#Chanson à la guitare
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Rien n'est jamais acquis à l'homme Ni sa force Ni sa faiblesse ni son coeur Et quand il croit Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix Et quand il croit serrer son bonheur il le broie Sa vie est un étrange et douloureux divorce Il n'y a pas d'amour heureux Sa vie Elle ressemble à ces soldats sans armes Qu'on avait habillés pour un autre destin À quoi peut leur servir de se lever matin Eux qu'on retrouve au soir désoeuvrés incertains Dites ces mots Ma vie Et retenez vos larmes Il n'y a pas d'amour heureux Mon bel amour mon cher amour ma déchirure Je te porte dans moi comme un oiseau blessé Et ceux-là sans savoir nous regardent passer Répétant après moi les mots que j'ai tressés Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent Il n'y a pas d'amour heureux Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard Que pleurent dans la nuit nos coeurs à l'unisson Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare Il n'y a pas d'amour heureux Il n'y a pas d'amour qui ne soit à douleur Il n'y a pas d'amour dont on ne soit meurtri Il n'y a pas d'amour dont on ne soit flétri Et pas plus que de toi l'amour de la patrie Il n'y a pas d'amour qui ne vive de pleurs Il n'y a pas d'amour heureux Mais c'est notre amour à tous les deux
Louis Aragon. Il n'y a pas d'amour heureux
Image : Giulio Aristide Sartorio - La sirène (1893)
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"Ça me fait peur de m'attacher parce que quand je m'attache je sais que c'est fort et... Je sais pas t'es la première personne qui m'intéresse autant depuis un moment. Et comme je te dis moi je suis sérieux, je cherche pas que du cul. Je t'ai dit j'ai essayé et c'est pas mon truc donc je sais que ça fonctionnerait pas si on fait juste ça. Et j'ai peur de m'attacher alors que t'es peut-être pas passée à autre chose avec ton plan cul"
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"Je trouve ça tellement attirant une fille qui dégage de la bonne humeur" Moi : "Ah bah je suis faite pour toi alors 😎" "Ahaha franchement je veux trop voir ton sourire en vrai, j'aime trop"
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"T’as aucune raison de perdre confiance en toi t’as l’air d’être une fille incroyable"
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"T'es trop jolie sur les vidéos que tu m'envoies"
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"Si tu voyages l'année prochaine tu crois qu'on devrait s'arrêter là tout de suite? Que c'est mieux qu'on ne se voit pas?" Moi: "Je sais pas, tu préférerais?" "Je sais pas moi je trouverais ça bête, tu me plais vraiment"
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Moi: "J'ai l'impression qu'on a la même sensibilité". "Oui, c'est trop bien"
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Je lui ai demandé s'il savait jouer "Wish You Were Here" de Pink Floyd à la guitare parce que c'est une de mes chansons préférées et il m'a dit qu'il allait essayer de l'apprendre 🫠
J'ai tellement peur de ce qu'il est en train de se passer mais il est en train de se passer quelque chose là.
(31/05/2024)
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Dimanche
Jaloux comme un pou. Lors du Skype de ce matin, le Kid m’a raconté qu’il est allé avec sa classe à la villa Kujoyama, centre culturel français situé sur le mont Higashi, au-dessus de Kyôto, pour assister à un concert de la chanteuse Pomme, actuellement en résidence à la villa. Elle était seule en scène, s’accompagnant à la guitare et au piano. Le Kid était enthousiaste, avec juste un petit regret : en l’absence de Waxx, elle leur a dit ne pas pouvoir chanter « Laissez-moi danser » (reprise de la chanson de Dalida) qu’il connaît par cœur, tout comme le Mini Kid. Jaloux de mon petit-fils, mais très heureux de découvrir ce goût commun. Je regarde souvent les milliers de photos prises au cours de mes divers séjours dans ce pays que tout, ou presque, m’invite à adopter.
