#Expression du temps passé
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Les temps du passé
Le plus-que-parfait
The pluperfect is made of two words: an auxiliary (être or avoir, depending on whether the action happens to the subject's body or not) conjugated in the imperfect tense and a past participle.
j'étais, tu étais, il était, nous étions, vous étiez, ils étaient
j'avais, tu avais, il avait, nous avions, vous aviez, ils avaient
It is used to talk about the past in the past: j'avais fermé la porte quand tu es rentré - I had locked the door when you came home.
Nous étions parties - we were gone
J'avais fait la vaisselle - I had done the dishes
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L'imparfait
The imperfect, one of the most common past tenses, is made of one word and used to describe the past (former habit, historical detail, description) or a long-term action.
La maison était très grande - the house was very big
Les soldats dormaient peu - the soldiers wouldn't sleep much
J'allais nager tous les dimanches - I used to go swimming each Sunday
La conjugaison
j'allais, tu allais, il allait, nous allions, vous alliez, ils allaient
je finissais, tu finissais, il finissait, nous finissions, vous finissiez, ils finissaient
je pouvais, tu pouvais, il pouvait, nous pouvions, vous pouviez, ils pouvaient
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Le passé composé
The perfect tense is the younger sibling of the pluperfect: it is built the same way but the auxiliary is conjugated in the indicative present instead of the imperfect.
je suis, tu es, il est, nous sommes, vous êtes, ils sont
j'ai, tu as, il a, nous avons, vous avez, ils ont
For compound tenses, been (été) is added in case of a passive voice. It is used to refer to the action, a short-term event that is already done and only happened once.
Ils ont mangé les derniers raisins - they have eaten the last grapes
Je suis partie hier matin - I left yesterday morning
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Le passé simple
The simple past, usually learners' least favourite tense, is the pompous, literary equivalent of the perfect tense. It is built with a single word and the first and second-person plurals get a circumflex accent.
je fus, tu fus, il fut, nous fûmes, vous fûtes, ils furent
j'eus, tu eus, il eut, nous eûmes, vous eûtes, ils eurent
j'allai, tu allas, il alla, nous allâmes, vous allâtes, ils allèrent
je fis, tu fis, il fit, nous fîmes, vous fîtes, ils firent
je pus tu pus, il put, nous pûmes, vous pûtes, ils purent
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Le conditionnel passé
The past conditional is another compound tense: it is built with an auxiliary conjugated in the present conditional and a past participle.
je serais, tu serais, il serait, nous serions, vous seriez, ils seraient
j'aurais, tu aurais, il aurait, nous aurions, vous auriez, ils auraient
It expresses regret or a theory/fantasy.
Je serais venue tôt si tu m'avais prévenue - I would have come early if you had warned me
Il aurait voulu être un artiste - he would have wanted to be an artist
Le passé antérieur
The perfect past, another compound tense, is built with an auxiliary conjugated in our good friend the simple past and a past participle.
je fus, tu fus, il fut, nous fûmes, vous fûtes, ils furent
j'eus, tu eus, il eut, nous eûmes, vous eûtes, ils eurent
It is only found in old novels and expresses the anteriority of an action compared to the one that follows: it is a posh version of the pluperfect.
Il eut vite choisi un cadeau - he quickly picked a gift
Je fus étonnée de te voir à la fête - I was surprised to see you at the party
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Le passé récent
The recent past is built with the verbal phrase venir de conjugated in the indicative present and followed by an infinitive.
je viens de, tu viens de, il vient de, nous venons de, vous venez de, ils viennent de
It is very common and refers to an action that just happened.
Je viens de finir de manger - I just finished eating
Nous venons de rentrer - we just got home
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L'impératif passé
The past imperative is built with an auxiliary conjugated in the present imperative, an absence of pronoun, and a past participle. It only exists in the second-person singular and first and second-person plurals.
sois, soyons, soyez
aie, ayons, ayez
It expresses the anteriority of an action (order, prohibition, suggestion, plea) compared to the one that follows]
Aie rangé ta chambre avant que je rentre - have your room tidied before I get home
Soyez partis pour neuf heures - be gone by nine
N.B. This is not that common anymore especially for avoir, natives typically will use tu as intérêt à être/avoir--- (you better be/have---) or use another verb to sound more polite: essayez d'être partis pour neuf heures - try to be gone by nine
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L'infinitif passé
The past infinitive is another compound tense built with an auxiliary conjugated in the present infinitive and a past participle.
être
avoir
It expresses the anteriority of an action accomplished before the one that follows and is mostly used in written instructions.
Être levé à l'heure est important - being up on time is important
Avoir garder la cuisine propre est attendu svp - keeping the kitchen clean is expected please
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Le participe passé
The past participle is the second element of compound tenses to express an action that happened in the past.
-s, -se, -s, -ses
-ø, -e, -s, -es
-us, -ute, -us, -utes
It works like an adjective, is often short and contains many irregular verbs.
Elle a fait ses valises - she has packed her suitcase
Ils ont ouvert la porte - they have opened the door
Nous sommes morts - we are dead
Movie: La Belle et la Bête - Jean Cocteau, 1946
Fanmail - masterlist (2016-) - archives - hire me - reviews (2020-) - Drive
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01/11/2024 (French)
Aujourd'hui, je suis un peu fatigué, donc j'ai pas fait grand-chose. Mais il y a deux jours, j'ai regardé le film Amélie (2001) avec mon mari, alors j'ai décidé de l'utiliser pour étudier. Cet aprèm, j'ai trouvé environ huit vidéos sur YouTube sur le film et je les ai utilisées pour trouver du nouveau vocabulaire ou des phrases courantes. Voici mes notes tirées de ces vidéos : Croiser - pass by Ça arrive - It happens Ça t’est déjà arrivé ? - Has that ever happened to you? Ça m’arrive de temps en temps - That happens to me sometimes C’est comme si... - it’s as if Rendre visite - visit a person Futur proche = utilisé plus fréquemment que le futur simple à l'oral On = utilisé plus fréquemment que « nous » dans les conversations Un type - a guy (slang) En gros - basically Bref - long story short Au fur et à mesure - bit by bit Une ardoise - tab or slate Un chef-d’œuvre - masterpiece
Les expressions du temps : Dans + durée - pour exprimer le temps qui nous sépare d’un événement qui n'a pas encore eu lieu e.g. Le film commence dans 5 minutes. e.g. Dans 48 heures, le destin d’Amélie Poulain va basculer.
Depuis + durée / date - pour exprimer la durée d’un événement qui continue au moment où l’on parle e.g. Je vis à Londres depuis 2015 (date) e.g. Je vis à Londres depuis 9 ans (durée du temps) e.g. La femme du voisin, dans le coma depuis des mois… e.g. Depuis toujours !
En + durée - pour indiquer le temps nécessaire pour accomplir une action e.g. J’ai fait ma valise en 10 minutes e.g. En une seconde, tout revint à la mémoire de Bretodeau
Pendant - pour exprimer la durée d’une action (dans le présent, le passé ou le futur) e.g. J’ai attendu pendant une heure e.g. J’avais pris du crack pendant que j’étais enceinte.
Ça fait + durée - pour indiquer le temps qui nous sépare d’un événement passé et accompli e.g. Ça fait un an que je n’ai pas voyagé e.g. Ça fait vingt ans qu’il évite de sortir de chez lui e.g. Ça fait longtemps qu’il fait cette collection ?
Il y a - pour indiquer la durée entre un événement passé et accompli et le moment où l’on parle e.g. Il y a 10 ans, je vivais à Paris e.g. Il y a une quarantaine d’années
Pour + durée - pour expliquer une durée dans le futur e.g. Je pars pour 10 jours.
La plupart de ces informations ne sont pas nouvelles pour moi, mais les vidéos étaient bonnes pour les révisions et pour une journée moins oú j'étais moins motivé.
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Pour trouver sa propre vérité
Trouver sa propre vérité est un thème important pour Claudia, Viren mais aussi Callum. Mais je vais parler de Callum d'abord, dans l'acte 1, il a été introduit comme un jeune homme incapable d'atteindre les attentes de son rôle en tant que prince. Mais quand il a utilisé la magie, il a l'impression d'être bon en quelque chose. Du coup il veut essayer mais Lujanne lui a dit que comme il n'a pas de connexion à un arcanum. Mais malgré tout, il veut quand même essayé. Et du coup essaie de comprendre l'arcanum du ciel. Il se sent impuissant quand il faut sauver Pyrrha bien qu'il décide quand même d'y aller en utilisant la magie noire. Dans son cauchemar, il ne sait pas où aller et se sent perdu. Toutefois arrive le passage où son côté sombre le tente à la magie noire.
Qu'est ce qu'il y a de si mal à la magie noire ? Si ça peut aider ses amis ? Et avec ça, il aura un pouvoir illimité. Et Callum a failli le prendre mais Harrow intervient lui rappelant qu'il est libre et en voyant son côté sombre. Ce dernier refuse et dit que ce sera à lui d'écrire son destin. Et le fait que justement il a dû mal à respirer fait justement parallèle à son père biologique Damien qui avait un maladie respiratoire. Mais aussi Sarai qui sera toujours là pour lui même si elle est plus là. Ce qui lui permet de comprendre l'arcanum du ciel et utiliser le sort aspiro.
La découverte de soi même
Ce qui est aussi important de noter c'est que le voyage de Callum est aussi une découverte de soi même. Il comprend qu'il peut être courageux, aider les autres, voir que ses préjugés étaient faux et renforcer ses principes moraux. C'est aussi parce qu'il a eu la possibilité de voyager, de découvrir Xadia qu'il a pu évoluer et grandir. Mais aussi apprendre à connaître Rayla et finissant petit à petit à tomber amoureux d'elle lui faisant pousser des ailes. D'ailleurs on a une expression qui dit que l'amour donne des ailes et c'est ce qui s'est passé dans le final de la saison 3. Puis arrive la saison 4 où on apprend que Rayla a parti et que ça l'a affecté émotionnellement, Callum n'était pas prêt de lui parler quand elle est venue dans son bureau. Mais j'avais bien aimé la manière dont était géré leur relation dans la saison 4, ils avaient besoin de temps pour enfin comprendre que oui, l'un et l'autre sont là et n'ont pas l'intention de partir.
En revanche, la magie se retourne contre lui quand Aaravos prend possession de lui. L'horreur et la peur que quelque chose puisse arriver à ses proches. Et demande à Rayla de le tuer, elle refuse de le tuer car elle vient tout juste de le retrouver et ne veut pas le perdre. Elle croit qu'il pourra le surmonter car Rayla a été témoin des épreuves qu'il a enduré. Mais c'est quelque chose qui hante Callum et dans l'épisode de Finnegrin, Finnegrin est l'incarnation de la tentation. Il refuse de donner ce qu'il veut car leur point de vue sur la liberté se diffère (J'en parle plus ici). Pour lui la liberté lui a permit de faire ce qui semblait être inconcevable : utiliser la magie primale. Finnegrin prend la liberté des autres pour les contrôler. Et il refuse que sa liberté soit volé par Domina Profundis. Mais avec Finnegrin lui fait comprendre qu'il n'est pas un mage primale mais un mage noire. Et le pousse jusqu'à l'atteindre en s'attaquant à Rayla. Et bien qu'il a pu se libérer de ses chaînes, il a de nouveau utiliser la magie noire. Pourtant malgré tout ça, il a pu se connecter à l'arcanum de l'océan en lâchant prise comprenant qu'il pouvait pas tout contrôler. Pour lui, c'est un échec !
Le côté sombre de Callum
La saison 6 est assez intéressante car son moral est au plus bas, entre les cauchemars qu'il a d'Aaravos et le fait qu'il n'arrive plus à dormir. Il est du coup plus sensible et réagit souvent au quart de tour. Il en devient parano et on a vu dans la saison 4 dans le premier épisode, que ses craintes peuvent être dangereuses quand il croit qu'Ezran est en danger. Ou bien que Callum est fermé émotionnellement parlant. Mais aussi quand il s'est énervé contre Finnegrin pour s'en être prit à Rayla. Il utilise différentes solutions comme créer une couverture empêchant à Aaravos de le manipuler. Après on peut se demander pourquoi c'est aussi grave qu'il utilise la magie noire alors que Viren et Claudia l'ont plus utilisé que lui ? Dans sa tête, c'est pas une bonne chose et dans ses cauchemars, son subconscient empire la chose et ce qui pourrait lui arriver. Quand Cosmos lui révèle que la perle qu'il a amené est un leurre. C'est trop pour lui même quand on lui dit qu'il y a une solution pour le purifier de la magie noire. Il n'a plus le courage de le faire c'est pour ça que Cosmos lui ment et lui permettre de passer le rituel de purification. Dans ce passage, Callum se pose des questions mais ne voit que les ténèbres ne pouvant voir sa constellation. Mais la constellation de Rayla le guide pour être sa vérité. Ce qui lui permet de retrouver une certaine stabilité émotionnelle !
Tu dois me tuer
Donc est ce que ça veut dire que Callum est hors de danger ? Pas vraiment, dans la scène du bateau, Callum a avoué qu'il a utilisé la magie noire. Le ton monte et quand il révèle qu'il a fait ça pour elle. Elle n'aime pas ça, elle sait que Callum tient à faire ce qui est juste et ne veut pas qu'il la priorise. Ce qui est récurrent avec elle dans Lux Aurea, elle veut pas prioriser son envie de revoir sa famille au détriment de la mission principale. Et après s'être échappés du bateau, il lui parle de faire ce qui est bien et demande de le tuer si jamais Aaravos prend possession de lui. Bien qu'il a fait le rituel de purification, ça veut pas dire pour autant qu'Aaravos peut pas l'attaquer émotionnellement. Callum était obsédé à l'idée de se débarrasser d'Aaravos. Donc si il apprend que la perle qu'il a donné est un leurre, il risque de faire une crise d'angoisse. Mais du coup il essaierait justement de trouver une solution pour le voir partir pour de bon. Par contre, je pense pas qu'emprisonner à nouveau Aaravos ou bien le tuer va résoudre quoi que ce soit. La conclusion entre ces deux là, sera sûrement quelque chose dont on s'y attend pas. Donc faudrait voir pour la dernière saison de la série.
To find your own truth
Finding one's own truth is an important theme for Claudia, Viren but also Callum. But I'll talk about Callum first, in Act 1 he was introduced as a young man unable to live up to the expectations of his role as prince. But when he uses magic, he feels he's good at something. So he wants to try, but Lujanne tells him that since he has no connection to an arcanum, there's no way a human can learn primal magic. But despite this, he still wants to try. And so he tries to understand the sky arcanum. He feels helpless when it comes to saving Pyrrha, although he decides to go anyway, using dark magic. In his nightmare, he doesn't know where to go and feels lost. But then comes the part where his dark side tempts him to use dark magic.
What's so bad about dark magic? If it can help his friends? And with it, he'll have unlimited power. And Callum almost takes it, but Harrow intervenes, reminding him that he's free and seeing his dark side. He refuses and says it's up to him to write his own destiny. And the fact that he's having trouble breathing draws a parallel with his biological father Damien, who had a breathing illness. But also Sarai, who will always be there for him even if she's no longer there. This enables him to understand the sky arcanum and use the aspiro spell.
Learning about yourself
What's also important to note is that Callum's journey is also one of self-discovery. He understands that he can be courageous, help others, see that his prejudices were wrong, and strengthen his morals. It's also because he had the opportunity to travel and discover Xadia that he was able to evolve and grow. But it was also because he got to know Rayla and gradually fell in love with her that he grew wings. In fact, there's a saying that love gives you wings, and that's what happened in the season 3 finale. Then comes season 4, when we learn that Rayla has left and that this has affected her emotionally, and Callum wasn't about to talk to her when she came into his office. But I liked the way their relationship was handled in season 4, they needed time to finally understand that yes, both of them are here and have no intention of leaving.
