#Emma pour toujours
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2023 – 59
#lours postal#carte postale#monochrome#série des pieds et des mains#série à la coupe#Emma#modèle Emma#Emmarcescible#Emma pour toujours#art postal#mail art#art collaboratif
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philatélie 108
#lours file à télie#carte postale#cachet postal manuel#philatélie#bureau temporaire#couleur#art postal#affranchissement philatélique#mailart#cachet postal de dinant#Emma bien sûr et pour toujours
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saga: Soumission & Domination 331
Noël 2014 : " belle famille ", Emma
Pour cette fête de fin d'année, Emma nous invite tous pour le déjeuner. Ce qui fait que je ne peux refuser de passer le réveillon dans la famille de Ludovic !
Ça été le deal pour pouvoir emmener Ludovic le lendemain. La soirée prévue c'est : diner de fête, messe de minuit à 22h et cadeaux au retour autour d'un dessert au champagne ! Cela va me rappeler ma jeunesse, enfin quand j'étais petit. Car j'ai dû cesser d'aller à la messe de minuit vers mes 14ans. On n'était pas très porté sur la religion à la maison. Je propose d'apporter le champagne. J'aime bien le Roederer !
Le diner est parfait. L'ambiance est détendue surtout après quelques verres de vin. Pour eux c'est aussi une première puisque jusqu'à présent il n'y avait pas encore eu d'invité à cette fête familiale. La dinde étant pour le 25, nous dînons de bouchées à la reine, d'un succulent brochet au beurre blanc avant de s'arrêter sur les fromages. Messe de minuit que je passe à serrer contre moi mon Ludovic, profitant de la forte affluence qui remplit l'église (nous étions debout tellement il y avait de monde !). Je n'ai pas écouté grand-chose de la messe. Je crois que quand je bande, ça me bouche les oreilles !! Plusieurs fois Côme m'a fait les gros yeux alors que mes mains s'égaraient sur la braguette de Ludovic.
Retour à la propriété vers les 23h30, un peu longue la messe !
Alors que madame va chercher le dessert et que j'aide monsieur à ouvrir le champagne, les fils apportent les cadeaux. Je vais vite à la voiture chercher les miens. Ils sont effarés quand je reviens avec un paquet pour chacun. Madame s'exclame qu'il ne fallait pas, monsieur dit que ce n'était pas nécessaire et je fais taire tout le monde en leur disant que ça me fait plaisir. Nous attendons d'avoir fini nos parts de gâteau pour distribuer et ouvrir nos paquets.
Madame commence par le mien pour m'honorer. Je ne me suis pas embêté, j'ai lui ai pris un carré de soie de chez Hermès. Dans ce milieu-là, j'étais sûr de ne pas me tromper. Et je crois qu'effectivement elle a été touchée car pour la première fois elle m'a spontanément embrassé sur la joue. A Côme et Enguerrand, j'ai pris un bracelet Kyoto en cuir et or de chez Hermès aussi. Ils sont beaux et discrets quand même. Enguerrand me saute au cou et me dit qu'il ne quittera plus son poignet. Il reste juste un peu trop longtemps accroché à moi pour que son père le regarde bizarrement. Pour le père, j'ai osé un carré de soie pour homme, toujours de chez Hermès. J'avais noté qu'il portait une vieille écharpe un peu pourrie lorsque je l'avais accompagné à la chasse. Dans un premier temps il est surpris et dubitatif devant le paquet. Puis quand Ludovic le déplie et lui passe autour du cou, il est conquis. Le motif " imprimeur Fou Quadricube " en rouge est très masculin. Pour mon amour à moi, c'est un jonc en or de la place Vendôme. Ses parents allaient pour faire une remarque quand ils ont lu le nom sur l'écrin. Sur la face interne j'ai fait enchâsser des pierres précieuses et semi précieuses aux couleurs de l'arc en ciel. Il est le seul à le remarquer. Pour la première fois j'ai droit à une pelle devant tout le monde. Sifflets d'Enguerrand qui se fait engueuler par son père qui lui dit de ne pas en rajouter.
Les frères se sont groupés pour m'offrir une veste de chasse en cuir, plus solide que celle que j'avais trouvée. En me serrant contre lui, Ludovic me dit que j'aurais demain mon vrai cadeau. Celui-là c'était l'officiel parce qu'il y avait ses parents. De leur part j'ai droit à une écharpe Burberrys. Remerciement croisés et au lit, évidemment en chambre séparée !! Du moins pour commencer. 10minutes après que je me sois coulé entre les draps, mon Ludovic est venu me rejoindre. Très excitant que de faire l'amour alors que c'est " interdit " ! Il se réveille tôt pour regagner sa chambre. Au petit déjeuner, il se met à côté de moi et me dit qu'il s'est fait choper par sa mère en sortant de ma chambre et comme il était en caleçon... Je lui demande s'il s'est fait engueuler. Il me dit que non, cela l'avait même surpris mais elle lui avait fait un clin d'oeil et était partie de son côté. Ouf !!
J'accélère un peu, je voudrais passer au blockhaus avant d'aller chez Emma. On se remercie tous encore une fois et ils nous lâchent enfin. On retrouve tous les autres. PH et Ernesto se fichent de nous, faisant une imitation de madame mère recevant son cadeau de ma part et de monsieur découvrant son propre carré Hermès. Ludovic s'écroule de rire. Je demande à PH s'ils se sont bien envoyés en l'air hier soir. Pour m'énerver, il me décrit par le détail le diner que Samir et Ammed avaient préparé avant de passer à leur nuit. Même si j'ai passé une nuit très excitante, je suis un peu jaloux de ce qui s'est passé entre eux. Je crois bien que c'est la première fois qu'ils ont fait l'amour sans moi. Ça me fait un peu mal jusqu'à ce que je me dise qu'ils n'ont pas été des moines pendant mon indisponibilité après l'accident !
On se change. Chez Emma le déjeuner de Noël se passe en smoking. On s'entasse tous dans la 300C, Hervé nous ayant quitté pour aller déjeuner chez ses parents. Pablo nous ouvre, lui aussi est en smoking. Le jour de noël, il est le seul des employés d'Emma à rester et déjeune avec nous tous. A force de persuasion, elle a enfin décidé ses deux vieux employés à rentrer dans leur propre famille. Du coup, nous les jeunes ont fait le service sous la tutelle de Pablo. Cette année il a fait lui-même le foie gras. Pour un coup d'essai c'est un coup de maître. Il est délicieux, bien mi-cuit et onctueux, on se régale tous. Il a laissé tomber la dinde pour un chapon aux champignons et fruits secs comme on fait en catalogne. La cuisson est là aussi parfaite et la viande est fondante sur la langue. Ludovic nous dit être très heureux d'avoir évité la sempiternelle dinde trop sèche de chez lui. Emma le gronde que ce n'est pas gentil de nous dire cela. Il se défend que sa mère n'est pas une mauvaise cuisinière mais avec la dinde ça ne fonctionne pas. Le dessert est du même niveau et c'est au café que se fait l'échange de cadeaux.
Emma a décidé que nous aurions tous le même présent (Pablo compris) avec la date gravée dessus. Avec la complicité de Marc, elle nous a fait réaliser pour chacun la même chevalière en or dont le plateau est un grenat Demantoïde d'un vert très profond gravé en intaille d'une vision moderne d'Hercule terrassant le lion de Némée d'après une gravure originale de Nicolas Salagnac. Elles sont superbes on les passes toutes à nos doigts. J'adore l'idée " clan " qu'elles sous entendent. Le motif gravé montre donc un Hercule très musclé et bien monté (même s'il ne bande pas) étranglant un lion majestueux. Elle confie un écrin à Ernesto pour Hervé. Il la remercie chaleureusement qu'elle ait pensé à lui.
C'est l'année des bijoux puisque j'ai étendu mon idée du bracelet que j'ai offert à Ludovic aux autres participants du déjeuner. Ils sont tous rigoureusement identiques. La simplicité de leurs surfaces externes lisses ne trouble pollue pas l'effet de l'intaille. Ernesto remarque la succession des couleurs de la face interne et tout le monde trouve ça amusant. Marc me remercie que cela soit discret et personnel.
Marc et Hervé, eux, ont rapporté d'orient des olisbos en jade. A la vue de leurs tailles, Emma nous dit qu'ils doivent durement être décoratifs. Même si nous n'avons pas beaucoup de secret pour elle, personne ne lui dit que cela nous arrive d'utiliser des godes de ces tailles. PH s'est mis avec Ernesto et Ludovic pour m'offrir une perle en or ciselée pour mon oreille. Je les engueule de dépenser l'argent pour ça mais je tombe quand même dans leurs bras pour les remercier.