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"Rien n'est jamais acquis à l'homme Ni sa force
Ni sa faiblesse ni son coeur Et quand il croit
Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix
Et quand il croit serrer son bonheur il le broie
Sa vie est un étrange et douloureux divorce
Il n'y a pas d'amour heureux
Sa vie Elle ressemble à ces soldats sans armes
Qu'on avait habillés pour un autre destin
A quoi peut leur servir de se lever matin
Eux qu'on retrouve au soir désoeuvrés incertains
Dites ces mots Ma vie Et retenez vos larmes
Il n'y a pas d'amour heureux
Mon bel amour mon cher amour ma déchirure
Je te porte dans moi comme un oiseau blessé
Et ceux-là sans savoir nous regardent passer
Répétant après moi les mots que j'ai tressés
Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent
Il n'y a pas d'amour heureux
Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard
Que pleurent dans la nuit nos coeurs à l'unisson
Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson
Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson
Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare
Il n'y a pas d'amour heureux
Il n'y a pas d'amour qui ne soit à douleur
Il n'y a pas d'amour dont on ne soit meurtri
Il n'y a pas d'amour dont on ne soit flétri
Et pas plus que de toi l'amour de la patrie
Il n'y a pas d'amour qui ne vive de pleurs
Il n'y a pas d'amour heureux
Mais c'est notre amour à tous les deux. "
Louis Aragon
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5 décembre
hier soir je suis allée voir un concert de g. anciennement mon fan numéro deux. je lui ai pas parlé mais quand je suis partie je lui ai fait au revoir de la main en lui souriant avec un pouce en l’air et il m'a dit à bientôt et maintenant je me dis qu'il faut que je lui écrive puisqu'il a dit à bientôt il faut bien qu'il y ait un bientôt. j'ai passé la soirée à lorgner sur la table où il était assis à la fin avec tous les autres artistes pendant que moi j'étais coincée avec a. et son ami horripilant qui heureusement nous a rejoint qu'à la fin. quand je me suis rendu compte qu'ils couchaient ensemble et qu'elle rentrait en voiture avec lui je me suis retenue de pas dire ew ew ew, il m'a dégoûtée dès que je l'ai vu arriver avec son parapluie qu'il a posé sur la table et son pardessus de parvenu et sa chemise sous son pull et sa grosse montre et sa coupe de champagne et son weekend en avion à nice et ses selfies devant la mer et son weekend de ski à val thorens qu'il a annulé parce qu'il va pas faire beau ETC mais pourquoi je m'énerve sur ce type alors que j'ai passé une bonne soirée avec a. et la guitare délicate de g. délicat délicate les deux me vont à un moment pendant le concert je croyais qu'il était en couple avec e. r. et j'étais jalouse. les guitares sont les plus grandes attrape-couillonnes jamais inventées et je suis la couillonne en chef. j'avais envie qu'il me chante ses chansons délicates rien que pour moi. dans sa ferme. la ferme où il habite. j'avais aussi envie d'être à sa place, évidemment.
10 décembre
j'ai rêvé d'un lézard et d'une grenouille à côté de mon lit par terre sur le tapis. ils bougeaient, ils étaient vivants, ils se promenaient dans ma chambre, y avait aussi un poisson avec des jolies couleurs alors je suis vite allée remplir un grand seau d'eau. y avait aussi deux perlou qui se faisaient des câlins et je me suis incrustée dans leurs câlins. je crois que j'ai envie de toucher des animaux. je suis allée me promener derrière le centre équestre mais j'ai vu ni chevaux ni vaches. j'ai même rallongé mon chemin dans la forêt pour passer devant le petit étang dans l'espoir de voir une grenouille mais j'ai vu personne. il pleuvait. en rentrant j'ai pris une douche et j'ai pensé à jeanne dielman en me lavant la nuque. on l'a regardé dimanche avec maman et on la voit se laver la nuque avec un gant dans sa baignoire. ça m'a marquée parce que je me suis rendu compte que je me lavais jamais la nuque et aussi parce que je trouvais la scène très inconfortable. je me demandais pourquoi elle se lavait assise dans sa baignoire froide au gant de toilette, je me demandais pourquoi elle écoutait pas la radio, pourquoi elle gardait ses chaussures à talons à l'intérieur, pourquoi même ses pantoufles avaient des talons et pourquoi elle faisait cent mille allers-retours entre les pièces en ouvrant et en fermant des portes à chaque fois. chantal akerman dit que jeanne dielman a parfaitement réglé rempli sa vie de tâches ménagères au millimètre à la secondes près pour ne jamais se retrouver seule avec ses pensées. et puis un jour y a un trou dans son emploi du temps et sa journée se dérègle et sa tête se dérègle aussi y a un truc qui saute et elle tue un homme qui la paie pour coucher avec elle. je me suis demandé si sa vie aurait été différente si elle avait tenu un journal. je pensais à la danseuse yvonne rainer qui raconte dans son autobio que c'est le silence qui l'a poussée à essayer de se tuer. son incapacité à mettre des mots sur ce qui se passait à l'intérieur. on la voit jamais exprimer aucune émotion, ni en parler. mais maman non plus ne parle jamais de ses émotions, maintenant que j'y pense. elle a dit qu'elle trouvait que le film finissait en queue de poisson parce qu'on sait pas ce qui va lui arriver après avoir tué l'homme. je lui ai dit que c'était pas le sujet. je pensais à clarisse michaux qui a écrit un livre de poésie sur son visionnage du film. elle pouvait plus s'arrêter de penser à jeanne dielman. le premier jour du poetik bazar sa mère m'a demandé si je savais où étaient les halles de schaerbeek dans la rue mais je savais pas non plus alors on a cherché ensemble. elle m'a dit qu'elle venait jamais dans ce quartier, que c'était ses enfants qui la faisaient sortir, qu'elle allait voir sa fille, elle faisait une lecture de son nouveau livre.
