#*faire semblant de travailler*
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J’ai ma collègue apprentie raciste qui a un crush sur un autre apprenti de l’équipe et aujourd’hui elle lui a proposé de faire le test de pureté
#text#vraiment la réincarnation de Marion maréchal cette apprentie#gif#mais c’est mignon de la voir tâter le terrain avec le p’tit nouveau#*faire semblant de travailler*
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[BEHIND BLUE EYES]
coucou tout le monde 🌊
après des mois de travail et de réflexion, nous vous présentons enfin notre bébé behind blue eyes, forum city qui se situe à Charleston et qui tire ses inspirations de la série Outer Banks. avec une pré ouverture qui a eu lieu hier, nous comptons actuellement une soixantaine de membres qui sont prêts à vous accueillir et écrire avec vous. ✨
le forum se veut tranquille, tout les personnages sont les bienvenus et nous voulons que bbe soit un cocon où vous pourrez vous épanouir dans vos écrits, dans un cadre sain et posé.
Sous les chênes centenaires drapés de mousse espagnole, se camoufle doucereuse beauté aux apparences trompeuses. Élégance pour façade, outil parfaitement manipulé pour dissimuler les vérités qu’on ne veut pas dévoiler. Derrière chaque regard, un secret qu’on tait, des désirs non assumés et des murmures étouffés. Entre belles bâtisses aux balcons en fer forgé qui crachent leur luxe aux visages des plus modestes, déshérités de toute fortune sans la chance d’être privilégiés, la ville oscille entre le faste et la déchéance, entre l’illusion et une réalité plus rude à assumer. Chacun aspire à être reconnu pour ce qu'il n'est pas, à échapper au carcan des attentes sociales et à briser les chaînes de l'illusion. Mais au-delà des masques et des faux-semblants, se cache la vérité nue et crue de ce que nous sommes réellement. Entre familles influentes et gamins offerts à la rue, les rivalités entre les quartiers gangrènent et bouffent chaque habitant jusqu’à la moelle, comme un divin poison indolore. Désormais, cerner le vrai du faux s’avère être une tâche compliquée. Les nantis se pavanent dans l’opulence et l’excès sous les regards sombres de ceux qui n’ont jamais rien eu, ignorant les luttes des démunis qui survivent dans l’ombre de leurs privilèges. On se vante d’une réussite au détriment des autres, crachant ainsi sur une misère que tout le monde cache sous le tapis; par fierté ou pour ne pas faire face à ses responsabilités ou à la culpabilité qui pourrait ronger les os. Mais au-delà des tromperies, des préjugés et des chances mal distribuées, il subsiste une lueur d’espoir, un souffle de vérité qui terrasse les illusions et révèle la beauté cachée derrière les apparences bâties avec acharnement. Ici, il n’y a qu’un pas entre la lumière et l’ombre, c’est dans cette dualité que réside la véritable essence de la ville et de ses habitants.
en plus ; un rp par mois ; une semaine pour terminer sa fiche ; pas de minimum de mots ; respect des tw ; premier dc offert ; rythme chill. REJOIGNEZ-NOUS: https://behindblueeyes.forumactif.com/
DISCORD: https://discord.gg/WKUPyaKw
coeur sur vous, on vous attend avec impatience. 🦋
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La liberté ou la mort, extrait
Robespierre jouait à lancer des branches à Brount avec Elisabeth, à quelques distances devant eux. Il courrait pour entraîner le molosse derrière lui, et jetait le bâton de toutes ses forces, ne se souciant pas de voir s'il risquait de tacher ses bas blancs de boue. Brount partait comme un fou avec ses grandes pattes désordonnées, la langue pendant sur le côté et la queue frétillante. Quand il revenait avec le morceau de bois, Elisabeth et Maximilien devaient s'escrimer à le lui récupérer et tiraient de toutes leurs forces pour le lui arracher de la gueule. Le jeu recommençait ensuite, pour la plus grande joie des trois participants.
Saint-Just marchait les bras croisés dans le dos, au rythme d'Eléonore.
-Eléonore, maintenant que nous sommes bons amis, puis-je me permettre une question?
La jeune fille lui sourit d'un air indulgent.
- Voyons la question.
Saint-Just se racla la gorge et fixa son regard sur la pointe de ses bottes.
- Eh bien... je ne comprends pas que tu ne sois pas amoureuse de lui.
Eléonore laissa échapper un petit rire. Elle ne paraissait pas particulièrement vexée ou embarrassée par cette question indiscrète.
-Et pourquoi cela ? demanda-t-elle.
Saint-Just redressa la tête et fit un geste de la main vague vers Brount qui s'était mis à aboyer joyeusement, et Elisabeth qui faisait semblant de jeter le bâton pour la troisième fois.
- Je ne sais pas, regarde le... Tout à l'heure il faisait un travail de géant pour la patrie, et maintenant il se contente d'une récompense si simple ! Jouer avec son chien, nourrir ses oiseaux, manger le potage de ta mère ce soir, lire quelques pages de Rousseau au coin du feu...
-... quelques oranges, une visite de son cher Saint-Just...
- Si nous parvenons à installer et à protéger notre république, il ne cherchera aucune récompense pour lui même. Il ne faudra pas davantage que ces quelques plaisirs que nous avons évoqués pour faire son bonheur. Quand on en vient à le connaitre, il est si doux, si sincère. Parfois, cela me noue le coeur quand j'y pense.
- Certainement, approuva Eléonore en venant prendre le bras d'Antoine, et c'est pour cela que mes parents le considèrent comme leur fils et moi comme mon frère. Le sang ne me le rendrait pas plus cher.
- Un frère, oui...Mais imagine le comme époux, ne serait-ce pas mieux encore ? La voix de Saint-Just s'était réduite à un murmure rêveur. Il est si loyal, si dévoué. Non vraiment, tu ne trouveras pas mieux que lui.
-Pour ce qui est du physique... commença Eléonore
- Du physique ! répéta-t-il, le cri qu'il ne réussit par à réprimer attirant un instant l'attention de Brount vers lui. Comment peux tu parler du physique face à une telle âme ! Et puis de toute façon la physionomie de Maximilien n'a rien de désagréable, regarde, il est petit certes, mais il a les mollets bien fait, une mine intelligente, des yeux verts, un joli nez...
- Tu ne trouves pas qu'il a un style un peu démodé?
- Maximilien s'en fiche des fariboles de la mode! Il prends soin de ses vêtement et il est toujours bien mis. On ne peut pas en dire autant des trois quarts des députés qui siègent à la Convention avec les cheveux gras et les bottes crottées. Son style est très respectable.
Eléonore se mit à rire de bon coeur devant l'air révolté de Saint-Just.
-Antoine... Si moi je ne suis pas amoureuse de lui, rien ne t'empêche de l'être, toi.
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saga: Soumission & Domination 343
Enguerrand, Max et les autres
Après deux mois du nouvel arrangement (semaine chez Max, WE à la campagne) nos deux jeunots s'en tirent très bien. Max a à coeur de faire réussir Enguerrand et ce dernier met un point d'honneur à rattraper son " répétiteur ". Ils me tiennent au courant de chaque notes qu'ils ont comme le ferait je pense des petits frères. C'est d'ailleurs comme ça que tout mon petit monde les place.
Comme ils veulent continuer à s'entrainer avec nous 2x par semaine, ils se défoncent en cours et les autres soirs. D'autant plus qu'un autre début de soirée sert à leur " retrouvaille " avec Adam leur jeune lieutenant de police. Son cas est surveillé par DGSE afin qu'il puisse dormir tranquille. De toutes les manières le blockhaus n'apparait dans aucun rapport de police autre que celui de mon accident de voiture comme mon adresse personnelle. S'ils veulent pouvoir continuer comme cela, ils savent qu'ils doivent tenir la tête de leurs classes. C'est grâce à leurs bonnes notes qu'ils ont pu nous accompagner au sport d'hivers et ils n'ont pas regretté leurs soirées de bachotage. Ils ont profité de l'incident de janvier pour faire leurs coming-out auprès de leurs collègues du lycée. Auréolés de leur défense réussie contre les casseurs de PD, cela s'est très bien passé dans les deux lycées. Il est évident qu'on ne va pas traiter de " tantouse " un mec capable de vous étaler en quelques minutes ! Dans le cours d'Enguerrand, cela a même déclenché deux autres officialisations. Deux garçons de sa classe ont profité de l'ambiance de tolérance déclenchée par sa mésaventure pour sortir du placard et informer les potes qu'eux aussi s'intéressaient plus aux garçons qu'aux filles.
