-ce son erreur de t'aimer ? Les humains étaient éphémères... Alors qu'il y pensait, Xiao pouvait entendre sa voix, celle de Bonanus. Elle avait toujours été idéaliste, mais elle lui avait dit tant de fois de ne pas rejeter l'amour qu'il ressentait. Si pour lui, c'était une faiblesse, pour elle, il pouvait être la signification d'une force qui pouvait soulever des montagnes. Maintenant, qu'il commençait à en faire l'expérience, qu'on lui offrait cet amour, il ne pourrait plus la revoir et lui dire le contraire.
­
─ ­ ­ ­ « Je t'aime, (T/P). »
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Ce besoin, il ressentait ce besoin de redire ces mots, même si dormait. Sa main gantée glissa tendrement sur ta joue, elle était hésitante, de peur de te réveiller. Pourtant, ça fait déjà quelques bonnes minutes que tu étais réveillée. Aussi délicat qu'il le voulait, il était impossible que tu ne te réveilles pas. Tes yeux (C/Y) s'ouvrirent accompagnés d'un délicat sourire. Ta main se posa sur la sienne, l'emprisonnant avec tendresse contre ta joue.
­
─ ­ ­ ­ « Moi aussi, Xiao. » Lui répondis-tu, laissant son visage une nouvelle fois se colorer timidement par des teintes de rosées. « Tu repars ? »
─ ­ ­ ­ « Je... Oui. »
─ ­ ­ ­ « D'accord... J'attendrai. »
­
Bonanus avait raison, et il avait bien fait d'y céder. Tu étais (T/P), son humaine, celle qui l'attendrait jusqu'à ce qu'il revienne. Celle qu'il aimerait. Celle qui chérirait à travers les âges. Celle qu'il attendrait à son tour. Celle qu'il voulait rendre heureuse. Celle qui lui offrait désormais un endroit où rentrer. Celle qu'il protégerait avec son foyer. Pris d'un courage nouveau, bien que timide, il posa avec tendresse ses lèvres sur les tiennes. Ce baiser fut simple, innocent et court, mais il était rempli de promesses. Il ne lui en fallut pas plus avant de disparaître dans la nuit profonde de Liyue, l'esprit léger, avec qu'un désir : rentrer.
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equipe · 1 year ago
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Notes de mise à jour
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queengmine2crayon · 2 months ago
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Training scene (part 2/?)
This wip is directly after this one because I could and I’m really really proud of how it came out. Again, please give me your opinion and/or criticism (I’m translating from French and I’m learning, so feel free to tell me if you find any weird phrasing or words)!
French version just below the English one. Enjoy!
Content warnings are at the end of the post.
Eng:
“Agh-“
She ripped her hand from his grasp (burn pain pricked with needles), gasping, and took two steps back (midoriya kingin) her enemy turned his head and she gave up on being discreet to get her blade out completely (fuck, it hurt so much) a flaming rage set on fire each one of her breathings, burned her lungs, crackled in every twitch of her fingers (blade, mask, ten centimetres on the left) she aimed for his shoulder as best she could (her thumb was burning burning) and she moved her hand forward and the blade was launched at breakneck speed and-
She distinctly heard the metal falling on the ground.
Her ragged breaths.
Midoriya’s.
The murmurs gradually growing louder and louder.
The faint cursing behind her.
(Behind?)
The steps approaching in her direction.
(in her direction or opposite)
The silence wrapping around her entirely.
(or not there at all, cries clashing)
The buzzing in her ears-
(there not there there not there where where-)
Black.
Everything was black.
Everything was always black, of course, everything was always black and it was normal there was no reason to panic but she didn’t know where she was or with who or if someone was approaching her and she was sure that-
A hand fell on her shoulder.
She jumped and did an about-face, but of course nothing, and backed up at the same time (oh my god someone touched her who was it why did they why couldn’t she see anything). Her lungs were burning again and she heard her breaths becoming more loud by the second.
She took another step backwards. Her ears were ringing (she couldn’t hear and for fuck’s sake why couldn’t she see anything?!
Another. She perceived distantly someone talking to her but she didn’t know where exactly and she opened her eyes to glance around frantically (since when did she close them since the black since the fight or earlier she didn’t know she didn’t know) but all she saw was black black black black
Fr :
— Agh-
Elle arracha sa main de sa poigne vivement (brûlure douleur piquée d’aiguilles) en hoquetant et recula de deux pas (midoriya kingin) son ennemi tourna la tête et elle abandonna son jeu de discrétion pour sortir complètement sa lame (putain, qu’est-ce que ça faisait mal) une rage flamboyante embrasait chacune de ses respirations, lui brûlait les poumons, crépitait dans chaque tremblement de ses doigts (lame, masque, dix centimètres sur la gauche) elle visa son épaule du mieux qu’elle put (son pouce la brûlait brûlait) et lança sa main en avant et la lame partit à toute vitesse et-
Elle entendit distinctement le métal tomber au sol. Ses respirations saccadés.
Celles de Midoriya.
Les murmures progressivement montant en volume. Le faible juron derrière elle.
(Derrière ?)
Les pas approchant dans sa direction.
(dans sa direction ou à l’opposé)
Le silence l’enveloppant complètement.
(ou pas du tout là, exclamations qui s’entrechoquaient)
Le bourdonnement dans ses oreilles-
(là pas là là pas là où ça où ça-)
Noir.
Tout était noir.
Tout était tout le temps noir, bien sûr, tout était tout le temps noir et c’était normal et il n’y avait pas de quoi s’affoler mais elle ne savait pas où elle était ou avec qui elle était ou si quelqu’un l’approchait et elle était sûre que-
Une main se posa sur son épaule.
Elle sursauta et fit volte-face, mais bien sûr rien, et recula dans le même temps (oh mon dieu quelqu’un l’avait touchée qui était-ce pourquoi l’avait-il pourquoi est-ce qu’elle ne voyait rien). Ses poumons brûlaient de nouveau et elle entendit ses respirations devenir plus bruyantes.
Elle fit un autre pas en arrière. Ses oreilles sifflaient (elle n’arrivait pas à entendre et bordel de merde pourquoi est-ce qu’elle ne voyait rien ?!
Un autre. Elle perçut vaguement quelqu’un s’adresser à elle en face mais elle ne savait pas où exactement et elle ouvrit les yeux pour lancer des coups d’œil frénétiques autour d’elle (depuis quand les avait-elle fermés depuis le noir depuis le combat ou avant elle ne savait plus elle ne savait plus) mais tout ce qu’elle vit fut du noir noir noir noir
Hope you liked it! 💫
Content warnings:
Violence/pain, blind character, panic attack, chaotic writing.
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codumofr · 2 months ago
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Le Ramen qui est un plat traditionnel et emblématique du Japon est avant tout une recette héritée de la cuisine Chinoise. Le mot même de Ramen est emprunté au chinois Lāmiàn qui signifie en mandarin Nouilles tirées. Ainsi, la base moderne de ce plat tient ses origines dans la culture Hui, une minorité musulmane du Lanzhou. Mais on peut remonter l’origine des soupes de nouilles où des pâtes faites de millet ont été daté de plus de 4’000 ans, donc bien avant l’islam et les musulmans. l’Histoire du Ramen est assez récente comparé aux croyances populaires. Le plat en lui-même date du début de l'Ère Meiji qui s’étend de 1868 à 1912 et donc, du début du 20ème Siècle. La première boutique de Ramens connue est une boutique de Yokohama tenue par des immigrés chinois s’étant installée dans le quartier. Ses ramens étaient connus sous le nom de Soba Chinoises ( Chuka Soba ), Soba de Chine ( Shina Soba ) ou bien de Soba de Nankin. Les ramens de Yokohama étaient faits d’un bouillon, de rôti de porc, de pousses de bambou et d’un demi-oeuf dur. D’autres sources renvoient à un restaurant d’Asakusa ayant recruté un chef cuisinier chinois en 1910. Le ramen d’Asakusa été connu sous le nom de Shio Ramen où du Sel puis plus tard de la Sauce Soja ont été ajoutés. Le plat devient réellement populaire qu’après la Seconde Guerre Mondiale via l’émergence des stands ambulants de ramen. Le Bouillons est une des parties les plus importantes du Ramen. Sa base est généralement faite d’Os de Porc, d’Os de Poulet ou de Fruits de Mers et nous pouvons aussi trouver différentes variétés de bouillons.
