#L'enfant lui dit:
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3 parachutistes sautent d'un avion. Le premier lance une roche et saute. Quand il atterit, il voit un enfant déçu et lui dit: -Pourquoi es-tu triste mon enfant? L'enfant lui explique: -Mon père a reçu une roche sur la tête et il s'est blessé. Le deuxième lance une flèche et saute. Quand il atterit il voit un enfant pleurer et lui dit: -Pourquoi pleures-tu mon enfant? L'enfant lui répond: -Mon père a reçu un flèche sur la tête et il est mort. Le troisième lance une grenade et saute. Quand il atterrit, il voit un enfant rire et lui dit: -Pourquoi ris-tu mon enfant? L'enfant lui dit: -Parce que mon père a pété et la maison a explosé!
#3 parachutistes sautent d'un avion.#Le premier lance une roche et saute. Quand il atterit#il voit un enfant déçu et lui dit:#-Pourquoi es-tu triste mon enfant?#L'enfant lui explique:#-Mon père a reçu une roche sur la tête et il s'est blessé.#-Pourquoi pleures-tu mon enfant?#L'enfant lui répond:#-Mon père a reçu un flèche sur la tête et il est mort.#Le troisième lance une grenade et saute. Quand il atterrit#il voit un enfant rire et lui dit:#-Pourquoi ris-tu mon enfant?#L'enfant lui dit:#-Parce que mon père a pété et la maison a explosé!
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"On dit des rêveurs qu'ils n'ont jamais changé le monde. Mais ce n'est pas leur propos. Pour eux, ce n'est pas le problème. Ce qui les meurtrit, c'est ce que les hommes en font par leur violence, leur avidité, leur soif de pouvoir.
Les rêveurs ne changent pas le monde. Ce qu'ils changent, c'est la relation qu'ils ont avec lui et avec les autres. Malgré la dureté, ils croient à la douceur de vivre. Ils croient au prendre soin quand d'autres pronent la force. Ils voient en l'hiver une conspiration du printemps. Ils devinent dans le vieillard l'enfant qui s'y cache.
Ils ne font pas du rêve une terre d'exil, folle course en avant, en arrière, en tous sens. D'un tas de sable, ils savent faire un château. Ils prennent les larmes pour en faire des perles. Ils n'imaginent pas, ils inventent l'autre façon habiter le monde, non pas comme des ma��tres, mais comme des invités. Et s'ils aiment la Lune, ce n'est pas pour y fuir, mais pour s'éclairer de son clair".
Tydé
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Happy birthday to my little baby ꒰♡ˊ͈ ु꒳ ूˋ͈꒱.⑅*♡
It's a bit short, but there's no angst, miracle. One day I'll publish some stuff about him ♪♪(o*゜∇゜)o~♪♪
Aim and Post Dark Cream belong to @zu-is-here
⊰✧⊱
Les deux enfants rentrèrent dans la boulangerie, accompagnés de Killer et saluant le vendeur, une tortue plutôt âgé. Ils se dirigèrent vers les vitrines, regardant les nombreuses tapisseries et viennoiseries disposés : des forêt noires, des gâteaux fruités remplis de crème, des milles-feuilles, des chou à la crème, des tartes au citron meringuée, des macarons, des éclairs au chocolat et au café, des pains au chocolat et des croissants.
— Ça a l'air trop bon, s'extasia Aim devant la vitrine, les étoiles dans les yeux.
Après avoir choisi deux gâteaux, une forêt noire et un gâteau au fruit, Killer demanda le plus naturellement du monde :
— Lequel vous voulez ?
— Mais Papa a dit que on devait juste chercher deux gâteaux, et qu'on devait pas prendre autre chose au sinon on allait pas finir de manger.
Nuisance avait dit ça en regardant le plus grand, comme s'il essayait de déceler si cela était un simple test ou oubli de sa part. En voyant son sourire confiant, il comprit qu'il n'avait pas oublier ça ou quoi que se soit d'autre, il n'avait juste pas envi d'écouter cet ordre qui lui avait initialement été donné.
— Night sais bien que quand on rentre dans une boulangerie avec des enfants il faut aussi prendre une petite pâtisserie pour le gouter. Et si on les mange sur le chemin du retour, il n'en saura rien. Alors, vous voulez quoi ?
— Celui au chocolat là-bas, répondit rapidement le plus petit.
— On appelle ça un éclair au chocolat... Mais j'aurais pensé que tu aurais pris le chou à la crème.
Tout en disant cela, il désigna la fameuse pâtisserie, sachant que Aim ne pouvait pas lire les petites pancartes devant la nourriture.
— C'est vrai que ça a l'air bon, mais il n'y a pas de chocolat.
