#avant la seconde version
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museumofsins-rpg · 2 months ago
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DESIGN VERSION 1.0 -- 31.10.24
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willcmsv · 6 months ago
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Soft Launch - Alain Laubrac x Fem Reader (FR)
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The story that follows is in French for my French Voltaire High's fans, English version is posted there!
Requested by @babydeersblog
Synopsis: Alain et toi aviez fait connaissance au dĂ©but de l’annĂ©e et aviez Ă©tĂ© associĂ© Ă  plusieurs travaux de groupes, ce qui a permis de faire Ă©voluer votre relation au fur et Ă  mesure. Cependant, aprĂšs avoir Ă©tĂ© moquĂ© lorsque tu as avouĂ© des sentiments Ă  un garçon, tu as dĂ©cidĂ© de les garder pour toi et de ne plus faire transparaĂźtre des traces d’amour. Mais Alain te fait malheureusement ressentir quelque chose que tu aimerais dĂ©couvrir davantage.
Warnings: petits changements dans l'histoire de base.
Notes: n’hĂ©sitez pas Ă  me recommander des idĂ©es de oneshots — j’écris en anglais et français!
Depuis le dĂ©but de l’annĂ©e, Alain et toi vous Ă©changez des mots durant vos heures de cours. Tu as l’habitude de lui faire des petits dessins pendant qu’il t’écrit des citations ou des farces, dĂ©pendant de son humeur. Depuis son combat avec Joseph il y a quelques mois, tu es devenue la sorte d’ange gardien d’Alain, tu l’empĂȘches de dĂ©raper et tu le dĂ©fends lorsque tu en as l’occasion devant Joseph et ses amis.
Cependant, depuis ces derniĂšres semaines, Joseph ne peut s’empĂȘcher de vous taquiner en rappelant comment vous ĂȘtes proches et en assumant que vous vous aimez comme si cela Ă©tait un jeu. Mais Joseph Ă©tait comme ça. Tout Ă©tait drĂŽle pour lui et tout n’était pas grave.
Lorsque tu rentres Ă  la maison les week-ends, tu as le droit Ă  l'interrogatoire privĂ© de ton frĂšre Jean-Pierre, comme si les questions bidons de Joseph ne suffisaient pas. Pour Jean-Pierre, tu Ă©tais et resteras toujours sa petite sƓur qu'il doit chĂ©rir et protĂ©ger. Il a arrĂȘtĂ© de te voir grandir Ă  l'Ăąge de neuf ans.
"C'est qui Alain ?" Demanda Jean-Pierre la seconde oĂč tu dĂ©posas ton pied Ă  l'intĂ©rieur de ta maison.
"Un ami. Question suivante ?" Tu répondis.
Jean-Pierre fronça les sourcils. Pour lui, hors de question que tu sortes avec un garçon. Simone lui avait rappelĂ© plusieurs fois que tu avais dix-sept ans et que tu Ă©tais assez grande pour avoir un copain, mais il Ă©tait tĂȘtu et ne voulait rien savoir concernant ce sujet.
"Apparemment non, ce n'est pas ce que Joseph prétend dire."
"Joseph ! Tu le crois vraiment lui ?! C'est un idiot et il aime lancer des rumeurs sur tout ce qui bouge. Je te croyais plus intelligent
" Tu affirmas en attrapant un verre que tu remplis soigneusement d'eau.
AprÚs ton échange avec ton frÚre, tu te dirigeas vers ta chambre et découvre une lettre déposée sur ton lit. Elle est signée A.L.
Tu as reconnu tout de suite l'Ă©criture de l'expĂ©diteur et ses phrases toujours si originales que captivantes. Tu ne pus t'empĂȘcher de sourire Ă  chacune de ses lettres, Ă  chacun de ses mots, de ses actions. Mais bien que cela devrait te rendre heureuse, au contraire, cela t'angoissait.
Chaque soir avant de dormir, tu rĂ©flĂ©chissais Ă  ce que tu voulais vraiment. Tu avais deux choix qui se prĂ©sentaient Ă  toi : lui avouer tes sentiments et risquer de te faire humilier comme auparavant, ou les garder secrets et peut-ĂȘtre perdre l'amour de ta vie.
L'amour de ta vie, c'est peut-ĂȘtre un grand mot.
Le lundi matin, aprÚs avoir quitté ton domicile, tu arrivas au lycée un peu plus tÎt. Tu espérais surtout voir Alain.
"Matinale." Une voix masculine t'interpella.
Sans mĂȘme te retourner, tu pus reconnaitre cette voix entre cents, mĂȘme si ce n'Ă©tait pas rĂ©jouissant pour toi.
"Joseph, qu'est-ce que tu me veux encore ?"
"Qu'est-ce que je te veux ? Qu'est-ce que tu me veux plutĂŽt."
Tu leva ton sourcil, lançant inconsciemment un regard noir à Joseph.
"MĂȘme si le lycĂ©e ne me connait pas encore sous ce nom, je suis ravi de me prĂ©senter, Joseph le Cupidon." Il se baissa en mimant une rĂ©vĂ©rence.
"Joseph le quoi ?!" Tu pouffas de rire à cette nouvelle imprévisible. "Tu te moques de moi, c'est ça ?"
"Est-ce que j'en ai l'air ?"
Mon sourire s'effaça immïżœïżœdiatement de mon visage lorsque je compris qu'en effet, il Ă©tait complĂštement sĂ©rieux. Mais Joseph, sĂ©rieux ou non, n'est pas quelqu'un de confiance.
"Va te chercher un autre client." Tu répondis en tournant les talons.
"Tu n'as pas envie de savoir ce que ton cher Alain pense de toi ?" Un sourire narquois se forma sur les lĂšvres du blond.
"Pas forcément, et sûrement pas grùce à ton aide." Tu déclares.
"C’est dommage, je connais beaucoup de choses Ă  son sujet et des choses qui pourraient t’intĂ©resser-" Joseph s’arrĂȘta dans sa phrase lorsque Alain arriva.
"Ça va Y/n ? Joseph
" Alain lança un coup d’Ɠil confus Ă  Joseph. "On peut dĂ©jĂ  se prĂ©parer Ă  aller en cours, t’en dis quoi ?"
Tu acquiesces et tous les deux partirent jusque dans les couloirs. Alain s’adossa au mur.
"Si Joseph t’embĂȘte, dis-le-moi."
"C’est Joseph, il est comme ça." Tu dĂ©clares.
Alain baissa son regard, comme s'il était contrarié, et contrarié par ce qui venait de se passer.
Lors du premier cours de la journĂ©e, tu ne pouvais t’empĂȘcher de jeter de nombreux coups d’Ɠil Ă  Alain qui paraissait tellement concentrĂ© sur le cours. Tu Ă©tais aussi concentrĂ©e sur lui que lui sur son cours que tu ne te rendais pas compte que son regard Ă©tait maintenant tournĂ© vers toi.
Ses yeux bleus Ă©taient encrĂ©s sur toi. Il ne bougea mĂȘme pas lorsque ton regard rencontra le sien. Tes joues prirent soudainement une teinte de rose pendant qu’un sourire narquois se dessina sur le visage d’Alain.
À la sortie des cours, tu croises à nouveau la route de Joseph qui te supplia de t’accompagner jusqu’à chez toi puisque vous habitez prùs l’un de l’autre.
Alain, qui marchait quelques mĂštres plus loin, a pu apercevoir ta silhouette et celle de Joseph marcher cĂŽte Ă  cĂŽte. Il ne put s’empĂȘcher de ressentir de la jalousie. Pourquoi Joseph Ă©tait-il toujours obligĂ© d’ĂȘtre avec toi alors qu’il rĂȘvait seulement d’ĂȘtre Ă  sa place.
***
Le lendemain, Alain et toi aviez un travail de science Ă  terminer, un travail qui t’obligeait Ă  travailler pendant une durĂ©e indĂ©finie avec lui. Tu te rĂ©jouissais dĂ©jĂ  d’avance de te retrouver avec lui, mais bizarrement, tu ressentais de la pression, comme si cela allait mal se passer.
Tu marches rapidement vers la salle de science en apercevant Alain qui était déjà assis sur une chaise au fond de la salle.
"Je suis en retard ?" Tu demandas.
"On va plutĂŽt dire que je suis en avance." Alain te sourit avant de te tirer une chaise.
Le travail avança plus rapidement que prévu, tous les deux étiez concentrés, mais prenaient quelques poses afin de discuter de choses plus divertissantes et amusantes que les cours de sciences.
"Toi et Joseph, il y a
" Alain commença.
Tu écarquillas les yeux avant de répondre.
"Non, non ! C’est seulement un ami, il ne m’intĂ©resse pas." Tu t’empressas de rĂ©pondre.
Alain lança un coup d’Ɠil Ă  son cahier sans dire un mot, comme si ta rĂ©ponse ne lui convenait pas.
Ses doigts tenaient fortement son crayon avec lequel il gribouillait dans le coin de son cahier.
Tes yeux parcouraient tout son visage, de ses boucles brunes jusqu'aux courbes fines de sa mĂąchoire.
"Ça ne va pas ?" Tu demandas finalement.
Les yeux d’Alain se fixĂšrent une nouvelle fois sur toi. Ils descendirent jusqu’à tes lĂšvres avant de remonter Ă  tes yeux. Bien qu’il ne parlait pas, son regard en dĂ©voilait tellement plus.
Tes battements de cƓur s’accĂ©lĂšrent et tes lĂšvres te dĂ©mangeaient de l’envie de l’embrasser.
Son visage se rapprocha doucement du tien, ton cƓur manqua presque un battement.
"Ça bosse dur ?" Une voix masculine lñcha.
Alain et toi vous retournez en un sursaut avant d’apercevoir Joseph dans l’embrasure de la porte. Il te souriait de maniĂšre espiĂšgle comme s'il avait fait ça exprĂšs. Et tu Ă©tais sĂ»re que c’était le cas.
"Je vais te laisser, Y/n. On se remet en commun demain." Alain remballa ses affaires et te lança un bref sourire avant de s’en aller, frĂŽlant lĂ©gĂšrement Joseph.
"Ça t’amuse ?!" Tu dĂ©clares.
"J’ai cru que tu n’étais pas intĂ©ressĂ©e ?" Un sourire narquois apparut sur les lĂšvres de Joseph.
***
L'aprÚs-midi, tu t'étais rendue à l'infirmerie pour prendre des médicaments pour soigner ton mal de ventre irrépressible. Avant que tu puisses à nouveau enfiler ton gilet, la porte s'ouvrit sur Alain.
"Hey..."
"Je- Je ne pensais pas voir quelqu'un ici Ă  cette heure." Il affirma.
Son nez saignait légÚrement et tu pouvais remarquer du sang sur ses phalanges.
"Tu t'es battu ?" Tu demandas directement.
Il ne répondit pas, ses lÚvres se pincÚrent et il détourna le regard. Des fois, le silence est plus fort que les mots.
Tu mouillas un coton avant d'attraper doucement sa main pour la désinfecter.
"C'était pas moi
 Je n'ai pas commencé." Il murmura.
"C'est trop simple de dire ça à chaque fois, Alain."
Il inspira et expira un 'oui' silencieux et serra les dents lorsque tu appuyais sur sa plaie.
La proximitĂ© entre vous deux te permettait d'entendre les battements de son cƓur et de sentir son regard sur toi pendant que tu dĂ©sinfectais soigneusement sa blessure.
En déposant le coton sur la table à cÎté de vous, tu sentis la main immobile d'Alain frÎler légÚrement ta cuisse lorsque tu te déplaças.
Tu mordilles ta lÚvre pour dissimuler ta préoccupation. Chacun de ses mouvements, de ses regards ou de ses mots te procurait toujours une sensation qui était impossible à décrire.
Il Ă©tait devenu de plus en plus compliquĂ© pour toi d'assumer tes sentiments sans toujours imaginer le pire. Cependant, tu voulais que ça marche avec Alain. Tu sentais toujours des papillons dans ton ventre lorsque tu le voyais te sourire dans la cour, ou lorsqu'il dissimulait des lettres dans ton sac. Sans compter les fois oĂč tu pouvais croiser son chemin, comme dans l'infirmerie par exemple.
Tout te menait à lui et tu ressentais quelque chose de différent, quelque chose de captivant.
***
Le lendemain, aprĂšs la fin des cours, Alain t’avait invitĂ© pour faire un tour en ville. Au dĂ©but, vous marchiez en silence. Tes interactions avec lui n’étaient jamais aussi gĂȘnantes, et l’ambiance Ă©tait presque pesante actuellement.
"Désolée pour hier
"
Alain tourna sa tĂȘte, presque Ă©tonnĂ© que tu t’excuses.
"Ce n’est pas ta faute." Il rĂ©pondit briĂšvement.
Tu te mordais les lùvres, tu ne savais pas comment rendre l’ambiance plus joyeuse ou seulement moins morbide.
"Joseph est-" Tu commences avant de te faire interrompre par Alain.
"C’est toujours Joseph, Y/n. Sauf que Joseph prend un malin plaisir Ă  t'embĂȘter, je le remarque trĂšs bien. Il faut que tu l'ignores, parce qu'il ne va pas s'arrĂȘter si rapidement. Alors arrange toi pour qu’il arrĂȘte, ou je vais m’en occuper moi-mĂȘme."
Lorsqu’il finit de s’exprimer, tu n'as pu t’empĂȘcher de sortir un court ‘non’ de ta bouche. Tu ne voulais pas qu’ils s’en prennent aux mains comme toujours.
Tu attrapes son bras pour le pousser lĂ©gĂšrement vers toi. Soit tu attendais et tu risquais peut-ĂȘtre que la situation dĂ©gĂ©nĂšre ou se finisse autrement que prĂ©vu, soit tu prenais ton courage Ă  deux mains.
Alain te regardait de nouveau avec un regard rempli de dĂ©sir. Tu ne savais pas ce que ce regard voulait exactement dire, mais bien que tu ne veuilles pas te tourner des films, il n’était en aucun cas amical.
"J’aimerais t’avoir à moi pour une fois
 pour pouvoir agir sans que quelqu’un me coupe à chaque fois
" Alain affirma.
Vous arrivez dans une petite ruelle. Vous marchez de plus en plus lentement et vos corps se rapprochaient au fur et Ă  mesure que vous avancez, jusqu'Ă  ce que vos mains se frĂŽlĂšrent Ă  plusieurs reprises.
Vos deux regards se croisĂšrent lorsque vous sentez la main de l’autre. Alain s’avança devant toi et s’arrĂȘta soudainement, ce qui mena Ă  ton arrĂȘt Ă  toi aussi.
"Y/n, j'aimerais tellement que tu sois plus confiante, tu es jolie et intelligente. Ne te cache pas et ne te laisse pas marcher dessus par qui que ce soit."
Tes sourcils se levÚrent lorsque tu entendis ses mots. Tes joues devinrent immédiatement rouges malgré le fait que tu essayais de les cacher.
Alain se pencha lentement vers toi, sa main se tendait vers ton bras. Il n’osait pas la poser autre part et attendait surtout une rĂ©ponse de ta part pour le faire. Ses yeux se baissĂšrent de nouveau vers tes lĂšvres. Cependant, cette fois-ci, il ne dĂ©tourna pas le regard. MalgrĂ© l’hĂ©sitation, il posa enfin ses lĂšvres sur les tiennes et tu rĂ©pondis immĂ©diatement au baiser. Ses lĂšvres douces s’appuyĂšrent contre les tiennes et bougeaient Ă  la mĂȘme allure que les tiennes.
Quelques secondes plus tard, vous reculez tous les deux vos visages et vous regardùrent dans les yeux avant qu’Alain t’affiche un sourire doux.
"Je n’aurais pas pensĂ© faire ça ici
 mais c’est mĂȘme mieux." Il sourit et posa enfin une main sur ta taille.
Tu fus prise par les Ă©motions et atteins Ă  nouveau ses lĂšvres pour l’embrasser. Il appuya fermement sur ta taille en mĂȘme temps que ses lĂšvres s’enfoncĂšrent dans les tiennes.
Sa respiration chaude soufflait contre ta peau et tu la sentais s’accĂ©lĂ©rer doucement.
Tu sentis ses lĂšvres former un sourire contre les tiennes et tu ne pus t'empĂȘcher de sourire Ă  ton tour.
De nouveau, tu sentais comme une sensation de flottement dans ton estomac. Sa main qui caressait tendrement ta taille et les mouvements de vos lĂšvres les unes contre les autres ne faisaient qu'empirer ton cas.
Cependant, ce que tu ne pouvais pas savoir Ă©tait que du cĂŽtĂ© d'Alain, des tonnes d'Ă©motions et de sensations envahissaient Ă©galement son corps et faisait palpiter son cƓur en rythme avec les battements du tien.
1758 mots.
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juliantheupsidedown · 2 years ago
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petit ange // leclerc family
this is a soft launch before the main part. maybe it will even grow into a series? I fell in love while I was doing it
it can be considered a kind of prologue. directed more to indicate the relationship between siblings leclerc
enjoy it! and be sure to let me know what you think about it
instagram edit
aurelie_leclerc
📍Monte Carlo, Monaco
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aurelie_leclerc les derniers jours de la maison avant le premier grand voyage dans une nouvelle vie (the last days at home before the first big journey into a new life)
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gg_giadagianni tu me manques déjà beaucoup (i miss you so much already)
aurelia_leclerc like your comments ❀
arthur_leclerc i can't believe that a part of me will be at a distance of 10 thousand kilometres for most months of the year, disgusting! 😼‍💹
aurelie_leclerc no matter what distance separates us, you are always a part of me, and i am you
lorenzotl fier de toi et terriblement manqué (i'm proud of you and i miss you terribly)
leclerc_pascale mon petit ange ❀
charles_leclerc come home soon
august 1, 2018
aurelie_leclerc
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aurelie_leclerc I still can't believe I missed his entire first season in Formula One. je suis si fier de toi, grand frĂšre ❀ (I'm so very proud of you, big brother)
tagged charles_leclerc
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charles_leclerc You should definitely visit Austin next year, miette ❀
aurelie_leclerc Of course I'll be there!
leclercfans We are incredibly looking forward to seeing you in the paddock next year!
december 2, 2018
aurelie_leclerc
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aurelie_leclerc I'm not the one crying the night before the first class of the new semester, because my older brother won at Monza đŸ˜­â€ïž
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lerlecrfam She's such a proud sister, I can't now I'm crying again
charleslecfans the fact that Aurelia watches all the races live despite the huge time difference. CAN I HAVE A SISTER LIKE THAT?
september 8, 2019
lorenzotl
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lorenzotl SHE DID IT! I can't describe in words how proud I am of her, she proved to everyone - first of all to herself that she is worthy of it! And it was worth the tears we endured, the late-night Facetime calls in which she drops out of university and returns home, the terrible and difficult exams. My heart is overflowing with joy for my princess. I love you incredibly much, Aura. Nous sommes fiers de toi! (We are proud of you)
tagged aurelie_leclerc
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leclerc_pascale Papa est trĂšs fier de toi, petit ange! (Dad is very proud of you, little angel!)
aurelie_leclerc maman 😭
charlottesiine félicitations, chérie! tu es si bien (congratulations, dear! you're so good)
aurelia_leclerc like your comments ❀
arthur_leclerc I always knew you wanted to spray everyone with champagne, sis. je t'aime et je suis trĂšs fier (i love you and i am very proud)
famleclerc congratulations on completing your studies and returning home! we've missed you
f1lclercgirl Aurelia who sprays champagne like her brothers. I'm pretty sure that all these years she was jealous of them and wanted to repeat this trick đŸ„‚
aurelia_leclerc like your comments ❀
charles_leclerc I'm so sorry that on one of the most important days in your life we weren't there. But I am incredibly proud of you, knowing how much you had to go through, miette. my heart is overflowing with pride for you. And I can't wait to meet you at home ❀
justlecgirl I cried for the second time from Charles' comment. can I have such a relationship with my brothers?
june 27, 2022
aurelie_leclerc
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aurelie_leclerc Happy birthday to my soul, my mind, my heart, the male version of me. I was lucky to be born with this handsome man on the same day and to be his pillow sister from birth. From the first second of my life, I'm a fan of his. and I'm incredibly proud of everything he does and was able to do! you are my support, my twin brother đŸ«¶đŸ»
tagged arthur_leclerc
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lerlecrfam Happy birthday to the most wonderful twins!
leclercfans this collection of photos! I'M SO EMOTIONAL. happy birthday
valentinesine joyeux anniversaire, bébé. je t'aime beaucoup (happy birthday, baby. i love you very much)
charles_leclerc happy birthday, miette
f1fanmac are we really going to ignore the fact that Felipe liked the post?
october 14, 2022
arthur_leclerc
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arthur_leclerc I'm so happy because she chose me as her older twin brother. happy birthday đŸ€
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famleclerc I feel that Arthur has deprived us of congratulations this year
mclarengim I think this is due to the fact that Aurelia is finally at home and he personally congratulated her, now there are not 10 thousand kilometers between them
leclerc_pascale mes petits anges, joyeux anniversaire (my little angels, happy birthday)
aurelie_leclerc I wish I had a choice. If I could, I would choose Charles as a twin. happy birthday, Arti
arthur_leclerc A dagger right in my heart on MY birthday
aurelie_leclerc *our birthday
felipedrugovich happy birthday 🎂
asstonmmartin omg Felipe appeared HERE TOO?!
october 14, 2022
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marie-swriting · 11 days ago
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LĂ  Pour Toi - Emily Prentiss
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Masterlist
RĂ©sumĂ© : Emily affirme qu'elle va bien aprĂšs tout ce qu'elle a traversĂ©, mais tu connais la vĂ©ritĂ© et tu fais tout pour ĂȘtre lĂ  pour elle.