Les ramens où de la Sauce Soja ajoutés dans le bouillon sont les Shoyu RamenIl existe un total de 5 sauces sojas pouvant être mis dans le bouillon. Nous retrouvons la Sauce Soja Koïkuchi ( Corsée ), la Usukuchi ( Légère ), la Tamari ( Forte concentration de Soja ), la Saïshikomi ( Fermentation Prolongée ) ou la Shiro ( Blanche ). Toutefois, la majorité des restaurants de Shoyu Ramen utilise la Sauce Koïkuchi. Dans les Shoyu Ramen reconnu nous avons le Niboshi Shoyu Ramen à base de bouillon à l’Os de Porc et au Soja, mais en y ajoutant des Niboshi ( Sardine Infantile Séchée ) et le Shoyu Saïshikomi Ramen à base de bouillon à l’Os de Poulets, mais en utilisant une Sauce Shaïshikomi non Pasteurisé et des poulets distinguée comme ceux d’Aizu.
Les ramens où du Sel ajoutés dans le bouillon sont les Shio Ramen. Deux catégories de sels existent telle que le Sel d’Origine Minéral et le Sel d’Origine Marins. Le sel de mer commun est généralement importé d’Australie avant d’être dissous dans de l’eau de mer japonaise avant d’être de nouveau séché. Dans les Shio Ramens reconnu nous avons le Shio Ramen de Konjiki Hototogisu rajoute des palourdes tout en ayant un bouillon fait de Sel Marin d’Okinawa, Sel Minéral de Mongolie, Poissons Frais, Algues Séché et de nombreux Légumes et le Shio Ramen de Motenashi Kuroki qui est composé de six type de sel différent comme le Sel Minéral de Mongolie ou le Sel aux Algues. Son bouillon est fait à partir de Poulets Entiers, de Poissons Volants Grillés ou encore de Maquereaux Séchés.
Les ramens avec de la Pâte de Soja Fermentée ajoutés dans le bouillon sont les Miso Ramens. Le Miso existe en différentes versions avec du Riz, du Blé ou simplement du Soja puis est laissé fermenté et plus il est laissé maturé, plus il devient rouge et salé. Dans les Miso Ramens reconnu nous avons le Sapporo Miso Ramen où du Saindoux forme une épaisse couche isolante en surface. Le bouillon est légèrement relevé grâce à du Poivre Japonais, du Gingembres et de nombreuses autres Épices. Nous avons aussi le Sapporo Miso Ramen du Sapporo Raïden où le bouillon est relevé avec du Gingembre, de l’Ail et autre Alliacées lui octroyant un parfum extraordinaire.
Les ramens avec des Os de Porcs ajoutés dans le bouillon sont les Tonkutsu Ramens. C’est un bouillon blanc où les Os de Porcs sont bouillis pendant une longue période et à haute température tandis qu’une sélection drastique permet d’évité la forte odeur désagréable lors de sa préparation. Dans les Tonkutsu Ramen reconnu nous avons le Rokutonken Tonkutsu Ramen où seuls les os du crâne du porc sont utilisés dans le bouillon avec une vingtaine d'ingrédients supplémentaires. On peut ainsi retrouver de la Sauce Tare Salée avec dedans de l’Ail Grillée dans de l’Huile de Sésame ainsi qu’une huile parfumée secrète et nous avons le Tonkutsu Ramen de Style Hakata du restaurant Hakata Nagahama Ramen Tanaka Shôten qui est secrètement tenue tandis que les fourneaux sont constamment allumé.
Les ramens avec des Produits de la Mer ajoutés dans le bouillon sont les Gyôkai Ramens. Les produits utilisés sont généralement de la Sardine Séchée, de la Bonite Séchée ou encore de l’Algue Konbu Séchée. Ils sont ainsi nommés “Dashi”. Dans les Gyôkai Ramen reconnu nous avons le Nagaochukasoba Gyôkai Ramen qui est fait de Sardines Séchée et de son bouillon clair et du Watanabe Gyôkai Ramen reconnu grâce au copeaux de Bonite Séchée et Maquereaux Séchée tout en étant combiné avec un bouillon Tonkotsu faisant de lui un bouillon Tonkutsu-Gyôkai.
Les ramens avec du Poulet ajoutés dans le bouillon sont les Tori Ramens. Dans ses bouillons les Carcasses, les Pieds et la Peau tandis que certains restaurants s’octroient le luxe de les utiliser en entier pour le bouillon. Dans les Tori Ramen reconnu nous avons le Tori Ramen du restaurant Menya Sô Takadanobabahonten utilisant un bouillon Torichintan qui est un bouillon de poulet et de pied de porc et le Tori Soba au Poulet AOC de Hinaï tout en étant relevée par des Sardines Séchées du restaurant Ramen Tenjinshita Daïki.
Pour finir, nous avons ceux avec des Os de Boeuf ajoutés dans le bouillon qui sont les Gyûkotsu Ramen. Les Os de Boeuf sont utilisés depuis récemment à cause de leur taille et de la difficulté d’en tirer un bouillon et des cuisines exigües des restaurants de ramens. Dans les Gyûkotsu Ramen reconnu nous avons le Gyûkotsu Ramen du restaurant Ramen Dining Jingu où le bouillon est fait de Boeuf, Porc et de Poulets tandis que des tranches de rosbifs sont déposée sur les bouilles en guise de Chashû et nous avons aussi le Gyûkotsu Ramen du restaurant Gyûkotsu Ramen Matador où de tendre et juteuse tranches de rosbif, cuites à basse température sont entreposé.
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marie-swriting · 1 year ago
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Vous Iriez Bien - TASM!Peter Parker
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Marvel Masterlist
Résumé : Tu passes un mauvais jour, heureusement ton petit ami sait quoi faire pour t'aider.
Warnings : neurodivergent!reader, crise de panique, pression scolaire, hurt/comfort, dites-moi si j'en ai loupé d'autres.
NDA : Ce one shot a été commandé par ma talentueuse meilleure amie @kaeinherworld ça a été un honneur pour moi de voir qu'elle voulait que je lui écrive un one shot donc, Kae, j'espère que tu l'aimeras autant que j'ai aimé ton one shot Stefan Salvatore que tu m'as écrit il y a des années (et contrairement à toi, je ne le supprimerai pas !) ❤️
Nombre de mots : 2.2k
Version anglaise
Prompt utilisé : "Person A is having a panic attack and they desperately try to hide it, but Person B sees right through them and knows the right thing to do to calm A down." (Personne A a une crise de panique et iel essaye désespérément de la cacher mais Personne B voit clair dans son jeu et sait la chose à faire pour calmer A) de cette prompt list faite par @creativepromptsforwriting
Chanson qui m'a inspiré : Love The Hell Out Of You par Lewis Capaldi
C’était trop. Si on t’avait demandé de définir cette journée, tu aurais répondu que c’était trop. Trop de stress. Trop de bruit. Trop de personnes. Trop de tout. 
Dès ton réveil, tu avais ressenti que cette journée ne serait pas la meilleure et les heures suivantes l’avaient confirmé. Ce jour-là était particulièrement éprouvant à la fac. La fin du semestre se rapprochait à grand pas et la pile de devoirs à rendre et de révisions à faire s'agrandissait au même rythme. Ta concentration et ta motivation avaient de plus en plus de mal à rester à tes côtés Tu n’avais qu’une hâte pouvoir profiter de tes vacances pour - enfin - souffler et t’isoler. 
En plus de la pression de la fac, tu n’avais pas pu voir Peter de toute la journée. Même si vous n’aviez pas les mêmes cours, vous trouviez toujours une solution pour vous retrouver pour manger le midi ou au moins une dizaine de minutes durant l’après-midi. Malheureusement, le vendredi était ta journée de cours la plus chargée, il vous était impossible de vous voir sur le campus, par conséquent, tu étais encore plus à cran. Certes, tu allais passer la nuit chez lui pour votre visionnage hebdomadaire de Star Trek, mais tu voulais être dans ses bras le plus vite possible.