However, the magic turns against him when Aaravos takes possession of him. The horror and fear that something might happen to his loved ones. He asks Rayla to kill him, but she refuses because she's only just found him and doesn't want to lose him. She believes he'll be able to overcome it because Rayla has witnessed the trials he's endured. But it's something that haunts Callum, and in the Finnegrin episode, Finnegrin is the embodiment of temptation. He refuses to give what he wants, because their views on freedom differ (more on that here). For him, freedom has enabled him to do what seemed inconceivable: use primal magic. Finnegrin takes the freedom of others to control them. And he refuses to let his freedom be stolen by Domina Profundis. But Finnegrin makes him understand that he's not a primal mage, but a dark mage. And pushes him to the point of attacking Rayla. And although he was able to free himself from his chains, he once again used dark magic. Yet despite all this, he was able to connect to the ocean's arcanum and let go, understanding that he couldn't control everything. For him, it was a failure.
The Dark Side of Callum
Season 6 is quite interesting because his spirits are low, between the nightmares he has of Aaravos and the fact that he can't sleep. As a result, he's more sensitive and often reacts out of the blue. He becomes paranoid, and we saw in the first episode of season 4 that his fears can be dangerous when he believes Ezran is in danger. Or that Callum is emotionally closed off. But also when he got angry at Finnegrin for going after Rayla. He uses various solutions, such as creating a cover to prevent Aaravos from manipulating him. But why is it so serious that he uses dark magic when Viren and Claudia have used it more than he has? In his head, it's not a good thing, and in his nightmares, his subconscious is making it worse for him. When Cosmos reveals to him that the pearl he's brought along is a decoy. It's too much for him even when he's told there's a solution to purify him of the dark magic. He no longer has the courage to do it, so Cosmos lies to him and allows him to pass the purification ritual. In this passage, Callum asks himself questions but sees only darkness, unable to see his constellation. But Rayla's constellation guides him to his truth. This allows him to regain some emotional stability!
You have to kill me
So does that mean Callum's out of the picture? Not really, in the boat scene, Callum confessed to using dark magic. Tensions flare when he reveals that he did it for her. She doesn't like it; she knows Callum wants to do the right thing and doesn't want him to put her first. This is a recurring theme with her in Lux Aurea, she doesn't want to prioritize her desire to see her family again over the main mission. And after escaping from the ship, he talks to her about doing the right thing and asks her to kill him if Aaravos ever takes possession of him. Even though he's done the purification ritual, that doesn't mean Aaravos can't attack him emotionally. Callum was obsessed with getting rid of Aaravos. So if he learns that the pearl he gave him is a decoy, he's likely to have an anxiety attack. But then he'd be trying to find a solution to see him go for good. On the other hand, I don't think that imprisoning Aaravos again or killing him will solve anything. The conclusion between these two will surely be something we don't expect. So we'll have to wait and see for the final season of the series.
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Considered one of the greatest skating pairs of all time, Tessa Virtue and Scott Moir spent nearly a decade at the top of their sport to become the most decorated ice dancers in the world. Over more than two decades of extraordinary athletic partnership, Tessa and Scott became the first and only ice dance team to win every major international junior and senior skating competition. At the height of their success between 2008 and 2019 they took home a record-setting five Olympic medals, three World Championships, eight Canadian National Championships and won the Four Continents Championship three times. The pair first skated into the hearts of Canadians at the Olympic Winter Games in 2010, thrilling crowds in Vancouver as they became the youngest athletes and first North Americans to win Olympic Gold in ice dancing. Nearly a decade later Tessa and Scott secured their iconic status with a beguiling Gold medal performance that smashed the world record for overall score in free dance at the 2018 Olympic Winter Games in Pyeongchang.
Growing up in London, Ontario, Tessa took to the ice at the age of six after deciding she didn’t want to be the only student in her class who couldn’t skate during a school field trip. Raised in a figure skating family in nearby Ilderton, Ontario, Scott had been skating since he was three years old, coached by his mother Alma and his aunt Carol. First collaborating in 1997 when Tessa was seven years old and Scott was nine, the pair were initially so shy they could barely talk to each other. Building confidence while developing undeniable on-ice chemistry, Tessa and Scott shared a commitment to excellence that continually helped them overcome adversity. The two made enormous sacrifices to hone their craft, embracing success and failure as equal opportunities for growth and turning vulnerability into compelling artistry. Training rigorously to perfect innovative choreography, they pushed boundaries by approaching ice dancing as both creative expression and high performance sport, skating with an emotional sincerity that captivated audiences around the world.
After raising the profile of ice dancing to breathtaking new heights, Tessa and Scott retired from competitive skating in 2019. Since then, Scott has served as head coach and managing director of the Ice Academy of Montreal’s satellite program in London, Ontario. He has also been a vocal advocate for diversity and inclusivity in skating. Tessa completed both an MBA from the Smith School of Business, and a Master of Applied Positive Psychology from the University of Pennsylvania. Tessa is an executive advisor at Deloitte, where she helps to unlock the potential of the Canadian workforce in the realm of high performance and wellbeing. She also serves on the board for Her Mark, a charity that empowers young girls through the power of sport, and Motionball, an organization that fundraises for Special Olympics athletes.
Considérés comme l’un des plus grands couples de patinage artistique de tous les temps, Tessa Virtue et Scott Moir ont passé près d’une décennie au sommet de leur sport pour devenir les danseurs sur glace les plus primés du monde. Au cours de leur partenariat sportif extraordinaire qui a duré plus de deux décennies, Tessa et Scott sont devenus la première et la seule équipe de danse sur glace à remporter toutes les compétitions majeures internationales de patinage artistique junior et senior. À l’apogée de leur succès, soit entre 2008 et 2019, ils remportent un nombre record de cinq médailles olympiques, trois Championnats du monde, huit Championnats nationaux canadiens et ils remportent également le Four Continents Championship à trois reprises. Le couple a conquis les cœurs des Canadiens lors des Jeux olympiques d’hiver de 2010, enthousiasmant les foules à Vancouver en devenant les plus jeunes athlètes et les premiers Nord-Américains à remporter l’or olympique en danse sur glace. Près d’une décennie plus tard, aux Jeux olympiques de 2018 à Pyeongchang, Tessa et Scott consolident leur statut emblématique en donnant une performance enlevante qui leur vaudra la médaille d’or et qui pulvérise alors le record du monde pour la note globale obtenue en danse libre.
Tessa a grandi à London, en Ontario et a commencé à patiner à l’âge de six ans après avoir décidé lors d’une sortie scolaire qu’elle ne serait pas la seule élève de sa classe incapable de patiner. Élevé dans une famille de patineurs artistiques, non loin de là, à Ilderton, en Ontario, Scott a commencé à patiner dès l’âge de trois ans. Sa mère Alma et sa tante Carol ont été ses premières entraîneures. La première collaboration du couple survient en 1997 alors que Tessa a sept ans et Scott neuf ans. Ils sont alors si timides qu’ils arrivent à peine à se parler. Gagnant en confiance au fur et à mesure qu’ils développent leur complicité indéniable sur la glace, Tessa et Scott partagent un engagement envers l’excellence qui les a constamment aidés à surmonter l’adversité. Ils ont tous deux fait d’énormes sacrifices pour perfectionner leur art, en embrassant les succès et les échecs comme des opportunités égales de croissance et en transformant la vulnérabilité en un style artistique saisissant. S’entraînant rigoureusement pour perfectionner des chorégraphies innovantes, ils ont repoussé les limites en abordant la danse sur glace à la fois comme une expression créative et un sport de haute performance, patinant avec une sincérité émotionnelle qui a captivé les publics du monde entier.
Après avoir élevé le profil de la danse sur glace à de nouveaux sommets époustouflants, Tessa et Scott ont pris leur retraite de la compétition en 2019. Depuis lors, Scott occupe le poste d’entraîneur en chef et de directeur général du programme satellite de l’Académie de glace de Montréal à London, en Ontario. Il a également été un ardent défenseur de la diversité et de l’inclusivité dans le patinage. Tessa a obtenu un MBA de la Smith School of Business ainsi qu’une maîtrise en psychologie positive appliquée de l’Université de Pennsylvanie. Tessa est conseillère exécutive chez Deloitte, où elle contribue à libérer le potentiel de la main-d’œuvre canadienne dans le domaine de la haute performance et du bien-être. Elle siège également au conseil d’administration de Her Mark, une association caritative qui autonomise les jeunes filles par le biais du sport, et de Motionball, un organisme qui recueille des fonds pour les athlètes d’Olympiques spéciaux.
Canada’s Sports Hall of Fame is honoured to be presenting Tessa Virtue and Scott Moir with the prestigious Order of Sport award on Thursday, October 19, 2023 as a member of the incredible Class of 2023.
—Order of Sport
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Hier, j'ai fait une crise d'angoisse. C'était étroitement lié au fait que ce soit mon anniversaire. Si ce jour ne me remplit pas de joie, il me remplit de peine. Il y a un peu tout qui m'est revenu en pleine face. Je repense intensément chaque année à cette date, à mes 18 ans passés à l'hôpital psychiatrique. Ça a été un évènement compliqué pour moi, doublé d'une période extrêmement sombre. Des fois, ce mal-être me manque, enfin, son expression me manque. Triste, je le serai sûrement toute ma vie et j'en ai fait le deuil, en revanche, je n'ai plus le droit de le montrer ou l'exprimer. Du moins plus de manière aussi malsaine. J'ai l'impression que ça n'a jamais existé tellement ça a été grave et tellement ça a été banalisé par la suite. Je ne sais pas si faire comme si ça n'avait jamais existé est la bonne voie, pourtant, j'y peux rien. J'y peux rien parce que c'est si rassurant pour mes proches de me voir aller mieux ou moins mal qu'ils occultent tout ça. Alors hier je repensais beaucoup à l'effort que c'est de se relever et donner l'effet que je vais tellement bien que c'est pas possible que j'ai été aussi mal. C'est terrifiant par moment quand je prends le temps de voir quel danger j'ai pu être pour moi et savoir que j'aurai toujours ce pouvoir de me dévaster si un jour je craque. J'ai toujours eu peur des autres mais jamais autant que j'ai peur de moi. La seule chose que je traine suite à tout ça c'est la fatigue. Une terrible fatigue insidieuse et viscérale. Quoique je fasse ça me demande tellement d'énergie que j'en ressors vidée. Peu importe ce qu'il se passe dans ma vie, je suis à la ramasse, épuisée, j'attends. Habitée seule m'a offert une vision du temps qui m'angoisse. Tout ce temps passer à attendre que le temps passe. À attendre d'aller en cours, d'aller dormir, d'aller en partiel. Le formel m'anime. Chaque année un peu plus. C'est pour ça que j'ai toujours été facilement dépendante à la moindre chose qui pouvait changer cette inexorable attente. Au fond, ce que j'aime c'est pas ce qui me fait passer le temps plus vite, c'est que le temps passe plus vite. Et ça je l'ai compris après ma première rupture. J'aimais la sensation de rapidité, de réduction de la fatalité et de l'ennui, mais pas forcément l'objet qui me permettait d'y accéder. Les gens ne seraient que des moyens alors dans cette façon de voir les choses. C'est peut-être mieux comme ça.
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Destinée Ensorcelée
Chapitre 11 : Le monstre des rêves
Attention ce chapitre contient une scène 🔞 si vous n'êtes pas a l'aise avec ça ne lisez pas.
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
L'après-midi était calme chez Ganny's, le petit café emblématique de la ville. Regina, Emma, Lilia, Lucillia, Agatha, Ivana, David, et Henry étaient tous réunis autour des tables en bois usées par le temps, discutant de tout et de rien. L'ambiance chaleureuse était ponctuée par le doux parfum du café fraîchement moulu et le léger grincement de la porte à chaque client qui entrait.
Soudain, la porte s'ouvrit brusquement, et une silhouette imposante fit irruption. C'était Rio, une présence aussi glaciale qu'inattendue. Ses yeux perçants balayèrent la pièce avant de se poser sur Ivana, qui, loin de se démonter, se leva lentement, les poings serrés.
« Qu'est ce que ? » cracha Ivana, un mélange de colère et de défi dans la voix.
Rio avança d'un pas, un sourire en coin. « Tu pensais vraiment que je ne viendrais pas ? Cette ville n'est pas assez grande pour toi et moi, Ivana. »
Avant que quiconque puisse intervenir, les deux femmes s'affrontèrent dans une lutte acharnée, mêlant coups violents et mouvements précis. La force brute de Rio semblait dominer au début, mais Ivana, agile et déterminée, ripostait avec une rage qui trahissait leur passé conflictuel.
Regina, jusque-là spectatrice, se leva brusquement. Ses yeux étincelèrent d'un éclat magique.
« Ça suffit ! » lança-t-elle d'une voix qui résonna dans tout le café.
Elle tendit une main, et une onde de magie violette enveloppa Rio, la propulsant violemment contre un mur. Rio se releva avec difficulté, un rictus de frustration sur le visage.
« Je ne te laisserai pas faire, » dit Regina d'un ton glacial. « C'est ma ville, et tu ne feras pas régner le chaos ici. »
Rio fixa longuement Regina, ses yeux brûlant de colère. Puis elle observa Ivana, qui se tenait toujours prête à se battre, le souffle court mais le regard aussi tranchant qu'une lame.
Après un moment, Rio recula, son expression changeant subtilement. Elle comprit que s'attaquer à Ivana avec toute cette protection ne serait pas aussi simple qu'elle l'avait cru.
« Ce n'est que partie remise, » murmura-t-elle avant de tourner les talons et de quitter le café dans un claquement de porte.
Le silence retomba lourdement sur la pièce. Tous les regards se tournèrent vers Ivana, dont le poing était encore crispé, et vers Regina, qui relâcha lentement son sort, l'air fatiguée mais déterminée.
« C'était quoi, ça ? » demanda Henry, brisant enfin le silence.
Regina et Ivana échangèrent un regard complice mais chargé de non-dits.
« Un avertissement, » répondit Regina, la mâchoire serrée. « Mais elle reviendra. »
Le silence pesant qui suivit le départ de Rio fut brisé par une voix hésitante.
« Je... je la connais. »
Tous les regards se tournèrent vers Agatha, dont le visage était pâle, ses mains tremblant légèrement. Ivana fronça les sourcils, visiblement confuse.
Agatha déglutit, évitant d'abord son regard, puis planta ses yeux emplis de culpabilité dans ceux d'Ivana.
« Rio... c'est... c'est mon ex. »
Un souffle d'étonnement traversa la pièce. Ivana resta immobile, son visage figé entre surprise et incompréhension.
« Ton ex ? » répéta-t-elle, ses yeux se plissant. « Et pourquoi est-ce qu'elle veut s'en prendre à moi, alors ? Qu'est-ce que j'ai fait ? »
Agatha secoua la tête frénétiquement, son regard suppliant.
« Je n'en sais rien, Ivana. Je te le jure.»
Le doute passa dans les yeux d'Ivana, mais elle resta silencieuse, croisant les bras comme pour se protéger. Agatha, incapable de supporter cette distance entre elles, s'approcha lentement, chaque pas une tentative de se racheter.
« Ivana... je suis désolée, » murmura-t-elle. « Je ne voulais pas te cacher ça. Je... je ne savais même pas qu'elle était ici, dans cette ville. Je... je ne veux pas te perdre à cause d'elle. »
Agatha était maintenant si proche qu'Ivana pouvait sentir la chaleur de sa présence. Elle leva une main tremblante, hésita, puis la posa doucement sur l'épaule d'Ivana.
