#Qu'elle me répond
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mizaryrottmnt · 6 months ago
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"My Dear Puppet"
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FR: Un bon début
(you can use thé internet translation, I simplified my language)
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Unity laisse échapper un soupire long alors qu'elle est seule dans une petite pièce qui ressemble a une chambre a coucher. Un matelas au sol plutôt propre avec des draps couleur saumon aussi propre. une petite boite en bois qui fait office de table de lit avec une vieille petite lampe de chevet. Étonnant quand on sait où elle se trouve. Dans le repaire de la famille Hamato, les égouts plus précisément.
On lui a préparé spécialement cette petite couche pour qu'elle puisse dormir correctement et cela se voit. C'est plus propre que ce qu'elle avait pu imaginer avant d'y être. La jeune femme fait quelques pas en avant, regarde autour d'elle. Il y a des tags aux murs, mais pas ceux grossiers trouvés dans les rues que les tagueurs utilisés pour marquer leur présence contre un mur, mais des dessins vraiment artistiques. De beaux motifs qui semblent exprimer plus qu'une simple signature. Ça change encore de l'idée qu'elle se faisait d'un mur d'égouts. Puis l'odeur, il n'y en a pas. Pas d'odeur de fosse septique qui remonte a ses narines, pas d'odeur de putréfaction quelconque ou d'eau croupie là depuis des mois. L'air est bon.
- C'est propre.
Surprenant.
Alors qu'elle zone, sa mémoire retrace la journée qu'elle vient de vivre.
Se faire remarquer par le fils au bandeau bleu Hamato était facile, elle avait le panel parfait pour attirer son attention. Une Yokai licorne. Il était donc simple d'amorcer un premier contact. Mais elle n'avait pas pensé qu'il n'allait pas juste aller lui parler mais complètement la kidnapper en lui laissant a peine le temps de dire "bonjour". Et peu importe si elle avait des protestations, la tortue avait déjà décider de la ramener a peine avait-elle posé les yeux sur lui. En y repensant, si elle n'avait pas accepté de rester pour que la famille fasse pardonner le geste de leur frère, on aurait pu croire a une prise d'otage. Mais même si elle était devenue une otage, le but était d'arriver ici, et elle avait réussi. Il faut juste qu'elle retienne ce nom d'emprunt qu'elle s'est donné : "Unity". Étonnant qu'ils n'aient pas réagi à un nom aussi singulier.
Drrrring drrrring!
Dans sa pose, son téléphone sonne. Un petit appareil à clapet violet lavande avec un porte-clé en forme d'atome. Vieux, usé et quelque peu rayé.
-Oui... Oui je suis bien arrivée. Bien sûr.
-Je suis impressionnée de te voir réussir aussi facilement alors que mes autres petits laqués n'avaient même pas pu suivre l'un d'eux.
-Que voulez-vous Madame, je... suis juste meilleure qu'eux. Répond Unity avec un ton sans joie ni même fierté.
-Ah ah ah! Bien sûr! C'est certain maintenant que je te vois en action. je ne regrette plus du tout mon choix. Peut être l'un des plus judicieux depuis longtemps. Je compte beaucoup sur toi à présent~
Malgré les mots doux et mielleux, la Yokai a une petite grimace devant cette fausse confiance que lui donne la personne à l'autre bout du fil.
-Bien sur. Je vous les amènerais sur un plateau d'argent, soyez en sûr. Juste le temps de gagner leur confiance et de les sédater.
-Efficace. Mais, il semblerait que je n'ai pas pu suivre ton signal une fois passée une certaine zone, large. As-tu une explication ?
Unity fait silence, se remémore la journée, les détails. Les quelques objets qu'il l'entouraient sur sa route avant de passer par ce portail bleu.
-Je pense, que le traceur a été brouillé par un boîte noire.
-Oh! Ce doit être le fait de cette jeune tortue violette.
-Donatello Hamato?
-Oui c'est bien lui. Gagne sa confiance et trouve le moyen de désactiver son brouilleur. C'est ta mission première.
Gagner la confiance de quelqu'un. Quelque chose qui la fait déglutir d'anticipation. Est-ce qu'elle va y arriver? Est-ce possible ? Même s'ils ont l'air ouverts dans cette famille et... Généreux, celui au bandeau violet lui semble bien plus fermé. Son rythme cardiaque s'intensifie alors qu'elle réfléchit a comment faire alors qu'elle est toujours au téléphone avec sa commanditaire.
-.... Me suis-je bien faite comprendre ?
-O-Oui Madame.
-D'ici là, je te permet un budget illimité, carte blanche pour que la mission réussi et si tu as besoin de quoi que ce soit. Mais j'attendrai des résultats. Je les veux tous face à moi, y compris Lou jitsu, et complètement a ma merci, annonce froidement la voix de l'interlocutrice à travers le téléphone. Faisant grincer des dents la Yokai licorne.
...
-Je ne le ferai pas, Big Mama.
Unity déglutit, et raccroche une fois la discussion close par sa patronne. Elle fixe son téléphone, puis regarde le matelas et jette d'un geste ample son appareil sur le lit avant de retirer son poncho et de se poser sur le lit a son tour. Un long soupire quitte ses lèvres, une pression disparaît avec, mais une autre persiste. Une grosse tension sur ses épaules, une épée de Damoclès.
Je ne veux pas y retourner, je ne veux pas y retourner. Je dois y arriver. Si ça marche, alors je pourrai enfin...
Soupire. Elle s'affale sur le lit, les bras tendu et regarde le plafond. Le sommeil ne devrait pas tarder à la prendre, pourtant quelque chose la dérange. Le manque de bruit. Elle a l'habitude a d'un brouhaha constant autour d'elle, des gens qui parlent, qui crient, qui se battent. C'est trop calme pour elle.
....
Demain, je commencerai par celui au bandeau orange. Il semble plus simplet que les autres. Je dois en profiter.
C'est demain que tout commence.
"TBC"
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clhook · 7 months ago
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Je crois la meuf de mon cousin me déteste mais je sais pas pourquoi c'est très frustrant, elle envoie h24 des photos de leur fils sur le whatsapp familial et je like toujours et des fois je réponds pour dire qu'il est beau etc mais elle me répond jamais et pareil quand c'est moi qui envoie des trucs sur le whatsapp (1 fois par mois max) elle répond littéralement jamais mais elle répond à mes frères ou mes parents, elle vient pas au mariage parce qu'elle dit qu'elle est en formation (un samedi ?) pk tu me détestes margot stp dis-moi !!!!!!!!!!!!
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camisoledadparis · 2 months ago
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saga: Soumission & Domination 355
Les 24h du Mans moto-1
16-04 : Cette année je compte bien aller aux 24h du Mans moto. Je fais un sondage pour savoir qui parmi les motards que je connais serait intéressé.
De Bordeaux, les 4 étudiants en médecine sont partants. Les deux motards aussi, ils ont posé 3 jours pour pouvoir y aller. Ils me disent qu'ils montent Jules. Les autres me répondent positif. Marc ne sera pas à l'étranger pour cette fois. Ludovic avec son permis tout neuf sera du lot bien que je craigne vu le bordel que ça peut devenir aux abords du circuit.
Frank m'assure qu'il viendra aussi. Quand je fais le compte nous serons 22.
Ludovic a été reçu à son permis A2 et je lui ai offert une Kawasaki Z800e, noire évidement, avec un pot Akrapovic carbone et le blouson Z qui va bien avec. Pour le casque je continue à faire confiance à ARAI. J'opte pour un RX 7GP Crutchlow, sa touche de vert va avec celle du blouson. Officiellement elle a été bridée à 47 CV.
Éric a été très content de son élève surtout quand il a tout réussi du premier coup. Pour assurer le coup, il l'a même suivit quelques heures quand Ludovic a pris en main sa première moto. Sa Z800 c'est quand même autre chose que l'ER6 qui sert à l'apprentissage.
Depuis que le temps est plus clément, nous laissons les voitures au garage et ne nous déplaçons plus qu'en moto. C'est 1èrement plus pratique, 2èmement plus économique et 3èmement plus fun et 4èmement, Ludovic prend de l'expérience. Ce doit être psychologique mais quand je pilote mon R1, je ressens la barre métallique qui renforce mon fémur. Je sais que ce n'est pas possible. Mais depuis qu'elle est là, c'est seulement le cul sur ma moto que je la sens. J'en ai parlé à mon chirurgien et il est d'accord avec moi c'est psychologique.
Même si je sais qu'on dort peu, j'ai quand même trouvé une chambre d'hôte à quelques minutes du circuit, capable de nous recevoir tous. Par rapport au gite, c'est moins discret mais comme je prends la totalité de la capacité du petit château du jeudi au lundi matin, je m'assure de l'indulgence des propriétaires. Ce que j'apprécie c'est la piscine couverte qui est à disposition avec un sauna. Je les préviens que nous devrons avoir accès jour et nuit aux chambres comme aux différentes installations, qu'ils ne devront pas se choquer de nous voir la plus part du temps les 3/4 à poil, ni de nous voir nous rouler des pelles entre nous puisque c'est dans notre nature. Je vois aussi avec eux la nature et la quantité de rafraichissements à nous mettre à dispo.
Les proprios sont d'accord surtout avec le montant du chèque qu'ils reçoivent. J'envoie alors les coordonnées à ceux qui vont nous rejoindre directement.
Je me démerde et avec PH, Ludovic et Kamal, nous arrivons sur place dès le jeudi en début d'après-midi. Le temps de descendre de nos motos et nous nous faisons aborder par le fils de la maison qui nous explique que ses parents ont préféré ne pas rester dans nos jambes. Il ajoute que bien qu'ils aient été contents de louer aussi bien pour les 24h du mans moto, ils préféraient ne pas savoir ce qui allait se passer.
PH lui dit que ça ne va pas être une partouze non-stop pendant les 4 jours. Il nous répond que quant à lui, nous pouvons faire ce que bon nous semble, le château est à nous et que lui est à notre disposition pour tout ce dont nous aurons besoin.
Je le regarde de plus près. Dans les 25/28ans, plus petit que nous mais aussi baraqué dans son polo Lacoste, il parait baisable. Ludovic me pousse. Je m'aperçois alors que je venais de le mater grave et qu'il en avait pris conscience. Je souris et lui dit que nous aurons sûrement besoin de ses services.
Nous faisons le tour de la propriété et des espaces qui nous sont dévolus. La piscine fait dans les 15m environ, son eau est chaude juste ce qu'il faut pour se détendre. Le temps de poser nos sacs dans une chambre et j'entends des motos dans la cour.
Je dévale l'escalier et j'arrive après notre hôte. Phil et Luc s'étirent de leur trajet tout comme Frank et Arnaud qui lui emmène son Louis. 10mn plus tard Léo déboule sur son Speed Triple qui embrasse son Arnaud. Leur longue pelle témoigne de leur manque réciproque. Quand ils se décollent, ils s'aperçoivent qu'ils sont plantés devant notre logeur. Excuses de la part des " débauchés ", réponse de notre hôte " pas de problèmes pour moi, le château et tout ce qui est dedans est à vous jusqu'à lundi midi ".
Je ne sais pas s'il a volontairement émis le sous-entendu que lui aussi est à nous jusqu'à cette date !?
Quand il se tourne il tombe alors sur Franck et Louis pareillement occupés. Je fais un geste du style " laissez tomber " et explique que cela fait quelques temps que ces amoureux-là ne s'étaient vus.
Vu comme ça part je ne pense pas que le circuit nous verra ce jour, tout du moins pour les premiers essais qualificatifs !
Nous sommes déjà 10 ! Nous testons l'eau de la piscine. Bien chaude, elle nous détend des postures contractées sur nos motos. Notre hôte est à nos petits soins. Quand il nous voit sortir de l'eau, il arrive avec de grandes serviettes et des peignoirs en éponge très épaisse. Innocemment, il nous demande où nous avions trouvé nos maillots. L'Aussiebum que je porte sur les fesses et qui met en avant mes attributs, comme les ES ou Rufskin qui couvrent les autres, je lui dis que c'était sur internet.
Frank qui commence à retrouver la forme le prend par surprise et l'envoie au milieu du bassin. La chute s'est accompagnée d'un cri qui s'est terminé en Blurg Blurg.
PH encore dans l'eau part secourir notre hôte avant que ses vêtements mouillés ne l'entrainent au fond de l'eau. Sa technique est parfaite et il nous le ramène au bord alors que j'engueule, pour la façade, Frank. Aidé de Léo à l'autre bras, je le tire de l'eau et le remets sur pieds tout en nous excusant.
Arrivent alors Louis et Arnaud qui sous le couvert qu'il ne faut pas rester tout mouillé, entreprennent de le mettre à poil.
Les actions se sont succédées si rapidement qu'il n'a pas eu le temps de protester et qu'il est bientôt à poil devant nous. Enfin à poil c'est vite dit vu qu'il est épilé des épaules aux doigts de pieds. Ce ne peut être que cela vu qu'il est très noir de cheveux et que pas un poil de cette couleur ne pousse en dessous de son cou.
Evidemment ce type de préparation attire la main. Je ne me retiens pas et passe la mienne sur son dos, son torse jusqu'à sa bite. Vu la sensation même cette dernière relève de l'épilation et non du rasage.
J'ai bientôt la bonne surprise de sentir mes doigts laissés, par mégarde sur sa queue, s'écarter sous la pression de son sang qui la remplie soudainement. Il a la pudeur de rougir mais pas celle de se retirer ! Quelques coups de poignet m'assurent de l'extension maximale de l'appendice. J'ai maintenant dans la main un engin circoncis d'environ 23cm x 6+ !! Sur un jeune homme de sa taille (dans les 1m78), sans poils pour enfouir sa base, le " bâton " parait bien gros !
Sans retirer ma main, je questionne histoire de voir à quel est le degré d'acceptabilité aux turpitudes sexuelles est notre tout nouvel ami. Il prend en riant mes questions et me renvoi que ce n'est pas parce que Le Mans n'est pas Paris que le coin devrait être un repère de cathos coincés du cul. Il nous dit être Bi, en pratiques A/P avec les hommes.
Là, il nous avoue que c'est lui qui a encouragé ses parents à fuir le château pour être à même, si l'ambiance s'y prêtait, de nous " servir " aussi. Je félicite l'initiative !
En attendant il n'y a pas que sa bite qui s'est développée. C'est avec un plaisir retrouvé que je sens la bouche puis la gorge de Luc me pomper le dard alors que Phil s'occupe de celle de Nicolas (notre Hôte).
