#Thriller psychologique
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Brad Pitt : quels sont les meilleurs titres de sa filmographie ?
Qui ne connaît pas Brad Pitt ? Cet acteur légendaire, non seulement reconnu pour son talent exceptionnel, mais aussi pour son charisme irrésistible et ses histoires d’amour médiatisées ! À l’occasion de son anniversaire, célébré il y a quelques jours, plongeons dans les films les plus marquants de sa carrière, ceux qui ont rencontré un immense succès et qui ont consolidé sa place parmi les plus…
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Et chaque fois, mourir un peu - Trauma[s]
Auteur : Karine Giebel Titre : Et chaque fois, mourir un peu – Trauma[s] ISBN : 9782385771362 – Edition Récamier Date de sortie officiel : 10 octobre 2024 4eme de couverture : Après des années sur le front sans arme ni gilet pare-balle, après des années à soigner les autres au péril de sa vie sous l’égide de la croix rouge internationale, après avoir pris de plus en plus de risques jusqu’au…
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#amitié#amour#Drame#folie#Guerre#humanitaire#Littérature Française#Littérature Générale#Mort#policier historique#psychiatrie#Roman#roman noir#romans policiers et polars#saga#Suspense#thriller#Thriller Psychologique#traumatisme#vie
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Quelqu'un d'autre de Guillaume Musso
Comme chaque année, je me suis lancée dans la lecture du dernier opus de Guillaume Musso. Les années se suivent et les romans de l’auteur français aux millions de livres vendus me donnent l’impression de jouer à pile ou face. Pile : Ce roman mérité ma lecture. Face : Je passe. Cette année, la pioche fut bonne. « Quelqu’un d’autre » paru en mars dernier aux éditions Calmann-Lévy m’a offert un…
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#2024#Accident#Amour#Côte d&039;Azur#Contemporain#Editions Calmann-Lévy#Enquêtes#Guillaume Muss#Guillaume Musso#Jalousie#Littérature française#Maladie#meurtre#Page turner#Partenariat non rémunéré#Psychiatrie#Quelqu&039;un d&039;autre#Roman#suspense#Thriller psychologique#Vacances
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Deja Vu written by Vasca Vannisa literally so oh my God. starting from the death of her paralyzed biological mother who was killed, her father who mysteriously disappeared, the strange incident at the carnival, HER MEETING WITH THE TAXI DRIVER AND THE WOMAN IN THE PSYCHIATHER'S WARD MADE ME JAW. Mona as a teenager deserve so much better.
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Quelqu'un d'autre : Le Nouveau Thriller Psychologique signé Guillaume Musso
Nouveau Roman 2024 : "Quelqu'un d'autre" ∞ Le Nouveau Thriller Psychologique signé Guillaume Musso "Quelqu'un d'autre" ♾ https://amzn.to/3UO9ocY Découvrez en avant-première l'intrigue du nouveau #GuillaumeMusso, le maître du #suspense vous réserve encore des frissons ! 😰 Plongez dans les méandres psychologiques de "Quelqu'un d'autre", son #thriller les plus abouti à ce jour. 🕵️♀️ Entre #mystère et #manipulations, ses personnages complexes aux ressorts intimes vous tiendront en haleine. 🤯 Suivez dès maintenant sur notre site le fil rouge de cette enquête #policière aux rebondissements garantis. 🚨 Le génie du #polar #psychologique vous surprendra jusqu'à la toute dernière page de ce #récit haletant. 📖 Partagez cet article passionnant et rejoignez la communauté des fans de l'écrivain français le plus lu au #monde ! 🤝🌎 En savoir+ ➡ https://kingland.fr/quelquun-dautre-le-nouveau-thriller-psychologique-signe-guillaume-musso/
Quelqu’un d’autre : Le Nouveau Thriller Psychologique signé Guillaume Musso Un maître du suspense qui ne cesse de surprendre ses lecteurs. Guillaume Musso revient au printemps 2024 avec “Quelqu’un d’autre“, un nouveau polar psychologique aux promesses alléchantes. Avec ce 22ème roman, l’écrivain français le plus lu au monde confirme une fois de plus son statut de maître du suspense. Quelqu’un…
