#vue paris immeuble
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catbui · 2 years ago
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Paris Living Room Mid-sized transitional open concept light wood floor and beige floor living room library photo with a wall-mounted tv, yellow walls, a standard fireplace and a stone fireplace
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Rénovation appartement à paris 
Imaginez un appartement haussmannien classique, rénové pour allier l’élégance parisienne intemporelle et le confort moderne. L’appartement se trouve dans un immeuble iconique, au cœur d’un quartier chic de Paris, et conserve ses caractéristiques historiques tout en intégrant des éléments contemporains qui subliment son charme.
Caractéristiques architecturales et détails historiques
Les appartements haussmanniens, construits sous le Second Empire français, sont reconnus pour leur grandeur, leurs hauts plafonds et leurs fenêtres imposantes qui baignent les pièces de lumière naturelle. Ce projet de rénovation a pris soin de respecter et de restaurer les éléments architecturaux d’origine, tout en y ajoutant des touches modernes pour répondre aux attentes actuelles en matière de confort et de design.
Les moulures ornées au plafond, si typiques de l’époque, ont été méticuleusement restaurées. Chaque détail raconte l’histoire du bâtiment, que ce soit les corniches finement sculptées ou les rosaces au centre des plafonds, où pendent des lustres élégants. Ces détails sont en parfaite harmonie avec les choix de design modernes, comme les suspensions minimalistes en métal brossé qui illuminent les espaces de vie.
Les parquets en point de Hongrie, en bois massif, ont été poncés et vernis pour retrouver leur éclat d’origine. Leur teinte dorée ajoute chaleur et élégance à l’espace, tout en restant une pièce maîtresse du style haussmannien. Chaque pas dans cet appartement vous rappelle l’histoire et le raffinement du patrimoine parisien, tout en vous enveloppant dans le confort d’un espace moderne et fonctionnel.
L’art de marier ancien et moderne
La rénovation de cet appartement a mis l’accent sur l’équilibre parfait entre les éléments anciens et modernes. Dans le salon, par exemple, les grandes fenêtres à guillotine avec leurs volets intérieurs en bois s’ouvrent sur une vue imprenable de Paris. Les ferronneries d’origine des balcons ont été restaurées et rappellent le charme classique des immeubles haussmanniens. À l’intérieur, un mélange de mobilier moderne en lignes épurées et de touches de décoration plus classiques crée une ambiance à la fois sophistiquée et accueillante.
La cuisine est un excellent exemple de cette fusion des styles. Autrefois une petite pièce fermée, elle a été transformée en un espace ouvert et lumineux, avec des comptoirs en marbre blanc et des armoires sans poignées qui apportent une touche contemporaine. Le contraste entre le marbre élégant et les détails d’origine, comme les carreaux de céramique de la cheminée dans la salle à manger adjacente, crée un effet visuel saisissant. L’éclairage LED sous les armoires ajoute un aspect pratique, tout en soulignant la beauté du marbre.
L’apport de la lumière naturelle et des miroirs
L’une des forces des appartements haussmanniens réside dans leurs grandes fenêtres, qui inondent les espaces de lumière naturelle. Ici, cette lumière est mise en valeur par de grands miroirs stratégiquement placés dans tout l’appartement. Le miroir doré au-dessus de la cheminée est une pièce centrale du salon, reflétant à la fois la lumière et le style raffiné de l’espace.
Dans les chambres, des miroirs contemporains aux lignes géométriques modernes créent une impression d’espace et amplifient la luminosité. La salle de bain, en particulier, bénéficie de ce jeu de lumière. Le marbre blanc utilisé pour les murs et le sol, combiné à des miroirs surdimensionnés, donne l’illusion d’une pièce encore plus vaste et luxueuse.
Une salle de bain luxueuse et fonctionnelle
La salle de bain de cet appartement rénové est un chef-d’œuvre en soi. Les propriétaires ont opté pour un mélange de matériaux nobles et d’éléments modernes. Le carrelage en marbre, une finition classique, se marie à des éléments de robinetterie chromée et minimaliste. Une douche à l’italienne spacieuse occupe une place centrale, avec des parois en verre sans cadre qui renforcent l’impression d’espace.
Le meuble vasque, en bois naturel avec des tiroirs à fermeture douce, rappelle la chaleur et l’authenticité des matériaux d’époque. Le miroir circulaire au-dessus, avec éclairage intégré, ajoute une touche contemporaine tout en assurant une fonctionnalité optimale pour la routine quotidienne. Un mélange de beauté classique et de praticité moderne, qui fait de cette salle de bain un véritable havre de paix.
Chambres à coucher : élégance et simplicité
Les chambres de l’appartement offrent un refuge calme et élégant, dans une palette de couleurs neutres et apaisantes. Les murs sont peints dans des tons doux, comme le beige ou le gris clair, qui mettent en valeur les moulures blanches et les hauts plafonds. Les fenêtres sont habillées de rideaux légers en lin, qui laissent entrer la lumière sans obstruer la vue sur les toits parisiens.
