#En ce moment à Montréal
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Oh punaise, tu es du Québec?! C'est trop cool!! À vrai dire, je trouve que Marcille a tellement des vibes de Montréal, c'est fou!
Vraiment?? Peut-être que je la simplifie, mais elle est une "west coast white girlie" pour moi (probablement parce qu'en fait, je suis de vancouver/californie 🤣 désolé, je ne suis pas une vraie quebecoise)
#asks#malheureusement mon français est *atroce* même si je vis à montréal depuis 2012...#en ce moment j'essaie de réapprendre parce que j'ai habité en corée pendant trois ans jusqu'à l'année dernière#mais c'est ma troisième/quatrième langue avec le japonais et je ne suis pas très intelligent 😭😭
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Automne 1927 - Champs-les-Sims
5/5
Quand tu me parles de tes séjours à Kingston puis de ta visite de Montréal, j'ai l'impression que tu as une sorte de vie mondaine. J'aimerai bien voyager un peu un jour. Le nom de Montréal a quelque chose de très évocateur pour moi et j'ai demandé à Ange de me ramener un livre illustré de Paris la prochaine fois qu'il ira y faire un séjour. Pour revenir sur la question du français au Canada, j'en ai discuté avec Grand-Mère, et elle m'assure que c'est déjà un sujet qu'évoquait ton grand-père autrefois avec ma grand-tante Lucrèce. Je pense qu'il devait être aussi révolté que toi. Je suis assez surprise de toutes ces règles, mais étant française et francophone, je ne sais pas ce que c'est que de parler une langue minoritaire dans son propre pays.
Je suis également surprise que Grand-Mère se rappelle du contenu d'une lettre vieille de plus de trente ans. Je pense qu'étant donné son âge, c'est une sorte de miracle que cela arrive si tard, mais elle montre de plus en plus de problèmes de mémoire et elle est parfois désorientée. Oncle Adelphe a voulu se montrer rassurant, mais je vois bien qu'il est aussi inquiet que moi. Il lui arrive même de descendre en chemise de nuit à présent. Tante Rose m'a bien assuré que la Eugénie Le Bris d'autrefois se serait coupé un bras plutôt que de franchir le seuil de sa chambre ainsi vêtue et elle se souvient bien des remontrances quand elle faisait de même. Grand-Mère va avoir cent-sept ans cette année. En revanche, elle n'a rien perdu de son caractère opiniâtre ni de son sens aigu de l'observation.
J'espère que tes affaires se porteront comme tu le souhaites. Je voulais simplement que tu saches que je suis là pour t'aider au besoin.
Avec mon amitié,
Noé
P.S. Je viens de relire la première question que tu me poses. Non, ma cousine n'a pas la moindre idée de ce qui m'est arrivé. Comme tout le monde, elle croit que les jumelles sont d'Ange. Anna est rousse, mais c'est un trait commun chez les Le Bris. Je ne pense pas que ça vaille le coup de briser sa propre vie en lui en parlant, sachant qu'elle attend leur premier enfant (il s'agissait alors d'une fausse alerte). Oncle Adelphe veille au grain, le faire suivre partout où il va, afin d'épargner à sa fille la moindre infidélité. Je sais que tu ne penses pas à mal, mais j'aimerais à l'avenir que tu évites de parler de lui, car c'est une blessure qui me fait toujours atrocement souffrir et que je préférerais oublier une bonne fois pour toutes pour me consacrer à mon entreprise, mon mari et mes filles.
Transcription :
Eugénie « Qu’attends-tu mon garçon ? »
Marc-Antoine « Rien de particulier. Vous ne deviez pas aller vous reposer ? »
Eugénie « C’est ce que j’ai dit oui. Mais je me disais peut-être que tu pourrais monter avec moi et me faire la lecture pendant que je me repose. Tu es désœuvré et tu erres sans but depuis un moment, au moins tu seras occupé. »
Marc-Antoine « Vous avez peur que je m’ennuie ? »
Eugénie « Non, tu as toujours trouvé de quoi occuper tes mains et ton esprit. Mais ces derniers temps, j’ai remarqué que tu importunais souvent Mademoiselle Laroche. Elle a son travail à accomplir et tu lui fais perdre du temps. »
Marc-Antoine « Je n’avais pas l’impression d’être à ce point dans ses pattes. »
Eugénie « Et pourtant si, alors tu vas monter avec moi et me lire quelques chapitres du livre de ta sœur. Et quand tu auras fini, nous lirons un peu la Bible tous les deux. »
Marc-Antoine « La Bible ? »
Eugénie « Oui, le Chant de Salomon. Cela fait longtemps que je ne l’ai lu et je pense que tu pourrais en tirer quelques enseignements fort à propos. »
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Arsinoé Le Bris#Lucien Le Bris#Marc-Antoine Le Bris#Aurore Laroche#Ange de Chastel#Jules Le Bris#Lucrèce Le Bris#Adelphe Barbois#Rose Le Bris#Anne Barbois#Jean Davires#Anna Le Bris de Chastel#Elisabeth Le Bris de Chastel
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Elodie n'est pas l'Amie avec qui je parle tous les jours. À qui je me confie par message. Elle n'est pas l'Amie que j'appelle. Elle est l'Amie que je vois une à deux fois par an, mais ce sont toujours des moments merveilleux, comme suspendus dans le temps, le téléphone n'existe plus, si ce n'est pour nous prendre en photo. On parle pendant des heures, et surtout qu'est-ce qu'on rigole. Mais... on parle, on rattrape tant de discussions, de secrets, de lourds sujets évoqués si naturellement. Quand elle voit que ça ne va pas, elle m'envoie un signe comme quoi elle est là pour moi. C'est parfois subtil mais je le sais, car on se sait elle et moi.
elle est l'Amie qui va m'envoyer des vidéos/photos toutes mignonnes sur les réseaux me disant que je suis une bonne et belle personne, qu'elle est fière de m'avoir dans sa vie et qu'elle ne m'échangerait pour rien au monde. Elle est celle qui se voit à Montréal avec moi.
elle est celle qui m'a envoyé une lettre par surprise en me disant que je n'étais pas difficile à aimer. Que je méritais toutes les belles choses. Que je méritais d'être heureuse.
notre amitié est très précieuse pour moi. Je la revois bientôt, et je suis déjà nostalgique alors que je n'ai même pas encore vécu ce week-end... mais je sais qu'elle me manquera une fois dans ce fichu train.
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Dans le bus vers la Nouvelle-Orléans je vois ce coup se tordre de droite à gauche à mesure que le bus avance, je me dis wow c'est fou comment un cou peut être flexible. Ça me rappelle les propos d'un homme avec qui j'ai dû travailler. C'était dans un entrepôt où l'on entretenait organisait et préparait les pièces pour monter des salles de concert, un truc dans le genre c'est pas si important tfaçon c'était un entrepôt. À la pause de midi alors qu'il finissait son verre de vin il discutait avec quelqu'un et admirait la résistance du crâne humain. Il relatait une histoire où il me semble qu'il avait fracassé le crâne d'un homme sur un capot de voiture ou alors il avait coincé la tête entre et avait tapé avec le capot sur la tête. La tête avait bien résisté c'était impressionnant.