Warnings : basé sur le 7x12, mention de Doyle et de la mort d'Emily, Emily qui ne va pas bien, angst, hurt/comfort.
Nombre de mots : 1.3k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Let Me par Jade LeMac
Confortablement dans les bras de MorphĂ©e, tu te tournes dans le lit et inconsciemment, tu cherches ceux d’Emily sans succĂšs. Avec difficultĂ©, tu entrouves un Ɠil, tu dĂ©couvres une place vide Ă  cĂŽtĂ© de toi, lĂ©gĂšrement illuminĂ©e par la lumiĂšre du couloir. Ignorant oĂč est ta petite amie, tu te lĂšves rapidement. Depuis qu’elle est revenue d’entre les morts, Emily est diffĂ©rente ce qui est comprĂ©hensible, mais ça veut aussi dire que tu n’arrives plus Ă  la cerner aussi bien qu’avant. Emily Ă©tait dĂ©jĂ  secrĂšte, maintenant, c’est pire. N’arrivant plus Ă  la dĂ©coder, tu crains toujours le pire. Tu trottines en suivant la lumiĂšre et retrouves Emily dans la cuisine dos Ă  toi. Tu l’entends renifler alors que tu appelles son prĂ©nom.
-Désolée, je ne voulais pas te réveiller, dit Emily en feignant un sourire.
-Tout va bien ? 
-Oui, j’avais juste besoin de boire un verre d’eau.
-Tu as fait un autre cauchemar ? demandes-tu avec inquiétude. 
-Non, je n’en fais plus depuis environ deux semaines comme tu le sais. 
-Tu sais, il n’y a pas de honte Ă  en avoir encore, surtout aprĂšs ce que tu as vĂ©cu.
-Ne commence pas s’il te plait, rĂ©plique-t-elle, froidement, je vois dĂ©jĂ  ma thĂ©rapeute demain, c’est suffisant
 Pardon, je ne voulais pas ĂȘtre sĂšche, reprend-elle sur un ton plus doux.
-Ce n’est pas grave.
-J’avais juste soif, affirme Emily en posant le verre dans l’évier, mais tu vois clair dans son jeu. Je vais bien, je te le promets. Viens, on va se coucher.
Sans rĂ©pondre, tu prends la main qu’elle te tend et vous retournez dans votre chambre. Alors que tu t’allonges sur le dos, Emily se colle un peu plus Ă  toi et pose sa tĂȘte sur ta poitrine. C’est une habitude qu’elle a depuis qu’elle est revenue. Emily a besoin d’entendre tes battements de cƓur pour s’assurer qu’elle n’est pas seule. Les muscles d’Emily se dĂ©tendent un peu plus quand tu commences Ă  passer ta main dans ses cheveux. Quand la tĂȘte d’Emily se fait de plus en plus lourde, tu t’autorises enfin Ă  t’endormir, la tenant fort contre toi comme si elle pouvait disparaĂźtre la seconde suivante.
Pourtant, c’est bien ce qui se produit le lendemain matin. Emily est partie plus tĂŽt Ă  cause de sa sĂ©ance de thĂ©rapie qu’elle a avant de partir pour une enquĂȘte. Tu soupires en remarquant son absence bien que tu sais que c’est pour le mieux. Tu es rassurĂ©e de savoir qu’Emily a parlĂ© Ă  un professionnel aprĂšs tout ce qui s’est passĂ©, tu aurais juste aimĂ© qu’elle te dise au revoir avant. 
Tu essayes de reprendre le dessus sur tes Ă©motions le temps du travail. Tu dois t’occuper d’une classe de trente Ă©lĂšves de sept ans, tu dois ĂȘtre concentrĂ©e. Cependant, ça ne veut pas dire qu’à la moindre occasion tu ne regardes pas ton tĂ©lĂ©phone en espĂ©rant un message d’Emily. 
Finalement, c’est en fin de journĂ©e, aprĂšs que tu aies fini de dĂźner que ta petite amie t’appelle enfin et sans perdre une seconde, tu dĂ©croches le tĂ©lĂ©phone.
-Hey, Em’, comment tu vas ? L’enquĂȘte n’est pas trop compliquĂ©e ?
-Toujours un peu au début, mais on a déjà des pistes. Et toi, ta journée ?
-Oh, tu sais, j’ai dĂ» expliquer quinze fois la mĂȘme chose, un enfant a Ă©ternuĂ© sur mon pull et une autre m’a dit que j’étais belle, mĂȘme si j’étais vieille. La routine, dis-tu sur un ton lĂ©ger alors qu’Emily rigole.
-Encore une journée bien mouvementée.
-Comment ça s’est passĂ© avec ta psy ? 
-Elle a dĂ©clarĂ© que tout va bien, que je suis apte Ă  reprendre le travail, t’informe-t-elle aprĂšs avoir pris une inspiration.
-Tant mieux. Enfin, si c’est la vĂ©ritĂ©, ajoutes-tu et tu peux voir Emily rouler des yeux mentalement. Je te connais, Em’, je vois bien dĂ©jĂ  comment tu as dĂ» mal Ă  m’avouer quand tu as un cauchemar alors, j’imagine que ça doit ĂȘtre encore plus compliquĂ© avec ta psy.
-Ça n’affecte pas mon travail, mĂȘme Hotch me l’a dit.
-Je ne dis pas le contraire
, commences-tu, prudemment. Écoute, je sais que je ne pourrais jamais comprendre ce que tu as vĂ©cu, mais je sais qu’on ne s’en remet pas aussi vite. Tu as le droit de ne pas aller bien, d’avoir du mal Ă  t’en remettre. 
-Je suis en train de reprendre ma vie en main, rétorque-t-elle.
-Je le sais et je ne le nie pas, mais Emily, tu ne fais que de t’inquiĂ©ter pour Derek, PĂ©nĂ©lope, Spencer et tout le reste depuis ton retour, mais tu ne t’inquiĂštes pas de la personne la plus importante. Toi. Et je suis lĂ  pour toi, pour te soutenir. Je ne dis pas que j’aurai toujours le bon mot, mais je ferai de mon mieux. Tu peux venir me parler quand tu ne vas pas bien. 
-Je vais bien, rĂ©pĂšte Emily d’un ton neutre.
-Ta psy te croit peut-ĂȘtre quand tu le dis, mais je connais la vĂ©ritĂ©. Emily, arrĂȘte de repousser ceux qui t’aiment. ArrĂȘte de me repousser. Tu n’as pas Ă  affronter ça toute seule, surtout quand tu n’arrives plus Ă  ignorer ce qui s’est passĂ©. Laisse-moi ĂȘtre lĂ  pour toi.
Emily reste silencieuse, seule sa respiration comble le blanc. Tu entends une autre voix indescriptible en fond puis Emily se racle la gorge.
-Je dois y aller. Je t’aime.
-Je t’aime aussi. 
Emily raccroche et tu pousses un soupir, les larmes aux yeux. Tu ignores si ce que tu as dit a fait rĂ©agir Emily, tu espĂšres que c’est le cas. Tu n’arrives plus Ă  supporter cette situation. Tu sais qu’elle a besoin de plus de soutien, mais comment le faire quand elle ne le demande pas ? Tu n’aimes pas ce sentiment d’impuissance. Tu aimerais prendre toutes ses cicatrices pour qu’elle puisse enfin vivre librement. 
Tout le reste de l’enquĂȘte, Emily reste assez distante. Elle t’envoie au moins un message par jour pour te dire qu’elle t’aime, habitude que vous avez depuis le dĂ©but de votre relation. Étant donnĂ©e son mĂ©tier dangereux, vous ne restez jamais une journĂ©e sans vous le dire, surtout depuis qu’il y a eu Doyle. Toutefois, quand tu rĂ©ponds Ă  son message et que tu essayes de crĂ©er une conversation, elle y coupe vite court. 
Plus les jours passent et plus tu te fais un sang d’encre pour Emily. Quelque chose ne va pas, tu en es persuadĂ©e. Tu aimerais t’en assurer, mais tu as peur d’ĂȘtre trop oppressante. À force d’insister, tu risques de faire l’inverse de ce que tu veux en crĂ©ant une atmosphĂšre anxiogĂšne pour Emily. Alors, tu essayes de rester Ă  bonne distance, assez prĂšs d’elle pour la soutenir, mais assez Ă©loignĂ©e pour ne pas qu’elle te repousse. 
Afin de te distraire, tu mets toute ton Ă©nergie dans ton travail, retravaillant tes cours, corrigeant les exercices. Ça marche seulement un temps, ton esprit trouve vite un moyen pour te faire penser Ă  Emily. 
Un soir, aprĂšs un peu plus d’une semaine aprĂšs qu’Emily soit partie, tu es sur la table de la cuisine en train de travailler tout en mangeant quand tu entends la porte s’ouvrir et un sac se poser lourdement par terre. Sans attendre, tu poses ta fourchette et te diriges vers l’entrĂ©e avec hĂąte. LĂ , tu dĂ©couvres une Emily avec un regard triste. Tu t’apprĂȘtes Ă  parler, mais elle te devance. 
-Je ne vais pas bien, avoue-t-elle d’une voix tremblante.
Et en une fraction de seconde, elle fond en larmes. Tu accours dans ses bras et la serre contre toi en tentant de l’apaiser. En sentant que ses jambes ne supportent plus son poids, tu invites Emily Ă  s'asseoir Ă  mĂȘme le sol tout en la gardant contre toi. Tu caresses tendrement ses cheveux en lui chuchotant des mots rĂ©confortants. Les larmes d’Emily coulent de plus en plus sur ses joues alors qu’instinctivement, elle colle son oreille contre ta poitrine et Ă©coute les battements de ton cƓur. Dans tes bras, Emily s’autorise enfin Ă  dĂ©verser toutes ses Ă©motions et Ă  confronter toute la douleur qu’elle a traversĂ©e. Vous savez toutes les deux qu’il faudra du temps Ă  Emily pour guĂ©rir, mais tu comptes bien ĂȘtre lĂ  et la soutenir Ă  chaque Ă©tape. 
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camisoledadparis · 2 months ago
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Soumission & Domination 335
Le tatouage d'Emma, nouveau plan pour Amaury
DĂ©but Janvier, j'emmĂšne Emma chez mon tatoueur. Il est surpris de savoir que cette encore jeune femme est ma mĂšre. Pour dĂ©finir le travail Ă  faire, elle se met quasiment nue puisque le dragon partira du sillon entre ses deux fesses jusqu'Ă  son sein droit. Le tatoueur admire la plastique irrĂ©prochable d'Emma. Je crois bien que ça le fait mĂȘme bander ! Je me dĂ©nude Ă  ses cĂŽtĂ©s et lui dis que ce que nous voulons c'est le mĂȘme mais qui passe sur la taille d'Emma avant de remonter vers son sein. Donc ce sera le mĂȘme dragon mais dans une autre position. Le tatoueur souligne que le passage sur le flanc d'Emma va ĂȘtre douloureux pour elle. Cette partie du corps est fortement innervĂ©e, c'est bien pour ça que les chatouillis y sont pratiquĂ©s. Et sur les cĂŽtes, la faible masse musculaire qui les recouvre amortie peu les sensations des aiguilles. Emma balaye d'un geste ces considĂ©rations. Elle lui demande juste de faire tenir la " bĂȘte " dans les dĂ©limitations de son maillot une piĂšce. Pour cela elle enfile celui qu'elle avait amenĂ© pour qu'il se rende compte. Il la prend en photo et mesure les dimensions de la partie couverte. Il prend en photo aussi mon dragon car il ne garde pas les documents propres Ă  chaque tatouage afin de ne faire que des oeuvres diffĂ©rentes. Je suis le premier Ă  lui avoir demandĂ© une rĂ©duction de mon dragon pour l'Ă©paule de Marc et une nouvelle mouture pour Emma.
Une semaine plus tard, il nous tĂ©lĂ©phone de venir voir son travail. Il nous prĂ©sente deux versions. La premiĂšre avec la tĂȘte du dragon entre les seins mais du coup elle sort de la zone couverte, la seconde, Ă  l'aide d'une torsion supplĂ©mentaire de son corps place la tĂȘte du dragon sur les cĂŽtes avec sa gueule ouverte autour du tĂ©ton. Cette deuxiĂšme version entre dans les critĂšres mais rend quand mĂȘme moins bien. Dans les deux cas, la tĂȘte du dragon est dĂ©formĂ©e par le galbe du sein. Emma s'en rend compte et est un peu déçue du rĂ©sultat. C'est Ă  ce moment-lĂ  que le tatoueur sort un troisiĂšme projet. Il a placĂ© la bestiole comme sur ma propre peau en dĂ©gageant un peu plus le cou d'Emma pour permettre des dĂ©colletĂ©s larges. Le corps du dragon passe en partie sur l'Ă©paule et de l'autre cĂŽtĂ©, la patte, qui sur moi s'agrippe Ă  ma clavicule gauche, lĂ , lui enserre l'autre Ă©paule. Le rĂ©sultat est nettement plus lisible, la tĂȘte trouvant sa place sur l'aplat au-dessus du sein.
Des trois, c'est le plus beau des placements. Emma n'hĂ©site pas longtemps mĂȘme si quelques soit le maillot de bain, Ă  moins de revenir Ă  ceux du dĂ©but XXĂšme siĂšcle, il sera impossible de le cacher. Elle choisit la troisiĂšme proposition. Il avait prĂ©vu cette Ă©ventualitĂ© et le calque est prĂȘt. C'est au transfert que l'on peut se rendre vraiment compte. Le tracĂ© laisse effectivement le cou d'Emma bien dĂ©gagĂ©, suffisamment pour les dĂ©colletĂ©s qu'elle porte en publique.
Nous sortons de la sĂ©ance avec le tracĂ© noir totalement rĂ©alisĂ© et un rendez-vous deux semaines plus tard pour la colorisation. Je l'accompagne encore d'autant plus que pour faire un sosie de mon dragon, il vaut mieux que le tatoueur l'ait sous les yeux. Le rĂ©sultat quelques heures plus tard est parfait. Puis il est recouvert de cicatrisant puis de film alimentaire. Emma Ă  l'air d'une momie ! Je la reconduis chez elle. Elle est assez fatiguĂ©e d'avoir combattu la douleur pendant autant de temps. Je la confie Ă  Pablo pour les jours Ă  venir. Heureusement qu'avec lui elle a plus qu'un simple cuisinier. Elle sait qu'elle peut lui demander plus (sans sexe) sans qu'elle soit jugĂ©e. Moi, je sais qu'il va prendre soin de sa cicatrisation et l'enduire deux fois par jour de Cicatryl. AprĂšs moi, il est le premier Ă  voir le tatouage. Il le trouve superbe et trouve les modifications par rapport au mien sans effets nĂ©fastes. Elle cicatrise vite et dĂšs le 10Ăšme jour, aprĂšs contrĂŽle par le tatoueur, elle est autorisĂ©e Ă  laisser tomber le cicatrisant. Son habitude de s'hydrater la peau suffira. Les couleurs brillent, elle est superbe. Nous fĂȘtons ça par une soirĂ©e chez elle, PH, Ludovic et moi. Depuis 25 jours qu'elle n'avait fait l'amour, c'est elle qui nous a mis sur les genoux et tous les trois !
Mes deux acolytes trouvent le tatouage superbe et je vais avoir du mal Ă  les retenir d'y passer aussi.
Ludovic qui dĂ©jĂ  adorait s'Ă©craser sur mon dos pour coller mon dragon et essayer en vain de prendre sa position, trouve ça plus facile sur Emma. C'est Ă©vident, elle est plus petite que moi plus une poitrine plus " dĂ©veloppĂ©e " et du coup il arrive Ă  lui prendre le tĂ©ton entre les dents ! Un par un ou ensemble, nous la pĂ©nĂ©trons pour calmer sa faim de sexe. Ernesto Ă©tant absent, j'aurais dĂ» anticiper et demander Ă  Jona et François de nous rejoindre. Peut-ĂȘtre qu'Ă  5 nous aurions rĂ©ussi Ă  satisfaire complĂštement. LĂ , nous l'avons finie Ă  l'aide de godes.
Bon, elle n'a pas regrettĂ© quand mĂȘme. Nous avons rĂ©ussi quand mĂȘme Ă  la maintenir presque une demi-heure d'heure d'affilĂ© au sommet de la jouissance par une triple prise : 1 anale et 2 vaginales. Explications : - Moi sur le dos ma bite enfoncĂ©e dans son anus, Emma couchĂ©s sur    mon torse, - Ludovic la sienne dans la chatte, ses jambes de chaque cĂŽtĂ© de nos tailles pour dĂ©gager au maximum l'espace entre nous deux, de plus la position le maintien enfoncĂ© au maxi dans Emma, - PH debout, ses jambes de chaque cĂŽtĂ© des miennes, a donc la place d'enfoncer son gland Ă  cĂŽtĂ© de celui de Ludovic. Le rĂ©sultat : je suis super comprimĂ© par les deux queues qui prennent de la place dans le ventre et sans avoir Ă  bouger, l'excitation reste permanente par les va et vient de PH. C'est pareil pour Ludovic qui bĂ©nĂ©ficie en direct de PH.
Nous en sortons extĂ©nuĂ©s et vidĂ©s pour un moment ! Mais Emma elle a trouvĂ© cela trop bon. Je suis sĂ»r qu'elle imagine ce que cela donnerais avec les 24x6 d'Ernesto en remplacement d'un de nous. Par contre, deux dans chacun de ses trous ça va ĂȘtre impossible Ă  faire !
Le matin qui a suivi cette nuit de folie, Pablo nous avait préparé un petit déjeuner roboratif. AprÚs avoir avalé de quoi nourrir un régiment entier revenant d'opération sur le terrain, nous sommes partis en cours chacun de son cÎté. J'ai somnolé une bonne partie de la matinée. Evidement je me suis fait moquer par Morgan et Amaury qui se demandent bien ce que j'ai pu faire la nuit précédente.
Amaury me prend Ă  part et me demande quand il aura droit Ă  un nouveau plan hard multi partenaire. Il me dit d'en parler avec Samir. Je fais le point avec ce dernier. Il me dit qu'effectivement, mĂȘme si Ammed devient dominateur avec lui sur Amaury, il voit bien que ce dernier demande plus. Pas dans le remplissage de sa rondelle, ça ils y arrivent sans peine, leurs deux bites de 19.5 x 6 et 19.2x5.6, rĂ©unies ensemble assurent. Les sĂ©ances de godage et mĂȘme de fist le font jouir surtout quand sa bite est contrainte dans sa cage. Mais c'est le cĂŽtĂ© psy qui pĂȘche de temps en temps. Il recherche le service " vidage de bite par tous ses trous " qui lui apporte l'avilissement total dont il a besoin. 
Mes clients habituels sont trop proprets pour arriver à lui faire passer ce genre de sensation. En plus, je ne voudrais pas qu'ils reproduisent ça sur mes Escorts " classiques ". Je charge Samir de rechercher qui pourrait satisfaire la demande de mon Escort particulier.
Il met une semaine pour me trouver plusieurs options.
Larvage en cave dans la cité craignos du coin. Là une bonne quantité de jeunes Beurs et blacks en manque de meufs pourrait faire l'affaire mais le rapport sera faible et les risques de dérapage importants.
Le faire taffer un soir en foyer de travailleurs. Là leur pouvoir d'achat est un peu supérieur et la quantité d'homme sevré de femme sera importante. La moyenne d'ùge plus élevée, la forte majorité d'immigré assurera un effet dépravation supplémentaire. Il a repéré deux foyers Sonacotra qui seraient idéaux pour ça.
Dans les deux cas, il faudra encadrer Amaury pour limiter au maximum le risque pour sa santĂ©. Fournir les kpotes et le gel sera indispensable et surtout rester pour s'assurer que les " utilisateurs " les utiliseront. Et vu la population mĂȘme les pipes devront se faire sous kpote. Il ne veut pas qu'Amaury y attrape une chtouille ou mĂȘme plus.
LĂ -dessus je suis totalement en accord avec lui. Il serait bien de voir s'il n'y a pas un ou plusieurs " chefs " qui seraient capable de gĂ©rer leur groupe ethnique. Je lui dis de voir aussi avec Jona et François. Ils ont des entrĂ©es particuliĂšres de renseignement et en plus nous aurons besoin d'eux pour la sĂ©curitĂ©. Entre Ammed, PH, eux deux plus nous deux, et notre pratique des arts martiaux, on ne devrait pas rencontrer de problĂšme. Au pire s'il y a trop de participants potentiels, rien ne nous interdira de refaire une sĂ©ance. Quant au tarif, il faudra probablement s'aligner sur les putes bas de gamme. La sodo simple Ă  50€ et celle aprĂšs une pipe Ă  70, ça devrait le faire. A confirmer avec nos agents de renseignement !
