#Les Frères Jacques
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les frères jacques - les EP 1954 - 1960
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Les frères Sisters, 2018
#drama#western#les frères sisters#the sisters brothers#jacques audiard#patrick dewitt#thomas bidegain#john c. reilly#joaquin phoenix#metaphors
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Le choc mental d'aller voir Oppenheimer et de voir avant la séance dans les prochains films prévus à l'UGC cette saison Le Procès Goldman.
#Jean-Jacques tu n'es jamais loin#on le rappelle c'est l'histoire de son demi-frère !!#Jean-Jacques goldman
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Posters from this week's episode.
Even if they are only visible for a second (this time), it would be a shame if they were completely overlooked.
I love you, Mara!
More about some of them.
Morts sans sépulture – a Jean-Paul Sartre's play (1946). The play caused a scandal, with reports of female spectators fainting at the premiere.
Le Café du Cadran – a 1947 French drama. A young couple from Auvergne, Julien and Louise Couturier buy a café in the heart of Paris. The capital soon has a detrimental effect on them as Julien falls in with bad company and Louise flirts with violinist Luigi and develops a taste for expensive things.
Les Frères Jacques – a French vocal quartet active from 1946. The band was famous for combining singing and mime.
Quai des Orfèvres – a 1947 French police procedural drama about a theatre actress (lots of jealousy involved). It's also the name of the waterfront in Paris close to where S2 was filmed.
La Kermesse rouge – a 1947 French historical drama. It's about a rivalry between two painters that concludes with an incident based on a real-life 1897 fire in Paris.
Les Enfants du Paradis – a 1945 two-part French romantic drama set in the theatrical world of Paris. Lots of jealousy here too.
Les Armes de la Femme – a Louvre exhibition (1935).
Trio Raisner – if you want some contemporary harmonica music.
*There were also a lot of political posters, which makes sense given the end of the war and the French elections in November 1946.
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les frères pétard 1986
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"Chère Gisèle Pelicot, vous êtes entrée dans nos vies comme au tribunal d’Avignon, par la grande porte. [...] Le jour de l’ouverture du procès de vos violeurs a aussi été celui de l’officialisation de votre divorce. [Une meute] vous attend dans la salle d’audience : celle des 50 hommes qui sont jugés pour viol en réunion. Il y en aurait des dizaines d’autres qu’on n’a pas pu identifier. Vous faites face. Rien ne vous préparait à être dans cette salle d’audience. Un des accusés est arrivé en retard parce que, dit-il, il devait accompagner son fils à l’école pour la rentrée. Je me suis demandé qui avait accompagné vos petits-enfants, qui faisaient, eux aussi, leur rentrée scolaire. Je sais que vous avez pensé à eux à ce moment précis.
Réalité difficile à accepter
Vous les voyez tous pour la première fois sauf ce voisin que vous croisiez parfois dans la vie d’avant, celle qui ne reviendra jamais, celle de la maison du Vaucluse et de l’ignorance préservée. Vous les regardez. Ils regardent leurs pieds. Ils n’avaient jamais vu vos yeux, Jean, Didier, Jean-Luc, Romain, Redouan, Cédric, Grégory, Karim, Jean-Marc, Philippe, Quentin, Nicolas, Vincent, Patrick, Paul et les autres… On ploie sous la longueur de la liste et la banalité des profils. Les trois quarts d’entre eux ne reconnaissent pas les viols, comme tous ceux qui font les gros titres de l’actualité, les PPDA, Nicolas Hulot, Salim Berrada, Gérard Miller, Olivier Duhamel, Benoît Jacquot, Jacques Doillon, Gérard Depardieu…
Leurs arguments sont toujours les mêmes. Ils font tourner l’infect disque rayé du mensonge complaisant. Ils n’ont pas compris ce qu’ils faisaient. Ils sont sûrs d’être, eux aussi, des types bien, pas des monstres, même quand on leur montre les vidéos des crimes. Ils sont pompier, journaliste, étudiant, chauffeur routier, gardien de prison, infirmier, retraité, conseiller municipal, nos amis, nos amants, nos pères, nos frères. Une réalité difficile à accepter.
