#Conseils pour voyager seule
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mdameninie · 10 months ago
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Voyage en Solo à Londres : Dépassement de Soi et Découverte Culturelle
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francaistoutsimplement · 3 months ago
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Allez, Paie cochon! et surtout remercie bien les socialistes..!!
Impôts: les principales évolutions qui devraient concerner directement les particuliers.
Par Rédaction Public Sénat (source : Bruno Bertez=
Publié le 06/02/2025
La ligne d’arrivée du marathon budgétaire est franchie. Conséquence de la crise politique qui s’est cristallisée autour des textes financiers, le processus habituellement bouclé avant le 31 décembre s’est conclu ce 6 février, avec un vote définitif du Sénat. Le texte devrait faire l’objet d’une saisine au Conseil constitutionnel, ultime étape avant que la future loi de finances soit promulguée.
Tour d’horizon des principales évolutions qui devraient concerner directement les particuliers.
Le détail du barème 2025 de l’impôt sur le revenu, ajusté sur l’inflation
C’est la principale modification qui était attendue par les plus de 18 millions de foyers fiscaux qui payent l’impôt sur le revenu. L’une des premières dispositions de la loi de finances est de revaloriser sur l’inflation son barème, afin d’éviter de pénaliser les personnes dont les revenus n’auraient pas augmenté plus vite que l’inflation. Sous 11 497 euros (11 294 euros en 2024), les revenus ne sont pas imposés.
Le niveau de la tranche imposée à 11 % est désormais compris entre 11 497 euros et 29 315 euros. La fraction du revenu compris entre 29 315 et 83 823 euros est imposée à 30 %. La quatrième tranche, imposée à 41 %, débutera désormais à 83 823 euros et plafonne à 180 294 euros. Tous les revenus qui excèdent ce seuil sont imposés à 45 %.
Une contribution différentielle sur les hauts revenus
Pour les foyers les plus aisés, le projet de loi de finances introduit pour l’année 2025 une contribution différentielle sur les hauts revenus. Elle s’appliquera aux contribuables dont les revenus annuels dépassent 250 000 euros pour les personnes seules, ou 500 000 euros pour les couples. Elle devrait rapporter deux milliards d’euros. Son principe est de s’assurer que ces ménages les plus aisés s’acquittent d’un impôt à un taux minimum de 20 %. La disposition sera pérennisée par une nouvelle contribution, qui reste encore à définir.
La « taxe Tobin », sur les transactions financières, relevée
Les personnes qui investissent sur les marchés boursiers sont également davantage mises à contribution, puisque le taux de la taxe sur les transactions financières va être relevé à 0,4 %, contre 0,3 % actuellement. Celle-ci s’applique aux opérations d’achat d’actions sur les sociétés françaises dont la capitalisation est supérieure à un milliard d’euros.
Toujours pour la fiscalité sur les revenus financiers, le budget 2025 instaure une taxe sur le rachat d’actions. Ce procédé consiste pour les sociétés cotées à diminuer le nombre de titres en circulation pour en augmenter la valeur unitaire.
La taxe sur les billets d’avion augmente
Les passagers des vols partant de France vont voir le prix de leurs billets augmenter. La hausse de la taxe de solidarité, dite taxe Chirac, se fera différemment ressentir en fonction du type de voyage. Pour une destination européenne, en classe éco, son montant passera de 2,63 à 7,40 euros. Pour un long-courrier, la taxe passera de 7,50 à 40 euros. La taxe s’appliquera également aux vols desservant les outre-mer, mais un soutien public permettra d’atténuer la hausse des prix.
Le malus sur voitures thermiques durci, la consommation de gaz davantage taxée
La fiscalité écologique renforce également dans ce budget le seuil de déclenchement du malus auto à partir du 1er mars. La surtaxe se déclenchera quand le niveau d’émission de CO2 sera supérieur ou égal à 113 grammes par kilomètre, contre 118 aujourd’hui.
Evolution également à prévoir pour les particuliers qui prévoyaient d’installer une chaudière à gaz : le taux de la TVA pour l’installation passera à 20 %, de même que le taux de TVA sur les abonnements de gaz (comme l’électricité), en raison de la réglementation européenne.
Logement : hausse potentielle des « frais de notaire »
Au chapitre du logement, le budget 2025 donne la possibilité aux départements qui le souhaitent d’augmenter de 0,5 point le plafond des DMTO (droits de mutation à titre onéreux), ce qu’on a coutume d’appeler les « frais de notaire ». Cette augmentation, applicable à chaque achat d’un bien immobilier, ne s’appliquera toutefois pas pour les primo-accédants.
Autre disposition, censée relancer le secteur : le prêt à taux zéro (PTZ) accessible à ces mêmes primo-accédants, sera étendu à tout le territoire, qu’il s’agisse d’un achat d’une construction individuelle ou collective.
Le texte instaure également une exonération de frais de succession sur les dons aux enfants ou petits-enfants si l’argent sert à financer l’achat d’une résidence principale neuve, ou la rénovation d’une résidence principale, dans la limite de 100 000 euros.
Les arrêts maladies de fonctionnaires moins bien pris en charge
Le projet de loi de finances va également avoir des conséquences directes pour les Français qui travaillent dans la fonction publique. Le taux d’indemnisation de ces arrêts maladie a été réduit à 90 % (au lieu de 100 %).
Un nouveau plafond de TVA pour les petits entrepreneurs
Une modification fait également couler beaucoup d’encre chez les 250 000 auto-entrepreneurs. Le projet de loi de finances abaisse le seuil d’exemption de TVA pour les petites entreprises.
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camisoledadparis · 5 months ago
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saga: Soumission & Domination 345
João-2, Romain
La vie d'organise avec João au blockhaus. Une semaine à suffit pour qu'il prenne ses marques. Pour plus de pratique, je lui achète un scooter alors qu'il passe l'évaluation en urgence avec Éric.
Sur les conseils de Daniel, j'opte pour un électrique de chez Govecs le GO ! S2.4+ capable de le propulser à 60 Km/H de chez nous à sa Fac. Au moins les jours de beau temps.
Avec Ammed et Samir, il a trouvé ses marques. Mais pour tous c'est le " petit frère " de la maison. Avec 5 mecs à le surveiller, il bosse quand il n'est pas avec nous à faire du sport ou en prestation. Son français s'améliore à notre contact mais heureusement il garde son accent chantant. Il faut dire que ça discute tout le temps dans la maison. Des études ou du taf en passant par la politique, les nouvelles du monde sont commentées tout comme les locales. C'est sûr que seul dans sa chambre il avait moins l'occasion de parler !
On apprend qu'il n'est pas encore retourné dans son pays depuis qu'il est en France. Du coup on lui promet d'y aller avec lui aux prochaine vacances, je ne connais pas le Brésil ni mes amours. Ça le rend perplexe. Comme nous nous en rendons compte, il nous explique que sa favela a été de celles détruite pour le mondial de foot et qu'il n'est pas sûr de vouloir voir ça. L'ambiance s'est refroidie d'un coup. Je le prends dans mes bras et je ressens qu'il maitrise des sanglots. C'est un gros gros câlin que je lui fais, sans arrière-pensée sexuelle.
Pour le moment on sursoit à ce voyage Trop mignon ce petit mec !
Il s'est plus vite habitué à Marc. Peut-être le fait qu'il ne soit là quasiment que les WE et en plus 1 sur 2 ! Marc aussi le considère comme un petit frère depuis qu'il est au blockhaus. João s'attendait à faire l'amour avec lui et c'est tout juste s'il n'a pas été vexé que cela ne se produise pas. J'aime autant, je ne sais pas pourquoi mais je trouve João différents des autres garçons, un peu comme Enguerrand.
Au bout d'une semaine, il vient me voir tout gêné. Il tourne autour du pot, ne sachant pas par où commencer. Je le laisse trouver ses mots. Il commence par me remercier de le faire vivre avec nous. Je lui dis de laisser tomber ça il l'avait déjà dit/fait.
Il prend son souffle et d'une seule traite me dit que ce qui lui manque c'est d'avoir un mec dans son lit. Pendant son passage à la coloc, il avait retrouvé la chaleur des nuits avec son mentor car il y en avait toujours un des deux autres colocs pour dormir contre lui.
Je réfléchis vite. Je lui réponds que si je dors avec lui, c'est sûr qu'au matin il se réveillera avec ma queue dans ses fesses. Si, lui, ça le dérange pas moi si. En plus je l'aime beaucoup mais je ne l'AIME pas. Il comprend. Je lui propose de retourner à la coloc mais là, c'est lui qui refuse.
Je lui propose alors un truc fou.
Je trouve un gymnaste qui lui plait et qui serait capable d'être escort et je l'autorise à le ramener de temps en temps dans sa chambre et même à y passer la nuit.
Je fais tourner la base de données et nous obtenons 5 noms avec photo d'identité.
2 sont en fac de sport et nous avons de la chance c'est celle de Jona, les 3 autres sont de bons amateurs en club. Tous issus de famille modeste à ouvrière, ils rentrent dans les critères de potentiels intéressés par mes propositions. Physiquement ce ne sont pas des géants comme beaucoup de gymnastes. Par contre ils compensent en largeur d'épaules !
J'appelle Jona pour les deux de son école. La réponse arrive dès le soir même. Ils font partie de la propre sélection de Jona. Ce dernier comptait m'en parler. Lui aussi avait trouvé que ce genre de sportifs ferait merveille auprès de mes clients. Il voit bien ceux que j'ai pointés. Ce ne sont pas parmi les plus grands mais ils sont dans le top 10 de leur cours. L'un deux lui semble intéressé par les mecs vu les coups d'oeil qu'il a reçu sous les douches, contrairement à l'autre au comportement neutre.
Pour les autres, il connait le club de nom mais pas plus. Il me dit qu'il va y faire un tour ce soir.
Rappel de Jona : il a rencontré un des encadrants qui est aussi intervenant à sa fac. Du coup ça lui a facilité la recherche. Sur les 3 il y en a deux de moyen plus et un très bon. En plus d'après lui c'est le plus beau des trois !
On se retrouve avec un choix de 2 petits mecs canons pour mon João. Il arrive avec des photos prises sur son smartphone. João fixe son attention sur le collègue de Jona.
Moi, ça m'arrange car il sera plus libre les soirs et WE qu'un mec en club qui pratique en plus de son cursus d'étude.
Jona a bien bossé. Son dossier est quasiment rempli !
Prénom : Romain
Taille : 1m71
Poids : 68
Sexe : au repos 10cm à vue d'oeil
Pilosité : Blond court, bras et jambes rasées, couilles lisse et touffe rasée
Parents : ouvriers
Logement : chambre chez l'habitant
Travail : WE chez Mac Do
Pas de petit copain connu et pas de pratique homosexuelle déclarée.
Pour le faire venir, Jona lui propose d'intégrer un club privé gratuit ce qui lui permettrait de pouvoir travailler ses muscles en plus des cours. Il était sûr que cela l'intéresserait car ses potes de la même année sont tous inscrits dans une salle en dehors de l'école et lui est trop juste financièrement pour ça. Quand il appâte en précisant que c'est un club exclusivement masculin et multi sport, il se voit renvoyer un " de toute manière les meufs... ", prometteur ça. Ça l'est d'autant plus que quand il demande à Jona s'il en fait partie et que ce dernier lui répond oui, il ajoute un " c'est super alors ".
Je le reçois donc un lundi soir dans mon bureau. Comme pour les autres la frise des photos de mes escorts en maillot de bain fait son petit effet, surtout dans le slip du voyeur.
Il se trouble en me serrant la main. Poignée ferme mais pas écrasante, le mec est conscient de sa force c'est sûr. Jona reste avec nous pendant l'entrevue. On discute de sa formation, de ce qui l'a amené à la choisir et de ses ambitions. Assis bien droit sur la chaise, le dos effleurant le dossier, il est tendu. Jona lui a dit que tout dépendrait de cette rencontre.
On passe sur son temps libre, ce qu'il en fait (pompes et abdos dans sa chambre + temps partiel chez Mac Do). Il m'explique que ses parents ouvriers tous les deux ne peuvent pas assurer complètement ses frais.
Je lui dis que je peux résoudre deux de ses problèmes : le taf, avec 1 soirée par semaine, je peux lui assurer 4000 net par mois et j'ai ici des installations sportives suffisantes pour lui permettre de renforcer son potentiel et même tester d'autres sports comme la natation ou des sports de combat.
J'ai toute son attention. Quand il me demande ce qu'il faudra faire pour avoir droit à tout ça, j'ai l'impression qu'il a déjà compris. Je lui montre la frise de photo et lui dis juste qu'il faut ajouter la sienne à la suite de mes Escorts. Il me dit qu'il va y avoir un problème car les cougars c'est pas son truc et les meufs en général non plus. Il a testé et il aime pas.
Il ne comprend pas que Jona éclate de rire et que je lui renvoie un visage hilare.
Je le rassure que son collègue n'est pas fou, c'est juste que ça tombait bien " qu'il aime pas les meufs " car c'était plutôt des mâles mes clients !
