#Encore le même refrain
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Esquisse de liaison
Etoile dans un oeil et météorite dans l'obscur.
Au creux de toi j'entends bien une nouvelle petite voix,
Petit poème d'espoir et de gloire en ton nom qui oubliera le lien de ceux de qui tu étais pour naître par toi-même.
Espoirs de croire encore et toujours et de faire la cours à celle que j'aime tous les matins et quitte tous les soirs .
Parfum d'espoir dans la terre que je dévore et ressuscite le Saint dans ses souvenirs les moins douloureux.
Et la Vie, la vie...
Réceptacle de toutes emotions, passions, fusions d'un soir,
Mais il n'y a pas de hasard,
Attraction de l'univers,
Ou bien des buissons,
Qui nous rendrons tout simplement paulysson.
J'aime virer de bord à travers ton regard qui déborde de désir,
Donner à notre nature la plus profonde,
La succion et l'accomplissement de tes trésors trop loin éloignés de ta stupeur maladroite de ne pas assumer la mignognerie de lumière que tu es.
Et ne quitte point ton chemin,
Dans l'arbre d'efficience une branche se liera bien à la tienne,
Donnant un trésor tellement charmant que la splendeur de l'humanité n'aura qu'un pion de plus a creux de ton jolie ventre,
Un pion qui grandira,
Se développera,
Me dépassera.
Apprenant de mes imperfections et des tiennes,
Tel un dessin, esquissant le refrain de la beauté qui n'est plus de nos philosophies réciproques.
Et ton Amour sans équivoque,
Me rappelle les légendes des plus anciens,
L'amour du début de la fin comme un battement de paupières.
Te faire pousser,
Nous faire grandir,
Ensemble.
Un dessin d'essai qui deviendra brouillon magnifique,
Merci à toi,
Ton esprit,
Et en dernier,
Ta jolie plastique
P.amis
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Le désert se traverse.
Cette fille là est trop seule et l'étoile qui s'éteint
a la même lueur qu'elle, seule dans la poudre noire.
Sa vie ressemble aux songes que l'on fait en quittant
La patrie que l'on aime, que l'on oublie pourtant.
Cette fille se ronge elle-même dans cette brave errance,
Trop vaste pour ce coeur que l'horizon dévide.
Et pour que dans ses veines s'assoupisse le serpent,
elle s'enivre de parfums, d'amourettes colorées,
mais l'odeur qui triomphe est celle du foutre fumant.
L'étoile qui la protège suffoque sous la brume,
On dit qu'une tempête saura la ranimer.
La voilà impatiente qui s'éprend des mirages.
La voici qui plonge dedans sa main gantée
mais ressort plus blessée qu'une enfant qui retombe,
la bouche barbouillée de myrtilles ou de sang.
L'amour resté en elle par moment brille encore
et soulève son coeur d'un refrain assoiffé.
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More Aizawa HC that are straight up depressing (En/Fr)
In English
He still thinks he could have saved Oboro if he trained more seriously before the incident. He clings to his "rational thinking" habit in order to stay sane. With that kind of thinking, it makes no sense to regret the past, or to think about what could have been.
He claims he eats jelly packets because it's practical, but really his stomach hurts from all the stress he's under. Eating has been a struggle for years. He sleeps that much to make up for the lack of nutrition.
Present Mic and himself avoid working together at all cost, because they are terrified they could be responsible if one of them gets hurt or killed. They teamed up again in the manga because they wanted to do something for Oboro/Kurogiri.
He's been neglected as a child, and as a result he thinks he's responsible for everything, all the time. Hizashi and Nemuri have been trying, for years, to teach him how to prioritize.
Anytime he's not asleep he will work, study for teaching, go on patrol, etc. There's almost nothing personal in his bedroom as it would be "a distraction".
Being at UA with Oboro and Hizashi made him feel like he finally had a caring family. He's very close to Nezu for that same reason. Nezu knows that, and refrains himself from asking too much to Aizawa, knowing he would never say "no" to him.
En français
Il pense encore qu'il aurait pu sauver Oboro s'il s'était entrainé plus séireusement avant l'incident. Il s'accroche à sa "pensée rationnelle" pour rester sain d'esprit. En effet, en pensant ainsi, ça n'a pas de sens de regretter le passé, ou de penser à ce qui aurait pu être.
Il prétend manger des gourdes de gelée nutritive parce que c'est pratique, mais en fait il a mal à l'estomac à cause du stress. Cela fait des années qu'il a du mal à bien manger. Il dort beaucoup pour récupérer l'énergie qu'il perd faute d'une meilleure nutrition.
Present Mic et lui évitent de travailler ensemble à tout prix. Ils sont terrifiés à l'idée d'être responsable si l'un d'eux était blessé ou tué. Ils font de nouveau équipe dans le manga car ils veulent faire quelque chose pour aider Oboro/Kurogiri
Il a été négligé durant son enfance, par conséquent il se sent responsable pour tout et tout le monde, tout le temps. Hizashi et Nemuri essaient, depuis des années, de lui apprendre à avoir des priorités.
Du moment où il n'est pas endormi, il va travailler : étudier pour sa classe, aller en patrouille, etc… Il n'y a presque rien de personnel dans sa chambre car ce serait une "distraction".
Être à UA avec Oboro et Hizashi lui a donné l'impression d'avoir enfin une famille aimante. Il est très proche de Nezu pour la même raison. Nezu le sait, et il tâche de ne pas trop en demander à Aizawa, sachant qu'il ne lui dirait jamais "non".
#my hero academia aizawa#mha headcanons#mha#aizawa shouta#aizawa shouta headcanons#eraserhead#eraserhead headcanons#fanfiction#en français#mha hcs#Metablood HC
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Pâtisserie Thérapie - Emily Prentiss
Masterlist
Résumé : Emily a beaucoup de choses en tête mais elle sait qu'elle peut compter sur toi pour le remarquer et l'aider à se sentir mieux.
Warnings : se passe pendant la saison 12 donc mention de Reid en prison, hurt/comfort, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 1.9k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Sweet Nothing par Taylor Swift
Encore dans son bureau au BAU, Emily finit son dossier sur l’enquête que l’équipe vient de résoudre, les yeux fatigués. Elle lutte du mieux qu’elle peut pour avoir la force de reprendre le dossier de Reid quand elle aura fini. Cependant la fatigue continue à prendre le dessus quand elle se met à bailler fortement. Emily arrête d’écrire et ferme les yeux tout en s’étirant, espérant faire partir l’épuisement. Quand elle pense avoir récupéré assez de force, Emily reprend son stylo et continue sa phrase. Quand elle la termine, quelqu’un frappe à son bureau. Sans relever la tête, elle invite la personne à entrer. En entendant la voix de Rossi, elle porte son attention sur son collègue.
-Tu as bientôt fini ?
-Presque. Je dois finaliser quelques passages, informe-t-elle en pointant le dossier.
-Tu pourras vite rentrer te reposer, alors.
-Non, je veux regarder le dossier de Reid.
En entendant l’information d’Emily, Rossi soupire avant de se rapprocher de son bureau.
-Emily il est vingt-et-une heure passée. Je croyais que tu devais passer la soirée avec Y/N.
-Je lui ai dit que je rentrerais plus tard, précise Emily et Rossi lui lance un regard appuyé. Quoi ?
-Tu devrais rentrer.
-Et je vais le faire. Je veux essayer de trouver une piste pour aider Reid.
-Ecoute, je veux Reid en dehors de cette prison autant que toi, mais tu ne lui seras d’aucune aide si tu t’endors sur son dossier. Va retrouver ta femme chez toi et repose toi. Ainsi, tu pourras mieux travailler, ordonne David en posant sa main sur son épaule.
-Certes mais…
-Pas de “mais”. Crois-en mon expérience. Finis ce dossier et rentre, insiste-t-il.
-Je le ferai, finit par céder Emily en soupirant.
-Passe une bonne nuit, Prentiss.
-Toi aussi, Rossi.
Quand Rossi est parti, Emily ne perd pas une seconde et reprend son rapport. Le point final posé sur le papier, elle jette un coup d'œil au dossier de Reid sur son bureau puis à la photo de vous deux. Elle veut écouter le conseil de Rossi, mais elle veut profiter de chaque seconde pour aider son ami. Toutefois, quand elle baille à s’en décrocher la machoire, elle doit admettre qu’elle a besoin de se reposer. À contrecoeur, elle éteint sa lampe de bureau, prend ses sacs et quitte le bâtiment.
Sur le chemin, elle fait attention en conduisant, consciente de son niveau de fatigue. En arrivant enfin chez vous, Emily soupire de soulagement. Dans l’ascenseur, elle s’étire la nuque tout en regardant son téléphone. Quand elle ouvre la porte de votre appartement, un sourire prend place sur son visage pendant qu’Emily pose ses sacs au sol. Tu es dans la cuisine fredonnant le refrain de Eternal Flame par The Bangles, Emily te rejoint et en se rapprochant de toi, elle te trouve en train de finir de préparer des pâtes fraîches. Emily passe ses mains autour de ta taille et pose son menton sur ton épaule. En la sentant, tu sursautes légèrement avant de tourner la tête vers elle. Tu l’embrasses chastement et te concentres à nouveau sur tes pâtes.