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Décompression
Décompression, Juli Zeh PrésentationAu mois de novembre sur l’île de Lanzarote : paysages minéraux, climat doux mais changeant. La faune et la flore sous-marines des environs en font un lieu de plongée recherché.Sven, le nonchalant instructeur, y organise des cours de plongée mais cette semaine-là, ce sont ses deux singuliers stagiaires qui semblent mener le jeu. Jola et Theo, couple berlinois…
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#12/20#Île#Décompression#Juli Zeh#Liquidation de la liste d&039;envies qui date de 10 ans#OuaisList#Plongée#Roman psychologique#Thriller#Triangle amoureux
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In vino veritas - Magali COLLET et Isabelle VILLAIN
In vino veritas - Magali COLLET et Isabelle VILLAIN
Lors d’un vernissage, une galeriste est assassinée. Secrets, mensonges et trahisons vont secouer la quiétude d’une petite commune en plein coeur du vignoble bordelais. Et lorsque deux frères se retrouvent après des années de séparation, la liberté de l’un va dépendre de la détermination de l’autre. Un thriller psychologique délicieusement machiavélique. En tant que lectrice habituelle d’Isabelle…
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Le dernier arrêt|Ni-ki
✦ Fandom : Enhypen ✦ Personnages : Ni-ki et narratrice ✦ Genres : Horreur, surnaturel, thriller psychologique ✦ Nombre de mots : 2k ✦ TW : Angoisse, isolement, réalité altérée, perte d’un être cher ✦ Résumé : Une jeune femme prend le métro comme à son habitude lorsque soudain, un arrêt brutal plonge le wagon dans le noir. Lorsqu’elle retrouve la lumière, tous les passagers ont disparu. En sortant, elle découvre une ville étrange, floue et irréelle. Elle y retrouve Ni-ki, un ami proche, mais quelque chose en lui semble différent, mélancolique. ✦ Note de l'autrice : L'idée de cette histoire m'est venue un jour où le métro que je prends habituellement a eu un arrêt d'urgence, plongeant les passagers dans l'obscurité totale pendant quelques instants. Ce moment suspendu, à la fois angoissant et fascinant, m'a rappelé une légende urbaine japonaise autour d’une station de métro fantôme : Kisaragi Station.
Le métro gronde sous terre, ses vibrations secouant doucement les passagers qui s’accrochent aux barres métalliques. J’ai mes écouteurs sur les oreilles, la musique couvrant le son mécanique du train. C’est mon quotidien, une routine invariable, où chaque station est un point fixe, une habitude rassurante. Les lumières artificielles défilent à travers les fenêtres, projetant leur lueur blafarde sur les visages fatigués. Une autre journée qui commence, sans surprise, sans éclat. Mais soudain, tout bascule. Un choc brutal me projette presque en avant. Le métro s’arrête, si brusquement que les passagers autour de moi émettent des exclamations de surprise, certains tombent, s’accrochent aux sièges. Puis, sans prévenir, les lumières se mettent à clignoter furieusement avant de s’éteindre complètement. Le noir m’enveloppe. J’entends des cris, des murmures paniqués. Une voix étouffée quelque part appelle quelqu’un, mais le son est comme aspiré par l’obscurité. Le silence tombe, lourd, oppressant, et mon cœur s’accélère, battant la chamade dans ce néant.
Quand les lumières se rallument, tout est différent. Autour de moi, il n’y a plus personne. Le wagon est vide. Je me redresse lentement, mes mains tremblantes agrippées à la barre devant moi. Les sièges désertés, les fenêtres plongées dans un noir d’encre... Je me sens soudain très petite dans cet espace immense et déshumanisé. Je fais quelques pas, mes chaussures crissant légèrement sur le sol.
�� Est-ce qu’il y a quelqu’un ?
Mais aucune réponse ne vient, juste le bourdonnement léger des lampes au-dessus de ma tête. Je me dirige vers les portes, poussée par une curiosité irrésistible et une peur que je ne peux pas ignorer. Celle-ci s’ouvre automatiquement devant moi et je me retrouve dans une station qui m’est inconnue.
