#Allemagne nazie
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vagabondageautourdesoi · 11 months ago
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le tableau volé - Pascal Bonitzer
Avis sur le tableau volé de Pascal Bonitzer, une comédie réussie
AndrĂ© Maison (Alex Lutz), “comme le peintre”, aime-t-il Ă  rĂ©pĂ©ter, est commissaire-priseur et accueille une nouvelle stagiaire. Un jour, un courrier l’informe qu’un tableau d’Egon Schiele a Ă©tĂ© dĂ©couvert Ă  Mulhouse, chez un jeune chimiste, travaillant de nuit. AprĂšs authentification de la toile qu’il fait avec son ex-femme Bertina (LĂ©a Drucker), AndrĂ© dĂ©cide d’en faire la vente de sa carriĂšre.

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transparentgentlemenmarker · 4 days ago
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Religions et vous autres
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ISIS - Islam
Talibans - Islam
Hezbollah - Islam
Boko Haram - Islam
Hamas - Islam
Lashkar - Islam
Jaish-e-mohammad - Islam
Al-QaĂŻda - Islam
Al-Shabaab - Islam
Ansar-al-Sharia - Islam
Conclusion le terrorisme n'a pas de religion.
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La 1Úre Croisade est arrivée :
457 ans aprĂšs la conquĂȘte de JĂ©rusalem
453 ans aprĂšs la prise de l'Egypte
443 ans aprĂšs le pillage de l'Italie
427 ans aprÚs la création de Constantinople
380 ans aprĂšs la conquĂȘte de l'Espagne
363 ans aprĂšs l'attaque de la France
C'était une réponse au JIHAD.
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Allemagne nazie - Chrétienne
Empire russe - Chrétien
Empire britannique - Chrétien
Empire français - Chrétien
Empire romain - Chrétien
Ils ont fait plus de crimes de guerre contre l'humanitĂ©, stop Ă  vos bĂȘtises
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selidren · 16 days ago
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Automne 1939 - Champs-les-Sims
7/7
En rĂ©alitĂ©, mon frĂšre Ă©tait terrorisĂ© mais rĂ©solu. Une forme de rĂ©solution quelque peu fataliste ceci dit. Je n'entrerai pas dans les dĂ©tails. Sache simplement que c'est dans ces instants que je redeviens pleinement sa sƓur ainĂ©e, mĂȘme si je ne le suis que de quelques minutes. Antoine est un homme intelligent et trĂšs sensĂ©, l'un des plus sensĂ© que je connaisse, mais il se laisse parfois dĂ©border par ses Ă©motions et ses pensĂ©es deviennent un chaos sans nom. J'ai rĂ©ussi Ă  l'apaiser un peu. Mais pas sans qu'il me transmette ses angoisses. Nous fonctionnons ainsi depuis toujours.
J'ai du t'inquiéter avec toute cette logorrhée. Sache qu'à présent, je vais mieux. Je suis toujours inquiÚte, mais coucher mes angoisses sur le papier m'a fait le plus grand bien. Je me rends également compte que je n'ai pas souhaité tous mes voeux de bonheur à ta soeur. Transmet-les lui je te prie. Avec le bonheur et la certitude de savoir qu'un océan vous sépare de la guerre. Sache également que si les filles vont à l'école à Meulan, c'est tout simplement qu'il n'y a pas de collÚge pour filles au village. Par tradition, les filles de la famille Le Bris sont éduquées par un précepteur une fois l'école primaire terminée. J'ai décidé de briser cette tradition d'un autre temps. Aux ùges d'Anna et Elisabeth, cÎtoyer d'autres jeunes filles me parait bien plus sain. Surtout par les temps qui courent, ça leur changera les idées.
J'espĂšre pouvoir t'Ă©crire bientĂŽt, ne serait-ce que pour t'annoncer la naissance de mon enfant. Tu n'as jamais mentionnĂ© aucune ferveur religieuse particuliĂšre, pas plus que moi, mais j'aimerais te demander une faveur. Je vais trĂšs rĂ©guliĂšrement Ă  l'Ă©glise prier pour mon mari, mes frĂšres et tous les hommes qui sont partis. Je n'ai jamais vĂ©ritablement Ă©tĂ© pratiquante, ni mĂȘme croyante, mais cela m'apaise un peu. Pourrais-tu prier pour eux Ă©galement ? Ne serait-ce que pour moi ?
Je t'envoie ma plus sincĂšre affection.
Noé
Transcription :
Marc-Antoine ïżœïżœÂ D’une, nous n’avons pas le choix. De deux, tout le monde sait ce qui arrive aux communistes en Allemagne : ils sont arrĂȘtĂ©s, interrogĂ©s et emprisonnĂ©s. Et ensuite, ils disparaissent, on ne les revoit plus. Regarde ce qu’il s’est passĂ© aprĂšs l’incendie du Reichstag ! Si nous perdons cette guerre, tu peux dire adieu Ă  ton petit frĂšre ! »
Arsinoé « Je me disais bien que tu jouais la comédie. Tu es comme nous, tu es terrorisé. »
Marc-Antoine « Si ils me prennent Noé  C’est fini pour moi. Les altercations avec Daniel Jacqmarcq, elles tenaient plus du jeu politique que d’autre chose. Mais, quand KlĂ©ber lui a fichu ce coup de poing en pleine mĂąchoire, je crois que j’ai compris. En fait, il dĂ©fendait sa vie. Car cette crevure n’aura aucun scrupule Ă  regarder les nazis nous pendre, tous autant que nous sommes. »
ArsinoĂ© « Je
 je ne savais pas que ça te travaillait autant. »
Marc-Antoine « Je vais te confier un secret NoĂ©. J’y pense tout le temps, je crĂšve de trouille. Et je me dis que si jamais je suis fait prisonnier, il faudra que je trouve un moyen d’en finir qu’ils puissent... »
Arsinoé « Antoine... »
Marc-Antoine « Non, Ă©coutes moi ! Je n’ai pas de dĂ©sir morbide, tu me connais. Mais je ne veux pas que ça Ă©clabousse les autres, tu comprends ? Je ne suis pas naĂŻf, je sais qu’ils torturent les prisonniers pour avoir des informations. Ou simplement pour le plaisir, je ne sais pas
 Donc, je dois trouver une solution. Un mĂ©dicament peut-ĂȘtre. Et je ne peux en parler qu’à toi. »
ArsinoĂ© « Antoine, je refuse de t’aider Ă  trouver des moyens pour te suicider ! »
Marc-Antoine « S’il te plaĂźt ! Il n’y a qu’à toi que je puisse faire confiance pour ça. Aurore
 non je ne peux pas parler de ça avec Aurore. Elle me ficherais des claques, et ça lui ferait tellement de mal. »
ArsinoĂ© « Exactement. D’ailleurs, ma main me dĂ©mange aussi. Je suis ta sƓur ? Comment tu peux me demander
 ça ? »
Marc-Antoine « Parce que tu es ma sƓur justement ! Je ne ferais confiance Ă  personne d’autre autant qu’à toi pour protĂ©ger ma propre vie. Je sais que si jamais
 si jamais le pire arrive, tu prendras soin d’Aurore et des enfants. Bon sang, RĂ©mi et Jean-Claude sont si petits je... »
ArsinoĂ© « Antoine ! Tu vas te taire et m’écouter ! »
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vagabondageautourdesoi · 2 years ago
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Guy Boley - A ma sƓur et unique
RENTREE LITTERAIRE 2023 Guy Boley, en associant Elisabeth Ă  la biographie de son frĂšre, Fredrich Nietzche, dresse dans A ma sƓur et unique un portrait de femme terriblement dĂ©moniaque. Elisabeth est une femme vĂ©nale, mĂ©chante, menteuse, bigote et raciste, incapable de tendresse, ni mĂȘme d’une simple humanitĂ©. Son seul but semble de tenir sa place dans la “bonne sociĂ©tĂ©â€, s’enrichir pour mieux en

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jpbjazz · 6 months ago
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LÉGENDES DU JAZZ
JOE ZAWINUL, DE WEATHER REPORT AUX MUSIQUES DU MONDE
“My dad raised the bar in the music world as a true artist to his profession. As a bandleader, he was able to pull out performances from his bandmates and take them to heights they never knew existed. He never compromised his art. You either liked it or you didn’t. One thing is for sure, though, you always knew it was Joe Zawinul.”
- Anthony Zawinul
NĂ© le 7 juillet 1932 Ă  Vienne, en Autriche, Josef Erich Zawinul était d’origine gitane (par sa grand-mĂšre d’origine hongroise) et avait grandi dans une famille musicale. Son pĂšre, qui travaillait comme commis pour une compagnie de gas, jouait de l’harmonica pendant ses temps libres. Sa mĂšre Ă©tait chanteuse. Zawinul avait un frĂšre jumeau, Erich, qui Ă©tait mort de pneumonie Ă  l’ñge de quatre ans.
Zawinul avait d’abord appris Ă  jouer de l’accordĂ©on Ă  l’ñge de six ans, un instrument qu’il avait continuĂ© d’apprĂ©cier durant toute sa vie. La famille Zawinul Ă©tant trop pauvre pour avoir son propre piano, les talents de Josef Ă©taient si remarquables que ses parents lui avaient payĂ© des leçons de piano classique. Le Conservatoire de Vienne (Konservatorium Wien) avait Ă©tĂ© tellement impressionnĂ© par les talents de Zawinul qu’il avait acceptĂ© de lui donner des cours gratuits de piano, de clarinette, de violon et de composition. Parmi les camarades de classe de Zawinul, on remarquait le pianiste classique Friedrich Gilda. Zawinul avait Ă©galement formĂ© un duo avec le futur prĂ©sident autrichien Thomas Lentil.
 Une des grandes dĂ©couvertes de Zawinul durant sa jeunesse Ă©tait  le jazz amĂ©ricain, qui avait Ă©tĂ© interdit par les Nazis durant la Seconde Guerre mondiale. À la fin de la guerre, Vienne ayant Ă©tĂ© victime de nombreux bombardement alliĂ©s, Zawinul et ses vingt-huit camarades de classe avaient Ă©tĂ© Ă©vacuĂ©s en TchĂ©coslovaquie, oĂč ils avaient poursuivi leurs Ă©tudes musicales tout en Ă©tant soumis Ă  un entraĂźnement militaire plutĂŽt strict sous la direction d’officiers SS blessĂ©s. C’est Ă  cette Ă©poque que Zawinul avait entendu du jazz pour la premiĂšre fois lorsqu’un de ses camarades de classe avait interprĂ©tĂ© une version improvisĂ©e du standard “Honeysuckle Rose” au piano. Parmi les premiĂšres influences de Zawinul, on remarquait les pianistes Erroll Garner et George Shearing.