Le plus grand sourit avant de demander la fameuse pâtisserie, ainsi qu'un mille-feuille au vendeur. Pendant que ce dernier commencer à prendre la nourriture pour les mettre dans une des petites boites en carton fins, il redemanda la même question à l'enfant aux yeux vairons, ne voulant pas qu'il soit le seul à ne rien avoir. Ce dernier regarda de nouveau le plus grand dans les yeux, avant de retourner son attention sur son cousin qui lui souriait comme pour l'encourager à prendre quelque chose. Finalement il bredouilla d'une petite voix :
— Des macarons.
Le squelette à l'âme bicolore lui frotta la tête, pas surpris le moins du monde par ce choix. Puis lorsqu'ils partirent de la boulangerie, remerciant la tortue, il donna les petits gâteaux aux deux enfants, qui s'empressèrent d'en prendre un morceau. Nuisance tendit un macaron marron à Aim avant de rajouter :
— C'est au chocolat si tu veux gouter... Kills, Papa va être en colère contre nous s'il découvre qu'on lui a désobéit.
— Ne t'inquiète pas, il ne saura pas. Et puis, s'il le découvre, ce ne sera pas contre vous qu'il sera en colère, mais contre moi.
⊰✧⊱
The two children entered the bakery, accompanied by Killer and greeting the shop assistant, a rather elderly turtle. They walked towards the shop windows, looking at the many tapestries and pastries on display: black forest, fruity cakes filled with cream, mille-feuilles, cream puffs, lemon meringue tarts, macaroons, chocolate and coffee eclairs, pains au chocolat and croissants.
"It looks so good", Aim exclaimed in front of the window with stars in his eyes.
After choosing two cakes, a black forest and a fruit cake, Killer asked most naturally:
"Which one do you want?"
"But Papa said we should just get two cakes, and that we shouldn't get anything else or we wouldn't finish eating."
Nuisance had said this while looking at the taller boy, as if trying to detect whether this was a simple test or an oversight on his part. Seeing his confident smile, he knew he hadn't forgotten that or anything else, he just didn't feel like listening to the order that had originally been given to him.
"Night knows that when you go into a bakery with children you have to take a little pastry for a snack. And if you eat them on the way home, he won't know. So what do you want?"
"The chocolate one over there," the little one answered quickly.
"It's called a chocolate eclair... But I would have thought you would have taken the cream puff."
As he said this, he pointed to the famous pastry, knowing that Aim couldn't read the little signs in front of the food.
"It does look good, but there's no chocolate."
The taller boy smiled before asking the vendor for the famous pastry and a mille-feuille. As the latter started to take the food and put it in one of the small thin cardboard boxes, he asked the same question to the child with the minnow eyes, not wanting him to be the only one without anything. The latter looked the taller boy in the eye again, before returning his attention to his cousin who was smiling at him as if to encourage him to take something. Finally he stammered in a small voice:
"Macaroons."
The skeleton with the two-tone soul rubbed his head, not surprised in the least by this choice. Then as they left the bakery, thanking the turtle, he gave the little cakes to the two children, who hurried to take a piece. Nuisance handed Aim a brown macaroon before adding:
"It's chocolate if you want a taste... Kills, Dad will be angry with us if he finds out we disobeyed him."
"Don't worry, he won't find out. Besides, if he does find out, he won't be mad at you, he'll be mad at me."
#undertale#au#ua#killer#aim sans#nuisance#nuisance sans#killer sans#birthday#and I only realize after 2 days that I forgot to make tags ('•w • )#of course Nightmare will know... probably
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À 40 ans Franz Kafka (1883-1924) qui ne s'est jamais marié et n'avait pas d'enfants, se promenait dans le parc de Berlin quand il rencontra une petite fille qui pleurait parce qu'elle avait perdu sa poupée préférée. Elle et Kafka ont cherché la poupée sans succès.
Kafka lui a dit de le rencontrer le lendemain et ils reviendraient la chercher.
Le lendemain, quand ils n'avaient pas encore trouvé la poupée, Kafka donna à la petite fille une lettre "écrite" de la poupée qui disait : " S'il te plaît ne pleure pas. J'ai fait un voyage pour voir le monde. Je vais t'écrire sur mes aventures."
C'est ainsi que commença une histoire qui se poursuit jusqu'à la fin de la vie de Kafka.
Lors de leurs rencontres, Kafka lisait les lettres de poupée soigneusement écrites avec des aventures et des conversations que l'enfant trouvait adorables.
Enfin, Kafka lui ramena la poupée (en acheta une) qui était de retour à Berlin.
"Elle ne ressemble pas du tout à ma poupée", dit la petite fille.
Kafka lui remit une autre lettre dans laquelle la poupée écrivait : "Mes voyages m'ont changée."
La petite fille a embrassé la nouvelle poupée et l'a ramenée tout heureuse à la maison.
Un an plus tard, Kafka est mort.
