#- A tu appris ta poésie ?
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lolochaponnay · 3 months ago
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C'est Toto qui apprend sa poésie. Il passe devant la cuisine et entend sa mère qui dit : - Je coupe les poireaux, je coupe les patates... Il passe devant la chambre de son frère et entent : - Superman ! Superman ! Il passe devant la chambre de sa sœur et entent chanter : - Comme d'habitude.. Alors le lendemain Toto va à l’école et la maîtresse lui demande : - A tu appris ta poésie ? - Je coupe les poireaux, je coupe les patates...Dit-il. - Pour qui tu te prend ? - Superman, Superman.. - Va chez le directeur ! - Comme d'habitude..
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greedandenby · 8 months ago
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Transcript of all the French dialogue in Interview with the Vampire S2 E03 "No Pain".
You asked, yours Frenchly delivered. Bonne lecture ! (long-ass post incoming)
(did not use timestamps as these may vary, but rather scene descriptions)
Armand’s Children of Darkness:
Coven vampire: La mort punira toute infraction de la première et de la cinquième des grandes lois.
Armand sees Lestat at the theatre (performing Marivaux’s Le Triomphe de l’amour):
Lestat (as Arlequin): Ah ! Vous êtes donc des femmes !… (vous êtes deux) friponnes !… et par-dessus le marché, un honnête homme !...
Armand: Tu es le bâtard de Magnus. Je sais que tu peux m’entendre, mon enfant.
Lestat: Qui m’appelle « enfant » ?
Armand: Il est mort, n’est-ce pas ? Je peux prendre soin de toi. Je peux t’apprendre ce qu’il ne t’a pas appris. Viens à moi.
Lestat (as Arlequin): Mais de quoi s’agit-il, mes libérales dames ?
Armand: Viens à moi.
Lestat (as Arlequin): Encore plus honnête.
Armand confronts Lestat and Nicolas:
Armand (to the coven vampires): À la maison.
Coven vampires: Oui, maître. Désolés, maître.
Lestat (to Nicolas): Tu es si distrayant dans la fosse que je ne me rappelle plus du texte.
Nicolas: Je ne peux pas lire mes notes quand j’entends tes pieds sur le plancher… Nous allons nous faire attraper.
Lestat: Je l’espère… Entends-tu cela ?
Nicolas: Par-dessus tes incessantes divagations ? Comment pourrais-je entendre quoi que ce soit ?... Qu’est-ce ?
Lestat: Là… Quelqu’un me regarde.
Nicolas: Tu es toujours au centre de l’attention.
Lestat: Il pense que je ne sais pas qu’il est là.
Nicolas: Est-ce encore de la poésie ?... Viens plus près de mon oreille. Je peux seulement comprendre quand tu t’approches.
Lestat: En pardessus.
Armand: Gardes-tu ce garçon comme aide-mémoire ?
Nicolas: Lestat, connais-tu ce gitan ?
Armand: La solitude que tu ressens, il ne l’atteindra jamais. Sois avec les tiens.
[Side note: they translated « the loneliness you feel, he will not reach it » for « atteindra », but i think Armand is actually saying « il ne l’éteindra jamais », in the sense of « he will not extinguish it ». It makes a LOT more sense.]
Lestat: Et abandonner mon gilet à carreaux ? Mon col jabot ? Vivre comme une larve ?
Nicolas: Lestat, que se passe-t-il ?
Lestat: Rien. Il n’est rien… Bonne nuit, homme étrange !
Armand: Lestat ! Là !
Nicolas: Lestat ?
Lestat: Nicki !
Armand: Tu ne lui as pas révélé ta vraie nature, n’est-ce pas ?
Lestat: Quel est ce pouvoir ?... Je n’ai pas ce pouvoir !
Armand: Mais tu l’auras. Tu as le sang de Magnus. Tu gâches ton potentiel en menant cette vie-là.
Lestat: Relâche-le ! Relâche-le !!!
Armand: Et voici un buveur de sang !
Lestat: Qui es-tu ?
Armand: Je suis Armand. Je suis le chef de ton clan.
Lestat: Nicki !
Armand: Ramène ton gilet chez les larves, veux-tu ?
Lestat confronts the Children of Darkness:
Armand: Je suis heureux que tu sois venu. Il est sain et sauf.
Lestat: Il est saigné. Il ne se réveille pas… Est-ce si amusant de vivre dans une telle saleté et la puanteur ?
Coven vampire: Nous devons servir Dieu au travers de Satan et au travers d’Armand.
Lestat: Ah… Une trinité crottée.
Coven vampire: Tu vas attirer la colère de Dieu sur nous avec tes péchés !
Lestat: Qui sont ?
Coven vampire: Tu vis parmi les mortels ! Tu marches dans le temple de Dieu !
Lestat: Il parle de l’homme triste avec les mains clouées ? Ah… Bien. C’est un arbre tombé. Raboté simplement pour les simples d’esprit. Du même arbre, on fit le pied d’une table et, là, une flûte ! Rampez hors de cette prison qu’il bâtit pour vous… Dieu… Satan… Armand… Est-ce vrai ? Hm ? Nous sommes les Dieux. Vous êtes les Dieux !
Lestat visits Armand:
Lestat: Que s’est-il passé ?
Armand: Je pourrais parler jusqu’à la fin du monde sans jamais te dire tout ce que tu as détruit ici.
Lestat: Nous sommes seuls. Satan ne nous écoute pas… Comment transformes-tu l’air en feu ? Comment bouges-tu des objets par la simple force de ton esprit ?
Armand: Demande-t-il, tout en dansant dans les cendres… Tu as fait de ton Nicolas l’un des nôtres ? Est-ce que le garçon a accepté le don ?... Trop fragile. J’aurais pu te prévenir.
Lestat: Il s’en remettra.
Armand: Certainement pas.
Lestat: J’ai une idée.
Lestat performs for Armand at the theatre (again, Le Triomphe de l’amour) :
Lestat (as Arlequin): Oh ! Mes mignonnes, avant que de vous en aller, il faudra bien, s’il vous plaît, que nous…
(As Lestat) Ils viennent accompagnés, séduits dans un élan collectif. Ils rient ensemble, pleurent ensemble.
Armand: Qu’est-ce, pour un vampire ?
Lestat: Une opportunité. Hamlet est mort sous les coups d’une lame empoisonnée, mais l’acteur qui gît sous leurs yeux respire encore. Dans ce temple, croire protège. Annonce que tu es un vampire. Bois le sang à la vue de tous. Mets en scène les rituels de ton clan, pas depuis les égouts mais depuis le premier balcon.
Armand: Je n’ai pas de clan. Tu m’en as privé.
Lestat: Au contraire, maître.
(as Arlequin): Je n’ai encore qu’un commencement d’envie de n’en plus faire.
Outside the theatre:
… assouvir vos cruelles envies au théâtre des vampires !
At the theatre performance:
Victim: J’ai tant d’années ! Tant d’années !
Theatre vampire: Des années ? La mort ne respecte pas l’âge !
Armand: Regarde comme ils sont immobiles. Ils croient vraiment que c’est une pièce de théâtre. Des clous sur une porte à Wittenberg. Tu as mené une réforme, Lestat.
Lestat: Nous l’avons fait ensemble.
Armand: Tu fais une meilleure Mort.
Lestat: La faux fait tout le travail.
Armand: Après une centaine de nuits ici, tu t’ennuies déjà ?
Lestat: Seulement avec le jeu d’acteur… Allons-y.
Armand: Ici ? Maintenant ?
Lestat: C’est une loge spacieuse.
Armand: Il nous observe.
Lestat: Il devrait regarder sa partition.
Armand: Lestat… Je t’aime.
Lestat: Oui… Je t’aime aussi.
Aaaand that's it (for now), folks! Will do subsequent episodes if there's more French in them (more likely than not!). Bisous !
Episode 2 here
Episode 4 here
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lesombresdeschoses · 2 years ago
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THE DARK LORD FROM BULGARIA
Un jour de forte pluie.
— L'âme est dans le sang, c'est ce qu'on dit, je crois ?
— Lévitique 17 : 11. « car l'âme de la chair est dans le sang... »
— Je manque un peu de culture biblique, je l'ai lu il y a longtemps, par curiosité. La religion, c'est pas ma came.
— Ah, oui ? L'opium des peuples n'est pas « ta came » ?
— Humour de camionneur bulgare ?
— Hm.
— Voici mon sang, mon âme, ma vie, mon dernier souffle... c'est du délire ! C'est du cannibalisme, ton truc !
— Je ne peux pas faire autrement. Tu vois, l'eau qui cristallise l'information, cette structure spécifique est la seule énergie qui puisse me garder en vie. L'amour. Mon corps se nécrose.
— Et nous, on vieillit. J'ai toujours cru que les vampires avaient des crocs et se nourrissaient simplement du sang de leur victimes en les infectant ou les vidant complètement. Pas très scientifique comme variante. Un virus qui rendrait immortel... Ah, et l'invisibilité face au miroir. Pas crédible.
— J'adore quand tu réfléchis à voix haute, comme s'il n'y avait personne à cent lieues.
— Je vais refaire du thé. Pourquoi Londres ?
— Je pourrais te retourner la question.
— Mais tu ne le feras pas.
— Pour la culture et le raffinement.
— Tu trouves les anglais raffinés ?
— C'est ton humour qui m'a séduit, je ne peux plus m'en passer. Vous avez ici, une conception du bien et du mal moins tranchée que dans quelqu'autres pays que j'ai visités.
— Tu veux dire qu'on tolère davantage les psychopathes ? Sans doute parce que beaucoup d'entre nous reconnaissent, bien volontiers, leur part d'ombre. Ce petit pays ridicule qui autrefois possédait plus de trois quarts de la planète, on se demande comment ? Des alcooliques dont l'activité favorite est de se mettre sur la gueule à la sortie du pub, après s'être bien mis dans le gosier. C'est que dans les restes du monde les gens sont encore plus débiles ! Ces anglais ne sont même pas foutus de se parler sans avoir bu ! Quel bel Empire ! Et nous autres Écossais, je parie qu'on boit tout autant pour noyer sa honte de s'être fait baisser le froc par des crétins pareils !
— Toute cette rage.
— Tu me parles de culture ! J'avoue Londres est belle et peut-être que j'aime cette ville parce que c'est assurément là que tu trouveras le moins d'anglais aux Royaume Uni. L’Écosse est devenue une foutue maison de retraite pour l'envahisseur ! Je suis flic, je ne devrais pas juger. Enfin j'étais.
— Disons que pour ma part c'est l'Union Européenne que je ne trouve pas à mon goût, concernant mon pays.
— Je devrais éviter de poser certaines questions.
— Toute conversation a son lot d'épines. Il suffit de ne pas se laisser égratigner.
— Quelle poésie, ça c'est du raffinement. T'es plutôt bien conservé pour un vieux singe. Le british est moins duel parce qu'il a appris à se contenter de ce que la vie lui fout dans le gueule, pas grand chose en sommes. Galérer et la fermer. Mais on n'a pas appris à la fermer, on prend ce qu'il y a, on s'exprime, en foutant la merde dans les rues, en montant des music bands, de rock, de punk… on braille dans le micro, on picole, on est content.
— C'est ton côté « psychopathe assumé » qui me laisse libre, alors que ton côté flic devrait m'enfermer sans sommation ?
— Tu ne peux pas échapper à ta condition, si je t'envoie en prison, je te condamne à mort. Tu devras te contenter d'un sang pauvre en amour, mais au moins, tout le monde vivra.
— J'ai failli te tuer.
—Tu sais le nombre de fois qu'on a essayé de me tuer ? J'ai moi même essayé deux fois.
— Heureusement que tu as échoué.
— Rêve.
— Pardon ?
— Rien.
— Tu t'enfonces dans les limbes de ton esprit.
— Qu'est ce que tu dis ?
— Tu sombres dans les méandres de ton esprit.
— Non, non. Un autre mot.
— Tu t'enfonces dans les méandres...
— On s'en fout ça. Tu as dit « limbes ».
— Oui. Tu fais souvent ça. Au bout d'un certain temps de conversation, tu fais l'autiste. Tu t'enfermes dans une sphère impénétrable. Un vrai trou noir de réflexion.
— BlackHole l’avait prédit…
— Quoi ?
— Notre rencontre.
—Intéressant...
— Qui de mieux qu'un psychopathe pour traquer un autre psychopathe... Théo, est-ce que je suis narcissique ?
— Absolument pas.
— Orgueilleuse ?
— Fière.
— Ce n'est pas la même chose. Je ne suis ni sociopathe, ni psychopathe, j'ai même de l'empathie. Un grand sens de l'observation et donc de la déduction. Je connais la nature humaine, j'anticipe parfaitement les faits et gestes de chacun, ça en devient lassant. Si je m'ennuie en compagnie des gens, c'est parce que je les cerne vite. Trop vite. Mais pour BlackHole... Je dois me tromper de profile, depuis le début ! Je ne pourchasse pas un psychopathe, mais une personne comme moi, quelqu'un qui veut non pas jouer, mais me faire passer un message ! BlackHole est un pisteur.
— BlackHole, c'est le tueur en série que tu traques depuis des années ?
— Tueur en série c'est vite dit : généralement pas de cadavre, aucune trace des victimes disparues, à part parfois un peu de sang pour écrire des messages, mais pas assez pour en conclure le décès. Il a à peine dû prélever un litre pour écrire la dernière inscription sur le mur de l'appartement de Siobhan. Et les deux fois qu'il y avait un cadavre sur la « soit disant » scène de crime, le légiste a confirmé : mort naturelle. Chaque.
— Alors c'est moi que tu devrais poursuivre. Je suis de loin plus dangereux.
— Toi je t'ai neutralisé. Tant que tu boiras mon sang, tu ne feras pas de victimes.
— Et tu as confiance ?
— Me cherche pas, Théo.
— Hm. C'est cette force de conviction. Aucuns doutes.
— Si tu me trahis, je le saurai et tu sais que je te tuerai.
— Mais tu vieillis et un jour tu mourras.
— Et bien faudrait peut être que tu commences à y penser, toi aussi ! T'en as pas marre sérieusement ? T'as plus de quatre cents ans ! T'as combien en vrai ?
— Sept cents cinquante et un ans.
— La vache ! Moi ça me raserait mortellement.
— La force de l'habitude.
— Ouais enfin là, ça devient de l'addiction. Crois-moi je sais de quoi je parle et c'est merdique ! Tu devrais consulter, mon cher. J'en connais un bon.
— Suis-je bien en face de Lawrina Mortensen ?
— C'est quoi ce ton ? Il ne va pas du tout avec cette tête ! Je t'arrête tout de suite, tu ne la poseras pas, cette question.
— Bien sûr. Tes déductions sur BlackHole sont de loin plus intéressantes que ma santé mentale.
