#cours de guitare

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Maîtriser la main droite à la guitare

Bonjour à tous et bienvenue sur notre blog ! Aujourd’hui, nous allons explorer un aspect fondamental de la guitare : Maitriser la main droite. Dans une précédente vidéo, nous avons déjà abordé ce sujet, mais il est temps de plonger plus en profondeur. L’Importance de la position de la main Pour jouer efficacement, la position de votre main droite est cruciale. Idéalement, elle doit se trouver…

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[guitarebooster]

Tuto guitare toi plus moi de Grégoire

Tuto guitare gratuit jouez facilement Toi plus Moi de grégoire à la guitare

Une nouvelle fois la chanson Française est à l’honneur dans ce tuto guitare gratuit, puisque j’ai choisi de partager avec vous cet excellent tuto guitare du magnifique tube du chanteur Grégoire intitulé: Toi plus moi. Si vous êtes passionné par la musique et que vous souhaitez apprendre à jouer l’une des chansons les plus émouvantes de Grégoire, vous êtes au bon endroit ! Dans ce tutoriel, nous…

[carraways-son]

Dimanche

Jaloux comme un pou. Lors du Skype de ce matin, le Kid m’a raconté qu’il est allé avec sa classe à la villa Kujoyama, centre culturel français situé sur le mont Higashi, au-dessus de Kyôto, pour assister à un concert de la chanteuse Pomme, actuellement en résidence à la villa. Elle était seule en scène, s’accompagnant à la guitare et au piano. Le Kid était enthousiaste, avec juste un petit regret : en l’absence de Waxx, elle leur a dit ne pas pouvoir chanter « Laissez-moi danser » (reprise de la chanson de Dalida) qu’il connaît par cœur, tout comme le Mini Kid. Jaloux de mon petit-fils, mais très heureux de découvrir ce goût commun. Je regarde souvent les milliers de photos prises au cours de mes divers séjours dans ce pays que tout, ou presque, m’invite à adopter.

[codumofr]

Le Sitar est un instrument de musique typique des musiques Hindoustanie (style de musique phare indienne avec la musique Carnatique.) l’invention viendrait du XIIIe siècle et aurait été inventée par le musicien Amir Khusrau. Il est à l’époque un simple instrument à cordes dérivé du Tambur perse et sera modifié lentement au cours des siècles. Tandis qu'il évolue petit à petit au fil des siècles pour devenir sa version actuelle vers le XIXe siècle, il sera abondamment utilisé notamment par des musiciens dans la culture musicale Hindoustanie. Instrument à cordes de la famille des luths, il mesure 1.2 m de longueur et possède une caisse de résonance piriforme (en forme de poire.) profonde, faite de bois et de calebasse, d’un manche en bois long, assez large et évidé, ainsi que des chevilles frontales et latérales et vingt frettes arquées et qui sont mobiles. Généralement muni d’entre deux à cinq cordes servant pour les variations rythmique, puis de neuf à treize cordes métalliques placées sous les frettes tout en étant accordées sur les notes du Rāga (cadre mélodique de la musique classique indienne) et qui sont placée donc directement sous les frettes, dans le manche. Les frettes qui sont convexes, sont fixés par des liens tendus le long du manche, permettant ainsi le déplacement de ces dernières en fonction des besoins. Bien que les origines de l’instrument sont controversées, oscillant entre un descendant des luths à long manche en provenance d’Asie Central ou bien issue d’une variation du Vînâ à trois cordes de l’Inde du Sud, on peut situer que son nom en lui-même, le “Sitar” provient du persan “Sihtar” qui signifie “À trois cordes”. l’Âge d’or du Sitar se situe entre le XVIe siècle et le XVIIe siècle, tandis que sa forme actuelle date elle du XVIIIe siècle. Il est aujourd’hui l’instrument dominant la musique dans l’Inde du Nord et est utilisé comme un instrument soliste accompagnée Tambura (Luth à bourdon) ainsi que les tambours Tabla, mais aussi dans des ensembles pour les drames dansés nommée “Kathak”, issue aussi de l’Inde du Nord. Ainsi, pour le Sitar, il existe deux écoles modernes situées en Inde : Celle de Ravi Shankar, Sitariste et Compositeur Indien ayant vécu de 1920 à 2012 et celle de Vilayat Khan, Sitariste Indien ayant vécu de 1928 à 2004. Chacune de ses écoles possède son propre style de jeu, de type de Sitar (qui se résume par une taille, une forme et un nombre de cordes différentes) ainsi que le même système d’accord. Mais comment joue t’on du Sitar ? L’instrument est joué en étant assis en tailleur par terre et calé sous le coude droit et reposant sur le pied. Tenu de façon oblique comme la Guitare Flamenco et non pas de façon droite ou couché comme le Tampura, le sitariste use d’un onglet de métal du nom de Mezrab mis sur l’index droit pour pincer les cordes. Puis dans un mouvement de va-et-vient, comme dans la manière de jouer du le Setar, l'ancêtre du Sitar. Il y joue alternativement les cordes principales et rythmiques. L’utilisation dans la culture populaire se développe dans les années 1960 en piquant l’intérêt des Occidentaux dans les domaines de la spiritualité et de la musique Indienne. C’est avec le mouvement psychédélique en particulier que des sonorités asiatiques, ainsi que le sitar sont intégrées et font leur apparition dans la musique populaire, notamment chez les Beatles. On peut aussi nommer George Harrison qui sera l’élève de Ravi Shankar en 1966, puis son ami et l’utilisera dans de nombreux titres des Beatles tels que Norwegian Wood (1965), Love You To (1966), Withing You Without You (1966) ou encore The Inner Light (1968).