Quand ton professeur finit son cours - non sans rajouter un énième devoir, tu rangeas tes affaires. Malgré la boule toujours présente dans ton ventre, tu pouvais enfin respirer un peu plus facilement. Cependant, tu attendais de poser les yeux sur ton petit ami pour prendre une vraie inspiration.
En arrivant chez toi, tes parents ne prirent pas le temps de te saluer ou de te demander comment s’était passé ta journée, ils se dépêchèrent de faire un commentaire désobligeant à propos de tes notes sans même savoir de quoi ils parlaient. Ton anxiété commençait à se transformer de plus en plus en frustration et tu fis tous les efforts du monde pour ne rien répliquer, tu tenais au peu de calme qu’il te restait encore. Sans leur lancer un regard, tu montas dans ta chambre et refermas la porte sans perdre une seconde avant de t’allonger sur ton lit. 
Tu avais encore une petite heure avant que Peter finisse son dernier cours. Tu en profitas pour te déconnecter de cette atmosphère anxiogène. Tes écouteurs à réduction de bruit dans tes oreilles, tu pris le livre sur ta table de chevet, Le Seigneur Des Anneaux - tu n’aurais su dire combien de fois tu l’avais lu. Ce qui était censé t’apporter du réconfort te frustra un peu plus. Ton esprit était trop surmené pour réussir à se concentrer sur ta lecture et le fait d’avoir été au contact d’autant de stimulis au fil de la journée n’arrangeait rien. Agacée, tu refermas ton livre dix minutes plus tard et attendis Peter avec impatience. 
Le soulagement pouvait se lire sur ton visage quand tu entendis Peter frapper à ta porte. Inconsciemment, tu jetas un coup d'œil par la fenêtre. Il n’était pas rare pour Peter de venir te voir avant ou après sa patrouille et comme il devait se faire discret, il te rejoignait en passant par ta fenêtre. 
Après avoir rangé tes écouteurs et ton livre dans ton sac, tu le pris en main et retrouvas Peter à l’entrée. Il t’embrassa pour la première fois depuis la nuit dernière. Le baiser était rapide tout en étant rempli d’amour. Il prit ton sac et le plaça sur son épaule pendant que tu te saisissais de sa main. Suite à ce contact, tes épaules se relâchèrent légèrement. 
Sur le chemin, Peter fit la discussion, te racontant sa journée. En temps normal, tu lui aurais répondu avec passion et n’aurais pas arrêté de lui raconter toutes les pensées qui traversaient ton esprit, mais la fatigue de la journée était plus forte alors tu restas silencieuse. Peter étant un petit ami bienveillant et te connaissant depuis l’enfance, il remarqua ton mutisme instantanément, mais ne commenta pas. En seulement un regard, il avait compris que ta journée avait été longue. Tout en continuant de parler, il prêta attention à tes gestes, se préparant à réagir si tu avais besoin de quelque chose.
Le chemin jusqu’à chez Peter ne t’avait jamais semblé aussi long. Tu t’étais retenue de soupirer de nombreuses fois dans le métro. 
Une fois chez lui, vous vous rendîtes dans la cuisine où vous saluâtes rapidement Tante May qui devait partir au travail. Quand vous fûtent seuls, Peter récupéra deux verres ainsi qu’une bouteille de soda alors que tu sortis du pop corn pour votre soirée. 
Dans sa chambre, Peter te donna un de ses tee shirts que tu mis rapidement, voulant sentir son parfum sur toi. Son tee-shirt ressemblait plus à une robe mais cela ne te dérangeait pas. Peter enfila également une tenue plus confortable. 
Une fois allongés sur le lit de Peter, tu te mis sur ton côté gauche, la tête posée sur le torse de ton petit ami pendant que l’ordinateur était sur ses jambes et le bol de pop corn entre vous deux. Lors des premières minutes de Star Trek Into Darkness, tu arrivas à te concentrer puis tu repensas à la fac malgré toi. 
La pensée avait à peine effleuré ton esprit mais ça avait été suffisant pour te distraire. Mentalement, tu faisais la liste de tout ce qu’il te restait à faire. Plus tu réfléchissais et plus tu prenais conscience que tu avais encore beaucoup de travail. En sentant tes mains commencer à trembler, tu compris que la crise de panique n’était pas loin. Tu essayas de prendre de profondes inspirations discrètement, espérant ne pas attirer l’attention de Peter - ses sens décuplés pouvaient te trahir à n’importe quel moment. Quand ton cœur se mit à battre à toute vitesse, tu sus que c’était peine perdue. Dissimulant ta respiration saccadée du mieux que tu pouvais, tu tentas de sortir du lit normalement, les larmes aux yeux. Tu n’eus pas le temps de bouger une jambe que Peter était déjà tourné vers toi, les sens en alerte. Il posa l’ordinateur et le bol de pop corn sans ménagement sur le sol et t’invita à t’asseoir comme il faut. Tu portas la main sur ta poitrine, la douleur devenant plus forte et au même moment, tes larmes commencèrent à couler sur tes joues. 
Peter te regardait sans te toucher, craignant d’aggraver la situation - il savait que tu n’étais pas fan du contact physique alors il faisait toujours attention à respecter ton espace personnel, surtout dans ce genre de situation. Rapidement, il cacha son affolement, tu avais besoin de le voir calme. 
-Hey, ça va aller, t’assura Peter. Est-ce que je peux prendre ta main pour la poser sur mon cœur ?
Tu hochas la tête avec difficulté pour répondre. Délicatement, il prit la main qui était sur ta cuisse dans la sienne. Son emprise sur ta main était légère, te laissant ainsi la liberté de la retirer si tu changeais d’avis. Il posa ta main sur son cœur et il te fit un regard rassurant avant de rajouter : 
-Très bien. On va respirer ensemble lentement. Tout va bien. Ça va aller, Y/N, répéta-t-il. Tu es en sécurité. Prends une profonde inspiration par le nez et expire par la bouche, invita Peter en le faisant avec toi. Regarde nos mains sur ma poitrine. 
À sa phrase, tu fis ce qu’il dit. En continuant de regarder le point fixe, tu pouvais sentir le cœur de Peter battre calmement à travers ta main, t’aidant ainsi à te sentir plus protégée. Tu respirais encore avec difficulté mais au bout de la cinquième inspiration, ton cœur ainsi que tes larmes commencèrent à se calmer.
-Tout va bien. Tu vas bien, murmura Peter.
Quelques minutes plus tard et grâce à l’aide de Peter, tu arrivas enfin à retrouver une respiration normale. Il arrêta de parler, t’autorisant à reprendre tes esprits à ton rythme. Tu gardas les yeux sur vos mains pendant quelques secondes de plus, appréciant le calme. Les yeux de Peter ne te quittèrent pas, faisant attention à ce que la crise ne reprenne pas. 
Quand tu te ressaisis, tu arrêtas de fixer vos mains pendant qu’un sentiment d’embarras t’envahit. Tu évitas le regard de Peter tout en essuyant tes joues mouillées avec ta main libre. Ce n’était pas la première fois que Peter était témoin d’une de tes crises de panique, mais tu n’aimais pas être autant vulnérable devant lui. Tu retiras ta main de son torse et commenças à jouer avec tes doigts. Tu n’osais pas briser le silence en premier et Peter l’avait bien compris. 
-Tu veux qu’on en parle ? 
-Il y a pas grand chose à dire, déclaras-tu avec une voix légèrement plus grave à cause de la fatigue. 
-Ça ne t’était pas arrivé depuis un moment, remarqua Peter. 
-La fin du semestre aide pas vraiment à ne pas être anxieuse. 
-Il y a autre chose.
En entendant son affirmation, tu ne pouvais t’empêcher d’être légèrement agacée. Il te connaissait par cœur. Malgré tous tes efforts, tu ne pouvais rien lui cacher alors tu lâchas un soupir avant d’admettre à contrecœur : 
-Ce n’était juste pas vraiment mon jour. Ce n’est rien. Je vais bien, mentis-tu en te forçant à le regarder pendant une seconde. 
