#Prix porte vitrée
Explore tagged Tumblr posts
Text
Maximiser le Style et la Sécurité avec des Options en Verre et Métal à Paris
À Paris, où l'architecture et le design sont souvent célébrés, il est crucial de choisir des éléments qui non seulement ajoutent à l'esthétique, mais aussi à la fonctionnalité et à la sécurité de votre espace. Deux éléments clés qui peuvent transformer votre intérieur ou extérieur sont les portes vitrées et les garde-corps en inox vitrés, ainsi que les escaliers métalliques.
Prix des Portes Vitrées
Les portes vitrées sont des éléments élégants qui ajoutent de la luminosité et de l'espace à n'importe quelle pièce. Leur coût varie en fonction de divers facteurs tels que la taille, le matériau du cadre et le type de verre utilisé. À Paris, où le design est souvent une priorité, les portes vitrées de qualité supérieure peuvent être un investissement qui en vaut la peine. Assurez-vous de rechercher des fournisseurs réputés qui offrent des produits de qualité à des prix compétitifs.
Prix porte vitrée (Prix des portes vitrées)
Les portes en verre offrent un mélange parfait d'élégance et de fonctionnalité, permettant à la lumière naturelle d'inonder votre intérieur tout en conservant un look élégant et contemporain. Lorsqu’on considère le prix des portes vitrées (Prix porte vitrée), plusieurs facteurs entrent en jeu, notamment la taille, le design, la qualité du verre et les coûts d’installation. S'il est essentiel d'investir dans des matériaux de haute qualité et une installation professionnelle, les avantages à long terme en matière de durabilité, d'efficacité énergétique et d'esthétique font des portes vitrées un investissement rentable pour toute propriété parisienne.
Garde-Corps en Inox Vitré
Les garde-corps en inox vitré offrent une combinaison parfaite de style et de sécurité. Ils sont idéaux pour les balcons, les terrasses ou les escaliers intérieurs. En utilisant l'acier inoxydable, ces garde-corps offrent une durabilité exceptionnelle tout en ajoutant une touche moderne à votre espace. Comme pour les portes vitrées, le coût des Garde corps vitré inox peut varier en fonction de la taille et du design. Mais investir dans la sécurité de votre maison ou de votre entreprise en vaut toujours la peine.
Escaliers Métalliques à Paris
Les escaliers métalliques sont un choix populaire à Paris pour leur esthétique industrielle et leur durabilité. Que ce soit pour un loft moderne ou une maison classique, les escaliers métalliques peuvent s'adapter à différents styles et espaces. En choisissant un escalier métallique, vous investissez dans un élément qui résistera à l'épreuve du temps tout en ajoutant une touche contemporaine à votre intérieur.
Escalier métallique Paris (Escalier Métallique Paris)
Un escalier métallique accrocheur (Escalier métallique paris) peut servir de point focal dans votre maison ou votre bureau, ajoutant une touche dramatique et de style à la conception globale. Que vous préfériez un escalier élégant et moderne ou un look plus d'inspiration industrielle, les escaliers en métal offrent une polyvalence en termes de design et de fonctionnalité. À Paris, où l'espace est souvent limité, opter pour un escalier métallique permet d'utiliser efficacement l'espace sans faire de compromis sur l'esthétique. Collaborer avec des designers et artisans expérimentés à Paris garantit que votre escalier métallique répond non seulement à vos préférences de conception, mais respecte également les normes de qualité et les règles de sécurité.
En Conclusion
que vous recherchiez des portes vitrées pour maximiser la lumière naturelle, des garde-corps en inox vitré pour combiner style et sécurité, ou des escaliers métalliques pour ajouter une touche moderne à votre espace parisien, il est important de considérer à la fois l'aspect esthétique et fonctionnel de ces éléments. Bien que les prix puissent varier, investir dans des produits de qualité peut transformer votre espace et ajouter de la valeur à long terme.
0 notes
Photo
Lundi
J’envie les beaux cieux qui s’invitent aux fenêtres de ma fille. Et j’envie les t-shirts de ses kids. Nous sommes installés depuis une dizaine de jours à Kyôto et ne nous perdons plus dans l’enchevêtrement des rues et ruelles (sans plaques) de notre quartier. Nous commençons même à y avoir nos habitudes, comme la visite quasi-quotidienne à la boulangerie allemande qui propose du vrai pain et de bonnes viennoiseries. Le Kid a passé la journée avec nous. Non content d’être un amour de garçonnet, c’est un excellent guide et un précieux interprète. Quand nous l’avons ramené chez lui, sa mère a insisté pour nous garder et nous faire profiter de mets rares, voire introuvables ici (ou à prix d’or), tels que poulet rôti, ratatouille provençale, et sélection de fromages français. Impossible de résister. La veille, elle nous avait régalés de charcuteries hexagonales et d’une tourte au mont d’or. Repus, nous avons regagné de nuit notre maison signalée par une antique lanterne. Celle-ci est 100% nippone, avec ses nombreuses petites pièces cloisonnées de portes vitrées coulissantes et dépourvues de tout mobilier, si ce n’est la table basse chauffante (kotatsu) du séjour. On vit sur les tatamis et on dort sur les futons. Le lavabo est une auge en pierre et les toilettes et la salle de bain sont situées dans une petite cour couverte. Le dépaysement est total, avec toutefois une bonne connexion internet et une climatisation très efficace. J’ai réquisitionné une pièce à l’étage pour y installer ma station radioamateur (je possède une licence et un indicatif officiel japonais). Dans 3 ou 4 jours, nous déménageons dans une autre maison traditionnelle toute proche. Et demain, c’est virée en ville. L’aventure continue...
9 notes
·
View notes
Text
Belle villa d'architecte F7 de 299 m2 vue mer avec annexes extérieur et piscine dans les hauteurs de Mahina – à découvrir !
Belle villa d'architecte F7 de 299 m2 vue mer avec annexes extérieur et piscine dans les hauteurs de Mahina – à découvrir ! Villa d’une surface habitable de 222 m2, comprenant: - 1 Salon cathédrale de 33 m2 avec de belles portes-fenêtres coulissantes et ses baies-vitrées laissant entrer une belle luminosité et une belle vue sur la mer et Moorea, - 1 Cuisine de 14,50 m2 ouverte, avec son ilot, sur la salle à manger de 18 m2, - Toilettes - 1 Suite parentale de 18 m2 "climatisée" donnant sur un balcon, (avec dressing et salle d’eau/wc de 8 m2 chacun) - 2 jolies chambres "climatisées" ouvertes sur la terrasse, l’une de 12 m2 et l’autre de 16 m2, - 1 chambre "climatisée" de 10 m2 avec vue mer, - 1 chambre/bureau de 8 m2 - 1 salle d’eau/wc de 8m2, Et 1 salle de loisirs insonorisée home-cinéma/ karaoké et son bar en sous-sol de 45 m2 donnant une vue dans la piscine. + En extérieur : - Grande terrasse en deck de 25 m de long donnant une jolie vue vers la mer - Salon de détente sous un faré pote’e sur la terrasse - Piscine - Salon couvert et ouvert sur le boulodrome - Boulodrome - Jacuzzi sous faré pote’e sur une terrasse - Cuisine équipée de 10 m2 sous faré pote’e - Salle d’eau couverte avec toilettes de 7 m2 - Buanderie couverte de 10 m2, - Cave de 14,50 m2 avec une belle hauteur sous plafond - Abri de 36,50 m2 pour 3 voitures, - Parking pouvant contenir 5 véhicules supplémentaires Le tout sur un terrain clos de 820 m2 environ, avec portail électrique et interphone. Construction de 2003, en dur, charpente métallique avec toiture en tôles ondulées prélaquées. (Chauffe eau solaire, présence de la fibre optique) CHARGES: Impôt Foncier: 130 140 XPF / AN Charges syndicales du lotissement : 45 000 XPF / AN - Maison saine, bien entretenue, pas de travaux à prévoir. - Environnement calme dans un beau lotissement – Commodités à 6 km: Ecoles, commerces, médecin, plage… - Cette maison offre également un très bon investissement locatif à l'année ou en saisonnier. Prix: SOUS DEMANDE (Maison vendue entièrement meublée/équipée possible) Pour de plus amples informations et convenir d'un rendez-vous, Cabinet Levy – Nicolas – Tel: 87 32 46 29 / [email protected] Read the full article
0 notes
Text
Quelque chose a glissé. La routine des gestes résiste aux dérèglements, son glacis reste longtemps intact avant qu’on ne réalise les abîmes qui se sont creusées sous sa surface. J'arrive échevelée mais toujours à l'heure, presque toujours. Les billets sont dans ma poche arrière de jean ou de veste s'il fait assez frais pour la garder. Je laisse ma sacoche de vélo, mon casque et mes souliers dans l'entrée. Le téléphone est quelque part, peu importe où du moment qu'il soit en mode silence. Je récapitule la ronde à accomplir en attendant qu'il vienne ouvrir la porte. Toujours la même façon de le faire, d'un peu loin en ��tirant son long bras vers la poignée tout en tenant le reste du corps hors du sas de l'entrée mais penché vers la porte, pas le choix. J'imagine que c'est sa manière de garder ses distances, d'assumer jusque dans l'accueil cette position qu'il a d'être en retrait, en arrière de ses analysant·es. Je rentre, il est déjà engagé dans le couloir pour me précéder dans son bureau dont il ferme la porte derrière moi tandis que je m'avance en passant les doubles portes françaises vers le cabinet d'analyse. Je me glisse sur le divan, toujours très vite et complètement. Le soleil de l'automne tombe en plein dans la fenêtre en face de moi, je garde mes lunettes de soleil. Je vérifie que tout est en place, avec la même sensation que quelque chose a légèrement glissé. Ça n'est pas le tableau au-dessus du divan composé d'éléments de cases de typographe réagencées à la manière constructiviste russe dans un cadre massif. Avant que ce truc ne bouge, il faudra trouver des bras. La bibliothèque vitrée est-elle un peu plus de biais ? Non le regard de Freud sur la photo filtre toujours juste au-dessus de mon pied gauche. Les plantes peut-être ? L'une d'elles est si massive qu'il faut bien qu'elle grossisse et pourquoi pas d'une semaine à l'autre. Je ferme les yeux et immédiatement la fatigue du long shift de brasserie jusqu'au petit matin me rattrape. Je voudrais demander si je peux dormir. Si je venais plusieurs fois semaine, je crois que je m'autoriserais un petit roupillon mais je ne viens qu'une seule fois. J'ai négocié le prix de la séance (50$) et je ne peux m'engager à plus. Ou je ne veux pas. Il a une fois rattrapé une séance que nous avions loupée à cause d'une grippe qui l'avait couché. Cette semaine à double entrée a insidieusement bouleversé l'ordre que nous avions établi. J'imagine qu'il voudrait que nous passions à deux fois semaine. Je pars rapidement à la fin de la séance alors que lui essaie avec lenteur de retarder le départ, il veut jaser. Il me suit dans le couloir et commente ma sacoche laissée ouverte, « à la vue », mes carnets sur le dessus, bien visibles en effet. Je file en disant à la prochaine, je pense en remettant mes souliers «Ah non ! Pas deux fois. »
0 notes
Text
Best I ever had
Je prends l’autobus pour monter à Montréal habituellement. Je choisie toujours un siège dans les trois premières rangées, à droite, collée sur la fenêtre. Je mets mes écouteurs, glisse ma tuque par dessus mes oreilles et j’active la playlist ‘’Décapotable’’ que j’ai soigneusement crée après une couple de bières de balcon aux framboises. C’est souvent celle-là que je mets quand je fais de la route, ça donne le goût de rouler jusqu’au bout du monde dans une vieille Ford Thunderbird, le soleil brûlant avec The pina colada song qu’on crie à tue-tête.