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jeunechampion · 4 months ago
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nasir
je tiens à te remercier de m’avoir écrit ce quelque chose tout d’abord, ensuite je vais tenter de t’offrir une réponse assez convenable je m’excuse d’avance si c’est pas le cas
je m’excuse pour toute la négativité, je le fais sincèrement, je tiens quand même à te dire que je maintiens n’avoir aucun regret tout ce que j’ai fait je l’ai fait par amour et je sais pertinemment que je retournerai toujours vers toi quoi que tu me fasses subir, quoi qu’il arrive et cela quand bien même ce que tu peux en penser. je te remercie pour tout du début à la fin, tu as été l’une des plus belles expériences de ma vie, tu m’as tellement appris, tu es exceptionnel on ne rencontre pas deux nasir dans sa vie, j’ai eu l’honneur et la chance d’être ton petit ami, ton amoureux whatever i was, je ne regrette rien, je suis reconnaissant envers moi même d’avoir fait cette blague, je regrette seulement de ne pas l’avoir faite plus tôt. à tes côtés j’ai connu l’amour, le désir, la passion, je me suis senti choyé, aimé, j’ai eu l’impression pour une fois dans ma vie d’avoir le droit d’être celui qu’on protège, tu m’as donné l’opportunité de me sentir vivant, tu es, pour toujours, mon éternel amant.
je ne réalise pas ce qu’il se passe, je ne réalise pas que peut-être ce sont nos derniers mots, et penser à ce que tu puisses être un inconnu pour moi me broie le cœur de manière si intense tu n’en as pas la moindre idée, je suis terrifié à l’idée de ne plus être le tien, que tu ne sois plus le mien, que tu n’éprouves pour moi que de l’indifférence, pas par ego, mais par amour pur. tu es la plus belle poésie que j’ai pu apprendre, tu es la plus douce mélodie que j’ai pu écouter, tu seras pour toujours mon plus beau livre. je ne cesserai jamais de t’attendre parce que le lien des âmes est indestructible.
j’ai réalisé la peine, l’incompréhension, la douleur, la souffrance, aujourd’hui notre relation échoue mais je reste convaincu qu’elle sera victorieuse et tant pis si je suis tout seul dans cette trajectoire. je m’émeus de notre passion, je me tue de notre désarroi et de notre rupture. nasir je suis profondément désolé avec mon entière sincérité si cette histoire d’amour est ton regret, si tu t’es perdu à cause de moi, si pour toi nous sommes une erreur, je m’en veux réellement de t’avoir fait sentir comme ça, et malgré la souffrance que ça me cause je te souhaite de retrouver le chemin dans lequel tu te sentais toi même, j’accepte de te laisser le reprendre, mais j’espère que ce chemin finira par te mener dans mes bras comme tous les chemins mènent à Rome, comme une évidence que l’on ne peut nier.
nos souvenirs sont à jamais gravés en moi au fer rouge, ton sourire, ta voix, ton rire et toutes les bêtises que tu pouvais me conter, tes mimiques, tes goûts et tes changements d’humeur, everything that is you. je t’ai aimé avec tout mon cœur et je continuerai de t’aimer quand pour toi je ne serai plus qu’un échantillon du passé. s’il te plaît souviens toi de moi comme d’un amour profond.
tu auras toujours ta place, dans mon esprit, dans mon cœur, dans mon appartement, jusqu’à ce que tu me joignes à la tombe. je veux tout partager et je le ferai. je m’oppose à te considérer du passé, je te retrouverai car c’est toi et ce sera toujours toi malgré toutes les étapes, les embûches et les déceptions. personne ne sera jamais toi, jamais personne, je pourrai aimer, je pourrai être aimé mais jamais personne ne prendra ta place, tu es mon unique.
je te laisse naviguer dans l’océan, jouer avec les étoiles retrouver ta voie, mais je t’en prie garde une petite place pour moi, et un jour retrouve moi car jamais je ne me résignerai à ne plus t’aimer, j’ai décidé que tu serais ma finalité et je m’engage à réaliser nos rêves.
il y a encore tellement chose que j’aimerai te dire, mais je crois que s’éterniser n’est pas nécessaire, du temps pour se parler à cœur ouvert on en aura, pas dans une autre vie mais dans celle là.
kurt
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Adromeda (2024)
This is not really a story, it’s yet another desperate attempt to communicate before we take what looks like the final departure to the next chapter of our respective lives. A way to convey all the things I still struggle with, feelings I still don’t understand.
I never meant to hurt you nor disrespect you in any way or form. I was merely navigating our relationship the best way I could but I ended up letting you down in the process. Ultimately, turning my back on me, on you, on us. I did not do this out of cowardice, but out of exhaustion.
I’m tired.
Tired of everything, tired of fighting, tired of living.
I’m not even saying this in a suicidal way, I just don’t see the point in trying anymore. Things won’t get better, I won’t get better. Therefore, the least I could do is try to not drag you down with me and deprive you from all the things you desire and truly deserve. I’m not doing this out of detachment, I’m doing this because I care and I don’t want to see you wasting your best years by my side. I will never get better and ultimately will never be the man you’re looking for. You might as well consider the man you fell in love with as dead, you won’t be seeing him again.
He’s gone, for good.
As of now, I’m only a shadow of the man I used to be. A cruel reminder of what happens to people who coddle themselves in in solitude and willingly embrace their darkness and twisted ways.
This is me as a person, and will always be. I’m a certified failure.
Back in december, I naively thought that the feelings I had for you would save me from my ownself. That loving you will be enough, it wasn’t. I truly thought that it would fill the void in my heart I had been sporting for my entire life. It didn’t. It was so selfish of me to place this burden on your shoulders.
Maybe you were right.
I wasn’t geared up nor capable of loving you the way you wanted. It may have a lot to do with the fact that I don’t even love myself like that. At all actually.
Yet again, I naively thought the love I had in store for you would make up for all the times I never succeed to love myself. It didn’t and it had nothing to do with you. It was my fault. I’m a deeply disturbed and flawed individual. This will never change. Either way, I still think that breaking up is the way to go. This is the only way for you to heal from all the abuse I put you through and that’s why I’m slowly making peace with the idea of letting you go.
Yet, I’m still at war with the selfish need to talk to you, to slide in your dms and ask about your day. I’m missing the days you used to spend hours yapping about the most mundane things, when you would passionately rant about your hobbies, your dreams and your plans… I miss spending hours playing with you, debating and teasing you. I miss all those nights we would stay wide awake and freely talk about our deepest desires, our fears, our insecurities, and the things we wanted for ourselves as a couple. I miss the daily small talks we had before going to work but also the difficult yet necessary conversations that we somehow tried to shy away from. I miss waking up to your sweet and sultry voice coaxing me to rise from my deep slumber. I miss what we used to be. I miss loving you.
I miss you.
But I came to the conclusion that I was never worthy of the things you gave me and I overstayed my welcome. I should have realized sooner. I swear that I wouldn’t have wasted your time like that had I known sooner. I truly wanted to do all the things we kept talking about and spend the rest of my life by your side. I now understand that my dreams are meant to stay what they were supposed to be from the very beginning.
Mere dreams.
I tried, truly, I gave my best and it still was not enough. Now I understand, that loving someone does not mean that you’re supposed to be with them nor that you’re a good for them. As you alreedy know, I’ve never considered myself as your soulmate nor anything of the sort. I was merely a lucky guy who won the lottery and spent all his earnings in one go. As I stated, I’ve overstayed my welcome, now it’s time for me to go back to where I belong and let you live your life as it was intended to.
I will try to not make a fool of myself this time. I will try my hardest to not come and disturb your peace nor plant seeds of incertainty in your mind. I won’t plague you with vague statements and keep all my empty promises to myself. I will even go as far as to gouge out my own eyes to avoid feeling any type of jealousy or envy. I won’t waste your time again, I promise.
Either way, I’m still grateful that you allowed me to be a part of your life. It will seem short and insignificant from your pov in a couple of months/years, but it did mean I lot for me. No matter how hard I try, I wont be able to forget you nor what we had for almost a year. And to be honest, I dont even want to forget any of it.
It means the world to me.
And that may be the reason why I wasted my time writing this to you, I don’t even know if you will ever read it.
But yeah, I want you know to know that I really tried my best. I tried changing my dismissive ways to accomodate you better, I tried to swallow my pride and jealousy when you suggested that maybe I should just stick around while you explore your other options and your bound with other people. I thought that maybe that could work, you could find in another person what I was failing to give you. Despite the fear I had of you finding someone better and leaving me behind, I still accepted out of desperation to save what was left of us.
But it’s only so much I can take, everyone has their breaking point.
And I reached mine.
I spent my entire life hating myself and it only got worse now, I loathe what is left of me. You have no idea how much I despise this version of me. Weak, indecisive, emotional, with a huge lack of self-respect and willing to accept things the real me would have never entertained before in order to keep the man he loves in his life. It’s pathetic, thats not who I’m. And honestly speaking, I think I started to blame you for it in some ways.
I hate what I became out of love for you, but maybe that’s what love is all about. Humbling oneself in order to love proprely. Maybe I was supposed to expose myself to you and show you how fragile my will is when it comes to staying the hell away from you.
Does it mean that I might come back every single time you ask me to ? Yes, I’ve always been honest about these kinds of things so there is no point in lying now.
Yes, I might be desperate enough to sabotage myself again and sacrifice a potential way out of whatever we have going on just to feel your love again for a couple of days. And that’s why I wish deep down that you won’t use this against me.
Furthermore, I also think that all this triggered one of my biggest fear. I felt that I was slowly loosing my footing in all this. Not just that, but my free-will too. I’m not saying you manipulated me, what I’m saying is that I no longer recognised myself. I was slowly becoming dependent on you (emotionally speaking) and I hated every second of it. My well-being and mood is my responsablitiy and mine only. I guess I just hated the unspeakable hold you had on me. I know that this might piss you of, and honestly I dont even expect you to understand where I’m coming from tbh. This has a lot to do with my childhood trauma and my coping mechanism, but yeah I never wanted to give you this much access to me. I dont want to rely on you because everybody leaves at some point. You’re leaving too, and it conforts me in the fact that I was right to not fully give myself in, because I knew that you would end up leaving at some point (whatever the reason is).
Despite my fears and insecurities, I still allowed you to see a side of me that nobody ever saw before. I still gave you a glimpse of the broken individual I was, even when all I wanted to do was isolate myself and hide in the darkness of my bedroom. So I hope that despite the way things ended between us you will remember that I tried my best and gave you all I could.
I kept doing my best after I realised that I would never be enough.
I still gave you everything I had in me.
Maybe that’s why in some way, I feel wronged and feel like this entire situation is unfair. I know you wont agree and I dont expect you to, that’s my humble opinion.
That’s why deep down, despite all the things I just said, I keep sticking around patiently waiting for the day you will finally have enough of my antics and put me down like the rabid dog I’m.
Funny thing is I used to loathe my parents for conceiving me and giving birth to me. I used to harbor hatred for being obliged to live in this universe but this was back in december, before you gave me reasons to believe that maybe life was worth living. I forgave them. My parents, the people who used to hurt me and myself for all the mistakes I made. Had it not been for them, I would have never met you.
Ultimately, I forgave this world and its excruciating ways because it had you in it.
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journaldenimportequi · 4 years ago
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Jeudi 24 juin 2021
Andy, Truman et les autres
Il fait un temps de novembre, c'est terrible. J'ai ressorti mon bon vieux sweat-shirt David Bowie, celui qui affiche une photo semblable à celle de la pochette de Heroes. Je crois me rappeler que le photographe qui a réalisé la photo de cette pochette est japonais. Par respect pour son travail, je me dois de le nommer, alors voilà, il s'agit de Masayoshi Sukita. Merci Google ! Bowie est beau comme un dieu ici. C'était vraiment un extraterrestre ! Si j'avais pu choisir mon physique, j'aurais choisi d'avoir celui de David Bowie. Hélas...
Si j'écris en ce moment même, c'est vraiment parce que je n'avais pas le choix. Une force surnaturelle m'a poussé à allumer mon ordinateur portable et à ouvrir la page du traitement de texte. Je ne saurais l'expliquer autrement. Parfois j'ai cette envie folle d'écrire, ou de saisir ma guitare et jouer, c'était d'ailleurs le cas il y a encore quelques heures. J'ai joué beaucoup aujourd'hui. En ce moment, j'aime chanter Holidays, de Michel Polnareff. Les accords sont si simples, pourquoi est-ce que je ne l'ai pas joué avant ? Pourquoi ai-je attendu l'an 2021 pour le faire ? Toujours est il que j'aime la chanter celle-ci, elle se chante très haut, j'aime bien chanter haut, c'est dans ma nature. Oh, je sais bien que je n'ai pas la voix de Polnareff mais lorsque je chante j'ai tendance à aller vers le haut comme ça.
Les journées sont longues ici à la campagne. Alors je lis beaucoup. En temps normal, je ne lis que la nuit dans mon lit mais là, l'ennui me pousse à lire beaucoup en journée. Il faut dire que j'ai de quoi faire, mon tas de livres grandi de jour en jour. J'ai terminé il y a peu la biographie de Andy Warhol que m'a offerte Justine. J'ai dévor�� ce bouquin avec un appétit immense, comme on se jetterait sur un repas après avoir passé deux jours sans manger. Le monde de Warhol m'a totalement scotché, j'ai aimé passer ces quelques jours avec lui. Maintenant, je l'ai intégré en moi, Andy Warhol est devenu mon ami. C'est l'effet que j'attends d'une bonne biographie, lorsque je passe des jours, voir des semaines à lire la vie d'un artiste, alors je fini par avoir l'impression qu'il est un de mes proches. Une fois le livre terminé, j'éprouve une certaine frustration, en effet, j'aurais voulu que le livre dure plus longtemps. Alors pour prolonger le plaisir, j'ai acheté d'autres bouquins sur Andy Warhol. Enfin, ceux là sont plutôt des livres d'arts. J'ai fait une affaire particulièrement bonne l'autre nuit en tombant sur un ouvrage magnifique, sur internet, à un prix défiant toute concurrence. Un énorme pavé qui contient plus de 2000 photos et documents concernant la vie de Warhol. Le bouquin est trouvable à un prix relativement élevé un peu partout sur internet et moi je l'ai chopé à seulement 25 euros ! Un beau livre de plus dans ma collection qui devient d'année en année aussi magnifique qu'importante (au grand dam des déménageurs).
Donc, voilà, ces livres sur Andy Warhol auront vraiment marqués mon année 2021. Et puis, qu'est ce que je lis d'autre, en ce moment ? Il y a ce livre qui m'a été offert par l'adorable petite bruxelloise, intitulé Mr Gwyn, par Alessandro Baricco. C'est un livre plein de poésie, un récit assez spécial parce que j'ai l'impression de ne rien avoir lu de semblable avant. Je l'aurais bientôt terminé, je suis content de l'avoir entre les mains ! Merci Dilara (me liras tu ce soir?). Et puis il y a ce livre acheté à Paris dans une librairie anglaise : Then It Fell Apart, par Moby, qui est la suite de son ouvrage précédent, qui est un livre de souvenirs, bref, encore une autobiographie quoi, on ne se refait pas...
