#Expression du temps passé
Explore tagged Tumblr posts
Text
#Passé composé#Conjugaison#Auxiliaires avoir#Auxiliaires être#Participes passés#Verbes réguliers#Verbes irréguliers#Accord des participes passés#Construction verbale#Temps verbal#Grammaire française#Usage du passé composé#Connaissance linguistique#Narration temporelle#Pratique de la conjugaison#Expression du temps passé#apprendre le français#cours en ligne#parler français#cours de français#learn french
1 note
·
View note
Text
Les temps du passé
Le plus-que-parfait
The pluperfect is made of two words: an auxiliary (être or avoir, depending on whether the action happens to the subject's body or not) conjugated in the imperfect tense and a past participle.
j'étais, tu étais, il était, nous étions, vous étiez, ils étaient
j'avais, tu avais, il avait, nous avions, vous aviez, ils avaient
It is used to talk about the past in the past: j'avais fermé la porte quand tu es rentré - I had locked the door when you came home.
Nous étions parties - we were gone
J'avais fait la vaisselle - I had done the dishes
-
L'imparfait
The imperfect, one of the most common past tenses, is made of one word and used to describe the past (former habit, historical detail, description) or a long-term action.
La maison était très grande - the house was very big
Les soldats dormaient peu - the soldiers wouldn't sleep much
J'allais nager tous les dimanches - I used to go swimming each Sunday
La conjugaison
j'allais, tu allais, il allait, nous allions, vous alliez, ils allaient
je finissais, tu finissais, il finissait, nous finissions, vous finissiez, ils finissaient
je pouvais, tu pouvais, il pouvait, nous pouvions, vous pouviez, ils pouvaient
-
Le passé composé
The perfect tense is the younger sibling of the pluperfect: it is built the same way but the auxiliary is conjugated in the indicative present instead of the imperfect.
je suis, tu es, il est, nous sommes, vous êtes, ils sont
j'ai, tu as, il a, nous avons, vous avez, ils ont
For compound tenses, been (été) is added in case of a passive voice. It is used to refer to the action, a short-term event that is already done and only happened once.
Ils ont mangé les derniers raisins - they have eaten the last grapes
Je suis partie hier matin - I left yesterday morning
-
Le passé simple
The simple past, usually learners' least favourite tense, is the pompous, literary equivalent of the perfect tense. It is built with a single word and the first and second-person plurals get a circumflex accent.
je fus, tu fus, il fut, nous fûmes, vous fûtes, ils furent
j'eus, tu eus, il eut, nous eûmes, vous eûtes, ils eurent
j'allai, tu allas, il alla, nous allâmes, vous allâtes, ils allèrent
je fis, tu fis, il fit, nous fîmes, vous fîtes, ils firent
je pus tu pus, il put, nous pûmes, vous pûtes, ils purent
-
Le conditionnel passé
The past conditional is another compound tense: it is built with an auxiliary conjugated in the present conditional and a past participle.
je serais, tu serais, il serait, nous serions, vous seriez, ils seraient
j'aurais, tu aurais, il aurait, nous aurions, vous auriez, ils auraient
It expresses regret or a theory/fantasy.
Je serais venue tôt si tu m'avais prévenue - I would have come early if you had warned me
Il aurait voulu être un artiste - he would have wanted to be an artist
Le passé antérieur
The perfect past, another compound tense, is built with an auxiliary conjugated in our good friend the simple past and a past participle.
je fus, tu fus, il fut, nous fûmes, vous fûtes, ils furent
j'eus, tu eus, il eut, nous eûmes, vous eûtes, ils eurent
It is only found in old novels and expresses the anteriority of an action compared to the one that follows: it is a posh version of the pluperfect.
Il eut vite choisi un cadeau - he quickly picked a gift
Je fus étonnée de te voir à la fête - I was surprised to see you at the party
-
Le passé récent
The recent past is built with the verbal phrase venir de conjugated in the indicative present and followed by an infinitive.
je viens de, tu viens de, il vient de, nous venons de, vous venez de, ils viennent de
It is very common and refers to an action that just happened.
Je viens de finir de manger - I just finished eating
Nous venons de rentrer - we just got home
-
L'impératif passé
The past imperative is built with an auxiliary conjugated in the present imperative, an absence of pronoun, and a past participle. It only exists in the second-person singular and first and second-person plurals.
sois, soyons, soyez
aie, ayons, ayez
It expresses the anteriority of an action (order, prohibition, suggestion, plea) compared to the one that follows]
Aie rangé ta chambre avant que je rentre - have your room tidied before I get home
Soyez partis pour neuf heures - be gone by nine
N.B. This is not that common anymore especially for avoir, natives typically will use tu as intérêt à être/avoir--- (you better be/have---) or use another verb to sound more polite: essayez d'être partis pour neuf heures - try to be gone by nine
-
L'infinitif passé
The past infinitive is another compound tense built with an auxiliary conjugated in the present infinitive and a past participle.
être
avoir
It expresses the anteriority of an action accomplished before the one that follows and is mostly used in written instructions.
Être levé à l'heure est important - being up on time is important
Avoir garder la cuisine propre est attendu svp - keeping the kitchen clean is expected please
-
Le participe passé
The past participle is the second element of compound tenses to express an action that happened in the past.
-s, -se, -s, -ses
-ø, -e, -s, -es
-us, -ute, -us, -utes
It works like an adjective, is often short and contains many irregular verbs.
Elle a fait ses valises - she has packed her suitcase
Ils ont ouvert la porte - they have opened the door
Nous sommes morts - we are dead
Movie: La Belle et la Bête - Jean Cocteau, 1946
Fanmail - masterlist (2016-) - archives - hire me - reviews (2020-) - Drive
233 notes
·
View notes
Text
01/11/2024 (French)
Aujourd'hui, je suis un peu fatigué, donc j'ai pas fait grand-chose. Mais il y a deux jours, j'ai regardé le film Amélie (2001) avec mon mari, alors j'ai décidé de l'utiliser pour étudier. Cet aprèm, j'ai trouvé environ huit vidéos sur YouTube sur le film et je les ai utilisées pour trouver du nouveau vocabulaire ou des phrases courantes. Voici mes notes tirées de ces vidéos : Croiser - pass by Ça arrive - It happens Ça t’est déjà arrivé ? - Has that ever happened to you? Ça m’arrive de temps en temps - That happens to me sometimes C’est comme si... - it’s as if Rendre visite - visit a person Futur proche = utilisé plus fréquemment que le futur simple à l'oral On = utilisé plus fréquemment que « nous » dans les conversations Un type - a guy (slang) En gros - basically Bref - long story short Au fur et à mesure - bit by bit Une ardoise - tab or slate Un chef-d’œuvre - masterpiece
Les expressions du temps : Dans + durée - pour exprimer le temps qui nous sépare d’un événement qui n'a pas encore eu lieu e.g. Le film commence dans 5 minutes. e.g. Dans 48 heures, le destin d’Amélie Poulain va basculer.
Depuis + durée / date - pour exprimer la durée d’un événement qui continue au moment où l’on parle e.g. Je vis à Londres depuis 2015 (date) e.g. Je vis à Londres depuis 9 ans (durée du temps) e.g. La femme du voisin, dans le coma depuis des mois… e.g. Depuis toujours !
En + durée - pour indiquer le temps nécessaire pour accomplir une action e.g. J’ai fait ma valise en 10 minutes e.g. En une seconde, tout revint à la mémoire de Bretodeau
Pendant - pour exprimer la durée d’une action (dans le présent, le passé ou le futur) e.g. J’ai attendu pendant une heure e.g. J’avais pris du crack pendant que j’étais enceinte.
Ça fait + durée - pour indiquer le temps qui nous sépare d’un événement passé et accompli e.g. Ça fait un an que je n’ai pas voyagé e.g. Ça fait vingt ans qu’il évite de sortir de chez lui e.g. Ça fait longtemps qu’il fait cette collection ?
Il y a - pour indiquer la durée entre un événement passé et accompli et le moment où l’on parle e.g. Il y a 10 ans, je vivais à Paris e.g. Il y a une quarantaine d’années
Pour + durée - pour expliquer une durée dans le futur e.g. Je pars pour 10 jours.
La plupart de ces informations ne sont pas nouvelles pour moi, mais les vidéos étaient bonnes pour les révisions et pour une journée moins oú j'étais moins motivé.
7 notes
·
View notes
Text
Pour trouver sa propre vérité
Trouver sa propre vérité est un thème important pour Claudia, Viren mais aussi Callum. Mais je vais parler de Callum d'abord, dans l'acte 1, il a été introduit comme un jeune homme incapable d'atteindre les attentes de son rôle en tant que prince. Mais quand il a utilisé la magie, il a l'impression d'être bon en quelque chose. Du coup il veut essayer mais Lujanne lui a dit que comme il n'a pas de connexion à un arcanum. Mais malgré tout, il veut quand même essayé. Et du coup essaie de comprendre l'arcanum du ciel. Il se sent impuissant quand il faut sauver Pyrrha bien qu'il décide quand même d'y aller en utilisant la magie noire. Dans son cauchemar, il ne sait pas où aller et se sent perdu. Toutefois arrive le passage où son côté sombre le tente à la magie noire.
Qu'est ce qu'il y a de si mal à la magie noire ? Si ça peut aider ses amis ? Et avec ça, il aura un pouvoir illimité. Et Callum a failli le prendre mais Harrow intervient lui rappelant qu'il est libre et en voyant son côté sombre. Ce dernier refuse et dit que ce sera à lui d'écrire son destin. Et le fait que justement il a dû mal à respirer fait justement parallèle à son père biologique Damien qui avait un maladie respiratoire. Mais aussi Sarai qui sera toujours là pour lui même si elle est plus là. Ce qui lui permet de comprendre l'arcanum du ciel et utiliser le sort aspiro.
La découverte de soi même
Ce qui est aussi important de noter c'est que le voyage de Callum est aussi une découverte de soi même. Il comprend qu'il peut être courageux, aider les autres, voir que ses préjugés étaient faux et renforcer ses principes moraux. C'est aussi parce qu'il a eu la possibilité de voyager, de découvrir Xadia qu'il a pu évoluer et grandir. Mais aussi apprendre à connaître Rayla et finissant petit à petit à tomber amoureux d'elle lui faisant pousser des ailes. D'ailleurs on a une expression qui dit que l'amour donne des ailes et c'est ce qui s'est passé dans le final de la saison 3. Puis arrive la saison 4 où on apprend que Rayla a parti et que ça l'a affecté émotionnellement, Callum n'était pas prêt de lui parler quand elle est venue dans son bureau. Mais j'avais bien aimé la manière dont était géré leur relation dans la saison 4, ils avaient besoin de temps pour enfin comprendre que oui, l'un et l'autre sont là et n'ont pas l'intention de partir.
En revanche, la magie se retourne contre lui quand Aaravos prend possession de lui. L'horreur et la peur que quelque chose puisse arriver à ses proches. Et demande à Rayla de le tuer, elle refuse de le tuer car elle vient tout juste de le retrouver et ne veut pas le perdre. Elle croit qu'il pourra le surmonter car Rayla a été témoin des épreuves qu'il a enduré. Mais c'est quelque chose qui hante Callum et dans l'épisode de Finnegrin, Finnegrin est l'incarnation de la tentation. Il refuse de donner ce qu'il veut car leur point de vue sur la liberté se diffère (J'en parle plus ici). Pour lui la liberté lui a permit de faire ce qui semblait être inconcevable : utiliser la magie primale. Finnegrin prend la liberté des autres pour les contrôler. Et il refuse que sa liberté soit volé par Domina Profundis. Mais avec Finnegrin lui fait comprendre qu'il n'est pas un mage primale mais un mage noire. Et le pousse jusqu'à l'atteindre en s'attaquant à Rayla. Et bien qu'il a pu se libérer de ses chaînes, il a de nouveau utiliser la magie noire. Pourtant malgré tout ça, il a pu se connecter à l'arcanum de l'océan en lâchant prise comprenant qu'il pouvait pas tout contrôler. Pour lui, c'est un échec !
