#Viols de guerre
Explore tagged Tumblr posts
silentangell95 · 2 days ago
Text
Филми и сериали: Януари
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
0 notes
difunttichronicles · 1 year ago
Text
La Pierre des Larmes
L’Épée de Vérité, tome 2, Terry Goodkind PrésentationLA VICTOIRE DE RICHARD, ZEDD ET KAHLAN SUR LE TYRAN DARKEN RAHL a déchiré le voile qui sépare le monde des vivants et le royaume des morts. Le terrible Gardien sera bientôt en mesure de le traverser. Ses serviteurs rôdent déjà et nul ne peut leur échapper. Pour Zedd le sorcier, l’unique espoir réside en une certaine pierre, la petite fille qui…
Tumblr media
View On WordPress
1 note · View note
c-etait-ailleurs · 1 year ago
Text
0 notes
ekman · 6 days ago
Text
Tumblr media
Quelle confusion. L’élection du géant blond à l’oreille percée semble réjouir une large partie de la droite authentique, comprenez celle qui s’emploie à défendre l’identité de la nation et les intérêts du peuple qui l’incarne et qu’elle incarne en retour. Les décrets succèdent aux discours et déjà quelques promesses semblent vouloir être tenues. “Voilà comment nous devrions être gouvernés ! Les initiatives de Trump inaugurent le processus de renaissance des États-Unis !” Certes, cela se défend tout à fait. Le problème, ajoutent les plus modérés, serait qu’un retour en force de “l’ami américain” serait une catastrophe pour l’Europe, ce grand asile psychiatrique à ciel ouvert, et en particulier pour la France, profondément dévitalisée par l’abandon de ses valeurs morales et la multiplication des initiatives visant à la détruire, ni plus ni moins. Les deux réactions se comprennent et les arguments s’entendent. 
Ce sont toutefois là d’assez vaines discussions. L’Amérique reste aux Américains, c’est à dire aux tenants de la “destinée manifeste”, concept qui supplante toute idée politique un tant soit peu raisonnable et cohérente. Trump semble vouloir sauver son pays du monde, mais pas de lui-même. Il annonce que le temps n’est plus aux conquêtes guerrières et aux croisières pétrolifères sur fond d’accès à la sacro-sainte démocratie. Pour le pétrole – et tout ce qui se trouve au-dessus, en dessous et à côté – c’est toujours oui, mais par d’autres moyens. La guerre sera donc économique, ce sera celle du dollar centripète contre la dynamique centrifuge des BRICS, et elle se jouera à coups de technologies, d’intelligence très artificielle, de sanctions, d’embargos et autres réjouissances financières. Si, comme prévu à Washington, les États-Unis maintiennent leur domination sur l’Europe et étendant l’emprise toujours plus soviétoïde de Bruxelles sur ses peuples, alors le règne de Trump sera peut-être le dernier clou de notre cercueil. Les gouvernements provinciaux continueront d’œuvrer contre leurs intérêts vitaux, et donc le grand remplacement s’accélèrera, les économies seront mises sous perfusion, les dernières manifestations de souveraineté disparaîtront, la répression deviendra létale.
Si, en revanche, le sentiment national parvient, en Europe, à supplanter les manœuvres mondialistes sous l’influence et avec le soutien d’esprits agités comme celui du très fameux Elon Musk, alors on peut espérer la mise en place, ça et là, de gouvernements qui en s’émancipant opportunément de l’autorité supposée de l’UE par des violations répétées des traités-carcans, finiront par jeter à terre cette monstruosité technocratique. Après tout, il suffit juste de constater que c’est la Commission qui a commencé ces viols manifestes en s’arrogeant des prérogatives politiques et décisionnelle jamais conférées par aucun de ces funestes traités.
C’est donc plutôt vers Musk et ses agissements – assez erratiques en apparence – qu’il convient de porter notre regard. Car Trump va faire du Trump, c’est à dire du yankee dans l’acception la plus vulgaire du terme. Si j’étais taquin, je dirais “Torah, pollution et moraline à tous les étages”. Avec Musk, on peut espérer quelques bonnes surprises qui accéléreront la déstabilisation de l’UE, en riposte aux entreprises de la pieuvre Soros et de ses affidés tentaculaires. Une sorte de rééquilibrage, en quelque sorte. Pour autant, on n’oubliera pas Neuralink et ses potentielles dérives, ni la folie d’une inutile conquête martienne.
Et puisque tout ce qui advient aux États-Unis est sensé se produire un jour chez nous, souhaitons que le retour aux fondamentaux voulu par le peuple américain et incarné par Donald, Elon et leurs nombreux nouveaux amis, soit un succès. C’est peut-être de ce pragmatisme que notre survie dépend.
J.-M. M.
13 notes · View notes
amoureusedesmots98 · 1 year ago
Text
DANS QUEL MONDE...
Dans quel monde vivons-nous ?
Sommes-nous devenus fous ?
Le racisme, les génocides, le sang
Des enfants tués par d'autres enfants,
Les guerres, les viols, la faim, la misère,
Quand donc s'arrêtera le calvaire ?
Mais comment avons-nous fait ?
Pour que cette belle boule bleue
Dont un jour nous avons héritée,
Devienne un monde si dangereux ?
Elle était pourtant magnifique
Au début, cette terre magique
Que de vilains petits gnomes
Qui portent le nom d'hommes
Détruisent, sans aucun regret,
Pour toute cette beauté !
J'avoue qu'il m'arrive d'hésiter
A tourner le bouton de la télé,
Parce que je ne peux plus regarder
Cette souffrance étalée
Aux regards indifférents d'un monde,
Que trop souvent je trouve immonde !
Sommes-nous devenus des zombis
Insensibles au malheur d'autrui ?