La semaine suivante, nous avons les infos. Samir a rencontrĂ© les meneurs des trois groupes ethniques du premier foyer, blacks, algĂ©riens et turcs. Ils ont sondĂ© leurs ouailles et il en ressort qu'une cinquantaine serait partante au tarif proposĂ©. Samir me prĂ©sente mĂȘme une prĂ©vision Ă  20 sodos simples et 30 sodos aprĂšs pipe. Soit une soirĂ©e Ă  plus de 3 100 quand mĂȘme ! Il me dit qu'il a rencontrĂ© quelques futurs bĂ©nĂ©ficiaires de notre plan " DĂ©gorgement des couilles immigrĂ©e ", Amaury ne devrait pas ĂȘtre déçu. En plus du nombre, quelques bites devraient lui donner des sensations intĂ©ressantes. Il a nĂ©gociĂ© avec les trois hommes que leurs sĂ©ides soient propres et douchĂ©s avant de venir. Le port de kpote aussi a Ă©tĂ© actĂ©. Si ce n'Ă©tait pas le cas, le mec serait sorti de la liste. Ils ont mĂȘme tirĂ© au sort la succession des ethnies. Le premier sera Turc, le deuxiĂšme Black et le troisiĂšme donc AlgĂ©rien et reprise Turc, Black, les sodos simples au dĂ©but et celles aprĂšs pipe aprĂšs... jusqu'au dernier.
L'affaire a l'air de rouler ! Nous la proposons Ă  Amaury. Il s'y projette vite et nous demande de la programmer au plus tĂŽt. Je lui dis qu'il devra quand mĂȘme, par sĂ©curitĂ© complĂ©mentaire Ă  l'utilisation systĂ©matique des kpotes, suivre un traitement post exposition au HIV. Il en comprend la nĂ©cessitĂ©. De mĂȘme il se fera dĂ©pister des autres MST avant de se permettre de nouveaux plans en rĂ©el. Il est d'accord avec toutes ces contraintes supplĂ©mentaires. Il avait pensĂ© lui aussi au TPE mais pas aux autres MST.
Nous profitons d'un WE oĂč Ludovic se fait une super chasse chez son paternel pour organiser cette affaire. Quand nous arrivons dĂšs 13h30, nous rencontrons les 3 dĂ©lĂ©guĂ©s. Ils nous remettent chacun les participations de leurs compatriotes. Je m'isole pour compter. Le montant prĂ©vu est lĂ . Je rejoins les autres qui ont mis Amaury en situation. Ils ont rĂ©quisitionnĂ© un des T2 du rez-de-chaussĂ©e. Le Turc nous remercie de lui avoir mis une cage. Il n'en avait pas parlĂ© mais certains de ses collĂšgues lui avaient dit qu'ils espĂ©raient que la " pute " ne banderait pas.
Amaury est Ă  4 pattes sur le lit, les fesses Ă  l'aplomb du bord pour que les mecs puissent l'enculer direct, debout. Jona et François sont avec lui de chaque cĂŽtĂ© du lit prĂȘts Ă  intervenir. Samir et Ammed sont avec les trois " gĂ©rants " ils vont devoir gĂ©rer les participants en amont. Notamment ils ont la charge de fournir la kpote adaptĂ©e (Ă  la taille du sexe).  Avec PH nous servons de renfort.
Amaury est prĂȘt pour le premier assaut. Samir lui a prĂ©parĂ© la rondelle afin qu'il soit performant dĂšs la premiĂšre saillie.
Les instructions ont Ă©tĂ© suivies. Dans le couloir qui sert pour la file d'attente, pas d'autres odeurs que celle des diffĂ©rents gels douche utilisĂ©s. Les mecs sont en majoritĂ© en jogging et T-Shirt. Ils sont propres aussi. Quelques-uns sont en shorts. Plus je remonte la file vers l'appartement, plus le silence se fait et les joggings se tendent. A la porte d'entrĂ©e je comprends. En provenance de la chambre, arrivent les gĂ©missements d'Amaury. EntrecoupĂ©s de " vas-y, fuck, plus fort... ", ils font bander les 15 qui attendent leur tour. Je rentre dans l'appart. Dans le sĂ©jour, le trio vĂ©rifie que le mec fait bien partie de ceux qui ont payĂ©s et ils le font mĂȘme mettre le pantalon aux genoux pour vĂ©rifier la propretĂ©. Ça permet Ă  Samir ou Ammed de donner la bonne taille de prĂ©servatif. Le mec rentre alors que le prĂ©cĂ©dent sort. Il encule Amaury directement et le secoue jusqu'Ă  jouir. Ce qui ne prend environ que 5 Ă  6 minutes. Quand il part, il retire son prĂ©servatif et le jette dans une grande poubelle, remonte son jogging ou son short et se casse. Durant cette premiĂšre partie, je vois deux ou trois mecs ttbm qui arrivent Ă  tirer des gĂ©missements plus prononcĂ©s Ă  Amaury. On fait une pause avant le second groupe (de ceux qui ont payĂ© pour la pipe avant la sodo). Pour dĂ©lasser Amaury et qu'il se dĂ©tende les jambes, au milieu de la premiĂšre sĂ©rie, on l'a installĂ© sur une table. Entre le plateau et son dos on a pliĂ© une couverture et les jambes levĂ©es, il s'Ă©tait fait ramoner jusqu'Ă  la pause. Alors qu'il continuait ses demandes (fuck me, plus fort....) j'ai remarquĂ© que les enculeurs Ă©taient plus respectueux. Avant alors qu'ils ne voyaient que son dos et sa nuque, ils le traitaient comme un sac Ă  foutre, une truie Ă  engrosser. LĂ , depuis qu'ils le voient de face, ils sont plus doux et prĂ©venants.
Avant de reprendre, les trois intermédiaires passent sur Amaury. Le black est trÚs fortement membré mais pas tant que mes deux hommes de services réunis. Néanmoins, aprÚs la pause et le passage des deux petites bites de ses collÚgues, il doit forcer un peu. Je reste mater. C'est vraiment beau. Amaury est blanc et ses fesses le sont encore plus. Le black l'est de façon trÚs foncée. La jonction de leur deux corps accentue le contraste. Le piston black qui défonce le cul bien blanc.... Quand ils sont collés on dirait les deux faces d'un domino.
Puis la seconde pĂ©riode commence. La seule diffĂ©rence avec la premiĂšre c'est que celui qui attend pour enculer se fait pomper alors que le prĂ©cĂ©dent est encore Ă  chercher Ă  jouir. On gagne du temps car les mecs arrivent tellement excitĂ© Ă  la sodo qu'il faut encore moins de temps qu'aux premiers pour juter ! Sauf deux ou trois qui ont pris un quart d'heure, les autres se sont vidĂ©s aprĂšs 4 ou 5 coups de rein. Du coup on est sorti du foyer aprĂšs seulement 6 heures de prestation. Pas de problĂšme de sĂ©curitĂ©. Tous se sont pliĂ©s sans rechigner au port de la kpote, mĂȘme pour les pipes. Amaury nous a dit n'avoir pas trop apprĂ©ciĂ© les pipes sous emballage mais c'Ă©tait quand mĂȘme plus sĂ©cure !
Retour au blockhaus il est 21h30. Amaury est fatiguĂ© mais il arrive encore Ă  marcher. Dimanche matin. Je descends au premier voir Amaury qui est restĂ© sur place, pris en charge par Samir. Il est plus courbaturĂ© que la veille. C'est surtout les muscles internes des cuisses qui lui font mal. Quand j'arrive, il est en train de se faire masser par Ammed et ça lui fait du bien. Je m'installe Ă  sa tĂȘte et on parle de sa prestation. Il me dit qu'il avait trop aimĂ© la sensation de n'ĂȘtre qu'un trou Ă  boucher. MĂȘme si la levrette le faisait sentir plus " chienne ", c'est sur le dos, avec la vue des visages de ses enculeurs qu'il a vraiment pris du plaisir. Comme pour le gang bang que j'avais organisĂ©, les couleurs de peaux foncĂ©es ajoute Ă  son plaisir. Je rigole et lui dis que c'est surtout parce que ce qu'ils ont entre les cuisses sont en gĂ©nĂ©ral plus gros que ce que nous avons-nous autres blancs ! Ça le fait rire et il me dit que c'est peut ĂȘtre ça aussi.
Je lui souhaite un bon dimanche lui dit de ne pas oublier de passer à l'hÎpital voir Blond2 (mon escort étudiant en 7Úme année de médecine), il est prévenu pour ses analyses et son traitement post exposition. Il me promet d'y passer en rentrant chez lui.
Jardinier
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sinvulkt · 5 months ago
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pour @ash--00
Nemo serra les dents contre la bulle d’air qui poussait contre ses lĂšvres dans une vaine tentative d’évasion. Ses poumons lui brĂ»laient, d’une brĂ»lure lourde et pinçante qui augmentait pour chaque seconde qu’il passait loin de la surface. Il ignora les signaux d’alertes de plus en plus pressant de son corps pour se concentrer sur la vitre de la tourelle qui lui faisait face, et qu’il attaquait de lourds coups de hache. Il y Ă©tait presque.
Trois soldats anglais le regardaient l’air bĂ©hat, choquĂ© dans l’immobilitĂ© par sa tĂ©mĂ©ritĂ©. Nemo leur aurait ri au nez s’il n’était pas aussi occupĂ© Ă  lutter contre l’eau qui entravait ses mouvements, et la poussĂ©e d’archimĂšde qui s'efforçait de le renvoyer Ă  la surface.
Un coup de plus.
La hache atterrit contre la vitre avec un coup sec. Les fissures dĂ©jĂ  prĂ©sentes se multipliĂšrent, formant un fascinant rĂ©seau de vers entrelacĂ©s. Le choc remonta en vibrant le long de ses bras, menaçant de le propulser loin du Dreadnought. Nemo s'accrocha Ă  une des protubĂ©rances mĂ©talliques qui quadrillaient l'extĂ©rieur de la tourelle. Sa bouche s’ouvrit sous l’habitude, laissant Ă©chapper le peu d’air qu’elle contenait encore. La pression de ses poumons devenait insoutenable. Nemo serra les dents, crispa sa mĂąchoire, et leva de nouveau son bras.
Un coup de plus
La vitre Ă©clata en morceaux.
L’eau se prĂ©cipita vers le gouffre bĂ©ant qui s’offrait soudainement Ă  elle. Nemo vit l’un des soldats de la Compagnie crier, mais les mots exact ne l’atteignirent pas, tant le rugissement de l’eau noyant ses oreilles Ă©tait assourdissant. Il s’accrocha Ă  une des parties mĂ©talliques de la baie vitrĂ©e, mais ses doigts cĂ©dĂšrent sous la force du courant, et la mer l'entraĂźna Ă  l’intĂ©rieur de la tourelle dans sa folie furieuse.
Par chance, sa main rĂ©ussit Ă  attraper un des bords de la vitre brisĂ©e. Nemo s’y accrocha de toutes ses forces alors que l'ocĂ©an continuait de s’engouffrer par l’ouverture. La pression tumultueuse de l’eau qui s'aventurait en terre inexplorĂ©e lui broyait les os. Au moins rĂ©ussit-il Ă  attraper une gorgĂ©e d’air avant que l’eau ne remplisse entiĂšrement la salle, mais il but la tasse en tentant d’en prendre une seconde. Son corps se plia dans un effort d’évacuer le liquide obstruant sa gorge, ses doigts se crispĂšrent, et le bord de la vitre si fragilisĂ©e par les coups de la hache qu’il avait abandonnĂ© aux bas fond, se fracassa Ă  son tour.
Nemo se fit une nouvelle fois entraĂźnĂ© par le courant. Il avait l'impression d'ĂȘtre une bouteille lancĂ©e Ă  la mer, mais dans un milieu si rocheux qu’il n’était qu’une question de temps avant que ses paroies n’éclate en morceau, et que son message ne s’évanouisse dans l'ocĂ©an. Il se recroquevilla dans une tentative dĂ©sespĂ©rĂ©e de laisser moins de prise Ă  l’énergie qui le poussait. La position ne le sauva pas quand la vague qui le portait rencontra un mur, et s’y brisa nette. L’enceinte mĂ©canique de la tourelle se fracassa contre sa tĂȘte, l’étourdissant lourdement. L’instant d’aprĂšs, alors qu’il tournoyait comme perdu dans les flots, un barreau mĂ©tallique vint s’écraser violemment contre sa nuque.
Nemo ne put jamais s’y accrocher. Sa bouche s’ouvrit sous le choque et l’eau salĂ©e s’y engouffra sans demander son reste. Un instant plus tard, de par le coup ou la noyade, il perdit connaissance
La main du capitaine Youngblood tira William par l’épaule vers l’échelle qui menait Ă  l’écoutille, le sortant de sa torpeur. Alors mĂȘme qu’il grimpait, l’eau se fracassant bruyament sous ses pieds, William ne pouvait pas s'empĂȘcher de se retourner. La silhouette de Nemo face Ă  lui, une hache dans sa main, Ă©tait encore imprimĂ©e dans sa rĂ©tine. 
Parce qu’il se retourna, William vit Nemo entraĂźnĂ© par le courant, s’accrochant dĂ©sespĂ©rĂ©ment Ă  un des bords de l’ouverture qu’il avait lui-mĂȘme creusĂ©. 
Parce qu’il se retourna, William vit la vitre se briser sous les doigts de son Nemesis, et le courant l'entraüner violemment dans la tourelle.
L’échelle vibra avec un bruit sourd quand le poids d’un corps entier s’y entrechoqua. William s'Ă©tait arrĂȘtĂ©, regardant fixement vers le bas. Les bras de Nemo Ă©taient entremĂȘlĂ©s aux premiers barreaux de l’échelle, mais il ne bougeait plus vraiment. L’eau lui recouvrait le visage, et les courants rugissants le ballottaient de droite Ă  gauche, menaçant de l’envoyer valser entre les crocs broyeur du piĂšge mortel en lequel les flots s’étaient transformĂ©s.
Nemo Ă©tait vulnĂ©rable. Il Ă©tait piĂ©gĂ©, faible et probablement inconscient. Il Ă©tait prĂšs, Ă  moins d’un mĂštre du barreau auquel William s’était agrippĂ©. Si prĂšs. En descendant sa botte, William Ă©tait sĂ»r de pouvoir le toucher. 
William jeta un coup d'Ɠil Ă  ses environs. Le capitaine Youngblood, lui, avait continuĂ© sa route et passait dĂ©jĂ  par l’écoutille. BientĂŽt, il remarquerait que William ne l’avait pas suivi. Au-delĂ  des vitres brisĂ©es, une silhouette en scaphandre s'approchait, sans doute pour rĂ©cupĂ©rer leur capitaine. William serra des dents. L’idĂ©e que quiconque tire Nemo du piĂšge oĂč il s’était lui-mĂȘme enfermĂ© fut suffisante pour prendre sa dĂ©cision. 
Nemo était à lui. 
Sans y rĂ©flĂ©chir Ă  deux fois, il sauta de l’échelle pour se laisser glisser dans les eaux froides et tumultueuses qui remplissaient petit Ă  petit la nacelle. Il garda sa paume plaquĂ©e contre les poteaux verticaux et, dĂšs que l’ocĂ©an menaça de l’emporter, s’y accrocha de toutes ses forces. BientĂŽt, il arriva au niveau du corps ballottant de Nemo. Un simple regard Ă  la couleur livide du visage de son nemesis lui confirma qu’il Ă©tait inconscient, et que laissĂ© ou il Ă©tait, ne tarderait pas Ă  mourir.
Il passa son bras sous le torse de l’autre homme, raffermit sa prise sur l’échelle, et le hissa. Un grognement Ă©chappa ses lĂšvres quand l’air remplaça l'ocĂ©an et que la gravitĂ© reprit tous ses droits. Un peu d’eau s’était infiltrĂ© au travers de sa gorge, le secouant de violentes quintes de toux. Trop conscient du niveau des flots qui montait, William se hĂąta de grimper aussi vite que l’on pourrait tout en portant le poids mort d’un homme. L'ocĂ©an lui lĂ©chait alternativement ou les bottes, ou les mollets, ou mĂȘme le bassin lorsqu’il s’arrĂȘta un instant pour rĂ©ajuster la position du corps lĂąche sur ses Ă©paules. Le rugissement torrentiel des flots s’était tue, l’ouverture profondĂ©ment noyĂ©e, pour laisser place au vrombissement plus inquiĂ©tant d’une salle qui se remplit lentement mais sĂ»rement.
Le capitaine Youngblood avait enfin remarquĂ© sa disparition, et se penchait dĂ©sormais par l’écoutille pour le haler tout en tendant le bras vers lui.
“DĂ©pĂȘchez-vous !”
William ne le fit pas rĂ©pĂ©ter. Il attrapa fermement la main offerte et poussa sur ses pieds de toutes ses forces pour se hisser avec son fardeau dans la sĂ©curitĂ© du corridor. Il s’écroula alors au sol, Ă  bout de souffle, se dĂ©barrassant du poids mort de Nemo comme on se dĂ©barrasse d’un sac Ă  charbon une fois arrivĂ© dans la salle des moteurs. 
Vaguement, il entendit le capitaine Youngblood fermer l’écoutille d’un coup sec, isolant efficacement la fuite menaçante dans la coque du Dreadnought. La violence du bruit du mĂ©tal qui frappe le mĂ©tal fut le seul avertissement qu’il eut quant Ă  la colĂšre de l'officier avant que l’autre ne se prĂ©cipita sur lui pour le soulever d’un coup sec, le presser contre le mur, les mains fermement serrĂ©es dans son col de son uniforme, et lui crier au visage."
“Vous voulez mourir ?!” 
William pointa mollement Nemo du doigt en réponse.
“Prisonnier
” il croissa.
Sa gorge lui brĂ»lait, rendant chaque syllabe aussi douloureuse qu’une traĂźnĂ©e de papier de verre le long de sa trachĂ©e. Le capitaine Youngblood tourna la tĂȘte, observa un moment le visage inerte et pĂąle de Nemo, puis relĂącha William, qui s'affaissa contre le mur dans un soupir hargneux.
William suivit d’un Ɠil le capitaine Youngblood se diriger d’un pas ferme vers le corps pĂąle de Nemo, tout en aboyant de multiples ordres pour souder la brĂšche. Son nĂ©mĂ©sis ne bougeait pas, sa poitrine immobile et son souffle Ă©teint. William se demanda mĂȘme s’il Ă©tait dĂ©jĂ  mort. Le capitaine Youngblood ne dĂ»t cependant pas avoir de telles hĂ©sitations car, aussitĂŽt arrivĂ© aux cĂŽtĂ©s de Nemo, il s’agenouilla et se pencha au-dessus de son visage en relevant son menton vers le haut, attentif au moindre signe de respiration. De toute Ă©vidence, il n’y en eut aucun, car Youngblood se mit Ă  presser sa poitrine Ă  intervalles rapide et rĂ©gulier, pour ensuite Ă©craser son nez de sa main gauche pour embrasser le prisonnier. 
Il y eut de longues secondes de silence durant lesquelles William luttait pour respirer, les soldats s’activaient pour obĂ©ir aux ordres, et le capitaine Youngblood continuait ses mouvements prĂ©cis tout en pressant alternativement le haut du torse de Nemo et lui insufflant de l’air par la bouche. Le corps restait mou sous ces ministrations. Puis, un tressaillement secoua le corps du noyĂ©. L’instant d’aprĂšs, il toussa, puis entrouvrit ses yeux devenus vitreux tout en avalant goulĂ»ment l’air qui lui avait tant manquĂ©.
Il ne faudrait pas longtemps Ă  Nemo pour reprendre pleine possession de ses moyens et, une fois conscient de la situation dans laquelle il se trouvait, lutter contre ses capteurs. DĂ©jĂ , son regard perdu s’emplissait d’une lumiĂšre dĂ©fiante, et ses doigts tressaillaient.
William s’était Ă  peine relevĂ© pour mettre fin Ă  quelques idĂ©es d’escapades de son nemesis que le capitaine Youngblood l’avait dĂ©jĂ  pris de court, Nemo piĂ©gĂ© sous l’emprise d’une solide clĂ© de bras, le visage plaquĂ© contre le sol, alors que son corps Ă©tait encore secouĂ© par la toux qui s'efforçait de purger ses poumons. Il fit signe Ă  deux soldats qui s'affairaient dans le couloir.
“Emportez le prisonnier dans sa cellule.”
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urween · 15 days ago
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Soft Hanky | Steve Kemp x ftm!reader
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notes : Ă©crit avec un reader opĂ©rĂ© du torse en tĂȘte
rĂ©sumĂ© : Pour le bien de son commerce, Steve Kemp prend connaissance de l’existence d’une catĂ©gorie de personnes spĂ©ciales. Il trouve donc un jeune transgenre et met en place son plan habituel. ProblĂšme, cet homme cache bien des surprises.
⚠ warnings : Description volontairement maladroite de la transidentitĂ©, idolĂątrie du transgenre, Steve Kemp est un red flag Ă  lui seul (cannibalisme, violence, manipulation..), kinks (dĂ©gradation, soumission, proie/prĂ©dateur)
english version here
- Description Ă  la deuxiĂšme personne
- 2 509 mots
Tu avais pensĂ© Ă  un accident, peut-ĂȘtre mĂȘme Ă  un signe du destin. Il faut dire que ta vie sentimentale ne s’étalait pas sur des kilomĂštres, pas mĂȘme quelques mĂštres. Alors tomber nez Ă  nez avec un si bel inconnu, souriant et intĂ©ressĂ©, ça avait Ă©tĂ© une sorte de miracle Ă  tes yeux, et malheureusement pour toi il le savait. Steve, c’était son prĂ©nom, assez classique, rien d’original et un cĂŽtĂ© de dĂ©jĂ  vu. Pourtant il t’avait attrapĂ© en quelques secondes, Ă  peine avait-il commencĂ© Ă  te poser des questions que tes joues Ă©taient devenues aussi rouges que les siĂšges de la salle de cinĂ©ma oĂč vous vous Ă©tiez rencontrĂ©s.
