#Médecins de famille
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Centre médical Gare de Renens
Le Centre médical Gare de Renens (CMGR) fournit des soins de santé multidisciplinaires à Renens, en Suisse. Il offre des soins médicaux d'urgence non vitaux, y compris des services de médecine générale et de soins infirmiers, disponibles avec ou sans rendez-vous. La clinique fonctionne du lundi au vendredi de 9h00 à 18h00 et met l'accent sur des soins complets et personnalisés. Idéalement située près de la gare, elle constitue une option fiable pour des services médicaux rapides et accessibles dans la région.
#Soins d'urgence#Soins infirmiers#Médecine tropicale#Soins communautaires#Adultes et Pédiatrique#Urgences médicales#Médecins de famille#Médecine des voyages#and Soins communautaires
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Petite BD sans prise de tête (et surtout un gag)
Juste un petit gag que je trouvais marrant avec une fin mignonne, et Laeta, Pertinax et Simplex qui sont toujours les meilleurs conservi du monde qui s'entraident !
Je l'ai dessiné après avoir bien discuté de la BD Lore Olympus / Traditions d'Olympus avec Ladyniniane et un peu découvert cet univers et nom d'une aile, ce que ce truc sent mauvais ! Encore, pour l'art (au début), je n'ai pas grand chose à redire, c'est assez original (même si ça se détériore par la suite) mais bon, arriver à rendre tes "gentils" aussi antipathique, tout en faisant du perso de Zeus (soit un des pires connards de la mythologie grecque) un des personnages les plus attachants par accident bien malgré tous les efforts de l'autrice pour le rendre pire que tout (comme tous les autres méchants, ils ont l'air bien plus sympas que les "gentils" [juste la transformation de Menthé en vrai pot de menthe conscient... c'est juste horrible en fait]), c'est un sacré exploit.
L'idée est venue en voyant que pour combattre Cronos, roi des dieux et tyran enfermé depuis des siècles qu'Hadès a laissé s'échappé car il était triste que les fesses en formes de coeur de Perséphone ne soit plus sous ses yeux (vraie remarque de la BD et Hadès sexualise à ce point une fille de 19 ans qu'il vient de rencontrer, c'est aussi gênant que vous l'imaginer mais bon, apparemment, le film "Lolita est une grosse source d'aspiration de l'autrice alors, on ne s'étonne plus...), un des pouvoirs ultime de Perséphone était de... cracher des abeilles... ok on va appeler quelqu'un d'autres pour faire le boulot, n'importe qui sera plus compétent ! Et elle est aussi représenté comme ayant littéralement de vrais papillons qui tournent autour d'elle quand elle est gênée, manque plus que l'arc-en-ciel... c'est juste trop ridicule à ce niveau pour que je prenne cette histoire au sérieux (sauf l'histoire de Zeus, Menthé, Déméter et Thanatos qui ont l'air bien plus intéressantes).
Mais en voyant ça, je me suis demandé "comment réagirais un de tes personnages si des petits papillons volaient autour de lui ?" alors, je l'ai dessiné avec Laeta vu que ça collait un peu à ses pouvoirs (ça aurait aussi pu coller avec Siopelè [ma version de Maurice] qui est une sorcière dont les pouvoirs se basent sur la lumière alors, elle doit attirer les insectes de nuit avec ses fiertés) et les réactions de ses amis à ça, avec une fin qui donne une explication logique à ce phénomène pour qu'il s'arrête assez vite. Ce n'est pas vraiment canon mais, c'était amusant à dessiner !
#écriture de curieuse#dessin de curieuse#j'espère que ça vous plait surtout !#c'était amusant de dessiner ça !#Laeta serait furieuse si elle avait une fierté pareille qui apparaissait elle trouverait ça ridicule et peu utile#Des fleurs poussent déjà de temps en temps dans ses cheveux elle a pas besoin de truc mignons en plus- une sorcière doit faire peur !#Simplex comprendrait surement assez vite qu'elle est excédée par ce phénomène et essayerait de trouver une solution#Il est toujours là pour Laeta et Pertinax alors ce serait le premier à venir la rassurer et tenter de trouver une solution#Pertinax est plus blasé on va dire et ne se laisse pas décontenancé alors il essaye ce qui lui semble être une explication logique#Et même si là c'est un gag je pense que ça a été le premier à sentir que Laeta était enceinte vérifie comme ça et lui annonce#(avec autant de pincettes et de subtilités il va droit au but)#vu qu'il ne manipule pas vraiment le sang il sent surtout son écoulement ou pour soigner ça passe avec sa sorcellerie#et il a repris le rôle de médecin une fois qu'il est rentré chez lui alors il a l'habitude de ce genre de manoeuvre#surtout que je le voie bien avoir une bonne intuition pour ce genre de chose à la manière de quelqu'un que je connais#Et Pertinax et Simplex seraient absolument le genre d'ami... conservi qui aideraient autant qu'ils peuvent Laeta#même en vivant dans d'autres peuples et que c'est pas forcément bien vu étant donné qu'ils sont étrangers#(ce n'est pas des cadeaux de naissance en famille mais des présents diplomatiques attention !)#Ne vous en faites pas vous aurez un jour un univers où vous pourrez assumer que vous êtes les meilleurs amis du monde#et que Pertinax et Simplex sont ensembles jusqu'au bout avec Laeta qui les soutient à fond
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Le rêve du jaguar
C'est une saga sur trois générations que nous offre Miguel Bonnefoy dans son nouveau roman, au style toujours aussi flamboyant. Régalez-vous à suivre la destinée d'Antonio, de son épouse et de leurs descendants.
En lice pour le Prix Médicis 2024 En lice pour le Prix Giono 2024 Finaliste du Prix Landerneau des lecteurs 2024 En deux mots Antonio, enfant abandonné de Maracaibo, va connaître un destin exceptionnel, de même que son épouse Ana Maria. Dans un Venezuela en proie aux soubresauts politiques, ils vont traverser leur siècle sous l’œil affectueux de leur fille et leur petit-fils. Ma note ★★★★ (j’ai…
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#Amour#ancêtres#chirurgien#descendance#Destin#dictature#Famille#Femme#Généalogie#maison close#Maracaibo#Mariage#médecin#médecine#mendiante#misère#nouveau-né#orphelin#Paris#quête#révolution#Saga#Venezuela#vie de couple#Voyage
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Une maman appelle son médecin de famille : - Docteur, je suis très inquiète pour ma fille. Depuis quelques mois, elle marche toujours la tête baissée, ne répond pas quand on lui parle, et elle rit souvent toute seule. Que peut-elle bien avoir ? - Oh...probablement un smartphone!
