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Belle soirée 💙🎈 🆕️ 🩷
Amour Tempête 🎶 Les Copains
(Seasons)
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Les sept sœurs T2 La sœur de la tempête de Lucinda Riley
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Jusqu’à quel point deux personnes qui s’aiment peuvent étirer le silence sans que ce soit leur amour qui se déchire ?
Éric Pessan, Ma Tempête
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Tempête en silence, Les cœurs naviguent ensemble, Amour en turbulence.
© Manoel T, 2024
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Paroles de "La Chanson Des Vieux Amants" Jacques Brel
Bien sûr, nous eûmes des orages. Vingt ans d'amour, c'est l'amour fol. Mille fois tu pris ton bagage. Mille fois je pris mon envol. Et chaque meuble se souvient. Dans cette chambre sans berceau. Des éclats des vieilles tempêtes. Plus rien ne ressemblait à rien. Tu avais perdu le goût de l'eau. Et moi celui de la conquête
Mais mon amour. Mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour. Je t'aime encore, tu sais, je t'aime. Moi, je sais tous tes sortilèges. Tu sais tous mes envoûtements. Tu m'as gardé de pièges en pièges. Je t'ai perdue de temps en temps. Bien sûr tu pris quelques amants. Il fallait bien passer le temps. Il faut bien que le corps exulte. Finalement finalement. Il nous fallut bien du talent. Pour être vieux sans être adultes
Ô mon amour. Mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour. Je t'aime encore, tu sais, je t'aime. Et plus le temps nous fait cortège. Et plus le temps nous fait tourment. Mais n'est-ce pas le pire piège. Que vivre en paix pour des amants. Bien sûr tu pleures un peu moins tôt. Je me déchire un peu plus tard. Nous protégeons moins nos mystères. On laisse moins faire le hasard. On se méfie du fil de l'eau. Mais c'est toujours la tendre guerre
Ô mon amour. Mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour. Je t'aime encore, tu sais, je t'aime
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2019
Je pense que nous sommes juste passés à côté de quelque chose de bien
Son amour pour moi avait fait ses cartons
Tout était soigneusement disposé, rangé dans les pièces et les couloirs de sa mémoire ...
Des souvenirs, des moments, des instants, des photos ...
Éparpillés partout sur le sol,
une vie , nos corps à corps , la tempête qui nous avait encore plus soudés l’un à l’autre et qui nous avait, ironie de la vie, au final séparés ... nos rêves de balades, de voyages ... nos éclats de rire, nos peurs, des chansons , nos quelques espaces tel un couple normal , nos prises de bec , nos fantasmes et nos jeux érotiques , nos quotidiens entremêlés... nos pas de deux ...
Tout notre fouillis d’amour était désormais bien rangé, empilé, répertorié, prêt à recevoir la poussière des années ...
Je restais là... seul ... à vouloir tout garder d’elle : sa force, son humanité, son romantisme, sa sincérité, sa sensibilité, son museau de petit lapin, sa chevelure , sa force érotique, sa sensualité... mes doigts gardaient en eux le contact de sa peau ... j’avais la mémoire de son corps dans mes bras... son poids sur moi ...
nous nous étions tombés dessus ... la soudaine rencontre de deux âmes et de deux corps, une cohésion inattendue qui se transforme parfois en terreur et en détresse car elle libère trop d’énergies inconnues ...
La pluie et le froid tombait sur ma vie, je contemplais l’océan où j’allais errer, la plage immense où j’allais y chercher le petit grain de sable qu’elle disait être...
Me lever le matin désormais sera avec un vide dans la poitrine, j’étais imprégné d’elle,ce n’était pas la force de gravité qui me maintenait au sol c’était elle; là où elle était je voulais être , respirer le même air , bouger si elle bougeait ...
Il me restait mes chansons, mes livres, les petits vices de la vie comme disait le colonel Lawrence dans le désert , de simples plaisirs tel le café brulant à l’odeur de cannelle, une douche brûlante pour dénouer les muscles , courir ... m’enivrer le corps pour que l’esprit ne pense pas ... plus ... au-delà des responsabilités qui étaient les miennes ...
J’avais essuyé de trop nombreuses tempêtes et traversé assez de batailles pour savoir que l'amour était presque une maladie, une notion issue des temps anciens, d'une époque où le monde était à la fois plus jeune et plus sage.