Par contre, lui est surpris par la profondeur de la bouche qui le suce. Nous sommes face à face, nous regardant dans les yeux, je vois bien son étonnement quand son gland pénètre derrière la glotte de Phil et continu encore son chemin.
Je lui sors un " pas mal mon copain !"
Réponse " putain ça va faire un bail qu'on me l'avait pompé comme ça ". À entendre ça, Phil se dégage et lui dit qu'il va être gâté ce WE puisque c'est un peu la spécialité de notre petit groupe. Puis il replonge sur l'objet de sa convoitise.
Il l'excite suffisamment pour que Nicolas en veuille plus. Et un morceau de plastique sur sa bite plus tard, il se le prenait en plein dans le cul.
L'idée a suffisamment plût pour faire des adeptes. Moi dans Luc, PH en sandwich entre Arnaud devant et Léo dans son dos, Ludovic faisant son affaire de Kamal. Frank et Louis se font une petite retrouvaille perso dans leur coin.
Improvisée, cette mini touze nous a révélé un hôte très prévenant ! Quand avec Phil nous nous préparons à aller sur le circuit, nous en discutons. Il nous dit que cela faisait un moment qu'il ne s'était pris un tel calibre dans le cul et que le mec qui le portait avait été très efficace. Il ajoute penser que le WE sera mémorable !
Les combis renfilées, les bottes chaussées et les casques sur la tête, nous partons voir les essais de nuits. Quelques minutes de moto et nous sommes arrivés. Le temps de trouver la place de parquer nos 6 engins (oui, on a fait un peu d'optimisation) et nous entrons dans l'enceinte.
Sans être la foule du WE, il y a déjà pas mal de motards à déambuler entre le circuit, le village et les boutiques. Nos casques avec nous, nous trainons nos carcasses en attendant 21h. Un débit de bière étanche temporairement notre soif on prend des sandwichs frittes pour calmer nos estomacs.
Ludovic ne sait où poser son regard. C'est la première fois qu'il vient au Mans et aussi qu'il entre vraiment en immersion dans le monde des motards. Nous tombons plusieurs fois sur des motards déjà très imbibés ou alors très fatigués de leur trajet (autant leur laisser le bénéfice du doute !).
Les motos commencent à tourner. Nous rejoignons les bords de la piste. La ligne des stands est éclairée comme en plein jour. Les motos sont impressionnantes et le bruit infernal à leur passage.
On ne reste pas figés et passons d'un coté à l'autre de la piste par la passerelle DUNLOP ou le souterrain à l'opposé des stands.
Ludovic me demande de le suivre au village. On se sépare du groupe et leur donnons rendez-vous pour plus tard au pied du monument Audi en plein centre du village.
Alors qu'on s'éloigne, je lui demande ce qu'il veut. En fait il veut faire un truc ou acheter un truc qui lui fasse penser à ses 1ers 24h du Mans moto. On traine les devantures. Un blouson ? Il en a déjà un de meilleure qualité que ce qu'il peut trouver ici. Une montre ? Idem. Un casque ? Toujours pareil. Quand les autres nous rejoignent il est déçu car il n'a rien trouvé.
Minuit : retour à nos motos et au château. Crevés, nous investissons nos chambres et nous endormons aussitôt.
17-04 :
Ce sont des rugissements de moteurs qui nous réveillent. Je prends la couette autour de mes épaules et m'avance à la fenêtre pour voir qui est arrivé. Derrière moi hurlent Ludovic et PH qui se retrouvent nus sur le lit !
Dans la cour, s'alignent les 7 motos bordelaises (4 étudiants en médecine + 2 gendarmes avec Jules + le Lad). C'est le bruit des moteurs des deux Panigales qui m'a réveillé.
Le groupe de motos s'est étoffé en marques :
Alignées devant les écuries se trouve :
Mon R1, le Z1000SX de PH et le Z800e de Ludovic plus l'ER6F de Kamal, la Panigale de Franck et le Speed triple de Léo avec les 2 Z1000 de Phil et Luc, arrivées hier. Les 3 ZX10R + les 2 R1 et les 2 nouvelles Panigales de mes gendarmes encore chaudes complètent le tableau.
J'enfile un shorty et descends à moitié à poil. On se saute dans les bras et gros roulages de pelles. Les nouveaux sont étonnés du cadre mais visent tout de suite la piscine sous sa bulle. Mais après 4 heures de route (oui je sais, ils ne sont pas raisonnables !!) ils ont surtout envie de se détendre et de manger un morceau. Jules s'étire et plie les jambes. Les places arrière des motos sont relativement réduites et prévue pour des petites meufs ! Heureusement qu'il ne fait qu'1,75m. Mais d'abord, restauration.
Je les entraine à l'intérieur. Les retrouvailles avec les ceux qui viennent de se lever sont bruyantes. Heureusement que j'ai tout loué !!
On les aide à s'extirper de leurs combis et attaquons le buffet. Notre hôte est aidé en cuisine. Il nous amène pancakes et omelettes améliorées au fur et à mesure des commandes. Nous prenons des forces car sur le circuit c'est plutôt sandwich.
Douches expresses et on enfile nos combis afin de partir tous ensemble au circuit. Nous arrivons alors que la 2ème séance de qualification a déjà commencée. Nous matons les motos en piste. Les pilotes maitrisent, c'est impressionnant.
Notre petit groupe de 18 a parfois du mal à rester cohérant. Surtout quand on passe derrière les tribunes et que les stands attirent certains.
Après plusieurs heures de piétinement, on se retrouve pour grignoter avant les minis courses de l'après-midi.
Après les courses un conciliabule décide qu'on retourne au château plutôt que d'attendre le show mécanique. Les nouveaux arrivés sont les plus virulents pour rentrer. Je pense que l'aperçu de la soirée de la veille, dévoilé par Frank où Louis, leur a sûrement donné des idées.
De plus le temps déjà gris ne s'arrange pas !
Retour à nos engins puis quelques minutes de roulage et nous voilà rentrés. De toutes les manières, la restauration a été prévue pour ce genre de décision. En plus vu les mecs, ce sera baise et diner plutôt que l'inverse.
Jardinier
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chifourmi · 5 months ago
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J'ai vraiment envie de la supprimer de partout et en même temps j'ai envie de continuer à lui montrer que je fais pleins de trucs et que je vis ma meilleure vie. Aussi je ne sais pas si je lui fais un tout dernier texte d'adieu pour lui dire tout ce que j'ai sur le cœur. Mais l'idée de revenir encore vers elle me donne envie de gerber. Ça me donne envie de gerber d'être aussi gentille et d'imaginer mettre encore une fois mon ego de côté. C'est dingue comme je la hais. J'ai essayé de faire passer la colère et j'ai essayé de comprendre et de me mettre à sa place. J'ai relu notre conversation et je ne vois pas ce qui s'est passé et ce qu'elle peut me reprocher cette fois. Je suis souvent venue lui demander de ses nouvelles et je lui ai proposé qu'on se voit plusieurs fois. Ça me rend folle de rien comprendre. Le fait qu'elle ne réponde pas à mon message depuis plus d'une semaine me rend vraiment folle. Elle ne me laisse même pas une chance de comprendre. Je la hais, je la hais, je la hais.
(16/09/2024)
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jelepermets · 1 year ago
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The Preface of this edition of Les Mis (Le Livre de Poche, Édition de Guy Rosa et Nicole Savy) is really good, but I wanted to highlight one passage in particular:
[...] la question de savoir ce qui en lui mobilise la conscience de vivre en société. -- La loi et l'ordre, répond Javert; rien, dit Thénardier; des souveniers pours Gillenormand, l'avenir pours les jeunes étudiants révolutionnaires... Jean Valjean se tait condamné à temps mais exclus à vie, la société ne lui autorise aucune réponse à cette question qu'elle ne cesse pourtant de lui poser violemment.
In English:
[...] the question of knowing what moves him to live in society. -- Law and order, replies Javert; nothing, says Thenardier; memories for Gillenormand; the future for the young student revolutionaries... Jean Valjean stays quiet. Condemned for a time, excluded for life, society does not allow him a single response to the question which it continues to demand of him.
(Sorry if the translation's a bit janky/if you speak French and notice it's not perfect word-for-word. I'm doing it myself, I'm going more for comprehension than word-for-word literalism. Translating decisions are so scary, have mercy.)
I didn't really think about this too much my last time reading through. Of course Valjean was a stoic character to me, but connecting his reticence to the fact that his voice has so long been crushed by society is a bit of a revelation. After all, no one can know who he is. And speaking is dangerous. Nor does the Law want to hear his opinions. Instead they punish him for what he has already done, not giving him the chance to discover the answer for himself.
There are other things mentioned that struck me, this one just did particularly.
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selidren · 3 months ago
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Automne 1928 - Champs-les-Sims
4/5
En parlant de Mademoiselle Laroche, il me semble qu'elle et mon frère soient passés à une nouvelle phase de leur relation. Une phase dont la discrétion laisse à désirer mais je n'ose vraiment en parler frontalement à Antoine, de peur de me mêler de ce qui ne me regarde pas. Si ils se tournent toujours autour comme deux oiseaux en pleine parade nuptiale, il leur arrive de plus en plus fréquemment de se lancer de petites piques en ma présence ou celle d'Oncle Adelphe. Même Jean-François m'a évoqué son "sentiment de gêne" dans sa dernière lettre. Mon jeune frère a un côté pudique et convenable à l'excès que Grand-Mère adore, et quand il rentre nous voir, Antoine l'appelle "Grand-Père".
Bref, en écrivant ces lignes, je me rends compte que ce n'est pas vraiment la réalité. C'est Antoine qui la provoque bien davantage que l'inverse, et elle a souvent l'air profondément confuse, même si elle répond toujours pas une répartie bien sentie. Je ne sais pas vraiment à quoi joue mon frère, mais j'ai parfois l'impression qu'il ne réalise pas que dans cette relation, Mademoiselle Laroche est bien moins libre que lui. J'en suis un peu inquiète, car j'ai peur qu'il finisse par tout gâcher sans s'en rendre compte, et j'aimerai que leur histoire finisse bien. Que veux tu ? Cléopâtre et son indécrottable et ardent romantisme m'ont contaminés !
Transcription :
Aurore « Mais qu’est-ce qui vous a pris ? »
Marc-Antoine « De quoi... »
Aurore « Tous ces sous-entendus quand je parlais à votre sœur ! Vous voulez vraiment que je me fasse renvoyer ? »
Marc-Antoine « Mais non ! Et vous n’êtes pas non plus toute blanche dans cette affaire il me semble ! De toute façon, je pense qu’elle se doute de quelque chose depuis un moment car elle m’a dit qu’elle parlait de nous dans ses lettres à Cousin Lucien. J’imagine qu’il s’agit de... »
Aurore « Votre cousin ? Même votre cousin du Canada est au courant ? Et j’ai toujours mon emploi ? Mais dans quelle famille j’ai atterri au juste ? »
Marc-Antoine « Les Le Bris sont un peu particuliers c’est vrai. Ceux de France en tous cas. »
Aurore « Une maîtresse de maison qui laisse, comme ça, son frère flirter avec la bonne, c’est sur que ce n’est pas commun. »
Marc-Antoine « Si ça vous gêne, on peut arrêter. »
Aurore « Non, j’apprécie bien nos échanges. »
Marc-Antoine « Vraiment ? Alors je vous manque quand je suis à Paris ? »
Aurore « Je fais mieux mon travail quand vous n’êtes pas là mais… oui, vous me manquez. Faites juste en sorte que ce soit un peu plus discret, ne me cherchez pas comme ça devant votre sœur, même si elle est au courant. Et surtout pas devant Madame Eugénie ! »
Marc-Antoine « Pas besoin de me le dire, je tiens à garder ma tête encore un peu de temps ! Vous savez, tout le monde au village se souvient de la façon dont elle a réagit quand son fils aîné s’est fiancé à la gouvernante quand il était jeune. Je n’ai pas vraiment envie qu’il m’arrive la même chose. »
Aurore « Oh… et il lui est arrivé quoi au juste ? »
Marc-Antoine « Heu… je ne connais pas les détails, mais tout le monde s’accorde pour dire que ça a été terrible. Après tout, on s’en souvient encore même si seulement deux personnes seulement sont assez vieilles pour encore s’en souvenir. »
Aurore « Je vois... »
Marc-Antoine « Ne tirez pas cette mine ! Ils ont pu se marier finalement. »
Aurore « Comment s’appelait ce Monsieur ? »
Marc-Antoine « Il me semble que… Matthieu oui, c’est ça. Mon grand-oncle Matthieu. Mais… qu’est-ce qu’il y a ? »
Aurore « Il fait partie de ceux qu’il est rigoureusement interdit de mentionner en présence de votre grand-mère. Votre mère m’a donné une liste quand je suis arrivée. C’est que ça n’a pas du se terminer si bien que ça. »
Marc-Antoine « Ma famille est compliquée, c’est tout. »
Aurore « Je ne veux juste pas que ça vous créer des histoires. »
Marc-Antoine « Non, ça n’en créera pas Aurore… enfin, Madamoiselle Laroche. Ecoutez, je vous aime beaucoup, et même si c’est encore un peu tôt, j’aimerai tout de même que vous me laissiez une chance de vous prouver que je ne suis pas là pour jouer avec vos sentiments ou simplement pour m’amuser. Tout le monde vous dira de moi que ce n’est absolument pas mon genre ! »
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solhrafn · 2 months ago
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Maintenant je me souviens, qu'un de mes vieux noms de fichiers sur un tout vieil appareil, portait son nom. Je suis sentimental ainsi. J'aimerais tant qu'elle me réponde et que nous échangions à nouveau, en tout bien tout honneur, mais en même temps, cette idée me terrifie.
Mais j'aime jouer à me faire peur parce que j'aime cette sensation grisante d'être un être vivant. Depuis ce matin, c'est comme si j'étais jeune et amoureux, avec cette préoccupation étrange qui me dévore, mais en mode doomer car ce sentiment ne débouchera sur rien ou rien de bon, c'est selon.
D'autant plus que c'est un état d'esprit qui ne repose sur rien du tout. Je me suis mis dans cet état tout seul, à partir de strictement rien d'autre qu'un vieux souvenir.
Ca me fait sourire quand même, car je me sens vivre dans mes tripes.