Le côté sombre de Callum
La saison 6 est assez intéressante car son moral est au plus bas, entre les cauchemars qu'il a d'Aaravos et le fait qu'il n'arrive plus à dormir. Il est du coup plus sensible et réagit souvent au quart de tour. Il en devient parano et on a vu dans la saison 4 dans le premier épisode, que ses craintes peuvent être dangereuses quand il croit qu'Ezran est en danger. Ou bien que Callum est fermé émotionnellement parlant. Mais aussi quand il s'est énervé contre Finnegrin pour s'en être prit à Rayla. Il utilise différentes solutions comme créer une couverture empêchant à Aaravos de le manipuler. Après on peut se demander pourquoi c'est aussi grave qu'il utilise la magie noire alors que Viren et Claudia l'ont plus utilisé que lui ? Dans sa tête, c'est pas une bonne chose et dans ses cauchemars, son subconscient empire la chose et ce qui pourrait lui arriver. Quand Cosmos lui révèle que la perle qu'il a amené est un leurre. C'est trop pour lui même quand on lui dit qu'il y a une solution pour le purifier de la magie noire. Il n'a plus le courage de le faire c'est pour ça que Cosmos lui ment et lui permettre de passer le rituel de purification. Dans ce passage, Callum se pose des questions mais ne voit que les ténèbres ne pouvant voir sa constellation. Mais la constellation de Rayla le guide pour être sa vérité. Ce qui lui permet de retrouver une certaine stabilité émotionnelle !
Tu dois me tuer
Donc est ce que ça veut dire que Callum est hors de danger ? Pas vraiment, dans la scène du bateau, Callum a avoué qu'il a utilisé la magie noire. Le ton monte et quand il révèle qu'il a fait ça pour elle. Elle n'aime pas ça, elle sait que Callum tient à faire ce qui est juste et ne veut pas qu'il la priorise. Ce qui est récurrent avec elle dans Lux Aurea, elle veut pas prioriser son envie de revoir sa famille au détriment de la mission principale. Et après s'être échappés du bateau, il lui parle de faire ce qui est bien et demande de le tuer si jamais Aaravos prend possession de lui. Bien qu'il a fait le rituel de purification, ça veut pas dire pour autant qu'Aaravos peut pas l'attaquer émotionnellement. Callum était obsédé à l'idée de se débarrasser d'Aaravos. Donc si il apprend que la perle qu'il a donné est un leurre, il risque de faire une crise d'angoisse. Mais du coup il essaierait justement de trouver une solution pour le voir partir pour de bon. Par contre, je pense pas qu'emprisonner à nouveau Aaravos ou bien le tuer va résoudre quoi que ce soit. La conclusion entre ces deux là, sera sûrement quelque chose dont on s'y attend pas. Donc faudrait voir pour la dernière saison de la série.
To find your own truth
Finding one's own truth is an important theme for Claudia, Viren but also Callum. But I'll talk about Callum first, in Act 1 he was introduced as a young man unable to live up to the expectations of his role as prince. But when he uses magic, he feels he's good at something. So he wants to try, but Lujanne tells him that since he has no connection to an arcanum, there's no way a human can learn primal magic. But despite this, he still wants to try. And so he tries to understand the sky arcanum. He feels helpless when it comes to saving Pyrrha, although he decides to go anyway, using dark magic. In his nightmare, he doesn't know where to go and feels lost. But then comes the part where his dark side tempts him to use dark magic.
What's so bad about dark magic? If it can help his friends? And with it, he'll have unlimited power. And Callum almost takes it, but Harrow intervenes, reminding him that he's free and seeing his dark side. He refuses and says it's up to him to write his own destiny. And the fact that he's having trouble breathing draws a parallel with his biological father Damien, who had a breathing illness. But also Sarai, who will always be there for him even if she's no longer there. This enables him to understand the sky arcanum and use the aspiro spell.
Learning about yourself
What's also important to note is that Callum's journey is also one of self-discovery. He understands that he can be courageous, help others, see that his prejudices were wrong, and strengthen his morals. It's also because he had the opportunity to travel and discover Xadia that he was able to evolve and grow. But it was also because he got to know Rayla and gradually fell in love with her that he grew wings. In fact, there's a saying that love gives you wings, and that's what happened in the season 3 finale. Then comes season 4, when we learn that Rayla has left and that this has affected her emotionally, and Callum wasn't about to talk to her when she came into his office. But I liked the way their relationship was handled in season 4, they needed time to finally understand that yes, both of them are here and have no intention of leaving.
However, the magic turns against him when Aaravos takes possession of him. The horror and fear that something might happen to his loved ones. He asks Rayla to kill him, but she refuses because she's only just found him and doesn't want to lose him. She believes he'll be able to overcome it because Rayla has witnessed the trials he's endured. But it's something that haunts Callum, and in the Finnegrin episode, Finnegrin is the embodiment of temptation. He refuses to give what he wants, because their views on freedom differ (more on that here). For him, freedom has enabled him to do what seemed inconceivable: use primal magic. Finnegrin takes the freedom of others to control them. And he refuses to let his freedom be stolen by Domina Profundis. But Finnegrin makes him understand that he's not a primal mage, but a dark mage. And pushes him to the point of attacking Rayla. And although he was able to free himself from his chains, he once again used dark magic. Yet despite all this, he was able to connect to the ocean's arcanum and let go, understanding that he couldn't control everything. For him, it was a failure.
The Dark Side of Callum
Season 6 is quite interesting because his spirits are low, between the nightmares he has of Aaravos and the fact that he can't sleep. As a result, he's more sensitive and often reacts out of the blue. He becomes paranoid, and we saw in the first episode of season 4 that his fears can be dangerous when he believes Ezran is in danger. Or that Callum is emotionally closed off. But also when he got angry at Finnegrin for going after Rayla. He uses various solutions, such as creating a cover to prevent Aaravos from manipulating him. But why is it so serious that he uses dark magic when Viren and Claudia have used it more than he has? In his head, it's not a good thing, and in his nightmares, his subconscious is making it worse for him. When Cosmos reveals to him that the pearl he's brought along is a decoy. It's too much for him even when he's told there's a solution to purify him of the dark magic. He no longer has the courage to do it, so Cosmos lies to him and allows him to pass the purification ritual. In this passage, Callum asks himself questions but sees only darkness, unable to see his constellation. But Rayla's constellation guides him to his truth. This allows him to regain some emotional stability!
You have to kill me
So does that mean Callum's out of the picture? Not really, in the boat scene, Callum confessed to using dark magic. Tensions flare when he reveals that he did it for her. She doesn't like it; she knows Callum wants to do the right thing and doesn't want him to put her first. This is a recurring theme with her in Lux Aurea, she doesn't want to prioritize her desire to see her family again over the main mission. And after escaping from the ship, he talks to her about doing the right thing and asks her to kill him if Aaravos ever takes possession of him. Even though he's done the purification ritual, that doesn't mean Aaravos can't attack him emotionally. Callum was obsessed with getting rid of Aaravos. So if he learns that the pearl he gave him is a decoy, he's likely to have an anxiety attack. But then he'd be trying to find a solution to see him go for good. On the other hand, I don't think that imprisoning Aaravos again or killing him will solve anything. The conclusion between these two will surely be something we don't expect. So we'll have to wait and see for the final season of the series.
8 notes
·
View notes
Text
Considered one of the greatest skating pairs of all time, Tessa Virtue and Scott Moir spent nearly a decade at the top of their sport to become the most decorated ice dancers in the world. Over more than two decades of extraordinary athletic partnership, Tessa and Scott became the first and only ice dance team to win every major international junior and senior skating competition. At the height of their success between 2008 and 2019 they took home a record-setting five Olympic medals, three World Championships, eight Canadian National Championships and won the Four Continents Championship three times. The pair first skated into the hearts of Canadians at the Olympic Winter Games in 2010, thrilling crowds in Vancouver as they became the youngest athletes and first North Americans to win Olympic Gold in ice dancing. Nearly a decade later Tessa and Scott secured their iconic status with a beguiling Gold medal performance that smashed the world record for overall score in free dance at the 2018 Olympic Winter Games in Pyeongchang.
Growing up in London, Ontario, Tessa took to the ice at the age of six after deciding she didn’t want to be the only student in her class who couldn’t skate during a school field trip. Raised in a figure skating family in nearby Ilderton, Ontario, Scott had been skating since he was three years old, coached by his mother Alma and his aunt Carol. First collaborating in 1997 when Tessa was seven years old and Scott was nine, the pair were initially so shy they could barely talk to each other. Building confidence while developing undeniable on-ice chemistry, Tessa and Scott shared a commitment to excellence that continually helped them overcome adversity. The two made enormous sacrifices to hone their craft, embracing success and failure as equal opportunities for growth and turning vulnerability into compelling artistry. Training rigorously to perfect innovative choreography, they pushed boundaries by approaching ice dancing as both creative expression and high performance sport, skating with an emotional sincerity that captivated audiences around the world.
After raising the profile of ice dancing to breathtaking new heights, Tessa and Scott retired from competitive skating in 2019. Since then, Scott has served as head coach and managing director of the Ice Academy of Montreal’s satellite program in London, Ontario. He has also been a vocal advocate for diversity and inclusivity in skating. Tessa completed both an MBA from the Smith School of Business, and a Master of Applied Positive Psychology from the University of Pennsylvania. Tessa is an executive advisor at Deloitte, where she helps to unlock the potential of the Canadian workforce in the realm of high performance and wellbeing. She also serves on the board for Her Mark, a charity that empowers young girls through the power of sport, and Motionball, an organization that fundraises for Special Olympics athletes.
Considérés comme l’un des plus grands couples de patinage artistique de tous les temps, Tessa Virtue et Scott Moir ont passé près d’une décennie au sommet de leur sport pour devenir les danseurs sur glace les plus primés du monde. Au cours de leur partenariat sportif extraordinaire qui a duré plus de deux décennies, Tessa et Scott sont devenus la première et la seule équipe de danse sur glace à remporter toutes les compétitions majeures internationales de patinage artistique junior et senior. À l’apogée de leur succès, soit entre 2008 et 2019, ils remportent un nombre record de cinq médailles olympiques, trois Championnats du monde, huit Championnats nationaux canadiens et ils remportent également le Four Continents Championship à trois reprises. Le couple a conquis les cœurs des Canadiens lors des Jeux olympiques d’hiver de 2010, enthousiasmant les foules à Vancouver en devenant les plus jeunes athlètes et les premiers Nord-Américains à remporter l’or olympique en danse sur glace. Près d’une décennie plus tard, aux Jeux olympiques de 2018 à Pyeongchang, Tessa et Scott consolident leur statut emblématique en donnant une performance enlevante qui leur vaudra la médaille d’or et qui pulvérise alors le record du monde pour la note globale obtenue en danse libre.
Tessa a grandi à London, en Ontario et a commencé à patiner à l’âge de six ans après avoir décidé lors d’une sortie scolaire qu’elle ne serait pas la seule élève de sa classe incapable de patiner. Élevé dans une famille de patineurs artistiques, non loin de là, à Ilderton, en Ontario, Scott a commencé à patiner dès l’âge de trois ans. Sa mère Alma et sa tante Carol ont été ses premières entraîneures. La première collaboration du couple survient en 1997 alors que Tessa a sept ans et Scott neuf ans. Ils sont alors si timides qu’ils arrivent à peine à se parler. Gagnant en confiance au fur et à mesure qu’ils développent leur complicité indéniable sur la glace, Tessa et Scott partagent un engagement envers l’excellence qui les a constamment aidés à surmonter l’adversité. Ils ont tous deux fait d’énormes sacrifices pour perfectionner leur art, en embrassant les succès et les échecs comme des opportunités égales de croissance et en transformant la vulnérabilité en un style artistique saisissant. S’entraînant rigoureusement pour perfectionner des chorégraphies innovantes, ils ont repoussé les limites en abordant la danse sur glace à la fois comme une expression créative et un sport de haute performance, patinant avec une sincérité émotionnelle qui a captivé les publics du monde entier.