Le chemin du jardin de mon cœur en était caché, perdu pour ne plus laisser une autre me séduire, me conquérir, s’installer dans ce lieu .
Elle était mon dernier amour ... celui que je cherchais depuis ... que ce mot avait planté ses racines en moi ...
Je ne sais pas si je pourrais
De nouveau tout recommencer
Elle aurait du mal la prochaine
A comprendre ce qui m’enchaîne
Une autre peau, une autre odeur, une autre personnalité ... changer de lit changer de corps ... à quoi bon ...
Il ne me restait plus qu’à plonger en moi-même pour aller au bout de la douleur, espérer qu’avec le temps ... va ... je pourrais contenir la brûlure de l’absence .
Comment l’évacuer de ma vie ... comment lui barrer le chemin de mes pensées... Cette petite chaîne en or, ce pull, cette dernière bouteille de parfum qu’elle m’a ramené de voyage ... ces tout petits riens qui impitoyablement la faisaient surgir ... elle avait façonné une part de ma vie... sans doute bien plus grande qu’elle ne pouvait l’imaginer ... je pouvais parler d’intrication assurément ... elle avait réussi ce tour de force de s’immiscer partout ... elle avait été telle l’eau qui gèle dans le rocher et le fait éclater ... elle était allée là où personne n’avait pu aller avant , elle avait même réussi à apposer une fissure tout au fond ...
J’étais tel Narcisse devant la glace de la salle de bain à chercher son image ... plus d’une fois l’idée que nous étions frère et sœur était venue aux gens... elle était non seulement mon âme sœur mais bien plus ... si j’étais né fille j’aurais aimé être elle ...
Elle avait beau tenir mordicus que nous étions différents... je ne pouvais que sourire ... à croire qu’elle essayait de se convaincre ... c’était sans doute ce qu’elle faisait d’ailleurs ... pour pouvoir se détacher de moi ... Elle ne voyait pas que nos différences se reflétaient ...
Pourquoi est-elle partie...
Elle disait qu’elle était une sale gamine ... oui je crains qu’elle n’eut été lucide envers elle-même ... bien qu’il m’en coûte de le reconnaître ...
Les vides, les espaces entre les lignes, les non-réponses, les non-dits ... éparpillés dans nos échanges épistolaires quelque soit le support ... me laissent exsangue.
Je suis comme un marin devant l’océan à qui on reprocherait la tempête qu’il a traversé ... elle n’a pas supporté ... et la voilà elle dans sa propre tempête et je sais au fond de moi que je ne peux rien faire ...
Certains chemins s’arpentent seul ... elle a fait des choix et les conséquences la submergent ... nonobstant la peur desdites conséquences, possibles ou probables , bien que ce que l’on désire ou ce à quoi on aspire se trouve juste de l’autre côté de la peur ... il y a aussi elle, elle avec elle-même ... telle une lame de fond ... mais oui hélas c’était bien une lame de fond de son passé qui remontait ... dont je ne connaissais que trop bien la force ...
Elle avait aimé celui que j’étais ...
J’aurais voulu être lui encore ... rester moi ... cet autre moi que je n’étais plus ... du moins plus complément ... j’étais sorti de ma tempête et je pouvais dire qu’elle m’enveloppait comme un manteau que j’acceptais comme une évidence ... je savais que j’allais voyager en solitaire ... mais en y réfléchissant je l’avais toujours été... quand à elle, elle était trop sauvage ... il lui fallait faire la paix avec elle-même ... On ne pouvait rien changer au cours des choses; autant jeter des pierres à la lune ...
je me sentais comme une maison qui se chercherait son fantôme et qui l’avait trouvé ... je me sentais hanté de sa présence ...
Quelle ironie , la vie redevenait supportable et se transformait en une chose qui méritait d’être vécue avec passion, énergie et un espoir dont le plaisir ne dépendait plus de la simple fatalité ... et elle me laisse ... là... presque comme si elle avait été qu’un rêve ...
Une vieille légende raconte que quand les dieux veulent vous punir ils exaucent vos prières ... je désirais trouver celle qui me ferait toucher ce qui se cachait au sein des vieilles histoires telles Tristan et Iseut, Lancelot et Guenièvre ... même malgré la morale des autres ...