Et puis vient Truman Capote, la faute à Warhol : en effet, en lisant la biographie de ce dernier, j'ai appris qu'il admirait beaucoup Truman Capote qui était de quatre ans son aîné. Il l'aimait et l'admirait au point de quasiment le stalker, en l'attendant devant chez lui et en allant jusqu'à contacter sa mère. Capote ne répondit pas à ce moment là mais des années plus tard, Warhol devenu célèbre, il finit par fréquenter Capote et devenir son ami. Voilà, c'est comme ça que j'ai eu envie de me pencher sur lui. Je connaissais Capote depuis la sortie, du film hollywoodien dans lequel il est interprété par le génial Philipp Seymour Hoffman. Et ça faisait un moment que je songeais à me pencher sur son cas. Il faut dire que le bonhomme avait de quoi m'intéresser, c'était un sacré personnage : du genre comme je les aime, un peu excentrique, brillant, pas bien beau, homosexuel de surcroît, bref, un individu qui se distingue de la masse, tout ce que j'aime ! J'ai donc filé sur amazon et j'ai commandé Musique Pour Caméléons, un recueil de textes divers, le dernier sorti du vivant de Capote. Et puisque je ne suis jamais satisfait, j'ai aussi commandé sa biographie, chez Folio. J'ai vraiment hâte de la recevoir ! Et puis plus tard j'enchaînerais avec son chef d'oeuvre, De Sang Froid, dont je n'ai entendu que des louanges.
Hier soir, sur une app de rencontres, j'ai matché avec une femme, 40 ans, plutôt mignonne, qui m'a abordé en me disant qu'elle me trouvait vraiment charmant. « Tu es sérieuse ? », ,ai-je répondu, avec ma légendaire confiance en moi... Elle m'a écrit que oui, elle était sérieuse, s'en est suivie un début d'échange, qui me ravissait au plus haut point jusqu'à qu'elle aborde LE sujet tabou, à savoir « comment tu gagnes ta vie ? »... J'ai pris des pincettes et lui ai expliqué que je bénéficiais d'une allocation suite à quelques soucis d'ordre psychiques, mais que, « haha, rassure toi, je ne suis pas fou », et puis vous vous en doutez bien, à ce moment là elle a tout simplement annulé le match brutalement. Eh BAM, dans ma gueule. Oh, ce n'est pas la première fois que ça m'arrive, ce ne sera pas la dernière non plus, mais c'est un peu douloureux. Je ne m'y habitue pas.
Voilà, je crois que j'ai satisfait ma soif d'écriture pour ce soir. Et me vient, du coup, cette éternelle crainte d'écrire dans le vide, de ne pas être lu... Dites, vous me lisez encore n'est-ce pas ? J'espère que vous le faites sans ennui et si d'aventure vous y prenez une once de plaisir, alors je serais le plus heureux des écrivains amateurs !
Bande son : The Snake, Shane MacGowan and The Popes
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frenchwitchdiary · 4 years ago
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Le Mat / Le Fou
Mots-clés Liberté - Energie - Voyage - Recherche - Origine - Cheminement - Essence - Force de libération - Irrationnel - Chaos - Fuite...
C’est l’arcane sans nombre ; libre comme l’air, sans place attitrée au sein du jeu, il peut aller où il veut. Telle une âme innocente, il part à l’aventure, avec son bâton et son maigre baluchon sur le dos. Les yeux tournés vers le ciel (le spirituel), il avance sans même voir où il met les pieds ! L’animal à ses côtés est selon moi son instinct primaire. Est-ce que la bête le retient, comme pour le prévenir de son imprudence, ou bien le pousse-t-elle en avant ? Celui-ci semble l’ignorer. Après tout, il faut bien être fou pour s’aventurer si léger en dehors des sentiers battus. Ou alors c’est précisément ce qu’il recherche ? En tout cas, il y va le coeur léger. Avec un parfait amour et une parfaite confiance. C’est le début du chemin initiatique pour notre Fou : aussi, il apporte avec lui un grand élan d’énergie, un immense potentiel. Il appelle à n’être qu’action, avec comme seul guide la voie montrée par les cieux ; ainsi commence sa quête spirituelle.
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Si le Mat parlait...
“Sais-tu qu’à chaque instant une mutation de conscience est possible, que tu peux soudainement changer la perception que tu as de toi ? On s’imagine parfois qu’agir, c’est triompher sur l’autre. Quelle erreur ! Si tu veux agir dans le monde, il faut que tu fasses éclater cette perception du moi imposée, incrustée depuis l’enfance, qui refuse de changer. Elargis tes limites, sans fin, sans relâche. Entre en transe.”
“Laisse-toi posséder par un esprit plus puissant que le tien, une énergie impersonnelle. Il ne s’agit pas de perdre conscience, mais de laisser parler la folie originelle, sacrée, qui est déjà en toi.”
“Cesse d’être ton propre témoin, cesse de t’observer, sois acteur à l’état pur, une entité en action. Ta mémoire cessera d’enregistrer les faits, les actes, les paroles accomplis. Tu perdras la notion du temps. Jusqu’ici tu vivais sur l’île de la raison, négligeant les autres forces vivantes, les autres énergies. Le paysage s’élargit. Unis-toi à l’océan de l’inconscient.”
“Tu connais alors un état de supraconscience où il n’y a ni acte manqué, ni accident. Tu n’as pas la conception de l’espace, tu deviens l’espace. Tu n’as pas la conception du temps : tu es le phénomène qui arrive. Dans cet état de présence extrême, chaque geste, chaque action sont parfaits. Tu ne peux pas te tromper, il n’y a ni plan, ni intention. Il n’y a que l’action pure dans l’éternel présent.”
“N’aie plus peur de libérer l’instinct, si primitif soit-il. Dépasser le rationnel ne signifie pas nier la force mentale : sois ouvert à la poésie de l’intuition, aux fulgurances de la télépathie, à des voix qui ne t’appartiennent pas, à une parole venue d’autres dimensions. Vois-les s’unir à l’étendue infinie de tes sentiments, à l’inépuisable force créatrice que te confère l’énergie sexuelle. Vis ton corps non plus comme un concept du passé, mais comme la réalité subjective vibrante du présent. Tu verras que ton corps cesse d’être commandé par les conceptions rationnelles et se laisse mouvoir par des forces qui appartiennent à d’autres dimensions, par la totalité de la réalité. Un animal en cage a des mouvements comparables à la perception rationnelle. Le mouvement en liberté d’un animal dans la forêt est comparable à la transe. L’animal en cage doit être nourri à heures fixes. Le rationnel doit recevoir, pour agir, des mots. L’animal sauvage se nourrit lui-même et ne se trompe jamais de nourriture. L’être en transe n’agit pas mû par ce qu’il a appris, mais par ce qu’il est.”
(source : La Voie du Tarot, A.Jodorowsky et M.Costa, éditions Albin Michel, 2004)
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manieresdedire · 5 years ago
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Une passion d'hier et d'aujourd'hui
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Les airs d'opéra je ne sais pas vraiment quand j'ai commencé à les aimer. Dans mes plus lointains souvenirs je me vois danser le Beau Danube bleu au son du premier 45 tours que j'ai reçu en cadeau enfant. Je devais avoir environ sept ou huit ans et je m'enroulais dans un grand drap sensé imiter une robe de princesse et tournais dans ma chambre les pas de valses appris de mon grand-père.
Ensuite, je ne me souviens pour un temps que de douleurs familiales qui ont coupé le son de ma voix pour plusieurs semaines et intérieurement probablement l'ont bloquée pour longtemps. En classe de musique, vers cette période, l'institutrice a déclaré que mon timbre de voix était grave  et m'a installée, pour le chant, avec les garçons. Vexée, j'ai définitivement refusé d'ouvrir la bouche.
Quelques années plus tard, adolescente de caractère, je commençais à fumer des cigarettes dans les toilettes de l'internat. Avec une fidèle amie fumeuse nous avions découvert que l'acoustique de ce vieil internat était intéressante. Dans les toilettes, tout comme dans nos chambres les box s'élevaient à deux mètres environ pendant que le plafond lui, à au moins six mètres. Entre deux cigarettes nous vint l'idée d'entonner l'air célèbre de Carmen. Les réactions furent diverses, de "c'est bien les filles, continuez !", jusqu'à "vos gueules y'en a marre !" . En tout cas on s'amusait bien.
Beaucoup plus tard c'est avec plaisir que je me rendais aux concerts de musique classique, jouissance accrue s'ils se trouvaient des arias au programme.
Lorsque je déménageai définitivement en Pologne pour m'installer dans la région des Tatras, je découvris l'œuvre de Mieczysław Karłowicz, ses chants écrits pour voix d'hommes ou de femmes de différentes tessitures me parlèrent profondément. Aux concerts de la ville toujours les larmes me venaient aux yeux quand les mélodies des sopranos ou mezzo-sopranos s’élevaient dans la salle et vibraient dans tout mon corps. Exprès, je m'asseyais le plus près possible de la scène.
J'aimais en montagne, passer devant la pierre commémorative de sa mort sous une avalanche. Un endroit où il n'y aurait jamais dû avoir d'avalanche, un sentier qui n'était jamais fermé aux randonneurs en hiver car classé non dangereux... Étrange destin qui l'emporta trop jeune.
Puis il y eu les longues années dans mon nouveau rôle de mère, rôle tardif mais heureux, où l'on n'a pas de temps pour soi, où toute sa vie et son attention sont tournées vers ce nouvel être. Des années où l'on oublie souvent ce que l'on faisait avant le bébé. Puis peu à peu vers les six ans de mon fils, je repris le tennis, premier pas vers une redécouverte de mes besoins.
Quant au chant, il est venu par hasard. Une ancienne directrice de chœur international organisa un petit concert d'amateur dans notre commune. Le niveau était différencié, une soprano amateur qui aurait dû à coup sûr être professionnelle si l'on avait découvert son talent plus tôt, une débutante pétrifiée mais encouragée gentiment par le public. Mme Gładydzewska, leur professeure avait plus de quatre-vingt ans et donnait des cours de chant uniquement aux personnes de plus de quarante ans car, en plus d'enseigner, elle aimait discuter avec des gens ayant déjà un vécu. Je me présentai timidement à elle et commençai les cours dans son appartement de Białystok. Mon timbre était grave mais je n'avais plus honte, le répertoire étant assez large pour tout le monde. Les exercices de respiration, les exagérations de prononciation aidèrent à assouplir les cordes vocales et les muscles de mon visage.
Au bout de deux ans ma gamme s'est élargie jusqu'à mezzo-soprano, la dernière note me faisant encore problème mais beaucoup de joie à chanter accompagnée au piano.
À la maison je travaille sur mon répertoire aussi souvent que possible. Au début mon fils me disait "non, ne chante pas!" mais maintenant il connaît tous les couplets et les sifflote parfois sans s'en rendre compte.
À plusieurs reprises, lorsqu'il m'est arrivé de réussir un air difficile et que certaines notes sont sorties si belles et fortes, j'ai fondu en larmes.
C'est comme un cri du plus profond de l'être qui dirait le non sens et en même temps la beauté inexplicable de la vie. C'est simplement de l'art. Plus, un amalgame d'arts : poésie et  musique.
Pour les curieux je conseille :
Karłowicz : " Zasmuconej", "śpi w blaskach nocy"
Chopin :"piosenka litewska", " życzenie"
Les françaises, mes préférées:
Ambroise Thomas :"connais tu le pays ?"
Fauré :"automne"
Massenet "Élégie"
Et celle qui me fait pleurer quand je la réussis :
Saint-Saëns : "mon cœur s'ouvre à ta voix"
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ludivinedesaintleger · 5 years ago
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Samedi 4 avril 2020
Aujourd’hui, alors que ma mère m’appelait pour me prévenir que Marie-Caro était sortie de réa et qu’elle était officiellement tirée d’affaire, j’ai appris par un vulgaire post Facebook le décès subit de Pierre-Emmanuel, ce collaborateur de Victor dont je suis extrêmement proche et que nous considérons vraiment comme un membre de notre famille.
Marie-Caroline, telle le phénix, renaît de ses cendres.
Pierre-Emmanuel s’éteint.
C’est toujours les meilleurs qui s’en vont.
Ma mère m’a appelée au téléphone en début d’après-midi, alors pour faire passer le temps pendant son monologue, j’ai allumé mon iPad et ouvert Facebook.
– Tu sais que ça y est, Marie-Caroline est désintubée, elle va beaucoup mieux.
– Oh je me doutais que ça irait, tu sais. Elle est plus résistante qu’elle ne le croit.
– En tout cas moi je suis soulagée pour elle.
– Tiens, j’ai rêvé d’elle, cette nuit. J’ai rêvé qu’elle sortait de l’hôpital et qu’elle venait nous rejoindre ici, dans le manoir. C’était sûrement prémonitoire.
– Ah tiens, c’est drôle. En tout cas, j’ai eu Olivier au téléphone...
– Qui ça ?
– Olivier, son mari.
– Ah oui, bien sûr, Olivier.
– Oui, donc il avait vraiment une meilleure voix.
C’est à cet instant précis que j’ai vu passer l’information sur Facebook. Sur la page de Pierre-Emmanuel, un certain Philippe, qui se présentait comme son “partenaire”, nous annonçait à tous la triste nouvelle dans un texte accablé – et accablant – de chagrin. C’est beau, d’avoir su nouer des liens d’amitié aussi étroits avec un de ses collaborateurs. On serait presque tenté d’y lire une déclaration d’amour.
Une série de photographies les montrent tous les deux trinquant au champagne sur une terrasse chic, puis vraisemblablement en business trip dans une île paradisiaque. Je suis très sensible à l’amitié virile qui peut s’établir entre deux hommes. On sent bien que ces deux-là étaient vraiment très proches, et les regards complices qu’ils se lancent font plaisir à voir.
Seule dans mon lit au deuxième étage, j’ai le souffle coupé. Ma mère parle, parle, parle, mais je ne l’entends pas.
Je pense à Pierre-Emmanuel, et à cette merveilleuse promesse que nous nous étions faite, d’aller prendre l’apéritif ensemble au bar du Plaza Athénée à l’issue de ce confinement. Comme il me tardait de retrouver sa sympathique présence, notre amitié complice, nos regards en coin et notre estime mutuelle !
Une foule de sentiments m’assaille et la voix de ma mère en fond sonore m’empêche de les investir pleinement, alors je lui explique d’un ton monocorde que j’ai un petit coup de fatigue et que j’aimerais mieux que nous remettions cette conversation à plus tard.
– Oh mais bien sûr ma chérie. Repose-toi bien.
Je raccroche. J’ai horreur qu’elle se donne ces airs de bonne mère qu’elle n’est pas.
Je clique sur le profil de Philippe. Il y a beaucoup de photos de Pierre-Emmanuel et lui. Les messages de condoléances abondent sur sa timeline. Tout le monde savait, apparemment, l’amitié qui les liait. Je reviens sur la publication sur la page de Pierre-Emmanuel, et je cherche dans les commentaires si quelqu’un a déjà posé la question de la date et du lieu de l’inhumation.
Personne. Je commente donc :
Cher Philippe, Victor se joint à moi pour vous faire part de notre immense chagrin suite à l’annonce du décès de notre bien-aimé Pierre-Emmanuel. Cette funeste maladie, dont je suis actuellement atteinte, nous prive d’un homme intègre et précieux. La date de l’inhumation a-t-elle été annoncée par ses proches ?
La réponse est arrivée presque immédiatement :
Les parents de Pem et moi-même pensons partir sur une cérémonie en effectif restreint mercredi prochain. J’annoncerai ces informations sur le profil de Pem dès que nous aurons convenu des détails. Étant données les circonstances, nous nous verrons dans l’obligation de nous limiter aux personnes les plus proches de Pem.