16 décembre
hier matin on écoutait une émission sur les journaux intimes dans la cuisine et ils parlaient d'un centre d'archivage où on peut envoyer ses carnets, ils en reçoivent en moyenne 120 par an. ils ont lu des extraits du journal d'un homme de 1915 avec une fleur séchée à l'intérieur. ils parlaient des journaux qui ne sont pas destinés à être lus, jamais, sauf par la descendance un jour peut être, et puis des gens qui publient leur journal sur internet, pour être lus. je sais plus où je me situe depuis que je le publie sur tumblr quasi intégralement. est-ce que ça a changé quelque chose? j'ai pas l'impression, curieusement. je me censure pas, j'embellis pas, j'ai la même relation avec mon journal qu'avant. le seul truc qui a changé c'est que j'écris plus. mais ça c'est aussi lié à ma nouvelle activité littéraire. j'ai été invitée à faire une lecture à paris en février, la fille qui m'a invitée a lu mon texte dans sabir et mon texte dans sabir n'existerait pas sans mon journal. m. m'a raconté que l'autre jour à la ass book fair de bruxelles elle était allée voir leur stand pour prendre en photo le numéro avec mon texte et une des filles lui a dit que justement quelqu'un venait de lui dire qu'elle adorait ce numéro à cause de mon texte et qu'il avait beaucoup de succès AHH, être lue et aimée, je vaux pas mieux que nicolas mathieu.
j'ai encore loupé une opportunité de me mêler à la population artistique qui m'intéresse le weekend dernier, je voulais aller à la soirée de présentation de projets du collectif ill mais c'était encore à esch et y avait aucun train ni de bus direct en circulation, maman m'a proposé de m'amener mais j'avais peur de pas savoir comment rentrer et de devoir attendre le bus dans une zone industrielle au milieu de nulle part dans le noir alors j'y suis pas allée et j'ai passé la soirée à être énervée contre ce maudis pays rendez-moi la bvg, je me sentais tellement libre de mes mouvements à berlin, j'avais peur nulle part parce qu'y avait du monde partout. même si les distances entre les choses étaient parfois décourageantes, au moins tout était accessible. je me suis toujours pas remise d'avoir loupé cette soirée, c'était l'occasion idéale pour rencontrer des gens que je connais vaguement mais qui m'intéressent, revoir c. t. et c. et enfin voir sa performance avec le balai là, revoir g. etc. tous ces gens adaptés et voiturés.
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Un peu de musique - Victor Hugo
Écoutez ! — Comme un nid qui murmure invisible, Un bruit confus s’approche, et des rires, des voix, Des pas, sortent du fond vertigineux des bois. Et voici qu’à travers la grande forêt brune Qu’emplit la rêverie immense de la lune, On entend frissonner et vibrer mollement, Communiquant aux bois son doux frémissement, La guitare des monts d’Inspruck, reconnaissable Au grelot de son manche où sonne un grain de sable ; Il s’y mêle la voix d’un homme, et ce frisson Prend un sens et devient une vague chanson : « Si tu veux, faisons un rêve : Montons sur deux palefrois ; Tu m’emmènes, je t’enlève. L’oiseau chante dans les bois.
« Je suis ton maître et ta proie ; Partons, c’est la fin du jour ; Mon cheval sera la joie, Ton cheval sera l’amour. « Nous ferons toucher leurs têtes ; Les voyages sont aisés ; Nous donnerons à ces bêtes Une avoine de baisers. « Viens ! nos doux chevaux mensonges Frappent du pied tous les deux, Le mien au fond de mes songes, Et le tien au fond des cieux. « Un bagage est nécessaire ; Nous emporterons nos vœux, Nos bonheurs, notre misère, Et la fleur de tes cheveux. « Viens, le soir brunit les chênes ; Le moineau rit ; ce moqueur Entend le doux bruit des chaînes Que tu m’as mises au cœur.
