#Accord du passé simple
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#Passé simple#Conjugaison#Auxiliaires avoir#Auxiliaires être#Verbes réguliers#Verbes irréguliers#Accord du passé simple#Construction verbale#Temps verbal#Grammaire française#Usage du passé simple#Connaissance linguistique#Narration temporelle#Pratique de la conjugaison#Expression du passé simple
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Hello ! J’ai une question un peu particulière (à laquelle tu peux répondre en privé comme en publique si tu veux)
Je m’abstiens de commenter le conflit israelo-palestinien dans mes cercles sociaux car j’estime ne pas en connaître suffisamment sur le sujet. De ce qu’on apprend au lycée, j’ai particulièrement retenu que c’était bien plus complexe que « les méchants contre les gentils ». J’arrive à un point où il me semble essentiel d’en savoir plus et de me former une vraie opinion. La manière générale dont les informations sont relayées est un peu trop subjective à mon goût. Je me demandais si tu conseillais des sources particulières pour se renseigner, qui ne sont pas aussi manichéennes que ce qu’on peut voir sur les réseaux et dans les cercles de gauche.
Je te suis depuis pas mal de temps maintenant et va savoir pourquoi, il m’a paru assez évident de me tourner vers toi pour cette question. Je me suis dit que je ne perdais rien à demander :)
Oh ça me flatte beaucoup!
Écoute déjà bien comprendre l’histoire de la région aide. Même une recherche tout simple dans une encyclopédie
- sur l’empire Ottoman et son influence dans la région
- sur ce qu’il s’est passé pendant la 1e guerre mondiale et surtout les accords Sykes-Picot
Déjà ça te donnera une bonne idée de ce qu’il s’est passé avant. Ensuite, tu peux de la même façon lire :
- Sur les prémisses du sionisme au XIXe eu Europe, pour comprendre comment ce mouvement est né et dans quel contexte.
- sur les mandats français et britanniques jusqu’à la fin de la 2e GM dans la région et en particulier la Palestine mandataire, gérée par le Royaume Uni
Ça c’est pour le contexte avant la création d’Israël.
Après tu peux lire sur les différentes guerres déclenchées par les pays voisins dès la création d’Israël : guerre des Six Jours, guerre du Kippour etc… et leurs conséquences sur la géographie actuelle du pays.
Puis sur la constitution depuis les pays voisins des mouvements type FPLP, et leurs conséquences sur la région : septembre noir en Jordanie, guerre civile du Liban, guerre Irak-Koweit etc… Et notamment la personnalité de ses leaders comme Yasser Arafat.
Pour le moyen orient de manière générale : l’expulsion des juifs du moyen orient après 1948, l’idéologie pan-arabe / parti baas, les rivalités chi’ites - sunnites et les guerres qu’elles ont provoqué, la montée du wahhabisme / islamisme dans le contexte de la guerre froide et son influence > révolution Iranienne etc
Puis à partir des années 90 : accords de Camp David, les différentes intifadas, l’histoire du Hamas, etc jusqu’à aujourd’hui.
Comme auteur français sur le sujet j’aime bien Martine Gozlan qui a aussi écrit des livres qui sont bien fait sur le sujet. Il y a une journaliste que je suis sur Twitter qui s’y connaît plutôt bien aussi c’est Laura-Maï Gravériaux. Mais tous les autres (Georges Malbrunot, et compagnie = 🚮 et j’espère qu’ils ont jeté leurs talkie walkie)
Mais déjà une bonne lecture encyclo fait du bien au cerveau, quand j’ai commencé à me renseigner là-dessus à la vingtaine je ne savais pas 5% du contexte (et pourtant j’étais très encouragée à avoir une opinion 😅).
Je me considère comme relativement bien informée maintenant mais je dois être à 60% peut-être !
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Le réel, dans son acception lacanienne, n’est pas à confondre avec la réalité, si la réalité est la grimace du réel (et le réel la grimace de la réalité)* c’est que le réel se définit de l’impossible logique qu’induit la performativité rétroactive du signifiant.
On en trouve une intuition saisissante chez Bergson qui rapporte la conversation savoureuse qu’il eut avec un journaliste venu l’interroger, pendant la Grande Guerre, au sujet de l’avenir de la littérature:
– Comment concevez-vous, par exemple, la grande œuvre dramatique de demain?» lui demande-t-on.
– Mais, répond Bergson, l’œuvre dont vous parlez n’est pas encore possible.
– Il faut pourtant bien qu’elle le soit, puisqu’elle se réalisera, rétorque l’autre, adepte sans le savoir d’une métaphysique que nous dirons leibnizienne…
– Non, elle ne l’est pas. Je vous accorde tout au plus qu’elle l’aura été.
– Qu’entendez-vous par là ?
– C’est bien simple. Qu’un homme de talent ou de génie surgisse, qu’il crée une œuvre: la voilà réelle et par là même elle devient rétrospectivement ou rétroactivement possible.
Elle ne le serait pas, elle ne l’aurait pas été, si cet homme n’avait pas surgi. C’est pourquoi je vous dis qu’elle aura été possible à ujourd’hui, mais qu’elle ne l’est pas encore.
– C’est un peu fort! Vous n’allez pas soutenir que l’avenir influe sur le présent, que le présent introduit quelque chose dans le passé, que l’action remonte le cours du temps et vient imprimer sa marque en arrière?
– Cela dépend. Qu’on puisse insérer du réel dans le passé et travailler ainsi à reculons dans le temps, je ne l’ai jamais prétendu. Mais qu’on puisse y loger du possible, ou plutôt que le possible aille s’y loger lui-même à tout moment, cela n’est pas douteux. Au fur et à mesure que la réalité se crée, imprévisible et neuve, son image se réfléchit derrière elle dans le passé indéfini; elle se trouve avoir été, de tout temps, possible ; mais c’est à ce moment précis qu’elle commence à l’avoir toujours été, et voilà pourquoi je disais que sa possibilité, qui ne précède pas sa réalité,l’aura précédée une fois la réalité apparue.
*Dans les rapports entre réel et réalité, Lacan dit tour à tour que «le réel est la grimace de la réalité» et que «la réalité est la grimace du réel», pour saisir la finesse de cette paradoxale formulation il suffit d’observer la réaction d’un enfant lorsqu’un adulte met un masque effrayant.
Même s’il sait que derrière le masque il y a un adulte qu’il connaît (il l’a vu mettre le masque) l’enfant éprouve cependant de l’effroi, tout au moins un malaise.
Le statut du masque n’est donc ni imaginaire ni symbolique, puisque ce n’est ni ce qu’il représente (une figure imaginaire monstrueuse) ni ce qu’il cache (le rôle symbolique que nous sommes supposés jouer, différent de la «vérité de l’être derrière le masque») qui produit de l’effet sur l’enfant, mais le simple fait qu’il y ait un masque, autrement dit que le masque soit réel.
Ce réel de l’illusion vient menacer, fissurer et déstabiliser la réalité elle-même, voilà pourquoi il n’y a rien de plus réel que l’illusion, et voilà pourquoi en psychanalyse le réel n’est pas à chercher au-delà du Symbolique mais qu’il lui est inhérent, en constituant la limite interne.
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MON ANNIVERSAIRE DE NAISSANCE 2024-
J’adore la journée de mon anniversaire de naissance…
J’en profite toujours à chaque année pour faire un bilan de ma vie, le temps passé, le temps présent et le temps à venir.
Je suis né un 28 juin, à la même date qu’Elon Musk…
Le jour de mon anniversaire, j’aime vivre entouré de mes passions, certaines dans la réalité, d’autres par la pensée et le rêve.
Au final, la vie est un voyage et la frontière entre la réalité et l’imaginaire est un simple fil, que ce soient pour les accomplissement et les échecs; les joies et les peines; les audaces et les peurs; ou les espoirs et les regrets.