Après avoir élevé le profil de la danse sur glace à de nouveaux sommets époustouflants, Tessa et Scott ont pris leur retraite de la compétition en 2019. Depuis lors, Scott occupe le poste d’entraîneur en chef et de directeur général du programme satellite de l’Académie de glace de Montréal à London, en Ontario. Il a également été un ardent défenseur de la diversité et de l’inclusivité dans le patinage. Tessa a obtenu un MBA de la Smith School of Business ainsi qu’une maîtrise en psychologie positive appliquée de l’Université de Pennsylvanie. Tessa est conseillère exécutive chez Deloitte, où elle contribue à libérer le potentiel de la main-d’œuvre canadienne dans le domaine de la haute performance et du bien-être. Elle siège également au conseil d’administration de Her Mark, une association caritative qui autonomise les jeunes filles par le biais du sport, et de Motionball, un organisme qui recueille des fonds pour les athlètes d’Olympiques spéciaux.
Canada’s Sports Hall of Fame is honoured to be presenting Tessa Virtue and Scott Moir with the prestigious Order of Sport award on Thursday, October 19, 2023 as a member of the incredible Class of 2023.
—Order of Sport
38 notes
·
View notes
Text
Hier, j'ai fait une crise d'angoisse. C'était étroitement lié au fait que ce soit mon anniversaire. Si ce jour ne me remplit pas de joie, il me remplit de peine. Il y a un peu tout qui m'est revenu en pleine face. Je repense intensément chaque année à cette date, à mes 18 ans passés à l'hôpital psychiatrique. Ça a été un évènement compliqué pour moi, doublé d'une période extrêmement sombre. Des fois, ce mal-être me manque, enfin, son expression me manque. Triste, je le serai sûrement toute ma vie et j'en ai fait le deuil, en revanche, je n'ai plus le droit de le montrer ou l'exprimer. Du moins plus de manière aussi malsaine. J'ai l'impression que ça n'a jamais existé tellement ça a été grave et tellement ça a été banalisé par la suite. Je ne sais pas si faire comme si ça n'avait jamais existé est la bonne voie, pourtant, j'y peux rien. J'y peux rien parce que c'est si rassurant pour mes proches de me voir aller mieux ou moins mal qu'ils occultent tout ça. Alors hier je repensais beaucoup à l'effort que c'est de se relever et donner l'effet que je vais tellement bien que c'est pas possible que j'ai été aussi mal. C'est terrifiant par moment quand je prends le temps de voir quel danger j'ai pu être pour moi et savoir que j'aurai toujours ce pouvoir de me dévaster si un jour je craque. J'ai toujours eu peur des autres mais jamais autant que j'ai peur de moi. La seule chose que je traine suite à tout ça c'est la fatigue. Une terrible fatigue insidieuse et viscérale. Quoique je fasse ça me demande tellement d'énergie que j'en ressors vidée. Peu importe ce qu'il se passe dans ma vie, je suis à la ramasse, épuisée, j'attends. Habitée seule m'a offert une vision du temps qui m'angoisse. Tout ce temps passer à attendre que le temps passe. À attendre d'aller en cours, d'aller dormir, d'aller en partiel. Le formel m'anime. Chaque année un peu plus. C'est pour ça que j'ai toujours été facilement dépendante à la moindre chose qui pouvait changer cette inexorable attente. Au fond, ce que j'aime c'est pas ce qui me fait passer le temps plus vite, c'est que le temps passe plus vite. Et ça je l'ai compris après ma première rupture. J'aimais la sensation de rapidité, de réduction de la fatalité et de l'ennui, mais pas forcément l'objet qui me permettait d'y accéder. Les gens ne seraient que des moyens alors dans cette façon de voir les choses. C'est peut-être mieux comme ça.
10 notes
·
View notes
Text
Les « memes » québécois
Il y a de ces moments d’anthologie, lorsque quelqu’un passe à l’histoire, volontairement ou non, grâce à une vidéo virale.
Le Quebec ne fait pas exception à la règle. Plusieurs vidéos se sont taillées une place de choix dans nos répliques, discussions, expressions du quotidien.
Afin de ne pas rester pantois devant un « sauf une fois au chalet » lancé par un Québécois, voici quelques uns des « memes » les plus populaire au Quebec et leur origine. (Vous pouvez retirer votre cerveau à partir d’ici vous n’en n’aurez plus besoin)
La palourde royale!
Probablement la vidéo plus connue au Quebec parce que tout le monde en a entendu parlé. De 7 a 77 ans comme on dit.
Contexte: Il s’agit d’un extrait d’une émission de cuisine. Normalement, les 2 animateurs discutent d’affaire de gars comme l’épilation du torse tout en faisant un gaspacho. Sauf que cette fois-ci, l’émission porte sur la palourde royale. Si vous n’avez pas déjà un p’tit sourire en coin c’est parce que vous n’avez jamais vu une palourde royale. Ils ont invité un chef afin d’apprendre à apprêter, nettoyer, cuisiner le mollusque. Le problème c’est que… les 2 pauvres gars ont un fou rire incontrôlable et aucun des deux n’arrive à reprendre son sérieux alors que le p’tit chef reste beaucoup trop premier degré.
youtube
Sauf une fois au chalet
C’est un bel exemple de vidéo qui s’est transformée en expression.
Contexte: Philippe Hamelin, 93 ans est jugé pour inceste. Le problème c’est qu’à la sortie du palais de justice après avoir clamé son innocence, notre bon vieux monsieur y va d’une déclaration aux journalistes dont son avocat se serait bien passé. « J’ai jamais touché à mes filles… sauf une fois au chalet » !!!!!!
Cette phrase est alors instantanément passée à la postérité et est maintenant portée à toutes les sauces pour avouer à demi mot quelque chose qu’on a fait ou dit.
Exemple: j’ai jamais pensé kidnapper Carole, sauf une fois au chalet.
youtube
La grosse dinde noire
A première vue, une dinde sauvage n’a rien d’excitant. Mais mettez la même dinde sauvage dans le salon d’une pauvre madame et un journaliste prêt à tout pour tuer la une et on se retrouve avec une pièce d’anthologie.
« A ça r’venir la grosse dinde noire »
En 2016, une dame raconte au journaliste sa mésaventure avec une dinde sauvage qui a défoncé une fenêtre de son salon et, paniquée, s’est soulagée intestinalement parlant un peu partout avant de repartir.
youtube
Update! En février dernier, une autre dinde sauvage a fait la une après avoir poursuivi un homme qui l’avait un peu cherché relançant la saga de la grosse dinde noire. Comme quoi… elle avait bien raison! Elle est revenue la grosse dinde noire ^^.
youtube
Un peu ouais
Restons dans le caca! Un gars au resto qui visiblement n’a pu se retenir et son ami, au lieu de l’aider, film le désarroi. Parce qu’on aura beau dire, tu peux être Brad Pitt, le Président ou l’homme le plus fort au monde, si tu te chies dans les culottes… ben tu t’es chié dans les culottes.
L’expression « un peu ouais » est resté comme la trace brune dans ses culottes. Elle est utilisée pour évoquer un agacement.
Exemple: Est-ce que je vous saoule à parler de Carole tout le temps? Un peu ouais! (C’est un très mauvais exemple pcq Carole es fucking parfaite et on n’en parle jamais assez!)
youtube
Le p’tit bum
Il s’en passe des choses dans les palais de justice québécois. Yollande! Awwhh la charmante Yollande! Cette dame sympathique se rend à son procès. Son crime? Des jeunes l’auraient coupée en voiture et elle a décidé de les éduquer et de foncer dans leur voiture avec la sienne. Au delà du fait qu’on ne se fait pas justice soi-même, notre chère Yollande se pointe au tribunal complément bourrée et explique les faits aux journalistes. Un moment magique!
youtube
Pas l’temps d’niaiser!
Contexte: un événement est organisé dans un bar et une jeune reporter essaie de recueillir les impressions des jeunes venus fêter. Elle n’a pas été déçue! Elle tombe sur un mec complètement bourré qui déclare « tequila, Heineken, pas l’temps de niaiser » que l’on pourrait « traduire » par « Je prends ma tequila et une Heineken en même temps, j’ai pas de temps à perdre ».
La vidéo est devenue virale, il n’en fallait pas plus pour que l’expression s’inscrive dans la culture populaire québécoise en version longue ou courte.
youtube
J’ai l’doua!
Alors déjà je commence par un avertissement: même nous, Québécois, faut s’accrocher pour comprendre le mec 🤣.
Contexte: un homme a décide de faire un remblai (illégal) chez lui. Plainte des voisins, un journaliste se pointe chez l’homme en question et on détecte quand même rapidement que ses souliers s’attachent avec du velcro. Il déclare alors au journaliste qu’il est dans son droit (j’ai l’doua). Encore une fois, cette expression prend le langage populaire lorsqu’on veut se défendre de quelque chose.
Exemple: Ascle! Arrête de tout le temps parler de Carole. (Ascle) J'ai l’doua!
youtube
Bonne fête Kevin!
C’est bien connu, prenez un mec individuellement ça va, mais mettez plusieurs mecs ensemble et le quotient intellectuel su groupe se divise par le nombre de participant. Ajoutez un peu d’alcool…
Contexte: c’est l’anniversaire de Kevin. On essaie de lui faire un sympa vidéo pour lui offrir nos vœux, mais on dirait que personne ne connaît Kevin 🤣🤦♀️.
Il est maintenant de coutume lors de l’anniversaire de quelqu’un, idéalement si cette personne ne s’appelle pas Kevin, de gueuler « bonne fête Kevin ».
youtube
11 notes
·
View notes
Text
Après un tremblement de terre, les survivants se regardent avec étonnement. Mille sentiments, très serrés les uns contre les autres, surgissent en un instant sur le même point du temps et de l’espace. Voici l’une des expressions confuses, indéterminées, rapides et ardentes qui se font jour, dès que le jour devient possible, dans les âmes épouvantées : Comment vivrons-nous désormais ? Une immense catastrophe exige et promet quelque immense rénovation. Il semble impossible de suivre, après l’abîme, la route ancienne qui a mené à l’abîme. Les discours ont été inutiles. L’autorité des faits semble imposer une rénovation. L’esprit s’ouvre à la fois aux désespoirs les plus profonds et aux espérances les plus audacieuses. Tout est perdu, à moins que tout ne soit sauvé. Une seule chose paraît impossible, c’est la continuation du passé. Cette chose est précisément la seule qui se soit réalisée. Examinez les âmes ; examinez les livres ; examinez les journaux. Chacun pense ce qu’il pensait, chacun dit ce qu’il disait, chacun est ce qu’il était. Comme l’eau qui se referme, après l’immersion d’une pierre lancée et engloutie, la foule s’est refermée sur les événements avec indifférence. Elle n’a rien appris et rien oublié. »
Ernest Hello - Le Jour du Seigneur
2 notes
·
View notes
Text
Si tu m'aimes ne pleure pas ! Si vous saviez l'immense mystère du ciel où je vis maintenant, si vous pouviez voir et entendre ce que je vois et entends parmi ces horizons sans fin, et dans cette lumière que tout investit et pénètre, tu ne pleurerais pas si tu m'aimes. Nous voilà maintenant absorbés par le charme de Dieu, de ses expressions de bonté infinie et des reflets de sa beauté sans limites. Les choses du passé sont si petites et éphémères à la comparaison. L'affection pour toi est coincée : une tendresse que je n'ai jamais connue. Je suis heureux de t'avoir rencontré à temps, Même si tout était si éphémère et limité à l'époque. Maintenant l'amour qui me tient au plus profond de toi, C'est la pure joie sans coucher de soleil. Pendant que je vis dans le serein et en attendant ton arrivée avec exaltation parmi nous, c'est comme ça que tu penses de moi ! Dans vos batailles, dans vos moments de réconfort et de solitude, Pensez à cette merveilleuse maison, là où la mort n'existe pas, où nous nous dissoudreons ensemble, dans le transport le plus intense vers l'inépuisable source d'amour et de bonheur Ne pleure plus si tu m'aimes vraiment !