#Une maman appelle son médecin de famille :#- Docteur#je suis très inquiète pour ma fille. Depuis quelques mois#elle marche toujours la tête baissée#ne répond pas quand on lui parle#et elle rit souvent toute seule. Que peut-elle bien avoir ?#- Oh...probablement un smartphone!
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saga: Soumission & Domination 378
Jalil.
Jalil arrive entouré des jeunes. Je le vois choqué par notre combat. Jona le rassure et lui dit que c'est le meilleur moyen pour ne plus risquer ce qui lui ait arrivé. Il ajoute que ce n'est pas comme s'il ne l'avait jamais vu combattre. Il ajoute quelques mots en arabe. Je m'aperçois que mes " protégés " évoluent en dehors de ma sphère d'influence !
Jalil se reprend alors qu'à plusieurs voix ses nouveaux amis nous pressent de question quant à l'avenir de ce jeune homme.
La décision était déjà prise (en accord avec les autorités bien sûr), il reste ici avec Jona et François et reprend son cursus scolaire. Il se décompose devant nos yeux. Max nous explique sa peur de reprendre le lycée à 18ans !
Jona qui connait bien l'animal et son potentiel, lui dit que s'il est capable de faire deux ans en 7 mois, avant la rentrée prochaine, il pourrait intégrer une terminale littéraire. Je lui dis qu'il est peut-être un peu trop exigeant.
Les jeunes assurent qu'ils le coacheront pour que ça marche. Là-dessus je leur fais confiance. Maintenant ce sont les yeux de Jalil qui s'ouvrent tous grands.
Coté logistique, je leur dis de prendre deux des chambres de l'annexe en attendant que leur appartement soit terminé. Pour les repas ils verront avec Samir et Ammed le plus pratique pour tous, soit venir les prendre au Blockhaus soit venir les chercher et manger à l'annexe.
Pour l'enseignement, inscription aux cours par correspondance du CNED pour seconde et première, PH se charge d'organiser son planning avec ses différents coaches. Je lui fais confiance pour trouver le bon mec pour la bonne matière.
Jalil s'affole un peu de la vitesse de prise de décision le concernant. Il va pour objecter que cela va prendre beaucoup de temps à tous mais se fait couper par François qui lui dit que c'est pas négociable, il n'allait pas faire sa vie sur un départ pareil !
Passages sous les douches pour les sportifs et les baiseurs puis diner. Jalil est maintenant plus à l'aise. Est-ce d'en avoir vu certain à poil faire l'amour ou tout simplement la tension qui commence à s'évacuer, mais il est beaucoup plus disert. Je l'entends même de temps à autres rire avec les jeunes.
Mes escorts médecins le préviennent que se seront eux qui assureront le soutient scientifique, bio, math et physique. Sosthène assurera le français et Viktor l'histoire et la géographie. Quant au sport, il devra s'étoffer un peu et pour ça je laisse Jona s'en occuper.
Il remarque en riant qu'il est le plus fluet de tous, même s'il n'est pas le plus petit. Quand ça commence à repartir à la baise, je fais signe à Jalil que je peux l'emmener à sa chambre. Avec Jona, on descend d'un étage et en le faisant entrer dans la chambre située juste à côté de la nôtre, je l'assure que là, personne ne viendra l'embêter.
Il me remercie mais je le vois gêné. Jona le questionne. On obtient une réponse surprenante. Ce qui le troublait c'était que dans sa famille et avec ses amis, tous savait qu'il avait servi de jouet sexuel aux arabes de Daech et que même si sa famille est libérale, ses parents été frères n'arrêtaient pas d'y penser et leurs comportements le criaient. Et puis, tout bas, il ajoute que ça lui manquait aussi.
Je demande quoi et en même temps réalise que c'est de baiser qui lui manque !
On remonte donc tous ensemble. Le quatuor de jeunes s'éclaire à notre arrivée. Ils nous bousculent et embarquent Jalil, nous disant de leur faire confiance.
Jalil a juste le temps de dire à Jona que ça va et il disparait.
Je retrouve PH et m'excuse enfin de lui mettre cette responsabilité de plus sur le dos. Il rit qu'avec Jona et François à ses côtés ça va être du gâteau. On part chercher un plan
Récit d'Enguerrand :
On est tout content de récupérer Jalil quand il remonte avec Sasha. Il est trop mignon pour rester tout seul dans cette maison de fou. En plus je commence à sentir un bon feeling avec lui. Alors qu'on se cherche un coin pour " discuter " tous les 5, je le vois un peu mal à l'aise. Quand je le questionne, il me dit qu'il craint de faire l'amour devant tout le monde. Nathan lui dit que personne ne le jugera car tous on se fait des plans différents et juge personne ne juge. Et de citer en exemple : Jimmy le pro de la dilatation extrême qui n'a aucune honte à se faire démonter la rondelle en double sodo, Cédric amoureux fou de la grosse bite noire de son Eric que ça n'empêche pas de se faire saillir par tous les mâles ttbm de l'assemblée (nous, c'est même pas la peine de lui proposer !!), Ric qui ne crache pas sur des plans hards limite sado/maso et d'aligner encore deux ou trois exemples de sexualités plus poussées que de la baise à la papa maman.
Sans vouloir nous faire pitié, Jalil nous explique qu'il n'a connu que le viol comme type de rapport et depuis que Jona et François l'ont tiré de ça, il n'a encore jamais refait l'amour. Il sait juste que ça lui manque mais craint en même temps qu'il doive se faire battre pour jouir.
Quand il nous dit ça, sa tête est tournée vers le sol et sa voix est tombée.
Je le prends dans mes bras et lui explique qu'il faut laisser venir. Je lui explique que sans avoir été maltraité aussi longtemps que lui et surement moins durement même si j'avais été violé plusieurs 10aines de fois, je crois comprendre un peu son malaise.
Max qui sait tout de mon parcours ajoute que s'il y avait un seul endroit pour s'en remettre c'était bien ici, dans cette maison où il ne sera jamais jugé. Et même si, pour qu'il prenne son plaisir, les rapports devront être hard, il fera et nous tous feront comme il le veut ou en a besoin.
Je l'interromps, attrape Jalil et lui roule la pelle dont j'avais envie depuis qu'il est sorti de la SLS. Il se laisse faire, vraiment très passif. J'insiste, ma langue cherche la sienne et je la sens timidement répondre à la mienne. Je ne le laisse aux autres que quand elle se bat franchement avec la mienne. Après nous avoir tour embrassé, il a la tête qui tourne et nous dit que c'est trop bon. Il m'attrape à son tour et me montre qu'il a bien appris. Les autres viennent nous recouvrir et les bouches se mélangent.