D'ailleurs mes expériences de vie m'ont appris que le voyage de la vie ne se déroule jamais comme prévu...J'évalue que 90% de mes choix de vie vont se terminés en simple souvenir et anecdotes oubliés avec le temps. Il reste donc un 10% qui est deviendra important avec le passage du temps.
Bon été 2024, et merci de vos bons voeux d’anniversaire à mon égard...
NOTE: J’ai reçu un cadeau magnifique de Donald Trump qui m’a offert un débat historique et mémorable sur CNN. Je suis un homme heureux!
www.lestudio1.com
#anniversary #party #elonmusk #donaldtrump #taylorswift #traviskelce #mickey
MY BIRTHDAY 2024-
I love my birthday...
I always use it every year to take stock of my life, time past, time present, and time to come.
I was born on June 28, the same date as Elon Musk...
On my birthday, I like to live surrounded by my passions, some in reality, others through thought and dreams.
At the end of the day, life is a journey, and the boundary between reality and imagination is a fine line, whether it's for achievements and failures; joys and sorrows; daring and fears; or hopes and regrets.
My life experiences have taught me that life's journey never goes according to plan... I estimate that 90% of my life choices will end up as simple memories and anecdotes forgotten over time. That leaves a 10% that will become important with the passage of time.
Happy summer 2024, and thank you for your birthday wishes to me...
NOTE: I received a wonderful gift from Donald Trump, who gave me a historic and memorable debate on CNN. I'm a happy man!
. www.lestudio1.com
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“En Occident du moins, la Génération Y est dans une situation historique unique. C’est la première, il me semble, à qui des professeurs de ma propre génération ont simultanément enseigné à l’école et à l’université deux visions apparemment contradictoires de la morale. A cause de cette contradiction, livrés à eux-mêmes, ils ont parfois été désorientés, ont douté et, pire, ont été privés de richesses dont ils ignoraient jusqu’à l’existence. Le premier enseignement, c’est que la morale est relative – au mieux un jugement de valeur personnel. Ce qui signifie qu’il n’existe ni bien ni mal absolu. La morale et les règles qui lui sont associées ne sont qu’une question d’opinion personnelle et de hasard, "relatifs à" un cadre particulier défini, par exemple, par des origines ethniques, une éducation, une culture et une histoire. Ce n’est rien d’autre qu’un hasard de naissance. En accord avec cet argument, désormais une philosophie, l’histoire nous enseigne que les religions, les tribus, les nations et les groupes ethniques ont – et ont toujours eu – tendance à ne pas être d’accord sur l’essentiel. Aujourd’hui, la gauche postmoderne prétend même que la morale d’un groupe est uniquement destinée à lui permettre d’exercer son pouvoir sur un autre groupe. Dès que l’on a compris combien ses valeurs morales et celles de sa société sont arbitraires, il devient évident qu’il faut faire preuve de tolérance envers ceux qui pensent différemment et qui sont d’une origine différente. L’accent mis sur la tolérance est si prépondérant que, pour de nombreux individus, l’un des pires défauts est de se montrer prompt à juger les autres. Et, puisque nous sommes incapables de distinguer le bien du mal, la chose la plus malvenue qu’un adulte puisse faire est de donner des conseils pratiques à un jeune. Ainsi, une génération a grandi sans qu’on lui enseigne ce que l’on appelait jadis à juste titre le "bon sens pratique" qui avait guidé les générations précédentes. La Génération Y, à qui l’on a souvent rabâché qu’elle avait reçu la meilleure éducation possible, a en réalité souffert d’une grave négligence intellectuelle et morale. Les relativistes de ma génération et de celle de Jordan, dont un grand nombre sont devenus leurs professeurs, ont fait le choix de renoncer à des milliers d’années de savoir sur la meilleure façon d’acquérir de la vertu, considérant qu’il s’agissait de méthodes du passé "dénuées de pertinence", voire "oppressives". Ils étaient si doués que le simple terme de "vertu" semble aujourd’hui totalement démodé, et que ceux qui l’emploient passent pour des moralisateurs archaïques et suffisants.”
Norman Doidge, préface à Jordan B. Peterson, 12 règles pour une vie. Un antidote au chaos, trad. Sébastien Baert, 2018.
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What does "au temps pour moi " mean in French ?
(You might see it written as " autant pour moi ", but according to the little guys of L' Académie Française this is absolument incorrect)
" On dit "au temps pour moi !" pour admettre son erreur et concéder que l'on va reprendre ou reconsidérer les choses depuis le début." [Source : Projet-Voltaire]
Translation :
We say "au temps pour moi !" to admit one's mistake and concede that we are going to start again or reconsider things from the beginning.
"Au temps pour moi" is basically a formal way of saying "My bad"
[The following examples were invented by @none-ofthisnonsense ]
- Au temps pour moi, l'appart est au troisième et pas au deuxième // My bad, the apartment is on the third floor and not the second".
Note 1 : "appart " is the shortened version of "appartement " (used orally or in text messages)
Note 2 : In this context, you don't have to say "étage" (floor).
I live on the second floor // J'habite au deuxième.
My neighbor on the third floor has a dog that barks all night. // La voisine du troisième a un chien qui aboie toute la nuit.
But : This house has three floors. // Cette maison a trois étages.
- Oups , au temps pour moi, j'ai oublié mon porte-monnaie chez moi. Je peux revenir plus tard ? // Oops, my bad, I forgot my wallet at home. Can I come back later ?
- Au temps pour moi, c'est du passé simple et non pas de l'imparfait. // My bad, it's in passé simple and not imparfait.
Note : "Autant pour moi " = "as much for me"
J'en ai achété autant pour moi // I bought as much (the same amount) for myself.
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Le Cartel de Toronto
La famille Sinclair verse depuis longtemps dans le trafic de narcotiques. Ce ne sont pas de simples dealers de cocaïne, héroïne ou ecstasy, non, ils sont beaucoup plus raffinés que ça et visent plus haut: leurs comprimés de fentanyl s'arrachent comme des petits pains dans tout le Canada, de la côte Ouest à la côte Est. Ils ont une renommée à tenir dans l'ombre, mais se présentent comme une riche famille influente à la lumière, famille aux postes influents (médecins, chirurgiens, avocats, PDG….), irréprochable de prime abord. Néanmoins, leur business ne passe pas inaperçu auprès des forces de l'ordre, qui essaient depuis plusieurs années de les faire tomber, en vain. Pas suffisamment de preuves. Ils sont malins et savent couvrir et protéger leurs affaires. Récemment (environ deux ans), X, la fille Sinclair, qui se fait appeler Brooklyn Rodgers dans les affaires, se faisant régulièrement passer pour un homme, ne montrant jamais son vrai visage, représentée par son second la plupart du temps d'où la méprise (volontaire) à son sujet, a essayé de décentraliser une partie de leurs affaires en Ecosse et en Angleterre, jusque dernièrement aux limites de la ville de York, installant un laboratoire clandestin pour la fabrication dudit fentanyl. C'était sans compter les Blue Angels de York, qui ont déjà la mainmise sur divers trafics (stupéfiants, armes) dans la région depuis plusieurs décennies. De ce fait, un accord est passé avec le MC: ils se chargent de revendre pour X, faisant connaître ainsi ses produits à leurs habitués, et en échange récupèrent une part non négligeable sur les bénéfices faits. Ce fonctionnement semblait plutôt bien établi et équitable, jusqu’à il y a peu: une cargaison de fentanyl ainsi qu’une grosse somme d’argent auraient été dérobés dans un hangar du MC. Chacun accuse l’autre d’être l’auteur du vol. Après des menaces mutuelles et ultimatums, la tension est encore montée d’un cran entre les deux parties, après l’homicide du vice-président du MC. Informés des difficultés rencontrées par leur fille, la famille de X décide de débarquer à son tour à York, pour l’aider à récupérer la cargaison et l’argent disparu.