« Je resterai près de toi, quoi qu'il arrive. Je ne te laisserai pas affronter ça seule. »
Ivana la regarda, un mélange de colère et de tendresse dans les yeux. Elle soupira, relâchant un peu la tension dans ses épaules.
« Tu ferais mieux de me dire tout ce que tu sais sur elle, Agatha, » dit finalement Ivana
Agatha hocha la tête, mais au lieu de répondre tout de suite, elle glissa ses bras autour d'Ivana, la tenant avec une force presque désespérée.
« Je te promets que je ne te laisserai pas tomber, » murmura-t-elle, sa voix tremblant d'émotion.
Ivana, surprise par ce geste, resta raide un instant avant de céder à son propre besoin de réconfort. Elle posa une main hésitante sur le dos d'Agatha, laissant un soupir échapper de ses lèvres.
« Tu as intérêt à tenir cette promesse, Agatha, » répondit-elle doucement, mais avec un avertissement dans la voix.
Autour d'elles, les autres observaient la scène en silence, certains gênés par l'intimité du moment, d'autres, comme Regina, déjà en train de réfléchir à la manière de se préparer à ce qui les attendait.
Mais pour Ivana et Agatha, il n'y avait que cet instant, un fragile équilibre entre peur et confiance, qu'elles espéraient ne pas briser.
Alors qu'Agatha serrait encore Ivana contre elle, tentant de calmer ses propres tremblements, la voix tranchante de Regina brisa le moment.
« Tu aurais vraiment pu mieux choisir tes ex, Agatha. »
Le ton était glacial, empreint de reproche, et Regina croisa les bras en fixant Agatha avec une sévérité qui fit frissonner toute la pièce.
Agatha se redressa lentement, relâchant Ivana à contrecœur. Elle tourna son regard vers Regina, ses yeux désormais remplis d'une étrange étincelle, mi-amusée, mi-menaçante.
« C'est bon, Regina. Je sais que tu adores juger, mais je n'ai pas prévu qu'elle débarque ici pour semer le chaos. »
Regina ne baissa pas les yeux, avançant d'un pas vers Agatha, son aura magique commençant à s'intensifier autour d'elle.
« Je m'en fiche, Agatha. Elle a osé s'en prendre à Ivana, à ma ville. Si elle revient, crois-moi, je vais la tuer. »
Un silence lourd s'abattit. Emma et les autres échangèrent des regards inquiets, sentant la tension grimper entre les deux femmes. Mais Agatha, loin de se laisser impressionner, éclata d'un rire bref, presque moqueur.
« Tu veux tuer Rio ? » dit-elle, un sourire énigmatique sur les lèvres. « Je déteste te décevoir, Regina, mais tu ne peux pas tuer la mort. »
Les mots résonnèrent dans la pièce comme une sentence.Regina arqua un sourcil, une lueur de défi dans le regard.
« La mort ? C'est ça que tu appelles ? Une ex hystérique et vengeresse ? Ne me dis pas que tu as vraiment fricoté avec... ça. »
Agatha soutint son regard, cette fois plus sérieuse.
« Tu crois que je plaisante ? Tu as vu ce qu'elle peut faire. Rio n'est pas une simple mortelle, ni même une sorcière ordinaire. Elle est... bien plus. »
Regina s'arrêta, la mâchoire serrée. Le sérieux dans la voix d'Agatha lui fit comprendre qu'il s'agissait de quelque chose de beaucoup plus sombre qu'elle n'avait imaginé.Ivana, restée silencieuse jusque-là, posa une main sur le bras d'Agatha.
« Agatha, qu'est-ce que tu veux dire par "la mort" ? Qui est vraiment Rio ? »
Agatha détourna les yeux, comme si elle hésitait à répondre. Mais finalement, elle fixa Ivana avec un mélange de peur et de résignation.
« Elle est... une incarnation. Une puissance. Je ne sais pas comment expliquer, mais elle ne peut pas être détruite. Pas par nous. »
Regina haussa les épaules, un sourire sarcastique aux lèvres.
« On verra bien. Si elle revient, crois-moi, je trouverai un moyen. Peu importe qui elle est. »
Agatha soupira profondément, passant une main dans ses cheveux.
« Tu peux essayer, Regina. Mais ce genre de combat... on en sort rarement indemne. »
Les deux femmes continuèrent à se toiser, une tension palpable entre elles. Mais dans un coin de la pièce, Ivana fixait Agatha, la peur grandissant dans son regard. Car si Rio était vraiment "la mort", alors le danger qu'elle représentait était bien plus grand qu'elles ne l'avaient imaginé.
☆○o。 。o○☆
La nuit était tombée depuis plusieurs heures, enveloppant la maison d'un calme presque surnaturel. Tout le monde dormait profondément, les respirations régulières et le silence seulement troublé par le léger bruissement des feuilles à l'extérieur. Lucillia, épuisée par les événements de la journée, était plongée dans un sommeil agité.Cependant, son esprit ne trouvait pas le repos.
Dans son rêve, les ténèbres semblaient l'engloutir. Une épaisse brume noire s'insinuait autour d'elle, l'enveloppant comme une étreinte glaciale. Elle tentait de bouger, de s'échapper, mais ses pieds étaient cloués au sol. Une voix basse, rauque et indistincte résonnait dans la pénombre, des murmures incompréhensibles mais terrifiants.
Les ombres commencèrent à s'étirer, formant des silhouettes menaçantes aux contours indistincts. Le froid était saisissant, pénétrant jusque dans ses os. Une force invisible l'attirait, inexorablement, vers un abîme sans fin.Puis, tout devint noir.
Lucillia se réveilla brutalement, haletante, son cœur battant à tout rompre. Elle était en sueur, ses draps collant à sa peau. Elle passa une main tremblante sur son visage pour chasser les restes du cauchemar. Mais quelque chose n'allait pas.
Elle sentit une présence.Son regard se tourna instinctivement vers le coin de sa chambre, où l'obscurité semblait plus dense, plus lourde qu'ailleurs. Elle plissa les yeux, tentant de discerner ce qui s'y trouvait, et soudain, elle la vit.
Une ombre, indistincte mais indéniablement humaine, se mouvait lentement vers la porte. Elle glissait plutôt qu'elle ne marchait, ses mouvements silencieux et fluides.Lucillia se figea, son souffle coupé. Elle voulut crier, mais aucun son ne sortit de sa gorge.
L'ombre s'arrêta un instant, comme si elle avait senti son regard. Un frisson glacé parcourut le corps de Lucillia. Puis, sans un bruit, elle franchit la porte et disparut dans le couloir.
Restant immobile quelques instants, Lucillia se força à respirer, reprenant lentement ses esprits. Ce n'était pas qu'un rêve. Quelque chose – ou quelqu'un – avait vraiment été là.
Elle se redressa dans son lit, les mains tremblantes.
« Qu'est-ce que c'était ? » murmura-t-elle pour elle-même, sa voix presque inaudible.
Sans réfléchir, elle se leva, ses pieds nus touchant le sol froid, et se dirigea vers la porte. Elle hésita avant de l'ouvrir, le couloir plongé dans l'obscurité lui semblant encore plus menaçant que son cauchemar.Mais elle savait qu'elle ne pourrait pas ignorer ce qui venait de se passer.
Une brise légère fit trembler les rideaux d'une fenêtre entrouverte au bout du couloir, et un faible murmure, comme un écho lointain, sembla lui parvenir. Un avertissement, ou une menace ? Elle n'aurait su le dire.Ce qu'elle savait, c'est que les ténèbres de son rêve avaient peut-être commencé à se frayer un chemin dans la réalité.
☆○o。 。o○☆
Lilia se trouvait dans une grande salle illuminée par des lustres scintillants. L'atmosphère était à la fois chaleureuse et étrange, comme si tout était légèrement déformé. Elle reconnaissait l'endroit : c'était une pièce dans le château, un lieu qu'elle associait à des souvenirs agréables. Pourtant, quelque chose dans l'air semblait... faux.Elle avançait doucement, ses pas résonnant sur le sol en marbre. Des voix flottaient dans l'air, lointaines mais distinctes, et l'une d'elles fit tressaillir son cœur.
C'était Lucillia.
Elle suivit le son, son rythme s'accélérant, jusqu'à ce qu'elle atteigne une arche voûtée. Au-delà, elle vit une scène qui lui fit l'effet d'un coup de poignard.Lucillia était là, debout près de la cheminée, un sourire doux sur les lèvres. Et en face d'elle se tenait Regina, ses traits illuminés par une lueur qu'elle n'avait jamais vue auparavant. Elles parlaient doucement, leurs mots indistincts, mais l'intimité entre elles était évidente.
Lilia voulut entrer, se faire remarquer, mais ses jambes semblaient figées. Elle resta là, immobile, obligée d'observer la scène se dérouler devant elle.
Regina posa une main sur le bras de Lucillia, ses doigts effleurant sa peau avec une délicatesse presque exagérée. Lucillia ne recula pas, au contraire : elle répondit par un sourire éclatant, celui que Lilia avait toujours cru être réservé à elle seule.
Puis, l'impensable se produisit. Regina se pencha doucement vers Lucillia, ses gestes emplis d'une confiance naturelle. Lucillia ne montra aucun signe d'hésitation. Leurs lèvres se rencontrèrent, et le monde de Lilia sembla s'effondrer.
Le baiser n'était pas furtif ou hésitant. Il était profond, sincère, empli de quelque chose qui ressemblait à de l'amour. Chaque seconde qui passait renforçait l'angoisse de Lilia, la douleur dans sa poitrine devenant presque insupportable.
Elle voulut crier, mais aucun son ne sortit. Elle voulut détourner les yeux, mais son corps refusait de lui obéir.
Enfin, le baiser prit fin, mais l'intimité entre les deux femmes ne disparut pas. Regina murmura quelque chose à Lucillia, et celle-ci rit doucement, un rire que Lilia aurait donné n'importe quoi pour entendre à nouveau.
C'est à ce moment que Lucillia tourna la tête, comme si elle avait senti la présence de Lilia. Leurs regards se croisèrent, mais il n'y avait ni surprise ni regret dans les yeux de Lucillia. Seulement une tristesse douce et résignée.
« Je suis désolée, Lilia, » dit-elle, sa voix résonnant étrangement dans l'espace. « Mais tu savais, au fond de toi, que ça devait arriver. »
Avant que Lilia ne puisse répondre, tout autour d'elle se mit à vaciller. Les murs de la pièce s'effondrèrent, la lumière se dissipa, et elle se retrouva seule, plongée dans une obscurité froide et oppressante.Elle se réveilla en sursaut, son souffle court et son cœur battant furieusement dans sa poitrine.
☆○o。 。o○☆
La chambre était plongée dans une obscurité paisible, seulement troublée par la lumière de la lune qui filtrait à travers les rideaux. Le souffle régulier d'Agatha et Ivana résonnait doucement dans l'air calme de la nuit. Agatha, blottie contre Ivana, avait enfoui son visage dans le creux de son cou, cherchant instinctivement la chaleur et la sécurité de son corps. Ses bras enroulaient fermement Ivana, comme si elle craignait que la jeune femme disparaisse à tout moment.
Mais derrière ses paupières fermées, l'esprit d'Agatha n'était pas en paix.
Le rêve commença comme une scène familière : un petit salon austère, baigné dans la lumière jaunâtre d'une lampe vacillante. Une voix criarde résonnait, tranchante et brutale, celle de sa mère.
« Tu n'es qu'une incapable, Agatha ! Toujours à causer des problèmes ! »
Une petite fille pleurait, recroquevillée dans un coin. Ses mains tremblaient, tenant un morceau de tissu déchiré. C'était Agatha, bien plus jeune, bien plus vulnérable. Elle voulait crier, mais aucun son ne sortait de sa bouche.
Le décor changea soudain, basculant vers une autre scène. Le froid mordant d'une nuit hivernale. Des cris. Des pleurs. Elle courait, mais ses jambes semblaient trop lourdes. Devant elle, son fils, un petit garçon aux cheveux bouclés, courait en riant, insouciant.
« Arrête ! » criait-elle, sa voix brisée par la peur. « Reviens ici, c'est dangereux ! »
Il ne l'entendait pas, ou peut-être ne l'écoutait-il pas. Et puis, tout bascula. Une voiture surgit de nulle part, des phares éclatants illuminant la rue. Un hurlement résonna dans l'air.
« Non ! »
Agatha se précipita, mais elle était trop lente, bien trop lente. Elle vit son fils disparaître sous l'impact, son petit corps projeté dans les airs avant de retomber lourdement sur le sol glacé.
Elle s'agenouilla près de lui, ses mains tremblantes cherchant à le réveiller, à réparer l'irréparable. Ses sanglots déchirants emplirent l'air.
« Mon bébé... Mon bébé, reste avec moi ! »
Le décor changea encore, mais cette fois, c'était une spirale de souvenirs, des images de maltraitance, de solitude, et toujours ce cri incessant dans sa tête.
Soudain, elle se vit elle-même, adulte, seule dans une pièce sombre. Un miroir devant elle reflétait son visage, mais il était marqué par des larmes et de la douleur.
« C'est ta faute, » murmurait son propre reflet, son ton accusateur.
Elle hurla, se débattant contre ce cauchemar oppressant, cherchant une sortie.
Agatha se réveilla en sursaut, un cri étouffé s'échappant de ses lèvres. Sa poitrine se soulevait violemment, chaque respiration un effort. Elle était trempée de sueur, son corps frémissant sous l'intensité de l'émotion.
Agatha tremblait encore, son souffle saccadé alors qu'elle émergeait lentement des ténèbres du cauchemar. Ses larmes coulaient silencieusement, marquant des sillons brillants sur ses joues. Le poids du rêve restait sur sa poitrine, étouffant chaque tentative de calmer son esprit.
Ivana, réveillée par les cris étouffés d'Agatha, n'avait pas hésité une seconde. Elle l'avait immédiatement attirée dans ses bras, sa chaleur et sa présence apaisante comme un rempart contre les souvenirs oppressants.
« Chut, je suis là, » murmura Ivana, sa voix douce et basse, presque un murmure contre l'oreille d'Agatha.
Elle la serrait fermement, suffisamment pour que l'agitation d'Agatha commence à faiblir sous la sécurité de cette étreinte. Les mains d'Ivana glissèrent dans les cheveux d'Agatha, peignant doucement ses mèches désordonnées. Ce geste répétitif, presque instinctif, semblait vouloir lisser non seulement ses cheveux, mais aussi les nœuds d'angoisse qui habitaient son esprit.
« Respire, Agatha, » dit Ivana, ses doigts s'enroulant tendrement autour des boucles sombres. « Je suis là. Rien ne va t'arriver. »
Agatha s'accrocha davantage à elle, enfouissant son visage dans le cou d'Ivana, son souffle chaud caressant la peau douce de celle qui la soutenait. Entre deux hoquets de sanglots, elle murmura :
« C'était lui... Je l'ai revu... encore et encore. »
Ivana sentit son propre cœur se serrer à ces mots. Elle s'éloigna juste assez pour croiser le regard noyé de larmes d'Agatha. Doucement, elle leva la main, effleurant les joues humides avec ses doigts. Les larmes traçantes furent balayées par ce geste plein de douceur et de soin.
« Je sais que ça fait mal, » murmura Ivana, son ton empreint d'une tendresse rare. « Mais tu n'as pas à porter ça toute seule. Je suis là, Agatha. Et je serai toujours là. »
Agatha ferma les yeux, savourant le contact apaisant d'Ivana sur sa peau. Une nouvelle vague d'émotion monta en elle, mais cette fois, ce n'était plus de la douleur brute. C'était un étrange mélange de soulagement et de gratitude.