L’autre côté est un monde que je ne connais pas. Ou du moins, pas tout à fait. La ville est là, mais elle semble floue, comme une peinture à moitié effacée. Les rues sont vides, les bâtiments s’élèvent, grandioses et menaçants, leurs contours ondulant légèrement, comme dans un rêve. Le ciel est d’un gris étrange, un mélange d’aube et de crépuscule, sans soleil, sans lune. Une lumière diffuse éclaire tout, sans jamais vraiment chasser les ombres. Les murs des bâtiments sont ornés de motifs étranges, et l’écho de mes pas résonne comme une mélodie oubliée. L’atmosphère est chargée d’une énergie singulière, une sensation à la fois familière et terrifiante. Je scrute l’horizon, espérant voir un signe, quelque chose qui m’expliquerait où je suis. Je devrais avoir peur. Tout dans ce moment me crie de faire demi-tour, d’attendre que la réalité se réinstalle. Mais il y a quelque chose d’irrésistible dans cette lumière, une curiosité qui me pousse à avancer. Je marche, le cœur battant, cherchant un signe, quelque chose de familier. Et puis, je le vois. Assis sur un banc, au bout d’une ruelle étroite. Il semble tellement réel, et pourtant, il y a quelque chose d’étrange en lui. Ses yeux, d’habitude pétillants de vie, sont maintenant sombres, presque insondables.
— Ni-ki ! j’appelle, en courant vers lui.
Il tourne la tête, et son regard se pose sur moi, mais je ne vois pas la chaleur et l’amitié que j’ai toujours connues. Il y a une distance, une sorte de mélancolie dans son expression. Je m’arrête devant lui, haletante, et il me regarde de ses grands yeux sombres, une expression douce, mais indéchiffrable sur le visage.
— Qu’est-ce qu’il se passe ici ? Est-ce que je suis en train de rêver ? je demande, tentant
de reprendre mon souffle.
Il hausse les épaules, un léger sourire aux lèvres. Il s’avance, et je sens mon cœur se serrer. Il a toujours été celui qui m’apportait du réconfort, celui qui me faisait rire. Mais maintenant, il semble comme un étranger, perdu dans une réalité qui m’échappe.
— Viens, suis-moi.
Sa main se tend dans ma direction et j’hésite, quelques secondes, avant de lier nos doigts entre eux.
Nous marchons ensemble, et le monde autour de nous change au gré de nos pas. Des scènes de notre vie se dessinent, flottant comme des souvenirs projetés. Je vois la forêt où nous avons marché, un jour d’été, le soleil perçant à travers les branches, sa main tendue vers moi pour m’aider à franchir un ruisseau. Je revois cette soirée dans mon appartement, des pizzas sur la table, nos rires résonnant contre les murs alors que nous nous moquions des personnages d’une série stupide. Des simples moments de bonheur.
—Tu te souviens de ça ? je demande, pointant du doigt l’image de nous deux, assis sur le
canapé, riant aux éclats.
Il acquiesce, ses yeux rivés sur le souvenir, une amertume que je ne comprends pas dans son regard.
— Oui, murmure-t-il, c’était une excellente soirée.
Sa voix est douce, mais il y a quelque chose de triste, une profondeur qui me fait frissonner. Les souvenirs continuent de se matérialiser autour de nous, flous mais si vivants, et je suis happée par cette sensation étrange, cette nostalgie qui m’envahit de plus en plus. Pourquoi tout me donne l’impression que chaque seconde peut être la dernière ? Je lève les yeux vers lui, le cherchant du regard comme pour trouver un sens à tout ça, mais il l’évite soigneusement. Une certaine peur commence à naître dans mon esprit, comme si je sentais au fond de moi qu’il y a quelque chose que je devrais comprendre, une vérité enfouie derrière ce calme irréel.
— Pourquoi est-ce que tout semble si…
Je cherche le mot, mais il m’échappe.
— Pourquoi suis-je ici, Ni-ki ?
