Tumgik
#visage / claire redfield
designedparadigm · 8 months
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extensusmusae · 2 years
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tag dump-- claire r.
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horrorgirlspoll · 1 year
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HORROR GIRL DUOS: THE BRACKET
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all match-ups were randomly generated this time around. because i couldn't fit full names in, characters and sources are under the cut! polls will start on the 20th and follow the same format as last time (round 1 is one week, 2 and 3 are one day, 4 and 5 are one week)
Maxine & Pearl (X Trilogy) vs. Sam Carpenter and Tara Carpenter (Scream)
Jennifer Check & Needy Lesnicki (Jennifer's Body) vs. Cindy Campbell & Brenda Meeks (Scary Movie)
Kirsty Cotton & Tiffany (Hellraiser) vs. Carmilla & Laura (Le Fanu's Carmilla)
Amanda Young & Lynn Denlon (Saw) vs. Juno Kaplan and Sarah Carter (The Descent)
Claire Redfield & Sherry Birkin (Resident Evil) vs. Ginger Fitzgerald and Brigitte Fitzgerald (Ginger Snaps)
Sadako Yamamura & Kayako Saeki (Ringu/The Grudge/Sayako vs. Kayako) vs. Lilly & Carley (The Walking Dead)
Nancy Thompson & Kristen Parker (A Nightmare on Elm Street) vs. Lucie Jurin & Anna Assaou (Martyrs)
Melanie King & Georgie Barker (The Magnus Archives) vs. Heather/Cheryl Mason & Alessa Gillespie (Silent Hill)
Jennifer & Fiona Belli (Rule of Rose/Haunting Ground) vs. Pamela Voorhees & Nancy Loomis (Friday the 13th/Scream)
Laurie Strode & Annie Brackett (Halloween 1978 + RZ) vs. Baby Jane Hudson & Blanche Hudson (What Ever Happened To Baby Jane?)
SCP-105/Iris Thompson & SCP-166/Meri (SCP Foundation) vs. Gale Weathers & Sidney Prescott (Scream)
Nina Sayers & Lily (Black Swan) vs. Mandy & Regina (12 Hour Shift)
Sadie Cunningham & McKayla Hooper (Tragedy Girls) vs. Hélène Delambre & Veronica Quaife (The Fly 1958 + 1986)
Christiane Génessier & Louise (Les Yeux Sans Visage) vs. Tiffany Valentine & Nica Pierce (Child's Play/Chucky)
Zoe Benson & Madison Montgomery (AHS: Coven) vs. Lucy Westenra & Mina Harker (Bram Stoker's Dracula)
Sharon & Janice (Possibly in Michigan) vs. Eleanor Vance & Theodora (Shirley Jackson's The Haunting of Hill House)
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sh0esuke · 1 year
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" A Trip To Paris "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Chris Redfield
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : "A mes copains du S.T.A.R.S.,
Comment ça se passe au commissariat ? Vous tenez le coup face au vieux Irons ? Moi, je reviens tout juste d'un rencard avec un avion de chasse. Je vous laisse imaginer ce qui s'est passé sous son grand parapluie.
L'Europe, c'est génial. Un mois ne suffit pas pour avoir ne serait-ce qu'un aperçu. Je vais peut-être prolonger mes vacances de six mois.
Barry, n'envisage même pas de me rejoindre. Tu voudrais pas faire peur aux jolies filles, hein ? Alors laisse-les moi.
Jill, si Claire essaie de te contacter, dis-lui que je vais bien."
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : rien
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad or AO3, my accounts are in my bio, these are the ONLY ONES i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad ou AO3, j'ai des liens dans ma bio, ce sont mes SEULS comptes
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟗𝟗𝟔
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
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Déjà un mois que nous avions atterri en Europe, plus précisément en France. C'était des vacances bien méritées, autant pour Chris que moi, une occasion en or d'oublier nos travails respectifs et de nous ressourcer l'un auprès de l'autre. Qu'est-ce que ça nous faisait du bien.. Jusqu'à présent, tout se déroulait à merveille. Je n'aurais pas pu espérer mieux.
Ce genre de pensées inondaient mon esprit depuis ces derniers jours. Parfois, j'avais cette redoutable impression que notre situation était trop belle pour être vraie. Je m'en réjouissais.
« Chris, chéri, tu es là ? »
Je sortis de la salle de bain de notre hôtel après y avoir passé une petite heure dedans, une serviette reposait dans mes mains, ma chevelure trempée était secouée dans tous les sens par celles-ci. J'étais nue aussi. L'air frais dans la chambre me fit immédiatement frissonner, contrastant avec la fournaise qu'était la salle de bain.
« Il fait une de ces chaleurs sous la douche, » m'exaspérai-je. « T'es sûr qu'on peut pas— Chris ? »
Chris était assis sur le canapé de la chambre, courbé sur la table basse. Le fait qu'il soit recroquevillé sur lui-même me surprit.
« Mon amour, qu'est-ce que tu fais ? »
Chris releva la tête, il me vit avancer jusqu'à lui, je cherchai à voir ce qu'il faisait ⸺un grand pot de fleurs posé au milieu me gênait la vue⸺. Le sourire qui prit place sur ses lèvres me rendit embarrassée. Ça avait été immédiat, à peine m'avait-il remarquée que son visage s'était illuminé, comme un enfant devant un sapin de Noël. Je laissai ma serviette se coller à ma poitrine, elle tombait de manière à cacher mes seins et mon entrejambe.
« J'écris une lettre. »
Sa déclaration me prit de court. J'allais jusqu'à douter de lui, cependant, je ne pus réfuter quoi que ce soit lorsque je le vis me tendre un bout de papier sous le nez.
« À qui ? Claire ? »
J'enroulai la serviette autour de mon corps, me considérant assez habillée, je contournai la table basse et m'assis juste à côté de mon copain. Ma curiosité avait été assez titillée comme ça. Et si Chris le désirait, je me ferais un plaisir de lire sa petite lettre. Le bout de papier pressé entre mes doigts, je le lis.
« Ooh, c'est pour tes collègues. »
Ma remarque le fit sourire, Chris passa son bras autour de mes épaules.
« Qu'est-ce que.. »
Je lui jetai un coup d'œil sévère.
« C'est moi "l'avion de chasse" ? Tu te fiches de moi ? »
« Quoi ? »
Mes yeux passèrent au peigne fin le premier paragraphe. Je le relis avec ardeur.
« Chris, je vais t'étriper. »
Au lieu de s'expliquer, de s'excuser, de se mettre à genoux et de me supplier de le pardonner, Chris déposa une traînée de baisers sur ma peau. Elle était encore humide. Quelques gouttes d'eau avaient perlé, elles coulaient de ma mâchoire jusqu'à mes épaules, mon copain se chargea de les récolter.
« Je mens pas, pourtant. » me susurra-t-il toujours en m'embrassant. « J'ai bel et bien eu un rencard avec ce super avion de chasse vachement canon. Le fait que tu sois mon avion de chasse y change rien. »
Ses lèvres baisèrent ma gorge.
« Je— Hum, je t'emmerde. »
Je penchai la tête de l'autre côté pour lui laisser plus d'espace. Chris en profita, il déplaçait ma chevelure trempée sur le côté et se jetait sur moi. Je fis retomber sa lettre sur mes cuisses, je m'y accrochai, mon cœur tambourinait dans ma poitrine. Sa chaleur irradiait. Elle me brûlait l'épiderme. Sentir ses immenses mains me toucher les mollets afin de me maintenir en place me rendait dingue. Chris déplaçait mes jambes pour qu'elles puissent se retrouver sur ses cuisses, je finissais de profil contre lui. Il passait ensuite son bras autour de ma taille, moi, mes bras autour de sa nuque.
Finalement, nos lèvres se rencontrèrent.
J'embrassai Chris à répétition. Je l'embrassai, me reculai, l'embrassai à nouveau et continuai ce cercle vicieux jusqu'à l'entendre se mettre à rire. Mes yeux s'ouvrirent tandis que mes mains attrapèrent son visage en coupe. Mes paumes plaquées sur ses joues, je toisais avec grande attention mon petit ami.
« Pas très flatteuse quand même, ta lettre. » maugréai-je.
Il déposa son front contre le mien.