[jpbjazz]

LÉGENDES DU JAZZ

JOHN ABERCROMBIE, DU JAZZ FUSION AU FREE JAZZ

"{Abercrombie} should have had even more recognition for his contribution. When you go back and examine it, you can hear that warm, Jim Hall thing, but John definitely developed his own distinct voice on the guitar. He could really come together, adapt to any situation. But always with his own unique voice in the mix."

- Jack DeJohnette

Né le 16 décembre 1944 à Port Chester, dans l’État de New York, John Laird Abercrombie était le fils unique des immigrants écossais John Abercrombie et Elizabeth Beattie. Abercrombie a été élevé à Greenwich, Connecticut. D’abord attiré par le rock n’ roll de Chuck Berry, d’Elvis Presley, Fats Domino et du groupe Bill Haley and the Comets, Abercrombie adorait également le son du guitariste de jazz Mickey Baker du duo vocal Mickey and Silvia. À l’époque, Abercrombie avait aussi deux amis qui possédaient une impressionnante collection de disques de jazz, ce qui lui avait permis de se familiariser avec la musique de Dave Brubeck et de Miles Davis. Le premier guitariste de jazz qu’Abercrombie avait écouté sur disque était Barney Kessel. Abercrombie explique comment il était tombé en amour avec le jazz: "I heard Barney Kessel and immediately, I wanted to do that".Comme la plupart des adolescents de son époque, Abercrombie avait commencé à jouer de la guitare en tentant d’imiter Chuck Berry.

D’abord influencé par Barney Kessel, Abercrombie avait aussi été marqué par George Benson, Pat Martino, Wes Montgomery et Jim Hall. Mais loin d’être limitées aux seuls guitaristes, les influences d’Abercrombie comprenaient également Miles Davis et Bill Evans. Commentant l’influence de Kessel et Montgomery sur son jeu, Abercrombie avait précisé: “I realized that they had a different way to play than a lot of the other guys from their generation, and I liked the way they played better. Somehow it seemed more melodic, more lyrical; there was more space.�� 

Abercrombie avait pris ses premiers cours de guitare à l’âge de dix ans. Après avoir obtenu son diplôme du high school, Abercrombie était entré, à l’âge de seulement seize ans, au prestigieux Berklee College of Music. 

Durant ses études à Berklee, Abercrombie s’était familiarisé avec la musique de Jim Hall, l’album The Bridge de Sonny Rollins et les albums The Wes Montgomery Trio (1959) et Boss Guitar (1963) de Wes Montgomery. Au cours de cette période, Abercrombie avait souvent joué avec d’autres étudiants au Paul's Mall, un club de jazz de Boston qui faisait partie d’un club plus large appelé le Jazz Workshop. Les apparitions d’Abercrombie au Paul's Mall lui avaient éventuellement permis de rencontrer d’autres musiciens de jazz comme les frères Michael et Randy Brecker. C’est aussi au Jazz Workshop qu’Abercrombie avait entendu pour la première fois John Coltrane et Thelonious Monk. Abercrombie étudiait toujours à Berklee lorsque l’organiste Johnny Hammond Smith l’avait invité à l’accompagner en tournée. C’est d’ailleurs avec Smith qu’Abercrombie avait fait ses débuts sur disque en 1969.