C'est à son tour de rire alors.
Cela étant dit, je lui dis qu'il va nous falloir quand même qu'il me démontre ses " autres " compétences. Il capte de suite et commence à se dévêtir. Les sportifs ne sont pas parmi la population la plus pudique heureusement pour moi !
Il se retrouve en slip, putain de beau physique ! Un peu déséquilibré vers le haut avec l'hypertrophie de la ceinture scapulaire et ses hanches étroites. Par contre ce qui n'était pas petit en bas restait caché par le tissu. Sur un geste de Jona il retire son sous-vêtement. C'est vraiment impressionnant. Sa bite se décolle de ses boulles et se développe jusqu'à remonter nettement au-dessus de son nombril. Professionnel, je prends me mètre ruban et contourne le bureau. 21cm !! Sur un physique pareil ils en paraissent 30 (enfin j'exagère un peu).
Je lui demande comment il cache ça dans son pantalon blanc ajusté. Il me répond direct qu'il pense à une vieille, ça lui suffit pour la maitriser et éviter de se faire repérer. Car c'est sûr que depuis sa puberté, d'être en permanence entouré de beaux mecs musclés, il se serait fait griller sinon !
Je lui demande quand il a été dépucelé et par qui (pas le nom du mec mais qui c'était). Je dirais juste qu'il n'avait pas de retard et que, pour faire original, c'était un gymnaste de 19ans du club où il faisait ses débuts. Il avait aimé ça suffisamment pour que, quand il s'était essayé aux filles, il n'ait pas trop aimé. Il s'était donc fait dépucelé comme passif et c'est 2 ans plus tard que son " mentor " lui avait fait enculer sa dernière " prise " (son équivalent, 2 ans plus jeune). Il s'était alors aperçu que limer un cul c'était bon aussi même si c'était en deuxième position.
Je lui dis que là, c'était une vrai société d'escort donc de représentation avec sorties en smoking ou costumes, et que effectivement certain clients demandaient un service plus qui était alors aussi assuré et dans tous les cas facturé. D'où les salaires mensuels pour 4 prestations +.
Il me demande de voir mes installations sportives. Je lui lance un jock petit modèle (question taille). Il a du mal à tout mettre dedans heureusement que la poche est en tricot élastique. Nous descendons à la serre.
Il kiffe le grand tatami pour son travail au sol. Les machines ne l'impressionnent que par leur nombre. La piscine n'est pas sa tasse de thé. Je le préviens qu'il devra s'y mettre aussi j'aime avoir des escorts " complets ". Je lui dis que c'est sous le coaching d'un vrai maitre-nageur.
On monte au second. Dès l'entrée on entend le souffle de mecs qui s'entrainent. On avance et on trouve Ludovic et João qui soulèvent de la fonte. Je surveille Romain. Je vois son regard passer sans s'arrêter sur Ludovic (ce qui m'étonne vu la belle gueule de mon mec) pour se fixer sur João. Je lui parle mais il n'entend rien, ça m'amuse comme Jona qui s'en aperçoit aussi. De son côté, João n'a pu manquer notre entrée. Il finit sa série avant de se lever pour sa minute 30 de récupération. Il s'étire et n'a jamais été aussi bandant qu'à ce moment-là. Il fait semblant de nous découvrir.
Il vient vers nous. Sachant que Romain devait venir, il s'est choisi un jock à lacet qui expose encore plus son paquet. Il avance son bras pour serrer la main de Romain et nous embrasse sur les lèvres Jona et moi. Je le prends par le bras et lui dis de faire faire le tour du plateau à Romain pendant que nous deux nous nous mettions en tenues.
Je les surveille du coin de l'oeil. Romain est suspendu aux lèvres de notre Brésilien. Rien d'autre n'existe plus pour lui j'en suis sûr. Pour tester je l'appelle mais il ne réagit pas. De la main je fais signe à João de continuer. Ils font le tour des appareils. Quand ils passent dans le sas hygiène, j'entends Romain s'extasier sur la série de douches communes et interroge João sur le fait qu'elles barrent tout le passage. Il exprime sa compréhension quand ils arrivent à la piscine intérieure.
A son retour, il me dit qu'il n'a jamais vu ça même dans tous les clubs de sport de la ville dans lesquels il avait profité des séances gratuites.
Là-dessus il se couche sur le poste de développé couché et s'échauffe avec une barre à 40Kg !  Puis il nous demande de la charger jusqu'à 90 puis il se finit avec un 110 en résistance (càd que le levage se fait avec aide et le travail par la résistance à la descente) ! Là il demande à João de l'aider évidement.
Je le regarde bien pendant l'exercice, il a les yeux fixés sur la poche du jock de ce dernier qui surplombe sa tête. Faut dire qu'avec son frein cassé, le tissu moule son gland d'une façon très...détaillée.
Quand il se redresse ses pecs ont pris " un peu " de volume. C'est très beau tout ça !
Je lui dis que si physiquement il a passé haut la main les tests, il nous reste quand même à vérifier les derniers détails. Il comprend ce que je veux dire par là. On redescend à mon bureau que tous les trois (lui, Jona et moi). Il ne dit rien mais je le sens déçu.
Il ôte son jock sans façon. Il bande déjà un peu. Je pose mes fesses contre le bureau, enlève mon jock. Il se met aussitôt à genoux et le prend en bouche. Il pompe bien et je bande vite. Si mon gland bute un peu contre sa glotte, il change vite d'angle d'attaque et m'avale jusqu'aux couilles. Un bon point pour lui !
Jona met ses mains sur ses hanches et le relève sans que sa bouche ne lâche ma queue. Je lui dis de commencer le travail de la rondelle. Il le fait en me donnant ses constatations.
Jona :
" Le trou est petit et serré avec une rondelle plissée. Souple sous mes doigts mais pas ouverte, je n'arrive pas à mettre le doigt sans lubrifiant. "
Après avoir enduit sa main de gel, il y retourne.
" Mon index passe et il est bien serré. Index et majeur ensemble ça passe aussi et je suis toujours bien compressé. Mon pouce est accepté sans problème avec toujours autant de force à le serrer. "
Je le vois mettre trois doigts sans que Romain donne des signes de douleurs.
Je le repousse et lui demande ses capacités. Il me dit se goder régulièrement avec un engin de 23 x 5.5 et qu'il aime bien les gros calibre, son initiateur l'avait habitué avec sa queue de même taille. C'était lui qui lui avait offert le gode.
Jona ne prend plus de gants et lui met direct 3 doigts qui passent bien. Comme je ne suis monté que d'un 20x5 et Jona d'un simple 19 x 5.5, je lui dis d'appeler João pour qu'il nous aide au test.
Ma décision fait éclore un grand sourire sur la face de Romain.
En attendant qu'il descende, je me kpote et m'enfile dans le cul préparé. Ok, bien que rodé au 23x5.5, il serre parfaitement mon 20x5.
João arrive et me demande ce que je veux. Je lui explique et il se kpote aussitôt. Je me retire et lui cède la place.
Pénétration lente mais continue de mon poulain dans Romain. Comme il se tait je lui demande ses sensations.
"Trou chaud, bien profond, j'ai la bite bien serrée par sa rondelle. "
 Il le lime quelques instants comme cela avant que Romain ne le repousse, se couche dos sur mon bureau, les jambes relevées et retenues par ses bras et demande à João d'y revenir.
Ce dernier s'enfonce à nouveau, les chevilles de Romain sur ses épaules. Avec Jona je les mate, bandants comme des taureaux.
Romain fait glisser ses jambes pour les serrer autour de la taille de notre Brésilien. Ça lui permet de l'attirer vers lui et de lui rouler une pelle. Elle doit être bonne car pendant quelques instants, sa sodomie est devenue plus anarchique !
Romain s'accroche au cou de João et j'en comprends la finalité quand ce dernier se redresse et porte Romain sur sa bite. Là on voit le gymnaste entrer en action. João ne bouge pas les pieds écartés bien planté sur le sol. Romain fait tout le travail d'ascenseur. Il se lime la rondelle sur la bite droite de João. De notre côté, Jona et moi pouvons voir le travail de chaque muscle mis en action. Les dorsaux et même les épaules sont sollicités. C'est vrai qu'il ne les avait pas travaillés à la salle !
João apprécie en tout cas. Il le repose sur le bureau et accélère la défonce du petit cul de Romain. Ce dernier alterne pelles et bouffages des gros tétons foncés de son enculeur.
Ils explosent quasiment en même temps, João avec un cri de délivrance non feint ! Romain couvre son torse de longues trainées blanches.
Avec Jona nous n'avions pu nous retenir de nous branler et croisons nos trainées de spermes avec les siennes.
Sans perdre le nord ma nouvelle recrue me demande si ce test là il l'a passée aussi.
Je le déclare bon pour le service et lui propose qu'à terme s'il le désire il pourrait intégrer une coloc avec deux autres de mes recrues. Ce serait plus confortable que sa chambre chez l'habitant et que c'était gratuit bien sûr !
Il me saute au cou de joie ! Une bonne chose de faite pour la diversité d'offre de ma société et je crois pour mon João aussi !!
Jardinier
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lepartidelamort · 2 months ago
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Groenland : Vance et sa goule indienne annulent leur visite face à la colère populaire.
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Les risques de troubles violents font tout s'effondrer !
Vance voulait envoyer sa goule dravidienne annexer le Groenland.
Depuis, la menace d’insurrection générale a fait flancher le plan du gang trumpiste.
C’est qu’indique la presse américaine.
The New York Post :
Une entreprise touristique du Groenland a annulé son invitation faite à la seconde dame Usha Vance après que le vice-président JD Vance a déclaré qu’il se joindrait à elle lors de sa visite sur l’île. La société Tupilak Travel, basée à Nuuk, la capitale du Groenland, a annoncé mardi sur Facebook que la visite d’Usha Vance, qui était prévue, avait été annulée après un « examen plus approfondi ». « Lorsque le consulat américain a appelé hier pour demander si l’épouse du vice-président américain, Usha Vance, pouvait visiter notre magasin vendredi, nous avons répondu qu’elle serait ravie de le faire », a écrit l’entreprise. Bien que le magasin ait déclaré que « tout le monde est le bienvenu dans le magasin », il a poursuivi en affirmant que la seconde dame ne l’était pas.
Très objectivement, le motif ici est sanitaire.
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Elle aurait déféqué dans les allées.
« Après mûre réflexion, nous avons informé le consulat que nous ne voulions pas de sa visite, car nous ne pouvons pas accepter l’ordre du jour sous-jacent et nous ne participerons pas au spectacle de la presse qui, bien sûr, l’accompagne. Le Groenland appartient aux Groenlandais ».
Une délégation américaine comprenant Usha Vance, le conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche, Mike Waltz, et le secrétaire à l’énergie, Chris Wright, doit partir pour le Groenland vendredi. Cependant, le jour même où Tupilak Travel a annoncé que la seconde dame n’était pas la bienvenue, le vice-président Vance a déclaré qu’il rejoindrait son épouse pour le voyage. « La visite d’Usha au Groenland ce vendredi a suscité tellement d’enthousiasme que j’ai décidé de ne pas la laisser s’amuser toute seule et de me joindre à elle », a déclaré M. Vance dans une vidéo publiée sur le site X.
J’ai hâte de visiter le Groenland vendredi !
Ces gens racontent absolument n’importe quoi.
Je n’ai jamais vu des gens mentir aussi agressivement, sauf des juifs.
M. Vance a indiqué qu’il se rendrait à Pituffik pour visiter le 821e groupe de la base spatiale de l’US Space Force. Il a également déclaré qu’il voulait « vérifier ce qui se passe en matière de sécurité au Groenland ». « Nous voulons redynamiser la sécurité du peuple groenlandais, car nous pensons qu’il est important de protéger la sécurité du monde entier », a déclaré le vice-président. « Malheureusement, les dirigeants américains et danois ont ignoré le Groenland pendant trop longtemps. C’est mauvais pour le Groenland, mais aussi pour la sécurité du monde entier. Nous pensons pouvoir faire évoluer les choses dans une autre direction, et je vais donc m’y intéresser ».
Les Hindous n’ont pas leur mot à dire à propos d’Hyperborée, Gujarat Vance.
Occupe-toi de se désinfecter les mains.
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Le premier ministre du Groenland, Mute B. Egede, a exprimé son mécontentement à propos de la visite avant que M. Vance ne décide de l’accompagner et a accusé les États-Unis de faire une démonstration de puissance « très agressive ». « La pression très agressive exercée par les États-Unis sur la société groenlandaise est désormais si grave que le niveau ne peut plus être relevé », a déclaré M. Egede dimanche en fin de journée, lorsque la nouvelle a été annoncée. « Jusqu’à récemment, nous pouvions faire confiance aux Américains, qui étaient nos alliés et nos amis, et avec lesquels nous aimions travailler en étroite collaboration… Mais ce temps est révolu ». Le premier ministre s’est également interrogé sur les raisons de la participation de M. Waltz à ce voyage. « Son seul objectif est de démontrer son pouvoir sur nous », a déclaré M. Egede. « Sa simple présence au Groenland alimentera sans aucun doute la croyance en la mission de Trump – et la pression augmentera. »
Il a suffi de quelques semaines pour que Trump mobilise la totalité du Groenland contre lui.