Il détourne les yeux, et le décor change à nouveau. Nous sommes sur un toit, le vent soufflant et emportant avec lui les feuilles mortes qui virevoltent autour de nous. Je me souviens de ce jour – nous avions passé l’après-midi sur ce toit, à parler de nos rêves, de nos secrets, à regarder la ville s’étendre à nos pieds. Mais ici, dans ce monde étrange, tout semble amplifié. Les couleurs sont plus vives, les émotions plus intenses, presque douloureuses.
— Parfois, dit-il, sa voix portée par le vent, il y a des choses qu’il faut accepter, même si
on ne les comprend pas tout de suite.
Je fronce les sourcils, cherchant à saisir ce qu’il essaie de me dire. Il me regarde alors, ses yeux brillants d’une tristesse indéchiffrable, et il tend la main.
— Viens.
Je la saisis, et une chaleur douce m’envahit. Nous dansons, là, au milieu de ce toit fantomatique, sans musique, juste le bruissement des feuilles dans les arbres et le battement irrégulier de mon cœur. Ses bras m’entourent, et je ferme les yeux, laissant la chaleur de sa présence m’envelopper, un instant hors du temps. Ses doigts finissent par se resserrer un peu autour des miens, sa main froide pressant contre la mienne. C’est si étrange, ce contraste. Lui qui, habituellement, est toujours plein d’énergie, là, il semble s’effacer, comme une ombre. Il relève la tête, son visage prenant une expression douce mais empreinte de ce trouble insaisissable.
— Je suis content que tu sois là.
Ses paroles me troublent profondément. Il y a quelque chose dans sa voix, une forme de résignation qui me fait comprendre qu’il y a plus que ce qu’il laisse paraître. Nous reprenons notre route, et je remarque que nos souvenirs s’estompent peu à peu, remplacés par des fragments de paysages incertains, de ruelles silencieuses et de lieux inconnus. À chaque pas, l’atmosphère semble se faire plus lourde, plus oppressante, comme si le temps lui-même ralentissait. Il me regarde cette fois avec une intensité qui me fige, avant de murmurer, presque trop bas pour que je l’entende :
— Il est temps.
Mes doigts se serrent instinctivement autour de sa main, refusant de lâcher prise, refusant de croire qu’il puisse y avoir quelque chose d’inéluctable ici. Puis, je le sens se détacher, doucement, comme un rêve qui s’évanouit au réveil. J’ouvre les yeux en sursaut dans le métro, la lumière crue des néons m'aveuglant un instant. Le brouhaha du train, les grincements des rails, tout semble étrangement familier. Je prends une grande inspiration et réalise que ma main est posée sur celle de Ni-ki, assis à côté de moi, un sourire tranquille sur le visage. Je me tourne pour l’observer alors qu’il me semble perdu dans ses pensées, sa tête se balançant au rythme de la musique qu’il écoute. Sa présence devrait me rassurer, mais pourtant, un sentiment, pesant, continue de courir dans mon esprit. Je sais que ce n’était qu’un rêve, mais il reste en moi comme une brume tenace, une sensation qui refuse de disparaître. Ses doigts, sous ma main, sont tièdes, bien réels cette fois, mais je n’arrive pas à chasser la trace de cette froideur qui s’était imprimée dans ma mémoire. Il pivote enfin la tête dans ma direction, son casque dorénavant autour de son cou, et m’adresse un sourire amusé.
— Ça va ? me demande-t-il sans doute à cause de mon regard insistant, on dirait que t’as
vu un fantôme.
— Oui… enfin, non. Ce n’est rien. J’ai juste fait un rêve étrange. je termine en secouant la tête, tentant de rire pour dissiper le malaise qui commence à s’installer.
Ni-ki se penche vers moi, et je peux lire l’amusement dans ses iris foncés.
— Du genre ? T’as rêvé de moi, c’est ça ?
Sa voix prend une intonation malicieuse, et je vois son sourire s’étirer.
— Allez, avoue. Tu te languis de moi jusque dans tes rêves maintenant ?