Plusieurs années plus tard, la petite fille désormais adulte a trouvé une lettre dans la poupée. Dans la minuscule lettre signée par Kafka, il y avait écrit :
"Tout ce que tu aimes sera probablement perdu, mais à la fin l'amour reviendra d'une autre façon."
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J'ai échoué.
Une enfance à être sage comme une image, dessiner, lire, étudier, me tenir droite.
Apprendre vite, jamais malade, intéressée, calme au restaurant, me tenir droite, bien droite sur ma chaise, les couverts bien en main, finir mon steak.
Dessiner, colorier, lire, apprendre, bien parler, bien articuler, être polie, soigner mon vocabulaire, être calme, méticuleuse, attentive, arrêter d'être dans la lune. Finir mon assiette même si c'est froid. Me dépêcher.
Arrêter de parler aux animaux, aux fleurs, aux arbres, au ruisseau, arrêter de contempler, arrêter de ramasser des cailloux, des plumes, des coquilles d'escargots, me laver les mains, bien frotter les ongles, me concentrer, me tenir droite, être sage.
Et m'évader parfois, écouter le chuchotement des arbres avec mon grand-père, m'enivrer de l'odeur de ses tomates, mettre une framboise sur chaque doigt, éclater les grosses groseilles blanches entre la langue et le palais, grimper sur le tas de bois avec le coq de la basse-cour et lui raconter ma journée pendant qu'il s'endort sur mes genoux, lire sur une grosse branche, m'endormir dans le poulailler.
Une adolescence à étudier, être bien, savoir bien, expliquer calmement, ne pas crier, pas d'éclat, pas claquer les portes, bien manger, être cartésienne, logique, marcher droit, avancer, me décider, comprendre la politique, connaître l'histoire, m'intéresser à tout pour pouvoir tenir une conversation, étudier beaucoup. Vite et beaucoup.
J'ai passé des années à tenter d'entrer dans le moule prévu pour moi, mais j'ai été régulièrement ramenée à ma propre réalité, comme si un élastique m'empêchait de trop m'éloigner de mon enfant intérieur. Je me suis conformée à ce qu'on attendait de moi, avec parfois quelques éclats plutôt salutaires pour la plupart.
J'ai aiguisé mon libre arbitre sur le tard, une fois lancée dans cette vie que j'ai déjà qualifiée de tunnel, et voilà seulement quelques années que l'enfant intérieur parle plus fort que l'adulte. Il hurle parfois, il me hurle dessus quand je suis trop organisée. Trop rapide, trop concentrée, trop absente de ma vie. J'ai décidé de vivre slow et d'embarquer ma famille l�� dedans, de réduire presque à néant ma consommation de viande, d'être lente et contemplative sans que ça ne soit péjoratif, d'écouter davantage la nature et ma nature.
Des années à me conformer et avant-hier je parlais à ma mère de l'un de ses voisins, "il est bizarre" me dit-elle "tu t'entendrais bien avec lui". Je questionne d'un regard. "Beh t'es un peu bizarre, comme adulte"
Victoire, j'ai échoué !
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Un adieu douloureux.
Le père de l'enfant martyr Yaman Mekdad lui dit au revoir, après qu'il ait été tué par les bombardements de l'occupation à Nuseirat, dans le centre de la bande de Gaza.
#palestine#stand with palestine#free gaza#free palestine#palestinian lives matter#stand with gaza#gaza genocide#genocide in gaza#i stand with palestine#gaza fights for freedom#palestine will be free#palestine will never die#from the river to the sea palestine will be free#gaza news#gaza strip#gaza under attack#gaza under genocide#gazaunderattack#gazaunderfire#save gaza#gaza#genocide in palestine#free free palestine#palestinian genocide#palestine genocide#palestinians#palestinian resistance#save palestine#pro palestine#strike for palestine
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Du coup maintenant que j'ai un peu de temps, c'est parti pour faire un petit récapitulatif de ces 3 dernières semaines!
Il s'est passé énooormément de choses pendant ma semaine au camp pour enfants avec handicap. Je vais faire des chapitres carrément.
1. L'enfant que je suivais
Il a la maladie de Duchenne. En gros des tissus adipeux se mettent autour de ses muscles. Il a du mal à se déplacer, il doit marcher lentement sinon il tombe facilement. Il peut se déplacer en chaise roulante. C'est une maladie chronique. Il a aussi un léger retard mental. Il a 11 ans.
Je me suis trop bien entendue avec lui. J'ai vu la vie complètement autrement parce que j'ai compris ce qu'était un monde pas adapté à toi. Les jeux où on devait courir c'était mort, les jeux de parcours c'était mort, le château gonflable c'était ultra difficile, rien que traverser le terrain c'était une épreuve,... Bon sinon tout le monde disait qu'il était amoureux de moi, trop chou. Il m'appelait tout le temps en criant avec sa voix aiguë. Tout le monde s'y était habitué. C'était un enfant roi, il piquait facilement des crises. Mais j'arrivais à le calmer. Sauf une fois où j'ai perdu patience et j'ai juste laisser les autres m'aider. D'ailleurs les accompagnants s'entraidaient souvent c'était trop chouette. L'année prochaine, il ne reviendra pas. Il passe au camp des plus grands. Ça va faire bizarre d'avoir un autre enfant que lui. J'imagine pas trop l'expérience avec un autre. Ça me fait un pincement au cœur rien que d'y penser.