Dans ma liste des vingt choses qui me rende le plus heureuse, y’a : être côté passager en voiture, les fenêtres baissées, pieds nus sur le hood même si c’est dangereux avec du gros emo. Y’a juste les vieux messieurs chauves pis les Cécile, Colette, de ce monde qui s’impatiente au volant à cause du trafic pis qui te dévisage à une intersection. Avoir un orgasme qui ne finit plus, s’étirer et sentir son corps se détendre d’un trait, dormir coller avec un pitou dans des draps frais lavés, se réveiller sans cadran, se baigner dans une canicule, recevoir un colis, trouver le titre d’une chanson qu’on cherchait depuis longtemps. Toute ça, c’est synonyme de bonheur. Pense à quand t’es dans le taxi avec tes chums de filles à 11:30 le soir, pompettes pis que Femme like U de K-maro start. Calisses-toi de tout ce qui se passe autour pis concentre-toi sur ce qui compte quand tu chantes fort, des vieux hits en civic ou dans le mini van de Mr.taxi-coop. Pense au vent qui te rafraîchit le visage, le ciel immense avec des nuages irréels comme dans le générique des Simpsons. Pense à ta première ride de coffre, ton premier road trip dans le maine, ton premier french sur la banquette arrière. Pense-y, c’est sur qui avait une chanson qui jouait. Pense à toutes les fois où t’as pleurée, dormie ou vomis dans l’auto. À combien de fois t’as frappée dans le toit du char en passant sur une jaune-qui-vire-rouge pour cinq minutes de sex. Pense au sentiment de bonheur illimité que tu ressens quand tu croises ton regard dans le rétroviseur, shades on et que ta chanson préféré star à la radio. Quand tu ramènes tes potes défoncés en vie chez eux. Aux frissons qui se dressent sur tes bras quand tu passes sur un pont, en plein déluge. Quand tout ce que tu vois, c’est des feux de circulations brillants, du brouillard et une main qui se pose sur ta cuisse pour te rassurer alors que tu ne t’es jamais sentie aussi vivante qu’à ce moment précis-là.
-
Jeudi je suis montée à Montréal. J’en pouvais plus d’attendre, j’avais envie de voir le soleil se coucher sur ta peau, se réveiller sur tes cheveux couettés même si le rideau cache presque toute la lumière. J’avais envie qu’on jase dans les lazyboys comme deux retraités. Qu’on se raconte des secrets, qu’on ris, qu’on se fixe dans les yeux, qu’on pleure. J’ai pris le train pour la première fois de ma vie. Je me suis assise du côté de la fenêtre, le front collé contre la vitre. Je prends toujours un transport qui est offert l’après-midi. Comme ça, durant le voyage, j’ai la chance de voir le soleil qui brille de toutes ses forces derrière le ciel rempli de nuages couleur barbe-à-papa. Je me souviens de la toute première fois que j’ai fais le trajet, j’avais le coeur qui voulait me sortir de la poitrine. Le bus était arrivé sur l’Île vers 21h, un soir d’automne. J’avais choisie I miss you de Blink 182 comme chanson pour créer un moment magique. Les néons du pont Jacques Cartier éclairait toute la ville, reflétait sur les buildings vitrés et créait des petits motifs sur la rivière. J’ai presque été émue. En train, y’a pas grand paysage à voir mise à part des galeries de maison, des ruisseaux et beaucoup de verdure.
Je suis descendue à la gare de train, y devait faire trente-deux, aucune air clim là-bas ça l’air. J’suis allée me rafraîchir vite-vite aux toilettes pis je t’ai écrit : J’ai take a cab j’arrive dans 2, ou quelque chose qui ressemble à ça. J’écoutais du Drake pour me mettre un peu dans le mood pis me donner du courage. T’es venu m’ouvrir la porte avec tes yeux endormis, ton linge tout frippé. T’avais l’air de rien mais y’a suffit d’un seul regard pour que les feux d’artifices me pogne en dedans. Tu me fais penser à New york la nuit.
Si on avait pu, j’aurais fais le plein de gaz pis je nous aurait payer l’exil, le bonheur à petit prix. On se serait arrêtés en région pour un sac de bretzel pis deux grandes slush. Le genre de dépanneur où y’a quatorze sortes de saveurs, même le traitement de choc qu’on abuserait à rendre toute ça inbuvable. On aurait sirotés nos slushs trop sucrées en criant du Céline dans les rues désertes, surtout la sixième chanson de 1 fille & 4 types. Je t’aurais dit de prendre la prochaine sortie, la bouche gelée, la langue bleue, le coeur qui palpite, les lèvres qui, étrangement, brûlent d’envie de te lècher partout. On se serait frenchés, tout collants, sur la banquette arrière avec la brise de dehors, du gazon mouillé et du doux parfum du lilas. On aurait roulés toute la nuit, on se serait arrêtés dans le trou de cul du monde pour boire des bières qui goûtent la marde mais qui saoule. Tu m’aurais montré comment utiliser un gros fusil dans le bois où c’est safe, on puerait le spray anti moustique mais j’aurais quand même le goût de me rapprocher la tête sous ton aisselle pour que tu me serres fort.
Des fois, je rêve à toi, mes souvenirs se mélange avec des affaires qui arriveront peut-être jamais. Mais là c’est bien réel, je suis là avec toute la tension accumulée en moi depuis deux mois et demi pis tout c’que j’ai envie de faire c’est de te regarder pis de t’dire à quel point j’me suis ennuyé. How gay. T’as dis deux-trois niaiseries qui m’ont turn-on après avoir glissé mes cheveux derrière mon oreille gauche. On a baisés presque toute habillés, trop pressés. Mon linge me brûlait sur le corps mais pas autant que l’empreinte de tes doigts posée un peu partout sur ma peau sur laquelle tu t’enfonçais comme dans un bac de sable mouvant. On a ramassés les canettes vides qui traînaient sur ta table de chevet pour en mettre de nouvelles. On a écoutés Ponyo, j’étais aussi sleepy qu’elle quand elle mange son morceau de jambon. On a fait un peu de karaoké, je t’ai regardé jouer à skate3. On a fait un quiz sur la bouffe jusqu’à temps qu’on commence à s’endormir. On s’est rappelés des affaires des trois dernières années, ça m’as donné le goût de te frencher, raide. T’as dis que j’étais mignonne, t’as pas aidé mon cas. T’as glissé ta main entre mes cuisses avec ton autre main sur ta tablette comme si de rien était. Je somnolais mais je t’ai laissé faire. J’ai bougée un peu sous tes carresses, je t’ai dis de me déchirer les sous-vêtements. T’as fais attention, tu m’as embrassé partout. T’as go down. T’as synchronisé ta langue parfaitement avec l’agitation de tes deux doigts. Je suivais tes mouvements avec ma main dans tes cheveux. Je t’ai ramené vers moi. T’as été doux comme jamais. J’aurai été game de te dire que je t’aimais, pour de vrai, tout le long. On a pariés sur le nouvel album de Bones pis quelle tune allait être la meilleure, on a gagnés les deux. J’ai pleurée, t’as essuyé le dessous de mes yeux, t’as mis de la crème dans les coins, sous mon nez irrité. T’as mis Best i ever had de Drake, chercher le boutte où y parle de sweatpants, de cheveux couettés pis de makeup qui a coulé suivie d’un ; that’s when you’re the prettiest. T’as souries, j’ai encore pleurée deux secondes pis j’tai demandée si tu voulais qu’on se chicane. On s’est fait livrés pour 60$ de poulet frit, on s’est regardés aussi souriants et excités que deux enfants au Burger king. J’serais prête à t’en faire livrer à tous les jours si t’étais pour avoir la même expression sur le visage qu’un gars qui vient de gagner au 6-49.
Vivre la nuit à l’inverse des gens normaux avec toi, c’est tout ce que je veux. Ca m’as pris deux jours pour m’en rendre compte, une fin de semaine, à dormir le trois quart du temps. Tes grands bras qui me frappent sans en avoir conscience, tes jambes par dessus les miennes. Spooner chacun notre tour sans que ce soit fif. Te regarder sourire durant ton sommeil, me réveiller plus heureuse que jamais avec trois heures de sommeil dans le corps. J’imagine même pas tout c’que j’pourrais réaliser sur le long terme. Le bonheur à petits prix dans le fond, c’est un ticket de train à 35$, plus ou moins 3h de route, une puce pour l’entrée de l’immeuble où tu vies et de longs fous rires dans ton lit.
3 notes
·
View notes
Text
02–12–19
Je manœuvre un van dans l’entrepôt d’un garagiste pour le garer le temps d’aller payer mon ticket de parking. Je m’y reprends à plusieurs fois jusqu’à être sûre de ne pas gêner les mouvements des véhicules qui attendent d’être réparés. Les pneus crissent sur la peinture du sol. Puis je me dirige vers une guérite vitrée où le patron me réclame cent soixante quinze euros d’abonnement annuel pour ses parkings. Le patron n’est pas content que je renonce à payer un tel prix. Je récupère mon van en me demandant si je ne fais pas une bêtise alors qu’il est si difficile de trouver une place pour une si grosse voiture.
À travers la baie vitrée, je vois une amie allongée sur le sol face à une rangée de femmes qui s’apprêtent à débuter une séance de yoga. Elle anticipe le moment de relaxation. La professeur nous a divisées en deux groupes car nous étions trop nombreuses. Notre groupe doit patienter à l’intérieur où il fait très chaud tandis qu’elle anime l’autre dehors. Dans cet endroit calfeutré, la chaleur m’indispose : je suis sur le point d’imploser. Une femme du groupe derrière la baie vitrée me regarde. Elle porte une frange épaisse qui lui tombe sur les yeux. Avec les doigts je mime un coup de ciseaux devant mon front pour lui conseiller de la raccourcir. Elle fait un geste d’impuissance. Les femmes à côté de moi surenchérissent en évoquant le prix exorbitant des séances chez le coiffeur : quatre-vingt-dix euros en comptant la couleur. Je leur dis que j’ai renoncé à teindre mes cheveux depuis quelques années. En passant la main dans ma chevelure j’attends l’approbation d’une telle décision. Aucune d’elles ne réagit.