L'autre dimanche avec Ludovic nous sommes allés déjeuner chez ses parents. Les deux garçons étaient là bien sûr. Max est maintenant le 4ème fils de la maison. Ça fait plaisir à voir car chez les parents de max, c'est le cas d'Enguerrand. Côme était là aussi. Entouré de tous ces mâles leur mère doit lutter un peu pour faire admettre le point de vue féminin lors de certaines discussions. Mais je crois qu'au fond d'elle-même elle doit être heureuse de ne pas avoir de concurrence. Pour preuve que nous sommes tous aux petits soins pour elle. Là aussi les parents ont dû céder et laisser les garçons dormir ensemble. Je pense qu'après avoir " loupé " les problèmes de leur dernier, ils ont à coeur maintenant à ce qu'il tourne la page et que si cela passe par Max, alors ils acceptent. Alors que je me retrouve seul un moment avec eux deux, madame me tombe dans les bras, pour me remercier une nouvelle fois et me demander si ce qu'ils font pour Enguerrand est ce qu'il faut. J'ai 25ans et c'est à moi qu'il pose la question !! Je ne peux que réagir selon ma propre philosophie de vie. Elle se résume à " laisser les gens vivre leur vie selon l'orientation qu'ils veulent prendre ". Au pire je donne un coup de pouce aux copains. Donc je leur dis de le laisser gérer tant que ses résultats sont bons. Et je crois bien que c'est le cas non ? Madame me dit que depuis qu'il est avec Max il est remonté en tête de sa classe et n'en décolle plus. S'il termine l'année sur cette lancée, son dossier de sera pas entaché pour ses études supérieures. Je lui fais admettre que tout est bien alors !
Les frères reviennent me chercher pour me montrer leur chambre. Comme chez Max, la chambre a été modifiée. Deux grands lits pour un semblant de respectabilité, deux bureaux pour quand il y a à travailler. La vue sur la campagne est jolie même si ce n'est pas trop ma tasse de thé. Ils m'expliquent qu'ils n'utilisent qu'un seul des deux lits, ils n'aiment pas être trop loin l'un de l'autre. Déjà qu'ils ne sont pas dans le même lycée ! Max m'informe que l'an prochain il rejoindra celui d'Enguerrand, leurs parents sont d'accord. Et lui, il veut bien aller dans le privé si Enguerrand y est. Nous descendons rejoindre les autres. Les trois frères sont vraiment impressionnants quand ils sont ensemble. A trois stades de développement, nous avons quasiment le même mec sous les yeux. Ça me trouble d'autant plus que j'ai baisé avec les trois même si c'est celui du milieu que j'adore. Les deux autres sont trop beaux pour que je n'en profite pas quand l'occasion se présente. Max, lui, n'a d'yeux que pour le troisième. Même si je sais que Ludovic s'est " aventuré " en lui pendant la semaine de ski. Les parents sont inconscients de la beauté de leurs trois fils. Plus le temps passe et plus les deux gamins sont amoureux l'un de l'autre. Ça se voit même quand ils participent aux touzes post sport du blockhaus. Quand ils baisent chacun de leur côté, je les vois se chercher du regard et s'échanger des signes. Et ces soirs là ils sont rarement ensemble. Enguerrand s'est très vite aperçu qu'avec Max, il a un amour selon son coeur et ses besoins : la tendresse et l'exigence de son âge et l'acceptation du plaisir de le faire à plusieurs. J'aime bien ce qu'ils sont en train de devenir. Des hommes libres qui se soutiennent, qui acceptent ce qu'ils sont sans se prendre la tête, capable de marcher la tête haute sans honte de leurs choix. Le jugement de leurs 4 agresseurs les a envoyés en TIG (travaux d'Intérêt Général). Avec 18mois de sursis chacun. Je leur ai fait passer l'info par leur avocat que s'ils avaient le malheur de récidiver donc d'être obligés de faire leurs temps de prisons, ils seraient sûr d'apprécier la sodomie, simple et probablement double, avant la fin de leur séjour à l'ombre.
De toute manière Adam garde aussi un oeil sur eux. Lui est de plus en plus souvent avec nous. Le fait qu'il ne connaisse que ses collègues. Que ces derniers soient sympathique mais hétéros souvent avec des enfants en bas âge, font qu'il s'est rapproché de nous. Sauf problème d'horaire ou de réquisition, il est maintenant présent à tous nos entrainements. Il n'est pas dupe des co-activités de mes escorts. D'autant plus qu'à force de le voir et de s'entrainer ensemble, ils ne font plus trop attention à leurs conversations. J'ai fait un point avec lui. Il ne sait rien officiellement donc il n'a pas de rapport à faire ! Et puis, même s'il participe à nos touzes sans prioriser l'un ou l'autre (ses 21x6 sont bien appréciés), il est bien accro à nos 2 benjamins. Et il y a réciproque. Moi ça me va, avec lui je suis sûr qu'ils sont entre de bonnes mains. Ils sont respectés et se défoulent en toute sécurité, d'autant plus qu'ils font ça au premier étage du blockhaus.
Dernièrement, Max m'a demandé s'ils pouvaient emmener Adam au sous-sol. Et pas pour visiter la cave ! C'est vrai que depuis le WE du premier de l'an, ils connaissent l'endroit. Ils me disent qu'ils veulent voir si un plan domination le ferait kiffer. Je temporise. Notre Adam commence à se sentir chez lui, en famille. Il ne faudrait pas qu'en allant trop vite mes deux petits l'effraient et le fasse couper les ponts. On en discute et ils obtempèrent. Même s'ils ont vraiment envie, ils ne sont pas prêts à le perdre. Ils m'ont confié que de ce côté-là, quand il est avec eux seuls, il est ultraperformant. Il faut préciser qu'après la première fois, je n'enregistre plus leur chambre quand ils y sont tous les trois. Je suis donc obligé d'entendre leurs " confessions " pour savoir où ils en sont. J'apprends donc par leur intermédiaire que notre Adam est une véritable bombe sexuelle. Il cache donc son jeu lors des touzes ou alors ce sont les petits culs de nos benjamins qui lui font cet effet-là. Vu ce qu'ils me racontent, j'enregistre leur " nuit privée ". En effet depuis qu'ils sont en tête de leurs cours, ils peuvent passer la nuit complète au blockhaus. On dine ensemble avec le plus souvent Adam. C'est un moment détendu, même s'il règne une certaine tension sexuelle. Sans dévoiler les secrets du commissariat, Adam nous raconte les anecdotes amusantes qui sont arrivées dans la semaine. Mais vous comprenez bien que la soirée est courte. Ils nous quittent dès le dessert pris.
Je visionne avec Ludovic et PH le lendemain soir. On croirait un véritable film de Bel Ami. Les trois corps sont musclés imberbes et/ou épilés, celui d'Adam est plus épais soulignant sa maturité. Son sexe aussi est plus lourd, plus long et ses couilles plus grosses. Mais nos benjamins ne font pas honte. Quand leurs 18x5 sont bien raides, ils encadrent bien les 21x6 qui vont les enculer. En attendant nous avons droit à un festival de pipes. De celles destinées à batifoler de la langue autour du gland à celles, profondes et étouffantes qui font monter la pression. Si dans un premier temps, Adam laisse les deux jeunes se battre pour sucer sa bite, il participe vite au petit jeu. Ça fini en triangle en travers du lit. Adam suce Enguerrand qui suce Max qui ferme la boucle en avalant le gland du premier. Ils changent plusieurs fois et chacun s'est retrouvé à sucer les deux queues partenaires.
Ça vite glissé vers de la préparation de rondelle en ce qui concerne celles de Max et d'Enguerrand. Après ça été un vrai porno mais en direct sans arrêt. Adam les a faits se mettre en levrette, collés de l'épaule au bassin. Là, kpoté, il les a défoncés grave en alternance. Après avoir bien gémis tous les deux lors des premières pénétrations, on les voit se rouler des pelles pendant les assauts d'Adam. Ça bouge. Alors qu'Adam laboure Enguerrand, Max se glisse sous lui et enserre de ses jambes sa taille. Les deux trous sont maintenant superposés et Adam n'a qu'à plier un peu plus les genoux pour l'enfiler. Je passe en accéléré. Adam tient la distance ! Il jute une première fois sur le dos d'Enguerrand. Et là, on voit ce que nos deux petits voulaient nous dire. Il ne débande pas d'un millimètre. Ses 21cm restent gonflés de sang et il se fait faire une pipe à deux bouches le temps de reprendre son souffle. Max et Enguerrand sucent mais se lèchent le museau aussi. On devine quand ils se roulent une pelle avec le gland comme bonbon à se passer.