Des espèces de monstres sans cœur,
Capable de regarder l'horreur
Sans que quelque chose à l'intérieur
Ne se révolte et hurle de douleur ?
Tumblr media
123 notes · View notes
claudehenrion · 6 months ago
Text
Les délices de Capoue...
Il y a quelques jours à peine, je concluais mon ''éditorial'' par cette remarque un peu acide que ''ce qui va --et doit, si rien n'est tenté-- nous tomber dessus, c'est la victoire du Laid sur le Beau, du Mauvais sur le Bon, du Mal sur le Bien et du Faux sur le Vrai. Et à ce jour, hélas... nous sommes bien mal partis ! '' Mais j'ai dû me fourrer un doigt dans l’œil, ''quelque part'' : en cet été de tous les dangers où, comme le dit un titre de Nicolas Baverez, '' Nous dansons sur un volcan'', je ne croise que des gens heureux ou -à tout le moins- contents. La mode, en 2024, est au vacancier heu-reux
Oubliées, les ''rabias'' contre Macron et les gros mensonges post-élections européennes... Envolées les craintes pourtant toutes justifiées sur l'immigration et la sécurité... Balayés, les bobards énormes et les contes de sorcières qui ont été déversés sur nous lors du second tour des pseudo-législatives... Nettoyées, les peurs de la décennie précédente sur la terre et le climat ou la fonte de tas de choses un peu partout, sur le tri dans dans la poubelle, la peur de la Gauche pour les sages, la peur de la Droite pour les myopes et la peur du centre pour les décentrés et les con-centrés... En six mots comme en mille : ''Dormez, braves gens, tout va bien''...
Il a suffi que les jeux olympiques se déroulent normalement, comme il était prévisible qu'ils se déroulent : sans les drames planétaires annoncés à grand renfort de fake-news et de budgets de ''Comm''. L'énorme préparation psychologique destinée à nous faire croire que tout ce que la terre porte de djihadistes-candidats-au-suicide était dans les starting blocks (de manière à faire passer le prévisible ''il ne se passe rien'' comme une immense victoire du macronisme et du darmananisme, unis, comme toujours, dans l'endormissement des cerveaux, la manipulation des foules et le viol des intelligences), a porté ses fruits : la Nation s'est endormie dans la douceur de l'été. Tout peuple, depuis toujours et à jamais, aspire à la quiétude, au bien-être, à la douceur de vivre...
Le pouvoir peut être content : au moment où il a temporairement arrêté de nous faire paniquer en ne parlant presque plus de Poutine dans ses termes ''con-venus'', où il admet que Kamala Harris serait un choix infiniment plus dévastateur que le très-détesté-en-France ''homme à l'oreille coupée'', et où le silence des medias ''Main stream'', toujoursaux ordres, nous assourdit... les braves gens peuvent croire que, à force de ne plus parler des vrais problèmes, ils auraient disparu comme par enchantement : nombre de français commence à croire que ni l'immigration, ni la violence urbaine, ni la drogue (etc...) ne peuvent avoir de corrélation entre elles et d'influence sur eux... et que, finalement, les vacances, c'est bien agréable (ce sur quoi je suis d'accord avec eux !)
Il n'empêche... Au fur et à mesure que l'Europe –qui commence enfin à comprendre qu'elle n'a rien à faire dans cet ''indémerdable merdier'' (Pardon. Si vous avez un meilleur mot, je suis preneur !)-- fait la danse du ventre pour se dégager du conflit russo-ukrainien, en douce, pour ne pas qu'il soit connu que les livraisons des armes promises sont asymptotes à zéro et que Zélensky se prépare à se jeter dans une guerilla où le petit taon va piquer le gros ours ici et là... au fur et à mesure que l'Iran, devant l'entêtement d'Israël à ne pas écouter les sirènes onusiennes et les conseils de modération donnés par ceux qui veulent sa fin, va finir par ouvrir un front Hezbollah au nord… nous nous rapprochons à pas feutrés de vraies guerres... pendant que, la date fatidique approchant, une intervention musclée chinoise devient de plus en plus prévisible dans le détroit de Formose. ''Tout va bien...'', qu'ils nous répètent !
Mais n'ayez aucune crainte, amis lecteurs : pendant que le monde hésite entre effondrement, écroulement et dégringolade, Macron et son extraordinaire aptitude à procrastiner veillent sur vous. Nous ne sommes pas près d'avoir un gouvernement (et, à en juger par l'expérience de nos amis belges, ce serait plutôt la seule vraie bonne nouvelle du moment !), la France est divisée comme rarement (j'ai vécu, contrairement à ceux qui en parlent trop souvent, la rivalité Pétain-De Gaulle), et le monde a, littéralement perdu la tête. Les anciennes ''racines''(qui permettaient de s'accrocher en attendant la fin de l'ouragan) ont disparu, sont ridiculisées et plus que mollement défendues, même par ceux qui se souviennent encore de leur ''avoir existé'', et qui savent encore que là seulement se cache, honteusement, la seule et ultime possibilité d'éviter l'effilochage en cours.
Comme les lecteurs habituels de ce Blog s'en souviennent peut-être, j'ai pas mal ''crapahuté'' cet été, d'est en ouest et du nord au sud de la France, et j'ai pu vérifier la volonté (couronnée de succès) de nos concitoyens pour le bonheur... Les côtes semblent s'enfoncer sous le poids des foules de touristes, les montagnes sont usées par les chaussures de hordes de vacanciers, les résidences secondaires ont fait le plein –dans la crainte, sans doute que la connerie militante des mélenchoniens ne les réquisitionnent comme le recommande leur stupide et surtout mortifère ''programme''... C'est à peine, disent certains commerçants, s'ils dépensent peut-être un peu moins. Mais regardez ces vacanciers : sincèrement, combien en avez-vous entendu qui arrêtaient de léchouiller leur cornet ''king size'' pour évoquer la politique, sous quelque forme que ce soit, intérieure, extérieure, mondiale ? Je vais vous économiser la fatigue –même légère-- de rechercher : la réponse est : zéro, sauf exception !