J'étais un peu fébrile quand j'ai entendu cette histoire je me sentais pas très bien de manière générale et je me sentais pas très bien dans cet environnement où je travaillais pour une partie de l'été et à ce moment-là je me sentais pas très bien dans les autres environnements non plus d'ailleurs bref tout est lié tu sais. Ça prend peut-être un jeune homme plus sûr de lui pour s'adapter à ce genre d'individus fracasseurs de têtes. Finalement ça c'était bien passé il avait pas voulu fracasser mon crâne il était pas à l'entrepôt pour longtemps de toute façon il allait partir ailleurs pour monter des scènes, par contre j'ai cru comprendre qu'il a bien gueulé avec un autre collègue temporaire qui nous demanda un jour tout en furie où est-ce qu'il pouvait reporter ce genre de comportement. "La victime" avait une santé mentale différente, il vivait dans un camping pas loin de l'entrepôt et avait déjà énervé d'inconfort un autre collègue en s'essayant à draguer une caissière au supermarché où on allait pour acheter la nourriture du midi, bon en même temps il fallait qu'il s'intègre il venait d'arriver, wow je pourrais écrire une nouvelle sur lui il était tellement fascinant.
J'avais aussi été un peu mal à l'aise avec Big, qui partageait mon dortoir à l'auberge de jeunesse à la Nouvelle-Orléans. Je l'avais choisie parce qu'elle faisait partie de la franchise où y avait l'auberge où je travaillais à Montréal, puis elle était pas chère mais les commentaires étaient mauvais et les photos un peu suspicieuses elles faisaient un peu fake, ça m'avait fait douter mais comme pour beaucoup d'autres choses finalement je m'étais dit fuck j'ai envie d'être tranquille et de passer à autre chose j'ai la flemme de passer des heures sur ce sujet donc je la prends quand-même.
Au milieu de la première nuit, alors qu'il faisait bien noir dans cette chambre sans fenêtres ni rideaux autour des lits mais possédant quand-même plus d'une demi-douzaine de lits superposés, un vieil homme parlait tout seul. Il était dans un des lits du bas et m'avait fait déjà une curieuse impression à mon arrivée, il dormait alors que les lumières étaient allumées dans la chambre en mode plein phare c'était méga lumineux et d'une pâleur qui ferait rougir les hôpitaux, mais l'homme dormait à poings fermés et avait une ribambelle de chez ribambelle d'affaires et de sacs et de valises éparpillés autour de lui. Et cette nuit là c'était sûr c'était lui qui parlait à voix haute malgré l'heure le noir de la chambre et le silence des autres occupants. Big s'écria finalement Who the Fuck are you talking to ? et ça marcha plutôt bien, on n'entenda plus l'homme de toute la nuit et l'on put tous se remettre à dormir tranquillement et paisiblement tu sais.
Un autre jour aux alentours de midi il me semble Big mon voisin du dessous et moi-même dormions encore dans ce noir complet total, je faisais pas tellement d'efforts pour me réveiller tôt je vivais au rythme de mon corps j'étais là pour être tranquille après tout et découvrir, Big c'était plus incertain pourquoi il était là mais je crois qu'il était à l'ordi longtemps le soir, d'ailleurs il ne se gênait pas tellement pour ne pas couper le son alors qu'il était passé 22h et que d'autres gentils strasbourgeois qui ont fait des études comme moi voulait être tranquille, puis je crois qu'il regardait la télé aussi tard dans le salon de l'auberge, bref il me battait à plat de couture en termes de réveil tard puisque je crois qu'il se réveillait tous les jours dans l'après-midi, mais bon c'était facile aussi s'il se couchait si tard bref c'est une autre histoire c'est pas une compétition chacun son rythme. Mon voisin du dessous dormait aussi beaucoup, à vrai dire c'est la majorité des choses qu'il faisait, à chaque fois que je le voyais il était effectivement allongé dans son lit. J'appris plus tard qu'il sortait d'une cure de désintoxication et qu'il s'était fait virer ensuite d'une autre auberge pour une histoire de billard je crois, bref j'imagine que ça sonne un être vivant ce genre de choses.
Donc ce jour-là nous dormions tous les trois paisiblement. Soudain quelqu'un frappa à la porte de manière plus qu'assourdissante mais genre vraiment assourdissante c'était méga brutal j'étais presque choqué, et la personne continua puis s'écria HOUSEKEEPING, wow ça faisait mal une telle violence. Big hurla WHAT THE FUCK, j'aurais pas osé mais j'aurais pas dit mieux. Et le personnel de rentrer d'allumer les plein phares d'hôpitaux de la chambre et de commencer à passer l'aspi, wow quelle violence je comprends l'embarras de Big même si c'est un peu étrange de s'écrier WHAT THE FUCK au personnel de ménage de l'auberge dans laquelle tu loges, qui malgré peut-être un excès de zèle ce matin-là bah c'est quand-même le personnel puis ils entretiennent l'espace dans lequel tu vis, j'ai été élevé dans la courtoisie moi mes parents ont pu payer des études à ma sœur et moi.
Big n'était évidemment pas son vrai nom enfin j'ose penser. Il n'avait pas répondu quand je lui avais demandé son nom le jour où je l'avais rencontré puis il m'avait dit qu'il venait d'Africa quand je lui avais demandé d'où il venait, bref on avait pas parlé longtemps et c'était quelqu'un d'autre qui m'avait dit qu'il se faisait appeler Big. Big avait en outre une manière de parler anglais différente du Where is Brian Brian is in the kitchen que l'on pouvait entendre dans les exercices de compréhension orale en cours d'anglais au collège, bref je le comprenais pas tout le temps mais je trouvais ça cool.
Un jour dehors en bas de l'auberge alors que j'essayais de réconforter vaguement quelqu'un qui venait de se faire virer de l'auberge alors qu'elle était censée y travailler et y loger prochainement (elle aurait remué ses fesses de manière trop insistante et longue sur un de ses ex futurs collègues colocataires qui était en train de manger et qui n'avait pas apprécié et qui l'avait accusée ensuite d'harcèlement sexuel, c'était la version de l'exclue mais je la crois l'autre gars était pas sympa ou en tout cas un peu bizarre j'ai raison ouais j'ai raison crois-moi), bref elle pleurait presque ou pleurait vraiment j'avoue j'étais pas trop impliqué non plus, et Big se pointa. Il était peut-être venu la réconforter vaguement aussi après tout ils s'aimaient bien je crois en tout cas de manière amicale, mais j'étais surpris Big portait des lunettes de soleil avec toujours l'étiquette dessus et avait à la main un vidéoprojecteur dans un emballage qui paraissait intacte, je me demandais ce qu'il allait faire mais bon après tout il allait peut-être faire une soirée pizza avec quelques copains qui sait. Il était au téléphone avec quelqu'un et je veux pas sortir les choses de leur contexte mais je vais le faire quand-même, j'entendis le mot Voleur. Une voiture noire et grosse et clinquante genre quatre quatre arriva ensuite et se gara devant nous, wow Big a des potes sympas me suis je dit mais c'est étrange pourquoi Big rentre par la porte arrière si ce sont ses copains puis que font-ils on y voit rien les vitres sont teintées. Je me remis à réconforter vaguement l'autre personne j'essayais d'être inspirant c'était ma nouvelle personnalité je change souvent de personnalité en fonction de l'environnement où je suis, que puis-je dire je suis comme ça la constance n'est pas vraiment mon fort, et bref pendant que j'étais inspirant j'oubliais Big et la voiture, sauf que du temps passa puis un moment donné je me dis fuck, ça fait longtemps que Big est rentré dans le quatre quatre noir et clinquant et le quatre quatre noir imposant et clinquant est toujours là, n'est toujours pas parti c'est bizarre n'est-ce pas. Je demandai à la fille Is Big a gangster ? c'est vrai ça dans ma tête y a que les gangsters qui font ça je m'y connais pas vraiment dans ces choses là voire pas du tout j'avoue voilà vous m'avez démasqué mais avouez vous vous y connaissez pas plus si vous êtes capables de lire une prose aussi fantaisiste. La fille sourit et répondit simplement That's just what he do. Elle ne dit pas plus bon je comprends c'est normal elle avait un projet à repenser elle venait de se faire exclure pour harcèlement sexuel et n'avait pas de logement à long terme a priori, je comprends elle avait pas la tête aux romans policiers puis après tout moi pas tellement non plus, je m'en foutais un peu c'était fatiguant ces mystères tiens je ferais bien une sieste.