Le mobilier des chambres, bien que contemporain, reste sobre pour ne pas détourner l’attention des détails architecturaux. De grands lits avec des têtes de lit tapissées et des commodes en bois sombre apportent une touche de confort et de luxe.
Optimisation de l’espace et rangement discret
La rénovation a également mis l’accent sur l’optimisation de l’espace. Les appartements haussmanniens sont souvent caractérisés par de grandes pièces, mais avec des rangements limités. Ici, les rénovateurs ont intégré des solutions modernes de rangement, sans compromettre l’intégrité historique de l’espace. Des placards encastrés avec des portes miroir se fondent dans les murs des couloirs et des chambres, maximisant le rangement tout en gardant l’esthétique épurée.
De plus, un système de domotique a été discrètement installé, permettant de contrôler l’éclairage, la température et la musique à travers l’appartement. Ce mélange de technologie moderne et de design classique permet aux habitants de profiter du confort de la vie contemporaine tout en préservant l’élégance du passé.
Conclusion : un joyau intemporel au cœur de Paris
Cet appartement haussmannien rénové incarne à la fois la richesse du patrimoine architectural parisien et le luxe moderne. Chaque élément, des moulures élégantes aux choix de design contemporain, a été soigneusement pensé pour créer un espace qui respire le raffinement et la sophistication. C’est un lieu où le passé et le présent cohabitent en harmonie, offrant à ses occupants le meilleur des deux mondes.
En combinant des éléments historiques soigneusement restaurés et des équipements modernes, cet appartement représente l’idéal de vie parisienne pour ceux qui recherchent un lieu à la fois fonctionnel, esthétique et imprégné d’histoire. C’est un espace où chaque détail a été pensé pour améliorer à la fois l’esthétique et la qualité de vie.
BTP-Design's insight:
Imaginez un appartement haussmannien classique, rénové pour allier l’élégance parisienne intemporelle et le confort moderne. L’appartement se trouve dans un immeuble iconique, au cœur d’un quartier chic de Paris, et conserve ses caractéristiques historiques tout en intégrant des éléments contemporains qui subliment son charme.
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plaques-memoire · 2 months ago
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Plaque en hommage à : Pierre-Jean David d'Angers
Type : Lieu de travail, Lieu de résidence, Lieu de décès
Adresse : 20 rue d'Assas, 75006 Paris, France
Date de pose : 1906 [inscrite]
Texte : Sur l'emplacement de cette maison et des immeubles voisins s'étendait la propriété occupée en partie par l'atelier du sculpteur David d'Angers et par l'hôtel où il mourut le 5 janvier 1856
Quelques précisions : Pierre-Jean David d'Angers (1788-1856) est un sculpteur français. Quittant Angers, sa ville natale, pour Paris après une tentative de suicide, il y remporte rapidement ses premiers succès et le patronage du peintre Jacques Louis David. Il voyage à plusieurs reprises en Europe pour y trouver l'inspiration, et produit un nombre considérable de sculptures, dont le fronton du Panthéon de Paris, s'illustrant comme l'une des figures du romantisme sculptural. Il connaît également une brève carrière politique, mais doit s'exiler après le coup d’État de Napoléon III. Il reviendra en France quelques années plus tard, et meurt des suites d'une santé affaiblie. Nombreuses sont ses œuvres qui peuvent encore être vues dans divers galeries et musées, notamment à Angers (où une galerie porte son nom), mais également à l'international, y compris au Metropolitan Museum of Art de New York.
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recidivelocale · 3 months ago
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Les pétales de Flore.
Chapitre 1 : Madame Cermoir
Paris, avril 1889. La ville se préparait fiévreusement pour l’Exposition universelle, un événement qui marquerait le siècle. Dans les rues pavées du Quartier Latin, une douce effervescence régnait. Les fiacres se croisaient avec les voitures à cheval, tandis que les passants se pressaient sur les trottoirs pour admirer les vitrines des boutiques et les devantures des cafés. La ville se réveillait sous un ciel printanier, baignée d’une lumière dorée qui glissait sur les toits de zinc et les façades haussmanniennes.
Les lilas en fleurs embaumaient l’air, mêlant leurs parfums à celui des marronniers en pleine floraison. La Seine, bordée de peupliers, s’écoulait tranquillement, réfléchissant les premières lueurs du matin. Non loin de là, la tour Eiffel, encore inachevée, dressait déjà sa silhouette audacieuse vers le ciel. Ce "monstre de fer", comme le qualifiaient certains Parisiens, dominait le Champ-de-Mars, défiant le bon goût et les conventions esthétiques.