L’indépendantisme local a complètement disparu.
C’est le talent de cet octogénaire sénile.
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Hyperborée veut rester au sein de l’Europe, notre grande famille historique et culturelle.
Y compris nos Eskimos.
*** Note : si les Australiens ont des aborigènes, nous avons le droit d’avoir des Eskimos. Les Eskimos sont mieux que les Aborigènes, même s’ils mangent des bébés phoques vivants.***
Malgré la rhétorique des souverainistes d’Asselineau ou de Philippot (ou de NDA et je crois d’autres encore de groupes dont j’ai oublié le nom), l’Europe exerce sur les esprits de notre race un puissant pouvoir d’attraction.
Le Groenland veut être un état dans l’Union Européenne, et en fait incarner le pôle spirituel de notre continent, Hyperborée.
Pas croupir sous la botte américaine, noyé de Fentanyl.
Comment une terre aussi pure que le Groenland pourrait vouloir être gouvernée par une Amérique contrôlée par les juifs, repeuplée d’Indiens, de chicanos et de gens marron venus du monde entier ?
Ça n’a aucun sens.
L’Amérique est la latrine du monde connu.
Les organisateurs américains ont frappé aux portes de la capitale du Groenland pour essayer de trouver une famille qui inviterait Mme Usha Vance à leur arrivée. Ce fut un échec. Tout le monde a refusé. À la place, une grande manifestation contre les menaces américaines de prise de contrôle du Groenland était prévue. Se rendant compte du désastre en termes de relations publiques, les Américains ont finalement annulé la visite.
S’il vous plaît, laissez tomber. Les habitants du Groenland ne veulent pas être des Américains et ne peuvent être achetés, soudoyés ou persuadés. Ils n’ont rien fait pour mériter cette agression. Le Danemark non plus. Les frontières internationales doivent être respectées.
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Les Américains en obésité morbide n’ont aucune espèce d’idée de ce que pensent les gens en dehors de leur bulle cognitive. Ils pensaient réellement que le Groenland les accueillerait en libérateurs.
L’Amérique ne suscite pour l’essentiel que du dégoût, sauf, effectivement, pour quelques gens bizarre qui croient Musk va vraiment coloniser Mars.
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Démocratie Participative
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meirimerens · 1 year ago
Note
tu vivais à Varsovie avant nn? jvais voir un ami en pologne cet été pas loin le warsawa et j'ai jamais parlé la langue. tu as des conseils?😭
oh bébou'e j'ai jamais vécu à Varsovie j'y ai juste passé une semaine avec des amis et je sais pô parler Polonais non plus 😭
j'ai pas de conseils qu'un blog pour voyageurs/touristes ne pourrait pas te donner, j'ai passé 9 de mes 10 jours en Pologne collé à mes potes comme ça:
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à part quand je suis rentrée seule à Cracovie en train et me suis démerdé pour prendre un train jusqu'à l'aéroport.
mon conseil: la plupart des gens à Varsovie comme à Cracovie (mais à Cracovie plus, j'ai remarqué) ont l'habitude des touristes. la plupart du personnel de bars, cafés, même la petite mamie qui m'a vendu mon ticket de train à Cracovie, etc comprend l'anglais, parfois le parle, t'es jamais complètement perdu'e.
ok véritable conseil: APPREND LA PRONONCIATION POLONAISE. ça a l'air effrayant comme ça mais en vrai c'est bien plus facile que même le français. tu peux même juste lire le wiki c'est easy as fuck. t'auras juste besoin de surmonter tes réflexes (example parlant: j'ai à 5 reprises prononcé "dworzec" en "dvojeK" (à cause de bec, sec, etc) alors que c'est "dvojeTS" mais ça rentre. je dis ça parce que si tu dois aller quelque part et demander à quelqu'un, au moins savoir prononcer le nom de l'endroit, si c'est la seule chose que la personne à qui tu parles comprend (rare, comme j'ai dit la plupart des gens parlent anglais au moins un petit peu)
autre conseil: apprend comment on dit bonjour (dzień dobry), pardon/excusez-moi (przepraszam), SVP (proszę), par carte SVP (kartą, proszę) (<- en vrai super important pendant mon voyage, je l'ai appris sur le coup en écoutant ce que disait mes potes à la caisse), merci (dziękuję), au revoir (do widzenia) en polonais. pour moi c'est le minimum, montrer que tu fais au moins un petit effort. (si ça a l'air effrayant tkt, lis le guide de prononciation et ça vient tout seul). bien que en tant que grande ville les gens aient l'habitude des touristes y'a des cons parmi eux comme toujours donc soit poli'e, respecteu'x'se, fait pas chier le monde, dis bonjour merci au revoir, et en vrai tout devrait bien se passer fr.
pro-tip prononciation si tu prends le train/le tram/le métro, lis le nom des arrêts et écoute la voix de l'annonceur comme ça tes yeux et ton cerveau connectent l'écriture à la prononciation.
sinon j'ai rien fr. flatté que tu aies cru que je vivais en Pologne parce qu'en vrai je me suis éclatée il me tarde d'y retourner mais je saurais pas te faire une phrase en Polonais. gare de train de [town name withheld] my beloved.
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chifourmi · 1 year ago
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Ça fait depuis septembre que je cherche quoi faire après janvier et j'ai toujours pas trouvé. Je viens enfin de comprendre que la formation que je veux faire ne me donne pas le droit de faire un job étudiant. Puis j'ai vraiment pas envie de voyager tout de suite parce que je viens à peine de recevoir de l'argent grâce à mon job étudiant et j'ai envie de faire des économies. J'en ai marre purée je ne sais pas quoi faire!!!!
J'ai envoyé un mail à la secrétaire de mon école pour lui poser mes questions en précisant que j'avais conscience que ce n'était peut-être pas son rôle mais dans les universités ils ont carrément des conseillers qui peuvent accompagner les étudiants donc en haute école il devrait y en avoir aussi, non??? Mais ça fait une semaine et elle ne m'a pas répondu alors qu'elle répond assez rapidement d'habitude.
Bref, j'ai l'impression que le monde entier me dit de me démerder depuis 5 mois. Je suis censé faire quoi??? Je vais glander jusqu'en septembre?? Purée j'en ai trop marre. Le temps de trouver quelque chose on sera déjà en septembre. Là j'ai envoyé un mail à inforjeune pour leur poser mes questions, on verra bien.
À la limite le seul truc que je me vois faire c'est du bénévolat. Sauf que le bénévolat tu le fais pas tous les jours et t'es pas payé. Je vais quand-même pas me lancer dans un CDD le temps de pouvoir commencer mon Master en septembre?
Je suis à bout de nerfs, j'ai envie de chialer. En fait je suis tellement énervée qu'on soit si peu informés et livrés à nous-mêmes du jour au lendemain.
(30/01/2024)
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ladyniniane · 1 year ago
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Coucou ! :D
Pour le jeu des questions avec les fruits, si ça t'inspire et ne te gêne pas : 🍑 🍏 🍈 ?
Merci beaucoup d'avance ! :D
Coucou et merci pour les questions :D
Fruit emoji ask game for fic writers
🍑If you could make a connection between your favorite character and another work you care about (whether a crossover/fusion or a wonderfully “pretentious” literary reference) what would it be? How would it work?
J'avais pensé à faire un "crossover" entre FE3H et la nouvelle La Gorgone de Tanith Lee. Dans cette histoire, on suit un auteur qui se rend en Grèce pour écrire. Il va développer une obsession pour une île qu'il entrevoit aux larges et dont les habitants lui disent qu'elle est habitée par une gorgone. Il finit par s'y rendre et découvre que la gorgone est une femme victime d'une paralysie faciale et qui est donc ostracisée à cause de sa différence.
Dans le scénario qui en était inspiré, Sylvain était un journaliste qui se rendait en Grèce pour faire un récit de voyage (c'était un univers type XIXème siècle). De la même manière, on l'avertissait de ne pas se rendre sur une certaine île. Sauf qu'il découvrait en vérité que les habitants de l'île en question étaient en réalité les bons Agarthans qui faisaient partie d'un groupe incompris et rejeté à cause de superstitions locales.
J'ai aussi très, très, très envie de faire un crossover FE3H/L'éveil d'Angantyr, avec Hervor qui va chercher l'épée de son père dans les collines en feu. La base est posée (c'est pas pour rien que le père de Svanhild et Rusla s'appelle Angantyr et leur mère Töfa) donc il n'y a plus qu'à.
🍏 Is there something you overuse, whether it’s a certain phrase, trope, or piece of punctuation?
Dans les tropes que j'utilise beaucoup trop, il y a la nuit comme refuge, ça je le fais plus ou moins inconsciemment. J'utilise pas mal de métaphores à base de sang aussi ?
Et puis bien sûr il y a l'héroïne guerrière. J'aime quand mes héroïnes peuvent se défendre et participer aux scènes d'actions (quand j'étais petite j'étais frustrée de voir les personnages féminins rester à la maison pendant que les héros allaient vivre des aventures épiques et intéressantes) donc au final...je n'en ai aucune qui ne sache pas se battre (ça fera grincer des dents chez certains, mais je m'en fiche). Il y a peut-être une exception avec Sophia, la protagoniste de mon nouveau projet "Ange qui devient humaine", mais dans les faits je ne sais pas si ça va longtemps rester comme ça et j'ai en tête une scène où elle balance le contenu d'un encensoir à la tête d'un assaillant donc euh...voilà.
Beaucoup de mes personnages ont aussi perdu quelqu'un ou quelque chose et doivent meubler ce vide.
🍈 Who’s your blorbo and what are some of your favorite headcanons/ideas about them that repeatedly show up in your fics? Free pass to rant about blorbo opinions.
On va parler de Rhéa :D Vu que je n'ai pas trop l'occasion d'écrire sur elle parce que...scénario(mais on va bientôt la revoir).
J'aime énormément Rhéa, j'aurais aimé en voir plus. Elle aurait tellement de chose à raconter. J'aime que ce soit un personnage intéressant et gris, qui a pris des décisions complexes pour le bien commun. Mais toutes ses décisions restent compréhensible et finalement qu'aurait-on fait à sa place ? (enfin, ça c'est si on est de bonne foi bien entendu).
Rhéa est absolument badass. Dès la scène d'intro du jeu, tu comprends qu'elle n'est pas là pour niaiser. Elle n'a pas besoin d'un homme pour la sauver et lui tenir la main. Non, elle se venge de ceux qui ont détruit son peuple. L'humanité ne lui a montré que le pire et pourtant elle n'a pas abandonné.
Voici quelques headcanons :
-Rhéa est une de seules personnes à pouvoir remettre Macuil à sa place.
-Elle conserve beaucoup d'objets des personnes qu'elle a apprécié et côtoyé et qui sont aujourd'hui morts.
-Elle était très heureuse de revoir Flayn après tout ce temps. Rhéa l'écoute quand Flayn vient se plaindre de son père et lui donne des conseils. Elle note aussi avec nostalgie combien Flayn ressemble à Liath. Même si la pêche c'est pas trop son truc, elle aime passer du temps dehors avec sa famille.
-Les noms de ses golems sont ceux de gens auxquels elle tenait...même des gens très ordinaires. Marcelle et Simone étaient un couple de femmes qui vivaient au monastère. Marcelle était une cuisinière dont Rhéa adorait les plats et Simone une chevalière avec une personnalité simple et franche.
-Elle serait très heureuse de voir Catherine se mettre en couple avec Shamir et essaierait même de les rapprocher.
-Elle est très faible après son séjour thalasso AHEM sa détention dans le palais d'Enbarr (manque d'exercice, isolement etc.). Elle s'entraîne ensuite avec Catherine et Enid pour retrouver son niveau d'avant.
-D'ailleurs je suis désolée mais elle ne retourne pas seule à Zanado après les événements du jeu ! Elle reste à GM avec sa famille !
-Elle avait beaucoup d'affection pour Sitri et lui a donné une excellente éducation. Je reviendrai dessus dans ma fic, mais Sitri était en gros la secrétaire de Rhéa et tenait une correspondance avec beaucoup de gens à l'extérieur. Même sans sortir, Sitri était quand même capable de faire entendre sa voix et d'influencer le monde. Elle aimait aussi beaucoup débattre avec les savants qui venaient au monastère.
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alain-keler · 1 year ago
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JOURNAL D’UN PHOTOGRAPHE / SPÉCIAL BNF / J-4
L'exposition "La France sous leurs yeux." Deux cent regards de photographes sur les années 2020, à la Bibliothèque Nationale de France, site François Mitterrand, du 19 mars au 23 juin 2024.