AprĂšs la guerre, Zawinul Ă©tait retournĂ© Ă  Vienne oĂč il avait poursuivi ses Ă©tudes de piano classique tout en gagnant un peu d’argent en jouant de l’accordĂ©on avec de petits groupes de danse. AprĂšs la fin des hostilitĂ©s, lors de l’occupation de Vienne par les AlliĂ©s, Zawinul avait commencĂ© Ă  jouer sur des bases militaires amĂ©ricaines, ce qui lui avait permis d’avoir accĂšs Ă  un orgue Hammond, un instrument qui l’avait toujours fascinĂ©.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Il n’avait pas fallu longtemps Ă  Zawinul pour lancer sa carriĂšre musicale. Il expliquait: “I saw what I wanted to do with my life, and that was to play with black musicians.” AprĂšs avoir travaillĂ© comme pianiste de studio pour les disques Polydor, Zawinul avait accompagnĂ© en 1952 le saxophoniste autrichien Hans Keller. Il avait aussi jouĂ© avec les Austrian All Stars, le pianiste classique Friedrich Gulda (avec qui il avait fait ses dĂ©buts sur disque en 1953), Karl Drewo et Fatty George. Il avait Ă©galement fait une tournĂ©e en Allemagne et en France avec son propre trio. Convaincu que sa carriĂšre ne pourrait se dĂ©velopper davantage en Autriche, Zawinul Ă©tait tellement obsĂ©dĂ© par l’idĂ©e d’aller jouer aux États-Unis que certains de ses amis musiciens avaient arrangĂ© un faux appel tĂ©lĂ©phonique l’invitant Ă  se joindre au groupe d’Ella Fitzgerald en tournĂ©e ! AprĂšs avoir dĂ©couvert la vĂ©ritĂ©, Zawinul avait par la suite ratĂ© une occasion en or en ignorant un autre appel (mai bien rĂ©el celui-lĂ ) du trompettiste Clark Terry.
Zawinul avait finalement obtenu sa chance aprĂšs avoir vu une publicitĂ© de la Berklee School of Music dans un des rares exemplaires du magazine Down Beat Ă  avoir rĂ©ussi Ă  se rendre jusqu’à Vienne. AprĂšs avoir remportĂ© une bourse pour aller Ă©tudier durant un semestre Ă  Berklee, Zawinul s’était embarquĂ© sur un navire le 2 janvier 1959 et avait entrepris la traversĂ©e de cinq jours jusqu’aux États-Unis. Avec seulement 800$ en poche, Zawinul savait que sa tĂąche ne serait pas facile. Comme il l’avait prĂ©cisĂ© plus tard, “I knew that it wouldn’t be easy, because I had no relatives, didn’t know a single person in America. But when I came over on the boat, I did it with the purpose to kick asses.”
À son arrivĂ©e Ă  New York, Zawinul avait fait un de ses premiers arrĂȘts au cĂ©lĂšbre club Birdland, oĂč il Ă©tait entrĂ© en contact avec la scĂšne du jazz pour la premiĂšre fois. C’est d’ailleurs au Birdland que Zawinul avait rencontrĂ© sa future Ă©pouse Maxine.
Mais les Ă©vĂ©nements n’avaient pas tardĂ© Ă  se bousculer. Quelques semaines aprĂšs avoir commencĂ© Ă  Ă©tudier Ă  Berklee, un des professeurs de Zawinul lui avait proposĂ© d’agir de remplacer un pianiste dans le cadre d’une performance avec le bassiste Gene Cherico et le batteur Jake Hanna. ImpressionnĂ© par le talent de Zawinul, Hanna l’avait recommandĂ© au trompettiste canadien Maynard Ferguson qui l’avait embauchĂ© peu aprĂšs lui avoir fait passer une brĂšve audition. Ferguson avait aussi auditionnĂ© quelques saxophonistes, car son saxophoniste rĂ©gulier venait de quitter le groupe. Parmi les candidats, on remarquait un jeune saxophoniste appelĂ© Wayne Shorter. C’est ainsi que la longue et fructueuse collaboration de Zawinul et Shorter avait dĂ©butĂ©.
Ne pouvant laisser passer cette occasion en or, Zawinul avait fait ses adieux Ă  Berkley et avait jouĂ© en tournĂ©e durant huit mois avec Ferguson, participant notamment Ă  l’enregistrement de l’album live A Night at Birdland. AprĂšs avoir jouĂ© briĂšvement avec le tromboniste Slide Hampton, Zawinul avait accompagnĂ© la chanteuse Dinah Washington durant trois ans (1959 Ă  1961), ce qui lui avait permis de se familiariser avec le blues et de collaborer Ă  l’enregistrement de l’album Ă  succĂšs “What A Diff’rence a Day Makes!” Washington voyageant souvent en tournĂ©e avec Ray Charles, Zawinul utilisait souvent le piano Ă©lectrique Wurlitzer de ce dernier lorsque le piano acoustique des salles dans lesquels il Ă©tait appelĂ© Ă  jouer n’était pas en parfait Ă©tat. C’était la premiĂšre fois de sa carriĂšre que Zawinul se servait d’un piano Ă©lectrique, mais ce ne serait sĂ»rement pas la derniĂšre. Mais mĂȘme s’il avait apprĂ©ciĂ© de jouer avec Washington, accompagner une chanteuse n’était pas vraiment l’objectif de Zawinul dans la vie. Le rĂȘve de Zawinul Ă©tait de devenir un musicien de jazz Ă  part entiĂšre, et il savait que pour rĂ©aliser son ambition, il devait passer Ă  autre chose. AprĂšs avoir quittĂ© Washington, Zawinul Ă©tait parti briĂšvement en tournĂ©e avec Harry ‘’Sweets’’ Edison et Joe Williams.
À l’automne 1961, Zawinul avait finalement Ă©tĂ© invitĂ© Ă  se joindre au quintet de Cannonball Adderley, qui Ă©tait alors un des groupes les plus renommĂ©s du jazz. En 1961, Zawinul avait inaugurĂ© une collaboration de neuf ans avec Adderley, dont le style de jeu Ă©tait trĂšs influencĂ© par le soul et d’autres formes de musique afro-amĂ©ricaine. Adderley, aprĂšs avoir remarquĂ© la facilitĂ© avec laquelle Zawinul Ă©tait capable d’absorber ces styles de musique, l’avait encouragĂ© Ă  composer. Devenu progressivement le principal compositeur du groupe, Zawinul, qui avait Ă©crit le grand succĂšs de 1966 “Mercy, Mercy, Mercy” ainsi que d’autres piĂšces Ă  succĂšs du saxophoniste comme ‘’Walk Tall" et "Country Preacher". C’est Ă  la mĂȘme Ă©poque que Zawinul s’était liĂ© d’amitiĂ© avec le pianiste Herbie Hancock. Saluant la remarquable habiletĂ© de Zawinul Ă  saisir l’esprit du peuple afro-amĂ©ricain, Hancock avait dĂ©clarĂ© plus tard au sujet de Zawinul: "For a white Viennese boy to write a tune that's that black is pretty remarkable. He just captured the essence of the African-American heritage, just the statement of melody and feeling of that song. Clearly, in some past life, Joe must've been black."
Zawinul avait Ă©galement composĂ© pour Adderley des piĂšces plutĂŽt innovatrices comme “74 Miles Away” et “Rumpelstiltskin”. En tout et pour tout tout, Adderley avait enregistrĂ© une cinquantaine de compositions de Zawinul.
Durant cette pĂ©riode, Zawinul avait Ă©galement trouvĂ© le temps d’enregistrer deux albums comme leader, Money In the Pocket (1966) et The Rise and Fall Of The Third Stream (1967).
Le solo de Zawinul sur “Mercy, Mercy, Mercy” reprĂ©sentait une des premiĂšres utilisations du piano Ă©lectrique dans un enregistrement de jazz. Zawinul avait Ă©crit la piĂšce lors de sa collaboration avec la chanteuse de gospel Esther Marrow. Peu avant la session d’enregistrement, Zawinul avait repĂ©rĂ© un piano Ă©lectrique Wurlitzer dans le studio et avait demandĂ© Ă  Adderley s’il pourrait l’utiliser de prĂ©fĂ©rence Ă  un piano acoustique, car il Ă©tait convaincu que ce changement permettrait de connaĂźtre un grand succĂšs. Le flair de Zawinul avait portĂ© fruit, et la piĂšce s’était hissĂ©e Ă  la onziĂšme position du palmarĂšs Billboard. ParallĂšlement Ă  son sĂ©jour avec le groupe d’Adderley, Zawinul avait Ă©galement accompagnĂ© d’autres grands noms du jazz comme le saxophoniste Ben Webster.
Les groupes multi-raciaux n’étant pas encore trĂšs nombreux dans le jazz Ă  l’époque, Zawinul devait souvent s’allonger sur le plancher de l’autobus lorsqu’il voyageait en tournĂ©e avec le groupe d’Adderley dans les États du Sud. Comme Zawinul l’avait expliquĂ© au cours d’une entrevue qu’il avait accordĂ©e en 1997, ‘'I often had to sit in the bottom of the car when we drove through certain parts of the South.’’ Mais, malgrĂ© tous ces obtacles, Zawinul avait refusĂ© de se laisser intimider et n’avait jamais abandonnĂ© son rĂȘve de devenir un musicien de jazz respectĂ©. Il avait ajoutĂ©: ‘’Those kinds of things never fazed me; I wanted to play music with the best, and I could play on that level with the best.''
La collaboration de Zawinul avec Adderley avait Ă©tĂ© significative tant sur le plan musical que personnel. Les membres du groupe d’Adderley passaient Ă©normĂ©ment de temps ensemble lors des tournĂ©es, ce qui leur avait permis de dĂ©velopper de solides amitiĂ©s. Comme Zawinul l’avait racontĂ© plus tard, “He was family. He was my best man, my witness, when I got married. He bought bicycles for my kids. He was a great friend. He was like a brother to me.” Des annĂ©es aprĂšs la mort d’Adderley en 1975, il Ă©tait toujours trĂšs prĂ©sent dans la vie de Zaminul. Comme Zawinul l’avait prĂ©cisĂ© en 2004: “I miss him every day. My wife and I, we talk about him somehow every day.”
