#Tempête de neige
Explore tagged Tumblr posts
Text
Tempête de neige
#montreal#montrealpics#montréal#montrealmoments#montreal city#montreal photography#montreal life#montrealmonamour#mtl#montrealjetaime#montrealstreetart#montrealstreetphotography#montrealstreet#montreal street style#tempete#tempête de neige#Montreal style
47 notes
·
View notes
Text
Noël au Cat Café de Rachel Rowlands
En attendant Noël et pour s’immerger dans l’atmosphère hivernale de cette fin d’année, les éditions Nami te concoctent un cocktail littéraire explosif à leur image. Des chats, un café, des personnages aux personnalités hors du commun. Et bien sûr, à ces éléments distinctifs de Nami s’ajoute la magie d’un Noël enveloppé de neige. Tu l’as bien compris, « Noël au Cat Café » est le roman idéal pour…
View On WordPress
#2024#amitié#Amour#Angleterre#Café#Café à chat#Chats#Comédie romantique#Editions Nami#Famille#Feelgood#Littérature anglaise#Noël au Cat Café#Partenariat non rémunéré#Rachel Rowlands#Roman#Roman contemporain#Roman de Noël#Romance#Tempête de neige
0 notes
Text
1 note
·
View note
Text
62 notes
·
View notes
Text
Old doodles back in January. Blonde wizards whom I think about a lot.
Might as well redraw this soon.
#harry potter#sugar sugar rune#draco malfoy#pierre tempête de neige#not sure if i've posted here#hp fanart#fanart#doodle#my art
22 notes
·
View notes
Text
Ah la la la la. Y’a 2cm de neige et vous en faites tout un fromage! Laissez moi vous raconter une petite histoire.
Il y a de cela environ 1 an, une courageuse Française décide de venir au Québec début décembre.
Son avion atterrit et, surprise! Pas de neige et un bon gros 10’C! Elle s’étonne et demande:
- Mais c’est pas supposé être l’hiver?
- Bienvenue au Quebec! Répondit son hôte.
La journée passe, puis la nuit. Au petit matin, à peine les yeux ouverts elle découvre avec stupeur 35cm de neige au sol. Elle s’étonne de nouveau:
- Mais mais mais!!! Qu’est-ce que c’est que tout ça?
- Bienvenue au Quebec! Récidiva son hôte.
Pensant que son séjour était fichu et prête à googler « comment hiberner », son hôte lui propose une sortie. Sur les routes enneigées elle est rapidement confrontée, à un feu de circulation, à la voiture qui les précède qui refuse d’avancer. La route étant en pente montante, la neige empêche cette dernière d’avancer ne serait-ce que d’un centimètre. C’est alors que son hôte détache sa ceinture de sécurité et sort de la bagnole. Persuader qu’elle va aller l’engueuler, elle se cale dans le siège.
Et pourtant… non! Son hôte fait signe au conducteur de se remettre en marche pendant que l’hôte pousse de toute ses forces derrière la voiture pour lui permettre d’avancer. Une fois de retour dans la voiture, la petite Française déclara:
- Ah ben en France il aurait fait avancer la voiture à grands coups de connard!
- Bienvenue au Québec! S’amusa son hôte.
Deux jours plus tard une activité extérieure est organisée. L’hôte offre tuque (bonnet) et mitaines (gants) à son invitée qui les accepte sans trop de conviction. Une fois à l’extérieur la réalité la frappe en plein visage! En 48h la température était passée de 4’C à -22’C!
- C’est quoi ce bordel! Clamant complètement frigorifiée l’invitée.
- Ah ben… Bienvenue au Québec! Se contenta de répondre son hôte.
Plus qu’une semaine avant le grand retour de la Française en sol québécois en hiver! J’ai hâte. On annonce la première tempête de l’hiver justement le 1re décembre 🤣. On va réfrigérer la moitié du club de seniors ^^.
10 notes
·
View notes
Text
Ici, il neige. Alors pourquoi ne pas en tirer parti et écrire un fanfic en attendant que le temps se dégage? Ça tombe bien, j'avais justement envie de coincer Harlock et Warrius dans une tempête. J'espère que @aube-in-arcadia ne m'en voudra pas trop d'ajouter un opus 4 à sa série "Albator se prend pour Martine".
-❄️❄️❄️-
https://archiveofourown.org/works/62034379
-❄️❄️❄️-
#leijiverse#cosmo warrior zero#warrius zero#zerohar#zerolock#captain harlock#captainharlock#albator#harlock
7 notes
·
View notes
Text
Comme je descendais des Fleuves impassibles, Je ne me sentis plus guidé par les haleurs : Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles, Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.
J’étais insoucieux de tous les équipages, Porteur de blés flamands ou de cotons anglais. Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages, Les Fleuves m’ont laissé descendre où je voulais.
Dans les clapotements furieux des marées, Moi, l’autre hiver, plus sourd que les cerveaux d’enfants, Je courus ! Et les Péninsules démarrées N’ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.