''Les peuples heureux n'ont pas d'histoire'', dit le proverbe... Alors que je n'ai jamais été d'accord avec cette affirmation, je commence à me rallier à ce qu'elle sous-entend : à force de ne plus avoir d'histoire au présent et de réécrire sans cesse des mensonges progressistes sur son passé, le peuple français est bel et bien en train de sortir de l'Histoire. Et le plus fort, c'est qu'il semble en être heureux... Le réveil –s'il peut encore avoir lieu-- sera terrible, je le crains... Mais en attendant, nous voici revenus en l'an 215 avant JC, au temps des guerres puniques : l'été 2024 aura ressemblé à s'y méprendre aux délices de Capoue, qui ont sonné la fin de la civilisation carthaginoise...
H-Cl.
8 notes · View notes
a-room-of-my-own · 1 year ago
Text
Le plus beau triple lutz du week-end revient aux féministes d’extrême gauche qui défendent l’écriture inclusive et voient de la culture du viol partout tout en défendant des viols de guerre au nom de l’anticolonialisme
30 notes · View notes
lepartidelamort · 4 months ago
Text
Le régime génocidaire de Tel Aviv interdit le secrétaire général de l’ONU d’entrer en Palestine occupée.
Imaginez si un seul autre état faisait de même.
Tumblr media
Antonio Gutteres refuse de soutenir la régime de Tel Aviv dans son entreprise génocidaire global. Les juifs veulent l’assassiner en faisant sauter son smartphone.
Les juifs sont sur tous les fronts.
Ils ouvrent un front tous jours.
Cette fois, ils viennent de déclarer la guerre à l’ONU.
Ce n’est peut être pas la décision la plus habile que les juifs aient prise.
Aujourd’hui, j’ai déclaré le Secrétaire général de l’ONU @antonioguterres persona non grata en Israël et lui ai interdit d’entrer dans le pays.
Quiconque ne peut pas condamner sans équivoque l’attaque odieuse de l’Iran contre Israël, comme l’ont fait presque tous les pays du monde, ne mérite pas de fouler le sol israélien.
Ce secrétaire général n’a toujours pas dénoncé le massacre et les atrocités sexuelles commis par les assassins du Hamas le 7 octobre, et il n’a pas non plus mené d’efforts pour les déclarer organisation terroriste.
Un secrétaire général qui soutient les terroristes, les violeurs et les assassins du Hamas, du Hezbollah, des Houthis et maintenant de l’Iran – le vaisseau mère de la terreur mondiale – restera dans les mémoires comme une tache dans l’histoire de l’ONU.
Israël continuera à défendre ses citoyens et sa dignité nationale, avec ou sans António Guterres.
Tumblr media
Je ne sais pas de quelles « atrocités sexuelles » parle ce juif.
Le Hamas n’a jamais violé personne.
D’ailleurs les juives qui n’ont pas été violées par le Hamas ont été si choquées de ne pas se faire violer qu’elles l’ont accusé de viol.
C’est le même principe que l’holocauste.
Tumblr media
Et ces juifs qui s’indignent sont les mêmes qui se livrent à des atrocités très réelles que n’importe qui peut voir.
C’est le degré de leur puante impunité.
Tumblr media
Nous en sommes au stade où la Corée du Nord est bien plus respectueuse des institutions internationales que ces juifs.
Quand on songe que l’ONU a été créée en 1945 par les juifs pour sceller leur domination dans le marbre de la loi internationale, on mesure à quel point l’empire qu’ils ont créé est en train de s’effondrer.
L’ONU ne devrait plus durer très longtemps pour cette même raison. Les juifs finiront par ordonner aux États-Unis de quitter cette structure pour la faire s’effondrer.
C’est inévitable.
Au passage la France perdra le peu d’influence qu’elle exerce encore via cette structure.
Dans l’absolu, c’est une excellente chose, le principe de l’ONU est foncièrement juif et repose sur le mythe de l’unification planétaire. D’ailleurs la déclaration des droits de l’homme de l’ONU a été co-écrite par un juif, René Cassin, éminence grise de De Gaulle. On ne peut pas y avoir une loi commune pour différentes races ou nations qui ne partagent rien en commun en termes de valeurs. C’est impossible.
Paradoxalement, la seule valeur qui fasse aujourd’hui l’unanimité au plan mondial est le refus de laisser les juifs perpétrer un génocide et c’est aussi ce qui pousse les juifs à vouloir détruire l’ONU.
La meilleure solution est effectivement de se servir de l’ONU pour détruire la menace juive globale avant de dissoudre cette organisation.