Ivana posa son front contre celui d'Agatha, leurs souffles se mêlant dans le silence de la chambre. Elle continua à caresser ses cheveux, sa main libre venant se poser sur le bras d'Agatha, traçant des cercles légers pour calmer les tremblements qui persistaient.
« Tu n'as pas besoin d'être forte tout le temps, » ajouta Ivana après un moment. « Laisse-moi t'aider, laisse-moi porter un peu de cette douleur avec toi. »
Agatha ouvrit les yeux, plongeant dans le regard sincère d'Ivana. Ses larmes avaient cessé de couler, bien que ses yeux restent brillants de chagrin.
« Pourquoi tu fais tout ça pour moi ? » demanda-t-elle, sa voix rauque et brisée, teintée d'une fragilité rare.
Ivana sourit doucement, posant une dernière fois sa main sur sa joue. « Parce que je t'aime Agatha. Plus que tu ne le réalises. »
Ces mots réchauffèrent le cœur d'Agatha malgré l'obscurité persistante de ses souvenirs. Elle hocha doucement la tête, puis laissa sa tête retomber sur l'épaule d'Ivana.
« Merci... » murmura-t-elle, sa voix presque inaudible.
Ivana déposa un baiser léger sur le sommet de sa tête, continuant à la bercer doucement. « Tu n'as pas besoin de me remercier. Je t'ai promis que je serais là pour toi, et je tiens toujours mes promesses. »
Dans les bras d'Ivana, Agatha sentit enfin le poids de son cauchemar s'alléger, même si elle savait que les souvenirs ne disparaîtraient pas. Mais pour l'instant, elle se laissa aller à cette sécurité, à cette douceur qui faisait taire ses peurs, ne serait-ce que pour un instant.
☆○o。 。o○☆
La chambre de Regina était plongée dans l'obscurité, les rideaux tirés pour empêcher la lumière de la lune d'y pénétrer. Tout était calme, si ce n'était le léger bruissement des draps alors qu'elle s'agitait dans son sommeil. Son front était perlé de sueur, son souffle rapide et irrégulier. Elle était plongée dans un rêve qui n'avait rien de paisible.
Le décor était flou, changeant constamment autour d'elle, mais une chose restait immuable : Daniel. Il était là, debout devant elle, son regard perçant la fixant avec une intensité glaciale.
« Daniel ? » murmura Regina, hésitante.
Elle s'approcha de lui, ses bras tendus comme pour le toucher, mais quelque chose dans son expression lui donna envie de reculer.
Daniel sourit, mais ce n'était pas le sourire doux qu'elle connaissait. C'était un rictus cruel, tordu par une colère qu'elle ne comprenait pas.
« Pourquoi ? » dit-il, sa voix froide et tranchante. « Pourquoi tu as fait ça, Regina ? »
Elle cligna des yeux, confuse. « Fait quoi ? Daniel, je... je ne comprends pas. »
« Ne joue pas l'innocente ! » Il s'avança, et d'un geste brusque, il saisit ses poignets. Son étreinte était douloureuse, presque brûlante. « Tu m'as tué. C'est ta faute si je suis mort ! »
Regina sentit son cœur se serrer dans sa poitrine. « Non... Non, ce n'est pas vrai ! » protesta-t-elle, les larmes aux yeux. « Je t'aimais, Daniel. Jamais je n'aurais voulu que... »
Mais il ne la laissa pas finir. Son regard s'assombrit, et son visage devint une caricature terrifiante de lui-même. Ses traits autrefois familiers et aimants étaient désormais déformés par la haine.
« Tu m'as trahi ! » rugit-il, sa voix résonnant comme un coup de tonnerre. « Si tu m'avais écouté, si tu avais fait ce qu'il fallait, je serais encore en vie. Mais à la place... »
Il relâcha ses poignets et recula d'un pas, plongeant la main dans sa poche. Lorsqu'il la ressortit, un couteau brillait entre ses doigts.
« Tu m'as laissé mourir, et maintenant, c'est ton tour. »
Regina sentit une vague de panique l'envahir. Elle recula, trébuchant sur le sol, son regard rivé sur l'arme.
« Daniel, non ! Arrête ! Ce n'est pas moi, je t'en prie... »
Il ne l'écoutait pas. Il avançait lentement vers elle, son regard sombre fixé sur le sien. Les murs autour d'eux semblaient se rapprocher, emprisonnant Regina dans une terreur grandissante.
« Tu m'as détruit, Regina. Maintenant, je vais te renvoyer la pareille. »
Il leva le couteau, et dans un mouvement rapide, il l'abattit vers elle.
Regina se réveilla en sursaut, son cri perçant brisant le silence de la nuit. Elle haletait, son corps tremblant sous l'effet du cauchemar. Sa main se porta instinctivement à sa poitrine, là où le couteau avait été sur le point de la frapper.
Elle tourna la tête, s'assurant qu'elle était bien seule dans sa chambre. Les murs étaient immobiles, le lit intact, et aucune trace de Daniel. Mais son cœur battait encore à tout rompre, et son esprit était hanté par ses dernières paroles.
Elle se leva lentement, sa chemise de nuit collée à sa peau moite. Elle se dirigea vers la fenêtre, espérant que l'air frais de la nuit calmerait ses nerfs. Mais même en fixant les étoiles, elle ne pouvait chasser l'image de Daniel, son regard de reproche et ses accusations.
« Ce n'était pas ma faute, » murmura-t-elle à voix basse, comme pour se convaincre elle-même.
Mais au fond d'elle, une petite voix murmurait : Et si c'était vrai ?
☆○o。 。o○☆
Le bureau de Regina était illuminé par la lueur tamisée d'une lampe ancienne posée sur son bureau. Les murs, ornés de bibliothèques remplies de grimoires et de journaux, semblaient presque oppressants sous le poids des secrets qu'ils contenaient. Regina se tenait debout derrière son bureau, les bras croisés, le regard grave.
Autour d'elle, les autres étaient rassemblés. Agatha, assise dans un fauteuil près de la cheminée, avait les mains qui tremblaient légèrement. Ses doigts jouaient nerveusement avec le bord de sa manche, trahissant son malaise. Ivana, toujours attentive, s'était instinctivement rapprochée d'Agatha et posa doucement une main sur celle d'Agatha pour la calmer.
Lilia était debout, adossée contre le mur, les bras croisés, mais son visage portait une expression préoccupée. Lucillia, quant à elle, semblait plus tendue que jamais. Elle était assise à côté de Lilia, et son regard allait de Regina à chaque personne dans la pièce, comme si elle cherchait des réponses qu'elle ne pouvait pas trouver seule.
Mary-Margarette et David étaient silencieux, échangeant des regards furtifs. L'atmosphère était lourde, presque étouffante.
Regina prit une profonde inspiration avant de briser le silence.
« Nous sommes tous ici pour une raison », dit-elle, sa voix calme mais empreinte de gravité. « Ces cauchemars que vous avez eus... ils ne sont pas normaux. Ce n'est pas un hasard si nous les avons eus en même temps. Quelque chose de plus sombre est à l'œuvre. »
Lucillia hocha la tête, le regard fixé sur ses mains jointes. Après un moment d'hésitation, elle parla, sa voix légèrement tremblante.
« Ce n'est pas seulement un cauchemar... » murmura-t-elle. « Je... j'ai vu quelque chose. Une ombre. »
Tous les regards se tournèrent vers elle. Lilia se redressa légèrement, les sourcils froncés.
« Une ombre ? » demanda Regina, son ton devenant plus tranchant.
Lucillia acquiesça lentement. « Oui. Juste après que je me sois réveillée... Elle était là, dans ma chambre. Elle s'est déplacée comme si elle cherchait quelque chose... ou quelqu'un. Puis elle a disparu dans le mur. »
« Tu es sûre de ce que tu as vu ? » demanda David, la voix pleine de scepticisme.
Lucillia lui lança un regard noir. « Je sais ce que j'ai vu, David. Ce n'était pas mon imagination. »
Lilia, qui n'avait pas parlé jusque-là, serra les poings. « Si ces cauchemars sont liés à cette ombre, alors il faut trouver ce que c'est. Nous ne pouvons pas rester dans le noir. »
Regina approuva d'un signe de tête. « Nous devons enquêter. Mais avant cela, je veux entendre ce que chacun de vous a vu dans ses cauchemars. »
Agatha tressaillit à cette demande. Ses mains tremblaient plus violemment maintenant, et Ivana, toujours à ses côtés, glissa sa main dans la sienne. Elle pressa doucement les doigts d'Agatha, un geste à la fois apaisant et protecteur.
« C'est bon, Agatha, » murmura Ivana. « Tu n'es pas obligée de tout raconter si tu ne te sens pas prête. »
Le regard d'Agatha se posa sur Ivana, une lueur de gratitude mêlée de douleur dans les yeux. Elle hocha doucement la tête, mais les tremblements persistèrent.
Lucillia, sentant la tension monter, reprit la parole. « Si cette ombre est liée à nos cauchemars, alors elle pourrait aussi être la source de ce que nous ressentons. Une sorte de... parasite ? Une force maléfique ? »
Mary-Margarette prit enfin la parole, sa voix sèche et distante. « Si c'est un sort ou une entité, alors il faut agir vite. Ces cauchemars vont finir par nous briser. »
Regina acquiesça. « D'accord. Voici ce que nous allons faire : je vais chercher dans mes grimoires des informations sur des ombres similaires ou des entités capables d'influencer les rêves. Mais je vais avoir besoin de vous tous. Chacun devra partager ce qu'il a vu ou ressenti. Même les détails les plus insignifiants pourraient être importants. »
Un silence suivit ses paroles, seulement brisé par le crépitement du feu dans la cheminée.
Ivana serra un peu plus fort la main d'Agatha et se pencha légèrement vers elle. « Tu n'es pas seule dans tout ça, » murmura-t-elle doucement.
Agatha prit une profonde inspiration et redressa un peu les épaules. « Merci, Chérie. »
Regina les observa un moment avant de poser ses mains à plat sur son bureau. « Très bien. Nous avons du travail à faire. Mais une chose est claire : nous ne sommes pas seuls ici. Cette ombre, quoi qu'elle soit, veut quelque chose. Et nous devons découvrir quoi avant qu'il ne soit trop tard. »
Tous hochèrent la tête, conscients que ce n'était que le début d'un combat bien plus grand que leurs cauchemars.
« Je sais ce que c'est, » dit Gold, qui se tenait à l'écart jusqu'à présent, les mains croisées derrière son
dos.
Tous les regards se tournèrent vers lui. Son ton était calme, mais ses yeux brillaient d'une inquiétude inhabituelle.
« Vous avez vu ça avant ? » demanda Regina, fronçant les sourcils.
Gold hocha lentement la tête, avançant de quelques pas pour rejoindre le centre de la pièce. Il sembla peser chaque mot avant de parler, comme s'il s'agissait d'un poids qu'il portait depuis trop longtemps.
« Ce que vous avez vu... ce n'est pas un hasard. C'est une entité ancienne. Un parasite qu'on appelle le Monstre des Rêves. Il existe pour une seule raison : se nourrir. »
Lucillia déglutit, mal à l'aise. « Se nourrir de quoi ? »
Gold la regarda, ses yeux sombres plongés dans les siens. « De vos peurs. De vos regrets. Il hante vos nuits, cherchant les failles dans votre esprit. Les souvenirs douloureux, les remords, les doutes. Chaque moment où vous cédez à la peur, il grandit. Il devient plus fort. »
Agatha serra instinctivement la main d'Ivana, son visage pâle. « Pourquoi nous ? Pourquoi maintenant ? »
Gold détourna les yeux, regardant le sol comme s'il y voyait une réponse. « Le Monstre des Rêves ne vient jamais par hasard. Il est attiré par une énergie particulière, un déséquilibre émotionnel ou magique. L'un d'entre vous... ou peut-être vous tous... portez quelque chose en vous qui l'a attiré. Une douleur si intense qu'il n'a pas pu y résister. »
Regina fronça les sourcils. « Et comment savons-nous qui ou quoi l'a attiré ? »
Gold la fixa, mais ne répondit pas immédiatement. Au lieu de cela, il s'approcha de la fenêtre, ses doigts effleurant le verre froid.
« La dernière fois que je l'ai vu... c'était il y a de nombreuses années. Une femme que je connaissais, tourmentée par le souvenir de la perte de ses enfants. Il s'était infiltré dans ses rêves, la rendant de plus en plus faible. Il s'est nourri d'elle jusqu'à ce qu'elle ne soit plus qu'une coquille vide. »
Lilia, qui avait écouté en silence, serra les poings. « Alors quoi ? On est condamnés à le laisser nous détruire comme elle ? »
Gold tourna lentement la tête vers elle, son expression grave. « Non. Il existe un moyen de le vaincre. Mais ce n'est pas facile. »
Regina s'avança, posant une main ferme sur son bureau. « Parle. Maintenant. »
Gold soupira profondément, croisant les mains devant lui.
« Pour affaiblir le Monstre des Rêves, il faut lui refuser ce qu'il cherche. La peur. Les regrets. Vous devez affronter vos cauchemars, accepter vos erreurs et vos douleurs passées. Tant que vous fuyez ou que vous luttez contre vos souvenirs, il se nourrira. Mais si vous les acceptez, il perdra son pouvoir sur vous. »
Un silence lourd suivit ses paroles. L'idée de revisiter leurs pires souvenirs, de faire face à leurs traumatismes, semblait presque pire que le cauchemar lui-même.
Mary-Margarette brisa le silence, sa voix sèche et incrédule. « Donc tu es en train de nous dire que pour le vaincre, on doit... faire la paix avec nous-mêmes ? »
Gold acquiesça. « C'est la première étape. Mais même si vous réussissez, il restera dangereux. Il faut l'attirer dans un lieu où il sera vulnérable. Un endroit entre le monde des rêves et la réalité. Une sorte de frontière. Là, il peut être détruit. »
Regina croisa les bras, son regard perçant fixé sur Gold. « Et comment on l'amène là ? »
Gold esquissa un sourire froid. « Il existe un sort. Mais il nécessite une grande puissance magique et un sacrifice. Une personne devra l'affronter directement dans le monde des rêves pour l'attirer à cet endroit. »
Lucillia fronça les sourcils. « Et cette personne ? Elle risque quoi ? »
Gold la regarda longuement. « Tout. Si elle échoue, elle restera prisonnière du Monstre pour l'éternité. »
Un murmure inquiet parcourut la pièce. Agatha détourna les yeux, ses mains tremblant légèrement malgré la présence réconfortante d'Ivana à ses côtés.
Les regards échangés dans la pièce étaient lourds d'une détermination teintée de peur. Une chose était claire : ce combat serait aussi bien contre leurs propres démons qu'une entité surnaturelle.
☆○o。 。o○☆
Le ciel était sombre, strié de nuages tourbillonnants comme si la nuit elle-même avait pris vie. Le terrain choisi pour l'affrontement était un espace liminal entre rêve et réalité, une clairière fantomatique entourée de silhouettes d'arbres qui semblaient vaciller à chaque instant. Au centre de cet endroit, une masse d'ombres mouvantes et informes flottait, ses murmures terrifiants résonnant dans l'air.
Le Monstre des Rêves était gigantesque, son corps ressemblant à une fumée noire qui s'échappait et se reformait sans cesse. Ses yeux, deux puits de lumière rouge, suivaient chaque mouvement de ses adversaires. Il semblait se nourrir de leurs doutes et de leurs peurs, grandissant à chaque instant.