« Tu veux que je la réécrive ? »
« Non, c'est bon. »
Je baisai sa joue.
« Je trouve ça mignon. Je savais pas que toi et tes collègues vous envoyiez des lettres, ça dure depuis longtemps ? »
« Pas spécialement. »
Chris serra ma cuisse de sa main.
« Je voulais leur donner des nouvelles, ça me fait bizarre de plus être sur le terrain, de plus m'occuper de la paperasse. »
« Mhh, pareil. »
Chris détourna le visage pour embrasser le derrière de mon oreille.
« Pas que ça me déplaise. » il grogna. « Je t'ai enfin pour moi tout seul, ça, c'est des vacances. »
Ses propos me firent glousser.
Je serrai le haut de ma serviette avec mes deux mains, me sentant soudainement gênée par le fait que nous étions aussi proches l'un de l'autre. Chris était fantastique. Il n'échouait jamais à me faire rajeunir, chaque instant passé à ses côtés, je me sentais adolescente. Avec les fameux papillons dans le ventre, les gloussements frôlant le stupide et ce sentiment d'embarras qui me submergeait sans cesse lorsqu'il passait trop de temps à me regarder dans les yeux. C'était quelque chose qui n'avait jamais changé, pas même avec les années.
Chris mordilla mon lobe d'oreille. Je sursautai.
« T'es bouillante, bordel. »
Mon corps fut parcouru de frissons.
L'envie de me justifier me força à ouvrir la bouche, mais la respiration saccadée de Chris contre ma mâchoire me rendit muette.
Je ne répondais plus de rien. Je ne pouvais que me blottir contre lui et humer. J'étais bien là. Recroquevillée dans les bras de mon petit-ami, à l'autre bout du monde, c'était comme si l'univers n'appartenait qu'à nous. Et le sentir me toucher, me goûter m'aimer, voilà des choses qui n'avaient aucun prix. Tant leur valeur était inestimable.
J'aurais pu mourir ici, j'aurais tout de même été la femme la plus heureuse du monde.
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oathofpromises · 1 year
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             Tag drop: Character Tags Pt 1
—  ❛❛  // MAKO  ¦ My Oath to Always be a Shield through any Storm・ 「 Threads」
— ❛❛ // MAKO ¦ My Everything has Always been yours my heart・ 「 Musings」
—  ❛❛  // YOTSUYU GOE BRUTUS ¦ My appetite for your agony is as an abyss-bottomless. Insatiable.・ 「 Musings」
— ❛❛ // YOTSUYU GOE BRUTUS ¦Speak not of things that would disrupt their common dreary lives.・ 「Threads」
—  ❛❛  // JILL VALENTINE ¦You want S.T.A.R.S? I'll give you S.T.A.R.S! ・ 「 Threads」
—  ❛❛  // JILL VALENTINE ¦The ashes of Raccoon City would be Umbrella's ashes too.・ 「 Musings」
—  ❛❛  // JILL VALENTINE ¦ Don't you trust your partner?・ 「 Playlist」
—  ❛❛  // JILL VALENTINE ¦ I can handle this on my own. And don't call me little girl・ 「 Headcanons」
—  ❛❛  // CLAIRE REDFIELD ¦You've got two choices here: kill or be killed, your call!・「 Musings」
—  ❛❛  // CLAIRE REDFIELD  ¦ VISAGE・
—  ❛❛  // CARLOS OLIVEIRA  ¦ I told you I couldn't leave you in a Carlos-less world. That would just be too cruel. ・
—  ❛❛  // ASHLEY GRAHAM ¦I'm never turning into one of them! Never!・ 「 Threads」
—  ❛❛  // ASHLEY GRAHAM ¦Sunshine in the Darkness.・ 「 Musings」
—  ❛❛  // ASHLEY GRAHAM  ¦ VISAGE・
—  ❛❛  // ADA WONG ¦You look like you've seen a ghost・ 「 Musings」
—  ❛❛  // ADA WONG ¦ VISAGE・
—  ❛❛  // ALBERT WESKER ¦ I'm not destroying the world, I'm saving it!・ 「 Musings」
—  ❛❛  // ALBERT WESKER ¦ VISAGE・
—  ❛❛  // LEON SCOTT KENNEDY ¦ A bit of advice, try using knives next time. ・ 「 Musings」
—  ❛❛  // LEON SCOTT KENNEDY ¦ VISAGE・
—  ❛❛  // AMICIA DE RUNE¦ stay with me and I'll be your protector・ 「 Musings」
—  ❛❛  // AMICIA DE RUNE ¦ VISAGE・
—  ❛❛  // ASHLEY GRAHAM & LEON SCOTT KENNEDY ¦DYNAMIC・ 「 FRIENDS」
—  ❛❛  // COMMANDER SHEPARD¦ stay with me and I'll be your protector・ 「 Musings」
—  ❛❛  // LARA CROFT¦The extraordinary is in what we do, not who we are.・ 「 Musings」
—  ❛❛  // LYNA¦Protector of the Crystarium・ 「 Musings」
—  ❛❛  // LYNA¦I will always be their light in the darkness・ 「 Threads」
—  ❛❛  // LEON SCOTT KENNEDY ¦ This time, it can be different. It has to. ・ 「 Threads」
—  ❛❛  // JILL VALENTINE ¦I Hope you know we had everything・ 「 Rouge verse」
—  ❛❛  // LYSE HEXT  ¦ whatever I chose to do from now on, I do as Lyse  ・ 「 Threads」
—  ❛❛  // LYSE HEXT  ¦ Until we're strong enough to take back everything they stole!  ・ 「 Musings」
— ❛❛ //JILL WARRICK ¦Moonlight Melodies ・ 「 Threads」
—  ❛❛  //JILL WARRICK  ¦Ice Queen with eyes filled with stars ・ 「 Musings」
—  ❛❛  // JILL WARRICK  ¦ VISAGE・
— ❛❛ //SADU DOTHARL ¦such a warrior within she will bask in my glorious flame.・ 「 Headcanons」
— ❛❛ //JULI KIDMAN ¦None of this is real, it's all Illusion・ 「 Musings」
—  ❛❛  // JULI KIDMAN  ¦ VISAGE・
— ❛❛ //JULI KIDMAN ¦No going back now..this is my choice・ 「 Threads」
— ❛❛ //RYNE WATERS ¦They're everything to me. All I have and all I need. ・ 「 Musings」
— ❛❛ //RYNE WATERS ¦‪I don't know about the world...but I never asked to be saved.  ・ 「 Threads」
— ❛❛ //RYNE WATERS ¦‪I don't know about the world...but I never asked to be saved.  ・ 「 Threads」
— ❛❛ //RYNE WATERS ¦However hard it gets, it's my life, and I want to live it on my own terms!・ 「 Headcanons」
—  ❛❛  // RYNE WATERS  ¦ VISAGE・
— ❛❛ //HILDA WARE ¦To be sure, our lives won't change overnight ・「 Musings」
—  ❛❛  // HILDA WARE  ¦ VISAGE・
— ❛❛ //ARDBERT HYLFYST ¦We were just adventurers trying to make our way.・「 Musings」
—  ❛❛  // ARDBERT HYLFYST  ¦ VISAGE・
—  ❛❛  // LADY EXARCH  ¦ The waves will break every chain on me ・ 「 Playlist」
— ❛❛ //YUGIRI MISTWALKER ¦To whom much is given, much is expected.・「 Threads」
— ❛❛ //Y'SHTOLA RHUL ¦So much left in the world to discover・「 Threads」
— ❛❛ //URIANGER AUGURELT ¦My path is unchanged; my creed sacrosanct. ・「 Threads」
— ❛❛ //ELLIE WILLIAMS ¦Everybody I have cared for has either died or left me.・「 Musings」
— ❛❛ //I'NEZY T'ZES ¦No matter how much time passed, I always remembered you・「Threads」
—  ❛❛  //VENAT¦・Has your journey been good? Has it been worthwhile?・「Threads」
— ❛❛ // YSAYLE DANGOULAIN¦I am neither a saint nor a savior—just another sinner.・ 「 Threads」
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agntkennedy · 2 years
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leon deserves to be happy with his two favorite people / art credit.
