#Théâtre des Bouffes Parisiens
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La Veuve Rusée de Carlo Goldoni, actuellement aux Bouffes Parisiens
Un classique revisité , dans une adaptation signée Giancarlo Marinelli, c’est actuellement aux Bouffes Parisiens Retour dans le temps et voyage vers Venise au temps de sa splendeur. La comédie de Carlo Goldoni nous plonge dans ses splendeurs passées avec Rosaura, une jeune aussi riche que belle, avec 4 prétendants venus de 4 pays différents. Il y a l’anglais, Milord Runebif, le français Le Blau,…
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#Carlo Goldoni#Caterina Murino#Giancarlo Marinelli#Pierre Rochefort#Sarah Biasini#Théâtre des Bouffes Parisiens#Thierry Harcourrt#Tom Leeb#Vincent Deniard#Vincent Sesagnat
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Plaque en hommage à : Jacques Offenbach
Type : Lieu de décès, Lieu de travail
Adresse : 8 boulevard des Capucines, 75009 Paris, France
Date de pose : Inconnue
Texte : Dans cette maison où il mourut, l'illustre musicien de "La Vie parisienne", d''Orphée aux Enfers", de "La Belle Hélène", Jacques Offenbach (20 juin 1819-5 octobre 1880) a composé "Les Contes d'Hoffmann"
Quelques précisions : Jacques Offenbach (1819-1880) est un musicien allemand, naturalisé français. Formé à la musique dès l'enfance, il entre au Conservatoire de Paris, quoi qu'il n'y apprécie guère sa formation. Il accède progressivement à la notoriété, se mettant particulièrement au service du théâtre, notamment l'Opéra Comique et la Comédie Française, avant d'ouvrir sa propre salle, les Bouffes-Parisiens. L'une de ses œuvres les plus connues, Orphée aux Enfers (1858), s'inscrit dans une période faste, mais la guerre franco-prussienne de 1870 entrave son ascension et le force à quitter temporairement la France. Revenu quelques mois plus tard, il travaille avec Victorien Sardou et s'attelle à la création des Contes d'Hoffmann, une de ses plus grandes productions qui rencontrera un vif succès posthume. Il reçoit de très nombreux hommages à sa mort. A noter la forme particulière de cette plaque commémorative, courbée pour mieux adhérer à la façade à laquelle elle est apposée.
#individuel#hommes#deces#travail#artistes#musiciens#france#ile de france#paris#jacques offenbach#non datee
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filme "O Segredo de Offenbach" (Offenbach's Secret) (1996)
Filme legendado em português: link1 ou link2. Este arquivo está com baixa qualidade de imagem e som.
István Szabó dá vida ao compositor Offenbach e aos seus contemporâneos numa deliciosa sátira política.
Em O Segredo de Offenbach, o realizador István Szabó, galardoado com um Óscar da Academia, lança uma nova luz sobre a interação intemporal entre poder, desamparo, coragem e conformidade, através do estudo de duas das personalidades mais cintilantes do Deuxième Empire da França: o afável empresário de composições Jacques Offenbach e o seu patrono aristocrático Charles de Morny.
István Szabó recria uma noite memorável no Théâtre des Bouffes-Parisiens da turbulenta Paris de 1860, apresentando encenações excêntricas de duas óperas curtas de Offenbach: "Les Deux Aveugles", uma paródia da vida grandiosa dos Boulevards vista pelos olhos de dois mendigos - e depois "Croquefer, ou Le dernier des Paladins", parábola cruel sobre a insensatez da Guerra da Crimeia, em que até o Imperador Luís Napoleão é ridicularizado pelo público.
Informações sobre este filme
youtube
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Théâtre : "Un couple magique !" sur M6 mardi 20 juin 2023 en direct des Bouffes Parisiens
http://dlvr.it/Sqrxwt
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{𝗟𝗲 𝘃𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲𝗱𝗶 𝘀𝗼𝗶𝗿 𝗽𝗮𝗿𝗳𝗮𝗶𝘁} Théâtre, cocktail, dîner, avec des amis. "Sens dessus dessous" du merveilleux André Dussollier au théâtre des Bouffes du Nord (𝘫'𝘢𝘪 𝘤𝘳𝘶 𝘷𝘰𝘪𝘳 𝘲𝘶𝘦 𝘤'é𝘵𝘢𝘪𝘵 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘭𝘦𝘵), absolument parfait, comme dans chacun de ses seuls en scène. Puis cocktails et dîner à L'Entente, absolument parfait, et juste en face pour profiter à fond de cette soirée. Le martini au basilic n'est pas disponible en format pichet, nous avons demandé. Mais nous continuons à vous me recommander car c'est le printemps dans un joli verre. La cuisine est toujours aussi délicieuse, et l'accueil d'Oliver et son équipe parfait. Ce fut l'une de ces soirées où un spectacle nous a fait passer du rire aux larmes, où les cocktails partagés au bar en attendant notre table ronde encourageant les rires ont achevé de nous mettre d'excellente humeur, et où le festin a ravi les convives. Une célébration de ce que Paris a de plus beau et généreux à offrir, et de nos amitiés précieuses. Achever une semaine intense et bien remplie de cette manière est ce que je préfère. #paris #parisisalwaysagoodidea #lentente #theatre #andrédussollier #sensdessusdessous #cocktail #vodkamartini #amitie #friendship #weekend #happyfriday #ipreview via @preview.app (à Théâtre des Bouffes-Parisiens) https://www.instagram.com/p/CpZ2sD4MCAV/?igshid=NGJjMDIxMWI=
#paris#parisisalwaysagoodidea#lentente#theatre#andrédussollier#sensdessusdessous#cocktail#vodkamartini#amitie#friendship#weekend#happyfriday#ipreview
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je ne veux pas étudier
[reprodução interdita] Aaron Gerschel,L’actrice Polaire dans le rôle du personnage principal du roman de Colette, Claudine à l’école, qu’elle interprète au Théâtre des Bouffes Parisiens à partir de 1902,Vers 1907,épreuve sur papier albuminé contrecollée sur carton,H. 13,8 ; L. 10,0 cm. ,Don Daphné Doublet-Vaudoyer, 1988,©Musée d’Orsay, Dist. RMN-Grand Palais/Alexis Brandt
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L'enlèvement de la Toledad au Théâtre des Bouffes-Parisiens par Pal, 1890.