-Tu sais que tu peux tout me dire. Tu sais aussi que ça ne me dérange pas de t’écouter et de t’aider, te rappela-t-il tendrement. 
-Je sais.
-Je le pense, Y/N. Tu m’as toujours aidé, surtout après que je sois devenu Spiderman donc c’est normal que je te rende la pareille. 
-Je veux juste pas être un fardeau pour toi, avouas-tu avec difficulté.
-Tu ne l’es pas et tu ne le seras jamais. Je ferai tout pour toi. Tu m’as tellement aidé et aimé alors sache que je t’aimerai toujours autant. 
Ignorant quoi lui répondre, tu te penchas vers lui et posas tes lèvres sur les siennes. Vous vous embrassâtes avec lenteur, appréciant la présence de l’autre. Avec ce baiser, tu voulais partager tout ton amour et ta gratitude à Peter. Il savait quoi dire pour te faire te sentir mieux et tu savais qu’il était sincère dans chacun de ses mots. Tu savais qu’il le pensait quand il disait qu’il ferait tout pour toi. Peter t'aurait amené le paradis si c’était ce dont tu avais eu besoin. Il aurait pris toute ta douleur s’il avait pu et il t’aurait souri en le faisant. Il aurait fait tout ce qui était possible et impossible pour toi et tu en serais à jamais reconnaissante. 
Peter te laissa prendre le contrôle du baiser, te permettant de retirer tes lèvres quand tu le souhaitais. Quand tu le fis, tu regardas Peter avec tendresse alors qu’il te faisait un sourire avec la même douceur.  
-On peut en parler plus tard, si tu préfères, te dit-il, sachant que tu avais besoin du temps. Tu as besoin de quelque chose ? 
-Je veux bien que tu me passes mes écouteurs et qu’on reste allongés pendant un petit moment, répondis-tu lentement.
Peter récupéra ce que tu voulais dans ton sac et te tendit les écouteurs. Tu les plaças dans tes oreilles, le silence te réconfortant un peu plus alors que Peter se réinstallait dans le lit. Tu ne te collas pas complètement à ton petit ami, ayant besoin d’un peu d’espace, mais tu te saisis de sa main droite et jouas avec ses doigts. Tu lâchas un grand soupir alors que Peter te regardait faire, toujours sur le qui-vive au cas où. 
Vous restâtes dans cette position jusqu’à ce que le soleil se soit couché. À un moment, tu fermas même les yeux sans dormir. Quand tu te sentis enfin un peu mieux, tu retiras tes écouteurs et ouvrir les yeux. Peter te fit un léger sourire auquel tu répondis avant de prendre la parole : 
-Tu veux un thé ? J’ai tout pour ton thé préféré.
-Qu’est-ce que j’ai fait pour te mériter ? demandas-tu rhétoriquement, ton sourire grandissant et en le regardant les yeux remplis d’amour. 
-Tu as frappé Josh Stewart quand on avait six ans car il avait jeté mes affaires au sol, répondit-il, te faisant lâcher un rire, le souvenir de votre première rencontre en tête. Alors, un thé ?
-Je veux bien. 
-Je reviens tout de suite. 
Après t’avoir embrassé sur le front, Peter quitta sa chambre. Quelques minutes plus tard, Peter revint avec une tasse dans les mains. Il te la donna pendant que tu t’asseyas sur son lit, le dos contre le mur. Tu pris une grande gorgée, appréciant le goût du thé noir avec du citron vert, de l’orange et de l’épice. Tu gardas la tasse entre tes mains alors que Peter récupéra le livre dans ton sac. Il n’avait pas besoin de te demander pour savoir que tu en avais amené un avec toi, tu avais toujours un livre sur toi, peu importe la situation. Peter rigola légèrement en voyant que tu relisais Le Seigneur Des Anneaux. Il te rejoignit sur le lit, s’installant à tes côtés. Pendant qu’il ouvrit le roman, tu te blottis contre lui. Peter passa son bras droit autour de tes épaules, te rapprochant de lui. Tu bus une nouvelle gorgée et Peter reprit la lecture là où tu l’avais laissée. 
En écoutant Peter lire, tu ne pus t’empêcher de te sentir reconnaissante d’avoir Peter dans ta vie. Il savait parfaitement quoi faire et dire pour t’aider à aller mieux. Tu n’aurais pu imaginer un meilleur petit ami. Tu savais qu’il y aurait d’autres moments où tu n’irais pas bien comme ce jour-là, tout comme Peter aurait ses mauvais jours, mais tant que vous étiez ensemble, vous iriez bien.
Marvel Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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justforbooks · 8 months ago
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The Italian pianist Maurizio Pollini, who has died aged 82, was one of the giants of the keyboard in the second half of the 20th century, and yet for all the respect he commanded, his playing was criticised throughout his career for being excessively cool and cerebral. When he took first prize at the 1960 Chopin competition in Warsaw, the chairman of the jury, Artur Rubinstein, declared: “That boy plays better than any of us jurors.” But that success proved to be only the prelude to the first controversial event of his career. He withdrew from the international concert circuit for 18 months to broaden his repertoire and develop other cultural interests. It was not until nearly the end of the decade that his performance schedule achieved a normal rhythm, but his full return in 1968, coinciding with a contract signed with the Deutsche Grammophon (DG) label, launched a series of triumphs on the concert platform and in the recording studio.
Classic recordings of Chopin Etudes, of music by Schumann and Beethoven, and of modernist repertoire such as Pierre Boulez’s Second Sonata consolidated his reputation and, at its best, Pollini’s playing combined expressive but unsentimental intimacy, tonal beauty, textural clarity and a formidable technique. Particularly in his later years, Pollini’s breathless, impatient delivery of Beethoven’s sonatas often seemed to deny their rhetoric, as though he was embarrassed by large romantic gestures or overt emotionalism.
Pollini’s cerebral instincts appeared to deprive him of the ability to live in the moment: romantic subjectivity, it seemed, had constantly to be interrogated.
Pollini was born in Milan. His father, Gino Pollini, was one of Italy’s leading architects of the interwar period; his mother, Renata (nee Melotti), who had studied singing and piano, was the sister of the modernist sculptor Fausto Melotti. Such a background, in which “old works and modern works co-existed together as part of life”, as Pollini later put it, was to have a formative influence on his own approach to art. The discovery of his musical talent led to lessons with Carlo Lonati and Carlo Vidusso (from 1955 at the Milan conservatory) and various competition successes prior to Warsaw. His 1963 London debut, playing Beethoven’s Third Piano Concerto with the LSO under Colin Davis, was criticised by the Times as “rushed” and over-impetuous.
Peter Andry, the responsible executive at EMI in the early 1960s, told in his autobiography, Inside the Recording Studio (2008), of the pursuit of the 19-year-old who had just won the prestigious Warsaw competition: “We quickly signed the young Italian, a slender, bespectacled young man with an elongated brow but a very pleasant manner.” One of their first (and only) projects together was a recording of the two sets of Chopin Etudes, Opp 10 and 25. It was not long after this that Pollini appeared to suffer a crisis of confidence. EMI sent him off to study for two years with the pianist Arturo Benedetti Michelangeli, but even as his musicality deepened, and reviews were often complimentary, Pollini retreated from the spotlight. He refused to allow the Etudes to be released – though this was in part because DG, shortly to sign Pollini as an exclusive artist, wanted to make their own version. The EMI sets were finally released only in 2011 (on Testament), winning plaudits for their spontaneity and freshness.
It was also in the 60s that music and politics first became intertwined in Pollini’s career. A friendship with a fellow-student, Claudio Abbado, a like-minded leftwing idealist, led them to seek radical ways of bringing classical music to factory workers, including a cycle of concerts at La Scala for employees and students. Another friendship, with the Marxist avant garde composer Luigi Nono, was equally important, resulting in the commission of two pieces for Pollini, including one for piano, voice and tapes, commemorating an assassinated Chilean revolutionary. Pollini’s radical outlook remained with him throughout his career, as did his intellectual approach to art and life. If too often that cerebralism seemed at odds with the heroic or passionate romantic sensibility of the music he played, there were compensations: the visionary gleam in a Chopin miniature; the anticipation of modernism in the ghostly finale of the same composer’s Second Piano Sonata.