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Écriture et dépression
Donna Tartt écrivait dans le Chardonneret : "Si la souffrance rend noble, alors lui c'est un prince"
La souffrance est une esthétique bien connue et popularisée dans le monde artistique et notamment la sphère littéraire. Les chansons d'amour triste, les tragédies antique dépeignant la tristesse et la difficulté de l'existence, les courants philosophiques...
Bref, souffrir c'est stylé.
Écrire sur cette souffrance, ça l'est encore plus. J'ai en tête de file Baudelaire et ses Fleurs du mal qui dépeint la beauté dans l'horreur.
Depuis la nuit des temps, les écrivains utilisent leur vécu et puisent en eux pour produire des textes géniaux ou juste horribles (dans le bon sens du terme). Qui n'a jamais rêvé de l'écrivain torturé qui écrit à la lueur de sa bougie sur son bureau tout en se lamentant sur son existence ?
Qui n'a jamais rêvé que son mal être serve son génie ?
Car il faut bien l'admettre, si l'écriture est un exutoire pour certains, la course à la productivité et la qualité devient presque une raison d'être pour d'autre. Le défouloir vient justifier une obsession, il devient un prétexte.
C'est pour ça qu'aujourd'hui je viens discuter de dépression et d'écriture en abordant l'angle de la romantisation de la souffrance.
Un jour, quelqu'un m'a dit "Si tu fais de l'art, alors tu es un artiste". Quand j'y repense, cette phrase parait si simple mais a réussi à désamorcer en moi les nombreuses heures et journées passées à douter de moi-même et de ma légitimité à être une autrice, une écrivaine, une artiste.
Parce que finalement, peut-être qu'il ne suffit que de produire et de faire pour être, n'est-ce pas ?
Ou peut-être que non.
Peut-être que pour être un artiste, se considérer comme tel, il faut pratiquer un art et le pratiquer bien. Et finalement, savoir si on écrit "bien" ou "mal" dépend de beaucoup de critères extérieurs aux notres.
Le piège, quand on fait de l'art et que l'on ne va pas bien, c'est que l'on essaye de maintenir cet état pour continuer à produire quelque chose que l'on considère comme "bon".
J'aime imaginer la dépression comme un monstre qui se nourrit toujours plus de nos idées noires, de nos insécurités, de notre mal-être. Plus cette bête grandit, plus elle est capable de partager avec nous ce qu'elle consomme pour grandir, nous obligeant à la nourrir toujours plus.
On va mal alors on ne sort pas, mais il faudrait sortir pour aller mieux mais on n'a pas la force de le faire alors... Le cycle continue.
Tout ce que je dis relève de la métaphore, je sais bien évidemment que la dépression est une maladie capable de revêtir bien des aspects selon les périodes et les personnes.
Quand on est plus bas que terre, que rien n'est capable de nous rendre heureux, que plus rien n'a de goût, l'écriture peut représenter un phare dans une mer de ténèbres. La seule lumière, le seul plaisir que cette maladie est capable de nous accorder.
Mais peut-être que écrire n'aide pas autant que ça.
Peut-être que oui, ça aide à se changer les idées, à faire quelque chose quand la seule action que tu peux effectuer dans tes pires jours c sortir de ton lit pour aller aux toilettes et effectivement mettre ses pensées sur papier permet de s'en décharger un peu mais écrire c'est aussi une discipline que l'on peut s'imposer pour produire quelque chose.
On parle souvent de l'impact et l'effet que certaines lectures peuvent avoir sur le lecteur mais pas assez de ce que les écrits peuvent faire à son auteur.
Quand les seules choses que l'on arrive à écrire est à l'image de notre état mental, on finit par se dire que c'est finalement la seule manière possible de pondre quelque chose de potable.
Quand on se dit que la beauté de nos mots ne réside que dans le mal-être que l'on décrit alors on se force à rester dedans pour écrire toujours plus de "belles choses", de bons textes.
J'imagine que le terme "se forcer" semble un petit peu fort mais pour moi, c'est l'un des seuls capable de décrire le plus fidèlement ce processus.
Je sais bien qu'il est plus facile de se replonger dans son mal être qui, en étant quotidien, ressemble presque à une couverture chaude dans laquelle on se blottit en hiver. Et ici, je ne parle pas de complaisance mais plus, une recherche de bien être dans le malheur.
Écrire fait du bien, on se sent enfin utile, on arrive enfin à faire quelque chose alors même si pour ça il faut maintenir un état psychologique difficile, c'est un petit prix à payer en comparaison à tout le reste que cela apporte.
Si on reprend la citation du Chardonneret, les écrivains sont des membres éminents d'une noblesse tourmentée.
Sans que l'on s'en rende compte, la dépression et ses idées sombres viennent teinter chaque parcelle de notre créativité, s'imprègne dans les détails de nos écrits. Et c'est beau, certains auteurs basent tout leur ouvrage dessus.
Mais est-ce réellement nécessaire ? Est-ce réellement sain ? Les écrivains sont-ils réellement des êtres voués à exposer leur souffrance d'une manière géniale ?
Doit-on produire ou être un génie pour être auteur ?
"Si tu fais de l'art, alors tu es un artiste"
Il ne s'agit que de ça. À bas la "qualité", à bas le mot, le pertinent, l'inédit. À bas la sécurité de produire quelque chose qui ne sort pas des sentiers battus par peur, à bas l'envie de produire quelque chose de triste parce que sinon, on n'écrit juste pas.
Mes adelphes écrivains, mes scribouillards préférés, mes artistes incompris. Soyez indulgent avec vous-même et autorisez vous l'échec, le moche, le rien. Car tout ceci fait partie de vous et vous êtes des artistes.
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IA vs Artistes : La boite de Pandore, à jamais ouverte.
Si vous vous intéressez un tant soit peu à l'art, que cela vienne de la Photographie, de la Peinture, du Digital Art, alors il est impossible que vous soyez passé à côté DU sujet du moment : L'IA vs Artistes.
En effet, plutôt récemment, le monde a connu l'innovation des IA, acronyme d'Intelligences Artificielles. Certes, leurs utilisations ne datent pas d'hier, que ce soit dans le domaine informatique, médicale... Pour ne citer que cela.
Mais récemment sont arrivées plusieurs IA "d'arts". Entièrement numériques, leurs principe est simple : prendre des images de l'internet selon un thème entré par l'utilisateur, et en former une œuvre d'art nouvelle et unique. Sur le papier, tout est beau et propre. Donnant accès à des personnes dont les compétences laquent dans ce domaine, permettant un simple loisir à d'autres, exprimant la créativité infinie... Mais est-ce vraiment de l'art ?
Ce sujet fait en ce moment polémique, surtout auprès des artistes. Malheureusement, malgré leurs travail acharné, beaucoup de ces derniers ont peur que ces Intelligences Artificielles ne prennent leurs avenir. C'est vrai, imaginez si un jour un robot faisant tout mieux que vous apparaissait dans votre vie, séduit votre parent et se fais embauché au même poste que le vôtre. N'auriez-vous pas peur ? Oui, vous êtes "humain", ce qui apparemment est toujours vu comme un avantage. Mais il y a une chose que l'on oublie souvent : l'IA n'a pas besoin d'être payée, elle. Le prix de l'achat est élevé, mais à long terme... La peur d'être viré n'est-elle toujours pas là ?
Et enfin, il y a également un point de vue légal qui s'impose. Car peut-être que cela ne fait rien à l'utilisateur, en soit il n'est pas responsable, il entre juste quelque mots et "son œuvre" est formée. Cependant cette œuvre ne vient pas de nul part. Rien d'autre que des arts postés sur internet tel que sur des sites comme Instagram, Twitter, Tumblr... servent à créer ce que l'IA vous propose. Mais est-ce que les artistes de ces dernières ont accepté de donner leurs travaux pour ce projet ? Eh bien non. Aucun accord n'a jamais été demandé par les créateurs de ces IA, ce qui engagent aujourd'hui plusieurs procès concernant les droits d'auteurs. Car un artiste passe du temps et de l'argent derrière sa création, tout comme le créateur de l'IA en passe également sur le robot. Mais elle, l'IA, ne passe que quelques secondes avant de faire apparaître un mélange de couleurs et de formes ne lui appartenant même pas, et surtout ne payent pas ce que les artistes font pour vivre.