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Le Théâtre Marigny
Ce bâtiment circulaire trône sur le carré éponyme des Jardins des Champs-Elysées depuis 1894, rappelant par son architecture celle du Cirque d'été de Paris (ou Cirque de l'Impératrice sous le Second Empire), édifié en ce lieu dès 1841, ayant vu défiler de grands noms de l'acrobatie équestre, tel François Baucher sous la Monarchie de Juillet.
Auparavant, une petite salle, nommée "Château d'Enfer", est édifiée au sein du même carré, peu après la révolution de 1848, proposant des spectacles de "fantasmagories", héritières des prestidigitations de modestes planches d'attraction présentées ici depuis 1835. En 1855, la première exposition universelle de Paris se profilant, Jacques Offenbach obtient la concession du terrain afin d'y édifier son théâtre des Bouffes-Parisiens d'été (ceux d'hiver se trouvant toujours rue de Monsigny, dans le 2ème arrondissement). Il y créera son célèbre opéra-bouffe Orphée aux Enfers. En 1859, la salle est reprise par Charles Debureau, fils du fameux mime Jean-Gaspard Debureau (figuré dans le film Les Enfants du Paradis, de Marcel Carné, en 1940). Céleste Mogador lui succède, avant que le théâtre ne soit repris en 1865 pour devenir un cabaret sous le nom de "Folies Marigny". En 1881, le bâtiment est démoli pour présenter deux ans plus tard un panorama (attraction présentant des dioramas circulaires, très en vogue au XIXème siècle), dans un nouveau bâtiment édifié par Charles Garnier. Edouard-Jean Niermans, l'architecte du Moulin Rouge, fait détruire le Panorama de Garnier pour construire en 1894 un nouveau théâtre en rotonde à l'emplacement de l'ancien Cirque d'Eté, s'inspirant de son architecture. Ce nouveau théâtre monumental, d'une capacité de 1000 personnes, fut dirigé par de grands noms, tels Abel Deval, Léon Volterra, puis son épouse Simone Volterra (qui permit à Jean-Louis Barrault et Madeleine Renaud d'y fonder leur troupe Renaud-Barrault en 1954), Elvire Popesco, Robert Manuel, Jean Bodson (qui entreprend la transformation de l'annexe du Petit-Marigny en seconde salle de 311 places, d'abord nommée Gabriel, puis Popesco, en hommage à sa précédente metteure-en-scène)... Jusqu'à Robert Hossein, y ayant monté de 1982 à 2007 des grands succès du théâtre populaire, dont Kean, d'après Alexandre Dumas, ayant porté Jean-Paul Belmondo aux nues. Pierre Lescure prit sa suite, avant une longue phase de cinq années de travaux, précédant une réouverture en grande pompe en 2018, avec la comédie musicale Peau d'Âne, inspirée du film de Jacques Demy, aux compositions de Michel Legrand, avec Jean-Luc Choplin pour nouveau directeur.
On a longtemps accusé Edouard Niermans, l'architecte de cette rotonde, d'avoir été à l'origine d'un défaut de conception, ayant fait s'affaisser le lanternon sommital un soir de représentation du Diable à Paris, en 1927. Or, il s'agirait de décors trop pesants qui seraient responsables de cette inclinaison, volontairement conservée par les travaux de rénovation des années 2010.
Crédits : ALM’s
#monument#théatre#Marigny#champs-élysées#jardins#architecture#cirque#edouard niermans#charles garnier#offenbach#orphée aux enfers#debureau#mogador#renaud barrault#robert hossein#jean-paul belmondo#pierre lescure#peau d'âne#lanternon#travaux#culture#history#photography#photooftheday#paris#8ème
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Denise Grey.
Filmografía
Cine
1913 : Mademoiselle Etchiko
1914 : En famille, de Georges Monca
1914 : Madame Rigadin, modiste, de Georges Monca
1914 : Mademoiselle Etchiko, de André Hugon
1914 : Le Voyage de Corbillon, de Georges Monca
1916 : Document secret, de René Navarre
1916 : Nemrod et Cie, de Maurice Mariaud
1916 : Rigadin professeur de danse, de Georges Monca
1917 : Les Bleus de l'amour, de Henri Desfontaines
1917 : Honneur d'artiste, de Jean Kemm
1935 : Jeunes Filles à marier, de Jean Vallée
1936 : La Dame de Vittel, de Roger Goupillières
1937 : Trois artilleurs au pensionnat, de René Pujol
1938 : Trois artilleurs à l'opéra, de André Chotin
1938 : Serge Panine, de Paul Schiller y Charles Méré
1940 : Monsieur Hector, de Maurice Cammage
1941 : Boléro, de Jean Boyer
1941 : Montmartre-sur-Seine, de Georges Lacombe
1942 : Romance à trois, de Roger Richebé
1942 : Le Voile bleu, de Jean Stelli
1942 : Des jeunes filles dans la nuit, de René Le Hénaff
1942 : Retour de flamme, de Henri Fescourt
1942 : L'Honorable Catherine, de Marcel L'Herbier
1943 : Adieu Léonard, de Pierre Prévert
1943 : Vingt-cinq ans de bonheur, de René Jayet
1943 : L'aventure est au coin de la rue, de Jacques Daniel-Norman
1944 : Les Caves du Majestic, de Richard Pottier
1945 : On demande un ménage, de Maurice Cam
1945 : Madame et son flirt de Jean de Marguenat
1945 : L'Insaisissable Frédéric, de Richard Pottier
1945 : L'Extravagante Mission, de Henri Calef
1946 : Étrange Destin, de Louis Cuny
1946 : Le Couple idéal, de Bernard Roland y Raymond Rouleau
1946 : Six heures à perdre, de Alex Joffé y Jean Lévitte
1946 : Coïncidences, de Serge Debecque
1946 : Le Diable au corps, de Claude Autant-Lara
1947 : Et dix de der, de Robert Hennion
1947 : Carré de valets, de André Berthomieu
1948 : Une femme par jour, de Jean Boyer
1948 : Bonheur en location, de Jean Wall
1949 : La Ronde des heures, de Alexandre Ryder
1949 : Tête blonde, de Maurice Cam
1949 : Mon ami Sainfoin, de Marc-Gilbert Sauvajon
1949 : Pas de week-end pour notre amour, de Pierre Montazel
1950 : Rome-Express, de Christian Stengel
1950 : Les Petites Cardinal, de Gilles Grangier
1950 : Demain nous divorçons, de Louis Cuny
1952 : Allô... je t'aime.