Plus tard dans la journée dans la chambre Big m'interpella Eh frenchie do you have a bag, j'avais pas tellement envie de lui filer un de mes sacs j'avais pas tellement confiance et fort heureusement il n'aimait pas mes top bags c'était pas trop son genre je crois. Mon voisin du dessous lui trouva quelque chose et Big était tout content, il sorta un bas et un haut de maillot de bain féminin couleurs léopards il me semble, en tout cas une allure séductrice qui éveille un désir je pense chez plus d'un être humain, et l'étiquette était toujours là évidemment. Big tenda devant lui le bas de maillot de bain couleurs terreuses affriolantes et essaya devant nous de comprendre comment ça marchait, j'avoue c'était rigolo et le voisin du dessous rigolait aussi, je m'essayai à une blague en lançant Is it for you et Big et le voisin du dessous rigolèrent, j'ai honte j'étais fière d'avoir fait rigoler ces jeunes hommes là, moi qui ai fait des études gentiment licence et master en écoutant bien ce qu'on me disait et qui avais même pu faire un échange à l'étranger en troisième année de licence.
Big rangea finalement le maillot de bain dans le sac et quelques jours plus tard se fit virer de l'auberge je sais pas trop pourquoi.
En parlant de résistance du corps j'en ai fait moi-même l'expérience récemment j'avais invité une fille à se voir dans un bistrot à Montréal, je la connaissais pas et lui avais à peine parlé mais grâce à mon travail et Internet j'avais pu la contacter et lui proposer de se voir, eh ouais je suis comme ça fallait que je lui demande par tous les moyens même si c'est peu ordinaire comme méthodologie voire très ordinaire finalement de nos jours. Elle était jolie c'est fou c'est la classe je suis dans un mood où j'essaie que de séduire et de relationner physiquement avec des êtres que je trouve très jolis, c'est comme ça ce n'est peut-être qu'une phase mais j'aime bien je dirais presque que c'est challengeant en tout cas ça fait du bien à l'image de soi quand ça marche j'ai peut-être besoin de ça finalement j'ai encore besoin de prouver des choses j'ai peut-être pas si confiance en moi finalement. Bref elle avait accepté de se voir et l'on s'asseya sur la terrasse il faisait beau c'était la fin d'après-midi, j'avais pas commandé de bière je continuais de mettre sur pause l'alcool et au-delà du fait que c'est bon pour la santé ça fait mystérieux genre passé trouble et moi j'avoue je trouve ça cool je me crois dans un film en permanence, j'avais donc pris un jus mais c'était bizarre il m'avait donné une toute petite bouteille à peine plus grande qu'une tétine c'était étonnant peut-être un peu gênant mais rigolo finalement, c'était une toute petite bouteille en verre contenant un jus de pamplemousse il me semble, j'aime bien le pamplemousse et je trouve ça cool évidemment d'aimer le pamplemousse je me crois dans un film je t'ai dit bon faut dire que j'en ai vus tellement. On était au début de la rencontre au début du moment à deux de rencontre donc on était peut-être chacun un peu agité intérieurement on cherchait notre rythme à deux et notre place et personnage dans l'échange puis je pense que l'on se demandait encore quelle image séduisante montrer à l'autre, mais finalement j'avoue j'étais assez chill j'étais dans une position de force après tout elle était arrivée bien en retard puis je la trouvais vraiment jolie ça calme un être lorsqu'il interagit avec quelqu'un de très jolie qui semble s'intéresser à lui. Je m'essayai à rire et à la faire rire fallait bien tenter puis révéler ça de moi après tout c'est beaucoup à quoi je passe mon temps quand je suis avec quelqu'un. Je dis quelque-chose à propos de la religion et j'avoue je trouvais ça bien drôle bien sorti bravo Jules en plus je crois que ça l'a fait rire d'étonnement donc c'était tout bon c'est cool ça peut être fun si on peut rigoler comme ça, sauf que le mouvement intérieur que ça produisit en moi était peut-être un peu trop fort résultat ça me fit balancer la tête en avant rapidement et bim voilà que je me cogne la tête le front pour être précis sur le gland de la petite bouteille en verre riquiqui à peine plus grande qu'une tétine et contenant du jus de pamplemousse, fuck ça fait mal c'est délicat comme moment.
Mais je me crois dans un film j'essaie toujours d'avoir l'air cool d'avoir une belle image de moi que je livre aux autres et j'ai l'impression que je dois faire ça pour qu'on m'accepte sinon c'est pas possible personne va m'accepter puis fuck faut avouer que ça fait du bien intérieurement de plaire aux gens, j'ai pas toujours ressenti ça j'ai même longtemps ressenti l'inverse tout est lié, bref à force d'entraînement je suis devenu un as. Bref I believe que dans ces moments-là qui peuvent te faire perdre la face, bah finalement pour la garder faut être sincère et mesuré. Faut pas faire comme si rien n'était arrivé et comme si t'avais pas mal et passer directement à autre chose ni vu ni connu, non c'est impossible puis même bizarre de vouloir faire croire à une fille que tu désires qui t'intéresse et que tu trouves extrêmement jolie que tu ne viens pas de te percuter le front contre une petite bouteille en verre riquiqui à peine plus grande qu'une tétine et contenant du jus de pamplemousse, et ce alors que tu rigolais un peu trop expressément peut-être à la blague que tu venais de faire à propos de la religion pour apporter un peu de fun à l'instant tout en boostant ton égo pour montrer que t'es drôle. Faut pas non plus trop en faire. Te mets pas à pleurer à te prendre trop la tête dans les mains pire à crier à chaudes larmes voire carrément à te jeter par terre de douleur genre joueur de foot, tout ça pour que la jeune femme te réconforte ou te prenne en pitié, même si je pense que dans le fond ce serait encore moins pire que de faire comme si de rien n'était, ça ça serait trop détonnant ça serait trop jouer à l'acteur mais d'un autre côté ça serait presque drôle wow je respecterais l'être qui ferait ça. Bref je l'ai joué sincère et mesuré et c'est bien passé je crois, en tout cas je me sentais bien et toujours cool, mon dieu j'abuse. La vérité c'est que j'avais pas tellement mal, la douleur physique était masquée par le chaud mouvement intérieur qui me poussait à tout faire pour ne pas perdre la face et rester cool, mais tranquille tsais. Comme la jeune femme l'a dit j'ai eu de la chance j'aurais pu me percuter l'oeil bref tout ça pour dire je m'en rends compte maintenant que certes le corps est flexible et résistant mais y a peut-être d'autres forces en jeu que la chaire qui font que c'est ainsi, voilà je m'arrête là regarde comme c'est beau y a même une fin une petite conclusion une petite morale à la fin c'est beau c'est cool je me sens cool je suis dans un film.