La tempête a béni mes éveils maritimes. Plus léger qu’un bouchon j’ai dansé sur les flots Qu’on appelle rouleurs éternels de victimes, Dix nuits, sans regretter l’oeil niais des falots !
Plus douce qu’aux enfants la chair des pommes sures, L’eau verte pénétra ma coque de sapin Et des taches de vins bleus et des vomissures Me lava, dispersant gouvernail et grappin.
Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème De la Mer, infusé d’astres, et lactescent, Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême Et ravie, un noyé pensif parfois descend ;
Où, teignant tout à coup les bleuités, délires Et rhythmes lents sous les rutilements du jour, Plus fortes que l’alcool, plus vastes que nos lyres, Fermentent les rousseurs amères de l’amour !
Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes Et les ressacs et les courants : je sais le soir, L’Aube exaltée ainsi qu’un peuple de colombes, Et j’ai vu quelquefois ce que l’homme a cru voir !
J’ai vu le soleil bas, taché d’horreurs mystiques, Illuminant de longs figements violets, Pareils à des acteurs de drames très antiques Les flots roulant au loin leurs frissons de volets !
J’ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies, Baisers montant aux yeux des mers avec lenteurs, La circulation des sèves inouïes, Et l’éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs !
J’ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries Hystériques, la houle à l’assaut des récifs, Sans songer que les pieds lumineux des Maries Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs !
J’ai heurté, savez-vous, d’incroyables Florides Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux D’hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides Sous l’horizon des mers, à de glauques troupeaux !
J’ai vu fermenter les marais énormes, nasses Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan ! Des écroulements d’eaux au milieu des bonaces, Et les lointains vers les gouffres cataractant !
Glaciers, soleils d’argent, flots nacreux, cieux de braises ! Échouages hideux au fond des golfes bruns Où les serpents géants dévorés des punaises Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums !
J’aurais voulu montrer aux enfants ces dorades Du flot bleu, ces poissons d’or, ces poissons chantants. – Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades Et d’ineffables vents m’ont ailé par instants.
Parfois, martyr lassé des pôles et des zones, La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux Montait vers moi ses fleurs d’ombre aux ventouses jaunes Et je restais, ainsi qu’une femme à genoux…
Presque île, ballottant sur mes bords les querelles Et les fientes d’oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds. Et je voguais, lorsqu’à travers mes liens frêles Des noyés descendaient dormir, à reculons !
Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses, Jeté par l’ouragan dans l’éther sans oiseau, Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses N’auraient pas repêché la carcasse ivre d’eau ;
Libre, fumant, monté de brumes violettes, Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur Qui porte, confiture exquise aux bons poètes, Des lichens de soleil et des morves d’azur ;
Qui courais, taché de lunules électriques, Planche folle, escorté des hippocampes noirs, Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ;
Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais, Fileur éternel des immobilités bleues, Je regrette l’Europe aux anciens parapets !
J’ai vu des archipels sidéraux ! et des îles Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur : – Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t’exiles, Million d’oiseaux d’or, ô future Vigueur ?
Mais, vrai, j’ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer : L’âcre amour m’a gonflé de torpeurs enivrantes. Ô que ma quille éclate ! Ô que j’aille à la mer !
Si je désire une eau d’Europe, c’est la flache Noire et froide où vers le crépuscule embaumé Un enfant accroupi plein de tristesse, lâche Un bateau frêle comme un papillon de mai.
Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames, Enlever leur sillage aux porteurs de cotons, Ni traverser l’orgueil des drapeaux et des flammes, Ni nager sous les yeux horribles des pontons.
-Le bateau ivre, Arthur Rimbaud
#poesie#poetry#french literature#arthur rimbaud#verlaine x rimbaud#riverside#storm#night#sea#drown me#love#sunlight#dream#lightning#florida#rainbow#waves#ocean#oceancore#perfume#fish#birds#freedom#europe#glacier#coast#sky#gold#im cryin#moon
11 notes
·
View notes
Text
2024, tu as été l’année la plus éprouvante de ma vie, et pourtant, aussi l’une des plus marquantes.
Ces 365 jours m’ont changée, profondément. Tu m’as poussée dans mes retranchements, m’obligeant à faire face à ce que j’aurais préféré ignorer. Je suis tombée, plus d’une fois, et parfois si bas que je pensais ne jamais me relever. Mais, malgré tout, je n’ai jamais laissé la douleur me clouer au sol plus d’une journée.
Tu m’as pris ma plus belle étoile, un morceau de mon ciel. Tu as réveillé des fantômes que je pensais avoir enterrés pour de bon. Tu as compliqué ma santé, comme pour m’offrir une boucle familière, un rappel cruel d’un passé que je connais trop bien. Mais tu ne t’es pas arrêtée là. Entre les épreuves, tu as laissé des traces de lumière. Tu m’as montré que je donnais trop, parfois au détriment de moi-même. Et puis, doucement, tu as placé sur mon chemin des personnes inattendues. Des âmes que je n’aurais peut-être pas remarquées dans une autre vie, mais qui, cette fois, sont restées. Et elles ne se sont pas contentées de passer. Elles ont pris racine dans ma vie et dans mon cœur, m’apprenant que plus jamais je ne serais seule. Désormais, aucun obstacle ne sera affronté sans soutien.