-Tu es à la maison plus tôt que prévu.
-Rossi m’a convaincu de quitter le bureau.
-Rappelle-moi de lui envoyer un message pour le remercier et en même temps le réprimander. Je voulais que tout soit prêt quand tu arrives, expliques-tu en souriant.
-Ce n’est pas grave. Qu'est-ce que tu cuisines de bon ?
-Pasta alla carbonara alla Rossi, t'exclames-tu en tentant un accent italien. Je sais, j'ai mal prononcé, ajoutes-tu alors qu'Emily se retient de rire.
-C'était adorable, affirme-t-elle en t'embrassant la joue. Tu as besoin d'aide ?
-Non, je tiens trop à ma cuisine pour ça.
-Hey, je suis pas si mauvaise que ça ! s’offusque Emily en te chatouillant.
-Tu t’es améliorée, je dois l’admettre, dis-tu en continuant à couper les pâtes. Tu as le temps d’aller prendre un bain et de te mettre dans des vêtements plus confortables. Allez, va ! ordonnes-tu en la poussant dans la direction de la salle de bain.
Quand elle réapparaît dans la cuisine, tu viens juste de finir de cuisiner. Les cheveux d’Emily sont mis dans un chignon et elle est vêtue d’un legging avec un de tes tee-shirts. Elle s’installe à table pendant que tu mets les pâtes à la carbonara dans les assiettes. Au même moment où tu poses le plat sur la table, Emily te sert un verre de vin avant de s’en servir un également.
Pendant votre repas, Emily te pose des questions sur ta journée. Tu lui parles de ta classe et des phrases que tes élèves de six ans ont pu te dire, Emily rigole à certaines d’entre elles. En continuant de discuter, tu remarques qu’elle fait tout pour éviter de parler de sa journée, mais tu ne dis rien. Tu sais qu’Emily a besoin d’un peu de temps avant d’expliquer les horreurs dont elle a été témoin sur le terrain. Imaginant que cette affaire n’a pas été facile, tu la distrais jusqu’à la fin de votre repas.
Quand vous avez débarrassé la table, tu devines au visage d’Emily qu’elle n’est pas près de s’endormir, malgré sa fatigue. Son cerveau est trop actif pour lui permettre de se reposer. Tu lui fais un sourire compatissant avant de prendre sa main dans la tienne. Emily sourit à ce contact.
-Tu veux qu’on fasse des muffins ?
Avec ta phrase, Emily comprend ce que tu sous-entends : “tu veux qu’on patisse pendant que tu dis ce que tu as en tête ?”
C’est une habitude que vous avez naturellement mise en place. La première fois que vous avez fait de la “pâtisserie-thérapie”, comme dit Emily, c’était au début de votre relation. Cela faisait un mois que vous étiez ensemble et comme ce soir, l’affaire avait été dure émotionnellement. En rentrant, elle t’avait retrouvée en train de faire une charlotte aux fraises. Elle t’avait aidé avec le peu de connaissance en pâtisserie qu’elle avait tout en te disant ce qu’elle ressentait. La séance de pâtisserie avait fini dans les larmes, mais Emily s’était sentie mieux. Par conséquent, c’est vite devenu votre tradition et actuellement, Emily a besoin de beaucoup de “pâtisserie-thérapie”.
Après avoir sorti les ingrédients, tu commences à préparer les muffins alors qu’Emily commence à peser les ingrédients avant de te les tendre quand tu en as besoin. Au début, Emily reste silencieuse, elle est perdue dans ses pensées. Tu le remarques tout de suite, car elle ne t’entend pas la première fois que tu lui demandes de te passer la farine. Tu lui laisses encore quelques minutes avant de poser la question fatidique.
-Tu veux parler de ce que tu as en tête ?
-Il faudrait plus que quelques muffins pour déballer tout ce qui me tracasse.
-Heureusement qu’on a une journée de repos en commun demain. Pour une fois. C’est ta dernière affaire c’est ça ?
-Elle a été dure, oui. À chaque fois que je pense avoir tout vu, un nouvel UnSub me prouve le contraire. On pourrait croire que je suis habituée maintenant, mais ce n’est pas le cas. J’ai beau tout faire pour garder une distance émotionnelle, parfois, c’est vraiment compliqué, avoue-t-elle, le regard triste en te tendant le sucre et la levure.
-Il n’y pas que ça, ajoutes-tu et Emily évite ton regard pendant une seconde.
-Je n’arrête pas de penser à Reid. On a beau chercher, on n’arrive pas à trouver une piste qui pourrait prouver que c’est l'œuvre de Scratch. Si Spencer arrivait à se rappeler ce qui s’était passé dans ce motel, ça pourrait sûrement nous aider. Et puis, j’imagine Spencer en prison et à quel point ça doit être compliqué et ça me fend le cœur. Il doit sortir de cette prison et je dois t’avouer que je me demande si on arrivera à le faire sortir cette année.
-Vous trouverez ce dont vous avez besoin pour l’aider, Emily, affirmes-tu en posant ta main sur la sienne.
-Je l’espère. En tout cas, je ne vais pas me reposer jusqu’à ce qu’il soit parmi nous à nouveau.
-Em’, n’oublie pas de te ménager.
-Il a besoin de mon aide, contredit-elle fermement. Je devrais faire plus pour l’aider, j’ai l’impression de ne pas faire assez.
-Ce n’est pas le cas et au fond de toi, tu le sais. Tu as fait tout ce que tu as pu et toi et ton équipe continuez à l’aider. Mais Emily, tu dois te reposer. Tu ne pourras pas l'aider efficacement si tu es morte de fatigue. Je sais que durant la nuit, tu ressors son dossier quand tu n’arrives pas à dormir, confesses-tu et elle te regarde avec les sourcils froncés. Le parquet grince quand tu quittes le lit, ajoutes-tu en rigolant légèrement avant de mélanger ta préparation. Emily, je suis sûre que vous trouverez une solution pour Spencer. Vous êtes la meilleure équipe du BAU, peu importe si je suis objective ou non en disant ça, le fait est que vous allez réussir à prouver son innocence. J’ai confiance en vous. J’ai confiance en toi. Et ne doute pas de tes compétences, tu es une bonne chef de l’unité, déclares-tu en la regardant droit dans les yeux.
-Tu me connais depuis trop longtemps, se plaint Emily faussement alors que tu bats les blancs en neige.
-Et côtoyer autant de Profilers est aussi très utile. Mais je suis sérieuse, Em’. C’est vrai que tu dois gérer pas mal de choses, les enquêtes, les nouvelles responsabilités en tant que chef, le dossier de Reid avec Scratch, c’est beaucoup de pression et c’est normal de se sentir submergée, mais ne pense pas que tu n’as pas les compétences pour gérer tout ça. Je te connais et s’il y a bien une personne qui peut s’en occuper, c’est bien toi.
-Tu as toujours les bons mots. Heureusement que tu es là, sourit-elle en te tendant le chocolat en petits morceaux. Sans toi, je ne pourrais pas me nourrir comme il faut.
-Je sers qu’à ça ? questionnes-tu, faussement outrée en mélangeant à nouveau.
-Non, je n’aurais jamais pu rêver meilleure femme. Avec toi, j’arrive à être vulnérable sans me sentir mal donc merci, dit-elle doucement en t’embrassant.
Emily beurre les moules puis tu les remplis avec ta préparation. Tu mets les muffins dans le four pendant qu’Emily met le minuteur, non sans voler le fond de pâte qu’il reste dans le bol. Vous mettez les affaires dans le lave-vaisselle avant de vous asseoir sur le canapé. Le dos d’Emily se retrouve contre ta poitrine et tes bras sont autour de son corps. Vous restez dans le calme et profitez de la présence de l’autre. Parfois, tu lui murmures des mots doux, tu veux t’assurer que son esprit est libre de tout ce stress avant de s’endormir.
Quand le minuteur sonne, tu invites Emily à aller se coucher dans le lit pendant que tu sors les muffins du four. Tu les laisses refroidir et tu vas te mettre en pyjama. Quand tu es prête, tu vas dans votre chambre pour demander à Emily si elle souhaite un ou deux muffins et quand tu la vois profondément endormie, tu souris. Tu t’assures que toutes les lumières sont éteintes et que la porte est bien fermée avant de faire un détour dans la cuisine. Tu prends une petite assiette et tu y places un muffin puis tu vas retrouver ta femme dans votre lit. Tu poses l’assiette sur sa table de nuit et tu t’allonges de ton côté. A peine installée, les bras d’Emily trouvent le chemin autour de ta taille. Tu la rapproches de toi, embrasses le sommet de son crâne avant de fermer les yeux, la respiration régulière d’Emily t’endormant.
Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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Une évocation
Il était une fois une évocation. Dans le visage de cette dame, des yeux fripés comme toi, des rides souriantes, des cheveux grisonnants. Dans l’imprimé de cette robe, que porte une autre dame, sur ce fond bleu couleur du ciel, les mêmes fleurs qui t’habillaient. Dans cette odeur de savon qui arrive à son nez, le parfum de ton cou, des petits galets blancs sur le rebord du lavabo. Dans ces toutes petites crêpes qui sautent dans la poêle, toute petite elle aussi, on dirait des pancakes. Dans cette robe en laine qui habille doudou, un petit ourson rose qui dort encore avec elle. Dans la tranche de pamplemousse et le sucre dessus, l’amertume oubliée, le jus orange qui coule sur la langue. Dans Les petites filles modèles et Les malheurs de Sophie, tu aimais ces histoires et elle les aime aussi. Dans cette chanson d’Aznavour qui te faisait danser, elle dansait avec toi et quand venait le refrain, ensemble vous vous envoliez. Sur cette photo, elle est là dans tes bras, petite fille bouclée et sa grand-maman joyeuse. Derrière le noir et le blanc, on les entends encore, vos rires et leurs éclats.
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Thinking...
Où sont passées les sirènes? Regarde autour de moi tous ces gens remplis de haine Après l'ivresse vient la migraine Au final je crois que je me suis fait bouffer par le système
I fuckin' tell you fuckin' failure—you ain't no leader! I never liked you, forever despise you—I don't need ya! The world don't need ya, don't let them deceive ya Numbers lie too, fuck your pride too, that's for dedication Thought money would change you, made you more complacent Fuckin' hate you, I hope you embrace it
Je sais pas où je veux en venir mais voilà quoi
(aussi "J'ai pas téléphoné pour l'anniversaire de ma sœur, alors que j'appelle mon manager toutes les trois heures" vs. "I'll start with your little sister bakin'/ A baby inside, just a teenager, where your patience / Where was your antennas? / Where was the influence you speak of / You preached in front of one-hunnid-thousand but never reached her" mais je me sens mal de comparer ces deux choses)
« Je sais pas ou je veux en venir mais … » shut up you knew exactly what you wanted You know you wanted me to rant about my two favorite rappers and making parallels making me more insane anyways…. (/lh /nm /nsrs) I love a good rant about mah baby boys, mah baby boys best writers in the own mother tongues each.
You searched for that, here’s la dissertation:
Okay first merci pour l’éclairci parce que j’avais jamais vraiment vu le chant des sirènes tant négatif et même j’ai toujours vu le chant des sirènes comme un « Putain j’ai trop réussi regardez mon succès je suis le maître du monde c’est moi le meilleur… » type shit. J’crois j’écoutais juste le refrain « j’entends le chant des sirènes. / regarde autour de moi qui m’aime… » et aussi le premier couplet (que perso ça tjrs été mon préf dans la chanson donc le seul que j’écoutais vrm) et ctait suffisant pour moi à me dire que Raelsan est en égo trip trough thé roof mais vénère assez positif.
Mais en réécoutant avec le parallèle que t’as fait, j’me suis vrm rendu compte que c’est une whole story qui evolute en descente au enfer (normal, why would orel make a song that ISNT a complete storytelling??? This bitch loves his storytelling)
Bon mtn au début (vu que j’avais perso mal compris le chant des sirènes) jvoyais pas trop le rapport avec U j’t’avoue. Mais C TROP VRAI PTN T’ES UN VRAI GÉNIE. RAELSAN CEST TROP LA MÊME QUE KENDRICK DANS U. Ptn le « après l’ivresse vient la migraine » il hit tellement différent mtn. C’est vraiment leur égo trip de leur récente célébrité et qui vient se crasher avec leur vie d’alcooliques/suicidaire. J’avoue qu’il a vraiment quelque chose à considérer dans leur passage à la célébrité qui est similaire en mode ils ont délaissé beaucoup de leur proches avec ce que les fans leur donne.
Mais je crois aussi que Orel dans CdS a quand même une vision « positive » de la célébrité que Kendrick n’a pas dans U. Encore un peu de difficulté à les associer en partie parce que bah Raelsan ça reste un perso fictif, même CdS j’crois c’est la période la plus sombre qu’il a écrit un album, Orel il est trop fictional pour que je veuille l’associer à celle que Kendrick me fait ressentir dans u. (Skill issue pour orel srry. Mm si il est tres fort il lui manque de quoi pour accoter kdot dans la profondeur de l’écriture) Genre comme tu le dit j’me sens mal de comparer u a CdS parce que bah first pour moi j’ai toujours vu CdS assez positif et puis aussi bah ça a beau être des souffrances liée à leur éloignement du à leur célébrité, ce que Kendrick avoue dans U ça a aucun rapport avec le d’histoire d’orel qui reste très bof… j’ai envie de dire une éraflure comparer à la fracture ouverte dans U . Genre j’crois que ce qui ressort le plus du texte d’orel comme confession horrible c’est son alcoolisme et en parallèle je crois que Kendrick lui sa confession la MOINS pire c’est l’alcoolisme. Genre il est toute une marche plus en haut d’orel en tant que peine. D’autant plus que je crois qu’ orel il est pas vraiment en dépression (ah wait NEVERMIIND got hit with the « ouais bah j’crois j’ai déprimé han » d’orel dans le docu prime mdrrrr) yeah they’re both depressed cats and depressed alcoholics cats, just one I think is more important than the other.
Y’a vraiment que leur rapport a l’alcool et leur dépression que je veux comparer ici j’crois. J’ai envie de leur donne le plus gros des câlins pour les réconforter (et je déteste les câlins)
Conclusion et ouverture time?? Donc, enft first merci pour la vision complete de Chant des sirènes mdrrr, c’est vrai aussi que les deux traversent les meme épreuves amené par la nouvelle célébrité mais à différente échelle, ce qui fait que c’est plus un meaning global. Bon ça m’emmène à mon ouverture: Je te relance la balle, avec le parallèle qu’amin et Hugo m’ont fait découvrir: The art of peer pressure et Manifeste, bon c’est vraiment pas concret comme u et CdS, c’est plus symbolique la preuve y’a pas vrm de lyrics que je peux tiré pt juste apart les deux bridge/refrain c’est « me and the homies » et « jsuis dans la manif » Trop envie d’en parler mais j’ai déjà trop parler j’crois…. Bref, c’est leur prise de conscience dans leur groupe d’amis que j’aime bien associer un autre parallèle….
#i got a massive headache writing that#French rap rant#tho maybe I’m biased bc TPAB is my all time fav album musically and CdS album musically makes me want to rip my eyeballs out but anyways…#or I guess??? rip my eardrums out makes more sense in that case???#<- maybe both eyeballs and eardrums cuz that shit really did not aged well past 2012
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Je sais ma vie
Je sais ma vie, je l’ai ratée Je sais ma vie, je l’ai gâchée Mais laisse-moi au moins ma chance La chance de tout recommencer La chance de pouvoir te donner Ce que tu attendais de moi
On se réveille un beau matin Et on n’a plus envie de rien On a perdu le goût de vivre Alors on voudrait en finir Y a des jours où on voudrait mourir Quand on est seul à tout jamais
Et je reste tout seul avec mes souvenirs Des photos, des objets qui me parlent de toi Si quelques fois la nuit j’arrive à m’endormir Je rêve de ton corps, je rêve encore à toi
{au Refrain}
Bien sûr, on veut changer de vie Et puis on veut changer de ville On cherche même une autre fille Une fille qui te ressemblera Qui fera l’amour comme toi Une fille qui m’aimera
Mais je me fous du monde entier Et je me fous des autres filles J’attendrai bien que tu reviennes Si tu ne reviens pas bientôt Je te jure, je me fait la peau Tiens voilà que je perds la tête
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°❀.ೃ࿔* 𝗟𝗢𝗩𝗘 𝗠𝗘 𝗕𝗔𝗖𝗞 | 𝗦𝘂𝗻𝗦𝘂𝗻 en-. FR VER.
♡ ‧₊˚ ⋅ ౨ৎ ‧₊ .ᐟ
Sunoo x Sunghoon.
Part 1.
Strangers to lovers.
Nb : j’ai fait cette histoire après un fanart que j’ai dessiné. (MERCI DE NE PAS REPOSTER SANS ME CRÉDITER)
Les dessins se trouveront à la fin.
˗ˏˋ — Love Me Back 'ˎ˗
┊sunsun ff. ♡ ┊
" c h a p i t r e 1 : i l o v e y o u. „
(Je m’inspire simplement des leur physique. En aucun cas les personnages ne les représentent.)
Elle me gifla.
L'ambiance de la fête s'était évanouie, emportant avec elle l'insouciance de la joie et des rires passés. Pourtant, le décor restait d'une clémence surprenante, et la musique, toujours vibrante, continuait de jouer jusqu'à... silence radio. J'étais à une fête d'anniversaire. Pas n'importe laquelle, c'était la fête d'anniversaire de ma petite-amie.
Ou peut-être que ex-petite-amie est le terme plus approprié.
Le monde nous scrutait du regard. Le silence semblait presque aussi bruyant qu'un concert de heavy metal ou bien qu'une nuit à la campagne, je ne sais pas. Le cœur tourmenté, sa main, d'un élan, effleura ma joue. Ce geste, aussi soudain qu'une flamme éphémère, me laissa immobile, le souffle coupé, tandis que l'éclat des lumières décoratives contrastait avec l'ombre naissante en moi.
J'avais honte.