Après une si longue absence 
L’Auvergne est la région qui m’a vu naitre et dans laquelle j’ai vécu jusqu’à l’âge de onze ans. L'Auvergne, dans la zone libre, fut aussi la région de refuge de mes parents et de mes grands-parents pendant la seconde guerre mondiale. Mes grands-parents, chassés par l'antisémitisme et la pauvreté en Pologne sont venus y chercher un refuge. Refuge éphémère puisque la déportation les rattrapa. Pour eux un voyage sans retour. Pour moi une Histoire de vie, de mort. Une histoire d’une certaine France, celle de mon enfance.
Mardi 31 mai 2022.
La Chaumette, Haute-Loire. RDV avec Anaïs. Elle est technico commerciale, vend et assure des suivis et conseils techniques de produits naturels pour le travail du sol. C’est par le cousin de Claude, la femme de mon plus vieux copain Henri que j’ai eu ce contact. On a rendez-vous avec Pierre, 26 ans, exploitant agricole, 70 hectares, 110 à 120 bêtes, viande et veaux de boucherie (veaux sous la mère), c’est comme ça que l’on dit. Il est seul à travailler dans l’exploitation.
Anaïs est super pro et très sympa, jeune comme l’exploitant photographié.
© Alain Keler /MYOP/Grande commande photojournalisme
#Grandecommandephoto #RadioscopiedelaFrance #BnF #ministeredelaculture #Photojournalisme#photographie #France #lafrancesousleursyeux
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th3lost4uthor · 2 years ago
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Les nouvelles expériences d’une vie sans fin (8.1/15)
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Plusieurs jours s’étaient à présent écoulés depuis l’incident de la salle d’entrainement et, en apparence, les choses semblaient être rentrées dans l’ordre. En effet, chaque matinée se voyait ouverte sur un petit-déjeuner des plus riches, avec l’ensemble de la Confrérie du Tofu et de la famille Sheram Sharm y siégeant chaque fois, parfois rejoint par Maître Joris quand ce-dernier n’était pas occupé dans ses incessants voyages entre Bonta et les terres sadidas, avant que chacun ne vaque à ses occupations. Pour le scientifique, celles-ci se résumaient en une visite à l’infirmerie, ce afin de surveiller la cicatrisation de son bras droit. Il était alors généralement accompagné par Yugo, qui s’était prouvé fidèle à ses vocales inquiétudes concernant l’état de santé de son ainé. Il avait néanmoins été davantage surpris par la visite d’Adamaï lors d’une de ses auscultations. Le dragonnet ivoire s’était invité dans la pièce, ce qui n’avait soulevé que quelques regards inquiets de la part des Eniripsas avant de constater l’absence d’urgence dans cette interruption, et avait commencé à ��changer avec son frère Éliatrope. Le savant n’avait pourtant pas manqué de relever les discrets regards jetés à sa main que l’on finissait de bander, mais dont la peau aux plaques rougeâtres, débutant à peine son cycle de régénération, se laissait entrapercevoir. Ses narines s’étaient offusquées de l’odeur se dégageant de la chair brulée, et son regard avait pris une teinte d’horreur… de remords peut-être également ? Il n’en était pas bien sûr. Il n’avait pas reçu d’excuses – non pas qu’il en attendait – mais avait été sincèrement surpris par cette réaction, tout comme il le fut quand il en avait entendu les raisons par Yugo :
« Ad’ s’interroge beaucoup ces derniers temps… Il s’est rendu compte que… il, enfin nous – les Éliatropes et les dragons – avons des pouvoirs incroyables. » Il n’avait pas répondu, n’avait pas souhaité briser ce début d’interaction. « Mais que cela signifie également que nous devons apprendre à les contrôler pour… » Ses yeux s’étaient portés sur les marques écarlates. « …éviter des accidents… de blesser les autres. »
           En sachant la proximité du jeune dragon avec Phaéris, et de par les nombreuses remontrances ou piques régulièrement lancées à son encontre, il ne se permettait pas de croire en un si tôt changement de cœur. En particulier compte tenu des mensonges qui avaient constitués leurs interactions lors de son… « premier retour ». Adamaï s’était senti le plus trahi par ses actes, et cela pouvait aisément se comprendre. Après tout, ils étaient restés plusieurs semaines, voire mois dans l’enceinte même de ces murs ; le dragonnet à lui raconter leurs aventures passées et à s’enquérir de l’histoire de leur peuple, et lui à… lentement tisser la toile qui aurait dû lui permettre de réparer ses torts. De réunir leur famille.
 Enfin, tout cela,
c’était avant ce maudit « conseil »…
À croire que ce mot
porte en lui
toutes les crasses et coups-bas de cet univers.
           Lorsque la grande horloge sonnait neuf heures, il regagnait généralement sa cellule pour y tenter de développer tel ou tel aspect du poison qui devait leur permettre de vaincre le Nephylis sévissant au dehors. Lorsqu’il en avait la nécessité, il s’installait dans le laboratoire « d’urgence », qui avait été conçu spécifiquement pour l’avancée de ses travaux. Le matériel n’y était pas des plus adaptés, mais il avait apprécié l’effort et n’avait nullement bronché lorsqu’on lui avait troqué sa ridicule table d’expérimentation contre la pièce aux larges fenêtres et aux étagères fourbies de ressources, ouvrages et autres verreries. Le seul bémol était la nécessité d’une supervision constante dans ces périodes étant donné les trop nombreux aléas dont il aurait pu se servir pour causer quelques manigances que ce soit… Si ce n’est s’enfuir.
 Les pouvoirs du Cube sont certes impressionnants,
mais sans lui et avec ce satané collier,
ce n’est pas comme si j’avais la possibilité de m’envoler !
           Il n’avait pu s’empêcher d’inspecter l’horizon… pour le découvrir aussi vert et vide que le paysage visible depuis sa minuscule lucarne. Vraiment, tenter une sortie serait synonyme de défenestration dans ces circonstances. Il s’était déjà plusieurs fois brisé les vertèbres au cours de sa longue existence, parfois de façon mortelle. Souvenir d’une nuit d’hiver passée sur une falaise déchirée par les bourrasques d’une tempête, à tenter de sécuriser comme il le pouvait l’humble bicoque qu’il partageait alors avec Shinonomé… Il faisait noir. Le vent giflait son visage. Il ne savait plus quand il avait cessé de sentir la flamme de leur âtre lointain dans son dos. Il avait glissé, avait tenté de se rattraper à la moindre herbe folle ou rocaille, d’ouvrir un portail malgré le vertige effréné qui l’engloutissait. Il ne se souvenait que d’un craquement abject, qui avait retentit dans tout son être. Il avait d’abord cru à des branchages ayant miraculeusement amorti sa chute – il souffrait atrocement, il avait envie de… de hurler jusqu’à s’étouffer, il éprouvait encore la douleur, donc… Il était vivant non ? Non. Il avait voulu éclater de rire, pour se moquer de la mort, voire de sa propre maladresse, oublier ce brasier dans ses veines… Ses poumons n’avaient craché qu’une gerbe de sang, aussitôt absorbée par sa tunique dont dépassaient d’étranges crocs blancs entachés de rouge. La fin de cette histoire ? Il ne la connaissait que par sa sœur dragonne, lors de leur réincarnation suivante, quand elle lui avait raconté comment elle… l’avait retrouvé le lendemain.
 Shinonomé… Héhé…
Que n’avons-nous pas traversé ensemble ?
Que ne lui as-tu pas fait subir, h- ?!
Silence !
           Autant dire qu’il ne s’était plus approché des fenêtres, préférant envoyer quiconque était désigné ce jour-là comme son chaperon à la corvée d’aérer le laboratoire entre deux manipulations. À chaque journée son visage : de la princesse au mineur, de l’archère au guerrier, du simple soldat à l’éminent Maître Joris, c’était un véritable bal qui se pressait pour surveiller, avec plus ou moins de compréhension, le moindre de ses actes. Mais s’il se devait de l’avouer, alors les longues sessions passées en compagnie de Yugo étaient de loin ses préférées. Le petit Éliatrope était… vivant, il ne savait pas comment le décrire autrement. Son sourire vous intoxiquait plus vite qu’une once d’aconit, et sa voix enjouée, posant mille et une questions à la seconde, était un plaisir à ses oreilles, qui n’avaient que trop longtemps souffert du silence. Il avait toujours eu cette « énergie », qui n’avait pourtant rien à voir avec le Wakfu qui le parcourait, cela était bien plus… pur, brut… authentique. Comme l’une de ces géodes exposant les gemmes et cristaux de ses entrailles au vent. Ils parlaient de tout, comme autrefois.
 Yugo souhaitait savoir comment s’organiser leurs cités avant l’Exode ?
Il en griffonnait les contours entre deux formules alchimiques.
Yugo s’interrogeait sur leurs fêtes et cultes ?
Il se lançait dans une longue narration sur la Nuit aux Lanternes.
Yugo surprenait un changement dans sa maîtrise ?
Il lui expliquait les étapes de développement des Éliatropes…
le tout ponctué d’anecdotes sur leurs frères et sœurs.
           Une fois, le plus jeune évoqua Shinonomé au détour d’une conversation. Renouvelant son désir de mieux connaître celle qu’il n’avait entraperçu qu’un instant et alors piégée dans son Dofus, il avait poursuivi son enquête familiale, mais, releva le scientifique, toujours en prenant garde à la tournure de ses phrases ; toutes empreintes de révérence pour la dragonne… mais également envers lui-même. Et à ces questions aussi, il avait répondu. Si certaines avait fait naître un sourire et d’autres un tremblement dans la voix, il avait su se faire maître de ses émotions, n’en laissant aucune transparaître plus que de raison. Toutefois, il n’avait pu que succomber à la paralysie lorsqu’il finit enfin par lui demander, d’un ton si calme, si doux et pourtant si tranchant :
 « Hey, hum, Qilby ? Qu’est-ce que ça fait quand… » Il avait repris son souffle, son regard cherchant l’autre. « Qu’est-ce que ça fait quand on perd… enfin, tu sais ? »
           Le martèlement régulier du pilon contre les feuilles d’amordica cessa. Pendant un long moment, il avait contemplé quelque chose, au loin. Un souvenir ? Il avait fini par soupirer, une longue exhalation comme si l’air pouvait emporter un peu de l’amertume qui lui rongeait le cœur, et il s’était avancé vers Yugo. L’enfant, voire bientôt adolescent, s’était étonné de cette approche, mais n’avait pas reculé pour autant. Il avait alors vu son ainé s’agenouiller, malgré l’effort que cela semblait demander à ses articulations, avant de le fixer droit dans les yeux, captivant toute son attention.
 « Dis-moi Yugo, qu’as-tu ressenti quand Adamaï était possédé par ces démons ? » Une grimace s’accapara aussitôt des traits de l’intéressé.
« Je… C’était horrible, c’était comme si… Je ne sais pas… » Il porta une main à sa poitrine. « Comme si on m’arrachait une partie de moi-même. J’étais tellement en… en colère, je voulais leur… Je voulais te-… !
-Très bien, très bien. Yugo ? » La petite coiffe turquoise se releva. « Maintenant, imagine… » Un élégant doigt vint se poser contre le poing serré. « Imagine donc ce sentiment, cette peine, cette rage, cette solitude, cette impuissance, ce… ce « vide » t’envahir chaque jour de ton existence. » Les yeux de Yugo s’étaient écarquillés d’effroi à cette simple perspective, mais il avait continué malgré tout. « Imagine te lever un jour pour découvrir un monde identique à celui de la veille : les mêmes personnes, les mêmes discussions, les mêmes parfums, les mêmes couleurs. Rien n’a changé. Et pourtant, rien n’est pareil… Car la seule chose qui n’est plus la même… C’est toi. » Il s’était relevé, regagnant sa paillasse et ses fioles. « Et tu pourras faire ce que tu veux, dire ce que tu veux, jamais ce sentiment ne partira. Oh, bien sûr il pourra s’atténuer avec le temps, mais il aura toujours une place dans cette « vie ». Le monde sera le même… mais toi, tu auras changé. » Il avait repris ses activités, fixant délibérément les fibres broyées sous ses coups. « Et tu te demanderas si, en fin de comptes, ce que tu es le seul à éprouver, cette… « anomalie » que tu es le seul à percevoir… » Dans un murmure. « … ce n’est pas tout simplement toi-même. »
           Ils étaient alors restés plusieurs minutes dans un silence des plus sérieux, uniquement perturbé par l’entrechoc des instruments ou le sifflement de quelques alambics. Yugo l’avait observé avec une grande attention, avant d’oser, d’une voix empreinte de chagrin :
 « Elle… Elle te manque, pas vrai ? » Il s’était redressé brusquement, gêné. « P-pardon, c’est une question s-stupide, bien sûr que- je- !