Even when declining physical stamina took its toll in later recitals, Pollini commanded admiration of a sort for his continued willingness to pit himself against some of the most demanding works in the repertoire. The breathless impatience of his foreshortened phrases was unsettling, but glimpses of the old magic were still in evidence. The programming of his five-concert series The Pollini Project at the Royal Festival Hall, spread over five months in 2011 – which moved from Bach, through late Beethoven and Schubert to Chopin, Schumann, Liszt and Debussy to modernists such as Stockhausen and Boulez – represented a personal statement about landmarks in the history of piano music.
His interpretation of Boulez’s Second Sonata, notable for its precision and explosive energy, but also for its lyricism and Debussy-influenced pointillism, remains without peer. Stravinsky’s Petrushka likewise drew from him an incomparable muscularity coupled with tonal clarity that was ideally incisive rather than brutal. If Pollini’s playing was controversial, it was so because it explored the dichotomy of intellect and emotion fundamental to music-making.
He is survived by his wife, Marilisa (nee Marzotto), whom he married in 1968, and their son, Daniele.
🔔 Maurizio Pollini, pianist, born 5 January 1942; died 23 March 2024
Daily inspiration. Discover more photos at Just for Books…?
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lilias42 · 3 months ago
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La chassée devenue chasseuse
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J'enchaine vraiment en ce moment IRL alors, j'avais envie de dessiner un peu pour me vider la tête donc, voici une nouvelle version de Metaheta de dos avec plein de détour (juste un peu déçu qu'on ne voie pas les motifs autour de son oeil central dans son dos [mais ils se voient quand on grossit le dessin !]).
C'est une des Braves que j'aime le plus à cause de son histoire vis à vis des agarthans, son design qui est dur mais très satisfaisant une fois passé au noir, son caractère et sa force... même si j'en ai fait peut-être un peu trop pour cette dernière vu que... bah je sais même pas comment Némésis et Thalès ont pu réussir à la vaincre en fait 😅
Vu que la dame a 1 200 ans de sorcellerie à son actif, une force colossale, la capacité à moduler son corps comme elle le veut - que ce soit pour grandir, le tordre dans tous les sens ou changer d'apparence - et le contrôle comme elle le souhaite, voie sous tous les angles possibles grâce à ses yeux, se régénère très vite, lit dans les pensées des gens (vu qu'elle a développé ses sens et son corps, ça me semble dans la continuité qu'elle développe assez sa sorcellerie pour pouvoir voir et entendre les pensées des autres... et ce serait tout à fait son genre de lire de le faire pour repérer encore plus vite les agarthans)... ouais, arriver à la faire tomber est pratiquement impossible à ce stade, encore plus pour des agarthans vu que de base, si elle est aussi surentrainée, c'est justement pour les vaincre alors, elle connait tout leurs trucs et même armé de l'épée du Créateur, Némésis risque de ne pas faire long feu face à elle étant donné qu'il n'a ni son endurance, ni sa capacité de régénération ni d'adaptation. Encore, elle pourrait galérer contre des nabatéens qui pourrait la battre avec pas mal d'effort (même si je ne voie pas pourquoi elle s'en prendrait à eux, elle en a juste rien à cirer de ce qui se passe en-dehors de sa montagne et si on ne la menace pas), mais des agarthans... voilà quoi, elle les repoussait avant leur chute alors, avec les ressources bien diminuées, même pas la peine d'y penser. C'est elle qui va les éliminer, y a pas de débat là-dessus.
De base, je me disais qu'il l'épuisait en la forçant à combattre pendant des jours sans qu'elle puisse manger, boire ou dormir mais, il leur faudrait une véritable armée pour l'assaillir continuellement et à ce stade, je voie mal les agarthans avoir assez de ressources pour créer suffisamment d'automate ou recruter assez de gens pour ça... j'ai le même problème avec les autres sorciers vraiment anciens que son Lamine (avec son poison mortel en quelques secondes flottant dans l'air et sa capacité de régénération vraiment infinie vu qu'elle peut survivre à une décapitation et brûle moins vite qu'elle ne guérit), Kelon (idem, se régénère très vite, avec la difficulté en plus qu'il faut pouvoir l'attraper vu qu'il voie assez haut dans le ciel tout en étant ultra mobile avec ses ailes, avec ses éclairs qui peuvent toucher à assez longue distance) ou Pyrkaïa dans une moindre mesure vu qu'elle est une pointe plus jeune (bonne capacité de régénération et faut pouvoir attraper une véritable torche humaine) mais bref, à voir.
En plus, après tout ce qu'elle s'est pris dans les dents, les agarthans qui ont littéralement chassé son peuple pour s'amuser, voler les peaux des siens afin de s'infiltrer chez eux et faire encore plus de dégâts, tout ce qu'elle a enduré pour protéger sa cité, tout ce qu'elle a sacrifié pour son peuple, tout le travail pendant des siècles pour calmer sa paranoïa et qu'elle s'autorise un peu plus à vivre pour elle aussi et pas que comme une gardienne de sa cité... ouais, j'ai pas très envie de l'imaginer en train de perdre contre son pire ennemi, encore plus quelqu'un d'aussi arrogant et pourri que Thalès qui se prend pour un dieu, encore plus contre quelqu'un qu'il voyait comme une proie auparavant. Faudra bien un jour quand je me déciderais à faire son billet à elle mais bon, au rythme où je vais...
Alors, juste, vas-y reine, tu peux enfin en finir avec cette ordure qui a fait de la vie de ta cité un enfer, fait toi plaisir !
#écriture de curieuse#dessin de curieuse#les 11 braves (+ peut être les premiers qui reçoivent l'emblème des saints)#goneril of the 10 elites#Metaheta Gonerile#Metaheta mérite de l'exploser cette pourriture !#C'est simple elle arrive à l'académie par voyage dans le temps raté elle défonce El et les agarthans qu'elle croise sans problème !#Pour Hubert El et Jéritza elle sent la magie agarthan autour d'eux idem pour Solon et Kronya#Elle risque même de prendre un grand plaisir à les défoncer vu qu'eux chassent les humains pour le plaisir...#... ou les utilise comme des cobayes d'expériences comme des animaux alors elle va leur faire ravaler leurs dents#alors si elle voie des humains alliés à des agarthans... ça va barder et ils vont prendre bien cher à coup de poings#même si elle épargnerait sans doute ses trois là... pas par pitié ou compassion juste parce qu'elle a lu dans les pensées de tout le monde#dont celle de Dimitri alors elle voie que c'est la personne dont Dimitri veut se venger alors elle ne lui volera pas sa vengeance#elle les gardera juste sous le coude le temps de s'occuper de tous les agarthans jusqu'à chez eux#même si elle pourrait épargner les civils qui ont été obligés de suivre comme elle l'a fait avec Pan dans le passé#même si elle serait du genre à le titiller sur le fait que sa tête est sans dessus dessous et qu'il consulter pour ses hallucinations#Elle n'a rien contre la vengeance mais elle sait aussi que c'est quelque chose qui peut te bouffer tout cru#alors quand c'est au point de voir des morts... ouais consulte gamin t'en a besoin#ce serait sa manière de mettre Dimitri en garde contre son envie de vengeance qui le rend aveugle à tout le reste quand il se perd#alors que des gens tiennent à lui et surtout ont besoin d'un roi compétent qui s'occupe de son peuple correctement#elle elle-même une personne très influente dans sa cité -peut-être née princesse - alors la protection de son peuple elle l'a dans le sang#-oui c'est la seule à être issue de l'aristocratie tous les autres sont plus au système D et des couches les plus basses de la société-#elle a le problème contraire d'Hilda elle ne s'arrête jamais que ce soit de travailler ou de construire pour son peuple
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camisoledadparis · 11 days ago
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saga: Soumission & Domination 328
Sosthène 2
J'appelle Sosthène. Il n'est pas venu mardi au sport. Il me dit qu'il avait cru devoir travailler avant. Je l'engueule et le convoque pour la 2ème séance hebdomadaire.