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mrsines · 2 months ago
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Law & Love
Chapitre 1 : Le bal des masques
-ˋˏ✄┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈
La grande salle de réception de Westview scintille de mille feux. Sous les lustres imposants, des invités en tenue de soirée s'échangent sourires et accolades, leurs conversations ponctuées par le tintement délicat des coupes de champagne. Le bureau du procureur organise cette soirée pour célébrer ses récentes victoires juridiques, et l'élite de la ville est présente.
Agatha Harkness, vêtue d'une robe noire élégante à dos nu, fait une entrée remarquée au bras de son mari, Jonathan, le procureur de Westview. Lui, dans un smoking parfaitement ajusté, salue les invités avec son charisme habituel, tandis qu'Agatha arbore un sourire maîtrisé, jouant son rôle de femme parfaite. Mais derrière ce masque social, elle ressent un léger malaise, une dissonance qu'elle ne parvient pas à ignorer.
Alors qu'elle se mêle aux invités, Agatha capte une conversation dans laquelle un nom retient son attention : Victoria Grant. Une voix audacieuse et assurée s'élève derrière elle :
« Si seulement le bureau du procureur s'attaquait aux vraies injustices au lieu de faire du spectacle... »
Agatha se retourne et découvre Victoria pour la première fois. L'avocate est resplendissante dans une robe bleu nuit, ses cheveux coiffés avec une élégance nonchalante, et son regard perçant dégage une confiance inébranlable. Elle est entourée d'un petit cercle d'invités, captivés par sa verve et son humour acéré.
Leurs regards se croisent, et un courant électrique semble traverser la pièce. Agatha, habituée aux joutes verbales, s'avance avec un sourire glacé.
« Madame Grant, je suppose. Vous semblez avoir des opinions bien arrêtées sur les affaires de mon mari. Peut-être voudriez-vous en discuter avec lui directement ? »
Victoria répond avec un sourire amusé, le genre qui pique autant qu'il charme.
« Ce serait dommage. Je préfère de loin discuter avec des personnes qui comprennent réellement le droit, pas seulement la politique. »
Leur échange attire les regards, et un murmure parcourt la salle. Jonathan intervient, posant une main sur le dos d'Agatha pour apaiser la tension. Mais Agatha n'a d'yeux que pour Victoria, partagée entre irritation et une étrange fascination.
Un peu plus tard dans la soirée, Agatha, cherchant un moment de répit, s'éloigne dans un couloir adjacent. Elle surprend alors Jonathan en pleine conversation avec une femme élégante, sa main effleurant brièvement son bras. Agatha s'immobilise, son cœur se serrant. L'attitude de Jonathan est trop intime, trop familière.
Elle revient dans la salle, le visage impassible mais l'esprit tourmenté. Alors qu'elle croise de nouveau Victoria, un éclat de défi dans son regard, elle se surprend à penser que cette femme pourrait être plus qu'une simple rivale.
« Les lacunes, dites-vous ? » Agatha pencha légèrement la tête, son ton aussi tranchant qu'un scalpel. « Vous parlez de l'affaire où votre cliente a volontairement omis de transmettre des documents cruciaux au tribunal ? C'est fascinant comme certaines personnes confondent omission et stratégie. »
Victoria esquissa un sourire, nonchalante, presque amusée. Elle s'avança d'un pas, réduisant imperceptiblement la distance entre elles, une coupe de champagne à la main. « Voyez-vous, Madame Harkness, dans ce métier, tout est une question de perspective. Ce que vous appelez 'omission', j'appelle cela protéger mes clients des excès de zèle d'un bureau du procureur qui aime trop les projecteurs. »
Leurs regards se croisèrent, un duel silencieux mais palpable. Autour d'elles, les invités, trop polis pour s'immiscer mais trop curieux pour s'éloigner, observaient la scène. Jonathan, occupé avec un collègue, ne semblait pas avoir remarqué l'intensité de cet échange.
Agatha s'avança à son tour, son sourire glacé et parfaitement maîtrisé. « Peut-être que vos clients devraient moins compter sur vos talents de magicienne et davantage sur la transparence. Mais je comprends. Quand on n'a pas la loi de son côté, il reste toujours la diversion. »
Un éclat passa dans les yeux de Victoria, mais au lieu de se laisser désarçonner, elle rit doucement. Ce n'était pas un rire d'amusement, mais plutôt un geste calculé, une manœuvre subtile pour reprendre le contrôle. « Vous êtes aussi redoutable que je l'imaginais, Agatha. Je dois avouer, c'est... rafraîchissant. »
La manière dont elle prononça son prénom — avec une familiarité provocante — fit tressaillir Agatha. Elle garda son masque impassible, mais quelque chose en elle vacilla. Était-ce de l'irritation ? Ou autre chose ?
« Et vous êtes aussi agaçante que je l'imaginais, Victoria, » rétorqua Agatha, sa voix douce mais pleine de piques. Elle se redressa légèrement, décidée à mettre fin à l'échange avant qu'il ne prenne un tour plus personnel. « Mais je suppose que ce serait trop demander qu'une avocate de votre réputation soit aussi dotée d'un sens de la modestie. »
Victoria sourit, un sourire qui semblait murmurer : Touché. « Ah, la modestie. Je la laisse à ceux qui en ont besoin pour compenser autre chose. »
Agatha serra les mâchoires, mais avant qu'elle ne puisse répondre, une voix annonça au micro que Jonathan allait prononcer son discours de remerciement. L'attention des invités se détourna vers la scène, mettant fin à leur échange.
Alors que Jonathan parlait, Agatha sentit le regard de Victoria sur elle. C'était déstabilisant, comme une chaleur discrète mais insistante. Elle voulut se retourner, mais se retint. L'étrange fascination qu'elle avait ressentie au début ne faisait que s'intensifier, et cela la troublait.
Lorsque la soirée s'acheva, Agatha quitta les lieux au bras de Jonathan, son sourire parfait toujours fixé sur son visage. Mais dans la voiture, les mots de Victoria tournaient en boucle dans son esprit. Pas seulement ses mots, mais son regard, son attitude, cette confiance audacieuse et cette présence qui l'avait autant agacée qu'attirée.
« Tu étais parfaite ce soir, » murmura Jonathan, ses yeux rivés sur la route.
Agatha répondit par un vague hochement de tête, son esprit ailleurs. Victoria Grant n'était pas qu'une adversaire. Elle était une énigme, et Agatha sentait que ce ne serait pas la dernière fois qu'elle se retrouverait face à elle.
Alors que le discours de Jonathan se termine sous une salve d'applaudissements, Agatha s'éclipse discrètement pour chercher un moment de calme. La chaleur de la salle, les regards et les conversations incessantes commencent à peser sur elle. Elle se dirige vers un couloir adjacent, un espace plus sombre et moins fréquenté.
C'est là qu'elle les voit.
Jonathan est appuyé contre un mur, penché légèrement vers une femme qu'Agatha ne reconnaît pas immédiatement. Elle est élégamment vêtue, une robe bordeaux qui épouse ses formes, et elle rit doucement, presque en chuchotant. Jonathan murmure quelque chose, et sa main effleure brièvement le bras de la femme, un geste subtilement intime.
Agatha s'arrête net, l'ombre du couloir la dissimulant. Une étrange sensation l'envahit, un mélange de colère, de doute et de trahison qu'elle n'arrive pas à réprimer. Elle se concentre sur leurs expressions, sur la manière dont la femme incline légèrement la tête vers Jonathan, dont il répond par un sourire qu'elle connaît bien — un sourire qu'il lui réservait autrefois, il y a longtemps.
Les murmures sont trop bas pour qu'elle puisse saisir leurs mots, mais l'atmosphère parle d'elle-même. Cela pourrait être une conversation anodine, mais quelque chose dans leur posture, dans cette proximité, éveille en Agatha une certitude qu'elle n'ose formuler.
Elle inspire profondément, refusant de céder à une impulsion qui l'inciterait à les interrompre. Pas ici. Pas maintenant. Elle n'est pas une femme qui fait des scènes, encore moins en public. Pourtant, l'idée d'une confrontation lui brûle la gorge.
Agatha détourne les yeux et retourne à la soirée, ses talons claquant légèrement sur le marbre. Son masque est toujours en place lorsqu'elle rejoint les invités, mais à l'intérieur, tout vacille. Chaque mot échangé, chaque geste de Jonathan ce soir, prend une nouvelle signification dans son esprit.
Lorsque Victoria Grant l'aborde quelques instants plus tard, c'est comme un coup du destin.
« Vous semblez ailleurs, Agatha, » dit Victoria, son sourire un mélange d'amusement et de curiosité.
« Peut-être que je réfléchis à notre prochaine rencontre devant le tribunal, » réplique Agatha avec une froideur maîtrisée.
Victoria penche la tête, un éclat dans ses yeux. « Ou peut-être que quelque chose d'autre occupe vos pensées. Mais je ne vous retiendrai pas. Il serait dommage que vous manquiez quelque chose... d'important. »
Le sous-entendu est subtil mais perçant, et Agatha sent sa patience s'éroder. Pourtant, elle ne répond pas, consciente qu'un autre duel verbal avec Victoria ne ferait qu'attirer davantage l'attention.
La soirée continue, mais pour Agatha, tout semble flou, comme un rêve étrange dont elle ne parvient pas à s'éveiller. Plus tard, dans le silence de leur chambre, lorsqu'elle s'allonge aux côtés de Jonathan, ses pensées tournent en boucle.
Jonathan est-il fidèle ? A-t-elle imaginé cette complicité entre lui et cette femme ? Pourquoi Victoria Grant, avec ses remarques énigmatiques, occupe-t-elle soudain autant de place dans son esprit ?
Les réponses ne viennent pas, mais une chose est sûre : ce n'est que le début.
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Le lendemain Victoria Grant était plongée dans un article de presse en ligne lorsque Diane Lockhart fit son apparition dans son bureau, comme une tempête élégante. Victoria, vêtue d'un tailleur impeccable, releva à peine les yeux, prenant une gorgée de café noir, son expression neutre.
« Diane, vous savez que je ne suis pas du matin, » lança Victoria avec un sourire mi-amusé, mi-irrité.
Diane, quant à elle, était impeccable, comme toujours. Sa tenue crème et ses lunettes subtilement imposantes lui donnaient un air d'autorité naturelle. Elle posa un dossier épais sur le bureau de Victoria, le faisant glisser vers elle.
« Désolée de perturber votre méditation matinale, » rétorqua Diane avec une pointe de sarcasme, « mais nous avons une affaire qui mérite toute votre attention. »
Victoria posa sa tasse de café, enfin intéressée. Elle ouvrit le dossier, ses yeux s'attardant sur la photo d'une femme au visage marqué par la fatigue et le désespoir.
« Heather Collins, » expliqua Diane, croisant les bras. « Trente-sept ans, infirmière. Accusée d'avoir tué son ex-mari, Michael Collins. Un homme avec un passé trouble, mais ça, ce n'est pas la question. La police l'a arrêtée hier soir. Le problème ? Elle est innocente. »
Victoria fronça légèrement les sourcils, feuilletant les pages. « Innocente, vraiment ? Vous savez comme moi que ce mot n'a pas beaucoup de valeur tant qu'on n'a pas les preuves pour le soutenir. »
Diane sourit légèrement, comme si elle s'attendait à cette réponse. « C'est là que vous entrez en scène. L'ex-mari était violent, c'est vrai, mais Heather affirme qu'elle n'était pas sur les lieux du crime. Elle a un alibi — du moins, c'est ce qu'elle dit. Mais les preuves circonstancielles l'accablent. Des empreintes, un motif, et bien sûr, le fait qu'elle ait été vue près de chez lui peu de temps avant le meurtre. »
Victoria haussa un sourcil. « Pourquoi est-elle venue dans notre cabinet, alors ? Nous ne sommes pas exactement connus pour défendre des cas comme celui-ci. »
Diane s'assit dans le fauteuil en face de Victoria, adoptant un ton plus sérieux. « Parce qu'elle a besoin de quelqu'un qui peut non seulement prouver son innocence, mais aussi manipuler les médias qui commencent déjà à en faire une 'veuve noire'. Elle veut quelqu'un qui sait comment gagner, coûte que coûte. »
Victoria passa une main dans ses cheveux, réfléchissant. Le cas semblait complexe, mais elle aimait les défis. Et puis, une femme injustement accusée... cela éveillait en elle une fibre qu'elle ne montrait pas souvent : une envie de justice.
« D'accord, » dit-elle finalement en refermant le dossier. « J'accepte. Mais dites à Heather que si elle me cache quoi que ce soit, je lâche l'affaire immédiatement. Je n'ai pas de temps pour des mensonges. »
Diane se leva, un sourire satisfait sur le visage. « Je n'en attendais pas moins de vous. Elle est en salle de réunion, si vous voulez la voir. »
Alors que Diane quittait la pièce, Victoria se leva, emportant son café et le dossier. Mais avant de sortir, elle s'arrêta un instant, le regard perdu dans le vide. La veille, lors de la soirée du procureur, une certaine avocate avait réussi à occuper un coin de ses pensées. Agatha Harkness.
Un léger sourire en coin apparut sur ses lèvres avant qu'elle ne le chasse d'un geste impatient. Ce matin, il n'y avait pas de place pour des distractions. Une femme accusée de meurtre comptait sur elle, et Victoria aimait l'idée de prouver, encore une fois, qu'elle était la meilleure dans ce métier.
Elle inspira profondément, ajusta son tailleur, et sortit de son bureau. « Allons sauver une innocente, » murmura-t-elle pour elle-même, avant de rejoindre Heather Collins.
Victoria entra dans la salle de réunion où Heather Collins attendait, les épaules affaissées, un gobelet de café dans les mains. Diane l'avait briefée rapidement avant son arrivée. Victoria s'assit face à elle, posant le dossier sur la table sans un mot. Elle observa Heather un instant, étudiant chaque mouvement, chaque expression.
« Heather, » commença Victoria d'une voix calme mais ferme, « avant qu'on aille plus loin, je vais être franche : si vous me cachez quoi que ce soit, si vous me mentez, je ne pourrai pas vous défendre. J'ai besoin de toute la vérité, même celle que vous n'avez pas envie de partager. »
Heather hocha frénétiquement la tête, les yeux embués. « Je vous promets, je ne mens pas. Je n'ai pas tué Michael. Je n'aurais jamais fait une chose pareille. »
Victoria la scruta encore un instant avant de se redresser. « Très bien. Nous allons commencer à monter votre défense, mais cela signifie aussi que nous devrons enquêter sur vous, sur votre vie et sur tout ce qui pourrait se retourner contre vous. Je vais être honnête : ce ne sera pas agréable. Êtes-vous prête à faire face à ça ? »
Heather serra son gobelet, luttant pour ne pas céder à ses émotions. « Oui, faites ce que vous avez à faire. Je veux juste qu'on sache que je suis innocente. »
Victoria se leva, rassemblant le dossier. « Parfait. Nous allons commencer immédiatement. »
Elle quitta la salle, son esprit déjà concentré sur la stratégie à venir. Quelques minutes plus tard, elle était de retour dans son bureau, où elle décrocha son téléphone et composa un numéro connu.