Après avoir décroché son diplôme de Berklee en 1967, Abercrombie avait fréquenté la North Texas State University durant une brève période. Il s’était installé à New York en 1969.

DÉBUTS DE CARRIÈRE

Toujours en 1969, Abercrombie s’était joint aux frères Brecker dans le cadre du groupe de jazz-fusion Dreams. Durant cette période, Abercrombie s’était également produit avec le groupe de Billy Cobham, même s’il le trouvait un peu trop orienté vers le rock aux dépens du jazz. Abercrombie avait enregistré trois albums avec le groupe de Cobham, qui mettait également en vedette les frères Brecker. Abercrombie avait enregistré trois albums avec Cobham: Crosswinds (1974), Total Eclipse (1974) et Shabazz (1975).

Un jour, alors qu’il faisait la première partie des Doobie Brothers avec le groupe de Cobham, Abercrombie avait commencé à penser que sa carrière était en train de prendre une mauvaise direction. Il expliquait: "One night we appeared at the Spectrum in Philadelphia and I thought, 'What am I doing here?' It just didn't compute."

Devenu très populaire comme musicien de studio, Abercrombie avait enregistré avec Gato Barbieri en 1971, Barry Miles en 1972 et Gil Evans en 1974. Il était également un collaborateur régulier du batteur Chico Hamilton. Il avait aussi joué avec le saxophoniste anglais John Surman et le trompettiste italien Enrico Rava.

Le désir d’Abercrombie de jouer avec un groupe plus orienté vers le jazz s’était finalement matérialisé lorsque le batteur Jack DeJohnette l’avait invité à venir jouer avec son groupe. À la même époque, le producteur Manfred Eicher, le fondateur et président des disques ECM, lui avait proposé d’enregistrer son propre album. Le premier album d’Abercrombie comme leader, intitulé Timeless (1975), mettait en vedette DeJohnette et le claviériste Jan Hammer, qui avait été son compagnon de chambre dans les années 1960. Abercrombie explique comment il avait commencé à jouer avec Hammer: ‘’He played in a strip joint in Boston, and I'd run down and sit in with him before the strippers came on." Comme quoi, les bars de danseuses peuvent parfois mener à des directions insoupçonnées !

En 1975, Abercrombie avait formé le groupe Gateway avec DeJohnette et le contrebassiste Dave Holland, avec qui il avait enregistré les albums Gateway (1976) et Gateway 2 (1978). Très influencé par le jazz de chambre, la musique du groupe était également très marquée par la musique de Jimi Hendrix et du groupe Cream.

Même s’il avait enregistré avec d’autres compagnies de disques au cours de sa carrière, ECM était devenu son principal port d’attache. Abercrombie avait d’ailleurs continué de collaborer avec ECM durant l’ensemble de sa carrière. Le groupe Gateway interprétait des compositions des trois membres de la formation, dans un style très influencé par le free jazz. À la suite de sa collaboration avec Gateway, Abercrombie avait aussi enregistré dans un style plus traditionnel trois albums intitulés Arcade (1979), Abercrombie Quartet (1979), et M (1981). Ces albums avaient été enregistrés avec un quartet composé de Richie Beirach au piano, de George Mraz à la contrebasse et de Peter Donald à la batterie. Abercrombie expliquait: "It was extremely important to have that group... it was my first opportunity to really be a leader and write consistently for the same group of musicians." 

Au milieu des années 1970 et 1980, Abercrombie avait également collaboré avec des groupes dirigés par DeJohnette et participé à d’autres sessions pour ECM dans lesquels il avait joué de la mandoline à l’occasion. Abercrombie avait aussi joué en tournée avec le guitariste acoustique Ralph Towner avec qui il avait enregistré deux albums, Sargasso Sea (1976) et Five Years Later (1981).