Pas de chance pour toi, le destin n’avait rien Ă  voir dans cette romance soudaine. Cela faisait deux jours que Steve te suivait, apprenant principalement tes lieux les plus frĂ©quentĂ©s et surtout les personnes avec qui tu y allais. LĂ  se creusait le piĂšge, tu n’avais personne, et c’était ton atout majeur. Aucun ami, aucune famille, pas mĂȘme un poisson rouge Ă  qui tu allais manquer. Tu Ă©tais un ĂȘtre vivant sur Terre sans attaches humaines, ce qui faisait de toi un fantĂŽme, la victime parfaite.
Non je n’ai pas vraiment de famille, c’est assez compliquĂ© Ă  ce niveau-lĂ , lui avais-tu naĂŻvement confirmĂ© lors de votre premier rendez-vous. Puis, disons plutĂŽt des connaissances que des amis, avait-il rĂ©ussi Ă  te faire avouer. Enfin le bouquet final, c’est bizarre Ă  dire vu que je ne te connais que depuis peu mais je t’apprĂ©cie beaucoup Steve. Le sourire qui t’avait accueilli Ă  cette dĂ©claration avait fait bouillir tes joues, et alors l’homme en face de toi tenta une approche – pensant qu’il s’agissait du moment idĂ©al – il dĂ©posa sa main par-dessus la tienne sur la table de restaurant. Ta rĂ©action ne fit que l'encourager, et quelques instants plus tard vous Ă©tiez en train de vous embrasser au coin d’une rue. Tout se dĂ©roulait Ă  merveille, tout Ă©tait parfait, dans les temps et mĂȘme agrĂ©able. Il ne restait plus qu’à te faire di– Attends je..excuse-moi je crois que c’est un peu trop d’un seul coup pour moi, l’avais-tu couper alors que vous vous dirigiez vers chez toi. Il n’avait rien laissĂ© paraĂźtre, seulement sourit avant de te rassurer, c’est rien on a tout le temps pas vrai ? Il aurait dĂ» s’y attendre, tu avais Ă©tĂ© diffĂ©rent dĂšs le dĂ©but, tout ne pouvait pas ĂȘtre aussi simple.
À vrai dire tu n’étais Ă  l’origine pas sur sa liste. Vanessa, Penny, Kate. Mais pas ton nom, pas un homme. Les femmes Ă©taient demandĂ©es, recherchĂ©es et meilleures, pas les hommes.
Puis, un jour, lorsqu’il effaçait le compte instagram d’une prĂ©cĂ©dente candidate, il tomba sur un post : JournĂ©e internationale de la visibilitĂ© des personnes transgenres. Les couleurs vives l’interpellĂšrent et puisqu’il n’avait plus rien Ă  faire, il se balada Ă  travers ce sujet. Plusieurs photos de personnes concernĂ©es, mais rien de spĂ©cialement intĂ©ressant, ils n’avaient rien qu’il ne pouvait pas trouver ailleurs. Quand soudain, une photo le stoppa net. Un dessin fait au crayon, reprĂ©sentant un ĂȘtre androgyne magnifique. Steve cliqua sur la photo de profil du crĂ©ateur, et tomba sur toi. Tu n’avais que trĂšs peu de publications, mais assez pour qu’il te choisisse. Ton visage, ta silhouette, tes cuisses, hanches. Il y avait quelque chose de spĂ©cial dans ton ĂȘtre, diffĂ©rent des femmes, des hommes, diffĂ©rent des cisgenres. Dans ta biographie trĂŽnait fiĂšrement le drapeau tricolore transgenre, accompagnĂ© de trois lettres “ftm”. Steve ne mit pas longtemps Ă  ressembler toutes les piĂšces du puzzle, tu Ă©tais exceptionnel. Le parfait mĂ©lange de la beautĂ© harmonieuse de la femme avec la sublime force calme de l’homme. Ton corps Ă©tait splendide, tes traits divins. Ton goĂ»t ne pouvait qu’ĂȘtre sans Ă©gal.
Alors, tu passas en quelques heures premier de sa liste. Ton visage angĂ©lique allait rendre fou les acheteurs, et tu rendais dĂ©jĂ  fou Steve. La nuit de sa dĂ©couverte il ne ferma pas l'Ɠil, cherchant toutes les informations possibles sur toi et sur ce qui te reprĂ©sentait. Il n’avait pas l’habitude de se sentir aussi impliquĂ©, mais tu Ă©tais diffĂ©rent, c’était sĂ»rement pour ça.
C’est de cette façon qu’une semaine plus tard, tu rencontras le subjuguant Steve Kemp en sortant de ta sĂ©ance cinĂ©ma hebdomadaire. Tu fus surpris de tomber face Ă  un homme aussi attirant, intĂ©ressĂ© et surtout cultivĂ© sur les sujets qui te tenaient Ă  cƓur. Il connaissait les termes queer, riait en disant qu’il avait visitĂ© ton endroit de rĂȘve, ou freignait l’ignorance en dĂ©couvrant ton nom.
Mais outre cette spĂ©cificitĂ© physique, il avait – avec surprise – dĂ©couvert que tu n’étais pas aussi rapide que les autres. Tu ne l’invitais jamais chez toi, esquivant les sous-entendus d’un prochain date lĂ -bas. Tu Ă©tais ouvert Ă  ses avances et pourtant quelque chose semblait toujours te faire reculer au moment fatidique. Il avait d’abord pensĂ© que tu Ă©tais inquiet par rapport Ă  ton genre “spĂ©cial”, que tu avais peur de le lui en parler. Mais tu ne donnais pas l’impression que le sujet Ă©tait sensible, au contraire tu en parlais avec lĂ©gĂšretĂ©. Le problĂšme venait donc d’ailleurs. Steve avait dĂ» creuser, mais la source avait fini par devenir visible. Tout venait d’un domaine plus intime. La façon dont tu mordais ta lĂšvre lorsqu’il te complimentait, croisais les jambes Ă  certains regards insistants, gĂ©missait faiblement dans vos baisers. Il avait cru Ă  un comportement basique, il te plaisait ça se voyait. Puis, il avait remarquĂ© ton lĂ©ger inclinement de tĂȘte vers le bas, tes yeux fuyeurs, tes muscles faiblissant. Ton corps se soumettait Ă  lui, consciemment ou non, tu rĂ©agissais d’une façon primale Ă  lui. Cette conclusion lui avait sautĂ© au visage lors de votre dernier baiser. Il t’avait gentiment bloquĂ© contre un des murs extĂ©rieurs du restaurant asiatique, sa main Ă  la jonction de ton cou et de ton Ă©paule, ton corps avait semblĂ© se ramollir dans son Ă©treinte. Tu te laissais contrĂŽler par lui, protĂ©ger, Ă©pauler. Il avait alors accentuĂ© votre Ă©change buccal, et tout s’était confirmĂ©. Ton corps avait besoin d’ĂȘtre soumis, vulnĂ©rable dans des bras puissants et protecteurs.
AprĂšs s’ĂȘtre rendu compte de cela, Steve a su trouver le problĂšme : tu n’étais pas Ă  l’aise avec ce fantasme. Ça tombait sous le sens, tu ne connaissais que depuis quelques jours l’homme qui te faisait sentir ainsi, c’était Ă©vident que tu ne voulais pas laisser ton corps Ă  un presque inconnu.
Mais tout problĂšme avait une solution, et il l’avait trouvĂ©e.
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Humide de ta rĂ©cente douche, ta main attrapa ton tĂ©lĂ©phone portable dĂ©posĂ© sur le rebord de ton lavabo. Steve venait de t’envoyer plusieurs messages.
–  Bon matin angelot –  Un cafĂ© pour commencer la journĂ©e ?
Tu répondis avec enthousiasme, lui disant que tu acceptais avec plaisir son invitation et en quelques secondes tu reçus une réponse.
–  Je peux passer te prendre d’ici une vingtaine de minutes –  Et si ça te va, je pourrais te montrer le fameux tableau que j’ai Ă  la maison ? – Je te l’aurais bien apportĂ© mais il faut croire qu’il ne rentre pas dans le coffre 🩣
Ton sourire t’accompagna pendant que tu enfilais des vĂȘtements propres. Sa proposition te tentait Ă©normĂ©ment mais il y avait un hic. Passer du temps avec Steve te plaisait toujours, cependant aller chez lui voulait forcĂ©ment dire passer une Ă©tape. Il n’était pas du style Ă  te presser le pas, mais tu en avais envie et d’aprĂšs vos Ă©changes il semblait Ă©galement en avoir envie. Avec un soupçon de doute, tu attrapas de nouveau ton portable pour lui rĂ©pondre :
–  Ok pour chez toi, mais seulement pour voir le tableau ;)
À seulement deux rues de ton immeuble, Steve esquissa un vague sourire en tapant une rapide rĂ©ponse. Il se doutait que tu allais rĂ©agir ainsi, mais tu Ă©tais malgrĂ© tout tombĂ© dans le piĂšge et c’était le plus important. Le plan n’était de toute façon pas de coucher avec toi, seulement de te ramener en lieu sĂ»r, chez-lui. Il ne couchait jamais avec ses cibles, parce qu’il n’en avait pas spĂ©cialement envie et surtout qu’elles venaient sans soucis chez lui, sans avoir besoin d’en arriver lĂ .
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Le trajet en voiture avait Ă©tĂ© plus long que tu ne l’aurais imaginĂ©. Entre les petits chemins et les routes Ă©troites, il vous fallut en tout Ă  peu prĂšs une heure et demie pour enfin arriver vers ce qui devait ĂȘtre chez Steve. Un peu – beaucoup, mais l’avouer serait Ă©trange – perdu au milieu d’une Ă©paisse forĂȘt de sapins en tout genre, trĂŽnait une longue et grande bĂątisse. Tu sortis de la voiture en premier, voulant avoir le temps de dĂ©tailler la maison avant d’y rentrer.
Pour ĂȘtre honnĂȘte, beaucoup de branches et de vĂ©gĂ©tations camouflaient l’habitacle, tu ne parvenais qu’à deviner des lignes modernes et rectangulaires qui finissaient par disparaĂźtre derriĂšre des troncs d’arbres. Mais malgrĂ© ça, tu trouvas la maison assez jolie de l’extĂ©rieur.
Steve arriva par surprise derriĂšre toi, te faisant sursauter et pousser un petit cri peu viril. Son rire mĂ©langĂ© au tien fit voltiger quelques oiseaux Ă  cĂŽtĂ© de vous, aussitĂŽt tu t'inquiĂ©tas du possible bruit que ton cri aurait pĂ» poser. Mais Steve te rassura immĂ©diatement, dĂ©posant une main sur ton Ă©paule il te sourit en disant : “Pas besoin de s’inquiĂ©ter, aucun voisin aux alentours, personne pour se plaindre du bruit”. Tu fus sur le coup soulagĂ©, rĂ©pondant quelque chose comme “oh gĂ©nial” sans savoir que ce dĂ©tail ne t'Ă©tait absolument pas favorable.
GuidĂ© par la main chaude du propriĂ©taire, tu te laissas porter jusqu’à la porte d’entrĂ©e – mĂȘme s’il devait sĂ»rement en avoir plusieurs au vue de la taille de la maison –. Tu aurais en temps normal Ă©tait quelque peu suspicieux par rapport Ă  cette taille justement. Une habitation aussi grande signifiait grands revenus, Steve t’avait dit qu’il travaillait comme chirurgien plastique et ça pouvait expliquer ce dĂ©tail lĂ . NĂ©anmoins, ton attention ne se porta absolument pas sur ses revenus, ni mĂȘme la possible dangerositĂ© d’une maison aussi Ă©loignĂ©e de la civilisation. À vrai dire, une fois la porte franchie tu fus hypnotisĂ© par la dĂ©coration. Tout Ă©tait extrĂȘmement sombre, dans des teintes marrons et noires. Il n’y avait que le minimum de lumiĂšres, et mĂȘme les fenĂȘtres ne donnaient pas assez de luminositĂ© pour pouvoir apercevoir les quatres extrĂ©mitĂ©s de la cuisine ouverte sur le salon. Les murs Ă©taient trĂšs hauts, sombres eux aussi, seulement entrecoupĂ©s de quelques touches beiges. Vu de l’intĂ©rieur on oubliait le loyer de l’habitat, on se laissait dĂ©vorer par l’atmosphĂšre si spĂ©ciale. Si tu prenais chaque petit dĂ©tail Ă  part, la dĂ©coration n’avait rien d’extraordinaire, mais mis bout Ă  bout c’était comme si tu rentrais dans une sorte de tableau immersif. SĂ»rement Ă  cause de la luminositĂ© inĂ©gale au dehors ou de l’odeur flottante d’encens, mais tu avais le sentiment d'ĂȘtre coupĂ© du monde extĂ©rieur. C’était Ă©trangement agrĂ©able.
« Je ne te propose pas d’eau, intervint Steve en montrant d’un signe de tĂȘte ton cafĂ© encore chaud dans tes mains »
Tu souris timidement en secouant la tĂȘte de gauche Ă  droite. MĂȘme s’il conduisait, Steve avait fini sa boisson en moins de vingt minutes. Une main sur le volant, une autre toujours sur son gobelet en carton – Ă  croire qu’il avait peur de le perdre – il enchaĂźnait les petites ou grandes gorgĂ©es de cafĂ©ine comme s’il s’agissait d’un Ă©lixir de jeunesse. Tu ne t’étais pas vraiment posĂ© de questions sur le moment, supposant qu’il avait mal dormi ou que quelque chose lui prenait la tĂȘte.
Une fois ta petite observation complĂ©tĂ©e, tu proposas un peu de ton cafĂ© Ă  ton interlocuteur – ce qu’il accepta – puis tu te dirigeas vers le fameux tableau qui t’avait fait venir ici. Il n’avait rien de si spĂ©cial, juste une grande toile horizontale pleine de touches de peinture en relief. Tu n’étais mĂȘme pas un expert en art, mais lorsque Steve t’avait parlĂ© de cette Ɠuvre tu avais Ă©tĂ© curieux et au fil de vos conversations tu avais eu envie de le voir en personne. C’est comme si on voyait plein de personnes vivre, t’avait-il confessĂ©, comme si j’avais le super pouvoir de transformer les corps en Ăąmes colorĂ©es. Sa description t’avait intriguĂ©, tu avais voulu mettre une image sur ce pouvoir, et puisque Steve n’avait pas de photo sur lui quoi de mieux que de le voir en vrai.
« J’aurais plutĂŽt dit qu’elles meurent, commenças-tu en inclinant la tĂȘte, regarde leurs positions on dirait qu’elles se font aspirer ou qu’elles pleurent, ton doigt accusateur accompagna ton analyse en dessinant des formes abstraites dans l’air, et puis les couleurs sont en train de disparaĂźtre, le orange vif devient cramoisi »
Trop absorbĂ© par ton investigation, tu ne prĂȘtas pas attention Ă  Steve se plaçant derriĂšre toi. Vos deux silhouettes Ă©taient dans un parfait alignement, fades et indĂ©finies Ă  cause de la pĂ©nombre, vu de face tu semblais disparaĂźtre dans la carrure glaciale de l’homme te surplombant de plusieurs centimĂštres. Ses yeux couraient au ralenti sur ta nuque dĂ©voilĂ©e et nue, ton dos dessinĂ©. Ils imaginaient les courbes allĂ©chantes qui Ă©taient camouflĂ©es sous deux ou trois couches de tissus – si facilement dĂ©chirables, mĂȘme du bout des dents –. Tes Ă©paules Ă©taient relaxĂ©es, tu Ă©tais en confiance. Tu ne faisais qu’observer un tableau, sans te douter de la menace qui se trouvait derriĂšre toi ni des preuves dissimulĂ©es derriĂšre la peinture. Tu ne faisais qu'observer l'Ɠuvre qu’un homme qui te plaisait avait chez lui. Sans penser un instant que derriĂšre toi ce mĂȘme homme serait dĂ©sespĂ©rĂ©ment un mouchoir en tissu imbibĂ© de GHB. Sans penser que son bras Ă©tait bloquĂ© dans cette position, alors qu’il devrait ĂȘtre enroulĂ© autour de ton cou. Sans imaginer le flot de pensĂ©es qui dĂ©valait au mĂȘme moment l’esprit de cet homme. Tu ne faisais qu’admirer une toile dont il t’avait parlĂ©, qui lui tenait Ă  cƓur, dont il n’avait jamais parlĂ© Ă  personne Ă  part toi. Tandis que lui Ă©tait pĂ©trifiĂ© par le doute.
« Je pense que j’aimerais pas avoir ce super pouvoir, de voir les Ăąmes de gens, dĂ©clara ta voix, j’aimerais pas savoir qui est bon ou mauvais c’est trop volatile, continuas-tu en reculant d’un pas, et puis les mauvaises personnes sont juste incomprises, et j’aime bien essayer de les comprendre »
Ton talon heurta la pointe d’une chaussure cirĂ©e, tu crus tomber en arriĂšre. Ton dos fut stoppĂ© par un buste bouillant, et un sourire revint sur tes lĂšvres.
Un mouchoir tomba au sol et alors que tu te baissais pour le rattraper, la main ferme de Steve stoppa ton mouvement.
« Laisse-le ici, soupira presque une voix que tu n’avais jamais entendu aussi lĂ©gĂšre, il ne servira plus Ă  rien »
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TrĂšs envie de faire une partie deux, qui sait peut-ĂȘtre un jour ?
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soeurdelune · 1 year ago
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parce qu'on approche doucement mais sĂ»rement de la spooky season 🎃, c'est l'occasion de parfaire votre culture en films d'horreur! voici une petite sĂ©lection de 10 diamants du genre, visionnables gratuitement sur youtube (et sous titrĂ©s en anglais pour ceux en langue Ă©trangĂšre! que demande le peuple...) il va sans dire que l'horreur Ă©tant un genre parfois costaud, pensez Ă  vĂ©rifier vos triggers pour chaque film sur le site does the dog die?
carnival of souls, 1962 (vo: anglais américain), une masterclass, un des premiers grand films d'horreur moderne, il a inspiré des réalisateurs comme david lynch ou james wan. (la note de lune: 5/5)
el espinazo del diablo (l'Ă©chine du diable), 2001 (vo: espagnol), personne ne raconte une histoire de fantĂŽmes comme guillermo del toro, un trĂšs beau film qui inaugure sa trilogie de la guerre civile, Ă  suivre avec le labyrinthe de pan et son pinocchio de 2022. (la note de lune: 4/5)
a tale of two sisters, 2003 (vo: coréen), des influences gothiques saisissantes et une histoire aux allures de diabolique petit puzzle. (la note de lune: 4/5)
ringu, 1998 (vo: japonais), un immense classique de la j-horror que l'on ne prĂ©sente plus, efficace et trĂšs bien ficelĂ©, featuring hiroyuki sanada ♄ (la note de lune: 5/5)
the last man on earth, 1964 (vo: anglais amĂ©ricain), inspirĂ© du roman i am legend qui a donnĂ© une palanquĂ©e d'adaptations au fil des annĂ©es, celui-ci est de loin mon favori, vincent price est une ICÔNE et ce film est un pur plaisir Ă  regarder. (la note de lune: 4/5)
kairo (pulse), 2001 (vo: japonais), un autre classique de la j-horror, l'ambiance est profondément troublante et mélancolique, avec des scÚnes qui vous hanteront pendant un bon moment. (la note de lune: 4/5)
hellraiser, 1987 (vo: anglais amĂ©ricain), tout le monde l'a probablement dĂ©jĂ  vu mais la version youtube est tellement quali que je le mets ici quand mĂȘme, pinhead est un mĂ©chant incroyable, le film a des dĂ©fauts mais les qualitĂ©s l'emportent sur le reste, un bijou de l'horreur un peu gory des 80s! (la note de lune: 3/5)
donnie darko, 2001 (vo: anglais amĂ©ricain), diffile Ă  mettre dans une catĂ©gorie plutĂŽt qu'une autre, un peu d'horreur mĂȘlĂ©e Ă  du thriller psychologique et une pointe de sci-fi, ça reste un classique au dĂ©nouement final incroyable. (la note de lune: 5/5)
one missed call, 2003 (vo: japonais), jurĂ© aprĂšs j'arrĂȘte avec la j-horror, celui-ci est plus efficace dans sa seconde moitiĂ© que dans la premiĂšre, il y a des moments qui font vraiment vraiment peur. (la note de lune: 3/5)
les yeux sans visage, 1960 (vo: français), avant la piel que habito d'almodovar, il y a eu les yeux sans visage, un petit précurseur considéré comme le premier film d'horreur moderne français. (la note de lune: 3/5)
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horyia · 7 months ago
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Seconde version (premiĂšre aprĂšs celle de l'ouverture)
Rejoignez-nous sur The Fall of a Kingdom qui s'est drapĂ© de bleu pour les Ă©vĂ©nements qui arrive trĂšs bientĂŽt ♄
Scénario à découvrir ci-dessous
Nour est nĂ©e quelques minutes avant Shirat, par un chaude nuit d’étĂ© dans la rĂ©gion de Helston. C’est le genre de personne qui se laisse emporter par le courant et qui s’adapte Ă  tout et tout le monde. Ainsi, mĂȘme si la vie familiale Ă©tait difficile, Nour Ă©voluait comme un poisson dans l’eau. Bien que jumelles, les soeurs Asghari ne pourraient pas ĂȘtre plus diffĂ©rentes. Elles ont passĂ© leur jeunesse Ă  ĂȘtre constamment comparĂ©es, ce qui a parfois insufflĂ© un climat de compĂ©tition entre elles et une Ă©trange jalousie malgrĂ© l'amour fĂ©roce qu'elles se portent.