Quand il arrive j'ai déjà la moitié de l'équipe au travail. Sosthène passe dire bonjour à tous. Ça me va comme comportement. Il ne fait pas le fier. Quand je le récupère, il me dit qu'il a vu que c'était ceux du mur. Il me faut quelques secondes pour comprendre qu'il parle de la frise de mon bureau.
Jona arrive. Je lui présente Sosthène qui est encore en " civil ". C'est limite si je me fais pas engueuler de ne pas l'avoir déjà mis en jock ! Il le prend en charge. Je reste à leurs côtés. Une fois Sosthène en " tenue ", Jona tourne autour de lui. Il l'examine sous toutes les coutures. Puis il se tourne vers moi et me dit que cette fois ci je l'ai pas gâté. Je lui dis que je ne pouvais pas lui trouver à chaque fois des mecs qui font déjà des sports de combats ! Là au moins, il va pouvoir nous montrer l'étendue de ses compétences. Il rit jaune mais commence à discuter avec Sosthène pour savoir si ce dernier est prêt à s'investir un minimum. Comme il obtient son accord, il déroule un programme de test. Il passe sur les différents postes et Jona note les poids qu'il arrive à soulever. Sans être du niveau de la bande, il n'est pas ridicule non plus. Ses 60Kg au développé couché, sans entrainement particulier sont honorables. Quand il voit l'entrainement de François avec Morgan au combat, il voit ce qui l'attend. Si j'ai eu peur un moment que ça l'effraie j'en suis lourdement trompé. Il semble passionné. Quand je lui demande ce qui le rend si intéressé, il me dit que Justin est méchamment tanké et qu'à coté, même s'il lui prend 3cm en taille, il en rend au moins 10 de large !
Jona qui l'entend nous demande qui est ce Justin si motivant. Quand je lui parle du garage, il voit tout de suite qui c'est. Puis tout fort il annonce à la salle que c'est Sosthène qui s'est dégoté notre garagiste. Je suis autant surpris que Sosthène. Jona nous dit que tous, ils se demandaient si Justin était intéressé par eux mais qu'aucun n'avait osé lui demander bien qu'ils aient eu tous envie de se le faire à chaque fois qu'ils amenaient leurs voitures au garage.
Sosthène est un peu interloqué par la façon que mes escorts ont de parler aussi franchement de leurs envies. Je le vois et lui dit de ne pas s'en faire, ce n'est pas parce qu'ils sont tous plus ou moins et même plus que moins en couple qu'ils ne s'autorisent pas à baiser avec qui leur plait. Probablement un effet collatéral de leur " métier " d'escort.
François dégage du tatami central et Jona peut commencer l'initiation de Sosthène. Comme dans beaucoup de sport, il faut commencer par apprendre à tomber. Et ça, il le fait bien.
Pour fêter son arrivée, j'invite tout le monde à diner au 4ème (c'était prévu avec Samir).
Les douches sont un peu longues et les premiers attendent les autres en trempant dans la piscine à 30°.  Pour éviter que ça finisse en partouze et même comme ça ce n'est pas garanti quand même, on se rhabille avant de monter. Le monte-charge tenant 2 tonnes, nous nous engouffrons tous dedans. A l'arrivée, les garçons s'égaillent sur tout le plateau. Certains vont en cuisine aider mes deux hommes. Sosthène regarde partout comme tous ceux qui entrent pour la première fois chez nous.
Quand il passe devant le feu de cheminée projeté sur le mur, il fait un saut de côté surpris par la chaleur qui s'en dégage. PH, qu'il questionne, lui explique qu'un radiateur est intégré dans le mur juste à cet endroit et que sa puissance est coordonnée à l'image projetée.  Il continue à scruter chaque m² de mes murs. Il apprécie la copie revisité du déjeuner sur l'herbe et trouve très drôle les versions vidéo qui sont projetées à ses côtés. Il me fait remarquer qu'il n'y a aucun escort parmi les acteurs. Je lui explique qu'à l'époque (comme si ça datait du siècle dernier !) je maintenais une barrière entre mes amis et mon équipe. Et tapant sur ma jambe zébrée, lui dit que c'était avant ça !
Quand nous arrivons à la cuisine, je lui présente mes deux hommes de maison avant qu'il ne me fasse remarquer que les deux cariatides ressemblaient furieusement à un des mecs projetés sur le mur. Je lui explique que le sculpteur s'est entiché de notre ami Ric et que, comme nous aimons beaucoup ce dernier et que physiquement il est top, nous lui avions commandé ces deux sculptures pour casser l'effet " station de métro " du plateau ouvert. Il est d'accord avec nous et me dit qu'il aurait envisagé lui aussi de couper la longueur de la salle.
Nous nous installons tous autour de la table basse, assis sur les canapés ou par terre. Sosthène est étonné de la part des protéines. Jona lui explique l'intérêt de cet apport supplémentaire. Il s'est vite mis au jus et discute avec tous indifféremment. Il explique un peu d'où il vient et quel est son parcours actuel. Evidement il y en a pour lui demander si Justin (concession auto) est aussi bon qu'ils avaient phantasmé dessus. Emporté par l'ambiance, mais sans entrer dans les détails, il nous dit que c'est un super recto/verso. Bien qu'il soit super baraqué, il est assez doux mais très efficace. Quand on lui demande la taille de son engin, il nous répond que la quantité est plus que le nécessaire pour se donner du plaisir. Bien tourné pour éviter de répondre. Il me confiera à moi plus tard que Justin est équipé d'une bite de 23x6 comme la sienne à lui mais très blanche, un véritable négatif. Quand un des escort sort que sa RCZ va être souvent en panne bien qu'elle soit neuve, c'est l'éclat de rire général.
C'est Blond1 (un escort hétéro, 7ème année de médecine) qui lui demande comment ça se passe avec ses parents rapport à son nouveau taf. Sosthène lui dit qu'ils le savent homo et que le travail de représentation qu'il a décroché ne les inquiète pas. Pour eux, il a toujours été très mature et ils lui font confiance pour qu'il ne fasse pas de bêtises. Même la voiture il a réussi à la faire accepter comme normale pour ce travail. En plus ça le met indépendant financièrement ce qui les arrange. Sa soeur ainée qui est à Paris à l'école des Chartes leur coute un max et en plus ils sont 4. Son " petit " frère qui passe son bac S cette année veut, lui faire vétérinaire et vise Maison Alfort, il n'y a que sa petite soeur qui vient de rentrer dans le secondaire qui ne leur coute pas trop cher.
Si ses parents ne sont pas curieux, ce n'est pas le cas de son petit frère. A 18 ans, il a essayé par tous les moyens de lui extorquer des renseignements sur la boite pour laquelle il bosse. Plusieurs fois il lui a demandé s'il pourrait se faire embaucher comme extra avant qu'il ne parte. Comme il n'est pas majeur, je ne veux/peux pas le faire travailler. Sosthène me dit qu'avec ce qu'il gagnera, ce n'est pas nécessaire, il aidera ses parents. 
Je vire tout le monde à minuit. Nous sommes en semaine et demain nous avons tous cours !
Le WE arrive vite. Ce vendredi soir nous allons chercher Marc à l'avion. Les retrouvailles sont toujours pleines de joie et de bisous. Nous commençons à être connus des instances aéroportuaires. Les gardes nous saluent et certains même s'arrête pour discuter 5mn. Les serveurs du bar XX nous connaissent bien. Certains nous draguent même sans vergogne ! Mais là, même si je m'en ferais bien quelques-uns en temps normal, nous attendons mon premier amour et pas question de batifoler de droite à gauche.