Nous offrons à notre hôtesse un tatouage de son choix chez mon tatoueur. Elle a eu beau me trouver fou d'avoir fait graver dans ma peau cet énorme dragon qui me mange le téton, à chaque fois que nous faisons l'amour, je la surprends à caresser la bête !
Evidemment ce sont des cris de surprise et de refus qui arrivent en premier. Je la pousse une peu dans ses retranchement pour qu'elle admette que cela la tente mais qu'elle ne comptait pas le faire. Tout le monde y va de son commentaire. PH lui dit que c'est effectivement une idée trop étrange pour elle. Il ajoute qu'en tant que femme qui porte de beaux et profonds décolletés, il trouve difficile de trouver une place adéquate. Marc lui dit de ne pas tenir compte de moi, j'étais fou et voulait que tous autour de moi le soient. J'argumente que cela lui apporterais une certaine originalité parmi ses " amies " bien pensantes. De plus elle n'est pas obligée d'en faire faire un aussi gros que le mien ! Elle finit par avouer que le mien lui plaisait beaucoup.
Là, c'est moi qui la mets en garde. La façon dont il passe de mon dos à mon pec par-dessus l'épaule droite l'empêcherait de porter ses robes légères l'été sauf en privé. C'est elle qui me dit qu'en faisant passer le dragon sous son bras plutôt qu'au-dessus, un simple maillot 1 pièce ferait l'affaire. Je crois bien qu'elle va le faire. Moi, j'avais plutôt pensé qu'elle ferait comme Marc une version réduite de ma bête et plutôt sur une fesse de façon à ce que ce soit vraiment " privé ". Je lui en fais part. Elle éclate de rire et me dit qu'alors il ne servirait à rien à cet endroit-là. Ernesto et PH se joignent à moi pour la raisonner. C'est peine perdue !
Ça m'apprendra à offrir des trucs aussi bizarres. Mais que peut-on offrir à une femme qui a déjà tout !
Comme j'ai prévu de ne pas la laisser seule ce soir de noël et que PH, Ernesto et Ludovic vont rester avec moi, j'ai demandé à mes deux vietnamiens, qui ne fêtent pas ce jour chrétien, de se mettre à disposition de Marc et Hervé. Ils refusent que je leur paye cette prestation. Ils me disent que c'est pour la colocation qu'ils ont intégré à leur tour.
Nous passons la soirée à faire l'amour à Emma. Ernesto, PH, Ludovic et moi, réussissons à la maintenir en état de jouissance où très proche plus d'une heure et demi durant. Nous la laissons dévastée. Elle a juste la force de soulever ses paupières pour nous voir jouir tous les quatre de nos corps de mâles. On sait exactement ce qui fait réagir l'autre et nous en profitons. Ludovic en est encore au stade de la découverte et c'est nous qui en profitons pour l'emmener au 7ème ciel en premier. Je profite de la belle queue d'Ernesto. Elle me laboure l'anus en profondeur et c'est trop bon, surtout avec PH en 69 qui me suce la bite. Nous nous " nourrissons " de concert alors qu'Ernesto se vide en moi. Pendant que c'est notre tour de récupérer, elle part enfiler un maillot de bain une pièce assez échancré pour me prouver ses dires concernant mon cadeau. Elle ajoute qu'elle ne portera de 2 pièces qu'avec ses amies auprès desquelles elle le voudra. Ernesto la fait tourner et effectivement, si le corps du dragon contourne par sa taille, elle pourra le dissimuler.
Nous passons la nuit avec et sur elle. Elle doit nous réveiller deux fois car nous l'étouffons en nous couchant sur elle. 4 corps entre 80 et 90 Kg c'est sûr que c'est un peu lourd quand ils ne bougent pas pour lui donner du plaisir !
Quand nous débarquons au blockhaus, nous croisons Lâm et Khang qui en partent. Ils nous disent comprendre pourquoi nous sommes avec Marc et Hervé. Ils n'ont quasiment pas dormis de la nuit avec nos deux hommes.
Nous les trouvons encore en boxer, avec des petits yeux. PH leur demande comment ils font quand ils sont là-bas. S'ils ont ces têtes avec leurs clients, ils doivent recevoir des réflexions.
Nous passons la fin de matinée dans l'eau au second. La chaleur y est plus forte et nous en avons bien besoin pour détendre nos muscles un peu trop sollicités dernièrement.
Samir et Ammed nous appellent pour le déjeuner si on ne veut pas manger brulé. Ce serait dommage vu les plats qu'ils nous ont concoctés. Le reste du 26 est calme. Nos cadeaux nous plaisent et chacun les porte. Il faut dire que je m'étais offert le même bracelet que ceux que j'avais offerts. Les parents de PH sont partis en voyage au soleil et nous ne les verrons qu'après le nouvel an.
J'ai reçu les dernières réponses pour la touze du 31 décembre depuis déjà plus d'un mois. Heureusement que le blockhaus est grand car il va être plein. C'est le fait que l'année dernière j'avais dû l'annuler à cause de mon accident. De plus contrairement aux autres années, tous mes escorts ont refusé de prendre un engagement pour cette soirée afin d'y participer aussi. Même les derniers, poussés par les autres ont décliné des propositions de prestations pourtant payées en honoraire de jour férié !
Ils sont déjà 25 ! Plus tous les amis qui se sont débrouillés pour être libre (je pense à mes deux motards de la gendarmerie), nous serons au bas mot 80 !! Pour la bouffe ce n'est pas un problème, entre Samir et Ammed et Julien notre charcutier traiteur et néanmoins amant de Second, la chambre froide sera pleine de ce qu'il faudra. Pour la baise, là non plus pas de soucis, on n'est pas du genre à ne le faire que dans un lit. Ça va plutôt être pour dormir que ça va être chaud. Heureusement que la surface de tatami a été augmentée dernièrement. Et puis comme il règne une chaleur qui nous permet de vivre quasiment à poil, la terrasse pourra aussi accueillir des dormeurs. Par contre le donjon, s'il va surement servir ce soir là aussi, n'es pas équipé pour le sommeil !
Marc et Hervé me traient de fou. Je pense que c'est effectivement la plus grosse partouze que j'aurai jamais encore organisée. Au moins le double des fois dernières. San compter que bon nombre d'invité vont faire le pont et rester jusqu'à dimanche soir. Soit 4 jours complets de débauches en tout genre, enfin homo !
Du site du " roi de la capote ", je reçois plusieurs centaines de préservatifs indispensables. De toute sortes avec et sans latex pour les allergiques, phosphorescents, avec des goûts fruités. Bien sûr il y a une bonne quantité de XL et XXL j'en ai trouvé de 220m x 60/69, ce qu'il faut pour l'équipe du club hippique, Éric et même João et Sosthène ! Le tout est accompagné de quelques litres de gel lubrifiant et quelques pots de crème à fist pour les plus aguerris. En effet, je ne dois pas compter une par éjaculation car je pense que les bites seront passées par plusieurs culs avant que leurs couilles se vident !
Pour éviter tous mélanges qui se révèleraient néfaste pour certains estomacs, il n'y aura que du champagne, en apéritif, aux buffets et même après. Le caviste m'en livre 400 bouteilles ce qui restera ne sera pas perdu. Comme il veut me faire un cadeau, je refuse ses bouchons temporaires, les bouteilles n'auront aucune chance de rester à moitié vide, par contre j'accepte qu'il m'offre une 10aine de sceaux à glace. C'est plus pour les maintenir autour des 8-10° optimums que pour les frapper. On ne " gèle " que les champagnes de petite qualité. Je passe par la mère de Julien pour savoir combien je vais lui coûter. Le connaissant, il va me donner un chiffre fantaisiste bien en deçà de la réalité et je ne tiens pas à ce qu'il soit de sa poche pour ce qu'il me fournit.
Il y a plusieurs semaines déjà, avec mes acolytes, nous avons réfléchis au petit souvenir que nous pourrions offrir à tous les participants. Même si ça va être une débauche de sexe phénoménale, pas question de tomber dans le graveleux. Pas de savon bite ou de mug cul, il nous faut viser plus haut. Ludovic propose un truc qui fait que l'on saurait tout de suite qui faisait partie de cette fête, donc quelque chose de visible comme les bagues universitaires américaines. L'idée est là mais une bague de plus... On se fixe sur un simple anneau en or gravé de " Blockhaus 15 " pour 2015. Pour mes Escorts j'ai l'information dont nous avons besoin pour leurs réalisations. Tous les autres ont été priés de me donner la taille de leur auriculaire. Pour la matière nous optons pour de l'or rose, on est Pd ou pas ?!
Evidemment, ils vont se douter qu'ils vont recevoir un anneau mais pas celui-là !