C’est dans ce décor vibrant de modernité et de tradition que vivait Madame Cermoir, une jeune femme aux ambitions aussi grandes que sa passion pour la botanique. Son appartement se trouvait dans un immeuble élégant de la rue Saint-Jacques, non loin du jardin du Luxembourg. Un quartier calme, principalement habité par des étudiants, des professeurs et des artistes, qui trouvaient ici l’inspiration et le calme nécessaires à leurs travaux.
Madame Cermoir, une jeune femme d’environ trente ans, avait un visage aux traits fins, encadré par une longue chevelure brune soigneusement relevée en un chignon discret. Ses yeux, d’un vert profond, brillaient d’intelligence et de curiosité. Elle portait généralement des robes simples mais élégantes, toujours impeccablement ajustées, reflétant une personnalité ordonnée et méthodique. Sa réputation dans le domaine de la botanique n’était plus à faire : on parlait d’elle dans les cercles savants comme d’une femme de science, brillante et déterminée.
Son appartement situé au dernier étage, était un havre de paix et de raffinement. Les murs étaient tapissés de livres, principalement des ouvrages de botanique, de minéralogie et de zoologie, reflétant la vaste culture scientifique de leur propriétaire. De grandes fenêtres laissaient entrer la lumière du matin, éclairant un mobilier sobre mais élégant. Une large table de travail trônait au centre du salon, couverte de documents, de spécimens végétaux et de carnets de notes soigneusement empilés. Deux chats dormaient paisiblement, lovés dans quelques précieuses fougères et feuilles en attente d’être examinées.
Un petit jardin d’hiver, relié au salon par une porte-fenêtre, offrait une vue sur les toits de Paris. Là, dans ce coin de verdure intérieure, poussaient des plantes exotiques ramenées de ses voyages, témoins de ses explorations botaniques à travers le monde. Des orchidées rares côtoyaient des fougères délicates, et les étagères étaient garnies de pots en terre cuite contenant des semis prometteurs.
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latribune · 5 months ago
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trescalinisur · 7 months ago
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Explorer l'élégance des escaliers parisiens : un guide des escaliers métalliques de Paris
Dévoiler le charme des escaliers métalliques de Paris
Les escaliers métalliques de Paris, élément essentiel du paysage architectural de la ville, dégagent un charme et une élégance inégalés. Ces structures complexes, que l'on retrouve souvent dans les bâtiments historiques et les designs contemporains, ajoutent une touche de sophistication à l'ambiance parisienne.
L'attrait intemporel des escaliers parisiens
De la grandeur de la Tour Eiffel aux rues pittoresques de Montmartre, les escaliers parisiens font partie intégrante du charme de la ville. Fabriqués avec précision et ornés de détails complexes, ces escaliers témoignent à la fois du talent artistique et de la fonctionnalité.
Découvrir la beauté à chaque étape
Chaque montée ou descente d'un escalier métallique paris dévoile une nouvelle perspective sur la ville. Qu'il s'agisse des courbes gracieuses du fer forgé ou des lignes épurées des designs contemporains, chaque escalier raconte une histoire riche en histoire et en style moderne.
Paris, la Ville Lumière, est réputée pour son architecture à couper le souffle, sa culture captivante et son élégance intemporelle. Parmi les nombreuses merveilles architecturales qui ornent ses rues, les escaliers métalliques de Paris occupent une place à part. Ces escaliers, fabriqués avec précision et ornés de détails complexes, ne sont pas seulement des éléments fonctionnels mais aussi des œuvres d'art qui contribuent au charme unique de la ville.
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Les escaliers métalliques parisiens, souvent synonymes escalier parisien, se retrouvent sous diverses formes à travers la ville. Des escaliers en colimaçon ornés dans des bâtiments historiques aux designs élégants et modernes dans des structures contemporaines, chaque escalier ajoute sa propre touche de beauté au paysage parisien.
L'un des exemples les plus emblématiques d'escaliers parisiens est l'escalier en colimaçon de la Tour Eiffel. Ce chef-d'œuvre d'ingénierie permet non seulement d'accéder aux différents niveaux de la tour, mais offre également une vue imprenable sur la ville en contrebas. Avec sa conception complexe en fer forgé, l'escalier de la Tour Eiffel témoigne des prouesses architecturales et du patrimoine artistique de Paris.
Outre les monuments historiques, les escaliers métalliques parisiens se retrouvent également dans les immeubles résidentiels, les musées et les espaces publics de la ville. Qu'il s'agisse d'un grand escalier orné de sculptures élaborées ou d'un design minimaliste aux lignes épurées, chaque escalier reflète le style unique et la personnalité de son environnement.
Pour ceux qui souhaitent découvrir la beauté des escalier parisien, une promenade dans les rues de Montmartre offre de nombreuses opportunités. Ce charmant quartier, connu pour son patrimoine artistique et son atmosphère bohème, abrite de nombreux escaliers qui serpentent à flanc de colline, offrant un aperçu de cours cachées et de ruelles pittoresques le long du chemin.
