#Lolita Chammah

[genevieveetguy]

God's Offices (Les bureaux de Dieu), Claire Simon (2008)

[grusinskayas]

"You speak brazilian now?" "Yes!"

Isabelle Huppert and Lolita Chammah in Copacabana (2010) dir. Marc Fitoussi

[lasaraconor]

[randomrichards]

STORY OF WOMEN:

In occupied France

Housewife provides abortion

Gets the guillotine

[francoisgoize]

2022 - Sylvie Hoarau & Lolita Chammah - Alexis Mabille ©François Goizé @francoisgoize

[lemagcinema]

Le Consentement: On accuse

Un film de Vanessa Filho Avec: Kim Higelin, Jean-Paul Rouve, Laetitia Casta, Nicolas Bridet, Tanguy Mercier, Élodie Bouchez, Lolita Chammah, Noam Morgensztern, Johan Cardot Da Costa, Miglen MirtchevParis, 1985. Vanessa a treize ans lorsqu’elle rencontre Gabriel Matzneff, écrivain quinquagénaire de renom. La jeune adolescente devient l’amante et la muse de cet homme célébré par le monde culturel et politique. Se perdant dans la relation, elle subit de plus en plus violemment l’emprise destructrice que ce prédateur exerce sur elle.

Retrouvez l'article complet ici https://lemagcinema.fr/films/good/le-consentement-on-accuse/

[cowboyhats]

Barrage (2017), dir. Laura Schroeder

[letterboxd-loggd]

Memory Lane (2010) Mikhaël Hers

May 22nd 2021

[genevieveetguy]

EO, Jerzy Skolimowski (2022)

[frankenpagie]

3.8.20

[omarfor-orchestra]

Perché alla rai piace far vedere sempre e solo vinello #2 non capisco

[junghwwwa]

Drôle de film que ce Drôles d’oiseaux. Les goélands y tombent comme des mouches du ciel parisien de façon finalement presque surréaliste. Notre jeune provinciale, Mavie (Lolita Chammah), débarque dans la capitale pour refaire sa vie ou du moins la poursuivre ailleurs qu’à Tours dont à ce moment-là elle semble avoir fait le tour, quand ce phénomène bizarre survient. D’autres qu’elle y auraient vu un signe peut-être, mais un goéland n’est pas un vilain petit canard et notre littéraire qui semble être sortie d’une autre époque, une où on lit encore à la terrasse des cafés et où on tient un journal manuscrit et non pas un blog sur internet n’y verra donc pas de cygne. Mavie a un chat, Jacques, et tous deux sont logés chez Félicia (Virginie Ledoyen) qui a le bonheur de connaître beaucoup d’orgasmes avec Miguel sans subir les affres de la monotonie d’un quotidien de couple ou pire encore la maternité. Mavie en est un peu moins heureuse, seule et anorgasmée sur le canapé de la comblée Félicia. Alors quand elle trouve une petite annonce pour un studio contre un petit boulot dans une librairie (une aubaine pour notre littéraire!), elle s’y précipite. Le libraire, Georges (Jean Sorel) , est un homme particulier pourtant, qui ne lui adresse pas la parole seulement la première fois et lui donne les clés de la boutique directement sans savoir qui elle est seulement, la seconde. Le film baignera ainsi dans un mi-loufoque mi-absurde un peu léger, une romance poétique à contre-courant dans la joliesse surannée de son plato-nique où tout se jouera en voix off, comme si finalement l’histoire était seulement écrite et/ou fantasmée plus que vécue. Elise Girard tient la magie de sa fantaisie durant cette petite heure dix et on redécouvre Lolita Chammah dans un rôle qui semble écrit pour elle qui porte la grâce maternelle d’Isabelle, une sorte de classe qui se transmet peut-être de mère en fille et dont on se rendait moins compte dans Copacabana où les deux actrices étaient réunies dans des rôles respectifs de fille et de mère. 

[pianezzaphotography]

THE DREAMERS - lolita chammah, actress (paris, june 2017)

[fuckyeahwomenfilmdirectors]

Barrage dir. Laura Schroeder (2017)

[thefilmstage]

You can never have too much Isabelle Huppert, but in Barrage, the legendary actress plays a supporting role that perhaps shows you can have too little. It’s a generational drama anchored by three great performances, but it feels rather distinctly average — and it’s hard to make Isabelle Huppert look average.

The selling point here is Huppert playing the mother to her real-life daughter Lolita Chammah, to whom she looks uncannily, almost distractingly similar. Chammah portrays Catherine, returning to her family home in Luxembourg from a self-imposed exile ten years after leaving her daughter Alba (Themis Pauwels, a terrific find) to be brought up by her mother Elisabeth (Huppert). Alba is hesitant to reconnect with her real mother, but agrees to a day out with Catherine, who acts more like a sister than a matriarch. After the death of Catherine’s beloved dog, Alba finds herself emotionally blackmailed into an excursion to their rural family chalet in the countryside that blurs the line between mother-daughter road trip and kidnapping.

Continue reading our Berlinale review of Barrage.

[too--much--to--handle-blog]

Isabelle Huppert, 

Copacabana (2010)