#Biographie romancée
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lire1x · 11 months ago
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Une femme debout de Catherine Bardon
“Une femme debout” est un roman portant haut et fort les valeurs de l’autrice Catherine Bardon. Depuis, “Les Déracinés”, Catherine Bardon met en lumière les oubliés, ceux qui ont fait l’histoire sans y avoir laissé leur nom. Dans chaque texte, l’autrice met en évidence la force de la (re)construction, le dépassement des limites imposées par le vivre ensemble ou le pouvoir en place. Ce dernier…
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vagabondageautourdesoi · 2 months ago
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Jean-Paul Delfino et l'histoire de Suzanne Valenton
Jean-Paul Delfino rend hommage à Suzanne Valenton dans “L’affranchie de Montmartre“, retraçant la vie de Marie Clémentine, une femme devenue peintre célèbre. Fille d’une lingère illettrée et d’un père inconnu, bagnard quelque part, Marie Clémentine Valenton sut dès l’âge de 11 ans qu’il lui fallait croire à ses rêves. Elle fut tout d’abord Olga, ” la princesse cosaque” venant de Zaporoguie.…
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thomas-querqy · 1 year ago
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Edward Carpenter, son compagnon George Merrill en tailleur à ses pieds et deux amis (c. 1900)
J’avance avec plaisir dans « La vie nouvelle » de Tom Crewe. J’y ai retrouvé Edward Carpenter et son compagnon Georges Merrill, croisé dans « L’été arctique » écrit par Damon Galgut, une biographie romancée d'E. M. Forster.
Pour écrire son roman, Tom Crewe a largement et librement puisé dans ce que l’on sait de la vie des deux personnages principaux, John Addington et Havelock Hellis qui ont écrit ensemble, sans jamais se rencontrer, « l’inversion sexuelle », publié en Allemagne en 1896, 4 ans après la mort de John Addington.
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John Addington Symonds, à droite, et Havelock Ellis
En toile de fond de leur rencontre et du roman, les deux procès d’Oscar Wilde, dont le dernier en 1895 le condamnera à deux ans de travaux forcés pour « grossières indécences ».
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carolemm · 2 years ago
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« Crénom, Beaudelaire ! » n’est pas mon Teulé préféré mais sa lecture reste savoureuse (pour ceux qui aiment le style très particulier de Jean Teulé).
Il s’agit de la biographie romancée de Charles Beaudelaire qui s’avère être un personnage abjecte, misogyne, grossier, sale et drogué bref un punk avant l’heure.
Le roman est ponctué des vers des « Fleurs du mal ». Comme quoi la plus belle des fleurs peut sortir du purin.
« - Que voulez-vous, dit-il à ceux qui le considèrent comme un ami, j'idolâtre le mystère de la jouissance de la laideur. La soif de l'inconnu et le goût de l'horrible m'inspirent mais je vais devoir maintenant me mettre à travailler pour de bon car le 6 de ce mois j'aurai déjà épuisé ma rente mensuelle. »
« Je me tue - sans chagrin. Je me tue parce que je ne peux plus vivre, que la fatigue de m'endormir et la fatigue de me réveiller me sont insupportables. Je me tue parce que je me crois immortel. »
« Des sarcasmes fusent jusqu’aux oreilles de Charles qui les apprécie :
-Qu’il est doux d’être haï des sots. »
« Homme secret, soucieux de garder le contrôle de sa légende, il aime devenir odieux à leurs oreilles mais la jeunesse est ensorcelée. Ils lisent tous Baudelaire en cachette, dans les dortoirs des pensionnaires, essaient autant qu'ils peuvent d'imiter le satanisme et le mépris du monde du poète interdit et maudit. »
« Votre fils avait écrit sa propre épitaphe
(Champfleury à la mère de Baudelaire) :
Ci-gît, qui pour avoir par trop aimé les gaupes, Descendit jeune encore au royaume des taupes. »
« Vos Fleurs du Mal rayonnent et éblouissent comme des étoiles. Vous dotez le ciel de l'art d'on ne sait quel rayon macabre. Vous créez un frisson nouveau. (Victor Hugo) »
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bernieshoot · 2 months ago
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333mots · 3 months ago
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heeveblog · 2 years ago
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Bakhita
De cette petite fille, enlevée dans sont village du Darfour à 7 ans, on ne connaitra jamais le nom, elle-même l’a oublié, ou enfoui au plus profond d’elle-même, pour protéger une part de son enfance et de sa vie d’avant l’esclavage. Baptisée Bakhita par ses ravisseurs, elle deviendra une adolescente, puis une femme esclave au destin extraordinaire. Sauvée par des religieuses, grâce auxquelles elle réussira à s’affranchir de sa condition d’esclave, elle deviendra elle-même religieuse et se consacrera aux enfants orphelins. Une biographie romancée inspirée de la vie de Joséphine Bakhita, qui met en avant la force saisissante de cette femme à la vie brisée par la violence et l’esclavage, puisant dans le souvenir sauvegardé de sa petite enfance le courage d’avancer et la volonté de vivre. Un roman coup de point et une figure de femme inoubliable.