— Park Sunghoon, tu n'es qu'un idiot ! Comment oses-tu ? Le jour de mon anniversaire, en plus ?! Tu ne comprends définitivement rien à l'amour, s'énerva-t-elle. C'est fini entre nous.
Ainsi, elle s'éloigna, me laissant seul dans la froideur d'un instant figé. Ma main, posée sur ma joue, tentait en vain de calmer l'ardeur qui brûlait, une douleur bien plus profonde que le simple choc de sa paume, j'étais prêt à parier qu'en plus de la marque de sa main, elle avait même créé un relief, une marque. Autour de moi, les regards flottaient, lourds de silence et de jugement. Je ne cherchais pas à me justifier, ni même à comprendre; je restais là, la tête baissée, envahi par une honte qui me consumait. Une étrange résignation me tenait, comme si, au plus profond de moi, je savais qu'elle avait raison, que ce châtiment muet était celui que je méritais. Je n'y comprenais rien en l'amour, et je n'avais donc jamais réussi à la faire sentir aimée.
Mais pour être d'une grande sincérité, je n'étais pas spécialement amoureux. Elle me plaisait, mais ça n'allait guère plus loin.
J'étais Park Sunghoon, le roi de la glace.
Et le roi venait de se faire humilier.
Je me suis pris la tempête la plus glaciale de mon royaume.
Finalement, l'amour c'est pour les nuls.
Ou justement, pas pour les nuls comme moi.
˗ˏˋ — Love Me Back 'ˎ˗
˗ˏˋ — Love Me Back 'ˎ˗
J'étais en cours de mathématique, faisant simplement acte de présence. Loin de moi l'idée d'écouter quelque chose qui ne m'intéressait et ne m'intéressera jamais. J'avais mieux à faire. La scène de la semaine dernière, cette claque, revenait sans cesse comme un refrain, marquant mon esprit d'un souvenir encore brûlant. Le regard perdu vers la fenêtre, je sentis une main secouer mon épaule.
— Sunghoon..! Ça fait 10 plombs que je t'appelle. chuchota Jake, mon meilleur ami -et voisin de table-
— Ça se voit, t'as les cheveux blanc qui commencent à pousser. plaisantai-je.
— Haha, très drôle. retoqua-t-il sarcastiquement. Ça te dit d'aller à la salle d'arcade après les cours ??
— Je suis désolée, je dois récupérer ma sœur ce soir, je pourrais pas.
— T'inquiète ! On remettra ça ! me rassura-t-il d'un sourire radieux
Jake était ce genre de personne rare, bienveillante et lumineuse, trop précieuse pour ce monde. Il était même trop bon pour ce mauvais monde. Mon seul ami depuis l'enfance, celui qui contrastait avec mon caractère froid et distant. Lui, chaleureux et extraverti, avait le don de se lier d'amitié avec tous.
Il était tout ce que je n'étais pas, chaleureux, agréable, positif, enthousiaste. En plus d'être délégué, il se portait toujours présent pour autrui. C'est un homme formidable et amical.
J'étais bien différent.
On avait nos différends.
Le fin des cours retentit, nous indiquant qu'il était finalement l'heure pour chacun de rentrer chez soi, hormis les élèves punis. Ces derniers avaient comme mission d'accomplir l'heure de colle.
Dans la cours, après avoir salué Jake et Ni-Ki, un petit de troisième qu'il veillait comme un grand frère, je m'apprêtais à rentrer.
Enfin,...
Jusqu'à qu'une étrange main retient ma chemise. Par pur réflexe, je me retournai.
C'était un garçon, un jeune homme, pas plus grand que moi. Il était blond, certainement pas une couleur naturelle. Nous avions droit aux teintures même dans notre établissement ? Quoiqu'il en soit, sa chevelure dorée telle la lumière douce d'un crépuscule, semblait porter sur lui un éclat éternel. Son visage, fin et délicat, évoquait la pureté d'une fleur de camélia, chaque trait subtilement sculpté comme une œuvre d'art éthérée. Ses yeux, vastes et lumineux, sont deux étoiles perdues dans un ciel d'ivoire, captivant ceux qui osent les croiser. Ses lèvres, légèrement rosées, semblaient prêtes à murmurer des secrets du vent. Il était une brise légère dans la chaleur d'un été, à la fois doux et envoûtant, irradiant une aura à la fois mystérieuse et angélique. C'était cela, c'était un ange.
Un ange tombé du ciel.
Il me regardait avec des yeux qui m'inculquaient du stresse, de l'excitation, de la peur mais aussi du courage. Son regard pétillant m'hypnotisaient
Il retira sa main, et baissa légèrement la tête.
— Park Sunghoon ? Hum... commença-t-il, jouant avec ses doigts, il y a une chose à laquelle je dois te faire part.
Il prit une grande inspiration, puis plongea son regard dans le mien, ses yeux brillants d'une sincérité presque effrayante. Ses joues rosirent, et je pouvais voir son corps frémir, partagé entre courage et vulnérabilité.
Ça ne pouvait tout de même pas être une déclaration d'amour..
— Je... Je t'aime. Sors avec moi.
C'était une déclaration d'amour.
Je restais planté là, ses mots résonnant dans mon esprit. Une déclaration d'amour ? Inattendu, c'est le moins qu'on puisse dire. J'étais à des kilomètres d'imaginer qu'un mec que je ne connaissais même pas puisse se pointer, les joues rouges, les mains tremblantes, pour me dire... ça. Moi, Sunghoon, le roi de glace, me retrouver face à une déclaration d'amour d'un parfait inconnu ? Mais comment tu réagis à ça sérieux ?
Normalement, j'aurais eu un réflexe de recul, une indifférence polie pour m'échapper de cette situation. Après tout, ce genre de choses, l'amour et toutes les émotions qui vont avec, m'échappaient. La claque de mon ex, sa colère, tout ça m'avait fait comprendre que ce n'était pas mon truc. Je n'avais jamais su ce qu'elle attendait vraiment de moi, et je n'avais même pas cherché à comprendre. Elle avait raison, probablement : je ne comprenais rien aux sentiments, à l'attachement. Peut-être parce que je ne les avais jamais ressentis de cette façon.
Mais en regardant ce dernier, quelque chose en moi hésita. Sa sincérité, l'authenticité de son regard... Il avait l'air d'y croire vraiment. Ce n'était pas un sentiment réciproque, mais une curiosité me poussait à accepter, comme une sorte de défi. Peut-être que cette fois, en me lançant dans l'inconnu, je probablement pourrais comprendre ce que les autres ressentaient, ou au moins essayer.
Ma main glissa machinalement sur ma nuque, signe de ma gêne, et je détournai les yeux, avant de lâcher, presque sans enthousiasme mais avec une sorte de curiosité étrange :
— D'accord... un léger souffle sortant de mes lèvres.
— C'est rien. Je me disais bien que tu— Attends, quoi ?? Tu viens d'accepter ???
— Oui.
— Mais je croyais que t'étais hétéro !
Je fronçai les sourcils, sentant une pointe d'agacement monter en moi. Dites moi que c'était une plaisanterie. Et puis quoi encore ? Il me fait une déclaration en pensant que j'étais hétéro ? Et maintenant, il fait les grands yeux parce que j'ai dit oui ?
— Si tu pensais que j'étais hétéro, pourquoi m'avoir demandé de sortir avec toi ?! demandai-je en haussant le ton, de plus en plus agacé par cette situation absurde.
Le blond haussa les épaules, un petit sourire satisfait sur les lèvres, comme s'il s'amusait de ma réaction.
— J'ai toujours rêvé de dire ça, avoua-t-il, avec un air mi-fier, mi-détaché. Il y avait une pointe d'audace dans ses yeux, un mélange de défi et de fierté qui semblait dire qu'il n'avait rien à perdre.
Ah, voilà, c'est ça, un jeu. Tout ça pour une phrase qui lui trottait dans la tête. Bien, et moi, je fais quoi maintenant ? Je retourne à ma vie de "roi de glace" et on fait comme si de rien n'était ?
Par la suite son expression changea, se faisant plus sérieuse, presque vulnérable.
— Et puis, il fallait que je te dise ce que je ressens pour pouvoir passer à autre chose, ajouta-t-il doucement. Mais je ne m'attendais pas à ce que tu acceptes.
Son honnêteté me surprit. D'un coup, je me retrouvais face à quelqu'un qui m'expliquait ses raisons, sans détour ni fioriture. Pas comme mon ex, pas comme toutes ces personnes qui jouaient des jeux que je ne comprenais même pas.
— Pour être honnête, je n'y connais rien en l'amour, dis-je en lâchant un soupir. Je n'avais jamais vraiment réussi à comprendre ce que les gens attendaient de moi. Ma dernière relation m'avait montré que j'étais loin d'avoir tout compris.
Mais peut-être, pensais-je, que c'était justement pour ça que j'avais dit oui. Peut-être que j'avais besoin de tenter quelque chose de différent pour enfin savoir ce que ça faisait.
— Oui, j'ai sais. Tout le lycée ne parle que de la claque que tu t'es prise ! rit-il doucement.
Quelque chose me dit qu'il n'avait pas fini de jouer avec mes limites.
Un sourire amer flotta alors sur mes lèvres, les mains dans les poches, tout en sortant un soupir audible.