Puis le 2ème round commence. Là, si Adam reste le maitre du jeu et "l'enculeur en chef ", il couvre celui des deux qui encule l'autre. Je m'explique : il sodomise Max quand c'est Enguerrand qui se fait enculer et inversement. Des levrettes en série en face à face avec Adam dans le dos (et le cul) de celui du dessus, on le voit se mettre sur le dos, Mac s'assoir, de face, sur sa bite et Enguerrand enjamber ses abdos et venir se planter sur la queue de Max. il se penche et roule alors un patin à notre policier. C'est très chaud !! Là, ils jutent ensembles. La kpote a volé une nouvelle fois et c'est le dos de Max qui recueille son sperme alors que celui d'Enguerrand lui inonde ses abdos tablette et qu'on voit Max se vider au plus profond de son petit copain. Ça va faire 1h30 qu'ils baisent et ils bandent encore tous les trois ! Ils se videront une dernière fois avant de dormir uniquement à l'aide de leurs bouches. Et Adam n'est pas le dernier à sucer. Les 18cm disparaissent entièrement dans sa bouche et je vois mes petits fermer les yeux de plaisir. Plus de 2h non-stop !! Pas mal le trio. Ils disparaissent et reviennent encore humides de la douche. La vision de ces performances n'a pas été sans " dégâts " parmi nous. Difficile de ne pas bander devant cette baise. Tellement que nous nous sommes gentiment branlés pendant le " film ". Partiellement passé en accéléré, nous nous sommes jetés les uns sur les autres après une bonne heure de retenue. Ça nous a rappelé la position 1 sur le dos, 2 planté dessus et 3 face au premier à s'enculer sur la bite de 2. On l'a testée à nouveau dans les six configurations possibles. C'est trop bon de pouvoir galocher ton mec alors que ton autre mec l'encule et qu'il est en train de se limer sur ta bite !
Bon mais à l'analyse, les nuits de nos trois deux amis et frère, sont bien de l'ordre du chaud de chez chaud ! Je comprends mieux les petits yeux qu'ils ont le lendemain matin au petit déjeuner ! Adam me dit qu'il doit broder une histoire de meuf pour ses collègues pour expliquer sa tête. Mais il en a l'habitude depuis le temps. Il bénit pour cela les films de boule hétéro. Avec PH on se distribue les deux benjamins à laisser à leurs lycées. Moi je me charge d'Enguerrand c'est sur mon chemin pour l'école de commerce alors que Max ne fait faire qu'un tout petit détour à PH. Il m'a dit que les premières fois où je l'ai déposé devant le portail, ses potes lui avaient demandé si j'étais son mec. Ils ont même ajouté que si c'était le cas, il s'était trouvé le bon vu la caisse que j'avais.
Il les a traités de désaxés, comme s'il pouvait faire ça pour mon fric. Moi je lui dis de laisser tomber. Soit c'est des amis et ils s'en foutent soit s'en sont pas et il n'a rien à faire de leurs commentaires. Il est d'accord avec moi. Quand il sort de la 300SLS, il se fait siffler mais c'est par une meuf ! Il la voit. Du coup il fait le tour de la voiture ouvre ma portière et me roule un patin. Surpris je n'ai pas le temps de réagir qu'il se redresse et se retourne avec juste un signe de la main. J'ai juste le temps de lui dire de bosser avant qu'il ne passe le portail. Il me téléphone le soir même pour me dire que ç'avait jasé dans tout le lycée. Au moins ils avaient eu quelque chose à parler ! Je le traite d'idiot mais derrière lui j'entends Max hurler de rire. Il ajoute que la prochaine fois il fait le coup à PH pour égaliser les scores. Ils se sont bien trouvés ces deux-là ! C'est aussi ce que pensent mes deux amours PH et Ludovic. Ce dernier est aussi très content que Max soit Max. Je veux dire par là un garçon bien et qui aime son frère sincèrement surtout.
Et moi je sais " combien " ils s'aiment. Et comme ils ne s'enferment pas dans leur petit monde s'est une chose qui peut durer. Tous deux ont fait leurs " conneries " avant de se rencontrer (même si celles d'Enguerrand étaient plus gratinées), ils trouvent dans leur relation une stabilité et avec nous autres le grain de folie qui les empêche de tomber dans la routine. J'allais oublier Adam, leur petit " bonus ".
Jardinier
pluie tropicale
New Zealand
having an argument
~~
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Hiver 1935, Hylewood, Canada (8/9)
Ma très chère cousine,
J’espère que tu vas bien. J’ai lu ta lettre. Merci beaucoup de continuer à penser à moi et de m’écrire. Je suis toujours amoureuse, je pense que ça restera en moi, mais c’est moins intense qu’avant. C’est comme si cet amour que je ressens faisait maintenant partie à part entière de ma personnalité et qu’il sommeillait au fond, tout au fond de moi, qu’il était toujours quelque part. C’est comme une braise qui resterait perpétuellement chaude, mais si on l’attise, elle peut reformer une flamme.
Je crois que ce qui a aidé est que j’ai rencontré quelqu’un. C’est un garçon qui me comprend, parce que lui aussi a été éconduit (même si en ce qui me concerne, je n’ai pas vraiment été éconduite puisque je n’ai rien tenté, mais tu comprends ce que je veux dire) par la fille dont Agathon fait semblant de ne pas être amoureux - ce qui fait qu’ils ne s’aiment pas beaucoup. C’est le frère de ma belle-sœur, il s’appelle Ives. Il est moins beau que Fabien, mais il me comprend et nous nous entendons bien. Il est étudiant de dernière année en ingénierie minière à Kingston. Je pense que je pourrais être heureuse avec lui. Peut-être que si on se mariait, ça me ferait comme toi et qu’au bout d’un moment, je développerai des sentiments un peu plus forts.
[Transcription] Dolorès LeBris : J’en étais sûre, ma robe est effilée… Dolorès LeBris : Pourquoi faut-il toujours que quelques soient mes efforts… Ives Bernard : Tout va bien, Mademoiselle ? Dolorès LeBris : Oui, c’est juste… Ma robe… Peu importe. Ce n’est même pas ma robe, à vrai dire. C’est tout. J’ai l’impression que rien ne va jamais. Dolorès LeBris : Même quand je mets une jolie robe, je finis par l’abimer et j’ai l’air d’une souillon. D’ailleurs c’est probablement ce que je suis, non ? Tout le monde sur l’île sait que je travaille comme domestique. Je ne suis pas aussi intelligente que mes sœurs, je ne sais pas tenir un livre de comptes… Dolorès LeBris : Je suis désolée, je ne sais même pas pourquoi je vous dis tout ça. Ives Bernard : Non, je… Je comprends. Ives Bernard : L’impression que quoi qu’on fasse, quelques soient nos efforts… Ives Bernard et Dolorès LeBris (en chœur) : … on ne sera jamais assez. Dolorès LeBris : Que quoi qu’on fasse, quelqu’un d’autre le fera sûrement mieux que nous… Ives Bernard : Sans même y faire attention. Dolorès LeBris : Alors que pour nous, c’est si difficile. Ives Bernard : Oui. Oui, c’est exactement ça.
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen4#Lucien Le Bris#Irène Bernard#Agathon Le Bris#Dolorès LeBris#Ives Bernard#Stéphanie Rumédier#Fabien Bernard
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Avoir des diplômes ne sert strictement à rien.
Mes "bonnes études" ne m'ont servi qu'à éviter de travailler, à faire semblant, à cacher mes incapacités.
Car je suis incapable de travailler. Une bonne à rien.