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JEUDI 28 MARS 2024 (Billet 3/3)
« MONDIAUX DE PATINAGE ARTISTIQUE (Canada – Montréal) »
Le Français Adam Siao Him Fa a remporté la Médaille de Bronze samedi aux Mondiaux de patinage à Montréal, à la faveur d'une incroyable remontée dans une compétition gagnée par l'Américain Ilia Malinin.
19e après le programme court mercredi, Adam Siao Him Fa a merveilleusement réagi sur le programme libre pour s'offrir, après une longue attente, la médaille de bronze dimanche aux Mondiaux de Montréal (Canada).
Le Français de 23 ans a maîtrisé tous ses envols, notamment ses quatre quadruples (lutz, salchow et deux boucles piqués, dont un en combinaison avec un triple) et même abandonné sciemment deux points en s'autorisant un backflip (salto arrière), figure interdite qui le caractérise et qui a provoqué l'ovation du public du Centre Bell.
C'est la première médaille française chez les hommes depuis 14 ans (depuis celle de Brian Joubert en 2010) !
« Ce Championnat a été synonyme de hauts et de bas pour moi. Cela a été beaucoup d'émotions, a réagi Adam Siao Him Fa. Je suis content d'avoir pris ma revanche par rapport au programme court, c'est vraiment ce que je voulais », a-t-il ajouté, évoquant « la meilleure performance » de sa vie. Le Français avait remporté en janvier dernier un deuxième titre de Champion d'Europe.
(Source : « lequipe.fr »)
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Il fut un temps où les Championnats de Patinage Artistique étaient diffusés à la télévision sur une grande chaîne nationale. Malheureusement cette époque est révolue, il faut aujourd’hui être abonné (en payant) à la chaîne « L’Equipe ». En revanche, le téléspectateur peut n’échapper à aucun match de football ou de rugby. Parfois même, un programme initial est remplacé au dernier moment par la retransmission d’un de ces matchs !
Et c’est bien dommage, surtout pour ceux, comme nous, qui n’en regardons jamais ! Si c’est un problème d’audience, pourquoi le patinage (dont peut-être l’horrible défaut est d’être qualifié « d’artistique ») n’est pas rediffusé par exemple en seconde partie de soirée sur une chaîne faisant partie de la TNT ?
Nous dédions ce Billet à tous nos lecteurs/abonnés qui se sentent frustrés de cette grave lacune de notre Service Public, dont sûrement notre cousine Catherine (W.B.).
PS Nous avons fait des recherches sur la musique, très particulière, choisie par le jeune patineur français et grâce à Shazam nous avons appris qu’elle était de l’excellent compositeur contemporain, Max Richter et que le morceau s’appelle « Departure », déjà tout un programme.
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Quel beau livre que celui-ci, de Lola Lafon : La petite communiste qui ne souriait jamais. C’est un biographie atypique de Nadia Comaneci, dont je me souvenais, lors des Jeux Olympiques ultérieurs à ceux qui ont fait instantanément sa gloire, ceux de Montréal en 1976. Plus tard, en 1980 à Moscou, ou à Los Angeles en 84, elle était attendue, et je savais l’aura qui accompagnait.
Pendant la lecture du livre, j’ai regardé en parallèle ses prestations lors des moments phares de son parcours en compétition. Comme Lola Lafon, j’ai essayé de scruter son visage, j’ai vu ses sourcils bien droits, ses ombres sous les yeux. J’ai essayé de deviner ce qu’elle pensait, ressentait. C’est impossible. Elle est opaque. Et c’est vrai que ses sourires sont rares, même en 1976, même quand elle détraque la machine à afficher les notes qui n’arrive pas afficher le premier 10 de l’histoire correctement !
Que se passe-t-il dans sa tête lorsqu’au Texas, elle est sommée de monter sur la poutre alors qu’elle a le bras qui la fait souffrir horriblement ? Elle y va néanmoins, exécute la plupart de ses figures sans appui, sauf pour la sortie, ce qui l’emmène droit à l’hôpital juste après la fin de l’épreuve, hôpital où on lui fait comprendre la gravité de son infection, les conséquences possibles qu’elle a frôlées. Peu importe, elle a fait gagner son équipe.
Il y a quelque chose de militaire dans son abnégation, mais de mystérieux aussi. Profondément intime. Peut-être un combo de talent, de volonté et de discipline, un mélange d’égo et d’oubli de soi insolite.
Oui, son entraîneur était spécial, mélange de père débonnaire et de baratineur, mâtiné de tortionnaire. Mais elle l’a aimé, et probablement dominé, à sa manière. Dès son plus jeune âge, elle n’a pas dit ses limites, et elle s’est ainsi protégée des attentes excessives. C’est du moins ce qu’elle dit. Quand on l’écoute parler dans les interviews tardives où elle ressemble désormais à une américaine plus vraie que vraie, il y a quelque chose qui reste opaque. Une façon de ne rien révéler de ses sentiments, de ses émotions. Elle garde ses secrets.
Et pourtant quel destin incroyable. Être une étoile au moment même où le régime communiste du fou Ceausescu se durcit, ce fut au début une chance, avec cet entraîneur Belà qui décida d’égaler voire de surpasser les russes, puis une malédiction. Elle devint alors une vitrine du communiste. Elle vécut la dépossession de son corps. Qui devait rester performant malgré la puberté, la tristesse, la privation. De 1981 à 1989, vivre en Roumanie, c’était très dur, tout autant pour elle que pour le reste de la population. La peur de la délation, la Securitate partout, la nourriture nulle part, le chauffage à 14, des décrets qui condamnent l’avortement, qui exigent des femmes de faire des enfants (5 !) (on est là dans un « réarmement démographique » pur et dur qui fait frissonner). Elle finit par faire de l’ombre à Ceausescu et tomba en disgrâce ; elle était surveillée, traquée, devint le jouet de son fils, jusqu’à sa fuite, de nuit, à pied, à travers la Hongrie, encore mystérieuse, trop proche de l’effondrement du régime pour être bien vue, devenue suspecte. On l’a accusée, en Occident, d’avoir bien profité du système et de l’avoir fui pressentant qu’il était en phase terminale. Et une fois au USA, la traque à nouveau, par les journalistes qui commentent tous ses faits et gestes.
Dans la biographie, Lola Lafon renvoie dos à dos les deux acteurs de la guerre froide. Dans une interview, elle parle de peste et de choléra. Au fond, le capitalisme est-il vraiment synonyme de liberté ? Ici, nos téléphones nous géolocalisent, le corps des femmes est tout autant scruté et commenté, la réussite est tout aussi ardemment recherchée. Elle refuse de simplifier ce conte de fée qu’on voudrait nous faire avaler : la petite fée, l’écureuil bondissant a rejoint l’Occident pour devenir libre ? Pas si simple. Et dans cette biographie atypique où la narratrice fait comme si Nadia commentait ses chapitres, la gymnaste au téléphone ou par mail, nuance la grisaille de la dictature, le soleil des USA, l’absence de liberté. Elle minimise la souffrance. Elle ne s’apitoie jamais.
Plus elle parle, moins elle se révèle et reste une énigme, de celles qui font les mythes.
NB : ci-dessus, les 7 épreuves où Nadia Comaneci a obtenu un 10/10 en 1976 à Montréal, à l’âge de 14 ans et est entrée dans l’histoire, celle de la gymnastique, mais aussi dans la grande.
#nadia comaneci#gymnastique#littérature#livres#litterature#roman#livre#Lola Lafon#éditions actes sud#montreal 1976#jeux olympiques#Youtube
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Permis de conduire
Je m’avance dans le stationnement de la SAAQ.