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poisonpicked · 3 years
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r.e tag drop 
chris, claire, jill, leon, ethan 
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wcvensouls-archive · 2 years
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* TAG DUMP / resident evil canons .
sherry birkin  :  threads . sherry birkin  :  visage . sherry birkin  :  about . sherry birkin  :  aes . sherry birkin  :  closet .
leon scott kennedy  :  threads . leon scott kennedy  :  visage . leon scott kennedy  :  about . leon scott kennedy  :  aes . leon scott kennedy  :  closet .
claire redfield  :  threads . claire redfield  :  visage . claire redfield  :  about . claire redfield  :  aes . claire redfield  :  closet .
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seeksbrother · 2 years
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TAG DROP!! PT. 1
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extensusmusae · 4 years
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tag dump -- sheva
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meetthetank · 4 years
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Starved
Rating: General AudiencesArchive Warning: No Archive Warnings ApplyCategory: F/M Fandom: Biohazard | Resident Evil (Gameverse) Relationships: Steve Burnside/Claire Redfield, Steve Burnside & Alexia Ashford (kind of) Characters: Steve Burnside, Claire Redfield, Alexia Ashford (kind of), Jill Valentine Additional Tags: Hurt/Comfort, Touch-Starved, Post RE Rev2, Therapy Group - Freeform, Read A/N for more context, Steve is a sad sad man who missed out on A Lot, Angst, Subtle love languages Ao3 Link: https://archiveofourown.org/works/29232369 Summary: Months after being rescued from his second island prison, Steve Burnside tries to adjust to a normal life while dealing with the scars left both physically and mentally. Luckily, he has some help. Notes: Sooooooooo here's the thing. There were worms in my brain. Real bad. So this is like... a manifestation of a longfic that I want to write later down the road. Some things to know before going in. 1) Steve revived on an island meant to store "failed" B.O.W. experiments that was left abandoned. He was there for a year and some change. 2) Allie is a child clone of Alexia who was in the same facility and befriended him. They live together and Steve is her legal guardian. 3) Jill runs a victims of B.O.W. experimentation which includes Steve, Manuela, Sherry, herself, and some others. I think that's everything but if yall have anymore questions feel free to ask. This is incredibly self indulgent to write but I hope you guys enjoy it too. 
“Please stop pacing,” Allie sighs, “You look like a caged beast.”
Steve glares at the child, a clone of the insane woman who killed him, as she sips her tea at the other side of their flat. She glares back, her hazel eyes sharp as ever. She’s waiting for him to retort so she can shoot him down with a smart ass remark like a shark circling a drowning bird. When all she gets is an indignant huff she sips her tea and rolls her eyes.
“You do this every time she comes over. If she didn’t run away at the first sight of your ghastly visage she’s not going to run now.”
Steve sighs, “Yeah, but-“
“What absurd thing are you putting in your own head this time?” Allie snaps, setting her dainty pink teacup next to her stuffed dragon, “You’re going to stink up the room if you think too hard.”
He tunes out the insults with a scowl, but Steve knows the kid is right. He’s thinking way too much about this. Claire didn’t run away screaming the first time they met since he came back, she’s not going to do it for the seventh.
Even still, as Steve passes by the mirror in the front room he jumps at his own reflection. The person inside doesn’t look like him, it doesn’t feel like him. Their ginger hair isn’t wild and tangled, it’s washed, brushed and tied up in a small ponytail. Their shocking green eyes aren’t sunken into their sockets, and there’s a splash of red sunburn on their skin. He can even see a smattering of freckles across their nose and cheeks. They look like a stranger, but the deep, ragged scars across his face remind him of his past. The biggest and ugliest of the marks starts well above his hairline, drops down over his right eye and curls over his lips. A few smaller ones run across his cheeks and the bridge of his nose, but they aren’t nearly as deep.
He always thought scars were sexy when he was a kid. Manly. The marks of some action hero or badass. Now they just… Make him look tired and scared.
A small hand grabs onto one of his. “Did you take your medicine today?” Allie asks without a trace of her previous vitriol.
Steve shakes his head. “I’m out of the anxiety pills. Ms. Valentine said she’s going to bring them over when she comes to pick you up.”
“Okay.” Allie says with a curt nod.
“You got everything for your field trip?” Steve meanders over to the kitchen again, eager to change the subject.
“Can I have some spending money?”
He raises an eyebrow, “How much and what for?”
“Fifty for museum books.” Allie puts her hands on her hips and glares up at her guardian with defiance sparkling in her eyes.
Steve crosses his arms over his chest, “Twenty.”
Allie lifts her chin, “Forty-five.”
“Thirty.”
“Forty-five and I buy you a cool rock from the Natural History Museum.”
“Deal.”
With negotiations done (and Steve down forty-five bucks) the only thing left to do is wait. He switches the tv on to drown out his own thoughts. Some hockey game. It’s not his team so he doesn’t care too much, but it’s a comforting familiarity. At least sports didn’t change too much since ‘98.
Steve let’s himself zone out as much as he can to the game. At one point he thinks about getting a beer but decides against it. He’d probably have one or two with Claire at dinner. That, and his meds don’t mix well with alcohol if he hasn’t eaten. So instead he bounces his leg, bites his nails, and busies his hands with whatever he can reach.
Did he used to be like this? It’s hard for him to remember past his awakening and even harder to think past Rockfort. He was a neurotic mess out of necessity on the Storage Facility Island, a place where any sound could be death, and Rockfort was a similar story with the addition of his teenage bravado, but before he was taken? He barely remembers what his parents looked like, let alone what social masks he had to put on. Steve lets out a long, quiet sigh. It doesn’t matter anymore. He’s like this now, and that’s all he needs to know. At least now he has a support system.
Just as Steve starts to calm down, the doorbell rings.
He jumps out of his chair and bolts to the front door, heart in his throat and stomach upside down. His hands begin to shake as he reaches for the knob-
“Hi, Steve.”
“Oh,” Steve sighs, a bit too loudly judging by the way the visitor raises an eyebrow, “Hey, Jill.”
She gives him a warm, knowing smile as she fumbles with her shoulder bag. “Claire coming over today?”
“Yeah.” Steve scratches the back of his neck, “That easy to tell?”
Jill laughs, “Careful now, Redfields can smell fear.” She hands him a paper bag from the local drugstore, “Here. I know you said you were out of the anxiety meds, but I got everything refilled for you.”
“Oh! Uh, thanks!” He tosses the bag across the room to the chair he had just left. “So what museums are you hitting today?”
“All depends on our little cruise director.” Jill says with a small laugh, “Speaking of-”
Allie brushes past Steve, the charms on her backpack jingling with each step. “Air and Space and Botanical Gardens! Oh, and Natural History too. I promised I’d buy Steve a cool rock.”
“Easily bribed, I see.” Jill smirks at him quickly, then turns her attention back to Allie, “Sounds like a deal, kiddo.”
Eager to get on her way, Allie all but jumps out of the door and runs to where two more members of their little therapy group, Manuela and Sherry, wait. Both women greet her with smiles and hugs, and she wastes no time in launching into sharing things she had learned since the last time they had spoken.
“I’d stick around,” Jill says as she backtracks to the group, “But I feel like if I wait any longer there’s going to be a mutiny.”
The rumbling of a motorcycle echoes down the street, and Jill turns back to Steve with a quick smirk.
“Besides, you have company.”
Jill darts over to the group, casting a wave back to Steve and over to the biker before motioning to the ladies to begin their trek. Steve watches with wide eyes and a thundering heart as the biker dismounts and pulls off their helmet, revealing short auburn hair and stunning blue eyes. She gathers up a few plastic bags from her bike before jogging over to him, while he stands there like a deer in headlights.
“Hey, Steve!” She says with a bright, radiant smile and shoves some of her bags in his hands.
“W- Hey, Claire.” He fumbles with the grocery bags, “What’s all this?”
“Dinner. Figured making our own burgers would be better than ordering out.” Claire explains and shuffles inside the door as Steve moves aside for her. “And more fun.”
Though Steve can’t deny her claim, he also can’t fight the apprehension that coils in his stomach. He can cook, sure, he had to or die on the island, but he has no idea how to use any of the kitchen gadgets Jill’s group and Terra-Save set him up with. None of it is as simple as a slapdash firepit and some scraps of metal. Maybe if he’s lucky Claire will know what to do and he can just chop vegetables or something. The last thing he wants to do is make more of a fool of himself.