Tu m’as aussi soufflé une vérité brutale : la vie est courte, parfois trop courte. Il faut se recentrer sur ce qui compte vraiment. Et aujourd’hui, en regardant en arrière, je sais ce qu’est l’essentiel : eux. Mes deux petits rigolos. Mes meilleurs amis. Mes amours. Ils m’ont tout appris, ou plutôt, ils m’ont réappris. Car ce n’est pas moi qui les élève, ce sont eux qui m’élèvent. Ils m’apprennent l’amour, le vrai. Pas celui qui blesse, qui ment ou qui écrase. Mais celui qui pardonne, qui endure et qui ne lâche jamais. Avec leurs pansements Pat’Patrouille et Spiderman, ils recouvrent des blessures que je pensais scellées à jamais. Ils me ramènent là où je m’étais perdue, dans cette partie de moi que je ne reconnaissais plus. Ils calment mes colères, apaisent mes peurs, et deviennent mes guides dans ce labyrinthe qu’est la vie. Ils m’apprennent à m’aimer, là où moi, j’avais oublié comment faire. Cette année, ils ont soufflé cinq et deux bougies. Ils remplissent mes jours de rires, de larmes, et d’une tendresse brute, si belle qu’elle en est parfois douloureuse. Alors, pour eux, j’ai tout changé.
Je leur ai offert une maison dans le Sud, bercée par le chant des cigales et l’odeur de la Méditerranée. Et un chalet niché entre trois montagnes, où règnent le silence, les batailles de boules de neige et l’odeur de la fondue. Je voulais qu’ils grandissent entourés de beauté, même quand moi, à l’intérieur, je me sentais brisée.
À force de tout porter, j’ai fini par lâcher prise.
J’ai dansé. Partout. Dans la rue, sous la pluie, debout sur une table, dans mon salon avec eux, sous la neige, dans les couloirs d’un hôpital, ou pieds nus sur le sable. J’ai dansé quand tout semblait s’écrouler, pour oublier que parfois, la vie est un cyclone qui emporte tout sur son passage.
Et au milieu du chaos, j’ai appris à respirer.
Je me suis envolée, loin. Nouvelle-Calédonie, Écosse, Dolomites, Rome, Londres, Bilbao, Majorque, Genève. J’ai fui, un peu, et en fuyant, j’ai retrouvé quelque chose que j’avais perdu : moi-même.
2025, je t’attends. Je sais que tu ne me ménageras pas. Je sais que tu apporteras ton lot de tempêtes. Mais cette fois, je suis prête. Je suis fatiguée, c’est vrai, mais je suis aussi pleine d’une étrange sérénité. Cette année, je vais continuer à me reconstruire. Et tu verras, cette version de moi sera belle.
4 notes
·
View notes
Text
Bettina hit Sochi, Russia, one of the most powerful storms in recent Black Sea history. November 27 2023
Il pourrait s'agir de la plus violente tempête enregistrée à cette époque de l'année en mer Noire depuis le début des relevés météo. La dépression formée en Méditerranée a rencontré une coulée d'air froid en provenance d'Europe de nord, donnant lieu à des pluies diluviennes dans les pays du sud, et une tempête de neige historique sur les pays de l'est
25 notes
·
View notes
Text
Pierre Tempête de Neige ❄ "thank you, for giving me your heart."
#sugar sugar rune#pierre tempete de neige#magical girl#anime#anime edit#bishonen#sekaiichihappy edits#moyoco anno#character portraits
37 notes
·
View notes
Text
39 notes
·
View notes
Text
26 novembre 2024
Jour de première neige ici, à Québec.
Ville que je n'avais jamais encore vue enneigée. À date, je suis charmée.
Dénudés de leurs feuilles et semi couverts de blanc, les arbres me fascinent d'avantage. Leur squelette m'hypnotise. Dans mon esprit, je leur invente des histoires, leur crée des vies.
Ma forêt me manque. Celle à deux pas de ma maison, à Gatineau. La forêt ne m'appartient évidemment pas, mais j'en ai fait mon refuge. Elle m'a vu grandir, me perdre, apprendre ses recoins par coeur, y laisser aller ma colère, mes larmes et ma joie, danser, m'enfuir à toute jambe du chien de garde du propriétaire du terrain du cultivateur et en déchirer mes collants, être saoule et gelée, être.
J'aurais envie d'être devant ces arbres qui forment une chorale, devant ces deux-là à côté qui baisent sans gêne, et devant celui-là, mon préféré de tous, mort mais encore debout, résistant encore aux tempêtes.
J'apprends d'eux. Peut-être apprennent-ils de moi aussi.
4 notes
·
View notes