- Oui… terriblement… » L’autre s’était arrêté. « Shinonomé, elle… Je n’ai pas les mots pour t’expliquer à quel point je… Ce que je pourrai donner pour la revoir…
- C’est pour ça que- enfin, je comprends. »
           Yugo s’était tu un instant, mais derrière ses boucles blondes, vous pouviez voir ses pensées et nouvelles interrogations s’animer. Ils avaient passé le reste de la matinée au laboratoire, changeant de sujet pour des thématiques plus légères, avant de débarrasser les tables des plans et accessoires les recouvrant pour aller les entreposer dans la cellule du vieil Éliatrope puis rejoindre la grande salle où le repas de midi serait servi. Ce-dernier pensait la discussion close, quand soudain :
 « Et, euh… Qilby ? Pour nous, comment… ?
-Hum ? » Il avait réajusté une sacoche sur sa bonne épaule.
« Je veux dire… tu te souviens de toutes tes vies, c’est ça ? Alors tu as très certainement dû assister à… à au moins l’une de nos morts. » Il s’était tendu, son échine dorsale relâchant un frisson glacé. « Qu’est-ce que tu as ressenti quand… ? »
           Il n’avait pas répondu.
           Une fois un solide repas avalé, les oreilles aussi pleines d’histoires et racontars comme l’étaient l’estomac de mijotés et autres mets délicats, il retournait bien souvent à ses notes pour le reste de la journée. Cependant, il était devenu assez commun que ses heures d’étude ne soient interrompues lorsqu’au mur, sonnait enfin 15 heures. En effet, bien plus souvent que rarement à présent, la lourde porte bois de sa cellule laissait entrer un invité plutôt que l’une des innombrables petites mains du Palais, qui prenaient à peine le temps d’inspirer avant de fuir ce lieu et retourner se tapir aux cuisines. Par deux fois maintenant le vieux mineur, dénommé Ruel, s’était permis de franchir le seuil, plateau chargé sous le bras et phorreur sur ses traces. Depuis leur première interaction, Qilby avait appris à tolérer sa présence ; il lui arrivait même d’apprécier certains de leurs échanges quotidiens. Le vieil homme avait de nombreuses décennies derrières lui, tout comme lui avait de siècles, ce qui leur permettait presque de s’exprimer sur un ton égal : ils étaient deux âmes éreintées par le temps, qui avaient connu les tumultes de la jeunesse, les « premières fois »… Honnêtement, trouver un compagnon avec qui ressasser quelques souvenirs ou encore se plaindre des dérives actuelles, voilà des moments auxquels il n’avait pas eu l’occasion de s’adonner depuis longtemps. Certes, il y avait bien eu certains de ses frères ou sœurs par le passé, lorsque le hasard des réincarnations les laissait grandir côte à côte… Mais combien d’entre eux avaient accepté sa condition d’éternel observateur ? Combien avaient réellement considéré, et plus encore, reconnu sa malédiction ? Bien peu…
         Ce qui le menait à la seconde personne venant le visiter à l’heure du thé : l’archère. Après leur entrevue secrète, le scientifique préférait ne plus employer le nom « d’Evangeline » en s’adressant à cette-dernière – si son visage avait tout d’un être céleste, son esprit calculateur et sa langue acérée avaient révélé un être terrifiant. Il se contentait alors de formules de courtoisies, telles que « Ma dame » ou encore « Très chère », qui si elles possédaient cette légère froideur polie, n’étaient pas moins dépourvues d’un sincère respect. Et, chose étonnante, celui-ci lui était rendu. Il lui serait difficile de décrire le sentiment qui l’envahissait à chaque fois, aussi rares soient-elles, qu’il entendait ce très sobre « Messire ». Il n’avait jamais couru après les titres – il ne s’agissait que de mots de couverture, qui n’étaient que mieux tordus une fois le dos tourné – et pourtant, la petite flamme qui s’était allumée dans sa poitrine refusait de s’éteindre à son entente. Elle s’animait quand la jeune femme prenait garde à prendre à deux mains la tasse qui lui était offerte, frissonnait quand elle veillait à ne pas verser trop vite l’eau chaude dans celle de l’Éliatrope, et prenait une lueur nostalgique quand elle se risquait, même par légère moquerie, à employer des « cher Docteur » ou « Major ». Étrangement, ce-dernier avait fait rire l’archère aux éclats : le nom ne lui était, selon ses dires, pas des plus appropriés... à moins de prendre en considération qu’il ait « majoré » en conquêtes échouées. Peut-être aurait-il mieux fait de ne pas s’étendre sur sa carrière militaire, bien que pâle en comparaison de celles qu’avaient pu mener Chibi et Yugo. Et pour autant, il n’en avait cure, car pour une fois... Pour une fois… Quelqu’un l’écoutait.
 Je vois, c’est donc comme cela que tout a commencé…
Ah, Nora est l’une de vos sœurs cadettes je me trompe ?
Et comment êtes-vous parvenu jusque-là ?
Les… Méchasmes ? Ah oui, je crois que vous nous en aviez déjà vaguement parlés.
Donc, c’est ainsi que vous…
Oh ! C’est… oui, je… je comprends.
Mais alors…
Vous avez-
Je suis désolée.
Par Crâ…
           Au-delà des commentaires, qui venaient ponctuer ses récits sans en rompre la mélodie, elle avait également cette pertinence, cette… intuition à la limite d’un autre sens qu’elle était seule à maitriser. À chaque pause un brin trop longue, même infime de sa voix, elle le relançait avec un doux intérêt (« Très honnêtement, je ne sais pas comment j’aurai moi-même agi… Votre famille a dû grandement souffrir de ce départ, hum ? ») ; à chaque grincement de dents ou détournement furtif du regard, elle inspirait profondément, le ramenant au calme (« Il ne vous a pas laissé le choix en un sens. Sans cela, vous n’en seriez pas arrivé là… ») ; à chaque frémissement de sa voix, elle se rapprochait de son fauteuil, parfois même jusqu’à ce que leurs genoux se frôlent (« Ce « Aroh »… Vous… l’appréciiez grandement, n’est-ce pas ? »).
         Et s’il osait se l’avouer, alors il dirait que ces après-midis avaient su trouver une place particulière entre les rayonnages de sa mémoire. Après des siècles passés à errer parmi ces couloirs bardés d’ouvrages, se perdant dans des volutes nocturnes que les étoiles avaient fuies, à arpenter ces cours et salles d’études que son emprisonnement l’avait conduit à saccager… à réduire en cendres pour en imprimer les murs de sa rancœur… Après tout ce temps, captif de ses souvenirs et pourtant incapable d’en relire la moindre ligne… Il en avait presque oublié les annotations laissées dans les marges. Les commentaires qu’une main passée mais sienne avait inscrits le cœur léger, détaillant avec emphase tel évènement, telle rencontre, tel repas… telle expérience.
 Aujourd’hui, Glip est enfin parvenu à tenir en vol
avec Grougaloragran plus d’une demi-heure : il a tellement progressé !
 - Notes pour futur laboratoire -
 Rappel à moi-même : ne plus jamais autoriser Yugo
et Adamaï à rester dans la cuisine sans surveillance.
 Ils grandissent trop vite, je ne pensais honnêtement pas arriver au jour
où je regretterai les couches et les biberons…
 Dessin de Nora en copie ; 21 Sombrefeuille 12 648 (voir rouleau section A75/IS-9782862606712)
 Je jure que si je dois encore passer une minute de plus à
écouter Chibi se plaindre de ses relations amoureuses,
je retourne dans mon Dofus pour au moins deux cycles !
 - Correction du projet d’amendement A7ib2 -
 Que dit un cuisinier satisfait de son apprenti ?
Qu’il « gougère » ! – Efrim, 5 Frêlaube 5 847
 Mina a prononcé son premier mot aujourd’hui : « Qwi-bi »
… Ma petite luciole est si intelligente !
           Il s’était perdu dans ses chapitres les plus noirs, ceux-là mêmes où l’encre, mêlée de larmes et de sang, qu’il soit le sien ou non, vous aspirait dans les entrailles, « la Source ». Cet éternel abysse, où si la Dimension Blanche était un jour dans le plus isolé des déserts, alors ce lieu maudit était une nuit au cœur du plus froid des arctiques. Une condamnation à revivre, sensation par émotion, mot par action, le moindre instant que son esprit tordu voulait lui imposer. Ceux emprunts de culpabilité étaient ses favoris, le torturant de ses échecs, ses manquements, ses erreurs… Ses fautes.
         Et pourtant, cette misérable mortelle… Elle l’avait poussé, par sa curiosité, à rouvrir l’un des imposants volumes, ne serait-ce que pour le plaisir d’un paragraphe. Puis, un rouleau abandonné sur une table d’écriture, un recueil à la couverture élimé, un mémo coincé dans une bouteille encore scellée. Petit à petit, ligne après ligne, il avait épousseté ses étagères. Ne soyez pas non plus trop optimistes, car là-bas, dans un recoin, se trouvait encore liasses et pamphlets dont les ombres menaçaient toujours d’envahir le peu d’espace clair qu’il était parvenu à recréer. Un nombre incalculable de rapports listant les pourquoi et comment il en était arrivé à ce misérable état et y avait entraîné son peuple.
         Mais Evangeline s’asseyait sur ce même tabouret de bois noir après avoir apporté un plateau de pâtisseries fines et de fruits frais, il complétait la scène d’une bouilloire et de deux tasses pour s’assoir en face d’elle, dans cet inconfortable fauteuil de cuir… Et le monde pouvait disparaître pendant les deux prochaines heures, si ce n’est jusqu’à tard dans la soirée où l’on sonnait le souper commun. Elle se levait, défroissait sa jupe, il la suivait faisant craquer ses articulations au passage. Un regard, une appréciation :
 « Eh bien, je vous remercie pour cet après-midi.
- Le plaisir fut mien.
- J’espère, cette fois-ci, vous voir manger davantage qu’au diner d’hier soir. » Lui avait-elle lancée nonchalamment. « Vous ferez plaisir à Yugo en avalant plus que trois feuilles de salade…
- Oh-ho... » Avait-il sourit dans tout son sarcasme. « Oserai-je voir du souci pour ma santé dans cette requête ?
- Pensez donc à faire corriger vos lunettes… Messire.
- J’y veillerai… Ma dame. »
           Ces innocentes escarmouches n’avaient rien des joutes verbales dans lesquelles il avait pu se lancer avec Efrim ou encore Glip. Mais Déesse ! Qu’il pouvait savourer ces piques mesurées et ces répliques saillantes ! Son esprit affuté avait toujours été l’un de ses plus grands atouts, tout comme fiertés : si on ne lui laissait pas l’opportunité de polir ses mots à l’égard d’autres langues acérées… Il s’abimait, s’effritait, pour ultimement devenir la mélasse noyant ses pensées, ses écrits… son être tout entier.
         C’est donc le pas léger qu’il descendait jusqu’à la grande salle, ne prêtant même plus attention à l’escorte pourtant armée jusqu’aux dents qui l’y conduisait sans faillir. Là-bas il y retrouverait son frère et ceux qui avaient su se faire ses amis, et lui, ses geôliers. La famille Sheran Sharm représentait toutefois un patchwork intéressant. En effet, si le Prince Armand ne se cachait pas de son dégoût ni de sa rancœur envers le scientifique qu’il avait autrefois considéré comme un hôte ; sentiments que l’Éliatrope lui rendait bien tant l’impertinence de cette herbe revèche pouvait l’agacer (« Vous ne prendrez pas un peu de gelée à la menthe, mon Prince ? Je suis certain qu’elle vous plaira… ainsi qu’à vos invités… » ; « Non, je n’ai jamais assisté à un match de « Boufbowl » : je volais bien avant que vous ne sachiez marcher, à quoi bon, donc, courir après une balle me direz-vous ? »), cela n’était pas le cas de sa jeune sœur. La princesse Amalia était, pour poursuivre la métaphore, une graine différente des autres. Quand elle avait indiqué qu’elle l’invitait à visiter les jardins royaux, il avait tout de suite laissé l’idée de côté, pensant à une énième formule de bienséance mais sans véritable fond. Il s’était trompé. Il ne lui avait fallu qu’une visite impromptue à so-au laboratoire, la Sadida flanquée de son amie d’enfance Crâ pour ne pas rebrousser chemin, lui de Yugo pour ne pas s’inventer une excuse et décliner, pour que les deux se retrouvent autour d’une table de fer blanc, au cœur de l’Arbre Palais, dans l’une des réserves botaniques les plus majestueuses qu’il était donné d’admirer dans le Monde des Douze. Celle-ci n’était clairement pas aussi impressionnante que Zeden, moins grande, plus sombre, plus « désordonnée »… Mais le tout dégageait un sentiment de simplicité, de chaleur, de… « naturel ». Cette idée l’avait amusé, et lorsque celle nommée « Amalia » (comment pourrait-il l’oublier avec son frère ne cessant de lister ses qualités à longueur de journées ?) l’avait observé, interrogée, il s’était perdu dans un comparatif entre leurs deux domaines. Il s’était néanmoins très vite arrêté, se rendant compte qu’associer ce lieu personnel où la Douzienne avait passé son enfance et certains de ses plus beaux souvenirs, à son ancien lieu d’expérimentation, empli de rumeurs et finalement condamné à la destruction, n’était peut-être pas la meilleure des approches. Le savant avait voulu rattraper son faux-pas (il ne voulait pas que cette première excursion en dehors de sa morne routine ne devienne la dernière !), mais alors elle… Elle avait souri. Celle à laquelle il avait menti, dont il avait abusé de l’hospitalité, agressé ses fidèles sujets, pour finalement presque rayer le monde du Krosmoz… Cette jeune pousse, qui n’avait vécu qu’un fragment de sa propre existence, qui n’avait même pas conscience de l’infinité des merveilles qui se trouvaient par-delà les cimes et les étoiles… Qui regardait chaque chose avec autant d’émerveillement que de bienveillance alors que lui n’y voyait qu’un écho, une répétition, une infime variation sans substance… Elle lui rappelait…
 Tss... !