« Ce ne sera point ma faute Si les forêts et les monts, En nous voyant côte à côte, Ne murmurent pas : « Aimons ! » « Viens, sois tendre, je suis ivre. Ô les verts taillis mouillés ! Ton souffle te fera suivre Des papillons réveillés. « L’envieux oiseau nocturne, Triste, ouvrira son œil rond ; Les nymphes, penchant leur urne, Dans les grottes souriront ; « Et diront : « Sommes-nous folles ! « C’est Léandre avec Héro ; « En écoutant leurs paroles « Nous laissons tomber notre eau. » « Allons-nous-en par l’Autriche ! Nous aurons l’aube à nos fronts ; Je serai grand, et toi riche, Puisque nous nous aimerons. « Allons-nous-en par la terre, Sur nos deux chevaux charmants, Dans l’azur, dans le mystère, Dans les éblouissements ! « Nous entrerons à l’auberge, Et nous paîrons l’hôtelier De ton sourire de vierge, De mon bonjour d’écolier. « Tu seras dame, et moi comte ; Viens, mon cœur s’épanouit ; Viens, nous conterons ce conte Aux étoiles de la nuit. » La mélodie encor quelques instants se traîne Sous les arbres bleuis par la lune sereine, Puis tremble, puis expire, et la voix qui chantait S’éteint comme un oiseau se pose ; tout se tait.
19ème siècle, Poèmes, Victor Hugo
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A COMPLETE UNKNOWN de James Mangold: Portrait de l'artiste en jeune homme
Près de 20 ans après Walk the Line, James Mangold signe un autre biopic musical qui n'évite pas les raccourcis narratifs et les clichés propres au genre, qui ont souvent été parodiés (notamment tout ce qui entoure la concubine négligée incarnée par Elle Fanning, bien que le jeu de cette dernière soit très juste). Mais j'ai néanmoins trouvé le film électrisant (excusez-la) du début à la fin, à cause de l'impressionnante reconstitution d'époque et de ces nombreuses chansons extraordinaires, brillamment interprétées par un Timothée Chalamet parfaitement énigmatique et charismatique en Bob Dylan. Oui, c'est bien l'acteur qui chante et qui joue de la guitare et de l'harmonica. Le film met également en vedette l’envoûtante Monica Barbaro dans le rôle de Joan Baez, tour à tour complice et rivale de Dylan; l’attachant Edward Norton dans celui de Pete Seeger, qui introduit Bobby au monde de la musique folk et qui le voit éventuellement s’en éloigner; et Boyd Holbrook dans celui de Johnny Cash, véritable modèle d'individualité et de rébellion. Ayant le bon sens de se limiter à une période précise de la carrière du protagoniste, soit de 1961 à 1965, le film reflète sporadiquement l’actualité du moment (la crise des missiles de Cuba, le mouvement américain des droits civiques, l’assassinat de JFK), prenant parfois des airs de Forrest Gump. Mais c’est surtout un hangout movie qui suit Bob Dylan dans divers appartements et chambres d’hôtel, cafés et bars, salles de concert et festivals, un peu comme Almost Famous. A Complete Unknown est un formidable hommage à son sujet, qui était encore dans la jeune vingtaine quand il a enregistré certains des meilleurs albums de l’histoire (le film s’attarde particulièrement à The Freewheelin’ Bob Dylan et Highway 61 Revisited), porté par un courant révolutionnaire auquel il a contribué. Le soudain intérêt du public pour chacun de ses faits et gestes l'a pris par surprise, lui qui a toujours entretenu un certain mystère à propos de sa personne, ce qui se répercute dans le film, dont le titre est bien choisi. Bob Dylan existe-t-il vraiment? Peut-être n’est-ce en fait qu’une identité que Robert Zimmerman a inventée – et réinventée à répétition.
A Complete Unknown prendra l'affiche le 25 décembre.
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Sur le devant de la scène
Elle connaissait le succès,
Grâce aux chansons qu’elle écrivait.
Elle faisait même la une de la presse
Pour sa voix enchanteresse.