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Dire, se défaire
Je n’ai pas fait ce que j’avais dit ; je n’ai pas fait de confettis – pas vraiment, pas vraiment en grand nombre, pas comme je l’avais imaginé au départ : atteindre mon poids en confettis. Je n’ai pas fait ce que je m’étais promis. Je n’ai pas fait ce que je leur avais dit, aux membres du jury : détruire une partie de mes archives à l’aide d’un emporte-pièce, afin de les transformer en confettis. Je n’ai peut-être pas choisi le meilleur outil. Une table pour écrire, une autre pour désécrire. Assez vite, je me suis rendu compte que cela me prenait plus de temps de détruire une page manuscrite que de l’écrire. Un côté tâcheron que je revendiquais pourtant à cette occasion. Dans le même élan, je ne pouvais pas ne pas m’intéresser à l’histoire du confetti : fendre le mot, fendre la chose, me fendre de quelque chose que je ne connaissais pas encore, m’ouvrir à l’inconnu en me tenant au choix du plus petit. Une fois installé à la Villa Médicis, comme un coq en pâte, je devais faire comme si… là était ma place, mû par une mission plus grande que moi. Je m’étais alors imaginé convaincre les autres pensionnaires d’organiser un carnaval au printemps suivant, renouant ainsi avec cette tradition du carnaval à la Villa. Un bal masqué, avec une taxe à payer à l’entrée, j’ai assez vite abandonné l’idée, n’étant pas la bonne personne pour fédérer autour de ce projet qui me déportait là où je ne voulais pas aller. Et puis, comme je le redoutais, j’ai tellement été amené à parler de ce projet-confetti qu’à un moment je n’ai plus du tout eu envie de le réaliser. En en parlant à tout va, j’ai tué le désir. Comme antidote, je me suis tourné vers le grand frère Filliou et sa devise : Quoi que tu fasses, fais autre chose. De même, quand on écrit, il ne s’agit pas de devenir écrivain ou de se prendre pour tel, mais plutôt de concentrer ses efforts pour devenir autre chose, et ainsi s’adonner à sa propre métamorphose. Tout le monde, dans le microcosme de la Villa, s’était imaginé que l’ex-croque-mort, durant son séjour, se tiendrait à cette activité monomaniaque : celle de poinçonner ses archives, se délestant d’un monticule de papiers qu’il avait pris soin de glisser dans ses bagages. Au fil des jours, je me dédoublais, ou plutôt, je me désolidarisais de ce candidat-confettiste que j’avais tenté d’incarner au seuil du Palais. La tournure des événements m’a de toute façon obligé à bifurquer. Je n’ai pas fait ce que j’avais dit. Au fond, ce n’est pas très grave, je me suis débrouillé autrement. Mes deux parents étant morts à quatre mois d’intervalle, alors que je séjournais à Rome, je ne pouvais poursuivre mon travail de déblaiement, comme si de rien n’était. Dans les jours qui ont suivi la mort de ma mère, en février, j’ai écrit, sans me regarder écrire, cela m’a aidé à réaliser ce qui se passait en moi à cet instant ; de même, lors de l’agonie de mon père, l’écriture a été d’un réel secours. Façon d’être présent, en se dépouillant de tout artifice, de tout semblant, de tout faux-semblant. Fils assis à côté de son père, veillant sur lui. Père donnant le change jusqu’à la veille de sa mort. C’est dans les mois qui ont suivi qu’il m’a fallu leur faire de la place au-dedans. Cela ne se fait pas d’un coup de baguette magique.
#joueretécrire#écrireetjouer#écrirec'estjouer#francoisdurif#tornosubito#jerevienstoutdesuite#tour#détour#retour#projetconfetti#commesi#jeu#confetti#motif
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MIDNIGHT RAIN
Mon dernier projet que j'ai codé pour Midnight Rain et son staff bordeldedebo & ebm1994. Les images sont de ebm1994.
contexte :
8h48. Ses yeux se ferment alors qu’elle lutte contre le sommeil. Nuit difficile, rêves agités. Elle sait qu’elle n’arrivera pas poser son badge sur cette maudite machine à 9 heures pile, lorsqu’elle passera les portes de son travail. Son manager va lui faire remarquer. Elle va s’excuser, s’installer à son bureau, allumer son ordinateur, répondre aux demandes des clients. Tout ça, elle le fera en faisant semblant d’en avoir quelque chose à faire puis elle restera quelques minutes supplémentaires pour se faire bien voir. Enfin, elle décidera par rentrer chez elle, se posera devant la télévision à la recherche d’une série capable de lui faire oublier son quotidien en se demandant comment a-t-elle réussi à se coincer dans cette vie si monotone.
8h49. Il y a lui, coincé debout entre deux inconnu⸱e⸱s habillé⸱e⸱s en tailleurs, alors qu’il tente tant bien que mal de tenir debout grâce à la barre du métro. Il a promis à son petit-ami qu’il ne rentrera pas trop tard, avant 23h à tout casser. Et le voilà à se mélanger à la population aux regards bien trop sérieux, alors qu’il veut continuer à se déchaîner sur les musiques de Dua Lipa. Qu’est-ce qu’il ne les envie pas, celleux-là autour de lui. Pourtant, sa famille lui dit souvent qu’il devrait songer à se poser, trouver un emploi stable au lieu de vagabonder, de festoyer. Lui aussi, il aime parfois s’imaginer une autre vie, à la place des personnes, ces personnes en tailleurs, qui l’entourent dans ce métro. Est-ce qu’un jour il s’ennuiera, comme elleux dans sa vie ?
Mais les deux n’ont pas le temps d’y réfléchir alors que la trame de métro s’arrête brutalement. Il se retrouve projeter contre la barre, elle se cogne la tête contre la vitre. Une panne, paraît-il. Lui souffle, car il n’a pas besoin de cela maintenant. Elle, presque amusée, esquisse un sourire. Au moins, elle aura quelque chose d'inhabituel à raconter à ses collègues. Et si c’était le karma… ou le destin tout simplement ?
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Heads up, Seven up !
Wahoo, thanks for the tag @nettleandthorne :D
Tagging : @isabellebissonrouthier, @the-stray-storyteller, @jezifster, and open tag ! Go wild !
Let me... grab the WIP. And translate under the cut. Because it's still in french. lmfao. this SHOULD be 7 sentences if I can count some of them r just insanely long/unclear because this is not edited at all.
Et elle allait le laisser faire, parce qu'il la payait, parce qu'elle ne voulait pas lâcher ce semblant de normalité qu'elle avait arraché à la vie. Même si cela risquait de coûter celle de la duchesse, comme cela avait coûté celle de la famille des jeunes qu'elle considérait presque comme la sienne maintenant, comme il lui en coûtait à chaque fois qu'elle se laissait aller à réfléchir. Elle était couarde. Et malgré la charge de travail qu'elle s'imposait pour oublier, malgré ses doutes sur la possibilité de faire confiance au vampire, malgré ce qu'elle savait de ce que lui et Anne orchestraient, elle était incapable de se raisonner assez pour partir et le laisser se débrouiller tout seul, ou bien avouer toute la vérité à Anne, à quiconque, avant de disparaître. Elle rendait toujours visite à Hélianthe, il semblait toujours heureux de la voir même s'il sentait une nouvelle réserve dans la façon dont elle lui adressait la parole, alors même qu'elle partageait encore son lit de temps en temps. A croire que, lorsqu'elle était avec le vampire, elle était sous l'emprise d'un sort. Possibilité bien réelle qu'elle tentait constamment d'oublier.
And she was going to let him do it, because he was paying her, because she was unwilling to let go of this semblance of normalcy she'd ripped away from life. Despite the fact that it could cost the duchess', despite that it had cost the families' of the teenagers she now almost considered to be hers, despite that it was costing her any time she let herself reflect upon it. She was a coward. And despite the amount of work she forced herself to do to forget, despite her doubts about the possibility of trusting the vampire, despite what she knew of his and Anne's plans, she was incapable of reasoning herself enough to just leave and let him figure this out alone, or to tell the entire truth to Anne, to anyone, before disappearing. She still visited Hélianthe, he still seemed happy to see her even though he felt her more reserved whenever she was speaking to him, even as she still shared his bed from time to time. Almost as if, when she was near the vampire, she was under a spell. A definitely real possibility that she constantly tried to forget.
#hélianthe et atropa#heads up seven up#tag games#oof these run-on sentences.#does the translation sound wonky to you ? do not worry! it also sounds wonky in french.#anyway yeah she's not having a good time !!!!!#:D
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Chatte douloureuse à Poitiers : la maire féministe annonce jusqu’à 24 jours de vacances gratuits pour les 2000 femmes fonctionnaires de la ville.
Les mecs n'avaient qu'à être des femmes s'ils voulaient 12 jours de vacances à l'œil.