« Prenez un tournant ici, MADAME. » Me dit l’évaluateur.
Une tension règne dans le véhicule depuis le début de l’examen. Je le sens jusque dans ma colonne vertébrale. Je suis persuadé.e d’être à mon meilleur. Obéissant.e, je tourne et je m’approche des automobiles stationnées en rang d’oignon.
« Maintenant, MADAME, montrez-moi votre stationnement vers l’arrière. »
Pardon ? Un parking de centre d’achat dans une évaluation de conduite à Montréal ? Certainement, il cherche à me faire échouer, car c’est la seule manoeuvre que je n’es pas pratiqué.e. Je m’engage dans la place que reposera la Sunfire de ma mère. Je commence à douter que je vais être capable de le faire du premier coup, mais je continue qu’en même à reculer tranquillement. J’hésite à me replacer, de peur de perdre des points. Mon amie m’avait dit qu’il fallait le réussir d’un coup et c’est ce que je compte faire. L’arrière de la petite Pontiac se recule et soudainement, l’employée gouvernementale s’exclame alors que mon auto accote doucement sur la voiture à côté.
-Mais qu’est-ce que vous faites, MADAME?! -Je… je suis désolé.e… j’ai paniqué. Je pensais pouvoir y arriver. -Avancez-vous ici.
J’abandonne ma manœuvre et je me stationne dans la place libre face à nous. Je me sens quitté la réalité et je plonge dans un état de rêve. Je n'arrive pas à comprendre ce qui vient de se passer. J’ai à peine à croire que je viens d’échouer mon examen de conduite pratique. Ma tête tourne un peu par la tristesse de ce qui vient de se passer.
-J'imagine que je n’ai pas passé? -Oh que non MADAME. C’était très dangereux ce que vous venez de faire.
Les larmes qui s’accumulent dans mes yeux commencent à couler sur mes joues.
-Vous ne voulez pas que je vous fasse une parking en parallèle à place? -Non MADAME, vous avez échoué.
Le mot MADAME résonne à chaque coup. En plus d’être condescendant depuis le moment que nous avons quitté la SAAQ, il a dû m’appeler ainsi à chaque interaction que nous avons eue. Son ton réducteur, imprégné du patriarcal, vient me chercher au plus profond de mon être.
Nous commençons à argumenter, mais je sais très bien que je ne gagnerai jamais. En fait, rendu au point où nous en sommes et au nombre de MADAME qu’il a utilisé, je commence à bouillonner. Je sens une pression sur ma poitrine et l’anxiété s’empare de mon corps. À chaque mention du mot, une vague de chaleur se propage dans mon visage ou coule présentement un déluge incontrôlable. Prochaine fois qu’il sort de sa bouche, je vais probablement exploser.
-MADAME, calmez-vous s’il-vous-plait! Celle-ci était de trop. -Pourriez-vous arrêter de m’appeler MADAME ?!
Pour la première fois de ma vie, je dis à voix haute le malaise; le mal; le dégoût profond que je ressens face à ce mot, qui est pourtant une marque de respect. Je n’entends plus rien. Il me répond mais j’ai aucune idée de ce qu’il me dit. J’ai juste hâte de ne plus entendre sa voix.
Il finit de marquer des notes dans mon dossier et il sort de la voiture. J’y reste quelques instants. Le mot continue à faire des échos dans ma tête. Je suis humilié.e.
#écriture#français#québec#queer#identité de genre#writing#non binaire#lgbtq#writer#writers and poets#writerscommunity#québécois#dysphorie#gender dysphoria
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Retour à Athènes pour quelques heures
Nous voici de retour à Athènes, là où notre voyage a commencé il y a deux semaines. Surprise en arrivant en ville, il y a énormément de trafic et le taxi avance à pas de tortue. On se dit que c’est peut-être normal, mais quand le taxi fait demi-tour dans une artère principale de la ville, en nous disant « strike », on comprend qu’il y a quelque chose d’anormal. On voit la police qui bloque la rue et on entend des sirènes. Tout ça dure un temps fou alors que le taxi franchit un barrage policier après avoir discuté avec un agent qui n’avait pas l’air content. Un moment donné, le chauffeur nous dit de descendre et de continuer à pied, car il ne peut plus avancer. Pas trop grave, car il nous reste pas une grande distance à marcher. Apparemment, tous les employés de tous les secteurs d’emploi sont en grève. Pas d’autobus, de métro, le chaos. Demain, ce sera ok pour notre retour, heureusement.
On a mangé des croissants pour dîner et après, on a découvert des coins qu’on avait pas encore visité. Le ciel était voilé, heureusement, car le soleil était un peu moins dérangeant.
Pour le souper, on a fait une transition en allant dans un restaurant italien. Comme on revient à Montréal, on délaisse lentement les mets grecs typiques mangés pendant deux semaines.
Pour digérer le tout, on s fait une promenade dans les rues à la tombée de la nuit. Magique!!
Demain, on nous prendra à l’hôtel à 8 h 45. Un vol d’une durée de 10 h 15 nous attend.
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"L'évadé J. Collingan repris après une chasse à l'homme mouvementée," Montreal-Matin. May 5, 1943. Page 1 & 3. --- J. Colligan, évadé du Palais de Justice, repris après une chasse à l'homme mouvementée -- John Colligan, l'homme aux nombreux alias et aux fréquentes évasions, qui s'est enfui du palais de justice le 20 avril dernier les menottes aux mains, est de nouveau en prison. Il a été capturé de nouveau hier à Côte St-Paul après une chasse à l'homme très mouvementée sur des toits de maisons et des hangars au cours de laquelle les agents provinciaux et municipaux ont risqué leur vie. ---- Les agents n'eurent pas à lutter uniquement contre Colligan mais aussi plusieurs femmes qui leur barrèrent la route et eurent recours à toutes sortes de ruses féminines pour empêcher l'arrestation du filou connu aussi sous les noms de Jack Barne et de Roland Leclerc.
L'arrestation L'arrestation eut lieu à l'arrière de la rue Fulford, environ une demi-heure après que l'alerte fut donnée au directeur adjoint de la su reté provinciale, M. Louis Jargailles. Ce dernier dépêcha sur les lieux le capitaine Albert Marineau, les détectives Florian Langevin et Ro-land Jargailies ainsi que plusieurs agents.
A l'arrivée du capitaine Marineau à 773 rue Fulford, deux femmes lui barrèrent le chemin au pied de l'escalier et voulurent l'empêcher de monter. Elles tentèrent de lui écorcher la visage mais l'officier passa outre et escalada les marches trois à trois.
Elle se déshabille Arrivé au second, le capitaine Marineau constata qu'une femme était en train d'enlever ses vêtements en toute hâte dans la chambre de bain. Il la somma d'ouvrir la porte. Elle lui cria de ne pas entrer car elle était dévêtue. L'officier pénétra quand même dans la pièce juste à temps pour voir Colligan sortir de la maison par un ports de lumière.
Dans une remise Pendant ce temps, la police provinciale avait alerté la police municipale qui avait dépêché une douzaine d'agents sur les lieux. L'on décida de cerner le pâté de maisons contiguës à celle d'ou s'était évadé Coolligan. L'on vit alors le fugitif sauter sur le toit d'un hangar et subséquemment sur le sol pour en suite pénétrer dans une remise à l'arrière ere d'une maison de la rue Fulford.