Regina se tenait en avant, ses mains étincelant d'énergie magique. « On doit le distraire pendant que le sort se termine. Si quelqu'un flanche, il s'en prendra à nous tous. Soyez prêts ! »
Emma hocha la tête à ses côtés, serrant son épée enchantée. « Facile à dire. Ce truc donne l'impression de pouvoir nous avaler tout entiers. »
Lucillia, bien que moins expérimentée que les autres, s'avança avec détermination. Elle tenait entre ses mains un talisman magique donné par Rumple, un artefact essentiel pour sceller la créature.
« J'ai le talisman. Faites en sorte qu'il reste occupé pendant que je l'active. »
Rumple, vêtu de son habit sombre habituel, observait le monstre avec une expression calme mais concentrée. « N'oubliez pas, mes chers... ce monstre vit de vos peurs. Contrôlez-les, ou il vous consumera. »
Le Monstre des Rêves poussa un hurlement, une onde de choc qui fit trembler le sol. Sa voix gutturale résonna dans l'air :
« Vous osez me défier ? Vous n'êtes rien ! Vous êtes faibles, brisés... et je me nourrirai de chacun de vos échecs ! »
Regina ne se laissa pas intimider. Elle lança une boule de feu directement dans le cœur de la créature, la faisant hurler de rage
. « On verra qui est faible ! » cria-t-elle, ses yeux brillant de défi.
Emma bondit en avant, son épée enchantée fendillant l'air. Elle frappa une des extensions d'ombres qui se dirigeait vers Lucillia, dispersant la fumée avec une lumière éclatante.
« Reste derrière moi, Lucillia ! » dit-elle, tenant fermement sa position.
Rumple, quant à lui, traçait des symboles compliqués dans l'air, ses paroles anciennes résonnant dans la clairière. « Le sort est en cours, mais il faut plus de temps. Regina, Emma, tenez-le en respect ! »
Le Monstre des Rêves répliqua en envoyant une vague d'énergie noire dans leur direction. Regina dressa un bouclier magique juste à temps, mais l'impact la fit reculer de plusieurs pas.
« On va avoir besoin de plus qu'un simple bouclier, » grogna-t-elle, transpirant sous l'effort.
Emma chargea à nouveau, son épée brillant d'une lumière dorée. Elle planta la lame directement dans une autre extension de fumée, forçant le monstre à se rétracter momentanément.
« Ça, c'est pour tous les cauchemars que tu as causés ! » cria-t-elle.
Pendant ce temps, Lucillia se concentra sur le talisman. Elle récita les incantations que Rumple lui avait enseignées, sa voix tremblante mais ferme. L'objet commença à émettre une lumière intense, et les murmures du Monstre devinrent plus agressifs.
« Arrêtez-la ! » hurla la créature, envoyant des tentacules d'ombres vers Lucillia.
Rumple intervint juste à temps, levant sa main pour projeter un éclair d'énergie dorée qui dispersa les ombres.
« Pas si vite, mon très cher. C'est fini pour toi. »
Regina, voyant une ouverture, canalisa toute son énergie dans un sort destructeur. Une colonne de feu jaillit de ses mains, enveloppant la créature dans une lumière aveuglante.
Emma se retourna vers Lucillia. « Maintenant ! Fais-le ! »
Lucillia serra le talisman et prononça les derniers mots de l'incantation. Une lumière éclatante jaillit de l'objet, enveloppant le Monstre des Rêves. La créature hurla, se débattant violemment alors qu'elle était aspirée dans le talisman.
En quelques secondes, l'ombre s'était dissipée, et le silence retomba sur la clairière. Lucillia, épuisée mais triomphante, s'effondra à genoux, tenant le talisman maintenant froid et inerte.
Regina s'approcha rapidement d'elle, posant une main sur son épaule. « Tu as réussi. »
Lucillia leva les yeux vers elle, un sourire fatigué mais sincère aux lèvres. « On a réussi. »
Emma essuya la sueur de son front, rangeant son épée. « Eh bien, ça... c'était intense. »
Rumple, avec son habituelle nonchalance, épousseta son manteau. « Pas mal pour une équipe improvisée. »
Alors que la lumière s'estompait et que le Monstre des Rêves disparaissait enfin dans le talisman, Gold recula légèrement, un sourire en coin masquant sa véritable intention. Tandis que Regina et Emma s'assuraient que Lucillia allait bien, il saisit l'occasion.
Profitant de la fatigue générale et du chaos qui s'éteignait, Gold fit un geste subtil, ses doigts experts s'avançant vers une mèche fine des cheveux de Lucillia tombée sur son manteau pendant le combat.
Il murmura doucement, pour lui-même : « Rien ne se perd dans le tumulte, n'est-ce pas ? »
Sa main refermée sur la mèche, il glissa habilement le précieux filament dans la poche intérieure de son manteau, son expression calculatrice cachée derrière un masque d'indifférence.
Lorsque Regina se tourna vers lui, il hocha simplement la tête. « Tout va bien ? » demanda-t-elle, fatiguée mais vigilante.
« Aussi bien que possible, » répondit-il d'une voix suave, son regard fuyant brièvement Lucillia.
Mais plus tard, alors que les autres quittaient la clairière, il resta en arrière un instant. Se retirant à l'écart, il sortit la mèche de cheveux, la tenant délicatement entre ses doigts, comme un trésor fragile.
« Une simple mèche, et pourtant... tant de réponses possibles, » murmura-t-il, ses yeux sombres scintillant d'une étrange lumière.
Il inspira profondément, fixant les cheveux comme si la réponse lui apparaîtrait soudainement. Puis, dans un murmure à peine audible, il laissa échapper :
« Je saurai qui tu es... Lucillia. »
Un sourire énigmatique étira ses lèvres, avant qu'il ne range soigneusement la mèche et ne disparaisse dans l'ombre, toujours aussi insaisissable.
☆○o。 。o○☆
Lucillia, cherchant à effacer les souvenirs troublants de ses récents cauchemars, s'était réfugiée sous une douche chaude. Une fois prête et habillée, elle décida d'aller rendre visite à Lilia, qu'elle n'avait pas revue depuis la fameuse réunion dans le bureau de Regina. Le besoin de retrouver leur complicité et de s'assurer que tout allait bien pour son amie la poussa à frapper à sa porte.
Lilia ouvrit presque immédiatement, visiblement ravie de voir Lucillia. Un sourire éclaira son visage tandis qu'elle l'accueillait avec un chaleureux. La chambre était calme, éclairée uniquement par une petite lampe posée sur la table de chevet. Lilia se tenait près de la fenêtre, les bras croisés, regardant distraitement le monde extérieur. Lucillia, assise sur le bord du lit, l'observait en silence depuis plusieurs minutes.
Elle finit par rompre le silence, sa voix douce mais légèrement frustrée.
« Lilia, qu'est-ce qui se passe ? »
Lilia ne répondit pas tout de suite, se contentant de serrer ses bras un peu plus fort contre elle. Lucillia soupira, se levant pour s'approcher.
« Tu es... distante. Froide, même. » Elle s'arrêta juste derrière elle, hésitant un instant avant de poser une main légère sur son épaule. « Si j'ai fait quelque chose, dis-le-moi. Mais ne me laisse pas dans le flou comme ça. »
Lilia se raidit sous le contact, mais ne se retourna pas.
« Ce n'est rien, » murmura-t-elle, sa voix légèrement tremblante.
« Ce n'est pas rien, » répliqua Lucillia, plus ferme. « Je te connais. Et là, tu es en colère, ou blessée, ou... je ne sais pas. Mais je veux comprendre. »
Lilia inspira profondément, son cœur battant à tout rompre. Elle n'avait pas prévu de parler de ça. Pas maintenant. Mais le regard sincère et persistant de Lucillia était impossible à ignorer.
Finalement, elle se retourna, croisant les bras devant elle comme pour se protéger.
« J'ai fait un rêve, » avoua-t-elle à contrecœur, son regard baissé. « Et depuis, je n'arrive pas à m'en débarrasser. »
Lucillia fronça les sourcils, intriguée. « Un rêve ? Quel genre de rêve ? »
Lilia hésita, ses joues prenant une légère teinte rosée. Elle serra les poings, luttant contre l'embarras et la peur de se dévoiler.
« Je t'ai vue, » finit-elle par dire, sa voix presque inaudible. « Avec Regina. »
Lucillia recula légèrement, surprise. « Regina ? »
Lilia hocha la tête, fixant obstinément le sol. « Vous étiez... ensemble. Vous vous embrassiez. Et... » Elle serra les mâchoires, sa voix tremblant légèrement. « Ça avait l'air si réel. Si... naturel. Comme si tu... comme si tu l'aimais. »
Un silence tomba, Lucillia observant Lilia avec une expression mêlant surprise et incompréhension. Puis, doucement, un sourire amusé se dessina sur ses lèvres.
« Tu crois que Regina et moi... » Elle s'interrompit, secouant la tête, presque incrédule. « Lilia, écoute-moi. Ça n'arrivera jamais. »
Lilia releva enfin les yeux, ses sourcils légèrement froncés. « Comment peux-tu en être si sûre ? Vous avez un lien, toi et elle. Je le vois bien. Elle t'admire, elle te cherche constamment. Et toi... tu n'es pas indifférente. »
Lucillia posa une main sur la joue de Lilia, la forçant doucement à la regarder dans les yeux.
« C'est vrai que Regina compte pour moi, » dit-elle calmement. « Mais pas comme toi. Avec elle, c'est de l'amitié, de l'affection. Mais toi, Lilia... » Elle s'arrêta, cherchant les bons mots. « Toi, c'est différent. Tu es celle qui occupe mes pensées, celle avec qui je veux être. »
Lilia sentit son cœur s'emballer, mais une part d'elle résistait encore. « Tu dis ça maintenant. Mais... Regina elle est t forte, déterminée... et belle. Très belle, même. Ça ne m'étonnerait pas que tu ressentes quelque chose pour elle. Après tout, c'est Regina. Qui ne tomberait pas sous son charme ? »
Lucillia fronça les sourcils, perplexe. « Lilia, pourquoi tu me dis ça ? »
Mais Lilia continua, presque comme si elle ne l'avait pas entendue. « Elle a cette présence, tu sais ? Cette manière de captiver tout le monde autour d'elle. Et toi, Lucillia... tu mérites quelqu'un comme ça. Quelqu'un qui est à ta hauteur. »
Lucillia ouvrit la bouche pour protester, mais Lilia n'avait pas fini.
« Mais toi, tu es encore plus incroyable, » ajouta-t-elle, sa voix s'adoucissant. « Tu es intelligente, drôle, sexy... et tu as ce regard, ce sourire... Je veux dire, qui ne tomberait pas amoureux de toi ? Tu mérites tellement mieux que... »
Elle s'arrêta brusquement, ses mots mourant dans sa gorge.
« Que quoi ? » demanda Lucillia doucement, s'approchant un peu plus.
Lilia secoua la tête, évitant son regard. « Que moi, » murmura-t-elle finalement.
Lucillia resta silencieuse un instant, ses yeux fixant Lilia avec une intensité qu'elle ne pouvait ignorer. Puis, sans un mot, elle s'avança, réduisant la distance entre elles.
« Lilia, » murmura-t-elle, un sourire en coin. « Seigneur tu parles trop. »
Avant que Lilia ne puisse réagir, Lucillia attrapa son visage entre ses mains et l'embrassa.
Le baiser fut rapide au départ, un simple moyen de la faire taire, mais il se transforma rapidement en quelque chose de plus profond, de plus sincère. Lilia, d'abord figée de surprise, se laissa rapidement emporter, ses mains trouvant leur place sur la taille de Lucillia.
Quand elles se séparèrent, légèrement essoufflées, Lucillia la fixa avec un mélange d'amusement et de tendresse.
« Pour que tu saches, » dit-elle doucement, « je ne veux pas Regina. Je te veux, toi alors arrête de t'inquiéter pour des choses qui n'existent pas ? »
Lilia fixait Lucillia, encore sous le choc de ses paroles. Les battements de son cœur résonnaient dans ses oreilles, et ses pensées tournaient en boucle.
« Tu... tu veux de moi ? » murmura-t-elle, presque incrédule.
Lucillia, toujours si sûre d'elle, resta silencieuse un instant, un sourire doux flottant sur ses lèvres.
Lilia secoua la tête, incapable de comprendre. « Pourquoi ? Pourquoi moi ? Je suis plus vieille que toi, moins belle que Regina... Je ne comprends pas. »
Lucillia ne lui laissa pas finir. Elle posa doucement une main sur la joue de Lilia, la forçant à se taire et à la regarder dans les yeux.
« Arrête, Lilia, » dit-elle fermement, sa voix emplie de tendresse. « Ne parle pas de toi comme ça. »
Elle caressa lentement la joue de Lilia du bout des doigts, avant de glisser sa main dans ses cheveux, jouant avec une mèche.
« Tu es magnifique, » continua Lucillia, sa voix baissant d'un ton, presque un murmure. « Tu as ces yeux qui disent tout, même quand tu ne veux rien montrer. Ce sourire... si rare, mais tellement précieux. Et cette force... même quand tu doutes, tu continues d'avancer. »
Lilia ouvrit la bouche pour protester, mais Lucillia posa un doigt léger sur ses lèvres, l'interrompant.
« Laisse-moi finir, » murmura-t-elle avec un sourire. « Tu es douce, attentionnée, et bien plus courageuse que tu ne le crois. Tu te dénigres, mais moi, je te vois. Toute entière. Et c'est toi que je veux. Pas Regina, pas quelqu'un d'autre. Toi, Lilia. »
Lilia n'avait jamais entendu de tels mots, encore moins venant de quelqu'un qu'elle admirait autant.
Lucillia s'approcha, posant doucement son front contre celui de Lilia. Elle ferma les yeux un instant, respirant profondément avant de murmurer :
« Je t'aime, Lilia. »
Avant que Lilia ne puisse répondre, Lucillia l'embrassa à nouveau, ses lèvres trouvant les siennes avec une douceur infinie. Ce baiser n'avait rien d'hésitant : il était empreint de passion, mais aussi de tendresse et de sincérité.
Quand elles se séparèrent, Lucillia ouvrit les yeux et croisa le regard embué de Lilia. Elle sourit doucement, effleurant à nouveau sa joue.
Lilia fixait Lucillia, son cœur battant la chamade. Les mots dansaient sur le bout de sa langue, brûlant d'être prononcés.
« Moi aussi... » murmura-t-elle finalement, sa voix tremblante mais sincère. « Je t'aime, Lucillia. »
Lucillia resta figée un instant, ses yeux brillants d'émotion. Puis, un sourire radieux éclaira son visage, et elle se rapprocha doucement de Lilia.
Leurs lèvres se rencontrèrent dans un baiser tendre, délicat, presque timide au départ. Mais cette douceur céda rapidement la place à une passion plus intense. Lilia, laissant ses sentiments prendre le dessus, glissa ses mains dans les cheveux de Lucillia, jouant avec leurs mèches soyeuses.
Elle approfondit le baiser avec une assurance nouvelle, ses lèvres caressant celles de Lucillia avec une intensité grandissante. Puis, dans un geste instinctif, elle mordilla doucement la lèvre inférieure de Lucillia avant de la sucer délicatement.
Lucillia se mit à sourire contre ses lèvres, un léger rire s'échappant de sa gorge. « Tu sais que j'adore ça, n'est-ce pas ? » murmura-t-elle, amusée mais visiblement ravie.
Lilia recula légèrement, ses joues rougissant, mais un sourire malicieux jouait sur ses lèvres. « Peut-être que je commence à comprendre ce que tu aimes. »
Lucillia rit doucement avant de l'attirer à nouveau contre elle, capturant ses lèvres dans un baiser encore plus passionné. Le monde autour d'elles semblait disparaître, ne laissant que leur proximité, leurs caresses, et le feu naissant entre elles.