« Alice, » dit-elle dès que la ligne décrocha.
Alice Wu, la détective privée du cabinet, était une experte en filatures, renseignements et recherche d'informations que personne d'autre ne pouvait trouver. Victoria savait qu'Alice était exactement la personne qu'il fallait pour creuser dans la vie de Heather et de son défunt ex-mari.
« Victoria, » répondit Alice, sa voix calme mais toujours alerte. « Je suppose que si vous m'appelez, c'est que vous avez une affaire intéressante. »
Victoria sourit légèrement. « Très. Une femme accusée du meurtre de son ex-mari, mais elle clame son innocence. Elle dit qu'elle n'était pas sur les lieux du crime, mais tout semble jouer contre elle. Je veux que vous creusiez, et pas seulement sur elle. Fouillez dans la vie de son ex-mari. Je veux savoir qui il était, qui il fréquentait, et surtout, s'il avait des ennemis. »
Alice prit quelques notes. « Compris. Est-ce que je commence par Heather ou Michael ? »
« Les deux, » répondit Victoria sans hésiter. « Concentrez-vous d'abord sur l'alibi de Heather. Elle affirme qu'elle n'était pas sur place au moment du meurtre. Si c'est vrai, on doit le prouver. Ensuite, trouvez tout ce que vous pouvez sur Michael : finances, relations, dettes, conflits. Je veux tout. »
Alice hocha la tête de l'autre côté de la ligne. « Très bien. Je vais commencer dès maintenant. Je vous tiens au courant. »
Victoria raccrocha et se laissa tomber dans son fauteuil, réfléchissant à la meilleure stratégie pour protéger Heather. Ce cas s'annonçait compliqué, mais elle savait qu'avec Alice sur le terrain, elles trouveraient des angles d'attaque.
En regardant par la fenêtre de son bureau, elle murmura pour elle-même :
« Il y a toujours une vérité cachée. On verra si Heather est aussi innocente qu'elle le dit. »
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Assise derrière son large bureau en bois massif, Agatha feuilletait distraitement les pages d'un dossier, ses yeux glissant sur les mots sans vraiment les lire. Son esprit, habituellement aiguisé et concentré, était ailleurs.
Victoria Grant.
Son visage, ses yeux perçants, son sourire légèrement moqueur, tout revenait sans cesse dans ses pensées, comme un écho qu'elle ne pouvait ignorer. Il y avait quelque chose chez cette femme, une intensité qui l'avait fascinée malgré elle. Mais cette fascination la troublait autant qu'elle l'agaçait.
Agatha posa le dossier avec un soupir frustré, croisant les bras sur son bureau. Magnifique. Victoria était magnifique, pensa-t-elle, presque à contrecœur. Ce n'était pas une pensée qu'elle voulait avoir, encore moins en cet instant.
Mais aussitôt que l'image de Victoria s'estompait, une autre surgissait, tout aussi obsédante. Jonathan. Et cette femme.
Elle revoyait leurs gestes familiers, leurs murmures dans l'ombre de la soirée. Le rire doux de cette inconnue, le sourire détendu de Jonathan... Cela la rongeait, la plongeant dans une spirale de colère et de doute. Et si elle s'était trompée ? Et si ce qu'elle avait vu n'était rien de plus qu'un simple malentendu ?
Mais une petite voix au fond de son esprit, implacable, murmurait autre chose. Cela ne semblait pas innocent. Cela ressemblait à... quelque chose qu'elle n'osait pas encore nommer.
Elle passa une main dans ses cheveux, tentant de chasser ces pensées parasites. La confusion qui l'envahissait était insupportable : un mélange de trahison et d'une émotion qu'elle ne savait pas identifier. Et, curieusement, Victoria était liée à tout cela.
« C'est ridicule, » murmura Agatha pour elle-même, secouant la tête comme pour chasser ces pensées. Mais les mots sonnaient creux.
Elle se leva et fit quelques pas dans son bureau, jetant un regard vers la grande baie vitrée qui offrait une vue imprenable sur la ville. Jonathan était son mari, son partenaire, même si leur relation n'était plus aussi harmonieuse qu'avant. Il était le père de ses enfants, le pilier de leur vie publique. Alors pourquoi l'image de lui avec une autre femme semblait-elle si facile à croire ?
Et pourquoi Victoria, avec son arrogance et son charisme, s'était-elle insinuée dans cet espace déjà fragile ?
Elle ferma les yeux un instant, prenant une profonde inspiration. Se ressaisir. Elle était Agatha Harkness, une femme forte, une avocate brillante. Elle ne pouvait pas se permettre de flancher.
Mais au fond d'elle-même, une vérité qu'elle n'était pas prête à admettre commençait à prendre forme. Ce n'était pas seulement la jalousie ou la colère. C'était autre chose. Quelque chose d'inattendu. Quelque chose qui la terrifiait autant que cela l'intriguait.
Agatha sursauta légèrement en entendant frapper à la porte. Avant même qu'elle ne puisse répondre, Lilia Calderu entra, un sourire éclatant aux lèvres et un épais dossier en main.
« Désolée de te déranger, Agatha, mais je crois que tu vas vouloir entendre ça, » dit Lilia en s'installant sans invitation, déposant le dossier sur le bureau avec une énergie qui lui était propre.
Agatha, encore secouée par ses pensées, fronça légèrement les sourcils mais s'assit de nouveau, les mains croisées. « Qu'est-ce que c'est, Lilia ? » demanda-t-elle d'une voix mesurée.
Lilia se redressa dans son fauteuil, visiblement ravie. « Une nouvelle affaire. Et pas n'importe laquelle. Nous sommes sollicités pour représenter les intérêts de Michael Collins, l'homme assassiné. Enfin, ses proches, bien sûr. Ils veulent que nous poursuivions en justice la femme accusée, Heather Collins, pour homicide volontaire et préjudice à leur famille. »
Agatha releva un sourcil, prenant le dossier sans un mot pour le parcourir rapidement. Elle avait déjà vaguement entendu parler de cette affaire dans les actualités, mais elle n'avait pas prêté beaucoup d'attention.
« Attends. » Elle releva les yeux vers Lilia. « Nous devrions défendre la famille d'un homme avec un historique de violence domestique ? Il y a de meilleurs cas à prendre, tu ne crois pas ? Pourquoi eux, Lilia ? Pourquoi ce dossier ? »
Lilia, imperturbable, se pencha légèrement en avant, son sourire devenant presque malicieux. « Parce que, cara mia, ce n'est pas juste une affaire de meurtre. C'est une opportunité. Une chance de gagner face à Victoria Grant et Diane Lockhart. Elles représentent Heather Collins. Imagine un peu, Agatha : une victoire contre ces deux poids lourds. Ce serait un coup de maître pour le cabinet. »
Le nom de Victoria résonna dans l'esprit d'Agatha comme une alarme. Elle détourna brièvement le regard, comme pour cacher sa réaction, avant de répondre d'un ton plus sec qu'elle ne l'aurait voulu.
« Donc, on accepte un cas bancal, non pas parce qu'il est moralement défendable, mais parce que tu veux qu'on humilie Victoria Grant dans un tribunal ? »
Lilia haussa les épaules, un sourire innocent sur les lèvres. « Ce n'est pas seulement pour ça. Mais avoue que ce serait satisfaisant, non ? Toi contre elle. Agatha Harkness face à Victoria Grant, la prétentieuse. Et avec Diane Lockhart dans son camp, ça rend la victoire encore plus douce. »
Agatha s'appuya contre le dossier de sa chaise, un léger sourire ironique se dessinant sur ses lèvres. « Tu es incorrigible, Lilia. »
Lilia éclata de rire. « Peut-être. Mais tu sais que j'ai raison. Et ce dossier n'est pas aussi bancal qu'il en a l'air. Michael Collins avait peut-être des défauts, mais il était aussi un père. Sa famille mérite justice, et si Heather est coupable, il est de notre devoir de le prouver. »
Agatha réfléchit un moment, ses doigts tapotant doucement sur le bureau. Son esprit revenait, encore et encore, à Victoria. Cette femme était un défi dans tous les sens du terme. La perspective d'un duel juridique face à elle éveillait quelque chose d'inattendu en Agatha : une envie de surpasser, mais aussi une curieuse envie d'être vue par elle, reconnue.
Elle referma le dossier avec un claquement sec. « Très bien. On prend l'affaire. Mais Lilia, je te préviens : si je découvre que cette famille nous cache quoi que ce soit, c'est fini. Je ne veux pas d'un autre cas qui se retourne contre nous. »
Lilia acquiesça avec enthousiasme, se levant d'un bond. « Parfait ! Tu ne le regretteras pas. Prépare-toi, Agatha. Cette bataille va être légendaire. »
Alors que Lilia quittait le bureau, Agatha ouvrit de nouveau le dossier, son esprit se préparant déjà aux arguments qu'elle pourrait avancer. Mais, en arrière-plan, une autre pensée persistait. Victoria Grant.
Cette affaire ne serait pas seulement une bataille juridique. C'était quelque chose de plus grand, de plus intime. Et cela effrayait Agatha presque autant que cela l'excitait.
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La salle d'audience était pleine, le murmure des spectateurs dissipé par la voix ferme du greffier annonçant l'ouverture de l'audience. Au centre, deux figures attiraient toute l'attention : Maître Victoria Grant, représentant Heather Collins, et Maître Agatha Harkness, défendant la famille du défunt Michael Collins.
Le juge, une femme imposante aux cheveux gris soigneusement attachés, frappa son marteau pour établir le silence. « L'audience commence. Maître Grant, vous pouvez appeler votre premier témoin. »
Victoria se leva avec assurance, son tailleur impeccablement ajusté, et s'approcha du centre de la salle. « Merci, votre Honneur. J'appelle à la barre Mrs. Sarah Kensington, voisine de ma cliente. »
Une femme d'âge moyen s'avança, un peu nerveuse, avant de prêter serment.
Victoria s'approcha doucement, sa voix posée et rassurante. « Mrs. Kensington, pouvez-vous indiquer où vous étiez le soir du 12 décembre, à l'heure supposée du meurtre ? »
« J'étais chez moi, comme d'habitude, » répondit Sarah, les mains jointes sur ses genoux.
« Et avez-vous vu ma cliente, Heather Collins, ce soir-là ? »
« Oui, je l'ai vue chez elle. Les lumières étaient allumées, et je l'ai aperçue par la fenêtre. »
Victoria hocha doucement la tête, se tournant légèrement vers le jury pour souligner l'importance du témoignage. « Pouvez-vous préciser ce qu'elle faisait ? »
Sarah répondit après une brève hésitation : « Elle était dans la cuisine, elle semblait préparer quelque chose. »
Victoria s'arrêta un instant, laissant ses mots s'installer dans l'esprit du jury, puis continua. « Donc, pour être claire, vous affirmez avoir vu Mrs. Collins chez elle au moment où la police prétend qu'elle aurait tué son ex-mari ? »
« Absolument, » répondit Sarah avec conviction.
Agatha se leva brusquement, sa voix tranchante perçant l'atmosphère : « Objection, votre Honneur. Le témoignage de Mrs. Kensington est spéculatif. Apercevoir quelqu'un dans une pièce un instant ne prouve pas qu'elle y est restée toute la soirée. »
Le juge fronça les sourcils et hocha la tête. « Objection retenue. Maître Grant, reformulez. »
Victoria, imperturbable, adressa un regard neutre à Agatha avant de revenir à son témoin. « Mrs. Kensington, pouvez-vous dire avec certitude combien de temps vous avez observé Mrs. Collins ce soir-là ? »
« Seulement quelques minutes, » admit Sarah.
Victoria hocha la tête avec douceur. « Merci, Mrs. Kensington. Pas d'autres questions, votre Honneur. »
Agatha se leva alors, ses talons claquant légèrement sur le sol alors qu'elle avançait vers le témoin. Ses mouvements étaient mesurés, presque calculés, et son regard glacial ne quittait pas la femme à la barre.
« Mrs. Kensington, vous avez mentionné que vous avez vu Heather Collins dans sa cuisine. Étiez-vous proche de la fenêtre ? »
« Pas vraiment, non. »
« Très bien. Alors, à cette distance, êtes-vous absolument certaine qu'il s'agissait bien de Mrs. Collins ? Cela aurait pu être quelqu'un d'autre dans sa maison, n'est-ce pas ? »
Sarah parut troublée. « Eh bien... je suppose que c'est possible, mais je suis presque sûre que c'était elle. »
Agatha sourit légèrement, un sourire plus glacial qu'amical. « Vous êtes presque sûre, mais pas totalement. Merci, Mrs. Kensington. Pas d'autres questions. »
Alors qu'Agatha retournait à sa place, Victoria la suivit du regard, son expression toujours neutre, mais son esprit analysait déjà les failles de l'interrogatoire.
Victoria se leva de nouveau pour présenter une pièce essentielle de sa défense. « Votre Honneur, j'aimerais soumettre au dossier un reçu de stationnement qui prouve que ma cliente était à plusieurs kilomètres du lieu du crime au moment supposé de l'assassinat. »
Agatha se redressa immédiatement, son ton sec : « Objection, votre Honneur. Ce reçu ne prouve pas que Heather Collins était physiquement présente à cet endroit. Rien ne confirme qu'elle l'a utilisé elle-même. »
Le juge réfléchit un instant avant de répondre : « Objection rejetée. Maître Grant, continuez. »
Victoria hocha la tête avec un léger sourire satisfait. « Merci, votre Honneur. » Elle se tourna alors vers le jury, accentuant l'importance de cette preuve. « Ce reçu est une pièce majeure. Ma cliente ne peut être à deux endroits à la fois. »
Agatha, fixant Victoria avec intensité, se leva à nouveau. « Votre Honneur, je demande une vérification complète de ce reçu. Jusqu'à preuve du contraire, il ne s'agit que d'un morceau de papier. Sans caméra de surveillance ou témoin pour corroborer la présence de Mrs. Collins, il est impossible de l'accepter comme preuve irréfutable. »
Le juge soupira. « Très bien, Maître Harkness. Nous examinerons la validité du reçu. Pour le moment, il reste dans les preuves soumises. »
Agatha retourna à sa place, mais pas sans croiser brièvement le regard de Victoria. Une tension palpable les reliait, un mélange de défi professionnel et d'émotions complexes qu'aucune ne voulait reconnaître.