Saint Augustin
16 notes
·
View notes
Text
ANNEXE: Le 'Verse
Hello space cowpeeps! (ok je vais peut-être pas la garder celle-là) Merci encore pour votre participation au sondage de la semaine dernière, qui m'a grandement éclairée sur quelles annexes partager en premier avec vous. Puisqu'une présentation de l'univers (au sens large) dans lequel se déroule le forum s'impose, je vous propose d'explorer notre galaxie avec une première annexe, le 'Verse.
Le ‘Verse
À mesure que l’humanité épuisaient les ressources naturelles de la Terre et que les catastrophes écologiques se multipliaient, les regards se sont tournés vers les étoiles. Des milliers de vaisseaux coloniaux furent envoyés pour explorer de nouveaux systèmes solaires. En 2020, un amas d’étoiles est découvert et nommé officiellement 34Tauri.
De nombreux mondes ont depuis été terraformés pour la vie humaine. (La terraformation est un processus de transformation délibérée de l'environnement d'une planète ou d'une lune afin de la rendre habitable pour les êtres humains et la vie terrestre.) Les colonies ont donné naissance à une variété de cultures et de sociétés, formant le tissu diversifié de l’univers connu, aussi appelé ‘Verse.
Carte de l’Univers connu
Le 'Verse est constitué de cinq étoiles majeures.
White Sun/Bai Hu est l’étoile centrale. Les planètes et lunes gravitant autour d’elle sont appelées le Noyau ou le Core. C’est ici que l’Alliance a été formé et que sa présence est la plus forte. La vie dans les planètes du Noyau est caractérisée par une prospérité économique et une stabilité politique. Ces mondes centraux jouissent de niveaux de développement avancés, offrant des infrastructures modernes, une technologie de pointe et un niveau de vie élevé.
Deux étoiles majeures partagent l’orbite autour du White Sun et constituent les régions de la Frontière ou Border region : Georgia/Huang Long et Red Sun/Zhu Que. Ces mondes, situés en périphérie du système solaire, sont souvent caractérisés par une autonomie plus grande et des conditions économiques variées. Les habitants de la Frontière doivent faire preuve de débrouillardise pour survivre, exploitant les ressources locales et souvent se livrant à des activités de contrebande ou de commerce illicite pour subsister.
Passé la Frontière sont les deux dernières étoiles qui constituent la région de la Périphérie ou Rim : Kalidasa/Xuan Wu et Blue Sun/Qing Long. Ici, la présence de l’Alliance est plus rare et son contrôle fragile. Beaucoup d’Indépendants y ont d’ailleurs trouvé refuge après leur défaite dans la Guerre d’Unification. Les habitants de la Périphérie doivent souvent faire face à des défis tels que des ressources limitées, des infrastructures précaires et des opportunités économiques restreintes mais jouissent de leur indépendance loin du contrôle de l’Alliance.
Au delà des planètes et lunes habitables, des stations spatiales sont localisées sur les principales routes de commerce et servent de lieux de rencontres et de négociations.
Votre personnage peut venir de n’importe quel système, mais il est à noter que Deadwood, là où se déroule notre histoire, se situe dans le système du Blue Sun/Qing Long. Vous pouvez vous servir de ce calculateur de temps de voyage si vous désirez connaitre l’estimation de voyage d’une planète à l’autre. Si une version plus interactif de cette carte vous intéresse, vous pouvez aussi regarder cette vidéo.
A noter
Il n’existe pas de vies extraterrestres découvertes.
Les langues parlées dans le ‘Verse sont une fusion de différentes langues terrestres (notamment l’anglais et le mandarin), résultant en une forme d'anglais appelée "le langage basique" ou "l'anglais du 'Verse". Cette lingua franca est utilisée pour la communication interstellaire et permet aux habitants de différentes planètes de se comprendre. Un lexique sera disponible et mettra en avant les expressions les plus utilisées, telle que “羔羊中的孤羊 - Gao yang jong duh goo yang” qui se traduit en “Motherless Goats of All Motherless Goats”.
Le principal moyen d'échange dans le 'Verse est le crédit de l'Alliance, souvent simplement appelé "crédit". C'est la monnaie officielle utilisée dans les mondes du Noyau et sur les planètes contrôlées par l'Alliance. Cependant, dans les régions frontalières et sur les planètes indépendantes, d'autres formes de monnaie, comme les lingots de platine ou les pièces, sont souvent préférées en raison de la méfiance envers l'autorité centrale de l'Alliance.
5 notes
·
View notes
Text
#Passé simple#Conjugaison#Auxiliaires avoir#Auxiliaires être#Verbes réguliers#Verbes irréguliers#Accord du passé simple#Construction verbale#Temps verbal#Grammaire française#Usage du passé simple#Connaissance linguistique#Narration temporelle#Pratique de la conjugaison#Expression du passé simple
1 note
·
View note
Text
Les temps du présent
Le présent de l'indicatif/présent simple
The indicative present is used to
describe what one is currently doing (présent d'énonciation): je travaille - I'm working (as we speak)
describe a fact (présent de vérité générale/historique): les chats sont des animaux - cats are animals
describe an ongoing fact that started in the past (présent duratif): il pleut depuis hier - It's been raining since yesterday
describe the scene (présent de description): le soleil est caché aujourd'hui - the sun is hiding today
describe a habit (présent d'habitude): je cours tous les dimanches - I run every sunday
describe what just happened (présent de passé proche): je viens d'arriver - I just got there
describe what is about to happen (présent de futur proche): je suis là dans une minute - I'll be there in a minute
give an order (présent d'injonction), alternative to the imperative present: tu rentres tout de suite ! - You get home immediately!
make a story feel real (présent de narration): il y a six ans déjà que mon ami s'en est allé avec son mouton. Si j'essaie ici de le décrire, c'est afin de ne pas l'oublier. - It has been six years since my friend left with his sheep. If I try to describe him here, it is so that I will not forget him. (Le Petit Prince)
express a possibility (présent d'hypothèse): si tu es gentil, tu auras un cadeau - if you're kind, you'll get a present
La conjugaison
First group (-er except Aller): je marche, tu marches, il/elle/on marche, nous marchons, vous marchez, ils/elles marchent
Second group (-ir with -iss- in the plural forms): je finis, tu finis, il/elle/on finit, nous finissons, vous finissez, ils/elles finissent
Third group (everything else): typically je cours, tu cours, il court, nous courons, vous courez, ils courent; long -oir verbs: je veux, tu veux, il veut, nous voulons, vous voulez, ils veulent; -indre/-soudre verbs: -s, -s, -t, -ons, -ez, -ent; other -dre verbs: -ds, -ds, -d, -dons, -dez, -dent; -ttre: -ts, -ts, -t, -tons, -tez, -tent; -rir, -llir: -e, -es, -e, -ons, -ez, -ent
Auxiliaries: je suis, tu es, il est, nous sommes, vous êtes, ils sont + j'ai, tu as, il a, nous avons, vous avez, ils ont
N.B. Many third-group verbs are irregular because they used to be two different verbs (ex: Être comes from both Essere - to be and Stare - to stand) that eventually became one and consequently have two bases and can have up to five stems. Always double-check for different, stems, extra letters, accents, etc.
Notable exceptions:
The vowel -i- cannot be between two other vowels in the first and second person plural so it will turn into -y- (vous croyez, nous voyons)
In -cer and -ger verbs, the first person plural changes to allow for the correct pronunciation (nous lançons, nous mangeons); c > ç, go > geo.
In -aître verbs, only the third person singular keeps the accent (elle naît).
Le présent progressif
The progressive present is an emphasized version of the enunciation present and is therefore used to describe an ongoing action that started recently and is actively being done as the narrator is speaking.
It is built by putting together the subject, the verb Être conjugated in the indicative present tense, the adverbial locution "en train de" (in the progress of), the infinitive form of the verb of action, and possibly an object.
Je suis en train de manger, j'ai bientôt fini - I'm eating, I'm almost done
Est-ce que tu es en train de travailler? - are you working?
Nous sommes en train de faire nos devoirs - we are doing homework
-
Le conditionnel présent
The present conditional is used
to express a wish: j'aimerais retourner en Italie - I'd love to go back to Italy
a suggestion: tu devrais partir tôt - you should leave early
a hypothesis: il pourrait rentrer demain - he could come home tomorrow
to casually share one's opinion: je n'aimerais pas qu'on me dise ça ! - I wouldn't like it if someone told me that (can be a way to aggravate a situation)
to ask something politely: je voudrais un café - I'd like a coffee
to refer to the future in the past: elle a dit qu'elle arriverait tard - she said she'd arrive late
La conjugaison
Conjugating the present conditional is easy for the first two verbal groups: just add the terminations to the infinitive of the verb. If the verb ends in -e, remove it: prendre > je prendrais. Fun fact: you can build the imperfect tense by removing -er- for the first group and turning -ir- into -iss- for the second.
First group (-er except Aller): je marcherais, tu marcherais, il marcherait, nous marcherions, vous marcheriez, ils marcheraient
Second group (-ir with -iss- in the plural forms): je finirais, tu finirais, il finirait, nous finirions, vous finiriez, ils finiraient
Third group (everything else): typically: je courrais, tu courrais, il courrait, nous courrions, vous courriez, ils courraient; auxiliaries: je serais, tu serais, il serait, nous serions, vous seriez, ils seraient + j'aurais, tu aurais, il aurait, nous aurions, vous auriez, ils auraient
Main irregular verbs: auxiliaries + aller - j'irais, devoir - je devrais, pouvoir - je pourrais, recevoir - je recevrais, savoir - je saurais, tenir - je tiendrais, venir - je viendrais, voir - je verrais, vouloir - je voudrais
N.B. Make sure to not mix it up with the simple future tense, they're similar!
L'impératif présent
The present imperative mood can only be conjugated in the second person singular and the first and second person plural. It is used
to give an order: viens ici tout de suite - come here right now
a suggestion: appelle-le tout de suite, non ? - maybe call him now?
a plea: s'il te plaît, pardonne-moi ! - please, forgive me
to ban someone from doing something: ne touche pas à ça ! - do not touch that
La conjugaison
Warning: it often looks like the indicative present - without a subject. If so, in the second person singular, the verb will require a final -s only if the current final letter is a consonant. Certain verbs cannot be conjugated, like vouloir.
être: sois, soyons, soyez; avoir: aie, ayons, ayez
va, allons, allez; finis, finissons, finissez; marche, marchons, marchez
N.B. Pronouns can be added: a reflexive verb will come with a tonic pronoun and a dash in a positive sentence: Lave-toi !, and a direct object pronoun in a negative sentence: Ne te vexe pas !; when referring to a portion -en: Prends-en un peu ! (an -s will be added for the liaison to be possible), and to a place, -y: Vas-y !
-
L'infinitif présent
is the neutral form you find in dictionaries: courir, marcher, prendre
is found after prepositions À, De, Pour and Sans: c’est sans dire, viens à la maison pour dîner !, on part sans perdre de temps
is found after a conjugated verb: il voulait partir tôt (the second verb can be the first element of the sentence: courir nous fatigue)
expresses an order, advice, prohibition: frapper avant d’entrer
expresses anger, surprise or a wish: m'excuser, moi ? plutôt mourir !
expresses doubt in an interrogative sentence: que faire de ce garçon ?
-
Le participe présent
The present participle works like an adverb and either expresses an action that happens at the same time as another action, that is possibly the consequence of that action, or describes the subject. It is built by removing the termination of the verb and replacing it by -ant.