Un seul s’est adressé à vous pour vous présenter des excuses. Leur défense est un échantillon chimiquement pur de la violence patriarcale et des masques derrière lesquels elle s’abrite pour prospérer. « Le patriarcat est dans la maison ce que le fascisme est dans le monde », écrivait Virginia Woolf dans Trois guinées (1938).
Certains évoquent le poncif éculé de la pulsion, d’autres la frustration sexuelle due à l’absence prolongée d’une compagne officielle. Il y a celui qui trouve « bizarre » d’avoir fait ça. On trouve aussi des traces de « libertinage incompris ». Il y a celui qui ose l’ahurissant « viol involontaire ».
« Consentement par délégation »
Puisque vous étiez comateuse, il est difficile de prétendre que vous étiez partante. Difficile, mais quelques-uns tentent quand même le « j’ai pu croire qu’elle faisait semblant de dormir ». Les plus audacieux essayent le « consentement par délégation » ; le mari était d’accord, « il fait ce qu’il veut avec sa femme ». Une femme est soumise à son compagnon. L’ordre immémorial de la hiérarchie masculine est respecté.
Ce qui est certain, c’est qu’ils ont tous bandé à l’idée de pénétrer un corps inerte. Le viol et l’ordinaire de la sexualité semblent avoir beaucoup de points communs dans leur esprit. Ils ont bien le droit. Ils ont le pouvoir de le faire. Ils n’allaient pas passer à côté d’un viol gratuit près de chez eux. Ils ont été biberonnés à la haine des femmes, au mépris qui s’excite de l’impuissance de l’autre. Le sexisme féroce transpire de leur discours. La pornographie violente dont certains collectionnaient les images les plus répugnantes y est sans doute pour quelque chose. La domination absolue les a fait jouir. Ils ne voient pas le problème. Même au tribunal. Même devant vous.
Ils font ce que font la plupart des hommes accusés : ils se victimisent et rajoutent une couche de mépris sur celle qu’ils ont déjà humiliée. Ils sont tombés dans un traquenard. On les a piégés. Vous êtes restée là, à les écouter sans ciller, droite sur le ring. Vous décrivez désormais votre vie comme un combat de boxe. Le combat est déloyal. L’adversaire a les armes du terrorisme patriarcal. Que vous soyez à terre ou debout, cassée ou le poing levé, votre droiture fait craqueler la carapace d’impunité qui les a longtemps protégés.
Ce n’est pas seulement vous, Gisèle, qu’ils ont traitée comme une chose. Ils nous disent, à toutes, notre insignifiance. Votre force nous rend la nôtre. Merci pour ce cadeau immense.
Hélène Devynck, journaliste et autrice d’Impunité, (Seuil, 2022)"
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Prev // Next
Transcript under the cut:
Spencer: Mommy!!! Iris: I’m here, sweetie, I’m coming.
Iris: What’s wrong? Spencer: I’m scared. Iris: Oh no. Did you have a bad dream? Spencer: [sniffles and nods]
Iris: What was it about? Spencer: The monster was chasing me. Iris: A monster? What did it look like? Spencer: Big eyes. [pulls at her eyelids] Big teef. [growls and shows her teeth] Iris: That does sound scary. Do you need me to tuck you in? Spencer: [nods] And sing.
Iris: You want to sing too? Spencer: Asses song. Iris: Ooh I don’t know about that. Your dreams might be too good if we sing that one. Spencer: Peeease? Iris: Okay, but you know how it works, you gotta get yourself in bed.