Titre : Bakhita
Auteure : Véronique Olmi
Editeur : Albin Michel, 2017
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tinderheartpaperbody · 2 years ago
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Adorer la chanson
Réaliser par pur hasard que mon dernier auteur-obssesion en date a écrit une biographie romancée sur James Dean
Après i9oulek manifesting doesn't exist...emchi yekhi.
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grandir-avec-les-livres · 3 years ago
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Mademoiselle Papillon d' Alia Cardyn
Mademoiselle Papillon d’ Alia Cardyn
  Papier (188 pages) existe également en livre numérique et en audiobook. Paru aux éditions pocket pour mon édition le 14 octobre 2021    Résumé de l’éditeur : Gabrielle, 30 ans, infirmière, s’occupe de grands prématurés dans un service de néonatologie intensive. L’univers de la jeune femme s’est réduit aux quelques mètres carrés de sa salle, la salle 79, où elle glisse lentement dans…
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leseigneurdufeu · 2 years ago
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Anne-Sophie Sylvestre ! je cherchais son nom. J'ai lu sa biographie romancée de Marie-Antoinette quand j'avais 9 ans et ça a retourné mon cerveau. Je l'ai relu il y a pas longtemps et c'est toujours aussi bien.
Enfin on pourrait faire une liste sans fin de tous les bons romans historiques ou cathos ou les deux français.
Prince Eric ???? Vous êtes une femme (?) de goût également !
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Littéralement, mon premier achat de livres pour mon nouvel appartement (j'attends toujours qu'ils éditent le 5 et le 6 dans cet édition, surtout qu'Eric le Magnifique est un de mes préférés de la série ;__;)
Entre mon père et mes soeurs, on a tellement lu les premiers tomes dans leur vieille édition que les pages sont complètement décollées de la tranche x)
JE SUIS TELLEMENT HEUREUSE DE RENCONTRER QUELQU'UN D'AUTRE QUI CONNAISSE !!! Ces livres sont toute ma vie, je les ai lus pour la première fois à 8 ans et je ne m'en lasse pas. (Et je suis toujours aussi amoureuse de Jef) Mais comme ils ne sont connus que dans les cercles scouts français, c'est un peu compliqué de trouver des fans sur internet
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lire1x · 3 months ago
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Cléopâtre, une histoire ébouriffante de
Oh my God. Je ne suis pas certaine que tu sois prêt.e à découvrir l’histoire de Cléopâtre dans ce roman ébouriffant, paru en février 2024 aux éditions Eyrolles.Il est clair que l’auteur de ce roman, Martial Maury, journaliste et animateur de blog pour le journal Sud-Ouest, a largement contribué à son récit captivant. Il te propose une histoire surprenante qui tient la route. Ce roman plaira…
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vagabondageautourdesoi · 9 months ago
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Philippe Collin - Le Barman
Présentation du premier roman de Philippe Collin, Le barman du Ritz, sur le grand hôtel de l'entre-deux-guerres à la fin de la seconde guerre mondiale.
Du Ritz Philippe Collin prend à bras-le-corps la vie de Franck Meier pour nous la proposer à sa lumière. Et, cette vie, exceptionnelle, devient savoureuse tant l’historien journaliste aime recréer, en sept parties, l’ambiance de l’époque de l’entre-deux-guerres jusqu’à la fin de la seconde guerre mondiale. Le bar élégant du Ritz évolue sous nos yeux avec ses privilégiés, artistes, banquiers ou…
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kaantt · 3 years ago
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Top 5 pi��ces de théâtre
Alors ça c'est cruel. Me faire choisir des pièces de théâtre. Je me donne une règle : une pièce par auteur. Sinon Sarah Kane va occuper deux places dans ce top et j'ai quand même envie de parler d'autres pièces/dramaturges. Le classement est complètement aléatoire parce que je suis indécise. Aussi il n'y aura que du théâtre contemporain parce que les classiques on les connaît au bout d'un moment.