“Uh, sure!” He blinks his thoughts away, shuts the door and retrieves his bag of medicine from the chair.
By the time Steve turns back towards his kitchen, Claire is already busy setting up groceries and making herself at home. He watches her take off her heavy bomber jacket, revealing a thinner red and black flannel, and set it on the back of a chair at the kitchen table. She drops her plastic bags on the counter and grabs a beer out of his fridge; she looks like she’s been coming here for months. Something about the image before him makes Steve’s chest tighten. He’s not sure if it’s a bad feeling or not.
“-Steve?”
“Huh?” He snaps out of his stupor with a jolt.
Claire wiggles the opened bottle in her hand, “Did you want one?”
“Oh, uh, sure.” He stammers and rubs the back of his neck but walks across the room to take the beer. Maybe he did need something to settle his nerves after all.
Claire smiles at him like she’s known him all his life, like she knows what’s going on in his head and she understands why he’s so awkward and nervous around her. What was it that Jill said before? Redfields can smell fear? He knows it’s a joke but the way Claire seems to understand his fidgeting and hesitation leaves him wondering if there’s some kind of truth to it. A few gulps of beer (technically a hard cider, his first beer made him vomit) gives him enough bravado to at least go into the small kitchen with her.
Thankfully, she doesn’t ask him to work any of the gadgets. Claire’s hands glide over buttons and knobs, setting temperatures on his stove and placing pans. She directs Steve to break the ingredients out of the bags. Ground beef, cheese, brioche buns, vegetables, and a myriad of spices.
“This is a lot for just burgers, isn’t it?” He asks, mouth full of stolen tomato.
“Come on now, you know I wouldn’t do just burgers.” Claire laughs a bit, a sound that makes Steve’s heart stop. “This is an ancient Redfield family recipe.”
“Should I be worried?” Steve can’t help but smile back. She has this way about her that makes him feel lighter, like everything takes a backseat to just… being around her. He can joke, come out of his shell a little. She won’t hurt him.
Claire giggles at him, “It’s the way our dad used to make them. Chris held onto the secret ingredient till he was… Thirty something I think. I basically had to interrogate him for it.”
He raises an eyebrow and grins devilishly, “So...what’s the secret?”
“Oh, just a blend of spices.” She shrugs, “Nothing that inventive. But it’s special to Chris, so don’t go telling him I told you.”
Claire winks at him then turns back to mashing the ground beef into patties, leaving Steve to gawk at her. She’s delightfully impish when she wants to be, he can see himself getting into all sorts of flirtatious teasing matches with her… if he weren’t so weird. She directs him to chop up the tomatoes and onions after she catches him staring, again with a playful smirk and slug to his shoulder.
Something he had to become good at while on that remote island, alone aside from Allie and the wild B.O.Ws, was how to observe. The more he watches Claire out of his peripheral, the more she reveals to him. He watches the way her face falls as she focuses on the burger patties, as if she gets lost in her own thoughts and forgets where she is for a split second. It isn’t hard for him to see the sadness she hides from the world, it’s the same kind as one he carries. The reason Steve still roots for his hockey team, or even still watches the sport is because it reminds him of his dad. It’s the last connection he still has to his late father, and of a time mostly lost to him. He feels more special than he should that Claire would choose to share something like that with him.
Suddenly a sharp pain shoots up Steve’s arm. He drops the knife, now streaked with red and pulls his hand close to his chest with a hiss. His heart races and his eyes dart around, searching for other dangers in the area. Anything might be lurking in the shadows waiting to take advantage of his weakness. He scans back and forth for threats, eyes wide and alert. Nothing catches his attention except-
“Steve?! What happened?”
Claire drops her own knife and rushes over to him overcome with worry, but stops in her tracks when Steve backs away from her. He looks like a frightened animal, eyes wild and darting to anything that moves even the slightest bit.
“Did you cut your hand open?”
Her voice is soft and gentle as she approaches, hands low and outstretched to him. She doesn’t step closer, she waits for him to bridge the gap. Steve can see the caution in her face. Like she’s trying to coax a stray kitten out of hiding.
It works.
“Y-yeah,” Steve says, dropping the tension in his body a little. “I uh, wasn’t paying attention and… I guess it slipped.”
He opens his hand enough for Claire to see the small streaks of red that pool beneath his thumb. It’s superficial, barely deep enough to scar. The virus would already be hard at work stitching the burst blood vessels together, but he should still clean and bandage it. He has a bad habit of picking at the scaly scabs that form over wounds.
“Are you okay?” Claire asks, taking a small step forward. The gap between them is barely a foot wide. “That looks like it’s bleeding a lot.”
As Steve starts to relax further, Claire’s fingertips brush against his hand for a split second. The shock is enough to send him reeling back, his heart leaping into his throat. His instincts tell him to run and hide or fight his way to a safe place. Somehow he finds the self control to speak.
“No!” He yelps, loud enough to startle Claire. He lowers his voice but takes another step back. “No, I got it. It’s fine.”
He doesn’t stick around long. He can’t bear the worried, somewhat hurt, look on Claire’s face. Steve hurries into the bathroom around the corner and shuts the door before the fear and guilt tear him to pieces from the inside out. With trembling hands he turns on the sink faucet and lets icy water run over his open wound. It stings a little, but nothing he can’t endure. The excess blood trickles down the drain and vanishes in seconds. Just as he thought, the cut isn’t deep at all. That eases his anxieties somewhat, but not enough to stop the oncoming panic attack. Before it overtakes him, he wraps a washcloth around his hand to contain the blood as best he can.
Steve sinks to the floor and puts his head between his knees. It’s a struggle but he forces himself to take deep even breaths, just like Jill had taught the group. Though his head still spins, it helps to calm his heartbeat enough that it doesn’t feel like he’s about to have a heart attack. The trembling stops once he lets his consciousness fade to survival mode; he only thinks about his breathing and that he is safe.
Claire isn’t going to hurt him. No one is. He’s safe here. He’s safe with her.
Claire isn’t going to hurt him.
The world slows down, finally. Steve isn’t sure how long he’s been here but it can’t have been too long. Claire hasn’t come knocking on the door looking for him yet, and the savory scents of meat and spices being seared drifts in from the kitchen. His stomach tightens at the smell, helping to distract him further. Though his whole body feels heavy and drained of energy, Steve finds the strength to push himself to his feet once again. He cleans the now dried blood off of his hand, sloppily wraps his hand with a bandage, and dumps the rag he was holding into the wastebin before leaving the sanctuary of the bathroom.
When Steve returns to the kitchen, he expects Claire to rush at him and assault him with questions, but the only question is in her eyes. Wide, blue, and deeply worried about him. She doesn’t say anything or move to approach him, she only watches and waits for him to be ready. The way her brow creases and turns upwards at the ends make her look guilty, and that sends a pain through his gut he can’t identify right away.
“All good.” He announces, showing off his slapdash bandages. “It’s not deep. Just wanna keep it from getting dirty. And keep myself from picking at a scab.”
Claire looks at him with such intensity that Steve almost shrinks back from her gaze. It’s like she’s staring right through him.
“You sure?” she asks, keeping her voice low and gentle.
The genuine worry throws Steve for a loop. “Yeah.” He flashes her a wry, lopsided smile full of false confidence; as if he didn’t just have a panic attack. “I’ve had a lot worse.”
Claire studies him for a moment, then scoffs and shakes her head. A small grin finally appears on her face and it takes his breath away. “Yeah, I was there for some of those.”
She turns back to finishing up dinner. A shadow crosses her face as she grills the burger buns as a final touch, but it’s gone in a flash. Steve busies himself with getting drinks and plates, and thinking of something to say that might distract Claire from whatever sadness is eating away at her.
“You’ve had a lot worse than that.” He says with a grin, and immediately regrets it. Why did he think it’d be a good idea to bring back those kinds of memories?!
But Claire turns around and smiles broadly at him. “Oh you have no idea.” She drops a plate of burgers and a plate of toppings on the table, then as if to give Steve another heart attack, she props her leg up on the chair and rolls up one of her pant legs. A long, wide scar follows the length of her toned calf. Tan with age and wear, it stands out against her pale skin.
