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#Le permis de conduire
permisdocuments · 1 month
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maraboutbadou · 2 years
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FORMULE MAGIQUE POUR OBTENIR SON PERMIS DE CONDUIRE
FORMULE MAGIQUE POUR OBTENIR SON PERMIS DE CONDUIRE
FORMULE MAGIQUE POUR OBTENIR SON PERMIS DE CONDUIRE Cette Formule Magique et ces mots magique, sont destinés pour les gens qui veulent avoir facilement leur permis de conduire et réussir le code de la route sans se tracasser. réussir tout concours ou examen de conduite facilement grâce à cette bague, talisman et parfum Magique. Une fois que vous porterai cette FORMULE MAGIQUE et réciter les mots…
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e642 · 4 months
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Je suis super fatiguée je sais que mon discernement est altéré mais j'ai plein d'envies.. j'ai envie de supprimer tous mes réseaux, j'ai envie de partir à l'autre bout du monde faire du yoga et me faire oublier, envie d'arrêter la fac, j'ai aussi envie de larguer mon mec, j'ai envie de me préparer et aller pécho 15 mecs en une soirée, j'ai envie de dormir 4j, j'ai envie qu'on me dise que je suis incroyable, j'ai envie d'allumer une clope qui ne s'arrête jamais, j'ai envie de me réveiller avec une peau sublime, j'ai envie de plus jamais remettre les pieds chez moi, j'ai envie d'éclater mon téléphone par terre, j'ai envie d'aller me baigner à la mer, j'ai envie de bronzer seins nus, j'ai aussi envie de plonger et ramasser des coquillages, j'ai envie d'aller boire un verre avec mon ex, j'ai envie qu'on s'occupe de moi comme si j'étais précieuse, j'ai tellement envie de partir d'ici pour aller voir ailleurs, j'ai envie d'avaler cette boule d'angoisse qui m'écorche la trachée, j'ai envie qu'on m'intéresse, j'ai envie d'avoir le permis et conduire 15h sans m'arrêter, j'ai envie d'aller dans un putain de spa et me faire masser, j'ai envie qu'on me fasse éclater de rire, j'ai envie de plus, de mieux, j'ai envie d'acheter de nouveaux habits genre plein vraiment, j'ai envie d'aller dans une rage room, j'ai envie de pleurer en énorme quantité, j'ai aussi envie d'aller crier un bon coup je sais pas où, j'ai envie d'avoir un chat et rester avec lui toute ma vie, j'ai envie d'envoyer un message à tous les gens inutiles qui traînent dans mes dm pour plus jamais avoir à lire leur insipide et imbuvable vie, j'ai envie d'aller au cinéma, j'ai envie d'avoir une passion. Mais comme j'ai rien de ça, bah j'ai envie de rien du coup.
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pompadourpink · 2 years
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Le participe passé
The past participle (found in the pluperfect, perfect, past conditional, perfect past, past imperative, past infinitive, past gerund, past subjunctive, and pluperfect subjunctive tenses) is the second element (like been or taken) used to create several compound verbal tenses - the most common one being the perfect tense. A past participle can be masculine or feminine, singular or plural.
La conjugaison
Le premier groupe (-er except aller):
-é, -ée, -és, -ées (nous sommes arrivées - we have arrived)
Le deuxième groupe (-ir except découvrir, faillir, ouvrir, partir, sentir, sortir, tenir, venir...):
-i, -ie, -is, -ies (les filles sont parties - the girls have left)
Le troisième groupe:
Règles générales:
-s, -se, -s, -ses
-ø, -e, -s, -es (many irregulars: ouvrir > ouvert, peindre > peint)
-us, -ute, -us, -utes
Règles détaillées:
-é, -ée, -és, -ées; aller, être, naître
-ert, -erte, -erts, -erts; all -ffrir, -vrir except appauvrir
-i, -ie, -is, -ies; all -(a, e, ou)illir, -érir (not after -qu-), a few -uir(e) (fuir, suivre, rire) + partir, réussir, sentir
-is, -ise, -is, -ises; all -quérir + asseoir, mettre, prendre
-lu, -lue, -lus, -lues; résoudre
-ort, -orte, -orts, -orts; mourir
-os, -ose, -os, -oses; clore
-s, -se, -s, -ses; mettre, prendre
-t, -te, -ts, -tes; all -aire, -indre, -uire + dire, écrire, faire
-u, -ue, -us, -ues; all -oir except asseoir (devoir gets a circumflex), all -aître except naître/paître, a few -ir (courir, tenir, venir), most -re except mettre, prendre
-us, -use, -us, -uses; inclure
-us, -ute, -us, -utes; absoudre, dissoudre
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Les règles
The past participle will have to agree with a feminine and/or plural subject if the auxiliary is Être. Les souris sont mangées par les chats - mice are eaten by cats.
If the auxiliary is Avoir and the syntax of the sentence is -determiner, noun, auxiliary, past participle, object- then you do not make the participle agree with the noun. It will stay in the neutral form, the masculine singular. La chatte a mangé la souris - the cat has eaten the mouse.
In the same way, if the object is an infinitive verb or an infinitive clause, the participle does not agree with it and stays in its neutral form. La chatte a voulu manger la souris - the cat wanted to eat the mouse.
If the object is placed before the auxiliary (as a noun or an object pronoun), the participle has to agree with the subject. La souris a été mangée par le chat - the mouse has been eaten by the cat.
N.B. If the perfect is made of Avoir + Fait and followed by another verb faire (making someone do/make): je lui ai fait faire des pâtes, or if the object comes with a preposition (indirect object rather than direct object): j'ai parlé à mes parents > je leur ai parlé, there's no agreement.
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Les participes passés irréguliers (+e/s)
Acquérir (to acquire) → acquis
Apprendre (to learn) → appris
Atteindre (to attain) → atteint
Asseoir (to sit) → assis
Avoir (to have) → eu
Boire (to drink) → bu
Comprendre (to understand) → compris
Conduire (to drive) → conduit
Connaître (to know) → connu
Construire (to build) → construit
Courir (to run) → couru
Couvrir (to cover) → couvert
Craindre (to fear) → craint
Croire (to believe) → cru
Décevoir (to deceive; to disappoint) → déçu
Découvrir (to discover) → découvert
Devoir (to have to) → dû
Dire (to say) → dit
Écrire (to write) → écrit
Être (to be) → été
Faire (to do; to make) → fait
Falloir (to have to) → fallu
Instruire (to instruct) → instruit
Joindre (to join; to affix) → joint
Lire (to read) → lu
Mettre (to put) → mis
Mourir (to die) → mort
Naître (to be born) → né
Obtenir (to obtain) → obtenu
Offrir (to offer) → offert
Ouvrir (to open) → ouvert
Peindre (to paint) → peint
Permettre (to allow; to permit) → permis
Plaire (to please) → plu
Pleuvoir (to rain) → plu
Prendre (to take) → pris
Produire (to produce) → produit
Pouvoir (to be able to) → pu
Recevoir (to receive) → reçu
Réduire (to reduce) → réduit
Rire (to laugh) → ri
Savoir (to know) → su
Souffrir (to suffer) → souffert
Suivre (to follow) → suivi
Tenir (to hold) → tenu
Vivre (to live) → vécu
Valoir (to be worth) → valu
Voir (to see) → vu
Vouloir (to want) → voulu
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Movie: Le grand blond avec une chaussure noire - Yves Robert, 1972
Fanmail - masterlist (2016-) - archives - hire me - reviews (2020-) - Drive
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aisakalegacy · 24 days
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Printemps 1924, Hylewood, Canada (9/14)
Lulu ne voulait pas devenir ingénieur, c’est ce que j’aurais aimé pour lui, mais j’aurais voulu que son père lui laisse le choix… Il n’est pas un grand travailleur, il aime mieux profiter de la vie. Encouragé par son frère, il s’est mis à la guitare, et il l’accompagne en chantant. Quand je les vois comme ça, j’ai l’impression que c’est tout ce qui leur faut.