MĂȘme s’il avait remportĂ© Ă©normĂ©ment de succĂšs comme musicien, Zawinul craignait d’ĂȘtre considĂ©rĂ© comme un simple imitateur du style des autres plutĂŽt qu’un vĂ©ritable crĂ©ateur. Les choses avaient atteint un point de rupture lorsque le pianiste Barry Harris lui avait fait remarquer que le son style de jeu ressemblait Ă  s’y mĂ©prendre au sien. FlattĂ© au dĂ©but, Zawinul avait finalement dĂ©cidĂ© de ranger sa collection de disques de jazz dans une boĂźte afin de pouvoir prendre une nouvelle direction. En 1966, Zawinul avait pris de nouveaux cours de piano classique avec Raymond Leventhal. AprĂšs sept mois de cours, Leventhal avait dĂ©clarĂ© qu’il n’avait plus rien Ă  apprendre Ă  Zawinul et lui avait offert un clavier de pratique en cadeau.
À la fin des annĂ©es 1960, aprĂšs s’ĂȘtre mariĂ© Ă  Maxine, le premier mannequin afro-amĂ©ricain de l’histoire du magazine Playboy, avec qui il avait eu trois enfants, Zawinul avait reçu une offre tentante du producteur Norman Granz, qui lui aurait permis de rĂ©aliser son vieux rĂȘve de jouer avec Ella Fitzgerald. Granz avait proposĂ© Ă  Zawinul un salaire de 1400$ par semaine, ce qui reprĂ©sentait une augmentation de 300$ comparativement Ă  ce qu’il gagnait avec Adderley. Mais Ă  l’époque, Zawinul avait dĂ©jĂ  commencĂ© Ă  suivre les traces de Miles Davis et tentait de rĂ©aliser une sorte de fusion du rock et du jazz, ce qui lui avait enfin permis de trouver son propre son. AprĂšs avoir demandĂ© cinq minutes Ă  Granz pour rĂ©flĂ©chir, Zawinul Ă©tait allĂ© consulter son Ă©pouse Maxine qui avait rĂ©pondu: “No. You do what you have to do. I can make do with $300 and I have time to wait until you have your thing.” Zawinul, qui adorait sa femme, lui avait un jour fait le plus beau compliment qu’un homme pouvait faire Ă  son Ă©pouse en dĂ©clarant : "I have a great wife. And I believe it takes a great wife to become a great man."
Zawinul avait donc dĂ©clinĂ© l’offre de Granz et avait commencĂ© Ă  travailler sur une nouvelle sĂ©rie de compositions qui tĂ©moignaient de son intĂ©rĂȘt pour le jazz-fusion. Quant Ă  Davis, il avait Ă©tĂ© tellement impressionnĂ© par le solo de Zawinul sur la piĂšce  “Mercy, Mercy, Mercy” qu’il allait souvent le voir jouer avec le groupe d’Adderley. Il lui avait mĂȘme proposĂ© de se joindre Ă  son propre groupe. Lorsque Zawinul avait refusĂ©, Davis avait demandĂ© Ă  son pianiste Herbie Hancock de laisser tomber le piano acoustique en faveur du piano Ă©lectrique. FascinĂ© par les compositions de Zawinul, Davis avait Ă©galement invitĂ© ce dernier Ă  participer aux sessions qui allaient donner naissance Ă  l’album In A Silent Way (1960), d’aprĂšs le titre de la composition du mĂȘme nom de Zawinul. Au cours de l’annĂ©e suivante, Zawinul avait continuĂ© d’enregistrer avec Davis Ă  de nombreuses reprises. D’autres compositions de Zawinul, dont ‘’Pharaoh's Dance” et “Double Image”, avaient aussi Ă©tĂ© incluses sur des albums de Davis comme Bitches Brew (1970), Live–Evil (1971) et Big Fun (1974).
Zawinul avait d’ailleurs lui-mĂȘme fait des apparitions sur ces trois albums mĂȘme s’il ne s’était jamais joint officiellement au groupe de Davis. Lorsque Zawinul avait publiĂ© son premier album solo simplement intitulĂ© ‘’Zawinul’’ en 1970, il avait dĂ©clinĂ© la proposition de Davis de participer Ă  l’enregistrement sous prĂ©texte que la prĂ©sence du trompettiste ne pouvait que lui faire de l’ombre. Zawinul avait rĂ©pondu Ă  Davis: "If you're on the record, your presence will be so powerful I cannot find out what I am worth."
Finalement, Davis avait rĂ©digĂ© les notes de pochette de l’album qui avait Ă©tĂ© dĂ©crit par un critique du magazine Down Beat comme ‘’the work of a complete musician who has transcended categories and is certain to have a profound influence on the direction music will take in the ‘70s.” Zawinul avait jouĂ© en public avec Davis seulement une fois, peu avant la mort du trompettiste. Le concert avait eu lieu Ă  Paris le 10 juillet 1991. Wayne Shorter participait Ă©galement au concert.
WEATHER REPORT
À l’époque de sa collaboration avec Miles Davis, le principal saxophoniste du groupe Ă©tait Wayne Shorter, que Zawinul connaissait depuis sa collaboration avec le trompettiste Maynard Ferguson en 1959. C’est Ă  cette Ă©poque que Zawinul et Shorter avaient commencĂ© Ă  parler de la fondation d’un Ă©ventuel groupe. Le contrebassiste d’origine tchĂšque Miroslav Vitous était Ă©galement impliquĂ© dans le projet. Zawinul avait expliquĂ© plus tard qu’il envisageait de former un groupe aver Shorter depuis qu’il l’avait entendu jouer sur l’album Nefertiti de Miles Davis en 1968.
Connu sous le nom de Weather Report, le groupe avait Ă©tĂ© officiellement fondĂ© en dĂ©cembre 1970 et avait enregistrĂ© son premier album Ă©ponyme l’annĂ©e suivante. TrĂšs influencĂ©e par l’Afrique, l’AmĂ©rique latine et le Moyen-Orient, la musique du groupe avait Ă©tĂ© dĂ©crite par Jonathan Herrera du magazine Bass Player comme "a free jazz experiment, a world music pioneer, a jazz-pop blockbuster, and a seriously grooving funk band." Sous contrat avec les disques Columbia, le groupe avait remportĂ© un grand succĂšs dĂšs le dĂ©part tant auprĂšs des amateurs de jazz que de la critique, mĂȘme si l’importance accordĂ©e aux instruments Ă©lectroniques avait irritĂ© certain puristes. DĂ©crivant le premier album du groupe, le critique Dan Morgenstern écrivait dans le magazine Down Beat: ‘’The music of Weather Report is beyond category
 music unlike any other I’ve heard, music that is very contemporary but also very warm, very human, and very beautiful
 The forecast, if there is justice, must be clear skies and sunny days for these four creative men and their associates.” Rapidement devenu le plus populaire groupe de jazz de son Ă©poque, Weather Report avait remportĂ© tous les sondages des lecteurs du magazine Down Beat comme meilleur groupe de jazz durant chacune de ses annĂ©es d’existence (1970 Ă  1985).
Il faut dire que le groupe Ă©tait arrivĂ© au bon moment. À l’époque, les progrĂšs technologiques de l’époque avaient grandement favorisĂ© le dĂ©veloppement du groupe, notamment en rĂ©duisant la taille de synthĂ©tiseurs qui Ă©taient devenus plus faciles Ă  transporter, ce qui les avaient rendus accessibles au plus grand nombre, permettant ainsi de les utiliser dans les sessions d’enregistrement et les performances sur scĂšne.
Zawinul avait acquis son premier synthĂ©tiseur en 1971, un Arp 2600 qui lui avait Ă©tĂ© offert par le fabricant de synthĂ©tiseurs Arp afin d’augmenter la crĂ©dibilitĂ© de la compagnie  face Ă  la compĂ©tition de son puissant compĂ©titeur Moog Music. Zawinul avait utilisĂ© le Arp 2600 pour la premiĂšre fois sur le second album du groupe intitulĂ© I Sing the Body Electric, un enregistrement d’un concert au Japon en 1972. Une des piĂšces de l’album Ă©tait une composition ambitieuse de Zawinul appelĂ©e “Unknown Soldier’’, qui relatait sa jeunesse en Autriche durant la Seconde Guerre mondiale. À l’époque, le rĂŽle du synthĂ©tiseur Arp Ă©tait encore trĂšs rĂ©duit , et se limitait Ă  produire certains effets sonores. FascinĂ© par la nouvelle technologie, Zawinul avait commencĂ© Ă  enregistrer ses improvisations sur cassette (et plus tard sur MIDI dans son propre studio maison que son Ă©pouse avait surnommĂ© “the Music Room”), qu’il utilisait par la suite comme base de ses compositions (comme sur les piĂšces “Nubian Sundance” et “Jungle Book” tirĂ©es de l’album Mysterious Traveler) ou transcrivait note par note afin que le groupe puisse les exĂ©cuter de la façon dont il les avait Ă©crites Ă  l’origine. Zawinul avait utilisĂ© cette mĂ©thode tout au long de sa carriĂšre. DĂ©crivant son style de composition, Zawinul avait expliquĂ©: “It is all improvisation. All my tunes are improvisations. I’m a formal improviser. Even my symphony I improvised.”
Au cours de ses deux premiĂšres annĂ©es d’existence, le groupe s’était surtout fait connaĂźtre par la qualitĂ© de ses improvisations. MĂȘme si au dĂ©but le groupe jouait une musique trĂšs apparentĂ©e Ă  celle de Miles Davis (mais avec  une sonoritĂ© un peu plus rock), il avait rapidement commencĂ© Ă  bĂątir son propre son.
À partir de la publication de l’album Sweetnighter en 1973, le rĂŽle de Zawinul avec le groupe Ă©tait devenu de plus en plus important. AprĂšs ĂȘtre passĂ© progressivement du piano Ă©lectrique au synthĂ©tiseur, Zawinul avait commencĂ© Ă  exploiter pleinement le potentiel d’un instrument qui avait Ă©tĂ© jusque-lĂ  la chasse-gardĂ©e de la musique pop. Il avait aussi ajoutĂ© des Ă©lĂ©ments funk en ajoutant des instruments comme la basse Ă©lectrique et la pĂ©dale wah-wah, ce qui avait permis d’introduire de nouvelles couleurs dans le son du groupe. L’ajout d’un bassiste et d’un batteur spĂ©cialisĂ©s dans le funk avaient Ă©galement contribuĂ© Ă  atteindre cet objectif.