“This was from the Tyrant in Raccoon City.” She smirks, almost proud of her scar. “I was lucky it didn’t hit bone with how deep it was.”
There’s an edge to her voice, testing him. Teasing him. Steve grins. If Claire wants to have a scar battle, then he’s more than happy to show off.
He points to the largest scar on his face, “I got this from-...” Shit, he can’t tell her it was from falling down a mountain. That’s not cool. “...I got it from this big… Turtle thing.”
Claire raises an eyebrow at him, “Turtle thing?”
The lie spins out of control in his head, faster than he can stop. “Yeah! It was like...a big armored reptile B.O.W. Had these nasty claws for diggin’ in the ground. I got too close to it and it swatted at me. I’m lucky I didn’t lose this eye.”
He puts his hands on his hips and puffs out his chest a bit. He can’t pinpoint why showing off his trauma like this makes him happy. Maybe he’s just happy to share it at all. It doesn’t matter to him now. Claire is smiling. He’s smiling.
They go back and forth, showing each other their scars and places where bones were broken while eating homemade burgers and fries. Claire shocks Steve with just how many scars and injuries she suffered over her years of fighting bioterrorism, and he astounds her with his stories of his misadventures on the B.O.W. storage island and his encounters with all manner of beasts. Watching her listen to him with such fervor and interest almost makes him forget how horrific it all was. It helps in a weird way.
But that changes in an instant.
When it’s his turn to point out a scar and tell a story, he stops thinking. He lifts up his shirt, exposing the most gruesome scar on his body with an excited grin. A scar that stretches from his collarbone and disappears beneath the waistband of his pants, with dots alongside it on either side. Instead of a jagged outline like the scars left by accidents and B.O.W’s, this one is straight, clean. Surgical.
“This one was from when they autopsied me.” He explains, far too excited about the grim display he presents Claire. “It still itches like hell where the staples were-”
Steve snaps to reality once he looks up to see Claire’s awestruck face. Instead of excitement, it’s horror. Her hands cover her mouth and her eyes, brimming with barely restrained tears, lock onto his stomach and a wound so old he had almost forgotten about it. Beneath the autopsy scar, beneath the scars from man-made beasts, there’s a circular mark a similar color to the scar on Claire’s leg. It’s old, faded, but still aches from how deep the tissue reaches inside him. The gravity of the old wound may be lost on him, buried under the countless others that mar his body, but it’s fresh and raw to Claire.
He hastily pulls his shirt down, “Shit- I’m sorry, I didn’t-... I forgot that…” There’s nothing he can say that will ease her mind. He reaches out to her with one hand, stopping just by her arm before pulling back and sinking back into his chair. Another muttered apology falls from his lips as he hangs his head in shame.
He doesn’t notice Claire get up and cross the gap to him. Not until she takes a knee in front of him and brushes his unruly hair out of his eyes.
Claire’s touch is feather light and tender, but even that sends shocks through his skin. It jolts him out of his shamed stupor, and Claire pulls her hand back a few inches. Her expression is something he can’t make out. Somewhere between pity, sadness, and guilt. Before Steve can properly figure out what she’s thinking (something he’s never been good at) Claire runs her thumb across the large scar on his face, slowly and gently. He doesn’t flinch away from her this time. Then, something mundane yet earth shattering to this broken man out of time happens. Claire cups his scarred, stubble covered cheek in her hand.
Something breaks within him. A dam he didn’t know existed anymore that kept everything back, every trauma, every broken piece of him; some of which he didn’t even know were broken. Claire’s hand, her warm hand marred by callouses but still soft despite it all, molds to the contours of his face. There’s such tenderness, unrestrained kindness in her eyes and her touch and he can’t fathom how it can be directed to him. He doesn’t notice the tears in his eyes until they spill over.
Steve tries to calm himself with deep breaths but they come out stuttered and shaking. His shoulders heave, a lump in his throat chokes him. He screws his eyes shut, trying to shut out the vision of someone caring about him that deeply, but she’s still there. He can still see those piercing blue eyes boring into his soul and reading him like an open book. The moment Steve opens his eyes he sees the blurred outline of Claire Redfield wrapping her arms around his shoulders.
He wants to yell at her to leave, to tell her that he’s a lost cause and there’s no helping him. He’s too damaged, too broken. He’ll never have a normal life. He’ll never be able to pretend he isn’t a monster. He will never be able to have meaningful relationships. But all that comes out of his mouth is a broken, choked sob. Someone is touching him, someone cares about him. And he can’t understand it.
Despite himself, Steve pulls Claire into a tight embrace and sobs into her shoulder. Her fingers run through his hair, while her other hand rubs his quaking back. Steve can’t stem the tears, that’s a feat that even a mighty Redfield can’t achieve, but he can’t deny that simply being in Claire’s arms replaces despair with a strange warmth. For the first time he can remember, he feels...safe.
Eventually, the tears stop, and Steve is able to breath easily again. Claire doesn’t let him go for a minute and for that he silently thanks her. It isn’t until he begins to pull away that she too lets her arms down and pulls back from him.
“I’m sorry…” he mutters, wiping the stray tears from his eyes, “I don’t-”
“Shut up.” Claire commands and takes Steve’s hands from his face. “You have nothing to apologize for.” Darkness crosses her face for a moment. “I should be the one apologizing… I know you-... It’s hard after a while, not being… Not having human contact like that for a while. It’s not something they tell you about in therapy.”
Steve shakes his head, “I needed it. I really… Really did.” He sighs, “I...I didn’t know how much I...everything… still hurts.”
With that same kind smile, Claire leans forward and kisses his forehead. “It takes a lot of strength to admit you’re hurting that much. Give yourself some credit.”
“Maybe…” he says with a sad smile. “... Thank you, Claire. For everything.”
She takes his hand in hers, tracing the callouses and scars with her thumb. “Thank you for coming back.”
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milauree · 4 years
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Salut! Pourrais-je avoir des réactions de la part de Leon S Kennedy et de Chris Redfield lorsqu'un homme s'approche de trop de leur crush? Merci beaucoup ily!
Coucou ! Je suis une très grande fan de Resident Evil grâce à une superbe meilleure amie ! *wink wonk* Et j'adore déjà cette questions ! Si j'ai bien compris, c'est leur crush, du coup ils sont pas encore dans une relation officielle ? Je vais prendre Leon post-apocalypse niark niark
Leon S Kennedy et Chris Redfield réagissant à leur crush trop proche d'un homme
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Leon S Kennedy -Tu étais dans une soirée un peu mouvementée, mais ta timidité t'empêchait de réellement t'amuser au milieu de ces inconnus. -Un peu recluse, un verre non-alcoolisé demeurait ton seul ami lors de cette fête ainsi que le majestueux buffet dont tu ne faisais qu'une bouchée. -Mais au loin, Leon gardait un œil sur toi, comme à son habitude. -Vous étiez coéquipiers depuis maintenant quelques mois, votre relation plus qu'ambigu attirait les railleries de vos coéquipiers, mais jusqu'ici, aucun de vous d'eux n'avait vraiment engagé la conversation. -Distrait par une personne ayant allègrement rendu son dîné sur les chaussures d'une femme pas très farouche, Leon ne remarqua rien sur le moment. -Il était grand, te surplombant facilement et ses cheveux noirs retombaient sur des yeux verdâtres profond. -C'est en frottant de manière "innocente" vos deux avants-bras que tu te rendis compte de sa présence et l'homme se mit à doucement engager la conversation. -Tu n'étais pas très à l'aise avec ton apparence, mais Leon t'aurait avec plaisir démontré le contraire, mais en ce moment, c'était cet inconnu qui te courtisait. -Ses quelques blagues te volait quelques petits rires mais ceux-ci étaient assez forts pour que Leon redresse instantanément sa tête. -Son regard assombri, Leon se concentrait sur l'homme à tes côtés et surtout, sur toi. Sur tes réponses, ta gestuelle, et le pire, ton sourire. -Pourquoi Diable riais-tu ? -Il ne le connaissait pas, et ça l'énervait encore plus. -Sans une once de doute, il força son chemin sans même s'excuser pour les quelques personnes poussées. De toute manière, il ne les entendait pas, trop concentré à tenter de comprendre ce qu'il pouvait bien te dire. -Son verre en main, Leon tenta de t'approcher de manière douce, si ce n'était pour son faux sourire que tu pouvais facilement déceler. -Après deux longues douloureuses et embarrassantes minutes où Leon semblait tuer du regard le bel inconnu, tu sentis sa main se glisser et attraper fermement ton bras. -Oh, Leon était TRÈS en colère. -Vous vous étiez écarté de la fête, dans un couloir un peu isolé et Leon ne lâchait pas pour autant ton bras. -Sa poigne en devenait même très douloureuse mais tu n'osais pas le brusquer. -"Tu le connais ? C'était qui ?" -Ce n'était pas vraiment une question, son intonation laissait plutôt prétendre à un ordre. -"C'est bon ? Tu ne parles plus maintenant ? Pourtant tu rigolais bien avec lui, est-il de meilleure compagnie ? Tu veux retourner là-bas ?" -C'était la goutte de trop, cette soirée à été plus qu'épuisante à tes yeux et tu n'allais certainement pas écouter Leon t'accabler de réflexions plus fausses les unes que les autres. -Tu te mis à lui expliquer la scène, de A à Z en laissant s'échapper ça et là des petits pics quant à sa propre attention portée sur d'autres personnes que toi. -Il se sentit bête, pire que ça, embarassé d'avoir fait un tel cinéma. Leon qui avait jusqu'ici tant bien que mal caché son attirance envers toi, c'était complètement tomber à l'eau car tu n'allais certainement pas abandonner, tu voulais des explications -C'est en remettant ses cheveux en place par réflèxe qu'il se mit à balbutier son "explication" sous l'effet de l'alcool. -Oh seigneur, sois plus clair ! -Il tenta de prendre une bouffée d'air en regardant brièvement le plafond avant de se murmurer un "Putain..." et d'attraper fermement ta machoire afin d'y forcer ses lèvres. -Tu l'as eu, ton explication.