Finalement nous ne bougerons pas de la salle de muscu du second étage du blockhaus. Nous sommes à poil en moins de deux et Jalil se fait caresser au même titre que tous. Il est juste " maigre " plus que fin, (j'en parlerais à Jona). Sa peau est extra-douce, les autres aussi le remarque et il se retrouve avec nos 4 bouches à parcourir sa peau. J'aime voir que ce traitement le fait bander et pas un petit oiseau mais une belle queue de 22 x6. Je suis le premier à y gouter. Propre, circoncise, légèrement courbée, elle a la forme idéale pour s'enfoncer très loin dans ma gorge. Je ressens l'effet que ça lui fait dès que je m'enfile son gland dans la gorge. Je serre sous ses couilles pour qu'il ne jute pas déjà. Je me redresse et Nathan me remplace. Je peux voir sur son visage l'effet d'une pipe bien menée. Il aime c'est indéniable ! Max me cède sa bouche et part agacer un téton. Son baiser est beaucoup plus fougueux, il en devient même vorace, tétant ma langue plus que se battant avec elle. Je suis repoussé de côté alors que Duke relève ses jambes pour lui bouffer la rondelle.
Sous notre quadruple action, il décolle ses lèvres le temps de me demander tout bas d'être le premier. Je veux être sûr et ne pas faire de connerie. Je lui demande " à t'enculer ? ", réponse " oui ".
J'apprécie l'honneur qu'il me fait à sa juste valeur. C'est une marque de confiance énorme alors qu'on ne se connait que depuis un peu plus de 24h !! Je lui dis que ce sera quand il veut. Ça me rappelle aussi quand j'avais demandé la même chose à Sasha. C'était comme me refaire une virginité, putain c'est important pour lui, va falloir que je fasse très attention !!
10mn plus tard, il me le demande. Mes amours comprennent et me laissent la place tout en restants disponibles pour nous deux.
Comme il a dû souvent se faire violer en levrette (c'était toujours comme ça pour moi, les soi-disant hétéros qui te violent ne veulent que rarement voir ton visage exprimer ton dégout) je me couche sur lui. Alors qu'on s'embrasse, je bouge mon bassin pour le glisser entre ses jambes et laisse ma bite se placer tout naturellement entre ses fesses. Dès qu'il sent mon gland s'introduire entre les 2 globes, il écarte ses cuisses pas loin du grand écart. Il glisse à nos mateurs de prendre ses pieds et d'écarter encore plus ses jambes. Ses petites fesses enserrent mon gland ne lui laissant qu'un seul chemin possible, celui qui amène à sa rondelle. Après que Max m'ait kpoté rapidement, je pousse doucement mon bassin en avant.
Mon gland bute sur sa rondelle. Un petit coup de rein et je le propulse au-delà. Léger soupire de Jalil qui pose ses mains sur mes fesses pour m'attirer plus profondément en lui. Je le laisse maitriser ma pénétration. En fait il y va doucement mais sans s'arrêter avant que mon bassin écrase ses petites fesses. Il est bien serré. Je suis content que ces salauds d'intégristes ne lui aient pas ruiné la rondelle !!
On reste un moment comme ça puis il initie mes vas et vient. Je lui roule un patin alors que mes reins deviennent indépendants et prennent un bon rythme de labourage. Quand on cesse de s'embrasser, c'est pour se regarder dans les yeux. Si au début j'ai l'impression d'y voir une douleur impossible, bientôt c'est plutôt dans un lac profond que je me perds.
Finalement ça m'angoisse et je préfère lui rouler un nouveau patin. A croire que nous ne sommes que tous les deux. Je ne perçois que lui et mon plaisir qui monte et me brule les reins. Il me sort des " vas-y bien profond ", des " défonce-moi " et autres encouragements de ce type ! Comme un automate, je lui obéi, je me redresse et l'entrainant avec moi. Sur mes genoux, il saute sur ma bite et mène l'assaut. Je n'en peux plus et bientôt j'explose dans ma kpote alors qu'il jute à m'en couvrir le torse, jusqu'au visage. Je n'ai pas fini de me vider qu'il me lèche le visage. Dans l'euphorie, on se roule un patin avec son sperme comme dessert.
On se tient encore serré dans nos bras jusqu'à ce que la tension retombe. Nos amis nous soutiennent alors que nous nous décollons. On est embrassés, pris dans les bras, félicités. Eux aussi ont compris que le moment était spécial pour Jalil.
Je me tourne vers lui et dans ses yeux qui me fixent je ne vois qu'apaisement.
Sasha
Je suis content d'Enguerrand. Je sais qu'avec ce petit groupe Jalil a toutes ses chances de remonter la pente. Pendant qu'il se faisait aux petits mecs de la maison, Jona et François nous ont parlé (à PH, Ludovic, Marc et moi) plus précisément de lui et de ce qu'il avait subi ces trois dernières années.
On apprend un peu de ce qu'ils avaient d�� endurer eux aussi. Si pour Jalil le viol a été son tous les jours, pour mes deux espions, ça été aussi la première étape d'un " conditionnement psychologique " de soumission à la hiérarchie arabe ! C'est aussi pourquoi ils avaient été choisis pour ce travail. Ni Jona ni François ne regrettent d'avoir dû en passer par là pour pouvoir exfiltrer Jalil. Ils nous disent que quand ils l'avaient enfin rencontré, il était beaucoup plus maigre que maintenant. Mais leurs " maitres " avaient toujours fait attention à sa peau et jamais ils ne l'avaient battu.
Dimanche :
Alors qu'on se prépare pour rentrer en Californie, coup de sonnette et on nous livre un permis de séjour étudiant au nom de Jalil ainsi qu'un smartphone avec préenregistrés, les nos de Jona et de François ainsi que celui de son père. L'adresse de résidence est celle du Blockhaus. Pendant 5 mn Jalil rentre ceux de mes 3 petits frères sans oublier d'ajouter celui de Duke. Timidement il me demande le mien et ajoute aussi ceux de PH et Ludovic.
Les invités repartent tous en ordre dispersé, non sans s'être tous jurés d'être là l'année prochaine !! Ils sont gentils mais c'est qui qui organise !!
Je boucle mes bagages. Quand j'en ai fini, c'est grosse réunion de tous mes escorts. Ils m'assurent que 2016 sera une grande année pour ma boite et que je n'ai pas à m'inquiéter, avec le retour de Jona, ils allaient foutre la paix à PH et ils garderont tous un oeil sur le dernier venu.