La question de son avenir est de toute façon en train de se régler doucement. Il a commencé à travailler, mais Jules voudra vous écrire à ce sujet lui-même. Il a passé son examen et a obtenu le permis nécessaire pour conduire l’automobile, qu’on a fait transporter sur la rive en bateau à vapeur. Il prend la barque pour Gananoque le matin, et en trente minutes d’auto, il est à Kingston. Il a déjà dix-huit ans, il en aura dix-neuf cette année, et Jules pense qu’en tant qu’héritier de la famille, il est temps qu’il prenne le relais sur ces lettres. Vous rendez-vous compte que les familles de nos maris s’écrivent depuis plus d’un siècle ?
Même si nous ne nous sommes jamais rencontrées, je vous tiens parmi mes bonnes amies. D’ailleurs je parle de vous à mes amies comme l’une d’entre elles, et la distance n’est qu’un désagrément de circonstance. J’attends toujours vos nouvelles avec impatience, et je souhaiterais que nous continuons à correspondre.
Embrassez bien tout le monde de ma part.
Bien à vous,
Eugénie LeBris
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De : [email protected] À : [email protected] Sujet : Lettres Eugénie et Albertine
Chers cousins français, J'ai cherché partout et je n'ai pas retrouvé les lettres entre Eugénie et Albertine postérieurs à 1924. Elles ont peut-être été jetées. Avez-vous par hasard conservé les lettres d'Eugénie et brouillons d'Albertine ? A bientôt, D. LeBris
[Transcription] Lucien LeBris : ♪ In olden days, a glimpse of stocking was looked on as something shocking, / But now, Lord knows… ♪ Dolorès, Agathon et Lucien LeBris : ♪ ANYTHING GOES!! ♪ Eugénie LeBris : Vous n'êtes pas en train de chanter des cochoncetés devant votre petite sœur, j'espère ? Agathon LeBris : Absolument pas, Maman ! Lucien LeBris : Nous ? Jamais !
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putaindesarace · 11 months
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J'AI RÉUSSI MON PERMIS
Jdkdkdkdldldldldldmme
Je suis capable
Je suis si fière de moi
Je réalise pas que j'ai le droit de conduire seule là genre
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JAMES BOND 007 CONTRE DR.NO (1962)
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En 1962, dans la capitale jamaïcaine, Kingston, le chef de la section jamaïcaine du MI6, John Strangways, est assassiné par un trio de faux aveugles connus sous le nom de Three Blind Mice. Après s'être introduits dans la villa de Strangways et avoir assassiné sa secrétaire Mary, les assassins subtilisent deux dossiers, respectivement intitulés Crab Key et Doctor No.
À Londres, l'agent secret James Bond, de matricule 007, est convoqué dans le bureau de son supérieur, M. Bond reçoit pour ordre d'enquêter sur la disparition de Strangways et de déterminer si elle est liée ou non à une affaire sur laquelle il travaillait avec la CIA, portant sur la perturbation par ondes radio de lancements de fusées depuis Cap Canaveral. Pour cette mission, l'agent voit son arme Beretta remplacée par le Walter PPK (Bond ayant été blessé dans sa précédente mission).
À son arrivée à l'aéroport de Kingston, une photographe tente de le prendre en photo, et il est aussitôt pris en filature par deux hommes. D'autre part, un conducteur suspect lui propose ses services alors qu'il n'avait demandé aucun chauffeur. Bond lui intime de quitter la route principale et, après un bref combat, l'homme refuse de révéler le nom de son employeur avant de se suicider avec une cigarette au cyanure.
Au cours de l’enquête à la villa de Strangways, Bond remarque la photo d'un pêcheur avec Strangways. Après avoir repéré le dénommé Quarrel, Bond discute avec lui mais le trouve peu coopératif. Bond le reconnaît comme étant le conducteur de la voiture l'ayant pris en filature la veille. Il le suit et commence à se battre avec lui et un ami lorsque le combat est interrompu par le second homme ayant attendu Bond à l'aéroport : il affirme se nommer Felix Leiter, agent à la CIA, et explique que non seulement les deux agents travaillent sur la même mission, mais aussi que Quarrel l'assiste dans sa tâche. Il informe Bond que la CIA a réussi à remonter le brouillage jusqu'à la Jamaïque, mais que les reconnaissances aériennes n'ont pas permis de localiser sa provenance. Quarrel révèle alors qu'il a emmené Strangways sur les îles proches afin de collecter des échantillons de minéraux. Il parle également du Dr No, qui possède l'île de Crab Key sur laquelle se trouve une mine de bauxite : l'île est activement protégée des intrus par une force armée de sécurité, assistée d'un radar.
Pendant la fouille de la maison de Strangways, Bond avait trouvé un reçu signé du professeur Dent. Après avoir survécu à une tentative d'assassinat de la part des Three Blind Mice, Bond se rend aux laboratoires Dent : selon le professeur, les échantillons apportés par Stragways ne valaient rien. Sur ce, Dent se rend immédiatement sur Crab Key, où le Dr No lui fait part de son déplaisir quant à sa venue sur l'île en plein jour et son échec à tuer Bond. Il lui ordonne d'essayer de nouveau, cette fois-ci avec une tarentule. La nuit, Bond parvient à tuer l'araignée. Le lendemain, il sympathise avec la secrétaire à la maison du Gouvernement, Mlle Taro, qui est également complice de l’organisation secrète avec Dent. Elle lui donne rendez-vous chez elle.
Mais en cours de route, l'espion est pourchassé par un corbillard conduit par les Three Blind Mice qu'il arrive à les conduire à leur propre enterrement en les sortant de la route et arrive chez la secrétaire. Cette dernière, très surprise, couche avec lui. Mais l'espion, sûr de sa culpabilité, la fait arrêter et tend un piège au professeur chez elle, qu'il parvient à capturer, interroger et qu'il élimine froidement de deux balles, alors que le pistolet du docteur Dent est vide, illustrant ainsi sa licence de tuer, rappelée par M lors de leur entrevue avant la mission.
Ayant détecté des traces de radioactivité des échantillons de Strangways dans le bateau de Quarrel, Bond persuade le Jamaïcain réticent de l'emmener sur Crab Key. Il y rencontre Honey Ryder, une jeune femme cherchant des coquillages et seulement vêtue d'un bikini blanc. Malgré un accueil hostile, elle accepte d'aider Bond et emmène les deux hommes dans les marais intérieurs de l'île. Après la tombée de la nuit, ils sont attaqués par le faux dragon du Dr No, qui terrorisait l'île de Crab Key. Pris d'assaut par Bond et Quarrel, l'engin est responsable de la mort de ce dernier pour voir 007 et son amie être faits prisonniers. Bond et Honey sont décontaminés,ils apprennent que l'eau des marais est contaminée. Puis ils sont emmenés dans une prison dorée puis drogués.