Aujourd'hui, les artistes se battent pour que ces IA disparaissent, ou s'engage au moins à contacter et demander l'autorisation, payer l'utilisation de leurs œuvres (comme le principe des commissions). Mais les IA sont comme la boite de Pandore. Renfermant un pouvoir sombre et infini, une fois ouverte, on ne peut plus la refermer. Trop de gens sont maintenant fanatiques de ce genre de contenu amusant et ludique, oubliant parfois la triste vérité derrière...
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sources:
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Céline Nunez.
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#Passé simple#Conjugaison#Auxiliaires avoir#Auxiliaires être#Verbes réguliers#Verbes irréguliers#Accord du passé simple#Construction verbale#Temps verbal#Grammaire française#Usage du passé simple#Connaissance linguistique#Narration temporelle#Pratique de la conjugaison#Expression du passé simple
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Ok c'est bon j'ai terminé les deux premières saisons de SAO (aka j'ai reregardé ce que j'avais vu au collège) et euh. Ouais y a des choses à dire
Sur ce je vais salement spoiler pendant genre 3000 mots /hj
Déjà il faut savoir que SAO est divisé en arcs et que chaque saison a plusieurs arcs – la saison 1 en a 2, la saison 2 en a 3 et les saisons 3 et 4 c'est un même arc j'crois (je les ai pas vues et je sais pas si je vais les regarder)
Du coup :
Saison 1 – Arc 1 : Aincrad
Résumé : Quand on parle de SAO en général c'est à cet arc qu'on pense. Le principe est simple : 10 000 joueurs sont piégés dans Sword Art Online, un tout nouveau MMORPG en full VR, par son développeur. Ils sont incapables de se déconnecter à moins de triompher d'Aincrad, la forteresse volante aux 100 étages où se déroule le jeu ; mais s'ils meurent dans le jeu, leur casque VR leur grille le cerveau et ils meurent dans la vraie vie.
On suit donc Kirito, l'un des joueurs qui se trouve avoir l'avantage d'avoir été bêta-testeur et de connaître les premiers étages du jeu. Malheureusement, les bêta-testeurs sont un peu marginalisés à cause de cet avantage perçu comme injuste par les autres joueurs, alors Kirito s'isole et reste surtout un joueur solo, même s'il s'allie de temps en temps avec d'autres joueurs.
Il rencontre notamment Asuna, une joueuse talentueuse qui devient vice-commandante de l'une des guildes les plus puissantes du jeu, et malgré quelques frictions au début, ils finissent par tomber amoureux et se retirer du champ de bataille pour vivre ensemble dans un chalet, adoptant au passage une fille, Yui, qui se révèle être une IA.
Malheureusement, le leader de la guilde d'Asuna les rappelle au front, mais après une bataille ravageuse contre le boss du 75ème étage, Kirito découvre que ledit leader est en fait le développeur du jeu et le défie en duel, qu'il finit par gagner, mettant fin à ce monde virtuel après ~2 ans passés à l'intérieur.
Mon avis : Honnêtement c'est un arc solide ! Le concept de base est cool et y a des moments et des personnages assez marquants. Il souffre par moments du syndrome du harem d'anime (pourquoi tous les persos féminins tombent amoureux de Kirito... pourquoi la plus jeune se fait répétitivement choper par des tentacules.....) mais il soulève aussi des questions intéressantes (je suis pas très slice of life de manière générale mais le passage au chalet aborde un peu le point de vue des joueurs qui ne se battent pas, qui plutôt que de chercher à à tout prix sortir de ce monde décident de se recréer une vie dedans, et je trouvais ça vachement intéressant) et les combats sont franchement cools :]
^ Look at baby...
Je trouve ça aussi sympa que bien qu'on puisse avoir l'impression que Kirito est le poster child du trope du protagoniste pété sans raison, en vrai ici c’est justifié, et même cohérent avec les arcs suivants : il est pas tout-puissant, mais il a des informations en plus et il a un temps de réaction super rapide, et grâce à ça il a plus de niveaux et des skills en plus que les autres joueurs.
Par contre je trouve que le pacing est un peu bizarre par moments, notamment parce qu’à la base les light novels dont est adapté l’anime suivaient l’histoire principale puis ont ajouté quelques histoires secondaires, mais que l’anime a remis le tout dans l’ordre donc les histoires secondaires donnent un peu l’impression d’être déconnectées (mais elles introduisent des persos important pour le reste de la série donc je comprends le choix)
J’aurais aussi bien aimé que l’anime accorde à chaque arc sa propre saison, quitte à avoir un peu de filler, pour développer les persos secondaires, parce qu’il y a plusieurs persos qui sont introduits dans un épisode puis disparaissent (*tousse* les filles du “harem” de Kirito *tousse*) et d’autres arcs qui auraient mérité plus de développement
Mais l’arc reste sympa, bien que pas mon préféré du lot. Et il est déjà plus agréable à regarder que, euh, ah oui
Saison 1 – Arc 2 : Fairy Dance
CWs : Agression sexuelle sur mineure, inceste
Résumé : Vous voyez, l’arc 1 a des problèmes. Mais l’arc 2 est un problème /hj
Cet arc se déroule deux mois après la conquête d’Aincrad. Des 10 000 joueurs de SAO, un peu moins de 4000 sont morts dans le jeu. Les survivants sont parvenus à sortir du jeu… sauf 300 d’entre eux, dont Asuna, qui sont restés dans le coma pour une raison inconnue. Kirito, qui lui rend régulièrement visite à l’hôpital, apprend deux choses : 1 - fille d’une famille riche, Asuna est fiancée à un homme connard qui compte l’épouser pendant son coma (ELLE A 16 ANS BTW), et 2 - des photos d’une personne ressemblant étrangement à Asuna ont été publiées sur un forum… plus précisément, celui d’un autre MMORPG en VR, ALfheim Online (ALO). Selon la personne ayant pris la photo, elle serait captive en haut d’Yggdrasil, un arbre/donjon gigantesque situé au cœur du jeu et que personne n’a jamais réussi à escalader.