2. Les accompagnants
Beaucoup venaient pour la première fois donc il n'y avait pas déjà des groupes partout. C'était tellement plus facile de s'intégrer du coup. C'était génial, je me suis trop bien entendue avec tous les gens. Surtout Cam, le feeling est direct passé avec elle. On se racontait tous les ragots, on restait souvent ensemble. Je me suis trop bien entendue avec son pote Pi aussi. Il est trop bonne ambi en soirée. Il est iconique, c'est un peu une chipie mais dans le sens positif. Je sais pas comment expliquer mais J'ADORE. À la fin ils m'ont dit de revenir l'année prochaine pour être le trio de pestes MDR. Puis y a Alby aussi, j'avais du mal avec elle au début parce qu'elle était toute blasée et j'avais envie de la secouer ahah mais après j'ai appris à la connaître et énorme coup de cœur. Elle est du genre à te poser une question philosophique à un moment hyper random. Elle est super spontanée et vraie. Puis un de mes coups de cœur c'était aussi PW. C'est très bizarre pcq à la base c'est le genre de gars qui m'in-su-pporte pcq il fait des blagues beaufs. Mais on est passés de ennemies to friends et au final c'est peut-être lui qui m'a le plus marqué positivement. En fait je crois qu'au début il me voyait juste comme une belle cruche et moi je le voyais juste comme un beau crétin. Au début il me taquinait, faisait des blagues sexistes, etc. Puis quand on a vraiment parlé j'ai capté que c'était juste un gars pas très fort pour montrer ses émotions, un peu maladroit avec les filles. Je lui ai dit que je détestais son côté beauf et après je ne l'ai plus jamais entendu faire de blagues sexistes. Je me suis trop attachée à lui. Nos moments à deux étaient tellement touchants. Mais ce qui m'a fait trop mal au cœur c'est que c'était son tout dernier camp. Il ne reviendra pas les prochaines années. Ça va être tellement différent sans lui.
Sinon y avait ce gars qui ressemblait au Dieu Grec physiquement et qui m'a perturbé. Je ne l'ai pas calculé le premier jour parce que je voulais me tenir loin de lui mais il est venu vers moi de lui-même le deuxième jour. On a parlé petit à petit durant la journée. Et en fait chaque soir, une fois que les enfants dorment, on fait un débrief entre tous les accompagnants puis on fait une soirée. Et on est restés ensemble toute la soirée. Il était tellement intéressant, il voyage en solo depuis qu'il a 14 ans et ça se voit qu'il en a appris des choses. Puis j'adore son caractère. C'est la définition de la force tranquille. Mais après cette soirée, quand on s'est retrouvés à deux, il m'a embrassé sur la joue. Je m'y attendais pas, c'est arrivé d'un coup. Je ne comprends pas comment les mecs peuvent se permettre d'envahir l'espace personnel de quelqu'un comme si c'était rien. Ça m'a énervée et je l'ai stoppé direct en disant que j'étais en train de construire quelque chose avec le musicien et que du coup je n'étais pas intéressée. Il a compris et a réagit normalement. Après ça, on s'est posés au coin du feu et on a continué à parler. Heureusement, y avait pas de gêne. Il m'a dit qu'il serait content qu'on reste amis maiiiis après il m'a quand-même précisé que si jamais je n'avais plus rien avec qui que ce soit, il était là. MDR. Amis mais pas trop? Par contre cette nuit était trop belle, les étoiles se voyaient parfaitement, y avait des étoiles filantes et même des lucioles. Ce que j'aimais trop aussi avec lui c'est qu'en soirée il était toujours partant pour tout, il était trop bonne ambi. C'était un peu mon pote de soirée quoi. Mais je ne l'ai vu que 3 soirs parce qu'il est parti plus tôt que tout le monde. Mais revenons un peu en arrière. Après le soir où il m'a fait un bisou sur la joue, la grosse gaffe que j'ai faite pcq je suis TROP CONNE, c'est qu'avec encore de l'alcool dans le sang j'ai envoyé un message au musicien pour lui dire que y avait ce gars qui ressemblait au Dieu Grec et que ça me perturbait et qu'il m'a embrassé sur la joue et blablabla. Je lui ai tout expliqué de la pire manière possible comme si c'était juste un pote et que ça n'allait pas avoir de conséquences. Le lendemain, le musicien était trop saoulé mais on s'est appelés et on a tout mis au clair et il m'a demandé de ne plus parler à ce gars. Ce que j'ai donc voulu faire. SAUF QU'IL ME COLLAIT TOUT LE TEMPS. Du coup on a quand-même continué à parler et je l'ai dit après au musicien. J'aime trop qu'on puisse tout se dire et qu'on puisse tout résoudre en communiquant calmement. Ça me met tellement en confiance. Je me sens vraiment en sécurité dans notre relation. Je suis trop heureuse de l'avoir rencontré purée.