À leur réveil, ils sont escortés jusqu'à la salle à manger du Dr No. Il révèle alors qu'il est membre du SPECTRE (SPecial Executive for Counter-intelligence, Terrorism, Revenge and Extortion) et prévoit de perturber le programme Mercury de Cap Canaveral grâce à un faisceau d'ondes atomiques. Après le dîner, Honey est emmenée et Bond frappé par les gardes.
Emprisonné dans une cellule, Bond parvient à s'évader par le système de ventilation. Déguisé en technicien, il se rend dans la salle de contrôle, une salle pleine d'instruments high-tech dotée d'un réacteur atomique enfoncé dans le sol, le tout supervisé par le Dr No en personne. Bond parvient à dérégler le réacteur nucléaire alors que la fusée américaine est en train de décoller. Il engage un combat au corps à corps avec un garde qui l'a repéré, puis avec le Dr No alors que la salle est en cours d'évacuation : poussé dans le bassin nucléaire en ébullition, le scientifique meurt ébouillanté, incapable de s'agripper à l'échelle métallique avec ses mains humides. Bond réussit à trouver Honey et à s'enfuir en bateau avec elle juste avant que la base n'explose.
James Bond et Honey se retrouvent donc sur le bateau. Alors qu’ils commençaient à se faire des câlins, la marine anglaise les aperçoit, et décide de les aider en les traînant derrière leur bateau, avec une corde. Mais James retire cette dernière assez rapidement, laissant les deux compagnons perdus en mer, continuant à se faire des câlins, sous le regard amusé des marins.
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jcbtechno · 4 months
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hachetaytaypay · 4 months
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Présentation - Over the mountain
Nom : Pear Goblin
Age : 29 ans
Physique : 1m55, brune, bouclée, sec, visage rond, yeux bleus foncés, porte des lunettes, peau teinte chaude, pâle, ronde.
Mental : Désorganisée, distraite, oisive, bricoleuse, gourmande, bonne conductrice, bonne cuisinière, mauvaise pâtissière, ne se lave parfois pas les dents le soir, aime les animaux, allergique aux chiens, jardinière occasionnelle, timide & grande gueule, manque de tact, généreuse, aime faire des cadeaux.
Pourquoi est-elle à Strawberry ?
À priori pour repartir de zéro là d’où vient sa grand-mère. C’est ce que la note disait en tout cas, elle n’est sûre de rien.
Secret ?
Elle n’a aucun souvenir de sa vie avant Strawberry. Enfin, presque aucun. Elle se rappelle de son prénom, ses recettes préférées et de ses leçons de permis de conduire. C’est à peu près tout.
Don ?
….
But ?
Trouver la raison de son amnésie et de sa présence à Strawberry ou, à défaut, un but à sa vie.
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steff-02 · 7 months
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Quelle journée ! Je ne sais même par où commencer tellement que j’ai envie de vous dire pleins de choses ! 😂 veuillez m’excuser si je m’éparpille un peu…
La journée commence un peu plus tôt que toutes les précédentes. À 7h20 nous partons chercher la voiture. Arrivé à la voiture, je me rends compte que je n’ai pas pris mon permis de conduire. Je remonte en vitesse à l’appart, prend mon permis (et celui à maman au passage, au cas où..), je redescends et hop cette fois-ci on est parti. Nous avons environ 140km à faire pour rejoindre San Fransisco de Macoris. Google Map nous prévoit un temps de trajet de 2h40 ! 😱 bon,…il prend déjà en compte le trafic intense pour sortir de la capitale 😅. Il y a tellement de circulation qu’il nous faut plus d’une heure pour faire les premiers 25km…il faut que j’oublie un peu mes règles de conduite suisses…comme dit l’expression, « à Rome, fait comme les Romains ». Alors on s’impose, on force le passage et on avance 😂. On a traversé des paysages sublimes, aux pieds des montagnes couvertent de forêts tropicales verdoyantes 🥰 Malgré que je ne me suis pas arrêté faire de photos, il y a quand même eu plus d’embouteillages que ce que prévoyait Google, alors la marge de 30 minutes que j’avais pris à déjà été entièrement grignotée…mais quand je me rends compte, à quelques mètre du point d’arrivée, que je me suis trompé pour entrer l’adresse; j’ai commencé à perdre patience 😅 on fait encore un petit détour d’une demi heure, on arrive en catastrophe, on s’excuse beaucoup à notre arrivée, on fait pipi et voilà, il est 11h et on peut enfin commencer la visite 😂💪🏼
Nous visitons aujourd’hui une plantation de cacao 🍫🍫 ! Nous rejoignons deux français, qui patiente déjà depuis un moment… On commence la visite par apprendre comment faire pousser le cacao. Soit on fait germer les graines et on les fait pousser (il faudra 3 ans avant que cet arbre produise du cacao), soit après avoir planté la graine et 3 mois de pousse, on y greffe une branche d’un arbre qui produit du cacao de très bonne qualité, l’arbre commencera à faire des fruits après un an seulement et de très bonne qualité 😉 Ensuite, la guide nous présente les différentes cabosses, et en ouvre une. Nous avons pu goûter les fèves de cacao fraîches. Seul la pulpe blanche se mange et elle est très sucrée et ici avec un léger goût de mangue 🤣. Toutes ces fèves sont récoltées puis fermentées durant 5 jours avant d’être séchées durant environ 8 jours (ça dépendra aussi de la météo ⛈️🤷🏽‍♂️). Quand elles sont bien sèches, elles sont torréfiées durant une quinzaine de minutes, avant d’être concassées puis l’enveloppe de la fève doit être séparée du grain de cacao. Autrefois, chaque fève était écrasée à la main lorsqu’elle était encore chaude puis toutes les écorces devaient être triées…sacré boulot ! Le cacao doit alors être broyé, et très vite, grâce à l’huile contenue dans les graines, une pâte se forme. Nos guides y ajoute un peu de sucre et en forme une boule ( on a pu goûter et c’est déjà délicieux ! 🥰). Ils vont laisser sécher totalement cette boule. Elle sera ensuite moulue et ils auront un nouveau stock de chocolat en poudre pour faire des gâteaux ou des chocolats chaud ;) Les machines à l’usine, elles, sont un peu plus performantes et peuvent rendre le chocolat extrêmement lisse, puis le tempèrent et moulent de belles tablettes de chocolat brillantes et croquantes ! 🍫 Nous avons ensuite dégusté plusieurs type de chocolats avec des teneurs en cacao différentes. Étonnement, même le chocolat noir 80% n’était pas très amer, comparé aux tablettes que nous trouvons dans le commerce en Europe.