DERNIÈRES ANNÉES

Au milieu des années 1980, Abercrombie avait continué d’interpréter des standards avec le contrebassiste tchèque George Mraz. Il avait également joué du bebop avec le guitariste John Scofield. Au cours de cette période, Abercrombie avait aussi accompagné d’autres artistesde la compagnie ECM. De 1984 à 1990, Abercrombie avait commencé à expérimenter avec la guitare synthétiseur. Abercrombie avait utilisé l’instrument pour la première fois en 1984 dans le cadre d’un trio avec Marc Johnson à la basse et Peter Erskine à la batterie, ainsi que dans un groupe de free jazz avec Paul Bley. Selon Abercrombie, la guitare synthétiseur lui permettait d’avoir un son plus lourd et plus ouvert. Le trio d’Abercrombie avait enregistré trois albums mettant en vedette la guitare synthétiseur: Current Events (1986), Getting There (avec Michael Brecker en 1988), et l’album live John Abercrombie / Marc Johnson / Peter Erskine (1989).

Abercrombie s’était également associé à de nouveaux musiciens au cours des années 1990 et 2000. En 1992, Abercrombie avait enregistré un album de free jazz avec l’organiste Jeff Palmer et le batteur Adam Nussbaum. Par la suite, Abercrombie avait fondé un trio avec Nussbaum et l’organiste Dan Wall avec qui il avait enregistré trois albums: While We're Young (1992), Speak of the Devil (1994) et Tactics (1997). Le trio s’était transformé en sextet avec l’ajout du trompettiste Kenny Wheeler, du violoniste Mark Feldman et du saxophoniste Joe Lovano, ce qui avait donné lieu à l’enregistrement de l’album Open Land en 1999. Au cours de cette période, Abercrombie avait également travaillé avec un groupe composé de Marc Copland au piano, de Drew Gress à la contrebasse, de Joe Lovano au saxophone et de Joey Baron à la batterie. Évoquant sa collaboration avec le groupe, Copland avait précisé: "Playing guitar and piano together can be problematic, but with John it was effortless. We both liked to leave space, and often were rewarded with beautiful chordal washes of color."

Abercrombie avait aussi réuni le groupe Gateway dans le cadre de l’enregistrement des albums Homecoming (1995) et In the Moment (1996). Abercrombie avait également joué en duo avec le guitariste Ralph Towner et les pianistes Richie Beirach et Andy LaVerne.

Dans les années 1990, Abercrombie avait définitivement renoncé à jouer avec un pic de guitare, préférant utiliser ses pouces comme seul appui. Ce changement avait donné à sa guitare un son plus profond et plus rond, ce qui convenait parfaitement au style de jazz de chambre qu’il avait commencé à jouer à l’époque.

Abercrombie avait continué d’enregistrer et de faire des tournées jusqu’à sa mort. Il avait également continué de publier des albums pour ECM, avec qui il avait collaboré durant plus de quarante ans. Comme Abercrombie l’avait déclaré en entrevue, il avait toujours adoré l’approche véhiculée par ECM. Il expliquait: "I'd like people to perceive me as having a direct connection to the history of jazz guitar, while expanding some musical boundaries."

John Abercrombie est mort d’une crise cardiaque le 22 août 2017 à l’hôpital de Hudson Valley dans l’État de New York, à l’âge de soixante-douze ans. La santé d’Abercrombie s’était grandement détériorée au cours des dernières années de sa vie. Il laissait dans le deuil sa femme Lisa Abrams, qu’il avait épousée en 1986. Abercrombie vivait dans le comté de Putnam, dans l’État de New York.

L’année-même de son décès, Abercrombie avait publié un dernier album intitulé Up and Coming. Tout en réflétant le sens de l’humour pince-sans-rire d’Abercrombie, le titre de l’album évoquait le statut tantôt idéalisé et tantôt sous-estimé de la guitare comme instrument de jazz. Déplorant qu’Abercrombie n’avait pas toujours été apprécié à sa juste valeur, le batteur Jack DeJohnette avait commenté: "He should have had even more recognition for his contribution. When you go back and examine it, you can hear that warm, Jim Hall thing, but John definitely developed his own distinct voice on the guitar. He could really come together, adapt to any situation. But always with his own unique voice in the mix."