Bon je vais m'arrêter là pour le récap du camp en tout cas.
(23/07/2024)
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Un peu d'humour
Un enfant rentre de l'école et sa mère lui demande: Qu'avez-vous étudié aujourd'hui? L'enfant répond: ~On a li. Sa mère réplique: ~Non mon fils, on ne dit pas "on a li" on remplace la lettre "i" par "u" maintenant on dit "on a lu"....compris? L'enfant répond: ~Oui maman.
Sa mère demande encore: ~Qu'avez vous fait encore? L'enfant répond: ~On a écrus Sa mère éclata de rire. L'enfant étonné demande à sa mère: ~ Pourquoi tu rus? Tu m'as dut de remplacer la lettre "i" par "u" non ?
Maintenant Toi qui est entrain de lure j'espère que tu as comprus et que tu rus...
Charlotte
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Ma mère a beaucoup de rancœur à mon égard. Les années suivants mon hospitalisation, je comprenais. C'est pas facile pour un parent de frôler la perte de son enfant. Je lui ai laissé le temps. J'ai essayé de mieux faire. J'ai banalisé le fait qu'elle soit mal à l'aise avec moi. Qu'elle ait des axés de colère. Qu'elle me pique exprès. Je me suis dit que c'était pas grave car je ne suis pas avec mes parents la plupart du temps. J'ai bien compris que ce que j'avais fait avait au moins changé, à jamais, le regard de ma mère sur moi. Sans compter la maladie qui la ronge et qui lui fait en vouloir à n'importe qui qui ne serait pas malade. Ça peut s'entendre ça aussi. Quoiqu'il en soit, j'ai essayé, depuis 4/5 ans d'être l'enfant sage, ne créant plus de problème, n'inquiétant plus personne. Je demande rarement de l'aide. Je ne demande jamais d'argent. Je leur réponds globalement ce qu'ils veulent entendre. Je suis volontaire. Je réponds chaque jour à 2 appels. Je valide mes années. Je fais en sorte de jamais trop les déranger et pourtant, les rares fois où je reviens, je me sens si peu à ma place. Son manque de moi est rassasié en 1 ou 2 jours, après l'agacement et les reproches reprennent le dessus. Je dis rien parce qu'il n'y a rien à dire, je suis en face d'une maman éplorée, qui s'est convaincue elle-même qu'elle mourrait bientôt, qui n'a de cesse de sous-entendre à mon père et moi que si elle avait pu faire les choses autrement, elle l'aurait fait et que ça aurait été mieux. Le plus dur je crois, c'est que j'ai jamais eu l'impression qu'elle m'aimait vraiment, enfin si, mais il y a eu une coupure. Depuis ce temps, je ne l'ai jamais sentie fière de moi, ou contente que je sois là. Pourtant, j'essaie vraiment d'être présente et de faire en fonction d'elle, l'amener à l'hôpital, réussir mes études, discuter avec elle mais je la sens si distante. Elle m'a souvent répétée que j'étais quelqu'un de froid. Qu'elle ne comprenait pas ce que je pensais. Que j'avais jamais rien à dire ni à faire. Que j'étais pas intéressante. C'est peut-être vrai mais dans ses mots, j'entends du dégoût par moment et un réel regret. Ces 5 dernières années n'ont pas été accomplies dans l'unique but de regagner confiance, reconnaissance et intérêts de mes parents, seulement, je pensais que ça viendrait avec. Mais non. Ça m'affecte qu'elle prenne chaque chose et en fasse une pique acérée. Je trouve ça tellement dommage. Puis, au delà de ma désolation, je vois bien que ça ne changera plus.