Après la visite, nous avons eu droit à un copieux repas dominicain. Pour accompagné le riz et une sorte de ragoût de poulet, nous avons eu droit à des bananes plantains. C’est une variété de banane qui se mange uniquement cuite. Grillée, frite ou bouille ! C’est très bon mais assez bourratif 😅
Après avoir fait un dernier tour dans la plantation, nous prenons la route direction Santo Domingo. Nous faisons taxi pour les deux français avec qui nous avons partagé la visite. Ils n’ont pas de voiture alors nous les avons avancé jusqu’au prochain village afin qu’ils prennent un bus pour rejoindre Puerto Plata, tout au nord de l’île.
Il est presque 18h lorsque nous arrivons à l’hôtel. L’entrée à Saint Domingue était de nouveau assez sportive mais plus fluide que ce matin. On avait pas vraiment la force de retourner souper en ville, alors après s’être posé un moment, on est retourné souper dans le resto en bas de l’appartement, comme le premier soir ;)
PS: ci-dessus, la deuxième image représente les différentes étapes pour obtenir la pâte de cacao.
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Ces colocations qui n’en finissent pas dans des appartements cubiques, ces chaises Ikea sans passé qui n’ont pas d’histoire à raconter. L'étudiant subit un temps ralenti. L'existence traîne, elle tarde inutilement. Le bac, cinq ans, sept ans d’études inutiles. Ecrire sur des feuilles, attendre des cours, attendre des métros, des fêtes, des passages en caisse. Les déménagements. Tout est lent. Le permis de conduire, quitter la maison des parents, habiter avec une compagne, puis avec une autre… Le premier enfant, l’achat de la maison, la promotion professionnelle, la maison secondaire. Tout cela toujours effroyablement lent, prévu, laborieux comme une coulée de boue. Mais dans le même temps la société fonctionne sur un temps accéléré. Immigration, destruction, changement toujours, urbanisme affreux, éoliennes, hangars, gender, migrants, gouvernance, éducation, lotissements, religion, turnover, rachats et fusacs. Tout s'éparpille de plus en plus, se transforme à n'en plus finir, de plus en plus peuplé, absurde, engorgé.
Lounès Darbois
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laviedunefilledebordee · 10 months
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Ce voisin avec qui je me suis montrée gentille dans l'ascenseur et qui est venu sonner chez moi moins de 2h plus tard pour me dire qu'il partait en vacances, me montrant ses billets d'avion en preuve. Tout ça pour me demander de conduire sa voiture (il voulait me confier les clés) et de surveiller son appart (pareil il voulait me filer ses clés)
Alors monsieur, j'ai été gentille, on ne se connaît pas hein. Donc j'ai pris 0 clé (façon j'ai pas le permis), mais je checke quand même de temps à autre sa porte.
Mais il me fait vraiment flipper.
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marie-swriting · 2 years
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Toute Votre Vie - Robin Buckley
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Stranger Things Masterlist
Résumé : Depuis que tu sors avec Robin, tu deviens de plus en plus distante avec tes amies and tout le monde a l'impression que tu changes beaucoup, même Robin qui commence à penser qu'elle ruine peut-être ta vie.
Warnings : fluff, un peu d'angst, un peu de jalousie, soirée, mauvaises amies, mention de mort à cause du froid et d'un accident de voiture, fin heureuse, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 4k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Ruin My Life par Zolita
Les mains posées sur le volant, tu écoutes Robin te raconter le film Retour Vers Le Futur avec passion. Elle te parle de chaque minute en ajoutant ses commentaires personnels. Toute ton attention est focalisée sur elle, tes yeux se posent souvent sur elle même si tu conduis. Robin est complètement perdue dans son explication donc elle ne voit pas tout de suite que tu es distraite. Quand elle s'en rend compte, elle te réprimande tout de suite.
-Du calme, je suis un pilote, tentes-tu de la rassurer.
-Je veux pas mourir !
-Je sais conduire. 
-On en reparlera quand tu auras fait un accident.
-Eh ! t’indignes-tu. C'est qui qui a le permis entre toi et moi ? questionnes-tu et elle reste silencieuse, une expression agacée sur le visage. Voilà ! Donc tu ne peux pas critiquer ma conduite.
-Je peux quand tu me mets en danger.
-Je sais ce que je fais, Robs ! 
-Ouais, bah regarde la route, t’ordonne Robin en pointant devant toi.
-C'est pas de ma faute si ce que tu dis est intéressant. 
-On écoute avec les oreilles, pas les yeux, j’te rappelle. 
-Mais j'adore voir ton visage s'illuminer quand tu parles de quelque chose qui te passionne ! T'es encore plus mignonne quand tu parles sans t'arrêter, avoues-tu, faisant rougir les joues de Robin. 
-Bref, ne nous cause pas d'accident !
-Jamais, je tiens trop à toi pour te mettre en danger, affirmes-tu en posant rapidement ta main sur la sienne. Bon, tu disais ? Marty aide son père à inviter sa mère au bal ?
Ta question suffit pour la relancer. Robin repart dans son analyse du film, mais cette fois elle s'assure que tu regardes la route.
Robin n’a pas fini de parler de Retour Vers Le Futur quand vous arrivez à votre destination une demi-heure plus tard. Tu l’as conduite à un lac que tu connais très bien. Plus jeune, tes parents t’y amenaient souvent. Peu de personnes se rendent dans ce lieu donc tu sais que vous serez tranquilles pour votre rendez-vous. Vous installez vos affaires pour le pique-nique. Quand tout est prêt, tu regardes Robin avec un sourire malicieux et elle sait que rien de bon ne s'annonce.
-Quoi ? demande-t-elle, craignant le pire. 
-J’espère que t’as bien pris ton maillot de bain comme je t’ai dit.
-J’avais espoir que tu sois pas sérieuse.
-Je suis plus que sérieuse, souris-tu et Robin ouvre grand les yeux. 
-Mais l’eau va être gelée !
-Chochotte. Allez, viens ! dis-tu en commençant à enlever tes vêtements pour être en maillot.
Tu cours vers le lac et saute dedans sans attendre. L’eau est, effectivement, fraîche, mais tu n’y prêtes pas plus attention. Tu fais quelques brasses avant de crier à Robin de te rejoindre quand tu vois qu’elle est en maillot. Avec réticence, Robin marche jusqu’à l’eau. Elle prend une profonde inspiration avant de venir vers toi en nageant rapidement. Elle claque des dents, ce qui te fait rire.
-Elle est congelée ! s’exclame-t-elle pendant que tu la prends dans tes bras. 
-T’inquiète, tu vas t’y habituer dans cinq minutes.
-Cinq minutes ? C’est trop ! J’aurai le temps de mourir de froid. 
-Pourquoi tu penses absolument que je veux faire des choses pour te tuer aujourd’hui ? 
Robin a besoin d’une seconde pour te répondre à cause du froid. 
-C’est pas de ma faute si tous tes actes peuvent amener à une situation horrible.
-Tu ne vas pas mourir d’hypothermie, déclares-tu en frottant ses bras pour lui donner un peu de chaleur. 
-Si je meurs pas de froid dans cette eau, je vais choper une maladie qui va me tuer. J’te préviens, si c’est le cas, je te hante. 
-Ça ne me dérange pas.
-Y/N ! crie-t-elle avec un air horrifié.
-Je rigole. Je te veux près de moi, vivante et en bonne santé, la rassures-tu avant de l’embrasser chastement. On sort ?
-J’ai cru que tu le dirais jamais.