Iris: I think we should sing Twinkle Twinkle Little— Spencer: No! Asses song! Iris: Are you sure? What if you dream about unicorns? Spencer: [giggles] Fly! Iris: You want to fly on a unicorn? Spencer: Yeah! Iris: Hm. What color is the unicorn? Spencer: Pupoh!
Iris: What?! So, you’re telling me, you want flying purple unicorn dreams? Spencer: [giggles] Yeah! Iris: Well, you’re right. Only one song can do that. Are you ready? Spencer: Ready! Iris: Okay. Get under the covers, nice and cozy.
Iris: [sings] Frère Jacques, Frère Jacques Dormez-vous? Dormez-vous? Sonnez les matines, Sonnez les matines Iris/Spencer: [sing together] Ding-dang-dong, Ding-dang-dong
Iris: Goodnight, baby bear.
Asher: Everything okay? Did you get her back to sleep? Iris: Yeah, she’s good. She made me sing Frère Jacques. Asher: [smiles] Of course. Iris: I’ll do it. I’ll file the petition to terminate his rights.
Asher: [runs over and hugs her] You’re doing the right thing. Iris: [sniffles] Are you staying here tonight? Asher: Yeah. Iris: Good, okay. Everyone’s asleep. Let’s talk outside.
#ts4#ts4 simblr#ts4 story#sims 4#sims 4 storytelling#sims 4 challenge#starsignchallenge#starsignlegacychallenge#gen1 aries#aries pt3#asher goode#iris goode#spencer goode
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Hi! I am currently learners French and I was wondering if you have any tips or something to help 😭😭😭
Hellooo! Learning french for me was definitely an uphill battle and I would say the type of thing that gets harder before it gets easier. Just for context on my personal situation learning French: I took french all the way through high school, studied super duper hard for the B2 exam and then managed to pass. It was through this that I was able to apply to french universities and got accepted at Sorbonne University where ALL my courses are french. Being at a french school, having to read advanced texts practically every day, and of course living in Paris - I reached C1 (and this took me about a year and a half). Please take this into consideration in terms of setting realistic goals for yourself. Here are my tips for fluency:
1.) Read A LOT!!! Through reading you’ll be able to see french grammar in context, the general structure of the language, figures of speech, and of course expand vocabulary. It goes without saying that learning a language is learning a culture - there are many faucets of francophone culture expressed through literature which provide helpful insight for non francophones. Here are my recommendations according to language level.
Beginner (A1-A2)
Le Petit Prince d’Antoine de Saint-Exupéry - this is a stable of french culture and very simple children’s novella to read. A book every French child has read.
Le Petit Nicolas - another children’s book which I think gives really good insight into french upbringing, and primary school experience. I found it to be a stark contrast from anything that I had experienced.
Any thing from Français Facile, as you reach A2 the focus will be more on basic grammar and I find those books to be quite good in terms of the hyper specificity that requires, ie if you’re learning imparfait vs passé composé there is probably a book tailor made for that.
Intermediate (B1-B2):
French translation of originally [insert your first language]. I know this may seem strange, but I think it’s a helpful in between step to see how your language translates into french, and I found generally it was easier to read weirdly?? (As someone who was reading a lot of English to French translations, guess is that since the translation is limited to English lexicon which is smaller than french, the translation itself would be a much simpler version of french lol). This can be any book, as long as it’s at your reading level in your native tongue
L’étranger d’Albert Camus
Le peintre de la vie moderne de Charles Baudelaire
Manette Salomon des frères Goncourt
Magazines, newspapers, journals!! Again great insight into francophone culture and current affairs.
At B2 level you should be able to read anything, so anything you can get your hands on, READ!
2.) Study the grammar. Get it down. All the laborious things (gender of nouns, use of subjonctif, conditional tense, COD/COI, etc, etc) — learn it and master. This cannot be skipped, you cannot cut corners in this regard. Put your head down and do it.
3.) Once you’ve gotten to A2/B1 — speak as much as possible. If there are conversation classes available, go to them. Try to find people online to practice with if IRL is not an option but it is important to practice speaking.