Démocratie Participative
5 notes · View notes
actualiteandco · 2 months ago
Text
Forcées au silence :
Les Femmes en Afghanistan
Tout d’abord, afin de comprendre la situation actuelle des femmes en Afghanistan, il faut retourner en 1992. L’Afghanistan se retrouve au cœur de conflits militaires et de difficultés économiques dans lequel l’application de la Charia est mise en place; considérée comme « le chemin pour respecter la loi divine » en Afghanistan, en occident elle est considérée comme tout l’inverse car certains aspects sont évalués comme incompatible avec les valeurs des Droits de L’homme, notamment en ce qui concerne la liberté d’expression, la liberté de croyance, la liberté sexuelle mais surtout la liberté des femmes. Cependant, c’est à l’arrivée des Talibans au pouvoir en 1996, que la situation se renforce. Le pouvoir des Talibans en Afghanistan se fait de plus en plus répressif auprès de sa population; les droits des femmes régressent, elles n’ont plus l’autorisation d’étudier ou encore d’exercer un métier, le port de la burqa autrefois optionnel devient alors obligatoire sous peine d’être lynchées par les Agents du Ministère pour la Promotion de la Vertu et la Répression du Vice (ayant existé le temps du pouvoir des talibans). Quelques temps après l’attentat du 11 septembre, les États-Unis avec la collaboration des pays occidentaux, partenaires de l’OTAN déploient leurs forces militaires et chassent les talibans du pouvoir. Malgré la chute des Talibans au pouvoir, la situation des femmes afghanes ne s’améliorent pas pour autant, en effet sous la présidence d’Hamid Karzaï entre 2001 et 2014, les violences faites aux femmes ne font qu’augmenter. C’est alors en 2015 que le monde se retrouve en émoi face au lynchage d’une jeune femme de 27 ans du nom de Farkhunda Malikzada, publiquement assassinée par une foule à Kaboul à la suite d’accusations mensongères. Ce meurtre a attiré l’attention sur la situation des femmes en Afghanistan et a suscité le questionnement quant au traitement de leurs droits.
Retour au 15 août 2021, 20 ans après la chute des talibans, ils rentrent à Kaboul et reprennent le pouvoir. Le nouveau régime pleins de promesses sur leur « modernisation » cependant les faits rattrapent vite les dires et les déclarations. Le secrétaire général de l’ONU s’exprime sur la situation et montre son inquiétude face à la perte dite « attendue » des droits des femmes « durement acquis ». Ses inquiétudes sont alors confirmées lorsque les talibans retournent progressivement à un État consistant à la suppression de la femme dans le monde politique mais aussi tout simplement à la suppression de son identité car toujours affiliée à un homme pour montrer son appartenance « la fille de… »; « la sœur de… ». En dépit, d’un gouvernement autoritaire l’ancien régime possédait un système judiciaire fonctionnel dans lequel pendant 20 ans, 270 femmes magistrates travaillèrent. Le nouveau régime, décide d’adopter la loi du talion : Œil pour Œil ( -> régime qui se repose sur la vengeance d’anciennes juges traquées par des hommes qu’elles avaient fait condamner pour viols ou alors meurtres, généralement sur les femmes). Peu à peu, une répression progressive a lieu et les actes d’intimidation à l’égard des femmes s’intensifient. C’est le début de la guerre des talibans contre leurs ennemis numéro 1 : les femmes.
Est alors marqué d’une pierre blanche la date du 5 novembre 2021, 4 cadavres de manifestantes sans vie sont retrouvées, corps criblés de balle, les suspects sont arrêtés, cependant pour la poétesse de renom Hoda Khamosh, un seul coupable serait à la tête de ce féminicide est ces coupables seraient les talibans. En dépit des contestations et des manifestations, la peur s’installe dans le cœur des afghanes; leurs rencontres dites féministes sont de moins en moins fréquentes. C’est alors que le monde observe l’effacement de l’identité des femmes afghanes dans les espaces publiques de certains quartiers de Kaboul mais aussi de la vie citoyenne. Ainsi l’objectif des talibans est atteint aux yeux du monde entier. De fil en aiguille, leurs droits leur sont retirée et elle sont empêchées d’accès aux mêmes opportunités d’éducation que les hommes, en 2022, les écoles secondaires pour filles sont fermées. Au mépris de leurs propres déclarations, sur leur soi-disant « respect » des droits des femmes, les talibans réinstallent le port de la burqa de manière obligatoire de la même façon qu’au premier régime. « La burqa n’est pas mon hijab » devient un symbole de protestation et de confrontation contre ce régime oppressif. C’est le retour d’une époque sordide, souvent survolée en vue des progrès effectués sur les droits des femmes.
Pas à pas de nouvelles restrictions sont instaurées tout d’abord centrés sur leurs libertés d’accès aux espaces publics; interdiction définitive aux jardins et aux parcs publics suivis ensuite par l’interdiction des bains publics et les salles de sport, puis, à une atteinte à leur accès à l’éducation; l’accès aux études supérieures devient à son tour interdit aux femmes. De 2023 à 2024, le régime taliban dérobe par étapes, les droits des femmes afghanes et ne se cache plus de sa volonté de les réduire à un état moindre, le leader de ce régime autoritaire Haibatullah Akhundzada proclame « Vous direz peut-être que la lapidation est une infraction des droits des femmes. Bientôt nous allons appliquer ce châtiment à l’adultère et lapider des femmes en public. Nous allons publiquement flageller des femmes »; ces propos choquants concentrent les yeux du monde entier sur la condition des femmes en Afghanistan. Le régime autoritaire les restreint de tout, chanter, lire en public, se déplacer sans mahram*, se maquiller, se parfumer, d’être entendu en public mais surtout de se parler entre elles. Cette loi de répression met l’Afghanistan au cœur des suscitations, certains viendraient même à comparer cette nouvelle loi et régime oppressants aux situations exposées dans le livre dystopique, La Servante Écarlate (The Handmaid’s Tale) , le régime taliban similaire à la dictature de Gilead et les servantes aux femmes afghanes.
Enfin, le régime taliban cherche un moyen de non seulement isoler les femmes afghanes de leur propre population mais également de les couper du monde extérieur.
*mahram : est, pour une femme musulmane, selon la charia, un « gardien », c'est-à-dire, un homme de sa famille avec lequel elle ne peut pas se marier.