“Bien entendu”, ai-je répondu, en le demandant comme ami dans la foulée.
Puis j’ai préparé ma publication pour annoncer la nouvelle à mes amis. J’ai d’abord fait une capture d’écran de notre dernier échange virtuel – notre promesse de rendez-vous – puis je l’ai postée accompagnée du texte suivant :
Aujourd’hui mon ami Pierre-Emmanuel, la bonhomie incarnée, nous a quittés, victime de ce virus dont je suis également atteinte et qui ravage le monde entier. Curieux et extraverti, Pem – pour les intimes – était aussi un battant et un as dans son domaine professionnel. Mais par-dessus tout, il était mon ami, et la promesse que nous nous étions faite de nous retrouver après cette crise sanitaire pour aller trinquer ensemble sera probablement la seule qu’il n’aura pas pu tenir. La douleur que me causent mes migraines et mes toux covidiennes (et quotidiennes !) n’est rien comparée au chagrin qui m’assaille. Pem, c’était toi le meilleur. Le monde est beaucoup moins beau sans toi.
Les likes et les messages de soutien ont commencé à pleuvoir, mais j’ai éteint mon iPad. Je trouve que lorsque quelqu’un décède, les réactions des gens sont assez malsaines. Beaucoup tentent de tirer la couverture à eux et de s’approprier le chagrin des autres ��� le chagrin des vrais proches du défunt. Cela me paraît abject, mais j’imagine que les personnes en deuil sont rarement en état de remettre à leur place ces parasites des cimetières. La preuve : j’ai préféré couper tout contact avec eux plutôt que de m’y confronter.
Ma tablette éteinte, j’ai laissé ma peine me montrer la voie, et j’ai pleuré toutes les larmes de mon corps en pensant à Pierre-Emmanuel. Je le connaissais très bien, oui, très bien, mais j’aurais vraiment aimé le connaître encore mieux. Il y a tant de choses que j’ignorais sur lui. Quelle était donc sa couleur préférée. Comment s’appelait sa toute première amoureuse. Où avait-il grandi.
Finalement, j’ai rallumé ma tablette en faisant abstraction des notifications, et je suis remontée dans l’historique du profil de Pem. Peut-être y trouverais-je des réponses à toutes mes questions. Je lui découvre immédiatement un point commun avec moi : nous aimons tous les deux la poésie des arcs-en-ciel. Il en a en effet regroupé plusieurs dans un album photo dédié et sobrement intitulé “Rainbows in the sky”. J’apprends qu’il vivait dans le Marais, dans un bel appartement en duplex. Un homme de goût. Je remarque également qu’il côtoyait quelques vedettes. Julie Depardieu. Michèle Laroque. Bertrand Delanoë.
Était-il un homme de gauche ? Impossible de le dire. Mais il n’est de toute façon pas l’heure de polémiquer sur les engagements politiques des uns et des autres. La moindre des choses que l’on puisse faire pour un défunt que l’on aimait, c’est de lui pardonner les écueils dans lesquels il a pu tomber de son vivant.
J’éteins de nouveau mon iPad et, la voix encore tremblante, j’appelle Victor pour le prévenir.
– Merde, mais c’est pas vrai !
– Tiens bon, mon amour. Je sais que vous étiez proches, mais...
– La holding, putain ! La holding, comment on va faire bordel ?
Et Victor a raccroché aussi sec. Un coup de fil urgent à passer, sans le moindre doute. Le propre des affaires est qu’elles n’attendent pas.
La réaction de Victor m’émerveille et me fascine tout à la fois. Je sais que mon mari est un homme bon, doublé d’un grand sensible. Mais la peine qu’il a ressentie à l’annonce de cette nouvelle s’est avérée trop cataclysmique pour que son cerveau puisse la ressentir en entier, d’un seul coup. Alors sans même le vouloir, son inconscient a déplacé son attention sur la logistique. Le matériel. Ce qu’il peut contrôler. Ce qu’il peut résoudre.
La mort de son ami, il ne peut pas la résoudre.
Alors il s’immerge dans le travail.
Encore.
Quant à moi, valeureuse petite fourmi qui œuvre dans l’ombre de mon époux, je réfléchis à l’après. Il nous faudra nécessairement nous rendre à l’inhumation, mais il ne faudra surtout pas que l’on nous en interdise l’accès. J’appelle Dolores pour lui demander de vérifier les stocks de gel hydroalcoolique, et lui ordonne d’en mettre deux petits flacons de côté.
Puis la mort dans l’âme, je rappelle ma mère. Non pas que cela me chagrine de lui parler au téléphone. Mais j’ai un service à lui demander. Et quand je demande un service à ma mère, je sais qu’il faut que je m’attende à devoir lui rendre au centuple.
– Allô ?
– Maman, c’est Ludivine. Dis-moi, ta gentille petite voisine qui t’a cousu des masques pour toi et Papa, tu crois qu’elle pourrait nous en coudre, à moi et Victor, s’il te plaît ?
– Aline ? Oh sûrement, oui, il faudrait que je lui demande.
– Très bien. Il m’en faut un chacun. Pour moi, un masque noir fera l’affaire, éventuellement dans un tissu avec quelques reflets, et si possible avec un peu de dentelle, quelque chose d’élégant. Et pour Victor, quelque chose de très sobre. Un beau gris anthracite, idéalement.
Évidemment, sa curiosité est piquée. Elle ne peut s’empêcher de demander :
– D’accord alors attends, je note tout ça. Mais c’est pour quoi, au juste ?
– C’est pour un enterrement.
– Oh ma chérie c’est affreux, qui est mort ?
– Un excellent ami à moi.
– Oh ma pauvre bichette, je suis désolée. Qui était-ce ?
– Il s’appelait Pierre-Emmanuel. Tu ne le connais pas.
– Non, en effet. Et quand aura lieu l’enterrement ?
– Mercredi, a priori.
– Ah, donc il te les faut rapidement. Bon, j’appelle tout de suite la voisine alors. Je suis vraiment désolée de ce qui t’arrive, ma bichette. Quelle tristesse ! Le jour où justement on apprend que Marie-Caroline va mieux.
– Oui, ça ne pèse pas lourd dans la balance.
– Bon, j’appelle Aline tout de suite et je te tiens au courant.
– Par texto, s’il te plaît, j’ai mal à la tête.
Je raccroche et j’appelle Dolores. J’ai besoin de reprendre des forces. Je lui commande quelque chose de simple. Des noix de Saint-Jacques au beurre blanc sur un lit de poireaux avec une bouteille de Sancerre blanc bien frappé.
Un peu plus tard, alors que j’attendais patiemment mon dessert devant mon assiette vide, j’ai levé mon verre en direction de la fenêtre et du soleil couchant.
À toi, Pierre-Emmanuel.
Mon ami, mon frère.
—Ludivine de Saint Léger
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kamalamackerel · 5 years ago
Photo
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[la version FR suit] i had the wonderful opportunity to compose & perform my very first piece in kreol for Langues Chorales at the Mile-End's Poetry Festival this autumn. it is a weird form of grieving, just as much as it is a wonderful reclamation, to write in a language that you have spoken your entire life, but was never able to write (because the first kreol dictionary was only published about a decade ago). « return dan l'a/zil » is a piece that uses the rhythm of waves to articulate the loss of ancestral languages through the ocean crossings. here are some pictures of the performance, by Michael Kovacs. * // * // * // * // * j'ai eu l'immense chance de composer et de performer ma toute première œuvre en kreol pour Langues Chorales au Festival de Poésie du Mile-End cet automne. écrire dans une langue que tu as parlée toute ta vie, mais que tu n'as jamais appris à écrire (parce que le premier dictionnaire en kreol a été publié dans la dernière décennie) est à la fois une réclamation et une forme de deuil. « return dan l'a/zil » est une œuvre qui s'inspire du rythme des vagues pour énoncer la perte des langues ancestrales pendant la traversée de l'océan. en voici quelques photos de Michael Kovacs. #poetry #poésie #poète #poet #montréal #mtl #littérature #literature #performer #performance #translator #traduction #kreol #mauritius #maurice #indenture #ocean #storyteller #queer #lgbt #trans #femme #lamackerel #kamalamackerel #art #artist #transmontreal #transmauritius (at Mile End Poets' Festival) https://www.instagram.com/p/B55WOIZAAfT/?igshid=k4b75xjmuxn4
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gay-impressionist · 5 years ago
Note
Bonjour! Les questions 15, 21 et 29 s'il te plaît
15. Cinq livres les plus influents dans ta vie ?
Tough question ! J’en ai lu tellement et ils m’ont tous influencé d’une manière ou d’une autre. Mais bon j’ai essayé de trouver cinq livres qui m’ont impacté (sans ordre particulier) :
- Une arme dans la tête de Claire Mazard. J’ai jamais été une grande fan de poésie. Ca m’a toujours semblé pompeux, snob, trop peu accessible. Il y a trop de codes et de sens cachés. Mais dans ce livre, un personnage dit “Je ne te dis pas de lire les poèmes en entier (...) Picore de-ci de-là. Isole chaque vers, lis-le seul, comme s’il était lui-même un poème. (...) Si tu ne les comprends pas, cela n’a aucune importance. Laisse toi bercer par leur musique...”. Et ça m’a débloqué. Je suis toujours pas fan de poésie mais je peux apprécier certains poèmes, me laisser émouvoir par un seul vers et l’apprécier. Par ailleurs, ce livre est probablement mon livre préféré, même si je ne saurais pas expliquer pourquoi.
- La maison des mortes de Denise Dufournier. Elle y raconte sa déportation au camp de Ravensbrück et m’a appris que même au fond de l’horreur il peut y avoir de l’humanité, du bonheur et de l’espoir. Qu’on peut toujours résister.  [“ Mais au fond de moi-même éclatait le triomphe et s'installait la volonté résolue de ne jamais oublier que la liberté ne se reçoit pas, mais qu'elle se conquiert, et qu'elle peut, même au fond des ténèbres de l'esclavage, briller de toute son ardente lumière.”]
- La vie ne danse qu’un instant de Thérèse Révay. Ca m’a permis de voir que je pouvais trouver des romans ‘mainstream’ avec de la diversité. J’ai très très rarement vu des personnages LGBT+ et/ou racisés dans les livres que j’ai lu, en trouver par hasard dans un roman historique (mon genre préféré) m’avait trop fait plaisir ! Je m’étais résignée à n’en trouver que dans les fanfics, mais quoique les conservateurs fassent, la société avance malgré tout !
- Underground d’Haruki Murakami. Il porte sur l’attentat au gaz sarin de 1995 dans le métro de Tokyo par la secte Aum Shinrikyō. Murakami reconstitue les faits et interviewe pleins de gens pour essayer de comprendre. Et notamment comment les membres de la secte ont pu en arriver là, quel était l’état d’esprit qui les a poussé à rejoindre la secte et perpétuer un attentat (13 morts, 6 300 blessés). Et ça m’a fait réaliser à quel point je devais rester loin des sectes parce que j’ai tout à fait le profil des gens recrutés...
- We were eight years in power de Ta-Nehisi Coates. C’est un recueil de plusieurs articles entrecoupés de réflexions qu’il a écrit pendant les deux mandats présidentiels d’Obama. Incontestablement ce que j’ai vu de plus poussé concernant la cause des Noirs aux États-Unis. Il aborde plein d’aspects différents du sujet de manière très détaillée et très intelligente. C’est un gros bouquin pas toujours facile mais ça peut se lire en plusieurs fois. Je le recommande vraiment.
21. Aimes-tu facilement ?
Ouiiiii x) Même un peu trop je pense. Enfin, je suis quelqu’un qui s’attache très facilement et fort (que ce soir de l’amour romantique ou amical ou n’importe quoi en général); je suis plutôt passionnelle par nature. Après je suis aussi le genre de personne qui peut être dans le déni extrêmement longtemps parce que, comme je me connais, j’essaye de me retenir. Mais parfois c’est déjà trop tard et je me persuade juste du contraire plutôt que d’accepter mes sentiments. (ex : me répéter pendant sept mois que j’avais juste un petit crush alors que j’étais totalement amoureuse de la meuf). J’aime facilement mais ça m’a plus souvent blessé qu’autre chose je dirais, donc j’en ai un peu peur. Après je ne regrette pas d’être comme ça, ça a aussi des côtés incroyables !
29. Trois chansons dans lesquelles tu te reconnais en ce moment.
Y a rien qui m’a sauté à l’esprit mais ces trois-là marchent dans les trucs que j’ai écouté récemment :
“Un été français” d’Indochine / “The game” de Milky Chance / “90′s Kids” de Shamir (ça me décrit pas vraiment moi, je me reconnais dedans dans le sens que c’est ma génération.)
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fallenrazziel · 6 years ago
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Les Chroniques de Livaï #396 ~ LES DESSINS RACONTENT DES HISTOIRES (octobre 845) Livaï
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
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Comme d'habitude, j'amène le thé à Erwin dans son bureau après avoir fini mon rapport. Ils sont de plus en plus longs, j'ai remarqué. Est-ce que ça veut dire que mon boulot me plaît ou seulement qu'il finit par rentrer ? C'est plutôt parce que mon escouade me donne des tas de trucs à raconter. Erwin ne m'a rien dit sur mes hors sujet, je suppose que ça le dérange pas.
Merde, des gouttes de thé s'écrasent au sol devant sa porte. J'ai envie de me baisser afin de les nettoyer, mais je risque d'en coller partout alors je les piétine un peu avec mon pied. Puis je cogne avec mes orteils contre le battant et le pousse sans ménagement. Désolé pour le boucan, chef.
Erwin est assis sur son canapé, un crayon à la main, en train de dessiner quelque chose. Eh l'artiste, ton thé est arrivé. Je pose sa tasse et mon rapport sur son bureau, et me penche un peu sur ce qu'il fait. Je distingue les contours de ce qui ressemble à un petit château, avec des flèches partout autour ; apparemment, il planche sur le futur QG, et évalue ce qui serait idéal pour nous.
Je m'appuie sur le dossier du canapé et passe la tête par-dessus son épaule. Je vois, c'est un croquis du lieu que vous êtes allés visiter avec la bigleuse. T'aurais pu me demander de t'accompagner, j'aurai pas dit non. Il répond sans me regarder que Hanji a l'oeil pour les détails et sait mieux que moi ce qui serait essentiel pour l'aménagement du QG. Ouais, le privilège de l'ancienneté, je suppose.
Dis donc, t'as un bon coup de crayon, je pensais pas. T'as appris le dessin où ? Erwin dit que c'est son père qui lui a donné les bases et qu'il a ensuite continué tout seul ; mais qu'il préfère écrire de la poésie. Nan, sans blague ! J'apprends des trucs inédits, là ! T'en as écrits ? Il sourit avec malice et me révèle qu'ils sont quelque part dans cette pièce mais que je ne saurais jamais où. Allez, fais m'en lire un, je te promets de pas me moquer. Mais il reste intraitable et je comprends vite que je gagnerai pas. Ok, je finirai bien par les trouver. La prochaine fois que je ferai le ménage, j'irai dans toutes tes cachettes. J'en connais pas mal ; par exemple celle où tu planques tes sucreries. Fais pas l'innocent. J'y touche pas car c'est le seul plaisir que tu te gardes, mais j'en pense pas moins. Un jour tu...