En conclusion Les escaliers métalliques de Paris ne sont pas seulement des éléments fonctionnels mais aussi des parties intégrantes de l'identité architecturale de la ville. Qu'il s'agisse d'admirer la grandeur des monuments historiques ou de découvrir des joyaux cachés dans les rues de Montmartre, explorer les escaliers parisiens est une expérience qui promet d'enchanter et d'inspirer. Alors la prochaine fois que vous vous retrouverez dans la Ville Lumière, assurez-vous de prendre un moment pour apprécier la beauté de ces structures intemporelles.
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francaistoutsimplement · 7 months ago
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Le personnage de Carmen Cru
Dans une ville moyenne de province inspirée de Tours, vit dans une maison enclavée entre quatre immeubles et cachée derrière de menaçantes barrières, une vieille femme du nom de Carmen Cru, qui profite de son vieil âge et de sa présumée sénilité. Vivant en totale autarcie avec le reste de la société, elle déteste l'humanité, et dans son époque, "années cinquante", symbolise la tranquillité grincheuse de la France profonde.
Abusant de sa supposée décrépitude physique et intellectuelle en s'habillant de vieux habits délabrés (une longue veste boueuse, un tablier sale et troué, un bonnet enfoncé, une robe froissée et raccommodée qui lui donne des airs de sorcière) elle fait en sorte de ne pas payer l'addition dans les bars, de pouvoir déchirer les livres de la bibliothèque en toute impunité et, en général, de profiter de la pitié de ses prochains avec une ruse malicieuse et une méprisable perspicacité.
Danger public lorsqu'elle traverse le village sur son vélo rouillé ou qu'elle passe à proximité d'un chemin de fer, ce personnage acariâtre au visage ridé et coincé entre ses deux maigres épaules, au nez boutonneux et proéminent, aux yeux loucheurs et globuleux, au menton crochu et velu, à la mâchoire édentée et grincheuse, reste tout au long de cette série de huit albums très mystérieuse, ne dévoilant jamais la totalité de son visage à cause d'un bob persistant à rester sur son crâne.
Infâme grabataire, involontaire dame à chats, exploiteuse abjecte de la bonté d'autrui, empoisonneuse de jeunes enfants, cette Carmen Cru peu loquace qui ne décroche jamais le moindre sourire réussit le pari de remplir de tendresse ses lecteurs avertis, grâce aux confidences solitaires qu'elle leur fait parfois sous la plume remarquable d'un Lelong inspiré.
Aucune piste ne permet de savoir son âge, bien qu'elle évoque la Première Guerre mondiale d'une manière qui suggère qu'elle était adulte à cette époque. Malgré cet âge canonique, un médecin constatera non seulement son état de santé juvénile, mais aussi sa vue perçante, sa force impossible et son indélicatesse effroyable. De plus, le lecteur apprend au tome 7 que la mère de Carmen, Barbe Cru, est toujours vivante et semble encore plus insupportable que sa fille.
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Carmen Cru
Lelong
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newmic · 1 year ago
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France - Paris Place des Vosges 4e arrondissement: Non, vous n’avez pas trop bu. Les fenêtres du 11, place des Vosges sont bien tordues…
source : https://www.20minutes.fr/paris/diaporama-8394-photo-888994-immeubles-insolites-paris
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Vue aérienne de la place des Vosges
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La place des Vosges, place Royale jusqu'en 1792 car initialement dédiée au roi Henri IV et finalement, après l'assassinat du roi par François Ravaillac, dédiée à son fils Louis XIII, est une place de Paris dans le quartier du Marais, faisant partie des 3e et 4e arrondissements.Elle est, avec la place des Victoires, la place Dauphine, la place Vendôme et la place de la Concorde, l'une des cinq places royales parisiennes.
Conçue par Louis Métezeau, elle est la « sœur » de la place Ducale de Charleville-Mézières. Il s'agit de la place la plus ancienne de Paris, juste avant la place Dauphine. Il s'agit d'une place fermée, accessible par une rue principale sur un des quatre côtés et deux rues passant sous des pavillons.La place fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 26 octobre 19541 et a bénéficié de la mise en valeur voulue par André Malraux, dans le cadre du PSMV du Marais. Elle est connue pour être le lieu de résidence de plusieurs personnalités issues du monde politique, artistique ou médiatique.
source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Place_des_Vosges_(Paris)
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Place des Vosges, place Royale until 1792 because initially dedicated to King Henri IV and finally, after the assassination of the king by François Ravaillac, dedicated to his son Louis XIII, is a square in Paris in the Marais district, forming part of the 3rd and 4th arrondissements. Along with Place des Victoires, Place Dauphine, Place Vendôme and Place de la Concorde, it is one of the five royal squares in Paris.