La triplette a un peu de mal à se séparer de Duke ou c'est plutôt l'inverse ! Du coup c'est un véritable débarquement à l'aéroport. Les au-revoir ont donc lieu avant l'embarquement et même si nous sommes en période de nouvel an, notre petit groupe se fait gentiment remarquer !! Je crois bien qu'on s'est tous dit trois ou 4 fois à bientôt. Enguerrand me glisse que je ne m'inquiète pas, ils allaient gérer pendant mon absence et que je serais fier d'eux.
Je le serre fort et lui dis que j'en étais sûr.
Dans l'avion du retour, Duke assis à ma gauche me demande s'il pourra revenir aux vacances d'été. Je note en moi-même que la villa en Espagne devra encore être plus.
Jardinier
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🇵🇸 Je te dessine une Icône de profil en échange de la preuve d'un don à la cause palestinienne 🇵🇸
contacte moi par message pour participer.
J'en peux plus de rester à rien faire pendant que les gens souffrent. si offrir des petits dessins peut déclencher la motivation de donner alors je dessinerai ! Tout me semble extrêmement futile en ce moment comparé à la crise de ce gen*cide.
S'il vous pla��t, même si vous ne pouvez pas donner (c'est mon cas aussi) voila une petite liste des choses que vous pouvez faire:
❤️ cliquer tous les jours sur le lien de arab.org (ça fait des dons pour vous à l'aide des revenus publicitaires)
https://arab.org
🖤 utiliser des musiques ou des sons sur les réseaux, qui sont caritatives, comme Hind's hall ou d'autres, même poster en privé génére des revenus!
🤍 quand vous voyez une vidéo ou un post qui essaie de relayer une cagnotte pour une famille. surtout ! ne copiez collez pas votre commentaire de soutien. vous croyez bien faire en commentant le plus possible mais ça fait juste croire à l'algo que vous êtes un bot et ça enterre la vidéo. écrivez manuellement, engagez la conversation.
💚 n'abandonnez pas, ne vous découragez pas et ne cessez pas de partager des choses. faites le nécessaire aux élections européennes et votez en votre âme et conscience pour les partis ayant pris position sur cette cause.
❤️ Je vous remercie de m'avoir lue ! si vous voulez donner mais que vous ne savez pas où le faire, il y a Médecins sans frontières, le fonds d'aide aux enfants de Palestine, l'Unicef. c'est un bon point de départ. mais il y a énormément de personnes à aider ayant des cagnottes pour quitter Gaza. c'est beaucoup plus urgent de soutenir directement des familles. (et attention aux arnaqueurs, des listes de leurs pseudos circulent).
Aidons les !
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Traits : Crasseux, courageux, instable, amoureux de la nature, hypersensible.
Souhait à long terme : Grand explorateur (échec).
Jules Le Bris est né le 28 décembre 1873 sur l'île ontarienne d'Hylewood, au Canada. Benjamin d'une famille de cinq enfants, fils d'un éleveur de chevaux et d'une écrivaine anarchiste, élevé par une bonne mexicaine qui lui apprend l'espagnol dès l'enfance, il fait sa scolarité à la petite école publique de l'île. Bon élève, il révèle cependant un comportement brutal, changeant, bagarreur et colérique, et, à partir de ses dix ans, il multiplie les fugues.
En 1884, après six jours de fugue, il est retrouvé inconscient et intoxiqué dans une fumerie d'opium à Kingston. Dès lors, des médecins lui diagnostiquent des "états-limites". Il est hospitalisé cinq mois. Pendant sa convalescence, son père l'introduit aux romans d'aventure et fait naître chez lui la passion de l'exploration et lui redonne un intérêt pour les études malgré ses difficultés d'apprentissage et son manque de mémoire, causés par le traitement qui lui a été remis à sa sortie de l'hôpital : un médicament à base de hachisch, pour lequel il développera une forte accoutumance et qu'il consommera jusqu'à sa mort. Malgré cela, il persévère dans l'étude de la géographie et de la linguistique arabe, avec le rêve de se rendre un jour en Egypte.
À l'âge de dix-neuf ans, en 1893, il épouse Eugénie Bernard, une jeune femme de l'île issue d'une famille pauvre et pieuse, dont il est amoureux depuis qu'il a treize ans et qu'il ne tarde pas à mettre enceinte. Mais pourtant, la même année, il saisit l'opportunité de partir travailler à Deir el-Bahari, en Egypte, sur un chantier de fouilles aux côtés d'une équipe suisse, anglaise et allemande et où il apprend la langue de Goethe. C'est le premier d'une série de quatre voyaes en Egypte : entre 1893 et 1897, entre 1898 et 1900, entre 1910 et 1914, puis entre 1918 et 1921.
Ses envies d'aventure le conduisent également à faire une expédition d'un an entre 1905 et 1906 au Nunavut, dans les terres sauvages polaires au Nord du Canada, dont il revient avec une cicatrice au visage suite à un affrontement avec une ourse polaire.
Ses voyages l'éloignent de sa famille plusieurs années consécutives à chaque fois, et marquent un fossé grandissant entre son épouse et lui-même. Chaque fois qu'il revient, le même cycle s'installe : voyant que sa femme lui en veut de l'avoir abandonnée avec leurs enfants, il intensifie ses efforts et son implication dans leur relation, puis quand Eugénie se réchauffe et que les chose s'améliorent entre eux, son égyptomanie le reprend et il repart en laissant sa femme éplorée et enceinte, ou avec un nouvel enfant en bas-âge.
En 1914, la Première Guerre mondiale éclate. Il s'engage volontairement dans le 22e Bataillon franco-canadien aux côtés d'une poignée d'autres hommes de l'île. Il s'embarque pour l'Angleterre le 20 mai 1915 à bord du Saxonia à l’âge de 41 ans, alors qu’il est marié avec 4 enfants - ce qui, normalement, devrait le dispenser de servir. Il est envoyé dans les tranchées pour la première fois le 20 septembre au sein de la 5e Brigade de la 2e Division canadienne près d'Ypres en Flandre en Belgique, où il est grièvement blessé par des éclats d’obus et où il perd une de ses jambes.
Il revient de la guerre changé, particulièrement nerveux et irritable, plus dépendant encore au hachisch, et agité par de nombreux cauchemars. Après trois ans de convalescence, il repart finalement en Egypte pour son quatrième et dernier voyage, qui ne se passe pas du tout comme prévu puisqu'il est rattrapé par la guerre civile égyptienne d'indépendance. Elle le contraint à se terrer deux ans dans le désert jusqu'à ce qu'il puisse fuir l'Egypte. Ce dernier voyage lui passe l'envie de l'exploration.