4.) Listen to French music, watch french language films. There’s french music in all genres and music taste is super subjective lol. I personally love the music from the 60s/70s - Jacques Brel, Serge Gains, Jane B, Francoise Hardy, Michel Legrand, Barbara (my recommendations lol). Of course if you’re not into that there’s pop, rap, Afro beats, classical, etc., etc. My favourite french films are Cléo 5 à 7, La Piscine, Le Samouraï, Les demoiselle de Rochefort, La Religieuse, La Chinoise, Plein Soleil— just a few that come to mind. Of course taste is super subjective, so just find what you like!
There are all my tips for learning french (or really any language). Hope it was helpful!!
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Automne 1927 - Champs-les-Sims
3/5
Avoir deux filles m'a fait beaucoup pensé. Surtout au vu de ce que tu écris dans ta lettre au sujet des femmes au Canada ou de l'enseignement de l'anglais. J'en ai discuté avec Antoine, et figure toi qu'il connait étrangement bien le sujet. En effet, la faculté des Sciences Politiques où il étudie est très "américanophile" comme il dit. Il dit que ça vient de Tocqueville, même si je n'ai aucune idée de qui il s'agit mis à part qu'il s'agissait d'un philosophe. Nous en avons même parlé assez longuement, et quand Antoine parle de politique, il a cette petite lueur dans les yeux qui me rend parfois jalouse de ne pas être allée à la faculté.
Il aimerait pouvoir en parler plus longuement, mais Grand-Mère n'apprécie pas tellement les socialistes, sans bien sur évoquer les communistes. De plus, avoir un débat avec elle est éreintant, elle ne cesse de multiplier les stratégies de fuite ou les appels au bon sens quand elle se sent en difficulté. Pour mon frère, c'est assez difficile à vivre car il aimerait pouvoir partager plus de choses avec elle. Pense-tu, quand il est question de politique, elle rapporte tout à Napoléon ! Et pas seulement au troisième.
Transcription :
Eugénie « Et comment se passe l’école mon garçon ? »
Marc-Antoine « Très bien Grand-Mère. Mes professeurs sont contents de mon travail et je passe la plupart de mon temps libre à la bibliothèque. Ils n’arrêtent pas d’y ramener de nouveaux livres, c’est fascinant. Beaucoup de livres américains cependant... »
Arsinoé « Et ça ne te plaît pas ? »
Marc-Antoine « Bon, je n’ose pas dire grand-chose, mais j’ai l’impression que tout le monde à la faculté ne jure que par l’Amérique. L’Amérique par ci, l’industrie américaine par là, la femme américaine serait « trop libérée »… Enfin bref, nos anciens sont tellement persuadés de prêcher en territoire conquis qu’ils en oublient que tout le monde n’est pas d’accord. Mais d’un autre côté, ils fustigent Wilson et ses Quatorze Points. »
Arsinoé « Donc en réalité, ils ne suivent que ce qui les arrange. Soit c’est un modèle à suivre, soit c’est un contre-exemple à éviter. »
Marc-Antoine « Exactement ! Ils n’ont que ça à la bouche ! »
Eugénie « Les Américains sont des brutes incultes, je l’ai toujours dit. Je ne vois pas en quoi nous devrions être fascinés par tous ces imbéciles d’outre Atlantique. »
Arsinoé « Le Canada est aussi en Amérique, Grand-Mère. »
Eugénie « Seigneur ma fille, me crois-tu idiote ? Heureusement qu’il y a là-bas quelques français pour raffiner l’ensemble, voilà ce que je dis ! Si ce n’était Napoléon, je ne parviens pas à comprendre ce qui a pu pousser ton arrière-grand-oncle Jacques à rester. »