Designed by Louis Métezeau, it is the "sister of the Place Ducale in Charleville-Mézières. This is the oldest square in Paris, just before Place Dauphine. It is a closed square, accessible by a main street on one of the four sides and two streets passing under pavilions. The square has been classified as a historic monument since October 26, 19541 and has benefited from the enhancement desired by André Malraux, as part of the PSMV du Marais. It is known to be the place of residence of several personalities from the political, artistic or media world.
source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Place_des_Vosges_(Paris)
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stories-of-c · 2 years ago
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K.
Directeur Technique - 27 ans - Français - Balance
Je ne m'imaginais pas que j'allais commencer mon histoire avec K. Ça a commencé brusquement. En réalité je travaille avec lui. Je le connais depuis un peu moins d'un an à peu près lorsque nous nous rencontrons de manière plus intime. Nous sommes amis au travail, dans la vie aussi. Je me souviens la première fois ou nous avons couché ensemble. J'étais encore avec F., que K connaissait très bien. C'était une belle journée d'été ou nous nous étions promenés pendant des heures, à sillonner les cafés et les bars. Ça n'allait déjà plus avec F. à ce moment et j'ai fauté pour la première fois. Nous nous sommes retrouvés dans l'appartement de K. surplombant Paris depuis les toits. Nous avons dansé, chanté puis nous nous sommes embrassés avant de niquer. Niquer, c'est véritablement le mot. je me souviens être rentrée chez moi le soir même en ayant eu l'impression d'être souillée. véritablement. Je l'ai revu une deuxième fois, la veille de retrouver F. pour lui annoncer que je partais. Je me souviens encore mieux de ce moment. J'étais dans le métro après une journée de travail pour me rendre chez moi. K., mon plus précieux confident avait l'habitude de m'accompagner jusqu'a mon arrêt lorsque nous quittions l'agence ensemble. Je me souviens être stressée de la préparation de cette rupture et lui m'inviter à boire un coup pour me détendre. Les portes s'ouvrent, nous descendons tout deux à mon arrêt : direction le bar en bas de chez moi. Nous mangeons, nous buvons, nous marchons : il m'attrape dans une ruelle et m'embrasse. A ce moment je le repousse puis me laisse aller pour me laisser faire.
J'écris ce texte, nous sommes le 30 décembre 2022 avec les souvenirs de ces soirées ayant eu lieu en juillet. Nous sommes montés chez moi. Je luttais pour ne pas me laisser faire à ces caresses. Nous sommes montés sur le toit de mon immeuble, nous avions une vue imprenable sur Paris et nous nous sommes encore embrassés. Finalement nous avons couché ensemble. K. est un homme bestial, terriblement bestial. Trop bestial, beaucoup trop bestial.
Je me sens la véritable soumise de ces désirs. Parfois je peux même me dégoutter. Il est parti en oubliant tout derrière lui. Il est repassé le lendemain matin boire un café et récupérer ses affaires. Depuis nous n'avons plus jamais couché ensemble. Je n'en ai pas envie. Il me rend sale. En revanche à plusieurs reprises lorsque nous rentrons ensemble ou dans les couloirs de l'agence lorsque nous sommes seuls, il me prend, m'enlace et m'embrasse fougueusement. Pour moi K. représente l'un de mes meilleurs amis. J'aime rire avec lui, lui taxer des cigarettes, lui caresser les cheveux, aller au théâtre, aller flâner ou nous promener. Il me demande souvent. Il nourri cet espoir permanent de goutter encore ma chair. Et toujours se frustre à ses fantasmes. Il m'a fantasmé plusieurs fois le rejoindre en Italie ou chez lui, et me fais la gueule en rentrant parce que je ne suis jamais venue. Voilà mon histoire avec K. - qui apparaitra quelque fois dans l'histoire d'autres hommes. 07-2022
C.
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mesillusionssousecstasy · 4 years ago
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11:52 pm : Vue depuis le Beaubourg - Paris, novembre MMXVI. 
(© Sous Ecstasy)
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thecityof-light · 7 years ago
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focusmonumentum · 3 years ago
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Maxim’s
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Au numéro 3 de la rue Royale, entre Concorde et Madeleine, se trouve accolé à l'Hôtel de Coislin un immeuble en pierre de taille, construit en 1770 par l'architecte Etienne-Louis Boullée, lors de l'élévation de la rue. Il s'agit aujourd'hui de l'entrée principale de "Maxim's", un temps considéré comme le restaurant le plus célèbre du monde.