1 note
·
View note
Text
Les Chroniques de Livaï #401 ~ ÊTRE POLI COÛTE PEU ET ACHETE TOUT (octobre 845) Darius Zackley
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
La soirée bat son plein. Le soleil est à peine couché et tous les invités semblent arrivés. Il y'en a que j'ai plus de plaisir à voir que d'autres... mais je ne peux pas organiser ce type de réception en oubliant les grandes têtes, ce serait inconvenant. Tant que je devrais donner le change... autant soigner ces gens qui se pensent si importants.
Je me fraie un chemin parmi les groupes qui encombrent le petit salon, mon verre à la main, et me dirige vers le hall surplombé du grand escalier. De la musique filtre par la porte du grand salon et se mêle au bruit des conversations. J'ai loué cet orchestre pour ce soir, avec l'ordre de jouer en sourdine. Il est nécessaire de camoufler juste ce qu'il faut afin de pouvoir discuter en privé mais aussi écouter ce qui se dit. Il est possible que certaines informations fuitent de la bouche d'invités éméchés. Après tout, certains proches du roi sont là.
Je m'intéresse particulièrement aux projets de reconquête du Mur Maria, et j'aimerais savoir si quelque chose a déjà été planifié. J'ai beau être le chef des armées, ces secrets ne sont pas encore à ma portée. Plus j'y pense, plus je me fais l'effet d'un pantin...
Les convives me font de la place et j'essaie de repérer les explorateurs qui viennent d'arriver. Où sont-ils passés, déjà accaparés par les curieux ? Smith devrait être facile à repérer. Ah, je le vois, il fait la discussion à un groupe de gens parmi lesquels je reconnais Pixis et sa femme. Je pose mon verre sur le plateau d'un serveur, et me dirige vers eux.
Smith est très avenant, avec sa queue-de-pie bleue nuit. Il fait de grands sourires et tente de répondre à tout le monde. J'imagine que ça doit le satisfaire, je sais comment marche le bataillon ; c'est une occasion rêvée pour charmer les donateurs et récupérer des fonds. Il va donner tout ce qu'il a... J'ai du mal à savoir s'il prend un réel plaisir à faire ça ou s'il se force. C'est un excellent acteur, je dois dire, et j'en sais quelque chose... Je me demande bien où se trouve Livaï.
Je réussis à me glisser auprès d'Erwin et j'ai à peine le temps d'entendre madame Pixis minauder en secouant son décolleté fripé quand le nouveau major se tourne vers moi. Il me tend la main et je la secoue afin de le saluer. Entre militaires, le protocole est un peu plus souple. Il a dans l'autre main un verre à moitié plein. Je commence par le remercier d'êre venu, puis je m'inquiète de l'absence du caporal... Il n'aurait tout de même pas osé venir sans lui ! Puis je me rappelle vaguement qu'il n'est pas très grand et je parcoure l'assemblée des yeux dans l'espoir de l'apercevoir, mais Smith interrompt mes efforts. Il indique la grande porte vitrée donnant sur le balcon du premier étage et m'informe qu'il s'est senti mal en voyant tout ce monde et avait besoin de prendre l'air. Bien, je vais aller le saluer moi-même.
Je monte la première volée de marches et m'arrête sur le palier du premier étage. La lumière du croissant de lune à l'extérieur auréole une silhouette solitaire, accoudée à la rambarde du balcon. Il semble tout à fait ailleurs, et peut-être rêve-t-il que c'est le cas... Je ne l'ai pas invité pour mon plaisir personnel mais parce qu'on me l'a demandé. Je savais que la présence de ces deux héros ramènerait du monde parmi les sphères que je vise, s'ils avaient refusé - ou si Livaï n'était pas venu -, beaucoup auraient été déçus, vexés, et seraient peut-être partis. Disons que nous nous servons les uns des autres. Ils se serviront de cette réception pour renflouer leurs caisses, et moi je dois laisser traîner mes oreilles et écouter les rapports que mes serviteurs ne manqueront de me faire à propos des discussions privées des uns et des autres. A défaut d'informations importantes, je pourrais peut-être utiliser quelques secrets et ragots au Parlement afin de faire tomber des têtes gênantes.
Mais pour l'instant, essayons de nous amuser aux dépends de ce truand. Oh... ex-truand, devrais-je dire.
Je m'approche silencieusement derrière lui mais il décèle ma présence et j'arbore immédiatement mon air le plus bonhomme afin de le mettre en confiance. Il porte un costume queue-de-pie bleu foncé très semblable à celui de Smith. Cette couleur renforce la dureté de ses traits, elle le rend encore plus sévère. Je ne l'avais vu que de loin jusqu'à présent, et seulement une fois ou deux. Il ne m'intimide pas, peut-être parce que je sais d'où il vient. J'ai l'impression que cela me donne sur lui un pouvoir qu'il ignore. Je ne me présente pas et engage la conversation.
Il ne semble ni ravi ni mécontent de me voir et paraît très habile pour ignorer les gens. Mais j'insiste et lui demande comment il trouve la soirée. Il reste évasif et répond qu'il y a beaucoup trop de monde et de bruits, que Smith a insisté pour qu'il vienne. Le vin semble pourtant à son goût, même s'il aurait préféré du thé. Je m'accoude à mon tour au balcon et fait semblant de regarder le clair de lune. Puis je lui demande ce qu'il pense de la résidence. Un très léger sourire se dessine au coin de sa bouche et il finit par dire que les dorures et les lustres en cristal ne sont pas trop mal, mais que la statue qui se trouve dans le coin du vestibule - il doit parler de mon marbre d'Utopia, représentant une femme nue aux longs cheveux avec les mains liées et une pomme dans la bouche - est de très mauvais goût et qu'il ne faut pas avoir toute sa tête pour présenter ça en public.
Ah ah ! Je dois bien dire que son franc-parler me plaît, même s'il ignore toujours à qui il s'adresse ! Je prends un ton léger et hoche la tête, en lui répondant que c'est en effet une oeuvre assez étrange et peut-être peu à sa place dans cette maison, mais je l'ai obtenue à un très bon prix dans l'atelier d'un sculpteur en faillite d'Utopia, qui s'est trouvé très heureux d'empocher mon argent avant de fermer définitivement boutique.
Un silence étrange pèse un instant sur le balcon, puis le caporal se décide enfin à me faire face. Ce n'est pas la honte que je lis sur son visage, mais il semble persuadé pendant un moment d'avoir commis une bêtise gravissime et ne peut que se gratter la nuque pour masquer son inconfort. Allons, laissons cela. Je me présente : Darius Zackley, votre humble hôte de ce soir. Apparemment, mes goûts artistiques ne vous plaisent guère, mais vous n'êtes pas le seul !
Je mets ma main dans son dos pour le guider vers l'escalier et l'inciter à descendre mais je n'ai pas l'impression de le mettre à l'aise. Bah, qu'importe, tant qu'il divertit mes invités. Ses airs de chien battu vont sûrement attendrir les dames. Il faut qu'il se mêle aux convives. Le dîner sera servi dans une heure, j'espère que Smith aura le temps de le faire parader un peu.
Je le ramène parmi les invités et beaucoup de têtes se tournent à son entrée. Le prince Gisbert Fritz le toise de haut en bas avec sur le visage un air à mi-chemin entre le dédain et la curiosité, mais le caporal ne lève même pas les yeux. Des dames se cachent derrière leurs éventails en gloussant, et je ne peux m'empêcher de plaindre ce pauvre gars, jeté dans la fosse aux serpents. Espérons qu'il ait assez de répondant ou qu'il tombe sur les bonnes personnes.
Dès qu'il aperçoit Smith, il se met à marcher très rapidement pour s'en rapprocher et semble ne plus vouloir s'en détacher. Le major lui dit quelque chose et fait en sorte de ménager un passage vers la salle à manger. Les messieurs essaient d'écarter les dames afin de s'accaparer la compagnie des deux explorateurs et les deux sexes commencent alors à se placer dans les différents coins de chaque pièce selon une division qui semble ancestrale : les messieurs au milieu, qui parlent fort et se caressent le menton en hochant la tête de manière importante, et les femmes sur les côtés, le long des murs, debout ou assises sur des coussins, à discuter chiffons et potins.
Mais aucun ne lâche des yeux les deux hommes si intéressants que j'ai invités pour leur plaire...
#lc401#darius zackley#levi chronicles#les chroniques de livaï#fanfiction#fallenRaziel#snk#aot#attack on titan#shingeki no kyojin
8 notes
·
View notes
Text
Chapitre I
V
Une semaine plus tard, au café où j’apportai à Simon le cahier bleu dont les lignes qui précèdent noircissent les pages, j’espérais des critiques ; il n’y eut que ce commentaire optimiste :
« Le Québec est jeune ! Notre littérature date à peine du XXe siècle… On est en pleine adolescence nationale ! L’Art va nous sauver.
– Tu devrais lire La fatigue culturelle du Canada français d’Hubert Aquin… Il a écrit ça en réponse à Trudeau il y a cinquante ans et c’est toujours d’actualité ! Un peuple qui se contente d’exister à travers quelques individus exceptionnels et qui néglige l’aspect politique de son affirmation est émasculé, inoffensif et voué à disparaître. René Lévesque est mort. Pierre Bourgault est mort. Pierre Falardeau est mort. Michel Chartrand est mort. Le peuple québécois est mort. On se console avec le festival Juste pour rire, les prix Jutra et le gala de l’ADISQ… C’est pitoyable.
– Je vois que tu es toujours en forme ! »
Sortant d’une poche de son blouson une feuille, il la déplia et me la tendit en disant :
« Moi aussi, j’ai commencé à écrire un ‘‘pastiche dostoïevskien’’. »
Le début de la page se lisait comme suit :
« Je suis un écrivain raté. »
Quoiqu’ulcéré qu’il volât sans vergogne MON IDÉE, je dus m’admettre que ce n’était pas nouveau ; personne n’en détient l’exclusivité ; je suis moi-même un pilleur d’inventions. De plus, bien que son amorce fût identique à la mienne, sa parodie empruntait d’autres avenues. Se gaussant de me voir déstabilisé :
« Qu’est-ce que t’en penses ? me demanda Tremblay.
– Tu développes différemment… »
Ne voulant point laisser paraître la piqûre d’orgueil qui me démangeait, je m’en tins à l’absence de mention de l’évidence de son plagiat. La crainte qu’il ne s’inspirât de moi pour me supplanter m’avait rendu méfiant. Lui présenterais-je la suite ?
Nous parlâmes des élections fédérales jusqu’à l’heure du départ.
Dans le mini-hall aux murs vitrés couverts d’affiches que se partageaient l’entrée de la brûlerie que nous quittions et la porte d’une boutique rock avoisinante, nous croisâmes, sortant de cette dernière, une petite gothique s’en revenant de magasiner une écharpe mauve étoilée de têtes de mort noires. Ses yeux en amande, ses cheveux corbeau et le cuivre lunaire de son visage étaient ceux d’une Innue. La nuit d’un fard ténébreux tombait sur ses paupières appesanties d’un théâtral mascara qui rendait plus tragique encore la profonde tristesse assombrissant l’obsidienne de son regard au fond duquel vacilla une double étincelle d’ironie. En passant près de nous, accompagnée d’un motard grisonnant deux fois plus âgé qu’elle, la jeune femme étreignit son foulard d’une main tatouée d’un scorpion en dévisageant Simon d’une œillade insistante qu’elle appuya d’un sourire équivoque.