À la suite de la parution du quatriĂšme album du groupe, Mysterious Traveller, en 1974, le virage du groupe vers une sonoritĂ© plus funk s’était encore accentuĂ©. L’ajout d’élĂ©ments inspirĂ©s par la musique classique avait Ă©galement ajoutĂ© de nouvelles couleurs sonores. L’addition du bassiste Alphonso Johnson avait aussi favorisĂ© la transition du groupe vers un son qui intĂ©grait des Ă©lĂ©ments de jazz et de rock de façon trĂšs originale. La combinaison des harmonies du jazz et des Ă©lĂ©ments funk des annĂ©es 1970 avait Ă©galement aidĂ© le groupe Ă  connaĂźtre sa pĂ©riode la plus lucrative sur le plan commercial. Pour l’album Black Market en 1976, Zawinul avait recrutĂ© le phĂ©nomĂšne de la basse Ă©lectrique Jaco Pastorius. TrĂšs sĂ»r de ses moyens, Pastorius s’était prĂ©sentĂ© lui-mĂȘme Ă  Zawinul comme “the world’s greatest bass player.” MĂȘme s’il est toujours considĂ©rĂ© de nos jour comme le plus grand innovateur de l’histoire de la basse Ă©lectrique, Pastorius avait de nombreux problĂšmes personnels qui l’avaient Ă©ventuellement conduit Ă  sa perte.
Avec Pastorius dans l’alignement, Weather Report avait connu le plus grand succĂšs de sa carriĂšre avec l’album Heavy Weather (1977), qui comprenait la plus cĂ©lĂšbre composition de Zawinul, ‘’Birdland’’, Ă©crite en hommage au club du mĂȘme nom sur la 52e rue de New York. La piĂšce avait remportĂ© un si grand succĂšs qu’elle s’était hissĂ©e jusqu’à la 30e position du palmarĂšs Billboard. Le groupe vocal Manhattan Transfer avait par la suite ajoutĂ© des paroles sur la piĂšce, ce qui avait encore accru sa popularitĂ©. Zawinul a d’ailleurs ouvert son propre club Birdland dans sa ville natale de Vienne en Autriche en 2004.
Devenue une des compositions de jazz les plus connues des annĂ©es 1970, la piĂšce avait permis Ă  Zawinul de remporter trois prix Grammy et avait Ă©tĂ© reprise par la suite par de nombreux artistes dont Quincy Jones, Maynard Ferguson, le big band de Buddy Rich et mĂȘme le groupe rock Jefferson Starship. DĂ©crivant l’album Heavy Weather en 2001 dans le cadre de sa rĂ©trospective de l’histoire du groupe, le critique Jossef Woodard Ă©crivait dans le magazine Down Beat: “In 2000, Heavy Weather still sounds like a milestone in the cultural unconscious of jazz history. By some accounts, the album is the crowning achievement of the band’s recorded output, and therefore, by extension, a towering landmark of fusion.”
L’alignement du groupe ayant souvent fluctuĂ© avec les annĂ©es, Zawinul et Shorter Ă©taient progressivement devenus les deux principaux piliers de la formation. ConsidĂ©rĂ©s comme de vĂ©ritables happenings, les concerts du groupe, tels qu’on peut le constater sur l’album live 8:30 (1979), Ă©taient souvent imprĂ©visibles. Les albums I Sing the Body Electric (1971), Mysterious Traveller (1974) et Night Passage (1980) avaient aussi Ă©tĂ© trĂšs populaires sur la radio FM et auprĂšs des amateurs de jazz, de rhythm & blues et de musique pop.
DERNIÈRES ANNÉES
MĂȘme si Weather Report avait continuĂ© de publier rĂ©guliĂšrement des albums au milieu des annĂ©es 1980, Zawinul et Shorter avaient commencĂ© Ă  s’orienter vers de nouvelles directions musicales aprĂšs la publication de l’album Sportin' Life en 1984. Zawinul et Shorter se prĂ©paraient Ă  mettre fin aux activitĂ©s du groupe lorsqu’ils s’étaient aperçus qu’il leur restait encore un album Ă  livrer sur leur contrat avec CBS. Le groupe avait finalement Ă©tĂ© dĂ©mantelĂ© en 1985 aprĂšs la publication de l’album This Is This! Le groupe avait publiĂ© quinze albums au cours de son histoire, dont le double album live 8:30 qui avait remportĂ© un prix Grammy en 1979.
AprĂšs la dissolution du groupe, Zawinul, qui avait commencĂ© Ă  s’intĂ©resser de plus en plus aux musiques du monde, s’était consacrĂ© Ă  certains projets personnels qu’il avait longtemps dĂ» remettre Ă  plus tard en raison de son emploi du temps plutĂŽt chargĂ© avec Weather Report. En 1986, Zawinul avait publiĂ© son premier album comme leader en quinze ans, Dialects, qu’il avait enregistrĂ© pratiquement seul dans son studio-maison de Pasadena, en Californie. Le chanteur virtuose Bobby McFerrin avait Ă©galement participĂ© Ă  l’album. Dans le cadre de ses albums solo, Zawinul avait continuĂ© d’explorer les Ă©normes possibilitĂ©s des synthĂ©tiseurs. Zawinul avait Ă©galement fait Ă©quipe avec son vieil ami, le grand pianiste classisque Friedrich Gulda dans le cadre d’une sĂ©rie de performances en duo. Il avait aussi fait une tournĂ©e avec le percussionniste indien Trilok Gurtu.
En 1988, Zawinul avait fondĂ© un nouveau groupe, le Zawinul Syndicate, une formation qui Ă©tait trĂšs influencĂ©e par les musiques du monde, et plus particuliĂšrement par la musique autochtone, africaine, asiatique et latino-amĂ©ricaine. Le groupe avait Ă©galement fait de nombreuses tournĂ©es. C’était une pĂ©riode difficile pour le jazz, qui Ă©tait en train de se redĂ©finir. Comme l’écrivait le critique John L. Walters, "jazz was about to enter an acoustic neo-classical phase that has dominated the genre for nearly two decades {
} a whole turbulent era seemed to be shutting down."
Un peu comme avec Weather Group, l’alignement du nouveau groupe de Zawinul avait connu de nombreux changements de personnel.  Zawinul avait expliquĂ© plus tard qu’il avait appelĂ© le groupe ‘’syndicate’’ parce qu’il ressemblait davantage Ă  une vĂ©ritable famille qu’à un simple groupe. Zawinul avait dĂ©clarĂ©: “When you are in the Syndicate, you are not just in a band, you are in a family.” La premiĂšre Ă©dition du groupe, qui comprenait Gerald Veasley à la basse et Scott Henderson Ă  la guitare, avait enregistrĂ© trois albums: The Immigrants (1988), Black Water (1989) et Lost Tribes (1992).
Les membres du groupe provenaient souvent de pays non occidentaux, ce qui rĂ©flĂ©tait l’intĂ©rĂȘt croissant de Zawinul pour la musique d’autres continents. L’influence s’était d’ailleurs faite dans les deux sens. Un jour, Zawinul avait dĂ©couvert que le piĂšce “Black Market” de Weather Report avait Ă©tĂ© utilisĂ©e comme musique-thĂšme par Radio Dakar au SĂ©nĂ©gal durant vingt ans. Il expliquait: “‘Black Market’ was for 20 years the theme song of the Radio Dakaur jazz hour. They grew up with ‘Black Market,’ ‘Nubian Sundance’ from Mysterious Traveller, all the Weather Report songs.”
Les Ă©vĂ©nements n’avaient pas tardĂ© Ă  se prĂ©cipiter. En 1991, Zawinul avait produit l’album Amen du cĂ©lĂšbre chanteur malien Salif Keita, connu sous le nom de ‘’the Golden Voice of Africa.’’ Wayne Shorter et Carlos Santana participaient Ă©galement Ă  l’enregistrement. L’album, qui Ă©tait devenu l’album de world music le plus vendu en 1991, avait Ă©ventuellement obtenu une nomination au gala des prix Grammy. Excellent rĂ©sumĂ© de la carriĂšre de Zawinul, l’album avait Ă©tĂ© dĂ©crit ainsi par le principal intĂ©ressĂ©: “I improvised the arrangements from the lead tracks that Salif sent, and then I went to Paris to rehearse it with the band. They loved the music immediately. We had so much fun. That was, for me, the most personal and nicest experience of all the records I’ve made. They were the kindest, the most open people. And I was struck by how well they played the rhythms, because I put my own things in there.’’ Keita avait Ă©ventuellement retournĂ© la politesse Ă  Zawinul en participant en 1996 Ă  l’enregistrement de l’album My People, qui comprenait comme musiciens invitĂ©s le percusionniste armĂ©nien Arto Tuncboyaciyan, le Turc Burhan Ocal, le Camerounais Richard Bona et des choristes originaires du PĂ©rou, de la GuinĂ©e et de la CĂŽte d’Ivoire.
Par la suite, Zawinul avait recrutĂ© des musiciens aux origines aussi diversifiĂ©es que les percussionnistes Manolo Badrena et Bobby Thomas Jr., les guitaristes Amit Chatterjee,  Gary Poulson et Scott Henderson, les bassistes Linley Marthe, Victor Bailey et Richard Bona, les batteurs Paco Sery et Nathaniel Townsley, et les vocalistes Thania Sanchez et Sabine Kabongo. L’univers de la World Music, qui mettait en vedette diffĂ©rents styles de musique ethnique combinĂ©s avec des textures Ă©lectroniques plutĂŽt complexes, en Ă©tait alors Ă  ses dĂ©buts et Zawinul Ă©tait Ă  l’avant-garde de ce mouvement, car il avait continuĂ© d’expĂ©rimenter en tentant de fusionner la musique de diffĂ©rentes cultures.
ParallĂšlement Ă  son travail avec le groupe, Zawinul avait continuĂ© d’ĂȘtre actif dans diffĂ©rents contextes musicaux. À la fin des annĂ©es 1980 et au dĂ©but des annĂ©es 1990, Zawinul s’était produit avec son vieil ami le pianiste classique Friedrich Gulda. Il Ă©tait aussi retournĂ© vers la musique classique sur une vaste Ă©chelle avec la composition symphonique Stories of the Danube en 1993. L’oeuvre Ă©tait une commande du festival de Brucknerhaus, de Linz, en Autriche. La composition avait Ă©tĂ© d’abord prĂ©sentĂ©e lors du spectacle d’ouverture du festival en 1993. Oeuvre en six mouvements, la symphonie d’une durĂ©e de 63 minutes Ă©voquait le parcours du Danube Ă  travers diffĂ©rents pays et diffĂ©rentes pĂ©riodes historiques. EnregistrĂ©e en 1995 par le Czech State Philharmonic Orchestra de Brno sous la direction de Caspar Richter, la piĂšce avait Ă©tĂ© publiĂ©e sous forme de CD l’annĂ©e suivante. L’oeuvre comprenait Ă©galement une version de la piĂšce "Unknown Soldier" tirĂ©e de l’album I Sing the Body Electric (1972).