D'abord un hôtel particulier, dit de Richelieu, le duc y ayant vécu. Le rez-de-chaussée accueille un glacier italien à la fin des années 1880, puis un bistrot-relais pour cochers de fiacre. Il devient café-glacier en 1893, après son rachat par Maxime Gaillard et son ami Georges Everaert, à l'enseigne de "Maxim's & Georg's", selon l'usage de la Belle Époque d'angliciser les noms des tenanciers (cf. Le Fouquet's). Inspiré par son expérience de barman au "Reynolds" voisin, Maxime dote l'établissement d'un bar américain. Après le départ de Georges, le café prend finalement le nom de "Maxim's". Attirant une jeunesse dorée assidue aux champs de courses, Maxime Gaillard s'endête considérablement (sa clientèle mondaine "oubliant" très souvent de régler son ardoise), jusqu'à se suicider en 1895, à l'âge de 33 ans, léguant son bien à son maître d'hôtel Eugène Cornuché. Celui-ci lance alors de grands travaux, faisant appel aux artistes en vogue de l'École de Nancy, souhaitant adapter le café à la mode éphémère de l'Art nouveau, en vue de l'Exposition universelle de 1900 approchant. La devanture et la salle sont alors transformés, le café devient un restaurant, adjoignant un piano au bar et des "chambres d'amour" à l'étage, avec courtisanes à résidence, comme la Belle Otéro... Le bouche à oreille est fulgurant : on s'y presse tant pour sa cuisine que pour sa décoration, pour son atmosphère et pour sa fréquentation... S'y mêlent grands bourgeois et têtes couronnées, artistes renommés et nouveaux fortunés. La salle verra passer Édouard VII, Marcel Proust, Mistinguett, Jean Bugatti, Sacha Guitry, Jean Cocteau... dont l'ami Octave Vaudable, restaurateur auvergnat, rachète le lieu en 1932, imposant le port de l'habit et favorisant une clientèle "select", bien souvent d'habitués. Sous l'Occupation, il devient le restaurant privilégié des officiers allemands... Après-guerre, de nombreuses stars du cinéma ou de la musique s'y côtoient, Marlène Dietrich croise Martine Carol, Maria Callas y dîne souvent avec son amant Aristote Onassis. Dans les années 50 à 70, le fils d'Octave Vaudable, Louis, donne à Maxim's ses lettres de noblesse, étoffant gastronomiquement son menu, ainsi que ses prix... De nombreuses créations culinaires furent intégrées à la carte, comme la crêpe Veuve Joyeuse, la selle d'agneau Belle Otéro, le soufflé Rothschild... Aller dîner chez Maxim's devient alors un passage obligé pour tout riche touriste de passage à Paris, le chic ultime, le nec plus ultra. Maxim's est synonyme de superlatif. En 1977, Louis Vaudable et sa femme Magguy, ancienne journaliste assurant la communication de l'établissement, s'associent avec le couturier Pierre Cardin, créant la "griffe" Maxim's, se déclinant depuis en produits de luxe, arts de la table, linge de maison, vêtements et autre produits dérivés... désormais vendus à la boutique attenante. François Vaudable, le fils de Louis, vend l'affaire à Pierre Cardin en 1981. L'homme d'affaires ouvre alors sept autres restaurants Maxim's de par le monde, de Bruxelles à Tokyo, celui-ci devenant alors le "Maxim's de Paris". Un Musée Maxim's y est ouvert, couvrant les trois étages surplombant le restaurant, étalant sur plus de 350m2, en des appartements reconstitués dans leur état 1900, la plus grande collection française privée d'Art nouveau, avec des oeuvres, objets d'art et mobilier attribués à de grands noms tels que Toulouse-Lautrec, Sem, Louis Majorelle, Emile Gallé, Hector Guimard, Tiffany & Co... Maxim's fut également un grand lieu d'inspiration pour de nombreuses plumes, au fil des décennies, de La Dame de chez Maxim, le célèbre vaudeville de Georges Feydeau, au Chasseur de chez Maxim's, le film de Claude Vital avec Claude Gensac et Michel Galabru, en passant par la chanson Maxim's, composée par Serge Gainsbourg et chantée par Serge Reggiani, mais aussi le sketch de Popeck, Le diner chez Maxim's, fixant dans l'imaginaire populaire le fantasme du restaurant de luxe, inabordable et inaccessible, mais ô combien désirable. Désir d'ailleurs mis en scène dans de nombreux films, comme Gigi, de Vincente Minnelli, Chéri, de Stephen Frears, ou encore Minuit à Paris, de Woody Allen. 
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La salle principale du restaurant, comme figée dans le temps, nous offre une riche décoration de fresques murales marouflées, placages d'acajou, miroirs biseautés, ornements de cuivre et de bronze représentant volutes et entrelacs végétaux... Tout concorde à une représentativité absolue de l'Art nouveau, jusqu'à cette magnifique verrière sommitale, décorée de feuillages et floraisons, comme d'un éternel printemps, celui de la Belle Epoque. Lors du remplacement des fameuses banquettes rouges, à la fin des années 50, les ouvriers font la découverte, entre le dossier et l'assise, de nombreux louis d'or, bijoux, diamants, saphirs, rubis... Un véritable trésor, égaré par les nonchalantes précieuses élégantes du début du siècle, insoucieuses de ces pertes, car remplacées par de nouveaux présents de prétendants dès le lendemain... Une certaine idée du luxe. 