…
Partout où elle passait,
Ses concerts étaient complets
Par des fans émerveillés
De l’entendre si bien chanter.
…
Mais tout ça la fatiguait.
Elle préférait tout renoncer,
Et ne plus être une vedette
Qu’on suit bêtement à l’aveuglette.
…
Car tout cela l’énervait.
D’être toujours autant adulée.
Elle ressentait même une gêne
D’être sur le devant de la scène.
…
Un matin, elle est partie,
Avec sa guitare pour compagnie,
A la recherche des vieux troubadours
Qui chantaient contre un repas du jour.
…
Elle marchait de ville en ville
Se sentant toujours utile
Lorsqu’elle apportait un peu de joie
Avec le charme dans la voix.
…
Mais, c’était surtout au coin du feu,
Assise près d’un tendre amoureux,
Qu’elle retrouvait son inspiration,
Pour une nouvelle chanson.
…
Et jamais elle ne regrettait
De ne plus être autant adulée
Comme on courtise une reine
Sur le devant de la scène.
Alex@r60 – août 2023
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Quelques trucs bien. Octobre 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode.
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme.
Accueillir ma fille, mon gendre et mon petit M. pendant les quelques jours de leur déménagement. Rassembler la famille
Profiter des vacances d’automne. Se laisser bercer par l’arrière-saison avant l’hiver
Écrire un poème sur la fin de l’été. Ode à septembre
Reprendre les ateliers d’écriture avec les ados
Récupérer mon petit M. après sa journée de garde. Le bercer, inventer une chanson pour le faire patienter en attendant le retour de sa maman. L’écouter pleurer pour évacuer le stress de sa journée puis le sentir se calmer dans mes bras
Bouquiner dans mon fauteuil jaune de lecture
Dénicher deux bd romans graphiques chez mon bouquiniste
Préparer une brioche maison pendant une insomnie. Me recoucher en pensant au délicieux petit déjeuner qui sera tout chaud
Faire la grasse matinée après une longue insomnie
Acheter une robe de soirée pour l’anniversaire déguisé de ma sœur. Soirée folle en perspective
Visiter le prochain appartement de ma fille, tout près de chez moi. La sentir heureuse de se rapprocher et de faire des projets
Bricoler avec mon fils. Trier, ranger, nettoyer. Réorganiser la vie
Accueillir un rouge-gorge qui vient m’annoncer personnellement que l’été est fini et que l’hiver est en chemin
Recevoir des nouvelles baskets. Plaisir des pieds
Commencer à rassembler le groupe de de peinture, petit à petit. Laisser s’exprimer et s’apaiser les craintes. Séance en atelier la semaine prochaine
Aller au restaurant et au cinéma entre filles. Passer une belle soirée à rire de bon cœur. La vraie vie comédie
Passer tout un week-end avec mon petit M. faire encore une insomnie mais l’écouter dormir à poing fermés
Avancer sur les démarches administratives. Espérer que ça aboutisse vite maintenant
Aller à une lecture d’un jeune poète syrien réfugié de la guerre et exilé en France. Écouter son témoignage en français, langue de la raison et ses poèmes en arabe, langue du cœur
Aller à un événement en soutien aux femmes iraniennes et afghanes. Me laisser submerger par l’empathie à l’écoute des témoignages et l’émotion des chants orientaux. Sentir les larmes aux yeux de tristesse et de colère
Aller à un spectacle de Résistances poétiques de Cyril Dion, vibrer de sa voix grave et des accords de guitare de Sébastien Hoog. Apprécier son humour et l’ironie du sort
Recevoir des photos de mon petit M. dans la journée. Savoir qu’il s’adapte bien à son mode de garde chez ma sœur
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Caresses musicales
Laisse-moi égrener
Sur ta peau quelques notes.Je me sens enjouée
Viens là que je te porte.
Comme ma douce guitare
colle-toi à mon âme
Que mes doigts sur ton corps
T'enchante et me calme.
Sur le haut de ta nuque,
commençant en contre ut,
Une portée se dessine
Le long de ton échine:
La courbe d'une clé de sol,
L'arrondie d'une ronde.
Puis doucement comme une onde
au travers mes doigts volent
Des accords malhabiles,
hésitants et frivoles.
Le do monte d'un ton
Au rythme de mes caresses
pour terminer en ré
au milieu de ton torse.
Cette note coquine
mérite bien le Majeur...
Mais c'est en fin la quine
Qui reprends le meilleur.