En 1994, Zawinul s’était installĂ© Ă  New York, ce qui l’avait contraint Ă  faire de nombreux voyages-Ă©clair en Europe, oĂč il avait conservĂ© de prĂ©cieux contacts musicaux durant toute sa carriĂšre aux États-Unis. En 1996, Zawinul et son groupe avaient enregistrĂ© My People, un album qui avait nĂ©cessitĂ© plusieurs annĂ©es de travail et dans lequel Zawinul avait continuĂ© de dĂ©montrer une remarquable capacitĂ© Ă  fusionner ses propres sensibilitĂ©s musicales avec celles d’autres cultures. ConssidĂ©rĂ© comme un des points culminants de la carriĂšre de Zawinul, l’album avait marquĂ© le dĂ©but sur disque de la nouvelle Ă©dition du groupe. Lorsque Richard Bona Ă©tait devenu le bassiste du groupe en 1997, l’intensitĂ© de la formation avait atteint un autre niveau, ce qui avait donnĂ© lieu Ă  la publication du double album live World Tour, qui avait Ă©galement obtenu une nomination au gala des prix Grammy.
ParallĂšlement Ă  sa collaboration avec le groupe, Zawinul avait continuĂ© de travailler sur plussieurs de ses projets personnels. En 1998, il avait notamment Ă©tĂ© chargĂ© de composer un mĂ©morial musical en hommage aux victimes de la Shoah. Zawinul avait mĂȘme interprĂ©tĂ© l’oeuvre lui-mĂȘme sur la site de l’ancien camp de concentration de Mauthausen dans le cadre du 60e anniversaire de sa construction prĂšs de Linz, en Autriche.
Au dĂ©but des annĂ©es 2000, Zawinul avait publiĂ© d’autres albums solo comme Faces & Places (2002), Midnight Jam (2005) et Brown Street (2007). En 2006, Zawinul avait collaborĂ© avec Vince Mendoza et le WDR Big Band dans le cadre d’une sĂ©rie de performances dans lesquelles il avait revisitĂ© les grands classiques du rĂ©pertoire de Weather Report. La tournĂ©e avait Ă©ventuellement donnĂ© lieu Ă  la publication d’un CD double intitulĂ© Brown Street. L’album avait Ă©tĂ© enregistrĂ© au club Birdland de Vienne.
Le dernier album de Zawinul, 75, avait Ă©tĂ© enregistrĂ© en concert en juillet 2007 Ă  Luzano, en Suisse, Ă  l’occasion de son 75e anniversaire de naissance.
Zawinul complĂ©tait une tournĂ©e de cinq semaines avec son groupe en 2007 dans le cadre du 20e anniversaire de la formation lorsqu’il avait dĂ» ĂȘtre hospitalisĂ© le 7 aoĂ»t au Wilhelmina Hospital de Vienne. Atteint du carcinome Merkel, une forme plutĂŽt rare du cancer de la peau, Zawinul est dĂ©cĂ©dĂ© dans ce mĂȘme hĂŽpital le 11 septembre. Il Ă©tait ĂągĂ© de soixante-quinze ans. Les cendres de Zawinul ont Ă©tĂ© enterrĂ©es au Vienna Central Cemetery. L’épouse de Zawinul, Maxine, Ă©tant dĂ©cĂ©dĂ©e un peu plus tĂŽt la mĂȘme annĂ©e, ils laissaient comme seuls descendants leurs fils Erich, Ivan et Anthony.
Le Zawinul Syndicate avait prĂ©sentĂ© son dernier concert Ă  GĂŒssing, en Autriche, le 3 aoĂ»t, six semaines avant la mort de Zawinul.
ConsidĂ©rĂ© comme un des rares prophĂštes musicaux du 20e siĂšcle, Zawinul avait jouĂ© un grand rĂŽle dans la naissance et le dĂ©veloppement du jazz-fusion au dĂ©but des annĂ©es 1970. Il avait Ă©galement contribuĂ© Ă  faire connaĂźtre le jazz auprĂšs d’un nouveau public traditionnellement peu friand de ce genre musical. Pionnier de l’utilisation des instruments Ă©lectroniques, Zawinul avait Ă©tĂ© un des musiciens et compositeurs de jazz les plus influents du 20e siĂšcle. Saluant les talents d’innovateur de Zawinul, le critique John L. Walters Ă©crivait: “Many current forms of music, and the myriad sounds, samples and beats that inform them, were influenced or predicted by Zawinul, the grand old man of electronic world jazz fusion.”
Zawinul, qui avait toujours eu un style trĂšs personnel, avait inspirĂ© le commentaire suivant Ă  son fils Anthony aprĂšs sa mort: “My dad raised the bar in the music world as a true artist to his profession. As a bandleader, he was able to pull out performances from his bandmates and take them to heights they never knew existed. He never compromised his art. You either liked it or you didn’t. One thing is for sure, though, you always knew it was Joe Zawinul.” En 2013, Anthony a fondĂ© la Zawinul Foundation for Achievement afin d’honorer la mĂ©moire de son pĂšre et d’encourager la carriĂšre de jeunes musiciens prometteurs.
MĂȘme s’il n’avait jamais terminĂ© ses Ă©tudes au Berklee College of Music, l’institution lui avait dĂ©cernĂ© un doctorat honorifique en musique en 1991. Dans le cadre de la cĂ©rĂ©monie, Zawinul s’était produit sur scĂšne aux cĂŽtĂ©s de Matthew Garrison, Torsten de Winkel, Abe Laboriel Jr. et Melvin Butler. Zawinul avait remportĂ© de nombreux autres prix au cours de sa carriĂšre, dont le Hans Koller Austrian State Prize (2000), le Ring of Honor (accordĂ© par la Ville de Vienne en 2002), le premier  International Jazz Award (dĂ©cernĂ© conjointement par la Jazz Festival Organization et la  International Association of Jazz Educators en 2002), le North Sea Jazz Festival Bird Award (2002), le Montreal Jazz Festival Miles Davis Award (2003) et la Silver Medal for Meritorious Service to the Republic of Austria (2003). Zawinul a aussi remportĂ© le Amadeus Austrian Music Award à deux reprises.
Zawinul est Ă©galement rĂ©cipiendaire de doctorats honorifiques du Three Town College de New York et de l’Academy of Music de Graz, en Autriche. Le Service autrichien des Postes a aussi Ă©mis un timbre spĂ©cial en l’honneur de Zawinul en 2004.
En 2006, les disques Sony ont publiĂ© un coffret de trois CD intitulĂ© Weather Report—Forecast: Tomorrow, une compilation qui retrace la carriĂšre du groupe de 1971 Ă  1985. Le coffret comprend Ă©galement du matĂ©riel inĂ©dit ainsi qu’un DVD documentant un concert du groupe en 1978.
Le percussionniste Alex Acuna, qui avait fait partie du groupe Weather Report lors de ses premiĂšres annĂ©es d’existence, avait dĂ©clarĂ© que Zawinul et Shorter avaient une vision trĂšs prĂ©cise de la direction qu’ils dĂ©siraient donner Ă  leur musique. Acuna avait prĂ©cisĂ©: "The vision was to make a band that makes music with all the sounds that the world generates.’’ MĂȘme s’il avait quittĂ© le groupe, Acuna Ă©tait toujours restĂ© proche de Zawinul. Il avait mĂȘme Ă©tĂ© membre de son dernier groupe, le Joe Zawinul Syndicate. Acuna avait ajoutĂ© que Zawinul Ă©tait un grand amateur de sports, et plus particuliĂšrement de boxe. MĂȘme si Zawinul avait la rĂ©putation d’avoir un caractĂšre un peu tranchant, il Ă©tait toujours honnĂȘte, sincĂšre et trĂšs intĂšgre.
Sur le plan musical, Zawinul dĂ©testait se rĂ©pĂ©ter et cherchait continuellement Ă  innover. Zawinul avait Ă©galement Ă©tĂ© un des premiers pianistes de jazz avec Chick Corea et Herbie Hancock à utiliser le piano Ă©lectrique et les premiers synthĂ©tiseurs (sur l’album Sweetnighter en 1973). AprĂšs avoir jouĂ© du piano Ă©lectrique Wurlitzer, Zawinul Ă©tait passĂ© au clavier Fender-Rhodes, Ă  qui il avait ajoutĂ© une pĂ©dale wah-wah puis un effet Mutron avec d’obtenir une sonoritĂ© plus complexe. La crĂ©ativitĂ© et le souci du dĂ©tail de Zawinul avait permis de concevoir un son plus contemporain et plus moderne. Zawinul avait aussi jouĂ© du kalimba sur les albums de Weather Report, Mysterious Traveller et Mr. Gone.
Plusieurs artistes ont rendu hommage Ă  Zawinul aprĂšs sa mort, dont Brian Eno (sur la piĂšce “Zawinul/Lava”), John McLaughlin (“Jozy”), Warren Cuccurullo (“Hey Zawinul”), Bob Baldwin (“Joe Zawinul”), Chucho Valdes (‘’Zawinul’s Mambo’’) et BirĂ©li LagrĂšne (“Josef”).
©-2024, tous droits rĂ©servĂ©s, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES:
‘’Joe Zawinul.’’ All About Jazz, 2023.
‘’Joe Zawinul.’’ Wikipedia, 2023.
WALTERS, John L. ‘’Obituary: Joe Zawinul.’’ The Guardian, 13 septembre 2007.
WAS, David. ‘’A Look at the Life and Work of Joe Zawinul.’’ NPR, 12 septembre 2007.
‘’Zawinul, Joe.’’ Encyclopedia.com, 2023.
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petit-atelier-de-poesie · 9 months ago
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NOTE DE LECTURE : Charlotte. David Foenkinos. 2014
VoilĂ  un livre que je voulais lire depuis si longtemps et je rĂ©alise qu'il s'est dĂ©jĂ  passĂ© 10 ans depuis sa sortie !  David Foenkinos est un auteur que j'ai peu lu, Ă©tant parfois déçue... mais pour ce bouquin le sujet m'attirait : une biographie d'une artiste peintre, et je savais le succĂšs qu'avait eu cet ouvrage.  Bref je l'ai littĂ©ralement dĂ©vorĂ©, Ă  bout de souffle, comme l'Ă©criture incite Ă  le faire, avec le retour Ă  la ligne Ă  chaque phrase. Ce n'est pas un effet de style poĂ©tique comme je le pensais tout d'abord, mais une Ă©criture brĂšve, incisive, lapidaire pour inscrire le passĂ© et l'absence dans la marge blanche Ă  droite de chaque page.  Et puis l'auteur Ă©voque son obsession pour Charlotte Salomon, sans trouver d'explication si ce n'est l'authenticitĂ© de sa personnalitĂ©, forte et fragile. C'est donc un roman extrĂȘmement touchant de Charlotte, cette jeune femme qui a rĂ©ussi Ă  survivre jusqu'Ă  nous grĂące Ă  sa peinture, grĂące Ă  son oeuvre autobiographique malgrĂ© son destin fatal, celui de son histoire familiale avec tous ces suicides Ă  rĂ©pĂ©tition, et celui de la grande Histoire avec l'extermination de son sang juif. Oeuvre prolifique et colorĂ©e rĂ©alisĂ©e entre 1940 et 1942, en zone libre dans le sud de la France, Ă  Villefranche-sur-mer et St jean-Cap-Ferrat (prĂšs de chez moi) pendant son exil de l''Allemagne nazie.  La raison de la vie et de la mort n'a parfois aucun sens, c'est ce que j'ai ressenti en lisant cette fiction tirĂ©e de faits rĂ©els. L'art, du roman ou de la peinture, permet pourtant de lui en donner un. Merci alors aux artistes.