Tumblr media
Alexandra BITUMBU
2 notes · View notes
clyn4ever · 3 months ago
Text
Imagine, un instant, cette scène déconcertante qui s’est jouée en 2016, répétée dans sa terrible ironie en 2024, où un peuple tout entier se trouve confronté au choix de son avenir. Les États-Unis, cette nation qui se veut le phare de la démocratie moderne, ce prétendu bastion de liberté et d’égalité, a préféré porter aux nues un homme ou comme j’aime à l’appeler un déchet humain, dont les travers semblent arrachés aux heures les plus sombres de notre histoire : misogyne notoire, raciste décomplexé, assombri par des accusations criminelles, et même des allégations de viol.
Et que dire des droits des femmes, constamment piétinés ? Voici un homme qui se bat avec acharnement pour renverser les acquis fondamentaux, comme le droit à disposer de son propre corps, prônant une régression à l’époque où les femmes n’étaient guère plus que des citoyennes de seconde zone. Un homme pour qui l’existence des personnes LGBTQIA+ ne suscite qu’indifférence, voire mépris, et qui rêve d’un monde où la diversité n’est qu’une cible à ridiculiser ou à effacer. Un homme pour qui les immigrés, ces âmes venues chercher refuge ou un avenir meilleur, sont traités comme une menace, une plaie à éradiquer.
Et face à lui, deux femmes, à huit ans d’intervalle. Des femmes dont l’expérience, la rigueur et l’engagement auraient, en toute justice, dû inspirer l’estime. Mais non. On les a diabolisées, on les a jugées avec une sévérité disproportionnée, comme si la seule audace d’une femme à briguer le pouvoir était une offense. On leur a attribué toutes les tares d’un monde dont elles n’étaient que les victime expiatoires, tandis que l’homme, avec ses failles béantes, sa rhétorique de haine, et son mépris affiché pour les valeurs humaines, a trouvé ses soutiens.
Le choix de 2016 et la rechute de 2024 ne sont pas que des revers politiques : ils sont la preuve accablante d’une culture qui, même après des siècles de lutte pour l’égalité, préfère encore donner sa voix à la figure de l’autoritarisme masculin, aussi viciée soit-elle, plutôt que de donner sa chance à une femme. En élisant l’oppression personnifiée, ce pays a montré combien le chemin vers la véritable équité reste tragiquement inachevé.
Je crains, profondément, pour l’avenir de l’humanité. Comment pourrais-je ne pas être hantée par cette angoisse sourde, face au spectacle des élections présidentielles américaines dont le verdict retentit jusque sur nos rivages européens, empoisonnant l’air de nos démocraties déjà fragiles ? Ce choix de leader, plus qu’un simple vote, est une onde de choc qui ébranle notre monde, un avertissement que les valeurs que nous pensions inébranlables vacillent sous la poussée d’une vague de populisme, de division et de désespoir.
En voyant l’Amérique se tourner à nouveau vers un homme qui ne porte que le mépris pour le multilatéralisme, le réchauffement climatique, et les droits humains, je me demande ce que l’avenir nous réserve, ici en Europe. Aurons-nous la force de résister ? Aurons-nous l’unité nécessaire pour défendre nos démocraties contre les influences toxiques qui viennent d’outre-Atlantique ? Car ne nous y trompons pas : un tel résultat est un présage funeste, une promesse de tensions croissantes, de politiques de repli, de guerres ��conomiques qui menacent déjà nos économies, nos sociétés, et nos libertés.
Comment préserver l’espoir, alors que les progrès en matière d’écologie, de justice sociale, et de paix mondiale sont remis en cause ? Le monde vacille, l’ombre de l’incertitude s’étend, et il devient difficile de ne pas craindre une descente accélérée vers le chaos, un retour aux époques où la force brute et la rhétorique de la peur prenaient le dessus sur l’espoir, la coopération, et le dialogue.
En cette heure incertaine, je tremble à l’idée d’un avenir où les alliances fragiles qui protègent encore notre sécurité se fissurent, où l’extrémisme et la haine contaminent nos discours et nos urnes. Une Europe affaiblie par les turbulences de ce nouveau mandat américain semble être la proie rêvée pour le populisme, la désinformation, et la montée des nationalismes qui menacent de défaire tout ce que nous avons bâti avec tant de peine. Alors oui, j’ai peur, mais cette peur doit peut-être nous alerter, nous réveiller, avant qu’il ne soit trop tard.
2 notes · View notes
aurevoirmonty · 3 months ago
Text
Lavrov balaie le «scoop» de Mark Rutte: «Les accusations sournoises de l’OTAN font partie de la guerre hybride contre la Russie»
«Les accords de coopération militaires entre la Russie et la Corée du Nord ne sont pas secrets, ils sont publics», a rappelé le chef de la diplomatie russe.
Le texte entier est publié et il ne viole en aucune manière les dispositions du droit international.
Et Lavrov de rappeler la base:
En Ukraine, «il y a des mercenaires, des soi-disant "volontaires", ainsi des instructeurs directs de l’OTAN et des spécialistes occidentaux».
«Les militaires occidentaux travaillent depuis longtemps en Ukraine».
5 notes · View notes
alexar60 · 1 year ago
Text
Whisky
Tumblr media
Whisky ou le soleil me fuit. Voilà un thème qui ne m’inspire pas vraiment. Le soleil ? Mon premier poème s’appelait « Ode au soleil ». J’avais 10 ans et je ne m’en souviens plus. Et l’autre, autant dire que le whisky me fuit. Je n’en bois pas. Je ne déteste pas ça mais je n’en bois pas. Je devrais peut-être boire un verre de whisky, goûter, apprécier son arôme. Seulement, les whiskies qu’on trouve dans le commerce ne sont pas les meilleurs. Je laisse plutôt cela à un pote qui boit du ‘Aberlour’, un autre boit du Chivas. Eux pourraient mieux parler du Whisky.