Elle ne l’aime plus
C’est du passé
N’en parlons plus
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♡ ELLE ET LUI ♡
-Il lui dit sans bruit…
“Tu es comme la mer,
Toujours changeante,
Toujours nouvelle…
Parfois calme, ondulante,
caressante, vagues après vagues,
Tu m’entoures,
Guérissant mes blessures, Apaisant mes peurs…
Parfois furieuse,
Tes flots me secouent,
Tes eaux me giflent,
Burrasqueso après bourrasques,
Ton Amour me façonne,
Abattant mes digues,
Sulptantc mon corps,
Forgeant mon âme…
Tout entier, tu me laisses entrer…
Dans ton cœur je suis un Dieu.
Toujours je te désire, toujours je t’aime.”
-Elle lui répond en silence…
"Tu es comme un récif,
Solide, ancré jusqu’au fond de moi…
Toujours présent
Malgré mes tempêtes,
Malgré mes creux,
Tu te tiens à mes côtés.
Fier, dressé vers le ciel,
Tu gardes toujours la tête hors de l’eau, m’empêchant de me noyer…
Fragile, tu te laisses aussi caresser,
Bercer contre mon cœur,
Contre mon corps.
Tout entière, je m’offre à ton regard…
Fans tes yeux je suis une Déesse.
Toujours je t’aime, toujours je te désire.”
~Jean-Philippe Ruette
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« Croyez-le ou non, il existe des hommes qui sont des phares de lumière dans les ténèbres, des guides sur le chemin de la vie. Ce sont ceux qui, d’un regard, peuvent calmer les tempêtes et, d’un sourire, faire fondre la glace des hivers les plus rigoureux.
Des hommes merveilleux, qui aiment les étoiles filantes, font irruption au firmament de notre existence, laissant derrière eux une traînée lumineuse d’amour et d’espoir. Ce sont des guérisseurs, ceux dont la présence est un baume pour l'âme, dont l'étreinte est un refuge et dont les paroles sont des germes de sagesse.
Bienheureux sont les hommes qui, avec sincérité et courage, abordent la vie de femme. Non pas en conquérants, mais en compagnons de voyage, prêts à partager la carte et à décrypter ensemble les secrets du cœur.
Eux, qui offrent une sécurité sans enchaînement, qui célèbrent la beauté sous toutes ses formes et qui comprennent que la vraie complicité naît de la liberté et de la confiance mutuelle. Des hommes qui savent aimer, non seulement avec leur corps, mais aussi avec leur âme, respectant et désirant leur partenaire dans la plus pure expression du mot.
Bienheureux sont les hommes qui donnent de l’amour sans mesure, qui bâtissent la confiance jour après jour et qui ont la force de guérir de vieilles blessures, non pas avec des promesses vides de sens, mais avec des actions qui sont plus éloquentes que les mots.
Ce sont ceux qui, dans un monde qui oublie parfois les bonnes manières, restent des gentlemen, qui savent que le romantisme est un art qui ne se démode jamais et que le véritable amour est une toile sur laquelle se peint chaque jour une nouvelle aube.
Bienheureux sont les hommes qui sèchent leurs larmes sans juger, qui donnent la priorité à leur relation et la protègent comme le plus précieux des trésors. Des hommes mûrs qui comprennent qu’être un véritable partenaire, c’est être un ami, un amant et un confident.
Bienheureux soient les hommes qui peuvent être forts et tendres, passionnés et doux, fous et sensés, car dans cette dualité réside l’essence de l’humanité.
Et bénie soit la femme qui reconnaît et valorise cet homme, qui lui rend la pareille avec la même intensité et le même amour. Parce que lorsque deux âmes comme celle-ci se rencontrent, elles savent qu'elles ont trouvé quelque chose de plus que l'amour : elles ont trouvé un foyer, un destin commun, un coin de paradis sur terre.
Bienheureux soient tous deux, l'homme et la femme, qui apprennent ensemble que l'amour est le plus puissant des voyages, et que dans ce voyage, le plus important n'est pas le but, mais chaque pas qu'ils font ensemble, main dans la main, cœur à cœur. Âme avec âme. »
🌟 Auteur : Nelson Enrique ZAMORA
🌟 Source : Jason Lapointe eveilleur
🌟 Partage : Eveil de Femme
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Ce qu'un enfant ferait pour ses parents
Lors de l'épisode 8 de la saison 3, Rayla décide de rester à la flèche de tempête pour payer le prix de la faute de ses parents et Callum voit sa raison de rester comme une fierté. Dans l'épisode 9 de la saison 6, Callum a fait un bracelet de phoenix de lune pour qu'elle puisse revenir dans le monde des vivants. Dans le nid de Zubeia, Callum a utilisé un sort de lune pour connaître la vérité sur ce qui s'est passé ! C'est grâce cette information que Rayla a pu dire que c'est grâce à ses parents que l'oeuf est en sécurité et qu'ils ont pu le ramener à sa mère. Malheureusement, elle se sépare d'eux et bien que ça lui brise le coeur. Ses parents comprennent mais ils savent qu'elle aura une bonne vie. Ce qui contraste avec Claudia qui retrouve Viren car elle a besoin qu'elle lui montre le bon chemin, que c'est grâce lui, qu'elle a pu se construire. Mais Terry essaie de la raisonner car un mort ne peut pas donner de réponses. Viren était son phare qui s'est éteint dans les flammes.