Ici un tableau de Charlotte Salomon illustrant cette note.
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lepartidelamort · 11 months ago
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Allemagne : un leader patriote condamné pour « nazisme » aprÚs avoir dit vouloir le meilleur pour son pays
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Björn Höcke
Björn Höcke n’avait qu’à dire « Tout pour la Turquie ! », comme tout le monde.
DW :
Un tribunal rĂ©gional de la ville de Halle, dans l’est de l’Allemagne, a ordonnĂ© mardi Ă  l’homme politique d’extrĂȘme droite Björn Höcke de payer 100 jours-amende d’un montant journalier de 130 euros chacune pour avoir utilisé un slogan nazi interdit. M. Höcke, chef du parti Alternative pour l’Allemagne (AfD) dans l’État de Thuringe, dans l’est du pays, a Ă©tĂ© accusĂ© d’avoir sciemment utilisĂ© le slogan de la Sturmabteilung (SA), ou troupes d’assaut. La SA Ă©tait un groupe paramilitaire nazi communĂ©ment appelĂ© « Chemises brunes ». M. Höcke, ĂągĂ© de 52 ans, est le principal candidat de l’AfD de Thuringe pour les Ă©lections rĂ©gionales de dĂ©but septembre. Les agences de protection constitutionnelle l’ont dĂ©crit comme un extrĂ©miste de droite. Le ministĂšre public avait accusĂ© Björn Höcke d’utiliser des symboles d’organisations anticonstitutionnelles et terroristes.
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En 2021, M. Höcke aurait dĂ©clarĂ© lors d’un rassemblement de l’AfD dans l’État de Saxe-Anhalt, dans l’est de l’Allemagne : « Tout pour notre patrie, tout pour la Saxe-Anhalt, tout pour l’Allemagne ». Les procureurs affirment que M. Höcke, ancien professeur d’histoire, savait que « Tout pour l’Allemagne » était un slogan interdit des SA. Il l’a niĂ© au cours du procĂšs, dĂ©crivant la phrase comme un « dicton de tous les jours ». Le procureur Benedikt Bernzen a fait valoir dans son rĂ©quisitoire que Höcke avait utilisé le vocabulaire nazi « de maniĂšre stratĂ©gique et systĂ©matique » dans le passĂ©. Lundi, un tribunal rĂ©gional a confirmĂ©, dans une affaire distincte, la dĂ©signation de l’AfD comme organisation extrĂ©miste « prĂ©sumĂ©e ».
C’est rassurant de voir les autoritĂ©s rĂ©agir fermement contre les Allemands.
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À ce stade, la « justice » dans les Ă©tats occidentaux n’est plus qu’une machine destinĂ©e Ă  terroriser les Blancs, rien de plus.
Qui peut croire que la justice d’états rĂ©putĂ©s « tyranniques » comme la Russie ou la Chine persĂ©cuterait ses propres habitants pour avoir dit « Tout pour la Russie ! » ou « Tout pour la Chine ! ».
Les dĂ©mocraties reposent exclusivement sur la haine de l’homme blanc et seulement ça.
Pourquoi tolérer un systÚme qui veut nous détruire ?
DĂ©mocratie Participative
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whencyclopedfr · 5 months ago
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Anschluss
L'Anschluss ("rattachement") du 12 mars 1938 est l'annexion et l'union formelle de l'Autriche avec l'Allemagne. Adolf Hitler (1889-1945), le dirigeant nazi de l'Allemagne, rĂȘvait d'un empire qui engloberait tous les germanophones, sa "Grande Allemagne". L'invasion militaire d'Hitler ne rencontra aucune rĂ©sistance ou rĂ©ponse significative de la part des puissances Ă©trangĂšres, et l'Autriche fut donc absorbĂ©e par le TroisiĂšme Reich.
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mongolitofragola · 1 year ago
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Complot nazi en Allemagne, Israël ne veut pas d'Etat palestinien, et aut...
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transparentgentlemenmarker · 3 months ago
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En Allemagne des antifascistes ont projetĂ© un gĂ©ant Elon Musk effectuant son salut nazi sur l’une de ses usines Tesla
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selidren · 7 hours ago
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Automne 1940 - Londres
2/9
TW : Insulte homophobe.
Mon unitĂ© Ă©tait basĂ©e Ă  Dunkerque, alors mĂȘme aprĂšs le dĂ©but de l'offensive, nous n'avons pas vraiment bougĂ©. En revanche, je n'ai eu aucune nouvelle des autres. A l'heure ou nous parlons, Ange et George doivent ĂȘtre prisonniers en Allemagne. Je suis trĂšs inquiet pour eux, en particulier pour George, car tout le monde sait Ă  quel point les nazis dĂ©testent les Noirs.
Mon unitĂ© a retrouvĂ© celle de Jean-François quand nous avons Ă©tĂ© acculĂ©s par les Allemands. Nous avons vaillamment rĂ©sistĂ©, assez longtemps pour que les Anglais puissent Ă©vacuer leurs troupes et que pour une partie des nĂŽtres puisse partir avec eux. Ils ont en revanche du abandonner tout leur matĂ©riel, Ă  leur plus grande fureur. Moi aussi cela me fait mal de me dire que tout a Ă©tĂ© laissĂ© aux Boches. Vous vous dites sans doute que c'est ainsi que nous avons fuit, mais ce n'est malheureusement pas le cas. Je suis restĂ© sur la plage avec Jean-François et avant de partir (quand j'ai compris que nous allions ĂȘtre capturĂ©s), j'ai rĂ©cupĂ©rĂ© les plaques d'un camarade tombĂ© sous les tirs de la Luftwaffe et abandonnĂ© les miennes afin qu'ils ne puissent pas m'identifier et que je puisse ĂȘtre dĂ©clarĂ© mort au combat.
Nous avons été conduit dans ce que les Allemands ont appelé un stalag, une prison pour les soldats français capturés. Je me suis retrouvé avec Jean-François, Edgar Hautbourg et le jeune Adrien Béate, qui a à peine dix-neuf ans. Ils nous ont laissé là un bon mois avant de se rappeler que nous aurions plus de valeur en produisant pour l'effort de guerre. Nous avons donc finalement été chargés à bord d'un train. Sauf qu'Edgar s'est permis d'insinuer quelque chose de dégradant à propos de l'intimité d'un soldat tandis qu'il nous disait d'aller plus vite. Il a été battu (il va bien ne vous en faites pas) et nous avons été privé de notre paquetage. Ils nous ont fait monter dans un wagon tous les quatre, sans eau ni nourriture. La premiÚre nuit a été rude.
Transcription :
Jean-François « Vous croyez qu’on va rester lĂ  longtemps ? »
Edgar « C’est une voix de garage et nous ne sommes pas un train prioritaire. Il se peut qu’on reste Ă  l’arrĂȘt pendant des heures. Si on meurt de soif, cela va sans doute les arranger. »
Jean-François « Si tu n’avais pas rĂ©pondu comme ça Ă  ce soldat
 Peut-ĂȘtre que nous aurions gardĂ© nos vĂȘtements pour le trajet
 Qu’est-ce que tu lui a dit d’ailleurs ? »
Edgar « Schwanzlutscher. »
Jean-François « Non... »
Marc-Antoine « Pas trĂšs distinguĂ©. MĂȘme venant de toi. Tu ne l’as pas volĂ© ce coup. »
Edgar « Tu vas défendre un chleu ? Toi ? »
Marc-Antoine « Je dis simplement que si tu m’avais dit la mĂȘme chose, moi aussi je t’aurais collĂ© mon poing dans la figure. »
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havaforever · 1 year ago
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ANSELM - RĂ©alisateur de films qui ont marquĂ© leur Ă©poque (Les Ailes du dĂ©sir, Paris Texas
), Wim Wenders produit aussi des documentaires, qui possĂšdent nĂ©anmoins l’ampleur artistique d’un film tant son style et sa personnalitĂ© les imprĂšgnent.
AprĂšs le trĂšs rĂ©ussi Pina (2011), consacrĂ© Ă  la chorĂ©graphe Pina Bausch, voici Anselm dĂ©diĂ© au peintre et sculpteur Anselm Kiefer, et toujours en 3D. Les Parisiens et ceux qui se sont dĂ©placĂ©s expressĂ©ment pour l'Ă©vĂšnement, ont pu voir son impressionnante Ɠuvre au Grand Palais Ă©phĂ©mĂšre en dĂ©cembre 2021, ses tableaux gĂ©ants incrustĂ©s de matiĂšres, d’objets, de matĂ©riaux, diffusant une force hypnotique.
Avec Anselm on rentre dans le processus crĂ©atif et dans l’histoire de ce gĂ©ant de l’art d’aujourd’hui, Ă  travers ses diffĂ©rents ateliers en Allemagne puis en France (Barjac, Croissy), ce dernier si vaste qu’il s’y dĂ©place en vĂ©lo ! À travers aussi les personnalitĂ©s qui ont comptĂ© pour lui, notamment le poĂšte Paul Celan et le plasticien Joseph Beuys.
AprĂšs des polĂ©miques dans son pays natal (accusĂ© de fascisme parce qu’il reprend les grands personnages utilisĂ©s par les nazis, il refuse la pose antifasciste), il commence Ă  connaĂźtre le succĂšs aux États-Unis, puis dans le monde, notamment en France. IncarnĂ© dans certaines scĂšnes reconstituĂ©es par un enfant ou un jeune adulte, on le suit jusqu’à aujourd’hui en plein travail.
NOTE 15/20 - Tout en pudeur et en simplicitĂ©, le film de Wim Wenders laisse un doux sentiment poĂ©tique qui retrace anachroniquement le travail de cet artiste du temps. On visite le film comme une exposition. Performance de l’artiste Ă  l’Ɠuvre, contemplation et mouvement Ă  rythme humain.