1952 : La Tournée des grands ducs, de André Pellenc
1953 : Art. 519 Codice Penale, de Leonardo Cortese
1953 : Il Seduttore, de Franco Rossi
1953 : Raspoutine, de Georges Combret
1953 : Dortoir des grandes, de Henri Decoin
1953 : Les Corsaires du bois de Boulogne, de Norbert Carbonnaux
1953 : Julietta, de Marc Allégret
1953 : Le Père de Mademoiselle, de Marcel L'Herbier
1954 : Escalier de service, de Carlo Rim, sketch Les Béchard
1954 : Le Printemps, l'automne et l'amour, de Gilles Grangier
1954 : Fantaisie d'un jour, de Pierre Cardinal
1954 : Le Mouton à cinq pattes, de Henri Verneuil
1954 : Poisson d'avril, de Gilles Grangier
1955 : La Villa Sans-Souci, de Maurice Labro
1955 : La Rue des bouches peintes, de Robert Vernay
1956 : Sylviane de mes nuits, de Marcel Blistène
1956 : L'Auberge fleurie, de Pierre Chevalier
1956 : Une nuit aux Baléares, de Paul Mesnier
1956 : Mitsou, de Jacqueline Audry
1957 : À pied, à cheval et en voiture, de Maurice Delbez
1957 : Carve Her Name with Pride, de Lewis Gilbert
1957 : La Peau de l'ours, de Claude Boissol
1957 : Le Tombeur, de René Delacroix
1957 : Police judiciaire, de Maurice de Canonge
1957 : Mimi Pinson, de Robert Darène
1957 : C'est la faute d'Adam, de Jacqueline Audry
1958 : À pied, à cheval et en spoutnik, de Jean Dréville
1959 : Bomben im Monte-Carlo, de Georg Jacoby
1959 : Le Confident de ces dames, de Jean Boyer
1960 : Le Panier à crabes, de Joseph Lisbona
1960 : La Française et l'Amour, de Christian-Jaque, sketch Le Divorce
1963 : La Bonne Soupe, de Robert Thomas
1965 : Pas de caviar pour tante Olga, de Jean Becker
1969 : La Maison de campagne, de Jean Girault
1970 : Hello-Goodbye, de Jean Negulesco
1970 : Los Aristogatos, de The Walt Disney Company
1971 : Mais qui donc m'a fait ce bébé ?, de Michel Gérard
1980 : La Boum, de Claude Pinoteau
1982 : La Boum 2, de Claude Pinoteau
1982 : N'oublie pas ton père au vestiaire..., de Richard Balducci
1982 : En cas de guerre mondiale, je file à l'étranger, de Jacques Ardouin
1983 : Le Voleur de feuilles, de Pierre Trabaud
1985 : Le Gaffeur, de Serge Pénard
1988 : Les Saisons du plaisir, de Jean-Pierre Mocky
1991 : Tchin tchin, de Gene Saks.
Televisión
1960 : Rouge, de André Leroux
1962 : Chéri
1967 : Le Chevalier Tempête, de Yannick Andréi
1969 : Tout pour le mieux
1971 : Une autre vie
1972 : Les Rois maudits, de Marcel Jullian y Claude Barma
1977 y 1982 : Cinéma 16
1978 : Un ours pas comme les autres
1979 : Les Moyens du bord
1979 : Les Dames de la côte, de Nina Companeez
1980 : L'Esprit de famille
1983 : Merci Sylvestre
1985 : Les temps difficiles.
Teatro
1916 : Six Hommes, une femme et un singe, de Pierre Veber y Yves Mirande, Théâtre Michel
1921 : Comédienne, de Jacques Bousquet y Paul Armont, Théâtre des Nouveautés
1922 : La Femme de mon ami, Théâtre de l'Athénée
1922 : Atout... Cœur !, de Félix Gandéra, Théâtre de l'Athénée
1924 : Si je voulais..., de Paul Géraldy y Robert Spitzer, Théâtre du Gymnase Marie-Bell
1926 : Passionnément, de Maurice Hennequin y Albert Willemetz, Théâtre de la Michodière
1936 : Europe, de Maurice Rostand, Théâtre Pigalle
1938 : Le Valet maître, de Paul Armont y Léopold Marchand, escenografía de Pierre Fresnay, Théâtre de la Michodière
1948 : Les Enfants d'Edouard, de Frederic Jackson y Roland Bottomley, adaptación de Marc-Gilbert Sauvajon, escenografía de Jean Wall, Théâtre Édouard VII
1949 : Les Enfants d'Edouard, de Frederic Jackson y Roland Bottomley, adaptación de Marc-Gilbert Sauvajon, escenografía de Jean Wall, Théâtre des Célestins
1950 : George et Margaret, de Marc-Gilbert Sauvajon y Jean Wall, escenografía de Jean Wall, Théâtre Daunou
1950 : Il faut marier maman, de Marc-Cab y Serge Veber, escenografía de Pierre Dux, Théâtre de Paris
1953 : Faites-moi confiance, de Michel Duran, escenografía de Jean Meyer, Théâtre du Gymnase Marie-Bell
1955 : Les Enfants d'Edouard, de Frederic Jackson y Roland Bottomley, adaptación de Marc-Gilbert Sauvajon, escenografía de Jean Wall, Théâtre des Célestins
1956 : La Femme du siècle, de Claude Schnerb, escenografía de Jacques-Henri Duval, Théâtre des Célestins, giras Georges Herbert
1959 : Bon Week-End Mr. Bennett, de Paule de Beaumont a partir de Arthur Watkyn, escenografía de Michel Vitold, Théâtre de la Gaîté-Montparnasse
1961 : Ocho mujeres, de Robert Thomas escenografía de Jean Le Poulai.