L'audience continua, chaque argument, chaque objection alimentant ce duel intense entre deux femmes aussi redoutables qu'intrigantes. La bataille juridique était loin d'être terminée, mais déjà, elle promettait d'être inoubliable.
Le procès continuait, les témoignages et les preuves s'enchaînant. Agatha et Victoria se lançaient des arguments aiguisés, chaque objection ou contre-interrogatoire intensifiant leur rivalité. Pourtant, au fil des échanges, Victoria ne pouvait s'empêcher de détourner ses pensées vers Agatha.
Sous la lumière tamisée de la salle d'audience, Agatha semblait presque irréelle. Ses gestes précis, sa voix froide et mesurée, et cette façon unique de dominer la salle, tout cela fascinait Victoria. Chaque fois qu'Agatha se levait pour parler, Victoria se surprenait à détailler la manière dont son tailleur bleu marine soulignait sa silhouette ou à noter l'éclat déterminé de ses yeux.
Elle secoua mentalement la tête. Ce n'est pas le moment, Grant, se rappela-t-elle, ramenant son attention sur le jury. Mais, même en réprimandant ses pensées, elle savait que quelque chose avait changé.
Agatha, de son côté, semblait parfaitement concentrée. Elle ne montrait rien, pas une faiblesse, pas un doute. Pourtant, Victoria sentait quelque chose de plus profond dans sa posture rigide, un combat intérieur qu'elle ne pouvait que deviner.
Après plusieurs heures d'arguments, de preuves, et de délibérations intenses, le jury revint avec sa décision. La salle d'audience était tendue, chaque souffle retenu.
Le greffier se leva pour lire le verdict. « Dans l'affaire opposant Heather Collins à la famille de Michael Collins, le jury déclare l'accusée non coupable. »
Un murmure parcourut la salle. Heather éclata en sanglots, serrant les mains de Victoria avec une reconnaissance sincère.
Agatha resta immobile un instant, son expression froide dissimulant parfaitement la frustration qui bouillonnait en elle. Elle se leva dignement, rassemblant ses papiers avec calme, mais son esprit tournait à mille à l'heure. Elle avait perdu, et perdre contre Victoria rendait la défaite encore plus difficile à avaler.
Victoria, de son côté, ne put s'empêcher de jeter un regard à Agatha. Ce regard n'était pas triomphant, ni moqueur. Il était... contemplatif. Elle voulait lui dire quelque chose, peut-être même lui tendre la main. Mais elle se retint. Pas ici, pas maintenant.
Alors que la salle commençait à se vider, Victoria s'approcha doucement de la table de l'équipe adverse, hésitant une fraction de seconde avant de parler. « Bien joué, Maître Harkness. Vous êtes redoutable, comme toujours. »
Agatha leva les yeux, son regard perçant croisant celui de Victoria. Elle esquissa un sourire glacé, mais poli. « Félicitations, Maître Grant. Vous avez été... impressionnante. »
Le sous-texte était là, palpable, dans l'air entre elles. C'était plus qu'un simple échange professionnel. Une tension, une connexion qu'aucune des deux ne voulait nommer.
Victoria sentit son cœur accélérer. Elle ouvrit la bouche, comme pour ajouter quelque chose, mais Agatha prit son dossier et s'éloigna avant qu'elle ne puisse continuer.
Victoria la regarda partir, ses talons claquant sur le sol avec une assurance implacable. Une pensée la traversa : Elle est belle. Magnifique, même. Et ça me trouble bien plus que ça ne devrait.
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De retour dans son bureau, Agatha referma la porte derrière elle, le bruit de la serrure résonnant dans le silence. Elle posa son dossier sur le bureau et s'assit, les mains tremblantes de colère et de frustration.
Ce n'était pas seulement la défaite qui la hantait. C'était Victoria. Sa présence, son intelligence, sa détermination... et cette beauté troublante qu'elle ne pouvait ignorer.
Elle se massa les tempes, essayant de faire taire ces pensées. Mais l'image de Victoria restait gravée dans son esprit, tout comme celle de Jonathan et de cette femme mystérieuse. C'est ridicule, Agatha. Concentre-toi.
Pourtant, une part d'elle savait que quelque chose était en train de changer. Et cela l'effrayait autant que cela l'intriguait. Agatha était plongée dans ses pensées, les yeux fixant le dossier devant elle sans vraiment le voir. La défaite au tribunal l'obsédait, mais c'était la présence de Victoria, son regard perçant, son attitude confiante, qui occupait la majeure partie de son esprit.
Soudain, la porte de son bureau s'ouvrit doucement, et Lilia Calderu entra, un sourire en coin. « Tu as l'air absorbée, Agatha. »
Agatha leva les yeux, surprenant un instant la lueur de frustration dans son regard avant de la masquer. « C'est la fin de la journée, Lilia. J'essaye juste de m'organiser. »
Lilia s'approcha du bureau, les bras croisés, un air faussement sérieux sur le visage. « Tu sais, après un jour comme ça, tu devrais vraiment sortir un peu. Boire un verre, te détendre. »
Agatha resta silencieuse un moment, observant la détermination de Lilia à l'encourager. Elle savait que sa collaboratrice voulait la distraire, l'aider à décompresser, mais ce soir-là, Agatha n'en avait aucune envie. Elle haussait les épaules mentalement en sachant déjà quelle serait sa réponse.
« Je passe mon tour ce soir, Lilia. »
Lilia se laissa tomber sur la chaise en face du bureau d'Agatha, levant les yeux au ciel. « Encore une de ces soirées où tu te laisses envahir par ton travail, hein ? »
Agatha esquissa un petit sourire. « C'est ainsi que les choses fonctionnent parfois. »
Lilia la fixa un instant, analysant son expression. « Tu sais, Agatha, si tu ne relâches pas la pression de temps en temps, tu risques d'imploser. »
Agatha soupira et tourna légèrement son regard vers la fenêtre, comme si elle cherchait quelque chose à l'extérieur pour se concentrer. « Ce n'est pas une question de pression. Je... je préfère rester ici ce soir. »
Lilia la regarda, un peu déconcertée mais acceptant la réponse. « Très bien. Mais je vais bien finir par te traîner dehors, un de ces jours. »
Agatha ne répondit pas tout de suite, perdue dans ses pensées. Traînée dehors. Ce n'était pas ce qu'elle voulait. Elle ne voulait pas de distractions, surtout pas en ce moment où son esprit était encore tourmenté par la confrontation avec Victoria.
« Va t'amuser, Lilia. Tu en as bien besoin, » dit-elle enfin, avec un léger sourire qui ne parvenait pas à masquer l'ombre dans ses yeux.
Lilia se leva, voyant que l'insistance ne servirait à rien cette fois. « Très bien. Mais tu sais où me trouver si tu changes d'avis. »
Agatha acquiesça d'un hochement de tête, et Lilia quitta le bureau, laissant Agatha seule avec ses pensées.
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Agatha entra dans son appartement, les clés tombant brusquement dans le petit plat près de l'entrée, un geste un peu trop énergique pour être normal. La soirée au tribunal avait été difficile, la défaite encore fraîche dans son esprit, mais ce n'était pas cela qui la perturbait. Elle sentait un malaise grandir à chaque pas qu'elle faisait dans son appartement.
Lorsque Jonathan, son mari, était censé être là, il n'y avait aucune trace de lui. Son manteau, qu'il laissait toujours sur le canapé, n'était plus là. Elle s'avança lentement, comme si quelque chose dans l'air avait changé, puis entra dans le salon. C'est là qu'elle le remarqua. Le téléphone de Jonathan était posé sur la table basse, écran allumé, un message évident et non effacé s'affichant à l'écran.
"Je ne peux pas attendre ce soir. Je veux te voir. Il me tarde que tout soit fini entre toi et elle."
Agatha sentit son cœur se serrer. Elle n'avait même pas besoin de lire davantage pour comprendre. Le sentiment d'effondrement, de trahison, envahit son être. Jonathan l'avait trompée. La rage monta en elle comme un volcan prêt à exploser.
Quelques minutes plus tard, Jonathan rentra, l'air détendu, comme si tout allait bien. Mais dès qu'il posa les yeux sur Agatha, son expression changea, se figeant de surprise.
« Agatha... tu es rentrée plus tôt ? »
Agatha ne répondit pas tout de suite. Elle tenait le téléphone de Jonathan dans les mains, l'écran toujours visible, et le lui lança sans ménagement. « Ça, c'est quoi ? »
Jonathan sembla pris au dépourvu, mais il tenta de garder son calme. « Écoute, ce n'est pas ce que tu crois... »
Agatha se rapprocha de lui, son regard glaçant. « Ne me mens pas. » Sa voix tremblait légèrement, mais c'était de colère, pas de tristesse. « Comment as-tu pu me faire ça ? Après tout ce temps, après tout ce qu'on a construit ? »
Jonathan hésita, cherchant une échappatoire, mais Agatha n'attendait pas de justification. Elle n'en voulait plus.
« Je suis désolée, Agatha. C'était une erreur... »
Un éclat de rire nerveux s'échappa des lèvres d'Agatha. « Une erreur ? » Elle secoua la tête, se reculant d'un pas. « Tu as menti pendant des mois, Jonathan. Ça, ce n'est pas une erreur. »
Un silence lourd s'installa entre eux, et la tension monta encore. Agatha, submergée par la colère et la douleur, finit par tourner les talons. « Je n'ai pas envie de discuter. Pas ce soir. »
Elle attrapa son manteau et se précipita vers la porte, décidée à fuir cette confrontation.
༻﹡༺
Un bar assez discret, à l'écart des regards. C'était l'un de ses endroits préférés, un refuge où elle savait qu'elle pourrait se perdre dans l'anonymat. La musique douce et les conversations en arrière-plan lui offraient une sensation de calme relatif. Elle s'assit au comptoir, son regard vide, puis commanda un verre de whisky.
Elle prit une gorgée, laissant l'alcool brûler sa gorge, mais ne ressentant presque rien. Ce n'était pas le soulagement qu'elle cherchait, mais plutôt un moyen de calmer un peu le tumulte intérieur.
Elle se concentra sur la sensation du liquide dans son verre, tentant de se recentrer. Mais les pensées tourbillonnaient toujours, un tourbillon incontrôlable : Jonathan, sa trahison, puis cette image persistante de Victoria...
La soirée venait tout juste de commencer, mais Agatha sentait déjà que ce moment, cette rupture, allait marquer un tournant dans sa vie.
Le bruit de la porte du bar s'ouvrit, et Agatha tourna brièvement la tête. Elle n'avait pas besoin de chercher longtemps : c'était Victoria. La silhouette haute et assurée de la maîtresse de l'autre cabinet se découpait dans la lumière tamisée du bar. Agatha sentit une pointe d'irritation s'élever dans sa poitrine, mais elle la refoula aussitôt.
Victoria s'avança d'un pas élégant, rejoignant le comptoir. Elle salua le barman d'un sourire poli avant de passer sa commande. « Un gin tonic, s'il vous plaît. » Sa voix, calme et contrôlée, résonna doucement dans l'air.
Agatha détourna les yeux, son esprit déjà ailleurs, mais un mouvement attira de nouveau son attention. Diane Lockhart, la grande avocate du cabinet rival, arriva à son tour. Elle s'approcha de Victoria, un sourire sincère sur les lèvres.
Les deux femmes échangèrent quelques mots à voix basse avant que Diane ne prenne l'initiative de la prendre dans ses bras, un geste affectueux mais intime. Elles se tenaient là, l'une contre l'autre, presque comme si elles formaient une unité, une complicité qui semblait aller au-delà de la simple relation professionnelle.
Agatha resta immobile, les yeux rivés sur la scène sans pouvoir détourner le regard. La vue de Victoria dans les bras de Diane la fit se sentir... étrange. Quelque chose de douloureux s'installa en elle, un mélange de jalousie et de frustration. Pourquoi cela l'affectait-elle autant ?
Elle se dit qu'elle n'avait rien à faire ici, que tout cela ne la concernait pas. Elle se leva lentement, prête à quitter le bar, mais quelque chose la retenait. L'image de Victoria et Diane, fusionnant dans un moment qui semblait privé et secret, la perturbait plus qu'elle ne voulait l'admettre.
Agatha resta là, reculée dans son coin, observant sans rien dire, sans bouger, ses émotions en guerre à l'intérieur. Pourquoi ça m'énerve tant ? pensait-elle. Elle n'est pas mon problème.
Mais son cœur battait plus fort à chaque seconde, l'ironie de la situation frappant brutalement Agatha. Elle avait toujours été la femme qui contrôlait tout, qui gérait les conflits avec froideur et maîtrise, mais ce soir-là, elle se sentait vulnérable, perdue. Et tout cela, à cause de cette étrange attirance pour Victoria, une attirance qu'elle n'arrivait ni à comprendre ni à accepter.
Elle se tourna enfin, son regard restant encore un instant sur le duo, avant de sortir du bar, laissant derrière elle cette scène et cette sensation d'être étrangère à tout cela, mais paradoxalement profondément affectée.
⋆ ˚。⋆୨୧˚FIN ˚୨୧⋆。˚ ⋆
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charlastorfrenchlove · 4 months ago
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Extrait chapitre 1 de la fic "MotherFucker"
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Avant propos : L'histoire ce déroule dans un Univers Alternatif , je prend le partie pris qu'Alastor n'a pas de maître mais juste en quête de puissance . Charlie et Vaggie n'ont jamais été ensemble. Charlie et Stolas sont cousins  . Tout les démons ont accès à tout l'enfer et il peut avoir des naissance issue d'un pêcheur , je ne suis pas les règles de Vizie pour cette fic .Dernière cette chose elle sera beaucoup moins orientée action que "M'as-tu piégés Princesse ? 
Encore une journée pénible pour la princesse , encore une journée à faire semblant de faire comme-si tout allait bien alors que c'est l'inverse .Et tout cela à cause d'une seule et unique personne , son ex-petit ami Alastor elle qui croyait que ce démon l'aimait vraiment mais elle ne sait fait que de fausses idées se laissant bercée d'une douce illusion tandis que son amie Vaggie lui avait bien dit de faire attention à cela .Après tout c'est vrai que Al avait la mauvaise réputation d'être le pire des manipulateurs mais il a fallut qu'elle ignore son amie exorciste . Ayant eut des mots dur avec elle , des mots qu'elle regrette à présent car l'ange ne voulait que son bien . 