Jardinier
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Dear Liam,
Étant moi même maman ,je peux comprendre combien pour ta famille cela doit être difficile , du haut de mes 47 ans , je peux te dire que toi Liam et les garçons vous m'avez aidé à traverser des moments très difficiles comme la dépression, la musique est l'un des meilleurs remèdes et j'ai trouvé en vous cette joie de vivre pleinement, cet amusement et cette complicité que vous aviez tous . Je suis malgré mon âge, par rapport à d'autres fans , tres affectée par ton départ prématuré. J'espère que tu regardes le monde de là où tu es que tu vois combien tu es toujours aimé. Emma
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hier on s’est fait deux amis de manière totalement impromptue au bar avec ania et on les revoit la semaine prochaine même heure même endroit ça me fait trop rire j’ai l’impression de les connaître depuis toujours et sinon aujourd’hui je suis allée boire un verre avec emma pour qu’elle me parle de sa meuf trop nulle qui je l’espère sera bientôt son ex et je n’ai bu que du chocolat chaud et du coca je suis trop forte j’ai même pas été tentée de boire des bières comme elle (si)
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Eté 1926 - Champs-les-Sims
3/10
Et au fur et à mesure que la conversation avançait, il m'a parlé de beaucoup de choses, et j'en ai dévoilé moi-même de plus en plus. Je pense que tu ne le rencontreras jamais, mais il a cette manière de mettre les gens à l'aise avec lui que j'adorerais imiter.
Il m'a alors parlé du fiancé de sa fille, ma cousine Anne. C'est une chouette fille. Nous ne sommes pas très proches car c'est quelqu'un de très solitaire, mais je l'ai toujours bien aimée et c'est réciproque. Et là, Oncle Adelphe a lâché le nom du fiancé. Jean. Mon Jean.
J'ai été si anéantie quand je l'ai compris que je me suis effondrée dans ses bras en pleurant et je lui ai tout raconté. Il m'a consolée comme il a pu, mais au milieu de mon chagrin, j'ai bien vu que lui-même était complètement déboussolé. Ma pauvre cousine est une victime autant que moi il faut dire. Ce salaud a couru après nous deux sans que nous nous en rendions compte ! Et comble de l'injure, Oncle Adelphe m'a dit qu'une voix atone qu'il était impossible de rompre les fiançailles, car Anne lui a avoué avoir "été avec lui". En définitive, c'est la même histoire qu'avec sa grande soeur Emma, mariée au plus vite pour cacher le scandale. Et si jamais elle était enceinte aussi ?
Il a voulu me revoir qui si de rien n'était. Mais j'étais dans un tel état que j'ai a nouveau fondu en larmes, presque au bord de l'évanouissement. Je suis allée chercher Oncle Adelphe. Il m'a dit de ne pas m'inquiéter, qu'il allait prendre les choses en main. Je n'ai jamais revu Jean. Il a épousé Anne trois semaines plus tard.
Je ne sais pas pourquoi Oncle Adelphe n'a pas dit la vérité à Anne, mais je pense le savoir. Ma cousine a été gravement touchée par le décès de sa mère, puis quand son père ne s'est pas occupée d'elle (longue histoire, que je te raconterai sans doute un jour). Je ne sais pas si il a eu raison, mais j'imagine qu'il n'a pas voulu lui briser le coeur à nouveau. Je ne pense pas que j'aurai agis différemment à sa place.
Transcription :
Adelphe « Bon, parles-moi un peu de lui. »
Arsinoé « Il est très gentil. Il est beau aussi. Cléo a même dis qu’il avait sans doute les plus beaux yeux qu’elle avait jamais vu, même plus jolis que les vôtres. Il est romantique aussi, très patient. Par contre, j’ai l’impression que notre famille lui fait un peu peur. »
Adelphe « Un sentiment qui n’est pas partagé par Mademoiselle Laroche il me semble. »
Arsinoé « Oui, le contraste est assez drôle. »
Adelphe « Ne t’inquiète pas. Ce n’est pas irréconciliable. Tout le monde ici semble se marier sans trop de considération pour le rang social, même si cela engendre parfois des conflits. »
Arsinoé « Cléo dit aussi que par ici, on aime bien aller piocher une pomme sur une branche voisine de l’arbre. »
Adelphe « C’est si bien dit, je reconnais là ta sœur ! Et elle n’a pas vraiment tort, je ne vais pas le contester. J’en déduis qu’il n’est pas d’ici. »
Arsinoé « Non. De Seraincourt. »
Adelphe « C’est fou le nombre de gens de Seraincourt qui s’installent ici ! Le fiancé de ma fille vient de là-bas lui aussi. »
Arsinoé « Anne s’est fiancée ? »
Adelphe « Oui, même si ce n’est pas encore officiel. Je lui ait donné ma bénédiction hier soir. Me voici bien parti pour devenir à nouveau grand-père très vite. »
Arsinoé « Félicitations mon oncle ! Je le rencontrerai au repas de fiançailles. »
Adelphe « Je me demande si tu ne le connais pas déjà. Il a travaillé chez nous il y a quelques années. Un saisonnier. »
Arsinoé « Oh, ce serait drôle en effet. J’en aurai des choses à raconter à Cousin Lucien ! »
Adelphe « Et bien voilà ! Parle-lui aussi de ton amoureux, je sais que ces choses là intéressent les jeunes hommes. »
Arsinoé « Je pense qu’il sait déjà tout. »
Adelphe « Alors parle-lui de ton métier Noé. C’est quelque chose de très important pour toi, et à ce titre, je ne vois pas comment ta lettre pourrait être barbante. Et au vu de ce que tu me dis de Cousin Lucien, il ne me paraît pas un goujat au point de t’écrire que ça ne l’intéresse pas. Tu sais, aussi nouveau et merveilleux que soit l’amour, il y aura tout de même une certaine routine au bout d’un moment, et tu n’auras pas grand-chose à raconter. Vous avez l’air de bien vous entendre, alors fais lui un peu confiance. »
Arsinoé « Bon, très bien. »
Adelphe « Allez Noé, je dois te laisser. Jean veut venir à la maison ce soir, et je suis le seul qui puisse jouer les chaperons. »
Arsinoé « Jean ? »
Adelphe « Jean Davires oui. Le fiancé d’Anne. »
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Écoute le chant de la rivière : son murmure apaise les bruissements du grand saule pleureur. Elle dit que je suis vierge de tous les mondes. Mon cœur ne perle que pour toi. En suspension dans la moiteur du temps, un physalis groseille tes lèvres en calice...
Viens dormir pour toujours ?
Mon ventre est ta maison !
Marion Lubreac
Ph. Emma Tempest : Heather Kemesky et Erika Linder
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Elle est comme ça. Elle porte son parfum et sa dignité chaque matin. Puis elle sort avec le sourire sur son cœur. Ce sourire qui est donné par la conscience d’être une femme parmi tant d’autres, mais pas comme tant d’autres. Elle est comme ça. Cohérente avec ce qu’elle pense, une petite goutte de sensibilité dans une mer d’indifférence. Pour sa gratitude, sa générosité et son humanité se rend spéciale aux yeux aimants de ceux qui savent cultiver des sentiments positifs. de ceux qui ont le même regard mélancolique pour s’être consumés par amour. Elle s’en fiche si ce n'est pas toujours compris... Elle a appris à être et non à paraître, de se comprendre puis de comprendre, de donner pour pouvoir recevoir, de s’émerveiller pour ensuite surprendre. Elle est comme ça. C’est un vaisseau émotionnel. Et elle sourit. Avec de la tendresse.
Emma Lamberti
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De Emma à Cristina
Chère Cristina,
Je suis désolée, je suis désolée, vraiment désolée ! Je me rends compte que le message que je viens de t’envoyer n’a ni queue ni tête, alors après l’avoir lu, jette-le et lis cette lettre. J’étais un peu hystérique quand je l’ai écrit ; je voulais tout te raconter au sujet de Mina qui avait disparue pendant plusieurs jours, mais je ne pouvais pas. Et quand j’ai pu, je me suis complétement déchargée. Encore une fois, désolée.
C’était horrible de ne pas pouvoir te parler de ce qu’il se passait. J’ai toujours détesté la politique, je ne t’apprends rien… mais même si ta situation (et celle de Mark) est inhabituelle, la Cour des Lumières considère certainement que vous faites partie de la suite de Kieran, et on nous avait formellement interdit de révéler à l’une ou l’autre Cour que Mina avait été enlevée dans sa propre chambre à Blackthorn Hall. Et nous avons obéi à la lettre.
Alors, il s’avère que la personne qui avait organisé l’enlèvement était Mère Hawthorn, la nourrice de la Première Héritière, qui a choisi d’épouser un Chasseur d’Ombres. Depuis, elle a eu des relations compliquées avec les Chasseurs d’Ombres, surtout avec les Herondale (qui n’a pas de relations compliquées avec les Herondale, on se le demande). Et là elle exigeait de parler à Kit comme condition pour que nous puissions récupérer Mina.