Il se lève brusquement, va vers son bureau et je sais qu'il farfouille dans sa planque. J'en profite pour me vautrer avec plaisir dans le canapé, pas fâché de relâcher un peu mes muscles. J'entends les bruits de papier froissé et je le vois en pensée se tortorer un gâteau ou un bonbon. Je suis sûr que c'est ça. Eh, Erwin, je déconnais, mais abuse p...
Il me plaque un truc sur le visage et je sens le toucher d'un truc rêche et rugueux sur ma peau. Ca sent la vieille bique et l'encre ancienne. Mais qu'est-ce que... ?! Arrête, comment veux-tu que j'y vois si tu me colles ça dans la gueule ! C'est quoi encore ? J'écarte sa main et distingue vite des lettres, des mots, puis des phrases. Ce qui m'a paru si désagréable était en fait le contact d'un sceau de cire d'où pendent des morceaux de tissus colorés. Je saisis le parchemin et commence à lire l'écriture élégante légèrement penchée :
"Le généralissime Darius Zackley serait heureux de vous convier à une réception donnée en sa demeure le 13 de ce mois, en présence des notables, intellectuels, artistes et hommes de science dont notre beau Royaume..."
Oh putain, ça y est, ça me revient. Je me soulève du canapé et jette à Erwin un regard furieux par-dessus le dossier en faisait voleter le parchemin du bout des doigts. Il sirote seulement son thé et ne semble pas inquiet de ma réaction. Tu devrais, mon vieux. Bordel, je t'ai déjà dit que je voulais pas y aller ! Tu me vois, moi, pincer le derche de ces bourges ?! J'aurai l'air de quoi ?!
Erwin m'indique de lire la fin du message et je le fais, même si je sais que ça ne changera rien, ma décision est prise.
"La présence du caporal Livaï, le héros des Trois Murs, le soldat le plus fort de l'humanité, la fierté de l'armée humaine - la vache, on m'a donné combien de titres exactement ? - est sollicitée afin que nous puissions lui rendre les honneurs et le présenter aux grands de ce monde qui sont très impatients de le rencontrer. Il va de soi qu'un refus serait une cuisante déconvenue..."
"Cuisante déconvenue", c'est ça. Quel chantage... Erwin, tu vas pas te laisser faire par ce type ? T'as qu'à leur dire que je suis malade ; à l'article de la mort, si tu veux. J'ai aucune envie de voir leurs tronches, j’suis pas une bête de foire.
Erwin m'a laissé tempêter en gardant le silence. Il sait qu'il pourra recommencer à parler quand je me serais calmé. Quand il reprend la parole, c'est sur un ton très posé, comme pour contrebalancer ma rage. J'ai pas envie de l'interrompre mais tout ça me plaît pas du tout. Il m'explique que ces réceptions sont importantes car elles permettent de dénicher de nouveaux alliés pour le bataillon. On y trouve aussi des fouilles-merdes et des ennemis déclarés mais empocher directement de gros reçus aux montants élevés est une activité qui nécessite de l'adresse et de la patience. Et sans pognon, on peut pas aller en expédition.
Ouais, les expéditions... Il me demande si ça ne me manque pas de ne plus pouvoir sortir. Il marque un point, c'est vrai que j'ai hâte d'y retourner. Tcchh, toujours ce foutu fric. Ici comme en bas, c'est la plaie. En clair, continue-t-il, nous devons nous montrer, faire bonne impression, charmer les convives et ramasser le butin qui se présente. Euh, attends un peu, ça me rappelle...
C'est bien ça. Là d'où je viens, ce genre de truc à un nom : faire le tapin. J'ai jamais tapiné en bas, c'est pas pour m'y mettre aujourd'hui. Si, c'est bien de cela qu'il s'agit, ne nie pas. Il faut remuer du cul et faire de grands sourires, c'est pareil. Hors de question, j'ai ma fierté. Il baisse la tête et je sais qu'il va entrer dans une phase que j'ai appelée "persuasion à la Erwin". J'y suis habitué mais je suis à chaque fois stupéfait de la façon dont il s'y prend, il a toujours réponse à tout.
Il m'explique que s'il vient seul, cela sera pris comme un affront, et que les alliés du bataillon, qui voudraient me voir en personne, pourraient bien se détourner de nous. Et puis, je ne voudrais tout de même pas le laisser seul face à cette horde d'héritiers aux dents et aux bras longs ? Après tout, c'est pas pire qu'une masse de déviants excités. Moi je trouve que si. Merde, Erwin, je suis pas fait pour ces trucs-là. Je suis né dans la misère, j'ai aucune manière et pas de conversation. Qu'est-ce que je ferais à cette réception ? En plus, j'ai rien à me mettre.
Je sais au fond de moi que j'ai commencé à céder, et je m'en veux. Il y arrive toujours, ça me fait chier. Mais... il sera tout seul là-bas, c'est vrai. Il y aura peut-être des ennemis sur place, sa vie pourrait aussi être menacée dans le pire des cas, et... Mais pourquoi tu t'emmerdes à me le demander en fait ? Il te suffit de m'en donner l'ordre, tu as le rang pour ça. Il explique qu'il veut mon adhésion pleine et entière et qu'il détesterait que j'y aille à reculons. Ce sera le cas de toute façon, alors à quoi bon t'en occuper ?
Il évoque la date prévue et conclue en me disant que si je ne viens pas, ce sera son anniversaire le plus triste. Hein ?! Quel anniversaire ? Le tien ? C'est quand ? Pourquoi j'ai pas été mis au courant ? Ok, c'est vrai que je m'en cogne des anniversaires ; mais t'aurais pu me le dire quand même !
Il se met à rire bruyamment, et ce rire me fait décompresser d'un seul coup. Comme si la tension présente dans la pièce venait tout juste de se faire la malle. J'essaie de me raisonner : je vais pas nuire au bataillon pour un caprice. Ce sera qu'une fois, après ils iront se faire voir. Je peux bien faire ça pour Erwin, sinon il se tapera la honte. Je peux... pas l'abandonner, c'est trop important. Et puis, si c'est son anniversaire...
Il me tapote l'épaule d'un air entendu - je soupire face à ma défaite - et m'informe que nous devons aller en ville nous acheter des costumes. Tu veux dire, comme la dernière fois ? Et des pulls, des vêtements chauds aussi ? J'ai rien racheté depuis la chute de Maria, c'est pas une mauvaise idée en fait. Dis-moi juste quand, je délèguerai la charge de l'escouade à Nadja, c'est la plus sérieuse. Il me propose demain. Je suis partant mais il faudrait qu'on invite Mike. Pas seulement parce que ça me rappelle le bon vieux temps...
Je saute du canapé et me dirige vers la porte. Erwin m'arrête en me demandant pourquoi je veux que Mike vienne avec nous. Je le regarde bien en face et lui réponds que c'est parce que lui et moi sommes nuls en mode, et que Mike a bien plus de goût. J'ai pas envie d'avoir l'air ridicule, je préfère faire confiance à son nez en la matière.
T'inquiète, je passerai par sa piaule pour le lui dire. Toi, par contre, tu ferais bien d'aller te pieuter si tu veux pas avoir la tronche de travers demain. Moi, j'ai l'habitude, mais ça ferait mauvais genre si le major du bataillon d'exploration avait les traits tirés.
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jadmussisation-blog · 6 years ago
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ON NE NAÎT PAS COUCHÉ
Laurent Ruquier - Bonsoir et bienvenue dans On ne naît pas couché, votre émission politico-culturelle préférée, avec ses chroniqueurs mal léchés, ses séances interminables de divan-promo, ses polémiques incessantes, et ses invités détonnants. Ce soir, nous recevons Jad Mus, poète, écrivain, barbouilleur de toiles et (entre guillemets) auto-proclamé pourfendeur du capitalisme. Bonsoir Jad…
Jad Mus - Bonsoir Laurent…
Laurent Ruquier - Alors, Jad, pour commencer, LA question qui brûle toutes les lèvres : comment ça va en ce moment ?
Jad Mus - Ah, vous savez Laurent, à chaque jour suffit sa peine… Je me sors tant bien que mal de la dépression dans laquelle je baigne depuis mon enfance en retournant vers une écriture plus personnelle, en développant des projets auto-centrés et égotistes qui me permettent ainsi qu’à mon public de redécouvrir qui je suis vraiment.
Laurent Ruquier - C’est donc fini, la phase d’exaltation de la vie, la pleine conscience, la pensée stoïcienne ?
Jad Mus - Cela revient de temps à autres, mais j’ai compris que l’excès de vertu était indigeste et ne pouvait qu’amener à plus de malheur chez moi. De plus, il mettait en exergue le comportement nihiliste et malheureusement automatique du monde, ce qui était source d’une grande souffrance. Tout comme mes propres comportements nihilistes et automatiques. Du coup, j’ai appris à ne plus faire confiance aux autres et à ne plus tenter de porter le monde sur mes épaules.
Laurent Ruquier - Les médias vous ont souvent décrit comme un médiocre, un artiste brouillon dont la carrière est sans cesse ruinée et emportée par le torrent des drogues et de l’alcool. Est-ce que ça vous a blessé ?
Jad Mus - Laurent, j’ai la peau dure, mais mon coeur est sensible. Au fond de moi, c’est toujours douloureux de constater l’incompréhension des critiques, l’insuccès préalable de toutes mes oeuvres… Cependant, j’ai fini par comprendre que mes problèmes, en perpétuelle construction dans mon esprit, sont le moteur même de mon art et qu’il me faut accepter ma souffrance pour la sublimer et proposer des créations réellement intéressantes.
Laurent Ruquier - A une certaine époque, vous vous proclamiez comme le nouveau Jésus et promettiez de sauver l’humanité de sa destruction programmée. Vous fumiez peut-être un peu trop de ganja à ce moment là… Alors, Jad, c’est terminé tout ça ? La page est tournée ?
Jad Mus - J’ai beaucoup appris de mes erreurs, compris que la spiritualité ne pouvait se pratiquer complètement défoncé, sans se heurter aux limites qu’incorpore la drogue dans le corps et l’esprit. Je me suis rendu compte qu’en réalité j’avais peur du monde et des gens, et que mes incessantes projections religieuses ne faisaient que compenser les affres de ma réclusion sociale et du refoulement permanent de mon inconscient. J’ai compris qu’en réalité, comme les autres, j’étais un gros connard. Et désormais j’ai envie de vivre ainsi plutôt que de me démener à convaincre les gens de suivre une rigoureuse voie morale pour trouver leur salut.
Laurent Ruquier - Est-ce que la théorie s’est heurtée à la réalité ?
Jad Mus - Oui, c’est tout à fait ça. Malencontreusement, j’avais fini par voir les gens comme des brebis égarées. En réalité, l’humanité n’est qu’un ramassis d’ordures et de dépressifs égoïstes qui se complaignent dans leur malheur. Et tout d’un coup, j’ai accepté d’en faire partie. J’ai pu me reconnaître dans la masse, alors que depuis ma plus tendre jeunesse, j’étais persuadé d’en être formellement distingué. Je m’étonnais d’ailleurs de n’être pas plus rapidement aimé et connu de tous.
Laurent Ruquier - Qu’est-ce qui a déclenché chez vous cette prise de conscience ?
Jad Mus - La vision soudaine de ma réalité. Tu vois Laurent, je me suis tout simplement rendu compte que je me prenais pour un fifou alors que je ne foutais plus grand chose. Je me morfondais dans l’inaction depuis de nombreuses années, me reposant sur les lauriers de mon succès. Je me prenais pour un poète alors que je n’écrivais plus rien, pour un peintre alors que je ne peignais plus. Un jour, le malheur et le vide se manifestèrent, profondément, d’un coup. Seulement après, je me rendis compte que ma pensée ne traversait plus le seuil de ma porte et tournait à l’infini dans mon esprit, me rendant progressivement complètement fou et déconnecté des préoccupations les plus nécessaires à la vie. Je ne me nourrissais quasiment plus, je ne faisais que dormir. Je voulais disparaître. La dépression m’a regagné, et comme un énorme rouleau marin, s’est éclatée en diluant ma plage d’illusions.
Laurent Ruquier - Quelle a été votre réaction dans un premier temps ?
Jad Mus - Je me suis remis à boire seul et à me prendre d’énormes cuites, ce qui a beaucoup stimulé ce malheur nouveau et m’a poussé in fine à reprendre l’écriture. Le point d’auto-détestation atteint était suffisant pour me donner à nouveau l’inspiration. J’ai bien eu quelques périodes de sobriété exaltante mais c’était, inconsciemment, pour mieux retomber dans la même boucle de noirceur, pour que la chute soit plus violente et entraîne par elle-même une cascade de créations. Lorsqu’on crée, on fabrique comme un filet de sécurité, pour atténuer l’interminable chute de la vie, on brode des cordes auxquelles se raccrocher.
Laurent Ruquier - Finalement, comment avez vous trouvé le courage et l’énergie de reprendre votre combat contre la société et le capitalisme, là où vous l’aviez laissé, c’est à dire, dans votre ancienne vie parisienne il y a plusieurs années ?
Jad Mus - Dans un premier temps, j’ai beaucoup pensé à mon insuccès et à mon incapacité à produire. J’étais jaloux de constater tant de médiocrité autour de moi, promue et adoubée par la société, alors que j’étais capable de faire bien pire. En voyant par exemple tous les salauds qui passent dans ton émission de merde, je me suis dis que j’avais bien ma place parmi tout ça. En écoutant les discours politiques de la présidentielle, en voyant les gens tomber dans le même chantage à l’extrême droite que d’habitude, je me dis que je vivais vraiment dans un monde de grosses couilles, et que c’était ça qui payait. Poser ses grosses couilles sur la table et prendre bien ouvertement les gens pour des cons, c’est comme ça qu’on s’en sort.
Laurent Ruquier - Est-ce que c’est ce que tu essaies de faire passer dans ta poésie ?
Jad Mus - Oui, j’aimerais donner aux gens le sentiment, qui est le mien aussi, qu’ils sont irrémédiablement des pauvres merdes et des cons. Même si globalement, ce constat nous concerne tous, dans l’absolu. Il n’y a pas de comparaison vexante là dedans. Même celui qui réussit à ne faire que le bien autour de lui est fondamentalement une merde.
Laurent Ruquier - Mais, Jad, c’est bien beau de lâcher ça comme ça, mais pour vous, qui sont les responsables de cet état de fait ?
Jad Mus - Le seul responsable, c’est dieu. C’est lui qui nous mit au centre de ce vaste piège à cons, tout ça dans le seul but de se divertir. Il faut voir dieu comme un immense mondovision. Il se repaît à voir à travers nos yeux. Il se moque silencieusement de nous lorsqu’on se masturbe en regardant des vidéos étranges, il rit quand on pleure, il s’amuse sans cesse à jalonner notre parcours d’obstacles et de régressions… A vrai dire, c’est un véritable pervers, et avec lui tout se paye. En vous disant cela, je n’ai qu’une peur, c’est que cet imbécile fasse un éclater un pneu de ma voiture sur l’autoroute pour se venger.