Rayla décide de sauver Runaan lui rappelant qui il était, l'assassin mais aussi le père qui l'a élevée. Et par son amour et celui d'Ethari, elle le ramène dans le monde des vivants auprès de Callum. Tandis que Claudia en apprenant le passé d'un père aimant sa défunte fille. Cela lui permet de retrouver l'amour nécessaire, celui malsain et auto destructeur, pour exécuter le sort. Encore une fois leurs amours envers leurs parents se confrontent à nouveau (J'en parle plus ici). Rayla peut enfin tourner la page concernant ses parents. Elle avait quitté Callum pour traquer Viren, qualifiant même de vengeance dans la saison 4 pour avoir des réponses concernant sa famille. Alors que Claudia qui voit son modèle détruit, elle trouve du réconfort avec Aaravos en sympathisant avec sa peine. Quand à Terry, il trouve que cette histoire d'amour est devenu tordu par la suite. Aaravos la manipule en choisissant les bons mots pour décrire Leola mais aussi Viren. Il le qualifie d'un père aimant, un grand homme qui était prêt à tout sacrifié quitte à être mal compris. Ce qui se complète avec la phrase "peu importe si c'est ignoble ou dangereux".
En parlant avec mon ami, il trouve qu'il y a un contraste entre ces deux là, sur comment elles gèrent leurs deuils :
Claudia a longtemps été dans le déni en étant obsédé de ressusciter son père que quand ce dernier voit toute les erreurs qu’il a faite et qu'il décide d’en subir les conséquences, dans la paranoïa, sa fille croit que tout le monde l’abandonne pour au final essayer d’accepter la vérité.
Rayla se résigne à la mort de ses parents au début car elle les voyait comme des traîtres. Avant que Claudia lui donne les pièces deux ans plus tard pour qu'au final elle accepte qu'ils se soient sacrifiés en héros. Ramener ses parents aurait été égoïste de la part de Rayla, alors qu'Ethari attend toujours le retour de Runnan. Donc au final c’est Claudia qui a agit par égoïsme et Rayla par abnégation.
What would a child do for their parents
In episode 8 of season 3, Rayla decides to stay at the storm spire to pay the price for her parents' wrongdoing, and Callum sees her reason for staying as pride. In episode 9 of season 6, Callum made a moon phoenix bracelet so she could return to the world of the living. In Zubeia's nest, Callum used a moon spell to learn the truth about what happened! With this information, Rayla was able to say that it was thanks to her parents that the egg was safe and that they were able to return it to his mother. Unfortunately, she's parting ways with them and although it breaks her heart. Her parents understand, but they know she'll have a good life. This contrasts with Claudia, who finds Viren because she needs him to show her the right path, that it's thanks to him that she's been able to build herself. But Terry tries to reason with her, because a dead man can't give answers. Viren was her lighthouse, which was consumed by flames.
Rayla decides to save Runaan, reminding him of who he was, the murderer but also the father who raised her. And through her love and that of Ethari, she brings him back to the world of the living, back to Callum. Claudia, on the other hand, learns of the past of a father who loved his deceased daughter. This allows her to regain the love she needs - the unhealthy, self-destructive love - to carry out the spell. Once again, their love for their parents collides (more on that here). Rayla can finally turn the page on her parents. She had left Callum to track down Viren, even calling it vengeance in season 4 to get answers about her family. While Claudia sees her role model destroyed, she finds comfort in Aaravos, sympathizing with his grief. As for Terry, he finds the love affair twisted in the aftermath. Aaravos manipulates her by choosing the right words to describe both Leola and Viren. He calls him a loving father, a great man who was ready to sacrifice everything even if it meant being misunderstood. This is complemented by the phrase “no matter how vile or dangerous”.