Marc-Antoine « Tout n’est pas si blanc ou si noir Grand-Mère. Et je ne crois pas qu’on puisse parler vraiment de « français ». Ils sont canadiens depuis bien longtemps, et si ce n’est la langue, je pense qu’ils ont une culture aussi différente qu’entre nous et… voyons… nos voisins allemands par exemple. »
Eugénie « Oh non, pas les allemands. Ces immondes brutes nous ont bien fait assez de mal ! »
Marc-Antoine « Je ne faisais que… oh, laissez tomber ce n’est pas grave. »
Arsinoé « Vous n’aimez pas grand-monde Grand-Mère. »
Eugénie « Il faut dire qu’il n’y a pas grand monde pour nous aimer non plus. La réciproque est vraie également. Mais n’y voyez pas une attaque contre nos cousins, ce sont de braves gens. Même si il est vrai que Cousin Jules est sans doute trop américain sur bien des aspects... »
Marc-Antoine « Je ne suis pas sur que... »
Arsinoé « Quelqu’un peut-il trouver grâce à vos yeux ? »
Eugénie « Tu me vois donc comme une vieille bique amère… Pour commencer, vous bien sur ! Ma brillante descendance qui comble toutes mes attentes, ainsi que... »
Marc-Antoine « Que pensez-vous des communistes ? »
Eugénie « Oh ceux-là. Vous savez, je n’ai rien contre les socialistes, mais il ne faut pas trop l’être non plus n’est-ce pas ? Quand il était jeune, votre père a lu un livre socialiste, et il a retourné la tête à tous les élèves de sa classe. C’était un pamphlet anti-clérical, a-t-on idée d’introduire cela chez nous ? Les communistes détestent Dieu ! Fort heureusement, votre grand-père a eu tôt fait de lui remettre les idées en place. »
Arsinoé « Pourtant, Papa aime toujours aussi peu les curés, de même que les monarchistes. »
Eugénie « C’est à cause de toutes ces bêtises qu’il a lues. Le socialisme mets des idées étranges dans la tête des gens. Vous savez qui était également socialiste ? La mère de Cousin Jules. Et quels étranges fils elle a eu… La brave femme a sans doute fait de son mieux, mais avec de telles idées, il était naturel que ces deux arbres ne poussent pas droit. »
Arsinoé « Admettez quand même que certaines idées sont bonnes. Je ne suis pas spécialistes, mais il me semble que les communistes veulent davantage d’égalité dans la société, et ce n’est pas plus mal n’est-ce pas ? »
Eugénie « De mon temps, les gens n’avaient pas toutes ces bêtises en tête et ils n’étaient pas plus malheureux. L’égalité… pfff, à quoi bon ? Va t-on déposséder tous ces braves patrons des biens qu’ils ont mis leur vie entière à créer ? »
Marc-Antoine « Et bien, nous pouvons comprendre leur point de vue non ? »
Eugénie « Veux-tu voir ta sœur privée de ses biens ? Toutes nos belles choses dispersées aux quatre vents ? Assister à la fin de tout ce que votre grand-père et votre oncle ont mis une vie à bâtir ? »
Marc-Antoine « Non… bien sur que non... »
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C'n'est que le p'tit bout d'la queue du chat
Qui vous électrise`
C'n'est que le ptit bout d'la queue du chat
Qui passait par là
Les Frères Jacques
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Connu sous le nom de « l'Homme à Deux Corps », Jean Libbera se produisait dans des spectacles de curiosités au début des années 1900 avec son frère jumeau parasite Jacques, qui était relié à Jean au niveau de la poitrine et de l'abdomen. Jacques avait deux petits bras, deux jambes et une tête partiellement formée enchâssée dans le torse de Jean, mais il dépendait entièrement des systèmes circulatoire et nerveux de Jean pour survivre. Malgré la condition inhabituelle de Jean, il réussit à vivre une vie assez normale, se mariant et ayant quatre enfants en bonne santé avant de décéder vers l'âge de quarante ans.