Personne ne voulait que Kit y aille, même si nous avions tous terriblement peur pour Mina. Mais il était résolu. On ne pouvait pas l’arrêter. Nous avons donc trouvé un arrangement grâce à quelques elfes intermédiaires pour que Kit rencontre Mère Hawthorn. Elle avait demandé à ce que le rendez-vous ait lieu près de l’eau d’un fleuve, alors nous sommes allés à la Promenade de Chiswick. Il y a un minuscule parc là-bas, et un petit kiosque à musique. Tous ensemble (Julian et moi, Tessa, Jem et Kit), nous y sommes allés sans dire un mot et avec des mines sombres. Tessa n’arrêtait pas de caresser Kit dans le dos, et c’était évident qu’elle essayait de ne pas pleurer. Jem avait l’air de vouloir tuer quelqu’un. Kit avait simplement l’air déterminé. Et Jules… je parlerai de Jules après.
Nous sommes restés un peu en arrière pendant que Kit traversait la pelouse pour rejoindre le kiosque. A son approche, Mère Hawthorn est apparue de derrière les arbres, avec Mina dans les bras, et s’est avancée vers lui.
Jules et moi nous sommes crispés, au cas où Jem ou Tessa se serait rué vers le bébé. Nous n’aurions pas pu leur en vouloir, mais nous savions que ce n’était pas possible. Kit devait pouvoir récupérer Mina sans violence. Tout ce que je peux dire, c’est qu’on voit qu’ils ont enduré d’innombrables épreuves tous les deux au cours de leur longue vie. Ils se serraient les mains, immobiles, mais c’était clair qu’ils avaient désespérément envie de courir vers leurs enfants. Ils faisaient preuve d’un incroyable sang-froid, et ça me brisait le cœur.
Kit et Mère Hawthorn se sont rejoints devant le kiosque. Evidemment nous n’entendions pas leur conversation, mais nous avons tout de suite vu Mina tendre les bras vers Kit. Il a tenté de la prendre, mais Mère Hawthorn s’est interposée. Elle n’avait pas du tout l’intention de la rendre et ils ont commencé à se disputer. Je voyais à quel point Kit était énervé même s’il essayait de garder son calme. Il n’arrêtait pas de faire non de la tête, presque à chaque fois que Mère Hawthorn prenait la parole.
Bref, ça a duré quelques minutes, puis Mère Hawthorn s’est mise à rire. Elle a tourné la tête (elle nous voyait, évidemment, et s’en moquait) et a claqué des doigts. Kit est tombé à la renverse ; il a fait une pirouette et s’est relevé. Mais des tiges noires émergeaient du sol, s’attaquaient à lui et s’enroulaient autour de ses jambes. Mina criait si fort que nous l’entendions.
- C’en est assez, a rugi Jem.
Il s’apprêtait à traverser la rue, mais Julian a posé une main sur son épaule.
- Attends, lui a-t-il dit.
Nous l’avons tous regardé, interloqués. Tu sais que j’ai une confiance absolue en Julian, mais pendant une seconde, même moi je me suis demandée s’il était devenu fou.
Et ensuite. Et ensuite il y a eu un énooorme bruit. J’ai d’abord cru que c’était un hélicoptère, ou peut-être plusieurs hélicoptères, mais ensuite j’ai compris que non, le bruit était plus étrange que ça… c’était des sabots qui frappaient le ciel. Ils sont passés au-dessus de nous… c’était Gwyn et Diana ! Enfin, c’était toute la Chasse Sauvage, ils étaient plus d’une vingtaine, certains sur des chevaux, d’autres sur des créatures ailées que je n’avais encore jamais vues. Mais à l’avant galopait Gwyn, et Diana était sur un autre cheval derrière lui, ses cheveux flottant au vent.
Diana est descendue en piqué et s’est emparée de Mina dans les bras de Mère Hawthorn. Gwyn la suivait et a saisi Mère Hawthorn d’un bras (ce gars est assez costaud, on dirait) et l’a jetée sur le dos de son cheval. Ça paraissait plutôt dangereux pour Mère Hawthorn, mais bon, on n’a pas beaucoup de sympathie pour les kidnappeuses.
Diana est descendue en piqué (c’est le truc de la Chasse Sauvage, les descentes en piqué, tu te souviens) sur nous, et a délicatement rendue Mina à Jem et Tessa. Puis Diana nous a fait un clin d’œil et est repartie dans le ciel. Elle, Gwyn et le reste de la Chasse Sauvage ont galopé plus vite que je ne le croyais possible. Je pense qu’ils devaient éloigner Mère Hawthorn de nous, ce qui était logique. En un rien de temps, ils avaient disparu dans les nuages.
Je dois dire que le clin d’œil de Diana était vraiment cool. Je me rends compte que ça me manque un peu de faire des trucs cools. Je crois que j’irai dans le jardin avec Cortana ce soir pour sévèrement décapiter des mauvaises herbes.
Enfin bref. Kit nous rejoignait en courant, Tessa pleurait de soulagement et Jem ne quittait pas des yeux l’endroit où la Chasse Sauvage avait disparue. Mina, évidemment, se portait à merveille. Elle répétait « Cheval ! Cheval ! », c’était hilarant, puis Kit est arrivé et l’a cajolée. Julian et moi nous sommes éloignés pour les laisser se retrouver tous les quatre.
Julian avait une de ces expressions sur le visage et j’ai eu une intuition :
- C’était toi, non ? Tu as contacté la Chasse Sauvage ?
Il a haussé les épaules :
- Mère Hawthorn avait dit de ne contacter ni la Cour des Lumières ni celle des Ténèbres, mais la Chasse Sauvage n’appartient à aucune. Ils n’ont prêté allégeance à personne.
- Mère Hawthorn non plus, ai-je répondu. Donc tu as dit quelque chose comme « Fées sauvages, venez récupérer votre amie sauvage, elle devient trop sauvage » ?
- C’était l’idée.
Il a dit ça d’un ton désinvolte, mais je voyais qu’il était fier de lui. Et oui, d’accord, j’étais fier de lui aussi, ce que je lui ai dit.
Sur le chemin du retour, nous avons demandé à Kit ce que Mère Hawthorn lui voulait. Il a expliqué qu’elle voulait lui dire qu’il était le descendant de la première tu-sais-qui (je sais que Kieran t’a parlé de l’héritage elfique de Kit, mais pas de tout, et peu de gens savent) et qu’elle était venue le chercher pour qu’il aille vivre au Royaume des Fées là où était sa place. Il a essayé de lui faire comprendre qu’il n’avait aucune envie de vivre au Royaume des Fées, que sa vie actuelle lui convenait (mais il a dit ça en regardant Jem et Tessa, et je crois qu’il préférait dire « convenir » plutôt que ce qu’il ressent vraiment, qui est bien plus que ça). Elle lui répétait que c’était son destin et son devoir, son avenir le rattrapera bien assez vite s’il ne s’y pliait pas, bla bla bla, des trucs de fées, tu sais comment elles sont. (Oh, ne le prend pas mal si tu lis aussi, Kieran.)
Mais je crois qu’il ne disait pas toute la vérité, parce que Mère Hawthorn s’est donnée beaucoup de mal simplement pour envoyer un tel message. Enfin, elle aurait pu écrire ça sur une carte postale. Ce n’était rien que Kit ne savait pas déjà pour ainsi dire. Je suis certaine qu’elle en a dit davantage que Kit ne souhaite pas révéler, je le voyais à son regard. J’espère qu’il le dira à Jem et Tessa, quand il sera prêt. Au moins, nous pouvons être sûrs que Gwyn fera en sorte que Mère Hawthorn le laisse tranquille… un souci de moins.
Ce sont toutes les nouvelles que j’ai, et je suis tellement soulagée de pouvoir enfin t’en parler. Je suppose que si Kieran veut en savoir plus, il devrait contacter Gwyn. Je crois t’avoir dit tout ce que je sais.
Prends soin de toi, et nous nous reparlerons bientôt. Embrasse K et M pour moi !