— Aaah... tout compte fait, je pense décliner ton offre-
Mais avant que je ne puisse achever ma phrase, il s'empressa d'ajouter :
— Attends attends, s'écria-t-il, agitant ses mains pour me retenir.
Bah tiens donc.
Il esquissa un sourire radieux, un sourire sincère, lumineux... presque céleste. Ses lèvres, délicatement courbées, laissaient transparaître une douceur infinie, un éclat de bonheur pur qui, pour un instant, semblait suspendre le temps. C'était un sourire rare, celui qui réchauffe l'âme et laisse une empreinte indélébile, comme une étoile filante traversant le ciel.
— Je peux t'apprendre ce qu'est l'amour. finit-il par dire.
Je restai silencieux, pris entre la tentation de découvrir ce qu'il avait à m'offrir et la méfiance que j'avais envers tout ce qui touchait aux sentiments.
— Bon... tentai-je de briser le silence, une légère hésitation dans ma voix. Veux-tu m'accompagner ? Je dois aller chercher ma sœur au collège.
— Ça aurait été un plaisir, mais... je suis collé, répondit-il, sa voix teintée d'un brin de désespoir, un sourire gênée.
Lui ? Lui ??
L'idée de voir LUI en retenue me surprit. Lui, qui semblait être la définition même de l'innocence, l'âme d'un enfant qui n'oserait jamais transgresser les règles.
— Toi ? Pourquoi donc ? demandai-je, un mélange d'étonnement et de curiosité se mêlant à mes mots.
Un sourire malicieux se dessina sur ses lèvres, illuminant son visage d'une lumière espiègle.
— J'ai peint mon casier avec des paillettes... avoua-t-il, presque comme une confession.
Bien sûr.
Là je comprenais mieux.
Qui d'autre que ce type aurait eu le courage de transformer un simple espace de rangement en l'atelier de la fée Clochette ?
Puis, sans crier gare, il fouilla dans son sac et en sortit un stylo. D'une douceur infinie, il saisit mon bras, et l'éclat de ses doigts chauds contrastait avec ma peau glacée, me laissant frémir sous cette délicate étreinte. Un frisson me parcourut, me rappelant le frôlement léger d'une brise d'été. Lentement, il traça une série de chiffres...
Est-ce bien ce que je pense ?
Oui, son numéro.
C'était son numéro.
Son numéro, encré sur ma peau comme une promesse silencieuse. Un petit « xo » à la fin, symbole d'une affection voilée.
— Envoie-moi un message... ou appelle-moi, murmura-t-il, son ton flirtant avec l'éternité, accompagné d'un clin d'œil.
Il s'éloigna, me laissant seul, figé, encore prisonnier de l'instant. Un sourire discret se dessina sur mes lèvres, comme une fleur timide émergeant au printemps. Mon cœur battait la chamade, mes joues s'enflammaient... Bordel. Que venait-il de me faire ?
Je venais d'avoir un petit ami. Un inconnu, un mystère à peine entrevu, un mec que je ne connaissais que des moindres et pourtant, peut-être serait-il mon Soleil.
Tandis que je restais là, à revivre la scène en boucle, mes yeux fixés sur mon bras, une soudaine vérité m'étreignit, frappé à plein fouet.
Merde... comment s'appelle-t-il... ?
À suivre…
Merci à tous d’avoir lu ! <3
C’est la toute première fois que je poste ici hihi 🤭
J’espère que ça vous a plu !
J’aimerais savoir si j’en fais une suite, si l’histoire intéresse :)
Prenez soin de vous ! Bisous 🩷
XOXO.
(Les dessins sont juste ci dessous)
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Nuit du dimanche 5 mai 2024
Combien de temps mon cœur va-t-il encore s'épuiser ? C'est une question qui tourne en boucle dans mon esprit, comme un refrain lancinant. Mes larmes, elles, semblent être devenues une compagne quotidienne, érodant lentement la résilience de mes yeux. Parfois, elles coulent avec la fureur d'une rivière de lave en fusion, brûlantes et implacables, emportant avec elles toute forme de sérénité. Depuis une semaine, je porte comme un fardeau une teinte insolite, un mélange improbable de vert et de rouge sang sur ce qui me reste de globe oculaire. Une nuance que je n'aurais jamais imaginée sur mon âme tourmentée, mais qui s'impose désormais comme une marque indélébile de ma douleur intérieure. Et pourtant, étrangement, je ne peux m'empêcher d'admirer ce contraste saisissant, comme un tableau abstrait peint par la souffrance elle-même. Mais c'est surtout à l'intérieur, là où réside mon cœur, que la tempête fait rage. À la place de la chaleur réconfortante d'un cœur palpitant, je sens comme un poignard froid et rouillé, pesant sur mes émotions les plus vives. Il semble vouloir arracher chaque parcelle de bonheur, chaque once de joie, laissant à la place un vide béant, un gouffre abyssal que je tente en vain de combler. Il fut un temps où je trouvais refuge dans de petites pilules, cherchant à étouffer mes émotions sous leur voile apaisant. J'espérais naïvement qu'elles pourraient éteindre le feu qui dévorait mon âme. Mais aujourd'hui, même leur douce promesse de paix semble lointaine, perdue dans les méandres de mon désespoir croissant, car je n'ai plus recours à elles. En surface, je me présente comme une femme forte et intrépide, une guerrière façonnée par les épreuves de la vie. Je porte le masque de la résilience avec fierté, bravant les tempêtes avec une détermination inébranlable. Mais lorsque les ténèbres envahissent mon univers, tout bascule. Les murs que j'ai érigés autour de moi s'effondrent, et je me retrouve seule face à mes démons, prisonnière de ma propre mélancolie. C'est alors que je m'évade ici, dans ces mots, cherchant un exutoire à ma douleur, un échappatoire à ma solitude. Mais même dans ma détresse, je ne peux m'empêcher de m'inquiéter pour vous, cher lecteur. Mes confessions ne vous plongent elles pas trop dans l'abîme de la tristesse ? Peut-être que vous aussi, vous êtes en quête de reconstruction, cherchant à recoller les morceaux d'un cœur brisé par les tourments de l'existence. Si tel est le cas, peut-être pourrions-nous marcher côte à côte sur le chemin escarpé de la guérison ? Mais pour l'instant, les questions demeurent. Comment remplir un cœur vide ? Comment apaiser des yeux brûlants de larmes et de désespoir ? Cette nuit, alourdie par un épais brouillard, semble suspendue dans le temps, figée dans une immobilité oppressante. J'aspire à voir l'aube, à contempler les premiers rayons du soleil qui chassent les ombres. En attendant, je me plonge dans ma lecture, cherchant refuge dans les mots réconfortants de "Ressac" de Diglee. Une ode à la solitude et à la lenteur, un miroir de mon propre état d'âme. Comme cela tombe à pic, comme une bouée de sauvetage jetée à une naufragée en pleine tempête.
#ecriture#writer#creative writing#creativity#mood#mood today#writing#writing life#french poetry#you broke my heart#heartbreak#heart#mental health#santé mentale#love#rupture#prose#prose poetry
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j'ai onze ans je suis encore un bébé mais un bébé qui a du goût. je découvre alt-j, ou plutôt mon père me fait découvrir alt-j, oui c'est plutôt ça. et j'écoute an awesome wave en boucle dans le studio musique de ma petite DSi rouge vif (celle qui prenait des photos) l'album m'accompagne avant de m'endormir la nuit, quand tout va déjà mal. mais là où je le préfère c'est sur la route longeant la loire. trois heures où je monte le volume à fond pour cacher le bruit de la musique dans la voiture. on passe sur le pont et je vérifie qu'il reste encore assez d'eau pour pouvoir se baigner sur la plage baignade interdite à vos risques et périls en mettant la tête sous l'eau même si ça pue la vase. la seule chose qu'il y a à faire là bas, à part la chasse aux grenouilles le matin, quand la plage n'est pas encore réveillée. on a un truc pour appâter les grenouilles, on chante en boucle le refrain de breezeblocks, en espérant que cette déclaration d'amour ait raison de leur prudence. et c'est assez étonnant mais ça marchait plutôt bien. onze ans après il n'y a plus de grenouilles, et il n'y a presque plus d'eau non plus, mais il y a encore alt-j pour apaiser mon cœur, ça marche toujours aussi bien.
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Verset 1:
Au plus profond de mon esprit, les souvenirs s'entremêlent,
Ressentir ton absence, c'est difficile à définir,
Nos chemins ont divergé, nous avons pris des chemins différents,
Mais ton nom est gravé dans le cœur, il y reste.
Pré-refrain :
Un rêve effacé, je me sens abandonné,
Les souvenirs s'élèvent, ils me hantent encore,
Je crie dans le silence, j'ai besoin de ta présence,
Tu me manques tellement, je t'en fournis, reviens encore.
Refrain:
Tu me manques encore, mon monde s'effondre,
Les nuits sont froides, ton absence m'étourdit,
Tes sourires, tes éclats, je les porte en moi,
Ici, dans mon cœur, tu restes gravée à jamais.
Verset 2 :
Perdu dans les échos de nos rires et de nos larmes,
En essayant d'effacer ces sentiments de peurs,
Mais ta voix persiste, hantant mes rêves,
Combler le vide, déchirer les coutures.