Une fois dehors :
« Tu la connais ? m’enquis-je.
– C’est Natacha Simard… On allait à la même polyvalente. Elle se faisait surnommer ‘‘kawish’’.
– À voir comment elle t’a regardé, tu aurais pu rendre son chum cocu !
– C’est peut-être son père adoptif…
– Ou un sugar daddy. »
Nous en étions à ces conjectures lorsque survint l’autobus à bord duquel grimpa Tremblay pour se rendre au travail.
1 note
·
View note
Text
Depuis quelques années, les technologies des vidéoprojecteurs n'ont cessé de se démocratiser. Cela s'explique en grande partie par le fait que les LED, résistantes et bon marché, ont remplacé les lampes, fragiles et couteuses. Ainsi, les fabricants arrivent désormais à proposer des produits à la fois robustes, durables, puissants et à prix très raisonnable. Et c'est justement ce que propose la marque XGIMI avec sa gamme de vidéoprojecteurs et notamment le XGIMI MoGo Pro qui en plus de tout cela est un projecteur qui peut vous accompagner partout, car il embarque une batterie sous son capot ! Mais ce n'est pas tout ! En effet, ce projecteur élégant est vraiment nomade. Équipé de haut-parleurs et d'un système sous AndroidTV il fait définitivement office de centre multimédia de voyage ! PROMO BLACK FRIDAY XGIMI Pour le Black Friday, XGIMI propose une réduction incroyable sur le XGIMI MoGo Pro. En effet, XGIMI a baissé de 100€ le prix du MoGo Pro qui est disponible pour seulement 399€ (au lieu de 499€). Profiter d'une réduction de 100€ sur le XGIMI MoGo Pro Déballage et mise en route : un bel objet dans un bel écrin Emballé dans une boite en carton blanc sobre et élégante sur laquelle ne ressort qu'une photo du XGIMI MoGo Pro, ce vidéoprojecteur est vendu avec l'essentiel et rien de plus. En effet, le carton ne comprend que le projecteur lui-même, son alimentation et un peu de documentation : un manuel, une FAQ et la garantie. Rien de plus. Petit regret, on aurait aimé retrouver dans l'emballage une sacoche de transport ou une housse pour ranger le MoGo Pro lors de voyages ou déplacements. Il faudra passer par la caisse pour acheter une sacoche sur le site de XGIMI. Les lignes du projecteur sont assez séduisantes et sa taille permet de le classer dans le vidéoprojecteur portables avec seulement 14.6 cm de haut, 9.5 cm de large et 10.5 cm de profondeur. Son poids joue également en sa faveur puisqu'il ne pèse que 0.9 kg et pourra donc vous accompagner un peu partout. Associant plastique blanc et grille en metal argenté, les finitions du MoGo Pro sont vraiment de bonne qualité et l'appareil semble robuste. Sur la face supérieure de l'appareil, on trouve sous le logo XGIMI une LED d'état ainsi que 3 boutons tactiles permettant d'ajuster le volume et de mettre en pause la lecture. La face arrière accueille toutes les connectiques (prise jack, port HDMI, port USB et alimentation) ainsi que le bouton marche/arrêt. La face avant est également très sobre puisqu'on y retrouve intégrés dans une bande noire vitrée le projecteur lui-même ainsi qu'un capteur pour la mise au point de l'image (auto kesytone). Enfin, sous l'appareil, un pas de vis va vous permettre de le fixer à un pied ou au plafond puisque cet appareil gère les deux modes de projection. La télécommande est quant à elle résolument simpliste. Le nombre de boutons est vraiment limité et mise sur la simplicité d'utilisation. Elle est néanmoins élégante elle aussi et se prend plutôt bien en main. Par ailleurs elle est équipée d'un micro pour pouvoir utiliser l'inteface vocale de Google. Le XGIMI MoGo Pro est vraiment plein d'atouts... Qualité d'image : Full HD La qualité d'image n'est pas à proprement parler LE point fort du MoGo Pro. Cependant lorsqu'on l'utilise dans une pièce sombre, ou encore mieux dans le noir complet, ce petit appareil fait des merveilles ! Si les conditions de lumière (ou plutôt de noir) le permettent, la taille de l'écran projeté va pouvoir atteindre un très honorable 120" de diagonale (soit environ 300cm) en positionnant le XGIMI MoGo Pro à 320 cm. Cependant, pour réellement apprécier cet appareil, il m'a semblé qu'une diagonale de 100" (environ 250cm) avec un recul de 266cm était à privilégier à condition d'être vraiment dans le noir. Plus vous approcherez l'appareil de l'écran, plus vous pourrez bénéficier d'une luminosité suffisante. Positionnement du projecteur sur le côté à environ 2m30 du mur
Concernant la résolution d'image, le XGIMI MoGo Pro permet d'atteindre une définition Full HD (1920 x 1080 pixels) tout à fait à la hauteur des attentes. Au niveau des réglages de l'image, XGIMI propose plusieurs modes d'affichages : clair, standard, doux, bureau, jeu ou personnalisé. Le mode personnalisé permet de régler manuellement la luminosité, le contraste, les couleurs... Auto Keystone : finis les exercices de trapèze ! Parmi les fonctionnalités assez remarquables de cet appareil, on retrouve l'Auto Keystone. Derrière ce nom un peu énigmatique (keystone signifiant "clé de voute") se cache un outil fort appréciable. En effet, lorsque vous mettez en marche ou déplacez l'appareil, celui-ci va automatiquement détecter la surface de projection afin de corriger le trapèze et ainsi ajuster l'image. Ce miracle est possible grâce à un petit capteur situé sur la façade avant du XGIMI MoGo Pro tout près du projecteur. À gauche le capteur pour l'Auto-Keystone C'est vraiment hyper pratique et particulièrement adapté à un appareil qui se veut portable et dont le positionnement est amené à changer régulièrement. Ainsi, vous n'aurez pas à ajuster manuellement le trapèze dès que vous vous déplacez ! Pratique. Auto Keystone Il est également important de mentionner que cette fonction peut être désactivée pour éviter des réglages intempestifs si le projecteur reste toujours au même endroit par exemple. De même, il est possible de régler manuellement le trapèze avec un système vraiment bien fichu qui va vous faire ajuster la position de chaque angle un à un. Pour ce qui est de la netteté, elle s'ajuste automatiquement, mais il est également possible de la régler à l'aide de la télécommande si nécessaire. Pour cela, il faut basculer le petit commutateur sur sa tranche inférieure sur "Focus" et utiliser les commandes de volume pour effectuer le réglage. Des haut-parleurs signés Harman/Kardon Pour faire court : le son est bon, il est signé Harman/Kardon ! XGIMI s'associe depuis toujours à cette marque réputée pour sa qualité audio et c'est une bonne chose. Les deux haut-parleurs de 3W qui équipent le XGIMI MoGo Pro font vraiment bien le boulot. La puissance est relativement modeste, mais ces HP produisent un son net, propre et équilibré. La musique ressort bien, les dialogues sont clairs et le son ne sature pas. Bien évidemment, on est loin d'une barre de son Home Cinema, mais franchement pour cet encombrement c'est très correct ! D'ailleurs, XGIMI a tout prévu puisque l'appareil peut être connecté à une enceinte plus puissante à l'aide d'une sortie jack 3.5mm (pour une connexion filaire) ou via le Bluetooth tout simplement ! Un projecteur dopé à l'AndroidTV Ce qui me plait beaucoup avec les projecteurs XGIMI c'est qu'ils intègrent tous AndroidTV. Il n'est dès lors plus nécessaire de prévoir une box ou un ordi à connecter à l'appareil. En conditions de mobilités, c'est particulièrement appréciable ! Le système AndroidTV est installé dans sa version native, sans aucune surcouche. Il est donc très simple d'accéder au Google Play Store pour installer toutes sortes d'applications. Certaines applications de streaming sont présentes par défaut comme YouTube, Amazon Prime Video, Molotov, MyCanal, MyTF1, FranceTV... J'ai également pu faire fonctionner OQEE de Free pour regarder la télé à la maison en étant connecté au WiFi de ma box. Seul Netflix manque à l'appel pour des raisons obscures qui seraient liées à un blocage de la part de la plateforme de streaming. Cependant, XGIMI propose une solution de contournement et a même glissé un petit mode opératoire dans la boite du projecteur. La marque propose ainsi d'installer Netflix en passant par l'application DestopManager disponible sur le Google Play Store. https://youtu.be/r__jZedmmBs Silence... on tourne ! Les spécifications du vidéoprojecteur XGIMI MoGo Pro annoncent un niveau de bruit inférieur à 30 décibels.