Le démon de la radio ne voulait qu'une chose d'elle , c'est que cette dernière lui permette de devenir un peu plus puissant en lui octroyant des pouvoirs et un nouveau statut le libérant de son statut d'Overlord .Maintenant qu'il a obtenu ce qu'il voulait il l'a jeté, tout simplement . Le démon de la radio n'a même pas chercher à reconsidérer sa décision , plus y réfléchir après tout en tant que couple il aurait obtenu un meilleur statut . Et elle se serait tenu à ses côtés en tant que confidente comme la politique ce n'était pas son fort , mais elle ne faisait pas partie de l'ambition de l'homme visiblement . La princesse de l'enfer se traîne péniblement dans la cuisine et elle croisa son père , lui aussi s'était opposé à la relation bien qu'Alastor n'a pas le pouvoir de le destituer de son rôle de roi mais ça ne saurait tardé . Car l'influence d'Alastor grandit de jour en jour , le paternel de Charlotte lui adresse un petit sourire dans son pyjama canard buvant sa tasse de café 
-Bonjour ma chérie comment ça va aujourd'hui ? *demande le roi*
-Boof comme d'habitude tu sais , ça ne fait qu'un mois qu'il est partit * répond Charlie*
Lucifer fronce un peu les sourcils étant un peu contrarié par la réponse de sa fille , pourquoi sa douce Charlie doit subir tout ça à cause d'un enfoiré  qui en vaut pas la peine .Et qui de plus se sentirait bien capable de le destituer de son titre qu'il gouverne depuis des millénaires . La seule raison pour laquelle Lucifer ne peut rien faire c'est que Alastor à obtenu son nouveau pouvoir et statut "légalement " via le pacte passé avec sa Charlie .  -Ne parles plus de lui chérie , il n'en vaut pas la peine . Je sais bien que c'est dur car tu avais de forts sentiments pour lui mais tu dois passer à autres choses . Tu sais tu devrais former un jolie couple avec Vaggie * conseille le roi de l'enfer*
Foreword: The story takes place in an Alternate Universe. In this version, Alastor has no master and is simply in pursuit of power. Charlie and Vaggie were never in a relationship. Charlie and Stolas are cousins. All demons have access to all of Hell, and it is possible for sinners to have children. I don't follow the canon rules of "Hazbin Hotel" for this fic. Also, this story will be much less action-oriented than "Did You Trap Me, Princess?"
Another tiresome day for the princess, another day of pretending everything is fine when, in reality, it's anything but. And it's all because of one person: her ex-boyfriend, Alastor. She once believed that this demon truly loved her, but she had only been fooling herself, wrapped up in a sweet illusion. Her friend Vaggie had warned her to be careful, but Charlie chose to ignore the exorcist's advice. After all, Alastor did have the reputation of being the worst kind of manipulator, yet she still fell for him. She had even said harsh words to Vaggie, words she now regrets, because her friend had only been looking out for her.
Alastor, the radio demon, had only wanted one thing from her: for Charlie to grant him more power and elevate his status, freeing him from his role as Overlord. Now that he had gotten what he wanted, he discarded her, just like that. He hadn’t even reconsidered his decision. In truth, as a couple, they could have gained even more power, and Charlie would have stood by his side as his confidante, given that politics wasn't her strong suit. But apparently, she wasn’t part of his grand ambitions.
Dragging herself into the kitchen, the Princess of Hell ran into her father, who had also opposed the relationship from the start. Even though Alastor didn't have the power to dethrone Lucifer, it seemed only a matter of time before he could. Alastor’s influence was growing by the day. Lucifer, wearing his duck-patterned pajamas and sipping his coffee, gave his daughter a small smile.
"Good morning, sweetheart. How are you today?" asked the King of Hell.
"Meh, same as usual. It’s only been a month since he left," Charlie replied.
Lucifer frowned slightly, feeling irritated by his daughter's response. Why should his sweet Charlie have to suffer because of a jerk who wasn’t worth her time? A jerk who, to top it off, might soon be capable of challenging Lucifer's millennia-long reign. The only reason Lucifer couldn’t take action was because Alastor had acquired his new power and status "legally" through the pact he'd made with Charlie.
"Don't talk about him anymore, darling. He’s not worth it. I know it’s hard because you had strong feelings for him, but you need to move on. You know, you and Vaggie would make a lovely couple," suggested the King of Hell.
...
Stolas s'introduit le plus discrètement dans son propre palace , tel un adolescent qui aurait fait le mur pour rejoindre sa petite-amie ou encore pour se rendre dans une fête. Sa coiffure et ses vêtements sont un peu désorganisé mais il s'en fiche un peu , c'est rien comparé au bordel qu'est devenu sa vie depuis quelques mois .Il se laisse donc glisser le long de la porte d'entrée portant ses mains sur son visage . Il était encore partie du lit de sans amant , sans rien dire ni laisser un mot et un de plus dans sa liste d'un coup d'un soir . Mais bon il attend l'amant idéal qui pourrait lui faire oublier ce petit diablotin qui hante ses pensées jour et nuit et cela même dans ses rêves . Il ne cherche pas à se caser une nouvelle fois , son expérience avec Blitzo lui fait encore trop mal et surtout notre prince n'a pas envie de blesser une personne qui y est pour rien .Bon pour le moment le volatile finit par se rendre compte que personne semble l'avoir remarqué , d'après ses souvenirs sa fille était chez sa mère et pour le coup ça l'arrange bien .
Même si il a l'impression de la délaisser fortement ces derniers temps , il en a fortement conscience . Le week-end prochain il compte bien se rattraper avec elle , le Goétia se mit même à penser qu'il avait un sacré point commun avec sa cousine Charlie ils ont tout les deux de tomber amoureux de deux gars complètement manipulateur et profiteur .  Elle aussi , il devra prendre de ses nouvelles pour voir si elle tient le coup . Après tout pour la fille de Lucifer sa rupture est plus récente que la sienne . De ce fait la blessure doit être encore plus à vif que la sienne , une fois calmé il se relève de contre sa porte pour de diriger dans ses appartement afin de pouvoir profiter d'une bonne douche .
Une fois arrivé dans ses appartements , il découvrit Verosika allongée de tout son long sur le lit on dirait qu'elle l'attendait . Une fois que la chouette rentre en contact avec son regard cette dernière se lève du lit .
-A ce que je vois Stolas Baby est encore parti à la chasse au beau mâle , tu as pensés à lui laisser un mot ? * demande la succube*
-Oh bon sang tu m'attends depuis combien de temps Verosika ? Non j'ai encore fuis comme un lâche * répond le prince*
-Je n'ai aucune obligation de te répondre à cela , je sais que j'ai voulu t'aider à te détacher de cet enfoiré de Blitzo mais je vois bien que ce train de vie ne te convient pas plus . Regardes toi , tu ressembles vraiment à une loque tu fais peine à voir  * fit remarquer la pop star*
Stolas se passe une main sur son visage un peu exaspéré par les dires de son " amie" puis il la regarde en arquant un sourcil et croisant ses bras contre son torse . -Est-ce que tu es venu m'aider ou m'achever dit le moi tout de suite ? * demande Stolas*
Stolas sneaked back into his own palace as discreetly as possible, like a teenager who had snuck out to meet his girlfriend or to go to a party. His hair and clothes were a bit disheveled, but he didn’t care—it was nothing compared to the mess his life had become in the last few months. He slid down the entrance door, resting his hands on his face. Once again, he had left his lover’s bed without a word or a note, adding another name to his list of one-night stands. But he was still waiting for the perfect lover, someone who could make him forget the little imp who haunted his thoughts day and night, even in his dreams. He wasn’t looking to settle down again—his experience with Blitzo was still too painful, and he didn’t want to hurt someone innocent in the process.
For now, the prince-bird realized no one seemed to have noticed his arrival. From what he remembered, his daughter was at her mother’s place, which, in a way, suited him just fine.
Even though he felt he had been neglecting her a lot lately, he was painfully aware of it. He planned to make it up to her the following weekend. Stolas even thought to himself that he had quite a bit in common with his cousin Charlie—they had both fallen for manipulative and opportunistic men. He reminded himself that he should check in on her, see how she was holding up. After all, Charlie’s breakup was more recent than his, so her wounds were probably still fresher. Once he had calmed down, he got up from the door and headed to his apartments, eager to enjoy a good shower.
When he reached his room, he found Verosika sprawled out on his bed, as if she had been waiting for him. The moment the owl locked eyes with her, she sat up from the bed.
“So, I see Stolas baby went on another hunt for a handsome guy. Did you leave him a note this time?” the succubus asked.
“Oh, for heaven’s sake, Verosika. How long have you been waiting here? No, I ran off like a coward again,” the prince replied.
“I’m not obligated to answer that,” she said, “I know I tried to help you get over that bastard Blitzo, but I can tell this lifestyle doesn’t suit you either. Look at yourself, you’re a wreck—you’re honestly pitiful to see,” the pop star remarked.
Stolas ran a hand over his face, a bit exasperated by his "friend’s" comments, then looked at her with a raised eyebrow, crossing his arms over his chest.
“Are you here to help me or to finish me off? Just tell me now,” Stolas asked.
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transparentgentlemenmarker · 5 months ago
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Une dame demande : Combien vendez-vous vos œufs ? Le vendeur répond : 0.50€ un œuf, madame
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La cliente dit : Je vais prendre 6 œufs pour 2.50€ ou je pars. Le vendeur lui répond : Achetez-les au prix que vous souhaitez, Madame. C'est un bon début pour moi parce que je n'ai pas vendu un seul œuf aujourd'hui et que j’ai besoin de ça pour vivre. Elle lui a acheté ses œufs à prix et elle est partie avec la sensation qu'elle avait gagné. Elle est entrée dans sa voiture élégante et est allée dans un restaurant élégant avec son amie. Elles ont commandé ce qu'elles voulaient, mangé et ont laissé beaucoup de ce qu'elles avaient demandé. Alors elles ont payés l'addition, qui était de 400€. Les dames ont donné 500€ et ont dit au propriétaire du restaurant chic de garder la monnaie comme pourboire. Cette histoire pourrait sembler assez normale vis-à-vis du patron du restaurant de luxe, mais très injuste pour le vendeur des œufs. La question que ça amène est: Pourquoi avons-nous toujours besoin de montrer que nous avons le pouvoir quand nous achetons à des gens dans le besoin ? Et pourquoi sommes-nous généreux avec ceux qui n'ont même pas besoin de notre générosité mon père avait l'habitude d'acheter des biens à des pauvres à des prix élevés, même s'il n'avait pas besoin de ces choses. Parfois, il les payait plus cher j'étais stupéfait je lui ai demandé pourquoi fais-tu ça papa ? Il me répondit c'est une charité enveloppée dans la dignité, mon fils
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e642 · 6 months ago
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Oh mon dieu, si j'écris pas je vais exploser de haine et de culpabilité. L'affaire du téléphone cassé m'a bien emmerdée sachant que je casse jamais mes affaires, j'y fais toujours très attention. Je me suis dit que le faire réparer ce serait une bonne idée pour récupérer mes notes (4 ans de travail sur moi) et pouvoir le donner à ma mère et m'en racheter un mais 250 euros la réparation. Comment c'est possible. Soit, très bien, je vais juste extraire mes données et gentiment leur donner par la suite pour alléger le devis. Juste parce que j'ai été maladroite je vais me rajouter des dépenses et à ma mère aussi. Je déteste cette idée là. Je suis rongée de culpabilité. Puis, une pote de la fac avait postulé pour un stage après moi dans la même structure que moi et elle a été prise. C'est mon profil qui est moins bien, ou ma lettre de motivation ou je sais pas quoi mais je suis en colère. Ce putain de stage est une galère à lui seul, j'ai l'impression que jamais je vais en trouver un. Et puis, acheter un nouveau téléphone ? Comment faire quand t'as plus accès à tes comptes pour les virements ? J'ai failli me taper le crane par terre tout à l'heure parce que pour récupérer mes identifiants de banque j'ai indiqué dans le choix proposé que mon téléphone était cassé. Quelle ne fut pas ma surprise quand ils m'ont demandé de valider sur mon téléphone ma connexion à la banque. C'est une caméra cachée ? Genre vous voulez me pousser dans mes retranchements ? En plus, juste après il y a eu une dame très désagréable au boulot qui m'a clairement dit mot pour mot "aller hop hop hop liste moi les documents à fournir je vais pas écrire quand même". Mais fr elles te servent à quoi tes 2 putain de mains si ce n'est les passer dans tes cheveux décolorés au possible ? Ecris en fait, ou dis stp, fais quelque chose d'humain par pitié. Elle a osé me dire qu'elle allait appeler le maire mais fais le ma belle, moi je vais appeler le fisc et ta petite piscine non déclarée sur laquelle on ferme les yeux depuis 2 ans va devenir un enfer. Et mon copain aussi.. qu'est ce qu'il est fort pour amplifier la colère, c'est peut-être son seul talent bien que mal investi je pense. Le mec je lui raconte ma vie puisqu'il me le demande, j'explique bien tout et il me répond "t pas synthétique hein" sous entendu j'écris trop, je sais pas pour qui il se prend mais en effet si utiliser des mots coutait cher, lui serait riche. Puis il m'a lâché un "relou". Waw. t'es sur un dossier de la DGSI pour bâcler le reste de ta vie de la sorte ? Me demande pas de te raconter si ton cerveau traite une info par heure en fait, dans sa tête il est en edge. C'est aberrant
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soeurdelune · 1 year ago
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Hello <3 Je me posais deux petites questions par rapport à ton travail du coup je me permets de slide dans tes dm pour te demander. Est-ce que ça te dérange si des gens utilisent tes colorings pour leurs avatars ? Et qu'est-ce que tu penses des personnes qui s'inspirent de ce que tu fais ? En tout cas, merci à toi pour toutes les merveilles que tu nous offres !
bonjour/bonsoir!
je réponds dans l'ordre:
si tu parles des colos que je mets à disposition sur mon blog de graphisme (@cavalierfou), non ça me dérange pas qu'ils soient utilisés pour faire des avatars, ils sont là pour que les gens s'en servent!
ta deuxième question, j'avoue qu'elle me met un peu mal à l'aise mdr mais je vais essayer d'y répondre de façon un peu détaillée pour bien exprimer ma pensée
je considère qu'il y a inspiration et "inspiration", en soit on s'inspire tous de quelque chose, l'originalité absolue ça n'existe pas (moi par exemple j'espère que mes inspirations sont assez évidentes, je dois beaucoup aux arts des 16ème à 19ème siècles et les affiches publicitaires du 20ème siècle) – y a aucun mal à s'inspirer de ce qui existe déjà tant que tu apportes ta propre touche, ton propre style
et ce que j'entends par style c'est, selon moi, l'ensemble réunissant la manière de composer, de traiter les couleurs, et les thèmes/symboles de prédilection
s'inspirer de ce qui existe dans le très riche patrimoine artistique de l'humanité pour grapher, je trouve ça normal et attendu
ce qui me pose problème, c'est quand on "s'inspire" (et par là, j'entends "copier") le même style que quelqu'un, à savoir l'ensemble de: sa manière de composer, sa façon de traiter les couleurs et ses mêmes thèmes et symboles de prédilection
donc réponse courte:
si quelqu'un veux s'inspirer des arts des 16ème à 18ème siècles et des affiches publicitaires du 20ème comme je le fais pour grapher, GO FOR IT, je suis pas la première ni la dernière à le faire, et il y a plein de façon de procéder, c'est pas les possibilités qui manquent
mais si quelqu'un veut employer les mêmes compositions, les mêmes couleurs, et les même thèmes/symboles de prédilection que moi (tout en même temps) sous prétexte que c'est de ""l'inspiration"", c'est non, je suis pas ok avec ça.
j'espère avoir répondu correctement à tes questions!