Puis je me laisse emporter
doucement, les yeux fermés,
Puisant au coeur de ta gamme
Une mélodie , une âme.
Une chanson que,
j'espère,souvent tu m'offriras.
une passion qui, j'espère,
longtemps t’en chantera
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Les dames de Brassens
Sur l'air (approximativement) de la chanson Mélanie
Les coquines de l'ami Georges dans ses airs drôles autant qu'osés qu'il racontait à pleine gorge qu'il savait si bien composer,
s'appelaient Ninon ou Fernande sans perdre de vue Mélanie ces joyeuses filles en bande imaginons-les réunies
Quand c'est l'oreille que l'on rince ce sont les dames de Brassens ce sont les dames de Brassens.
Avec leurs prénoms de grand-mères elles avaient des charmes infinis pour les soldats de toutes guerres qu'on voit sur les clichés jaunis
quand ils mouraient sous la mitraille en Algérie à Diên Biên Phu ils ne rêvaient pas de médaille mais à leur enchantement fou
Que les culs serrés se décoincent ce sont les dames de Brassens ce sont les dames de Brassens.
Ces oiselles de bon augure qui narguaient un ordre établi héroïnes toutes en luxure ne tomberont pas dans l'oubli
car sous leurs manières peu sages les bidasses et les carabins imaginaient sous les corsages dont elles s'allégeaient pour le bain
Qu'elles soient de Paris de province ce sont les dames de Brassens ce sont les dames de Brassens.
Ces ombres dans les cimetières font bander à coup sûr les morts qui se branlent tous dans leur bière devant ces jolis petits corps
Quelquefois elles ressuscitent sous la guitar' d'un vieux poète voici leurs appas d'Aphrodites quand ce gars leur chante fleurette
Elles sont pour les gueux pour les princes ce sont les dames de Brassens ce sont les dames de Brassens.
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« Nous nous retrouvions tous les jours vers cinq heures à l'autre bout du parc, derrière l'étang, dans la cabane où le jardinier jetait les fleurs "atteintes par la limite d'âge", comme disait Lila ; elles avaient perdu leur éclat et leur fraîcheur et venaient là exhaler leur dernier parfum. On pataugeait dans les pétales, dans le rouge, le bleu, le jaune, le vert et le violet et dans ces herbes que l'on appelle mauvaises de leur vivant, parce qu'elles n'en font qu'à leur tête. C'était le moment où Lila, ayant appris à jouer de la guitare, "rêvait d'elle-même", une chanson aux lèvres. Assise parmi les plantes, la jupe retroussée sur les genoux, elle me parlait de ses futures tournées triomphales en Amérique, de l'adoration des foules et était si convaincante dans ses phantasmes, ou plutôt je l'adorais tellement, que toutes ces fleurs à ses pieds me semblaient déjà jetées là par ses fervents admirateurs ; je voyais le haut de ses cuisses ; je mourais d'envie, je n'osais rien, ne bougeais pas, je me mourais doucement, c'est tout. Elle entonnait d'une voix mal assurée je ne sais quelle chanson dont elle avait écrit les paroles elle-même et Bruno la musique, et puis, épouvantée par sa vieille ennemie, la réalité, qui refusait à ses cordes vocales les accents divins que Lila exigeait d'elles, jetait la guitare et se mettait à pleurer. — Je n'ai aucun talent pour rien, voilà. Je la consolais. Rien ne me faisait plus plaisir que ces moments du désespoir qui me permettaient de la prendre dans mes bras, d'effleurer ses seins de ma main et ses lèvres des miennes, et puis un jour vint où, perdant la tête, laissant aller mes lèvres à leur inspiration et sans rencontrer de résistance, j'entendis une voix de Lila que je ne connaissais pas, celle qu'aucun génie vocal ne peut surpasser ; je demeurais agenouillé, cependant que la voix me grisait et m'emportait au-delà de tout ce que j'avais jusque-là connu dans la vie du bonheur et de moi-même. Le cri monta si haut que je me suis senti, moi qui ne fus jamais un croyant jusqu'à cet instant, comme si je venais de rendre enfin à Dieu ce qui Lui était dû. Elle demeura ensuite inerte sur sa couche de fleurs, les deux mains oubliées sur ma tête. — Ludo, oh, Ludo, qu'avons-nous fait ? Tout ce que je pus dire, du fond même de la vérité, fut : — Je ne sais pas. — Comment as-tu pu ? Et j'ai eu cette phrase du plus haut comique, lorsqu'on pense à toutes les manières de rencontrer la foi : — Ce n'est pas moi, c'est Dieu. Elle se redressa un peu, s'assit, s'essuya les larmes. — Lila, ne pleure pas, je n'ai pas voulu te rendre malheureuse. Elle soupira et m'écarta d'un geste de la main. — Idiot. Je pleure parce que c'était trop fort. Elle me regarda sévèrement. — Où est-ce que tu as appris ça ? — Quoi ? — Merde, dit-elle. Jamais je n'ai vu un corniaud pareil. — Lila... — Tais-toi. »
Romain Gary, Les cerfs-volants, folio p. 81-82
(-> Suite)
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Rock et Femmes badass
Style : Grunge, Punk, Punk-Rock, Pop-Punk
A la fin des années 80 dans l'état de Washington au nord ouest des USA il y avait peu de concert de groupe connue L'état était considéré comme vide et les groupe préférais d'autre destinations pour leur tournées.