Les retrouvailles sont toujours bruyantes, que voulez-vous, nous sommes trois à lui faire la fête ! On se partage ses bagages et nous retournons au blockhaus. La première soirée ne concerne que nous. Après un diner " plus " concocté par Samir et Ammed, nous passons le reste de la soirée à nous faire des câlins et à faire l'amour comme des bêtes ! Ce n'est pas le fait d'avoir baisé toute la semaine chacun de notre côté qui va mettre nos batteries à plat. C'est toujours très tard ou plutôt très tôt le matin que nous nous endormons, emmêlés. Je suis toujours le premier à me réveiller. J'aime ces moments où je regarde mes partenaires endormis. Ils sont détendus, alanguis, trop beaux tout simplement ! Je pense déjà à la soirée à venir. Sosthène doit nous rejoindre pour l'apéritif et rester avec nous jusqu'au dimanche matin. Ça va changer Marc des petits formats asiatiques ! Pour la couleur aussi. Il va kiffer les belles lèvres de mon dernier escort, sa rondelle aussi.
Nous passons un samedi calme. Je l'accompagne juste renouveler son stock de chemises. Il en profite pour m'en offrir une dizaine pour boutons de manchettes. Je n'en n'avais que pour mes smokings et il trouve que c'est pas mal non plus tous les jours. J'en choisis avec des cols droits hauts et cassés, ouvert ça donne un style que j'aime bien. Entre chic et détendu !! Pour ses boxers et slips, il tape toujours dans mon stock !
Quand nous rentrons, Sosthène est déjà là à discuter avec PH et Ludovic. Comme j'en avais parlé à Marc, il n'est pas surpris par l'animal. Ce dernier s'est quand même apprêté. Un t-shirt blanc moulant, des jeans slim qui collent ses jambes et son paquet plutôt proéminent, rentrant dans des CAT beige à peine lacées plus une légère appréhension visible, il est craquant !
Marc le mate et quand je le regarde, je sais que ça va le faire. Comme si j'avais jamais eu un doute ! Jeune, beau mec et beau cul, ça toujours fait fondre mon mec !
Sosthène est quand même un peu gêné. C'est la première fois qu'il rencontre quelqu'un pour une baise tarifée, en plus beaucoup plus âgé que lui. Mais mon homme sait le mettre à l'aise. Il suffit de quelques minutes pour que Sosthène lui fasse part de ses désirs d'avenir. Il le fait parler aussi sur sa situation actuelle. Sosthène nous surprend par son analyse hyper lucide. C'est au point que Marc se fait confirmer son âge. Ammed nous sert l'apéritif. J'ai opté pour du champagne. J'aime utiliser le moindre prétexte pour en sortir et ça tape moins que des alcools forts quand on veut faire des trucs sexuels après ! On enchaine avec un diner léger. A la fin du repas, je sens Sosthène très naturel. Sans se taper sur le ventre, pas son genre ni le nôtre, le tutoiement avec Mac est plus fluide et vient immédiatement. Du coup quand on zappe le café pour passer directement au sexe, cela ne provoque pas de recul chez lui.
Pour faciliter les choses, Samir et Ammed se sont éclipsés rapidement. Je crois d'ailleurs qu'ils avaient un plan avec Amaury dans notre sous-sol ! Seuls, Marc fait assoir Sosthène à ses côtés et il suffit qu'il pose sa main sur sa cuisse pour que ce dernier s'y mette. Pour éviter que l'on soit 3 à les mater, j'ai lancé un strip avec PH et Ludovic. Quand nous sommes enfin à poil, hé oui ça prend un peu de temps quand on veut faire ça bien et de façon excitante, Sosthène est torse nu, à genoux entre les pieds de Marc. Il le pompe et manifestement bien si j'en crois le sourire du pompé. Avec mes deux comparses, on réquisitionnent la table basse et en triangle (elle fait 3m de diamètre) nous nous suçons mutuellement. Quand mon regard se pose à nouveau sur ma trouvaille, elle est nue, tout comme mon mec et, en 69 (genoux sur le dossier du canapé, de chaque côté de la tête de mon mec), il se fait bouffer l'oignon comme je vois sa petite gueule engloutir les 22cm de mon mec jusqu'à l'os. Je replonge sur Ludovic et tête voracement son gland. Je m'acharne dessus jusqu'à le sentir au porte de l'éjaculation. Là, je tente d'avaler entier son sexe et en récompense il me tapisse l'oesophage de son sperme laiteux : Sasha 1 Ludovic 0 ! Je le libère pour passer à sa rondelle. PH alterne léchage et pompage de ma bite. De temps à autre, il alterne avec un malaxage de mes couilles dans sa bouche. Je relève la tête pour voir ou en est ma recrue. A cheval sur les cuisses de Marc il est au stade " enculage ". Si la course à pied est sont sport de prédilection, j'ai bien l'impression que l'équitation ne lui est pas étrangère. Il maintient son assiette malgré les soubresauts de sa monture. L'axe qui lui passe dans l'anus est aussi un facteur de stabilisation ! Les genoux posés sur le canapé de chaque côté de Marc, les mains accrochées aux épaules de Marc, il pompe littéralement sa bite avec sa rondelle.
Je reprends mon taf où je l'avais laissé. Quelques minutes de plus et la rondelle de Ludovic est bien assouplie et je me dégage de PH et après avoir mis Ludovic en levrette, je m'enfonce dans la chaleur moite de son cul. Trop bon ! Je glisse dans son cul même s'il resserre son oignon de temps à autre pour me bloquer. Le coup que ça nous transmet dans ces moments-là participe à la montée de notre plaisir mutuel.
PH se glisse sous Ludovic en 69 pour profiter aussi du moment. Du côté du duo, les choses ont l'air de se passer pour le mieux. Sosthène est sur le dos les jambes relevées contre Marc qui lui laboure les fesses. Si j'en crois les soupirs qui lui échappent, il prend son pied lui aussi. Marc qui me voit les regarder, me dit que j'ai encore tiré un bon numéro avec celui-là. Je lui explique que je suis en train de diversifier " ethniquement " mon offre. Comme je lui dis que j'ai aussi deux asiatiques en vue, il me dit qu'il est un spécialiste de leurs " pratiques " avec ses voyages professionnels. PH se dégage le temps de l'approuver vu les selfis qu'il nous envoie. Puis il replonge sur la bite de Ludovic. On cesse de discuter pour finir de prendre notre plaisir et de nous appliquer à en donner un correct.
C'est ce qui arrive à Sosthène qui n'en peut plus de se retenir et explose sous les sollicitations répétées de sa prostate martyrisée par les passages du gland de Marc. Il s'en met partout de son nombril jusqu'à ses lèvres. Son sperme très blanc tranche sur sa peau chocolat au lait. J'ai le temps de voir Marc se vider au fond de Sosthène (dans la kpote bien sûr) et de le voir récupérer ave les doigts le sperme fraichement expulsé pour aller en nourrir Sosthène. Avec une petite hésitation il se met à lécher les doigts. Puis je suis moi-même pris par mon plaisir. J'accélère mon va et vient et je tapisse le boyau de Ludovic quand il me comprime la bite par saccades dues à ses propres éjaculations. En dessous, PH garde un peu de la production de Ludovic qui en fait autant de la sienne car quand je les vois se rouler une pelle, un peu de sperme coule aux commissures de leurs lèvres. J'approche ma tête et lèche les débordements. Miammm qu'il est bon leur mélange de sperme !
Nous nous relaxons. Je vois que Sosthène craint de bouger de peur de faire tomber  son sperme sur le canapé. Je lui passe une serviette, il y en a toujours un stock dans un des tiroirs de la table basse, comme d'ailleurs des kpotes, du gel et du poppers !!
Il me dit qu'il a pris un pied terrible et se tourne vers Marc pour le remercier. Mon mec lui retourne la politesse et me dit qu'il a un coup de langue dévastateur et qu'il faut se retenir pour ne pas lui engluer les dents ! Je demande à Sosthène comment il a trouvé de baiser avec un " vieux ". Il rougit, enfin ses joues prennent une teinte plus foncée. Et avoue qu'il ne pensait pas que ce serait si bon. Je tempère un peu et lui dit que tous mes clients ne seront pas aussi bons !! Mon Marc est quand même un vrai " top ".
Il rit et nous dit que même à moitié aussi bon, ça le fera bien. Il se contentera de Justin pour le plaisir partagé. Marc m'interroge du regard. C'est vrai que je ne lui ai pas parlé du fils de mon concessionnaire !! En quelques mots je résume et il rit bien de la réaction de mes autres Escorts. Il se tourne vers Sosthène et le félicite de ce coup. Ce dernier s'en défend et nous dit qu'il n'avait rien prémédité. C'est même Justin qui l'a entrepris et dragué quand il était venu chercher sa voiture avec moi.