Quand il rentre, il a la désagréable surprise de voir que sa maîtresse égyptienne Layan, accompagnée de leur fille bâtarde Layla, a fait tout le chemin jusqu'au Canada pour le trouver et le forcer à remplir une fausse promesse qu'il lui avait fait, et a rencontré sa femme à la place... Comprenant que son époux a abusé de la naïveté d'une femme sans instruction, Eugénie s'est liée d'amitié à sa maîtresse et lui a offert un emploi ainsi qu'une éducation pour sa fille, qu'elle propose d'élever en tant que pupile aux côtés de leurs quatre enfants. Au lieu de s'opposer, les deux femmes font donc désormais front contre lui... Cela porte un ultime coup à son mariage.
La liste des griefs d'Eugénie, qui supporte sans broncher la défection de son mari, est d'autant plus longue que Jules part systématiquement dans les moments où elle a le plus besoin de lui. Par exemple, au moment de son départ en 1918, leur fille aînée Louise est portée disparue à la suite de la désertion de son fiancé et de l'annulation brutale de ses noces. Pour essayer de sauver son mariage, Jules entreprend d'adopter - sans l'assentiment de sa femme - une petite orpheline de guerre. Par ailleurs, Eugénie ignore que Jules a également un fils aîné caché de sensiblement le même âge que Louise, élevée par une de ses anciennes maîtresses et reconnu par le mari de celle-ci... Malheureusement, le divorce est illégal en Ontario, et le couple désuni est coincé ensemble.
Dans le même temps, les voyages successifs de Jules ont mis un coup dur à la famille Le Bris sur le plan économique, d'autant plus que leur seul entrée d'argent, les élevages Le Bris, ont été vendus pour financer le dernier voyage de Jules. La famille est donc contrainte à de nombreuses restrictions budgétaires, notamment en ce qui concerne l'éducation de leurs enfants, et Jules se montre de plus en plus anxieux et irritable à ce sujet. Si l'avenir de son fils aîné Lucien semble garanti malgré le manque de maturité de ce dernier, ce n'est pas le cas de son cadet Agathon, qui n'ose avouer à son père qu'il se destine à une carrière musicale...
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen3ter#lebrisdivers#Jules Le Bris
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Printemps 1933 - Champs-les-Sims
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Cher Lucien,
Cela me fait plaisir de voir que les choses commencent à être plus belles par chez vous, en particulier pour Marie qui semble si bien s'en sortir dans son mariage. J'ai d'ailleurs transmis tes salutations à tout le monde, et ils te renvoient tous la pareille.
La crise a fini par arriver par chez nous également. Avec du retard, mais une certaine intensité. Tante Rose dis qu'à Paris, les queues devant les soupes populaires ne font que s'allonger. Ange me confirme que les clients se font un peu plus rare dans les établissements de loisirs. Les prix ont augmenté et nous avons essuyé des pertes sèches durant la dernière année. Oncle Adelphe s'en est arraché les cheveux tant nos meilleures bouteilles ne se vendent plus beaucoup. J'ai eu l'idée de réorienter la production vers des vins de moyenne gamme qui eux se vendent toujours aussi bien. Les chiffres commencent un peu à remonter ces derniers mois, mais nous sommes très loin du chiffre d'affaire que nous avons eu pendant vingt ans. Nous avons du licencier un de nos ouvriers pour faire des économies, et je suis ravie d'avoir autrefois insisté auprès d'Adelphe pour qu'il m'apprenne les gestes techniques du métier. Je suis un peu rouillée, mais grâce à ça, j'ai pu maintenir le niveau de vie de la famille. La vie sociale de tout le village en est bouleversée. Il y a beaucoup moins de soirées organisées chez les voisins, les repas de famille sont moins nombreux, et l'épicerie des frères Musclet peine à maintenir la tête hors de l'eau.
Tu me demandes comment s'est passé le retour de Petite Eugénie à la maison. Dans les grandes lignes, c'est assez agréable. Je suis heureuse de retrouver ma petite soeur, mais je suis aussi décontenancée par son attitude. Elle ne fait pas du tout ses dix-sept ans et semble être bien plus jeune, raison pour laquelle les filles en font très souvent leur compagne de jeu. Mais parfois, elle a des éclairs très brusques de maturité qui lui font adopter l'attitude d'une adulte. Je crois qu'elle même ne sait pas vraiment comment se comporter. Elle est parfois confuse, invente des événements qui n'ont pas lieu ou oublie tout simplement que Papa et Maman ne vivent plus ici. Les crises les plus fortes ont cessé, mais voir dans ses yeux le moment où elle réalise qu'elle n'avait plus qu'un pied dans la réalité est très dur et triste. Le médecin à Paris dit que son état s'améliore, et c'est vrai, mais j'aimerais l'aider davantage.
Transcription :
Eugénie « Qu’est-ce que vous faites ? »
Ange « Une activité vespérale trépidante. Nous lisons. »
Arsinoé « Il s’agit de notre petit rituel du soir, avant le dîner. Et toi ? Qu’est-ce que tu fais dans cette tenue ? »
Eugénie « J’attends que la voiture d’Eugène vienne me prendre. Il organise une soirée au château. »
Arsinoé « Ma chérie… Eugène n’organise pas de fête ce soir. »
Ange « Et le château a été vendu à l’état il y a des années déjà. Tu ne t’en souviens pas ? »
Eugénie « Je… heu… si. Je crois. Oh non… ça a recommencé... »
Arsinoé « Ce n’est rien Eugénie. Tu es très belle. Tu t’es coiffée toute seule ? »
Eugénie « Heu… Anna m’a aidée… Je dois faire quoi maintenant ? »
Ange « Vas donc t’asseoir au salon. Je vais appeler Eugène de ta part et l’inviter à dîner ce soir. Aurore va très certainement m’assassiner pour le faire si tard, mais je pense que ça fera plaisir à ton amoureux. »
Eugénie « Vous ne lui direz pas, n’est-ce pas ? »
Arsinoé « Lui dire quoi ? Tu t’es bien pomponnée pour lui faire une surprise ce soir non ? »
Ange « Allez, vas ! Noé, vas donc prendre l’appareil, Petite Eugénie est bien trop jolie ce soir pour qu’on manque une occasion de lui tirer le portrait. »
Arsinoé « Quelle bonne idée ! »
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Dispute avec mon copain hier, qui a finie par moi faisant mon sac et claquant la porte à 1h du matin. Deux jours avant qu'on soit sensés signer un contrat pour un appartement ensemble. Ça m'a pris 2 minutes, je pouvais pas faire autrement. J'avais dit "J'ai envie de rentrer chez moi", à quoi il avait répondu "Fais-le alors, mais saches que je t'arrêterai pas et que j'appèlerai pas." Alors j'ai bondis hors du lit - il faut protéger sa fierté... Le seul truc qui aurait pu m'arrêter c'est le fait que j'avais déjà pris ma dose de mélatonine. Bref, je me retrouve à sangloter sur la route, avec mon petit sac sur le dos. Je voyais des couples qui sortaient de leurs Ubers et rentraient chez eux main dans la main, tous beaux. Moi je faisais peur, je le sais parce que j'ai vu mon reflet dans le miroir de l'ascenseur. J'étais plus en colère contre moi-même que contre lui. C'est ça le plus douloureux dans l'histoire. Des disputes on en a eues, mais cette fois-ci le coupable est à l'intérieur de moi, c'est mon anxiété sociale et la façon dont elle me paralyse, me gâche la vie. C'est elle qui est responsable du petit drame d'hier.