Consciente du dĂ©sir de sa sƓur jumelle de fuir le bercail dĂšs que possible, c’est Nour qui propose de partir Ă  l’aventure en s’enrĂŽlant Ă  l’AcadĂ©mie des Chevaucheurs. LĂ -bas, Nour trouve sa place, sa vocation, alors que sa sƓur a du mal Ă  s’intĂ©grer. Plus les annĂ©es passent, plus le fossĂ© se creuse entre Nour et Shirat. Nour tissera un lien avec un Étheria au cours de sa troisiĂšme annĂ©e, et chaque nouvelle prĂ©sentation aux diffĂ©rentes races d'Étheria est devenue d'une amertume insupportable aux yeux de Shirat qui en est venue Ă  abhorrer le succĂšs de Nour.
C'est sans un mot de fĂ©licitations que Shirat disparaĂźt lors de la graduation de Nour. C'Ă©tait il y a trois ans, et malgrĂ© ses lettres Ă  l'AcadĂ©mie des Elementariste oĂč Shirat a trouvĂ© refuge, Nour n'est pas parvenue Ă  rejoindre sa sƓur depuis...
CaractĂšre Les deux sƓurs sont aux antipodes. LĂ  oĂč Shirat une femme discrĂšte, solitaire, rancuniĂšre et colĂ©rique, Nour est pĂ©tillante, aimable, sociable et nonchalante. C'est une personne qui s'adapte facilement Ă  son environnement et Ă  ses interlocuteurs et qui parvient Ă  se faire aimer de tout le monde. Ambitieuse et dĂ©terminĂ©e, Nour semble tout rĂ©ussir avec aisance, mais en rĂ©alitĂ©, elle vit avec l'univers sur les Ă©paules depuis toujours.
Le FC Golshifteh Faharani comme avatar, parce que j'aime bien sa bouille et qu'elles ont des traits physiques semblables. L'avatar est également négociable, mais je vous demande de vous restreindre à des faceclaims aux origines dans le moyen-orient pour un soucis de cohérence.
Résumé : jeune gradé de l'académie des chevaucheurs, lié à un Etheria (au choix) avec un ancrage (au choix) et une relation complexe avec sa jumelle.
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cafes-et-friandises · 9 months ago
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┃ Retour dans le temps
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「 đ™Čđ™·đ™°đšđ™°đ™Č𝚃𝙮𝚁𝚂 」 â–č Xiao
─ ­ ­ 𝚃𝚈𝙿𝙮 â–č One-Shot
─ ­ ­ 𝚁𝙮𝙰𝙳𝙮𝚁 â–č ♀ FĂ©minin
─ ­ ­ đ™¶đ™Žđ™œđšđ™Ž â–č ­ Little Xiao | ♄ Romance | ♄ Rougeur en excĂšs | ♄ Tendresse | ☆ Happy Ending
─ ­ ­ đšƒđšđ™žđ™¶đ™¶đ™Žđš & đš†đ™°đšđ™œđ™žđ™œđ™¶ â–č R.A.S
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Note ­ ­ â–č Ce One-shot est la seconde version du One-Shot : ❝ Retour dans le passĂ©Â âž, je me suis dĂ©cidĂ©e Ă  modifier ce One-shot, j'avais quelques petits problĂšmes avec le dĂ©roulement et la fin. RĂ©sultat, c'est un grow up de 1,6k de mots Ă  3.8k, j'espĂšre que ce rework vous plaira. L'ancien one-shot sera toujours disponible. Je vous souhaite une : ❝ Bonne Lecture ! ❞
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─ ­ ­ ­ « Je ne suis pas rĂ©ellement sĂ»re de comprendre Verr Goldet... »
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Un sourire crispĂ© s'Ă©tait installĂ© sur tes lĂšvres, alors que ton regard ne pouvait s'empĂȘcher de disparaĂźtre sur la petite forme s'accrochant dĂ©sespĂ©rĂ©ment Ă  sa jambe. Si la journĂ©e t'avait semblĂ©e classique, elle avait vite changĂ©e alors mĂȘme que ses yeux lapis te regardaient avec tant de curiositĂ©. Un sourire bienveillant naquit inconsciemment sur tes lĂšvres, visiblement attendrit par ce regard purement innocent. La jeune aubergiste prit son temps pour tout te rĂ©pĂ©ter, essayant visiblement de comprendre, elle-mĂȘme, ces mots rapportĂ©s par Souffle-Nuage.
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─ ­ ­ ­ « Il semblerait qu'avec de certaines circonstances, un adepte puisse reprendre l'apparence d'un enfant Ă  cause de certains esprits, d'aprĂšs Souffle-Nuage... » Verr Goldet ne pouvait pas l'expliquer autrement, Souffle-Nuage ne s'Ă©tant pas Ă©panchĂ© sur le sujet. « Elle est restĂ©e assez Ă©vasive Ă  ce sujet. (T/P), il y a bien trop de passage dans l'auberge et vous connaissez aussi bien que moi son caractĂšre, je ne suis pas sĂ»re qu'il soit sage de le laisser rester ici... »
─ ­ ­ ­ « Mais... »
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Ton regard glissa sur un Xiao aux joues lĂ©gĂšrement plus rebondit, une bouille enfantine, dont de magnifiques grands yeux d'or liquide te regardait sans dĂ©tour. C'Ă©tait peu dire si ton cƓur fondait devant cette vision plus qu'adorable du vigilant Yaksha, tu devenais complĂ©ment prisonniĂšre de ce petit ĂȘtre adorable. Une main passa dans tes (L/C) cheveux (C/C), remontant tes yeux vers la jeune femme qui attendait avec impatience la suite de tes mots.
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─ ­ ­ ­ « Je ferais de mon mieux... ? »
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Ce furent les seuls mots qui sortirent d'entre tes lĂšvres abdiquant devant les regard insistant du petit garçonnet froissant la robe de l'aubergiste. Allais-tu vraiment ĂȘtre Ă  la hauteur ? Xiao t'avait de nombreuses fois rĂ©pĂ©tĂ© que : " Tu Ă©tais trop maladroite pour te protĂ©ger ". Suite Ă  sa dĂ©claration, il s'Ă©tait fait un point d'honneur Ă  te protĂ©ger, comme si tu Ă©tais aussi fragile que du sucre. Celle-ci te remercia d'un sourire soulagĂ©, passant une main douce dans les cheveux en bataille du petit Yaksha. Il la gratifia d'un coup sur la main, posant ses mains sur le haut de ses cheveux, alors qu'un air mĂ©content transformait ces traits enfantins, le rendant encore plus adorable. Tu ne pus retenir un doux gloussement attendri, une main couvrant rapidement ton rictus, peur de recevoir un regard noir du plus petit. Contre toute attente, celui-ci ne fit que te regarder, ses mains toujours placĂ©es sur le haut de sa tĂȘte, te dĂ©visageant comme si tu Ă©tais devenue une crĂ©ature Ă©trange. Il te fixait de ses grands yeux, tu crus mĂȘme y voir naĂźtre une certaine affection.
­
─ ­ ­ ­ « Je vous le confis, (T/P). FaĂźtes attention, comme vous avez pu le voir, il a un certain caractĂšre. »
─ ­ ­ ­ « Effectivement. » Un gloussement accompagna tes mots, alors que rapidement, tu te mettais Ă  la hauteur du garçonnet tendant tes bras vers lui. « Et si nous allons manger du tofu aux amandes ensemble, Xiao ? »
─ ­ ­ ­ « Je ne suis pas sĂ»re qu'il vo-... »
­
Verr Goldet n'eut le temps de terminer sa phrase que timidement et calmement le petit garçon se dĂ©crocha de sa robe pour s'avancer vers tes bras tendus. Son regard ne quittait jamais tes yeux (C/Y), avant que ses petits doigts ne s'enroulent qu'autour de ta main. Une douce chaleur monta jusqu'aux joues rondelettes du garçonnet, les teintant doucement d'un petit rouge timide, tandis qu'il regardait le sol. Qui aurait pu penser que Xiao, le vigilant Yaksha, Ă©tait en rĂ©alitĂ© un adorable petit garçon timide dans sa jeunesse. L'information montant au cerveau, tu posas dĂ©licatement tes lĂšvres sur sa joue, enroulant tes bras autour de lui. LĂ©ger comme une plume, pas plus haut que trois pommes, le petit Xiao se retrouva confortablement prit dans ton Ă©treinte. Ses bras s'enroulĂšrent autour de ton cou, ses cheveux te chatouillant la joue, tandis qu'il se cachait contre toi, visiblement mort de gĂȘne. Il te semblait si fragile et si mignon en cet instant, alors que quelques minutes plutĂŽt il aurait pu mordre la main de Verr Goldet.
­
─ ­ ­ ­ « Nous serons Ă  l'Ă©tage, est-ce que Yanxiao pourra nous apporter des tofus ? »
─ ­ ­ ­ « Sans problĂšme. » Hocha Verr Goldet, visiblement rassurĂ©e d'avoir trouvĂ© une personne de confiance pour s'occuper de Mini-Xiao. « A tout Ă  l'heure (T/P). »
­
D'un signe de tĂȘte pour la jeune femme en guise de remerciement, tu quittas sans plus tarder le hall d'entĂ©e de l'auberge. Mal Ă  l'aise Ă  cause de cette foule de voyageurs aux yeux curieux, tu avais hĂąte de t'extirper de tout ça. Montant les escaliers avec hĂąte, le petit garçonnet dans les bras, tu sentais son regard d'or sur ton visage, Ă©trangement curieux. Pourquoi mini-Xiao t'observait avec tant d'insistance ? C'Ă©tait Ă  peine si d'ordinaire, il t'Ă©pargnait ne serait qu'un coup d'Ɠil. MĂȘme si son aura n'Ă©tait pas aussi imposante que d'ordinaire, mini-Xiao te stressait lĂ©gĂšrement Ă  te dĂ©tailler sans rien dire.
­
─ ­ ­ ­ « (T/P). »
­
Il avait marmonnĂ© ton prĂ©nom sans mĂȘme s'en apercevoir, comme s'il cherchait Ă  comprendre quelque chose. T'observer ne faisait que le rempli de plus en plus de questions sur ces sensations inconnues qui lui traversaient le corps. En entendant sa petite voix t'appeler, bien que trĂšs faiblement, un petit sursaut te traversa l'Ă©chine. Interrogative, la prunelle (C/Y) de tes yeux se posĂšrent sur l'enfant qui se gela sur place en les rencontrant. Sa petite tĂȘte semblait rĂ©flĂ©chir Ă  toute allure, ne s'attendant clairement pas Ă  recevoir ton attention avec le tout petit murmure de rien du tout de ton prĂ©nom. N'ayant pas le courage, ou sans doute pas rĂ©ponse Ă  te donner, il se cacha timidement dans le creux de ton cou, fuyant l'interrogative de ton regard.
­
─ ­ ­ ­ « Xiao, tout va bien ? Tu te sens mal quelque part ? »
­
MĂȘme si sa timiditĂ© te paressait trĂšs claire, tu ne pouvais t'empĂȘcher de t'inquiĂ©ter au vu de sa petite main fermement accrochĂ©e au-dessus de son cƓur. Est-ce qu'il y avait un effet secondaire Ă  sa situation ? Et si Souffle-nuage n'Ă©tait pas au courant ? LĂ©gĂšrement stressĂ©e, tu terminas rapidement de monter les escaliers de la tour pour rejoindre la terrasse du bĂątiment. À peine arrivĂ©e, tu posas doucement l'enfant sur une vieille table en bois, avant de t'accroupir l'instant d'aprĂšs devant Xiao. Celui-ci semblait fuir ton regard, n'osant pas ouvrir la bouche. Il te semblait Ă  la fois mal Ă  l'aise et Ă©trangement perdu, ce qui Ă©tait plutĂŽt normal si l'on prenait en compte ses tout juste quatre ans.
­
─ ­ ­ ­ « Xiao ? »
­
MurĂ© dans son mutisme, le jeune garçonnet ne t'Ă©pargna pas ne serait-ce qu'un regard. Tu avais cette douloureuse impression de revenir Ă  votre premiĂšre rencontre, mais cela n'allait pas te dĂ©courager pour autant. Tu l'avais fait une fois, tu l'avais dĂ©jĂ  fait parler ou apparaĂźtre devant toi juste pour passer le temps ou juste pour discuter avec lui, enfin tu faisais plus un monologue et lui te prĂȘtait une oreille attentive. MalgrĂ© toi, un sourire nostalgique se plaça inconsciemment sur tes lĂšvres tandis que tes doigts passĂšrent avec tendresse dans les cheveux du jeune garçon. DĂ©tournant rapidement le regard, pour le pas rencontrer le regard noir de Xiao, tu te contentas de calmement observer le magnifique paysage des plaines de Liyue que vous offrait la tour.
­
─ ­ ­ ­ « C'est ici que nous nous sommes rencontrĂ©s pour la premiĂšre fois. » Commenças-tu d'une voix tendre, te remĂ©morant sans peine cette premiĂšre rencontre, elle Ă©tait gravĂ©e dans tes souvenirs. « Tu Ă©tais aussi froid que la glace et bien trop mĂ©fiant envers une simple vagabonde perdue dans cette immense auberge. Pourtant, Ă  ce moment-lĂ , mĂȘme si j'avais l'impression que tu me jetterais par-dessus la rambarde si je n'avais pas une bonne excuse pour t'avoir dĂ©rangĂ©, je t'ai trouvĂ© magnifique. » Te remĂ©moras-tu avec un petit rire, ayant facilement captĂ© l'attention du petit garçon. « Je n'ai aucun instinct de survie, tu avais raison. Je t'ai trouvĂ© vraiment mignon alors que tu aurais pu me tuer... »
­
Ton regard Ă©tait si doux, si amoureux que Beidou en aurait probablement vomi rien qu'en l'apercevant, avant de te taquiner pour quelques dizaines d'annĂ©es. Perdue dans ton propre monologue, pendant que ton regard survolait le paysage roux en face de toi, tu ne remarquas pas les adorables petits joues rebondies du garçonnet se colorer tout doucement d'un petit rouge. Il ne comprenait pas pourquoi, mais tout son corps brĂ»lait et lui criait de s'enfuir, de s'enterrer sous vingt kilomĂštres de terres avant d'exploser littĂ©ralement de gĂȘnes. Pourtant, le mini-Xiao ne bougea pas, comme pendu Ă  tes lĂšvres Ă©coutant sagement tes divagations.
­
─ ­ ­ ­ « Ce jour-lĂ , je ne regrette pas de t'avoir rencontrĂ©. » Racontas-tu avec une tendresse infinie, ton cƓur battait rapidement, alors que tes joues se colorĂšrent trĂšs lĂ©gĂšrement de rosĂ©. « Mon sens sixiĂšme sens devait le savoir que je te rencontrerais et ne te lĂącherais plus jamais. » Rien que de parler de tes sentiments, te rendait incroyablement timide, mais pourtant, tu n'arrivais pas Ă  t'arrĂȘter. « J'aime que tu fasses partie de ma vie. »
­
À la fin de ta confession, bien que ce soit Ă  mini-Xiao et non Ă  l'adulte, le (C/Y) de ton regard se tourna de nouveau vers le petit garçon dont les joues brĂ»lait de rouge. Il ne comprenait pas, Ă  son Ăąge, il ne comprenait pas tout, bien qu'il soit plutĂŽt intelligent, il ne comprenait pas pourquoi son corps rĂ©agissait comme ça. Il sentait son visage brĂ»ler, son cƓur battre dans ses tempes alors qu'il semblait Ă  deux doigts de sortir de sa poitrine. Et pourtant, mĂȘme si ça lui faisait mal, il se sentait bien et Ă©trangement heureux qu'il aurait pu... Qu'est-ce qu'il pourrait faire ? Il n'en savait rien, il ignorait ce qu'Ă©taient ces sentiments, il ne savait pas ce qui lui arrivait, une nouvelle fois, sa main s'accrocha une nouvelle fois Ă  son haut. Son regard perdu sur le parquet en chĂȘne de l'auberge, il ne remarqua pas l'Ă©tat de panique dans lequel il t'avait plongĂ©, trop assourdit par ses propres battements de cƓur erratique, pas encore habituer Ă  son ouĂŻe de Yaksha.
­
─ ­ ­ ­ « Xiao ! Qu'est-ce qu'il t'arrive ? » L'appelas-tu en vain, le garçonnet ne semblait pas te donner la moindre attention. Tu n'eus pas le choix, tu attrapas ses deux joues entre tes mains, avant de redresser dĂ©licatement son visage dans ta direction. « Xiao, qu'est-ce qu'il t'arrive ? »
─ ­ ­ ­ « J'ai chaud, (T/P). » Prononça-t-il alors qu'il semblait se calmer lĂ©gĂšrement en rencontrant l'inquiĂ©tude prĂ©sente dans tes billes (C/Y). « Il tape vite. Je veux partir. Mais, je me sens bien. Je suis content. Je suis trop content. Mais je comprends pas. »
­
Tout aussi perdue que lui, tu semblas te calmer lĂ©gĂšrement quand il exprima son bonheur. Tes mains glissĂšrent de ses joues, lĂ©gĂšrement rassurĂ©e, pour atterrir sur ses cuisses observant plus attentivement son visage, cherchant le moindre signe de mal-ĂȘtre. Cependant, tout ce que tu rencontras : fut un rĂ©el bonheur. Son visage rayonnait, il Ă©tait bien diffĂ©rent de son lui habituel composĂ© voir indiffĂ©rent, il Ă©tait rayonnant de bonheur. Ses prunelles d'or liquide brillaient de joie et ses fines lĂšvres se courbaient trĂšs lĂ©gĂšrement d'un sourire heureux. Comment Xiao pouvait-il ĂȘtre aussi adorable ? Est-ce que ton Xiao adulte pouvait, lui aussi, rayonner pareillement ? Rien qu'Ă  l'imaginer, tu sentais ton cƓur fondre devant ce petit ĂȘtre adorable. Rassurer, tu poussas un soupir de soulagement, t'effondrant la tĂȘte la premiĂšre sur les genoux du mini-Xiao.
­
─ ­ ­ ­ « Je suis soulagĂ©e. Ne me refais plus peur comme ça. » Bougonnas-tu faussement au petit Yaksha alors que ton visage ne put s'empĂȘcher d'afficher un beau sourire. « Tu es si mignon. »
─ ­ ­ ­ « DĂ©solĂ©e (T/P). » S'excusa-t-il d'un air sincĂšre en dĂ©tournant le regard de ton visage souriant. « Le sourire de (T/P) me donne chaud ici. » 
­
MĂȘme s'il Ă©tait bien diffĂ©rent de son lui adulte, il avait quelques mimiques ou rĂ©flexes similaires au Xiao adulte. Logique sachant qu'il est lui. C'Ă©tait rafraĂźchissant d'avoir un Xiao un peu plus ouvert sur ses sentiments, ou tout du moins, un peu plus bavard. Quand celui-ci te montra son cƓur tout en parlant, ton esprit ne put s'empĂȘcher de s'emballer pour faire Ă©cho aux propres battements de ton palpitant. T'aimerait-il aussi ? Ou serait-ce juste toi et tes propres divagations amoureuses prĂ©cĂ©dentes qui te rĂ©pondaient Ă  ton souhait. MĂȘme si tu essayais d'oublier l'idĂ©e, ça faisait sens avec tout ce que mini-Xiao avait dit. Tu avais besoin de te calmer et de t'Ă©tirer les jambes, qui devenaient douloureuses en restant trop longtemps accroupies, tu te redressas.
­
─ ­ ­ ­ « Il te met mal Ă  l'aise ? »
─ ­ ­ ­ « Non. J'aime que (T/P) me sourit. » Te corrigea-t-il avec une expression Ă©trangement satisfaite de ses explications. « J'aime aussi que (T/P) me fasse des cĂąlins ou me porte. J'aime aussi Ă©coutĂ© (T/P) parler. »
­
Ne devras-tu pas l'arrĂȘter ? Ta conscience te criait qu'il le fallait, au cas oĂč Xiao se souviendrait de ce moment et pour prĂ©server ses pensĂ©es. Mais ton cƓur lui te criait, t'implorait presque de le laisser continuer, bien trop contente d'enfin entendre les sentiments bien enfouis de l'homme que tu aimais. MĂȘme s'il Ă©tait un enfant, ce qu'il ressentait en cet instant appartenait au Xiao plus ĂągĂ©, il Ă©tait impossible qu'un bambin puisse dĂ©velopper une confiance ou de l'affection en te rencontrant il y a Ă  peine dix minutes. Le choix Ă©tait compliquĂ©, mais tu n'eus pas le temps de pousser plus loin que Yanxiao apportait une assiette bien garnie de tofus aux amandes.
D'un sourire chaleureux pour le cuisinier, tu ramassas l'assiette de ses mains avant de t'asseoir Ă  ton tour sur la vieille table. Celle-ci grinça, alors que tu mettais la porcelaine entre les mains du plus jeune qui prit rapidement place sur tes cuisses. AdossĂ©e contre le mur extĂ©rieur de l'auberge, tu regardas d'un Ɠil tendre le petit garçon manger, enfin dĂ©vorer, les sucreries moelleuses. Avait-il peur qu'on lui vole ? Ses joues gonflĂšrent comme celles des hamsters. Il Ă©tait bien trop craquant pour ton pauvre petit cƓur.