Laurent Ruquier - Pourtant, vous n’avez pas le permis…
Jad Mus - C’est une façon de parler. D’ailleurs je suis inscrit à l’auto-école, donc peut être qu’il serait temps de se renseigner un peu mieux plutôt que de tout pomper sans vérification sur internet. C’est bien votre façon, à vous, les journalistes de merde, de parler sans connaissance de cause des choses qui ne vous regardent pas.
Laurent Ruquier - Jad, on voit que l’universalisme, c’est bel et bien fini. Aujourd’hui votre parole est sombre, mais vous semblez plus en phase, plus heureux...
Jad Mus - Souffrir, c’est vivre, et dans l’ensemble, on se sent mieux avec soi même lorsqu’on accepte sa souffrance et qu’on trouve un médium efficace pour la retranscrire. On ne peut pas dire “je suis heureux” alors qu’on ne souffre pas au préalable. Le bonheur n’existe que par comparaison au malheur.
Laurent Ruquier - Est-ce à dire que la vie n’a pas de sens ? Qu’on poursuit une image erronée du bonheur ?
Jad Mus - La société occidentale nous propose d’accumuler des biens et du plaisir, pour trouver la voie du bonheur. Mais regarde les chiens par exemple. Les chiens sont heureux. Pourtant ils ne travaillent pas, ne regardent pas la télévision, ne font pas les courses à Auchan, ne s’achètent pas des fringues à une barre, ne jouent pas au laser-game. C’est tout juste si on les associe à la transition énergétique, ils prennent parfois les transports en commun mais n’ont pas de véhicule électrique. Alors, tu vois maintenant pourquoi on n’est pas heureux ? Pour vivre heureux, il faut vivre comme un chien. Prenons modèle sur ces sympathiques bestioles : mangeons, aboyons, baisons, mais surtout passons notre vie à glander, à constater l’évolution autonome de notre environnement. N’adoptons que les besoins les plus élémentaires et nous serons plus à même de nous satisfaire. De plus, il ne faut pas confondre plaisir et bonheur. Le plaisir est dopaminique, c’est un phénomène de court terme qui entraîne dépression et besoin de réitération. Tandis que le bonheur est un phénomène sérotoninergique, de long terme, on est dans une logique d’établissement d’une situation pérenne, qui se perpétue par elle-même. On ne peut être heureux ni en restant devant sa TV, ni en mangeant tous les jours à macdo, ni en coulant des douilles toute la journée. On doit accepter que le bonheur est simple et réside dans le fait de bouffer et baiser, qui sont les conditions élémentaires de la survie de notre espèce.
Laurent Ruquier - Mais ce n’est pas un peu difficile dans une société aussi assourdissante, pleine de stimuli spectaculaires, de s’affranchir du diktat du plaisir et du court terme pour viser à un retour vers “l’humain primitif” ?
Jad Mus - Oui, c’est très difficile, mais les choses sont ainsi dans la vie. L’enfer est pavé de bonnes intentions. Rien n’est facile et il faut se démener pour s’affranchir, pour s’en sortir.
Laurent Ruquier - Ca, ça ne vaut peut être pas pour tout le monde… On m’a dit que vos parents vous avaient aidé et soutenu financièrement pendant longtemps.
Jad Mus - Ben figure toi, Laurent, que c’est justement cette manne financière qui m’a maintenu dans la dépression et le chaos pendant de longues années. Je n’avais pas à faire face directement à la réalité puisque mon logis, ma nourriture et mes drogues m’étaient assurés. Je faisais des études qui ne me correspondaient pas, j’étais morne et léthargique. Je pouvais me réfugier sans cesse dans la fuite, et cela me plongeait dans l’inaction. Comme quoi, l’argent ne fait pas le bonheur et peut même faire le malheur. Aujourd’hui, je tâche de vivre par moi même et je suis plus heureux ainsi.
Laurent Ruquier - Oui, enfin le RSA, ce n’est pas non plus complètement vivre par soi même.
Jad Mus - Quand on est artiste, Laurent, et non une vaste pompe à bites et à thune, on a besoin de la subvention collective. Les gens ne se rendent pas compte à quel point l’art peut leur rendre service et les diriger sur le chemin de la vie. D’ailleurs, un euro investi dans l’art, c’est deux euros de bénéfices pour la société, je suis donc heureux, par ma participation, de faire gagner de l’argent à celle-ci, puisque c’est tout ce qu’elle recherche.
Laurent Ruquier - Merci Jad Mus, on comprend mieux maintenant votre état d’esprit actuel et le sens que prennent vos créations. Un petit mot de la fin, peut être ?
Jad Mus - Merci à toi et, allez tous vous faire foutre.
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tu considères encore le français et l'allemand comme target languages? même quand tu les parles avec un niveau C1 ou 2? jconnais bien toute la shit comme "always learn something new" mais quand tas appris assez? peut être que toutes les langues seraient toujours des target languages, sauf ta maternelle? tu penses à quoi sur ça?
c'est ça que je pense ouais, je les parle couramment mais ya toujours des différences entre celles et l'anglais pour moi, telles que ce que j'ai moins de difficultés avec la poésie genre shakespeare et telles choses en anglais
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alarecherchedelaverite12 · 4 years ago
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Coronavirus : L’Annonce de sa date d’expiration pour tous les mondes..
Al-Imam Al-Mahdi Nasser Mohammad Al-Yamani
11 - 01 - 2021 /  27 - Jomadah I - 1442
01:00 Soir (Selon le calendrier officiel de la Mecque)
_______ Au Nom d'Allah, L'Un et Le Dominateur Suprême, qui domine le royaume de toute chose dans les cieux et la terre, Gloire et Pureté à Lui ! Il est au-dessus de ce qu'on Lui associe. Il est Plus Haut et infiniment au-dessus. Puis après.. Du Khalifa d'Allah pour les mondes, Al-Imam Al-Mahdi Nasser Mohammad Al-Yamani, à tous les Décideurs et à tous les peuples de l'humanité dans les campagnes comme dans les agglomérations urbaines. Vous voici la nouvelle venant d'Allah, L'Un et Le Dominateur Suprême, au sujet de la date d'expiration pour le tourment des souches du moustique viral du châtiment mondial. Ce n’est pas du chant de la poésie que je vous propose ou l’excès sans raison de la prose ! Et vous voilà la source de la nouvelle dans le Clair du Dhikr -le Saint Coran- avec une parole décisive, et non point une plaisanterie frivole ! Certes, Allah a déclaré la guerre générale à tous ceux qui se détournent de celui qui appelle à Allah, Son Khalifa Al-Imam Al-Mahdi Nasser Mohammad Al-Yamani, et à suivre le Saint Coran qui est la voie de celui qui appelle à adorer Allah Seul sans aucune divinité associée à Lui, et auquel Le Khalifa d'Allah et Son Serviteur Al-Mahdi Nasser Mohammad Al-Yamani fait référence pour le débat avec vous. Ce qui fait que vous avez démenti en rejetant Le Commandement d'Allah pour obéir au Khalifa d'Allah et Son Serviteur Al-Mahdi Nasser Mohammad Al-Yamani. Et voilà c’est pourquoi Allah vous a déclenché la guerre globale, en commençant par le lancement général de la nouvelle création de Ses Petits Soldats que l'œil nu ne peut les voir, les virus d'un moustique donné que vous ne connaissiez pas, ni dans son origine ni dans sa formation, comme un Challenge d'Allah -Le Tout Puissant et Le Sage- pour assujettir les Décideurs Dirigeants des humains et leurs peuples dans les campagnes et les zones urbaines, le Musulman comme le mécréant. Et c’est une Déclaration Irréversible de la guerre prise par Allah -Gloire et Pureté à Lui- à l’appui du cataclysme farouche d’un moustique et ce qui est au-dessus de La Sanction d'Allah jusqu'à ce que vienne La Promesse d'Allah afin de vous forcer à obéir Son Successeur Al-Mahdi Nasser Mohammad Al-Yamani. Conformément à La Parole d'Allah Le Très Haut :
{{ 31. S'il y avait un Coran à mettre les montagnes en marche, à fendre la terre ou à faire parler les morts (ce serait celui-ci). C'est plutôt à Allah le Commandement tout entier. Les croyants ne savent-ils pas que, si Allah voulait, Il aurait dirigé tous les hommes vers le droit chemin. Cependant, ceux qui ne croient pas ne manqueront pas, pour prix de ce qu'ils font, d'être frappés par un cataclysme, ou [qu'un cataclysme] s'abattra près de leur demeures jusqu'à ce que vienne La Promesse d'Allah. Car Allah, ne manque pas Sa Promesse }}.
Parole Véridique d'Allah Le Tout Puissant. [ Ar-Ra'd : Le Tonnerre ]
وَلَوْ أَنَّ قُرْآنًا سُيِّرَتْ بِهِ الْجِبَالُ أَوْ قُطِّعَتْ بِهِ الْأَرْضُ أَوْ كُلِّمَ بِهِ الْمَوْتَىٰ ۗ بَل لِّلَّهِ الْأَمْرُ جَمِيعًا ۗ أَفَلَمْ يَيْأَسِالَّذِينَ آمَنُوا أَن لَّوْ يَشَاءُ اللَّهُ لَهَدَى النَّاسَ جَمِيعًا ۗ وَلَا يَزَالُ الَّذِينَ كَفَرُوا تُصِيبُهُم بِمَا صَنَعُوا قَارِعَةٌ أَوْتَحُلُّ قَرِيبًا مِّن دَارِهِمْ حَتَّىٰ يَأْتِيَ وَعْدُ اللَّهِ ۚ إِنَّ اللَّهَ لَا يُخْلِفُ الْمِيعَادَ 31 صدق الله العظيم
Et la question qui se pose est : Quelle est donc La Promesse d’Allah dans le Clair de Son Livre qu’Allah vous a promis clairement dans le Coran ? Voici La Promesse d’Allah qui est le Califat Islamique Mondial pour parachever La Lumière d’Allah aux mondes. C’est ainsi qu’Il va la triompher sur toute autre religion, quelque répulsion qu’en aient les criminels. Et vous trouverez La Promesse d’Allah, Le Très Haut, dans Sa Parole :
{{ 55.Allah a promis à ceux d'entre vous qui ont cru et fait les bonnes oeuvres qu'Il leur donnerait la succession sur terre comme Il l'a donnée à ceux qui les ont précédés. Il donnerait force et suprématie à leur religion qu'il a agréée pour eux. Il leur changerait leur ancienne peur en sécurité. Ils M'adorent et ne M'associent rien et celui qui mécroît par la suite, ce sont ceux-là les pervers }}.
Parole Véridique d'Allah Le Tout Puissant. [ An-Nour : La Lumière ] وَعَدَ اللَّهُ الَّذِينَ آمَنُوا مِنكُمْ وَعَمِلُوا الصَّالِحَاتِ لَيَسْتَخْلِفَنَّهُمْ فِي الْأَرْضِ كَمَا اسْتَخْلَفَ الَّذِينَ مِن قَبْلِهِمْوَلَيُمَكِّنَنَّ لَهُمْ دِينَهُمُ الَّذِي ارْتَضَىٰ لَهُمْ وَلَيُبَدِّلَنَّهُم مِّن بَعْدِ خَوْفِهِمْ أَمْنًا ۚ يَعْبُدُونَنِي لَا يُشْرِكُونَ بِيشَيْئًا ۚ وَمَن كَفَرَ بَعْدَ ذَٰلِكَ فَأُولَٰئِكَ هُمُ الْفَاسِقُونَ 55 صدق الله العظيم À présent, La Promesse d’Allah vous est venue Ô communauté de Dirigeants des humains et leurs populations tous unis dans les compagnes et les agglomérations urbaines ! Certes, Allah ne manque jamais à Sa Promesse. Et je jure par Allah, L’Unique qui a élevé bien haut les cieux sans piliers, Celui qui n’a jamais engendré et Il n’a pas été engendré non plus, ainsi que nul est égal à Lui, jurant que vos vaccins ne vous serviront à rien pour faire face aux virus du châtiment dans le Livre qui sont bien équipés et pilotés par Allah Mon et Votre Seigneur ! Adorez-Le donc Seul sans aucune divinité associée à Lui, et surtout n’implorez personne avec Allah, car vous ne trouverez pour vous en dehors de Lui aucun refuge ! Et il n’y a pas d’échappatoire ou d’abri face au Châtiment d’Allah à moins que vous fuyez vers Allah avec la supplication que nous vous avons écrite dans le Bayan daté de vingt-six Ramadan de l’an écoulé 1441e. Et nous l’avons intitulé comme suite : (Coronavirus et le Bayan qui tranche loin de toute plaisanterie frivole). Terminé. Et si vous abstenez en rejetant L’Ordre d’Allah pour obéir à Son Khalifa Al-Mahdi Nasser Mohammad Al-Yamani, je jure par Allah Le Grand et Le Sublime, avec serment valant le nombre des graines de pierres et des sables, pour les hommes et les femmes à l’exception des enfants, que vous ne pouvez et ne pourrez débarrasser de vous-mêmes Le Châtiment mineur et majeur d’Allah même si vous vous souteniez les uns les autres. Et je suis vraiment dépassé par l’incrédulité des arrogants Décideurs, Théologiens, Scientifiques médicaux du globe et Scientifiques du mouvement du soleil et la lune dans toute la communauté humaine. Ceux qui nient le fait que le soleil a rattrapé la lune, et qu’ils en ont su mais ils ont tout fait pour cacher le Signe véridique venant de Leur Seigneur et c’est à cause de leur attitude que le monde a été frappé et que la frappe continuera encore contre les criminels parmi eux qui cachent ce que Leur Seigneur a fait descendre de Vérité. Ô Mon Seigneur, certes Tu sais bien que si j'étais monteur mon mensonge sera à mon détriment, et ils ne seront touchés d’aucun mal. Tandis que si je suis véridique sûrement ils seront atteints de ce que Tu leur as promis avec Ta Permission bien évidemment. C’est certain, Tu ne manques jamais à Ta Promesse, et que La Malédiction d'Allah soit sur tout arrogant réticent qui désobéi Allah et Son Successeur Al-Mahdi Al-Montadhar. Sinon La Malédiction d'Allah frappera Nasser Mohammad Al-Yamani, si Allah ne l’a pas désigné comme Khalifa pour les mondes, d’une frappe qui vaut le nombre des secondes et mois du temps depuis qu'Allah a créé les cieux et la terre jusqu'au Jour Dernier. Ou que La Malédiction d'Allah soit sur les Décideurs dans les mondes qui sont orgueilleux envers Le Khalifa d'Allah, Al-Imam Al-Mahdi Nasser Mohammad Al-Yamani.