À Poitiers, les femmes auront droit à 3 semaines de vacances supplémentaires par an offertes par tous les contribuables.
C’est l’égalité homme-femme.
Libération :
La ville de Poitiers, dirigée par les Écologistes, a annoncé la mise en place d’un congé menstruel dès le 1er janvier 2025 pour ses 2 000 agentes. Un dispositif détaillé ce lundi 16 décembre, à l’occasion de la présentation de son rapport annuel sur l’égalité professionnelle des agentes de la collectivité de Poitiers. A l’aide d’un certificat médical, les employées de la collectivité pourront prendre un à deux jours de congé menstruel chaque mois, en cas de règles douloureuses voire d’endométriose. «Chaque agente pourra en bénéficier sans impact sur sa rémunération car il n’y aura pas de jour de carence, sans impact sur sa carrière, et sans stigmatisation possible puisque cette autorisation spéciale d’absence est noyée parmi les autres, seul le médecin en connaissant la raison», a expliqué Stéphane Allouch, adjoint au personnel et au dialogue social à la ville de Poitiers, interrogé par France Bleu Poitou. Afin de lever le tabou autour des règles, la ville a également organisé des ateliers avec des agentes de la collectivité. «La première question qui s’est posée pour elles, c’est de savoir qui allait faire leur travail si elles sont absentes, a rapporté la conseillère municipale à l’égalité des droits Alexandra Duval. Il faut déconstruire cela. Les femmes ont droit d’avoir des conditions de travail adaptées.»
Ils vont déconstruire, mais ça ne répond pas à la question : qui va bosser à leur place ?
La réponse est simple : personne.
Parce qu’elles ne foutent rien pour commencer.
Celles qui ont posé cette question avaient peur de se faire réquisitionner pour remplacer leurs collègues, mais évidemment ce n’est pas à l’ordre du jour.
Poitiers suit l’exemple d’autres municipalités. La première d’entre elles, Saint-Ouen-sur-Seine (Seine-Saint-Denis), a été la première ville française à mettre en place le congé menstruel, proposant jusqu’à deux journées par mois et sans carence à ses administrées. L’exp��rimentation avait été lancée le lundi 27 mars 2023. Depuis, d’autres collectivités ont pris le train en marche. C’est le cas de l’Eurométropole de Strasbourg, qui permet, depuis le 1er septembre 2024, à ses 3 500 agentes de bénéficier d’un «congé de santé gynécologique», soit treize jours d’absence exceptionnelle par an. Il y a deux mois, le 17 octobre, ce fut au tour de la commune de Barentin, en Seine-Maritime, de proposer à ses employées ce congé particulier. On peut également nommer Lyon, Nantes, Châlette-sur-Loing dans le Loiret, Orvault en Loire-Atlantique ou encore Abbeville dans les Hauts-de-France. Mais ce congé menstruel ne dépend pas du simple bon vouloir des mairies. Le 20 novembre dernier, la ville de Plaisance-du-Touch en Haute-Garonne, son centre communal d’action sociale ainsi que la communauté de communes du Grand Ouest Toulousain se sont heurtés à une réalité juridique : l’absence d’un cadre législatif, alors que le préfet local avait saisi le tribunal administratif pour demander l’annulation du dispositif. «Le tribunal estime que ces collectivités territoriales n’ont pas le pouvoir de prendre ce genre de décisions en l’absence de dispositions législatives ou réglementaires», avait rapporté France Bleu Occitanie.
À Poitiers, comptez 1,5 jour pour chacune des 2000 fonctionnaires de sexe féminin de la commune concernées par la mesure, soit 3000 jours d’absence mensuels.
Si on estime que ces fonctionnaires font semblant de travailler 7 heures par jour, cela représente 21000 heures de travail qui seront facturées aux contribuables chaque mois. Pour 11 mois (hors vacances d’été), c’est 230000 heures d’absence rémunérées.
Le salaire moyen d’un fonctionnaire territorial est de 2200 euros, auquel il faut ajouter les diverses cotisations à la charge de l’État et de ses collectivités, soit au moins 3000 euros. Une heure de travail d’une de ses gonzesses coûte au strict minimum 21 euros.
21 euros x 7 heures x 3000 jours x 11 mois = 4,8 millions d’euros par an.
Le budget annuel de la ville en 2024 est de 221 millions d’euros. Cette histoire d’ovaires douloureux à dormir debout va bouffer à elle seule 2% du budget de fonctionnement de la ville.
Oubliez la gangue du marketing féministe, c’est de l’achat de votes organisé par la traînée écologiste locale. Les 2000 garces qui vont bénéficier de ces 3 semaines de vacances supplémentaires vont bien évidemment voter pour cette tarée de maire en 2026.
Qui aurait pu croire qu’élire une dinde à la mairie se transformerait en gabegie généralisée ?
À un moment donné, quand on fait tout pour, on mérite le djihadisme.
Démocratie Participative
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Je suis déçue, mais pas surprise.
Mes règles me font beaucoup souffrir et certains mois j'aimerais vraiment pouvoir rentrer chez moi pour me caler dans mon lit avec deux bouillottes et des huiles essentielles plutôt que faire semblant que tout va bien et continuer à travailler alors que j'ai envie de m'écrouler par terre.
Apparemment ça ne sera pas possible.
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Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - Chapitre 28
Ceci est un Hateread du tome 10 de la saga Tara Duncan, inspiré par le long travail de Patricklemorse. Pour plus d’explications ou d’introduction, référez vous au post « Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - 0 : Dans les épisodes précédents » !
Vous pouvez également naviguer entre les différents posts de chapitres à l'aide de ce sommaire
L’ensemble des extraits cités entre guillemets et en italiques appartiennent à madame Sophie Audoin-Mamikonian, que j’appellerai Madame S.A.M par facilité.
Salut les gens !
On est toujours en décembre au moment où j’écris ces lignes. J’espère que la saison se passe bien pour vous. Pour ma part, je suis très motivée à continuer ce Hateread, l’approche de la fin me donne un pic d’énergie et j’aimerais pouvoir laisser tout ça derrière moi afin d’envisager le futur de ce blog avec plus de sérénité.
J’ajoute une petite note pour dire que le nombre de personnes suivant ce blog équivaut chaque fois au nombre de posts que je fais.
Je trouvais ce détail très rigolo donc voilà, j’avais envie de vous le partager.
Bref, reprenons ! Dans le chapitre précédent, les démons attaquaient pour de vrai, Gabriel se révélait comme antagoniste et nous apprenions que le but des démons était entre autres de s’emparer de la sphère-négation. Nous pouvons reprendre dans ce chapitre intitulé « Glubl, ou quand l’alcool joue un rôle bien plus important que prévu dans la bataille »
Allez, un peu de contenu sur un personnage que j’apprécie ! Ça a de quoi motiver, non ?
Le chapitre s’ouvre sur le moment où Fabrice et Moineau avaient laissé Tara pour accomplir son mystérieux plan du chapitre précédent. Les deux amoureux roucoulent, c’est sirupeux, et ça nous suggère à mi-mots qu’ils ont ken la nuit précédente. C’est super tout ça, mais y a comme qui dirait une URGENCE, vos histoires de cul c’est vraiment pas le moment.
Ils sont dans la rue, quand soudain Sheeba, le Familier de Moineau, détecte la présence de soldats.
« Immédiatement, Moineau se raidit. Fit signe à Fabrice puis déploya ses doigts. 5 et 1. Il hocha la tête en silence. Pigé. Il était prêt.
Ils n’avaient pas l’intention de combattre, pas sous leurs formes humaines. Ils se redressèrent lentement et mirent les mains sur la tête.
Dès qu’ils les virent, les soldats démons les mirent en joue. Moineau et Fabrice firent de leur mieux pour avoir l’air le plus inoffensif possible. Ils savaient qu’il fallait qu’ils soient vigilants, parce que leurs images avaient largement été diffusées sur la planète des Limbes. S’ils étaient reconnus…
Mais heureusement, les soldats étaient trop nerveux pour faire attention à leurs visages. Ils s’approchèrent afin de les menotter.
Une fois que Fabrice et Moineau, très dociles et qui faisaient semblant d’être apeurés, furent neutralisés, les soldats se détendirent.
Grosse erreur.