Les employés possédant une voiture peuvent se garer dans la rue - the employees who own a car can park in the street
Étant déjà en retard, je décide de courir - being already late, I decide to run
N.B. To get the right pronunciation or avoid a mix-up with an adjective, it can be necessary to modify or add letters when building the present participle. For example: convaincre > convainquant (as convaincant is the adjective), diverger > divergeant ([ʒ], as divergant would be a [g] sound).
Movie: La Piscine - Jacques Deray, 1969
Fanmail - masterlist (2016-) - archives - hire me - reviews (2020-) - Drive
175 notes
·
View notes
Text
💂🏻♂️ Stratford, Stade de West Ham
On attaque le 2e jour 🤩
Réveil très matinal ce matin car c’est le D-day 🏅 avec nos têtes fatiguées, merci maman pour le plaid 😴
Petit dej et barres de prot’ en poche, on part à 2 stations de chez nous pour la récup des dossards avant 8h30. Petite frayeur avec un métro annulé puis retardé… on arrive au village à 8h30 passé mais il y a du monde qui attend alors tout va bien. D’ailleurs, la puce est dossard est à positionner sur nos chaussures, on se croirait chez les pros 🥸
Pause pipi et dépose sac et nous voilà parti pour 13,2 miles (et oui, on s’adapte 😎)
Une course plus compliqué que prévu, on s’attendait à du 100% plat et finalement pas du tout, le parc monte ou descend tout le temps mais heureusement pas de pluie ☔️ et très peu de vent 💨
Ligne d’arrivée passée, on récupère notre médaille, les ravitos, notre t-shirt et passage express dans le stade 🏟️ c’est très grand !
4 notes
·
View notes
Note
Coucou :D pour les questions si ça t'inspire : 🌳 pour Jihane, 🚗 pour Ivy, ✍ pour Oswald, 🎁 pour Glenn ?
Coucou ! Merci pour les questions ! Comme toujours, la réponse la plus développé est pour le personnage demandé et en plus, il y a un petit paragraphe pour les autres personnages !
🌳: What physical traits did they inherit from their biological parents? Do they look more like one parent than the other? / Quels traits physiques ont-ils hérité de leurs parents biologiques ? Ressemblent-ils davantage à l'un de leurs parents qu'à l'autre ?
Pour Jihane, elle ressemble beaucoup plus à sa mère, même si elle a quelques traits et expressions qui doivent venir de son père vu qu'elle les partage avec Claude ou Hamza (qui lui ressemble surtout à leur père, là où Claude, c'est plus mélangé et il ressemble surtout à son grand-père et à Kelon Riegan). Ils ont par exemple le même regard perçant quand ils questionnent quelqu'un, et même si Claude ne l'a jamais vu étant donné que Jihane se voilait déjà quand il est né, ils ont des cheveux assez semblables qu'ils tiennent de leur père, noirs et un peu crépus. Hamza trouve aussi que Claude et Jihane ont les mêmes expressions faciales quand ils étudient et sont passionnés par un sujet mais, il pense que c'est parce qu'ils ont passé pas mal de temps à travailler ensemble avant que Claude ne parte pour Fodlan et il ne peut pas vraiment comparer avec leur paternel étant donné que ce n'est pas vraiment un intellectuel.
Par contre, pour le reste de son apparence, elle le tient de sa mère, surtout ses grands yeux très noirs et saisissant qu'elle partage avec Delaram. Elles ont toutes les deux une peau assez sombre, un visage très régulier avec des traits fins, un air assez svelte et avec leur relative petite taille, beaucoup de gens pensent en les voyant qu'elles sont assez fragiles, bien que Delaram sait très bien manier la dague et que Jihane est une excellente marionnettiste mais, elles font tout pour le cacher afin d'endormir leurs adversaires, les surprendre en cas d'attaque et pour que ceux qui tenteraient de les défier par la force passent pour des couards s'en prenant à plus faible que lui. C'est également d'elle qu'elle a appris à avoir une attitude et un maintien impeccable car, cela permet d'imposer sa présence tout en marquant son rang sans avoir besoin de crier ou de s'agiter comme le fait Tiana, et cela va très bien avec leur force tranquille.
Ivy : Elle ressemble autant à ces deux parents, même si on lui dit souvent qu'elle ressemble pas mal à ses grands-parents à cause de sa manière d'agir. Elle aime bien ses cheveux noirs vu que comme ça, elle partage un trait avec Félicia qui a aussi les cheveux très noirs, même si elles ne se ressemblent pas du tout.
Oswald : je ne sais pas trop pour ses parents mais, il a les mêmes yeux que son petit-fils qui est un sauteur de génération, qu'ils ont hérité de Kelon Riegan qui avait des yeux verts assez inhabituels pour un almyrois et surtout une excellente vue, ce qui est pratique pour des archers qui passent une bonne partie de leur temps dans les airs.
Glenn : lui, il a tout hérité de son père au point que pourrait être le troisième jumeau de Rodrigue et Alix, qui eux-mêmes ressemblent beaucoup à Guillaume. Le seul point qu'il tient de sa mère, c'est sa peau très pale mais, chez les Fraldarius, on ressemble souvent qu'à un seul de ses parents.
🚗: In a modern AU, what kind of job would they have, if any? / Dans une UA moderne, quel type d'emploi auraient-ils, le cas échéant ?
Elle serait surement dans un métier qui lui permettrait de beaucoup voyager étant donné qu'elle est une vraie globe-trotteur qui ne tient pas en place ! Elle serait sans doute encore capitaine d'un navire de marchandises vu qu'elle aime faire des affaires, soit elle se chargerait de mener des scientifiques à bon port lors d'exploration du Grand Nord ou dans des zones difficiles d'accès comme le coeur de l'Amazonie. Elle pourrait également être en charge des échanges avec les personnes vivant sur place étant donné qu'elle a un très bon contact humain. Ce serait une source intarissable d'histoires qu'elle pourrait raconter à Félicia, ainsi qu'à Glenn et Félix qui auraient un mode de vie plus sédentaire, tout en les emmenant de temps en temps en voyage avec elle quand ils seraient assez grands ou quand Félicia va bien.
Par contre, elle ne serait surement pas capitaine sur un navire de tourisme ou un bateau de croisière, ou même un navire de plaisance comme certains voiliers / catamarans très rapides mais, qui blessent la faune marine car, quand ils vont très vite, leurs coques et leurs gouvernails deviennent de vraies lames de rasoirs (comme lors de l'affaire des "orques vengeresses" dans le détroit de Gibraltar que résume et explique très bien cette vidéo, qui ont sans doute interagit avec ses navires par curiosité pour s'amuser, soit parce qu'elles avaient été blessés auparavant par des bateaux, l'une d'elles étant couverte de cicatrices). Ivy aime voyager mais, elle aime aussi l'océan et ne veut pas le polluer avec des méga-bateaux rejetant des tonnes d'eaux usées qui tue la mer et ses habitants à petits feux alors, hors de question pour elle de se mettre à naviguer sur des monstres pareils. Elle pourrait même militer pour leur interdiction afin de préserver l'environnement.
Jihane : elle aurait surement un travail dans les affaires publics, politiques ou culturelles. Elle serait sans doute une très bonne diplomate et aurait une très vaste culture dans énormément de domaine qui l'aiderait à être très efficace dans plusieurs pays très différents. Elle œuvrerait également dans la lutte contre le racisme, ainsi que pour un meilleur accueil des personnes migrantes et leur reconnaissance, notamment pour les enfants.
Oswald : comme Jihane, ce serait un responsable politique très touche à tout, même s'il se spécialiserait dans les relations internationales. Il serait notamment intervenu pour résoudre des conflits par la voie diplomatique et résoudre des tensions commerciales ou militaire grâce à sa langue d'argent.
Glenn : je pense qu'il commencerait par tenter de devenir sportif professionnel quand il est petit étant donné qu'il est très sportif (même s'il ne ferait rien en rapport avec les sports aquatiques vu qu'il nage comme une pierre) mais, il se tournerait finalement vers un métier qui permet de défendre les autres alors, il voudrait être pompier. Par contre, étant donné qu'il aurait surement un accident ou serait grièvement blessé pendant son service pour suivre son destin dans le canon (surement à cause d'un matériel en mauvais état ou une mission mal planifié pour suivre mon canon), s'il survit, il reprendrait surement ses études pour devenir juge d'instruction ou un inspecteur du travail luttant pour de meilleurs conditions de travail.
✍: What does your character's handwriting look like? Do they write letters often? What other contexts do they usually write in, if any? / À quoi ressemble l'écriture de votre personnage ? Est-ce qu'il écrit souvent des lettres ? Dans quels autres contextes écrivent-ils habituellement, le cas échéant ?
Il aurait sans doute une écriture assez bonne qui ressemble à celle d'un notaire ou d'un homme de loi. Il doit avoir une écriture assez lisible pour que les personnes qui travaillent avec lui puissent le décrypter assez facilement alors, dans ces cas-là, son écriture est assez lisible, même s'il y a pas mal d'abréviation dedans afin de gagner du temps. En plus, il est droitier alors, cela l'aide à ne pas étaler l'encre avec sa main. Elle devrait ressembler à ça dans ces cas-là. De mémoire, ce document est une copie faite par un avocat de minutes de procès ou sa plaidoirie, et il datent du XVII ou XVIIIe siècle.
Par contre, quand il écrit ses propres notes qu'il sera le seul à lire, il n'en a plus rien à cirer et son écriture devient nettement plus brouillonne, toujours pour aller vite. Il sera le seul à le lire donc, le principal, c'est de noter ce dont il a besoin et de pouvoir se relire lui-même. Dans la liasse de documents dont vient celui du dessus, il y avait un des membres de la famille qui semblait aller souvent au tribunal et avait laissé plusieurs notes qu'ils avaient pris durant ses procès qui pourrait se rapprocher de la manière d'écrire d'Oswald pour ses propres notes mais, je ne les ai pas prises en photos alors, on va dire que c'est celle-là mais en pire vu que celle-ci, c'est difficile mais une fois l'oeil habitué et que vous avez compris comment l'auteur écrit, avec une bonne loupe, ça se décrypte à peu près contrairement aux autres notes qui étaient juste illisibles :
Hors de son travail où il doit beaucoup écrire, Oswald correspond beaucoup avec des personnes qu'il connait dans toute l'Alliance. Il connait tout le monde dans l'Alliance et au-delà, tout en étant toujours à la recherche de personnes compétentes qui pourraient rentrer à son service et être utile à sa ville et son influence, que ce soit des artistes, des érudits, des religieux influents ou des personnes talentueuses qui pourraient avoir besoin d'un coup de pouce pour s'épanouir (mais ça, j'en parlerait plus quand j'aurais fini ma série de dessins sur l'enfance / adolescence de Félicia étant donné que j'y ai pas mal pensé dernièrement). Mais les personnes avec qui il correspond le plus sont son fils Godfrey avant sa mort qui sont des lettres très tendres remplis de conseils, et sa grande amie Justine, qui sont remplis de références qu'eux seuls peuvent comprendre. C'est de loin la personne avec qui il a le plus correspondu pendant sa vie entière, ce qui a alimenté pas mal de rumeurs à leur sujet mais, ils l'ont pris à la rigolade étant donné qu'ils étaient les meilleurs amis du monde mais, rien de plus.
Enfin, quand il rencontrera Claude, il lui écrira aussi souvent que possible, que ce soit en fodlan ou en almyrois, que ce soit quand il habitait encore en Almyra (même si le messager devait éviter Tiana qui aurait détruit la lettre de son père sinon), quand ils vivaient dans des maisons différentes quand Claude venait d'arriver à Leicester et devait se faire aux uses et coutumes fodlans sans éveiller les soupçons, ou quand il était à l'académie des officiers. Claude aussi écrivait beaucoup à son grand-père et lui racontait pratiquement tout, même s'il écrivait certaines informations un peu sensible (par exemple, les personnes étranges capables de prendre l'apparence d'autres gens) à l'encre invisible avec un codage qui leur était propre.