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"Le ventre est encore fécond, d'où a surgi la bête immonde." Bertolt Brecht
"Elle est vivante, elle a encore La haine au ventre, la rage au corps La bête immonde Qu'elle tourne au loin comme un vautour Ou Rampe et ronge tout autour La bête immonde Depuis le temps qu'elle fait le trou De sa tanière grise Là-bas, ici, partout Au coeur de chacun de nous Elle est l'enfant que la bêtise A conçu avec l'ombre La bête immonde Depuis le temps qu'on laisse faire Tous les suppôts de son enfer La bête immonde Qu'elle a vomi des Gestapo Dans toutes les guerres, tous les ghettos La bête immonde Que les salauds dans les salons Lui trouvent des excuses Lui trouvent des raisons Plébiscitées par les cons Elle est la fille de la ruse Qui naît des décombres La bête immonde O pleure, pleure ma mère la terre Des larmes de siècles et de sang O pleure, pleure des gouttes d'océan Sur les chants qui montent des wagons Les camps, les tortionnaires Les frères qui clouent leurs frères Au poteau des religions O pleure ma mère la terre Au fond de tes entrailles gronde La bête immonde Mais qui va lui planter le pieu dans le coeur ? Qui va l'amputer du goût de l'horreur ? Elle qui étrangle les ethnies Étrangle les poètes Étouffe les hommes honnêtes Au bâillon des calomnies Il lui faut faire sauter la tête Avec sa propre bombe La bête immonde Depuis qu'elle nous pollue l'histoire A coup de glaive, à coup de gloire La bête immonde Que son crachat sur ton drapeau Dépend de la couleur de peau La bête immonde Depuis qu'elle rôde avec sa faux Emblème de son règne Depuis qu'elle dit Je t'aime Aux cagoules, aux échafauds Il faut cribler de chrysanthèmes Jusqu'à ce qu'elle succombe La bête immonde O pleure, pleure ma mère la terre Des larmes de siècles et de sang O pleure, pleure des gouttes d'océan Sur les bouquins, dans les bûchers Les cris des ratonnades Sur les croix des croisades Et les continents barbelés O pleure, ma mère la terre Au fond de tes entrailles gronde La bête immonde Mais qui va lui planter le pieu dans le coeur ? Qui va l'amputer du goût de l'horreur ? O pleure, ma mère la terre Au fond de tes entrailles gronde La bête immonde O pleure, ma mère la terre Au fond de tes entrailles gronde La bête immonde." Claude Lemesle
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#La Petite école :
C'est pourquoi l'histoire, chez lui (Tchekhov), est le plus souvent une simple possibilité d'histoire- "l'introduction à une histoire", comme le dit l'amoureux malheureux de la fantasque Ariane. Mais c'est en s'obstinant sur ce bord qu'il entend porter témoignage sur une société et une époque, c'est-à-dire d'abord sur une manière de vivre - ou de ne pas vivre.
Cette prétention semble disproportionnée. Mais la disproportion est elle-même le principe d'une poétique. Pour le comprendre, il faut compléter le leçon offerte par A la maison. Mais il faut aussi changer de professeur. C'est maintenant le petit Sérioja qui doit nous instruire. L'enfant qui aime dessiner s'attire, en effet, une critique apparemment bien fondée de son père: il néglige les proportions et a dessiné un soldat plus grand que la maison à côté de laquelle il se tient. Mais l'enfant ne se laisse pas désarmer et donne à l'objection une réponse imparable: s'il avait dessiné le soldat à l'échelle, on ne verrait pas ses yeux.
La priorité est de voir les yeux du soldat. Et pour cela il faut accepter la disproportion. Le jeune Sérioja pratique apparemment une esthétique impressionniste. Le narrateur nous dit qu'il reproduit au crayon non seulement les objets mais ses sensations et qu'il a sa propre idée sur les couleurs des lettres : il trace les l en jaune, les m en rouge et les a en noir.
Tchekhov ne s'occupe pas de correspondances ni de synesthésies. Mais il pense, lui aussi, que l'important est de peindre les regards et que l'on peut pour cela négliger les proportions des histoires bien cousues. A son frère qui s'essaie également de composer des récits, il donne toujours la même leçon : on peut se dispenser de l'intrigue, ce qui compte c'est le sujet. Le sujet, chez lui, c'est ce petit moment, condensé de temps ordinaire, où l'on peut voir des individus qui eux-mêmes regardent ce qui se passe et sentent passer le souffle de la servitude ou l'appel d'une autre vie. Et c'est la perception qu'ils ont de leur vie, ce sont leurs sensations qu'il peint à tel ou tel instant.
Jacques Rancière, Au loin la liberté, Essai sur Tchekov, 2024, pp. 96-97
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Par cette touchante histoire, on peut dire que les enfants savent faire les plus beaux cadeaux du coeur, et par ce biais-là, nous offrir de très belles leçons.
La boite à baisers
Il y a longtemps, un père punit sa fille de 3 ans pour avoir inutilement dépensé un rouleau de papier doré. A l'époque, l'argent se faisait rare et il ne put supporter qu'elle utilise le papier pour décorer une boîte à cadeau...
Le lendemain matin, l'enfant apporta la boîte à son père en lui disant :
"Papa, c'est pour toi !"
Embarrassé, le père regretta sa trop vive réaction qui, cependant, ne fit que doubler lorsqu'il découvrit que la boîte était vide.
"Est-ce-que tu ne sais pas que dans un paquet-cadeau, il doit toujours y avoir quelque chose ?"
Les yeux remplis de larmes, la petite regarda son père et lui dit : "Mais papa, la boîte n'est pas vide, je l'ai remplie de baisers, juste pour toi !"