Pré-refrain :
Un rêve effacé, je me sens abandonné,
Les souvenirs s'élèvent, ils me hantent encore,
Je crie dans le silence, j'ai besoin de ta présence,
Tu me manques tellement, je t'en fournis, reviens encore.
Refrain:
Tu me manques encore, mon monde s'effondre,
Les nuits sont froides, ton absence m'étourdit,
Tes sourires, tes éclats, je les porte en moi,
Ici, dans mon cœur, tu restes gravée à jamais.
Pont:
A travers les ténèbres, je cherche ta lumière,
Chaque battement de mon cœur, aspirant à toi jour et nuit,
Je garderai les souvenirs, ne les laisserai jamais disparaître,
Même si tu es parti, je continuerai à combattre cette mascarade.
Refrain:
Tu me manques encore, mon monde s'effondre,
Les nuits sont froides, ton absence m'étourdit,
Tes sourires, tes éclats, je les porte en moi,
Ici, dans mon cœur, tu restes gravée à jamais.
Sortie :
Tu me manques encore, chaque jour qui passe,
Mon amour pour toi ne cesse jamais,
Dans nos destins croisés, nos chemins se sont séparés,
Mais les liens du passé, jamais ne briseront
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Voyance et Vie d'un pigeon.
11.08.2023
Nous nous asseyons avec Mounir dans un charmant restaurant avec vue panoramique et musique en live. Une soirée merveilleuse, le saxophoniste joue "joyeux anniversaire" à la table voisine, tout les clients du restaurant applaudissent (pour une raison quelconque) , félicitant les étrangers que nous voyons pour la première fois de notre vie. Je ne sais pas si c'est de la bonne humeur! Le ciel est rose-orange, à table près de la fenêtre, il est difficile de détourner le regard de la vue et de commencer à étudier le menu. Nous passions commande auprès du serveur... Le saxophoniste joue à nouveau "joyeux anniversaire", un autre apporte le gâteau, une autre table (un couple assez âgé) est félicitée, nouvelle ovation. En général, il est difficile pour mon ami et moi de planifier quelque chose. Je suis bipolaire, il est psychopathe. Nous sommes meilleurs en improvisation. Une réservation annulée ou reportée n'est jamais évoquée. Alors que lui et moi commençons à nous disputer sur la différence entre une cuillère à dessert et une cuillère à café (et dans ce cas, je vais jusqu'au bout), le musicien relance de plus belle un "happy birthday" à un cinquantenaire, non accompagné, qui s'efforçait de sourire cachant mal sa gêne d'être sous les regards de tous les clients et le personnel, les serveurs sortent un autre gâteau. Revenant à nous pour dire : Se disputer avec Mounir sur l'étiquette et la mise en place de la table, c'est cette vieille blague de pigeon, c'est se disputer avec un imbécile, c'est comme jouer aux échecs avec un pigeon. Il dispersera les pièces, chiera sur l'échiquier et s'envolera pour dire à tout le monde comment il vous a façonné. Alors que ma boule de cristal m'indique qu'il venait juste d'apprendre l'existence de la cuillère à dessert par moi, et l'instrument retentit de plus belle pour le même refrain... J'ai trop de questions sur cette journée et les gens : pourquoi sont-ils tous nés aujourd'hui ? Si j'avais le droit de choisir, je serais née à l'automne. Une nouvelle vie au milieu d'une nature mourante. Tournant, la vie, hélas. J'ai essayé de calculer l'intervalle de temps entre les salutations d'anniversaire, mais je n'ai pas réussi. Cela a dû faire environ dix ou quinze minutes. Quand ils me redemanderont comment ne pas penser à telle ou telle connerie ?! je leur répondrai ainsi : Mon cerveau est occupé par des choses plus importantes : il calcule des intervalles. Il réfléchit comment rattraper un saxophoniste et flatter son jeu, je ne parle pas de "joyeux anniversaire", mais le contenu des pensées est déterminé par les mots pour le reste de la soirée, l'esprit semble être dispersé par une myriade d'impressions et/ou de situations. Et au fait, nous avons laissé tombé le nombre d'intervalles laissé par le musicien à chaque jeu. Nous nous sommes séparés à la sortie .J'ai vraiment aimé que tous les visiteurs applaudissent les anniversaires. Je n'ai pas encore vu ça : pas quatre fois de suite dans le même restaurant, et certainement pas pour des étrangers. Et le ciel est vraiment très beau aujourd'hui. Dimanche dernier m'a rappelé l'importance de collectionner des souvenirs. Cela empêche la tête d'être plus que saturée de mauvaises ondes. Et je continue d'en récolter .
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Happy en Géorgie 2/2
On décide de profiter d’être en Géorgie pour se sédentariser quelques jours le temps d’un bénévolat car on sait que ce ne sera plus possible avant plusieurs mois une fois de l’autre côté de la Caspienne. C’est comme ça qu’on se retrouve à Mlashe, petit village situé au nord de Tbilissi, près d’un joli lac et en face du Mont Kazbek, qu’on aperçoit quand les nuages le veulent bien. On atterrit donc chez Linda, Giorgi et Noah, famille germano-géorgienne installée depuis peu dans cette maison de famille au milieu des noisetiers. On arrive dans l’après-midi et on passe rapidement du thé d’accueil à la bière car des ami.e.s sont de passage (on se rendra vite compte que la maison ne désemplit que rarement). On se retire sagement dans la soirée et on les retrouve encore debout le matin suivant alors qu’on attaque les premiers travaux de jardinage avec Linda. Ces premières heures sont assez représentatives du temps qu’on passera sur place, soit un mélange de permaculture / cuisine vegan / yoga et soirées / alcool / musique.
C’est la saison de préparer la terre pour semer et planter les haricots, tomates, aromates, etc. On désherbe et aménage des lits de culture qu’on entoure de branches de noisetiers qu’on va chercher dans la forêt voisine. Le rythme est détendu et on discute longuement avec la solaire Linda avec qui on a de nombreux points communs. Stella, une de ses amies venue de Berlin, nous rejoint le jour suivant et on s’entend immédiatement à merveille. Le week-end venu, on décide au pied levé d’aller voir un concert du groupe géorgien Bedford Falls à Tbilissi. C’est très jouissif pour nous d’être plongés dans une ambiance festive et citadine, de se retrouver au milieu d’une foule qui danse et scande tous les refrains avec le groupe. Après le concert, on débarque à 3h du matin dans un restaurant qui est animé comme s’il était 20h pour (trop) manger avant d’aller s’effondrer de fatigue au petit matin dans l’appartement des parents de Giorgi. Pas le temps de chômer car on est justement invités chez les parents le lendemain pour festoyer à la mode géorgienne, comprenez manger et boire abondamment, au rythme des toasts proposés par le Tamada (hôte de table), rôle pris en charge ce soir-là par Paata. Les raisons de trinquer sont inépuisables : l’amour, les rencontres, la Géorgie, l’amitié, les mères, les enfants, les voyages, la liberté, la paix, les raisons pour lesquelles on est là (oui, c’est vaste), etc. Autant vous dire que ça peut durer un moment. Simon découvre à ses dépends qu’il doit prouver sa virilité en buvant successivement dans un bol, une corne de chèvre, une seringue géante puis une tuile (!). C’est pas bien malin mais c’est amusant. Heureusement, il y a de l’eau et de la nourriture à volonté, ce qui lui permet de rentrer à la maison sans encombres. On ne peut pas en dire de même pour son voisin de table qui s’étale par terre puis rend son repas complet à la pachamama après avoir tenté l’ascension d’une chaise (quelle vie dangereuse). On comprend que tout est prétexte à s’inviter pour boire des coups, y compris les anniversaires des enfants… On est justement invités pour célébrer les 6 ans de la petite Elena quelques jours plus tard et les parents se sont bien assurés qu’il ne manquerait pas de vin pour abreuver les nombreux adultes invités.
En fin de séjour, on est invités par Maco (prononcez Matso, un bon copain de Giorgi et Linda, dont le véritable prénom est aussi Giorgi comme 80 % de la population masculine du pays) à venir passer un week-end dans sa maison située dans les montagnes de Racha, vers le nord-ouest du pays. On embarque donc à cinq dans sa mini-voiture pour cinq heures de route. On arrive en pleine nuit après avoir emprunté une route bien cahoteuse. On se demande comment la voiture ne se désintègre pas à force de racler le sol bosselé et subir des accélérations brutales façon rallye de campagne. La maison, qui a été construite par le grand-père, est en bois, un peu dans son jus mais très charmante ! On passe deux jours dans le coin à se promener dans la forêt, les grottes et les prairies, tremper nos pieds (ou plus) dans les rivières glaciales et à rencontrer les amis de notre hôte qui vivent dans le coin. L’un d’eux nous initie aux polyphonies géorgiennes en chantant par dessus des vidéos youtube dont il pousse le volume à fond. On est impressionnés encore une fois par la générosité des personnes qu’on rencontre, la spontanéité avec laquelle ils proposent leur aide et la facilité des échanges, même quand on n’a pas de langue en commun pour parler (l’accolade n’est jamais bien loin).