1962 : Ocho mujeres, de Robert Thomas, escenografía de Jean Le Poulain, Théâtre des Bouffes-Parisiens
1963 : Vénus de Milo, de Jacques Deval, escenografía de Pierre Mondy, Théâtre des Célestins
1965 : Assassins associés, de Robert Thomas, escenografía de Jean Piat, Théâtre Antoine y Théâtre du Palais-Royal
1966 : J'y suis, j'y reste, de Jean Valmy y Raymond Vincy, escenografía de Jean Valmy, Théâtre Marigny
1966 : La Fin du monde, de Sacha Guitry, escenografía de Jean-Pierre Delage, Théâtre de la Madeleine
1967 : Quarante Carats, de Pierre Barillet y Jean-Pierre Gredy, escenografía de Jacques Charon, Théâtre de la Madeleine
1971 : Le Train de l'aube, de Tennessee Williams, escenografía de Jean-Pierre Laruy, Théâtre Édouard VII
1972 : En avant... toute !, de Michel André, escenografía de Michel Roux, Théâtre Édouard VII
1972 : La Bonne Adresse, de Marc Camoletti, escenografía de Christian-Gérard, Théâtre Michel
1973 : La Royale Performance, de Marcel Mithois, escenografía de Jean-Pierre Delage, Théâtre des Bouffes-Parisiens
1974 : Le Tube, de Françoise Dorin, escenografía de François Périer, Théâtre Antoine
1976 : Le Jardin de craie, de Enid Bagnold, escenografía de Raymond Gérôme, Théâtre Hébertot
1977 : Bichon, de Jean de Létraz, escenografía de Jacques Valois, Théâtre de Charleville-Mézières
1978 : Crime à la clef, de Alain Bernier y Roger Maridat, escenografía de Jean-Paul Cisife, Théâtre Tristan-Bernard
1981 : La vie est trop courte, de André Roussin, escenografía de Michel Fagadau, Théâtre Daunou
1983 : La vie est trop courte, de André Roussin, escenografía de Michel Fagadau, Théâtre de la Gaîté-Montparnasse
1984-1985 : Les Temps difficiles, de Édouard Bourdet, escenografía de Pierre Dux, Théâtre des Variétés
1985 : Harold et Maude, de Colin Higgins, escenografía de Jean-Luc Tardieu, Espace 44 Nantes
1987 : Harold et Maude, de Colin Higgins, escenografía de Jean-Luc Tardieu, Théâtre Antoine
1989 : Arsénico y encaje antiguo, de Joseph Kesselring, escenografía de Jean-Luc Tardieu, gira
1991 : La sopera, de Robert Lamoureux, escenografía de François Joffo.
Operetas
1919 : Nelly, de Marcel Lattès, con Félix Oudart (Théâtre de la Gaîté)
1950 : Il faut marier maman, de Guy Lafarge, Théâtre de Paris, con Roland Armontel.
Créditos: Tomado de Wikipedia
https://es.wikipedia.org/wiki/Denise_Grey
#HONDURASQUEDATEENCASA
#ELCINELATELEYMICKYANDONIE
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ictor Regnard (1854-1911) as Evariste Coquenard and Léonie Laporte (1871-1924) as Ermerance Countess de Champ d‘Azur in the Paris premiere of André Messagers most successful operetta „Véronique“ at the Théâtre des Bouffes Parisiens on 10 December 1898.
Véronique is an opéra comique in three acts with music by André Messager and words by Georges Duval and Albert Vanloo. The opera, set in 1840 Paris, depicts a dashing but irresponsible aristocrat with complicated romantic affairs, eventually paired with the resourceful heroine.Véronique is Messager’s most enduring operatic work. After its successful premiere in Paris in 1898, it was produced across continental Europe, Britain, the US and Australia. It remains part of the operatic repertoire in France. After a fallow period in the mid-1890s, Messager had an international success with Les p'tites Michu (1897). In 1898 his improved fortunes continued when he was appointed musical director of the Opéra-Comique in Paris. His work as a conductor left him little time for composition, and Véronique was his last stage work for seven years, despite its being his most successful work thus far. His librettists were his collaborators from Les p'tites Michu. Before working with Messager, Vanloo had collaborated with Offenbach, Lecocq and Chabrier, and Duval had written a succession of musical and non-musical comic pieces since the mid-1870s. The stars of the Théâtre des Bouffes Parisiens company, Mariette Sully and Jean Périer, were well known and popular figures with Paris audiences, and among the supporting players were singers familiar from Les p'tites Michu, including Maurice Lamy, Victor Regnard and Brunais. Véronique was first performed at the Bouffes Parisiens on 10 December 1898. It ran until April 1899, a total of 175 performances. éronique was Messager's most successful operetta. It was revived frequently in France during the first part of the 20th century. Revivals played at the Théâtre des Folies-Dramatiques on 30 January 1909, the Théâtre de la Gaîté-Lyrique on 1 March 1920 (with Edmée Favart, Périer and Tarriol-Baugé, and a new waltz written for the production by Messager). The work made its first appearance at the Opéra-Comique on 7 February 1925 in a one-off charity performance featuring Favart, Baugé and Tarriol-Baugé, conducted by Albert Wolff. There was another revival at the Gaîté-Lyrique in 1936; a wartime revival at the Théâtre Mogador, Paris, in April 1943 with Suzanne Baugé, Maurice Vidal and Hélène Lavoisier, was in a grand production that, according to Richard Traubner, "overpowered its fragility".John Le Hay as Coquenard The work received its first run at the Opéra-Comique in Paris in 1978–79, with Danielle Chlostawa, François le Roux and Michel Roux, conducted by Pierre Dervaux. It was revived there in 1980–81 (with Marie-Christine Pontou and Gino Quilico). More recently it was mounted at the Théâtre du Châtelet in January 2008, directed by Fanny Ardant. The opera was presented in Vienna and Cologne (as Brigitte) in 1900, and then Riga in 1901 and Berlin in 1902. It was produced in Lisbon in 1901 and Geneva in 1902. In London it was given in French at the Coronet Theatre in 1903, and in English at the Apollo Theatre, adapted by Henry Hamilton with lyrics by Lilian Eldée and alterations and additions by Percy Greenbank, produced by George Edwardes. This production opened on 18 May 1904, and ran for 496 performances. The principal players were Rosina Brandram (Ermerance), Sybil Grey (Aunt Benoit), Fred Emney (Loustrot), Kitty Gordon (Mme. Coquenard), George Graves (Coquenard), Lawrence Rea (Florestan) and Ruth Vincent (Hélène).An Italian version was given in Milan in the same year. A New York production opened at the Broadway Theatre on 30 October 1905, featuring Vincent, Rea, Gordon and John Le Hay. Messager conducted the first night, but The New York Times nonetheless wondered how French the piece remained after two years of continuous anglicisation by its English performers. The production ran until 6 January 1906, a total of 81 performances.The first Australian production was in Sydney in January 1906. The Australian company took the opera to New Zealand, where it opened at the Theatre Royal, Christchurch in June 1906. The following year, the opera was given in Bucharest. Productions followed in Spain and Switzerland.