Marc parles alors de ses parents, il le questionne sur comment ils ont pris le fait qu'il fasse ce travail et s'ils n'étaient quand même pas étonnés pour la voiture et ses absences. Après tout il n'a que 18ans et vit chez eux.
Sosthène nous explique que depuis qu'il est en fac, ses parents le laisse gérer lui-même sa vie tant que les résultats sont là. Et comme ils sont bons (les résultats) alors ça va. Il a juste à les prévenir quand il s'absente de la maison pour qu'ils ne l'attendent pas et ne s'inquiètent pas.
Vu l'heure avancée de la nuit et comme c'était prévu, nous passons la nuit tous les 5 ensemble. Le lendemain matin, pour une fois ce n'est aps moi qui suis le premier réveillé mais Sosthène qui en profite pour pomper ma rigidité matinale. Une fois bien réveillé, je le repousse et l'accompagne pour oeuvrer sur Ludovic et PH. Nous laissons Marc dormir. Il a besoin de récupérer de ses voyages !
Il nous quittera (Sosthène) en fin de matinée, un déjeuner de famille prévu depuis longtemps !
Jardinier
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lepartidelamort · 12 days ago
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Suède : le gouvernement distribue un guide à la population pour se préparer à la guerre nucléaire.
Les valeurs anales sont en jeu.
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Défendre la Gay Pride et les femmes blanches fortes et indépendantes a un coût.
En Suède, c’est l’heure d’apprendre à endurer une guerre biologique, bactériologique, chimique et nucléaire.
Les valeurs démocratiques sont à ce prix.
The Daily Mail :
La Suède envoie cinq millions de brochures à ses habitants pour les inciter à se préparer à l’éventualité d’une guerre, avec des instructions sur la manière de stocker de la nourriture et même de se mettre à l’abri en cas d’attaque nucléaire, alors que les craintes d’un conflit entre la Russie et l’OTAN s’accroissent. Depuis le début de la guerre en Ukraine, Stockholm a exhorté à plusieurs reprises les Suédois à se préparer mentalement et logistiquement à un éventuel conflit, en invoquant l’aggravation de la situation sécuritaire dans son voisinage. Cet appel intervient alors que les tensions entre Moscou et l’Occident ont atteint de nouveaux sommets après que Joe Biden a donné à Kiev le feu vert pour détruire des cibles à l’intérieur de la Russie avec des missiles à longue portée fournis par les États-Unis, ce que le fils de Donald Trump a critiqué en disant qu’il s’assurerait « qu’ils déclenchent la troisième guerre mondiale avant que mon père ait une chance d’instaurer la paix ». La brochure « If Crisis or War Comes » (Si une Crise ou la Guerre Vient), envoyée par l’Agence suédoise des situations d’urgence civile (MSB), contient des informations sur la manière de se préparer à des situations d’urgence telles que la guerre, les catastrophes naturelles, les cyberattaques et le terrorisme. « Un monde peu sûr exige d’être préparé. La menace militaire qui pèse sur la Suède s’est accrue et nous devons nous préparer au pire – une attaque armée », peut-on lire dans la nouvelle introduction. L’un des extraits les plus inquiétants, qui rappelle les conseils donnés par les gouvernements pendant les jours les plus sombres de la guerre froide, informe les citoyens du risque que représentent les armes nucléaires. « La situation mondiale en matière de sécurité accroît les risques d’utilisation d’armes nucléaires. En cas d’attaque avec des armes nucléaires, biologiques ou chimiques, mettez-vous à l’abri de la même manière qu’en cas d’attaque aérienne », indique la brochure. « L’abri constitue la meilleure protection. Après quelques jours, les radiations ont considérablement diminué », indique la brochure, qui ajoute que les gens seront avertis des attaques par la radio et qu’ils devraient se réfugier dans les sous-sols ou les métros s’il n’y a pas d’autre solution. Un autre message, qui a été avancé du milieu de la brochure dans la version mise à jour, se lit comme suit : «Si la Suède est attaquée par un autre pays, nous n’abandonnerons jamais. Toutes les informations indiquant que la résistance doit cesser sont fausses ».
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Instructions du gouvernement de droite populiste pour sauver la Suède multiraciale des attaques hétérosexuelles russes
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Les femmes défendent la patrie les armes à la main, attention Poutine !
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On peut survivre à une attaque nucléaire, il faut juste descendre au garage !
Après l’invasion de l’Ukraine par la Russie en février 2022, les pays scandinaves ont procédé à un réexamen complet de leur politique de sécurité nationale et, deux mois plus tard, ont déposé une demande d’adhésion à ce bloc gigantesque. Après près de deux ans de bousculades politiques et sur fond de menaces de Poutine et de ses acolytes, la Suède est finalement devenue membre de l’OTAN en mars dernier. La nouvelle brochure est une version actualisée d’une brochure que la Suède a publiée à cinq reprises depuis la Seconde Guerre mondiale. Toutefois, pour souligner la gravité de la menace potentielle, la brochure est deux fois plus volumineuse que les années précédentes La version précédente de la brochure suédoise a été envoyée en 2018 et a fait les gros titres à l’époque, car c’était la première fois qu’elle était envoyée aux Suédois depuis 1961, au plus fort de la guerre froide. « La situation sécuritaire est grave et nous devons tous renforcer notre résilience pour faire face à diverses crises et finalement à la guerre », a déclaré le directeur du MSB, Mikael Frisell, dans un communiqué. Le mois dernier, le ministre de la défense civile, Carl-Oskar Bohlin, a déclaré qu’en raison de l’évolution du contexte mondial, les conseils donnés aux ménages suédois devaient être revus afin de refléter la réalité de la situation. Le document de 32 pages décrit, à l’aide d’illustrations simples, les menaces qui pèsent sur la nation nordique, notamment les conflits militaires, les catastrophes naturelles, les cyberattaques et les attaques terroristes. Il contient des conseils de préparation, tels que le stockage de denrées alimentaires non périssables et d’eau, ainsi que des indications sur la manière de se mettre à l’abri en cas de situation d’urgence. La DGSM a déclaré que la version actualisée de 2024 mettait davantage l’accent sur la préparation à la guerre. Le texte se lit comme suit : « Lorsque quelqu’un veut prendre la bonne décision, il faut le faire : Lorsque quelqu’un veut s’arroger le droit de nous dominer par la force, cela menace notre droit à une vie libre et indépendante…. Il existe également d’autres moyens que la force militaire pour influencer et endommager notre pays, par exemple les cyberattaques, les campagnes d’influence, le terrorisme et le sabotage. Cela peut arriver à tout moment, et beaucoup de choses se passent ici et maintenant. Nous ne pouvons pas considérer notre liberté comme acquise. Et nous devons avoir la volonté et le courage de défendre notre société ouverte, même si cela implique des sacrifices. »
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« Et nous devons avoir la volonté et le courage de défendre notre société ouverte, même si cela implique des sacrifices. »
La brochure est disponible en version imprimée en suédois et en anglais, et des versions numériques sont disponibles dans plusieurs autres langues, dont l’arabe, le farsi, l’ukrainien, le polonais, le somali et le finnois.
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La survie des Somaliennes de Suède est en jeu !
L’ancien chef de l’armée suédoise, Micael Byden, a alarmé bon nombre de ses compatriotes en janvier lorsqu’il les a exhortés à réfléchir à leur propre préparation. « Les Suédois doivent se préparer mentalement à la guerre« , a-t-il déclaré.
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Les Blancs de Suède doivent se préparer mentalement à mourir pour les Musulmans et les homosexuels
Je ne sais pas combien d’hommes suédois voudraient vraiment mourir pour le régime démocratique qui les opprime au quotidien.
Si j’étais Suédois, mon premier réflexe pour survivre serait d’apprendre des rudiments de langue russe.
Cette dictature vaginale submergée par le tiers-monde est finie et le seul espoir des Suédois est d’être libérés par la Russie.
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Démocratie Participative
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