Avec un rugissement qui les paralysa, Moineau comme Fabrice se transformèrent, brisèrent les menottes comme si elles n’existaient pas et se jetèrent sur les soldats, retournant leurs armes contre eux. Les six soldats, en dépit de leurs organismes modifiés, n’eurent aucune chance contre eux trois, Sheeba ne boudant pas son plaisir. »
…
Ce passage était donc une tentative de nous montrer Moineau et Fabrice en action contre leurs adversaires. Tentative où on voit qu’ils utilisent un code, se synchronisent pour attaquer les démons quand la méfiance de ceux-ci est endormie, et parviennent à leurs fins.
Alors… pourquoi est-ce que je dis que c’est une tentative, sous-entendant que ça ne fonctionne pas ?
1/ Le code, le passage d’humains à Bête et loup-garou, tout ça, ça n’a aucun intérêt. Moineau et Fabrice n’ont pas infiltré un lieu spécifique, c’est donc inutile qu’ils se montrent sous une forme inoffensive pour ensuite passer à l’attaque. Se transformer prend du temps, être en humain implique d’être vulnérable, fragile. Encore, ça pourrait être utile si leurs ennemis étaient plus puissants qu’eux, et qu’il faudrait donc s’en prendre à eux sur un instant d’inattention. Mais…
2/ Il nous a été prouvé, rien que dans le chapitre précédent, que le magicgang n’a aucune difficulté à poutrer du soldat démon lambda. Donc la prudence ne sert à rien, autant y aller de façon bourrine, ça marche tout aussi bien.
3/ Les démons soldats qui s'en prennent à eux sont particulièrement, particulièrement incompétents. Ne pas examiner les personnes sur lesquelles ils tombent et baisser leur garde après les avoir fait prisonniers, de toute évidence avec des menottes non renforcées, c’est grotesque. Pour rappel, si on met de côté les démons, il n’y a que trois mille personnes sur Tadix à l’heure actuelle. Ces trois mille personnes sont une délégation choisie par l’Impératrice d’Omois et par, je suppose, les autorités du Dranvouglispenchir (j’ai dû rechercher le nom de cette planète) : elle compte notamment des dragons, des humains sortceliers, des centaures, des loup-garous... Alors oui, on peut imaginer qu’il y a des domestiques dans le lot, tout le monde n’est pas formé au combat, mais c’est probablement une minorité. Un soldat démon lambda devrait grandement se méfier de la magie des sortceliers, et ne pas croire à l’innocence apparente de deux personnes humaines présentes sur Tadix à ce moment-là. En plus, quand on sait que les dragons, ennemis héréditaires des démons, peuvent prendre une apparence humaine, ça se passe d’explication : tu dois regarder qui tu attrapes, ta survie en dépend. Ensuite, comment est-ce que des soldats démons peuvent être munis de simples menottes, dans un univers où on pratique la magie ? Ces menottes devraient pouvoir empêcher les transformations, a minima !
Bref, non, pardon, mais ça ne marche pas.
« Ils souriaient tous les deux. (« Ahhh, tuer des gens pendant un conflit, ça me met dans une de ces bonnes humeurs ! ». On ne parle pas assez du fait que ces adolescents sont parfaitement contents des dégâts collatéraux des conflits, mais c’est un gros problème, hein. En général les gens normaux essaient d’éviter la guerre, le sang, la mort, le meurtre. D’ailleurs, Fabrice qui cherchait autant une vie normale et calme depuis le tome 9, n’était-il pas censé être opposé à l’idée de se battre ? Tara dit même dans le chapitre 11 qu’il est le seul du groupe que la bagarre n’intéresse pas. Madame S.A.M. a dû oublier cette caractérisation majeure, je sais pas)
— On s’amuse bien, hein ? dit Fabrice, totalement détendu depuis qu’il avait dépassé sa peur d’être moins fort que Moineau et de ne pas la mériter. »
Ouaip, je confirme, il a dû oublier. T’sais normalement tuer des gens c’est pas censé être une activité rigolote à faire entre amis. C’est censé laisser des marques ineffaçables dans ton psyché. Le genre de truc qui aurait pu donner du chara development.
D’ailleurs, faut que j’ajoute un point :
« Fabrice aurait dû rester sur Terre » : 5 (pardon, mais perdre tes insécurités et ton complexe d’infériorité pour devenir un assassin de sang froid, je n’appelle pas ça une évolution positive. Okay, Fabrice en est heureux, mais si c’était pour devenir une exacte copie de ses amis, alors qu’il était intéressant justement quand il différait d’eux, il aurait mieux valu qu’il reste le même)
Sur ce, on passe à Glubl, qui est dans une situation bien plus intéressante !
« Glubl était dans le troisième dôme, celui qui protégeait les industries se trouvant sur Tadix. À cet endroit, probablement le dôme le plus grand du satellite, tout était automatisé. Les robots fabriquaient, il y avait peu d’êtres vivants pour les superviser, et la production était continue pour alimenter toute la planète et ses hordes de touristes. Pour l’instant, les soldats de Gabriel n’avaient pas arrêté les chaînes d’assemblages et les Diseurs de Vérité, prudents, avaient préféré se réfugier ici, où il leur serait plus facile de détecter ceux qui les traquaient, qu’au milieu d’une foule de gens qui n’arrêtaient pas de penser et brouillaient leurs perceptions. »
Vous vous souvenez de ce que je disais à propos de Mourmur dans le chapitre précédent ? Ce passage en est l’illustration. Certes, il ne se passe pas grand-chose de plus, mais ce qui nous est raconté des Diseurs de Vérité est intéressant, car ça fait appel à leurs facultés et à comment ils doivent les gérer dans des situations tendues. Ça, c’est le genre de développement que je veux voir de personnages secondaires !
Et puis, même si ce ne sera sans doute pas utilisé, je dois avouer que j’ai un faible pour les scènes dans lesquelles un groupe disparate doit se planquer d’un danger. C’est l’occasion de voir des personnages bien en-dehors de leur zone de confort, c’est le terrain parfait pour des interactions exclusives, des dilemmes, des discussions à cœur ouvert, entendre parler de leurs craintes, de leurs espoirs… Bref, c’est top, quoi !
« Coup de chance, les démons n’avaient pas interrompu tout de suite les communications locales. Lorsque Tara avait dit à Moineau qu’elle devait appeler Glubl tout de suite et aller le voir afin de ne pas révéler son plan sur les ondes au cas où les démons auraient mis les hors sur écoute, celle-ci avait obéi, mais sans bien savoir si cela fonctionnerait. Elle allait vite être fixée. »
La syntaxe en prend un coup dans ce tome, décidément.
« Lorsque Tara avait dit à Moineau qu’elle devait appeler Glubl tout de suite et aller le voir afin de ne pas révéler son plan sur les ondes au cas où les démons auraient mis les hors sur écoute » Virgule ? Y a-t-il une virgule qui veut bien se porter volontaire pour aider cette phrase à faire sens ? S’il vous plaît ?
À qui réfère le « son » de « afin de ne pas révéler son plan sur les ondes » ? Et puis Moineau doit appeler Glubl ou aller le voir ? Fin si tu fais l’un, autant ne pas faire l’autre, non ? Et puis, « sans bien savoir si cela fonctionnerait », si quoi fonctionnerait ? Appeler Glubl, aller le voir ? C’est très confus.
« Fabrice hocha la tête et se transforma. Glubl lui jeta un regard respectueux, puis l’énorme loup bondit silencieusement et se fondit dans les ombres.
— J’avais, fit prudemment Glubl, l’intention de vous séduire, mais je crois que, finalement, je vais renoncer.
Surprise, Moineau le regarda, puis émit un petit rire.
— Merci, répondit-elle, c’est très flatteur, mais, effectivement, c’est mon petit ami et je l’aime totalement.
— Ça, soupira Glubl, c’est bien plus difficile à affronter que la longueur de ses dents, pas de chance pour moi. Je vous souhaite tout le bonheur du monde.
— En fait, rattrapa judicieusement Moineau, mon bonheur dépend de Son Excellence.
Glubl se raidit, comme s’il parlait à quelqu’un dans le vide et reposa très vite ses yeux sur elle.
— Il arrive, précisa-t-il »
Je… je dois avouer que j’aime beaucoup la façon dont Glubl parle de l’intention qu’il avait de séduire Moineau, et du fait qu’il y renonce. Il ne fait pas d’écart, l’évoque sans l’appuyer, sonne comme quelqu’un qui accepte la situation comme elle est, et rien de plus. Ça souligne la caractérisation du personnage, dont on sait que son travail consiste à être diplomate et qui a donc une capacité de retenue, de politesse, de discrétion et d’adaptation, sans pour autant être manipulateur envers Moineau puisqu’il est direct.