Vive les projecteurs à LED qui permettent d'éliminer ce gros défaut des projecteurs à ampoule souvent horriblement bruyant. Le constat est sans appel. Cet appareil est réellement ultrasilencieux. Il faut vraiment approcher l'oreille du projecteur pour entendre un léger bruit de ventilateur. Quand je suis assis à côté du MoGo Pro je n'entends rien... mais vraiment rien ! C'est indéniablement l'un des gros points forts de cet appareil. Quelques points décevants malgré tout Luminosité et contraste Le projecteur XGIMI MoGo Pro annonce 300 Lumens ANSI de luminosité. En regardant les caractéristiques du produit, c'est ce qui m'a fait un peu tiquer... et après l'avoir testé, cela a confirmé mes inquiétudes. Si la luminosité de l'appareil est tout à fait suffisante et agréable dans une pièce sombre, vous pouvez oublier une utilisation en plein jour ou dans une pièce trop lumineuse. Ainsi pour en profiter vraiment, il faudra attendre la nuit tombée, fermer les volets ou réduire drastiquement la distance entre le mur et le projecteur afin d'obtenir une luminosité suffisante dans toutes les situations. Sur les photos ci-dessous, j'ai positionné l'appareil à envirion 180cm de mon mur en journée dans une pièce relativement sombre, mais bien loin du noir complet. C'est tout de même suffisant pour regarder un film dans de bonnes conditions. Les zones sombres ressortent mal quand il ne fait pas assez sombre Mais les zones claires passent très bien Pour une utilisation confortable tout au long de la journée avec une luminosité ambiante il faudra privilégier des modèles avec une luminosité plus importante. Avec ses 600 lumens ANSI, le XGIMI Elfin fait par exemple très bien le boulot ! Une autonomie un peu juste J'ai positionné ce point du côté des aspects négatifs même si la présence d'une batterie intégrée au XGIMI MoGo Pro est indéniablement un vrai atout, car on regrettera néanmoins son autonomie qui parait un peu juste pour tenir la distance. En effet, dans le cadre d'une utilisation nomade, cette batterie est vraiment un point fort. Que vous soyez chez vous, dans votre van, au camping ou sur votre terrasse vous allez pouvoir l'utiliser partout sans avoir à tirer une rallonge ! C'est vraiment génial. En revanche, ne prévoyez pas de visionner Autant en emporte le vent (3 h 45) ou Ben Hur (3 h 32), car vous risqueriez d'être coupé bien avant la fin ! Et pour cause, l'autonomie affichée de la batterie de la MoGo Pro n'est que de 2 h 30 pour de la vidéo (4h30 pour de l'audio). Bon OK, la plupart des films durent moins de 2h30, mais tout de même, c'est un peu juste. Caractéristiques du XGIMI MoGo Pro Affichage et projection Type de projecteur :PortableTechnologie d'affichage :DLPLuminosité :300 Lumens ANSIDurée de vie de la lampe :30 000 heures3D :Oui, Frame Packing & Side by SideRésolution standard :1920 x 1080 pixelsRapport de projection :1.2:1Autofocus :ouiCorrection keystone automatique :+/-40° verticalTaille de l'image :60" à 120" recommandésMéthode de projectionAvant, arrière, plafond (avant/arrière) Sonorisation Haut-parleur :2 x 3W Harman/KardonDolby Digital :ouiDolby Audio :ouiDolby Digital Plus :oui Système RAM :2GoStockage :16GoAffichage en miroir :Chromecast built-in / AirscreenSystème :Android TV Connexion, alimentation et dimensions Entrées :Alimentation (DC)HDMIUSBSorties :Prise jack audio (3.5mm)WiFi :Dual-band 2.4/5GHz, 802.11a/b/g/n/acBluetooth :Bluetooth 4.2/5.0Niveau de bruit :< 30dBCapacité de la batterie :44.64WhAutonomie : Audio jusqu'à 4.5 heuresVideo jusqu'à 2.5 heuresTaille :146 × 105.5 × 94.5 mmPoids :900 grammes En conclusion... Avec le MoGo Pro, XGIMI signe encore une fois un vidéoprojecteur qui se démarque du lot. Conçue pour la portabilité, sa batterie intégrée est un vrai plus pour les baroudeurs même si son autonomie est un peu juste. Son image Full HD est de bonne qualité sans
être transcendante, mais il ne faut pas oublier qu'il s'agit là d'un appareil compacte et portable. Enfin, sa luminosité et son contraste un peu juste en pleine journée sont compensés par une multitude de points positifs à aller chercher du côté de l'intégration d'AndroidTV, du réglage automatique de l'image, de la qualité sonore, mais également de son très très faible niveau de bruit ! Bref, XGIMI réaliser encore une belle prouesse et propose une nouvelle fois un très bon produit avec le XGIMI MoGo Pro ! Acheter le vidéoprojecteur XGIMI MoGo Pro Points forts Batterie intégrée pour une portabilité réelle Silencieux Intégration d'AndroidTV Auto Keystone pour le réglage automatique de l'image Image Full HD Points faibles Pas de pochette de transport Luminosité et contraste trop justes en pleine journée Pas de pied intégré pour ajuster l'angle de projection Autonomie de a batterie un peu juste
0 notes
Photo
Mexique - Tulum - À louer - Sublime maison dans la jungle avec 2 piscines - 5 chambres Cette propriété entièrement privatisée est entourée par la nature et idéalement située près de la plage et du centre-ville de Tulum, ce qui la rend parfaite pour les groupes, les amis ou les familles. - Équipements de première classe - 2 belles grandes piscines privées - Toit-terrasse avec barbecue, palapa de yoga, cinéma en plein air et bar - Design unique et spacieux avec des intérieurs de luxe bo-ho chic - Accès gratuit aux services de conciergerie haut de gamme Le logement : 3 chambres à l’étage : - Chambre Principale : lit King Size + salle de bain + balcon privé avec jacuzzi - Chambre 2 : lit King Size + salle de bain ; - Chambre 3 : lit King + salle de bain 2 chambres au rez de chaussée : - Chambre 4 : deux lits doubles + salle de bain - Chambre 5 : deux lits doubles + salle de bain 2 piscines privées - Piscine 1 : accès facile depuis le salon - Piscine 2 : sur le toit avec bar Salon : espace de conversation spacieux et convivial - Portes vitrées panoramiques Cuisine ouverte + coin repas - Appareils et accessoires neufs et entièrement équipés - Table de salle à manger pour 12 personnes Toit terrasse - Palapa de yoga - Barbecue + Salle à manger - Piscine privée - Cinéma en plein air Prix et disponibilités sur demande Contact : Tel / whatsapp : +33(0)650803000 Tel fixe : +33(0)176545631 Email : [email protected] Suivez nous sur Facebook : https://m.facebook.com/europeanpropertyfindergroup/ You tube : https://www.youtube.com/channel/UCeNkiNv7bbgeAc_JX1qNfgg Instagram : www.instagram.com/theaddress.vip Website : www.theaddress.vip Contactez nous pour toutes vos demandes de vente / achat, location et location saisonnière en France (Paris, Cannes, Saint Tropez, Corse, Normandie, Sud Ouest, Provence, Alpes, Bretagne), dans les caraïbes (Saint Barth, Saint Martin, Martinique, Guadeloupe, République dominicaine...), à l’étranger (Suisse, Espagne, Italie, Grèce, Maroc, Mexique, Floride, Dubaï...). #immobilier #europeanpropertyfindergroup #family #friends #mexique #mexico🇲🇽 #tulum #mexico #like #travel (à Tulúm, Quintana Roo, México) https://www.instagram.com/p/Ckv__xApGF4/?igshid=NGJjMDIxMWI=
0 notes
Text
Amougies Festival 1969 : La route du Mont de l’Enclus
50 / Amougies Festival 1969 : La route du Mont de l’Enclus
En plein brouillard, crapahutant sur le bas côté dans l’herbe et la gadoue, coincés entre les voitures embouteillées et le fossé gorgé d’eau, Fred & son compagnon de stop amer, affrontent également la pluie, le froid, le vent et un crachin qui giflent les visages & les mains : « En fait, ils nous ont éjectés ! rage son copain » Effectivement, ils avaient été débarqués dès le panneau Amougies franchi. Le chauffeur leur avait signifié qu’ils étaient arrivés et qu’ils pouvaient descendre. « On met pas les gens dehors par un temps pareil avec la nuit qui commence à tomber. On aurait pu rester dans la voiture au moins le temps de trouver un abri voire la nuit s’il n’y a rien, poursuit-il en marchant dans la boue. — Ils avaient peut-être prévu de dormir dans le véhicule à leur aise, alors que là on était serrés comme des sardines, tempère Fred tout en luttant contre la pluie et le sol bourbeux & glissant. — Peut-être ! Mais t’as vu le temps ? — On va essayer de trouver un café d’ouvert ! — Espérons qu’il y a un café ! Ça a l’air d’être un trou en pleine campagne. » Le brouillard tombe de plus en plus. Au loin, ils aperçoivent un halo de lumière sur les maisons : « Il y a de la lumière blanche là-bas. Il me semble qu’il y a également de la bleue. Peut-être un bar ? dit son camarade d’infortune. — C’est bien possible ! Souhaitons qu’il ne ferme pas de bonne heure ! ajoute Fred. » Le premier réconfort est la chaleur de la salle du café qui les enveloppe comme une doudoune en forme de bienvenue : « Au moins, on peut se réchauffer. Je ne sais pas jusqu’à quand… ? dit Fred frigorifié. — Y’a déjà beaucoup de monde. Et la plupart ne me semblent pas des autochtones. — Tant mieux, au moins ils ne pourront pas nous mettre tous dehors. Par contre, il faudrait qu’on se trouve une table. — Tout est pris ! — Il faut qu’on guette ! Dès qu’il y en a une qui se libère, il faut qu’on se jette dessus, préconise Fred accoudé au comptoir en lampant son café. » Dehors, sur le haut des baies vitrées où il n’y a pas de buée, ils peuvent voir à la lumière des réverbères, la pluie qui continue à tomber forte & drue. Et le froid qui rentre dès que quelqu’un pousse la porte complètement transi & détrempé. Son copain qui était parti aux toilettes l’appelle en lui demandant de faire fissa car un guéridon vient de se libérer. La salle haute de plafond décorée de motifs espagnols aux tons pastel, s’avère être la salle de bal du coin. « Dans une salle attenante, ils louent 2 mètres carrés de plancher pour étendre leurs sacs de couchages mais il n’y a plus de place, rapporte son copain à l’affût des infos alors que Fredo accuse le coup. — Il y a quand même beaucoup de monde qui sont déjà arrivés alors qu’on est que jeudi, constate Freddy. — Oui et non ! Car le chapiteau prévu est de 15 000 places alors qu’ici on doit être une petite centaine ! » La patronne leur propose une assiette de soupe et un morceau de pain qu’ils acceptent après s’être renseignés du prix tellement ils ont été gelés pour arriver jusqu’ici. Après bien des péripéties le festival de pop music français du 24 au 28 octobre 1969, se fait en Belgique pour faire le pendant au festival de Woodstock dont la presse s’est gargarisée pendant des mois. Dans la matinée de ce jeudi, Fred prend le train à la gare du nord pour Tournai puis change à Mouscron. Il trouve un stop avec des jeunes plus âgés que lui qui se rendent également au festival. En direction du Mont de l’Enclus et de Renaix, ils se perdent parce que les panneaux d’indication routière sont positionnés dans l’autre sens (Flandre-France). A un carrefour giratoire, le chauffeur énumère les noms de direction et cite Ronse. « Oui, c’est la direction de Ronse. Je crois que c’est Renaix en français, intervient Fred. » Les essuie-glaces battent les trombes d’eau à qui mieux-mieux et le conducteur commence à s’énerver de ne pas trouver la route. Le brouillard et la pluie augmentent l’angoisse d’autant que le crépuscule entame sa descente. « Le Mont de l’Enclus… ? répète-t-il en sous-entendant un homonyme vulgaire. — C’est Amougies le nom du village ! Peut-être, c’est indiqué sous cette appellation ! suggère Fred. — Oui ! Mais sur RTL, ils ont dit de suivre la direction du Mont de l’Enclus ! » Assurément, RTL & Ricard étant les deux gros sponsors du Festival, ils sont donc supposés fiables. Après avoir rejoint Ronse, ils font demi-tour puis reviennent sur la N48 avec pour mission pour tous les occupants de surveiller les panneaux. Et là, à une bifurcation au milieu de maisons en brique, dissimulé derrière un poteau électrique en ciment apparu le sésame sur fond bleu « Amougies – Anseroeul » et en dessous sur fond blanc moins visible « Mont de l’Enclus ». « Effectivement, Amougies est indiqué en premier par contre ce n’est pas indiqué en venant de Tournai, reconnaît-il en s’adressant à Fred à l’aide du rétroviseur intérieur. » Une dizaine de kilomètres plus loin, la route s’avère complètement bouchée par des véhicules se rendant sûrement au festival, vu des immatriculations en majorité de la région parisienne et ils se font débarquer juste sous le panneau d’entrée à Amougies. Au bistrot, ils demandent ensuite après avoir ingurgité leurs soupes, des cafés pour essayer de rester éveillés mais l’un et l’autre se retrouvent bien vite affalés sur la table à roupiller. Néanmoins, personne n’est venu les houspiller pour les mettre dehors. Le lendemain matin à l’aube, ils prennent du café et des tartines beurrées et arrivent tant bien que mal, chacun leur tour à se débarbouiller dans les toilettes. Avec son compagnon d’infortune ou de fortune Marc car ils avaient quand même passés la nuit sur une table et des chaises certes à l’abri de la pluie et du froid mais pas dans un lit, ils se mettent en quête de trouver le lieu des concerts : « Le chapiteau n’est pas encore monté ! leur dit-on. » Des rencontres au hasard leurs indiquent des maisons en construction pour y loger. Ils s’y rendent et s’installent dans les sous-sols de l’une d’elles, parés de fenêtres car le rez-de-chaussée n’en a pas. Il fait frisquet ; la pluie tombe toujours par intermittence ; et le vent gèle les derniers rêves de la chaleur du bistrot. L’esprit maussade comme le temps, ils déambulent dans la boue. Dans la première maison pratiquement terminée une communauté c’est déjà installée. Un moustachu brun cheveux mi-longs, joue sur une guitare folk style Gibson J45 accompagné par un blond de type nordique aux tambourins. D’autres festivaliers debout les écoutent à la dérobée couvertures ou sacs de couchages sur les épaules. Certains & certaines sont habillés en hippies arborant des peaux de moutons, des tissus indiens, des bandeaux sur le front ou des chapeaux mous et bien sûr les éternels colliers de perles multicolores ou en métal pendent à leurs cous ou aux poignets. Ils prennent donc celle qui est derrière mais la construction s’avère peu avancée et le rez de chaussée n’est pas pourvu de fenêtres ; ils s’installent ainsi dans les sous-sols. Son camarade de stop organise les couchages au fur & à mesure des arrivées qui débarquent par vagues tel un chef de clan. Malgré les vasistas, le froid et l’humidité transpercent les parpaings brut de maçonnerie. Quand ils parlent, de la buée sort des bouches en volutes. Marc déniche un robinet de chantier près de la maison et informe tout le monde. Quelques-uns en profitent pour l’étrenner malgré le froid. « Bon ! Si on allait chercher un peu à manger ? dit-il en s’adressant à Freddy et à quelques autres. Ceux et celles qui n’ont pas encore faim pourraient garder nos affaires puis s’y rendre à leur tour quand on reviendra. — Parfait ! dit l’un avec sa compagne ; on reste là et on ira quand vous rentrerez. »
0 notes
Text
Garde-corps en verre inox - sécurité et élégance en un seul produit
Les portes vitrées, les garde-corps vitrés en acier inoxydable et les escaliers métalliques sont des éléments de décoration et de sécurité populaires dans les maisons et les bâtiments commerciaux. Ils sont disponibles dans une variété de styles et de prix, ce qui permet de trouver l'option parfaite pour votre budget et vos besoins.