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Théâtre des Bouffes-Parisiens, Paris, France Photo by Robin Benzrihem on Unsplash
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RABBIT HOLE, Univers Parallèles de David Lindsay-Abaire aux Bouffes Parisiens
RABBIT HOLE, Univers Parallèles de David Lindsay-Abaire aux Bouffes Parisiens
Rabbit Hole, drôle de titre, vous en aurez l’explication plus loin dans ce post, par deux des comédiens : Patrick Catalifo et Lolita Chammah
Que faire lorsqu’on a perdu ce qui nous est le plus cher dans notre vie? Becky (Julie Gayet) et Howard (Patrick Catalifo) tentent tous les deux, sans succès de surmonter un évènement qui a détruit leur vie. Dans la toute première scène, la soeur de Becky…
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#Christiane Cohendy#Claudia Stavisky#David Lindsay Abaire#Guy Courthéoux#Julie Gayet#Lolita Chammah#Marc Lesage#onsortoupas.fr#Patrick Catalifo#Renan Prévot)#Théâtre des Bouffes Parisiens
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Théâtre des Bouffes-Parisiens, 4 rue Monsigny
Founded in 1855 by the composer Jacques Offenbach for the performance of opéra bouffe (operettas - think Gilbert and Sullivan). With the fall of the Second Empire, the theatre expanded its repertory to include comedies, premiering works by playwrights such as Sacha Guitry and Henri Bernstein. It will present 7 Ans de Reflexion(translation of George Axelrod's The Seven-Year Itch) in September, 2019. (600 seats)
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S’il est un acteur dont le nom est à jamais associé au cinéma de l’entre-deux-guerres, aux chefs-d’œuvre du réalisme poétique, c’est bien Jean Gabin. Après la guerre, il connait tout d’abord une période creuse en termes de succès, puis, à partir de 1954, il devient un “pacha” incarnant la plupart du temps des rôles de truands ou de policiers, toujours avec la même droiture jusqu’à la fin des années 1970.
Jean Gabin (Jean-Alexis Moncorgé, pour l’état civil) naquit à Paris, 23, boulevard Rochechouart dans le 18e arrondissement, le 17 mai 1904, il mourut toujours à Paris, le 26 novembre 1976. La date de naissance que nous rapportons est celle qui est généralement admise. D’autres biographes ne mentionnent pas Paris comme lieu de naissance mais Mériel, en Seine-et-Oise. En fait, Gabin est sans aucun doute né dans la capitale et il a ensuite été élevé à Mériel par l’aînée de ses sœurs (il était le septième enfant de la famille Moncorgé).
Ses parents faisaient tous les deux partie du monde du spectacle : son père était chanteur d’opérette et de café-concert ; sa mère, Hélène Petit, était chanteuse fantaisiste, comme on disait alors. Jean passa ses premières années à Mériel et c’est là qu’il prit goût à la campagne, qu’il acquit des habitudes qu’il ne devait plus perdre et qui, beaucoup plus tard, devaient le pousser à se replier le plus souvent possible dans son domaine où il se consacrait à l’élevage. Il fréquenta l’école primaire du village, puis revint chez ses parents à Paris, afin de suivre les cours d’une école de la rue de Clignancourt. Son père le fit ensuite entrer comme pensionnaire au lycée Jeanson-de-Sailly, mais les études ne l’attiraient pas. Il voulait lui aussi, comme ses parents, se consacrer au théâtre. [La grande histoire illustrée du 7ème art – Editions Atlas (1983)]
Jean Gabin et Madeleine Renaud dans La Belle Marinière (Harry Lachman, 1932)
Josephine Baker et Jean Gabin dans Zouzou (Marc Allégret, 1934)
Gaby Basset et Jean Gabin dans Chacun sa chance (Hans Steinhoff, René Pujo, 1930)l
Jean Gabin, Josseline Gaël, Marcel Lévesque dans Tout ça ne vaut pas l’amour de Jacques Tourneur (1931)
Fernandel et Jean Gabin dans Paris béguin (Augusto Genina, 1931)
Premiers pas sur scène
De fait, il fit l’école buissonnière plus souvent qu’à son tour, puis s’échappa de l’école pour s’essayer à différents métiers : il fut manœuvre à la gare de La Chapelle, ouvrier dans une fonderie à Beaumont, magasinier aux Magasins généraux de Drancy, jusqu’à ce que son père prît en compte la volonté de son fils de faire du théâtre. Il le présenta enfin à Pierre Fréjol, l’administrateur des Folies-Bergère ; Jean avait alors dix-neuf ans. C’est à ce moment qu’il devint figurant et prit le nom de Gabin, un pseudonyme qui avait déjà été le nom de scène de son père.
Jean Gabin, Annabella, Fernand Gravey dans Variétés (Nicolas Farkas, 1935)
Jusqu’à la fin de l’année 1929, Jean Gabin fit ses premières armes dans le spectacle en participant à ces fameuses revues qui ont fait la célébrité de Paris dans le monde entier. Ses débuts eurent lieu le 14 avril 1923, au Vaudeville, dans une revue de Rip ; il faisait de la figuration dans quatre silhouettes ; c’est ainsi qu’il était tout à tour garde égyptien, contrôleur, mendiant et pirate. De nombreux autres spectacles suivirent : la même année, aux Bouffes-Parisiens (il joua dans cette opérette pour la première fois au côté de son père) ; puis en 1927, un tour de chant en province et en Amérique du Sud.
Josephine Baker et Jean Gabin dans Zouzou (Marc Allégret, 1934)
En 1928, il fut remarqué par Mistinguett qui le fit engager comme “boy” au Moulin-Rouge pour “Paris qui tourne” ; en chantant et dansant avec la “Miss”, il allait attirer l’attention des critiques. Dans “Allo’… Ici Paris”, toujours au Moulin-Rouge, il avait déjà quelques chansons et deux numéros comiques. Enfin, la même année, de nouveau aux Bouffes- Parisiens, il fut le jeune premier (et toujours comique) de “Flossie”, une opérette en trois actes. L’année suivante, on revit Gabin dans “Arsène Lupin banquier”, où il joua avec son père. Ce spectacle lui valut d’élogieuses critiques pour ses talents comiques.