Elle ne te laisse pas répondre avant de sortir de l’eau, serrant son corps contre elle un maximum. Tu ris en la voyant ainsi, mais au fond de toi, tu as aussi froid. Tu cours vers ta voiture et saisit serviettes et couvertures. Tu reviens vers Robin et les lui tends. Elle t’arrache pratiquement une serviette des mains avant de se sécher à vitesse lumière et de s’enrouler dans une des couvertures. Quand tu as fait pareil, tu te colles à Robin, voulant vous réchauffer avec votre chaleur corporelle également.
-Tu es presque bleue, dis-tu après l’avoir regardé avec plus d’attention.
-Normal, ton lac, c’est un glaçon ! rétorque-t-elle en claquant toujours des dents. 
-Sois pas si dramatique.
-Tu n’as pas eu froid peut-être ? 
Ne répondant pas immédiatement, Robin te regarde comme si tu étais un alien, pensant que tu as chaud.
-Un peu, oui, chuchotes-tu avec un sourire. 
-Ha ! Tu vois ? 
Quand votre température corporelle est remontée, vous mangez votre pique-nique alors que Robin divague sur un nouveau sujet. Quand vous avez fini, vous vous allongez en vous prenant dans les bras. Vous n’avez pas l’occasion d’être aussi proche physiquement à l’extérieur, alors vous en profitez un maximum. En milieu d’après-midi, la tête de Robin se retrouve posée sur ta poitrine et ta main se perd dans ses cheveux avec délicatesse. Tu apprécies les rayons du soleil sur ton visage, rendant le moment encore plus agréable. Tu fermes les yeux, savourant chaque seconde. À ce moment-là, tu te dis que tu pourrais rester dans cette position toute ta vie. Tu veux rester avec Robin toute ta vie. Tes pensées romantiques sont arrêtées quand Robin chuchote ton nom.
-Oui, Robs ? réponds-tu doucement.
-Tu sais qu’on reprend les cours dans une semaine ?
-Je suis au courant, oui. Pourquoi ?
-Comment on va faire au lycée ? 
Tu arrêtes de caresser ses cheveux et relève son visage avec ta main. Tu vois à son expression qu’elle est nerveuse, tu fronces les sourcils tentant de comprendre la raison.
-Qu’est-ce que tu veux dire ? 
Robin s’assoit sur la couverture tout en réfléchissant à la façon dont elle peut te partager ses pensées. Inquiète, tu te mets dans la même position, devinant le sérieux de la conversation.
-Est-ce qu’on agit comme si on ne se connaissait pas ? Ou on fait comme si on était des connaissances ? Enfin, dans un monde parfait, je te demanderais si tu voudrais qu’on agisse comme un couple devant tout le monde, mais ce n’est pas le cas, alors comment on fait ? demande-t-elle rapidement.
-Je veux pouvoir te parler quand je le veux. Je ne peux pas t’embrasser devant tout le monde, mais je ne veux pas agir comme si tu étais une inconnue. Enfin, si ça te va, évidemment ! Si tu préfères qu’on la joue discrète, il n’y a pas de problème. 
-Je veux aussi pouvoir être proche de toi autant qu’on le peut. 
-Alors, c’est parfait. Laissons-les penser qu’on est juste de très bonnes amies, souris-tu, Robin fait de même. Au fait, je voulais te demander, Jason m’a dit qu’il faisait une fête ce vendredi, histoire de célébrer la fin des vacances d’été, tu veux venir avec moi ?
-Une fête chez Jason Carver ?
-Je sais que ça a l’air nul aux premiers abords, mais on a pas à rester proche de lui. On peut juste danser toutes les deux ou rester avec mes amis. Tu peux même inviter Steve ! 
-Je crois que Steve a un rendez-vous ce soir-là. Mais t’es sûre que je peux venir ? Il ne m’a pas invitée.
-Plus il y a de monde, plus il est content. Il va y avoir tellement de monde qu’il ne va pas réaliser s’il y a une personne de plus. Et puis, comme j’ai dit, on peut rester dans notre coin tranquille et si c’est vraiment nul, on aura qu’à partir.
-D’accord, allons-y, alors ! confirme Robin pendant que vous reprenez votre position initiale.
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A la soirée de Jason, tu parles avec tes amies en attendant Robin ー tu n’as pas pu l’accompagner donc c’est Steve qui l’amène avant de partir à son rendez-vous. Même si tu écoutes la discussion de tes amies, ton regard est posé sur la porte d’entrée. Quand tu la vois enfin apparaître, tu ne fais plus attention à tes amis et marches prestement vers Robin. Tu ne lui laisses pas le temps de réagir avant de la prendre dans tes bras. Elle te rend ton étreinte en un instant. Quand vous vous séparez, tu lui saisis la main et l’amènes vers tes amies, un grand sourire sur ton visage.
-Les filles, je ne sais pas si vous la connaissez toutes donc voici Robin. Elle fait partie de la fanfare de l’école, informes-tu, fièrement. 
-Tu joues du saxophone, c’est ça ? questionne ton amie Crystal.
-Euh, de la trompette, en fait, la corrige Robin, embarrassée. 
-C’est pareil.
-Contente de te rencontrer, Robin. Vous aviez des cours en commun l’année passée ? lui demande Chrissy. 
-Non, on est devenues amies cet été. Elle m’a aidé à trouver un film à Family Video.
Après la réponse de Robin, tes amies se remettent à parler entre elles jusqu’à ce que Chrissy attire l'attention de Robin. 
-Les boissons sont dans la cuisine, si tu veux. 
-C’est vrai, tu dois avoir soif ! t’exclames-tu, suite à l’information de Chrissy. On revient, les filles.
Tu amènes Robin dans la cuisine et lui sers un verre après qu’elle t’ait dit ce qu’elle voulait. Vous restez dans la pièce à discuter, oubliant complètement tes amies. Vous n’avez pas eu l’occasion de vous revoir depuis la journée pique-nique, alors vous rattrapez les quelques jours de perdus.
Vous parlez depuis presque une heure quand Carol, une autre de tes amies, vient te chercher et te traîner sur la piste de danse, car sa chanson préférée est en train de passer. Tu n’as pas le temps de t’excuser auprès de Robin que tu es déjà dans le salon. Tu danses avec tes amies pendant une trentaine de minutes quand tu arrives enfin à t’évader pour aller rejoindre Robin. Tu veux t’assurer qu’elle va bien, mais tu veux aussi aller dans le salon avec elle. Tu n’as pas à chercher très longtemps. Tu la retrouves dans la cuisine, son verre vide dans la main, en train de discuter avec Joshua, un membre de l’équipe de basket. Tu penses qu’il est trop proche d’elle. Ta jalousie a fait son apparition sans que tu t’en rendes compte. Tu te diriges vers eux et te mets à côté de Robin avant de faire un sourire hypocrite.
-Désolée de vous interrompre, mais j’ai besoin de parler à Robin deux minutes.
-Bien sûr, acquiesce Joshua, mais il ne vous laisse pas tranquille, t’agaçant un peu plus. 
-On aurait dû partir il y a une dizaine de minutes pour rentrer à l’heure chez toi, dis-tu à Robin et elle te regarde avec les sourcils froncés. Tu devrais aller appeler ta mère pour la prévenir que je vais te déposer en retard.