Un superbe moment de cinéma sur un créateur incontournable de notre époque.
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robhen55 · 2 years ago
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Felix Nussbaum (allemand, 1904-1944)
« Autoportrait avec carte d'identité juive », 1943
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Cette huile sur toile (56 x 49 cm) a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en 1943 par FĂ©lix Nussbaum (1904-1944), un Allemand de confession juive. A cette Ă©poque, il s’est rĂ©fugiĂ© en Belgique pour Ă©chapper au gĂ©nocide. Elle est conservĂ©e dans la maison de F. Nussbaum Ă  OsnabrĂŒck en Allemagne. Le peintre s'est reprĂ©sentĂ© de trois-quarts, le visage fermĂ© (Ă©maciĂ© et mal rasĂ©) dans une ambiance trĂšs sombre et dramatique (ciel noir menaçant et oiseaux noirs de mauvais augure), il semble bloquĂ© dans une ruelle entre deux murs gris sans Ă©chappatoire (sauf peut-ĂȘtre l'arbre de l'autre cĂŽtĂ© du mur pointant vers le petit bout de ciel bleu pouvant reprĂ©senter une Ă©chelle permettant de s’évader... Vers un monde plus libre), des murs qui pourraient rappeler les murs des ghettos dans lesquels les juifs Ă©taient parquĂ©s, sĂ»rement sur le point de se faire contrĂŽler (il prĂ©sente sa carte d'identitĂ© expirĂ©e depuis longtemps et qui prouve donc qu'il est recherchĂ©) et on voit mĂȘme dans son regard dirigĂ© vers le spectateur comme si c'Ă©tait nous qui lui demandions ses papiers, qu'il a extrĂȘmement peur de se faire arrĂȘter.
Et il a sĂ»rement raison quand on voit l’immeuble derriĂšre le mur laissant apparaĂźtre trois fenĂȘtres: Elles reprĂ©sentent une menace (derriĂšre chacune peut se cacher un dĂ©nonciateur). D'ailleurs sa tenue vestimentaire (grand manteau beige avec le col remontĂ© et chapeau gris sur la tĂȘte) semble indiquĂ© qu'il souhaitait le moins possible qu'on puisse le remarquer malgrĂ© Ă©toile de David cousue sur son manteau, que les Juifs devaient obligatoirement porter durant la guerre pour ĂȘtre facilement identifiable par les membres de la Gestapo. Mais justement par rapport Ă  la prĂ©sence de cette Ă©toile dans le tableau, si on regarde bien les dĂ©tails de sa carte d'identitĂ©, on peut observĂ© que son lieu de naissance, (OsnabrĂŒck), a Ă©tĂ© effacĂ© au point d’en devenir illisible et que son pays de naissance Allemagne a Ă©tĂ© supprimĂ© et qu'Ă  la place on peut y voir Ă©crit "sans nationalitĂ©". De mĂȘme en rouge et en lettres capitales, Juif est Ă©crit en deux langues (français et nĂ©erlandais), ce qui indique que la scĂšne dĂ©peinte se dĂ©roule alors qu'il est rĂ©fugiĂ© en Belgique. Et que donc, dans l’Europe occupĂ©e jamais on ne l'aurait obligĂ© Ă  porter cette Ă©toile.
Par la prĂ©sence de cette Ă©toile, le peintre a sĂ»rement voulu souligner qu'il n'Ă©tait plus considĂ©rĂ© aux yeux du monde que comme un juif, un apatride (sans nationalitĂ©), un presque sans-nom car comme on peut le voir en regardant de plus prĂšs sa carte d'identitĂ©, son prĂ©nom et son nom commence Ă  s'effacer. Le peintre insiste lĂ  sur la perte de l’identitĂ©, qui est au cƓur du processus de dĂ©shumanisation voulu et orchestrĂ© par le pouvoir nazi. JUIF qui y est inscrit en lettre capitale et en rouge vif renforce cette idĂ©e, une couleur qui rappelle bien Ă©videmment le sort qui Ă©tait rĂ©servĂ© Ă  ce peuple: RaflĂ©s, internĂ©s et exterminĂ©s dans des centres de mise Ă  mort. D'ailleurs FĂ©lix Nussbaum qui se cachait Ă  Bruxelles (passant son temps entre un atelier et une cachette dans un grenier) avec sa femme Felka Platek (une artiste juive polonaise) aprĂšs s'ĂȘtre Ă©vadĂ© du camp Saint-Cyprien dans le sud de la France en 1940, sera arrĂȘtĂ© sur dĂ©nonciation par la Gestapo Ă  Bruxelles le 21 juin 1944. TransportĂ© Ă  Auschwitz, il y sera assassinĂ© avec son Ă©pouse le mois suivant. Il avait pu mettre Ă  l’abri ses toiles chez deux amis.
"Si je meurs, ne laissez pas mes peintures sombrer avec moi, montrez-les aux hommes". FĂ©lix Nussbaum.
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surnaal · 3 days ago
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#DĂ©cĂšs #Allemagne #Nazisme #Justice Le dĂ©cĂšs d'Irmgard Furchner, ĂągĂ©e de 99 ans, a Ă©tĂ© confirmĂ© par le ministĂšre public allemand. Cette ancienne secrĂ©taire du camp de concentration nazi de Stutthof avait Ă©tĂ© condamnĂ©e en 2022 Ă  une peine de prison avec sursis de deux ans. Son histoire avait suscitĂ© une attention mĂ©diatique internationale lorsqu'elle s'Ă©tait soustraite Ă  la justice en s'Ă©chappant en taxi de sa maison de retraite peu de temps avant le dĂ©but de son procĂšs. Cette disparition avait soulevĂ© des questions sur sa volontĂ© de se confronter Ă  son passĂ© et aux atrocitĂ©s commises durant la Seconde Guerre mondiale. Son rĂŽle au sein du camp de Stutthof, bien que celui de secrĂ©taire, l'avait placĂ©e au cƓur du systĂšme administratif de l'horreur nazie. Le procĂšs qui s'en est suivi avait pour objectif de faire la lumiĂšre sur sa part de responsabilitĂ© dans les crimes perpĂ©trĂ©s dans ce camp. La condamnation, bien que conditionnelle, avait Ă©tĂ© perçue par certains comme une reconnaissance tardive de la participation, mĂȘme indirecte, aux exactions du rĂ©gime nazi. D'autres avaient exprimĂ© leur dĂ©ception face Ă  la clĂ©mence de la sentence, compte tenu de la gravitĂ© des faits historiques. L'Ă©vasion temporaire de Furchner avant son procĂšs avait ajoutĂ© une dimension dramatique Ă  cette affaire, ravivant le dĂ©bat sur la maniĂšre dont la justice allemande traite les anciens acteurs du nazisme, en particulier ceux qui sont trĂšs ĂągĂ©s. Avec son dĂ©cĂšs, s'Ă©teint un chapitre de l'histoire judiciaire allemande concernant la persĂ©cution des crimes nazis. L'attention se tourne dĂ©sormais vers la mĂ©moire des victimes et les leçons Ă  tirer de cette pĂ©riode sombre de l'histoire. La quĂȘte de justice, mĂȘme tardive, pour les atrocitĂ©s commises durant l'Holocauste demeure un impĂ©ratif Ă©thique et historique. La disparition de Furchner ne saurait effacer le souvenir des souffrances endurĂ©es par les prisonniers du camp de Stutthof et la nĂ©cessitĂ© de perpĂ©tuer le devoir de mĂ©moire. Read the full article
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lepartidelamort · 3 days ago
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Allemagne : un prĂȘtre traite un enfant de chƓur de « nazi » et le renvoie aprĂšs qu’il ait pris une photo avec Maximilian Krah, politicien de l’AfD.
Encore une fois, ce fléau sémitisme fait du zÚle.
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L’église catholique mĂšne une guerre permanente contre la race blanche en Europe
Les assauts du judéo-christianisme contre les Allemands deviennent trÚs agressifs.
ConformĂ©ment Ă  un usage bien Ă©tabli, les prĂȘtres s’attaquent aux enfants de choeur !
Remix News :
Un enfant de chƓur qui a servi dans une Ă©glise bavaroise pendant neuf ans a Ă©tĂ© traitĂ© de « nazi » par le prĂȘtre de la paroisse et dĂ©mis de ses fonctions aprĂšs avoir pris une photo avec Maximilian Krah, homme politique de l’Alternative pour l’Allemagne (AfD). La famille se dit choquĂ©e par la conduite du prĂȘtre bavarois. L’église, situĂ©e dans le district de Regen, est dĂ©sormais sous le feu des critiques pour sa conduite dans cette affaire. Les parents ont mĂȘme Ă©crit une lettre ouverte dans laquelle ils expliquent que leur fils s’intĂ©ressait beaucoup Ă  la politique et qu’il avait assistĂ© Ă  plusieurs manifestations pendant la campagne Ă©lectorale. Lors d’une manifestation de l’AfD, il a pris une photo avec Krah et l’a postĂ©e sur son canal WhatsApp. Cela aurait rendu le prĂȘtre furieux, qui a convoquĂ© le garçon Ă  une rĂ©union, au cours de laquelle il l’aurait traitĂ© de « nazi » « Si tu penses comme un nazi, si tu parles comme un nazi et si tu agis comme un nazi, n’es-tu pas un nazi ? » Il a ajouté qu’en tant que chrĂ©tien, le garçon ne pouvait pas soutenir les positions de l’AfD.
C’est exact.
L’Église catholique est claire depuis l’origine sur ce sujet.
Pie XII, un inverti notoire, Ă©ructait ses insanitĂ©s contre l’Allemagne nationale-socialiste alors qu’elle Ă©tait engagĂ©e dans une lutte existentielle pour se libĂ©rer du joug juif et contenir le marxisme international qui s’était emparĂ© de la Russie.
En 1939, il dĂ©clara ainsi : « L’Église condamne toute doctrine qui divise les hommes selon des critĂšres artificiels comme la race ou le sang, oubliant l’unitĂ© fondamentale de la famille humaine. »
Pour cette prĂȘtraille atteinte du virus du nomadisme sĂ©mitique, nous sommes les frĂšres des nĂšgres, des roms, des arabes et, cela va sans dire, des juifs.
La science a depuis convaincu d’absurditĂ© les mythes du christianisme dont le plus barbare : l’égalitĂ©.
La race, loin d’ĂȘtre un « critĂšre artificiel », est au contraire fondamental. Il dĂ©mantĂšle concrĂštement l’idole impie de l’égalitĂ© que les papistes essaient d’enfoncer dans les crĂąnes de leurs victimes depuis deux millĂ©naires.
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Nous ne sommes pas de cette « famille » inventée par les lecteurs de la Torah.