Je sens mes joues s’échauffer et je secoue vivement la tête pour le faire cesser.
— Ce… n’est pas ce que tu crois, je balbutie, tentant de minimiser. C’était différent.
Il écarquille légèrement les yeux, feignant une expression d’incrédulité exagérée.
— Oh, différent comment ? Genre, romantique ? Tragique ?
Son visage s’approche du mien, l’air faussement sérieux.
— Ou bien, était-ce un rêve où tu me déclares ton amour éternel avant de t’enfuir dans le
coucher de soleil ?
Je me mordille la lèvre, cherchant quoi répondre, mes mains moites de gêne.
— Rien de tout ça, d’accord ? C’était…
Je cherche à détourner la conversation, mais il éclate de rire, ravi de ma réaction, et me pince gentiment l’épaule.
— Relax, dit-il en riant, ses doigts toujours entremêlés aux miens. Je te taquine.
Un sourire naît malgré moi, même si je détourne un peu les yeux pour échapper à son regard perçant. Sa main serre la mienne avec chaleur, et je sens mon cœur se calmer, même si quelque chose continue de me hanter.
La voix du conducteur annonce notre prochaine station, puis soudain, un flash de lumière intense envahit le wagon. Un bruit assourdissant secoue le métro, un grondement puissant qui résonne dans mes os. Le train tremble, et tout se passe en une fraction de seconde. J’entends des cris, je sens le sol se dérober sous mes pieds, et tout autour de moi se transforme en un chaos terrifiant. Le souffle d’une explosion ébranle la rame, le monde autour de nous devenant un tourbillon de poussière et de débris, et je perds pied, me sentant aspirée par un vide abyssal. Dans le tumulte, je m’accroche désespérément à la main de Ni-ki, le seul repère, le seul ancrage que j’ai dans ce monde qui s’effondre autour de moi. Je tente de murmurer son nom, mais ma voix se brise dans le bruit assourdissant. Alors que le train s’immobilise enfin, le silence s’installe progressivement, lourd et oppressant. Autour de nous, des débris jonchent le sol, et la lumière faiblit. Dans ce calme étrange, je ressens la chaleur de sa main… ou plutôt, je sens cette chaleur s’éteindre. Je tourne lentement la tête vers lui, mon cœur s’arrêtant presque en voyant son visage, calme, paisible. Il me regarde sans me regarder, ses yeux empreints de cette même mélancolie qui m’avait troublée plus tôt. Et là, je comprends. Ma gorge se serre alors que je ressens l’absence de chaleur à travers son épiderme, cette sensation glaciale qui remonte le long de mon bras.
— Ni-ki… je murmure, une larme roulant sur ma joue.
Mais il ne répond pas. Ses yeux restant fixés sur moi, empreints d'une tendresse infinie, comme un dernier adieu silencieux.
❥ Les histoires ne s’achèvent jamais vraiment, elles restent suspendues entre les pages et les cœurs qui les lisent… Merci d’avoir voyagé avec moi ღ © schizophrenic-writer 2025.
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Renner
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#RobertRippberger#FrankieMuniz#ViolettBeane#TaylorGray#MarciaGayHarden#ScienceFiction#Thriller#IntelligenceArtificielle#GénieInformatique#Amour#Manipulation#AnxiétéSociale#Voisine#Contrôle#Salenus#Programmation#MèreToxique#Secrets#Trahison#Conséquences#Invention#Obsession#Relation#InfluenceMalveillante#Psychologique#Tension#Suspense#Technologie#Création#Éthique
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13 / 11 / 2024
Aldis Hodge in CROSS
Aldis Hodge looks so good in this new series 🥰 I love him!