Jihane : elle fait attention à avoir une écriture très propre et élégante digne d'une future reine, et elle sait très bien calligraphié ses lettres, surtout pour son monogramme / tuğra où elle n'a pas besoin qu'un artiste le fasse pour elle alors qu'il est très complexe. Elle écrit également souvent à ses fidèles et niveau personnelle, elle corresponds avec ses frères et soeurs dès qu'elle le peut, même si Hamza est celui à qui elle écrit le moins mais ça, c'est parce qu'ils sont toujours ensemble. Elle écrit également assez souvent à Claude / Khalid, même si elle doit lui transmettre ses lettres en toute discrétion pour éviter d'éveiller les soupçons, et après l'avoir rencontré quand il est venu récupérer son petit-fils, Oswald et elle ont dû commencer à correspondre ensemble, ayant beaucoup de respect l'un pour l'autre.
Ivy : une écriture carré et efficace, sans fioriture vu qu'elle écrit surtout pour son travail et qu'elle note surtout des chiffres. Par contre, elle note également souvent tout ce qu'elle voie durant ses voyages afin de ne pas les oublier afin de les raconter, notamment à Félicia et plus j'y pense, plus je me dis que cette dernière aurait pu tenter de dessiner les scènes que lui racontait Ivy, surtout qu'elle ne pourrait jamais les voir par elle-même. Evidemment, ce serait parfois assez éloigné de la scène de base mais, Ivy aimerait beaucoup le résultat alors, elle prendrait de plus en plus de notes pour que Félicia puisse les illustrer et l'aider à se changer les idées quand elles sont jeunes.
Glenn : de base, c'est pas un très gros écrivain. ça ne le gêne pas d'écrire, c'est même un des Fraldarius qui écrit le mieux à côté de Rodrigue ou Félix qui sont vraiment illisibles mais, il préfère dire les choses à l'oral et vu qu'il a une très bonne mémoire, il ne note pas grand-chose. Cependant, quand il était à Garreg Mach et quand il était chevalier, il s'est mis à beaucoup écrire à sa famille à la moindre occasion pour garder le lien avec eux, surtout avec son petit frère qui lui manquait. Après "Tout ce que je veux, c'est te revoir", il se met aussi à plus écrire pour entrainer ses mains à faire des gestes précis, ainsi que pour noter les chansons qu'il écrit, notamment celles pour Pomme où il parle de ses sentiments pour elle.
🎁: If they needed to give a friend a gift, how would they go about choosing one? Would they buy it, make it, or do something else? / S'ils devaient offrir un cadeau à un ami, comment s'y prendraient-ils pour le choisir ? L'achèteraient-ils, le fabriqueraient-ils ou feraient-ils autre chose ?
Glenn réfléchirait sans doute à ce qui pourrait faire plaisir à la personne qui va recevoir le cadeau. Il peut être original afin de surprendre l'autre mais, il préférera toujours faire un cadeau classique mais qu'il est sûr que l'autre aimera, plutôt que tenter de faire original pour l'original et prendre le risque que cela ne plaise finalement pas à celui qui le recevra. Il serait également du genre à fabriquer lui-même ses cadeaux, surtout qu'il coud bien et il ferait sans doute l'effort d'apprendre ce dont il a besoin pour le réaliser. Par exemple, je pense qu'une fois remis de ses brûlures, Félix voudrait rejoindre son frère à Garreg Mach même s'il est trop jeune alors, pour lui faire plaisir, Glenn lui fabriquerait une copie de son uniforme à sa taille pour qu'il puisse faire comme lui.
Il aimerait moins acheter quelque chose pour quelqu'un par contre, sauf s'il ne peut vraiment pas le faire lui-même car, il préfère mettre des efforts dans ce qu'il fabrique plutôt que d'avoir tout de suite le cadeau. Par exemple, il pourrait emmener Pomme chez un tatoueur pour recouvrir son matricule sur son bras car, il sait que cela lui fera du bien de se détacher de son passé à Shambhala et qu'il sait qu'il ne fera jamais aussi bon travail qu'un professionnel en la matière.
Jihane : elle serait plutôt du genre à acheter les cadeaux qu'elle offre, en particulier quand c'est pour des personnes qu'elle doit côtoyer par obligation mais, pour ses amis et ses demi-frères et soeurs qu'elle apprécie vraiment, elle réfléchirait beaucoup pour trouver le cadeau parfait qui leur fera plaisir et qui leur sera utile.
Ivy : Elle aussi, elle est du genre à acheter ses cadeaux, sauf si c'est des figurines en bois qu'elle pourrait sculpter pendant un temps calme sur son navire. Elle fait également souvent dans l'originalité vu qu'elle croise souvent des objets exotiques qui pourraient plaire à ses proches (Glenn et Félix ont dû être pas mal pourri par leur tante quand ils étaient petits + elle ramenait toujours un chat de ses expéditions quand elle venait à Fraldarius car, elle sait qu'ils adorent cet animal) mais sinon, elle passerait aussi du temps avec ses proches étant donné qu'elle est toujours à courir aux quatre coins du monde alors, passer du temps au calme à faire ce que ses amis veulent est un très bon cadeau, surtout du point de vue de Félicia.
Oswald : il fait plus des petites attentions régulières envers les personnes qu'il apprécie donc, c'est des petits gestes discrets mais réguliers et sinon, il essaye de fabriquer lui-même ses cadeaux ou alors, de leur apporter sa touche personnelle quand il les achète. Par exemple, quand Claude est arrivé à Derdriu, même s'il parlait fodlan, c'était encore très carré avec des formes de phrases très littéraires étant donné qu'il l'a plus lu que parlé alors, Oswald a fait rédiger et lui-même rédiger en partie un livre d'histoires populaires écrites comme si les personnages parlaient dans la rue, ainsi que copier de pièce de commedia dell'arte de la ville. Etant donné qu'elles sont très souvent improvisés, les acteurs parlent comme parlerait n'importe qui alors, ça a bien aidé Claude à assouplir sa manière de parler.
2 notes
·
View notes
Text
Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - Chapitre 9
Ceci est un Hateread du tome 10 de la saga Tara Duncan, inspiré par le long travail de Patricklemorse. Pour plus d’explications ou d’introduction, référez vous au post « Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - 0 : Dans les épisodes précédents » !
L’ensemble des extraits cités entre guillemets et en italiques appartiennent à madame Sophie Audoin-Mamikonian, que j’appellerai Madame S.A.M par facilité.
Allez, haut les cœurs. On prend une grande inspiration, on pense à tout ce qu’on a de cher et beau dans la vie... et on repart pour une lecture du point de vue de Tara.
Bonjour à vous, très aimables lecteurs et lectrices. Soyez les bienvenu·e·s dans cette suite de critique du tome 10 de Tara Duncan. J’entame le travail avec toute la sérénité dont je suis capable. Zen <3
Dans le chapitre précédent, une attaque orchestrée par Magister échouait, Xandiar était pénible en plus d’être misogyne et Tara découvrait un artefact puissant capable d’annihiler la vie sur des billions de kilomètres. Maintenant, on va oublier les intrigues principales et plutôt se [délecter] des [merveilleuses] histoires d’amour de ce bouquin, via le trio Cal-Robin-Tara.
Ouh, que ça va être amusant.
Le chapitre s’appelle “Tara, ou comment se retrouver avec nettement plus de fiancés que la normale”
“Tara avait souvent imaginé cette scène. Elle aurait été superbe... ou du moins nettement plus habillée qu’en ce moment et surtout beaucoup plus propre et moins zébrée. Argh.”
Aha. Ça commence fort.
Pffff.
À la question “Comment Tara va réagir en voyant Cal et Robin (deux des personnes auxquelles elle tient le plus au monde et qui ont des sentiments pour elle) entrer dans sa suite après tout ce qu’il s’est passé ?”, j’attendais pas forcément la réponse “Elle va être triste de ne pas être habillée comme pour le Met Gala”.
L’Oréal, c’est pas du tout le moment : 4 (faut pas déconner).
“Fafnir lui sauta au cou (hein ?), puis recula, maculée de sable rouge.
— Que ton marteau sonne clair, Tara ! Dis donc, tu pues !
Tara éclata de rire, le moment de gêne balayé par le célèbre franc-parler de la naine guerrière.”
Elle sort d’où, Fafnir ? Le chapitre précédent s’achevait comme ça : “Elle se sentait sale, échevelée, suante, et elle ne voulait même pas imaginer l’odeur qu’elle devait dégager. La porte de sa suite s’ouvrit avec obligeance et ce que la porte lui disait atteignit son cerveau juste au moment où elle se retrouva face à Cal.
Et Robin”. Faut au moins préciser que Fafnir est dans la pièce, enfin ! Soit à la fin du chapitre 8, soit au début du 9... mais mettez l’info quelque part ! Sinon, on est confus, et Fafnir donne l’impression de sortir de nulle part.
On dirait que Tara était tellement obnubilée par les deux garçons qu’elle a complètement occulté son amie. Remarquez, vu qu'un passage du chapitre 3 laissait entendre que Tara a eu moins de mal à se distancier de Fafnir (entre autres) que de Cal et Robin, y a une espèce de cohérence. Mais bon, quelque chose me dit que cette négligence en narration n’est pas voulue.
Tara va donc prendre une douche, en évitant copieusement Cal et Robin. La narration précise que sa suite n’est plus sertie de joyaux kitschs et a repris un environnement plus au goût de Tara. Cool. Quand elle revient, Tara embrasse les deux garçons et songe que oups, elle les aime bien tous les deux, en fait.
« Était-elle sans cœur, elle qui semblait plus ou moins amoureuse de deux garçons en même temps ? Parce que, maintenant qu’elle se trouvait devant les deux, il fallait bien qu’elle s’avoue ce qu’elle se cachait depuis des semaines. Cal lui mettait des papillons dans l’estomac et les genoux tremblants tout autant que Robin. (« mettre les genoux tremblants », riche expression. C’est moche)
Et slurk !
Moineau se plaça devant elle et lui dit gravement :
— J’ai réuni le magicgang parce que nous te devons des excuses. »
Oui bah t’inquiète Moineau, entre, fais comme chez toi. La narration t’a pas introduite non plus mais c’est pas grave, tout va bien. On peut sortir les persos de son cul sans prendre la peine de les commenter, maintenant. Tara a pas de réaction à voir tous ses potes dans sa suite pour potentiellement la première fois depuis un moment. Zéro ! C’est pas comme si on avait copieusement insisté quelques chapitres plus tôt pour signifier que Tara évitait tout le monde dans le groupe. C’est pas comme si les revoir devait susciter des émotions contraires chez elles. Est-ce qu’on peut savoir si Tara est contente de les recroiser ? Si elle a peur de leur faire du mal, si cette espèce de réunion organisée dans son dos l’agace ? Non ? L’attention est vraiment que sur les deux love interest à la con ?
La seule explication que je vois est qu’on suit le point de vue interne de Tara qui fixe Cal et Robin avec de grands yeux de merlan frit depuis qu’elle est rentrée, et personne n'ose lui dire qu’elle est gênante. Du coup je vais imaginer qu’il y a Fabrice et Sylver qui traînent quelque part dans le coin mais que personne ne prend la peine de les mentionner.
Bon, par contre, c’est quoi, cette histoire d’excuses que le magicgang doit à Tara ?
« — Des excuses ? Pourquoi ?
— Parce que nous t’avons abandonnée. Pour de mauvaises raisons. Moi, parce que je me suis retrouvée prise dans une situation compliquée. Les autres… vont te dire pourquoi. Mais quelles que soient nos excuses, nous savions très bien que ta situation était difficile, que tu allais devoir affronter des moments pénibles. Et nous n’avons pas été là. J’espère que tu vas nous pardonner. (Mais… c’est quoi ce renversement des rôles foireux… ?)
Tara était si surprise (d’autant que c’était elle qui les avait abandonnés, certainement pas le contraire) (BAH OUI EN FAIT) qu’elle sentit que ses yeux s’embuaient.