Elle et Yugo se sont décidément bien trouvés.
           Comme promis, elle lui avait présenté la roseraie de son message. La visite avait été plaisante, et les deux amateurs de botanique se perdaient régulièrement dans des discussions tenant des variétés de telle espèce, de l’entretien et mise en valeur de ces-dernières, même de la forêt presque sentiente qui les entourait. Puis, au détour d’une anecdote sur les liens entre son peuple et la flore, la princesse avait souhaité s’aventurer plus loin…
 « Ah ! Et ces aubépines : c’est ma mère qui en a créé la souche. » Elle avait pris un air nostalgique. « Elle était… très douée pour cela ; de simples racines, elle pouvait reverdir une prairie entière. » Plus bas. « J’espère toujours pouvoir un jour atteindre son niveau.
- Je ne peux pas me prononcer sur le sujet… » Avait-il alors répondu, un peu gêné de la tournure sentimentale. « … mais je pense que vos exploits en tant qu’aventurière, tout comme ce jardin, sont autant d’arguments pour dire que, hum, vous êtes au moins sur la bonne piste.
- Je… Merci ! » Sourire éclatant. Pensée fugace derrière des iris noisette. « Au fait ! Je me suis toujours demandé… »
           Elle avait voulu prendre un chemin que les ronces de son âme avaient condamné… Et qu’elles ne relâcheraient pas de sitôt.
 « … Comment était votre mère ? »
           La petite tête verte avait détaillé sa question après cela : son identité, son nom peut-être, à quoi elle ressemblait, savoir si elle avait donné naissance à tous les Éliatropes par elle-même, qui était ce fameux « Grand Dragon » dont parlait parfois Adamaï… Il avait cessé de l’écouter à ce point. Une voix, lointaine, l’avait envahi, ramené des siècles, des millénaires en arrière. La sienne :
 Pourquoi ?!
Pourquoi m’imposer cela ?! Qu’ai-je donc fait, Mère,
pour mériter cela ?
J’ai pourtant suivi vos indications ! Il ne méritait pas de…
Vous n’avez pas le droit de me faire ça ! Pas après tout ce que j’ai fait !
Je ne mérite pas de souffrir ainsi !!
Pourquoi ce silence ? Pourquoi ne répondez-vous pas ?!
Mère ! Répondez-moi !!
Vous…
Vous les avez abandonnés ! Et c’est moi qui les ai recueillis !
Qui les nourris ! Qui les ai protégés ! Qui les ai élevés !
Et maintenant ?! Maintenant qu’ils… ! Maintenant qu’ils sont…
.
Mère… Pitié…
J’ai juste besoin… Je ne sais pas ! De parler ?
D’entendre votre voix ?
Je…
.
Héhé… C’était votre idée depuis le début, hein ?
À vous et Père… Vous… Vous vous ennuyez tant que ça ?
Vous n’aviez pas assez de deux enfants ? Il vous en fallait plus ?!
.
Demain matin… La cérémonie est prévue pour demain matin.
Je ne sais pas si vous… Enfin, vous voulez peut-être
que je transmette quelque chose ?
Cela les réconfortera que vous… Je…
.
Alors c’est comme ça, hein ?
.
Adieu… « Mère ».
 « Hum, je… Messire Qilby ? Vous-… ? » L’autre le ramena au présent. « Tout va bien ? Vous sembliez… absent. Si jamais ma question vous a indisposé, j’en suis d- !
- Non, je… Je me suis juste un peu perdu dans mes pensées. » Avait-il alors répondu, se dégageant rapidement pour rejoindre l’ascenseur. « Je crois que nous devrions rejoindre vos amis, Princesse, l’heure du dîner ne devrait plus tarder.
- V-vous avez raison, nous… » Son regard avait pris une teinte peinée. « Nous devrions remonter, oui. »
           Il n’avait eu l’occasion de revenir en ce jardin qu’une fois depuis cette première excursion, mais cette dernière s’était déroulée sans accroc, la jeune Sheran Sharm ayant appris sa leçon de ne pas poser de questions desquelles elle ne gagnerait qu’un départ précipité. Peut-être le talent de son amie archère avait fini par déteindre sur la Sadida, car elle avait su remarquer les discrets retroussements des lèvres, les coups d’œil agacés ainsi que les tapotements sur la tasse devenant irréguliers. Elle changeait donc de sujet pour quelque chose de plus léger, et ils s’étaient quittés en meilleurs termes.
           La nuit tombée, le scientifique qu’il était refaisait surface, pour noircir ses pages de notes et les marges d’annotions en tous genres. Il veillait alors jusqu’à tard dans la soirée, jusqu’à ce que toutes les étoiles s’allument dans le ciel… Jusqu’à ce qu’il entende les trois battements distincts contre le carreau de la minuscule lucarne. C’était le signal.
         Il se levait, en profitant pour étirer sa longue colonne fourbue par une nouvelle journée de travail, et s’en allait ouvrir à son acolyte. Ayssla avait l’avantage d’être remonté comme une horloge ; une plaisanterie qu’il ne s’aviserait plus de refaire une deuxième fois quand il l’avait fustigé pour oser le confondre avec ce que les habitants de ce monde nommaient un « Xélor » (il se rappelait néanmoins l’avoir déjà entendu de la bouche d’Adamaï au sujet du fameux Nox que lui et son frère avaient affronté avant son retour). Le Steamer avait un grand respect pour les siens, ses origines, mais une rancœur presque aussi profonde quand il s’agissait des institutions qui les régissaient, une autre caractéristique qui les avait rapprochés. Les deux savants n’avaient toutefois pas le loisir d’échanger plus que quelques phrases entre l’entrée de l’ingénieur renégat et la relève des gardes à la porte de l’Éliatrope. Cela n’avait pas empêché le premier pour tenter de nouer contact avec son « patient » :
 « Oooh ! Je vois que vous avez là un thé fort appétissant : verriez-vous un inconvénient à m’en verser une tasse, très cher ? Je travaille toujours mieux avec les rouages huilés - haha ! »
 « Vous savez, j’ai été élevé par un Féca, qui a tout de suite vu le potentiel de combiner mon aptitude pour la mécanique avec son talent pour l’enchantement ! C’est la raison pour laquelle je me suis tant intéressé à la Stasis et à son incorporation dans chacun de mes pro- !»
 « Dites-moi, mon cher Weiß, vous ai-je déjà raconté la fois où j’ai malencontreusement, disons, « remodeler le paysage » de l’Observatoire Garant de la Méchanique (OGM) ? Non ? Ah, je suis certain que vous allez apprécier cette histoire ! Vous aimez les histoires, non ? »
 « Eh bien, eh bien... En voilà une mine sombre ! Vous feriez presque de l’ombre à un Sram -hé ! Vous l’avez ?! Sram… Ombre… Hum, je vois que mon humour ne parvient pas à étirer ces traits maussades. Que diriez-vous d’écourter peut-être notre séance de ce soir, hum ? Je m’en voudrais terriblement si vous veniez à nous faire une syncope en pleine op- ! »
 « Pfiouuuh ! Ces murs sont toujours aussi hauts, et leur ascension n’est pas sans me rappeler que mes moteurs ont besoin d’une petite révision ! »
           Aussitôt le claquement des bottes se faisait entendre de l’autre côté, aussitôt le torrent de murmures cessait pour être remplacé par un silence d’une incroyable clarté. Pour autant, Qilby appréciait ces échanges, autant que ces-derniers puissent porter ce nom du fait qu’il avait rarement l’opportunité de répondre. Mais il aimait entendre des nouvelles venant de l’autre côté de ce globe. Ayssla avait raison : il avait toujours été fasciné par l’inconnu. Lui qui avait horreur de ses souvenirs, il avait néanmoins toujours nourri une soif infinie pour ceux d’autrui : ces paysages, ces langues, ces cultures, ces savoirs… ces expériences. Toutes ces choses que son esprit ne pouvait qu’effleurer, mais qui semblaient si vivantes dans la bouche de ces âmes étrangères ! Il avait été maudit par l’ennui d’une existence monotone, et depuis lors, n’avait eu de cesse que de combler ce besoin d’étendre son horizon. Quoi de mieux alors, que ces canevas que lui fournissaient ces bardes, voyageurs et autres aventuriers, dont les couleurs n’attendaient que d’être ravivées par ses propres découvertes ? Il s’était donné la mission de revenir sur ces lieux mythiques, d’apercevoir cette créature inconnue, d’étudier ces ruines oubliées…
         Une nuit, alors que lui et le Steamer étaient afférés à l’un des nombreux tests de leur « création », il ne saurait expliquer comment, mais il parvint à s’endormir durant l’une des procédures. Il se souvenait d’Ayssla, faisant virevolter ses outils comme s’il s’agissait d’un quelconque spectacle de foire, ne prenant une pause dans son « protocole » que pour en évaluer la résistance. Il se souvenait de la douleur, irradiant depuis l’intérieur de son être pour parfois venir se heurter avec fracas contre l’énergie du collier, comme des vagues contre les falaises. La souffrance était un concept tout comme une sensation qu’il ne connaissait que trop bien, et son corps avait dû reléguer les épines de métal dans sa chair ainsi que son Wakfu torturé au second plan. La lumière artificielle était douce, au-dehors, les bruits de la nuit et d’un Palais presque endormi… Il avait succombé au sommeil… pour se réveiller le lendemain dans son lit, toutes traces de l’ingénieur sufokien évanouies ! Celui-ci lui avait expliqué, à leur prochaine rencontre, que voyant son état, il n’avait pas eu le cœur à poursuivre son travail, et avait préféré porter, ou plutôt trainer, l’Éliatrope jusqu’à sa couche, avant de repartir par la même lucarne qui l’avait vu rentrer. Ce jour-là, Qilby s’était juré de ne plus se permettre une telle faiblesse devant un inconnu. Qui sait ce qui aurait pu arriver ? Le plus dérangeant dans cette affaire, restait qu’Ayssla ne semblait en aucun cas perturbé par ce manquement de sa part ! Il avait même continué de « s’inquiéter » de son état de santé tout au long de leur travail du soir, mais Qilby savait mieux que quiconque voir à travers ces mascarades de bienséance ! Il n’était qu’un sujet de recherche pour le Steamer, comme l’autre n’était qu’un pion dans son plan ! À l’image de la Princesse qui ne cherchait qu’à mieux atteindre son frère Yugo à travers leurs « aimables » discussions, lui à regagner la confiance d’un peuple qu’il avait réellement trahi ! Tout comme l’archère qui n’était motivée que par la curiosité, lui par le besoin de mettre en ordre son esprit ! Il ne s’agissait que d’une façade ! Un masque usé pour une énième pièce dont il serait cette fois-ci l’auteur !
 Mais est-ce seulement le cas ?
Est-ce que je souhaite véritablement… ?
Qu’est-ce que je souhaite déjà ?
           Et alors qu’au dehors les étoiles s’éteignaient, attendant que les premières lumières de l’aube ne filtrent à travers les fines feuilles des hautes branches… L’Éliatrope se retrouvait seul pour quelques heures. Il avait planifié sa fuite dès son arrivée, s’était juré de ne plus être à la solde de personne. Toutes ses actions depuis lors n’avaient servi que ce but précis : accéder à son laboratoire, endormir la confiance des Douziens, trouver une alternative à son « handicap ». Encore deux ou trois semaines, quatre tout au plus, et il serait dehors. Libre.
         Pourtant, les yeux rivés sur le plafond de sa cellule, qu’il méprenait parfois pour une chambre, la tête pleine de questions sans réponse, il continuait d’attendre que son cadet vienne le chercher pour une nouvelle journée, quasi-identique à toutes celles qui l’avaient précédée. Identique. Mais pourtant…
 Je me demande si le ciel sera clair ce soir…
L’Automne semble arriver, et si Ayssla a raison,
alors la saison des comètes ne devrait pas tarder.