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Nous remercions spécialement Pierre Pelegry de nous avoir permis d’entrer dans cette institution afin d’avoir photographié cette magnifique salle. 
Crédits : ALM’s
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alexar60 · 3 years ago
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Un ciel rempli d’étoiles
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Ils étaient vingt répartis en quatre groupes de cinq à quitter Paris. Le but était de ne pas alerter l’ennemi qui occupait l’extérieur de la ville. Dès qu’ils sortaient, il y avait à coup sûr, un carnage. Alors, pour augmenter les chances de réussite, les groupes prirent des directions différentes devant atteindre un point de rassemblement avant quatre jours.
La Compagnie de Sam fut la première à atteindre l’objectif. Ils étaient passés par le nord en suivant l’ancienne ligne 4 du métro jusqu’à la station Porte de Clignancourt. Ensuite, il fallut surveiller les arrières en traversant les égouts reliant la Seine-Saint Denis. Et à partir de là, le danger commençait car ils étaient obligé de sortir en pleine rue et traverser les villes. Dès lors, Sam et ses hommes allèrent d’immeuble en immeuble, prenant leur temps, scrutant à chaque coin de rue. Etonnamment, ils rencontrèrent très peu de ces monstres. L’un d’eux fut même à portée de fusil. Mais, pour ne pas révéler leur présence, ils le laissèrent tranquille à dévorer ce qui parut être une carcasse de chien.
La jonction devait se faire dans un bois signalé par un éclaireur. Les arbres permettaient une certaine protection et il était possible de grimper grâce à leurs cordages spécialement préparés pour l’occasion. Tout le monde se reposait sauf Mathieu qui gardait le camp improvisé. Il utilisait une paire de jumelles classique. Lorsqu’il aperçût une ombre lointaine, il siffla réveillant le reste du groupe. A ce moment, il n’était plus question de se la couler douce ; ami ou ennemi, ils se devaient de le recevoir. Sam grimpa à l’arbre le plus proche avec une facilité déconcertante, rejoint par Louis, son second. Les autres étaient cachés dans d’autres chênes.
Mathieu observait l’ombre avancer. Il n’arrivait pas à distinguer à travers le brouillard perpétuel s’il s’agissait d’un humain ou une de ces choses qui avait envahi la Terre, enfin, qui était apparu sur Terre du jour au lendemain, après le grand cataclysme. Il retint son souffle dans le but de contrôler sa peur. Soudain, il soupira en sifflant deux fois pour prévenir qu’il n’y avait aucun danger. Cependant, il resta en alerte au cas où les arrivants étaient suivis.
Leurs casques empêchaient de savoir de quelle compagnie il s’agissait. Une fois arrivée au camp, Sam appela puis il descendit aussi facilement qu’il était monté. Les nouveaux s’assirent, retirèrent leur casque. Dans un long mouvement, les cheveux longs d’Agnès se dévoilèrent aux yeux de tous. Elle passa ensuite ses doigts dans sa tignasse, regrettant de ne pas avoir de peigne. De son côté, Cybèle venait de boire une gorgée avant de tendre sa gourde à Etienne, son compagnon dans la vie,
-          Vous n’êtes plus que trois ? demanda Sam.
La jeune femme aux cheveux longs répondit en baissant la tête laissant Etienne expliquer leur situation.
-          Les égouts sont infestés à partir de Colombes. On a perdu les deux autres à cause de ça. Ils étaient en avance et se sont retrouvés dans un nid. Ils…
Il déglutit et, réalisant qu’il lui était difficile de continuer, Sam préféra couper la parole en murmurant qu’il était désolé. Charly offrit un peu de nourriture aux filles et à Etienne. C’était de la viande séchée dont l’origine reste à déterminer. Le goût salé permettait de l’avaler sans se poser de question. Le groupe reprit sa sieste alternant les gardes, et tout en espérant que les autres arriveraient bientôt. Hélas, après quatre jours, il fallait se rendre à l’évidence, ils ne viendront jamais!
La traversé de la forêt se fit dans d’étranges conditions. En fait, ils n’étaient pas habitués à marcher dans un endroit pareil. Ils étaient dehors dans un semblant de sécurité car, les bruits, la peur de voir surgir les monstres, gagnaient leur tripe. Toutefois, quelque-chose parut agréablement anormale ; d’habitude, les monstres détruisaient toutes formes de vie et à ce moment, ils entendirent des chants d’oiseaux. De plus, la brume qui avait envahi la capitale semblait se dissiper autour d’eux, leur permettant de voir plus loin.