Kirito décide donc de plonger dans le jeu et, en plus d’y retrouver Yui, y rencontre Leafa, une jeune fille qu’il sauve d’une attaque. Il lui demande donc son aide pour se rendre à Yggdrasil ; mais ce que tous deux ignorent, c’est que Leafa est en réalité sa sœur, Suguha. Qui se trouve avoir un crush sur Kirito dans la vraie vie. (Mais vous voyez c’est pas si grave parce que Kirito est adopté ! En réalité, c’est… son cousin. Donc ça va ^^ ^^ ^^ /sarcasme
Bref, après quelques épopées, ils arrivent à Yggdrasil, dans la vraie vie Suguha apprend que Kirito est très amoureux d’Asuna donc elle a le cœur brisé et se réfugie dans les bras du Kirito virtuel, oupsi, big révélations, ils conquièrent Yggdrasil grâce à des alliés que j’ai skippés, on apprend que le fiancé d’Asuna était celui qui gardait les 300 personnes captives dans le jeu pour faire des expériences avec, il essaie de la violer, Kirito le découpe en deux, il manque de le buter irl, Asuna est saine et sauve, fin de l’arc 👍
Mon avis : YIKERS ??? Je me souvenais de l’arc inceste parce que comment oublier ça, mais j’avais oublié qu’elle était amoureuse de lui irl aussi c’était pas juste des virtual identity shenanigans ??? Oskour
La vérité grosse déception parce que le concept d’ALO est grave stylé ? Là où SAO n’avait pas de magie et pas vraiment de lore, ALO a tout un univers inspiré de la mythologie nordique, avec les joueurs divisés en 9 races de fées qui ont toutes leurs affinités, leurs pouvoirs et leur hiérarchie propres… sauf qu’on voit genre 3 races en action de tout l’arc, dont deux gentilles et une méchante parce que fuck you that’s why, et au final tout le lore autour rentre à peine en jeu dans l’histoire :( Ce qui n’est pas aidé par le fait que l’arc est restreint à 10 épisodes… j’aurais kiffé voir Kirito explorer les différentes nations, retrouver ses connaissances de SAO (qu’on voit d’ailleurs plus tard dans ALO, avec tout une variété de races), jouer l’élément perturbateur dans la géopolitique du monde et parvenir à rallier toutes les races de fées pour conquérir Yggdrasil, mais non, à la place il aide deux des races une fois et c’est elles qui l’aident et ça suffit. Sadge :[ Y a même une des races qu’on voit pas de tout l’anime, même les saisons qui suivent, et ça me rend particulièrement triste parce que j’avais créé une OC de cette race pour un RP avec un ami y a v’là longtemps… Les Pookas mes pookies vous méritiez mieux </3
Mais bon. À part ça Kirito est un peu un plot même si il se transforme en bestiole à un moment et c’est sympa. J’aurais bien aimé qu’ils explorent un peu le trauma d’avoir été piégé 2 ans dans un monde virtuel et de devoir y retourner malgré tout, mais non il remet le casque tranquille 😔
Et Asuna… what did they do to you 💀 Elle passe l’anime en demoiselle en détresse, piégée dans une cage à se faire régulièrement toucher par son fiancé de manière inappropriée, y a bien un moment où elle réussit presque à s’échapper mais elle se fait choper et toucher par des tentacules, et toute son utilité au scénario c’est qu’elle fait tomber une carte à un moment </3 C’est trop dommage parce que dans l’arc 1 c’est quand même un perso fort, l’une des épéistes les plus réputées du jeu et tout, et là elle est juste impuissante sur tous les bords :( J’aurais voulu qu’elle soit plus active quoi, mais bon… c’est beaucoup en demander du pire arc de l’anime /hj
Et en parlant de ça passons au meilleur arc :
Saison 2 – Arc 3 : Phantom Bullet
Résumé : Alors qu’il reprend sa vie normale aux côtés de ses amis et continue à jouer à ALO, Kirito est contacté par un agent du gouvernement qui lui demande de l’aider à enquêter sur une série de meurtres. Un mystérieux joueur du nom de Death Gun aurait en effet tué des joueurs depuis l’intérieur d’un nouveau FPS en VR, Gun Gale Online (GGO). Convaincu qu’il ne tue pas vraiment depuis l’intérieur du jeu, Kirito accepte de participer au tournoi le plus important du jeu, le Bullet of Bullets, pour enquêter sur l’affaire.
Il y rencontre Sinon, une talentueuse snipeuse qui accepte de lui enseigner les bases, mais celle-ci a un lourd secret : elle a une peur bleue des armes à feu dans la vraie vie depuis qu’elle a accidentellement tué un homme qui les menaçait, sa mère et elle. Il n’y a que dans la vie virtuelle, sur GGO, qu’elle peut dompter cette phobie et trouver la force qu’elle aimerait tant avoir dans la vraie vie.
Ensemble, Kirito et Sinon triomphent du tournoi et découvrent la vérité derrière Death Gun et ses meurtres, en trouvant au passage chacun le courage d’affronter leurs peurs :) C’est l’arc que je spoilerai le moins parce que je veux donner envie de le regarder askfjkds
Mon avis : C’est pas un secret, c’est mon arc préféré du lot <3
Déjà c’est celui qui a le meilleur opening (Ignite….. c’est le réécouter qui m’a donné envie de reregarder l’anime X’)), puis niveau esthétique je le trouve aussi plus sympa que les autres (entre SAO qui trempait les pieds dans la fantasy mais l’assumait pas tellement et ALO qui, *uh, n’en parlons pas*, le côté cyberpunk de SAO est le plus développé je trouve, et les combats sont d’autant plus dynamiques avec l’ajout des armes à feu et l’obstination de Kirito à se battre à l’épée (il pare les balles ce con… et c’est stylé de ouf 😭), en plus il a un avatar féminin avec des cheveux longs donc quand il bouge ça fait woosh ✨
^ Regardez le gif que j'ai mis 45 minutes à créer pour qu'au final il soit limité à du 240p. My daughter <3
Mais surtout un de mes aspects préférés c’est que c’est l’arc où les persos sont les plus… humains ? On voit enfin un peu les répercussions de SAO sur la santé mentale de Kirito (après tout il a buté des gens, le boug) et Sinon est probablement mon perso préféré de l’anime, que ce soit niveau design, caractère ou progression du perso ! Malheureusement elle aussi tombe amoureuse de Kirito (😩) mais elle est plus normale que les autres à ce sujet, et vu que c’est quand Kirito a son avatar féminin techniquement ça compte comme du yuri /j
C’est aussi l’arc qui se permet d’être le plus brut et woag le flashback du moment où elle tire sur le gars je peux vous assurer que je l’avais pas oublié, paye ton trauma :’) /hj Bon la sc��ne d’agression sexuelle dans l’avant-dernier épisode c’est business as usual par contre 😒
Un autre aspect que j’aime beaucoup c’est qu’on en revient à ce que je mentionnais tout à l’heure – Kirito est puissant grâce à ses connaissances et à son temps de réaction, mais c’est pas un joueur surnaturel non plus, c’est une bille en précision à l’arme à feu et tout X’) Puis la plupart des combats il les gagne avec Sinon ! Ils font un bon duo !!
Bref, je savais pas quoi penser de cet arc quand je l’ai vu au collège mais là je peux absolument affirmer que c’est, pour moi, l’un des meilleurs <3 Contrairement à celui-là :
Saison 2 – Arc 4 : Caliber
(J'ai pas trouvé de poster pour cet arc, c'est dire)
Résumé : De retour à ALO, Kirito et cie tombent accidentellement sur une quête unique, qui pourrait les mener à la légendaire épée Excalibur ; mais elle se trouve au fond d’un donjon difficile, et, comme ils l’apprennent plus tard, s’ils échouent, la carte du jeu pourrait être rasées. Heureusement, grâce à l’intervention d’un PNJ, ils réussissent et Kirito en repart avec Excalibur. Yippie !
Mon avis : Bah j’en pense pas grand-chose hein 😭 L’arc dure 3 épisodes et c’est deux de trop. Il se passe rien hors le moment où Kirito gagne l’épée. À part ça, pfft, might as well not exist
Saison 2 – Arc 5 : Mother’s Rosario
CW : maladie grave, mort d’enfant
Résumé : Toujours sur ALO, Asuna apprend l’existence d’un joueur légendaire, encore invaincu, qui serait en possession d’une technique d’épée unique au monde. Ce joueur aurait même vaincu Kirito, qui refuse d’en dire plus à Asuna sur sa défaite. Curieuse, elle décide de le défier, et découvre qu’il s’agit en fait d’une certaine Yuuki, qui, après un duel qu’elle remporte, lui demande d’aider sa guilde à vaincre un certain boss d’un donjon.
En parallèle, la mère d’Asuna désapprouve les passe-temps d’Asuna et menace de lui confisquer son casque VR et de la transférer dans une autre école, loin de ses amis.
Après quelques péripéties, le groupe triomphe dudit boss, et Asuna propose de rejoindre la guilde ; mais Yuuki, après lui avoir dit qu’elle ne tarderait pas à dissoudre la guilde, semble prendre peur, se déconnecte et la bloque.
Asuna cherche à la joindre, et finit par apprendre la vérité : Yuuki est dans un hôpital, atteinte d’une maladie terminale, et vit en VR 24h/24. La guilde n’est composée que de personnes dans des situations similaires, malades ou en rémission.