           Pour la première fois depuis des millénaires, il avait l’impression que… tout cela n’avait pas vraiment de sens. Il se levait chaque jour avec un objectif, à savoir achever une formule originale contre une menace planétaire, un défi assez relevé pour tenir son intellect occupé et satisfait. Il n’avait pas à se soucier des moyens mis en œuvre, il avait un toit au-dessus de la tête, trois repas chauds par jour et même du thé à volonté. Il était craint, mais son savoir était respecté. On le haïssait, mais certains avait commencé à montrer des signes de confiance, et pas de ce genre faux, non, une confiance sincère, motivée par l’idée d’un lien durable. Phaéris ne désirait que le renvoyer dans la Dimension Blanche de ses propres griffes, Adamaï était un peu moins rancunier même si encore méfiant à son égard… Mais il avait Yugo. Il avait Yugo, ce petit frère qu’il avait vu naître, grandir et mourir pour un nombre incalculable (« 1517 ! ») d’existences, mais qui ne cessait jamais de l’émerveiller…
 Peut-être devrai-je remonter quelques
nouveaux sachets d’herbes.
Ceux de la dernière fois étaient un peu trop vieux…
Hum, et peut-être même une ou deux boites de biscuits.
Ce n’est pas comme si elles allaient
leur manquer de toutes manières ~ héhé…
           Oui, pour la première fois depuis des millénaires, il… Il s’amusait presque de revivre cette boucle d’activités et de visages, jouant avec lui-même à trouver les moindres variations pour mieux les comparer. Ce n’était plus un défilé de tableaux, mais l’analyse active de chaque scène, chaque décor, chaque personnage… Il n’était plus prisonnier de ce musée, mais le gardien. Là où il était enchaîné par contrat et fers à ce monde, il se prenait à imaginer de nouvelles possibilités. La pensée était délicieuse, la sensation, grisante.
         Et ainsi, pour la première fois depuis des millénaires, Qilby se surprit à souhaiter que ces journées ne finissent jamais.
 Oui…
Cela pourrait être plaisant.
~ Fin de la partie 1/3 du chapitre 8
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de-gueules-au-lion-d-or · 1 year ago
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1912. Mauritanie. Le lieutenant méhariste Psichari écrit :
“A Matalla, je passai quelques jours dans un extrême dénuement. Je n’avais plus rien à manger, et la provision de riz de mes hommes commençait elle-même à s’épuiser. Comme abri, je n’avais que l’arbre unique, qui dresse près du puits sa modeste frondaison. Nos seuls compagnons étaient des compagnie de corbeaux qui venaient se poser en cercle sur le rebord du puits. Assis gravement comme un conseil d’anciens, ils ne s’effrayaient même pas de notre approche… Parfois aussi, nous voyions un chacal fuir sournoisement de son trot effilé, les oreilles droites.
Malgré cette grande pauvreté, je n’ai pas conservé un mauvais souvenir des heures que je passais à Matalla, en attendant l’arrivée de mes bagages laissés en arrière. Ce furent des heures de douces rêverie, de vie ralentie, où défilaient avec paresse les milles beautés que j’avais entrevues dans mes voyages. Je ressentais bien qu’il m’en restait une sorte de malaise, et je souffrais de ne pouvoir mettre un peu d’unité dans cette dispersion. Mais je me disais :
« Il sera temps de me désoler, lorsque j’aurai retrouvé la froide Europe. Maintenant, laissons agir le silence. C’est un grand maître de vérité »
Ces grands espaces de silence qui traversent ma vie, je leur doit bien tout ce que je puis avoir de bon en moi. Malheur à ceux qui n’ont point connu le silence ! Le silence qui fait du mal et qui fait du bien, qui fait du bien avec le même mal ! Le silence qui coule comme un grand fleuve sans écueils, comme une belle rivière, pleine jusqu’au bord, égale !… Bien souvent, il est venu vers moi, comme un maître bien-aimé, et il semblait un peu de ciel qui descendait vers l’homme pour le rendre meilleur. Par nappes immenses, il venait du Ciel, des grands espaces interstellaires, des parages sans remous de la lune froide. Il venait de derrière les espaces, par delà les temps – d’avant que furent les mondes et de là où les mondes ne sont plus… Alors, je m’arrêtais, plein d’amour et de respect. Car le silence est aussi maître de l’amour.
L’absence de bruits est un grand repos. Mais le silence est plus. C’est une grande plaine d’Afrique où l’aigre vent tournoie, c’est l’Océan Indien, la nuit, sous les étoiles… C’était le silence qu’écoutait Pascal dans les nuits de Port-Royal, et c’est lui que parfois nous avons retrouvé dans les solitudes de l’Afrique. Nous connaissions à ces moments là, que c’était, hélas !, la seule chose qui nous vint de Dieu.”
Ernest PSICHARI
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mdameninie · 10 months ago
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Voyage en Solo à Londres : Dépassement de Soi et Découverte Culturelle
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x-or-officiel · 2 years ago
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Marco Siffredi - Le légendaire snowboarder freeride qui a conquis les pentes traîtresses de l'Everest
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Marco Siffredi, un nom synonyme de snowboard freeride et d'exploits audacieux, a atteint un statut légendaire dans le monde des sports extrêmes. En 2001, il est devenu le premier snowboarder à descendre la face nord de l'Everest par le couloir Norton, un exploit historique dans le monde de l'aventure. Tragiquement, sa quête de défis plus grands l'a conduit à tenter une nouvelle descente du toit du monde, cette fois par le périlleux couloir Hornbein, ce qui a entraîné sa disparition en 2002. Deux décennies plus tard, le mystère de cette dernière n'a toujours pas été résolu. Cet article se penche sur son parcours extraordinaire, ses inspirations et son destin énigmatique.
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Né le 22 mai 1979 à Chamonix, plaque tournante du ski extrême, d'un père qui était guide occasionnel dans le massif du Mont-Blanc, Marco trouve son inspiration auprès de skieurs locaux et de figures légendaires comme Jean-Marc Boivin et Bruno Gouvy. Ce dernier, célèbre pour son saut en parachute depuis un hélicoptère sur le sommet presque vertical du Petit Dru, a enflammé la passion de Marco pour les exploits audacieux. S'inspirant de ses héros, Il s'est rapidement attaqué à certaines des descentes les plus raides de la région. Un an seulement après avoir appris à faire du snowboard, il aborde la redoutable voie Mallory sur la face nord de l'Aiguille du Midi, puis à la première descente en snowboard du Chardonnet avec son ami Philippe Forte. Ses audaces attirent l'attention de la communauté freeride. Un pendentif offert par la mère d'un ami après une expédition réussie au sommet du Tocllaraju, au Pérou, devient son précieux talisman. Cette simple croix l'a accompagné dans tous ses projets audacieux, symbolisant à la fois la protection et le lien avec les montagnes.
À l'âge de 20 ans, Marco Siffredi inscrit son nom dans l'histoire en conquérant la voie du Nant Blanc sur l'Aiguille Verte, une descente que seul Jean-Marc Boivin avait réussi auparavant. La même année, il descend le Dorje Lhakpa au Népal, à l'ombre de l'Everest, confirmant ainsi son obsession de conquérir le plus haut sommet du monde. Son ambition l'a amené à collaborer avec le célèbre guide Russell Brice d'Himalayan Expeditions. L'homme lui conseille de s'acclimater aux altitudes extrêmes en s'attaquant d'abord à d'autres sommets de 8 000 mètres. Les ascensions réussies du Cho Oyu et du Huayna Potosi ont préparé le terrain pour ses propres tentatives.
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Au printemps 2001, Marco se lance dans un voyage historique dans le but de devenir le premier à descendre la face nord de l'Everest en snowboard. Confronté à des conditions difficiles, il modifie son plan pour passer par le couloir Norton. Son exploit époustouflant attire l'attention du monde entier et le propulse vers de nouveaux sommets. Poussé par une insatiable soif d'aventure, il vise encore plus haut : descendre par le couloir Hornbein. Cependant, lors de sa tentative malheureuse en 2002, il montre des signes d'épuisement et d'inconfort. Malgré les avertissements de ses compagnons d'ascension, il tente l'exploit et disparaît sans laisser de traces. Avalanche, crevasse, défaillance technique ou fatigue physique, les circonstances de sa disparition restent une énigme.
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hellmouthheritage · 2 years ago
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Hellmouth
À l'extérieur du Bronze, vêtue de sa tenue noir de policière, Buffy regarda Angel disparaitre dans l'obscurité, réconfortée qu'il resterait dans les parages pour de bon cette fois-ci. Son téléphone sonna, c'était la photo de Willow qui apparaissait sur son fond d'écran. Il fallait bien le dire, la technologie avait évolué depuis vingt-deux ans. 
La sorcière s'était absentée pour se rendre en Grande-Bretagne, là où elle voulait trouver des réponses auprès du conseil des observateurs. Buffy et ses amis n'avaient toujours aucune information concernant leur retour. Tout ce que Buffy avait appris de sa rencontre avec le Destin, c'était qu'elle allait devoir à nouveau faire faces à des épreuves difficiles, encore plus difficiles que ce qu'elle avait vécu jusqu'à présent.
As-tu du nouveau ? demanda Buffy à son amie. - Oui Buffy, j'ai ce qu'on appelle des informations capitales à te transmettre. Je vais devoir prolonger mon voyage afin d'en découvrir plus sur le conseil des observateurs. Il semblerait qu'ils ne sont pas ce qu'on croyait lorsqu'on était ado toi et moi. Quoi? Qu'est-ce que tu veux dire Willow ? - Et bien Buffy, ce que je m'apprête à te dire n'est pas très réjouissant. Ils ont envoyé un observateur à Sunnydale pour prendre en charge la nouvelle tueuse. Elle a été activée Buffy. J'ai découvert les véritables intentions de cet observateur et ce n'est pas... Comment dire... Ce n'est pas un Giles, Buffy. Il en est tout le contraire. J'ai trouvé son dossier dans les anciens bureaux de Quentin. Il l'a tué. Il a tué Quentin et s'est promu lui-même en tant qu'observateur de la prochaine tueuse. Donc, on a à faire à une autre Gwendolyn version poilu et musclé si je comprends bien ? - C'est un peu plus compliqué que ça Buffy. Non Willow, ce n'est pas compliqué. J'ai une mission à accomplir et je sais très bien ce que je dois faire. - Qu'est-ce que tu dois faire Buffy ? Qu'est-ce que ça veut dire ? Je vais devoir le tuer. - Buffy attend! Je n'ai pas terminé. Alors fait vite Will, j'ai du travail. Tu sais où je peux le trouver ? - Il semblerait aussi que Leonor, eumm... Que cet observateur soit de mèche avec le maire de Sunnydale. M. Wilkins. Tu te souviens du test que Giles t'a fait passer lorsqu'il t'a retiré tes pouvoirs ? Oh... La... Vache... J'ai l'impression d'être retourné à l'époque du lycée à t'écouter Willow. J'ai quarante-deux ans, comment ça ce fait que ces histoires se répètent. C'est une blague ? Je m'en souviens très bien oui, quelle maudite saleté. - Écoute Buffy, ne m'en veut pas. Je fais seulement te transmettre les informations que j'ai trouvé. On ne percute pas la messagère. Et bien, Leonor veut exécuter le Tento di Cruciamentum sur Ciara. Elle s'appelle Ciara, j'avais oublié de te le dire. Il veut lui retirer ses pouvoirs, mais il ne veut pas seulement le faire pour une seule nuit. Il veut lui retirer ses pouvoirs pour toujours Buffy. J'ai trouvé dans son manuscrit qu'il voulait invoquer un démon pour tuer la tueuse et pour ouvrir la bouche de l'enfer Buffy, Tu m'en a assez dit Willow. Il est où ce bâtard ? - Eumm... Eummm... Buffy, je ne sais pas si c'est une bonne idée tu sais. Il reste un humain. Parfois Willow, on n'a pas le choix d'agir rapidement. C'est un cas très grave. Si je le choppe et que je le renvoie au conseil, ils le tueront eux-mêmes. Je vais m'en occuper. Je suis une grande fille Willow, ne t'inquiète pas pour moi je suis de la police maintenant. - Ciara est étudiante à l'Université. Tu devrais peut-être la trouver là bas. Essaie la bibliothèque. La bibliothèque... S'exprima Buffy en soupirant... C'est vraiment génial. Comme au bon vieux temps. Bon je te laisse Willow, continue d'enquêter sur le conseil et de jouer les espionnes infiltrés. Leonor, j'arrive! Tu ne feras pas long feu mon ami. Buffy raccrocha.
La tueuse se dirigea vers sa voiture de patrouille, embarqua et pesa à fond en allumant les sirènes de son véhicule. Il n'y avait pas d'autres directions pour Buffy que celle de l'Université. Les cours étaient terminés, il ne devait pas y avoir une panoplie de gens à cette période de l'année. Seulement les étudiants qui y logent sont encore présents. Buffy se souvient de ces dortoirs et surtout celui de Parker avec qui elle avait eu une relation qui l'avait mené à boire un peu trop de bière à l'époque. En arrivant dans le stationnement de l'UC☼D, Buffy ouvra son coffre à gants et elle prit son silencieux qu'elle ajouta au bout de son fusil de service. Posant son arme dans sa ceinture, elle sortit de la voiture avec assurance et détermination. Son air reflétait sa soif de colère envers le conseil des observateurs. Elle avait connu ce supplice une fois de perdre ses pouvoirs et elle ne voulait pas que ceci puisse arriver de nouveau, à la nouvelle élue. Il en était hors de question.