Le détective Jargailles ne le perdit pas de vue et braquant son revolver sur l'unique issue du hangar, il enjoignit au détective Langevin de pénétrer dans la mansarde et de placer Colligan en état d'arrenstation
Pour reconduire l'évade à la prison de Montréal, l'on prit toutes les précautions nécessaires et deux agents fui placérent des menottes à chacun de ses poignets.
De l'arrivée de la police sur lieux au moment de l'arrestation moins d'une demi-heure s'était écoulée.
La double évasion Colligan, selon son dossier judiciaire, s'était évadé en compagnie d'Emile Bodner. Les deux venaient de quitter la Cour après leur comparution et étaient sur le point de monter bord de la voiture de la prison de Montréal, quand ils trompèrent la vigilance de leurs gardiens, prirent la rue St-Vincent s'enfuirent par une cour conduisant à une cuisine de la Place Jacques-Cartier pour enfin disparaître dans le district du marché Bonsecours. Leurs accusations Bodner était accusé de plusieurs vols, dont l'un 1122 rue Windsor où il aurait vole $260. Colligan devait recevoir sa sentence du juge Cloutier après avoir été trouvé coupable d'avoir vole $276 dans un établissement de la rue St-Catherine ouest,
Legende: John Colligan, l'homme aux nombreux alias, qui s'était enfui le 20 avril dernier les menottes aux mains, avec un autre compagnon.
#montreal#police chase#prison break#escape from custody#jailbreakers#wanted fugitives#ex-convicts#verdun#1943 bodner-barry escape#canada during world war 2#crime and punishment in canada#history of crime and punishment in canada#recaptured prisoner
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Le 11 mai de Montréal du Gers à Manciet 29,5 km
Après avoir refait le monde avec Loïc et Marie Laure et savouré un excellent Armagnac je me suis couché très tard car 23h c'est hors normes pour un pèlerin.
Ce chemin m'aura permis de les retrouver et ce moment partagé était une jolie parenthèse.
Du coup j'avais une énergie qui m'a permis de rejoindre Eauze très rapidement.
Après mon déjeuner j'ai retrouvé Coline avec joie et nous avons marché ensemble jusqu'ici et en compagnie de Magdalena jeune néerlandaise venue découvrir le chemin pendant 2 jours.
Des moments où chacun raconte à l'autre son histoire simplement pour partager et apprécier l'autre. Quoi de plus naturel puisque c'est notre histoire qui nous conduit sur le chemin.
Ultreia
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ça y est ma mère et ma soeur ont les billets d'avions pour cet été, et quand j'ai dû faire la réservation pour elles cette après-midi, en voyant les dates, j'ai eu une part de moi triste. Elles ne viennent pas une semaine, mais +, et ont dit "ça se trouve nous aussi on va quitter la France et vivre là-bas" et j'ai rigolé nerveusement.
parce que si je pars, c'est aussi pour être loin de cette famille qui n'a jamais cru en moi et qui ne m'a jamais vraiment encouragé. Pour vous dire, quand mon ex m'a quitté, ma mère a tout de suite pensé que j'avais fait quelque chose de mal. (Quelle mère réagit comme ça ? c'est dire comment elle me voit mdr). Je me suis construite de mon côté pour ne ressembler à personne, et je suis fatiguée de savoir qu'elles viennent + que prévu. Enfin, c'est bien pour elles. Mais moi je vais être épuisée mentalement.
je ne veux même plus présenter qui que ce soit à ma famille tellement je ne suis pas en accord avec les valeurs, tellement elle serait capable de me descendre devant la personne que je ramène. À coups de "olala ça se voit tu vis pas au quotidien avec elle car tu en aurais marre", "elle est tout le temps énervée", "elle est pas facile à vivre". Alors que... je suis comme ça seulement ici. Que les seuls moments où j'étais heureuse, où j'étais moi-même, c'était quand je n'étais pas avec elles. Partir chez mon ex, à Londres ou Paris, c'était du bonheur pour moi.
j'ai peur d'avoir des reproches à Montréal quand elles y seront ou de ressentir encore une fois que je suis juste une personne incapable de faire quelque chose, et j'ai pas besoin de ça. J'aurais pu faire semblant pour une semaine, mais pour + que ça... ça va être très très très dur.
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Hiver 1898, quelque part au milieu de l’Atlantique (6/6)
Elle a su finalement entendre raison et à accepter mon départ, à la condition que je fisse la promesse d’écourter mon second voyage et de ne pas m’absenter plus de deux ans, ainsi que de maintenir avec elle une correspondance régulière. J’y consentis, et au mois de mars, je quittais l’île trois mois après mon arrivée. De Gananoque, j’ai pris une diligence pour Brockville, j’ai acheté une place à bord du premier premier train pour Smith Falls, j’ai sauté dans une correspondance pour Montréal, et j’ai pris le train pour New York avant de m’embarquer à bord de La Bourgogne. Je posterai cette lettre dès que j’arriverai au Havre, en espérant qu’elle vous trouvera avant que j’arrive à Paris, d’où je prendrai une correspondance qui m’amènera à Marseille. Il me restera encore un mois de bateau avant d’atteindre enfin Le Caire, ce qui signifie que j’y serai au printemps. Je resterai à Paris quelque jour, je prendrai une chambre dans un des hôtels près de la gare. J’aimerais beaucoup vous rencontrer, ainsi que votre cousin. Je vous communiquerai les modalités pour m’écrire en Egypte à ce moment.
Votre bien dévoué,
J. Le Bris
[Transcription]
Eugénie Le Bris : Je suis désolée de m’être emportée l’autre soir. J’avais la falle basse à cause de pu vous voir… Les deux bras m’ont tombé lorsque vous m’avez annoncé la nouvelle. Jules Le Bris : Ce n’est rien. Je suis navré de vous peiner. Eugénie Le Bris : Ne partez pas, Jules. Jules Le Bris : Ah… Il le faut pourtant. Vous me connaissez bien, vous savez mon agitation. Il m’est impossible de demeurer longtemps au même endroit. Jules Le Bris : Ainsi est l’homme que vous avez pris comme époux… Je dois partir, Eugénie. Ma place est en Egypte. Dussé-je rester, je deviendrais désagréable, car je serais tiraillé par un insupportable ressentiment. Eugénie Le Bris : Pourquoi je pis pas partir avec vous par exemple ? Jules Le Bris : Vous savez pourquoi. Vous ne pouvez pas laisser notre fille. Eugénie Le Bris : Vous me le direz jamais, mais je sais ben que mon accent vous fait honte. Je suis pas ben aussi éduquée que les dames. A quoi je pense… Je vous embarrasserais. Jules Le Bris : Non, Génie, ne pensez pas cela. J’aime votre accent. J’ai vu comme vous travaillez dur tous les jours pour améliorer votre éducation. Vous ne me faites pas honte. Mais vous êtes une femme du pays. Jules Le Bris : Vous avez vécu sur cette île toute votre vie, vous êtes accommodée à ses plaisirs simples, et vous connaissez tout le monde ici. L’Egypte serait trop rude pour vous. Faites-moi confiance. C’est mieux ainsi. Eugénie Le Bris : Quand rentrerez-vous ? Jules Le Bris : Je ne le sais pas encore. Eugénie Le Bris : Revenez au plus sacrant. Deux ans. Pas plus.
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen3ter#Jules Le Bris#Eugénie Bernard#Louise Le Bris II
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20 février - Parc du Mont-Tremblant
Nous avons rangé nos affaires après le petit-déjeuner et nous avons pris la route vers le parc national du Mont-Tremblant pour faire une randonnée. Nous avions un doute sur le fait que nous puissions la faire à cause de la tempête de neige sous laquelle nous roulions, même si ça donnait une super ambiance. La chance était de notre côté, le ciel était en train de se dégager quand nous sommes arrivés à notre parking.