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clhook · 1 year ago
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J'ai choisi ma robe de mariée et je voulais la commander à la boutique mais franchement la meuf qui s'en occupe ça se voit trop qu'elle me méprise et me prend pour une bouseuse... c'est une créatrice assez haut de gamme de robes (donc hors de prix lol) mais elle a fait une ligne de prêt à porter avec des robes moins chères donc je voulais taper là-dedans parce que j'adore ce qu'elle fait mais déjà pendant les essayages elle était hyper froide avec ma mère et moi, je lui avais donné le nom du modèle que je voulais essayer elle m'avait sorti un truc qui avait rien à voir alors j'ai dit "ah pardon c'est pas celle-ci" elle m'a dit "bah si" sur un ton cassant et moi j'étais là "ben non madame j'ai passé des heures à baver sur la page de la robe sur le site je sais comment elle s'appelle" donc elle a vérifié et j'avais raison mais elle s'est excusée à peine vraiment du bout des lèvres ça se voit trop qu'elle en a raf de la collection prêt à porter mais du coup pourquoi en faire une ptdr si tu veux garder ta clientèle de richou parisien ????????????? bref donc je l'ai appelée pour dire que je voulais commander, elle m'a envoyé un mail avec la facture les CGV tout ça en disant que la fabrication débute lorsque le virement est reçu mais j'ai pas compris si je devais tout payer ou seulement verser un acompte donc j'ai répondu à son mail en demandant ça + un délai indicatif de fabrication si elle peut me le donner et elle m'a pas répondu alors que ça fait une semaine... et j'attends qu'elle réponde parce que bah la somme complète c'est une grosse somme pour moi, même si ça représente genre un quart du prix des robes sur mesure qu'elle fait donc c'est que dalle pour elle, j'ai pas envie de la rappeler parce que quand elle me parle je me sens trop comme une paysanne humiliée par la reine mdr franchement si j'étais pas aussi emballée par la robe j'irai voir ailleurs directos !!!!!
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camisoledadparis · 3 months ago
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saga: Soumission & Domination 327
Sosthène
Le second Escort de diversification est d'origine martiniquaise. Né à Fort de France en 2006, il est arrivé en France tout petit et n'a pas l'accent chantant de là-bas. Il est déjà en 2ème année d'études de lettres (doué le petit) et pratique la course à pied. Famille de fonctionnaire (parents professeurs, lui de français, elle des écoles), il est le second d'une famille de 4 enfants (soeur 20ans, lui 18 ans, frère 17ans, soeur 11 ans). Le rapport me souligne qu'il est homo outé dans sa famille et parmi ses amis. Sans petit copain actuellement, il change souvent de partenaires sans non plus en consommer 20 par mois ! Il utilise plus facilement internet que les lieux de drague, même s'il lui arrive de sortir dans certains bars gays.
Le portrait me va. Je compte y aller direct avec lui. Premièrement je ne cours pas le marathon même si j'ai bien récupéré de mon accident et deuxièmement je me fatigue à chercher des approches discrètes.
Muni de son dossier, je me pointe à la sortie de sa fac un soir de semaine. Je l'aborde et direct je lui montre mon dossier. De voir son nom sur un carton l'intrigue. Je lui dis que j'ai sa vie dedans et que j'aimerai lui proposer un travail en relation avec ses capacités. J'ajoute pour qu'il ne se méprenne pas qu'il ferait un escort superbe. Je n'ai plus qu'à attendre sa réaction.
Elle ne tarde pas. Après m'avoir scruté bien 5 mn, il me dit qu'on peut aller boire un verre et que c'est moi qui paye. Ça me va.
Même s'il y a toujours un café à côté de l'entrée des facs, il me demande d'aller plus loin, il y connaitra moins de monde susceptible de troubler notre conversation. Dixit Sosthène dans le texte !
Quand on arrive devant ma voiture, il me demande si c'est celle de mon père. Je ne réponds pas et lui dis de monter. Il hésite mais accepte quand je dis qu'il y aura plein de monde pour décrire la caisse dans laquelle il est parti au cas où je voudrais le kidnapper. Il rit et monte dedans. On roule pour trouver un bar en centre-ville. Puisqu'il est "out ", je choisi un bar gay.
Il accepte un demi et je prends pareil. Il me demande alors d'éclaircir ma proposition. Je lui explique les prestations de ma société et lui dit clairement que je suis à la recherche de diversifications ethniques. J'ajoute en riant qu'il fait partie d'un programme de discrimination positive. Il me demande son dossier. Je le lui tends. Il le lit consciencieusement, revenant sur certains paragraphes. Il me demande qui a fait ce travail et m'avoue qu'il est très complet. Il trouve les infos sur ses parents et l'analyse de leur situation financière un peu intrusif et limite illégal. Je le rassure et lui dit qu'il sera détruit dès qu'il m'aura donné sa réponse, qu'elle soit positive comme négative. Je lui dis que ce dossier me permettait juste de contacter les personnes les plus susceptibles d'accepter.
On vide un peu nos verres. Je le laisse réfléchir. Il me pose quelques questions concernant le temps que ça risque de lui prendre. Il ne veut pas que ça interfère trop avec ses études. Je l'assure que bien qu'il sera sûrement très demandé, je serais en mesure de limiter ses prestations à 1 par semaine si cela lui convient. Il me demande alors combien il se ferait dans cette configuration de travail. Quand j'annonce le chiffre, il n'en revient pas. Je précise que c'est le tarif en cas de prestations classiques ++. Il me demande si ce que j'entends par ++ serait de type sexuel. J'acquiesce. Avec des mecs ? Re-acquiescement de ma part. Ouf de sa part, il avait craint devoir assurer avec des cougars !     
Il accepte et me dit que ça fera du bien qu'il s'assume tout seul vu qu'avec ses 3 frère et soeurs, ses parents comptent leurs dépenses.  Je lui donne ma carte et on fixe un rendez-vous. Je le ramène chez lui car il se déplace en Tram. Il me fait le lâcher au coin de sa rue.
Il passe au Blockhaus le jour prévu. Il me téléphone du trottoir, persuadé que je lui ai fait un plan foireux. Je descends le chercher. Quand il entre, il regarde partout. Quand il voit le parc de véhicules, motos comprises, il me demande combien il y a d'appart. Je lui dis qu'il n'y a qu'un seul logement, tout ici est à moi. Il a du mal à le croire. Je le pousse dans le monte-charge et nous allons à mon bureau. Depuis peu, à l'instigation de mes Escorts, j'ai décoré ses murs blancs par une frise de leurs photos, toutes prises dans la même position avec le même maillot Aussiebum. En plan rapproché, ils remplissent bien le format A4 (photo en pied).
Ça accroche le regard de Sosthène qui ne me parle qu'après avoir maté toute la série. Il me dit qu'il comprend. Ça manque un peu de couleur tout ça. Il ajoute qu'il ne devrait pas faire tâche sauf côté couleur bien sûr ! Je remplis le dossier des infos qui me manquent. Notamment la taille exacte de sa queue. Pour cela je lui demande de se mettre nu. Il s'exécute avec assez de grâce. J'en profite aussi pour voir sa pilosité. Il la maitrise déjà beaucoup, son torse et ses membres sont glabres. Ses dessous de bras sont tondus à 2 ou 3 mm tout comme son pubis proprement taillé. Ses couilles sont lisses et aucun poil ne sort de sa raie du cul. Sa queue pend entre ses cuisses. Le gland circoncis dépasse ses couilles de bien 6cm. A la mesure, au repos il fait dans les 14cm. Mais le fait de le prendre ne main change sont état. Il bande vite et se redresse à la verticale et pourtant y'a de quoi faire ! Je garde ma main dessus tant la sensation est agréable. Quand il me dit qu'il ne fera pas mieux, je mesure à nouveau. Le nombril est couvert depuis déjà quelques minutes, j'utilise ma main gauche pour tirer la hampe vers l'horizontale (ce qui n'es pas chose aisée) et pose le mètre ruban. En pleine forme mon nouvel ami développe un engin de 23cm x 5,8 de diamètre après un gland dont la couronne affiche un 6,2cm elle.  Couleur de l'ensemble plutôt foncée avec éclaircissement de la circoncision au gland et ce dernier d'un violet tirant vers le rose.     Je lui demande de confirmer sa " recto/verso bilité ". Il le fait et je lui demande quel côté il apprécie le plus. Pas de préférence c'est selon. Ça me va.
Je lui demande son statut sérologique, à sa dernière analyse il était séronég. Je lui dis qu'il ne pourra travailler qu'après une nouvelle analyse. J'en profite pour lui donner les principes de l'entreprise : rapports SSR exclusivement. Il prend l'adresse du labo.
Je lui brosse aussi le portrait type de mon client :
Particularité : de nombreux " neveux " !
Il tique sur la taille des bites. Je balaye son appréhension d'un revers de main et lui dis qu'avec un peu d'entrainement c'est faisable, qu'il regarde bien tous les mecs qui nous entourent. A part les quelques qui sont sur le marché féminin, tous les autres ne s'en portent pas plus mal. D'autant qu'à un rythme moyen d'une fois par semaine, il n'y a pas surutilisation.
A poil devant moi, son excitation commence seulement à retomber bien que cela fasse presque 5mn que nous discutons. Je lui demande comment il se trouve question " self défense ". Sa réponse est rapide, " nothing " ! Je lui dis qu'il y a une habitude dans ma société c'est d'être en capacité de se défendre de tout un chacun, du client qui outrepasse son contrat à la petite frappe qui croit que taper du PD c'est valorisant en passant par l'homophobe convaincu pour qui c'est un devoir que de nous casser la gueule. Il me dit n'avoir jamais été concerné jusqu'à présent. Je lui indique que je mets à disposition mes installations sportive (plateau muscu et combat + piscines) deux soir par semaine pour l'entretien du physique. L'encadrement est réalisé en interne. En natation par un vrai maitre-nageur et en sports de combat par des pratiquants de haut niveau en Karaté, Krav Maga, Capoeira et même par deux Commandos.
Il me demande où j'ai trouvé tous ces mecs. J'élude et lui propose de visiter les installations. On se lève et comme je m'approche du monte-charge, il me dit qu'il ne va peut-être pas y aller à poil. Je lui lance son slip et il l'enfile comme la porte s'ouvre.  Au second je lui fais visiter la partie muscu et son tatami central dédié au combat, les sanitaires et la piscine/jacuzzi. Puis nous descendons dans la serre.
Quand on arrive au rez-de-chaussée, PH entre en moto. J'attends qu'il la mette sur sa béquille pour approcher et présenter Sosthène. Il lui serre la main comme si ce dernier était tout habillé. J'ai l'impression que cela le trouble le nouveau ! PH me roule une pelle dès qu'il a retiré son casque, puis nous accompagne dans la serre/jardin. Le bassin surprend Sosthène surtout quand je lui dis qu'elle fait 25m.
Nous remontons ensemble au premier. PH nous laisse et continue vers les hauteurs.
Il est convaincu et signe le contrat que je lui mets sous le nez (il y a un codicille annulatif en cas d'analyse non conforme) . J'ajoute que j'ai oublié que le contrat comprenait aussi un véhicule de fonction. Il rit et me dit d'arrêter de plaisanter. J'ouvre le contrat au paragraphe et il lit que le véhicule est mis à disposition permanente avec sa carte de carburant pour l'équivalent de 300 € / mois. La marque et le modèles est à la discrétion de l'employeur. Il me demande si c'est pareil pour tous les contrats. Je lui explique qu'il n'est pas question que mes escorts se trimballent dans de vielles caisses pourries, il en va du standing de ma société. De même les transports en commun sont prohibés pour des raisons de pratiques, horaires, ligne... Donc il devra passer à ce garage (dont je lui fournis l'adresse) pour prendre sa voiture. Comme pour les autres, il a droit à une RCZ. Il hallucine quand je lui dis le modèle.
Quand il me demande quand il commence et que je lui dis mardi prochain. Réaction " déjà ? " Je complète par " entrainement physique ".
Avant qu'il ne parte, je lui demande pourquoi il a accepté de discuter avec moi. Après tout mon entrée en matière était un peu brusque. Il me dit que si j'avais été moche il aurait coupé court. Mais là, je l'ai intrigué et il s'était dit que si ça finissait par un " coup " il aurait pas tout perdu. Je m'approche alors et je lui roule une pelle pour le remercier d'avoir pensé cela. Je lui dis que la dernière étape, le test physique rapproché, aura lieu dès l'obtention de ses résultats même si on baise sous kpote.
72h plus tard, il me téléphonait pour me demander un rendez-vous pour " étudier " ses résultats d'analyse.
Quand il entre dans mon bureau, je remarque qu'il s'est vêtu avec un peu plus de recherche. Plutôt il a laissé ses vêtements de tous les jours à la fac pour des un peu plus branchés et de marque. Il me tend la feuille. Comme prévu tous les résultats sont négatifs, ce qui est positif pour son admission dans ma troupe. Alors que je lis il est déjà en train de se déshabiller. Quand je relève les yeux de mon papier, il est en boxer blanc ES. Et son début d'excitation le rempli bien !