Dans ce contexte à vue le jour une scène très local notamment autour de Seattle avec de nombreux groupes qui se connaissent et se supporte entre eux.
Et après ça a explosé. Grâce au Label SubPop et des petits groupe genre Alice in Chains, Pearl Jam, Soundgarden ou Nirvana deviennent mondialement populaire et la scène local trouve son nom : le grunge.
Mais a côté des super groupe y'a tous plein de pépites et moi je vais vous parler d'une facettes trop oublier du grunge a savoir les groupe de meuf badass.
Des femme engagée dans la musique il y en avais déjà dans les décennies précédentes bien sûr mais la scène de Seattle a permis l'émergence d'un vrai mouvement autour de sujets politique, des inégalités, des violence, du racisme qu'elles rencontrais dans leur vie mais aussi simplement le fait qu'elle avait autant leur place sur scène que leurs homologues masculins.
Voilà pour l'intro, maintenant place à la musique avec tous d'abord les groupe plus populaire, puis des deep cut qui méritent d'être plus connues et dans la et enfin des groupes actuelle parce que les femmes ont pas arrêté de faire de la musique badass en 1994.
I. Les groupes les plus populaires
Et on commence par celles qui est clairement plus connue pour son mari que pour son très bon groupe de musique : Courtney Love. Parce que celle qui fût la femme de Kurt Cobain (Nirvana) est aussi la frontwoman de Hole.
Des guitares bien saturé et une voix tantôt mélodique tantôt rauque dans les cris de rage de Violet ou Pretty On The Inside. Je conseil aussi Celebrity Skin dont le riff rentre en tête très vite.
Ensuite place a la leader du mouvement riot grrrls : Kathleen Hanna et Bikini Kill Je vais me répéter a ce sujet mais avec sa voix inimitable sur un rythme très punk avec des chansons qui dépasse rarement 2m30 elle parle d'émancipation et de féminisme comme dans Jet Ski, Alien She ou ma préférée de leur disco : Rebel Girls
Si les cris c'est moins votre trucs mais que vous voulez quand même du bon punk rock engagé, écoutez The Gits un de mes préféré de ce genre notamment pour sa guitare dont j'adore le ton et sa chanteuse Mia Zapata a la voix reconnaissable entre milles et au paroles souvent personnel et sombre comme dans Second Skin ou Bob - Cousin O. Malheureusement le groupe n'a pas duré longtemps a cause de la mort de Mia dans des conditions absolument ignoble . Je rajouterai Drinking Song parce que la terre a besoin de plus de chanson d'amitié.
Un petit dernier pour la route ? L7 est aussi un groupe connue et le seule de cette liste encore en activité. C'est moins "punk" mais tous aussi bon avec des mélodie entraînente et des paroles acide. Je conseil Shitlist, Fighting The Crave et surtout Pretend We're Dead
II. Quelques autres groupe de cette époque à connaitre
Pour la suite de cette série de recommandation je vais vous parler d'autre groupe de cette période. Elles sont moins connues mais mérite sans hésitation leur place dans cette liste.
Et je commence tous de suite avec 7 Years Bitch. C'est un de mes groupes préférés de cette période, leur son punk sans concession et leur parole franche qui attaque directement les problèmes de la société (souvent les mecs lol) me donne envie de renverser des gouvernements et de tuer le patriarcat.
Elles n'ont sortie que deux albums mais il sont excellents, notamment Viva Zapata dédié à la chanteuse de The Gits, tous comme M.I.A que je recommande vivement. J'ajouterai Icy Blue et le grand classique Dead Men Don't Rape.