1) Sentinelles (Jean-François Sivadier) : Je ne sais même pas où commencer. Ce texte, que je ne connais que depuis 2 ou 3 mois, a complètement changé mon approche du théâtre et de l'art et ça ne m'arrive pas souvent (Les deux autres pièces de théâtre qui ont eu cet impact sur moi sont la tétralogie Henry VI/Richard III mis en scène par Thomas Jolly et Holly Woodlawn mis en scène par Pierre Maillet). C'est à la fois une réflexion sur l'art, sur le sens de l'art, ses buts, une biographie romancée de Glenn Gould, une étude des différentes approches de la musique, une réflexion artistique sur comment représenter la musique et une l'histoire de la destruction d'une amitié. Je ne peux pas suffisamment recommander de lire ou de voir la pièce (Il reste quelques dates si je ne me trompe pas). Une vraie leçon de théâtre, de philosophie de l'art et d'écriture
Lien pour voir le trailer de la pièce : Sentinelles - Sivadier
2) 4.48 Psychose (Sarah Kane) : Le plus beau cri de désespoir de la littérature anglaise. C'est pas un texte dont on peut parler. C'est un texte qui se vit et se lit à voix haute. C'est un texte qui va venir remuer à la fois ce qu'il y a de plus misérable et de plus splendide dans l'âme humaine. Il déchire les entrailles, il nous fait pleurer, il y a aussi cet humour noir, sombre presque désespérant de cette femme qui a perdu foi en tout sauf en cet amour inébranlable qu'elle éprouve pour une autre femme alors qu'elle n'est pas là, qu'elle n'existe pas ou plus que dans ses souvenirs et c'est terrifiant pour le lecteur qui perd pied en même temps que cette voix qui n'arrive pas à s'arrêter de parler. C'est noir, sombre, déprimant mais en même temps c'est drôle et il y a un espoir étrange qui vient apporter un peu de lumière dans la destruction progressive du personnage. Je ne sais pas si j'en parle bien mais allez le lire. C'est incroyable. (En plus c'est le texte que j'ai choisi pour ma première mise en scène alors c'est sûr que j'entretiens un rapport assez particulier avec lui.)
3) Tristesse Animal noir (Anja Hilling) : C'est un texte qui est plus proche du poétique que du dramatique. Ce que j'aime dans ce texte c'est pas tellement l'histoire, les métaphores ou les symboliques c'est plutôt l'immensité créatrice qui s'ouvre pour un metteur en scène qui voudrait aborder ce texte. C'est presque irreprésentable et c'est ça qui est intéressant. En plus la langue et très belle, vraiment très belle.
4) Girls & Boys (Dennis Kelly) : Pas du tout le même style, c'est du réalisme social britannique. C'est une femme qui raconte son histoire d'amour, puis l'histoire de sa vie de femme marié, de mère de famille et comment ce qui, en apparence, "la relation et la vie parfaite" mises en avant par la société sont en fait profondément malsaines et destructrices. En nous racontant son histoire elle nous envoie à la gueule (Théâtre in-yer-face) toute la misère du monde, et les problèmes de la condition de la femme dans la société contemporaine. Et en même temps elle nous fait rire et nous pousse à agir. C'est une pièce profondément féministe et qui nous fait prendre conscience de la misère sociale et des dysfonctionnement de notre société.
5) Sur la voie royale (Elfriede Jelineck) : Bon clairement cette femme n'est pas prix nobel de littérature pour rien. C'est ce que j'aime dans le théâtre : la voix et la liberté. A la fois la liberté de parler et la liberté du metteur en scène. Le texte n'est pas pensé comme une relique sacrée à laquelle on n'a pas le droit de toucher, c'est un matériau. Le metteur en scène peut mutiler le texte, le réarranger, le couper. C'est un texte pensé pour la voix et pour la représentation. En plus c'est un texte politique qui suinte la colère et l'urgence d'écrire. Écrire pour protester et pour montrer que le théâtre ne cessera jamais de se battre pour rester un art libre capable de parler de politique et de rentrer dans la gueule de ceux qui voudraient que tout soit bien lisse et policé en art comme dans la vie.
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ehoupet · 5 years ago
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L’âge de la lumière de Whitney Scharer. Editions de l’Observatoire .💛💛💛💛 L'âge de la lumière est un très joli roman de Whitney Scharer pour nous raconter la vie romancée de Lee Miller.