Bon, certes, il est aussi dit qu’il renonce car Fabrice est un loup-garou ; ça sous-entend soit qu’il pense que Moineau choisirait seulement le plus fort de ses prétendants, soit qu’il devrait se battre pour sa main, deux idées plutôt rétrogrades. Mais paradoxalement, toute cette considération suggérée en fait un meilleur parti pour Moineau que Jeremy et Fabrice réunis, dont chacun a montré être possessif vis-à-vis d’elle. En plus, ça change agréablement de voir un personnage masculin qui ne sait pas combattre parler des sentiments amoureux qu’il éprouve. Perso, je les shippe.
Franchement, Glubl, reste sur ce ton-là et tu es en phase de devenir un de mes personnages préférés.
Moineau apprend que ni Glubl, ni l’ambassadeur Diseur de Vérité (qu’on a vu pour la première fois au chapitre 4) ne peuvent lire dans les pensées des démons ; ils sont donc très confus sur la situation actuelle. Alors, Moineau leur dévoile le plan de Tara… et pour une fois, celui-ci est plutôt judicieux.
Souvenez-vous : dans le chapitre 4, l’ambassadeur avait bu de l’alcool par la faute de Tara. Suite à ça, le goût de l’alcool s’était répandu télépathiquement à tous les Diseurs de Vérité de sa planète, menaçant de les rendre addicts à la substance. Cette fois-ci, Tara veut utiliser le même mécanisme, mais pour faire en sorte de transmettre le sentiment d’urgence aux autres Diseurs de Vérité, ce qui pourra permettre de prévenir les Autremondiens du danger que court Tadix.
Malin, non ? J’aime bien cette idée, personnellement. Sans aucune ironie : la préparation et le paiement sont bien pensés, je ne m’attendais pas à ce que ce passage comique du chapitre 4 ait ce payback. Ç’aurait été un peu mieux si madame S.A.M. n’avait pas joué sur le grrrand mystère du plan dans le chapitre précédent, mais c’est une utilisation moins pire de ce trope que les autres, puisque ça se résout vite et de façon satisfaisante.
L’ambassadeur met le plan en application, ce qui dure deux heures, c’est… ma foi, c’est beaucoup, mais j’imagine qu’il faut justifier le passage parallèle où Tara et les autres se cachent des démons. Des gardes finissent par trouver la planque du troisième dôme, Glubl se cache, l’ambassadeur se fait passer pour une simple plante en pot et Moineau s’enfuit. Elle se fait capturer avec Fabrice, et puis on en revient progressivement à la situation du chapitre précédent telle qu’on l’a vue, jusqu’à l’explosion du vaisseau.
Coupure.
Et on en vient au point de vue de Mara.
Aïe.
Mara et l’équipage (composé d'un pilote et d'un co-pilote dans la cabine où elle se trouve, plus d'une canonnière dans une cabine voisine), découvrent l’arrivée des vaisseaux spatiaux des démons. Alors que le pilote veut qu’ils s’enfuient, Mara paralyse son co-pilote et le menace pour qu’il envoie un message afin d’avertir Autremonde. Le pilote insiste bien sur le fait que ça risque de les faire repérer, mais elle n’en a rien à battre. Il s’exécute donc, tout ça pour réaliser que non seulement, le message n’est peut-être pas passé, mais qu’en prime, ils ont été repérés.
Bravo, Mara.
« Devant eux, deux vaisseaux se mirent à virer lentement.
Ils se dirigeaient vers eux. Précédés par une salve d’avertissement, qui tonna en secouant le petit navire.
— Ils ne nous ont pas visés, expliqua le capitaine à Mara qui avait blanchi et s’était vivement assise et attachée. Maintenant, on va voir s’ils sont aussi rapides que nous. Priez pour que ce ne soit pas le cas.
La canonnière répliqua par une salve qui s’écrasa sur les boucliers des vaisseaux.
Sans leur faire le moindre mal. Mara pouvait même imaginer les servants du vaisseau, pliés de rire.
À partir de là, ce fut une longue course-poursuite. Effectivement, le petit navire était plus rapide. Il esquivait tout ce qu’on envoyait contre lui. Le copilote avait fini par se réveiller et ils étaient deux à lutter contre les mastodontes. Le seul souci, c’était qu’ils étaient plus rapides. Mais pas assez. Les deux vaisseaux les talonnaient et surtout leur tiraient dessus. La moindre erreur de jugement et ils étaient morts »
Bravo, Mara. Espèce de débile. C’est ça de ne pas écouter les personnages secondaires qui connaissent leurs métiers. Putain. Quelle raison elle avait d’ignorer les avertissements ? Je déteste les protagonistes.
« Au bout de deux heures une salve trop bien placée abîma l’un des deux moteurs arrière, blessant la canonnière. Il devint évident qu’ils n’allaient pas s’en sortir et allaient devoir se rendre.
Ils éteignirent leurs moteurs afin de montrer qu’ils étaient vaincus.
Le pilote fit pivoter son fauteuil et regarda Mara.
— Voilà. Reste plus qu’à espérer qu’on les a pas trop énervés.(sérieusement ? Moi j’aurais sorti une phrase du genre « Voilà, t’es contente de toi, petite conne ? ». Ce qu’a fait Mara était un motif de la virer du vaisseau, mais bon. Armure scénaristique ou whatever)
Le vaisseau s’approcha, s’approcha encore, prêt à les engloutir et, soudain, il se passa une chose incroyable. Le vaisseau explosa. »
Et le chapitre se finit sur une répétition de « vaisseau », yaayyyyy. Au moins je n’aurais pas eu à souffrir du POV de Mara trop longtemps.
Bon, ce chapitre était nettement plus sympa à lire que le précédent, c’est déjà ça. La prochaine fois, nous retournerons voir Tara, pour le dernier chapitre du tome ! C’est… wow. Ça y est, les gens, c'est presque fini.
Si j’arrive, comme je le souhaite, à poster ce chapitre dans les alentours de Noël, je vous souhaite de très bonnes fêtes !
#tara duncan#french#tara duncan 10#tara duncan critique#upthebaguette#français#book criticism#book critique#critique livre#dragons contre démons
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ɱιԃɳιɠԋƚ ɾαιɳ
✨ - city dans la ville de Seattle basé sur le destin.
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8h48. Ses yeux se ferment alors qu’elle lutte contre le sommeil. Nuit difficile, rêves agités. Elle sait qu’elle n’arrivera pas poser son badge sur cette maudite machine à 9 heures pile, lorsqu’elle passera les portes de son travail. Son manager va lui faire remarquer. Elle va s’excuser, s’installer à son bureau, allumer son ordinateur, répondre aux demandes des clients. Tout ça, elle le fera en faisant semblant d’en avoir quelque chose à faire puis elle restera quelques minutes supplémentaires pour se faire bien voir. Enfin, elle décidera par rentrer chez elle, se posera devant la télévision à la recherche d’une série capable de lui faire oublier son quotidien en se demandant comment a-t-elle réussi à se coincer dans cette vie si monotone. 8h49. Il y a lui, coincé debout entre deux inconnu⸱e⸱s habillé⸱e⸱s en tailleurs, alors qu’il tente tant bien que mal de tenir debout grâce à la barre du métro. Il a promis à son petit-ami qu’il ne rentrera pas trop tard, avant 23h à tout casser. Et le voilà à se mélanger à la population aux regards bien trop sérieux, alors qu’il veut continuer à se déchaîner sur les musiques de Dua Lipa. Qu’est-ce qu’il ne les envie pas, celleux-là autour de lui. Pourtant, sa famille lui dit souvent qu’il devrait songer à se poser, trouver un emploi stable au lieu de vagabonder, de festoyer. Lui aussi, il aime parfois s’imaginer une autre vie, à la place des personnes, ces personnes en tailleurs, qui l’entourent dans ce métro. Est-ce qu’un jour il s’ennuiera, comme elleux dans sa vie ?
Mais les deux n’ont pas le temps d’y réfléchir alors que la trame de métro s’arrête brutalement. Il se retrouve projeter contre la barre, elle se cogne la tête contre la vitre. Une panne, paraît-il. Lui souffle, car il n’a pas besoin de cela maintenant. Elle, presque amusée, esquisse un sourire. Au moins, elle aura quelque chose d'inhabituel à raconter à ses collègues. Et si c’était le karma… ou le destin tout simplement ?