-Qu…, commence-t-elle à dire avant de voir ton regard insistant. Oh oui ! C’est vrai. J’y vais, tu as raison. Salut, Joshua.
Tu regardes Robin quitter la pièce avant de reposer tes yeux sur Joshua. Tu comprends à son regard qu’il est totalement attiré par elle, faisant grandir ta jalousie.
-Y/N, où est-ce que tu avais caché ta magnifique amie tout ce temps ? Je ne l’avais jamais remarquée, déclare-t-il avec un sourire en coin. 
-Elle est dans la fanfare de l’école. Elle est là à tous tes matchs, réponds-tu, sèchement. 
-Maintenant, je le saurai. Dis-moi, c’est vous êtes bonnes amies, c’est ça ? Donc, tu sais quel est son type de mec ?
-Désolée, mais tu n’es pas du tout son type, dis-tu et il n’a pas l’air de vouloir abandonner. Et puis, elle a déjà quelqu’un.
-Tu sais ce qu’on dit, c’est pas parce qu’il y a un gardien que tu peux pas marquer de but, rigole-t-il et tu te retiens de lever les yeux. C’est sérieux avec ce mec ?
-Oui, c’est très sérieux, déclares-tu en croisant tes mains sur ta poitrine. Cette personne aime beaucoup Robin, tout comme Robin l’aime. Tu n’as aucune chance avec elle, Joshua. Je dois y aller. Robin m’attend.
Tu plantes Joshua dans la cuisine et sors de la maison de Jason. Tu retrouves Robin à côté de ta voiture. Vous montez à l’intérieur et tu commences à rouler alors que ta colère redescend doucement. 
-C’était quoi cette histoire avec ma mère ? Je dors chez toi et ta mère a mis le couvre feu à une heure du matin et il est actuellement minuit, veut savoir Robin. 
-Je voulais partir de la fête. Elle était nulle.
-Mais, tu t’amusais avec tes amies.
-Je… Je veux juste passer du temps avec toi, mens-tu, mais elle voit clair dans ton jeu.
-Il y a autre chose.
-Bon, d’accord ! J’étais peut-être un peu jalouse, admets-tu, honteuse.
-Pourquoi ?
-Joshua. 
-Il était un peu lourd, mais il était sympa, dit Robin, sans comprendre. 
-Il te draguait !
-Quoi ? Pas du tout ! s’indigne-t-elle et tu te sens obligée de rigoler face à sa naïveté. 
-Robin, je peux t’assurer que si. La preuve : il m’a demandé quel était ton type de mec et si tu étais avec quelqu’un.
-Oh… Qu’est-ce que tu lui as dit ?
-Qu’il n’avait aucune chance, commences-tu avant de te mordre l’intérieur de la joue. Et… j’ai peut-être laissé échapper que tu étais avec quelqu’un. Je n’ai pas dit que c’était une fille et encore moins que c’était moi, évidemment, mais il sait que tu es en couple. Je suis désolée, je sais que je n’aurais pas dû, mais ma jalousie a parlé pour moi ! Il m’a juste énervé à penser qu’il pouvait se permettre de tenter son coup même quand je lui disais qu’il était pas ton genre.
Tu n’oses pas regarder Robin, craignant qu’elle t’en veuille. Toutefois, tu sens sa main se poser sur ta cuisse, elle te fait un sourire avant de déclarer : 
-Au moins, il me laissera tranquille. T’inquiète, je t’en veux pas. 
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Comme vous en avez convenu à la fin des vacances, vous continuez à vous voir au lycée. Vous parlez, travaillez et mangez ensemble. Certaines de tes amies sont surprises de voir que ton amitié soudaine avec Robin semble être aussi forte. Même si elles ne font pas de commentaires en ta présence, elles n’hésitent pas à parler de Robin et toi. Elles sont surtout outrées de voir que tu as osé annuler beaucoup de sorties à la dernière minute à cause de Robin. Une fois, tu as même manqué un entraînement, car Robin était malade. Bien évidemment, ta petite amie t’avait réprimandé, mais tu lui avais assuré que ce n’était pas grave. Toutefois, Crystal n’hésite jamais à reparler de cet événement dès qu’elle peut. Chrissy semble être la seule de tes amies à soutenir ton “amitié” avec Robin. Elle te défend quand elle entend les autres filles parler dans ton dos. Cependant, tu sais que tes “amies” parlent de plus en plus contre toi. Tu n’es pas dupe, tu vois bien le regard qu’elles te lancent surtout si tu mentionnes Robin ou si elle est proche de toi, mais tu n’y fais pas attention. Tu n’as jamais été très proche d’elles et tu savais qu’une majorité d’entre elles était hypocrites donc tu n’es pas étonnée. Tant que tu as Robin près de toi, c’est tout ce qui t’importe. Crystal, Carol et les autres peuvent continuer à parler, tu veux juste ta petite amie à tes côtés. 
Un vendredi de novembre, il y a un match de basket au lycée. Comme d’habitude, tu as ta tenue de cheerleader et montre ton soutien à l’équipe. De son côté, Robin motive les joueurs avec sa trompette aux côtés de la fanfare. Un des avantages de ces matchs est que tu peux regarder Robin discrètement. Étant face aux estrades, tu dois regarder devant, autrement dit, là où Robin se tient. Il n’est pas rare que vous lâchez des rires discrets en vous regardant un peu trop longtemps. 
Ce soir-là, n’est pas une exception. Accompagnée de tes coéquipières, vous faites votre chorégraphie, sous les applaudissements des spectateurs. À un moment, tes yeux se posent sur Robin et tu te trompes dans tes pas, écrasant le pied de Crystal sans faire exprès. Cette dernière te lance un regard noir, mais tu n’y prêtes pas attention. Robin tente de se retenir de rire tout en jouant de la trompette. Tu continues ta chorégraphie comme si rien ne s’était passé. 
À la fin du match, l’équipe d’Hawkins High gagne donc vous faites votre chorégraphie spéciale jusqu’à ce que les joueurs retournent dans les vestiaires. Quand tout est terminé, les cheerleaders et toi partez vous changer. Il reste seulement deux autres filles quand tu es prête à partir. Tu prends ton sac et te diriges vers la porte quand Crystal t’empêche de partir en se mettant en face de toi, Carol à ses côtés.
-Tu comptes m’expliquer pourquoi tu m’as écrasé le pied ? te demande Crystal avec un regard interrogateur. 
-Je me suis trompée dans les pas, ça arrive.
-C’est pas la première fois que tu fais une erreur depuis le début de l’année, remarque Carol et tu lèves les yeux.  
-Faut juste que je travaille plus les choré, c’est pas grave.
-Faudrait déjà que tu viennes aux entraînements et que tu sois concentrée, rétorque Crystal. 
-Ecoute, si tu as quelque chose à me dire, dis-le directement au lieu de faire des insinuations, commences-tu à t’énerver. 
-Tout ce que je dis, c’est que t’es de plus en plus distraite, surtout pendant les matchs. T’es toujours là à regarder la fanfare.
-Tu veux dire les spectateurs ? 
-Non, tu regardes la fanfare un particulier, te corrige Crystal avec un sourire malicieux. Pas vrai, Carol ?
-Généralement, c’est du côté de Robin. 