Le baiser dura longtemps, chaque instant chargé d'émotion et d'une intensité nouvelle. Quand elles se séparèrent enfin, leurs fronts se touchèrent à nouveau, leurs souffles courts mais synchronisés.
Le souffle encore court après leurs baisers passionnés, Lucillia laissa ses mains effleurer la taille de Lilia. Puis, lentement, elle inclina la tête pour déposer ses lèvres sur le cou délicat de Lilia.
Le contact fut doux au départ, une simple pression chaude, mais bientôt ses lèvres traçèrent un chemin plus précis, alternant entre des baisers légers et des pressions plus insistantes.
Lilia ferma les yeux, sa respiration s'accélérant. Elle pencha la tête en arrière, offrant davantage son cou à Lucillia, un soupir échappant à ses lèvres. Son corps tout entier semblait réagir à ces attentions.
Soudain, prise d'une audace nouvelle, Lilia se redressa légèrement et, dans un mouvement fluide, elle se retrouva à califourchon sur Lucillia. Les mains de Lucillia, instinctivement, se posèrent sur les cuisses de Lilia, leurs doigts s'enfonçant légèrement dans la chair, témoignant de la tension et de l'excitation du moment.
Lilia se pencha alors, ses lèvres frôlant doucement la peau tendre du cou de Lucillia. Elle y déposa un baiser, puis un autre, avant de se concentrer sur un point précis. Ses lèvres et sa langue laissèrent une marque visible, un suçon qu'elle créait avec soin.
« Tu es à moi, rien qu'à moi, » chuchota-t-elle contre la peau de Lucillia, sa voix à la fois douce et possessive.
Lucillia frissonna sous ces mots, un sourire se dessinant sur ses lèvres. Elle serra un peu plus les cuisses de Lilia entre ses mains, savourant chaque sensation.
Elle releva les yeux, plongeant son regard dans celui de Lilia, et murmura : « Toujours. »
Lucillia s'approche lentement de Lilia, ses mains glissant délicatement sous le haut de celle-ci. La douceur de ses caresses fait frissonner Lilia, qui ferme les yeux pour savourer chaque instant. Les doigts de Lucillia explorent la peau nue de Lilia, créant une sensation de chaleur et d'intimité.
« Tu es si belle, » murmure Lucillia, sa voix douce comme un souffle. Lilia, perdue dans ce moment, laisse échapper un soupir de contentement.
Lucillia, avec une tendresse infinie, commence à enlever le haut de Lilia, révélant sa peau douce à la lumière tamisée. Elle prend un instant pour admirer la beauté de son amante avant de descendre lentement, ses lèvres effleurant le haut de la poitrine de Lilia.
« Je veux te chérir, » dit-elle, ses mots chargés de promesses, alors qu'elle embrasse délicatement la peau de Lilia, créant une connexion intime entre elles.
Lilia, encore plus envoûtée, murmure : « Ne t'arrête jamais. »
Lucillia, avec une assurance nouvelle, inverse les rôles et se retrouve au-dessus de Lilia. Un sourire complice éclaire son visage alors qu'elle plonge son regard dans celui de Lilia, une étincelle de malice dans ses yeux.
Lucillia commence à enlever délicatement le bas de Lilia, ses mouvements fluides et attentifs. Chaque geste est empreint de tendresse, comme si elle voulait savourer ce moment. Une fois le bas retiré, elle se penche vers Lilia, ses lèvres frôlant sa peau.
« Tu es magnifique, » chuchote-t-elle avant de commencer à embrasser chaque parcelle de son corps, explorant chaque courbe avec une passion palpable.
Lilia, enivrée par cette attention, laisse échapper un soupir de plaisir. « Oh, Lucillia, cela me rend folle, » murmure-t-elle, ses yeux s'ouvrant pour rencontrer ceux de Lucillia, remplis de désir.
À chaque baiser, Lilia se sent de plus en plus excitée, chaque contact de Lucillia sur sa peau éveillant des sensations nouvelles et intenses. « Ne t'arrête pas, » implore-t-elle, sa voix tremblante d'anticipation.
Lucillia s'approche lentement de Lilia, ses mains délicates glissant sur sa cuisse, frôlant la culotte avec une douceur exquise. Un frisson parcourt le corps de Lilia, ses yeux s'agrandissant sous l'effet de la surprise et du désir.
« Oh, Lucillia... » murmure-t-elle, sa voix tremblante trahissant son impatience. « S'il te plaît, continue... »
Lucillia sourit, un éclat malicieux dans ses yeux. Elle se penche plus près, sa respiration chaude effleurant la peau de Lilia. « Tu veux savoir l'effet que tu me fais ? » chuchote-t-elle, sa voix douce et envoûtante.
Lilia, captivée par cette déclaration, se sent envahie par une vague de chaleur. « Oui, dis-moi... » supplie-t-elle, son cœur battant la chamade.
Lucillia s'approche lentement, son regard captivant fixé sur Lilia. Avec une douceur délicate, elle prend la main de Lilia, la guidant doucement vers son corps.
« Lilia, viens... » murmure-t-elle, sa voix empreinte de désir.
Lilia, le cœur battant, se sent frémir à l'idée de ce qui va suivre. Lorsqu'elle touche la culotte de Lucillia, déjà humide, un frisson d'excitation la parcourt. Elle se mord la lèvre, hésitant un instant, avant de se laisser emporter par l'instant.
« Tu aimes ça ? » demande Lucillia, son souffle court, alors qu'elle observe la réaction de Lilia.
« Oui... » répond Lilia, un sourire espiègle sur les lèvres. Elle commence à taquiner l'endroit, ses doigts explorant avec une assurance nouvelle.
Lucillia ferme les yeux, un soupir d'extase échappant de ses lèvres. « Lilia, tu me rends folle... » dit-elle, sa voix tremblante de plaisir.
« Je veux que tu ressentes tout, » répond Lilia, son regard pétillant de malice. Elle continue à jouer, intensifiant les sensations, savourant chaque instant de cette connexion intime.
. Avec une douceur infinie, elle glisse un doigt délicatement à l'intérieur de Lucillia, l'observant attentivement.
« Lilia ... » murmure-t-elle, sa voix douce et chargée de désir.
Lucillia laisse échapper un gémissement, un son qui résonne comme une mélodie pour Lilia. Elle peut voir le plaisir se répandre sur le visage de Lucillia, ses yeux se fermant sous l'effet des sensations.
« Oh, Lilia... » soupire Lucillia, sa voix tremblante, « ça fait tellement de bien... »
Pour Lilia, voir Lucillia dans cet état est une chose vraiment parfaite. Chaque gémissement, chaque mouvement de son corps, lui donne une satisfaction indescriptible..
« Ne t'arrête pas... » implore-t-elle, sa voix empreinte de désir.
« Je ne compte pas le faire, » répond Lilia, sa détermination renouvelée, heureuse de pouvoir offrir à Lucillia ce moment de pur bonheur.
Les femmes continuent leur danse passionnée, le temps semblant s'étirer autour d'elles. La nuit enveloppe la pièce d'une atmosphère intime, et chaque mouvement est empreint de désir. Les bruits des gémissements et des soupirs se mêlent à la mélodie de la nuit, créant une symphonie de plaisir.
‿︵‿︵ʚɞ『FIN』ʚɞ‿︵‿︵
Merci à tous d'avoir pris le temps de lire ce chapitre. Si vous avez des idée pour le prochain je prend !
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Les « memes » québécois
Il y a de ces moments d’anthologie, lorsque quelqu’un passe à l’histoire, volontairement ou non, grâce à une vidéo virale.
Le Quebec ne fait pas exception à la règle. Plusieurs vidéos se sont taillées une place de choix dans nos répliques, discussions, expressions du quotidien.
Afin de ne pas rester pantois devant un « sauf une fois au chalet » lancé par un Québécois, voici quelques uns des « memes » les plus populaire au Quebec et leur origine. (Vous pouvez retirer votre cerveau à partir d’ici vous n’en n’aurez plus besoin)
La palourde royale!
Probablement la vidéo plus connue au Quebec parce que tout le monde en a entendu parlé. De 7 a 77 ans comme on dit.
Contexte: Il s’agit d’un extrait d’une émission de cuisine. Normalement, les 2 animateurs discutent d’affaire de gars comme l’épilation du torse tout en faisant un gaspacho. Sauf que cette fois-ci, l’émission porte sur la palourde royale. Si vous n’avez pas déjà un p’tit sourire en coin c’est parce que vous n’avez jamais vu une palourde royale. Ils ont invité un chef afin d’apprendre à apprêter, nettoyer, cuisiner le mollusque. Le problème c’est que… les 2 pauvres gars ont un fou rire incontrôlable et aucun des deux n’arrive à reprendre son sérieux alors que le p’tit chef reste beaucoup trop premier degré.
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Sauf une fois au chalet
C’est un bel exemple de vidéo qui s’est transformée en expression.
Contexte: Philippe Hamelin, 93 ans est jugé pour inceste. Le problème c’est qu’à la sortie du palais de justice après avoir clamé son innocence, notre bon vieux monsieur y va d’une déclaration aux journalistes dont son avocat se serait bien passé. « J’ai jamais touché à mes filles… sauf une fois au chalet » !!!!!!
Cette phrase est alors instantanément passée à la postérité et est maintenant portée à toutes les sauces pour avouer à demi mot quelque chose qu’on a fait ou dit.
Exemple: j’ai jamais pensé kidnapper Carole, sauf une fois au chalet.
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La grosse dinde noire
A première vue, une dinde sauvage n’a rien d’excitant. Mais mettez la même dinde sauvage dans le salon d’une pauvre madame et un journaliste prêt à tout pour tuer la une et on se retrouve avec une pièce d’anthologie.
« A ça r’venir la grosse dinde noire »
En 2016, une dame raconte au journaliste sa mésaventure avec une dinde sauvage qui a défoncé une fenêtre de son salon et, paniquée, s’est soulagée intestinalement parlant un peu partout avant de repartir.
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Update! En février dernier, une autre dinde sauvage a fait la une après avoir poursuivi un homme qui l’avait un peu cherché relançant la saga de la grosse dinde noire. Comme quoi… elle avait bien raison! Elle est revenue la grosse dinde noire ^^.
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Un peu ouais
Restons dans le caca! Un gars au resto qui visiblement n’a pu se retenir et son ami, au lieu de l’aider, film le désarroi. Parce qu’on aura beau dire, tu peux être Brad Pitt, le Président ou l’homme le plus fort au monde, si tu te chies dans les culottes… ben tu t’es chié dans les culottes.
L’expression « un peu ouais » est resté comme la trace brune dans ses culottes. Elle est utilisée pour évoquer un agacement.
Exemple: Est-ce que je vous saoule à parler de Carole tout le temps? Un peu ouais! (C’est un très mauvais exemple pcq Carole es fucking parfaite et on n’en parle jamais assez!)
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Le p’tit bum
Il s’en passe des choses dans les palais de justice québécois. Yollande! Awwhh la charmante Yollande! Cette dame sympathique se rend à son procès. Son crime? Des jeunes l’auraient coupée en voiture et elle a décidé de les éduquer et de foncer dans leur voiture avec la sienne. Au delà du fait qu’on ne se fait pas justice soi-même, notre chère Yollande se pointe au tribunal complément bourrée et explique les faits aux journalistes. Un moment magique!
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Pas l’temps d’niaiser!
Contexte: un événement est organisé dans un bar et une jeune reporter essaie de recueillir les impressions des jeunes venus fêter. Elle n’a pas été déçue! Elle tombe sur un mec complètement bourré qui déclare « tequila, Heineken, pas l’temps de niaiser » que l’on pourrait « traduire » par « Je prends ma tequila et une Heineken en même temps, j’ai pas de temps à perdre ».
La vidéo est devenue virale, il n’en fallait pas plus pour que l’expression s’inscrive dans la culture populaire québécoise en version longue ou courte.
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J’ai l’doua!
Alors déjà je commence par un avertissement: même nous, Québécois, faut s’accrocher pour comprendre le mec 🤣.
Contexte: un homme a décide de faire un remblai (illégal) chez lui. Plainte des voisins, un journaliste se pointe chez l’homme en question et on détecte quand même rapidement que ses souliers s’attachent avec du velcro. Il déclare alors au journaliste qu’il est dans son droit (j’ai l’doua). Encore une fois, cette expression prend le langage populaire lorsqu’on veut se défendre de quelque chose.
Exemple: Ascle! Arrête de tout le temps parler de Carole. (Ascle) J'ai l’doua!
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Bonne fête Kevin!
C’est bien connu, prenez un mec individuellement ça va, mais mettez plusieurs mecs ensemble et le quotient intellectuel su groupe se divise par le nombre de participant. Ajoutez un peu d’alcool…
Contexte: c’est l’anniversaire de Kevin. On essaie de lui faire un sympa vidéo pour lui offrir nos vœux, mais on dirait que personne ne connaît Kevin 🤣🤦♀️.
Il est maintenant de coutume lors de l’anniversaire de quelqu’un, idéalement si cette personne ne s’appelle pas Kevin, de gueuler « bonne fête Kevin ».
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Après un tremblement de terre, les survivants se regardent avec étonnement. Mille sentiments, très serrés les uns contre les autres, surgissent en un instant sur le même point du temps et de l’espace. Voici l’une des expressions confuses, indéterminées, rapides et ardentes qui se font jour, dès que le jour devient possible, dans les âmes épouvantées : Comment vivrons-nous désormais ? Une immense catastrophe exige et promet quelque immense rénovation. Il semble impossible de suivre, après l’abîme, la route ancienne qui a mené à l’abîme. Les discours ont été inutiles. L’autorité des faits semble imposer une rénovation. L’esprit s’ouvre à la fois aux désespoirs les plus profonds et aux espérances les plus audacieuses. Tout est perdu, à moins que tout ne soit sauvé. Une seule chose paraît impossible, c’est la continuation du passé. Cette chose est précisément la seule qui se soit réalisée. Examinez les âmes ; examinez les livres ; examinez les journaux. Chacun pense ce qu’il pensait, chacun dit ce qu’il disait, chacun est ce qu’il était. Comme l’eau qui se referme, après l’immersion d’une pierre lancée et engloutie, la foule s’est refermée sur les événements avec indifférence. Elle n’a rien appris et rien oublié. »
Ernest Hello - Le Jour du Seigneur
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Si tu m'aimes ne pleure pas ! Si vous saviez l'immense mystère du ciel où je vis maintenant, si vous pouviez voir et entendre ce que je vois et entends parmi ces horizons sans fin, et dans cette lumière que tout investit et pénètre, tu ne pleurerais pas si tu m'aimes. Nous voilà maintenant absorbés par le charme de Dieu, de ses expressions de bonté infinie et des reflets de sa beauté sans limites. Les choses du passé sont si petites et éphémères à la comparaison. L'affection pour toi est coincée : une tendresse que je n'ai jamais connue. Je suis heureux de t'avoir rencontré à temps, Même si tout était si éphémère et limité à l'époque. Maintenant l'amour qui me tient au plus profond de toi, C'est la pure joie sans coucher de soleil. Pendant que je vis dans le serein et en attendant ton arrivée avec exaltation parmi nous, c'est comme ça que tu penses de moi ! Dans vos batailles, dans vos moments de réconfort et de solitude, Pensez à cette merveilleuse maison, là où la mort n'existe pas, où nous nous dissoudreons ensemble, dans le transport le plus intense vers l'inépuisable source d'amour et de bonheur Ne pleure plus si tu m'aimes vraiment !