C'est lui qui fait le premier pas. Il s'approche de moi, se colle contre moi et me roule une pelle des plus agréable. Ses lèvres pulpeuse mais pas trop grosses sont douces et contrastent avec sa langue râpeuse et exigeante. Il cherche le mienne et se bat avec elle dès qu'il la trouve. Cet échange me fait bander et je sens sa bite se développer entre nos deux corps. Elle court vers la droite, empêchée de se redresser à la verticale par l'élastique du boxer. Je glisse une main entre nos deux corps et décolle la ceinture du boxer de ses abdos. Sa bite des redresse immédiatement et je relâche. Il entreprend de me mettre nu. Le retrait de mon t-shirt lui permet d'attaquer mes tétons et sa bouche délaisse la mienne pour venir les lécher, sucer, aspirer et pour finir les mordiller. Je suis sensible et ma queue bande encore plus, comprimée par mes jeans. Il le sent bien mais me laisse dans cet état le temps de bien dresser et faire gonfler mes deux tétons. Seulement alors, il glisse contre moi pour se retrouver à genoux et les yeux en face de mon bassin, il s'attaque enfin à mon pantalon. Il prend son temps pour l'ouvrir, bouton par bouton. La surprise, c'est lui qu'il l'a quand ma bite sort comme un diable de sa boite. Oups ! J'avais oublié de mettre un slip !!
Elle passe rapidement d'un emballage de toile par un en muqueuse naturelle et vivante. Très vivante même ! Il fait en sorte que ses joues collent ma hampe alors qu'il m'aspire vers sa gorge. Sa langue au passage tourne autour de mon gland, repousse encore plus mon prépuce alors qu'elle parcourt le dessous de sa corole. Ses mains posées sur mes fesses, il me pousse vers lui et je vois ma bite disparaitre en totalité. Bien callé entre ses amygdales, mon gland se fait masser par des déglutitions rapides qui l'attirent vers son estomac. Putain que c'est bon ! A part la question des dimensions, il maîtrise bien la pratique. Je pose enfin mes mains sur sa tête. Ses cheveux courts glissent entre mes doigts. J'affermis ma prise pour le diriger un peu. Mais ce n'est pas nécessaire vu comme il se donne.
Je dois même le calmer pour ne pas me mettre à jouir aussitôt.je le prends par les épaules et le relève. Il colle sa langue sur ma peau de mon gland jusqu'à ma bouche. L'effet est agréable. Quand il me donne sa langue, j'y retrouve un très léger goût de ma bite. Alors qu'on s'embrasse encore, il enjambe ma bite et la coince sous ses couilles. Ses balancements de bassin font frotter mon gland contre sa rondelle. Je mouille et ça lubrifie les glissements. Il se tourne brusquement prend appuis de ses avants bras sur mon bureau, cambre les reins et balance du cul pour m'appeler. Je n'y résiste pas et m'accroupis pour lui bouffer la rondelle. J'aime les gémissements de plaisir que ça lui fait sortir. Sa rondelle s'assouplie vite et je me redresse prêt à le planter. Vite une kpote et je m'enfonce d'un seul et long mouvement. Le temps de me pencher sur lui, d'attraper ses épaules et je donne le coup de rein final qui enfonce mon dernier cm. Bien qu'il se soit préparé, je le sens, il serre bien ma queue et de son côté semble apprécier la prise. Ses halètements me le prouvent. Alors que je me retire pour encore mieux y retourner, il me prend de vitesse et recule pour se planter lui-même. 
On se fait du bien mutuellement un bon moment dans cette position avant que je le tourne et ses chevilles sur mes épaules, son dos sur mon bureau, je mène à mon tour la danse. Il s'accroche au plateau alors que je l'encule virilement. Les coups de bassins secs et profonds alternent avec de lents mouvements qui me font sortir le gland de son cul. J'aime ses gémissements qui me signalent qu'il prend du plaisir. Comme leur fréquence est en train de raccourcir, je lui dis de se retenir je voulais qu'il m'encule à son tour. Je veux voir son côté actif. De mon côté je ralentis aussi mes va et vient avant de sortir complètement. Je lui tends une kpote et alors qu'il l'enfile, à mon tour je prends la position. En levrette, j'attends son assaut. Je suis grave excité mais il prend quand même le temps de me lécher l'anneau. Il fait même plus puisqu'il fait pénétrer sa langue d'au moins un cm dedans. Rapidement je me sens prêt et lui dis d'y aller. Ses mains se posent sur mes hanches (comme si j'avais envie de lui échapper !) et son gland se présente à ma porte arrière. Je pousse un peu et il me met ses 23cm entiers. J'ai bien senti le passage du léger bourrelet de son gland et chaque cm qui a suivi.
23cm c'est long mais c'est bon ! En même temps qu'il s'enfonce, je le sens basculer le bassin en de lentes rotations qui aident son avancée. Quand il est bien au fond, je passe mes mains en arrière agrippe ses fesses et recule brusquement pour m'assurer que j'ai bien tout en moi. C'est le cas et je relâche ma pression pour le laisser gérer. Il n'a que 18ans mais il me baise avec une science consommée du plaisir. Nous sommes de même taille et alors qu'il me laboure le cul, il se penche sur moi et ses lèvres posées sur mon cou me donnent des frissons supplémentaires. Il joue de sa langue avec mes oreilles. Quand je tourne la tête nos lèvres se collent et bien que nous nous roulions une pelle profonde, il ne cesse de me limer la rondelle. J'aime ça aussi. Je me décolle et lui demande depuis combien de temps il baise et qui l'a initié pour qu'il soit aussi bon. Je me tourne sur le dos et on se retrouve face à face. Il me fait un clin d'oeil et me dit que non ce n'est pas un pro plus âgé qui l'a initié mais qu'il a bien étudié sur internet et qu'il a adapté lors de ses mises en pratique avec des mecs de son âge.
Nous continuons à baiser et il me fait jouir. Le frottement à chacun de ses passages du renflement de son gland sur ma prostate a vite fait eu raison de ma résistance. Je me couvre de mon sperme et mes contractions anales qui bloquent ses va et vient de façon discontinue le font exploser dans sa kpote. Quand il se retire, je note une dose plus importante que la moyenne. Il n'y a pas que son sexe qui soit plus que la norme !
Sous la douche, je lui parle du fait qu'il n'a jamais baiser avec un " vieux " et lui demande s'il ne craint pas de blocage. Il me dit que non mais par précaution je vais le faire tester par Marc puisqu'il rentre le WE prochain. Avec ses 47 ans, et ses 22cm qui adorent les jeunes mecs, j'aurai une certitude sur ma nouvelle acquisition.
Je lui en fais part. Il est d'accord bien sûr. Comme je lui dis qu'il sera rémunéré comme une prestation normale, il se récrie que c'est encore une phase de test, qu'il n'a pas à être déjà payé. Je lui dis juste qu'avec Marc, il m'aura aussi ainsi que deux autres de mes hommes. Donc ce sera aussi une petite touze à 5. Il rit et me demande combien j'ai d'amant. Je compte sur mes doigts et par ordre d'apparition dans ma vie je liste : Marc 47ans, PH 21ans, Ernesto 21ans aussi et Ludovic 18ans. J'ajoute que ce sont tous mes maris aussi. Dans le sens où l'on s'aime tous. Il trouve ça spécial et me dit que lui n'a encore pas trouvé le grand amour, ni même l'amour tout court.
Une fois secs, je le félicite sur son boxer, il me dit que c'est celui qu'il porte quand il part en " sexe ". Il n'en a qu'un parce qu'ils ne sont pas donnés. Ça me donne l'occasion de parler de ses vêtements. Il n'a pas de costume et encore moins de smoking. Comme aux autres je lui donne l'adresse de mon fournisseur officiel. Pour les sous-vêtements, je l'emmène piocher dans le stock. Il hallucine de voir toutes les marques sur lesquelles il a bavé sur internet. Alors qu'il hésite entre deux boxers (ES et Addicted), je lui mets les deux entre les mains et l'oblige à en choisir d'autres. Il est comme un gamin devant ses cadeaux de Noël !
Il me dit qu'il n'a pas encore été chercher la voiture, il voulait que je sois sûr de l'embaucher. Du coup je téléphone au garage et leur dis de préparer une RCZ, qu'on venait la chercher. Quand on arrive, le concessionnaire est là. C'est vrai que cela fait un moment que je ne l'ai vu, on s'arrange au téléphone. Son fils est avec lui et c'est lui qui a préparé la voiture. Beau jeune homme d'une vingtaine d'année, il me dit que c'est lui qui est maintenant en charge de ma flotte de voiture. Je ne perds pas au change. Son bleu de mécanicien, propre, ouvert sur son torse glabre et très musclé, le rend très désirable. Désolé, c'est plus fort que moi, je dois être un peu obsédé ! Il nous conduit jusqu'à la voiture. Elle est noire et son polit la rend plus brillante qu'un diamant. On fait le tour et je ne peux m'empêcher de chercher son reflet sur la tôle. Je remarque quand même que je ne suis pas le seul intéressé par le mécano. Je vois mon Sosthène boire littéralement les paroles du beau mec. C'est sûr que ça le change des minets de sa Fac. Je me dis qu'il est temps de les laisser entre-eux. Justin me raccompagne à ma voiture. Alors qu'il ferme ma porte, il me demande si c'est aussi un employé de ma société. Je confirme son intuition et j'ai droit à un dommage qui sort du fond de son coeur. Je repousse la portière et le rappelle. Il se rapproche et je lui glisse que je ne gère pas leurs vies personnelles, s'il tenait à le savoir. Il me quitte avec un grand sourire. Serait-il des " nôtres " ce joli jeune homme ?
Curieux comme une vieille chatte, je ne peux m'empêcher d'appeler Sosthène une bonne heure après. Sous prétexte de savoir si tout va bien avec sa nouvelle voiture, je lui demande incidemment s'il avait réussi à avoir le n° perso de mon mécano. Je l'entends s'étouffer à l'autre bout ! Je lui rappelle qu'il fait ce qu'il veut de son cul entre les prestations mais avec toujours en tête le SSR. J'ajoute que s'il n'avait pas été avec moi, c'est moi qui me le serais fait avant de rentrer. Il se choque. Je lui demande alors s'il était rentré tout bandant ? S'il n'avait pas profité de mon départ pour visiter les toilettes du garage ? Il me dit qu'il n'est pas comme ça. Je me moque un peu et lui dit qu'il a peut-être loupé le coup du siècle. Le mec m'avait l'air très intéressé par lui et je lui avais quasiment donné ma bénédiction quand il m'avait raccompagné.
Sosthène me rappelle le lendemain midi pour me remercier. Quand je lui demande de quoi, il me dit qu'il avait osé rappeler Justin et qu'il avait fini la nuit chez lui. Que c'était trop bon et qu'il croyait être tombé amoureux. Je lui dis de ne pas s'emballer. Ce doit être l'effet " encanaillage ", opposition de milieu et de type de vie. L'un travail avec un boulot manuel, l'autre est en fac et de lettre en plus ! Difficile de faire plus éloigné. Il me dit que non, avec moi c'était très bon mais avec lui c'était comme ça n'avait jamais été avant.
Soudain, je pense qu'il a peur que je crois qu'il va me quitter parce qu'il m'assure que cela ne change pas notre contrat. Ils en ont parlé Justin et lui. Je le remercie pour la discrétion. Il rigole et me lance qu'avec tous les mecs que j'ai envoyé chercher une caisse dans ce garage, je n'avais pas fait non plus preuve de cette même discrétion que je lui reprochais d'avoir oubliée. Justin savait pertinemment ce que faisaient mes employés.
En attendant il me dit qu'ils sont d'accord pour qu'il honore son contrat de travail. Ouf ça l'aurait embêté de perdre un escort prometteur avant même qu'il n'ait commencé.
Jardinier
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sabinerondissime · 7 months ago
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Depuis que je publie des selfies sur Threads, mon compte est envahie de faux profils et d'hommes en recherche d'une femme, peu importe son apparence, du moment qu'elle veut ! Vous allez me dire, c'est le jeu ma pauvre Lucette (Non, je ne m'appelle pas Lucette!) et je l'accepte. Je ne réponds ni à leur messages, ni à leur commentaires débiles, cela va de soi. Au début, je les bloquais systématiquement mais si mon compte a doublé son nombre de followers en quelques jours, c'est aussi parce qu'ils se sont abonnés. Je devrais peut être leur dire merci ? Non, quand même pas. Vu la vitesse avec laquelle ils créés des profils, les signaler, les bloquer ça ne sert à rien. Il faudrait passer mon profil en mode privé pour m'en protéger mais ce n'est pas le but. En fait, ça m'amuse autant que ça m'agace (Oui, je suis une femme, je peux ressentir ces 2 émotions en même temps !) Donc je laisse en l'état, de toute façon, ils n'insistent pas, ils tentent avec 20 femmes en même temps (c'est si facilement vérifiable sur Threads en plus !) mais quand on les ignores ils ne reviennent pas à la charge. C'est au moins ça.
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theoppositeofadults · 1 year ago
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le problème de ma démission est que les deux personnes les moins subtiles du monde sont mon employeur actuel et mon futur employeur.
une semaine après ma démission, j'ai demandé à ma chef de département si je pouvais l'annoncer à quelqu'un (toute démission est ultra secrète dans ma boîte, no clients l'apprennent toujours hyper tard). sa réponse ? "oh i've already told her! and also to her, and him and those people." ah. d'accord. et aujourd'hui, j'étais exclue d'une grosse réunion avec des clients et une collègue m'envoie un message comme quoi ma chef de département vient d'expliquer que je partais, mais en plus qu'elle leur a dit où j'allais travailler et mon futur TITRE. mon dieu.
mais ensuite, j'ai eu la semaine dernière une grosse réunion avec plusieurs boîtes avec qui je collabore sur un énorme projet depuis plus d'un an. au début de la réunion, j'annonce que je vais partir à la fin de l'année et leur présente mon collègue qui va reprendre ce projet. réaction : CHOC ! pour tout le monde sauf une personne. mon futur employeur, qui était en face de moi et qui me demande en souriant "oh and where are you going to work Sophie?" (j'ai répondu que c'était top secret) - puis pendant qu'on mangeait avec un plus petit groupe le midi, quelqu'un me redemande où je vais travailler, je réponds encore que c'est secret, il me demande si je vais encore travailler sur ce projet. je réponds "eh non!" et là, mon futur employeur sort "you never know!" caramba
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