En cherchant l’inspiration parmi les photos archivées dans mon ordinateur, j’ai imaginé des histoires qui, je le reconnais ne m’enchantent guerre. La première concernait un enfant de trois ou quatre ans appelant les secours parce que sa mère était dans comas, après avoir enfilé une bouteille de whisky. Je partais sur la discussion entre l’opérateur et l’enfant qui ne connaissait même pas son adresse. Seulement, il existe tellement d’histoires de ce genre dans la réalité, que je me sens mal à l’aise à la développer.
La seconde qui m’est venue était une prostituée alcoolique, qui après avoir bu un verre de whisky avec son prochain client, partait faire sa petite affaire. Aussi, le client en question était un célèbre tueur en série appelé Jack l’éventreur. Histoire écrite, réécrite, et corrigée depuis.
La troisième histoire aurait été au sujet du viol d’une amérindienne par des cowboys, après l’avoir saoulée au whisky. Rien de bien réjouissant et on trouve beaucoup d’histoires de ce genre dans les westerns. Je peux vraiment dire que le whisky n’est pas ma tasse de thé.
Je me suis posé cette question : quelle image j’avais du whisky ? Elle m’est venue avec évidence : Machisme, puissance et sexe. C’est marrant d’avoir cette opinion sur le whisky. Je parle du whisky bu sec ou avec des glaçons. Pas celui mélangé avec du soda. Après, j’ai repensé aux blagues dans lesquels on parle de whisky.
La première trouvée dans le film « la cité de la peur ».
Gérard Darmon: Vous voulez un whisky ?
Chantal Lauby : Juste un doigt.
Gérard Darmon : Vous ne voulez pas un whisky d’abord ?
La seconde de Coluche :
Un commandant de bord s’adresse aux passagers après le décollage de l’avion. Il n’éteint pas les hauts parleurs et continue de parler à son second : « Je bois un whisky et après je me tape l’hôtesse de l’air ». En entendant cela, l’hôtesse rougit et se précipite vers le cockpit. Soudain un passager l’arrête : « Ne soyez pas pressée, il a dit qu’il boit un whisky d’abord ! ».
Enfin, la troisième, ma préférée.
Un type entre dans un bar. « Sept whiskys, je fête ma première fellation ! ». Le barman le sert en disant : « Ah si c’est votre première, permettez-moi de vous offrir le huitième ». Le gars répond : « Merci, mais sept devraient suffire pour m’enlever le gout. »
Voilà, ça c’est fait. Je vous souhaite une bonne nuit.
PS: Notez qu'au pluriel, on peut écrire: Whiskies et whiskys.
Alex@r60 – août 2023
Photo : Gérard Darmon et Chantal Lauby dans la cité de la peur.
19 notes · View notes
thebusylilbee · 1 year ago
Text
« Parce que bat aujourd’hui son plein en France une propagande qui manipule le signifiant féminisme, comme elle manipule le signifiant d’antisémitisme, il nous appartient, en tant que féministes, non seulement de la dénoncer pour ce qu’elle est, mais d’affirmer un positionnement radicalement solidaire de la lutte contre le colonialisme et l’impérialisme. » Une tribune signée, entre autres, par les intellectuelles et militantes féministes Sam Bourcier, Elsa Dorlin, Sara Farris, Silvia Federici, Émilie Hache et Isabelle Stengers.
« Cet appel n’est pas politique. Cet appel est purement féministe et humaniste ». Ainsi se conclut la récente tribune publiée par Libération appelant à la « reconnaissance d’un féminicide de masse le 7 octobre ». 
Pas politique mais purement féministe. Pas politique, mais purement signé par, non pas un, mais deux ex-ambassadeurs d’Israël (dont l’un fut également conseiller de presse...) . Les souliers sont gros, les ficelles, exhibées, l’ironie, évidente : cette tribune n’est pas féministe, mais politique. Parce qu’elle ne relève que d’une pure opération de propagande, faisant sienne la stratégie longuement éprouvée du pinkwashing israélien, son contenu ne saurait même être l’objet d’une discussion aussi polémique soit-elle. La colonisation, le génocide en cours et la propagande qui les accompagne ne se discutent pas, mais se combattent radicalement. 
La possibilité que le terme de « féminisme » soit utilisé dans une si abjecte opération résulte également de notre faiblesse à la contrer, voire à la prévenir : il s’agit donc, urgemment, de refermer la porte ouverte à ce que de telles idées deviennent formulables et audibles. L’obscène propagande de guerre qui soutient cette tribune fait sciemment l’impasse de toute contextualisation de la situation pour la réifier et in fine réitérer la vision d’un monde musulman barbare contre une population israélienne féminisée et ainsi lavée et blanchie de tout soupçon. La condamnation sans appel des combattants du Hamas s’arrime en effet à la construction d’un Orient monstrueux, nécessairement coupable des pires atrocités contre les femmes, permettant ainsi une fois de plus d’annuler toute perspective historique quant à la violence intrinsèque à la colonisation.
C’est précisément parce que cette propagande bat aujourd’hui son plein en France, y compris en manipulant le signifiant féminisme (comme elle manipule le signifiant d’antisémitisme), qu’il nous appartient, en tant que féministes, non seulement de la dénoncer pour ce qu’elle est, mais d’affirmer un positionnement radicalement solidaire de la lutte contre le colonialisme et l’impérialisme.