Deux jours passèrent avant qu’ils ne quittent enfin la forêt. Les huit compagnons traversèrent une prairie puis ils pénétrèrent les restes d’un village. Peu avant, Théo, leur éclaireur, vérifia l’endroit sans trouver trace de qui que ce soit. Le hameau n’était pas grand. Ils visitèrent les quelques maisons encore intactes, découvrant des restes humains dans un salon. Cybèle fut captivée par des photos posées sur une étagère. Elle prit l’un des portraits, celui d’une petite fille qui lui rappelait son enfance. Elle était habillée d’une robe d’été rose et blanche. En fait, elle reçut la même tenue pour ses cinq ans. C’était deux mois avant le début de la fin.
-          Tu crois qu’on la trouvera cette Avalon ?
Tout en posant le portrait, elle regarda Agnès qui venait de poser la question.
-          Je ne sais pas.
-          Et si elle n’existait pas ? Si c’était juste une légende ?
-          On ne serait pas là, ne crois-tu pas ?
Les ordres de départ étaient simples. Trouver la forteresse appelée Avalon et qui tiendrait tête en plein air à ses monstres. Pendant longtemps, les rescapés de Paris pensèrent qu’il s’agissait d’une légende comme tant d’autres ; un espoir pour continuer à survivre. Aussi, lorsqu’un inconnu se présenta et annonça avoir vu la fameuse citadelle, le commandement décida d’organiser une expédition afin de prendre contact avec Avalon.
Les deux jeunes femmes allaient rejoindre le reste du groupe lorsque la voix de Sam résonna.
-          On reste ici pour la nuit ! Il se fait tard, et je ne veux pas qu’on se retrouve à découvert surtout qu’on ne sait rien d’ici.
La maison qui sembla la mieux protégée fut nettoyée. De plus, on renforça la sécurité en posant quelques mines portatives dans la rue et dans le jardin. Les soldats bivouaquèrent dans la plus grande salle et fatigués, ils s’endormirent se relayant à tour de rôle.
Cybèle se réveilla brusquement. Elle venait de faire un cauchemar dans lequel elle revit le massacre de ses compagnons. Elle regarda les autres qui dormaient dans leurs sacs de couchages, essuya son front et se leva en découvrant que c’était Etienne qui faisait le guet. Il était assis sur le balcon, observant de temps en temps au loin à l’aide de ses jumelles. Reconnaissant le pas de sa fiancée, il ne tourna pas la tête. Il embrassa la main qui caressa sa joue sans quitter son regard sur l’horizon.
La guerrière s’assit et se blottit contre lui. Cependant, il restait concentré sur les champs à perte de vue. La forêt n’était plus visible en raison de la nuit. Par contre, il n’avait jamais connu une clarté pareille en pleine nuit. Cybèle leva la tête et dit :
-          C’est beau, toutes ces étoiles.
Dès lors, il leva les yeux au ciel et sourit. Son bras droit enlaça la jeune femme. Ils étaient admiratifs de ce ciel étoilé. En fait, ils n’en avaient pas vu depuis si longtemps, peut-être jamais car avant le cataclysme, Paris était déjà dans un brouillard épais. Elle contempla longuement la voute céleste, observant chacune des étoiles. Elle avait entendu parler d’étoile filante et espérait que l’une d’elles bouge brusquement.
-          La lune est belle aussi, susurra Etienne.
-          Pas si belle que celle-là, dit-elle en montrant du doigt une étoile brillante. Tu crois qu’elle est loin ?
Il ne répondit pas, préférant surveiller la plaine. Il venait d’entendre un bruit sourd qu’il n’aimait pas.
-          Tu crois qu’il y a des mondes là-bas et qu’ils vivent en paix ?
-          Chut ! Va réveiller Sam, s’il te plait !
Au loin, une forme venait de bouger. Il était grand, large et se dirigeait vers le village. Grâce à la luminosité du ciel, Etienne distingua une seconde forme mobile, plus petite. En fait, il y en avait une dizaine qui avançait dans leur direction. Peut-être plus. Il régla les jumelles, regarda ces choses. Il se doutait que les monstres avaient senti leur présence et les avaient pistés. Il en arrivait encore d’autres. Plus nombreux, une cinquantaine. Cybèle réveillait le reste de l’escouade lorsque Sam rejoignit son amoureux. Il porta ses jumelles aux yeux et soupira en réalisant qu’ils devraient se battre. Il prit son fusil à lunette, visa le grand monstre et, dit : « J’ai toujours rêvé de mourir sous un ciel rempli d’étoiles » avant de loger une balle en pleine tête de la bête qui s’effondra devant le reste de la meute.
Alex@r60 – août 2021
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vieillesboutiques · 3 years ago
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Façade d'immeuble 24, rue de la République, Lyon, Rhône. Vue prise depuis la rue de la République. Immeuble compris entre les rues Tupin et Grenette. En façade, publicités pour la société anonyme "A la Parisienne" (confection pour hommes) et pour les Galeries Lafayette (de Paris).
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latribune · 6 months ago
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trescalinisur · 1 year ago
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