-Et alors, j’ai pas le droit de regarder mon amie une fois de temps en temps ?
-Je trouve juste ça bizarre que depuis ton amitié avec Robin, t’es de moins en moins investie. Et je parle même pas du nombre de fois où tu nous as lâché, tu l’as ramenée ou t’es partie des soirées à cause d’elle. Elle est pas censée avoir un copain en plus ? Elle pourrait nous laisser un peu, continue Crystal et tu serres les poings. 
-T’as intérêt à t’arrêter là.
-Je sais même pas pourquoi tu continues à lui parler. Elle est pas méchante, mais elle est bizarre, quand même.
-Tu retires ça tout de suite. Je t’interdis de l’insulter ! t’énerves-tu en faisant un pas en avant. 
-C’est bon, j’ai rien dit de méchant ! se défend Crystal. En plus, la dernière fois que tu l’as invité à une sortie, elle a pas arrêté de parler du dernier film sorti au cinéma. C’est bon, on a compris que Breakfast Club est un chef d'œuvre. On a pas besoin de savoir chaque détail.
-C’est vraiment que c’était un peu pénible, acquiesce Carol, pensive. 
-Si vous êtes pas capable d’apprécier sa compagnie, je vois pas pourquoi je m’obstine à continuer à vous parler. Robin est ma meilleure amie et que vous le voulez ou non, je vais continuer à sortir avec elle, déclares-tu.
-C’est ton problème, mais reste concentrée pendant les matchs, j’ai pas besoin que tu me détruise les pieds avant la fin de l’année. Enfin, ça, c’est si Chrissy veut encore bien te garder. Avec tout ce que tu fais depuis la rentrée, je ne serais pas étonnée de savoir qu’elle veut te sortir de l’équipe, dit Crystal, attendant une réaction de ta part. 
-Tu sais quoi ? Elle n’aura même pas besoin de le faire, car j’abandonne, annonce-tu avec sérieux. Je ne veux plus être cheerleader et je ne veux surtout plus être amie avec des personnes hypocrites et qui se sentent obligées de rabaisser les autres. 
Énervée, tu les dépasses et marches jusqu’à la porte. Quand tu la refermes derrière toi, tu retrouves Robin, un sourire gêné sur le visage. Tu te jettes dans tes bras, ayant besoin de son réconfort. Elle te rend ton étreinte, te serrant un peu plus fort. Quelques secondes plus tard, vous quittez le lycée et tu conduis jusqu’à chez Robin, car tu dors chez elle. Durant le trajet, elle est silencieuse et tu devines qu’elle est préoccupée. Tu n’oses pas lui poser une question, sachant qu’elle viendra te parler quand elle sera prête.
Fatiguée de votre journée, vous n’attendez pas une seconde avant de vous mettre en pyjama quand vous arrivez. Dans le confort de son lit, vous êtes enlacées dans l’obscurité. Tu sombres tout doucement dans le sommeil alors que Robin a les yeux grands ouverts. Ta respiration commence à se calmer quand Robin te secoue doucement. Tu ouvres les yeux alors que Robin allume sa lampe de chevet. Pendant une seconde, tu bloques la lumière à l’aide de ton bras avant de regarder Robin assise en face de toi.
-Désolée, dit-elle en faisant référence à la lumière. J’ai juste besoin de te parler de quelque chose.
-Dis-moi, murmures-tu avec une voix endormie.
-Tu vas vraiment quitter les cheerleaders ? demande Robin et tu fronces les sourcils. Je vous ai entendu. Je sais que tu t’es disputée avec tes amies à cause de moi. Je ne voulais pas créer des problèmes, je m’en veux, avoue-t-elle en évitant ton regard. 
-Robin, c’est pas de ta faute.
-C’est un secret pour personne qu’elles ne m’apprécient pas et qu’elles m’accusent de ruiner ce que tu entreprends.
-Elles sont juste idiotes, déclares-tu en t’asseyant également. 
-C’est tes amies.
-C’était, corriges-tu. Et puis, je n’ai jamais été proche d’elles. J’ai toujours su qu’elles attendaient l’excuse parfaite pour me tomber dessus. Il n’y a que Chrissy avec qui je m’entends bien et je sais que malgré mon départ, on continuera à parler, donc je ne m’en fais pas.
-Mais quand même ! Tu as quitté les cheerleaders à cause de moi alors que tu adores ça, s’exclame Robin, en se sentant coupable. 
-Je vais pas te mentir, je voulais quitter les cheerleaders depuis un moment, disons que Crystal et Carol m’ont ouvert la porte, admets-tu. Et même si j’avais vraiment aimé le cheerleading, je serais partie, car elles ne sont pas gentilles avec toi. Je n’aime pas les réflexions qu’elles font. J’abandonnerais ma pseudo-carrière de cheerleaders si ça veut dire pouvoir être à tes côtés. Et puis, c’est seulement le lycée, je peux faire une autre activité extra-scolaire. Ce n’est pas aussi dramatique. 
-Je veux juste pas que tu changes à cause de moi, chuchote Robin et tu la forces à te regarder.
-Crois-moi, si je change depuis qu’on est en couple, c’est seulement en bien. Depuis qu’on s’est rencontrées, tu m’aides à m’assumer. Je ne veux plus essayer d’être quelqu’un que je ne suis pas. Je veux être la vraie version de moi-même. Et c’est grâce à toi si j’ai le courage maintenant.
-J’ai pourtant l’impression que je ruine plus ta vie qu’autre chose, affirme-t-elle et tu hausses les épaules.
-Ça ne me dérangerait pas que tu ruines ma vie, si ça veut dire être avec toi. Je le pense vraiment, Robin. Je suis contente de t’avoir à mes côtés, alors arrête de penser que tu fais quelque chose de mal, car ce n’est pas le cas. 
Robin te prend dans ses bras, ne sachant pas quoi dire. Tu l’étreins un peu plus, caressant son dos. 
-Merci de m’avoir défendu, au fait, susurre-t-elle à ton oreille.
-Pas besoin de me remercier, j’allais pas les laisser t’insulter ! C’était ça qui te tracassait ? demandes-tu en te séparant d’elle alors que Robin te regarde surprise. J’ai bien vu ton regard quand je t’ai rejoint après le match.
-Disons que j’avais déjà des peurs depuis plusieurs semaines et entendre la conversation ne m’a pas aidé. J’ai commencé à avoir peur. Je me suis dit que si je détruisais vraiment ta vie sans m’en rendre compte, tu voudrais me quitter.
-Jamais, affirmes-tu. Je suis avec toi et je n’ai pas pour projet de t’abandonner. Je compte bien rester auprès de toi toute ma vie, si tu me le permets.
-C’est tout ce que je souhaite. 
Tu poses tes lèvres sur celles de Robin tout en mettant tes mains dans ses cheveux. Celles de Robin trouvent leur chemin jusqu’à tes hanches te rapprochant un peu plus. Vous vous embrassez pendant quelques secondes avant de vous séparer. Tu lui souris alors que Robin éteint la lumière. Vous vous endormez paisiblement, sachant que vous allez rester ensemble toute votre vie.
Stranger Things Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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hors-binaire · 1 year
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Permis de conduire
Je m’avance dans le stationnement de la SAAQ. 