­
─ ­ ­ ­ « Tu peux prendre ton temps, tu vas t'Ă©touffer. Ne t'inquiĂšte pas, je ne t'en volerais pas, personne ne t'en volera. »
─ ­ ­ ­ « Ce n'est pas grave si c'est (T/P) qui m'en prend. »
­
À quel point pouvait-il ĂȘtre adorable ? N'y tenant plus, tes lĂšvres se posĂšrent sur sa joue, absolument conquise par le petit ĂȘtre innocent sur tes cuisses. Ses joues rougirent d'un seul coup, mais il ne fit aucun geste pour se dĂ©faire de ton emprise, apprĂ©ciant, d'un plaisir coupable, sentir tes lĂšvres sur ses joues. Comment Ă©tait-il arrivĂ© Ă  s'asseoir sur tes cuisses ? Pourquoi ses mains Ă©taient-elles si petite ? Xiao s'adaptait tout doucement Ă  sa situation, ses souvenirs remontant petit Ă  petit Ă  la surface. Pas encore noyĂ© dans la gĂȘne, pas rĂ©ellement conscient de la quantitĂ© de baisers dĂ©posĂ©s sur ses petites joues, il se laissait faire.
­
─ ­ ­ ­ « Si mignon. Ce n'est pas ton tofu que je vais dĂ©vorer, mais toi, mon adorable Xiao. »
­
Tes bras l'entouraient, il sentait ta chaleur bercer son corps enfantin alors que ton rire rĂ©sonnait au creux de son oreille. Tes paroles avaient du mal Ă  s'imprimer, mais dĂšs qu'elles le furent, tout son corps brĂ»la de gĂȘne, il s'Ă©tait complĂštement raidi dans ton Ă©treinte. Cet homme voulait disparaĂźtre. Il ne savait plus quoi faire. Il ne savait plus comment rĂ©agir. Il Ă©tait mortifiĂ©. Il voulait partir et en mĂȘme temps, il pouvait profiter encore plus longtemps de cette douce chaleur qui le cĂąlinait. Pourrait-il en profiter une nouvelle fois quand il serait Ă  nouveau dans son corps d'adulte ? Non. Il le savait dĂ©jĂ . Alors pour une fois, pouvait-il cĂ©der Ă  son dĂ©sir Ă©goĂŻste ? Avec son corps dans cet Ă©tat, il ne pourrait pas remplir ces devoirs de Yaksha. MĂȘme si sa rigiditĂ© et sa loyautĂ© au souverain de la roche l'appelaient Ă  faire son devoir, son souhait, son dĂ©sir, mortel d'ĂȘtre tenue entre tes bras prenaient le pas.
­
─ ­ ­ ­ « Je t'aime tellement Xiao. »
­
C'Ă©tait une confession naĂŻve et imprudente Ă  faire Ă  un Yaksha, c'Ă©tait ce que pensait Xiao alors qu'il avait l'impression de sentir son cƓur raisonnĂ© dans tout son corps. MĂȘme s'il se sentait lĂ©gĂšrement coupable d'avoir entendu ta confession tandis que tu pensais sans doute qu'il ne s'en souviendrait pas, il se sentait rempli de bonheur. Tu t'adressais sĂ»rement ces sentiments Ă  son lui enfant, mais il en Ă©tait quand mĂȘme heureux. Il se sentait heureux, mais son esprit s'embuait petit Ă  petit. Il se sentait Ă©trangement lourd. Est-ce Ă  cause de son physique d'enfant ? Il ne pouvait que s'en douter. ApaisĂ©, par le sommeil et ton cƓur battant contre son sommeil, il se laissa bĂąiller Ă  s'en dĂ©crocher la mĂąchoire, ses yeux luttant contre le sommeil.
­
─ ­ ­ ­ « Il faut croire, que tu sois en modĂšle rĂ©duit me fait parler plus facilement. » Te lamentas-tu ensuite d'un coup d'Ɠil vers l'enfant qui sombrait tout doucement. « Je suppose que ce petit corps a besoin d'un peu de repos. Tu peux dormir, Xiao, je veille sur ton sommeil. »
─ ­ ­ ­ « Merci. Je t'aime. »
­
C'Ă©tait un murmure. Un murmure qui aurait dĂ» ĂȘtre inaudible. Un murmure que tu avais entendu. Un murmure qui fit battre ton cƓur comme un fou. Avais-tu rĂȘvĂ© ? Est-ce encore ton esprit qui s'emballait ? Mais tu ne pouvais pas lui demander. Il dormait si paisiblement. DĂ©posant l'assiette de cĂŽtĂ©, tu t'Ă©tais rĂ©signĂ©e, dĂ©plaçant ton regard sur le cĂŽtĂ© pour s'Ă©garer sur le paysage. Un brin d'air soufflait, caressant avec chaleur vos peaux, ondulant les cheveux dĂ©sordonnĂ©s de l'enfant. Petit Ă  petit MorphĂ©e t'entraĂźna avec elle au son doux des marchand et du brouhaha lointain des voyageurs de l'auberge.
Ta respiration était lente, toujours profondément dans les bras de Morphée, quand Xiao se réveilla. La lune était haute dans le ciel ancre de Liyue, et la température bien plus fraßche que des heures plutÎt. Les souvenirs bien en mémoire, le Yaksha te couvrait d'un regard empli d'affection, d'une adoration nouvelle. Est-ce qu'un jour, il avait pu se sentir aussi débordant d'amour et de bonheur ? Sûrement pas. C'était nouveau, il lui faudrait du temps pour s'y habituer, mais ce n'était clairement pas désagréable. Il avait peur de te réveiller, mais il ne pouvait pas te laisser à l'extérieur. Aussi précautionneux qu'avec le plus précieux des trésors, Xiao te ramassa comme une mariée, avant de t'emmener dans une des chambres de l'auberge, la sienne, enfin du moins celle que Verr Goldet lui avait attribué dans l'espoir qu'il s'en serve.
Il t'allongea prĂ©cautionneusement sur les draps, te recouvrant par la suite d'une couverture. Xiao prit un instant, un instant pour t'observer dormir. Il hĂ©sitait Ă  caresser tendrement Ă  ta joue. Il avait peur de te rĂ©veiller. Est-ce une erreur de t'avoir rĂ©pondu ? Était-ce son erreur de t'aimer ? Les humains Ă©taient Ă©phĂ©mĂšres... Alors qu'il y pensait, Xiao pouvait entendre sa voix, celle de Bonanus. Elle avait toujours Ă©tĂ© idĂ©aliste, mais elle lui avait dit tant de fois de ne pas rejeter l'amour qu'il ressentait. Si pour lui, c'Ă©tait une faiblesse, pour elle, il pouvait ĂȘtre la signification d'une force qui pouvait soulever des montagnes. Maintenant, qu'il commençait Ă  en faire l'expĂ©rience, qu'on lui offrait cet amour, il ne pourrait plus la revoir et lui dire le contraire.
­
─ ­ ­ ­ « Je t'aime, (T/P). »
­
Ce besoin, il ressentait ce besoin de redire ces mots, mĂȘme si dormait. Sa main gantĂ©e glissa tendrement sur ta joue, elle Ă©tait hĂ©sitante, de peur de te rĂ©veiller. Pourtant, ça fait dĂ©jĂ  quelques bonnes minutes que tu Ă©tais rĂ©veillĂ©e. Aussi dĂ©licat qu'il le voulait, il Ă©tait impossible que tu ne te rĂ©veilles pas. Tes yeux (C/Y) s'ouvrirent accompagnĂ©s d'un dĂ©licat sourire. Ta main se posa sur la sienne, l'emprisonnant avec tendresse contre ta joue.
­
─ ­ ­ ­ « Moi aussi, Xiao. » Lui rĂ©pondis-tu, laissant son visage une nouvelle fois se colorer timidement par des teintes de rosĂ©es. « Tu repars ? »
─ ­ ­ ­ « Je... Oui. »
─ ­ ­ ­ « D'accord... J'attendrai. »
­
Bonanus avait raison, et il avait bien fait d'y cĂ©der. Tu Ă©tais (T/P), son humaine, celle qui l'attendrait jusqu'Ă  ce qu'il revienne. Celle qu'il aimerait. Celle qui chĂ©rirait Ă  travers les Ăąges. Celle qu'il attendrait Ă  son tour. Celle qu'il voulait rendre heureuse. Celle qui lui offrait dĂ©sormais un endroit oĂč rentrer. Celle qu'il protĂ©gerait avec son foyer. Pris d'un courage nouveau, bien que timide, il posa avec tendresse ses lĂšvres sur les tiennes. Ce baiser fut simple, innocent et court, mais il Ă©tait rempli de promesses. Il ne lui en fallut pas plus avant de disparaĂźtre dans la nuit profonde de Liyue, l'esprit lĂ©ger, avec qu'un dĂ©sir : rentrer.
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equipe · 1 year ago
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24 notes · View notes
queengmine2crayon · 3 months ago
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Training scene (part 2/?)
This wip is directly after this one because I could and I’m really really proud of how it came out. Again, please give me your opinion and/or criticism (I’m translating from French and I’m learning, so feel free to tell me if you find any weird phrasing or words)!
French version just below the English one. Enjoy!
Content warnings are at the end of the post.
Eng:
“Agh-“
She ripped her hand from his grasp (burn pain pricked with needles), gasping, and took two steps back (midoriya kingin) her enemy turned his head and she gave up on being discreet to get her blade out completely (fuck, it hurt so much) a flaming rage set on fire each one of her breathings, burned her lungs, crackled in every twitch of her fingers (blade, mask, ten centimetres on the left) she aimed for his shoulder as best she could (her thumb was burning burning) and she moved her hand forward and the blade was launched at breakneck speed and-
She distinctly heard the metal falling on the ground.
Her ragged breaths.
Midoriya’s.
The murmurs gradually growing louder and louder.
The faint cursing behind her.
(Behind?)
The steps approaching in her direction.
(in her direction or opposite)
The silence wrapping around her entirely.
(or not there at all, cries clashing)
The buzzing in her ears-
(there not there there not there where where-)
Black.
Everything was black.
Everything was always black, of course, everything was always black and it was normal there was no reason to panic but she didn’t know where she was or with who or if someone was approaching her and she was sure that-
A hand fell on her shoulder.
She jumped and did an about-face, but of course nothing, and backed up at the same time (oh my god someone touched her who was it why did they why couldn’t she see anything). Her lungs were burning again and she heard her breaths becoming more loud by the second.
She took another step backwards. Her ears were ringing (she couldn’t hear and for fuck’s sake why couldn’t she see anything?!
Another. She perceived distantly someone talking to her but she didn’t know where exactly and she opened her eyes to glance around frantically (since when did she close them since the black since the fight or earlier she didn’t know she didn’t know) but all she saw was black black black black
Fr :
— Agh-
Elle arracha sa main de sa poigne vivement (brĂ»lure douleur piquĂ©e d’aiguilles) en hoquetant et recula de deux pas (midoriya kingin) son ennemi tourna la tĂȘte et elle abandonna son jeu de discrĂ©tion pour sortir complĂštement sa lame (putain, qu’est-ce que ça faisait mal) une rage flamboyante embrasait chacune de ses respirations, lui brĂ»lait les poumons, crĂ©pitait dans chaque tremblement de ses doigts (lame, masque, dix centimĂštres sur la gauche) elle visa son Ă©paule du mieux qu’elle put (son pouce la brĂ»lait brĂ»lait) et lança sa main en avant et la lame partit Ă  toute vitesse et-
Elle entendit distinctement le métal tomber au sol. Ses respirations saccadés.
Celles de Midoriya.
Les murmures progressivement montant en volume. Le faible juron derriĂšre elle.
(DerriĂšre ?)
Les pas approchant dans sa direction.
(dans sa direction ou Ă  l’opposĂ©)
Le silence l’enveloppant complùtement.
(ou pas du tout là, exclamations qui s’entrechoquaient)
Le bourdonnement dans ses oreilles-
(lĂ  pas lĂ  lĂ  pas lĂ  oĂč ça oĂč ça-)
Noir.
Tout Ă©tait noir.
Tout Ă©tait tout le temps noir, bien sĂ»r, tout Ă©tait tout le temps noir et c’était normal et il n’y avait pas de quoi s’affoler mais elle ne savait pas oĂč elle Ă©tait ou avec qui elle Ă©tait ou si quelqu’un l’approchait et elle Ă©tait sĂ»re que-
Une main se posa sur son Ă©paule.
Elle sursauta et fit volte-face, mais bien sĂ»r rien, et recula dans le mĂȘme temps (oh mon dieu quelqu’un l’avait touchĂ©e qui Ă©tait-ce pourquoi l’avait-il pourquoi est-ce qu’elle ne voyait rien). Ses poumons brĂ»laient de nouveau et elle entendit ses respirations devenir plus bruyantes.
Elle fit un autre pas en arriùre. Ses oreilles sifflaient (elle n’arrivait pas à entendre et bordel de merde pourquoi est-ce qu’elle ne voyait rien ?!
Un autre. Elle perçut vaguement quelqu’un s’adresser Ă  elle en face mais elle ne savait pas oĂč exactement et elle ouvrit les yeux pour lancer des coups d’Ɠil frĂ©nĂ©tiques autour d’elle (depuis quand les avait-elle fermĂ©s depuis le noir depuis le combat ou avant elle ne savait plus elle ne savait plus) mais tout ce qu’elle vit fut du noir noir noir noir
Hope you liked it! đŸ’«
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Violence/pain, blind character, panic attack, chaotic writing.
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codumofr · 4 months ago
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Le Ramen qui est un plat traditionnel et emblĂ©matique du Japon est avant tout une recette hĂ©ritĂ©e de la cuisine Chinoise. Le mot mĂȘme de Ramen est empruntĂ© au chinois LāmiĂ n qui signifie en mandarin Nouilles tirĂ©es. Ainsi, la base moderne de ce plat tient ses origines dans la culture Hui, une minoritĂ© musulmane du Lanzhou. Mais on peut remonter l’origine des soupes de nouilles oĂč des pĂątes faites de millet ont Ă©tĂ© datĂ© de plus de 4’000 ans, donc bien avant l’islam et les musulmans. l’Histoire du Ramen est assez rĂ©cente comparĂ© aux croyances populaires. Le plat en lui-mĂȘme date du dĂ©but de l'Ère Meiji qui s’étend de 1868 Ă  1912 et donc, du dĂ©but du 20Ăšme SiĂšcle. La premiĂšre boutique de Ramens connue est une boutique de Yokohama tenue par des immigrĂ©s chinois s’étant installĂ©e dans le quartier. Ses ramens Ă©taient connus sous le nom de Soba Chinoises ( Chuka Soba ), Soba de Chine ( Shina Soba ) ou bien de Soba de Nankin. Les ramens de Yokohama Ă©taient faits d’un bouillon, de rĂŽti de porc, de pousses de bambou et d’un demi-oeuf dur. D’autres sources renvoient Ă  un restaurant d’Asakusa ayant recrutĂ© un chef cuisinier chinois en 1910. Le ramen d’Asakusa Ă©tĂ© connu sous le nom de Shio Ramen oĂč du Sel puis plus tard de la Sauce Soja ont Ă©tĂ© ajoutĂ©s. Le plat devient rĂ©ellement populaire qu’aprĂšs la Seconde Guerre Mondiale via l’émergence des stands ambulants de ramen. Le Bouillons est une des parties les plus importantes du Ramen. Sa base est gĂ©nĂ©ralement faite d’Os de Porc, d’Os de Poulet ou de Fruits de Mers et nous pouvons aussi trouver diffĂ©rentes variĂ©tĂ©s de bouillons.
Les ramens oĂč de la Sauce Soja ajoutĂ©s dans le bouillon sont les Shoyu RamenIl existe un total de 5 sauces sojas pouvant ĂȘtre mis dans le bouillon. Nous retrouvons la Sauce Soja KoĂŻkuchi ( CorsĂ©e ), la Usukuchi ( LĂ©gĂšre ), la Tamari ( Forte concentration de Soja ), la SaĂŻshikomi ( Fermentation ProlongĂ©e ) ou la Shiro ( Blanche ). Toutefois, la majoritĂ© des restaurants de Shoyu Ramen utilise la Sauce KoĂŻkuchi. Dans les Shoyu Ramen reconnu nous avons le Niboshi Shoyu Ramen Ă  base de bouillon Ă  l’Os de Porc et au Soja, mais en y ajoutant des Niboshi ( Sardine Infantile SĂ©chĂ©e ) et le Shoyu SaĂŻshikomi Ramen Ă  base de bouillon Ă  l’Os de Poulets, mais en utilisant une Sauce ShaĂŻshikomi non PasteurisĂ© et des poulets distinguĂ©e comme ceux d’Aizu.
Les ramens oĂč du Sel ajoutĂ©s dans le bouillon sont les Shio Ramen. Deux catĂ©gories de sels existent telle que le Sel d’Origine MinĂ©ral et le Sel d’Origine Marins. Le sel de mer commun est gĂ©nĂ©ralement importĂ© d’Australie avant d’ĂȘtre dissous dans de l’eau de mer japonaise avant d’ĂȘtre de nouveau sĂ©chĂ©. Dans les Shio Ramens reconnu nous avons le Shio Ramen de Konjiki Hototogisu rajoute des palourdes tout en ayant un bouillon fait de Sel Marin d’Okinawa, Sel MinĂ©ral de Mongolie, Poissons Frais, Algues SĂ©chĂ© et de nombreux LĂ©gumes et le Shio Ramen de Motenashi Kuroki qui est composĂ© de six type de sel diffĂ©rent comme le Sel MinĂ©ral de Mongolie ou le Sel aux Algues. Son bouillon est fait Ă  partir de Poulets Entiers, de Poissons Volants GrillĂ©s ou encore de Maquereaux SĂ©chĂ©s.
Les ramens avec de la PĂąte de Soja FermentĂ©e ajoutĂ©s dans le bouillon sont les Miso Ramens. Le Miso existe en diffĂ©rentes versions avec du Riz, du BlĂ© ou simplement du Soja puis est laissĂ© fermentĂ© et plus il est laissĂ© maturĂ©, plus il devient rouge et salĂ©. Dans les Miso Ramens reconnu nous avons le Sapporo Miso Ramen oĂč du Saindoux forme une Ă©paisse couche isolante en surface. Le bouillon est lĂ©gĂšrement relevĂ© grĂące Ă  du Poivre Japonais, du Gingembres et de nombreuses autres Épices. Nous avons aussi le Sapporo Miso Ramen du Sapporo RaĂŻden oĂč le bouillon est relevĂ© avec du Gingembre, de l’Ail et autre AlliacĂ©es lui octroyant un parfum extraordinaire.
Les ramens avec des Os de Porcs ajoutĂ©s dans le bouillon sont les Tonkutsu Ramens. C’est un bouillon blanc oĂč les Os de Porcs sont bouillis pendant une longue pĂ©riode et Ă  haute tempĂ©rature tandis qu’une sĂ©lection drastique permet d’évitĂ© la forte odeur dĂ©sagrĂ©able lors de sa prĂ©paration. Dans les Tonkutsu Ramen reconnu nous avons le Rokutonken Tonkutsu Ramen oĂč seuls les os du crĂąne du porc sont utilisĂ©s dans le bouillon avec une vingtaine d'ingrĂ©dients supplĂ©mentaires. On peut ainsi retrouver de la Sauce Tare SalĂ©e avec dedans de l’Ail GrillĂ©e dans de l’Huile de SĂ©same ainsi qu’une huile parfumĂ©e secrĂšte et nous avons le Tonkutsu Ramen de Style Hakata du restaurant Hakata Nagahama Ramen Tanaka ShĂŽten qui est secrĂštement tenue tandis que les fourneaux sont constamment allumĂ©.
Les ramens avec des Produits de la Mer ajoutĂ©s dans le bouillon sont les GyĂŽkai Ramens. Les produits utilisĂ©s sont gĂ©nĂ©ralement de la Sardine SĂ©chĂ©e, de la Bonite SĂ©chĂ©e ou encore de l’Algue Konbu SĂ©chĂ©e. Ils sont ainsi nommĂ©s “Dashi”. Dans les GyĂŽkai Ramen reconnu nous avons le Nagaochukasoba GyĂŽkai Ramen qui est fait de Sardines SĂ©chĂ©e et de son bouillon clair et du Watanabe GyĂŽkai Ramen reconnu grĂące au copeaux de Bonite SĂ©chĂ©e et Maquereaux SĂ©chĂ©e tout en Ă©tant combinĂ© avec un bouillon Tonkotsu faisant de lui un bouillon Tonkutsu-GyĂŽkai.
Les ramens avec du Poulet ajoutĂ©s dans le bouillon sont les Tori Ramens. Dans ses bouillons les Carcasses, les Pieds et la Peau tandis que certains restaurants s’octroient le luxe de les utiliser en entier pour le bouillon. Dans les Tori Ramen reconnu nous avons le Tori Ramen du restaurant Menya SĂŽ Takadanobabahonten utilisant un bouillon Torichintan qui est un bouillon de poulet et de pied de porc et le Tori Soba au Poulet AOC de HinaĂŻ tout en Ă©tant relevĂ©e par des Sardines SĂ©chĂ©es du restaurant Ramen Tenjinshita DaĂŻki.
Pour finir, nous avons ceux avec des Os de Boeuf ajoutĂ©s dans le bouillon qui sont les GyĂ»kotsu Ramen. Les Os de Boeuf sont utilisĂ©s depuis rĂ©cemment Ă  cause de leur taille et de la difficultĂ© d’en tirer un bouillon et des cuisines exigĂŒes des restaurants de ramens. Dans les GyĂ»kotsu Ramen reconnu nous avons le GyĂ»kotsu Ramen du restaurant Ramen Dining Jingu oĂč le bouillon est fait de Boeuf, Porc et de Poulets tandis que des tranches de rosbifs sont dĂ©posĂ©e sur les bouilles en guise de ChashĂ» et nous avons aussi le GyĂ»kotsu Ramen du restaurant GyĂ»kotsu Ramen Matador oĂč de tendre et juteuse tranches de rosbif, cuites Ă  basse tempĂ©rature sont entreposĂ©.