Emma
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/696471730738397184/emma-to-cristina
#secrets of blackthorn hall#sobh#julian blackthorn#emma carstairs#cassandra clare#the shadowhuter chronicles#tsc#cristina rosales#kit herondale#mina carstairs#wild hunt#diana and gwyn#diana wrayburn#mother hawthorn#jem carstairs#tessa gray
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Automne 1917, Hylewood, Canada (1/9)
Chers cousins,
Toutes mes condoléances à Adelphe ainsi qu’à Alexandre, Emma et Anne. Je suppose qu’Adelphe a été réformé pour la perte de son œil, mais Alexandre doit toujours être dans les tranchées à l’heure qu’il est… J’espère que cette triste nouvelle n’entamera pas son moral de trop, car celui-ci est malheureusement nécessaire si l’on veut survivre. Avez-vous de ses nouvelles ? J’espère qu’il va bien. Votre dernière lettre m’inquiète d’autant plus que ma femme est enceinte de quatre mois au moment où je vous écris. A notre âge, cela est inquiétant, et nous craignons des complications qui ne sont pas encore apparues. Espérons que cela dure…
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen3ter#Jules Le Bris#Eugénie Bernard
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English "Voilà"
I heard "Voilà" by Emma Kok recently, and fell in love with it. Here is the original:
youtube
The singing is beautiful and the lyrics are incredible! They could be the cry of any artist (or person, in a way), whether singer, writer, or artist. Of course, I wanted to be able to sing this myself, but unfortunately, I don't speak French, so I have created an English singable version of the lyrics. This is below the cut, along with the original French lyrics for anyone interested.
Voilà
Listen to me The singer, not yet full-realized. Speak about me To your loved ones, and to your friends. Speak to them of the girl with dark eyes And her crazy dreams. All I desire is to pen stirring* tales That deeply touch your soul That's all.
That's it, that's it, that's it, that's all that I am Here I am, even though I'm afraid when laid bare Here I am in the midst of noise and the silence.
See who I am Or at least what's left of me. See who I am Before I loathe all of me** What can I say that another's lips Haven't already said? It's not much, but everything I am I lay it out here, here it is***
That's it, that's it, that's it, that's all that I am Here I am, even when exposed I persist It's my voice, my cry, here I am, regardless That's all, that's all, that's all This is it, right here Me, my dreams, my desires How I die, how I laugh Here I am in the noise And in the silence
Please don't leave me I implore you to stay a while It may not save me, no But without you, I don't know how.* Please love me as you'd love a dear friend Departing forever I yearn for your love, because I don't know how To love my own contours** well
That's it, that's it, that's it, that's all that I am Here I am, even if I'm stripped bare, it's done Here I am in the midst of the noise and the furious tempest Look at me, truly, see my eyes and my hands All that I have is here, it's my mouth, it's my cry Here I am, here I am, Here I am Voilà, voilà That's all, that's all Ti-di-di-di di-di di-di-di di-di di-di di-di-di-di-di Ti-di di-di di-di di-di-di-di
That's it, that's it, that's it, that's all that I am Here I am, even if I'm stripped bare, it's done It's my voice, my cry, here I am, regardless Ti-di di-di di-di di-di-di di-di di-di di-di-di-di-di Ti-di di-di di-di di-di-di-di Ti-di di-di di-di di-di-di di-di di-di di-di-di-di-di Ti-di di-di di-di di-di-di-di
Voilà!***
* Alternatively, one could replace "stirring" with "moving" ** Alternative line: "Before I loathe what I see". *** This has one too many syllables for the line, but I like "Here it is" as a translation for "Voila" here better than "That's all" or "That's it." * The entire idea of this line is "But I don't know how to do it without you". ** Alternatively, one could replace "contours" with "edges" *** This line could be sung as "That's all!" instead, if one prefers.
Voilà - Original French Lyrics
Écoutez moi Moi la chanteuse à demi Parlez de moi À vos amours, à vos amis Parlez-leur de cette fille aux yeux noirs Et de son rêve fou Moi c'que j'veux c'est écrire des histoires Qui arrivent jusqu'à vous C'est tout
Voilà, voilà, voilà, voilà qui je suis Me voilà même si mise à nue j'ai peur, oui Me voilà dans le bruit et dans le silence
Regardez moi Ou du moins ce qu'il en reste Regardez moi Avant que je me déteste Quoi vous dire, que les lèvres d'une autre Ne vous diront pas C'est peu de chose mais moi tout ce que j'ai Je le dépose là, voilà
Voilà, voilà, voilà, voilà qui je suis Me voilà même si mise à nue c'est fini C'est ma gueule c'est mon cri, me voilà tant pis Voilà, voilà, voilà Voilà juste ici Moi mon rêve, mon envie Comme j'en crève comme j'en ris Me voilà dans le bruit Et dans le silence
Ne partez pas J'vous en supplie, restez longtemps Ça m'sauvera p't'être pas, non Mais faire sans vous j'sais pas comment Aimez-moi comme on aime un ami Qui s'en va pour toujours J'veux qu'on m'aime parce que moi je sais pas Bien aimer mes contours
Voilà, voilà, voilà, voilà qui je suis Me voilà même si mise à nue c'est fini Me voilà dans le bruit et dans la fureur aussi Regardez moi enfin et mes yeux et mes mains Tout c'que j'ai est ici, c'est ma gueule c'est mon cri Me voilà, me voilà, me voilà Voilà, voilà Voilà, voilà Ti-di-di-di di-di di-di-di di-di di-di di-di-di-di-di Ti-di di-di di-di di-di-di-di
Voilà, voilà, voilà, voilà qui je suis Me voilà même si mise à nue c'est fini C'est ma gueule c'est mon cri, me voilà tant pis Ti-di di-di di-di di-di-di di-di di-di di-di-di-di-di Ti-di di-di di-di di-di-di-di Ti-di di-di di-di di-di-di di-di di-di di-di-di-di-di Ti-di di-di di-di di-di-di-di
Voilà!
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2023 – 218
#lours postal#carte postale#couleur#série à l'éventail#série des mains#Emma#modèle Emma#Emmarcescible#Emma pour toujours#art postal#mailart#cachet postal manuel#art collaboratif
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Aujourd'hui ma maman m'a demandé ce que je voulais à noël. Question compliquée depuis que je suis gosse parce que je demande jamais rien. J'estime manquer de rien et être assez gâtée tout au long de l'année pour ne rien demander sans compter que je trouve la tradition en elle même de plus en plus ridicule. Enfin bref on est pas là pour refaire le calendrier. Donc je lui réponds que je veux r. Elle me demande de me creuser la tête que ça lui ferait plaisir de m'offrir quelque chose. Et là, eureka, je sais ce que je veux. Je lui réponds "j'aimerais deux cartouches d'imprimante, j'en ai plus". Elle a soufflé elle m'a dit "mais Emma on s'amuse pas avec des cartouches, ça fait pas plaisir". En vrai si ça me ferait plaisir. Depuis 9h du mat' je sais toujours pas si c'est une réponse de personne profondément déprimée qui n'a plus goût en la vie ou si c'est une réponse ultra stratégique d'adulte pour éviter de mettre 80€ dans des cartouches qui imprimeront des cours que je vais pas lire.
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saga: Soumission & Domination 315
Ludovic, Ernesto et Emma...
La rencontre avec Ernesto s'est faite plus tard lors d'un WE où Marc et Hervé étaient en déplacement.
Nous sommes allés tous les trois le chercher à l'aéroport. Petite appréhension dans la voiture de la part de Ludovic qui nous dit qu'il est peut-être de trop ! PH en rajoute en disant que c'est vrai, nous avions oublié de parler de lui au dernier membre du trio.
Nous sommes en avance et l'avion en retard. Nous prenons un Coca en attendant. Ludovic nous fait parler encore une fois d'Ernesto. J'ai beau lui dire que c'est un mec super sympathique ouvert d'esprit puisqu'il nous aimait tous les trois (Marc, PH et moi), il stresse. PH ajoute que comme il me ressemble question sexe, il ne pourra pas s'empêcher de l'apprécier comme nous. Et de lui rouler une pelle devant tout le monde. Quand ils se décollent, je vois Ludovic regarder autour de nous si quelqu'un ne le connaitrait pas.
Je lui dis de se détendre et nous partons vers les arrivées.
Ernesto passe les portes et nous cherche du regard. Quand nos yeux s'accrochent, j'y vois une interrogation. Seulement chargé d'un petit sac à dos (il pique toujours dans nos affaires quand il est en France), il court vers nous. Je l'intercepte le premier et nous nous roulons un patin aussi avides l'un de l'autre. PH passe après et quand il attrape Ludovic pour en faire autant, c'est limite si ce dernier de tombe en syncope !
Comme d'habitude il y en a que nos effusions dérangent. Ludovic est étonné de la façon dont nous rembarrons nos détracteurs. PH lui confie que ce n'est pas parce qu'on est homo qu'on doit fermer nos gueules. Quand nous partons, comme nous passons devant les quelques mecs qui avaient proféré les insultes (de pauvres types moches et petits), je m'arrête juste le temps de leur demander si c'était la bêtise ou la jalousie qui les faisaient parler ainsi. Je n'attends pas leur réponse sachant que c'est la première assertion qui est la bonne !