Talking with my friend, he finds that there's a contrast between the two of them, in terms of how they deal with grief:
Claudia has long been in denial, obsessed with bringing her father back to life, but when he sees all the mistakes he's made and decides to face the consequences, in paranoia, her daughter believes that everyone has abandoned her, and finally tries to accept the truth.
Rayla resigns herself to her parents' death at first, seeing them as traitors. Then, two years later, Claudia gives her the coins, and she finally accepts that they sacrificed themselves as heroes. Bringing back her parents would have been selfish on Rayla's part, while Ethari is still waiting for Runnan's return. So in the end it was Claudia who acted out of selfishness and Rayla out of self-sacrifice.
#the dragon prince#tdp#tdp s6#tdp s6 spoilers#tdp analysis#analysis#rayla#runaan#lain#tiadrin#claudia#viren#aaravos
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Tégénaire
Je suis la noire tégénaire celle que vous ne voulez pas voir les femmes me craignent je pourrais me glisser entre leurs cuisses pour dévorer l'enfant à venir dans leur ventre car je suis le phallus des ombres
j'apparais sous le signe de la vierge à la faveur des orages lorsque crève l'été par trop de lumière quand la mort vient cueillir les anciens par surprise dans leurs lits lourds de songes poussiéreux où je me dissimule
gorgée de vos peurs et de vos insectes vous ne voulez pas me voir et pourtant je suis chez vous depuis la nuit des temps dans les temples dorés de vos rois sans décence dans vos tempêtes de chairs pétries du souffle intumescent pour compter vos jours au complet
les sueurs les exhalaisons des hommes et des femmes qui s'aiment j'en suis comptable devant le mystère car je suis le grouillement écœurant de la vie dans l'argile de vos étreintes quand vous exultez pour vos sexes solaires vous trouvez odieux mes mouvements silencieux
j'ai assisté aux amours les plus lascives aux fécondations de tous les enfants de la terre
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“Très cher René,
Par gros temps en mer je pense toujours à ce peintre dont je ne sais plus le nom qui se faisait attacher au mât de misaine pendant la tempête pour voir et garder la vision de tous ces déchaînements d’écume.
Terre-Neuve. Un froid de loup, j’ai le visage comme une tomate picoté d’aiguilles salines. Quel temps, mais l’essentiel est qu’on avance sans se contenter de ne pas dériver.
Seize heures de sommeil sur vingt-quatre, le reste à deviner le paysage.
Si le coeur t’y porte, tu trouveras autant de variétés, d’aspects différents sur ce long parcours, que la terre nous en donne sur le sien.
Il n’y a pas que cette immense ébullition où l’on se contente de quelques tracés monotones. C’est extraordinairement mesuré l’océan, bien bâti, alerte, différent à chaque instant heureux et quelles trouées au couchant avec ces petits nuages pâles qui semblent rire du poids des vagues, bleues, vertes, serpents, miroirs superbes, que cela s’organise bien ce débordement.
Quel tempérament équilibré. Je n’en ai jamais tant vu de couleurs fugitives, certaines impossibles, éclatantes, calmes. Quelle joie René, quel ordre.
Tu vois, je suis heureux en diable, je pense à toi, mon amour dort un peu plus que moi mais supporte très bien ce vacarme, intérieurement serein.
Je t’embrasse.
Nicolas
Te peindrai des tempêtes en rentrant.”
Nicolas de Staël “Lettres”
***
Tableau : Mer et nuages (1953)
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“Desperate Love.”
summary: you both broke up but he’s still desperate for another chance.
parings: Draco Malfoy x!anyhouse reader
wordcount: _
warnings/notes: no warnings! this is going to be really short and I made Draco speak a bit of French because why not!! i really should be sleeping rn 😭 enjoy!!
𓏲 “Mon amour pour toi est plus grand que l'univers, plus profond que l'océan, et plus fort que la tempête."
Draco Malfoy watched as you talked to your friends. The way you spoke, laughed, smiled, and the way your hair breezed with the wind had him captivated.
The trouble was- you and him had broken up.
It was stupid, really. an argument the both of you didn’t even remember.
“Comment le sourire de quelqu'un peut-il être plus brillant que les étoiles ?” questioned Draco. he just didn’t understand exactly how the simplest things about you were so beautiful.