Prix des portes vitrées
Le Prix porte vitrée porte vitrée varie en fonction de la taille, du type de verre et du matériau du cadre. En général, les portes vitrées en verre trempé sont les plus chères, suivies des portes vitrées en verre feuilleté. Les portes vitrées en verre simple sont les moins chères.
Le prix d'une porte vitrée standard de 90 x 210 cm en verre trempé avec un cadre en aluminium est d'environ 1 500 €. Une porte vitrée de la même taille en verre feuilleté coûte environ 1 200 €. Une porte vitrée de la même taille en verre simple coûte environ 900 €.
Prix des garde-corps vitrés en acier inoxydable
Le Garde corps vitré inox en acier inoxydable varie en fonction de la hauteur, de la longueur et du type de verre. En général, les garde-corps vitrés avec des poteaux en acier inoxydable sont les plus chers, suivis des garde-corps vitrés avec des poteaux en aluminium. Les garde-corps vitrés avec des poteaux en bois sont les moins chers.
Le prix d'un garde-corps vitré standard de 1 m de haut et de 2 m de long avec des poteaux en acier inoxydable et du verre trempé est d'environ 2 500 €. Un garde-corps vitré de la même taille avec des poteaux en aluminium et du verre trempé coûte environ 2 000 €. Un garde-corps vitré de la même taille avec des poteaux en bois et du verre trempé coûte environ 1 500 €.
Prix des escaliers métalliques
Le prix d'un Escalier métallique paris en fonction de la taille, du type de métal, du type de marches et du type de rampe. En général, les escaliers métalliques en acier sont les plus chers, suivis des escaliers métalliques en aluminium. Les escaliers métalliques en fer forgé sont les moins chers.
Conseils pour réduire le coût des portes vitrées, des garde-corps vitrés en acier inoxydable et des escaliers métalliques
Voici quelques conseils pour réduire le coût des portes vitrées, des garde-corps vitrés en acier inoxydable et des escaliers métalliques :
Choisissez un matériau moins cher. Par exemple, le verre simple est moins cher que le verre trempé ou feuilleté. L'acier inoxydable est plus cher que l'aluminium ou le bois.
Optez pour une taille plus petite. Les portes, garde-corps et escaliers plus petits sont moins chers que les plus grands.
Choisissez un style plus simple. Les designs plus complexes sont généralement plus chers.
Faites appel à un professionnel local. Les professionnels locaux peuvent souvent offrir des prix plus compétitifs que les grandes entreprises.
En suivant ces conseils, vous pouvez trouver des portes vitrées, des garde-corps vitrés en acier inoxydable et des escaliers métalliques qui répondent à vos besoins et à votre budget.
0 notes
Text
Belle villa d'architecte F7 de 299 m2 vue mer avec annexes extérieur et piscine dans les hauteurs de Mahina – à découvrir !
Belle villa d'architecte F7 de 299 m2 vue mer avec annexes extérieur et piscine dans les hauteurs de Mahina – à découvrir ! Villa d’une surface habitable de 222 m2, comprenant: - 1 Salon cathédrale de 33 m2 avec de belles portes-fenêtres coulissantes et ses baies-vitrées laissant entrer une belle luminosité et une belle vue sur la mer et Moorea, - 1 Cuisine de 14,50 m2 ouverte, avec son ilot, sur la salle à manger de 18 m2, - Toilettes - 1 Suite parentale de 18 m2 "climatisée" donnant sur un balcon, (avec dressing et salle d’eau/wc de 8 m2 chacun) - 2 jolies chambres "climatisées" ouvertes sur la terrasse, l’une de 12 m2 et l’autre de 16 m2, - 1 chambre "climatisée" de 10 m2 avec vue mer, - 1 chambre/bureau de 8 m2 - 1 salle d’eau/wc de 8m2, Et 1 salle de loisirs insonorisée home-cinéma/ karaoké et son bar en sous-sol de 45 m2 donnant une vue dans la piscine. + En extérieur : - Grande terrasse en deck de 25 m de long donnant une jolie vue vers la mer - Salon de détente sous un faré pote’e sur la terrasse - Piscine - Salon couvert et ouvert sur le boulodrome - Boulodrome - Jacuzzi sous faré pote’e sur une terrasse - Cuisine équipée de 10 m2 sous faré pote’e - Salle d’eau couverte avec toilettes de 7 m2 - Buanderie couverte de 10 m2, - Cave de 14,50 m2 avec une belle hauteur sous plafond - Abri de 36,50 m2 pour 3 voitures, - Parking pouvant contenir 5 véhicules supplémentaires Le tout sur un terrain clos de 820 m2 environ, avec portail électrique et interphone. Construction de 2003, en dur, charpente métallique avec toiture en tôles ondulées prélaquées. (Chauffe eau solaire, présence de la fibre optique) CHARGES: Impôt Foncier: 130 140 XPF / AN Charges syndicales du lotissement : 45 000 XPF / AN - Maison saine, bien entretenue, pas de travaux à prévoir. - Environnement calme dans un beau lotissement – Commodités à 6 km: Ecoles, commerces, médecin, plage… - Cette maison offre également un très bon investissement locatif à l'année ou en saisonnier. Prix: SOUS DEMANDE (Maison vendue entièrement meublée/équipée possible) Pour de plus amples informations et convenir d'un rendez-vous, Cabinet Levy – Nicolas – Tel: 87 32 46 29 / [email protected] Read the full article
0 notes
Text
Les Chroniques de Livaï #367 ~ UN CHOIX SANS REGRET (août 845) Mary Dork
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
La chaleur risque de devenir intolérable dans quelques minutes. Je me rafraîchis du mieux possible avec mon éventail tout en me dissimulant derrière mon ombrelle, mais j'ai toujours aussi chaud.
Les nobles se sont dispersés dans les jardins royaux et j'ai suivi le mouvement. J'ai beau appartenir à ce milieu depuis quelques années maintenant, j'ai toujours l'impression d'être en retard sur tout le monde, de ne pas tout comprendre à ce qui se passe. Mais aujourd'hui tout est très clair : nous sommes venus célébrer le nouveau major du bataillon d'exploration. Je ne sais pas si je suis heureuse qu'il s'agisse d'Erwin ou non ; mais cela devait arriver, j'imagine.
La cérémonie doit être terminée et mon mari est sans doute occupé à faire sortir tout ce beau monde par les jardins, afin d'éviter les journalistes de la porte principale. En tout cas, il m'a donné rendez-vous ici, donc il doit savoir ce qu'il fait. En l'attendant, j'admire les roseraies fleuries et les parterres de mille couleurs, en restant un peu à l'écart des autres. J'ai envie d'être seule afin de réfléchir à tout cela...
Soudain, des éclats de voix jaillissent derrière moi. De la porte vitrée s'écoule un flot de courtisans excités et au milieu d'eux je distingue des longs manteaux portant l'emblème des ailes de la liberté. Les explorateurs n'ont pas l'air très à leur aise, mais maintenant qu'ils sont arrivés, des rafraichissements vont être servis. On a dressé de grandes tables nappées de blanc et des serviteurs empressés passent au milieu de la cour avec des plateaux de canapés. De grands crus seront aussi dégustés. Je ne me mêle pas tout de suite à cette effervescence ; de là où je suis, je peux observer Erwin sans être vue moi-même.
Il est déjà cerné, le pauvre ! On lui pose des tas de questions auxquelles il répond de bonne grâce, mais je me doute que cela ne l'enchante guère. Pendant une seconde, un rayon de soleil fait briller son pendentif et alors je le réalise soudainement ; voilà, c'est fait, vraiment... Il fait partie du... comment dit-on déjà ? Du "gratin" ?
Moi aussi, et pourtant je me sens si différente de cet essaim de curieux qui tourbillonne autour de lui. Je laisse mes yeux vaguer au hasard quand j'aperçois une petite silhouette qui se glisse sous les grands messieurs en redingotes et hauts de forme ; un petit homme, assez petit pour se faufiler sans être vu, et qui s'éloigne de la foule en poussant un soupir qui gonfle ses joues... Je le reconnais ; c'est Livaï !
Il reste malgré tout près de ses camarades et parvient à attraper un canapé au moment où passe un plateau. Il l'engloutit sans aucune grâce, ce qui me fait rire. Il me rappelle mon mari, il y a bien longtemps...