Pendant le retour, Ernesto fait connaissance avec Ludovic. Il se fait raconter notre rencontre, éclate de rire quand il s'aperçoit que je me suis pris à mon propre jeu. Il s'excuse s'il l'a gêné à l'aéroport mais c'était pour me surprendre moi (Sasha).
Il salut Samir et Ammed dès son entrée dans le blockhaus avant de se mettre à l'aise c'est-à-dire en shorty. Je fais de même comme PH. Ludovic est surpris. C'est vrai que c'est la première fois qu'il va résider au blockhaus plus longtemps qu'une soirée où jusqu'à présent nous avons passée à faire l'amour.
Mais à côté de ça, avec Samir et Ammed toujours en shorty cuir, c'est logique un peu ! Il se met à l'unisson et comme il arrivait de chez lui (après une journée de Fac), il est apparu en DIM. Du coup c'est moi qui me suis fait engueuler par Ernesto pour avoir laissé Ludovic avec ça sur le cul. Sans attendre une explication, il l'emmène à l'étage d'en dessous pour faire l'échange de sous-vêtement.
Comme ils ne remontaient pas vite je suis descendu et je les ai surpris dans les bras l'un de l'autre, tous les deux arborant des érections triomphantes. Ils se roulaient une pelle du type si je me détache je meurs ! J'ai crié dans l'escalier " PH " pour qu'il revienne. Et le temps qu'il arrive je me suis glissé entre les deux déjà présents. PH n'a pas tardé et nous avons commencé à faire l'amour. Tous les deux à genoux, nous avons commencé par pomper les deux bites raides. Puis je me suis redressé et j'ai pris Ludovic par le cou pour le plier devant Ernesto. Il s'est redressé brutalement pour le regarder dans les yeux. Le " c'est à toi tout ça " qui est sorti de la bouche de Ludovic en disait long sur la surprise qu'il venait d'avoir. Puis il a replongé et cette fois s'est mis à pomper notre espagnol comme si sa vie dépendait de ce qu'il en sortirait. Ernesto commentait la prestation. Quand il s'est aperçu qu'il ne rentrait pas tout dans sa gorge, il m'a demandé ce que j'avais fait depuis que j'avais chopé ce jeune homme. Pour ma défense je ne suis monté que de 20cm moi ! Ernesto a passé sa main sous le menton de Ludovic et l'a relevé jusqu'à pouvoir le regarder dans les yeux. Là il lui a posé la question qui tue : veux-tu apprendre à manger gros ? Délicat s'il en est, non ?
Devant le oui muet de Ludovic, il l'a attrapé, décollé de PH et jeté sur le lit. Avec PH on le regardait faire. Il l'a tourné sur le dos, tiré par le cou jusqu'au bord du matelas et poussé sa tête en arrière. En faisant ça, il lui expliquait la finalité de la position. Une fois en place, il lui a remis son gland dans la bouche et lentement a basculé son bassin pour faire pénétrer sa longue bite. Du premier coup, il lui a mis ses 24cm dans la gorge ! Pendant qu'il le faisait, il m'expliquait qu'il avait développé la technique avec les Escorts de ma filiale Espagnole dont il était le gérant. Comme ses clients étaient du même type que les français, il devait préparer nos employés et les mettre au format. Pour lui c'est plus facile puisque sa propre bite correspond à la moyenne de la clientèle. En France, je suis obligé de passé par les godes et parfois c'est vrai, je fais aussi appel à Pablo son frère et cuisinier d'Emma qui est monté pareillement.
En attendant, Ludovic " mange gros " selon l'expression d'Ernesto. Je me couche à ses coté dans la même position et Ernesto peut ainsi alterner les amygdales ! PH de son côté nous mangeait nos bites.
Après un bon gavage, nous nous sommes mélangés différemment. Ludovic s'est très vite mis au diapason et il a partagé sa bouche, son sexe et sa rondelle avec nous tous quand Ernesto l'a enculé, c'était après s'être fait manger le cul puis sodomisé par PH et moi. Mais les 24x6 de notre ami ont quand même eu leur petit succès. Déjà, il l'a reçu lentement, bien graissé mais d'une seule et unique poussée.
Devant lui, son visage à 5 cm du mien, j'ai vu au fond de ses yeux le plaisir qu'il avait à chaque cm de bite supplémentaire qui le défonçait.
Il m'a attrapé la tête et a écrasé ses lèvres sur les miennes avant d'essayer de me manger la langue. PH s'est glissé sous lui en 69 et s'est occupé de le sucer comme Ernesto commençait ses allers et retours. A nous trois nous avons donné à Ludovic sont premier orgasme de partout à la fois (j'entends par là, par le cul, la queue et la bouche). Pour sa bouche, après nous être repais de la langue de l'autre, il a rendu le service de PH en pompant ses 19 merveilleux centimètres de chair. Pour ne pas être en reste je l'ai aidé et nous avons alterné les pipes, les roulages de pelles et les pipes à deux bouches où nous nous roulions des pelles avec le gland de PH en centre d'intérêt. En modulant nos " activités ", PH, Ernesto et moi avons réussi le tour de force de l'exciter sans le faire jouir pendant plus d'1 heure 30. C'est lui-même, qui ne pouvant plus tenir, a donné les coups de bassins fatals. J'ai eu le plaisir de les voir tous les trois exploser quasiment en même temps. Ernesto, les mains agrippés aux hanches de Ludovic, se vidait en tassant son jus au fond de son cul, PH déglutissait le jus de Ludo et je voyais sa pomme d'Adam monter et descendre à chaque fois qu'il en avalait une rasade et son propre jus, déborder des lèvres rouges de Ludo et couler lentement le long de sa hampe.
Spectacle bandant n'est-ce pas ? Même sans avoir moi-même juté, j'étais heureux que notre séance de sexe se soit passée avec autant de naturel. Même si j'étais sùr que la rencontre Ernesto / Ludovic se passerait bien, j'étais quand même soulagé que cela se soit révélé vrai.
Ils se sont aperçu quelques minutes plus tard que je n'avais pas joui. Faut dire que j'étais le seul avec la bite encore raide ! Ils mes ont tous les trois tombé dessus et je me suis fait défoncer, pomper, embrassé, bouffer les tétons. Des doigts sont même venus s'accoler à la bite plongée dans mon trou. Après une bonne sodo de la part d'Ernesto, alors que je chevauchais Ludovic, j'ai senti le gland de PH venir titiller l'entrée basse de mon corps pourtant déjà occupé. Deux respirations du poppers placé sous mes narines par Ernesto et je me suis ouvert comme la salope que je sais devenir parfois. Dès que PH a senti que je relâchais mon sphincter, il s'est engouffré au côté de Ludovic. Ce dernier m'a ruiné le tympan droit en hurlant dans mon oreille quand les deux glands se sont frottés, compressés par mon boyau. Heureusement que ça les a méga-excité car ils ont jutés assez vite et ma dilatation extrême n'a pas été trop longue. Cela a suffi à me faire exploser aussi et mon jus est venu couvrir le torse et le cou de Ludovic. Il m'a servi de matelas le temps que je récupère. Quand on s'est décollé, mon jus en train de sécher s'est partagé entre nos deux peaux. Rapidement, il a rejoint les égouts en passant par l'évacuation de la douche. C'est affamés que nous sommes remontés au 4ème où mes hommes de service attendaient pour servir.
Ils avaient prévu le coup et préparé en quantité un couscous royal qui, ils le savent, plait toujours à Ernesto. Si nous avons calé sur la semoule, les viandes ont toutes disparues, le poulet et l'agneau ont été avalés tout comme les merguez et les boulettes. Quand Samir est arrivé avec les desserts, nous étions déjà repus. Mais servis accompagnés d'un thé à la menthe, nous avons honoré son travail.
Même si nous avons passé la nuit dans le même lit, nous n'avons plus baisé. Entre la séance apéritive et le diner, nous étions morts ! Par contre caresses et tendresse ont précédé notre endormissement.
Je suis le premier à me réveiller. Enclavé entre Ernesto et Ludovic, leurs bras croisés sur ma poitrine, j'ai un peu de mal à m'extraire.
Quand c'est fait, je monte et trouve un café chaud tout comme les croissants frais. J'appelle Marc. Avec le décalage horaire, c'est la soirée pour lui. Il est avec Hervé. Il me demande comment s'est passé la rencontre entre tous mes amours. Au soupir que j'ai avant de répondre, il sait. Il me dit de ne pas oublier de faire venir un menuisier pour nous faire construire un lit plus grand. C'est vrai qu'à 6, même notre lit de plus de 2m x 2 va être petit.