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Auteur : Lisa Jackson Titre : Celle qui a survécu ISBN :9782487149113 Format numerique – Éditions Mera Date de sortie officiel : 12 septembre 2024 4eme de couverture : « Lisa Jackson développe progressivement les différentes strates de ce thriller psychologique complexe pour aboutir à une conclusion époustouflante. » PUBLISHERS WEEKLY Douce nuit, sainte nuit… UNE FAMILLE MASSACRÉE…
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#Littérature Américaine#Littérature étrangère#Littérature Générale#Polar#Roman#Romans et nouvelles de genre#romans policiers et polars#thriller#Thriller Psychologique
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parce qu'on approche doucement mais sûrement de la spooky season 🎃, c'est l'occasion de parfaire votre culture en films d'horreur! voici une petite sélection de 10 diamants du genre, visionnables gratuitement sur youtube (et sous titrés en anglais pour ceux en langue étrangère! que demande le peuple...) il va sans dire que l'horreur étant un genre parfois costaud, pensez à vérifier vos triggers pour chaque film sur le site does the dog die?
carnival of souls, 1962 (vo: anglais américain), une masterclass, un des premiers grand films d'horreur moderne, il a inspiré des réalisateurs comme david lynch ou james wan. (la note de lune: 5/5)
el espinazo del diablo (l'échine du diable), 2001 (vo: espagnol), personne ne raconte une histoire de fantômes comme guillermo del toro, un très beau film qui inaugure sa trilogie de la guerre civile, à suivre avec le labyrinthe de pan et son pinocchio de 2022. (la note de lune: 4/5)
a tale of two sisters, 2003 (vo: coréen), des influences gothiques saisissantes et une histoire aux allures de diabolique petit puzzle. (la note de lune: 4/5)
ringu, 1998 (vo: japonais), un immense classique de la j-horror que l'on ne présente plus, efficace et très bien ficelé, featuring hiroyuki sanada ♥️ (la note de lune: 5/5)
the last man on earth, 1964 (vo: anglais américain), inspiré du roman i am legend qui a donné une palanquée d'adaptations au fil des années, celui-ci est de loin mon favori, vincent price est une ICÔNE et ce film est un pur plaisir à regarder. (la note de lune: 4/5)
kairo (pulse), 2001 (vo: japonais), un autre classique de la j-horror, l'ambiance est profondément troublante et mélancolique, avec des scènes qui vous hanteront pendant un bon moment. (la note de lune: 4/5)
hellraiser, 1987 (vo: anglais américain), tout le monde l'a probablement déjà vu mais la version youtube est tellement quali que je le mets ici quand même, pinhead est un méchant incroyable, le film a des défauts mais les qualités l'emportent sur le reste, un bijou de l'horreur un peu gory des 80s! (la note de lune: 3/5)
donnie darko, 2001 (vo: anglais américain), diffile à mettre dans une catégorie plutôt qu'une autre, un peu d'horreur mêlée à du thriller psychologique et une pointe de sci-fi, ça reste un classique au dénouement final incroyable. (la note de lune: 5/5)
one missed call, 2003 (vo: japonais), juré après j'arrête avec la j-horror, celui-ci est plus efficace dans sa seconde moitié que dans la première, il y a des moments qui font vraiment vraiment peur. (la note de lune: 3/5)
les yeux sans visage, 1960 (vo: français), avant la piel que habito d'almodovar, il y a eu les yeux sans visage, un petit précurseur considéré comme le premier film d'horreur moderne français. (la note de lune: 3/5)
#bizarrement#les films d'horreur sont ceux qu'on trouve le plus facilement sur youtube#mais il y a très très peu de pépites#par contre ceux ci sont vraiment très cool#et variés#donc je pense qu'il y en a forcément un dans le tas qui vous plaira#par contre vraiment vérifiez les triggers avant de les regarder hein!!#blabla
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2ème
c'est le moment le plus émouvant de mon expérience vtm
j'ai blâmé les domestiques pour quelque chose de grave, et le maître a arrangé un épisode de thriller psychologique avec la contrainte de leur tirer dessus moi-même et une pression du style "tape la tête mais veille à ce que tu regardes"
#cw: gore#cw blood#vampire art#vtm#vtm oc#oc#vampire the masquerade#artists on tumblr#art#digital art#horror#dark art
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Croire aux mutants, Laura Fredducci
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Sam a 15 ans, et elle en a marre : marre de la déprime de sa mère, marre de la grisaille, marre de l’ambiance pourrie du lycée. Heureusement, elle a son grand frère Arthur, toujours là pour lui remonter le moral et la faire rire. Mais depuis quelques temps, Arthur est en proie à une colère sans nom. Et à chaque fois qu’il s’emporte, des phénomènes étranges ont lieu…
J’ai bien aimé ce petit roman qui s’est lu d’une traite ! L’ambiance un peu sombre m’a pas mal rappelé l’univers de X-Men (en même temps, des ados/adultes avec des mutations qui leur donnent des dons, bon voilà on y est quoi), même si j’aurais bien aimé avoir le fin mot de l’histoire à la fin du roman : d’où ça vient, qu’est-ce qu’ils vont en faire ? Autant j’ai beaucoup aimé cette ambiance floue où rien n’est jamais trop expliqué, autant à la fin j’aurais aimé avoir une clé de compréhension en plus. Le côté fantastique mélangé au thriller psychologique est super efficace est vraiment cool. On retient l’ambiance, même si je pense qu’il sera oublié d’ici plusieurs lectures (je lis vraiment beaucoup).