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Chris Redfield -Vous étiez tous deux à votre entraînement habituel, à ses yeux, tu rayonnais d'énergie et de charisme. -C'était évident aux yeux de tous que Chris avait un gigantesque crush sur toi. -Sauf pour cette personne qui semblait s'approcher beaucoup trop au goût de Chris. -Il était à peine plus grand que toi mais possédait d'assez larges épaules au vu de l'entraînement quotidien que vous aviez. -C'était une nouvelle recrue, il expliquait ô combien tu l'impressionnais. Une femme, aussi haut gradée en si peu de temps ! C'était surprenant ! -Pour toi, ce n'était qu'un petit chiot en quête d'attention et de conseils. -Mais pour Chris, c'était le pire des affronts. Tout le monde savait pertinemment que tu étais chasse gardée. Au plus grand déplaisir de tes prétendants qui détestaient de voir Chris ne jamais oser faire le premier pas. -Tu te mis à adapter ta propre routine à la sienne, afin de vous entraîner tous deux en même temps. -Mais cette recrue, aussi innocente que tu l'imaginais, n'avait que d'yeux sur toi. Ton entraînement était bien évidemment de l'or à ses yeux, mais c'était surtout l'occasion de se rapprocher de toi. -Chris devait s'occuper de ses propres recrues mais son esprit restait sur vous, et oh mon dieu qu'est-ce que ça l'agaçait. Personne n'osait le rappeler à l'ordre car si son regard pouvait tuer, ta mignonne petite recrue serait déjà six pieds sous terre. -Il faisait semblant de ne pas comprendre, de rater volontairement des échauffements afin que tu lui expliques et encore mieux, que tu guides son corps dans la bonne position. -Ce fut la goutte de trop. Chris ordonna nonchalamment à ses recrues de s'entraîner eux-même et comme un chien de garde, se dirigea vers vous d'un pas lourd. -"C'est quoi le problème ? Si tu n'es pas capable de faire un stupide entraînement tout seul, ne nous fait pas perdre notre temps, récupère tes affaires et du vent, c'est clair ?" -Sa voix était rèche et dure, il avait volontairement laissé tomber sa voix d'une octave pour s'imposer et son attitude était clairement un mystère à tes yeux. -Son statut et sa carrure força à la petite recrue à s'en aller la queue entre les jambes, non sans s'excuser d'un "Oui Chef." -Il était fier de lui, vraiment, mais ton regard lui fit comprendre qu'il allait devoir s'expliquer et tout de suite. -Comme si toute la réalité lui tombait sur la tête, il se dit que perdu pour perdu, c'était sûrement l'occasion rêvée pour montrer à tous que tu étais vraiment off-limits. -Il prit fermement ton avant-bras et guida son visage juste face au tiens. -"Pousse moi si tu ne le veux pas." -Avant même que tu ne puisses comprendre, il apposa ses lèvres contre les tiennes. -Mais tu ne l'as pas repoussé, pas vrai ?
PHEWWW j'y suis VRAIMENT allé pour une première fois ! Je devrais pas mettre la barre aussi haute pour les prochaines foiiis T_T J'espère que tu as aimé !!
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Connaissez-vous déjà Jeux PC Gratuit? Resident Evil 2
Je retiens de très bons souvenirs de mon temps consacré à Resident Evil 2 original, à jouer dans ma chambre d'étudiant de l'université du Kansas et à m'émerveiller devant ses rollers incroyablement réalistes. (Chose qui remonte à 1998 et clairement, mon moi à l'époque il y avait encore beaucoup de choses à apprendre). Un autre souvenir qui a marqué ma vie de joueur: lorsque j'ai joué au remake GameCube du premier Resident Evil, sorti en 2002. Un titre aux graphismes magnifiquement transmis les goûts du jours, aux zones inédites afin d'explorer, et aux nouveaux ennemis terribles. Nous voilà en 2019, et Capcom et il me donne une nouvelle expérience que je ne suis une fois de plus pas près d'oublier. Ce remake complet de Resident Evil 2 délivre une aventure aussi fun qu'horrifique, dont la réussite réside dans des graphismes, des commandes et des améliorations dans le gameplay de nouvelles. L'intrigue des deux personnages ne diffèrent pas si fort que je l'aurais souhaité. J'ai toujours apprécié chaque minute de montagnes passée dans les bottes de Leon Kennedy et Claire Redfield.
Je n'ai pas rejoué au Resident Evil 2 original depuis sa sortie, il y a 20 ans. Je ne me rappelais pas, de sorte que très peu de choses: je savais que le jeu se déroule principalement dans un commissariat de police, qu'il introduisait les Lickers, et que des araignées géantes cachés dans les égouts étaient un véritable cauchemar. Si vous êtes dans la même situation que moi, les innombrables améliorations apportées à ce remake par rapport avec le titre original ne vous sauteront pas nécessairement aux yeux, à moins de mettre les deux jeux côte à côte. Plutôt que le traditionnel remaster qui réutilise le squelette du jeu original pour y greffer une meilleure résolution et des textures retravaillées, Capcom ici pris le parti de recréer entièrement Resident Evil 2 avec le moteur de RE Engine- même comme Resident Evil 7.
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Les personnages ivre se déplaçant le paysage endormi décor figé cèdent la place maintenant dans le jeu Resident Evil 2 entièrement modélisé en 3D, jouable en vue à la troisième personne par dessus l'épaule, et porté par des effets de lumière atmosphériques, des animations faciales réussies et, selon moi, les plus« beaux» zombies jamais vu dans un jeu vidéo. Ils sont encore plus visqueux qu'auparavant (je pense d'ailleurs que les développeurs de Capcom se sont inspirés du célèbre Tarman du film le Retour des morts-vivants 2) et j'adore la façon dont ils traquent leur proie et réagissent quand vous leur faites exploser un morceau de la tête (le succès que ce remake doit à son démembrement particulièrement satisfaisant et détaillé).