Jany Holt, Louis Jouvet, Jean Gabin et Junie Astor dans Les Bas-fonds (Jean Renoir, 1936)
A la fin de 1930, toujours aux Bouffes-Parisiens, il apparut encore dans une opérette en trois actes, “Les Aventures du roi Pausole”, où figuraient aussi, dans de petits rôles, Simone Simon et Edwige Feuillère. Il revint exceptionnellement au théâtre en 1949 pour interpréter, avec Madeleine Robinson et Claude Dauphin, “La Soif” d’Henry Bernstein. Dès le début des années 30 et jusqu’à sa mort, il ne se consacra plus qu’au cinéma. [La grande histoire illustrée du 7ème art – Editions Atlas (1983)]
Jean Gabin dans le rôle de Ponce Pilate – Golgotha (Julien Duvivier, 1935)
Jean Gabin dans Variétés (Nicolas Farkas, 1935)
Madeleine Renaud et Jean Gabin dans Maria Chapdelaine (Julien Duvivier, 1934)
Un grand professionnel
Après une série de petits rôles, Jean Gabin connut très vite la consécration. Star de l’écran dès les années 30, il le resta jusqu’à sa disparition et ne connut guère la désaffection du public. Peu d’acteurs de sa génération pourront se flatter d’avoir connu, et su préserver, une telle popularité, qu’il devait autant à sa présence physique qu’à ses incontestables qualités de professionnel de l’écran.
Jean Gabin et Annabella dans La Bandera (Julien Duvivier, 1935)
Les premières années, la carrière cinématographique de Gabin fut liée, fort logiquement, aux rôles comiques d’opérette ou de vaudeville qui l’avaient révélé au théâtre. C’est ainsi que Gabin fut engagé dans une opérette filmée, Chacun sa chance (1930) de Hans Steinhoff. Jusqu’en 1934, année de sa consécration comme acteur dramatique, il tourna quelques rôles souvent comiques qui étaient loin d’annoncer les futurs “personnages” que Gabin incarnerait bientôt : le prolétaire révolté, le “parigot” désenchanté mais toujours prompt à l’action, l’aventurier respectueux du code d’honneur, le “mauvais garçon”.
Jean Gabin, Charles Vanel, Raymond Aimos, Charles Dorat et Raphaël Médina dans La Belle équipe (Julien Duvivier, 1936)
Le tournant de sa carrière se situe au cours de 1934-1935. Après l’avoir utilisé dans Maria Chapdelaine (1934) et Golgotha (1935), Duvivier lui confia le rôle principal de La Bandera (1935), d’après le roman de Pierre Mac Orlan. Ce personnage de Français fugitif s’engageant dans la légion étrangère espagnole fut pour Gabin le premier d’une série de rôles d’aventuriers désespérés et “romantiques”. A partir de ce film il allait en effet collectionner les personnages d’homme traqué, de réprouvé, de révolté un peu fruste.
Jean Gabin dans Pépé le Moko (Julien Duvivier, 1937)
Ayant débuté dans le Paris des ouvriers et des employés de caf’ conc’, Gabin, enfant de la balle, se révéla l’interprète idéal de ce prolétaire plutôt “grande gueule” que réellement contestataire, sombre et individualiste, ironiquement parisien, parigot même, mais sans vulgarité, et enfin assez malheureux pour susciter la sympathie des spectateurs. [La grande histoire illustrée du 7ème art – Editions Atlas (1983)]
Jean Gabin et Viviane Romance dans La Belle équipe (Julien Duvivier, 1936)
Jean Gabin et Simone Simon dan La Bête humaine (Julien Duvivier, 1938)
Jean Gabin et Mireille Balin dans Gueule d’amour (Jean Grémillon, 1937)
Michèle Morgan et Jean Gabin dans REMORQUES (1941) de Jean Grémillon
Jean Gabin et Gina Manès dans Le Récif de corail (Maurice Gleize, 1939)
La grande occasion de “Pépé”
Après l’expérience pseudo-russe des Bas-Fonds (1936) de Renoir, Il se vit offrir par Julien Duvivier le rôle principal de Pépé le Moko (1936), un rôle qui allait l’imposer définitivement en créant le “mythe” de Gabin. Dans le monde lourdement exotique de la Casbah d’Alger où évolue le dangereux caïd campé par Gabin, ce ne sont qu’aventures pittoresques et haletantes, défilé de personnages stéréotypés, dignes des meilleurs romans populaires, amour fou et perdu… Gabin conservera des années durant le charisme dont l’entourèrent Jeanson et Duvivier, charisme qui s’était déjà manifesté dans un autre film de Duvivier : La Belle équipe (1936). La France qui s’identifia à Gabin était celle de l’avant-guerre, ballottée entre le Front populaire et les frissons de la guerre prochaine ; et quand cette France là disparut, Gabin dut changer d’emploi.
Jean Gabin dans La Grande illusion (Jean Renoir, 1937)
Durant ces années il fut le lieutenant Maréchal de La Grande Illusion (1937), Lucien Bourrache dit “Gueule d’amour” dans le film du même nom réalisé en 1937 par Jean Grémillon, Jean, le déserteur, et François, l’ouvrier en révolte, respectivement dans Le Quai des brumes (1938) et Le Jour se lève (1939) de Marcel Carné, puis Jacques Lantier, triste héritier de la noire lignée des Rougon-Macquart, dans La Bête humaine de Renoir.