Pas plus que nous ne sommes des chimpanzés.
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Fort heureusement, cette organisation ne peut plus maintenir dans la nuit l’intelligence de nations entiùres.
Pour se maintenir, il ne lui reste que l’intimidation, dans la roue du marxisme culturel ambiant. Et s’il faut s’en prendre aux jeunes Blancs, les prĂȘtres homosexuels de cette organisation n’hĂ©siteront pas Ă  le faire.
Le prĂȘtre a ensuite renvoyé le jeune de son service, bien qu’il ait servi pendant prĂšs de dix ans et qu’il soit trĂšs religieux. Il avait mĂȘme envisagé de devenir prĂȘtre lui-mĂȘme. « Depuis la fin du mois de janvier, le monde de notre fils et celui de notre famille ont Ă©tĂ© bouleversĂ©s », a Ă©crit le Passauer Neue Presse, le journal qui a rĂ©vĂ©lĂ© l’affaire, en citant la famille dans une lettre qu’elle a Ă©crite.
Ces Catholiques pratiquants, comme beaucoup de gens qui ne comprennent pas cette religion tout en en observant les rites, viennent tout simplement de découvrir le christianisme.
Le diocĂšse de Passau a confirmĂ© l’incident. Le diocĂšse a dĂ©clarĂ© que l’Église de Passau dĂ©fendait « un ordre fondamental libĂ©ral et dĂ©mocratique ». Toutefois, le diocĂšse souhaite « rester en dialogue avec les personnes qui sympathisent avec des positions politiques problĂ©matiques ».
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Selon le diocĂšse, le garçon s’est vu « proposer Ă  plusieurs reprises de rĂ©intĂ©grer le cercle des enfants de chƓur ». Toutefois, selon le diocĂšse, la famille n’a pas encore acceptĂ© cette offre. En Allemagne, les Ă©glises protestantes et catholiques sont entrĂ©es en guerre contre l’AfD et ont mĂȘme renvoyĂ© les prĂȘtres qui sympathisaient avec le parti. Ces Ă©glises perdent des centaines de milliers de membres chaque annĂ©e, les Allemands Ă©tant de plus en plus dĂ©senchantĂ©s par le christianisme dans le pays.
En France, nous sommes prĂ©servĂ©s de ces tentatives d’intimidation.
Contrairement Ă  l’Allemagne oĂč elle est outrageusement financĂ©e par les contribuables, en France le pouvoir des Ă©glises a Ă©tĂ© irrĂ©mĂ©diablement brisĂ© par la gauche rĂ©publicaine, sa fille illĂ©gitime. Que celle-ci se convertisse Ă  un autre abrahamisme, l’Islam, n’en est d’ailleurs que plus ironique.
Il y a certes des tentatives de la part des juifs calculateurs de nous coudre tardivement sur la peau du dos un greffon « judĂ©o-chrĂ©tien », pour garder la main sur nos consciences, mais d’Éric Zemmour Ă  Marion Auque en passant par le Vicomte de Villiers, elles Ă©chouent toutes lamentablement. Les Français demeurent des gens froids Ă  l’invocation des bondieuseries.
En revanche, en Europe, de l’Italie de Meloni Ă  la Hongrie d’Orban, on ne compte plus les partis populistes qui invoquent « le christianisme » pour rameuter des Ă©lecteurs et plus sĂ»rement justifier d’impossibles grands Ă©carts politiques.
Et lorsque le regard se porte sur l’objet en question, on dĂ©couvre, amusĂ©, des homosexuels et des passeurs de nĂšgres.
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Le christianisme est aussi utile au salut de l’homme blanc que le bordel l’est au patient syphilitique.
Le livret de la SS paru en 1936 intitulé « Attaque contre la vision nationale-socialiste du monde » résume la situation (page 26) :
« Le christianisme doit rassembler tous les peuples, qu’ils soient des NĂšgres ou blancs, en une grande famille de Dieu. Cela donne le ton à l’unification de deux forces internationales : le judaĂŻsme et le catholicisme politique. Les Juifs sionistes sont d’accord avec le pape pour dire que le national-socialisme est un flĂ©au : En dĂ©cembre 1934, le pĂšre franciscain viennois Zyrill Fifher donne une confĂ©rence dans le cercle des associations de Anciens de l’Association sioniste de Vienne, dans laquelle il dĂ©clare que le national-socialisme n’est pas seulement une hĂ©rĂ©sie, comme l’a dit le pape, mais un fouet et un flĂ©au utilisĂ© par les peuples eux-mĂȘmes ».
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Puisqu’un article a Ă©tĂ© publiĂ© hier Ă  propos de Theodor Eicke, fondateur de la Division SS « Totenkopf », un fascicule de formation idĂ©ologique datĂ© de 1941 (ÉpĂ©e et charrue – Lettre de formation de la division SS-Totenkopf, cahier 2 (1941) p.8) Ă©claire les combattants SS de la formation sur la nature du christianisme comme internationale :
« En 392 aprĂšs J.-C., un dĂ©cret contre le paganisme a Ă©tĂ© publiĂ© Ă  Rome, douze ans aprĂšs la reconnaissance de l’Église chrĂ©tienne. Cette annĂ©e marque la victoire d’une vision du monde étrangĂšre sur un grand État fondĂ© par des colons nordiques. Les Ă©vĂȘques pĂ©nĂštrent alors dans les nombreuses failles de l’appareil administratif romain et prennent en charge un État fragile. La doctrine chrĂ©tienne, qui jusqu’alors avait lutté contre l’État, s’est imposĂ©e comme la gardienne de la cohĂ©rence de l’ancien empire ; la doctrine chrĂ©tienne est devenue la religion d’État romaine. Qu’est-ce que l’Église romaine a hĂ©ritĂ© de cet État romain qui se dissout lentement ? 1. GrĂące Ă  l’enseignement de saint Augustin, l’État coercitif romain devient la CitĂ© de Dieu. L’État tire son pouvoir de l’Église. 2. L’idĂ©e de civilisation, c’est-Ă -dire l’objectif de l’humanitĂ© de devenir un citoyen de l’Empire romain, est transformĂ©e en objectif : l’humanitĂ© doit s’efforcer de devenir un citoyen du ciel. Les idĂ©es chrĂ©tiennes et civilisationnelles ont en commun le rejet de la race, de l’ethnie et de la culture individuelle. Tout comme l’État, l’Église tente de prĂ©senter aux « frĂšres en Christ » du monde entier un monde spirituel complet, dont les limites et le cadre sont dĂ©terminĂ©s par le siĂšge papal. Sans tenir compte du dĂ©veloppement ultĂ©rieur d’un peuple, sans tenir compte de l’attitude spirituelle propre Ă  chaque race, tous les « croyants » sont contraints de se conformer Ă  ce modĂšle rigide de catholicisme ».
En d’autres termes, Nationaux-Socialistes et ChrĂ©tiens savaient exactement oĂč ils se tenaient mutuellement.
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Cette opposition n’était pas que thĂ©orique.
Nous avons expliquĂ© ici comment les espions chrĂ©tiens d’Allemagne ont informĂ© l’Union SoviĂ©tique pour s’assurer que le Reich perde Ă  Stalingrad.
Le péril du judéo-christianisme : le précédent de Stalingrad 
Pour en revenir au politicien qui a posĂ© en photo aux cĂŽtĂ©s de ce jeune homme harcelĂ© par la prĂȘtraille et qualifiĂ© de « Nazi » par elle, sa rĂ©ponse illustre la crainte qu’inspire encore le cadavre chrĂ©tien Outre-Rhin.
L’Église allemande, soumise Ă  l’impĂŽt ecclĂ©siastique, est depuis longtemps post-chrĂ©tienne, souvent anti-chrĂ©tienne. Le garçon l’apprend maintenant douloureusement. J’espĂšre que sa foi n’en sera que plus forte. Je vais essayer de le contacter.
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C’est bien sĂ»r faux, mais c’est caractĂ©ristique de ces politiciens rĂ©actionnaires qui tremblent devant ces Ă©glises militant ouvertement pour le sĂ©mitisme contre la race blanche.
Il n’y a rien Ă  sauver de la boutique chrĂ©tienne et, reconnaissons-lui au moins cela, elle est la derniĂšre Ă  vouloir avoir Ă  faire avec le racisme.
Il faut choisir et ne pas hĂ©siter Ă  combattre une secte qui ne pĂšse guĂšre plus que 1 ou 2% de la population blanche du continent en Ăąge de travailler et qui organise l’invasion du continent.
Et puisque ces gens insistent pour se prosterner aux pieds des juifs, qu’on les renvoie dans leur terre d’origine, Ă  JĂ©rusalem.
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DĂ©mocratie Participative
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angelo-tiger-woods · 17 days ago
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Regarder ce documentaire intéressant: Une histoire des chemins de fer | ARTE
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Panorama de plus de deux cents ans d'histoire du chemin de fer, ce moteur de l’industrialisation qui a rĂ©volutionnĂ© le transport des humains et des marchandises.
C’est en 1830 qu’est inaugurĂ©e, en Angleterre, la premiĂšre ligne de chemin de fer rĂ©guliĂšre. DĂšs lors, cette technologie connaĂźt un dĂ©veloppement fulgurant qui transforme les paysages et les villes du monde entier, faisant entrer des sociĂ©tĂ©s jusqu’alors rurales dans l’ñge industriel. En rĂ©volutionnant le transport des marchandises et des personnes, le chemin de fer devient le catalyseur de l'industrialisation et joue un rĂŽle de taille dans la diffusion du capitalisme. Il dĂ©mocratise Ă©galement les voyages, pour des passagers appartenant Ă  toutes les couches sociales, et facilite l’accĂšs aux loisirs. Mais l'histoire du train comporte Ă©galement de sombres chapitres : outil de domination et de destruction mis au service des puissances coloniales, il a Ă©galement contribuĂ© Ă  l'industrialisation de la guerre, et a rendu possible l’un des pires crimes de l’histoire, le meurtre de masse des juifs et des tziganes dans les camps nazis

Du train Ă  vapeur au TGV
Une extraordinaire odyssĂ©e technologique de deux siĂšcles : voilĂ  ce que dĂ©roule ce documentaire riche d’images d’archives, depuis l’invention rĂ©volutionnaire de la locomotive Ă  vapeur jusqu’aux records battus par les TGV d’aujourd’hui, fers de lance du transport dĂ©carbonĂ© du futur. Avec les Ă©clairages d’historiens, de mĂ©caniciens, de cheminots, de conducteurs et de passionnĂ©s, ce voyage ne plaira pas qu’aux seuls ferrovipathes !
Documentaire de Thomas Staehler (Allemagne, 2023, 1h29mn)
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