Capcom réutilise cependant trop souvent les mêmes modèles de zombies. Vers la fin du jeu, vous apprendrez, en particulier certains morts-vivants dézingués au début de l'aventure, dans le commissariat. Certains événements ont été réarrangés ou développés plus en détail, et il y a quelques surprenants, rebondissements, mais dans l'ensemble, ce remake fidèle à l'intrigue sombre et dérangée de Resident Evil 2. Pour mémoire, l'action se déroule deux mois après l'épidémie de zombies de Resident Evil, confinée principalement dans un manoir effrayant. L'horreur s'est désormais étendu à tout Raccoon City, une ville divisée en trois grandes zones- chacune constituant un acte de l'intrigue. Explorer des halls plongés dans le noir, résoudre des énigmes et prier au ciel que les zombies ne se cache pas dans un coin sombre. La recette reste un plaisir, même aujourd'hui. Analyser chaque lieu, se familiariser avec le terrain et contourner les obstacles qui se trouvent sur le chemin sont des actions qui n'ont pas pris une ride. Il y a aussi d'innombrables statues avec compartiments secrets, des reptiles mutants dans les égouts, et dans un vaste laboratoire souterrain. Et même sans tous les mémorables, ces lieux restent agréables à visiter.
Nos héros, Leon et Claire, débarquant quant à l'égard d'eux dans la ville au moment qu'il soit. Et à peine arrivés sur place ils se retrouvent séparés. Ce duo est assez sympathique, mais leur héroïsme inébranlable manque trop profondément. Jamais ils ne sont désespérés ou ne doutent pas d'eux-même, ce qui rend leur personnalité est un peu mou. Certains personnages secondaires sont aussi plus intéressants et charismatiques. On pense notamment à la mystérieuse Ada Wong, qui apparaît au cours de la campagne de Léon. Elle remet très souvent en question ses motivations, se demandant par exemple à qui elle doit prêter allégeance.
La gestion de l'inventaire et des munitions restent à l'exception d'un seul mécanismes de gameplay principales de Resident Evil 2. On a affaire ici à un vrai survival horror, dans lequel vous aurez constamment l'impression de manquer de ressources, ils sont nécessaires pour fabriquer des balles ou des objets de soins. Vous ne pouvez en effet pas tout emporter avec vous. Que dois-je garder et que dois-je abandonner? Le type de questions auxquelles vous aurez à répondre durant l'aventure.
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Dans le sens d'une amélioration de gameplay, vous pouvez trouver la carte, qui vous montre maintenant si vous avez ramassé ou non tous les objets d'une pièce, des points de sauvegarde réguliers et illimités, et la disparition des temps de chargement du jeu original. Tout cela fait de Raccoon City bien plus agréable.
L'excellente bande son également contribuer au stress. Les déplacements sont rythmés par très peu de musiques, ce qui laissent le champ libre aux portes grinçantes, au tonnerre, à la pluie, aux gémissements des morts-vivants et pas lourd du visage sinistre que de monter dans la pièce d'à côté. L'atmosphère de ce Resident Evil 2 est clairement incomparable.
La chose la plus oppressante des deux premiers tiers de la campagne est super Tyran (aka Mr. X). Il apparaît tôt pour à la trace. Et ce dernier n'a rien à envier à Jason Voorhees et Michael Myers avec son regard vide et froid, et sa stature imposante et inébranlable. Sachant que rien ne pouvait le sentiment de crainte m'envahissait à chaque fois que j'entendais ses pas résonner plus fort. Sa présence se termine, il est dit par devenir plus contraignante que terrifiante, surtout au moment où vous résolvez une énigme ou en arrière dans l'histoire. Et le colosse ne le fait pas, évidemment jamais de pause.
J'ai terminé le jeu une première fois, dans la peau de Leon, en huit heures, ce qui m'a paru assez court. Je l'ai dit apprécié pouvoir me lancer dans une étape dans la campagne de Clare et voir l'histoire se dérouler de son propre point de vue. Indépendamment du personnage que vous choisissez pour terminer la campagne de la première fois, l'intrigue n'est pas différent malheureusement pas beaucoup dans la deuxième partie. Il y a de nouveaux lieux à explorer. La plupart des objets de quête de la première partie sont également dispersés à des endroits différents pour vous traquiez encore une fois de plus-une situation qui vous mènera de traverser plusieurs ennemis inédits et encore plus meurtriers plus tôt dans la campagne. Mais dans l'ensemble, l'intrigue se déroule plus ou moins de la même manière. Leon et Claire empruntent des chemins quasi identiques, et la plupart des personnages, résolvent la plupart des casses-têtes et affrontent la plupart des boss de la première partie du jeu.
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(Dans la première version de ce test, j'ai par erreur joué aux premières versions des intrigues Leon et Claire, très similaires, à la suite. J'ai depuis joué dans la deuxième partie Leon, mais je suis toujours déçu du manque de nouvelles choses à voir ou à faire à elle.)
Au moins, les deux personnages ne se jouent pas de la même manière: si vous commencez la partie avec Leon, vous apprendrez rapidement se débarrasser de vos ennemis zombies des coups de feu, un fusil à pompe et de lance-flamme. Avec Claire, vous devrez en revanche vous habituer à un style de jeu différent, la survie de l'héroïne reposant sur un pistolet-mitrailleur et un lance-grenades. Chaque protagoniste rencontre par ailleurs durant son aventure un personnage important qui évite brièvement l'intrigue principale. Qui ajoute enfin le boss final est différent. J'ai vraiment aimé Resident Evil 2, même si le recyclage de contenu a fait ma deuxième partie bien moins divertissante. Les petites différentes suscitées ne justifient pas en effet pas de sens de rejouer une campagne finalement très semblable à la première.
Malgré les nombreux ajouts de Capcom, il manque certaines choses à ce Resident Evil 2. Vous rappelez-vous, les araignées géantes qui m'avaient fait tant frissonner? Eh bien, ils sont passées à la trappe. J'étais vraiment hâte de découvrir une version plus réaliste de ces monstres à huit pattes (les arachnophobes s'opposent heureux de leur absence). En outre, lorsque vous pressez le Parcourir ce site bouton Start sur l'écran titre, aucune voix ne vient susurrer un angoissant« Resident Evil». Une véritable occasion manquée!
Le Verdict
Beau travail Capcom qui est parvenu à donner un second souffle aux meilleures facettes de Resident Evil 2, à l'aide de graphiques, les sons et d'un gameplay remis au goût du jour. Si pour vous, la série un peu perdu dans ces derniers volets, ce remake semble clair comme un retour aux sources. Les affrontements contre les zombies sont plaisants, tandis que l'étude des ruines de Raccoon City réserve de belles sensations. Seul vrai point négatif, les campagnes des deux personnages ne sont pas assez pour offrir une seconde partie aussi agréable que la première. Cela dit, quel que soit le protagoniste que vous choisissez de jouer, ce nouveau Resident Evil 2 établit de nouveaux standards dans l'élaboration d'un remake de jeux cultes.
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sevaboov230-blog · 5 years
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Je retiens de très bons souvenirs de mon temps passé sur le Resident Evil 2 original jouer dans ma chambre dans le dortoir de l'université du Kansas et de m'émerveiller devant ses cinématiques incroyablement réalistes. (Chose qui remonte à 1998 et clairement, mon moi à l'époque avait encore pas mal de choses à apprendre). Un autre souvenir qui a marqué ma vie de joueur: lorsque j'ai joué au remake GameCube du premier Resident Evil, sorti en 2002. Nom magnifiquement remis aux goûts de la journée, dans des zones inédites à explorer, et de nouveaux ennemis terribles. Nous voici en 2019, et Capcom m'offre une nouvelle expérience que je ne suis une fois de plus pas oublier. C'est plein remake de Resident Evil 2 délivre une aventure aussi fun qu'horrifique, dont la réussite réside dans des graphismes, des commandes et des améliorations dans le gameplay de nouvelles. L'intrigue des deux personnages jouables ne diffèrent pas si fort que je l'aurais souhaité. J'ai malgré tout apprécié chaque minute de montagnes passée dans les bottes de Leon Kennedy et Claire Redfield.
Je n'ai pas rejoué au Resident Evil 2 original depuis sa sortie, il y a 20 ans. Je ne me rappelais pas, de sorte que très peu de choses: je savais que le jeu se déroule principalement dans un commissariat de police, qu'il introduisait les Lickers, et comme des araignées géantes cachées dans les égouts il a été un véritable cauchemar. Si vous êtes dans la même situation que moi, les innombrables améliorations apportées par ce remake de rapport au titre original ne vous sauteront pas nécessairement aux yeux, à moins de mettre les deux jeux côte à côte. Plutôt que le traditionnel remaster qui utilise le squelette du jeu original pour y greffer une meilleure résolution et une texture recyclés, Capcom ici pris le parti de recréer entièrement Resident Evil 2 à partir du moteur de RE Engine- même comme Resident Evil 7.