« Prenez un tournant ici, MADAME. » Me dit l’évaluateur. 
Une tension règne dans le véhicule depuis le début de l’examen. Je le sens jusque dans ma colonne vertébrale. Je suis persuadé.e d’être à mon meilleur. Obéissant.e, je tourne et je m’approche des automobiles stationnées en rang d’oignon. 
« Maintenant, MADAME, montrez-moi votre stationnement vers l’arrière. »
Pardon ? Un parking de centre d’achat dans une évaluation de conduite à Montréal ? Certainement, il cherche à me faire échouer, car c’est la seule manoeuvre que je n’es pas pratiqué.e. Je m’engage dans la place que reposera la Sunfire de ma mère. Je commence à douter que je vais être capable de le faire du premier coup, mais je continue qu’en même à reculer tranquillement. J’hésite à me replacer, de peur de perdre des points. Mon amie m’avait dit qu’il fallait le réussir d’un coup et c’est ce que je compte faire. L’arrière de la petite Pontiac se recule et soudainement, l’employée gouvernementale s’exclame alors que mon auto accote doucement sur la voiture à côté. 
-Mais qu’est-ce que vous faites, MADAME?! -Je… je suis désolé.e… j’ai paniqué. Je pensais pouvoir y arriver. -Avancez-vous ici.
J’abandonne ma manœuvre et je me stationne dans la place libre face à nous. Je me sens quitté la réalité et je plonge dans un état de rêve. Je n'arrive pas à comprendre ce qui vient de se passer. J’ai à peine à croire que je viens d’échouer mon examen de conduite pratique. Ma tête tourne un peu par la tristesse de ce qui vient de se passer.
-J'imagine que je n’ai pas passé? -Oh que non MADAME. C’était très dangereux ce que vous venez de faire.
Les larmes qui s’accumulent dans mes yeux commencent à couler sur mes joues. 
-Vous ne voulez pas que je vous fasse une parking en parallèle à place? -Non MADAME, vous avez échoué.
Le mot MADAME résonne à chaque coup. En plus d’être condescendant depuis le moment que nous avons quitté la SAAQ, il a dû m’appeler ainsi à chaque interaction que nous avons eue. Son ton réducteur, imprégné du patriarcal, vient me chercher au plus profond de mon être. 
Nous commençons à argumenter, mais je sais très bien que je ne gagnerai jamais. En fait, rendu au point où nous en sommes et au nombre de MADAME qu’il a utilisé, je commence à bouillonner. Je sens une pression sur ma poitrine et l’anxiété s’empare de mon corps. À chaque mention du mot, une vague de chaleur se propage dans mon visage ou coule présentement un déluge incontrôlable. Prochaine fois qu’il sort de sa bouche, je vais probablement exploser. 
-MADAME, calmez-vous s’il-vous-plait! Celle-ci était de trop. -Pourriez-vous arrêter de m’appeler MADAME ?!
Pour la première fois de ma vie, je dis à voix haute le malaise; le mal; le dégoût profond que je ressens face à ce mot, qui est pourtant une marque de respect. Je n’entends plus rien. Il me répond mais j’ai aucune idée de ce qu’il me dit. J’ai juste hâte de ne plus entendre sa voix.
Il finit de marquer des notes dans mon dossier et il sort de la voiture. J’y reste quelques instants. Le mot continue à faire des échos dans ma tête. Je suis humilié.e.
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Il avait échoué à son permis de conduire. Le permis d'inhumer lui a été accordé au premier coup de volant. - Yvan Audouard
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sushis4kalyo · 2 years
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Du coup, la retraite ? 💸
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Ok, à 27 ans, j'suis pas sensée être concernée par les retraites. Je me souviens même qu'en seconde, il y avait déjà une reforme avec grève où j'ai dissuadé des filles de ma classe de sécher les cours car "le temps de sortir, ça aura encore changé ...". Je ne savais encore pas ce que je sais maintenant.
Ce que je sais maintenant, c'est qu'on part du principe qu'on commence à travailler à 20 ans. Et moi j'ai fait 6 ans d'études supérieures. (2 ans de BTS, 2 ans de licence, 2 ans de Master). Déjà 4 ans dans la vue.
Après j'ai cherché du boulot. Je n'avais pas le permis. Refus sur refus. J'utilise donc l'argent que j'avais de côté pour le passer ! (Et déjà là c'est pas le cas de tout le monde. J'ai un ami qui attend d'avoir de quoi le payer pour le passer donc il cherche du taf ... mais pour le taf, faut le permis !). Je suis tombée dans une auto-école où le moniteur prenait un plaisir malsain à me faire bouffer le volant avec les dents à chaque connerie (et quand tu débutes, t'en fais obligatoirement !) à grand coup de patin. Au bout de 10h, je capitule. Je change d'auto-école et on recommence la conduite de zéro (cher mais nécessaire ...). J'avais tellement peur de faire une connerie que je me suis retrouvée en conduite supervisée pour éviter de payer trop d'heures en plus.
Là dessus le Covid et le confinement sont arrivés. Plus le droit de sortir ...et donc de conduire. J'ai eu mon permis en décembre 2021.
Entre temps ne supportant plus de tourner en rond à la maison. Je suis prise en service Civique à Pôle Emploi. Je savais que c'est du volontariat donc je ne pouvais pas prétendre au chômage (par contre ça compte pour le CPF et la retraite). J'ai aidé des gens à une période vraiment critique. J'ai vu passer toute la restauration. J'ai vu des mecs s'inscrire les larmes aux yeux. J'essayais de les accompagner au mieux, de rendre la chose moins pénible pour eux ... on m'a même remerciée à plusieurs reprises pour ça (et honnêtement ça fait quelque chose !). J'avais également fait des propositions pertinentes pour l'amélioration des services. Je me suis même retrouvée à aider des gens à faire leur déclaration à la Caf car ils étaient fermés pendant les confinements.
Mais quand tu vas postuler, on te fait comprendre qu'un service civique est perçu comme un stage machine à café ... donc on considérait malgré tout que je n'avais aucune expérience.
J'ai arrêté les candidatures. Elles sont vraiment occasionnelles maintenant et je n'y place plus trop d'espoir. J'ai constaté que mon domaine, la communication, a été touché pendant le Covid : Toutes les personnes licenciées à cette période sont prioritaires sur ceux qui sortent de l'école ... en raison de leur expérience. En gros, c'est peine perdue pour moi.
4 ans d'études pour 3 ans de recherche de taf infructueuses. J'en suis à 7 ans de retard selon le système des retraites. On m'a dit qu'il me sera néanmoins possible de "racheter mes trimestres" d'études supérieures... haha ok ... mais avec quel argent, du coup ?
Du coup je vois pour créer ma boîte de formation. Mais là encore, je ne cotiserai que lorsque j'aurai atteint un certain montant de chiffre d'affaires si j'ai bien compris. En parallèle j'aide aussi l'ancien (licencié il y a peu) à créer sa boîte (encore au stade de projet). Je lui fais toute sa communication et je l'aide sur le montage de projet quand il perd le fil. En gros là je bosse, mais je ne gagne rien et ne cotise rien nulle part ...
Du coup voilà, je galère déjà pour bosser ... je pense honnêtement pouvoir prétendre à la retraite pour 80 ans.
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