Buffy sauta sur le toit de l'Université et se rendit à la fenêtre de la grande bibliothèque. C'était là qu'elle avait fait tomber un livre sur la tête de Riley à sa première journée. Elle connaissait bien les lieux. Buffy observa l'homme qui était entrain de boire une tasse de thé et elle tira la langue. Un thé... Pfff... C'est tellement typique des observateurs. Je me demande il peut bien être à quoi ce thé... Les yeux de la tueuse s'illuminèrent lorsqu'elle aperçut Ciara, c'était donc elle la nouvelle élue. La nouvelle, elle. L'étudiante était positionnée face à son observateur et ils semblaient avoir une discussion assez compliquée, même que ça semblait vouloir en venir aux mains. La tueuse remarqua tout de suite le gros cristal sur la table. Elle arrivait juste au bon moment, Buffy pensa alors à voix haute. Je te l'avais dis Willow. Il faut toujours agir rapidement. Elle sortit son fusil, muni de son silencieux et le pointa à travers la fenêtre et tira une seule balle. Une balle qui traversa le cerveau de l'observateur qui tomba raide mort sur le sol face à la nouvelle tueuse. Son sang avait giclé dans le visage de celle qui était maintenant son ancienne protégée. D'un puissant coup de pied, Buffy cassa la fenêtre et tomba du plafond jusqu'au sol, sur ses pieds en regardant Ciara dans les yeux.
Salut Ciara, je t'ai enfin trouvé.
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lepartidelamort · 2 months ago
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Groenland : le front hyperboréen se mobilise contre la venue de la goule de Gujarat Vance.
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Ces démons des bas-fonds de Gandhinagar seront repoussés.
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En Europe, les gens sous-estiment à quel point les Américains sont réellement obèses et incultes et l’affaire du Groenland permet de le mesurer.
Trump pensait que les élections locales amèneraient des indépendantistes au pouvoir et qu’il n’aurait qu’à les acheter pour mettre la main sur Hyperborée.
Une simple analyse politique d’une heure aurait suffi à comprendre que c’était une théorie absurde, et surtout que les menaces d’annexion auraient l’effet l’inverse à la veille des élections. Mais Trump est vraiment idiot et le résultat a été le triomphe du parti aryen lors du scrutin.
Maintenant Trump ne peut plus que bafouiller des propos incohérents pour sa masse d’adeptes qui, comme lui, n’a aucune idée de ce qui peut bien se passer dans le monde extérieur.
CNN :
Le premier ministre du Groenland a déclaré qu’une visite prévue sur l’île par des fonctionnaires américains, dont la deuxième dame Usha Vance, était « très agressive », plongeant les relations à un nouveau niveau après que le président Donald Trump a juré d’annexer le territoire danois autonome. Malgré les réactions négatives, M. Trump a insisté sur le fait qu’il s’agissait d’une visite « amicale et non d’une provocation » et a affirmé que l’équipe américaine avait été « invitée ».
Mme Vance, épouse du vice-président américain JD Vance, se rendra au Groenland cette semaine pour assister à la course nationale de chiens de traîneau de l’île et « célébrer la culture et l’unité groenlandaises », selon un communiqué de la Maison Blanche. Le conseiller à la sécurité nationale, Mike Waltz, devrait également se rendre sur le territoire cette semaine, selon une source au fait du voyage. Le premier ministre du Groenland, Mute B. Egede, a qualifié le voyage de la délégation américaine sur l’île de « très agressif » dans une interview accordée au journal groenlandais Sermitsiaq dimanche, et a soulevé une objection particulière à la visite de M. Waltz. « Qu’est-ce que le conseiller à la sécurité nationale fait au Groenland ? Le seul but est de démontrer son pouvoir sur nous », a déclaré M. Egede. « Sa simple présence au Groenland ne manquera pas d’alimenter la conviction des Américains quant à la mission de M. Trump, et la pression augmentera. » Lundi, M. Trump a affirmé que les habitants du Groenland avaient réagi chaleureusement à l’intérêt récent des États-Unis pour le territoire. « Ils nous appellent. Nous ne les appelons pas. Et nous avons été invités là-bas », a-t-il déclaré.
Quel escroc.
Donald Trump ment et affirme que les habitants du Groenland veulent que sa délégation, qui comprend Usha, la femme de JD Vance, se rende sur place.
Le Premier ministre du Groenland a déclaré que le gouvernement n’allait pas les rencontrer.
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« Nous avons affaire à de nombreux habitants du Groenland qui aimeraient que quelque chose se passe pour qu’ils soient correctement protégés et pris en charge », a déclaré M. Trump à la presse à l’issue d’une réunion avec son cabinet. « Je pense que le Groenland fera peut-être partie de notre avenir », a-t-il ajouté.
Non, à l’évidence.
L’octogénaire s’enfonce dans le déni et si l’on y ajoute les marques de sénilité qui se multiplient, il est capable de précipiter un nouveau désastre pour l’Amérique dans une de ses rages coutumières.
Le président a déclaré qu’il pensait que le secrétaire d’État Marco Rubio se rendrait également au Groenland. L’idée de M. Trump d’annexer le Groenland a braqué les projecteurs de la communauté internationale sur ce territoire, qui recèle de vastes réserves de minéraux de terres rares indispensables aux industries de haute technologie, et a soulevé des questions quant à la sécurité future de l’île, alors que les États-Unis, la Russie et la Chine se disputent l’influence dans l’Arctique. M. Trump a exprimé à plusieurs reprises le souhait que les États-Unis s’emparent de l’île par la force ou la coercition économique, même si le Danemark et le Groenland ont fermement rejeté l’idée. « Je pense que nous l’obtiendrons d’une manière ou d’une autre », a déclaré M. Trump lors d’une session conjointe du Congrès au début du mois. Jens-Frederik Nielsen, qui sera probablement le prochain dirigeant du Groenland après la victoire de son parti aux élections, a déclaré que le moment choisi pour la visite américaine témoignait d’un « manque de respect ». « Le fait que les Américains sachent très bien que nous sommes toujours dans une situation de négociation et que les élections municipales ne sont pas encore terminées, ils profitent quand même de ce moment pour venir au Groenland, une fois de plus, ce qui montre un manque de respect pour la population groenlandaise », a déclaré M. Nielsen à Sermitsiaq.
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L’Hyperboréen Jens-Frederik Nielsen va diriger la résistance contre ZOG
La Maison Blanche a présenté la visite de Mme Vance comme une visite culturelle et a déclaré que la seconde dame « se rendra au Groenland avec son fils et une délégation américaine pour visiter des sites historiques, découvrir le patrimoine groenlandais et assister à l’Avannaata Qimussersu, la course nationale de traîneaux à chiens du Groenland ». « Mme Vance et la délégation sont ravies d’assister à cette course monumentale et de célébrer la culture et l’unité groenlandaises », précise le communiqué de la Maison Blanche.
Imaginez subir les provocations d’une chieuse de rue mandatée par les juifs pour le transformer en parking à camés hispaniques sous Fentanyl.
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C’est ce que subit Hyperborée en ce moment même.
Il n’est pas certain que les États-Unis aient déjà envoyé une délégation à la course de traîneaux à chiens, et encore moins un groupe comprenant une deuxième dame. Le Premier ministre danois, Mette Frederiksen, a déclaré dans un commentaire écrit à Reuters que la visite de la délégation américaine était « quelque chose que nous prenons au sérieux ». Elle a ajouté que le Danemark souhaitait coopérer avec les États-Unis, mais que cette coopération devait se fonder sur « les règles fondamentales de la souveraineté ». Un sondage réalisé en janvier, commandé par des journaux danois et groenlandais, a révélé que 85 % des Groenlandais ne voulaient pas faire partie des États-Unis, près de la moitié d’entre eux estimant que l’intérêt de Trump constituait une menace, a rapporté Reuters.
Trump parle comme les rabbins qui attaquent Gaza parlent, certainement parce que ce sont les mêmes.
Le président Donald Trump a prié aujourd’hui sur la tombe du rabbin Menachem Mendel Schneerson au centre Chabad-Lubavitch dans le Queens, à New York.
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Démocratie Participative
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fcleadership · 2 years ago
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Fadler
Leadership Coach
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christophe76460 · 7 days ago
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Quelle lecture pleine de vérité ! Je disais à mon mari que l on a conscience qu il est bon de vivre de courir ,de sauter ,de danser ..quand on ne peut plus le vivre alors un conseil savoure ce moment
Savoure ta vie doucement. Ta vie est anonyme… merci du fond du cœur.pour me le rappeler 💕♥️💕♥️
Moi : Il est six heures du matin. Une tasse de café à la main, je pense, je parle toute seule.
Mais… c’est à Toi que je m’adresse ainsi :
Le temps a cette manière bien à lui de nous surprendre, de nous prendre au dépourvu au fil des années.
Il me semble qu’hier encore, j’étais jeune…
Et pourtant, quelque part en moi, j’ai l’impression que cela remonte à si longtemps.
Où sont passées toutes ces années ?
Je sais que je les ai vécues.
J’ai des éclats de souvenirs, des rêves, des espoirs…
Ils sont là, en moi, toujours.
Et voilà que l’automne de ma vie est arrivé, presque sans prévenir.
Comment ai-je atteint si vite mes 50, 60, 70, 80, 90 ans ?Où est passée la jeunesse que je croyais éternelle ?
Je me souviens encore d’avoir pensé que cet automne était si lointain qu’il m’était impossible d’en imaginer la forme.
Et pourtant… il est là.
Mes amis sont à la retraite, grisonnants comme moi.
Ils marchent un peu plus lentement. Certains gardent la forme, d’autres moins, mais tous portent les marques du temps.
Ils étaient jeunes, pleins de vie… comme je l’étais aussi.
Aujourd’hui, nous sommes devenus ces « personnes âgées » que nous pensions ne jamais devenir.
Faire une sieste n’est plus un luxe, mais une nécessité.
Sinon, le sommeil m’emporte là où je suis, sans prévenir.
C’est ainsi que j’ai pénétré cette nouvelle étape de ma vie…
Sans vraiment y être préparée. Avec ses douleurs, ses raideurs, la perte de l’agilité et des élans spontanés pour courir, bouger, faire tout ce que j’aimais…
Mais je le sens : cet automne-là passera plus vite que les autres.
Et après ? Une autre aventure commencera.
Il y aura peut-être quelques regrets : des choses faites qu’on aurait voulu éviter, des choses non faites qu’on aurait dû tenter.
Mais il y a tant de souvenirs pour lesquels je me sens comblée.
Si ton automne à toi n’est pas encore là, laisse-moi te dire :
Il viendra bien plus vite que tu ne l’imagines.
Alors, ce que tu veux faire, fais-le.
Maintenant. N’attends pas.
Ne remets pas à demain les rêves d’aujourd’hui.
La vie passe si vite.
Fais ce que tu peux, que tu sois dans ton automne ou non.
Personne ne sait s’il vivra toutes les saisons.
Vis le présent. Dis maintenant ce que tu veux que tes proches se souviennent.
La vie est un cadeau. Fais de ce voyage quelque chose d’unique, de doux, de merveilleux — pour toi, pour ceux que tu aimes, pour ceux qui t’entourent.
Vis pleinement.
Savoure chaque jour.
Fais de belles choses.
Sois heureux.
Et n’oublie pas :
La vraie richesse, c’est la santé. Ce sont les dons spirituels que tu as cultivés.
Pas l’or ni l’argent ni les biens matériels.
Car le jour où tu quitteras ce monde, ce ne sont pas eux qui te suivront. Et ils iront à ceux qui, souvent, ne t’auront pas vraiment compris.
Alors aime-toi, prends soin de toi, fais ta part… Et pour le reste, fais confiance à Dieu, qui peut tout.
Sortir, c’est bien. Mais rentrer saine et sauve, c’est mieux.
Si tu oublies des noms, ce n’est pas grave.
Peut-être ont-ils oublié qu’ils t’avaient connue.
Souviens-toi surtout que tant de choses anciennes étaient belles : Les vieilles chansons, les films d’autrefois, et par-dessus tout…
Tes amis de toujours.
Je te laisse avec ces mots, cher(e) ami(e) du cœur.
Et je t’invite à transmettre ce message à quelqu’un que tu aimes.
Tu verras : un sourire naîtra… et peut-être une réflexion.
J’ai revécu tant de doux souvenirs en écrivant ces lignes.
Et de chacun de vous, j’ai appris quelque chose de précieux.
Ce qui compte, ce n’est pas ce que tu as amassé,
mais ce que tu as offert.
Ce que tu as donné avec bonté et amour dira la qualité de la vie que tu as menée.💕♥️💕♥️💕♥️souviens toi
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