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les frères jacques - les EP 1962 - 1969
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Couple - Studio Biederer - 1920's
Les frères Biederer, tous les deux juifs, furent déportés pendant l'occupation allemande. Charles est déporté avec le transport 4 du camp de transit de Pithiviers à Auschwitz-Birkenau le 25 juin 1942. Jacques est déporté avec le transport 6 de Pithiviers à Birkenau le 17 juillet 1942. Ils n’en sont jamais revenus...
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"Ton autre chemin" (1984)
"Le Frère que j'ai choisi", Michael Jones (écrit par JJG)
Jean-Jacques Goldman et les mots : une compilation.
(Extraits d'interview, de "Tout était dit", "Sache que je", "Chanson d'amour (...!)", "Nous ne nous parlerons pas", "Ne lui dis pas")
#ton autre chemin est bizarre#à la fois personnelle et mystérieuse dans son propos#le frère que tu as choisi est <3#aussi le nombre de gens qui disent 'Jean-Jacques est capable de ne pas parler pendant des semaines'#ce qui rend ces lignes du frère que j'ai choisi encore plus belles#Jean-Jacques Goldman
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Vanités
Photographies de mode des XIXe et XXe siècle
coll.Photo Copies
Textes Philippe Dayan, Robert Delpire, Diana Edkins, Mariella Righini et Jean Sagne
CNP, Paris 1993, 148 pages, 28x26cm, photos en n.b et en couleurs, ISBN 2-86 754-085-2
euro 50,00
email if you want to buy [email protected]
Publié à l’occasion de l’exposition du 21 octobre 1993 au 7 février 1994 à l’Hôtel Salomon de Rotschild à Paris.
Cet album présente le travail de grands photographes qui ont ont retranscrit les grandes tendances vestimentaires de leur époque à travers leurs photographies : Félix et Paul Nadar, Reutlinger, Edward Steichen, Adolf Gayne de Meyer, George Hoyningen-Huene, Erwin Blumenfeld, Irving Penn, Paolo Roversi, Javier Valhonrat, Nick Knight, Lillian Bassman, Helmut Newton, Sarah Moon, Seeberger Frères, Jacques-Henri Lartigue, Toni Frissell, Louise Dahl-Wolfe, Norman Parkinson, Frank Horvat, Guy Bourdin, Peter Lindbergh, Deborah Turbeville, Koto Bolofo et William Klein ; textes de Philippe Dayan, Robert Delpire, Diana Edkins, Mariella Righini et Jean Sagne, notices de Martine d’Astier, Gabriel Bauret, Christian Caujolle, Robert Delpire, Diana Edkins, Michel Frizot, Philippe Garner et Martin Harrison.
26/10/24
#Vanités#phot.exhibition cataloge#Paris 1983#Nadar#Reutlinger#Steichen#de Meyer#Roversi#Hoyningen-Huene#Blumenfeld#Penn#Nick Knight#Bassman#Newton#Sarah Moon#Lartigue#Dahl-Wolfe#Horvat#Bourdin#Lindbergh#Turbeville#Koto Bolofo#William Klein#Seeberger#fashion books#fashionbooksmilano
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pet peeve for today is that the english translation of frère jacques get two important things wrong. first of all we’re switching out frère jacques for ‘brother john’. WHO IS JOHN. frère jacques is brother JACK.
second it translates sonnez les matines as ‘morning bells are ringing’???? ‘ring the matins’ is NOT ‘morning bells are ringing’ it is telling brother JACK to ring the MATIN BELLS for the PRAYER because he’s a FRIAR thats why they call him BROTHER jack. and if you say ohhh you cant say ring the matins because the syllables are wrong then you can just say ‘time to ring the matins’ ITS EASY
CORRECT ENGLISH FRÈRE JACQUES:
Are you sleeping, are you sleeping?
Brother Jack, Brother Jack
Time to ring the matins, time to ring the matins
Ding Dang Dong. etc.
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