Jean Gabin, Jules Berry, Jacqueline, Arletty dans Le Jour se lève (Marcel Carné, 1939)
Cette brève mais remarquable galerie de personnages le fit rapidement devenir le symbole de tout un cinéma mélancolique et populiste, sombrement, mais toujours poétiquement, réaliste, un cinéma composé de grands ports noyés dans la brume, de petits bars de province (comme celui où Gabin retrouve Mireille Balin des années après que celle-ci l’eut quitté en gâchant sa vie, dans Gueule d’amour), de rues parisiennes, d’ombres et de révoltes soudaines, d’amours intenses et toujours malheureuses. Ces repères nous aident à déterminer tout ce que ce cinéma, en dépit de son apparente nouveauté, pouvait avoir de conventionnel, sinon de convenu. Il était l’héritier de la tradition littéraire populiste, une longue filiation qui, à travers Zola, Eugène Sue, Eugène Chavette, puis Henri Poulaille et Pierre Mac Orlan, avait posé les bornes de l’univers où se croisent la tragédie, le peuple et l’aventure. Cinéma de rêves et de fantasmes tout autant que les pires productions hollywoodiennes, mais auquel Gabin a prêté son visage, le rendant par là même vraisemblable. Car il était «peuple», ce qui ne s’apprend pas dans les cours d’art dramatique…
Jean Gabin, Mireille Balin dans Gueule d’amour (Jean Grémillon, 1937)
Dans les années qui précédèrent immédiatement la guerre sa popularité fut indiscutable en France et à l’étranger. A la création de son mythe avaient contribué de manière décisive non seulement les cinéastes déjà mentionnés, mais aussi certains scénaristes dont le travail fut tout aussi décisif tant pour l’acteur que pour l’ensemble du cinéma français de l’époque : Jeanson, déjà cité (sa contribution ne fut importante que pour Pépé le Moko) , et surtout Charles Spaak – La Bandera, La Belle équipe (1936), Les Bas-Fond, Gueule d’amour et Le Récif de corail (1939) de Maurice Gleize – ainsi que Jacques Prévert – Le Quai des brumes, Le Jour se lève et Remorques (1939) de Grémillon. Certains d’entre eux collaborèrent aussi aux films d’après-guerre de Gabin, mais ce fut surtout pendant les années 30 qu’ils réussirent à mettre en valeur, par leurs textes, la personnalité de l’acteur, et à transformer le joyeux comique de caf’conc’ en un sombre champion des causes perdues. [La grande histoire illustrée du 7ème art – Editions Atlas (1983)]
Jean Gabin et Michèle Morgan dans Le Quai des brumes (Marcel Carné, 1938)
Jean Gabin, Simone Simon et Julien Carette La Bête humaine (Julien Duvivier, 1938)
Pierre Fresnay et Jean Gabin dans La Grande illusion (Jean Renoir, 1937)
Mireille Balin et Jean Gabin dans Pépé le Moko (Julien Duvivier, 1937)
Jean Gabin, Jules Berry, Jacqueline Laurent, Arletty dans Le Jour se lève (Marcel Carné, 1939)
Les années de guerre et la seconde carrière
Appelé sous les drapeaux le 2 septembre 1939, Gabin gagna le dépôt de la marine de Cherbourg. En avril 1940 il obtint une permission pour terminer Remorques puis, par la suite, le gouvernement de Vichy l’autorisa à s’embarquer pour les Etats-Unis afin de tourner un film pour la Fox, à condition qu’il revienne dans les huit mois. Gabin tourna deux films, Moontide (La Péniche d’amour, 1942), d’Archie Mayo et The Impostor (L’Imposteur, 1943) de Duvivier qui s’était lui aussi réfugié en Amérique.
Jean Gabin et Ida Lupino dans Moontide (La Péniche de l’amour, Archie Mayo, 1942)
En avril 1943, il s’engagea comme volontaire dans les Forces navales françaises libres, la marine gaulliste. Il fut affecté à Norfolk et en Afrique du Nord, au sein de la 2e D.B. de Leclerc. Il débarqua en France en 1944 et fut démobilisé en juillet 1945 avec le grade de second maître fusilier ; il reçut la médaille militaire et la croix de guerre. La France qu’il retrouvait n’était plus celle qu’il avait quittée deux ans plus tôt. Elle avait changé, comme lui dont les cheveux grisonnants annonçaient qu’il allait devoir changer de personnages (il n’était d’ailleurs pas dans le tempérament de Gabin de chercher à faire “jeune” s’il ne l’était plus).
Jean Gabin et Nicole Courcel dans La Marie du port (Marcel Carné, 1950)
Jean Gabin et Danielle Darrieux dans La Vérité sur Bébé Donge (Henri Decoin, 1952)
Jean Gabin dans La Nuit est mon royaume (Georges Lacombe, 1951)
Il était temps pour Gabin de donner un nouveau départ à sa carrière. Après avoir refusé le rôle principal des Portes de la nuit (1945) de Carné et Prévert, qui fut attribué à Yves Montand, il accepta celui de Martin Roumagnac (1946), un film de Georges Lacombe qui n’eut aucun succès, mais dans lequel il donnait la réplique à Marlene Dietrich. Il tenta un retour à son personnage des années d’avant-guerre avec Au-delà des grilles (1949), réalisé à Gênes par René Clément dans un esprit assez proche de celui de Pépé le Moko. Mais Gabin ne persista pas dans cette voie qui pouvait être dangereuse pour son image de marque.
Jean Gabin, Marilyn Bufferd dans Touchez pas au grisbi
Les années avaient passé et le “mauvais garçon” de jadis, avec l’âge, avait acquis la physionomie d’un homme mûr ; on l’imaginait plus aisément désormais du côté de la loi que contre elle. Il eut quelque mal à retrouver la voie du succès, malgré le film de Marcel Carné, La Marie du port (1949), inspiré de Georges Simenon, où il bénéficiait d’un rôle à sa mesure. En 1951, le film de Georges Lacombe La Nuit est mon royaume lui permit de remporter la coupe Volpi à Venise, et Le Film français lui attribua le titre de meilleur acteur français de l’année pour La Vérité sur Bébé Donge d’Henri Decoin, autre adaptation d’un roman de Simenon.
Jean Gabin et Nadja Tiller dans Le Désordre et la nuit (Gilles Grangier, 1958)
Jean Gabin et Bourvil dans La Traversée de Paris (Claude Autant-Lara, 1956)
Roland Lesaffre et Jean Gabin dans L’Air de Paris (Marcel Carné, 1954)
Jean Gabin dans L’Affaire Saint-Fiacre (Jean Delannoy, 1959)
Lino Ventura et Jean Gabin dans le Rouge est mis (Gilles Grangier, 1957)
La même année, il côtoya Madeleine Renaud et Danielle Darrieux dans “La Maison Tellier”, un des trois épisodes du Plaisir de Max Ophuls. Mais ce n’est qu’en 1953 qu’il rencontra enfin celui qui allait le servir pleinement. En effet, dans Touchez pas au Grisbi, il campa magistralement pour Jacques Becker Max le Menteur, pittoresque figure de la “Série noire” issue de l’imagination pleine de verve d’Albert Simonin. Avec ce rôle en or, Gabin renouait avec ses anciens personnages de voyous du cinéma, mais avec plus de “puissance ”, affichant un optimisme tranquille en toutes circonstances qui annonçait la plupart de ses interprétations des années 60.