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Les personnages pixelisés se déplaçant le paysage endormi décor figé en décor figé, laissent place à présent à un Resident Evil 2 entièrement modélisé en 3D, jouable en vue à la troisième personne par dessus l'épaule, et porté par des effets de lumière dans l'air, les animations faciales sont couronnés de succès et, selon moi, les plus« belles» les zombies jamais vus dans un jeu vidéo. Ils sont encore plus visqueux qu'auparavant (je pense d'ailleurs que les développeurs de Capcom se sont inspirés du célèbre Tarman du film Le Retour des morts-vivants 2) et j'adore la façon dont ils traquent leur proie et réagissent quand vous leur faites faire sauter une partie de la tête (une réussite que ce remake doit son démembrement particulièrement satisfaisant et détaillé).
Capcom réutilise cependant trop souvent les mêmes modèles de zombies. À la fin du jeu, vous reconnaîtrez notamment facilement certains morts-vivants dézingués au début de l'aventure, dans le commissariat. Certains événements ont été reconstruits ou développés plus longuement, et il y a quelques twists surprenants, mais dans l'ensemble, ce remake est fidèle à l'intrigue sombre et fou de Resident Evil 2. Pour mémoire, l'action se déroule deux mois après l'épidémie zombie de Resident Evil, limitée principalement dans un sinistre manoir. L'horreur est maintenant étendu à l'ensemble des Racoon City, une ville qui est divisé en trois grandes zones- chacune constituant un acte de l'intrigue. Explorer des halls plongés dans le noir, résoudre des énigmes et prier au ciel qu'un zombie ne se cache pas dans un coin sombre. La recette reste fun, même aujourd'hui. Analyser chaque lieu, se familiariser avec le terrain et contourner les obstacles qui se trouvent sur le chemin sont des actions qui n'ont pas pris une ride. Il y a aussi d'innombrables statues dotées de compartiments secrets, des reptiles mutants dans les égouts, et un vaste laboratoire souterrain. Et même sans tous les mémorables, ces lieux demeurent plaisants à visiter.
Nos héros, Leon et Claire, débarquant quant à eux dans la ville au moment qu'il soit. Et à peine arrivés sur place qu'ils se retrouvent séparés. Ce duo est assez sympathique, mais leur héroïsme une absence d'un peu trop profondément. Jamais ils ne désespère pas ou ne doutent pas d'eux-même, ce qui rend leur personnalité est un peu mou. Certains personnages secondaires se révèlent d'ailleurs bien plus intéressants et charismatiques. On pense notamment à la mystérieuse Ada Wong, qui apparaît durant la campagne de Léon. Elle remet très souvent la question de ses motivations, en demandant par exemple à qui elle doit prêter allégeance.
La gestion de l'inventaire et des munitions restent sinon l'une des mécaniques de gameplay principales de Resident Evil 2. On a affaire ici à un vrai survival horror, dans lequel vous aurez toujours l'impression de manquer de ressources, celles-ci nécessaires pour fabriquer des balles ou des objets de soin. Vous ne pouvez en effet pas tout emporter avec vous. Que dois-je garder et que dois-je abandonner? Le type de questions auxquelles vous devrez souvent répondre au cours de l'aventure.
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Dans le sens d'une amélioration de gameplay, on retrouve la carte, qui vous montre maintenant si vous possédez tous les objets des détails, des points de sauvegarde régulières et illimités, et la disparition des temps de chargement du jeu original. Tout Jeux Gratuits cela fait de Raccoon City bien plus agréable.
excellente bande son contribue aussi à vous stresser. Les déplacements sont rythmés par très peu de musiques, ce qui laissent le champ libre pour la porte grince, le tonnerre la pluie, sur les gémissements des morts-vivants et pas lourd du visage sinistre qui se balade dans la pièce d'à côté. L'atmosphère de ce Resident Evil 2 est clairement incomparable.
La chose la plus oppressante des deux premiers tiers de la campagne est super Tyran (aka Mr. X). Il apparaît tôt pour vous à la trace. Et ce dernier n'a rien à envier à Jason Voorhees et Michael Myers avec son regard vide et froid, et sa croissance, majestueux et inébranlable. Sachant pertinemment que rien ne pouvait le stopper, un sentiment de crainte m'envahissait à chaque fois quand j'ai entendu ses pas résonner plus fort. Sa présence finit cela dit par devenir de plus en plus strictes, de peur, surtout au moment où vous résolvez une énigme ou avancez dans l'histoire. Et le colosse ne fait pas, évidemment jamais de pause.
J'ai fini le jeu la première fois, dans la peau de Leon, à huit heures, ce qui m'a paru assez court. Je l'ai dit apprécié pouvoir me lancer dans une étape dans la campagne de Clare et de voir l'histoire se dérouler de son propre point de vue. Quel que soit le personnage que vous choisissez pour terminer la campagne une première fois, l'intrigue n'est pas différent malheureusement pas beaucoup dans la deuxième partie. Il y a de nouveaux lieux à explorer. La plupart des objets de quête de la première partie sont également dispersés dans différents endroits pour vous traquiez encore une fois une situation qui vous mènera de traverser plusieurs ennemis inédits et encore plus meurtriers plus tôt dans la campagne. Mais dans l'ensemble, l'intrigue se déroule plus ou moins de la même manière. Leon et Claire empruntent des chemins quasi identiques, et la plupart des personnages, résolvent la plupart des casses-têtes et affrontent la plupart des boss de la première partie du jeu.
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(Dans une première version de ce test, j'ai par erreur joué aux premières versions des intrigues de Leon et Claire, très semblable, après. J'ai déjà joué la seconde partie de Leon, mais je suis toujours déçu du manque de nouvelles choses à voir ou à faire à elle.)
Au moins deux personnages ne jouent pas le cas: si vous commencez la partie avec Leon, vous apprendrez rapidement se débarrasser de vos ennemis zombies des coups de fusil à pompe et le lance-flammes. Avec Claire, vous devrez en revanche vous habituer à un style de jeu différent, la survie de l'héroïne reposant sur un pistolet-mitrailleur et un lance-grenades. Chaque protagoniste rencontre par ailleurs durant son aventure un personnage important qui évite brièvement l'intrigue principale. A quoi s'ajoute enfin un boss final différent. J'ai vraiment aimé Resident Evil 2, même si le recyclage de contenu a rendu ma deuxième partie bien moins divertissante. Les petits sujets différents et ne justifient pas en effet pas de sens de rejouer une campagne finalement très semblable à la première.
Malgré les nombreux ajouts de Capcom, il manque certaines choses de Resident Evil 2. Vous vous rappelez des araignées géantes qui m'ont fait tant frissonner? He bien, elles sont allés à la porte. J'étais vraiment impatient de connaître la version plus réaliste de ces monstres à huit pattes (en arachnophobes s'opposent heureux de leur absence). En outre, lorsque vous pressez le bouton Start sur l'écran titre, aucune voix ne vient susurrer un angoissant« Resident Evil». Une vrai occasion manquée!
Verdict
Beau boulot de Capcom qui est parvenu à donner un second souffle les meilleurs aspects de Resident Evil 2, par le biais de graphiques, les sons et gameplay remis aux goûts du jour. Si pour vous, la série s'est un peu perdu dans ces volets, ce remake semble clair comme un retour aux sources. Les affrontements contre les zombies sont plaisants, tandis que l'étude des ruines de Raccoon City réserve de belles sensations fortes. Un vrai point négatif, les campagnes des deux personnages ne sont pas assez pour offrir une deuxième partie aussi gratifiante que la première. Cela dit, quel que soit le protagoniste que vous choisissez de jouer, ce nouveau Resident Evil 2 impose de nouvelles normes dans la façon de développer un remake de jeux cultes.
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agntkennedy · 2 years
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   “   they were parted by an inescapable destiny.    this is just the beginning of their worst nightmare.   ”
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