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petit-atelier-de-poesie · 4 years ago
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NOTE DE LECTURE : Rien n'est noir. Claire Berest. 2019 
Une biographie de cette incroyable Frida Khalo. Un destin peint par petites touches de couleurs, du rouge au bleu, sur la palette des émotions que l'on partage avec elle. L'auteure réussit à exprimer ses douleurs physiques et morales, elle qui fut maintes fois brisée, sa volonté de vivre et de jouir, et finalement les ressentis la femme et les visions de l'artiste. Sans parler de cette relation d'amour impossible avec Diego Rivera, ni avec ni sans lui. Pourtant elle existe aujourd'hui au-delà de tout ça. Et c'est beau ! Je connaissais déjà les tableaux sur lesquels j'ai eu un autre regard grâce à ce portrait romancé, sensible et haut en couleurs.
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Leonor De Récondo, La leçon de ténèbres, Stock,18€
Voici un très beau texte que nous propose Léonor De Récondo dans la Leçon de ténèbres.
La collection Ma nuit au musée, chez stock, consiste à enfermer des écrivains une nuit dans un musée afin qu'ils vivent cette expérience pour la raconter. « Quel rapport avons-nous exactement à l'art? Et aux musées? Chaque écrivain va raconter ce moment étrange, de solitude dans un endroit où d'habitude on ne peut ni dormir ni être seul. Chaque texte sera différent, inédit, forcement étonnant, personnel, amusant…».
Après Kamel Daoud avec Le peintre dévorant sa femme, Lydie Salvaire dans Marcher jusqu'au soir et Abdel Abdessemed pour Nuit Espagnole c'est au tour de Leonor de Récondo de convoquer un artiste!
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Leonor écrivaine mais avant tout violoniste, retourne au musée de Tolède qu'elle a visité des années auparavant avec son père artiste. La découverte des tableaux de  Dominikos Theotokopoulos a été un véritable choc. A travers son récit les deux vies, la sienne et celle de l'artiste, se suivent, se croisent, se développent ensemble comme une évidence.
Enfermée dans cette nuit de juin caniculaire, elle déambule dans les couloirs, elle l'appelle. Violoniste elle lui joue de la musique pour tenter de l'attirer. 400 ans d'écart, qu'importe, le rendez est pris avec lui.
Qui est Dominikos Theotokopoulos dont elle parle avec tant d'amour et à qui elle donne rendez vous dans cette nuit au musée, pour lui déclarer tout son amour ?
Lui, c'est un peintre crétois qui a beaucoup voyagé en Europe.  Venise, Rome avant de s'installer à Tolède en 1577. C'est à partir d'une biographie romancée qu'elle va apprivoiser cet artiste pour finalement lui faire une déclaration d'amour. Seront mêlées alors leur deux vie se croisant comme une évidence. Par petite touches, se dévoile sa vie mais aussi celle de l'artiste: son enfance, son parcours jusqu’à Tolède. Sa vie amoureuse avec Jerónima qui décédera peu de temps après mais aussi la naissance de leur fils Jorge Manuel.
Avec une écriture subtile, Leonor se dévoile, raconte des brides de sa vie, de sa relation au père et à l'art. On imagine aisément cette chaleur écrasante et fiévreuse dans cette nuit au musée, cette musique envoûtante qui résonne dans le silence et l'obscurité ! Accompagnée de son violon, elle convoque le Gréco pour une nuit d'amour.
Un bel exercice de Leonor que cette convocation au Gréco, tout en poésie, tendresse et émotion.
« Je suis seule, dans cette sacristie.
Doménikos, nous nous touchons des yeux.
Je suis tremblante, la gorge serrée.
Je regarde la code
autour du poignée du Christ.
Je pense à toi qui te rapproches.
Je pense au jour où tu es venue là
livrer ton tableau,
à cette commande si prestigieuse
peu après ton arrivée à Tolède,
à l'incompréhension des évêques
à la vue de cette robe pourpre.
Je la revêt à cet instant.
Et comme personne d'autre que toi
m'en est témoin,
Je te dis à mi-voix,
c'est tout l’intérieur de mon corps
qui maintenant se dénude,
se défait en lambeaux longs,
en bribes  carmin,
en hardes jetées.
Je suis prise au piège
du croisement de mon regard
avec le geste impudent de ton pinceau.
Et je cède à la puissance de ton mouvement. »
Disponible à la librairie dès sa réouverture !
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