Au cours de sa carrière s’étendant sur plus de quarante ans, Abercrombie avait enregistré près de cinquante albums tant comme leader qu’accompagnateur. Guitariste polyvalent, Abercrombie avait été influencé par une grande variété de styles musicaux, allant du rock à la musique latine, en passant par le country, la musique électronique, le bebop, le classique, le swing et le free jazz. Comme professeur, Abercrombie avait également fait des lectures au Purchase College à New York.

Privilégiant souvent les instrumentations inhabituelles, Abercrombie avait même joué de la mandoline électrique sur l’album 4x4 de McCoy Tyner en 1993. Après sa mort, le batteur Jack DeJohnette, qui avait collaboré avec Abercrombie durant plus de quarante ans, lui avait rendu hommage en déclarant: "John could go anywhere – rhythmically, melodically, harmonically – at the drop of a hat. {...}. He had a very warm sound, and always played with sensitivity, dynamics. He could create atmosphere with his comping, and through his great use of space." Même si Abercrombie était de la même génération que des vétérans de la guitare électrique comme Sonny Sharrock et John McLaughlin, son tempérament le rapprochait davantage de jeunes guitaristes comme Pat Metheny, John Scofield et Bill Frisell. Abercombie était d’ailleurs devenu un pionnier du jazz-rock un peu par nécessité, car il n’avait pas vraiment de modèles qui auraient pu lui donner la direction à prendre. Il expliquait: "I had to figure things for myself. I grabbed onto every device I had in my arsenal — my knowledge of harmony and the guitar, the few little fuzztones or pieces of gear that I used at the time — and tried to fit in. When I'd play with Jack and Dave Holland, or some other players, I responded to what I was hearing around me, and let the sound of it all teach me what I was supposed to do."

Dans son compte rendu d’un concert d’Abercrombie avec le contrebassiste George Mraz en 1986, le critique John S. Wilson avait comparé le style du guitariste à celui d’un claviériste. Wilson écrivait:  “Mr. Abercrombie has a light, keyboard-like manner of developing performances, sometimes spreading from a sweeping line of single notes to a fullness that suggests an organ.” Commentant le jeu d’Abercrombie sur les balades, Wilson avait ajouté: “He moves through light, almost diaphanous lines that gain in strength through their rhythmic flow and increasing melodic exposition.” 

Mais même si Abercrombie avait brièvement joué de la guitare synthétiseur dans les années 1980 et 1990, il avait toujours refusé de se laisser dominer par la technologie. Abercrombie n’avait jamais cessé de se renouveler et avait toujours tenté de garder un regard neuf sur sa musique. Il expliquait: ‘’Even a tune you play over and over again — if you keep it fresh in your mind and you approach it with a fresh outlook, then it stays fresh. You don’t have to find new and exciting types of music to play.’’ Il avait ajouté: “That stuff just happens when your attitude is really good, when you approach things with an open mind.”

Évoquant ses principales influences à la fin de sa carrière, Abercrombie avait commenté: ‘’I like to listen to ethnic music, like folk music from different countries. I really like Asian music, like Japanese music, Chinese music and Indian music. I like classical music. I love Bach. And then the jazz I grew up on, which, after Barney Kessel, became people like early Miles Davis groups, John Coltrane and especially the Bill Evans trio. I still listen to that. I find I don't have too many new things that draw me in as much as the older stuff. I think there are some amazingly good players on the scene. But I always find myself coming back to the guys I listened to as a kid. I'd rather listen to Miles Davis than someone sounding like Miles Davis.’’

Malgré tous les avantages apportés par la technologie du multi-pistes, Abercrombie croyait qu’il était important de ne pas rater son coup lorsqu’on enregistrait. Il expliquait:

‘’All music is imperfect, but in jazz since you’re improvising, at least the way I play, I’m trying to follow my train of thought in a solo I have things that I’ve played before, but I try to think about that. I just play the song. And when you’re doing that, the imperfection is that I’ll flub notes or I’ll play notes I may not really mean. If I had a chance to overdub, I might go back and fix them. But the fact is, the actual first time you play something, it’s almost never perfect, at least to my ears. Every time I listen back to solos of mine I’ll hear something I like and then another phrase that I can’t stand. You have to live with what you play. And the recording medium puts that on us.’’