Groupe suivant, Hammerbox, Ici on a des grosse guitare bien grasse presque métal elle la voix profonde et rauque de Carrie Akre dont j'adore le timbre.
Vraiment du grunge a l'état pur et un groupe qui mérite une meilleure reconnaissance ! Je vous recommande Bred, Hole et Hed en particulier.
Je pourrais continuer très longtemps mais je vais terminer avec un dernier groupe, Bratmobil. Que j'aime beaucoup pour la manière dont Erin Smith joue sa guitare de manière aussi simple qu'entrainante et efficace.
C'est un autre groupe qui n'a pas une longue discographique mais leur appartenance au mouvement riot grrrls et leur paroles féministe leur valent entièrement une place ici. Écoutez notamment What's Wrong With You, Cool Schmool et Bitch Theme.
III. Récents et toujours badass
Dernière partie de cette trilogie de recommandations grunge/punk/punk-rock et cette fois je veux vous parler de quelque groupe plus récents, qui continue d'être badass avec des grosse inspirations des groupes citée plus haut.
Et d'abord le groupe qui sort peut-être le plus des sonorité de ces recommandation : Meet Me @ The Altar. Iels sont tous récents et on sorties leur premier album cette année (sur le même label que Paramore soit dit en passant)
C'est du pop-punk avec des airs de la scene 2007-2013 et les paroles tournent autour des émotions de la chanteuse Edith Victoria souvent avec un son assez joyeux qui donne envie de chanter à tue tête avec un peigne en tant que micro. Je vous conseil Say It (To My Face), Kool et T.M.I en particulier.
Deuxième groupe de cette liste : The Royal They. On retourne dans un son plus punk avec de la grosse distorsion et une voix entre chant et crie sur des paroles acerbes et super bien écrites et un rythme effréné ça a vraiment l'air d'être le genre de groupe qui peut mettre le feu à un bar. Vraiment une petite perle qui je suis bien contente d'avoir découvert. Écoutez notamment C.N.T., Full Metal Black et Kamikaze
Et enfin le dernier groupe de cette looooonnnnggggguuuuuee liste que je veux vous faire découvrir, Destroy Boys C'est un espèce d'entre deux des deux groupe ci-dessus, moins vénèr et engagé que The Royal They mais plus punk que MM@TA et à mon sens c'est vraiment le descendant direct des mouvement grunge, riot grrl et tous ce dont on à déjà parler. Je trouve les paroles toujours très drôle, c'est bourré de sarcasmes et de refrain qui reste dans le crane dès la première écoute je recommande vivement Escape, Locker Room Bully et B.F.F.
Voila pour toutes ces recommendation sur mon intérêt spécifique du moment j'espère que ça vous plaira autant que ça m'a plus de vous envoyer ces pavés.
Je vous ai même fait une petite playlist avec tous les groupes dont j'ai parlé et quelques autre qui aura pu me faire écrire un post encore plus long https://open.spotify.com/playlist/1oXvDxiiiJ9FKsD8DtXO1O?si=065ab65f140c47e4 - A 🤘
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🎤🎸 Êtes-vous vraiment un fan de Linkin Park ?
Alors que les accords de guitare résonnent, une opportunité unique se présente. Si vous pensez connaître chaque chanson, chaque parole et chaque moment mémorable de Linkin Park, il est temps de le prouver. Notre quiz spécial sur le groupe Linkin Park vous attend, rempli de questions aussi captivantes que leurs mélodies.
Plongez dans l'univers envoûtant de Linkin Park, testez vos connaissances et découvrez si vous êtes à la hauteur du groupe le plus emblématique du nu métal.
Relevez le défi ici : https://www.defisquiz.com/quizzy?l=fr&cat=musique&t=Linkin_Park
Le jeu commence... Êtes-vous prêt ? 🎤🎸
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Née le 17 janvier 1944 à Paris, Françoise Hardy grandit dans le 9e arrondissement de Paris auprès d'une mère aide-comptable, Madeleine Hardy, et d’une sœur d'un an et demi sa cadette. Elle n'a que très peu de rapports avec son père, issu d'une famille bourgeoise de Blois, et marié à une autre femme. Timide et complexée, la jeune Françoise se réfugie dans la musique et se met à la guitare. Elle rêve de chanter et s'inscrit au Petit Conservatoire de la chanson de Mireille, où elle restera deux ans.
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