Asuna fait de son mieux pour aider Yuuki à profiter du temps qu’il lui reste, lui permet d’aller à l’école avec elle via caméra, mais ce n’est pas fait pour durer, et Yuuki finit par mourir en étant connectée à ALO, entourée de ses amis et de centaines de joueurs qu’elle a inspirés par sa force et son courage.
Mon avis : Bah tout simplement en just chialing ??? TT
Ouais j’ai fini l’arc en larmes, ouais. La vérité le plot twist est bien setup, la plupart des membres de la guilde sont à peine développés mais Yuuki l’est et ough… right in the feels…
En plus de ça c’est un arc centré sur Asuna, et même si j’ai un peu le seum qu’elle soit reléguée au poste de healeuse par moments (alors que c’est dans SAO c’était une épéiste pure et dure) ça fait du bien d’avoir une histoire un peu centrée sur elle après trois arcs où elle était secondaire at best et demoiselle en détresse at worst
Puis c’est un peu yuri… à un moment Yuuki blague qu’elle devrait épouser Asuna…. (<– smiling through the tears)
Bref c’est pas le plus long des arcs, il fait genre 7 épisodes, mais oughhgh il fait mal :’) Des émotions qu’on attendrait pas de SAO, et pourtant…
Film : Ordinal Scale
Résumé : En parallèle à la VR, une nouvelle technologie se développe : la réalité augmentée, ou AR, en particulier un jeu, Ordinal Scale, qui permet aux joueurs d’affronter des bestioles dans la ville autour d’eux, en compagnie d’une IA idol, Yuna. Des boss des différents niveaux de SAO commencent même à apparaître lors d’événement d’Ordinal Scale, attirant beaucoup des anciens joueurs de SAO, dont Kirito et ses compagnons.
Mais quelque chose semble se tramer : peu à peu, des joueurs disparaissent, tandis qu’un certain joueur, le n°2 du classement, apparaît à certains combats mais antagonise beaucoup Kirito & co. Pire, lors d’un combat, Asuna se fait éliminer par l’un des boss et se réveille sans aucun souvenir du temps qu’elle a passé dans SAO.
Kirito finit par apprendre qu’Ordinal Scale n’est qu’une machination organisée par un scientifique et le joueur n°2 pour récolter les souvenirs de tous les joueurs de SAO, et ce dans le but de les utiliser pour créer une IA à l’image de Yuuna, la fille du scientifique et meilleure/petite amie du n°2, sur laquelle est basée Yuna. Au concert de cette dernière, une floppée des plus puissants boss de SAO apparaissent et s’attaquent au public ; mais grâce à une intervention de Yuna, Kirito et ses amis sont envoyés dans le monde virtuel pour affronter le véritable boss final de SAO, et parviennent à rétablir l’ordre et rendre leurs souvenirs à tout le monde
Et à la fin Kirito et Asuna se marient :) (Pas officiellement ofc mais ils s’échangent des anneaux c’est mims)
Mon avis : Le film est très cool !! L’AR est absolument irréaliste, mais bon je regarde pas SAO pour son réalisme askjdksd
L’animation est belle, les scènes de combat pètent le style, même si un peu fanservice-y par moments (pendant le boss final y a même un moment où tous les persos secondaires sortent d’un portail et les persos principaux retrouvent leur tenue du premier arc ??? Sure)
Ils passent un peu de temps à développer la relation Kirito-Asuna aussi, ce dont ils avaient cruellement besoin après leur peu d’interactions dans les saisons précédentes u_u
Le plot est un peu prévisible mais reste bien amené et un peu émouvant, puis j’aime beaucoup le charadesign de Yuna :]
^ Also baby
Par contre ils consacrent un peu de temps à tous les persos secondaires, ce qui est très apprécié, sauf Suguha (la sœur…) qui est sidelinée et prend part à aucun combat sauf le dernier for some reason (en vrai je me plains pas lol) et Agil, qui est le perso qui apparaît probablement le moins de la bande dans toute la série alors que je l’aime beaucoup ?? Justice pour Agil wesh
Mais bref, j’étais all��e le voir au ciné avec mon meilleur ami à l’époque et ça reste de bons souvenirs <3
Avis général
La vérité SAO est un anime un peu mid, mais je l'aime beaucoup 😭 C'est probablement en partie la nostalgie qui parle mais ça m'a fait plaisir de le revoir...
L'histoire a un pacing un peu bizarre par moments, mais il regorge d'idées et de persos qui mériteraient d'être développés... peut-être dans un meilleur anime :') Malheureusement il souffre du traitement habituel réservé aux femmes de shonens (+ whatever the hell happens in l'arc 2) et un peu de sa manie d'introduire de nouveaux persos à chaque arc sans vraie considération pour ceux des arcs précédents 😔 Leave your author baby I could treat you better
Sur ce j'ai commencé à regarder whatever the hell la saison 3 is et je suis perplexe I guess o7
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LA VRAIE REPENTANCE
Les assemblées chrétiennes d'aujourd'hui sont parsemées de membres et de dirigeants déclarés qui n'ont pas fait l'expérience d'une vraie repentance et d'un salut authentique. Pourtant, le Seigneur exige un renoncement complet et permanent au péché. Exprimer des regrets, de simples remords une fois en passant ne traduit pas une véritable repentance. Ce sont de simples états d'esprit qui n'impliquent ni repentance, ni piété, ni sanctification.
Or, Dieu dit ceci. Car je suis l'Eternel, votre Dieu; vous vous sanctifierez, et vous serez saints, car je suis saint; et vous ne vous rendrez point impurs (Lev 11:44). Recherchez la paix avec tous, et la sanctification, sans laquelle personne ne verra le Seigneur. (Héb 12:14). Car Dieu ne nous a pas appelés à l'impureté, mais à la sanctification. (1Thes 4:7). Que l'impudicité, qu'aucune espèce d'impureté, et que la cupidité, ne soient pas même nommées parmi vous, ainsi qu'il convient à des saints. (Ephé 5:4).
Les croyants doivent véritablement se repentir et abandonner leurs péchés et naître de nouveau en Christ. C'est ce qui fait d'une personne un vrai chrétien. Tout le reste n'est qu'une comédie qui déplaît à Dieu. Cette forme d'hypocrisie n'entraîne que la condamnation de celui qui rejette continuellement le véritable salut offert par le sacrifice expiatoire de Christ.
POUR TOUS CEUX QUI VEULENT SE REPENTIR ET DONNER LEURS VIES A DIEU VOICI LA PRIERE DE LA REPENTANCE
"Seigneur Dieu, je viens à toi tel que je suis. Je reconnais que je suis pécheur. Je te demande pardon pour tous mes péchés. Pardonne-moi tous mes péchés au nom de Jésus qui est mort sur la croix et qui a versé son sang pour moi. Je crois qu' il a porté mon châtiment à ma place.
Aujourd'hui, je veux naître de nouveau en abandonnant mon viel homme. Délivre-moi de tous les liens et de toutes les formes de dépendances qui m'amènent à pécher. Accorde-moi le salut éternel que tu as promis à tous ceux qui se repentent. Ecris mon nom dans ton livre de vie pour bénéficier de la vie éternelle auprès de toi. Je te remercie parce que tu me donne le privilège de devenir ton enfant et ton héritier.
Désormais, je veux te suivre et marcher avec toi tous les jours, jusqu'à la fin de ma vie. Donne-moi la force de ne jamais reculer ni renoncer à ma décision. Permets-moi de te rester fidèle jusqu'au bout. C'est au nom de Jésus que j'ai prié. Amen!!!."
Que Dieu entende et exauce tous ceux qui vont accepter lui donner leurs vies aujourd'hui. Écrivez-moi Inbox si vous avez pris la décision et fait la prière de la repentance. Ce sera pour moi un grand sujet de joie et pas seulement pour moi.