Abercrombie adorait citer cette phrase d’Eric Dolphy: ‘’Once you play the music, it’s in the air. It’s gone.’’ Abercrombie avait ajouté: ‘’That’s true. But when you record it, it comes back to haunt you sometimes.’’

©-2024, tous droits réservés les Productions de l’Imaginaire historique

[wumisims]

Bienvenue à Bridgeport, dans la vie de Lola Bialetti !

Lola est une jeune adulte engagée dans la ville où elle a grandi. Depuis son plus jeune âge elle aime participer à la vie de quartier et aider son prochain, surtout quand celui-ci est dans le besoin. Son planning est partagé entre ses répétitions le vendredi soir au Repaire de Waylon et les animations diverses qu’elle réalise pour les citoyens durant les festivals de saison.

Ses revenus modestes ne lui permettent pas de déménager de cet immeuble, elle habite dans le quartier sud de Bridegport dans un modeste studio avec sa petite-amie. Ce n’est pas une vie de rêve mais au moins, elle se sent libre et se refuse catégoriquement à travailler toute sa vie derrière un bureau.

Lola adore plaire et draguer, elle est connue pour ses nombreuses conquêtes dans la communauté queer de Bridgeport. Depuis quelques mois, elle s’est engagée dans une relation sérieuse avec Katelyn Minossi. Elles ont récemment emménagé ensemble, mais cela demande quelques ajustements. 

L’été arrive à sa fin et Lola pensait être comblée après avoir passé son temps avec sa petite-amie et son amie de longue date, Lola Belle. Elle se pose des questions sur sa carrière professionnelle. C’est une grande virtuose vous savez, et elle joue très souvent dans des bars ou au parc (c’est d’ailleurs grâce à ça qu’elle réussit à pécho, en partie).

Elle a rencontré Marina durant une session guitare au Parc du centre-ville. Marina travaille au spa urbain mais elle prend des cours du soir pour apprendre à jouer plusieurs instruments. Son objectif est de vivre de sa passion, la musique. Après quelques sessions musiques ensemble, Lola se demande si jouer au parc ou dans des bars gratuitement lui convient réellement.

Après tout, elle a un loyer à payer. Kaytelin Missoni est manager du spa situé au centre-ville et est folle amoureuse de Lola. Son esprit très enfantin la rend optimiste, même dans les situations les plus désespérées. Elle ne voit pas l’écart se creuser entre elle et Lola. Après tout, elles viennent d’emménager ensemble donc tout va bien dans le meilleur des mondes.

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Savoir jouer de la guitare, c'est facile ?

Quelles sont les compétences pour apprendre la guitare ? https://pxhere.com/fr/photo/735821 Savoir jouer de la guitare est une aventure musicale exigeante qui requiert un ensemble de compétences variées, tant techniques que mentales. Pour commencer, la motivation et la patience sont primordiales. Jouer de la guitare ne s’apprend pas en un jour, et il faut accepter de répéter les mêmes gestes…

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Supergrass, Mary, 1 999

Cette remarquable chanson, que j'ai pourtant toujours trouvée ennuyeuse tant elle était en-dessous du Supergrass du chef d'oeuvre I Should Coco (1 995), et tant le niveau baissait de disque en disque, a des spécificités rares. Je ne demande pas lesquelles car personne ne participe jamais à mes jeux ici, je vais donc expliquer. C'est une chanson sans refrain (le refrain est remplacé par des choeurs qui pourraient être un pont ou break), et la phrase de guitare qui apparaît quasiment dès le début et qui est plus tard déclinée en solo est placée très tôt dans la chanson, ce qui fait quasiment un solo en début de chanson, autre fait rarissime. A noter le choix de Gaz de passer par une fausse note qu'il dévie rapidement en glissé. On retrouve une autre chanson de Supergrass dans mon roman en 3 langues en cours de recherche d'éditeurs - j'ai stoppé les envois et appels il y a 2 mois pour les raisons largement étalées ici, mais recommencerai dans quelques temps... Basile Pesso, 3 avril 2 024 (Fb, avec le live studio)

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Apprendre la guitare : pourquoi s'inscrire à notre newsletter ?