Quoi alors, pensez-vous que vos vaccins vous seront utiles face au châtiment des virus équipés et instruits par Allah qui vous a créés, Allah, Votre Créateur qui les a appris comment vous envahir pour vous torturer afin que vous puissiez retourner vers Allah -Votre Seigneur- en Le suppliant et en Le priant Seul et sans attribuer aucune association à Lui pour qu’Il enlève Son Châtiment sur vous et répondre au Prêcheur d’Allah, Al-Mahdi Nasser Mohammad Al-Yamani qui vous invite à adorer Allah Seul sans aucune association avec Lui en se basant sur une clairvoyance -le Saint Coran- émanant d’Allah, qui comporte vos événements, ceux de vos précédents, de ceux qui vont venir après vous, et les informations relatives au Jour du Jugement, le jour où les gens se mettront debout devant Le Seigneur des mondes ? Ou croyez-vous que Nasser Mohammed Al-Yamani vous annonce arbitrairement de lui-même les défis mondiaux à propos de ce que vous appeliez Coronavirus ? Et pourtant ce n’est pas du corona, mais plutôt des virus d’une nouvelle créature, souches d’un moustique donné et cité dans le Clair du Saint Coran, que vos sciences les ignorent complètement. Ce sont des êtres vivants qui vivent sans corps dans l’air du ciel, dans les corps humains, dans la terre et la mer. En effet, ils sont transcontinentaux et transocéaniques, outre ce sont des virus humains et ils n’ont été à aucun moment animaliers. Et vous ne les trouverez jamais dans un animal ou n’importe quelle bête ou oiseau.. puis nous avons déjà prescrit ce challenge dès le premier Bayan qui se date 10 - Rajab - 1441e, correspondant au 05/03/2020 à 12:51 du soir en fonction du calendrier officiel de la mère des cités -la Mecque- pour l’an passé, sous le titre suivant :
(Coronavirus: De Châtiment Mineur au Châtiment Majeur pour qu’ils puissent se repentir..)
https://co281384422.wordpress.com/?p=34
En revanche, je sais avec certitude absolue que c’est un défi issu d’Allah pour vous et la totalité de vos scientifiques. Et je jure par Allah Le Tout Puissant et Le Sublime que les new-virus du challenge vont rendre toutes les connaissances scientifiques médicales des humains zéro à gauche, parce qu’ils ne sont pas juste une simple épidémie dont les médecins de l’humanité connaissent comme un nuage qui se dégage ! Loin et loin, d’ailleurs c’est la raison pour laquelle je vous l’ai annoncé dès le premier instant où la plume d’Al-Imam Al-Mahdi a rédigé au sujet de ce que vous nommiez Coronavirus, comme quoi que c’est un châtiment mondial et non pas une simple épidémie mondiale. Est-ce que vous avez trouvé Ô communauté de Pays tyrans et arrogants que c’est vraiment un châtiment démesuré frappant toutes portes de la roue de la vie ? Hélas les Musulmans n’en ont tiré aucune leçon pourquoi son ampleur a été vraiment léger et minime chez eux et les autres opprimés -surtout chez les Arabes ou ceux qu’on les qualifie du tiers monde- par rapport aux grands Pays tyrans et arrogants, ainsi que les Musulmans n’ont pas compris comment il a été très fort chez ceux qui nient le Saint Coran, ceux qui ont détesté ce qu’Allah a fait descendre de Vérité dedans, ne reconnaissez-vous pas alors Ô chers Musulmans avant que l’immense mal soit intensif sur les Arabes et les Non-arabes ? Vous voilà Ô poignée de grands Pays tyrans et arrogants, vous venez de lancer des vaccins à un pourcentage de leur réussite limité à quatre-vingt pour cent, autres à quatre-vingt-dix pour cent, autres à quatre-vingt-quatorze pour cent, autres à quatre-vingt-quinze pour cent et autres à cent pour cent ! Tous ces vaccins pour confronter ce que vous appeliez new-covid de corona, jurant par Allah qui n’a aucune autre divinité à part Lui et nul est digne d’être adoré que Lui, que l’ensemble de leurs résultats sera zéro à gauche, et que leurs inconvénients sont plus que leurs avantages et vous allez le savoir. Ensuite ils ne peuvent et ne pourront être utiles pour vous contre les virus mutants du châtiment, même pas un pour cent, et nous sommes certainement véridiques. Bien au contraire, leurs résultats seront zéro à gauche, alors que ça fait combien de reprises je n’ai pas cessé de vous conseiller mais malheureusement vous n’aimez pas les conseillers. Loin et loin et jurant par Le Seigneur de la terre et des cieux que le monde entier va savoir qu’Al-Imam Al-Mahdi Nasser Mohammad Al-Yamani est véritablement sincère et que c’est lui Le Khalifa d’Allah pour les mondes. Pour que, sur preuve, périsse celui qui devait périr et vivre sur preuve, celui qui devait vivre. Ô Mon Seigneur, Sois Témoin sur le fait que je n’ai jamais été en contradiction -même pas en un seul point- dans tous les défis de Ta Part liés à ce qu’ils nomment Coronavirus qui sont cités dans tous mes Bayans, et je n’ai fait que leur apprendre que c’est une sorte d’un nouvel exemple de Ton Pouvoir à créer une nouvelle création d’Allah, Le Puissant et Le Digne de Louange. C’est un nouvel exemple réalisé par ‘’Sois et c’est’’ dans le Clair du Saint Coran. Certes Mon Seigneur, Tu ne Te gènes point de donner un nouvel exemple d’un moustique donné qui est la plus petite de Tes Créatures, ayant pour objet de défier les arrogants envers Le Khalifa d’Allah Seigneur des mondes et les sanctionner pour leur détournement par le châtiment d’un moustique donné dont ils ignorent scientifiquement, conformément à Ta Véridique Promesse dans le Clair du Saint Coran et en l’occurrence dans La Parole d’Allah Le Très Haut : {{ 26. Certes, Allah ne se gêne point de citer en exemple : Un moustique donné ou quoi que ce soit au-dessus; quant aux croyants, ils savent bien qu'il s'agit de La Vérité venant de La Part de Leur Seigneur; quant aux infidèles, ils se demandent "Qu'a voulu dire Allah par un tel exemple ? ". Par cela, nombreux sont ceux qu'Il égare et nombreux sont ceux qu'Il guide; mais Il n'égare par cela que les pervers }}. Parole Véridique d’Allah Le Tout Puissant. [ Al-Baqrah : La Vache ] إِنَّ اللَّهَ لَا يَسْتَحْيِي أَن يَضْرِبَ مَثَلًا مَّا بَعُوضَةً فَمَا فَوْقَهَا ۚ فَأَمَّا الَّذِينَ آمَنُوا فَيَعْلَمُونَ أَنَّهُ الْحَقُّ مِنرَّبِّهِمْ ۖ وَأَمَّا الَّذِينَ كَفَرُوا فَيَقُولُونَ مَاذَا أَرَادَ اللَّهُ بِهَٰذَا مَثَلًا ۘ يُضِلُّ بِهِ كَثِيرًا وَيَهْدِي بِهِ كَثِيرًا ۚ وَمَا يُضِلُّبِهِ إِلَّا الْفَاسِقِين 26 صدق الله العظيم Ô Mon Seigneur, Fais leur augmenter en rajoutant plus de cime du pouvoir de Ton Châtiment à tout mécréant endurci et rebelle et plus de virus torturants mentionnés dans le Clair du Livre ! Seigneur, Monte davantage l’échelle de la guerre aéro-terrestre et maritime, car Tu es certainement au courant de quoi ils sont conscients de Vérité venant de Ta Part. Attention et attention Ô chers Musulmans ! Ô Seigneur, Hâte Ta Miséricorde pour les pauvres, les vulnérables et tous les oppressés dans les mondes, par Ordre ou Victoire de Ta Part, afin que les Dirigeants Musulmans regrettent ce qu’ils cachent en eux-mêmes. Certes, Ta Promesse est une Vérité, et C’est Toi Le Meilleur des miséricordieux. Conformément à La Parole d’Allah, Le Très Haut : {{ 51. Ô les croyants ! Ne prenez pas pour alliés les Juifs et les Chrétiens; ils sont alliés les uns des autres. Et celui d'entre vous qui les prend pour alliés, devient un des leurs. Allah ne guide certes pas les gens injustes. 52. Tu verras, d'ailleurs, que ceux qui ont la maladie au coeur se précipitent vers eux et disent : "Nous craignons qu'un revers de fortune ne nous frappe." Mais peut-être qu'Allah fera venir la Victoire ou un Ordre émanant de Lui. Alors ceux-là regretteront leurs pensées secrètes }}. Parole Véridique d Allah Le Tout Puissant. [ Al-Ma-idah : La Table Servie ] يَا أَيُّهَا الَّذِينَ آمَنُوا لَا تَتَّخِذُوا الْيَهُودَ وَالنَّصَارَىٰ أَوْلِيَاءَ ۘ بَعْضُهُمْ أَوْلِيَاءُ بَعْضٍ ۚ وَمَن يَتَوَلَّهُم مِّنكُمْفَإِنَّهُ مِنْهُمْ ۗ إِنَّ اللَّهَ لَا يَهْدِي الْقَوْمَ الظَّالِمِينَ 51 فَتَرَى الَّذِينَ فِي قُلُوبِهِم مَّرَضٌ يُسَارِعُونَ فِيهِمْ يَقُولُونَنَخْشَىٰ أَن تُصِيبَنَا دَائِرَةٌ ۚ فَعَسَى اللَّهُ أَن يَأْتِيَ بِالْفَتْحِ أَوْ أَمْرٍ مِّنْ عِندِهِ فَيُصْبِحُوا عَلَىٰ مَا أَسَرُّوا فِيأَنفُسِهِمْ نَادِمِينَ 52 صدق الله العظيم Du coup, il se peut que les Dirigeants Musulmans qui craignent en eux-mêmes l’Amérique et ses alliés plus que leur crainte d’Allah, aimeraient bien dire : « Et qu’est-ce que nous cachons en nous-mêmes Ô Nasser Mohammad Al-Yamani ? ». Ensuite à partir de cela, vous répond Al-Imam Al-Mahdi Nasser Mohammad Al-Yamani et je dis : « C’est la normalisation complète et générale des relations avec Israël au cas où le satan Donald Trump réussit pour le deuxième mandat. Ou si les Décideurs au Congrès dans la Maison Noire Américaine insistent sur la normalisation relationnelle avec Israël prenant la terre de la Mosquée d’Al-Aqsa comme capitale. Sachant que la sainteté de la Mosquée d’Al-Aqsa est identique à celle de la Mosquée d’Al-Haram qui sont prohibées aux associateurs de les peupler, vu qu’ils témoignent contre eux-mêmes de leur mécréance à l’égard du Saint Coran ». Alors que C’est Allah qu’il faut appeler au secours Ô chers Dirigeants Musulmans Arabes et Non-arabes, et comment osez-vous à vendre votre religion pour votre bas-monde comme contre partie ? À l’exception du peu d’entre les Dirigeants Musulmans qui n’y pensent pas, et chacun de vous sait bien ce qu’il contient en lui-même, et c’est presque la quasi-totalité d’entre vous, voir même j’ai failli étendre mon jugement sur vous tous. Pourtant je ne porte aucun tort à vous. Est-ce que vous cherchez la puissance auprès de ceux qui déclarent la guerre contre Allah, Ses Messagers, Sa Religion et Son Livre le Saint Coran ? Pureté et Gloire à Allah, Le Tout Puissant ! Ne croyez-vous pas en Allah Le Très Haut dans Sa Parole : {{ 138. Annonce aux hypocrites qu'il y a pour eux un Châtiment douloureux, 139. ceux qui prennent pour alliés des mécréants au lieu des croyants, est-ce la puissance qu'ils recherchent auprès d'eux ? (En vérité) la Puissance appartient entièrement à Allah }}.
Parole Véridique d Allah Le Tout Puissant.
[ An-nisā : Les Femmes ]
بَشِّرِ الْمُنَافِقِينَ بِأَنَّ لَهُمْ عَذَاباً أَلِيماً 138 الَّذِينَ يَتَّخِذُونَ الْكَافِرِينَ أَوْلِيَآءَ مِن دُونِ الْمُؤْمِنِينَ أَيَبْتَغُونَعِندَهُمُ الْعِزَّةَ فَإِنَّ العِزَّةَ للَّهِ جَمِيعاً 139 صدق الله العظيم Et Allah, Le Très Haut a dit :
{{ 62. En vérité, Les Bien-aimés d'Allah seront à l'abri de toute crainte, et ils ne seront point affligés,
63. Ceux qui croient et qui craignent [Allah].
64. Il y a pour eux une bonne annonce dans la vie d'ici-bas tout comme dans la vie ultime. -Il n'y aura pas de changement aux Paroles d'Allah-. Voilà l'énorme succès !
65. Que ce qu'ils disent ne t'afflige pas. La Puissance toute entière appartient à Allah. C'est Lui qui est L’Audient, L'Omniscient.
66. C'est à Allah qu'appartient, ce qui est dans les cieux et ce qui est sur la terre. Que suivent donc ceux qui invoquent, en dehors d'Allah, [des divinités] qu'ils Lui associent ? Ils ne suivent que la conjecture et ne font que mentir.
67. C'est Lui qui vous a désigné la nuit pour que vous vous y reposiez, et le jour pour vous permettre de voir. Ce sont en vérité des Signes pour les gens qui entendent !
68. Ils disent : "Allah S'est donné un enfant" Gloire et Pureté à Lui ! Il est Le Riche par excellence. À Lui appartient tout ce qui est aux cieux et sur la terre; vous n'avez pour cela aucune preuve . Allez-vous dire contre Allah ce que vous ne savez pas ?
69. Dis : "En vérité, ceux qui forgent le mensonge contre Allah ne réussiront pas".
70. C'est une jouissance (temporaire) dans la vie d'ici-bas; puis ils retourneront vers Nous et Nous leur ferons goûter au dur Châtiment, à titre de sanction pour leur mécréance }}.
Parole Véridique d Allah Le Tout Puissant. [ Yunus : Jonas ] أَلا إِنَّ أَوْلِيَاء اللَّهِ لاَ خَوْفٌ عَلَيْهِمْ وَلاَ هُمْ يَحْزَنُونَ 62 الَّذِينَ آمَنُواْ وَكَانُواْ يَتَّقُونَ 63 لَهُمُ الْبُشْرَى فِيالْحَيَاةِ الدُّنْيَا وَفِي الآخِرَةِ لاَ تَبْدِيلَ لِكَلِمَاتِ اللَّهِ ذَلِكَ هُوَ الْفَوْزُ الْعَظِيمُ 64 وَلاَ يَحْزُنكَ قَوْلُهُمْ إِنَّ الْعِزَّةَلِلَّهِ جَمِيعًا هُوَ السَّمِيعُ الْعَلِيمُ 65 أَلا إِنَّ لِلَّهِ مَن فِي السَّمَاوَات وَمَن فِي الأَرْضِ وَمَا يَتَّبِعُ الَّذِينَ يَدْعُونَمِن دُونِ اللَّهِ شُرَكَاء إِن يَتَّبِعُونَ إِلاَّ الظَّنَّ وَإِنْ هُمْ إِلاَّ يَخْرُصُونَ 66 هُوَ الَّذِي جَعَلَ لَكُمُ اللَّيْلَ لِتَسْكُنُواْفِيهِ وَالنَّهَارَ مُبْصِرًا إِنَّ فِي ذَلِكَ لَآيَاتٍ لِّقَوْمٍ يَسْمَعُونَ 67 قَالُواْ اتَّخَذَ اللَّهُ وَلَدًا سُبْحَانَهُ هُوَ الْغَنِيُّ لَهُ مَافِي السَّمَاوَات وَمَا فِي الأَرْضِ إِنْ عِندَكُم مِّن سُلْطَانٍ بِهَذَا أَتَقُولُونَ عَلَى اللَّهِ مَا لاَ تَعْلَمُونَ 68 قُلْ إِنَّالَّذِينَ يَفْتَرُونَ عَلَى اللَّهِ الْكَذِبَ لاَ يُفْلِحُونَ 69 مَتَاعٌ فِي الدُّنْيَا ثُمَّ إِلَيْنَا مَرْجِعُهُمْ ثُمَّ نُذِيقُهُمُ الْعَذَابَالشَّدِيدَ بِمَا كَانُواْ يَكْفُرُونَ 70 صدق الله العظيم Aussi Allah, Le Très Haut a dit :
{{ 10. Quiconque veut la puissance (qu'il la cherche auprès d'Allah) car la Puissance tout entière est à Allah : Vers Lui monte la bonne parole, et Il élève haut la bonne action . Et quand à ceux qui complotent de mauvaises actions, ils auront un dur Châtiment. Cependant leur stratagème est voué à l'échec }}.