A-t-il envie de parler ? J'ai l'impression qu'il est le seul interlocuteur de bonne compagnie à ma portée... Je m'avance vers lui, toujours abritée derrière mon ombrelle, et lui fait signe en espérant qu'il me voit. Il doit avoir un sixième sens car il me remarque immédiatement. Avec mon chapeau, il ne doit pas me reconnaître... Mais je pense que si, car le voilà qui se dirige vers moi, les mains dans les poches, d'une démarche très décontractée ; je vois que que je ne l'intimide pas, c'est une chance. Car j'ai envie de lui confier des choses très personnelles en ce jour...
Pourquoi me livrer à lui ? Je ne sais pas. Peut-être parce que je me retrouve un peu en lui. Nile m'a raconté quelques détails sur son passé, et je sais qu'il est issu de la part la plus misérable de la société... Il a commencé sa vie comme truand et le voilà maintenant porté en triomphe par le peuple. Même si c'est Erwin le héros aujourd'hui... et c'est de Erwin dont je veux lui parler.
Il s'immobilise devant moi et comme il ne sait plus comment saluer une dame, je lui fais grâce de cette corvée en l'invitant à venir plus à l'écart. Mon mari n'est pas en vue, il me rejoindra plus tard. Je constate qu'il semble ennuyé de s'éloigner et couve Erwin des yeux. Vous vous inquiétez pour lui ? N'ayez crainte, je ne pense pas qu'aucun de ces hommes soit dangereux, vous pouvez l'abandonner quelques minutes. Nile doit faire le guet. Je sais que vous ne l'aimez guère ! Mais... avez-vous envie d'entendre une histoire ? Il hausse les épaules sans manifester de déplaisir à cette idée et je me perds alors dans mes souvenirs.
Même si vous ne le soupçonnez pas, je ne suis pas née aristocrate. Au contraire, je viens d'une famille modeste. C'est le travail acharné de mon mari qui m'a mise à ma place. Il m'arrive de regretter le temps où je n'étais qu'une jeune fille insouciante, noyée sous les jurons des clients de l'auberge où je travaillais ! A cette époque, je ne me souciais pas de mon langage ou de mes fréquentations.
Nile et Erwin venaient souvent manger dans cet établissement, à Stohess. Ils disaient venir uniquement pour moi, mais je ne pense pas, le gérant faisait des prix pour les cadets. J'étais fascinée par ces deux jeunes hommes pleins d'énergie. Erwin parlait beaucoup en ce temps-là, des titans, des terres extérieures... mais Nile n'avait d'yeux que pour moi. Je l'aimais bien moi aussi... En vérité, mon coeur balançait entre eux deux. Nile m'inspirait une sensation de sécurité, de confort, et il me faisait rire ! Erwin était plus mystérieux, mais aussi plus passionné. Je n'ai compris que plus tard que cette passion n'avait que peu à voir avec moi.
Erwin voulait entrer dans le bataillon d'exploration, et cela me faisait peur. Nile l'a remarqué et a changé ses plans de carrière à cause de moi. Il m'a avoué ses sentiments et son désir de fonder une famille. J'étais heureuse car je l'aimais, mais j'étais inquiète pour Erwin. Vivre paisiblement dans les murs ne l'intéressait pas. Nous nous sommes fréquentés pendant un moment jusqu'à ce que mon choix soit fait et quand ils ont terminé leur session d'entraînement, Nile est entré dans les brigades spéciales. Nous nous sommes fiancés et il a travaillé avec acharnement pour réussir à obtenir son poste actuel. Notre niveau de vie a changé constamment et avant que je m'en rende compte, j'étais mariée au commandant ! J'étais une "femme du monde". J'ai eu du mal à m'y habituer, à perdre mes réflexes de fille simple et naïve. Je suppose que je vous voyez de quoi je veux parler ?
Livaï a marché à côté de moi pendant tout mon discours, sans dire un mot, sans m'interrompre. On dirait que j'ai sa pleine attention, même s'il ne doit pas comprendre pourquoi je lui parle de tout ça. Nous nous trouvons tout à fait au sud du jardin ; les commérages vont bon train à la cour, aussi dois-je me méfier que des rumeurs ne circulent sur notre compte... Heureusement, l'attitude de Livaï est tout à fait neutre. il ne faut surtout pas nous asseoir, nous devons continuer à marcher.
Ce que je voulais vous dire c'est que Erwin a toujours été quelqu'un de fantasque, un peu incompris et parfois moqué dans sa jeunesse. C'est le lot des génies, j'imagine. Mon mari a souffert quand leurs routes se sont séparées. Ils étaient toujours ensemble ! Cela m'a fait souffrir aussi ; j'ai pensé naïvement que s'il avait des sentiments pour moi, il changerait ses plans d'avenir. Ne le dites pas à mon mari, mais... Si Erwin n'était pas devenu explorateur... enfin, vous voyez ma vie aurait peut-être été différente. Mais il était trop lointain, toujours ailleurs, en train de galoper vers l'horizon... Ce n'était pas une vie que voulais ; être femme d'explorateur, vous savez, c'est la chose la plus dure au monde. Attendre des jours durant, dans l'angoisse de la nouvelle d'un décès, c'est insupportable... Je me suis détournée d'Erwin à ce moment-là, quand j'ai compris que je ne pouvais pas soutenir la comparaison. Je ne sais pas s'il m'a aimée comme je l'ai aimé, mais il n'a pas manifesté beaucoup d'émotions quand je me suis mariée ; en tout cas pas celles d'un amoureux jaloux... Nous avons beaucoup communiqué par lettres pendant des années, puis le flot s'est tari... Il avait d'autres choses à faire j'imagine. Il n'a même pas dû les garder...
Livaï est sur le point de dire quelque chose mais garde finalement la bouche fermée. Ne me dites rien, c'est inutile, et c'est le passé maintenant. Erwin a dû vous révéler beaucoup de choses. Vous vous ressemblez par certains aspects. Et je vois aussi que vous tenez à lui.
J'ai l'impression de le gêner en disant ça, mais j'arrive bientôt au bout de mon discours. Je me place face à lui et m'assure qu'il me regarde bien. Il faut absolument qu'il comprenne ce que je vais lui dire.
Livaï, vous êtes proche d'Erwin. Il a pour vous beaucoup d'estime ; je le sais car nous en avons parlé la dernière fois que nous nous sommes vus. Vous devez réaliser que Erwin est brillant ; peut-être trop pour son propre bien, mais... Enfin, il n'a pas toujours les pieds sur terre ! C'est le problème avec les hommes comme lui, ils rêvent si souvent,et quand ils ne rêvent pas, ils échafaudent des théories audacieuses ou des plans dangereux ! Avec son nouveau statut, Erwin va avoir le bataillon à sa charge et son cerveau va marcher à plein régime. Il aura besoin qu'on veille sur lui. Je sais que je n'ai pas besoin de vous demander de faire ça, mais il y a autre chose. Erwin peut parfois oublier ce qui l'entoure ; il plane tellement au-dessus de nous qu'il a tendance à négliger les simples mortels et leurs capacités toutes humaines. Vous avez dû le remarquer ?
Il me répond qu'il est parfois obliger de lui rappeler de manger ou de dormir tellement Erwin pense à tout un tas de choses en permanence. C'est bien ça ! Mais vous, vous êtes plus réaliste. Plus terre à terre, devrais-je dire. Vous êtes capable de déterminer s'il va trop loin ou pas, vous pouvez le canaliser. Aussi, je vous demande cette faveur, Livaï : si vous pensez qu'il se trompe, qu'il fait fausse route, ou qu'un de ses projets est irréalisable ou trop coûteux en vies humaines... par pitié, dites-le lui ! Opposez-vous à lui s'il le faut ! Je sais que c'est beaucoup demandé car il est votre supérieur, mais je sais que vous pouvez le faire ! Pour son bien ! Car Erwin néglige aussi souvent sa propre survie, il est si téméraire ! Le ferez-vous ?
Il s'incline un peu devant moi et me jure qu'il fera ce qui doit être fait, pour préserver la vie des soldats et aussi celle d'Erwin. Je me sens plus légère. Je réalise qu'Erwin n'est pas seul, qu'il est entouré de gens qui tiennent à lui mais qui ont aussi assez de bon sens pour lui dire la vérité quand il le faut. Je lui souris et nous revenons lentement vers la foule de courtisans, plus dispersée que tout à l'heure. Je lui souhaite le succès, il me souhaite une bonne journée, et nous nous séparons sans plus de cérémonie. Je ne pense pas avoir l'occasion de revoir un des explorateurs avant un bon moment.
J'aperçois Nile qui court vers moi. Calme-toi, je discutais avec Livaï. De quoi ? De choses et d'autres. Nous parlions d'un ami commun. Va plutôt me chercher un verre de vin blanc, je meurs de soif !
#lc367#mary dork#levi chronicles#les chroniques de livaï#fanfiction#fallenRaziel#snk#attack on titan#shingeki no kyojin
8 notes
·
View notes
Text
La Dernière Âme | Prologue : Malédiction
LA DERNIERE ÂME Prologue : Malédiction
Vendredi 13 août 2083.
Devant l’entrée d’un vieux bâtiment décoré pour l’occasion, une bande d’enfants agités criait et se bousculaient pour obtenir les meilleures places. Une cloche sonna derrière les portes vitrées, elle annonçait le début des festivités. Peu à peu, la foule se calma et leva la tête vers le toit, dans un silence presque religieux.
Un homme, vêtu d'un costume mauve foncé, venait d'y apparaître. Il portait un masque imposant : une tête d'ours en mauvais état, où il manquait une oreille. L'ossature métallique qui comblait les espaces où la peau manquait rappelait à tous ici une époque révolue depuis longtemps. Pendant un moment, il jaugea du regard les enfants, immobile, sur son morceau de tôle qui détonnait au milieu des habitations futuristes entourant cette vieille pizzeria des années 1980. Soudain, il se pencha vers le vide et sa voix, boostée par un micro camouflé, pour préserver la magie de l'instant, résonna dans les gigantesques enceintes qui encerclait la cour pavée où les gamins attendaient, impatients.
« Bienvenue au Freddy Fazbear's Museum, les enfants ! cria t-il, en faisant sursauter plus d'un. Vous avez été nombreux à répondre à l’appel pour notre vendredi treize de l’horreur et vous ne serez pas déçus ! Foxy le Pirate vous effrayait ? Attendez de voir notre nouvelle attraction, tirée tout droit d’une décharge il y a quelques jours à peine. »
Les portes s’ouvrirent, dans un grincement qui aurait décourager n'importe qui s'il s'était retrouvé seul. Pourtant, la foule se rua à l’intérieur en explosant de joie, arrachant un sourire au gardien de nuit sur le toit. Il prenait goût à ce rituel. Il jeta un regard en bas, pour s'assurer que personne ne restait derrière.
Une petite fille attendait patiemment que tous ses camarades entrent, visiblement en retrait. Sur la pointe des pieds, elle cherchait à voir ce qui se trouvait dans le bâtiment. L’homme retira son masque et se laissa glisser le long de la gouttière. Il avança ensuite d’un pas calme vers elle.