Jean Gabin dans Le Cave se rebiffe (Gilles Grangier, 1961)
Parmi les personnages marquants de sa seconde carrière, on se souviendra du peintre de La Traversée de Paris (1956) de Claude Autant-Lara, de l’ancien boxeur malin et paternel de L’Air de Paris (1954) de Marcel Carné, de l’imprésario de French Cancan (1954) de Jean Renoir, du vieil avocat confronté à la jolie Brigitte Bardot dans En cas de malheur (1958) de Claude Autant-Lara, d’au moins deux Maigret peu orthodoxes mais agréables et de l’inspecteur Valois du Désordre et la nuit, du vieil homme politique bourru, sorte de Clemenceau du régime, dans Le Président (1961) d’Henri Verneuil, du patriarche réactionnaire, très proche de l’homme Gabin dans ses vieux jours, de La Horse (1969) de Pierre Granier-Deferre, et d’un impénétrable Gaston Dominici de l’assez banale Affaire Dominici (1973) de Claude Bernard-Aubert.
Jean Gabin dans Mélodie en sous-sol (Henri Verneuil,1963)
Jean Gabin dans Le Président (Henri Verneuil, 1961)
Jean Gabin et Jeanne Moreau dans Gas-oil (Gilles Grangier, 1955)
Micheline Presle et Jean Gabin dans Le Baron de l’écluse (Jean Delannoy, 1960)
Il ne faut pas oublier la foule de personnages pittoresques et truculents qu’il a interprétés devant les caméras plus ou moins inspirées de Denys de La Patellière, de Jean-Paul Le Chanois, de Gilles Grangier (11 films en tout), d’Henri Verneuil et de Jean Delannoy. Enfin il n’avait pas son pareil pour “sortir” les dialogues – faits sur mesure, il est vrai – de Michel Audiard (qui a signé les scénarios d’une vingtaine de ses films), de Pascal Jardin et d’Alphonse Boudard. [La grande histoire illustrée du 7ème art – Editions Atlas (1983)]
Jean Gabin et Annie Cordy dans Le Chat (Pierre Granier-Deferre, 1961)
Pour aller plus loin…
COUP DE COEUR Estimant que l’on n’est jamais si bien servi que par soi-même, Gabin a souvent acquis lui-même les droits de romans qui pouvaient lui offrir de belles compositions, c’est ainsi que sont nés des films aussi majeurs que La Bandera et Quai des brumes. Lire la suite… [Photo : Martin Roumagnac (Georges Lacombe, 1946)]
FILMS EN COSTUMES Sur les quatre-vingt-quinze films tournés par Gabin au cours de sa carrière, six seulement appartiennent au genre historique, pourtant fort à la mode durant toutes ces années : s’estimant trop “typé”, l’acteur ne se sentait à l’aise que dans l’univers du XXe siècle. Lire la suite… [Photo : Les Misérables (Jean-Paul Le Chanois, 1958)]
LA STAR ET L’ARISTO S’il n’est pas le réalisateur avec qui Gabin aura le plus tourné, Denys de La Patellière peut se targuer d’avoir dirigé l’acteur dans pas moins de six films, dont la plupart ont connu un grand succès public. Retour sur une relation faite de respect et d’estime réciproques. Lire la suite… [Photo : Rue des Prairies (Denys de La Patellière, 1959)]
UN ACTEUR MYTHIQUE De La Bandera au Clan des Siciliens, en passant par Le Jour se lève et Un singe en hiver, Jean Gabin a mené durant près de cinquante ans un parcours en tous points exemplaire. Retour sur l’étonnante carrière d’un artiste de légende. Lire la suite…
D’autres publications seront régulièrement ajoutées…
S'il est un acteur dont le nom est à jamais associé au cinéma de l'entre-deux-guerres, aux chefs-d'œuvre du réalisme poétique, c'est bien Jean Gabin. Après la guerre, il connait tout d'abord une période creuse en termes de succès, puis, à partir de 1954, il devient un "pacha" incarnant la plupart du temps des rôles de truands ou de policiers, toujours avec la même droiture jusqu'à la fin des années 1970. S'il est un acteur dont le nom est à jamais associé au cinéma de l'entre-deux-guerres, aux chefs-d'œuvre du réalisme poétique, c'est bien Jean Gabin. 2,812 more words
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Mort de Peter Brook : "C'est plus qu'un metteur en scène, c'est un maître", salue Jean-Michel Ribes
Le Britannique, considéré comme une légende du théâtre et l'un des metteurs en scène les plus influents du XXe siècle, est mort samedi à 97 ans. Il avait mené une grande partie de sa carrière en France, à la tête de son théâtre parisien Les Bouffes du Nord.
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Jacques Offenbach, original name Jacob Offenbach, (born June 20, 1819, Cologne, Prussia [Germany]—died October 5, 1880, Paris, France), composer who created a type of light burlesque French comic opera known as the opérette, which became one of the most characteristic artistic products of the period. He was the son of a cantor at the Cologne Synagogue, Isaac Juda Eberst, who had been born at Offenbach am Main. The father was known as “Der Offenbacher,” and the composer was known only by his assumed name, Offenbach. Attracted by Paris’s more tolerant attitude toward Jews, Offenbach’s father took him there in his youth, and in 1833 he was enrolled as a cello student at the Paris Conservatoire. In 1844, having been converted to Roman Catholicism, he married Herminie d’Alcain, the daughter of a Spanish Carlist. In 1849, after playing the cello in the orchestra of the Opéra-Comique, he became conductor at the Théâtre Français. In 1855 he opened a theatre of his own, the Bouffes-Parisiens, which he directed until 1866 and where he gave many of his celebrated operettas, among them Orphée aux enfers (1858; Orpheus in the Underworld). He then produced operettas at Ems in Germany and an opéra-ballet in Vienna, Die Rheinnixen (1864; Rhine Spirits). Returning in 1864 to Paris, he produced at the Variétés his successful operetta La Belle Hélène (1864). Other successes followed, including La Vie Parisienne (1866), La Grande-Duchesse de Gérolstein (1867), and La Périchole (1868). From 1872 to 1876 he directed the Théâtre de la Gaîté, and in 1874 he produced there a revised version of Orphée aux enfers. Described then as an opéra-féerique (“a fairylike opera”), this venture was a financial failure. In 1876 he made a tour of the United States. The remaining years of his life were devoted to composition. https://www.instagram.com/p/CfCfgEuD7rp/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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