À la fin du week-end, on laisse Stella dans les montagnes avant de rentrer à Mlashe pour une dernière nuit. On a déjà prolongé notre séjour au maximum tellement on se sentait bien mais l’heure de notre vol pour le Kazakhstan approche... Le lendemain, on pédale jusqu’à Tbilissi où on reste quelques jours avant de quitter la Géorgie (qu’on a déjà hâte de revisiter !).
Vue de qualité sur le Caucase.
Jardinage intense.
Noah aime les frites.
Désherbage attentif.
Gentil petit chien.
Concert de Bedford Falls à Tbilissi.
Repas copieux et nocturne post-concert (il est environ 3h10 du matin).
Lendemain de soirée à Tbilissi.
Et c’est reparti pour un tour.
Paata, un bon copain de boisson, mais pas que.
Retour au jardinage.
Plantage de piquet.
La bonne cuisine.
Oiseau préféré de Simon.
Vélo de mauvaise qualité.
La petite Lile qui zone sur son tel.
Noah et le chat.
Consommation de vin de qualité à l’anniversaire de la petite Elena.
Toujours du vin. Honnêtement c’est fatigant !
Ballade avec le cheval d’Elena, toujours à son anniversaire.
Les enfants en conf-call.
Empaquetés dans la voiture, direction la montagne.
Conduite de tous les dangers.
Maco et sa modeste demeure.
Pause à la fenêtre.
Namaste à toustes.
Sortie multisports.
La belle cabane.
Hamac de qualité.
Comportement à risque.
La réserve d’eau.
Passion forêt.
Photo d’équipe.
Senteur feu de bois.
Aller, bonne nuit !
De retour à Tbilissi.
Tiens toi le pour dit 2.
Au bar avec Kerem (fils de Berin, cf. article “Hi-Berin-ation”).
Veille de fête nationale à Tbilissi.
Déjà l’heure de prendre l’avion.
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Mourir avant terme
Pour prendre rendez-vous avec mon médecin traitant, comme je dois le faire tous les trois mois depuis mes ennuis de santé, il faut passer un coup de fil à la Maison médicale, de préférence dans la matinée. À l’accueil on donne ses coordonnées et le nom du médecin qu’on veut consulter. Or ce matin on me fait savoir que celui-ci n’étant pas disponible, il sera remplacé par un collègue de l’équipe soignante, qui aura bien sûr accès à mon dossier et saura parfaitement dépanner son collègue. Il y aura une prise de sang, qui sera envoyée au laboratoire pour analyse de différentes composantes, telles que cholestérol, créatinine, PSA… Dans les jours qui suivront, je pourrai téléphoner pour obtenir les résultats et les commentaires circostanciés du toubib.
Quand je me présente à l’heure convenue à la Maison médicale, j’apprends que le remplaçant sera une remplaçante. Après quelques minutes d’attente dans la salle du même nom, j’entends appeler mon patronyme par une voix en effet féminine appartenant à une jeune personne en blouse blanche, qui se présente comme stagiaire et me fait entrer dans son bureau. Elle consulte mon dossier à l’écran de l’ordinateur en faisant des commentaires sous forme de borborygmes ou d’onomatopés : « Hmm, hmm, bon, ça alors, tsss, non, eh ben dites donc !» Si je veux bien enlever ma chemise pour qu’elle prenne ma tension ? Quand le tensiomètre se dégonfle, elle me dit : « Tant qu’ça ? Avec tout ce que vous prenez comme médicaments ! Faut manger équilibré et bouger, Monsieur ! Moins de sucre et de sel ! » La prise de sang ne prend que deux minutes et est suivi d’un long commentaire, où la stagiaire m’explique, dessins à l’appui, ce qu’elle a sans doute appris récemment en faculté ou potassé pour un examen de médecine. « Voici l’organe d’un jeune homme de vingt ans, dit-elle. Comparez-le avec celui-ci, qui correspond à votre âge. Vous voyez qu’il y a là de petits organites. Il faut les contrôler à intervalles réguliers pour savoir s’ils ne sont pas cancérigènes. » Je lui apprends que j’ai déjà subi plusieurs biopsies qui se sont avérées négatives. Elle me répond que cela correspond en effet à ce qu’elle voit sur l’évolution figurant sur l’écran : la stabilité est rassurrante. Suit alors cette conclusion, qui se veut encourageante, mais qui est sans doute une parole qui a dépassé sa pensée et qu’un médecin plus expérimenté aurait formulée autrement : « Pas de souci à vous faire de ce côté-là, Monsieur. Bien sûr ça peut évoluer à plus long terme, disons sur dix ou vingt ans. Mais dans vingt ans… vous ne serez plus là ! »
Est-ce donc ainsi qu’on s’adresse désormais aux vieux, qu’on appelle d’ailleurs « nos anciens » ou « nos séniors » ? « Les vieux ne meurent pas, ils s’endorment un jour et dorment trop longtemps ». C’est Brel qui chantait cela à un âge où il ne pensait sans doute pas encore à la vieillesse ou à la mort. Sauf pour en faire des chansons. Ainsi dans Le moribond, où il disait adieu à l’Emile, à l’Antoine, au curé et à sa femme. Et qu’il voulait « qu’on rie, qu’on danse et qu’on s’amuse comme des fous ». Mais à choisir entre la vieillesse et la mort, c’est à coup sûr cette dernière qu’il aurait préférée : « Mourir, cela n’est rien / mourir, la belle affaire / mais vieillir, ô vieillir ! » Dès lors, la vieillesse, parlons-en ! Comme disait cet humoriste, les vieux ont l’avantage d’avoir été jeune ; les jeunes ne peuvent pas en dire autant de la vieillesse. Un avantage ? Quel avantage ? La jeunesse ne connaît en général que des petits bobos et des soucis passagers. Mais à un âge plus avancé ceux-ci sont remplacés par de vraies maladies, des cancers de la prostate ou du sein, les rides qui se creusent et la peau qui s’affaisse, les cheveux qu’on perd en même temps que la mémoire. Les doléances des vieux ressemblent au refrain du comique troupier : « J’ai la rate qui s’ dilate, j’ai le foie qu’est pas droit ! » Sauf que désormais, vu le nombre croissant de cancers, une version plus récente parlerait plutôt de « la prostate qui s’dilate » et « du sein qu’est malsain ». Tant il est vrai qu’à un certain âge, rien n’est plus probable que l’attaque du crabe de ce côté-là.
Depuis la parole maladroite de la stagiaire, j’ai revu mon médecin traitant, qui suit l’évolution de mes paramètres et n’en tire que des conclusions favorables. Mais quand je lui fais remarquer que j’ai des collègues et amis qui « sont partis avant l’heure » à cause de ce foutu cancer, qui semble de plus en plus dévastateur, il a cette réponse : « Ce n’est là qu’une impression. Jadis les statistiques étaient moins élevées et on en parlait moins, parce que les hommes mouraient avant ! » D’où il suit que mon toubib a raison. C’est la sagesse même ! Pourquoi n’y avais-je pas pensé plus tôt ? Rien ne sert d’avoir peur du cancer. Il suffit de mourir avant.
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Edith Piaf - Cri du coeur
Vocals: Edith Piaf Composer: Henri Crolla Lyricist: Jacques Prévert 👇 🎼 🎶 👇
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J. Prevert - H.Crolla) C'est pas seulement ma voix qui chante C'est l'autre voix, une foule de voix Voix d'aujourd'hui ou d'autrefois Des voix marrantes, ensoleillées Désespérées, émerveillées Voix déchirantes et brisées Voix souriantes et affolées Folles de douleur et de gaieté
-C'est la voix d'un chagrin tout neuf La voix de l'amour mort ou vif La voix d'un pauvre fugitif La voix d'un noyé qui fait plouf C'est la voix d'une enfant qu'on giffle C'est la voix d'un oiseau craintif La voix d'un moineau mort de froid Sur le pavé de la rue de la joie…
-Et toujours, toujours quand je chante Cet oiseau-là chante avec moi Toujours, toujours, encore vivante Sa pauvre voix tremble pour moi Si je disais tout ce qu'il chante Tout ce que j'ai vu et tout ce que je sais J'en dirais trop et pas assez Et tout ça je veux l'oublier
-D'autres voix chantent un vieux refrain C'est leur souvenir, c'est plus le mien Je n'ai plus qu'un seul cri du coeur: "J'aime pas le malheur! j'aime pas le malheur!" Et le malheur me le rend bien Mais je le connais, il me fait plus peur Il dit qu'on est mariés ensemble Même si c'est vrai, je n'en crois rien
-Sans pitié j'écrase mes larmes Je leur fais pas de publicité Si on tirait le signal d'alarme Pour des chagrins particuliers Jamais les trains ne pourraient rouler Et je regarde le paysage Si par hasard il est trop laid J'attends qu'il se refasse une beauté
-Et les douaniers du désespoir Peuvent bien éventrer mes bagages Me palper et me questionner J'ai jamais rien à déclarer L'amour comme moi part en voyage Un jour je le rencontrerai A peine j'aurai vu son visage Tout de suite je le reconnaîtrai…
Édith Piaf - Cri Du Cœur - Subtitulado Al Español 👇 🎼 🎶 👇
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Pessimiste... moi ?