Je pense qu'avec 4 m de matelas, nous devrions pouvoir tous réussir à dormir un peu lors de nos retrouvailles. Le délai d'exécution du châssis des sommiers à lattes laissera le temps à la couturière qui réalise tous nos draps spéciaux (ceux de notre campagne !) d'en faire à la bonne taille.
Mes amours me rejoignent ensemble. Ludovic a le bras d'Ernesto sur ses épaules. Je suis content, j'aime quand les gens que j'aime s'aiment !
Alors que je prends un second café avec eux, Ernesto me demande s'il pourra m'emprunter Ludovic pour certains de ses clients. Il me dit qu'avec son physique de dieu grec, il augmenterait son compte en banque de fortes sommes. Quand je lui fais part du montant qu'avait atteint sa mise aux enchères, il n'en revient pas. J'ajoute que le temps qu'il se fasse toute ma clientèle, il devra faire avec ses ressources propres d'autant plus que je ne comptais pas le faire travailler trop souvent.
Emma nous a invités pour la soirée. Elle reçoit chez elle quelques amis dont Henri le " père " de Kev et des relations d'affaire qu'elle souhaite me présenter. PH passe un smoking à Ludovic. Ils sont plus proches en taille de veste. Nous prenons les deux Mercédès. Nous arrivons alors que tous sont déjà là. Kev nous attendait avec impatience. Seul de son âge, il se sentait un peu isolé même s'il soutenais sans problème les discussion avec les invités. Quand nous entrons, tous les regards se tournent vers nous et Ludovic coupe le souffle de quelques-uns. Heureusement que nous ne sommes pas jaloux. Emma nous rejoint. Je l'embrasse très filialement sur ses joues alors que les 3 autres se penchent légèrement sur sa main. Pas question qu'un seul invité ne se pose de question. Henri et Kev nous rejoignent. Henri me demande où je trouve autant de beautés pour m'accompagner. Il ajoute que, célibataire, il m'aurait demandé si Ludovic aurait pu lui consacrer un peu de temps. Kev qui entend cela alors qu'il salut PH et Ernesto, nous dit que, sans problème il partagerait bien mon dernier protégé.
Nous nous dispersons dans la foule des invités. En bon fils héritier de l'empire, je délaisse mes amis pour accompagner Emma et saluer tout ce qu'il y a d'importance (encore plus que la moyenne présente) parmi les invités. Henri nous accompagne soulignant par-là l'estime dans laquelle il me tient.
Du coin de l'oeil, je vois PH et Ernesto " protéger " Ludovic. En même temps Ludo profite d'une leçon en réel du comportement d'Escort en situation de représentation. Même si mes clients préféreront dans un premier temps le côté sexuel de ses prestations.
Son éducation paye et même s'il sortait plus souvent dans l'aristocratie que dans le milieu industriel (grands patron quand même !), il ne commet pas d'impairs.
Je repère au moins deux capitaines d'industrie qui en feraient bien leurs " 4 heure " de mon Ludovic ! Mais ils sont discrets et il faut mon regard de professionnel pour le déceler, d'autant plus que l'un est accompagné de bobonne embagousée à chaque doigt.
Nous apercevons Pablo s'activant dans sa cuisine quand les serveurs en passent la porte.
Le buffet est fantastique et plusieurs femmes demandent à Emma qui est le traiteur. Elles sont jalouses quand Emma leur dit que c'est son cuisinier personnel qui s'est chargé du buffet.
Kev me coince et me reproche de ne rien lui avoir dit concernant Ludovic. Ils ont discuté un peu ensemble et hors le coté sexuel, il le trouve plus que charmant. Quand je lui avoue que Ludovic a quasiment rejoint le blockhaus, il devine qu'il a déjà pris une place prépondérante dans mon coeur d'artichaut. Il me dit qu'il le découvrira alors à la prochaine touze. Comme ça fait longtemps que nous nous sommes vus, il me demande si ma jambe ça va. Je le rassure qu'elle se porte à merveille même si j'ai gardé la ferraille.
Je fais connaissance avec de nouveaux grands patrons utiles pour le développement des affaires d'Emma. Courbettes à leurs femmes qui trouvent charmant ma dégaine de voyou bien sapé ou de fils de bonne famille dévoyé, rapport à la pendeloque qui orne mon oreille. Dans les grandes circonstances, je sors le diamant que m'a offert Emma. Avec sa montre encadrée de diamants roses libres (cf. mes prestations avec elle 2010) ça décoince le visuel propret du smoking sur chemise blanche !
Ils sont quand même surpris du niveau de discussion que j'arrive à tenir. Je pense qu'ils s'attendaient à tomber sur un fils à papa. Entre mes études, mes participations aux conseils d'administration, mes cours particuliers sur la finance que j'ai régulièrement avec André mon banquier préféré, je tiens la distance ! Non mais !!
La soirée se termine tard où plutôt tôt. Henri et Kev sont logés sur place et quand il ne reste qu'eux, les cols se desserrent et les vestes tombent. Henri est dans la confidence me concernant. Tout au moins sur ma " famille " et l'apparition de Ludovic dans mon entourage ne l'a surpris qu'à moitié. Par contre il ne sait rien quant au fait que nous soyons parfois 4 à faire décoller son amie Emma !!
Pablo nous rejoint. Il est sur les rotules mais retrouve de l'énergie quand il voit Ludovic. Ernesto lui dit que c'est chasse gardée pour le moment. Mais qu'il en profitera surement à notre prochaine touze.
Henri et nous tous le félicitons pour son buffet. Comme il essaye de faire le modeste en nous disant avoir embauché pour l'occasion, Emma précise que toutes les recettes venaient de lui.
Jardinier
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Je te sauverai
Fandom : Tokyo Revengers
Relationship : Mikey x Takemichi
Voici ma participation pour le Tropetember 2023 pour le prompt : Major Character Death.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Mikey se demandait si Takemichi était revenu du passé. Est-ce qu’il essayerait de savoir ce qu’il était devenu ? Il savait qu’il chercherait à le retrouver. C’est pour cela qu’il lui avait laissé cette vidéo dans la capsule temporelle où il lui demandait de ne pas le retrouver. Il savait que Takemichi respecterait sa volonté. Après tout, qu’avait-il a offrir à part un monde de violence et de mort.
Disclaimer : Tokyo Revengers appartient à Ken Wakui.
@tropetember
AO3 / FF.NET
Mikey regarda au loin et mordit dans un taiyaki. On était le 19 juin. Douze ans jour pour jour que les membres du Toman avaient enterré la capsule temporelle et qu’ils avaient prévu de se retrouver. Mikey redoutait cette date depuis plusieurs jours. Il savait que ses amis seraient présents, se demandant sûrement où il était et s’il viendrait. Mais il ne devait pas se rendre au rendez-vous. S’il avait dissout le Toman et s’il avait brisé tous les liens avec eux, c’était pour les protéger et protéger leur avenir. Il devait les protéger de celui qu’il était devenu.
Il s’était quand même renseigné sur ce qu’ils étaient devenus. C’était plus fort que lui, il devait savoir. Ils avaient été les personnes les plus importante de sa vie et même s’il refusait de se l’avouer, il tenait toujours à eux.
Il avait appris que Draken avait ouvert un atelier motos. Chifuyu avait ouvert une animalerie et Kazutora l’aidait depuis sa sortie de prison. Pachin, qui venait de se marier, avait repris l’entreprise de son père et était secondé par Peyan. Mitsuya était devenu styliste et commençait à se faire un nom dans le milieu de la mode. Hakkai était un mannequin international et sa sœur était son agent. Quant-à Takemichi, il était gérant d’une boutique de DVD et allait bientôt épouser Hinata. Ils étaient tous heureux sans lui et s’était mieux ainsi.
Il se demandait si Takemichi était revenu du passé. Est-ce qu’il essayerait de savoir ce qu’il était devenu ? Mikey savait qu’il chercherait à le retrouver. C’est pour cela qu’il lui avait laissé cette vidéo dans la capsule temporelle où il lui demandait de ne pas le retrouver. Il savait que Takemichi respecterait sa volonté. Après tout, qu’avait-il a offrir à part un monde de violence et de mort.
Il y a douze ans, il savait comment les choses risquaient de finir. Sa pulsion finirait par le rattraper et Takemichi serait une de ses victimes. Il le tuerait, comme il tuait tous ceux qui le gênaient ou qui ne lui étaient plus d’aucune utilité.
Il y a bien longtemps, les seules personnes capable de l’aider à combattre cette pulsion avaient été Shinichiro, Emma et Baji. Mais tous les trois n’étaient plus de ce monde. Puis Takemichi était entré dans sa vie. Il avait cette force et ce courage qui avait donné envie à Mikey de combattre cette pulsion. Avec Takemichi à ses côtés, la noirceur qu’il avait en lui disparaissait. Il était devenu son héro et il l’aimait. Et c’est parce qu’il l’aimait qu’il devait le laisser retourner à son époque. Il savait qu’à l’instant où Takemichi disparaîtrait, sa pulsion noire reprendrait le dessus. Il était plongé bien trop profondément dans les ténèbres et plus personne ne pouvait le sauver. Pas même Takemichi.