Ça a commencé par une soirée Monopoly avec ses soeurs. Ça rend la dispute presque drôle. À chaque fois que je rencontre sa famille je suis paralysée par l'angoisse, et le fait de parler suédois avec eux arrange pas les choses. Les mots sortent pas, je suis silencieuse et m'en veux d'être silencieuse. Je me force à parler et tout ce que je dis est maladroit, les larmes me montent aux yeux, je veux rentrer chez moi, respirer à nouveau. Bref, hier ça avait malgré tout bien commencé, même si j'étais fatiguée après une journée de boulot. Ça a mal tourné quand elles ont mis de la techno, monté le son et se sont mises à danser autour du Monopoly. Là mon corps tout entier s'est paralysé et j'ai fixé le plateau de jeu pendant ce qui m'a semblé être une éternité. Dans la voiture sur la route du retour mon copain m'a à peine adressé la parole et la paranoia a commencé à faire son petit bonhomme de chemin dans ma tête. Je pouvais rien dire parce que sa soeur était dans la voiture avec nous. Mais je savais qu'il trouvait que j'avais été désagréable avec ses soeurs. C'est super important pour lui que ça se passe bien avec ses amis et sa famille, que je sois intégrée.
"L'intégration", le concept autour duquel ma vie tourne depuis que je suis arrivée en Suède. J'ai essayé de m'intégrer dans ma coloc, au boulot, à l'université, avec sa famille et ses amis. J'essaie de parfaire mon suédois à côté des études et du boulot, je m'adapte, je regarde personne au supermarché et je dis pas "bonne journée au revoir" à la caisse du supermarché. Je dis juste "merci" comme tout le monde et je me casse. Je coupe plus la parole, j'attends mon tour pour parler et quand je le fais je regarde tout le monde dans le groupe. J'ai des opinions modérées. Je me place à un mètre de distance des autres quand je fais la queue et je marche jamais sur les pistes cyclables. J'ai perdu mes couleurs, et pour régler ça je suis une thérapie cognitivo-comportementale dans un CMP suédois. Je paie 200€ par mois pour faire du yoga avec des jeunes mamans qui travaillent dans le domaine de la culture et adorent la France, c'est à dire Aix-en-Provence et Paris. Mais hier j'ai fais l'erreur d'être silencieuse à la table du Monopoly, et maintenant mon copain est inquiet, il se demande si je réussirai un jour à m'intégrer.
Hier il m'a demandé de prendre mes responsabilités. Je sais pas si c'est le fait d'avoir fait l'armée, d'être capricorne ou tout simplement suédois qui le fait dire ça. Peut-être un mélange des trois. Selon lui, il faut avoir besoin de personne dans la vie. Il vis pourtant à 10 minutes de chez ses parents et a un papa qui est allé le chercher chez le médecin la semaine dernière, avant de lui faire des courses. Tous ses amis sont des amis d'enfance sur qui il pourra compter toute sa vie. Ce que je veux dire c'est qu'il a un filet de sécurité immense en dessous de lui. Et maintenant je vais comparer sa situation avec la mienne, je sais que je devrais pas comparer mais je vais le faire. Je suis partie à l'étranger toute seule et ai réussi à m'en sortir toute seule et la semaine dernière je devais noter le numéro de téléphone d'une personne de confiance quelque part, et j'avais que lui. Hier quand je faisais ma petite crise d'angoisse silencieuse devant le Monopoly j'attendais juste une main sur mon épaule, parce que je sais qu'il a vu. Mais j'ai eu que du silence en retour, et dans le lit il était presque collé contre le mur pour être trèèèès loin de moi. Il est presque midi et je sais qu'il appèlera pas aujourd'hui, et demain on doit signer le contrat. Ou plutôt, il doit signer le contrat parce qu'ici c'est pas mon pays.
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ma docteure est pas à québec, vous comprendrez
j'ai une batterie de tests à passer pis ma docteure m'a pris mes rendez-vous toutes à trois-rivières, pis c'est ben correct, mais genre so far tous mes tests durent yinke 5min pis ça me fait chier de monter de québec rien que pour 3 x 5min pas la même journée 😒
#en fait ça faisait tellement longtemps que je l'avais vue que je pensais que j'avais pu de médecin de famille oups.#le pire c'est qu'elle est pas à trois-ri non plus mais les tests que je dois passer se font pas tous dans la ville où elle pratique
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J'ai reçu le roman graphique "Tout le bleu du ciel", d'après le roman de Melissa da Costa, pour mon anniversaire. Grosse bd format A4, de 200 pages, avec des belles illustrations.
Je viens de la terminer. C'est une histoire pleine de bons sentiments, deux personnes cabossées par la vie, qui se rencontrent et font un bout de chemin ensemble. Emile a 25 ans, Alzheimer précoce, n'en n'a plus que pour deux ans à vivre et ne veut pas que sa famille le voit dépérir, ni ne lui impose de rester hospitalisé pour des tests sur les effets d'hypothétiques traitements médicamenteux, il passe une annonce pour partir en camping-car avec un ou une partenaire de voyage, et rendre son dernier souffle dans les montagnes. Il rencontre Joanne, qui reste mystérieuse, on apprend son histoire petit à petit, en même temps que lui. C'est l'alchimie entre eux, ils respectent chacun la bulle de l'autre et évidemment le voyage ne sera pas de tout repos.
C'est du feel good à plein poumons, mais avec des petites touches de réflexion sur la maladie, le deuil, le respect des dernières volontés, la perte d'un enfant, le retour en enfance lorsque le cerveau se vide.