La bible dit dans Luc 15: 10: il y a de la joie dans le ciel quand un seul pécheur se repent sur la terre. Il commence alors une nouvelle vie en suivant la doctrine de Jésus-Christ. Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. (2 Corinthiens 5:17).. Pour cela, il faut une vraie et authentique repentance accompagnée d'un changement de comportement et de vie. C'est une décision personnelle, intime et individuelle.
Celui qui se repent sincèrement de ses péchés ne joue pas donc à l'hypocrite avec Dieu en paraissant seulement chrétien devant les hommes. Lorsqu'une personne se repent partiellement et continue de pécher, il reste entièrement coupable. Ce qui est requis, c'est une tristesse pieuse, profonde et la foi ferme en la promesse de Dieu de laver tout péché et accorder le salut.
A tous les Citoyens du ciel, je dis rendez-vous bientôt là-haut chez le Père Céleste. Ce jour, nous serons tous réunis auprès de Dieu, laissant la terre avec ses haines, ses douleurs, ses pleurs, et ses malheurs. Là-bas, il n'y aura plus de continent, de race, de nationalité, d'ethnie, de religion, de sexe, d'âge. Toutes ces choses anciennes passeront.
Voyageurs et pèlerins, nous sommes juste de passage sur la terre. La nouvelle patrie qui nous attend et à laquelle nous aspirons est le Royaume de Dieu.
Ceux qui ne veulent pas prendre la décision aujourd'hui peuvent copier la prière de repentance et la garder. Qui sait, un jour vous pourrez en avoir besoin quand Dieu vous convaincra de le faire. Jésus a dit "je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. (Jean 14:6). Prépare-toi à la rencontre de ton Dieu. (Amos 4:12).
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RC Lens : Martin Satriano, un nouvel atout pour l'attaque du club
Le Racing Club de Lens se trouve à un tournant de sa saison et cherche à rebâtir son attaque après le départ d'Elye Wahi, transféré à l'Olympique de Marseille. Le club artésien a jeté son dévolu sur Martin Satriano, un jeune attaquant uruguayen qui évolue à l'Inter Milan. Cette décision montre les ambitions du RC Lens, qui s'efforce de maintenir une équipe compétitive sur la scène française et européenne. Martin Satriano au Racing Club de Lens Martin Satriano débarque au Racing Club de Lens... A 23 ans et originaire de Montevideo, Martin Satriano a fait ses preuves lors de ses prêts successifs, notamment à Brest, où il a passé deux saisons. Cette expérience lui a permis de développer ses compétences et de se forger une réputation d'attaquant redoutable. Sa formation à l'Inter Milan, l'un des clubs les plus prestigieux d'Italie, a également contribué à sa progression. Les performances de Martin Satriano ont suscité l'intérêt de plusieurs clubs cet été, y compris l'OM et son ancien club, Brest. Mais le RC Lens a su tirer son épingle du jeu et attirer ce joueur prometteur, ce qui démontre son désir de se renforcer et d'améliorer sa ligne offensive. Lire aussi : Franck Haise prêt pour son transfert de Lens à l'OM ! Un prêt avec option d'achat : un coup stratégique pour Lens Le transfert de Martin Satriano au RC Lens se fera sous forme de prêt d'une saison, une formule qui permet au club de minimiser les risques tout en se renforçant. Ce prêt est accompagné d'une option d'achat fixée à 5 millions d'euros, bien que cette dernière ne soit pas automatique. Cela signifie que Lens devra évaluer la performance de Martin Satriano durant son temps au club avant de décider d'acheter définitivement le joueur. Cet accord est perçu comme un coup stratégique par le staff technique du RC Lens, notamment par Will Still, l'entraîneur, qui voit en Martin Satriano un atout majeur pour l'attaque de son équipe. Le club espère finaliser l'engagement de l'attaquant dans les prochains jours, une étape importante pour la préparation de la saison à venir. Des ambitions élevées pour le RC Lens Avec l’arrivée de Martin Satriano, le RC Lens renforce non seulement son équipe, mais envoie également un message fort à ses rivaux en Ligue 1. La direction du club a clairement exprimé son intention de ne pas se contenter d’un statut de simple participant, mais de viser des objectifs plus élevés. Le choix de Martin Satriano s'inscrit dans cette dynamique, avec l'espoir que ses qualités techniques et son sens du but contribueront à la réussite collective de l'équipe. Le RC Lens, qui bénéficie d'une option supplémentaire pour la saison à venir, espère que ce transfert sera le premier d'une série d'autres mouvements qui permettront de bâtir une équipe solide et compétitive. Les supporters attendent avec impatience de voir Martin Satriano à l'œuvre sur le terrain, prêt à apporter sa pierre à l'édifice lensois. Voir également : Franck Haise écarte les rumeurs d'un départ à l'OM Un avenir prometteur Le RC Lens s'apprête à accueillir Martin Satriano dans un contexte où l'équipe cherche à se réinventer. L'arrivée de cet attaquant talentueux marque le début d'une nouvelle ère pour le club. Les attentes sont élevées, tant de la part de la direction que des supporters, qui espèrent voir leur équipe briller dans les compétitions à venir. Reste à savoir si Martin Satriano saura répondre à ces attentes et s'imposer comme un pilier de l'attaque lensoise. Read the full article
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Et si la Fashion Week n’existait plus
C’est le moment le plus attendu des passionnés de mode. Enfin, c’était. Imaginons que la Fashion Week ne soit supprimée : finies les dizaines de défilés par jour et le rassemblement de grandes personnalités du milieu, tout cela c’est du passé. Alors, que se passerait-il sans la semaine de la mode ? La mode fait encore parler d’elle. Alors que la marque Saint Laurent vient d’annoncer son retrait du calendrier de la Fashion Week, une décision a été prise par la Fédération de la Haute Couture et de la mode. La semaine de la mode : c’est terminé ! En accord avec les organisations mondiales du secteur, les marques devront se débrouiller pour présenter leur collection aux acheteurs, journalistes et célébrités. La Fashion Week ? Besoin d’une piqûre de rappel ? Vous savez, c’est cette semaine (qui ne dure pas sept jours d’ailleurs) se déroulant principalement à New York, Londres, Milan et Paris. Elle permet aux marques de luxe de dévoiler leur collection lors de défilés. C’est la base avant la commercialisation, la communication, bref, le chiffre d’affaires des marques. La supprimer induit beaucoup de changements. Un nouveau système « Après mûres réflexions, nous avons pris la décision d’arrêter toutes les Fashion Week dans toutes les villes du monde. Désormais, chaque marque sera libre de présenter ses collections à la date et dans le lieu souhaité », indique le communiqué de la Fédération de la Haute Couture et de la mode. Dès lors, les services de communication et de vente, ainsi que la direction artistique, se mettent à réfléchir à une nouvelle organisation. Certaines marques décident de continuer la présentation des vêtements dans les grandes villes. En effet, c’est plus simple : beaucoup d’invités seront sur place et il est simple de s’y rendre. On ne veut pas risquer d'avoir des bancs vides ! Pourtant, d’autres s’axent sur une autre stratégie. Choisir des lieux d’exception, dans des villes ou des pays exotiques. Ce choix permet à la direction artistique de proposer des lieux en phase avec l’univers de la collection et à la communication de créer un buzz autour de l’évènement. On voit alors des défilés à Venice Beach à Los Angeles, sur les bords de la mer Morte en Israël, dans l’aquarium le plus grand d’Europe en Espagne ou encore sur les falaises d’Étretat en Normandie. À chaque annonce d’un futur défilé, c’est la surprise ! L’apogée de la créativité Les créateurs et les ateliers sont heureux : il n’y a plus de pression pour finir les collections à temps. Comme les stylistes ne travaillent plus sous la contrainte du calendrier de la Fashion Week, on voit plus de diversité dans les styles et une qualité irréprochable. Maintenant, ils vont pouvoir prendre leur