Profondément ému, prenant l'enfant dans ses bras, l'homme implora son pardon.
Il garda la précieuse boîte pendant toute sa vie...et chaque fois que l'amertume, le découragement, la tristesse l'assaillaient, il prenait la boîte, en retirait un baiser imaginaire et se rappelait tout l'amour que sa fille y avait mis...
Il est donné à chacun de nous, de disposer d'une boîte dorée.
Une boîte remplie d'amour : l'amour inconditionnel de nos proches, de notre famille, de nos ami(e)s, d'inconnus, de l'infini...Mais, souvent étourdis et aveugles, nous ne voyons guère ce qu'il y a dedans...
Puisse ce temps étoilé ouvrir nos coeurs aux boîtes remplies de lumières (souvent imperceptibles...) qui inondent notre vie !
Des baisers bénis sur votre dimanche, chers ami(e)s...💋🙏💋
Soyez heureux et prenez soin de vous ! 🫶
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À 40 ans, Franz Kafka (1883-1924), qui ne s'est jamais marié et n'avait pas d'enfants, se promenait dans le parc de Berlin quand il rencontra une petite fille qui pleurait parce qu'elle avait perdu sa poupée préférée. Elle et Kafka ont cherché la poupée sans succès.
Kafka lui a dit de le rencontrer le lendemain et qu'il reviendrait le chercher.
Le lendemain, quand ils n'avaient pas encore trouvé la poupée, Kafka donna à la petite fille une lettre « écrite » de la poupée qui disait : « S'il te plaît, ne pleure pas. » J'ai fait un voyage pour voir le monde. Je vais t'écrire sur mes aventures.
C'est ainsi que commença une histoire qui se poursuit jusqu'à la fin de la vie de Kafka.
Lors de leurs rencontres, Kafka lisait les lettres de Poupée soigneusement écrites avec des aventures et des conversations que l'enfant trouvait adorables.
Enfin, Kafka lui ramena la poupée (en acheta une) qui était de retour à Berlin.
« Elle ne ressemble pas du tout à ma poupée, » dit la petite fille.
Kafka lui a remis une autre lettre dans laquelle la poupée écrivait : « Mes voyages m'ont changé. »
La petite fille a embrassé la nouvelle poupée et l'a ramenée toute heureuse à la maison.
Un an plus tard, Kafka est mort.
Plusieurs années plus tard, la petite fille désormais adulte a trouvé une lettre dans la poupée. Dans la minuscule lettre signée par Kafka, il y avait écrit :
« Tout ce que tu aimes sera probablement perdu, mais à la fin, l'amour reviendra d'une autre manière. »
Artiste : Marlene LópezMm
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J'ai reçu le roman graphique "Tout le bleu du ciel", d'après le roman de Melissa da Costa, pour mon anniversaire. Grosse bd format A4, de 200 pages, avec des belles illustrations.
Je viens de la terminer. C'est une histoire pleine de bons sentiments, deux personnes cabossées par la vie, qui se rencontrent et font un bout de chemin ensemble. Emile a 25 ans, Alzheimer précoce, n'en n'a plus que pour deux ans à vivre et ne veut pas que sa famille le voit dépérir, ni ne lui impose de rester hospitalisé pour des tests sur les effets d'hypothétiques traitements médicamenteux, il passe une annonce pour partir en camping-car avec un ou une partenaire de voyage, et rendre son dernier souffle dans les montagnes. Il rencontre Joanne, qui reste mystérieuse, on apprend son histoire petit à petit, en même temps que lui. C'est l'alchimie entre eux, ils respectent chacun la bulle de l'autre et évidemment le voyage ne sera pas de tout repos.
C'est du feel good à plein poumons, mais avec des petites touches de réflexion sur la maladie, le deuil, le respect des dernières volontés, la perte d'un enfant, le retour en enfance lorsque le cerveau se vide.
Je suis un peu émue dès que je pense à la maladie d'Alzheimer, quand j'avais 19 ans j'ai vu ma grand-mère s'éteindre à petit feu, touchée par cette horrible maladie. Vendredi, j'étais au téléphone avec ma maman, elle a 70 ans cette année, et j'ai remarqué qu'elle cherchait un peu + certains mots, pourtant assez usuels. Sûrement juste de la fatigue, parce que 5 ans après une triple opération cardiaque pendant laquelle elle a bien failli y rester, elle est hyper active toute la semaine mais surtout le vendredi, elle a commencé cette année des cours de dentelle, ça lui demande 4h de concentration assez soutenue, dans une position pas top mais "ça va, je vais aux toilettes handicapés pour faire des étirements, le fais le chat-vache comme la kiné a dit et ça passe". Mais je vais rester attentive à certains signes qu'on peut retrouver dans le langage. C'est un truc qui m'angoisse très fort, la gestion de la fin de vie.