Que ceux qui ont une telle pensée se posent aussitôt la question suivante : ''Et pourquoi le serai-je ?''. Le discours officiel est on-ne-peut-plus-rassurant : non seulement il n'y a pas de problème... mais en plus, nos ''génies-au-pouvoir'' les ont tous résolus – y compris ceux dont ils répètent qu'ils n'existent pas... Ils ne sont plus à ça près ! J'arrête : à ce degré de foutage de gueule, l'ironie grinçante n'est même plus drôle ! Le gouffre qui sépare la terrible réalité de la dystopie de leurs gros mensonges-par-système se mesure en années-lumière –à ceci près que, étant éteintes, nos ''Lumières'' sont des trous noirs ! Des ''années-trous-noirs'' ? Si on m'avait dit que j'inventerais un jour une nouvelle unité de la politique-cauchemar...
Vous connaissez ma sympathie pour les ''retours sur images'' : ils permettent, plus et bien mieux que de longs commentaires, de comprendre les ramifications d'un problème et la succession de fautes graves qui l'ont fait naître. Or, l’une des caractéristiques de la convergence des drames insolubles qui rendent nos jours désagréables et tout futur ''sympa'' impossible, c'est que tous les ingrédients de notre marasme actuel sont ou ont été fabriqués. Disons, pour ne pas être accusé de partialité, que 95 % des horreurs qui dénaturent notre présent et ferment la porte à nos lendemains sont le résultat des (très) mauvaises décisions qui ont été prises des générations de politicards (très) indignes des fonctions qu'ils occupaient... En ce début d'année, les perspectives sont si sombres que le seul souhait qu'on puisse s'envoyer les uns aux autres, devrait être : ''Pourvu que ça change''... Mais même là, les dés sont pipés : entre les mauvaises analyses de nos dirigeants, leur attirance pour le désastre, les effroyables réponses de la Gauche (encore mortifère, malgré sa baisse de forme), les menaces inhérentes au wokisme et l'agressivité de l'islam (en hausse certaine)... on est en droit de redouter que tout changement se fasse dans un sens ''aussi pire'', voire même ''plus pire encore'' !
Mais un refrain lancinant refait sans arrêt surface : ''Citez-moi une seule chose qui n'aille pas horriblement mal, dans notre pauvre France''. Vous aurez noté la double différence par rapport aux fois précédentes où nous partagions notre forte inquiétude à travers l'antienne ''ça va mal, en France'' : il n'est plus possible d'éviter les qualificatifs ''horriblement'' et ''pauvre''... tout comme il est devenu impossible de formuler une réponse qui soit hors des interdits, tant notre pseudo ''liberté'' s'est laissé réduire à sa propre caricature : on ne voit plus ce qui pourrait donner espoir. Et refaire une fois de plus la liste désespérante des sujets de discorde et des objets d'inquiétude n'est même plus nécessaire : le seul fait de commencer cette litanie interminable (d'ailleurs beaucoup plus ''minable'' que ''inter''!), où on va toujours retrouver la série ''immigration + sécurité + immigration + hôpital + immigration + dette + immigration + etc...'' décourage tout lecteur de poursuivre sa lecture, tant il connaît par cœur cette liste douloureuse de nos (bons) motifs de nous plaindre... ou d'être plaints ! Bien entendu, il reste toujours une petite marge incompressible des haineux de tout ce qui avait fait de la France le ''pays de Dieu'' que le monde entier admirait, + ces pouillèmes % qui ne rêvent que de notre disparition en tant que ''ce que nous sommes'' et se réjouissent de notre déchéance en cours, + les optimistes-par-système'' qui ne veulent voir dans la chute que la promesse (qui n'existe pas !) d'un redressement... ce qui donne à nos dirigeants incultes un motif de donner pour vrai ce qui ne l'est plus depuis une bonne dizaine d’années....
Nos ''Bonne année'' doivent donc être lus, reçus ou entendus au second degré, un peu comme des anti-phrases soit ironiques, soit désespérées, soit destinées à détourner le ''mauvais œil'' (nous disions, en Afrique du Nord, ''la Scoumoune'', vocable dont la riche sonorité camouflait une imprécision bien précise !). Il n'y a, objectivement, pas le plus léger frémissement, pas la moindre raison, pas le plus petit signe que quoi que ce soit puisse changer ''dans le bon sens''. Au contraire, toutes les mesures qui nous sont imposées en douce, en faisant joujou avec ‘’le’’ 49-3 (il s'agit du tour de passe-passe politico-vicelard éponyme, pas du tee-shirt de madame Borne !) ou sur tout ce qui peut attirer l'attention des français sur un fait (très) divers, le plus souvent fabriqué, pour voter en douce des lois épouvantables, mortifères, inutiles et désastreuses, toutes contraires à tout ce qui est souhaitable, à tout ce qu'il aurait fallu faire, en un mot : ''dans le bon sens de notre chute finale''.
Au moment où nous nous présentons des vœux et des souhaits les uns aux autres, il est difficile de ne pas ressentir un pressentiment que l'année qui commence risque d'avoir un très bon rang parmi ''les pires, jamais...'' : elle risque aussi de ne nous apporter que très peu de joies, en dehors bien sûr et comme toujours, des bonheurs familiaux et intimes –un mariage, une naissance, une fête de famille pleine d'émotions vraies... Il serait même sage et prévoyant de nous préparer à voir s'effondrer –plus vite que nous ne le pensions, hélas-- un monde que nous aimions bien --malgré nos récriminations (souvent injustifiées puisque provoquées par les ennemis de tout bonheur-- un monde où nous savons qu'on pouvait être heureux, pour peu que l'on refuse d'écouter les voix maléfiques de très méchantes sirènes (la Gauche, les faux écolos, les ‘’woke’’, le Nupes, et ceux des nouveaux arrivants qui ne nous veulent pas que du bien... entre autres), toutes porteuses de mort.
Alors... Le temps serait-il venu de perdre tout espoir et de jeter le manche après la cognée ou le bébé avec l'eau du bain ? Mais certainement pas ! D'abord parce que ''tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir... ''. Et surtout parce que toute l'histoire n'a jamais eu qu'une seule et unique leçon à nous donner, répétée à l'envi à travers les siècles : L'homme propose et Dieu dispose ! Il suffit de penser au nombre de générations qui, avant la nôtre, ont cru ''toucher le fond'', et qui ont vu surgir ''un sauveur inattendu'' ou ''un virage salvateur''. Rien qu'en France il vient aussitôt à l'esprit ce à quoi pensaient sans doute nos ancêtres... lors des guerres de religion, pendant la guerre de 100 ans, dans les horreurs robespierristes de 1793, ou, plus près de nous lors de la débâcle de 39-40, quand tout semblait perdu à jamais, ou encore lors des immenses famines et des pandémies des siècles précédents, qui n'avait absolument rien à voir avec le ''caca nerveux'' (je demande pardon : c'est le seul mot qui convienne, ici !) dit ''covid'', qui a fait prendre à nos élus 100 % de décisions absurdes (NB : j'exagère. C'est peut-être 97 ou 98 %).
Il faut bien se rendre compte que ''ça'' ne va as être facile de ''corriger le tir'' et de rattraper le retard et les occasions perdues : depuis Giscard –c'était dans les années 70--, nous avons bradé nos fondamentaux, tout bon sens et tout sens de ''ce qui est bon'', toute intelligence... rongé, ruiné par des idées ou des idéologies aussi néfastes que perverses sur à peu près tous les sujets. Aujourd'hui, les survivants des époques heureuses (en tout cas certainement plus heureuses que tout ce qui s'étale devant nous et ce qu'on nous promet) sont comme des gens qui sortiraient de leurs abris après une conflagration guerrière ou une déflagration météorologique : tout est détruit, tout est en mille morceaux, au point que nous ne savons pas par quel bout attaquer ce chantier multiforme... mélange d'école, de médecine, du système hospitalier, du système pénitentiaire, de la fiscalité, des transports, d’un Etat obèse ou d'une Administration qui l'est plus encore, et j'en oublie. La période de disette qui s'ouvre va être d'autant plus insupportable qu'elle va frapper une génération de ''consommateurs'' gâtés-pourris par un ''jus uti et abuti'' (en droit romain : droit d'user et d'abuser), habitués à avoir tout, tout de suite, sans restrictions, à l'excès, et à avoir infiniment plus de droits que de devoirs...
La réponse est connue, hélas : il faut faire tout, et tout de suite... Et comme ce n'est pas possible... le chantier va être long, très long. Mais nous avons tout ''laissé filer'' si loin de tout ce qui était raisonnable, et ouvert la porte à tant de monstruosités mortifères, que seuls des larmes et des grincements de dents sont envisageables... si quelqu'un trouve le courage de les proposer comme programme, toute autre solution ne pouvant que nous maintenir dans l'horreur de la chute actuelle. Nous sommes bien mal barrés, les hommes providentiels (dans la mesure où ils peuvent être une solution !) se cachant bien, ces temps-ci... Il reste l'espoir d'un éventuel ‘’changement de logiciel’’... et ça, c'est peut-être bien plus proche qu'on ne le croit !
H-Cl
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