Fafnir le perçut immédiatement et, comme elle avait horreur du sentimentalisme, elle ouvrit le feu.
— Oui, enfin bon, moi, j’avais une bonne raison. Il fallait que je fasse accepter Sylver par les autres nains et, croyez-moi, ça n’a pas été facile facile. J’ai dû rester collée au pauvre demi-dragon pendant des jours. (Personne ne sort ça à voix haute. Je sais, j’ai dit dans une précédente critique qu’on peut faire parler nos persos comme on veut, mais ça, ça marche pas. Vous imaginez décrire un de vos proches en disant « le pauvre jeune homme » ? D’autant plus que c’est de son copain qu’elle parle.) À la fin, je crois bien qu’il aurait tout donné pour une bonne bagarre ou quelque chose du genre afin que je lui fiche la paix. Alors, le message de Moineau a été une bénédiction. Il doit régler des tas de choses avec les dragons, puisque, d’une certaine façon, il est l’héritier d’Amavachirouchiva, la princesse dragon. »
On passera sur la répétition moche de « dragon » de la dernière phrase (et le fait que Fafnir précise qui est Amavachirouchiva alors que tout le monde dans la pièce sait qui c’est, en principe). Quoi qu’il en soit, ça ne répond pas à ma question : Sylver est là oui ou non ? Et Fabrice ?
Les infos données en dialogue distraient sur d’autres points alors qu’on sait même pas qui est dans la salle, c’est quand même dingue.
Il s’avère que Sylver n’est pas là mais à l’ambassade dragonnienne du Lancovit, qui dépend de Chem. C’est plus sûr que d’aller directement au Dranvouglispenchir, où des personnes pourraient vouloir le tuer.
En revanche, Fabrice est bel et bien là !
« — À mon tour, fit Fabrice en lui souriant.
Le grand Terrien blond, meilleur ami de Tara pendant des années semblait… apaisé. Comme s’il avait réussi à concilier sa peur d’AutreMonde et son étrange statut de loup-garou. »
« Meilleur ami de Tara pendant des années », ça sonne comme s’il ne l’était plus maintenant. Rt.
« — Comme vous le savez (il fit une petite grimace à Moineau), je laisse souvent mes émotions prendre le pas sur ma raison (tu dis ça à Tara, Fafnir et Moineau, notamment. Je doute que tu sois le pire du lot quand il s’agit de s’emporter). Lorsque j’ai peur, je la laisse m’envahir au lieu de la maîtriser ou de la vaincre. Lorsque j’aime, j’aime à la folie au point de faire n’importe quoi. Lorsque je suis maladroit, je blesse ceux qui m’entourent sans réaliser vraiment ce que je fais. (La maladresse c’est pas une émotion) Ces journées passées sur Terre, à travailler avec mon père afin de remettre les Portes de transfert au château de Besois-Giron plutôt qu’au Manoir de ta grand-mère, Tara, à son grand soulagement d’ailleurs, m’ont beaucoup appris, parce que j’ai pu enfin parler avec mon père et qu’il m’a ouvert les yeux sur beaucoup de choses. Et notamment sur une. Le danger existe partout (oh non non non non) (ah, il était temps qu’il s’en rende compte, Moineau, comme Tara, Cal ou Robin lui avaient répété la même chose sur à peu près tous les tons). Le nier ou l’ignorer est stupide (oui, ça aussi). Me retrancher derrière ce travail de routine sur Terre était certainement le moyen le plus sûr de me rendre dingue à plus ou moins long terme. Mon père était très fâché que je puisse penser qu’il ne pouvait plus s’occuper des Portes sous prétexte qu’il avait été blessé […] De plus, le Lancovit et Omois lui ont adjoint trois sortceliers, il est tout à fait protégé à présent. J’ai donc décidé de revenir ici. Le message de Moineau est arrivé juste au moment où j’allais l’appeler afin de l’en informer. »
… Donc c’est tout ? On va vraiment forcer Fabrice à revenir dans l’intrigue et les dangers, sous prétexte que « y a du danger partout » et que « son père peut se débrouiller » ? On va vraiment sous-entendre qu’il a eu tort de vouloir se mettre en sécurité ? Que la Terre n’est pas un lieu viable ? Que vouloir faire sa vie tranquillement sans être emmerdé par du danger constant causé par notre meilleure amie, c’est mal ?
Pourquoi l’intrigue s’entête à le bâcher sans raison ?? Pourquoi Fabrice pourrait pas simplement avoir un charadevelopment où il change de vie ? Pourquoi ne pas ouvrir cette possibilité dans cet univers où les persos sont si variés ? Tout dans la narration suggérait qu’il était heureux d’être resté sur Terre ! Alors quoi, une vie heureuse selon cet univers c’est une vie remplie de batailles jusqu’à la mort ?
Eh, ça dégoûte, franchement. Une des choses que je hais le plus au monde quand je lis un livre, c’est de sentir la présence de l’auteur ou autrice. Pas en terme de préférence de personnages, parce qu’on a tous nos petits chouchous quand on écrit, mais en terme de prescriptions. Et là , je sens dans chacune de ces lignes le sourire satisfait de madame S.A.M., qui dit « Vous voyez ? Fabrice se repent, il va pouvoir de nouveau partager les aventures des autres ! Il a de la chance qu’ils l’acceptent, hein ? Hein ? »
Et le paragraphe suivant est pire
« Moineau et lui échangèrent un sourire. Celui de Fabrice disait : « Je vais te reconquérir, paisiblement, sans cris, sans crises. » Celui de Moineau répondait : « J’aimerais bien voir ça mon coco. Tu m’en as fait baver, voyons ce que tu peux faire pour réparer. »
Déjà d’une, j’en ai marre, de deux, flemme des couples hétéros qui pensent qu’ils doivent être en permanence ensemble à cause de l’étoile du destin de nique sa mère, de trois madame S.A.M a des kinks SM non assumés qui se baladent partout dans les relations de ses personnages et va falloir qu’elle arrête et qu’elle les range. De quatre, Fabrice est un souffre-douleur et ces livres sont horribles avec lui. D’ailleurs je propose un compteur « Fabrice aurait dû rester sur Terre ». Pas encore applicable maintenant, mais quelque chose me dit que les points vont grimper très vite.
Fabrice ajoute qu’il a appris pour la relation entre Moineau et Jérémy, et il se comporte comme un ex possessif, il faut qu’il ARRÊTE, puis il achève en disant que Tara peut compter sur lui parce que c’est sa meilleure amie.
Vient le tour de Cal, qui explique qu’il était en mission pour voler des documents concernant la guerre des Failles aux pays qui refusaient de les céder à Lisbeth. Tara sent qu’il a peur pour elle, sans qu’elle sache pourquoi.
« Puis l’instant passa, et Cal sourit à Robin.
— Nous avons tout ra-tissé, sans rien ra-ter, ni rafistolage.
— Oh, toi, ta goule, répliqua Robin.
Ils éclatèrent de rire tous les deux, sous le regard interloqué de leurs amis. »
Cal et Robin ont une meilleure dynamique de duo que toutes les relations interpersonnelles du magicgang réunies. Ça devrait être un ship, je rigole plus.
Robin enchaîne en expliquant qu’il a été le binôme de Cal, et que Lisbeth leur a spécifiquement demandé d’éviter de parler de leurs missions à Tara (c’est pas faute d’avoir essayé de la contacter à plusieurs reprises, n’est-ce pas, Cal ?).
Il conclut en expliquant leurs petites blagounettes à base de rats et de goules aux autres. C’est dommage, j’aurais préféré qu’ils gardent ce moment de complicité pour eux, quitte à ne pas mêler leurs amis à leur échange pour cette fois. D’autant que les lecteurs savent déjà plus ou moins à quoi leurs piques réfèrent, donc la précision est redondante. Mais bon, c’est qu’un détail.
« Tara se leva. Slurk, slurk et slurk. Si elle se montrait froide et distante, ses amis se douteraient tout de suite qu’elle préparait quelque chose, ils la connaissaient un peu trop pour se faire avoir. Si elle disait la vérité, ils refuseraient de la lâcher et mettraient tout le monde en danger, parce que, pour une fois, elle ne souffrait pas du tout du syndrome de l’héroïne-qui-est-la-seule-à-pouvoir-sauver-le-monde, c’était hélas ! exactement le cas.
Et si elle ne disait rien ? Oui, c’était ça. C’était ce qu’elle devait faire. C’était la meilleure solution. Affecter d’être triste et leur pardonner. »
1/ Oooh, okay, je vois. Les amis de Tara ne saisissent pas l’ironie de la situation. C’est pour ça qu’ils s’excusent, et c’est aussi pour ça qu’ils ne s’attendent pas à ce qu’elle en fasse de même ou leur donne des explications.
… Attends, ça a pas de sens. Elle s’est mise à distance d’eux, a ghosté Cal à plusieurs reprises, et agit probablement de manière suspecte. Ses amis, qui sont censés bien la connaître donc, ne se doutent pas du tout qu’il y a anguille sous roche ? Ils n'ont pas relevé quelques indices ? Parce qu’elle en laisse passer à la pelle. La narration les oublie apparemment, les personnages de même. Je suppose que madame S.A.M. les a zappés aussi. C’est un peu frustrant qu’un livre publié traite ses éléments scénaristiques comme des détails qu’on peut ne pas mémoriser. Faut se relire, quand même.
2/ « Si elle disait la vérité, ils refuseraient de la lâcher et mettraient tout le monde en danger, parce que, pour une fois, elle ne souffrait pas du tout du syndrome de l’héroïne-qui-est-la-seule-à-pouvoir-sauver-le-monde, c’était hélas ! exactement le cas. » Cette phrase est affreuse. Pardon, je suis peut-être un poil trop rigide quand il s’agit de syntaxe, mais vous reconnaîtrez que c’est pas ragoûtant à lire. Je ne suis même pas sûre de ce qu’elle veut dire, et ce même avec des lectures espacées de plusieurs jours. Je comprends pas.
3/ « Je veux pas mêler mes amis à ça, ils vont mettre tout le monde en danger » De… de quoi ? Les potes qui ont passé toutes ces années à t’aider, à régler des problèmes à tes côtés, voire des problèmes que TU AS CAUSÉS ? (Reine Noire, anneau démoniaque que tu as utilisé pour ramener une marée de fantômes, coucou ?). Je peux savoir pourquoi un tel manque de confiance ?
J’ai failli le louper en lisant. J’étais persuadée que Tara les écartait des confidences parce qu’elle se refusait à les mettre en danger (raisonnement qui a ses problèmes, que j’ai déjà évoqués, mais qui a au moins l’avantage de provenir d’une intention louable). Mais là, quoi ? Pourquoi ses amis seraient un obstacle ? Parce que Dark Tara pourrait s’en prendre à eux si elle venait à ressurgir ? Dans ce cas ce serait pas de leur faute. Et franchement, quand on a une entité diabolique qui menace de potentiellement revenir, être entouré est encore ce qu’il y a de plus sûr.
C’est de l’intrigue forcée pour que Tara se mette à distance de ses amis, c’est tout.
Bref, elle leur pardonne, grande princesse qu’elle est, puis l’ordimagique de Tara sonne. Sa secrétaire l’informe qu’Archange débarque dans trois jours. C’est donc un peu la merde, et c’est ce moment que Robin choisit pour la demander en mariage.
Hhhrh. Je sais que l’argument derrière est qu’une fois mariée, les autres prétendants devront nécessairement la laisser en paix, mais y a une quantité de problèmes avec cette proposition.
• Déjà, le plus profitable pour Tara en terme d’alliances serait d’opter soit pour Chem, soit pour Archange. Ultimement, c’est le choix le plus logique, les factions qu’ils représentent ne peuvent simplement pas être traitées comme quantité négligeable. On est sur une question de guerre, Tara ne peut pas se permettre de minauder. Ça ne concerne pas des clashs individuels, là, mais des peuples entiers. La proposition de Robin lui offre probablement un amour sincère (et non pas une relation uniquement basée sur l’arrangement comme les deux autres) mais malheureusement, l’amour sincère ne va pas gagner la guerre, sauf preuve du contraire.