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justforbooks · 10 months ago
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The Italian pianist Maurizio Pollini, who has died aged 82, was one of the giants of the keyboard in the second half of the 20th century, and yet for all the respect he commanded, his playing was criticised throughout his career for being excessively cool and cerebral. When he took first prize at the 1960 Chopin competition in Warsaw, the chairman of the jury, Artur Rubinstein, declared: “That boy plays better than any of us jurors.” But that success proved to be only the prelude to the first controversial event of his career. He withdrew from the international concert circuit for 18 months to broaden his repertoire and develop other cultural interests. It was not until nearly the end of the decade that his performance schedule achieved a normal rhythm, but his full return in 1968, coinciding with a contract signed with the Deutsche Grammophon (DG) label, launched a series of triumphs on the concert platform and in the recording studio.
Classic recordings of Chopin Etudes, of music by Schumann and Beethoven, and of modernist repertoire such as Pierre Boulez’s Second Sonata consolidated his reputation and, at its best, Pollini’s playing combined expressive but unsentimental intimacy, tonal beauty, textural clarity and a formidable technique. Particularly in his later years, Pollini’s breathless, impatient delivery of Beethoven’s sonatas often seemed to deny their rhetoric, as though he was embarrassed by large romantic gestures or overt emotionalism.
Pollini’s cerebral instincts appeared to deprive him of the ability to live in the moment: romantic subjectivity, it seemed, had constantly to be interrogated.
Pollini was born in Milan. His father, Gino Pollini, was one of Italy’s leading architects of the interwar period; his mother, Renata (nee Melotti), who had studied singing and piano, was the sister of the modernist sculptor Fausto Melotti. Such a background, in which “old works and modern works co-existed together as part of life”, as Pollini later put it, was to have a formative influence on his own approach to art. The discovery of his musical talent led to lessons with Carlo Lonati and Carlo Vidusso (from 1955 at the Milan conservatory) and various competition successes prior to Warsaw. His 1963 London debut, playing Beethoven’s Third Piano Concerto with the LSO under Colin Davis, was criticised by the Times as “rushed” and over-impetuous.
Peter Andry, the responsible executive at EMI in the early 1960s, told in his autobiography, Inside the Recording Studio (2008), of the pursuit of the 19-year-old who had just won the prestigious Warsaw competition: “We quickly signed the young Italian, a slender, bespectacled young man with an elongated brow but a very pleasant manner.” One of their first (and only) projects together was a recording of the two sets of Chopin Etudes, Opp 10 and 25. It was not long after this that Pollini appeared to suffer a crisis of confidence. EMI sent him off to study for two years with the pianist Arturo Benedetti Michelangeli, but even as his musicality deepened, and reviews were often complimentary, Pollini retreated from the spotlight. He refused to allow the Etudes to be released – though this was in part because DG, shortly to sign Pollini as an exclusive artist, wanted to make their own version. The EMI sets were finally released only in 2011 (on Testament), winning plaudits for their spontaneity and freshness.
It was also in the 60s that music and politics first became intertwined in Pollini’s career. A friendship with a fellow-student, Claudio Abbado, a like-minded leftwing idealist, led them to seek radical ways of bringing classical music to factory workers, including a cycle of concerts at La Scala for employees and students. Another friendship, with the Marxist avant garde composer Luigi Nono, was equally important, resulting in the commission of two pieces for Pollini, including one for piano, voice and tapes, commemorating an assassinated Chilean revolutionary. Pollini’s radical outlook remained with him throughout his career, as did his intellectual approach to art and life. If too often that cerebralism seemed at odds with the heroic or passionate romantic sensibility of the music he played, there were compensations: the visionary gleam in a Chopin miniature; the anticipation of modernism in the ghostly finale of the same composer’s Second Piano Sonata.
Even when declining physical stamina took its toll in later recitals, Pollini commanded admiration of a sort for his continued willingness to pit himself against some of the most demanding works in the repertoire. The breathless impatience of his foreshortened phrases was unsettling, but glimpses of the old magic were still in evidence. The programming of his five-concert series The Pollini Project at the Royal Festival Hall, spread over five months in 2011 – which moved from Bach, through late Beethoven and Schubert to Chopin, Schumann, Liszt and Debussy to modernists such as Stockhausen and Boulez – represented a personal statement about landmarks in the history of piano music.
His interpretation of Boulez’s Second Sonata, notable for its precision and explosive energy, but also for its lyricism and Debussy-influenced pointillism, remains without peer. Stravinsky’s Petrushka likewise drew from him an incomparable muscularity coupled with tonal clarity that was ideally incisive rather than brutal. If Pollini’s playing was controversial, it was so because it explored the dichotomy of intellect and emotion fundamental to music-making.
He is survived by his wife, Marilisa (nee Marzotto), whom he married in 1968, and their son, Daniele.
🔔 Maurizio Pollini, pianist, born 5 January 1942; died 23 March 2024
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marie-swriting · 1 year ago
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Vous Iriez Bien - TASM!Peter Parker
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Marvel Masterlist
Résumé : Tu passes un mauvais jour, heureusement ton petit ami sait quoi faire pour t'aider.
Warnings : neurodivergent!reader, crise de panique, pression scolaire, hurt/comfort, dites-moi si j'en ai loupé d'autres.
NDA : Ce one shot a Ă©tĂ© commandĂ© par ma talentueuse meilleure amie @kaeinherworld ça a Ă©tĂ© un honneur pour moi de voir qu'elle voulait que je lui Ă©crive un one shot donc, Kae, j'espĂšre que tu l'aimeras autant que j'ai aimĂ© ton one shot Stefan Salvatore que tu m'as Ă©crit il y a des annĂ©es (et contrairement Ă  toi, je ne le supprimerai pas !) ❀
Nombre de mots : 2.2k
Version anglaise
Prompt utilisé : "Person A is having a panic attack and they desperately try to hide it, but Person B sees right through them and knows the right thing to do to calm A down." (Personne A a une crise de panique et iel essaye désespérément de la cacher mais Personne B voit clair dans son jeu et sait la chose à faire pour calmer A) de cette prompt list faite par @creativepromptsforwriting
Chanson qui m'a inspiré : Love The Hell Out Of You par Lewis Capaldi
C’était trop. Si on t’avait demandĂ© de dĂ©finir cette journĂ©e, tu aurais rĂ©pondu que c’était trop. Trop de stress. Trop de bruit. Trop de personnes. Trop de tout. 
DĂšs ton rĂ©veil, tu avais ressenti que cette journĂ©e ne serait pas la meilleure et les heures suivantes l’avaient confirmĂ©. Ce jour-lĂ  Ă©tait particuliĂšrement Ă©prouvant Ă  la fac. La fin du semestre se rapprochait Ă  grand pas et la pile de devoirs Ă  rendre et de rĂ©visions Ă  faire s'agrandissait au mĂȘme rythme. Ta concentration et ta motivation avaient de plus en plus de mal Ă  rester Ă  tes cĂŽtĂ©s Tu n’avais qu’une hĂąte pouvoir profiter de tes vacances pour - enfin - souffler et t’isoler. 
En plus de la pression de la fac, tu n’avais pas pu voir Peter de toute la journĂ©e. MĂȘme si vous n’aviez pas les mĂȘmes cours, vous trouviez toujours une solution pour vous retrouver pour manger le midi ou au moins une dizaine de minutes durant l’aprĂšs-midi. Malheureusement, le vendredi Ă©tait ta journĂ©e de cours la plus chargĂ©e, il vous Ă©tait impossible de vous voir sur le campus, par consĂ©quent, tu Ă©tais encore plus Ă  cran. Certes, tu allais passer la nuit chez lui pour votre visionnage hebdomadaire de Star Trek, mais tu voulais ĂȘtre dans ses bras le plus vite possible.
Quand ton professeur finit son cours - non sans rajouter un éniÚme devoir, tu rangeas tes affaires. Malgré la boule toujours présente dans ton ventre, tu pouvais enfin respirer un peu plus facilement. Cependant, tu attendais de poser les yeux sur ton petit ami pour prendre une vraie inspiration.
En arrivant chez toi, tes parents ne prirent pas le temps de te saluer ou de te demander comment s’était passĂ© ta journĂ©e, ils se dĂ©pĂȘchĂšrent de faire un commentaire dĂ©sobligeant Ă  propos de tes notes sans mĂȘme savoir de quoi ils parlaient. Ton anxiĂ©tĂ© commençait Ă  se transformer de plus en plus en frustration et tu fis tous les efforts du monde pour ne rien rĂ©pliquer, tu tenais au peu de calme qu’il te restait encore. Sans leur lancer un regard, tu montas dans ta chambre et refermas la porte sans perdre une seconde avant de t’allonger sur ton lit. 
Tu avais encore une petite heure avant que Peter finisse son dernier cours. Tu en profitas pour te dĂ©connecter de cette atmosphĂšre anxiogĂšne. Tes Ă©couteurs Ă  rĂ©duction de bruit dans tes oreilles, tu pris le livre sur ta table de chevet, Le Seigneur Des Anneaux - tu n’aurais su dire combien de fois tu l’avais lu. Ce qui Ă©tait censĂ© t’apporter du rĂ©confort te frustra un peu plus. Ton esprit Ă©tait trop surmenĂ© pour rĂ©ussir Ă  se concentrer sur ta lecture et le fait d’avoir Ă©tĂ© au contact d’autant de stimulis au fil de la journĂ©e n’arrangeait rien. AgacĂ©e, tu refermas ton livre dix minutes plus tard et attendis Peter avec impatience. 
Le soulagement pouvait se lire sur ton visage quand tu entendis Peter frapper Ă  ta porte. Inconsciemment, tu jetas un coup d'Ɠil par la fenĂȘtre. Il n’était pas rare pour Peter de venir te voir avant ou aprĂšs sa patrouille et comme il devait se faire discret, il te rejoignait en passant par ta fenĂȘtre. 
AprĂšs avoir rangĂ© tes Ă©couteurs et ton livre dans ton sac, tu le pris en main et retrouvas Peter Ă  l’entrĂ©e. Il t’embrassa pour la premiĂšre fois depuis la nuit derniĂšre. Le baiser Ă©tait rapide tout en Ă©tant rempli d’amour. Il prit ton sac et le plaça sur son Ă©paule pendant que tu te saisissais de sa main. Suite Ă  ce contact, tes Ă©paules se relĂąchĂšrent lĂ©gĂšrement. 
Sur le chemin, Peter fit la discussion, te racontant sa journĂ©e. En temps normal, tu lui aurais rĂ©pondu avec passion et n’aurais pas arrĂȘtĂ© de lui raconter toutes les pensĂ©es qui traversaient ton esprit, mais la fatigue de la journĂ©e Ă©tait plus forte alors tu restas silencieuse. Peter Ă©tant un petit ami bienveillant et te connaissant depuis l’enfance, il remarqua ton mutisme instantanĂ©ment, mais ne commenta pas. En seulement un regard, il avait compris que ta journĂ©e avait Ă©tĂ© longue. Tout en continuant de parler, il prĂȘta attention Ă  tes gestes, se prĂ©parant Ă  rĂ©agir si tu avais besoin de quelque chose.
Le chemin jusqu’à chez Peter ne t’avait jamais semblĂ© aussi long. Tu t’étais retenue de soupirer de nombreuses fois dans le mĂ©tro. 
Une fois chez lui, vous vous rendĂźtes dans la cuisine oĂč vous saluĂątes rapidement Tante May qui devait partir au travail. Quand vous fĂ»tent seuls, Peter rĂ©cupĂ©ra deux verres ainsi qu’une bouteille de soda alors que tu sortis du pop corn pour votre soirĂ©e. 
Dans sa chambre, Peter te donna un de ses tee shirts que tu mis rapidement, voulant sentir son parfum sur toi. Son tee-shirt ressemblait plus à une robe mais cela ne te dérangeait pas. Peter enfila également une tenue plus confortable. 
Une fois allongĂ©s sur le lit de Peter, tu te mis sur ton cĂŽtĂ© gauche, la tĂȘte posĂ©e sur le torse de ton petit ami pendant que l’ordinateur Ă©tait sur ses jambes et le bol de pop corn entre vous deux. Lors des premiĂšres minutes de Star Trek Into Darkness, tu arrivas Ă  te concentrer puis tu repensas Ă  la fac malgrĂ© toi. 
La pensĂ©e avait Ă  peine effleurĂ© ton esprit mais ça avait Ă©tĂ© suffisant pour te distraire. Mentalement, tu faisais la liste de tout ce qu’il te restait Ă  faire. Plus tu rĂ©flĂ©chissais et plus tu prenais conscience que tu avais encore beaucoup de travail. En sentant tes mains commencer Ă  trembler, tu compris que la crise de panique n’était pas loin. Tu essayas de prendre de profondes inspirations discrĂštement, espĂ©rant ne pas attirer l’attention de Peter - ses sens dĂ©cuplĂ©s pouvaient te trahir Ă  n’importe quel moment. Quand ton cƓur se mit Ă  battre Ă  toute vitesse, tu sus que c’était peine perdue. Dissimulant ta respiration saccadĂ©e du mieux que tu pouvais, tu tentas de sortir du lit normalement, les larmes aux yeux. Tu n’eus pas le temps de bouger une jambe que Peter Ă©tait dĂ©jĂ  tournĂ© vers toi, les sens en alerte. Il posa l’ordinateur et le bol de pop corn sans mĂ©nagement sur le sol et t’invita Ă  t’asseoir comme il faut. Tu portas la main sur ta poitrine, la douleur devenant plus forte et au mĂȘme moment, tes larmes commencĂšrent Ă  couler sur tes joues. 
Peter te regardait sans te toucher, craignant d’aggraver la situation - il savait que tu n’étais pas fan du contact physique alors il faisait toujours attention Ă  respecter ton espace personnel, surtout dans ce genre de situation. Rapidement, il cacha son affolement, tu avais besoin de le voir calme. 
-Hey, ça va aller, t’assura Peter. Est-ce que je peux prendre ta main pour la poser sur mon cƓur ?
Tu hochas la tĂȘte avec difficultĂ© pour rĂ©pondre. DĂ©licatement, il prit la main qui Ă©tait sur ta cuisse dans la sienne. Son emprise sur ta main Ă©tait lĂ©gĂšre, te laissant ainsi la libertĂ© de la retirer si tu changeais d’avis. Il posa ta main sur son cƓur et il te fit un regard rassurant avant de rajouter : 
-TrĂšs bien. On va respirer ensemble lentement. Tout va bien. Ça va aller, Y/N, rĂ©pĂ©ta-t-il. Tu es en sĂ©curitĂ©. Prends une profonde inspiration par le nez et expire par la bouche, invita Peter en le faisant avec toi. Regarde nos mains sur ma poitrine. 
À sa phrase, tu fis ce qu’il dit. En continuant de regarder le point fixe, tu pouvais sentir le cƓur de Peter battre calmement Ă  travers ta main, t’aidant ainsi Ă  te sentir plus protĂ©gĂ©e. Tu respirais encore avec difficultĂ© mais au bout de la cinquiĂšme inspiration, ton cƓur ainsi que tes larmes commencĂšrent Ă  se calmer.
-Tout va bien. Tu vas bien, murmura Peter.
Quelques minutes plus tard et grĂące Ă  l’aide de Peter, tu arrivas enfin Ă  retrouver une respiration normale. Il arrĂȘta de parler, t’autorisant Ă  reprendre tes esprits Ă  ton rythme. Tu gardas les yeux sur vos mains pendant quelques secondes de plus, apprĂ©ciant le calme. Les yeux de Peter ne te quittĂšrent pas, faisant attention Ă  ce que la crise ne reprenne pas. 
Quand tu te ressaisis, tu arrĂȘtas de fixer vos mains pendant qu’un sentiment d’embarras t’envahit. Tu Ă©vitas le regard de Peter tout en essuyant tes joues mouillĂ©es avec ta main libre. Ce n’était pas la premiĂšre fois que Peter Ă©tait tĂ©moin d’une de tes crises de panique, mais tu n’aimais pas ĂȘtre autant vulnĂ©rable devant lui. Tu retiras ta main de son torse et commenças Ă  jouer avec tes doigts. Tu n’osais pas briser le silence en premier et Peter l’avait bien compris. 
-Tu veux qu’on en parle ? 
-Il y a pas grand chose à dire, déclaras-tu avec une voix légÚrement plus grave à cause de la fatigue. 
-Ça ne t’était pas arrivĂ© depuis un moment, remarqua Peter. 
-La fin du semestre aide pas vraiment Ă  ne pas ĂȘtre anxieuse. 
-Il y a autre chose.
En entendant son affirmation, tu ne pouvais t’empĂȘcher d’ĂȘtre lĂ©gĂšrement agacĂ©e. Il te connaissait par cƓur. MalgrĂ© tous tes efforts, tu ne pouvais rien lui cacher alors tu lĂąchas un soupir avant d’admettre Ă  contrecƓur : 
-Ce n’était juste pas vraiment mon jour. Ce n’est rien. Je vais bien, mentis-tu en te forçant Ă  le regarder pendant une seconde. 
-Tu sais que tu peux tout me dire. Tu sais aussi que ça ne me dĂ©range pas de t’écouter et de t’aider, te rappela-t-il tendrement. 
-Je sais.
-Je le pense, Y/N. Tu m’as toujours aidĂ©, surtout aprĂšs que je sois devenu Spiderman donc c’est normal que je te rende la pareille. 
-Je veux juste pas ĂȘtre un fardeau pour toi, avouas-tu avec difficultĂ©.
-Tu ne l’es pas et tu ne le seras jamais. Je ferai tout pour toi. Tu m’as tellement aidĂ© et aimĂ© alors sache que je t’aimerai toujours autant. 
Ignorant quoi lui rĂ©pondre, tu te penchas vers lui et posas tes lĂšvres sur les siennes. Vous vous embrassĂątes avec lenteur, apprĂ©ciant la prĂ©sence de l’autre. Avec ce baiser, tu voulais partager tout ton amour et ta gratitude Ă  Peter. Il savait quoi dire pour te faire te sentir mieux et tu savais qu’il Ă©tait sincĂšre dans chacun de ses mots. Tu savais qu’il le pensait quand il disait qu’il ferait tout pour toi. Peter t'aurait amenĂ© le paradis si c’était ce dont tu avais eu besoin. Il aurait pris toute ta douleur s’il avait pu et il t’aurait souri en le faisant. Il aurait fait tout ce qui Ă©tait possible et impossible pour toi et tu en serais Ă  jamais reconnaissante. 
Peter te laissa prendre le contrĂŽle du baiser, te permettant de retirer tes lĂšvres quand tu le souhaitais. Quand tu le fis, tu regardas Peter avec tendresse alors qu’il te faisait un sourire avec la mĂȘme douceur.  
-On peut en parler plus tard, si tu préfÚres, te dit-il, sachant que tu avais besoin du temps. Tu as besoin de quelque chose ? 
-Je veux bien que tu me passes mes Ă©couteurs et qu’on reste allongĂ©s pendant un petit moment, rĂ©pondis-tu lentement.
Peter rĂ©cupĂ©ra ce que tu voulais dans ton sac et te tendit les Ă©couteurs. Tu les plaças dans tes oreilles, le silence te rĂ©confortant un peu plus alors que Peter se rĂ©installait dans le lit. Tu ne te collas pas complĂštement Ă  ton petit ami, ayant besoin d’un peu d’espace, mais tu te saisis de sa main droite et jouas avec ses doigts. Tu lĂąchas un grand soupir alors que Peter te regardait faire, toujours sur le qui-vive au cas oĂč. 
Vous restĂątes dans cette position jusqu’à ce que le soleil se soit couchĂ©. À un moment, tu fermas mĂȘme les yeux sans dormir. Quand tu te sentis enfin un peu mieux, tu retiras tes Ă©couteurs et ouvrir les yeux. Peter te fit un lĂ©ger sourire auquel tu rĂ©pondis avant de prendre la parole : 
-Tu veux un thĂ© ? J’ai tout pour ton thĂ© prĂ©fĂ©rĂ©.
-Qu’est-ce que j’ai fait pour te mĂ©riter ? demandas-tu rhĂ©toriquement, ton sourire grandissant et en le regardant les yeux remplis d’amour. 
-Tu as frappĂ© Josh Stewart quand on avait six ans car il avait jetĂ© mes affaires au sol, rĂ©pondit-il, te faisant lĂącher un rire, le souvenir de votre premiĂšre rencontre en tĂȘte. Alors, un thĂ© ?
-Je veux bien. 
-Je reviens tout de suite. 
AprĂšs t’avoir embrassĂ© sur le front, Peter quitta sa chambre. Quelques minutes plus tard, Peter revint avec une tasse dans les mains. Il te la donna pendant que tu t’asseyas sur son lit, le dos contre le mur. Tu pris une grande gorgĂ©e, apprĂ©ciant le goĂ»t du thïżœïżœ noir avec du citron vert, de l’orange et de l’épice. Tu gardas la tasse entre tes mains alors que Peter rĂ©cupĂ©ra le livre dans ton sac. Il n’avait pas besoin de te demander pour savoir que tu en avais amenĂ© un avec toi, tu avais toujours un livre sur toi, peu importe la situation. Peter rigola lĂ©gĂšrement en voyant que tu relisais Le Seigneur Des Anneaux. Il te rejoignit sur le lit, s’installant Ă  tes cĂŽtĂ©s. Pendant qu’il ouvrit le roman, tu te blottis contre lui. Peter passa son bras droit autour de tes Ă©paules, te rapprochant de lui. Tu bus une nouvelle gorgĂ©e et Peter reprit la lecture lĂ  oĂč tu l’avais laissĂ©e. 