Saint Augustin
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#Passé simple#Conjugaison#Auxiliaires avoir#Auxiliaires être#Verbes réguliers#Verbes irréguliers#Accord du passé simple#Construction verbale#Temps verbal#Grammaire française#Usage du passé simple#Connaissance linguistique#Narration temporelle#Pratique de la conjugaison#Expression du passé simple
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Les temps du présent
Le présent de l'indicatif/présent simple
The indicative present is used to
describe what one is currently doing (présent d'énonciation): je travaille - I'm working (as we speak)
describe a fact (présent de vérité générale/historique): les chats sont des animaux - cats are animals
describe an ongoing fact that started in the past (présent duratif): il pleut depuis hier - It's been raining since yesterday
describe the scene (présent de description): le soleil est caché aujourd'hui - the sun is hiding today
describe a habit (présent d'habitude): je cours tous les dimanches - I run every sunday
describe what just happened (présent de passé proche): je viens d'arriver - I just got there
describe what is about to happen (présent de futur proche): je suis là dans une minute - I'll be there in a minute
give an order (présent d'injonction), alternative to the imperative present: tu rentres tout de suite ! - You get home immediately!
make a story feel real (présent de narration): il y a six ans déjà que mon ami s'en est allé avec son mouton. Si j'essaie ici de le décrire, c'est afin de ne pas l'oublier. - It has been six years since my friend left with his sheep. If I try to describe him here, it is so that I will not forget him. (Le Petit Prince)
express a possibility (présent d'hypothèse): si tu es gentil, tu auras un cadeau - if you're kind, you'll get a present
La conjugaison
First group (-er except Aller): je marche, tu marches, il/elle/on marche, nous marchons, vous marchez, ils/elles marchent
Second group (-ir with -iss- in the plural forms): je finis, tu finis, il/elle/on finit, nous finissons, vous finissez, ils/elles finissent
Third group (everything else): typically je cours, tu cours, il court, nous courons, vous courez, ils courent; long -oir verbs: je veux, tu veux, il veut, nous voulons, vous voulez, ils veulent; -indre/-soudre verbs: -s, -s, -t, -ons, -ez, -ent; other -dre verbs: -ds, -ds, -d, -dons, -dez, -dent; -ttre: -ts, -ts, -t, -tons, -tez, -tent; -rir, -llir: -e, -es, -e, -ons, -ez, -ent
Auxiliaries: je suis, tu es, il est, nous sommes, vous êtes, ils sont + j'ai, tu as, il a, nous avons, vous avez, ils ont
N.B. Many third-group verbs are irregular because they used to be two different verbs (ex: Être comes from both Essere - to be and Stare - to stand) that eventually became one and consequently have two bases and can have up to five stems. Always double-check for different, stems, extra letters, accents, etc.
Notable exceptions:
The vowel -i- cannot be between two other vowels in the first and second person plural so it will turn into -y- (vous croyez, nous voyons)
In -cer and -ger verbs, the first person plural changes to allow for the correct pronunciation (nous lançons, nous mangeons); c > ç, go > geo.
In -aître verbs, only the third person singular keeps the accent (elle naît).
Le présent progressif
The progressive present is an emphasized version of the enunciation present and is therefore used to describe an ongoing action that started recently and is actively being done as the narrator is speaking.
It is built by putting together the subject, the verb Être conjugated in the indicative present tense, the adverbial locution "en train de" (in the progress of), the infinitive form of the verb of action, and possibly an object.
Je suis en train de manger, j'ai bientôt fini - I'm eating, I'm almost done
Est-ce que tu es en train de travailler? - are you working?
Nous sommes en train de faire nos devoirs - we are doing homework
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Le conditionnel présent
The present conditional is used
to express a wish: j'aimerais retourner en Italie - I'd love to go back to Italy
a suggestion: tu devrais partir tôt - you should leave early
a hypothesis: il pourrait rentrer demain - he could come home tomorrow
to casually share one's opinion: je n'aimerais pas qu'on me dise ça ! - I wouldn't like it if someone told me that (can be a way to aggravate a situation)
to ask something politely: je voudrais un café - I'd like a coffee
to refer to the future in the past: elle a dit qu'elle arriverait tard - she said she'd arrive late
La conjugaison
Conjugating the present conditional is easy for the first two verbal groups: just add the terminations to the infinitive of the verb. If the verb ends in -e, remove it: prendre > je prendrais. Fun fact: you can build the imperfect tense by removing -er- for the first group and turning -ir- into -iss- for the second.
First group (-er except Aller): je marcherais, tu marcherais, il marcherait, nous marcherions, vous marcheriez, ils marcheraient
Second group (-ir with -iss- in the plural forms): je finirais, tu finirais, il finirait, nous finirions, vous finiriez, ils finiraient
Third group (everything else): typically: je courrais, tu courrais, il courrait, nous courrions, vous courriez, ils courraient; auxiliaries: je serais, tu serais, il serait, nous serions, vous seriez, ils seraient + j'aurais, tu aurais, il aurait, nous aurions, vous auriez, ils auraient
Main irregular verbs: auxiliaries + aller - j'irais, devoir - je devrais, pouvoir - je pourrais, recevoir - je recevrais, savoir - je saurais, tenir - je tiendrais, venir - je viendrais, voir - je verrais, vouloir - je voudrais
N.B. Make sure to not mix it up with the simple future tense, they're similar!
L'impératif présent
The present imperative mood can only be conjugated in the second person singular and the first and second person plural. It is used
to give an order: viens ici tout de suite - come here right now
a suggestion: appelle-le tout de suite, non ? - maybe call him now?
a plea: s'il te plaît, pardonne-moi ! - please, forgive me
to ban someone from doing something: ne touche pas à ça ! - do not touch that
La conjugaison
Warning: it often looks like the indicative present - without a subject. If so, in the second person singular, the verb will require a final -s only if the current final letter is a consonant. Certain verbs cannot be conjugated, like vouloir.
être: sois, soyons, soyez; avoir: aie, ayons, ayez
va, allons, allez; finis, finissons, finissez; marche, marchons, marchez
N.B. Pronouns can be added: a reflexive verb will come with a tonic pronoun and a dash in a positive sentence: Lave-toi !, and a direct object pronoun in a negative sentence: Ne te vexe pas !; when referring to a portion -en: Prends-en un peu ! (an -s will be added for the liaison to be possible), and to a place, -y: Vas-y !
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L'infinitif présent
is the neutral form you find in dictionaries: courir, marcher, prendre
is found after prepositions À, De, Pour and Sans: c’est sans dire, viens à la maison pour dîner !, on part sans perdre de temps
is found after a conjugated verb: il voulait partir tôt (the second verb can be the first element of the sentence: courir nous fatigue)
expresses an order, advice, prohibition: frapper avant d’entrer
expresses anger, surprise or a wish: m'excuser, moi ? plutôt mourir !
expresses doubt in an interrogative sentence: que faire de ce garçon ?
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Le participe présent
The present participle works like an adverb and either expresses an action that happens at the same time as another action, that is possibly the consequence of that action, or describes the subject. It is built by removing the termination of the verb and replacing it by -ant.
Les employés possédant une voiture peuvent se garer dans la rue - the employees who own a car can park in the street
Étant déjà en retard, je décide de courir - being already late, I decide to run
N.B. To get the right pronunciation or avoid a mix-up with an adjective, it can be necessary to modify or add letters when building the present participle. For example: convaincre > convainquant (as convaincant is the adjective), diverger > divergeant ([ʒ], as divergant would be a [g] sound).
Movie: La Piscine - Jacques Deray, 1969
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ANNEXE: Le 'Verse
Hello space cowpeeps! (ok je vais peut-être pas la garder celle-là) Merci encore pour votre participation au sondage de la semaine dernière, qui m'a grandement éclairée sur quelles annexes partager en premier avec vous. Puisqu'une présentation de l'univers (au sens large) dans lequel se déroule le forum s'impose, je vous propose d'explorer notre galaxie avec une première annexe, le 'Verse.
Le ‘Verse
À mesure que l’humanité épuisaient les ressources naturelles de la Terre et que les catastrophes écologiques se multipliaient, les regards se sont tournés vers les étoiles. Des milliers de vaisseaux coloniaux furent envoyés pour explorer de nouveaux systèmes solaires. En 2020, un amas d’étoiles est découvert et nommé officiellement 34Tauri.
De nombreux mondes ont depuis été terraformés pour la vie humaine. (La terraformation est un processus de transformation délibérée de l'environnement d'une planète ou d'une lune afin de la rendre habitable pour les êtres humains et la vie terrestre.) Les colonies ont donné naissance à une variété de cultures et de sociétés, formant le tissu diversifié de l’univers connu, aussi appelé ‘Verse.
Carte de l’Univers connu
Le 'Verse est constitué de cinq étoiles majeures.
White Sun/Bai Hu est l’étoile centrale. Les planètes et lunes gravitant autour d’elle sont appelées le Noyau ou le Core. C’est ici que l’Alliance a été formé et que sa présence est la plus forte. La vie dans les planètes du Noyau est caractérisée par une prospérité économique et une stabilité politique. Ces mondes centraux jouissent de niveaux de développement avancés, offrant des infrastructures modernes, une technologie de pointe et un niveau de vie élevé.
Deux étoiles majeures partagent l’orbite autour du White Sun et constituent les régions de la Frontière ou Border region : Georgia/Huang Long et Red Sun/Zhu Que. Ces mondes, situés en périphérie du système solaire, sont souvent caractérisés par une autonomie plus grande et des conditions économiques variées. Les habitants de la Frontière doivent faire preuve de débrouillardise pour survivre, exploitant les ressources locales et souvent se livrant à des activités de contrebande ou de commerce illicite pour subsister.
Passé la Frontière sont les deux dernières étoiles qui constituent la région de la Périphérie ou Rim : Kalidasa/Xuan Wu et Blue Sun/Qing Long. Ici, la présence de l’Alliance est plus rare et son contrôle fragile. Beaucoup d’Indépendants y ont d’ailleurs trouvé refuge après leur défaite dans la Guerre d’Unification. Les habitants de la Périphérie doivent souvent faire face à des défis tels que des ressources limitées, des infrastructures précaires et des opportunités économiques restreintes mais jouissent de leur indépendance loin du contrôle de l’Alliance.
Au delà des planètes et lunes habitables, des stations spatiales sont localisées sur les principales routes de commerce et servent de lieux de rencontres et de négociations.
Votre personnage peut venir de n’importe quel système, mais il est à noter que Deadwood, là où se déroule notre histoire, se situe dans le système du Blue Sun/Qing Long. Vous pouvez vous servir de ce calculateur de temps de voyage si vous désirez connaitre l’estimation de voyage d’une planète à l’autre. Si une version plus interactif de cette carte vous intéresse, vous pouvez aussi regarder cette vidéo.
A noter
Il n’existe pas de vies extraterrestres découvertes.
Les langues parlées dans le ‘Verse sont une fusion de différentes langues terrestres (notamment l’anglais et le mandarin), résultant en une forme d'anglais appelée "le langage basique" ou "l'anglais du 'Verse". Cette lingua franca est utilisée pour la communication interstellaire et permet aux habitants de différentes planètes de se comprendre. Un lexique sera disponible et mettra en avant les expressions les plus utilisées, telle que “羔羊中的孤羊 - Gao yang jong duh goo yang” qui se traduit en “Motherless Goats of All Motherless Goats”.
Le principal moyen d'échange dans le 'Verse est le crédit de l'Alliance, souvent simplement appelé "crédit". C'est la monnaie officielle utilisée dans les mondes du Noyau et sur les planètes contrôlées par l'Alliance. Cependant, dans les régions frontalières et sur les planètes indépendantes, d'autres formes de monnaie, comme les lingots de platine ou les pièces, sont souvent préférées en raison de la méfiance envers l'autorité centrale de l'Alliance.
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💂🏻♂️ Stratford, Stade de West Ham
On attaque le 2e jour 🤩
Réveil très matinal ce matin car c’est le D-day 🏅 avec nos têtes fatiguées, merci maman pour le plaid 😴
Petit dej et barres de prot’ en poche, on part à 2 stations de chez nous pour la récup des dossards avant 8h30. Petite frayeur avec un métro annulé puis retardé… on arrive au village à 8h30 passé mais il y a du monde qui attend alors tout va bien. D’ailleurs, la puce est dossard est à positionner sur nos chaussures, on se croirait chez les pros 🥸
Pause pipi et dépose sac et nous voilà parti pour 13,2 miles (et oui, on s’adapte 😎)
Une course plus compliqué que prévu, on s’attendait à du 100% plat et finalement pas du tout, le parc monte ou descend tout le temps mais heureusement pas de pluie ☔️ et très peu de vent 💨
Ligne d’arrivée passée, on récupère notre médaille, les ravitos, notre t-shirt et passage express dans le stade 🏟️ c’est très grand !
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Coucou :D pour les questions si ça t'inspire : 🌳 pour Jihane, 🚗 pour Ivy, ✍ pour Oswald, 🎁 pour Glenn ?
Coucou ! Merci pour les questions ! Comme toujours, la réponse la plus développé est pour le personnage demandé et en plus, il y a un petit paragraphe pour les autres personnages !
🌳: What physical traits did they inherit from their biological parents? Do they look more like one parent than the other? / Quels traits physiques ont-ils hérité de leurs parents biologiques ? Ressemblent-ils davantage à l'un de leurs parents qu'à l'autre ?
Pour Jihane, elle ressemble beaucoup plus à sa mère, même si elle a quelques traits et expressions qui doivent venir de son père vu qu'elle les partage avec Claude ou Hamza (qui lui ressemble surtout à leur père, là où Claude, c'est plus mélangé et il ressemble surtout à son grand-père et à Kelon Riegan). Ils ont par exemple le même regard perçant quand ils questionnent quelqu'un, et même si Claude ne l'a jamais vu étant donné que Jihane se voilait déjà quand il est né, ils ont des cheveux assez semblables qu'ils tiennent de leur père, noirs et un peu crépus. Hamza trouve aussi que Claude et Jihane ont les mêmes expressions faciales quand ils étudient et sont passionnés par un sujet mais, il pense que c'est parce qu'ils ont passé pas mal de temps à travailler ensemble avant que Claude ne parte pour Fodlan et il ne peut pas vraiment comparer avec leur paternel étant donné que ce n'est pas vraiment un intellectuel.
Par contre, pour le reste de son apparence, elle le tient de sa mère, surtout ses grands yeux très noirs et saisissant qu'elle partage avec Delaram. Elles ont toutes les deux une peau assez sombre, un visage très régulier avec des traits fins, un air assez svelte et avec leur relative petite taille, beaucoup de gens pensent en les voyant qu'elles sont assez fragiles, bien que Delaram sait très bien manier la dague et que Jihane est une excellente marionnettiste mais, elles font tout pour le cacher afin d'endormir leurs adversaires, les surprendre en cas d'attaque et pour que ceux qui tenteraient de les défier par la force passent pour des couards s'en prenant à plus faible que lui. C'est également d'elle qu'elle a appris à avoir une attitude et un maintien impeccable car, cela permet d'imposer sa présence tout en marquant son rang sans avoir besoin de crier ou de s'agiter comme le fait Tiana, et cela va très bien avec leur force tranquille.
Ivy : Elle ressemble autant à ces deux parents, même si on lui dit souvent qu'elle ressemble pas mal à ses grands-parents à cause de sa manière d'agir. Elle aime bien ses cheveux noirs vu que comme ça, elle partage un trait avec Félicia qui a aussi les cheveux très noirs, même si elles ne se ressemblent pas du tout.