Mon père est décédé à 41 ans, il était en vie et puis il ne l'était plus. Entre les deux, il y a eu une journée de douleurs à la poitrine que cette abrutie de médecin de garde a pris pour une oesophagite. Je crois que je savais que c'était son cœur et je m'en veux encore de n'avoir eu que 16 ans à l'époque et pas suffisamment d'assurance pour aller à l'encontre d'un avis médical.
Mais ça se passe comment quand ça tire en longueur, quand les personnes qu'on aime ne sont plus elles-mêmes, comprennent leur état et en souffrent ?
Finalement le seul truc qui me rassure un peu c'est redevenir l'enfant qui subsiste en chacun de nous jusqu'à la fin, et offrir à nos aînés l'amour et la bienveillance dans les soins. Peut-être l'occasion de leur offrir aussi du temps et de rencontrer l'enfant qu'ils étaient autrefois.
⭐⭐⭐⭐ mais les illustrations font une grosse partie du boulot, pcq l'histoire ne m'a pas transportée, c'est un peu trop feel good à mon goût, je suis une vieille aigrie. J'ai néanmoins apprécié ce moment chill et apparemment ce roman est un must read pour les amatrices et amateurs du genre. Puis ça a permis de parler de la fin de vie, tiens d'ailleurs j'avais réfléchi récemment aux limites du deuil, je ferais bien un billet là dessus à l'occasion, pour l'ambiance.
10 notes
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A 40 ans Franz Kafka (1883-1924) qui ne s'est jamais marié et n'avait pas d'enfants, se promenait dans le parc de Berlin quand il rencontra une petite fille qui pleurait parce qu'elle avait perdu sa poupée préférée. Elle et Kafka ont cherché la poupée sans succès. Kafka lui a dit de le rencontrer le lendemain et ils reviendraient la chercher. Le lendemain, quand ils n'avaient pas encore trouvé la poupée, Kafka donna à la petite fille une lettre "écrite" de la poupée qui disait : " S'il te plaît ne pleure pas. J'ai fait un voyage pour voir le monde. Je vais t'écrire sur mes aventures." C'est ainsi que commença une histoire qui se poursuit jusqu'à la fin de la vie de Kafka. Lors de leurs rencontres, Kafka lisait les lettres de poupée soigneusement écrites avec des aventures et des conversations que l'enfant trouvait adorables. Enfin, Kafka lui ramena une poupée qui était de retour à Berlin. Elle ne ressemble pas du tout à ma poupée, dit la petite fille. Kafka lui a remis une autre lettre dans laquelle la poupée écrivait mes voyages m'ont changé. La petite fille a embrassé la nouvelle poupée et l'a ramené toute heureuse à la maison. Un an plus tard, Kafka est mort. Plusieurs années plus tard, la petite fille désormais adulte a trouvé une lettre dans la poupée. Dans la minuscule lettre signée par Kafka, il y avait écrit tout ce que tu aimes sera probablement perdu, mais à la fin l'amour reviendra d'une autre façon. Image de Marlene López
50 notes
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S'appelant Pierre il les aimait toutes : il courtisait les belles murailles, les arcades, les coupoles.
C'était lors d'un retour de vacances – fin d'été, petite mélancolie. Dans la voiture, Pierre avait dit à l'enfant : nous avons le temps de visiter Fontenay. Et, armé du guide Michelin, il s'était aussitôt mis en quête d'une chambre dans les parages - les petits hôtels existaient encore.
De l'excursion, l'enfant garde le souvenir d'une lumière blonde ; dans cette clarté il revoit la chevelure blanche de son père (le dit Pierre), ses yeux verts – curieux et attentifs ; il entend sa voix qui explique. L'enfant, le plus souvent, l'écoute d'une oreille inattentive. Les pierres l'ennuient un peu ; Pierre aussi.
Pourtant cet après-midi-là, c'est comme une main qui l'entraine, qui lui donne l'envie d'avancer seul, sous les voûtes de l'église abbatiale, dans l'immense nef dénudée, sans décor aucun. Un trouble, un affolement (la lumière blonde peut-être ?) Et toujours cette main ferme qui le presse.
Partout, la pierre désigne le vide et lui donne forme. Partout la nudité, le dépouillement : dans le dortoir des moines, dans la salle capitulaire, dans le cloitre. La pierre, seule. Aucune image, aucune histoire. Le sentiment, pourtant, qu'il ne manque rien, que tout est sa place : une sorte d'harmonie, de joie. Quelque chose qui remue, qui bouleverse et apaise au même instant. La pression de la main entre les omoplates a cessé. L'enfant est seul. Pierre le cherche et l'appelle.
Des années après, il trouve dans un livre les mots d'Emily Dickinson : « Si nous atteignons le silence nous n'aurons pas peur car là où rien ne se trouve il y a Dieu. ». Il repense à Fontenay. À la beauté, à la lumière blonde.
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