Il mordit à nouveau dans son taiyaki lorsqu’il entendit quelqu’un arriver derrière lui. Il savait qu’il s’agissait de Sanzu, son fidèle second.
« Tu es sûr de ne pas vouloir t’y rendre ? Demanda Sanzu.
-Oui, répondit Mikey avec indifférence. »
Cette date faisait partie de son passé et cela devait rester ainsi.
******
Cela faisait plusieurs jours que Mikey entendait des rumeurs sur un homme qui cherchait des informations sur lui et sur le Bonten. Qui pouvait être cet idiot qui le cherchait alors même que les autorités le craignaient ? Pendant une seconde, le visage de Takemichi lui vint à l’esprit. Mais c’était impossible. Il devait se marier avec Hinata dans quelques jours et il ne risquerait pas de tout perdre pour le retrouver.
Mikey regarda Rindo se débarrasser du cadavre d’un des membres du Bonten qu’il venait d’exécuter. Il l’avait trahi, alors Mikey devait l’éliminer. Il ne ressentait rien. Ni regret, ni peine, ni plaisir comme les membres de son gang. Il était vide. Il vit du coin de l’œil Sanzu arriver. Il l’avait envoyé se renseigner sur cet homme.
« Tu as appris quelque chose ? Demanda Mikey.
-Il s’agit de Takemichi Hanagaki. »
Alors c’était bien lui, pensa Mikey. Il ne l’avait pas écouté et il l’avait recherché. Pourquoi fallait-il qu’il continue à jouer au héro ?
« Tu sais où il se trouve ? »
Sanzu acquiesça. La main de Mikey se crispa sur le pistolet.
« Amène-moi à lui. »
Mikey savait déjà ce qui allait se passer. C’était pour ça qu’il ne voulait pas revoir Takemichi. Pourquoi les choses devaient-elle se terminer ainsi ?
******
« Je te sauverai ! »
Pourquoi ? Pourquoi alors que Mikey venait de lui tirer dessus et qu’il était sur le point de mourir, Takemichi voulait toujours le sauver ? Il n’avait pas compris qu’il était trop tard pour lui. Cela faisait des années qu’il ne pouvait plus être sauvé. Pourquoi continuait-il d’insister ? Il lui avait dit lui-même qu’il ne pouvait plus retourner dans le passé.
Mikey n’en pouvait plus de cette vie. Il s’avança vers le bord et se laissa tomber dans le vide. C’était enfin terminé. Il sentit sa chute s’arrêter. Takemichi l’avait rattrapé par le bras. Comment était-ce possible ? Avec les balles qu’il lui avait tiré dessus, il devrait être entrain de se vider de son sang, incapable de bouger. Et pourtant, Takemichi refusait de le lâcher. Il continuait d’insister en disant qu’il pouvait encore être sauvé et pour la première fois, il l’appela par son prénom.
Quelque chose dans le cœur de Mikey changea. Il avait envie de croire en Takemichi et croire qu’il méritait d’être sauvé. Il lui attrapa la main et le regard de Takemichi changea. Mikey connaissait ce regard. Il l’avait déjà vu douze ans auparavant quand le Takemichi du futur voyageait dans le passé. Est-ce que c’était ce qui venait de se passer ? Est-ce que Takemichi venait de voyager dans le temps ?
Tout à coup, le corps de Takemichi bascula et tous deux tombèrent dans le vide. Malgré leur chute, Mikey ne voulait pas lui lâcher la main. La chute ne dura que trois secondes, qui semblait lui durer des heures.
Ils s’écrasèrent sur le sol. Le corps de Mikey avait amorti celui de Takemichi. Pourtant, il ne bougeait plus, il ne respirait plus. Mikey comprit qu’il était mort. Lui-même était au plus mal. Tous les os de son corps étaient brisés. Ses poumons devaient être perforés, il avait de plus en plus de mal à respirer. Jamais il n’avait eu aussi mal. Il voulait hurler de douleur, mais il n’y arrivait pas.
Il pouvait entendre un attroupement se former autour d’eux, mais il ne voyait rien. Le choc l’avait rendu aveugle. Sa main qui tenait celle de Takemichi se desserra peu à peu. Il se sentit partir et il comprit qu’il lui restait peu de temps. Il rassembla le peu de force qui lui restait pour lever son bras et le passer autour de Takemichi. Il n’avait jamais eu peur de mourir, mais cette fois, c’était différent.
« Takemitchy, réussit-il à murmurer. »
Takemichi lui offrait une seconde chance et Mikey espérait la passer auprès de celui qu’il aimait. Auprès de son héro, auprès de Takemichi.
Fin
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mes vacances se déroulent bien jeudi soir je suis allée dans un resto kurde trop bon avec mes meilleures amies, en sortant j'ai vu une chaise donc je l'ai envoyé à ma copine qui adore les chaises et sur une des photos prise il y avait une de mes amies qui faisait une tête vraiment bizarre, on l'a regardé et on a explosé de rire comme le dernier bouton de ma mini jupe donc on a encore plus rigolé, on a retrouvé le bouton mais je me sentais un peu cul nu, je prends le métro pour rejoindre tia boire un verre et je la tease en lui disant que j'ai quelque chose de trop drôle à lui raconter et qu'elle va se foutre de ma gueule, j'envoie une photo à l'ami platonique en lui disant ahah regarde je suis cul nu puis une main sortie de nulle part vole mon téléphone je mets mon bras dans la porte du métro comme si c'était pas déjà débile et puis qu'en plus c'était pas une automatique avec l'autre porte derrière, je me retourne je suis genre ok que vient-il de se passer je dis aux gens mais en plus il était trop nul mon téléphone c'était un premier prix samsung et trois personnes sont très mimis avec moi dont emma cette star qui me parle me rassure et me propose de m'accompagner où je devais aller, je voulais pas trop mais au final j'ai bien fait d'accepter, on a parlé tout le chemin et même si j'avais l'impression d'être totalement en train de dissocier ça m'a fait du bien et je n'y serais pas arrivée toute seule, quand j'arrive au bar j'ouvre la porte pour voir si tia est bien là, je la referme et fais un câlin à emma en la remerciant pour la millième fois et je re rentre dans le bar où tia me regarde de travers ne comprenant pas pourquoi j'étais repartie du coup je lui dis ahah l'histoire marrante c'est ma jupe et ahah l'histoire pas marrante c'est mon téléphone, elle avait déjà commandé car elle sait ce que j'aime et on a bu car je ne voulais pas tout de suite prévenir des gens sur son tel, il fallait d'abord que je réalise, ensuite des mecs étaient relous donc on est sorties en balade 8.6 avant de retourner dans le bar, vers une heure du mat j'envoie des messages à quelques personnes dont l'ami platonique en premier, qui me dit presque dans l'instant "je t'ai acheté un téléphone" j'ai pas trop compris et on s'est appelés un peu après mais écoute même si ça ne me fera pas récupérer mes milliers de photos et de notes ça fait ça de moins à acheter et c'est mille fois trop gentil de sa part, ensuite on est allées dormir puis il y a eu le moment où j'ai dit "mais toutes les photos de mon cul???" et on a bien rigolé sur le moment puis je suis allée chez l'ami platonique le lendemain pour qu'on s'engueule car on devait se voir mais j'avais fait que retarder retarder parce que j'étais trop dans le mal après ma mésaventure de la veille, au début c'était horrible mais après avoir dit les choses ça allait mieux, j'ai beaucoup pleuré car je me sentais comme une merde et que je dissociais quand même toujours un peu de la veille mais je sais qu'objectivement c'est moi qui ai mal agis et puis il m'a beaucoup rassuré je lui ai redit que ça allait vraiment mal en ce moment et une fois rentrée dans mon lit je lui ai dit ce que j'aurais du lui dire il y a quelques semaines, c'était effectivement pas normal et il a vraiment été parfait de bout en bout, puis aujourd'hui je suis allée voir casse-noisette avec ma mère et ma sœur j'ai voulu pleurer pendant les premières notes mais après je veux toujours pleurer en ce moment puis quelques fois je me disais quand même banger d'écouter du tchaïkovski en live et voilà maintenant une semaine sans téléphone, strasbourg sans téléphone, un peu trauma mais ça va, juste je pense tout le temps à tout ce qu'il y avait dedans et qui est maintenant perdu à tout jamais mais j'imagine que je suis juste une très mauvaise personne pour avoir un karma de merde comme ça
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