Oswald : je ne sais pas trop pour ses parents mais, il a les mêmes yeux que son petit-fils qui est un sauteur de génération, qu'ils ont hérité de Kelon Riegan qui avait des yeux verts assez inhabituels pour un almyrois et surtout une excellente vue, ce qui est pratique pour des archers qui passent une bonne partie de leur temps dans les airs.
Glenn : lui, il a tout hérité de son père au point que pourrait être le troisième jumeau de Rodrigue et Alix, qui eux-mêmes ressemblent beaucoup à Guillaume. Le seul point qu'il tient de sa mère, c'est sa peau très pale mais, chez les Fraldarius, on ressemble souvent qu'à un seul de ses parents.
🚗: In a modern AU, what kind of job would they have, if any? / Dans une UA moderne, quel type d'emploi auraient-ils, le cas échéant ?
Elle serait surement dans un métier qui lui permettrait de beaucoup voyager étant donné qu'elle est une vraie globe-trotteur qui ne tient pas en place ! Elle serait sans doute encore capitaine d'un navire de marchandises vu qu'elle aime faire des affaires, soit elle se chargerait de mener des scientifiques à bon port lors d'exploration du Grand Nord ou dans des zones difficiles d'accès comme le coeur de l'Amazonie. Elle pourrait également être en charge des échanges avec les personnes vivant sur place étant donné qu'elle a un très bon contact humain. Ce serait une source intarissable d'histoires qu'elle pourrait raconter à Félicia, ainsi qu'à Glenn et Félix qui auraient un mode de vie plus sédentaire, tout en les emmenant de temps en temps en voyage avec elle quand ils seraient assez grands ou quand Félicia va bien.
Par contre, elle ne serait surement pas capitaine sur un navire de tourisme ou un bateau de croisière, ou même un navire de plaisance comme certains voiliers / catamarans très rapides mais, qui blessent la faune marine car, quand ils vont très vite, leurs coques et leurs gouvernails deviennent de vraies lames de rasoirs (comme lors de l'affaire des "orques vengeresses" dans le détroit de Gibraltar que résume et explique très bien cette vidéo, qui ont sans doute interagit avec ses navires par curiosité pour s'amuser, soit parce qu'elles avaient été blessés auparavant par des bateaux, l'une d'elles étant couverte de cicatrices). Ivy aime voyager mais, elle aime aussi l'océan et ne veut pas le polluer avec des méga-bateaux rejetant des tonnes d'eaux usées qui tue la mer et ses habitants à petits feux alors, hors de question pour elle de se mettre à naviguer sur des monstres pareils. Elle pourrait même militer pour leur interdiction afin de préserver l'environnement.
Jihane : elle aurait surement un travail dans les affaires publics, politiques ou culturelles. Elle serait sans doute une très bonne diplomate et aurait une très vaste culture dans énormément de domaine qui l'aiderait à être très efficace dans plusieurs pays très différents. Elle œuvrerait également dans la lutte contre le racisme, ainsi que pour un meilleur accueil des personnes migrantes et leur reconnaissance, notamment pour les enfants.
Oswald : comme Jihane, ce serait un responsable politique très touche à tout, même s'il se spécialiserait dans les relations internationales. Il serait notamment intervenu pour résoudre des conflits par la voie diplomatique et résoudre des tensions commerciales ou militaire grâce à sa langue d'argent.
Glenn : je pense qu'il commencerait par tenter de devenir sportif professionnel quand il est petit étant donné qu'il est très sportif (même s'il ne ferait rien en rapport avec les sports aquatiques vu qu'il nage comme une pierre) mais, il se tournerait finalement vers un métier qui permet de défendre les autres alors, il voudrait être pompier. Par contre, étant donné qu'il aurait surement un accident ou serait grièvement blessé pendant son service pour suivre son destin dans le canon (surement à cause d'un matériel en mauvais état ou une mission mal planifié pour suivre mon canon), s'il survit, il reprendrait surement ses études pour devenir juge d'instruction ou un inspecteur du travail luttant pour de meilleurs conditions de travail.
✍: What does your character's handwriting look like? Do they write letters often? What other contexts do they usually write in, if any? / À quoi ressemble l'écriture de votre personnage ? Est-ce qu'il écrit souvent des lettres ? Dans quels autres contextes écrivent-ils habituellement, le cas échéant ?
Il aurait sans doute une écriture assez bonne qui ressemble à celle d'un notaire ou d'un homme de loi. Il doit avoir une écriture assez lisible pour que les personnes qui travaillent avec lui puissent le décrypter assez facilement alors, dans ces cas-là, son écriture est assez lisible, même s'il y a pas mal d'abréviation dedans afin de gagner du temps. En plus, il est droitier alors, cela l'aide à ne pas étaler l'encre avec sa main. Elle devrait ressembler à ça dans ces cas-là. De mémoire, ce document est une copie faite par un avocat de minutes de procès ou sa plaidoirie, et il datent du XVII ou XVIIIe siècle.
Par contre, quand il écrit ses propres notes qu'il sera le seul à lire, il n'en a plus rien à cirer et son écriture devient nettement plus brouillonne, toujours pour aller vite. Il sera le seul à le lire donc, le principal, c'est de noter ce dont il a besoin et de pouvoir se relire lui-même. Dans la liasse de documents dont vient celui du dessus, il y avait un des membres de la famille qui semblait aller souvent au tribunal et avait laissé plusieurs notes qu'ils avaient pris durant ses procès qui pourrait se rapprocher de la manière d'écrire d'Oswald pour ses propres notes mais, je ne les ai pas prises en photos alors, on va dire que c'est celle-là mais en pire vu que celle-ci, c'est difficile mais une fois l'oeil habitué et que vous avez compris comment l'auteur écrit, avec une bonne loupe, ça se décrypte à peu près contrairement aux autres notes qui étaient juste illisibles :
Hors de son travail où il doit beaucoup écrire, Oswald correspond beaucoup avec des personnes qu'il connait dans toute l'Alliance. Il connait tout le monde dans l'Alliance et au-delà, tout en étant toujours à la recherche de personnes compétentes qui pourraient rentrer à son service et être utile à sa ville et son influence, que ce soit des artistes, des érudits, des religieux influents ou des personnes talentueuses qui pourraient avoir besoin d'un coup de pouce pour s'épanouir (mais ça, j'en parlerait plus quand j'aurais fini ma série de dessins sur l'enfance / adolescence de Félicia étant donné que j'y ai pas mal pensé dernièrement). Mais les personnes avec qui il correspond le plus sont son fils Godfrey avant sa mort qui sont des lettres très tendres remplis de conseils, et sa grande amie Justine, qui sont remplis de références qu'eux seuls peuvent comprendre. C'est de loin la personne avec qui il a le plus correspondu pendant sa vie entière, ce qui a alimenté pas mal de rumeurs à leur sujet mais, ils l'ont pris à la rigolade étant donné qu'ils étaient les meilleurs amis du monde mais, rien de plus.
Enfin, quand il rencontrera Claude, il lui écrira aussi souvent que possible, que ce soit en fodlan ou en almyrois, que ce soit quand il habitait encore en Almyra (même si le messager devait éviter Tiana qui aurait détruit la lettre de son père sinon), quand ils vivaient dans des maisons différentes quand Claude venait d'arriver à Leicester et devait se faire aux uses et coutumes fodlans sans éveiller les soupçons, ou quand il était à l'académie des officiers. Claude aussi écrivait beaucoup à son grand-père et lui racontait pratiquement tout, même s'il écrivait certaines informations un peu sensible (par exemple, les personnes étranges capables de prendre l'apparence d'autres gens) à l'encre invisible avec un codage qui leur était propre.
Jihane : elle fait attention à avoir une écriture très propre et élégante digne d'une future reine, et elle sait très bien calligraphié ses lettres, surtout pour son monogramme / tuğra où elle n'a pas besoin qu'un artiste le fasse pour elle alors qu'il est très complexe. Elle écrit également souvent à ses fidèles et niveau personnelle, elle corresponds avec ses frères et soeurs dès qu'elle le peut, même si Hamza est celui à qui elle écrit le moins mais ça, c'est parce qu'ils sont toujours ensemble. Elle écrit également assez souvent à Claude / Khalid, même si elle doit lui transmettre ses lettres en toute discrétion pour éviter d'éveiller les soupçons, et après l'avoir rencontré quand il est venu récupérer son petit-fils, Oswald et elle ont dû commencer à correspondre ensemble, ayant beaucoup de respect l'un pour l'autre.
Ivy : une écriture carré et efficace, sans fioriture vu qu'elle écrit surtout pour son travail et qu'elle note surtout des chiffres. Par contre, elle note également souvent tout ce qu'elle voie durant ses voyages afin de ne pas les oublier afin de les raconter, notamment à Félicia et plus j'y pense, plus je me dis que cette dernière aurait pu tenter de dessiner les scènes que lui racontait Ivy, surtout qu'elle ne pourrait jamais les voir par elle-même. Evidemment, ce serait parfois assez éloigné de la scène de base mais, Ivy aimerait beaucoup le résultat alors, elle prendrait de plus en plus de notes pour que Félicia puisse les illustrer et l'aider à se changer les idées quand elles sont jeunes.
Glenn : de base, c'est pas un très gros écrivain. ça ne le gêne pas d'écrire, c'est même un des Fraldarius qui écrit le mieux à côté de Rodrigue ou Félix qui sont vraiment illisibles mais, il préfère dire les choses à l'oral et vu qu'il a une très bonne mémoire, il ne note pas grand-chose. Cependant, quand il était à Garreg Mach et quand il était chevalier, il s'est mis à beaucoup écrire à sa famille à la moindre occasion pour garder le lien avec eux, surtout avec son petit frère qui lui manquait. Après "Tout ce que je veux, c'est te revoir", il se met aussi à plus écrire pour entrainer ses mains à faire des gestes précis, ainsi que pour noter les chansons qu'il écrit, notamment celles pour Pomme où il parle de ses sentiments pour elle.
🎁: If they needed to give a friend a gift, how would they go about choosing one? Would they buy it, make it, or do something else? / S'ils devaient offrir un cadeau à un ami, comment s'y prendraient-ils pour le choisir ? L'achèteraient-ils, le fabriqueraient-ils ou feraient-ils autre chose ?
Glenn réfléchirait sans doute à ce qui pourrait faire plaisir à la personne qui va recevoir le cadeau. Il peut être original afin de surprendre l'autre mais, il préférera toujours faire un cadeau classique mais qu'il est sûr que l'autre aimera, plutôt que tenter de faire original pour l'original et prendre le risque que cela ne plaise finalement pas à celui qui le recevra. Il serait également du genre à fabriquer lui-même ses cadeaux, surtout qu'il coud bien et il ferait sans doute l'effort d'apprendre ce dont il a besoin pour le réaliser. Par exemple, je pense qu'une fois remis de ses brûlures, Félix voudrait rejoindre son frère à Garreg Mach même s'il est trop jeune alors, pour lui faire plaisir, Glenn lui fabriquerait une copie de son uniforme à sa taille pour qu'il puisse faire comme lui.
Il aimerait moins acheter quelque chose pour quelqu'un par contre, sauf s'il ne peut vraiment pas le faire lui-même car, il préfère mettre des efforts dans ce qu'il fabrique plutôt que d'avoir tout de suite le cadeau. Par exemple, il pourrait emmener Pomme chez un tatoueur pour recouvrir son matricule sur son bras car, il sait que cela lui fera du bien de se détacher de son passé à Shambhala et qu'il sait qu'il ne fera jamais aussi bon travail qu'un professionnel en la matière.
Jihane : elle serait plutôt du genre à acheter les cadeaux qu'elle offre, en particulier quand c'est pour des personnes qu'elle doit côtoyer par obligation mais, pour ses amis et ses demi-frères et soeurs qu'elle apprécie vraiment, elle réfléchirait beaucoup pour trouver le cadeau parfait qui leur fera plaisir et qui leur sera utile.
Ivy : Elle aussi, elle est du genre à acheter ses cadeaux, sauf si c'est des figurines en bois qu'elle pourrait sculpter pendant un temps calme sur son navire. Elle fait également souvent dans l'originalité vu qu'elle croise souvent des objets exotiques qui pourraient plaire à ses proches (Glenn et Félix ont dû être pas mal pourri par leur tante quand ils étaient petits + elle ramenait toujours un chat de ses expéditions quand elle venait à Fraldarius car, elle sait qu'ils adorent cet animal) mais sinon, elle passerait aussi du temps avec ses proches étant donné qu'elle est toujours à courir aux quatre coins du monde alors, passer du temps au calme à faire ce que ses amis veulent est un très bon cadeau, surtout du point de vue de Félicia.
Oswald : il fait plus des petites attentions régulières envers les personnes qu'il apprécie donc, c'est des petits gestes discrets mais réguliers et sinon, il essaye de fabriquer lui-même ses cadeaux ou alors, de leur apporter sa touche personnelle quand il les achète. Par exemple, quand Claude est arrivé à Derdriu, même s'il parlait fodlan, c'était encore très carré avec des formes de phrases très littéraires étant donné qu'il l'a plus lu que parlé alors, Oswald a fait rédiger et lui-même rédiger en partie un livre d'histoires populaires écrites comme si les personnages parlaient dans la rue, ainsi que copier de pièce de commedia dell'arte de la ville. Etant donné qu'elles sont très souvent improvisés, les acteurs parlent comme parlerait n'importe qui alors, ça a bien aidé Claude à assouplir sa manière de parler.
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En : New character design sheet
Jake, Duke of Ruberum
Jake is an iniamatic musketeer who occupies the life of duke of the Cursed Lands. His face bears the symptoms of facial paralysis and a blind eye which he hides behind a lock of hair. He has the habit to avoid talking about his past, unless it concerns his exploits as a musketeer. Jake expresses his current emotions openly, but he refuses to let himself be overwhelmed by memories of the past or uncertainties of the future, preferring to live in the present moment without nourishing himself with worries and fears. However, he sometimes lets out his anger at the mistakes made by his peers. It is known that Jake has a twin brother and that he conceals his true identity as a witch under a human appearance, always wearing a necklace adorned with a ruby. This dissiumlation is explained by the stigmatization of sarcrafters in society. It is assumed that Jake keeps silent about his past to avoid recognition and to protect his wizarding secret. Rumors are also circulating about a possible relationship between Jake and the daughter of the royal family. Cartains imagine a romantic romance, while others see them simply as close friends. Jake says very little about the subject and in general, even seeming not to have an answer to these questions.
Fr : Une autre fiche de Character design
Jake de Rubérum
Jake est un mousquetaire énigmatique qui occupe le rôle de duc des terres maudites. Son visage perle les sharmates d'une paralysie faciale et d'un œil aveugle qu'il cache derrière une mèche de cheveux. Il évite de parler de son passé, sauf lorsqu'il parle de ses exploits en temps que mousquetaire. Jake exprime ouvertement ses émotions actuelles, mais il refuse de se laisser submerger par les souvenirs du passé ou les incertitudes du futur, préférant vivre dans le présent sans se nourrir de peurs. Cependant, il laisse échapper votre colère face aux erreurs commises par ses pairs. Il est connu que Jake ait un frère jumeau et qu'il cache sa véritable identité de sorcier sous son apparence humaine, portant toujours un collier orné d'un rubis. Cette dissimulation peut s’expliquer par la stigmatisation des sorciers dans la société. On suppose que Jake garde le silence sur son passé pour éviter d'être reconnu et pour protéger son secret sorcier. Des rumeurs circulent également sur une possible relation entre Jake et la fille des Souverains. Certains imaginent une romance naissante, tandis que d'autres les voient simplement comme des amis proches. Jake en dit très peu sur le sujet et admet en général ne pas connaître la réponse à ces questions.
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