[ Fatir : Le Créateur ] مَن كَانَ يُرِيدُ الْعِزَّةَ فَلِلَّهِ الْعِزَّةُ جَمِيعًا ۚ إِلَيْهِ يَصْعَدُ الْكَلِمُ الطَّيِّبُ وَالْعَمَلُ الصَّالِحُ يَرْفَعُهُ ۚ وَالَّذِينَيَمْكُرُونَ السَّيِّئَاتِ لَهُمْ عَذَابٌ شَدِيدٌ ۖ وَمَكْرُ أُولَٰئِكَ هُوَ يَبُورُ 10 صدق الله العظيم Et pour finir, Allah Le Très Haut a dit :
{{ 155. Ne réfléchissez-vous donc pas ?
156. Ou avez-vous un argument évident ?
157. Apportez donc votre Livre si vous êtes véridiques !"
158. Et ils ont établi entre Lui et les djinns une parenté, alors que les djinns savent bien qu'ils [les mécréants] vont être emmenés (pour le Châtiment).
159. Gloire à Allah. Il est au-dessus de ce qu'ils décrivent !
160. Exception faite des Serviteurs élus d'Allah.
161. En vérité, vous et tout ce que vous adorez,
162. ne pourrez tenter [personne],
163. excepté celui qui sera brûlé dans la Fournaise.
164. Il n'y en a pas un, parmi nous, qui n'ait une place connue,
165. nous sommes certes, les rangés en rangs;
166. et c'est nous certes, qui célébrons La Gloire [d'Allah].
167. Même s'ils disaient :
168. "Si nous avions eu un Rappel de [nos] ancêtres,
169. nous aurions été certes Les Serviteurs élus d'Allah !
170. Ils y ont mécru et ils sauront bientôt.
171. En effet, Notre Parole a déjà été donnée à Nos Serviteurs, les Messagers,
172. que ce sont eux qui seront secourus,
173. et que Nos Soldats auront le dessus.
174. Éloigne-toi d'eux, jusqu'à un certain temps;
175. et observe-les : ils verront bientôt !
176. Quoi ! Est-ce Notre Châtiment qu'ils cherchent à hâter ?
177. Quand il tombera dans leur place, ce sera alors un mauvais matin pour ceux qu'on a avertis !
178. Et éloigne-toi d'eux jusqu'à un certain temps;
179. et observe; ils verront bientôt !
180. Gloire à Ton Seigneur, Le Seigneur de la Puissance. Il est au-dessus de ce qu'ils décrivent !
181. Et Paix sur les Messagers,
182. et Louange à Allah, Seigneur des mondes ! }}.
Parole Véridique d Allah Le Tout Puissant. [ As-Saffat : Les Rangées ] أَفَلَا تَذَكَّرُونَ 155 أَمْ لَكُمْ سُلْطَانٌ مُبِينٌ 156 فَأْتُوا بِكِتَابِكُمْ إِنْ كُنْتُمْ صَادِقِينَ 157 وَجَعَلُوا بَيْنَهُ وَبَيْنَالْجِنَّةِ نَسَبًا وَلَقَدْ عَلِمَتِ الْجِنَّةُ إِنَّهُمْ لَمُحْضَرُونَ 158 سُبْحَانَ اللَّهِ عَمَّا يَصِفُونَ 159 إِلَّا عِبَادَ اللَّهِالْمُخْلَصِينَ 160 فَإِنَّكُمْ وَمَا تَعْبُدُونَ 161 مَا أَنْتُمْ عَلَيْهِ بِفَاتِنِينَ 162 إِلَّا مَنْ هُوَ صَالِ الْجَحِيمِ 163 وَمَامِنَّا إِلَّا لَهُ مَقَامٌ مَعْلُومٌ 164 وَإِنَّا لَنَحْنُ الصَّافُّونَ 165 وَإِنَّا لَنَحْنُ الْمُسَبِّحُونَ 166 وَإِنْ كَانُوا لَيَقُولُونَ167 لَوْ أَنَّ عِنْدَنَا ذِكْرًا مِنَ الْأَوَّلِينَ 168 لَكُنَّا عِبَادَ اللَّهِ الْمُخْلَصِينَ 169 فَكَفَرُوا بِهِ فَسَوْفَ يَعْلَمُونَ 170 وَلَقَدْ سَبَقَتْ كَلِمَتُنَا لِعِبَادِنَا الْمُرْسَلِينَ 171 إِنَّهُمْ لَهُمُ الْمَنْصُورُونَ 172 وَإِنَّ جُنْدَنَا لَهُمُ الْغَالِبُونَ 173 فَتَوَلَّ عَنْهُمْ حَتَّى حِينٍ 174 وَأَبْصِرْهُمْ فَسَوْفَ يُبْصِرُونَ 175 أَفَبِعَذَابِنَا يَسْتَعْجِلُونَ 176 فَإِذَا نَزَلَبِسَاحَتِهِمْ فَسَاءَ صَبَاحُ الْمُنْذَرِينَ 177 وَتَوَلَّ عَنْهُمْ حَتَّى حِينٍ 178 وَأَبْصِرْ فَسَوْفَ يُبْصِرُونَ 179!سُبْحَانَ رَبِّكَ رَبِّ الْعِزَّةِ عَمَّا يَصِفُونَ 180 وَسَلَامٌ عَلَى الْمُرْسَلِينَ 181 وَالْحَمْدُ لِلَّهِ رَبِّ الْعَالَمِينَ 182 صدق الله العظيم Le Khalifa d’Allah et Son Serviteur : Al-Imam Al-Mahdi Nasser Mohammad Al-Yamani. _________
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christophe76460 · 5 years ago
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C’est triste de se dire qu’en 2019, la Bible a encore la réputation de « gros livre poussiéreux bourré de préceptes pour atteindre le Paradis ». Laisser ce stéréotype nous empêcher d’ouvrir la Parole de Dieu, c’est passer à côté du livre le plus passionnant qui soit ! La Bible regorge de poésie, de proverbes, de récits histoires parfois épiques, de prophéties, etc. C’est tellement varié qu’on ne devrait jamais s’ennuyer en la lisant. Et je pense que la pédagogie oratoire de Jésus était à l’image de la Bible : variée.  Jésus VARIAIT sa façon d’annoncer le Royaume de Dieu. Parfois, il utilisait des béatitudes, parfois il citait l’Ancien Testament et parfois (même souvent !), il usait de paraboles pour illustrer des vérités spirituelles.
La parabole du semeur est la première parabole que Jésus a racontée. Parlons-en aujourd’hui !
Dernièrement, j’ai décidé de me replonger dans les paraboles, de les relire toutes comme si c’était la première fois. J’ai voulu prendre le contre-pied de tout ce que j’ai toujours pensé et appris dessus, simplement pour appréhender les paroles de Jésus d’un autre point de vue. C’est pourquoi en lisant la parabole du semeur dans Marc 4, j’ai changé d’élément de focalisation.
La parabole du semeur est le récit d’une personne qui sème dans différents types de sol. Tandis qu’une partie de la semence tombe le long du chemin et se fait manger par des oiseaux (v.4), qu’une autre partie de la semence tombe dans un sol pierreux et donne naissance à des plantes qui sèchent brûlées par le soleil (v.6), une autre partie tombe parmi les ronces se faisant étouffer (v.7), mais la dernière partie tombe dans la bonne terre et donne du fruit (v.8). On parle souvent de la symbolique des sols car Jésus a expliqué qu’ils représentaient les différentes manières que les hommes ont de réagir à la Parole de Dieu.
Mais, en lisant la parabole cette fois-ci, je me suis intéressée au semeur. Pourquoi ne parlions-nous jamais de lui ? Pourquoi ne le blâmions-nous jamais ? N’était-ce pas lui le responsable ? Après tout, il jetait la semence au mauvais endroit, non ? Il ne faut pas beaucoup de connaissances en agriculture pour savoir qu’en lançant des graines dans les ronces, elles ne risquent pas de pousser…
Cependant, Jésus explique à ses disciples que le semeur « sème la parole » (v.14) ; il est celui qui annonce le message de l’Evangile. C’est ce que Dieu nous appelle à faire : chercher au quotidien à répandre le message de l’Evangile. Nous sommes donc tous des semeurs. C’est notre métier de planter des graines, c’est notre mission de semer la parole de Dieu, peu importe les circonstances.  Dans 2 Timothée 4.2, Paul dit à Timothée : « prêche la parole, insiste en toute occasion, favorable ou non ». Et ce verset est finalement la réponse à mon interrogation. Pourquoi ne pas blâmer le semeur ? Parce que le semeur a fait sa part du travail, il a respecté sa partie du contrat. Lui, il sème mais les résultats de sa semence ne lui appartiennent pas.
En tant que chrétiens, nous nous devons de parler de Dieu, d’être ses témoins auprès de tous. On ne peut pas se permettre de se dire « je vais parler de Jésus à Martin, mais pas à Donatien parce que lui il a l’air trop fermé ». Non !  Si Dieu t’appelle à témoigner auprès de Donatien, va voir Donatien ! Peut-être qu’il ne te croira pas, qu’il te regardera d’un œil sceptique. Peut-être qu’il t’écoutera mais finira vite par se détourner de ce que tu lui as dit. Mais toi, en semant avec amour la Parole de Dieu, tu auras accompli ta mission. Les résultats appartiennent à Dieu et il ne te sera peut-être jamais donné la chance de les voir, mais comme le semeur lance sa semence partout, propageons la Parole de Dieu partout où nous allons.
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sentimentalementinstable · 6 years ago
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Oh please fuck off!
Écoute ce n'est pas que je t'envoie chier avec ton chagrin, mais tu n'es malheureusement pas pour moi le seul à venir me parler des exploits de leur ex, & Je suis fatiguée.
Toujours entendre les mêmes noms, et avoir les mêmes conclusions.
What is done is done.
Alors c'est malheureux, rageant, dégueulasse et tout ce que vous voulez.
On est bien plus nombreux que tu ne le penses à devoir se battre quotidiennement contre nos fantômes, sauf que nous sommes beaucoup à le faire en silence et mine de rien.
Car nous avons acceptés ce qui nous est arrivés & on a choisi de décider de continuer notre route sans nous retourner.
You know how much time can the same thing hurt you ? Well as long as you love it.
As long as you appreciate to feel hurt about this person, because pain is the last thing you can keep from your ex lover when it's done.
Je ne dis pas que c'est facile et qu'on y arrive hop comme ça en claquant des doigts, la différence est que nous avons enlacer notre douleur & nous avons fait l'amour à notre tristesse en nous masturbant, et aussi parfois en baisant avec d'autres personnes, au lieu de nourrir notre haine par refoulements & refoulements de nos émotions.
Car ce qui fait mal c'est la réalité des choses, mais très franchement vaut mieux accepter de se prendre cette énorme baffe dans la gueule tout de suite plutôt que de la contrer et d'être en état de choc et d'en rester traumatiser pendant de nombreuses lunes.
En ce qui me concerne, le fantôme qui me hante dernièrement n'aura peut être pas était le plus dur à éradiquer de mon quotidien car j'en ai aimé bien d'autres beaucoup plus fort que ça, mais il aura tout de même était très difficile. J'avais quand même appris à l'aimer petit à petit, et il m'a touché beaucoup plus profond que je ne le pensais.
Car contrairement à toi, moi c'était le premier être à avoir voulu rester aussi longtemps dans mes bras avec mon envie partagé. Ce fut le premier à me dire "Je t'aime " & à m'avoir montrer ses larmes à la peur que je ne fasse plus partie de sa vie futur. Il m'a fait vivre une passion débordante, je n'avais jamais ressenti un touché & une union aussi puissante.
Contrairement à d'autres, il ne m'a pas abandonnée, ni trahit, ni même joué avec moi, non il m'aimait. Et je ne pensais vraiment pas que c'est d'autant plus dur de quitter quelqu'un qui t'aimes.
Et très honnêtement, ce qui a était le plus dur pour moi n'a pas été de le quitter lui en lui même, mais bel et bien de quitter sa queue.
Tu peux peut être trouver ça cru, mais je n'y peux rien mon amour est bestial.
Alors imagine toi, le nombre de cauchemars que j'ai pu faire à rêver de nos heures fauves. Car évidement quand j'ai réussi à le quitter, c'était mon désir le plus refoulé. & les lendemains de ces cauchemars tu n'imagines même pas à quel point ça me hanter toute la journée.
Mais ce n'était par pour autant que je me laissais me torturer l'esprit sans rien faire pour ma guérison.
J'ai transformer ma peine en poésies manuscrites que j'ai ensuite rangé dans une grande enveloppe. Au fur et à mesure évidement l'enveloppe a grossit et aujourd'hui elle déjà bien lourde, mais dans ma tête c'est beaucoup plus léger, je n'ai plus ce gros poid à porter quotidiennement. J'ai évacué & évacué & évacué le plus possible en me disant et en y croyant que plus les lunes passeront et plus ça ira mieux.
Et je compte une nuit la brûler.
Ça va bientôt faire 3 mois, je vais beaucoup mieux, mais dans la guérison on passe toujours malheureusement parfois certains moments de faiblesses où si le fantôme décide de se remanisfester au même moment, ça peut être très difficile. Mais je n'ai jamais cédé ni même craqué car j'ai réussi à me forger un discours à moi même en béton armé, car je sais que c'est pas ça l'amour, car l'amour n'est pas censé nous faire ressentir ça.
Je reste persuadé malgré tout les coups & blessures que mon coeurs a enduré, que le meilleur est à venir & qu'on pourra toujours ressentir encore plus fort l'amour que l'on ne croit qu'aujourd'hui.
On a encore tant de belles histoires & de belles ruptures à vivre. Car quand c'était une belle histoire, il faut faire de son mieux pour que ce soit également une belle rupture et ne pas gâcher tout ce que ça nous a apportés.
- Les histoires d'amours qui ne marchent pas ne sont pas des échecs mais des belles leçons. Alors quand une personne part de ta vie, ne néglige pas tes révisions pour être encore meilleur pour la personne suivante.
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