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Encore une fois, me voilà sur le banc du réconfort. Il fait beau et bon. Trop beau et bon pour un premier mars. J'ai revu mes copains de la fac hier. C'était sympa. On a tous pris des chemins de vie si différents.. et, finalement, à comparaison égale (basée uniquement sur les cours), je dois être de ceux qui s'en sort le mieux. Je les trouve courageux certains d'avoir arrêté les études. J'aurais pas pu. Pas que j'en ai pas envie mais il me faut un cadre. Il m'en a toujours fallu un. Aussi détestable et anxiogène soit-il. Avoir eu mon semestre avec une relativement bonne moyenne ne m'aura pas donné l'entrain et la motivation escomptée. Je me sens toujours autant stressée de rater et fatiguée d'avance de devoir continuer. Je vais le faire, pas de soucis mais il y a cette pression de la constance, il faut que je garde des notes correctes et je sais pas si j'en serai capable. Je dois dire que si dans 1 an et demi pour les masters, j'en ai à nouveau aucun, ça m'atteindra car j'aurais deux licences inutiles. Et ça a beau être dans longtemps, ça me paralyse. D'ici la fin de l'année scolaire, il faudra que je mette un terme à ma relation actuelle également, je ne sais pas comment je vais m'y prendre s'il ne fait pas de faux pas. Enfin, pas de faux pas majeurs justifiants une rupture conventionnelle de relation. Ça aussi, je ne sais pas trop comment me positionner. J'en parlais hier avec les potes, ils me demandaient tous comment ça se passe avec lui. J'ai évidemment pas dissimulé l'incident de septembre me faisant passer pour une conne. Et je n'ai pas non plus minimisé ce que je pense. Tous sont interloqués de me voir rester. Et j'y réfléchis de plus en plus, pourquoi rester alors que ça me convient si peu. Je crois, tout d'abord, que c'est avant tout, malheureusement, de l'opportunisme. Je sais que j'ai un certain confort en restant dans cette relation. Je profite de pouvoir me coucher contre le même corps, avoir de la chaleur de la même personne. En fait, en un sens c'est rassurant et ça ne puise pas d'énergie. L'adaptation a été faite. Et c'est ça que j'ai eu mal à quitter car je sais très bien que je n'aurai plus, pendant longtemps, les ressources de refaire ce travail d'habitation de l'Autre. Aussi paradoxal que ce soit, j'ai toujours eu du mal avec l'instabilité émotionnelle et surtout sexuelle. Après avoir passé bien 2 années à voir un nombre de personne affolant, j'ai plus envie de ça. C'est trop épuisant de côtoyer des gens qui ne sont personne. De m'adapter pour de la courte durée. J'ai plus envie de m'amuser. J'ai envie de me poser avec quelqu'un qui me fait réfléchir/rire et qui me fait bien l'amour. Là, j'ai 50%. Cette facilité dure depuis plus d'un an, il faudra y mettre un terme avant de rentrer dans des engagements plus sérieux. Cependant, je n'ai pas envie d'être la personne qui quitte sans réelle raison apparente aux yeux de tous, j'ai pas envie d'être détestée. C'est puéril mais je trouve ça injuste. Personne ne connait notre vie à tous les deux et même si d'extérieur ça peut paraître idyllique, je n'ai pas envie d'être incriminée pour une rupture que les autres trouvent injustifiée. Ce serait la double peine. Mais, évidemment, je sais qu'on ne peut pas tout avoir non plus. Maintenant que j'ai un semblant de stabilité dans ma vie seule à nice, je ressens de moins en moins l'envie de cette relation. Les choses se mettent en place, il faut alors laisser tomber les béquilles tant que ce n'est pas entièrement encore hors de mon contrôle. Je sais que c'est toxique ce que je fais et franchement pas correct. Je n'ai jamais pensé ça, aujourd'hui marque la naissance de cette première pensée: j'espère qu'il me trompera ou me quittera pour me délester de cette charge. Sinon, je devrais le faire. Je le connais maintenant trop pour attendre des changements importants au point de me faire remettre ma décision en question.
Dans un post d'il y a quelques temps, je parlais du fait que je détestais les gens qui ne parlaient pas, ne communiquaient pas à propos de leurs réelles sentiments. Le fameux temps de latence émotionnel. Ça me paraît maintenant bien déplacé de ma part d'avoir donné émis mon avis. La lucidité n'empêche rien. J'ai pas d'excuse. Ou seulement celle de me dire que je n'y tiens pas assez pour faire les choses le plus dans les règles possible. Et c'est pire sûrement.
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Hiver 1935, Hylewood, Canada (2/9)
Oui, je sais qu’avec ce qui t’est arrivé, j’aurais dû le prévoir. Mais pour ma défense, nous faisions extrêmement attention… Je ne voulais pas faire quoi que ce soit de mal, c’est juste que je n’aime pas que tout le monde se mêle de mes affaires. Tu dois comprendre ça, non ? Tu sais ce que ça fait d’avoir d’innombrables frères et sœurs qui veulent tout le temps mettre leur nez dans tes affaires, des tantes et des cousins intrusifs dont le désir le plus cher est de te donner des conseils que tu n’as pas sollicités… Bref, je ne voulais pas en parler. Je voulais profiter le plus possible du temps que nous pouvions avoir uniquement pour nous, loin de toute publicité.
[Transcription] Lucien Bernard : Bonjour, Lucien. Écoute, ce n’est pas que je ne suis pas heureux de te voir, mais j’espère que c’est important. Je suis très occupé, je ne peux pas rester très longtemps, les contremaîtres ont tendance à faire n’importe quoi dès que je m’absente… Lucien LeBris : Je suis désolé de vous avoir fait déranger si abruptement, Monsieur Bernard. Lucien Bernard : Oui, bon… Qu’est-ce qui t’amène ? Lucien LeBris : Eh bien, euh, comme vous le savez cela fait quelques temps que je viens souper toutes les semaines, et euh, au cours de ces soupers, j’ai particulièrement apprécié les discussions que j’ai pu avoir avec I- Lucien Bernard : Lucien, j’ai été jeune aussi, je ne suis pas complètement idiot. C’est par politesse que je fais semblant de croire à tous les prétextes que me donne Irène pour me justifier ce qu’elle fait dehors en permanence quand elle ne travaille pas. Disons les termes. Tu veux marier ma fille. Pourquoi maintenant ? Ça fait des années que vous vous tournez autour - ne me regarde pas comme ça, toute l’île est au courant - et qu’on attend. Lucien Bernard : Pourquoi là, d’un coup ? Je pourrais presque me dire que tu as déshonoré ma fille. Lucien LeBris : Je- Lucien Bernard : Est-elle au courant de tes intentions, au moins ? Lucien LeBris : Pas encore. Lucien Bernard : Bon. Si elle veut bien de toi, je ne m’y opposerai pas, c’est elle que ça regarde. Mais je te le dis clairement, vous auriez dû le faire bien avant. Vous auriez fait gagner du temps à tout le monde. Est-ce que c’es clair ? Lucien Bernard : … Oui, Monsieur Bernard.
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen4#Lucien Le Bris#Irène Bernard#Lucien Bernard
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J'ai été hypocrite : j'ai fait semblant qu'il était possible de vivre, d'avoir des passions, de faire de l'art (de créer de toutes les manières possibles et peu importe si cela n'est pas public), de continuer d'apprendre : de s'intéresser au monde, à des domaines ou des notions qu'on ne connaît pas.
Tout était faux. Il faut renoncer à tout - ne plus rêver (à quoi bon ?) - il faut être responsable - il faut donner son corps et sa vie pour son travail, pour payer son loyer, les impôts... Le reste - est - de - peu - d'importance.
Il n'y a que les enfants qui rêvent - il n'y a que les enfants qui ont du temps, des passions, qui apprennent de nouvelles choses. Alors il faut cesser d'être une enfant, il faut cesser de rechigner à travailler toute la journée et tous les jours - avec l'impression qu'on me vole ma vie... Mais ta vie : c'est justement ça. Ta vie, tu l'auras gagnée quand tu ne feras plus que des actes élémentaires - ni art, ni passion, ni désir.
Il faut cesser de lutter pour tes rêves, tes passions ou tes émotions. Tout cela est pour les enfants - et tu ne peux plus continuer d'en être une (tu as passé l'âge).
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