Apprendre la guitare est une activité passionnante qui peut apporter de nombreux bénéfices. C’est une façon d’exprimer sa créativité, de se détendre et de se divertir. Mais apprendre la guitare peut aussi être difficile, surtout si on est débutant. C’est là qu’intervient notre newsletter ! Nous proposons des ressources complètes et adaptées aux débutants en guitare. Vous y trouverez des cours…

[morphaurora]

Pour mon premier billet, je voulais vous partager une lecture, une série et un album... Tout ça se résume à Daisy Jones and The Six de Taylor Jenkins Reid.

Un livre que j'ai découvert l'été dernier et que j'ai adoré parce qu'il parle tout simplement de musique, de Rock particulièrement. Le résumé:

"Daisy Jones and The Six... le groupe de rock le plus mythique de tous les temps. Leurs concerts remplissaient les stades aux quatre coins de la planète et ils ont enflammé les nuits de toute une génération. De leurs débuts dans les bars miteux d'un Sunset Strip écrasé de soleil californien à la gloire, leur histoire est celle d'une ascension fulgurante. De l'euphorie qui vient avec le succès, des excitants qu'on prend pour entretenir la magie des calmants qu'on avale pour essayer de dormir. C'est l'histoire du rock'n'roll. C'est aussi celle de Daisy Jones, l'icône ultime.

Mais le 12 juillet 1979, après le plus mémorable des concerts, le groupe a éclaté. Personne n'a jamais su pourquoi... Jusqu'à aujourd'hui

Musiciens, fans managers, amants, gardiens d'immeubles.. ils ont tous été les témoins de cette histoire... Mais quarante ans plus tard, chacun a sa propre version de la vérité."

J'ai aimé l'écriture de l'auteure Taylor Jenkins Reid l'histoire du groupe est racontée en forme d'interview, ce qui est facile et agréable à lire. De plus, vous retrouverez plein de références musicales des années 70, je me suis régalé à les écouter en lisant pour me plonger à cette époque. J'aime beaucoup le processus de création d'un groupe, d'une musique, de paroles, d'un album. Les difficultés qu'ils peuvent rencontrer et les joies du dur travail accompli.

Je peux dire que ce livre m'a tenu en haleine jusqu'à la fin. Et quand j'ai su qu'ils allaient l'adapter en série, j'étais en joie. Et j'avais surtout hâte de découvrir les chansons. Je vous mets ci-dessous celles que j'ai le plus aimées

Je suis d'autant plus impressionnée par l'actrice qui joue Daisy (Riley KEOUGH) Petite fille d'Elvis Presley, qui a pris des cours de guitare et de chants pour pouvoir assumer le rôle et j'adore sa voix.

Vous pouvez écouter l'album sur @spotify

Et regarder la série sur @primevideo

Enfin voilà que dire de plus... Oui à d'autres découvertes comme celle-ci!

Et toi, tu en as pensé quoi? Ou est-ce que tu as eu un coup de coeur et lequel?

[ipomoeaalba]

Hey, j’espère que vous allez bien !

Je vais vous faire une petite présentation rapide de moi histoire que vous puissiez un peu mieux me connaître.

Je m’appelle Aline, je suis lycéenne et j’adore la littérature, l’art et la musique.

Je suis autrice de romans gays (romance, romantasy, darkromantasy et darkromance). Je suis musicienne (chant et un peu de guitare) et j’adore le métal et le hard rock (comme vous avez pu le constater avec mes photos sur mon profil).

Mes groupes préférés sont :

Kurt Cobain

Linkin Park

System of a Down

Columbine

Fauve

Sabaton

Måneskin

Ghost

Johnny Cash

Queen

Nekfeu

Orelsan

Téléphone

Cigarettes after Sex

Mes genres livresques préférés sont :

Romantasy (gay)

Darkromantasy (gay)

Romance (gay)

Je suis sur :

Wattpad : epiphyllumrhoeas

Tiktok : epiphyllum_rhoeas

Instagram : _ipomoea.alba ou ipomoea_reading

Booknode : epiphyllum_rhoeas

Je publie mes histoires sur mon Wattpad dont une qui est en cours : Un jour, tu sauras, qui a actuellement 2,33k de vues !

Voilà, j’espère que vous aurez aimé, et que vous me suivrez ! En attendant je vous souhaite bonne nuit ou bonne journée en fonction de l’heure où vous voyez cette publication 🫶🏻

Bisous - Ipomée.