Je suis un peu émue dès que je pense à la maladie d'Alzheimer, quand j'avais 19 ans j'ai vu ma grand-mère s'éteindre à petit feu, touchée par cette horrible maladie. Vendredi, j'étais au téléphone avec ma maman, elle a 70 ans cette année, et j'ai remarqué qu'elle cherchait un peu + certains mots, pourtant assez usuels. Sûrement juste de la fatigue, parce que 5 ans après une triple opération cardiaque pendant laquelle elle a bien failli y rester, elle est hyper active toute la semaine mais surtout le vendredi, elle a commencé cette année des cours de dentelle, ça lui demande 4h de concentration assez soutenue, dans une position pas top mais "ça va, je vais aux toilettes handicapés pour faire des étirements, le fais le chat-vache comme la kiné a dit et ça passe". Mais je vais rester attentive à certains signes qu'on peut retrouver dans le langage. C'est un truc qui m'angoisse très fort, la gestion de la fin de vie.
Mon père est décédé à 41 ans, il était en vie et puis il ne l'était plus. Entre les deux, il y a eu une journée de douleurs à la poitrine que cette abrutie de médecin de garde a pris pour une oesophagite. Je crois que je savais que c'était son cœur et je m'en veux encore de n'avoir eu que 16 ans à l'époque et pas suffisamment d'assurance pour aller à l'encontre d'un avis médical.
Mais ça se passe comment quand ça tire en longueur, quand les personnes qu'on aime ne sont plus elles-mêmes, comprennent leur état et en souffrent ?
Finalement le seul truc qui me rassure un peu c'est redevenir l'enfant qui subsiste en chacun de nous jusqu'à la fin, et offrir à nos aînés l'amour et la bienveillance dans les soins. Peut-être l'occasion de leur offrir aussi du temps et de rencontrer l'enfant qu'ils étaient autrefois.
⭐⭐⭐⭐ mais les illustrations font une grosse partie du boulot, pcq l'histoire ne m'a pas transportée, c'est un peu trop feel good à mon goût, je suis une vieille aigrie. J'ai néanmoins apprécié ce moment chill et apparemment ce roman est un must read pour les amatrices et amateurs du genre. Puis ça a permis de parler de la fin de vie, tiens d'ailleurs j'avais réfléchi récemment aux limites du deuil, je ferais bien un billet là dessus à l'occasion, pour l'ambiance.
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13 août 1826 : mort du médecin René-Théophile-Hyacinthe Laennec, inventeur du stéthoscope ➽ http://bit.ly/Rene-Theophile-Laennec Né le 17 février 1781 à Quimper d’une famille appartenant à la noblesse de robe, il avait pour père un avocat frivole et intrigant, qui rimait des vers galants et réussit à vivre quatre-vingts années en coquetant avec tous les régimes politiques, se désintéressant complètement de ses enfants
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L'ombre des Volturi
Le ciel crépusculaire était teinté de nuances d'orange et de violet alors que les portes massives du château des Volturi se refermaient derrière Aro. L'ambiance pesante de Volterra était palpable, mais ce soir, il y avait un désaccord qui pesait encore plus lourd sur son cœur immortel.
Aro s'avança dans la salle du trône, ses yeux rouges s'illuminant d'excitation. Il savait que Caïus l'attendait, ponctuant la tension de leur dernière rencontre. Son frère était adossé à l'un des murs de pierre, les bras croisés, sa mine habituellement glaciale étant encore plus marquée par une irritation palpable.
« Aro, je ne comprends pas pourquoi tu persistes à d��fendre ces Cullen », commença Caïus d'une voix mordante. « Carlisle et sa bande de vampires prétendument "éveillés" nuisent à notre autorité, et tu les as toujours couverts ! »
Aro, plein de cordialité, n'eut pas de mal à sourire. « Oh, Caïus, tu sais très bien que Carlisle ne cherche que la paix. Sa volonté de coexister avec les humains est… admirable, n’est-ce pas ? »
« Admirable, vraiment ? » rétorqua Caïus en roulant des yeux. « Parle-nous donc des conséquences de son "admirable" choix. Les humains commencent à s'interroger sur leur existence, et cela crée un chaos ! Et sans oublier la petite bande de novices qui s'agrandit. Ces créatures ne sont rien d’autre qu’une menace pour nous ! »
Aro avait l'air pensif. « Mais Carlisle n’a jamais cherché à pervertir la nature des vampires. Regarde ce qu'il fait avec ses enfants. Il leur apprend à maîtriser leurs instincts. Ils ne sont pas comme nous ! Ils ne veulent pas de sang humain, mais de la vie. »
« De la vie ? » Caïus se mit à rire, un son acéré et froid. « Qu’est-ce qui est plus réjouissant que de se repaître d'une proie vivante ? Les Cullen sont une aberration, Aro, et je suis fatigué de tes discours romantiques sur cette "famille". »
« Romantique ? » Aro plissa les yeux, intrigué. « Tu as toujours eu un esprit trop rigide, cher frère. Regarde l’ère que nous vivons. Les temps changent, et nous devrions nous adapter. Si nous restons enfermés dans nos anciennes traditions, nous allons devenir obsolètes. »
Caïus se redressa, sa silhouette se rétrécissant de colère. « Tu parles de traditions comme s’il s’agissait de vieux vêtements à jeter. Nous sommes les Volturi, gardiens de l’équilibre ! Et cet « équilibre » signifie éradiquer ceux qui menacent notre existence. Carlisle et ses "Cullen" sont une menace. Je ne comprends pas pourquoi tu prétends être son "brillant ami". »
Aro s'approcha de son frère, ses yeux brillaient d'un éclat presque hypnotique. « Parce que je vois en Carlisle un pouvoir qui échappe à notre portée, Caïus. Avec leur collaboration, nous aurions un moyen de régner sans craindre une rébellion. »
« Collaborer ? » Caïus ouvrit la bouche, surpris par le degré de naïveté décelable dans la voix de son frère. « Tu es plus imprudent que je ne le pensais. Quand la dernière fois, deux entités aux idéaux opposés ont réussi à coexister ? J'ai vu des conflits bien plus meurtriers pour moins que cela. »
Aro glissa une main sous son menton, son expression prenant un air de défi. « Peut-être a-t-on juste besoin d'un peu de patience. Regarde la force de cette famille. Elle est puissante à sa manière. Je ne dis pas qu'il faille les accepter sans condition, mais la peur engendre la guerre. Et nous ne voulons pas cela, n'est-ce pas ? »
Caïus soupira, mais Aro pouvait voir la lueur de compréhension dans ses yeux. Très légèrement, il opina du chef, bien que son aversion ne disparût pas. « Je ne te suivrai pas sur ce chemin, Aro. Mais je vois que tu n'abandonneras jamais ta fascination pour ce médecin. Nous verrons bien ce que cela nous rapportera… »
« Oui, Caïus, nous verrons bien, » répondit Aro, un sourire mystérieux flottant sur ses lèvres. « Après tout, n'est-ce pas ce qui rend notre existence si palpitante ? »
Alors qu’il quittait la salle, l'ombre de l’avenir se profilait, tout aussi incertaine qu’un horizon sombre. Mais une chose était sûre, la fascination d'Aro pour les Cullen, et pour Carlisle en particulier, n'était pas prête de disparaître.