Comme dans tout conflit armé, la mort de civil.e.s et d'enfants en particulier nous indigne. Mais nous n'oublions pas, pour notre part, les citoyen.ne.s israélien.ne.s qui servent volontairement dans Tsahal et qui, hommes ET femmes, entravent par la force la population Palestinienne aux checkpoints, larguent leurs bombes au phosphore sur la population gazaouie, brutalisent et humilient les palestinien.ne.s, y compris des grands-mères et des grands-pères, dans les territoires occupés, tirent à bout portant sur des manifestant.e.s, arrêtent et emprisonnent illégalement des adolescent.e.s. 
Nous n’oublions pas non plus le traitement spécifique réservé aux prisonnières politiques palestiniennes sur lesquelles le viol a été pratiqué par les services de renseignement israélien, parmi d’autres techniques, pour obtenir des informations. Nous n’oublierons ni Ahed Tamimi, jeune fille arrêtée par l’État Israélien et emprisonnée en dehors de tout cadre légal, ni Mariam Abu Daqqa, militante palestinienne de 72 ans, violemment arrêtée en pleine nuit par 4 policiers français avant d’être brutalement expulsée.
Si tant est qu’une perspective « féministe » soit activable face à la situation en Palestine occupée, celle-ci ne peut s’enraciner que dans un positionnement embarqué, situé : c’est parce que, en tant que mères, sœurs, filles de, compagnes, amies, militantes, nous savons ce qu’il en coûte de violences sur nos corps et nos esprits de vivre dans un monde mutilé par le capitalisme et l’impérialisme, que nous devons nous exprimer sur la situation en Palestine. C’est parce que, toutes autant que nous sommes, nous luttons avec acharnement au quotidien pour en finir avec un monde de violences, que nous ne devons pas céder à la lâcheté des mots d’ordres moraux, lesquels ont la paix à la bouche, mais jamais la justice. Et c’est parce que, enfin, nous tenons intensément à la vie, que notre solidarité va à tout le peuple palestinien : ses femmes et ses enfants, évidemment, mais aussi ses hommes, ceux qui portent les enfants extraits des décombres, ceux qui revendiquent la terre pour nourrir leurs familles, ceux qui avec dignité continuent sans répit de lutter pour la survie et la liberté des leurs. C’est dans leurs luttes, leurs désespoirs et leurs déterminations, mais surtout leur refus de toute résignation, que nous, militantes féministes, souhaitons nous reconnaître.
À cette fin, nous faisons nôtres les revendications du peuple palestinien pour un cessez-le-feu immédiat dans la bande de Gaza, l’arrêt des ventes d’armes à l’État colonial d’Israël, la libération de tou·te·s les prisonnier·e·s palestinien·ne·s. Nous invitons également tou·te·s les organisations féministes à relayer la campagne Boycott Désinvestissement Sanctions, pour un boycott des produits israéliens, et rejoindre massivement les mobilisations en cours pour faire cesser le massacre en Palestine. ●●
11 notes · View notes
helshades · 1 year ago
Text
Ce qui me fascine, au fond, dans le déni du délire antijudaïque conjoints des extrêmes-droites complotistes tant christo-franco-natiochauvines qu'islamistes repris quasiment tel quel par la Gauche béni-oui-oui américanisée de ces dernières années, c'est moins le cynisme électoraliste évident chez certains que la sincérité toute aussi évidente chez d'autres.
Il y a une espèce de voile magique sur les yeux d'une partie du gauchisme post-moderne qui glapit son « antisionisme » à tout bout de champ en essentialisant tellement ce fameux sionisme qu'il ne fait aucun doute qu'il s'agit de juiverie et pas de positionnement politique. Je repense souvent au titre du plus célèbre brûlot de la papesse de l'indigénisme francophone, ce Les Blancs, les Juifs et nous fiévreux de bêtise satisfaite où l'on entend tinter la machine à sous entre chaque ligne — parce que le racisme anti-tout-sauf-arabe-et-musulman rapporte, depuis une paire d'années, quand même.
Bref, j'ai l'impression que pour les petits blancs qui composent le gros de l'électorat éléfiste, le Juif est une sorte d'Überweißer qui bénéficie de tous les privilèges censément accordés à la naissance de toute personne de la race et qui de surcroît jouit de ce don suprême du statut de victime ultime et éternelle en raison de son histoire récente comme objet du pire massacre de l'Humanité. Il ne faut pas perdre de vue la logique post-moderne de l'identitarisme qui hiérarchise les groupes humains en fonction du nombre de cases à cocher dans le bingo intersectionnel. Le Juif est une figure intensément problématique parce qu'il est à la fois « blanc » (dans la tête de ses ennemis, ethno-nationalistes européens notoirement exceptés) et victime de racisme systémique à travers l'histoire mondiale. Or, il s'opère une véritable jalousie de la victimité, un ressentiment marqué pour qui appartiendrait à un groupe aux souffrances indéniables, ou tout au moins qui requièrent un plus grand effort pour les minimiser voire les nier.
Il y a un refus généralisé à gauche en Occident à l'heure présente de reconnaître la part de racisme féroce qui sous-tend le grand mouvement international de « soutien à la Palestine » — en prônant l'annihilation pure et simple d'Israël et généralement de tous les juifs — alors même que des drapeaux de l'État islamique ont endeuillé les mêmes cortèges londoniens d'où l'on a chassé des militants gays, et que la foule massée à Sidney scandait « Gas the Jews! ». Une chose que l'on m'a répétée toute mon enfance me revient aussi en tête ces derniers temps : comme on fait son lit, on se couche. Les anglophones ont une expression similaire à propos des gens avec lesquels on choisit d'aller se coucher.