Nous avons emprunté le sentier de la roche, un chemin enneigé en pleine forêt. Nous sommes montés jusqu’à un belvédère avec une belle vue sur la vallée du lac Monroe, où nous avons pris nos sandwichs. Les nuages ont disparu pendant le repas, et nous avons eu un grand soleil pour le reste de l’après-midi. La redescente se faisait par le même chemin, mais ça nous a pris beaucoup moins de temps grâce aux toboggans de neige parsemés sur le chemin, clairement le meilleur moment de la ballade! Arrivés au centre d’accueil, Aymeric nous a quitté pour retourner à Montréal, et comme nous avions du temps, nous avons trainés autour de la cheminée avec un café/chocolat chaud et la vue sur le lac.
Sur la route du retour, nous nous sommes arrêtés à la station de ski de Mont-Tremblant, l’une des plus grosses de l’est de l’Amérique du Nord. Quelques kilomètres avant d’arriver, il y a déjà des grosses infrastructures hôtelières et touristiques. Nous nous sommes promenés dans le village piétonnier de la station, à la fin de la journée de ski, tout le monde redescendait à sa voiture ou profitait des nombreux magasins du village. Il a été construit spécialement pour la station de ski, donc tout les bâtiments très colorés se ressemblent et l’on se croirait dans le Disneyland de la montagne. Il y a une petite ambiance de station alpine, mais les terrasses ultra-chauffées avec grands écrans nous rappellent que nous sommes bien en Amérique. Pour le goûter, nous avons mangé des queues de castor, une sorte de pâte à gaufres frite sur laquelle on peut napper ce que l'on veut. J'en ai partagé une au sirop d'érable avec Adrien.
Nous sommes rentrés à Montréal en début de soirée, lessivés de notre super week-end coupés du monde.
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Julien (partie 2)
J’ai fait Plateau-Longueuil en douze minutes, je crois. J’ai flyé, rien de moins. Je ne savais pas où était l’entrée de l’hôpital (elle est sur le côté, maintenant vous le saurez aussi), donc je me suis stationnée dans le parking du Dairy Queen et j’ai couru comme un enfant qui attend sa crème à’ glace à essayer de trouver la maudite entrée. Je répondais aux questions de Julien en même temps, sur mon cell. C’était une nuit de gestion.
Je rejoins ma mère, le père de Marc-André et Marc dans une chambre d’hôpital déprimante. À ce moment, on ne sait pas si ma sœur est vivante, si le bébé l’est aussi, on ne sait rien. On panique, en silence, en fixant la décoration inspirée de la plus belle prison d’Unité 9.
Je raconte tout ça à mon emotional support stranger qui vit beaucoup trop d’affaires en cette première conversation Hinge. Je sais divertir mon public. Ça, on ne peut pas le nier.
En ce moment je ne fais qu’un avec l’inquiétude. Comment va ma sœur? Rejette-t-elle les transfusions de sang? Et le bébé, lui? Il a survécu? Je déverse mes peurs à l’infirmière qui s’approchait de nous, alors qu’elle venait nous dire que…
Tout va bien. Les deux sont en bonne santé, on devrait voir ma sœur sous peu. On peut respirer.
Il est 4h du matin et Julien m’écrit encore. Il me dit finalement: « Bon moi je pass out bonne nuit ». Oh, ok. Ben oui, bien sûr bonne nuit. C’est juste un ton tellement différent des autres textos que j’ai reçu au cours de la nuit. En même temps, il est quatre heures du fucking matin. Gen, chill.
Pis, heille, ma sœur et son bébé ont survécu ce soir. Un texto de travers ne viendra pas gâcher ça.
5h30 du matin. Je pars de l’hôpital pour aller m’évanouir chez ma sœur. Je me réveille d’un coup à 6h30 pour m’occuper de mon neveu d’un an et demi, avec la mère de Marc-André. Je suis lessivée, torchée par la fatigue et la baisse monstrueuse d’adrénaline. C’est ça être parent? Oubliez-moi.
Je prends congé à la job, je vais faire des commissions pour ma sœur et je retourne chez moi, vers 13h, pour faire la sieste la plus réparatrice qui soit. Je me réveille, trois heures plus tard, pour retourner chez ma sœur. Elle a (DÉJÀ?!?) eu son congé de l’hôpital. Quand on dit qu’on manque de lits dans les hôpitaux, c’est pas des farces.
« C’est weird, me dit Soph, accoucher et ne pas avoir son bébé à la maison. » Le cœur me fend. Le petit nouveau-né tout frais est hospitalisé parce qu’il est prématuré. C’est moi, qui dois être un emotional support en ce moment. Je laisse mon cell (et Julien) de côté pour prendre soin de l’essentiel.
Ma sœur se couche et il n’y a plus de ménage ou de lavage ou de commissions à faire. Mon shift est terminé. C’est épuisant, œuvrer dans le milieu de la Santé.
J’embarque dans mon auto et je reçois ça: « Tu pourrais venir chez nous décompresser un peu », me texte Julien.
On ne me le dira pas deux fois. J’ai besoin d’une bière et d’une clope. C’est comme ça que je décompresse. J’accepte, je lui dis que je suis en route. Cette fois-ci, je ne ferai pas Rive-Sud-Montréal comme Charles Leclerc.
Je me regarde dans mon rétroviseur et je suis tellement cernée qu’on pourrait y creuser une piscine. J’ai des cernes privilégiés. Est-ce que je vais chez moi me doucher et me chixer? Non, pas le temps. Il me prendra comme ça. De toute façon, je ne suis pas dans le mood pour coucher avec quelqu’un.
MOI QUI ME DIS QUE JE NE SUIS PAS DANS LE MOOD POUR COUCHER AVEC QUELQU’UN Déf.: Se mentir à soi-même
Il me donne son adresse en me disant qu’il va faire le ménage de façon express. Pas de problème.
J’arrive chez lui 30 minutes plus tard. Il m’ouvre la porte et je remarque qu’il est plus petit que ce qu’il avait donné comme grandeur sur Hinge. Oops.
Il m’ouvre: « Voyons, t’es donc ben grande! », me dit-il. J’avais envie de dire: « Pis toi, t’es vraiment plus petit! », mais je me suis visiblement retenue. Je ne veux pas qu’il voit ça comme un turn off. C’est quand même une drôle de première interaction. Quoi qu’on a eu une drôle d’aventure jusqu’à présent, je vois ça comme étant la suite logique.
Son appartement est peu décoré, il me dit qu’il vient de déménager. C’est correct, dans ce cas. Il a un énorme chien aux yeux bruns clairs qui vient immédiatement se coller à moi. Oui, j’avais besoin de ça, mon chien-chien. Les animaux ont de l’instinct, hein.
On boit de la bière et la conversation coule semi. Il a l’air stressé. Moi, je suis trop fatiguée pour être stressée. Je suis complètement détendue, avec le chien collé sur moi.
« C’est rare qu’il se colle autant », me lance Julien, en parlant de chien-chien.
« C’est parce que je suis tellement adorable, il doit le sentir. », lui réponds-je, en train de soft launch un peu de flirt. Il rit. Il acquiesce.