• Il n’y a aucune raison pour que Chem/Archange (surtout Archange) accepte un mariage de Tara et Robin sans représailles. Littéralement aucune raison. Donc ils vont se retrouver bien cons face à deux peuples furieux et qui veulent se mettre sur la gueule sans qu’ils puissent influencer, par-dessus le marché.
• Pour autant qu’on sache, le mariage peut ne rien revêtir de sacré chez les démons. Et on sait depuis le chapitre 8 comment ça marche chez les dragons, qui peuvent être polygames selon certaines conditions. Donc le mariage à lui seul n’est pas une défense viable.
• De toutes les personnes, Robin a certes été le plus longtemps dans une relation avec Tara, mais huh… ils ne sont plus ensemble ? Ils ont plus ou moins cassé, une demande en mariage c’est un revirement complet. Et puis Tara a bien souligné qu’elle ne voulait pas se marier avec lui dans le tome précédent.
C’est stupide. C’est pas des intrigues, c’est de la presse people éhontée, qui veut se faire passer pour du scénario en enchaînant les petits scandales. C’est pénible à lire, franchement.
« Tara avait le cœur battant, et l’impression, plus que jamais, que Robin ne la comprenait pas. Et ne comprenait pas la situation. (Je déteste devoir dire ça, mais : you’re so right, bestie ✨ slay 💅) Cette fois-ci, pas question de se sauver, de disparaître. Elle allait affronter tout cela de front.
Avec courage.
Oh là là, c’est où, la sortie de secours ?
— Le seul souci, fit Robin en plissant ses yeux de cristal, c’est que je suis un demi-elfe. Et que les Omoisiens ont toujours insisté sur le fait que la puissance de la magie des héritiers de Demiderus devait être renforcée par des mariages avec des sortceliers humains.
— Oh, fit alors une voix joyeuse, pas de problème, je vais pouvoir vous aider !
Ils se tournèrent tous vers Cal qui venait de parler et affichait un large sourire.
— Ben oui, fit-il devant leurs regards interrogatifs. C’est simple : épouse-moi, Tara ! »
Vous êtes tous les deux cons, inutiles et à côté de la plaque, alors je vais proposer une autre solution : vous vous mariez tous les deux ensemble et vous laissez Tara en dehors de cette histoire. Ça servira mieux le scénar que ce que vous proposez.
Mais malheureusement, les deux garçons n’entendent pas cette voix de la raison que je suis, probablement parce que je ne suis pas sur le même plan de réalité qu’eux. Robin n’est pas ravi et propose à Tara de leur donner sa réponse le lendemain après avoir réfléchi. Puis les deux amoureux se barrent.
Le groupe est tout choqué puis se marre parce que gag pas drôle où Fafnir comprend pas le second degré. Bel, le Familier de Fafnir, se dit quant à lui qu’il va surveiller Archange de près et voir s’il ne peut pas faire obstacle à ses plans.
Oui, on en est là, le chat est le seul à suivre le scénario.
« — Et avec tout ça, nous n’avons pas parlé de ton problème, Moineau, je suis désolée. (Tara qui s’excuse d’avoir regardé que son nombril, ce serait Noël si elle ne passait pas son temps à infantiliser ses potes depuis le début du tome) Mais je crois bien que j’ai trouvé la solution. Voici ce que tu dois faire.
Elle exposa son plan. Tout d’abord, Moineau sembla confuse. Elle n’utilisait la Bête qu’avec parcimonie (*insérer un flashback du tome précédent où elle s’en est servi pour pousser un gueuleton contre ses potes qui voulaient la retenir de faire un truc con et dangereux*). Puis l’avantage de ce qu’avait imaginé Tara lui apparut, même si cela supposait un peu de mise en scène.
Fabrice fit un clin d’œil à son amie d’enfance. Ce plan lui plaisait vraiment, mais alors vraiment beaucoup.
Moineau sauta au cou de Tara.
— Merci, merci, c’est une idée géniale, je n’y aurais jamais pensé ! Dis donc, j’aime bien que tu sois formée par une Impératrice machiavélique tu sais ! C’est tout à fait utile, finalement !
Ils éclatèrent tous les trois de rire. »
Qu’est-ce que c’est drôle.
En vrai, je déteste ce genre de passage. « Les personnages évoquent très clairement un plan qui sera réutilisé plus tard dans l’intrigue, en termes qui sont non seulement giga vagues, pas agréables à lire mais qui sont en plus savamment calculés pour qu’on les ai oublié au moment où ce qu’ils concernent surgit ». C’est si chiant, c’est gros comme des ficelles de marin, c’est trop méta pour pouvoir seulement caractériser les persos. Je pourrais en faire un compteur, mais normalement madame S.A.M. ne fait ça que deux trois fois par tomes, donc ce serait superflu. Surtout que j’ai déjà assez de compteurs comme ça.
Bref, Tara embraye sur le sujet de Selenba. Fabrice apprend sa présence au palais, et s’agite, persuadé qu’il s’agit d’un sale coup de Magister.
« — C’est impossible ! fit Fabrice en arpentant le salon de long en large, très agité. Jamais Selenba ne le quitterait. J’ai travaillé avec lui, c’est l’être le plus tortueux, le plus compliqué, le plus sournois que j’aie jamais rencontré (ptdrrrrr c’est un petit comique ce garçon). Si Selenba est ici, c’est qu’il y a ici quelque chose qu’il veut et auquel il n’a pas accès sans elle.
Tara secoua la tête.
— Fabrice, cela fait longtemps que nous savons qu’au moins dix pour cent des courtisans sont des sangraves ou des sympathisants ou encore des gens que Magister tient d’une façon ou d’une autre. (Et c’est… Pas inquiétant ? Je sais pas, je serais pas super à l’aise de laisser tout ça se balader sans rien faire, à leur place. Après, j’ai ptêt loupé l’info, hein, j’ai lu les livres qu’une fois chacun, mais huh. « Magister contrôle une partie du palais » « C’est rien, c’est la rue », ça me paraît pas une réponse très viable.) Crois-tu sincèrement que Selenba, qui va être sous surveillance 26 heures sur 26 serait plus capable qu’un complice inconnu de nous dérober quelque chose ? Je n’y crois pas un instant… Non, je pense qu’effectivement elle veut quelque chose. Peut-être la paix ? Peut-être qu’elle en a assez de se battre et de perdre ? Depuis des années, Magister essaye de prendre le pouvoir afin de détruire les dragons. Mais Selenba, elle, les dragons, elle s’en fiche. Et surtout, ce qui me convainc le plus, c’est qu’elle a demandé à être guérie. Elle ne veut plus être une buveuse de sang humain. Ce qui signifie clairement perdre sa force et sa supériorité, devenir une vampyr comme les autres. »
C’est bien gentil, ça, ma petite cocotte, mais n’oublie-tu pas un aspect non-négligeable dans l’affaire, à savoir que c’est une crimINELLE MULTIRÉCIDIVISTE NOTOIRE ?
Genre tu butes dix mille gens, tu viens toquer au palais pour dire « Pordon :c » et le problème est réglé ? C’est quoi, ça.
Ensuite, l’intrigue essaie de nous faire croire que Tara a trop évolué depuis le tome 1 et qu’elle e=est grave une génie parce que si si, tu vois, elle voit clair derrière les plans de mariage de Lisbeth !
« — Wahou, des complots derrière les complots ! Dis donc, elle est où, la copine naïve qui jouait avec Betty et moi dans les champs ?
— Elle est toujours là, répondit gentiment Tara. Sauf que maintenant, si elle veut survivre, elle doit utiliser son cerveau. Et souvent face à des gens bien plus intelligents qu’elle. Et d’ailleurs, je vais devoir vous demander de me laisser. Je pense que Robin, comme Cal, va vouloir me convaincre et, si vous êtes là, cela va compliquer leur tâche. On se reparle plus tard. »
Si t’as pas l’intention de les épouser l’un ou l’autre, pourquoi tu veux qu’ils essaient de te convaincre… ? C’est une perte de temps, non ? Ah non, j’oubliais que c’était une mégalomane pardon ça fait sens.
Fafnir, Fabrice et Moineau s’éclipsent donc après que Tara ait décidé de ne rien faire pour la question d’Archange, et alors qu’elle s’apprête à se poser, quelqu’un qu’elle ne connaît pas se pointe à la porte de sa suite ! Han ! D:
J’essaie de réagir conformément au suspense, ça vous va ?
Oui, parce que le chapitre se finit comme ça, lol.
Bref, c’était… un chapitre de Tara, quoi. Laborieux, décousu, extrêmement long, déplaisant. Mais j’ai survécu, yay !
Et la prochaine fois, le chapitre se concentrera sur Chem !!!!! Hiiii j’ai hâte de parler de ce gros bouffon de ses morts.
La bise !
#tara duncan#french#tara duncan 10#tara duncan critique#upthebaguette#français#book criticism#book critique#critique livre#dragons contre démons#fabrice#robin#cal#moineau#gloria#selenba
11 notes
·
View notes
Text
RAS LE BOL !
Ras le bol de ces booktokeuses ou je ne sais quoi !
Quand je m’apprête à acheter un nouveau livre, j’aime regarder les différents avis des lecteurs (et vu le prix de certains livres c’est plutôt utile parfois)
Je vais donc sur des applis de lecteur, les avis Google et pour plus de rapidité les vidéos du BookTok…
Mais à qui se fier ?! Tel est la question … car maintenant, tous les livres sont décrits avec les mêmes adjectifs, les mêmes expressions … et les pires sont ceux du BookTok…
Mais quelle mascarade, quelle bande d’hypocrites…
« Ce livre c’est pépite » « il est in-croi-yable » -en découpant bien le mot s’il vous plait- « ce personnage je l’aime d’amour » « non mais regardez cette couverture, est-ce qu’on doit en dire plus ?»
Et bien oui justement ! Dis nous en plus !!
Avec leurs 40 livres lus en un mois, elles (car oui la majorité sont des filles) n’ont que ces pauvres « arguments » à nous donner? Pépite, incroyable ? N’ont elles pas acquis plus de vocabulaire, d’adjectifs? Pourtant vu les livres de NewRomance qui débordent de leur bibliothèque, elles devraient avoir de quoi décrire.. car oui elles lisent cette catégorie là pour des scènes bien précises, limite inappropriées, mais c’est un autre sujet.
Alors ces filles là sont payés, reçoivent des livres gratuitement pour en faire de la pub. Mais lisent-elles réellement le contenu ? C’est à se poser la question… il a quelques temps, j’ai acheté un livre en ayant vu des avis sur le BookTok qui promettait une ré écriture du conte de Peter Pan.. j’ai commencé ce livre et n’ai pas pu le finir … mis à part les scènes de « smut » le livre était vide …
(A croire qu’elles ne lisent qu’un seul type de livre aussi…)
Et bien souvent, une fois l’engouement, la pub faite et passée, ce livre qu’elles promettent comme leur « coup de cœur » se retrouve dans un coin de leur chambre à prendre la poussière…
Alors qu’il existe certain compte sur le BookTok où de vrais passionnés nous donnent leurs avis sur des livres qu’ils ont réellement appréciés. Et c’est dommage de voir que ces personnes là n’ont pas la visibilité qu’elles méritent…
Ah oui très important aussi de connaître le champ lexical du BookTok à base de « ennemis to lover » et « spicy », la bibliothèque Billy de chez IKEA avec les livres rangés par couleur, les petites désertes en métal sur roulettes …
Je pourrais rajouter encore plein de chose mais ce post n’aurai plus de fin ..
Voilà petit ras le bol !
#books#booktok#books and reading#reading#book#livre#livres#lecture#lecteur#reader#lectrice#hypocrisie#hypocrite
2 notes
·
View notes