Les Israéliens ont rassemblé un vaste panel de journalistes étrangers pour leur montrer des images et vidéos issues de caméras de surveillance qui ont capturé une partie des massacres du 7 octobre. Ils ont quelque peu tardé à le faire ; ils ont choisi de ne pas publier ailleurs ces éléments, par respect disent-ils pour les familles. En réalité, on sait que des clips iront alimenter en boucle la propagande jihadesque, la tuerie géante du 7 octobre ayant donné lieu à de grandes manifestations de liesse dans le monde. Les journalistes, occidentaux surtout, sont chargés d'aller répéter dans leurs pays respectifs la réalité du pogrom, d'ores et déjà niée par pléthore de bonnes âmes qui se persuadent avec application que d'éventrer des femmes enceintes ou arracher les yeux et couper des doigts à des parents devant leurs enfants, de décapiter des vieillards à coups de bêche ou de filmer le viol de petits garçons pour en envoyer la vidéo à leurs pères — que tout ceci constitue un acte de résistance à l'oppression.
Je ne publierai pas de photos ni de vidéos démontrant l'horreur d'une boucherie délibérée dirigée contre les seuls civils. L'image est une arme de guerre. Il ne fait aucun doute que Tsahal ne se prive pas de s'en servir. La seule attitude digne et sage pour la population occidentale si éloignée de ce conflit devrait être de ne pas prendre parti et de pleurer tous les morts en frères, de quelque côté qu'ils mourussent. Je ne pense pas avoir besoin de contempler le cadavre d'un nourrisson étêté et vidé comme un poisson, ni le corps tordu d'un père pleurant prostré sur le corps de ses enfants, pas plus que des ruines ou des bâtiments en flammes, pour honnir la guerre et ce qu'elle fait à ceux qui l'ont parfois peut-être appelée de leurs vœux par ignorance mais qui ne l'ont jamais décidée.
Je suis révulsée, plus que tout, par le soin méticuleux que mettent tant de progressistes autoproclamés à se coller des œillères quand il s'agit d'islam. J'y vois un profond mépris, en réalité, pour l'objet professé de leurs attendrissements : il est là, le plus veule et feutré des racismes, dans le refus constant de reconnaître un libre-arbitre et la même capacité au mal chez le musulman que chez un autre. Ces aveugles-là n'hésiteront d'aucun royaume, et leur lâcheté perdra tous ceux qui voient encore quelque chose. Pourquoi faut-il toujours qu'ils ne voient dans l'islam que ce qu'en clament ses plus sinistres chantres ? Pourquoi ne veulent-ils comme porte-parole que les plus extrémistes idéologues, qui ne s'embarrassent même plus de taqîyya pour séduire ces cuistres masochistes ?
10 notes · View notes
lemondeabicyclette · 1 year ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
MIGRANTS + RELIGIONS + BIG BUSINE$$ = CRISE FRONTALIÈRE (ET AVANT-HIER)
"En plus de l'ONU qui offre des trousses sanitaires et MSF avec ses cliniques (carte ci-haut), d'importants groupes caritatifs religieux sont derrière cette vague (ce tsunami) de migrants illégaux : Catholic Charities/US Conference of Catholic Bishops + Lutheran Immigration and Refugee Services + Church World Services + World Relief + HIAS Hebrew Immigrant Aid Society + Episcopal Migration Ministries qui affichent des revenus annuels de plus de US$2 milliards (non imposables, bien sûr). "Ces migrants proviennent d'Amérique du Sud mais aussi du Moyen-Orient (Istanbul et vols vers la Colombie), Chine avec leurs réseaux de passeurs professionnels, Venezuela (Iraniens parfaitement hispanophones) et autres contrées surexploitées par des criminels et autres extrémistes de la droite subversive. "Ces masses surtout masculines (où sont les femmes et les enfants ?) passent aussi par le Canada "la plus vaste frontière au monde."
Tumblr media
Michael Yon, le plus expérimenté des correspondants de guerre états-uniens; ex Green Beret durant son entrevue avec Del Bigtree, l'animateur de The Highwire le 1er février 2024 - Borderline Episode 357 "Les organismes de bienfaisance catholiques sont partout au-delà de la frontière au Texas. Certains embauchant des voyous fascistes en uniforme, à la fois de la sécurité privée et des flics corrompus, pour protéger leur opération de traite des êtres humains dans la vallée du Rio Grande.  "HIAS est PARTOUT au Panama, construisant des camps pour envahisseurs avec le soutien de Mayorkas (patron de Homeland Security), ancien membre du conseil d'administration avec Sergey Brin (fondateur de Google), qui sont derrière ce projet avec leur massif pouvoir politique et médiatique. "Rappelez-vous, la lutte contre les tenants du HIAS soutient en fait les Juifs orthodoxes. Le « H » de Hebrew dans HIAS est aléatoire car il ne représente que les sionistes et non pas les Juifs. La lutte contre les « Catholic » Charities soutient les catholiques traditionnels. Et ce sans compter sur l'entreprise privée (ci-bas, les "partenaires corporatifs du HIAS).
Tumblr media
"Le marxisme adore les techniques de viol de l'esprit conçues pour vous embrouiller.
"Ne vous méprenez pas. Développez votre propre vision et la persévérance de « David » contre ces satanistes Goliath. " Michael Yon - substack. (captures d'écran © the highwire/michael yon)
3 notes · View notes
alain-keler · 1 year ago
Text
Tumblr media
Journal d’un photographe. 
Dimanche 31 décembre 2023.
Ce n’est pas du cinéma, c’est dans le métro parisien.
Le temps qui passe. 
Dernier jour d’une année que je trouve triste. Pauvreté, guerres, violence.
Gaza et tous ces morts dans une offensive sans fin. Les viols monstrueux commis par le Hamas le 7 octobre. On en parle plus comme si cela n’avait pas existé, la violence sexuelle comme arme de guerre.
5 notes · View notes