En Ă©coutant Peter lire, tu ne pus t’empĂȘcher de te sentir reconnaissante d’avoir Peter dans ta vie. Il savait parfaitement quoi faire et dire pour t’aider Ă  aller mieux. Tu n’aurais pu imaginer un meilleur petit ami. Tu savais qu’il y aurait d’autres moments oĂč tu n’irais pas bien comme ce jour-lĂ , tout comme Peter aurait ses mauvais jours, mais tant que vous Ă©tiez ensemble, vous iriez bien.
Marvel Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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camisoledadparis · 2 months ago
Text
saga: Soumission & Domination 328
SosthĂšne 2
J'appelle SosthÚne. Il n'est pas venu mardi au sport. Il me dit qu'il avait cru devoir travailler avant. Je l'engueule et le convoque pour la 2Úme séance hebdomadaire.
Quand il arrive j'ai dĂ©jĂ  la moitiĂ© de l'Ă©quipe au travail. SosthĂšne passe dire bonjour Ă  tous. Ça me va comme comportement. Il ne fait pas le fier. Quand je le rĂ©cupĂšre, il me dit qu'il a vu que c'Ă©tait ceux du mur. Il me faut quelques secondes pour comprendre qu'il parle de la frise de mon bureau.
Jona arrive. Je lui prĂ©sente SosthĂšne qui est encore en " civil ". C'est limite si je me fais pas engueuler de ne pas l'avoir dĂ©jĂ  mis en jock ! Il le prend en charge. Je reste Ă  leurs cĂŽtĂ©s. Une fois SosthĂšne en " tenue ", Jona tourne autour de lui. Il l'examine sous toutes les coutures. Puis il se tourne vers moi et me dit que cette fois ci je l'ai pas gĂątĂ©. Je lui dis que je ne pouvais pas lui trouver Ă  chaque fois des mecs qui font dĂ©jĂ  des sports de combats ! LĂ  au moins, il va pouvoir nous montrer l'Ă©tendue de ses compĂ©tences. Il rit jaune mais commence Ă  discuter avec SosthĂšne pour savoir si ce dernier est prĂȘt Ă  s'investir un minimum. Comme il obtient son accord, il dĂ©roule un programme de test. Il passe sur les diffĂ©rents postes et Jona note les poids qu'il arrive Ă  soulever. Sans ĂȘtre du niveau de la bande, il n'est pas ridicule non plus. Ses 60Kg au dĂ©veloppĂ© couchĂ©, sans entrainement particulier sont honorables. Quand il voit l'entrainement de François avec Morgan au combat, il voit ce qui l'attend. Si j'ai eu peur un moment que ça l'effraie j'en suis lourdement trompĂ©. Il semble passionnĂ©. Quand je lui demande ce qui le rend si intĂ©ressĂ©, il me dit que Justin est mĂ©chamment tankĂ© et qu'Ă  cotĂ©, mĂȘme s'il lui prend 3cm en taille, il en rend au moins 10 de large !
Jona qui l'entend nous demande qui est ce Justin si motivant. Quand je lui parle du garage, il voit tout de suite qui c'est. Puis tout fort il annonce à la salle que c'est SosthÚne qui s'est dégoté notre garagiste. Je suis autant surpris que SosthÚne. Jona nous dit que tous, ils se demandaient si Justin était intéressé par eux mais qu'aucun n'avait osé lui demander bien qu'ils aient eu tous envie de se le faire à chaque fois qu'ils amenaient leurs voitures au garage.
SosthĂšne est un peu interloquĂ© par la façon que mes escorts ont de parler aussi franchement de leurs envies. Je le vois et lui dit de ne pas s'en faire, ce n'est pas parce qu'ils sont tous plus ou moins et mĂȘme plus que moins en couple qu'ils ne s'autorisent pas Ă  baiser avec qui leur plait. Probablement un effet collatĂ©ral de leur " mĂ©tier " d'escort.
François dégage du tatami central et Jona peut commencer l'initiation de SosthÚne. Comme dans beaucoup de sport, il faut commencer par apprendre à tomber. Et ça, il le fait bien.
Pour fĂȘter son arrivĂ©e, j'invite tout le monde Ă  diner au 4Ăšme (c'Ă©tait prĂ©vu avec Samir).
Les douches sont un peu longues et les premiers attendent les autres en trempant dans la piscine Ă  30°.  Pour Ă©viter que ça finisse en partouze et mĂȘme comme ça ce n'est pas garanti quand mĂȘme, on se rhabille avant de monter. Le monte-charge tenant 2 tonnes, nous nous engouffrons tous dedans. A l'arrivĂ©e, les garçons s'Ă©gaillent sur tout le plateau. Certains vont en cuisine aider mes deux hommes. SosthĂšne regarde partout comme tous ceux qui entrent pour la premiĂšre fois chez nous.
Quand il passe devant le feu de cheminĂ©e projetĂ© sur le mur, il fait un saut de cĂŽtĂ© surpris par la chaleur qui s'en dĂ©gage. PH, qu'il questionne, lui explique qu'un radiateur est intĂ©grĂ© dans le mur juste Ă  cet endroit et que sa puissance est coordonnĂ©e Ă  l'image projetĂ©e.  Il continue Ă  scruter chaque mÂČ de mes murs. Il apprĂ©cie la copie revisitĂ© du dĂ©jeuner sur l'herbe et trouve trĂšs drĂŽle les versions vidĂ©o qui sont projetĂ©es Ă  ses cĂŽtĂ©s. Il me fait remarquer qu'il n'y a aucun escort parmi les acteurs. Je lui explique qu'Ă  l'Ă©poque (comme si ça datait du siĂšcle dernier !) je maintenais une barriĂšre entre mes amis et mon Ă©quipe. Et tapant sur ma jambe zĂ©brĂ©e, lui dit que c'Ă©tait avant ça !
Quand nous arrivons à la cuisine, je lui présente mes deux hommes de maison avant qu'il ne me fasse remarquer que les deux cariatides ressemblaient furieusement à un des mecs projetés sur le mur. Je lui explique que le sculpteur s'est entiché de notre ami Ric et que, comme nous aimons beaucoup ce dernier et que physiquement il est top, nous lui avions commandé ces deux sculptures pour casser l'effet " station de métro " du plateau ouvert. Il est d'accord avec nous et me dit qu'il aurait envisagé lui aussi de couper la longueur de la salle.
Nous nous installons tous autour de la table basse, assis sur les canapĂ©s ou par terre. SosthĂšne est Ă©tonnĂ© de la part des protĂ©ines. Jona lui explique l'intĂ©rĂȘt de cet apport supplĂ©mentaire. Il s'est vite mis au jus et discute avec tous indiffĂ©remment. Il explique un peu d'oĂč il vient et quel est son parcours actuel. Evidement il y en a pour lui demander si Justin (concession auto) est aussi bon qu'ils avaient phantasmĂ© dessus. EmportĂ© par l'ambiance, mais sans entrer dans les dĂ©tails, il nous dit que c'est un super recto/verso. Bien qu'il soit super baraquĂ©, il est assez doux mais trĂšs efficace. Quand on lui demande la taille de son engin, il nous rĂ©pond que la quantitĂ© est plus que le nĂ©cessaire pour se donner du plaisir. Bien tournĂ© pour Ă©viter de rĂ©pondre. Il me confiera Ă  moi plus tard que Justin est Ă©quipĂ© d'une bite de 23x6 comme la sienne Ă  lui mais trĂšs blanche, un vĂ©ritable nĂ©gatif. Quand un des escort sort que sa RCZ va ĂȘtre souvent en panne bien qu'elle soit neuve, c'est l'Ă©clat de rire gĂ©nĂ©ral.
C'est Blond1 (un escort hĂ©tĂ©ro, 7Ăšme annĂ©e de mĂ©decine) qui lui demande comment ça se passe avec ses parents rapport Ă  son nouveau taf. SosthĂšne lui dit qu'ils le savent homo et que le travail de reprĂ©sentation qu'il a dĂ©crochĂ© ne les inquiĂšte pas. Pour eux, il a toujours Ă©tĂ© trĂšs mature et ils lui font confiance pour qu'il ne fasse pas de bĂȘtises. MĂȘme la voiture il a rĂ©ussi Ă  la faire accepter comme normale pour ce travail. En plus ça le met indĂ©pendant financiĂšrement ce qui les arrange. Sa soeur ainĂ©e qui est Ă  Paris Ă  l'Ă©cole des Chartes leur coute un max et en plus ils sont 4. Son " petit " frĂšre qui passe son bac S cette annĂ©e veut, lui faire vĂ©tĂ©rinaire et vise Maison Alfort, il n'y a que sa petite soeur qui vient de rentrer dans le secondaire qui ne leur coute pas trop cher.
Si ses parents ne sont pas curieux, ce n'est pas le cas de son petit frÚre. A 18 ans, il a essayé par tous les moyens de lui extorquer des renseignements sur la boite pour laquelle il bosse. Plusieurs fois il lui a demandé s'il pourrait se faire embaucher comme extra avant qu'il ne parte. Comme il n'est pas majeur, je ne veux/peux pas le faire travailler. SosthÚne me dit qu'avec ce qu'il gagnera, ce n'est pas nécessaire, il aidera ses parents. 
Je vire tout le monde Ă  minuit. Nous sommes en semaine et demain nous avons tous cours !
Le WE arrive vite. Ce vendredi soir nous allons chercher Marc Ă  l'avion. Les retrouvailles sont toujours pleines de joie et de bisous. Nous commençons Ă  ĂȘtre connus des instances aĂ©roportuaires. Les gardes nous saluent et certains mĂȘme s'arrĂȘte pour discuter 5mn. Les serveurs du bar XX nous connaissent bien. Certains nous draguent mĂȘme sans vergogne ! Mais lĂ , mĂȘme si je m'en ferais bien quelques-uns en temps normal, nous attendons mon premier amour et pas question de batifoler de droite Ă  gauche.
Les retrouvailles sont toujours bruyantes, que voulez-vous, nous sommes trois Ă  lui faire la fĂȘte ! On se partage ses bagages et nous retournons au blockhaus. La premiĂšre soirĂ©e ne concerne que nous. AprĂšs un diner " plus " concoctĂ© par Samir et Ammed, nous passons le reste de la soirĂ©e Ă  nous faire des cĂąlins et Ă  faire l'amour comme des bĂȘtes ! Ce n'est pas le fait d'avoir baisĂ© toute la semaine chacun de notre cĂŽtĂ© qui va mettre nos batteries Ă  plat. C'est toujours trĂšs tard ou plutĂŽt trĂšs tĂŽt le matin que nous nous endormons, emmĂȘlĂ©s. Je suis toujours le premier Ă  me rĂ©veiller. J'aime ces moments oĂč je regarde mes partenaires endormis. Ils sont dĂ©tendus, alanguis, trop beaux tout simplement ! Je pense dĂ©jĂ  Ă  la soirĂ©e Ă  venir. SosthĂšne doit nous rejoindre pour l'apĂ©ritif et rester avec nous jusqu'au dimanche matin. Ça va changer Marc des petits formats asiatiques ! Pour la couleur aussi. Il va kiffer les belles lĂšvres de mon dernier escort, sa rondelle aussi.
Nous passons un samedi calme. Je l'accompagne juste renouveler son stock de chemises. Il en profite pour m'en offrir une dizaine pour boutons de manchettes. Je n'en n'avais que pour mes smokings et il trouve que c'est pas mal non plus tous les jours. J'en choisis avec des cols droits hauts et cassés, ouvert ça donne un style que j'aime bien. Entre chic et détendu !! Pour ses boxers et slips, il tape toujours dans mon stock !
Quand nous rentrons, SosthĂšne est dĂ©jĂ  lĂ  Ă  discuter avec PH et Ludovic. Comme j'en avais parlĂ© Ă  Marc, il n'est pas surpris par l'animal. Ce dernier s'est quand mĂȘme apprĂȘtĂ©. Un t-shirt blanc moulant, des jeans slim qui collent ses jambes et son paquet plutĂŽt proĂ©minent, rentrant dans des CAT beige Ă  peine lacĂ©es plus une lĂ©gĂšre apprĂ©hension visible, il est craquant !
Marc le mate et quand je le regarde, je sais que ça va le faire. Comme si j'avais jamais eu un doute ! Jeune, beau mec et beau cul, ça toujours fait fondre mon mec !
SosthĂšne est quand mĂȘme un peu gĂȘnĂ©. C'est la premiĂšre fois qu'il rencontre quelqu'un pour une baise tarifĂ©e, en plus beaucoup plus ĂągĂ© que lui. Mais mon homme sait le mettre Ă  l'aise. Il suffit de quelques minutes pour que SosthĂšne lui fasse part de ses dĂ©sirs d'avenir. Il le fait parler aussi sur sa situation actuelle. SosthĂšne nous surprend par son analyse hyper lucide. C'est au point que Marc se fait confirmer son Ăąge. Ammed nous sert l'apĂ©ritif. J'ai optĂ© pour du champagne. J'aime utiliser le moindre prĂ©texte pour en sortir et ça tape moins que des alcools forts quand on veut faire des trucs sexuels aprĂšs ! On enchaine avec un diner lĂ©ger. A la fin du repas, je sens SosthĂšne trĂšs naturel. Sans se taper sur le ventre, pas son genre ni le nĂŽtre, le tutoiement avec Mac est plus fluide et vient immĂ©diatement. Du coup quand on zappe le cafĂ© pour passer directement au sexe, cela ne provoque pas de recul chez lui.
Pour faciliter les choses, Samir et Ammed se sont Ă©clipsĂ©s rapidement. Je crois d'ailleurs qu'ils avaient un plan avec Amaury dans notre sous-sol ! Seuls, Marc fait assoir SosthĂšne Ă  ses cĂŽtĂ©s et il suffit qu'il pose sa main sur sa cuisse pour que ce dernier s'y mette. Pour Ă©viter que l'on soit 3 Ă  les mater, j'ai lancĂ© un strip avec PH et Ludovic. Quand nous sommes enfin Ă  poil, hĂ© oui ça prend un peu de temps quand on veut faire ça bien et de façon excitante, SosthĂšne est torse nu, Ă  genoux entre les pieds de Marc. Il le pompe et manifestement bien si j'en crois le sourire du pompĂ©. Avec mes deux comparses, on rĂ©quisitionnent la table basse et en triangle (elle fait 3m de diamĂštre) nous nous suçons mutuellement. Quand mon regard se pose Ă  nouveau sur ma trouvaille, elle est nue, tout comme mon mec et, en 69 (genoux sur le dossier du canapĂ©, de chaque cĂŽtĂ© de la tĂȘte de mon mec), il se fait bouffer l'oignon comme je vois sa petite gueule engloutir les 22cm de mon mec jusqu'Ă  l'os. Je replonge sur Ludovic et tĂȘte voracement son gland. Je m'acharne dessus jusqu'Ă  le sentir au porte de l'Ă©jaculation. LĂ , je tente d'avaler entier son sexe et en rĂ©compense il me tapisse l'oesophage de son sperme laiteux : Sasha 1 Ludovic 0 ! Je le libĂšre pour passer Ă  sa rondelle. PH alterne lĂ©chage et pompage de ma bite. De temps Ă  autre, il alterne avec un malaxage de mes couilles dans sa bouche. Je relĂšve la tĂȘte pour voir ou en est ma recrue. A cheval sur les cuisses de Marc il est au stade " enculage ". Si la course Ă  pied est sont sport de prĂ©dilection, j'ai bien l'impression que l'Ă©quitation ne lui est pas Ă©trangĂšre. Il maintient son assiette malgrĂ© les soubresauts de sa monture. L'axe qui lui passe dans l'anus est aussi un facteur de stabilisation ! Les genoux posĂ©s sur le canapĂ© de chaque cĂŽtĂ© de Marc, les mains accrochĂ©es aux Ă©paules de Marc, il pompe littĂ©ralement sa bite avec sa rondelle.
Je reprends mon taf oĂč je l'avais laissĂ©. Quelques minutes de plus et la rondelle de Ludovic est bien assouplie et je me dĂ©gage de PH et aprĂšs avoir mis Ludovic en levrette, je m'enfonce dans la chaleur moite de son cul. Trop bon ! Je glisse dans son cul mĂȘme s'il resserre son oignon de temps Ă  autre pour me bloquer. Le coup que ça nous transmet dans ces moments-lĂ  participe Ă  la montĂ©e de notre plaisir mutuel.
PH se glisse sous Ludovic en 69 pour profiter aussi du moment. Du cÎté du duo, les choses ont l'air de se passer pour le mieux. SosthÚne est sur le dos les jambes relevées contre Marc qui lui laboure les fesses. Si j'en crois les soupirs qui lui échappent, il prend son pied lui aussi. Marc qui me voit les regarder, me dit que j'ai encore tiré un bon numéro avec celui-là. Je lui explique que je suis en train de diversifier " ethniquement " mon offre. Comme je lui dis que j'ai aussi deux asiatiques en vue, il me dit qu'il est un spécialiste de leurs " pratiques " avec ses voyages professionnels. PH se dégage le temps de l'approuver vu les selfis qu'il nous envoie. Puis il replonge sur la bite de Ludovic. On cesse de discuter pour finir de prendre notre plaisir et de nous appliquer à en donner un correct.
C'est ce qui arrive Ă  SosthĂšne qui n'en peut plus de se retenir et explose sous les sollicitations rĂ©pĂ©tĂ©es de sa prostate martyrisĂ©e par les passages du gland de Marc. Il s'en met partout de son nombril jusqu'Ă  ses lĂšvres. Son sperme trĂšs blanc tranche sur sa peau chocolat au lait. J'ai le temps de voir Marc se vider au fond de SosthĂšne (dans la kpote bien sĂ»r) et de le voir rĂ©cupĂ©rer ave les doigts le sperme fraichement expulsĂ© pour aller en nourrir SosthĂšne. Avec une petite hĂ©sitation il se met Ă  lĂ©cher les doigts. Puis je suis moi-mĂȘme pris par mon plaisir. J'accĂ©lĂšre mon va et vient et je tapisse le boyau de Ludovic quand il me comprime la bite par saccades dues Ă  ses propres Ă©jaculations. En dessous, PH garde un peu de la production de Ludovic qui en fait autant de la sienne car quand je les vois se rouler une pelle, un peu de sperme coule aux commissures de leurs lĂšvres. J'approche ma tĂȘte et lĂšche les dĂ©bordements. Miammm qu'il est bon leur mĂ©lange de sperme !
Nous nous relaxons. Je vois que SosthÚne craint de bouger de peur de faire tomber  son sperme sur le canapé. Je lui passe une serviette, il y en a toujours un stock dans un des tiroirs de la table basse, comme d'ailleurs des kpotes, du gel et du poppers !!
Il me dit qu'il a pris un pied terrible et se tourne vers Marc pour le remercier. Mon mec lui retourne la politesse et me dit qu'il a un coup de langue dĂ©vastateur et qu'il faut se retenir pour ne pas lui engluer les dents ! Je demande Ă  SosthĂšne comment il a trouvĂ© de baiser avec un " vieux ". Il rougit, enfin ses joues prennent une teinte plus foncĂ©e. Et avoue qu'il ne pensait pas que ce serait si bon. Je tempĂšre un peu et lui dit que tous mes clients ne seront pas aussi bons !! Mon Marc est quand mĂȘme un vrai " top ".
Il rit et nous dit que mĂȘme Ă  moitiĂ© aussi bon, ça le fera bien. Il se contentera de Justin pour le plaisir partagĂ©. Marc m'interroge du regard. C'est vrai que je ne lui ai pas parlĂ© du fils de mon concessionnaire !! En quelques mots je rĂ©sume et il rit bien de la rĂ©action de mes autres Escorts. Il se tourne vers SosthĂšne et le fĂ©licite de ce coup. Ce dernier s'en dĂ©fend et nous dit qu'il n'avait rien prĂ©mĂ©ditĂ©. C'est mĂȘme Justin qui l'a entrepris et draguĂ© quand il Ă©tait venu chercher sa voiture avec moi.
Marc parles alors de ses parents, il le questionne sur comment ils ont pris le fait qu'il fasse ce travail et s'ils n'Ă©taient quand mĂȘme pas Ă©tonnĂ©s pour la voiture et ses absences. AprĂšs tout il n'a que 18ans et vit chez eux.
SosthĂšne nous explique que depuis qu'il est en fac, ses parents le laisse gĂ©rer lui-mĂȘme sa vie tant que les rĂ©sultats sont lĂ . Et comme ils sont bons (les rĂ©sultats) alors ça va. Il a juste Ă  les prĂ©venir quand il s'absente de la maison pour qu'ils ne l'attendent pas et ne s'inquiĂštent pas.
Vu l'heure avancée de la nuit et comme c'était prévu, nous passons la nuit tous les 5 ensemble. Le lendemain matin, pour une fois ce n'est aps moi qui suis le premier réveillé mais SosthÚne qui en profite pour pomper ma rigidité matinale. Une fois bien réveillé, je le repousse et l'accompagne pour oeuvrer sur Ludovic et PH. Nous laissons Marc dormir. Il a besoin de récupérer de ses voyages !
Il nous quittera (SosthÚne) en fin de matinée, un déjeuner de famille prévu depuis longtemps !
Jardinier
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