"Alright, alright! I need to go anyway - can you please be quiet, Zania?" You laughed as you got up. you grabbed your brown leather bag and left the table you were currently at.
Draco Malfoy's eyes did not leave your figure, and when he saw you get up and leave, he quickly followed behind you.
You were humming to yourself as you walked through the corridors. Before you could turn left, a voice called your name.
"Slow down! You know I can't walk that fast," Draco Malfoy said. You rolled your eyes and tried to continue walking, but Draco gently grabbed your wrist.
"Please, just one minute, I beg you." he pleaded.
You sighed as you crossed your arms and raised your eyebrows at the taller boy.
“I’m sorry.” he said.
There was a complete silence for a second.
"Oh, so you think a sorry is going to fix the situation now? Listen, I-" you started with anger, but you were cut off by Draco.
“Non ! Tu écoutes!”
"I'll be leaving then!" you huffed as you once again turned to leave, but Draco grabbed your wrist and held your hand gently.
Draco sighed. He looked truly tired, with his hair all messy and his furrowed eyebrows proving it.
He then started to speak softly to you with his eyes not leaving yours.
"Please understand that my heart aches for you; it calls out to you with every beat, a desperate plea for your love. My heart is a prisoner to your love! Pour l'amour de Dieu! hear my heart's call and give me a chance to prove myself to you."
You both stared at each other, not looking away from each other's eyes.
“Please,” he begged.
You sighed, looked down at your shoes, and looked back up at the desperate man with furrowed eyebrows.
"All right," you said after a lot of thinking.
you saw the boy's face slowly light up and a gentle smile was plastered on his face. He picked you up by the waist and planted a kiss on your cheek.
"Je t'aime. Tu ne regretteras pas." Draco said breathily.
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Le Sommeil Contrarié
Cette nuit-là, enveloppé dans la douce quiétude de notre amour, je me suis laissé emporter par un sommeil paisible. Un sommeil, non pas par ennui, mais par la quiétude que tu insuffles à mon être, par le réconfort que tu représentes.
Pourtant, ce sommeil, cette évasion vers un repos si désiré, s’est transformé en un écho de tristesse. Ta voix résonnait, chargée de déception et de frustration, parce que je me suis endormi comme un bébé, bercé par la sécurité de ton amour.
Je me suis retrouvé perdu entre le doux cauchemar de ta contrariété et le désir de rester dans cet état de béatitude, cet état où je me sens enfin en paix. Mes yeux clos ont été témoin de ce conflit entre le bien-être que tu m’apportes et la peine que ma sérénité a pu causer.
Je suis là, éveillé dans l’obscurité de cette nuit, me demandant comment quelque chose de si doux peut se muer en source de désaccord. La contradiction entre le bonheur ressenti et la peine infligée se mêle en un tourbillon d’émotions.
Pourtant, au milieu de cette confusion, une certitude demeure : l’amour, parfois, se perd dans le labyrinthe de nos sentiments, mais la quête de compréhension et de réconciliation reste un phare dans la tempête de nos tourments.
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On dit que la beauté vient d'un esprit qui a surmonté beaucoup les difficultés dans la vie et d'une certaine façon continue avec résilience. La grâce se trouve dans une âme qui vieillit doucement, même au milieu la tempête. Je pense que la plus belle de loin est celle dont le doux cœur porte cent cicatrices de l'attention, mais trouve toujours un moyen de reprendre la lampe encore une fois pour éclairer le chemin par amour.
Susan Frybort Brown
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Mon cœur à la fâcheuse habitude de rester amoureux du vide, des personnes absentes. Il embellit les souvenirs pour s'y accrocher de toute ses forces, il lisse le négatif, il pardonne. Parfois même, il laisse une seconde chance. Je ne lui en veut plus, je sais qu'au final c'est sa façon à lui de montrer comment il souhaite être aimer et valoriser. Il donne tout, à n'importe qui. Il doit encore apprendre à faire la part des choses. Mais aujourd'hui, mon esprit, mon corps et mon âme ne veulent plus de ces amours épuisés, renouvelés avec lequel on enchaîne les échecs. Il a dit adieu à son amour d'enfance et adieu à l'homme avec lequel ils auraient aimés passer leurs vies. Aujourd'hui, après avoir appris à s'aimer pour de vrai, tout le monde ici, se sent prêt pour une nouvelle histoire avec une personne qu'on apprendra à aimer sainement malgré toutes les tempêtes du passé.
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