10/11/2024
#livres#books#livre#book#littérature#littérature young adult#young adult books#croire aux mutants#laura fredducci#gallimard jeunesse
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OLIVIA WILDE - Don't Worry Darling
2022 Thriller/ Film 2h2m
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Le film "Don't Worry Darling", réalisée par Olivia Wilde, est un thriller psychologique se déroulant dans les années 1950 dans une petite communauté Californienne nommée Victory.
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Le personnage principal Alice, commence à douter de la perfection de ce monde et découvre petit à petit des secrets qui la dérangent et qui la questionnent sur sa vie dite "parfaite".
Les personnages sont principalement des femmes. Elles sont maintenus sans leur consentement par leurs partenaires masculins. Cet engrenage symbolise une tentative de contrôle total sur l'environnement et les choix de ces femmes leur imposant un rôle idéaliste et non conforme à leur vraie vie.
Le film explore donc les dynamiques de pouvoir, de manipulations et les sacrifices imposés aux femmes dans une société patriarcale.
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L'un des principaux rebondissements du film, révèle que Victory n'est pas une communauté réelle, mais belle et bien une simulation immersive créée grâce à une réalité virtuelle.
En résumé, le film interroge les impacts sociaux de la technologie et s'inquiète sur la réalité virtuelle qui peut enrichir la vie humaine, ce qui peut comporter aussi des dangers lorsqu'elle est exploitée pour manipuler ou restreindre la liberté individuelle.
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J'ai beaucoup aimé le film sur son plan esthétique parfaite et caricaturale des années 1950 Californienne. On est pleinement plongé dans cette utopie que la réalisatrice a voulu nous apporter.
Par contre je trouve un peu dommage que le film n'explore pas totalement la richesse de ses idées, il manque cruellement d'approfondissement sur certaines idées qui seraient intéressantes à un peu plus creuser.
Ce thriller reste néanmoins stimulant qui pousse à réfléchir sur les implications sociétales et morales des technologies comme la réalité virtuelle.
En prenant compte des abus possible, il rappelle que toute avancée technologique doit être accompagnée d'un cadre éthique solide.
Cette oeuvre cinématographique pose une question essentielle: "dans un monde ou nous pouvons manipuler la réalité, comment garantir que la technologie soit utilisée pour libérer, et non pour opprimer ? "
#PP2024 #PP-CI
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La salle des prof (Das Lehrerzimmer), İlker Çatak, 2023
Une prof de collège surprend un membre du personnel en train de voler de l'argent. Prof et élèves commencent à prendre parti et la situation devient progressivement hors de contrôle.
Thriller paranoïaque voire film d'horreur en milieu scolaire. Le film mêle le quotidien harassant des prof avec une intrigue à la fois policière et psychologique.
C'est pas mal, très tendu, mais ça me semble un peu "too much" pour rester réaliste. La police n'intervient jamais alors que c'était la chose à faire dès le début. Le film tricote plusieurs histoires mais n'en démêle finalement aucune avec une étrange conclusion en queue de poisson.
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