« Eh, petite, tu es perdue ? — Non, répondit-elle, nerveuse. C’est ma première nuit ici. Je ne connais personne. »
L’homme passa une main dans ses cheveux, pour la rassurer. Les vendredi treize, le musée n’ouvrait que la nuit et seuls les enfants étaient autorisés à y entrer pour y dormir. Des tas d’animations étaient créées pour ces rendez-vous emblématiques, qui avaient popularisé la vieille pizzeria et ses histoires peu-ordinaires. Beaucoup d'enfants revenaient à chaque nouvelle nuit, les nouveaux se faisaient souvent des amis dès que les jeux commençaient.
« Ne t'inquiète pas, lâcha le gardien. Contrairement aux animatroniques, les autres enfants ne vont pas te manger. »
Elle lui lança un regard mi-effrayé, mi-confiant. Le gardien de nuit lui tendit la main, qu’elle prit volontiers. Ils passèrent la porte tous les deux. L'homme en costume ferma à clé derrière elle, question de sécurité. Il préférait éviter de perdre un enfant trop aventureux pendant les animations. Le chef de l'entreprise avait été clair : aucun accident ne devait se produire, le nom de la compagnie avait déjà trempé dans bien trop d'affaires ces dernières années. Maintenant que le temps avait effacé les derniers procès auxquels ils avaient du répondre, après les accidents de 2022 dans une attraction d'horreur dédiée à la pizzeria, ils veillaient à garder leur image intacte.
Les enfants s’étaient agglutinés dans un coin de la pièce et chuchotaient à voix basse. Un grand sourire éclaira le visage du gardien, fier du petit effet de la nouvelle attraction, présentée pour la première fois aujourd'hui.
Le Fazbear’s Museum était parvenu à récupérer un seul robot des vieilles locations, en piteux état. Sa restauration avait pris du temps, mais depuis plus de deux ans maintenant Foxy le pirate, représentait le meilleur argument marketing de la compagnie. Le renard avait, certes, perdu de sa superbe : son exosquelette dépassait là où les parties de sa fourrure manquaient, il avait perdu un œil, mais pas celui couvert par son bandana, et un bon nombre de vis avaient été nécessaire pour restaurer ses vieux ressorts qui coinçaient parfois, l’empêchant de jouer convenablement son spectacle. Néanmoins, il restait la coqueluche des petits et des grands, qui venaient apprécier les légendes l'entourant avec un grand plaisir.
Mais ce n’était pas lui que les enfants regardaient aujourd’hui.
Il y avait quelques jours, un appel anonyme avait signalé la trouvaille d’un autre animatronique, que l’inconnu conservait chez lui jusque là. Il avait décidé de s’en débarrasser et leur en avait fait don, ne cherchant même pas à monnayer le potentiel commercial énorme qu’il représentait. La mention de son simple nom aurait pourtant valu à son propriétaire l’équivalent en billets du prix de la Maison Blanche. L'homme avait également refusé tout contact avec la compagnie. Il avait déposé le robot un matin dans la cour de la pizzeria, sans jamais se faire voir, et était parti sans laisser aucune trace. Dans un état tout aussi médiocre que le renard, sa restauration n'avait été que partielle, pour garder toute son authenticité.
Au passage du gardien, les enfants s’écartèrent, toujours en murmurant. L’homme se stoppa devant l’animatronique qui avait jadis fait coulé tant de théories sur les forums du monde entier : un grand lapin de couleur jaune délavée, couvert de sang séché et avec plusieurs trous menant droit sur ses composants internes, où autrefois se trouvait le corps d'un homme, dont la compagnie s'était débarrassé pour éviter de se prendre un nouveau procès pour non-respect des normes d'hygiène. Sa position lui paraissait avoir légèrement changée, ce qui interloqua le gardien un moment. Il se ressaisit pourtant rapidement. Il était minuit, les animations devraient être lancées depuis une heure, il ne pouvait pas s'occuper de le remettre en place immédiatement. Il se retourna vers les enfants et leur offrit un grand sourire.
« Vous l’avez reconnu ! Notre surprise du soir, c’est le fameux Springtrap ! On l’appelle aussi le meurtrier d’enfants. Dans le temps, il paraît que c’est lui qui a tué les cinq enfants qui ont ensuite hanté les animatroniques, dans le but de se venger. C’est ce que les rumeurs disent en tout cas, personne n’a jamais pu le démontrer. Ce soir, il revient à la vie. Juste pour vous. »
Tout en parlant, il activa une carte magnétique, qui envoyait le courant nécessaire pour faire bouger le costume. Celui-ci prenait un peu de temps à se lancer, le gardien reprit donc son monologue.
« Vous connaissez les rumeurs sur son sujet ? On dit que les enfants disparus, une nuit, alors qu'ils le hantaient, réussirent à le piéger dans son costume, celui qu'il utilisait pour commettre ses meurtres. Les “springlocks”, qui permettait au costume d’être utilisé par un homme, ont mystérieusement sautées, toutes en même temps. Le pauvre homme a été empalé par des barres métalliques, dont une au niveau de sa gorge, pour l'empêcher de hurler. Les enfants l’ont laissé mourir dans une salle inaccessible et ont veillé à ce qu’il ne puisse plus jamais leur faire de mal. »
Les yeux de l’animatronique, derrière lui, se mirent à briller et la tête du costume pencha légèrement sur le côté. Le gardien sourit, le spectacle allait bientôt commencer. Il jubilait, impatient. Il avait travaillé toute la semaine sur la présentation du robot et avait hâte de voir quelle réaction il provoquerait sur les enfants.
« La légende dit que, pourtant, Springtrap se releva, peut-être même parce qu’il est intuable. Comme les enfants ont hanté les animatroniques, lui s'est mis à hanter son vieux costume. Sa piste a été perdue en 2022, où des rumeurs disaient qu'il avait brûlé avec l'ancien établissement et les âmes de ses précédentes victimes, ne pouvant plus supporter leurs cris et leurs accusations. Mais comme vous pouvez le voir, il est toujours là pour vous hanter ! »
Les enfants eurent un mouvement de recul. Dans leurs yeux se lisaient une terreur indescriptible. L'espace de quelques instants, leur animateur se demanda s'il n'avait pas été trop loin dans son récit. Il oubliait parfois qu'il n'avait affaire qu'à des enfants. Il se radoucit légèrement et leur sourit.
« Ça va, je déconne ! Il ne vous fera rien, ce n’est qu’un robot. On est même pas certains qu’il s’agisse de l’origi… »
Une main robotique se posa sur son épaule et se referma violemment, la broyant sur le coup. Le gardien poussa un cri de douleur, surpris, avant de se retourner pour frapper l’animatronique avec sa lampe-torche, dans un réflexe de survie. Springtrap attrapa l'objet et relâcha le gardien. Pendant quelques instants, il étudia l'appareil, fasciné.
« D'ac.. D'accord, lâcha le gardien, difficilement, maintenant aussi effrayé que les gamins. Les enfants, vous allez reculer et... Et je vais ouvrir la porte et on va... »
Le lapin robotisé souleva le gardien par sa cravate. Il enfonça ensuite la lampe-torche dans la poitrine du pauvre homme qui poussa un cri horrible avant de rendre l'âme. Les enfants s'agitèrent, mal à l'aise et hésitèrent à bouger. Cela faisait-il partie de l’attraction ?
La lumière s’éteignit un bref instant. Ils hurlèrent tous de terreur. La petite fille, toujours en retrait, rebroussa chemin et chercha à atteindre la porte. Une main robotique l’arrêta net. Springtrap avait bougé et venait de se placer devant la porte. Il pencha sa tête de manière étrange. La foule recula lentement, de moins en moins assurée.
« Nous allons jouer à un jeu, dit-il d’une voix hachée. Vous avez trois secondes pour vous cacher. Si je vous trouve… Je vous tue.»
Les lumières s’éteignirent. La petite fille se dégagea de l’emprise de Springtrap et courut droit devant elle.
« Un... »
Les enfants se mirent à courir et à hurler dans tous les sens.
« Deux... »
Les cris doublèrent. Le sang du gardien, piétiné, ruissela sur le sol carrelé.
« Trois ! »
Le plus grand massacre, que la compagnie Fazbear's Entertainment aurait dû prévoir, venait d'avoir lieu.
2 notes
·
View notes
Photo
Mexique - Tulum - À louer - Sublime maison dans la jungle avec 2 piscines - 5 chambres Cette propriété entièrement privatisée est entourée par la nature et idéalement située près de la plage et du centre-ville de Tulum, ce qui la rend parfaite pour les groupes, les amis ou les familles. - Équipements de première classe - 2 belles grandes piscines privées - Toit-terrasse avec barbecue, palapa de yoga, cinéma en plein air et bar - Design unique et spacieux avec des intérieurs de luxe bo-ho chic - Accès gratuit aux services de conciergerie haut de gamme Le logement : 3 chambres à l’étage : - Chambre Principale : lit King Size + salle de bain + balcon privé avec jacuzzi - Chambre 2 : lit King Size + salle de bain ; - Chambre 3 : lit King + salle de bain 2 chambres au rez de chaussée : - Chambre 4 : deux lits doubles + salle de bain - Chambre 5 : deux lits doubles + salle de bain 2 piscines privées - Piscine 1 : accès facile depuis le salon - Piscine 2 : sur le toit avec bar Salon : espace de conversation spacieux et convivial - Portes vitrées panoramiques Cuisine ouverte + coin repas - Appareils et accessoires neufs et entièrement équipés - Table de salle à manger pour 12 personnes Toit terrasse - Palapa de yoga - Barbecue + Salle à manger - Piscine privée - Cinéma en plein air Prix et disponibilités sur demande Contact : Tel / whatsapp : +33(0)650803000 Tel fixe : +33(0)176545631 Email : [email protected] Suivez nous sur Facebook : https://m.facebook.com/europeanpropertyfindergroup/ You tube : https://www.youtube.com/channel/UCeNkiNv7bbgeAc_JX1qNfgg Instagram : www.instagram.com/theaddress.vip Website : www.theaddress.vip Contactez nous pour toutes vos demandes de vente / achat, location et location saisonnière en France (Paris, Cannes, Saint Tropez, Corse, Normandie, Sud Ouest, Provence, Alpes, Bretagne), dans les caraïbes (Saint Barth, Saint Martin, Martinique, Guadeloupe, République dominicaine...), à l’étranger (Suisse, Espagne, Italie, Grèce, Maroc, Mexique, Floride, Dubaï...). #immobilier #europeanpropertyfindergroup #family #friends #mexique #mexico #tulum #cancun #followforfollowback (à Tulum, Mexico) https://www.instagram.com/p/Ckv_YyuvoYqDEARscvAZDEc3VU8fn5N6_wkvhw0/?igshid=NGJjMDIxMWI=
#immobilier#europeanpropertyfindergroup#family#friends#mexique#mexico#tulum#cancun#followforfollowback
0 notes