temps, sortir les collections en boutiques dès la fin du défilé sans attendre plusieurs mois que les usines fabriquent les vêtements. Et ce dernier élément, c’est la révolution contre les marques de fast fashion copiant le luxe. Désormais, ces dernières n’ont plus le temps de copier les vêtements de grands créateurs pour les proposer en boutique quelques semaines après. Les tendances n’existent plus. Il est difficile d’analyser l’esprit vestimentaire saisonnier puisque les collections sont éparpillées dans l’année. Dans notre monde sans Fashion Week, les gens se réfèrent plutôt à une marque ou à un style. Et l'on voit tout de suite ceux qui ont du goût et ceux qui s'habillent en fonction des tendances. Visibilité et invités : le gros problème Notre esprit écolo se dit alors : plus d’invités qui viennent par avions pour quelques shows, prenant taxis sur taxis, plus de décor massif pour 15 minutes de show dont on ne sait pas trop ce qu’il en est fait par la suite… Le bonheur pour la planète ! Mais cela, c’est sans compter la nouvelle organisation. Le budget dans les défilés augmente. On voit des décors incroyables dans des lieux magiques, quitte à investir et modifier des endroits naturels pour faire le show. C’est un véritable casse-tête pour les invités. Ils reçoivent des cartons d’invitation presque toutes les semaines. « Je dois aller à Milan fin mai, puis deux jours après partir aux États-Unis, pour retourner en Italie début juin avant d’aller au Japon pour un autre show : l’enfer !!! » peut-on lire sur les réseaux sociaux des influenceuses et journalistes. Le défilé de taxi devant un défilé ©Hypebeast Les invités préfèrent se déplacer pour les grandes marques ou celles qui sont tendances en ce moment, plutôt que de passer leur vie dans les avions et taxis. Maintenant, les invités ne se déplaceront plus pour une semaine de Fashion Week, mais pour un show ! Écologique ? Pas sûr… Et oui, avec des dates éparpillées dans l’année, il faut faire des choix. Et cela, c’est terrible pour les petites marques. Sans la visibilité que leur procurait la Fashion Week, elles doivent redoubler d’efforts pour attirer l’attention. Ce qui est sûr, c’est que l’empreinte environnementale du milieu de la mode ne s’est pas forcément améliorée et que des petites marques perdent des ventes… Le défilé numérique s’est démocratisé « Tu vas ou pour ton prochain défilé ? Sur mon téléphone ». Cette phrase, on l’entend partout. C’est la solution parfaite afin que tout le monde puisse voir la collection. On se rappelle de l’épidémie de Covid-19 en 2020 et de Giorgio Armani qui a diffusé son défilé en live sur les réseaux. Quelques années plus tard, c’est la norme ! Finalement, plus besoin d’être une star ou un professionnel du milieu, les défilés sont accessibles à tous depuis son smartphone. Les influenceuses perdent le prestige d’assister aux défilés tandis que les marques doivent absolument convaincre les personnalités en vogue de venir pour faire du clic. Quant à eux, les amateurs de mode peuvent donner leur avis de suite. Aduler ou détruire une collection en direct : en fait, le stress lié au calendrier de la Fashion Week n'est pas retombé. L’absence de Fashion Week a des côtés positifs, comme négatifs. Au fur et à mesure, on voit des collectifs de marques se rassembler afin de créer des dates afin de présenter leurs collections. Le groupe Kering et LVMH organisent leur propre semaine de la mode. Mais ce sont aussi des jeunes marques qui s’unissent en créant « La semaine des jeunes créateurs ». Et vous, pour ou contre la suppression de la Fashion Week ? Dites-nous en commentaire ! Read the full article
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Éviter les problèmes ne les résoudra pas. En outre, nous ne pouvons pas nous contenter d'espérer que le problème se résoudra de lui-même. L'accumulation de problèmes est inévitable, tout comme la poussière qui s'accumule dans une pièce fermée. Nous ne devons pas tarder à accepter les précieuses leçons qui découlent de l'affrontement et de la résolution des problèmes.
À mon futur moi, que vous lisiez cette note, en comprenant comment le passé espère votre amélioration afin que vous puissiez soulager les affres du monde …
Je reviendrai peut-être plus tard .. Je dois travailler à la création d'une idée, donc avec l'espoir que l'investisseur envisagera de partager sa richesse pour gonfler ses propres coffres — Dieu Très Miséricordieux Voulant, je serai payée pour tous ces efforts après que tous les miracles ne se produisent pas d'eux-mêmes dans le monde des imageries.
Me prêterez-vous une somme dérisoire, un prêt pour que je puisse rembourser votre gentillesse par une peinture, une résonance sur le pont entre les mondes, un bon mot dans les prières pour que votre cœur soit en bonne continuation dans les mondes … Pour avoir le commandement d'un roi, dans un monde de milliards, la plupart ont cherché la marque du trillion … il y en a un qui atteint ce rendement, cent milliards ne sont qu'une pitance pour le faiseur de rêves … si vous le désirez, déposez plutôt cinq, et vous avez mes informations bancaires, ainsi vous pouvez avoir votre gâteau, et le manger aussi, pendant que je me contente de construire une fondation quelque part au milieu d'un océan.
J'ai aussi des rêves-construire une île remplie de miracles comme une chocolaterie pour les enfants mais pour les cœurs; et j'ai besoin de payer un loyer pour une terre, une maison peut-être à la belle étoile, puisque je n'ai pas encore hérité d'une maison, peut-être une femme de chambre pour balayer la poussière, et lui accorder une chambre et la nourrir, comme un chat qui vient pour rester.
Être seul dans un monde de milliards d'étoiles, on serait en bonne compagnie, de lumières et de confort. Si seulement vivre en troisième densité était aussi simple, vous pourriez aller pêcher sur la Seine et attraper une grenouille, tenir compagnie à un prince ou une princesse sans défense, qui a besoin d'une oreille attentive.
Prions pour que ce Ramadhan ne soit pas votre dernier, et si c'était le cas, que votre lieu de repos soit aussi confortable que le grand lit, dont vous vous plaignez souvent de la douceur.
— Mle. AainaA-Ridtz A R, Mille Voiles, Mille Nuits
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Quatre générations de femmes blanches reprogrammées par le féminisme ont produit des garces calculatrices, exigeantes et déloyales qui se ménagent toutes les options sexuelles, réelles ou potentielles, avec les mâles de toutes les races.
Il ne faut jamais, sous aucun prétexte, aider une femme inconnue qui se fait agresser par des allogènes, tout spécialement si elle est blanche.
Vous risquez de mourir, d’être grièvement blessé ou de finir devant les tribunaux pour une catin qui vous remerciera en couchant avec le prochain métèque venu.
Le test de « protection contre loyauté raciale » est fondamental. Si une femme refuse de dénoncer l’origine de ses agresseurs, c’est qu’elle continue de négocier cyniquement le droit d’être disponible sexuellement pour des basanés, tout en voulant se prémunir des conséquences d’une telle promiscuité avec les mâles étrangers qu’elle sait pertinemment être agressifs.
C’est d’ailleurs pour cela qu’elle les aime.
Pas de loyauté, pas de sécurité, c’est aussi simple que ça.
Un homme ne doit rien à une femme par défaut. C’est une transaction, donnant/donnant.
Une femme ne peut demander sécurité qu’à des hommes auxquels elle donne quelque chose : leurs mères, soeurs, filles ou leurs compagnes officielles.
Le message doit être clair : sans contrat de tutelle, les femmes blanches se feront chasser comme du gibier par les prédateurs étrangers.
Le choix est à elles.
Quand le message sera passé, les traînées blanches cesseront de jouer sur tous les tableaux comme des effrontées et négocieront un accord d’exclusivité avec un homme blanc. Ou se feront suriner par des bicots.
Le deal doit leur être proposé en termes clairs : pas de propriété, pas de protection.
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