Il a dit la phrase que j’aime le plus entendre: « on va-tu fumer une clope? »
OOOOOOOUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIII. Depuis le temps que j’attendais. Aussi, quelque chose que j’aime chez lui, c’est qu’il est sportif, mais il fume occasionnellement. Ça, c’est mon langage amoureux. Et il le parle très bien.
On prend place sur son balcon, je sens qu’il commence à se réchauffer tranquillement. On parle de nos passés, nos secondaires privés, pour se rendre compte qu’on a les mêmes référents. On ne connaît pas les mêmes personnes, mais c’est tout comme.
Il me dit qu’il a plusieurs amies de filles. Dans mon livre à moi, c’est un gros green flag. Ça veut dire qu’il est ouvert, qu’il a une sensibilité et qu’il est à l’écoute. On ne laisse pas des gros Alphas rentrer dans notre garde rapprochée, nous, les filles.
Je suis charmée. Là, la crème vient de fouetter. On jacasse de la vie, je découvre chez lui une hypersensibilité. Il se questionne, mais il se gère, qu’il me dit. Il fait des choses qui lui font du bien. Il aime l’art, le cinéma, la télé de notre époque. J’aime apprendre des choses sur lui.
Et il pose des questions. Wow. Comment est-ce possible? Avoir de si beaux yeux, une aussi belle moustache et poser des questions? Is this real life?
La tension commence à monter.
Qu’est-ce qui pourrait bien arriver, là?
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COP16 : Pourquoi les entreprises doivent se mobiliser pour la biodiversité ? · Freskr
See on Scoop.it - Variétés entomologiques
Du 21 octobre au 1er novembre 2024, la 16e Conférence des Parties (COP16) à la Convention des Nations unies sur la diversité biologique (CDB) se tient à Cali, en Colombie. Cette rencontre mondiale est l'occasion pour les gouvernements, les ONG, et surtout les entreprises, de prendre conscience de leur rôle central dans la protection de la biodiversité.
par Thomas Didier · Publié le 21 octobre 2024
"Deux ans après l'accord historique de Kunming-Montréal (COP15), qui vise la protection de 30 % des terres et des océans d'ici 2030, la COP16 est un moment clé pour faire avancer la lutte contre l’effondrement de la biodiversité."
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via Fil d’actualité | LinkedIn : Mickaël David, 2 sem. https://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:activity:7247862771306885120/
Quelle est la valeur économique de la biodiversité ? 125 milliards ? 12 500 milliards ? 125 000 milliards ? ⬇️ 💰 Selon le Forum économique mondial, les services écosystémiques rendus par la nature à l'économie sont estimés à 125 000 milliards de dollars par an. 🌱 125 000 milliards de dollar, c'est plus de 1,5 fois le PIB mondial ! Ces services comprennent : 🚰 L'eau potable 🐝 La pollinisation 🌊 La prévention naturelle des inondations Mais alors, pourquoi la biodiversité est-elle souvent négligée dans les stratégies RSE ?
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Qu'est-ce qu'un spa dentaire ?
Un spa dentaire est un concept novateur qui allie les soins dentaires de haute qualité à une expérience relaxante et apaisante, transformant ainsi la visite chez le dentiste en un moment agréable et régénérateur. Le Spa dentaire Laurier incarne parfaitement cette approche unique, offrant à ses patients bien plus qu'une simple consultation dentaire.
L'environnement
L'un des aspects fondamentaux d'un spa dentaire est l'ambiance créée au sein de la clinique. Contrairement aux cabinets dentaires traditionnels, souvent associés à l'anxiété et au stress, un spa dentaire comme celui situé sur la rue Laurier à Montréal met l'accent sur un environnement de détente et de relaxation
1. Dès l'entrée, les patients sont accueillis dans une atmosphère apaisante, conçue pour réduire l'appréhension et favoriser un état d'esprit positif.
Les services complémentaires
Ce qui distingue véritablement un spa dentaire, c'est l'offre de services complémentaires visant à améliorer l'expérience globale du patient. Au Spa dentaire Laurier, cette approche se manifeste de manière concrète :
Massothérapie pendant les soins : Lors des traitements dentaires de longue durée, notamment les soins esthétiques, les patients bénéficient des services d'un massothérapeute qualifié. Ce professionnel propose des soins de réflexologie des pieds et/ou un massage californien des mains et de la tête. Cette attention particulière permet aux patients de se détendre profondément pendant leurs soins dentaires, transformant une expérience potentiellement stressante en un moment de bien-être.
Personnalisation de l'expérience : Chaque patient est considéré comme unique, et l'équipe du spa dentaire s'efforce de personnaliser l'expérience en fonction des besoins et des préférences individuels. Que ce soit par le choix de la musique, la température de la pièce, ou d'autres détails, tout est mis en œuvre pour assurer le confort optimal du patient.
L'approche holistique
Un spa dentaire adopte une vision holistique de la santé bucco-dentaire, reconnaissant le lien étroit entre la santé orale et le bien-être général. Cette approche se traduit par :
Une attention particulière à l'éducation du patient sur l'importance de l'hygiène bucco-dentaire et son impact sur la santé globale.
L'utilisation de techniques et de produits naturels, lorsque possible, pour compléter les traitements dentaires traditionnels.
Une prise en charge globale qui considère non seulement les aspects physiques mais aussi émotionnels et psychologiques liés à la santé dentaire.
Technologie de pointe
Bien que l'accent soit mis sur le bien-être et la relaxation, un spa dentaire comme celui du Laurier n'en néglige pas pour autant l'aspect technique des soins dentaires. Au contraire, ces établissements investissent souvent dans les technologies les plus avancées pour offrir des traitements de pointe. Cela peut inclure :
Des équipements de diagnostic modernes pour des examens précis et moins invasifs.
Des techniques de dentisterie numérique pour des résultats plus rapides et plus précis.
Des outils de visualisation permettant aux patients de mieux comprendre leurs traitements et de participer activement à leur plan de soins.
Formation spécialisée du personnel
Dans un spa dentaire, tout le personnel, du dentiste aux assistants en passant par les réceptionnistes, est formé pour offrir une expérience client exceptionnelle. Cela implique :
Une formation en techniques de communication pour apaiser les patients anxieux.
Une sensibilisation à l'importance de l'empathie et de l'écoute active.
Des compétences en gestion du stress pour créer une atmosphère calme et rassurante.
Gamme étendue de services
Un spa dentaire offre généralement une gamme complète de services dentaires, allant des soins préventifs aux traitements esthétiques avancés. Au Spa dentaire Laurier, les patients peuvent bénéficier de :
Nettoyages et examens réguliers.
Traitements de blanchiment des dents.
Pose de facettes dentaires et de couronnes dentaires.
Implants dentaires.
Orthodontie invisible.
Traitements parodontaux.
Chacun de ces services est dispensé dans l'esprit du concept de spa, combinant expertise médicale et expérience relaxante.
L'importance du suivi
Un aspect crucial du concept de spa dentaire est l'accent mis sur le suivi et la relation à long terme avec les patients. Cela se traduit par :
Des rappels personnalisés pour les rendez-vous de contrôle.
Un suivi post-traitement attentif pour s'assurer du confort et de la satisfaction du patient.
Des conseils continus sur l'hygiène bucco-dentaire et les habitudes de vie saines.
Voilà !
Vous aurez compris qu'en offrant cette expérience unique, le Spa dentaire Laurier se positionne à l'avant-garde d'une nouvelle ère dans les soins dentaires, où le bien-être du patient est au cœur de chaque interaction et de chaque traitement.
Intéressant, n'est ce pas ?
Site Web : Spa dentaire Laurier
Sergio
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