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Mon petit
Dans un premier roman bouleversant, Nadège Erika raconte le parcours d'une jeune fille qui tente de sa construire un avenir du côté de Belleville. Mais ses rêves vont se briser avec la perte d'un enfant.
En deux mots Naëlle grandit chez sa grand-mère Porte de Montreuil et, quand son métier d’infirmière lui en laisse le loisir, chez sa mère à Belleville. Elle s’accommode de cette vie difficile, car l’amour est au rendez-vous. Un amour qu’elle reçoit et qu’elle donne quand elle rencontre Gustave. À 17 ans, elle va se retrouver enceinte de jumeaux et sa vie va basculer dans le drame. Ma…
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Né le 8 juillet 1831 à Knoxville, en Géorgie, John Stith Pemberton est entré dans l'histoire en tant qu'inventeur de l'une des boissons les plus populaires au monde : le Coca-Cola. Décédé le 16 août 1888 à Atlanta, sa vie fut marquée par l'innovation et la transformation d'une simple idée en un phénomène global.
John Pemberton, issu d'une famille modeste avec son père James Clifford Pemberton et sa mère Martha L. Gant, a montré très tôt un intérêt pour la chimie et la médecine. Après avoir terminé ses études au Wesleyan College, il a choisi de poursuivre une carrière en pharmacie, une décision qui allait s'avérer révolutionnaire. En 1853, il épousa Ann Eliza Clifford Lewis. Le couple eut un fils, Charles Ney Pemberton, qui fut plus tard impliqué dans les affaires de son père. La vie familiale de Pemberton, bien qu'importante pour lui, était souvent éclipsée par ses expériences et découvertes en pharmacie. Avant de créer sa recette mondialement célèbre, Pemberton avait déjà fait preuve d'innovation dans le domaine pharmaceutique. En effet, il fut un des premiers à formuler ce qu'on appelle des "sodas médicinaux", des boissons conçues pour soulager divers maux en utilisant des extraits de plantes. L'histoire de Coca-Cola commence réellement dans les années 1880, lorsque Pemberton cherchait à créer un remède contre les maux de tête et la fatigue. Le contexte était celui d'une Amérique en pleine transformation, où l'urbanisation et le changement de mode de vie créaient de nouveaux besoins chez les citoyens. La première version de ce qui deviendra le Coca-Cola était initialement une boisson alcoolisée à base de vin de coca, connue sous le nom de "French Wine Coca". Toutefois, avec l'introduction des lois de prohibition à Atlanta en 1886, Pemberton a été contraint de reformuler sa boisson pour en retirer l'alcool, remplaçant le vin par un sirop sucré mélangé à de l'extrait de feuille de coca et à de la noix de kola, d'où le nom Coca-Cola. Le nouveau breuvage fut d'abord vendu en pharmacie comme un remède exotique pour divers maux, mais son goût unique et rafraîchissant en fit rapidement une boisson appréciée à sa propre valeur. Pemberton n'avait pas les moyens de commercialiser massivement son invention, mais il a vu le potentiel de son produit. Il s'est associé avec des hommes d'affaires locaux et a commencé à vendre le sirop aux pharmacies de la région, où il était mélangé à de l'eau gazeuse et servi au comptoir. Malheureusement, Pemberton ne verra pas le succès mondial de son invention. Affaibli par des années de dépendance à la morphine, une conséquence de blessures subies pendant la guerre de Sécession, il vendit les parts restantes de son entreprise à Asa Candler, un entrepreneur local. Candler fut celui qui transforma Coca-Cola en un géant mondial de l'industrie des boissons, utilisant des techniques de marketing innovantes pour rendre la marque synonyme de rafraîchissement et de plaisir. Il mourut en 1888, laissant derrière lui une boisson qui deviendrait un symbole de la culture américaine et un produit consommé par des millions de personnes dans le monde. Sa vie et son œuvre restent un témoignage de l'ingéniosité et de l'entrepreneuriat, démontrant comment une simple idée peut évoluer pour devenir une partie intégrante de la vie quotidienne globale.
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familles notables
Préambule :
Les familles notables sont dites fondatrices car elles ont su imposer leur place de choix dans la communauté de génération en génération.
L’historique des familles se concentre sur les rôles remplis initialement par leurs aînés. Il ne s’agit pas strictement de familles issues de la colonie de Beryl Lake, par choix de souplesse d'écriture et pour avoir la liberté d’apporter sa mixité raciale et sociale à la création des prédéfinis.
L’arbre généalogique fera état des membres de la famille contemporaine et se concentrera sur elleux puisqu’il s’agira des personnages jouables.
Une courte entrée en matière vous est proposée pour vous aider à dresser le portrait des ancêtres. (à venir)
Bien que représentatifs des valeurs des habitants, les personnages prédéfinis appartenant aux familles notables sont libres dans leur développement : C’est-à-dire qu’il n’est pas nécessaire de les écrire en adéquation partielle ou totale avec les origines et développements de leurs membres respectifs.
De même, si une des familles attire votre attention mais qu’aucun des rôles jouables n’est accessible, il est possible d’étendre les branches de ladite famille, dans la limite du raisonnable.
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(extrait) Addams (origines britanniques, famille de médecins et de pharmaciens, attrait pour la science, forte influence économique et dans le domaine de la santé, tensions familiales autour de la dirigeance de la clinique médicale)
patriarche à la poigne de fer ;; influence inévitable ;; la tête avant le coeur ;; soif de savoir ;; désaccords irréconciliables ;; enfants du sanatorium ;; rumeurs fantomatiques ;; maison labyrinthe ;; fierté et orgueil ;; clivage des sexes ;; rébellion de la descendance ;; l’héritage des soignants ;; richesse maudite ;; pots cassés ;; abus de pouvoir ;; rejet de la vulnérabilité ;; raison avant les sentiments ;; mère admirable ;; pudeur incurable ;; solitude
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