#vieillerie
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15 idées sympas pour recycler de vieilles portes
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15 idées sympas pour recycler de vieilles portes
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nayeon ; twice — more
#nayeon#im nayeon#nayeon avatars#twice#twice avatars#avatars#400*640#(je poste mes vieilleries ousp)
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La vieillerie
Aquarelles "shadow Black" de chez Kuretake + gris de Payne de chez Sennelier.
Dessin au stylo micron n°01 + gelly roll blanc n°10 Sakura.
Papier aquarelle 300g, Clairefontaine.
#art#traditional art#illustration art#illustration#aquarelle#watercolor#loose painting#flower drawing#painting#peinture#micron pens#pen drawing#flower painting#wilting flowers#watercolor art#loose watercolor#my draws#female artist
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Omg I completely forgot that song it's bringing back so many memories and feelings I feel OLD!
youtube
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Le fil n’est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de ta pensée parce que je suis hors de ta vue ? Je t’attends, je ne suis pas loin, je suis à tes côtés. Tu vois tout est bien
Mise au point du dernier jour de la vie. Voilà ce que vos descendants feront rien à faire de vos vieilleries
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Coucou Val ! Ça va ?? 💖
Bon, je n’ai pas vraiment de questions sur la France xD Néanmoins, j'adore l'initiative donc je me suis dit… pourquoi ne pas parler de Levihan avec une touche française ? ;)
Sur ce (si tu veux), je me demandais…
As-tu des chansons francophones qui te font penser à Levihan ? Tu peux nous les partager ?
Merci et gros bisous !
ENG translation:
Hi Val! How are you? 💖
Well, I shouldn't have questions about France xD But I love your idea so I thought… why not talk about Levihan with the french touch ? ;)
On that note, I was wondering…
Do you have any French songs that remind you of Levihan? Can you share them with us?
Thanks and big kisses!
Coucou Flo ! Je vais très bien, et toi ?
Merci de participer à cette journée (désolée de répondre aussi tardivement d'ailleurs 🫣)
Soyons honnête, j'écoute peu de musique française/francophone & il s'agit souvent de vieilleries! Du coup, je me suis creusé la tête pour trouver quelques chansons qui m'évoquent Levihan. Certaines sont déjà dans ma playlist Levihan qui dure 24h, j'y ajouterai probablement les autres.
J'espère que ça te plaira !
Bonne soirée & gros bisous 💕
Avertissement: pour la plupart, c'est pas mon style de musique habituel 😄
(Ia première est ma préférée: après la guerre, Livaï pense à Hansi 😭)
English translation:
Hi Flo! I'm doing very well, what about you? Thanks for your participation to this event (sorry for the late reply 🫣)
Let's be honest, I don't listen to much French/French-speaking music & it's often old stuff! So, I racked my brains out to find a few songs that remind me of Levihan. Some are already in my 24 hours long Levihan playlist, I will probably add the others to it.
I hope you'll like them!
Have a nice evening & big kisses 💕
Disclaimer: most songs are not in my usual style of music 😄
(the first one is my favourite: post war, Levi remembers Hange 😭)
#speak your language day#spyld#spyld 2024#livaï ackerman#hansi zoë#levihan#français#mutus 💕#flo 🇨🇵#littlerequiem#questions#liens vers spotify#musique
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Printemps 1918 - Champs-les-Sims
5/10
Ils ont une relation assez particulière. J'ai parfois l'impression de voir un grand frère s'adresser à sa petite soeur, alors qu'ils ont strictement le même âge. C'est assez touchant quelque part. De son côté, elle tempère le caractère parfois un peu trop sévère de son frère et lui rappelle qu'il est toujours un enfant. C'est en les voyant que je regrette de n'avoir eu ni frère ni soeur. J'y pense d'ailleurs, en avez-vous vous-même ? Votre époux s'est parfois essayé à nous décrire les méandres de votre arbre généalogique, mais je ne crois pas qu'il ait déjà abordé le sujet.
Transcription :
Arsinoé « Mais bon, ne le lui dit pas, ça ne servirai à rien. Ah ! Je crois qu’on y est presque. Tu as pensé à prendre l’écharpe et le vieux chapeau de Grand-Père ? »
Marc-Antoine « Une minute… Le chapeau de Grand-Père ? Pour faire un bonhomme de neige ? Tu es sure que ce n’est pas trop… irrespectueux ? »
Arsinoé « J’ai demandé à Papa, et il pense que ce n’est pas grave. Il dit que de toute façon, plus personne n’oserait porter cette vieillerie. »
Marc-Antoine « Oui, mais de là à le laisser à la merci des éléments… »
Arsinoé « Bon, si ça te dérange tant que ça, je suis sure qu’on peut trouver autre chose. Oncle Adelphe est souvent d’accord pour nous prêter des choses. »
Marc-Antoine « Non ça ira, je ne vais pas jouer les rabat-joies. Mais tu ne te pose pas des questions sur notre grand-père de temps en temps ? »
Arsinoé « Non, pas tant que ça. Il faut dire que Grand-Mère ne cesse de nous rabattre les oreilles avec ses transactions, l’aménagement du jardin d’hiver, à quel point c’était un fils et un père exceptionnel… Parfois j’ai l’impression de l’avoir un peu connu. »
Marc-Antoine « Moi, pas du tout. Mais il avait l’air d’être quelqu’un d’exceptionnel. Grand-Mère dis que je devrai lui ressembler. »
Arsinoé « Mais tu lui ressembles déjà, c’est ce que dis Papa en tous cas. »
Marc-Antoine « Je ne suis pas sur que dans sa bouche, ce soit un compliment. »
Arsinoé « Ah heu… bah… on s’en fiche de son avis non ? »
Marc-Antoine « Wahou ! Arsinoé Le Bris se permet d’être irrespectueuse ? On devrait le faire dire à la gazette régionale ! »
Arsinoé « Oh arrête un peu. J’en ai peut-être marre que les seuls compliments que me font les adultes sont que je suis gentille et bien élevée ! Oh, mais ne répète pas à Maman que j’ai dit ça, je pense qu’elle ne serait vraiment pas contente. »
Marc-Antoine « Je serai muet comme une tombe. Grand-Mère dit que notre grand-père était très doué pour garder les secrets de la famille et que c’est utile. Donc je pense que je peux bien garder les secrets de mon héritière. »
Arsinoé « Ton héritière ? »
Marc-Antoine « Oui enfin, c’est une façon de parler. Mais dès que tu diras du mal des adultes, je serai là pour me taire et te couvrir. Tu peux compter sur moi ! »
Marc-Antoine « D’ailleurs, ça te dirait de faire quelque chose d’interdit ? »
Arsinoé « C’est à dire que… le soleil va bientôt se coucher. »
Marc-Antoine « Justement. Grand-Mère avait promis de m’emmener me promener et elle ne l’a toujours pas fait, alors que dirai-tu d’aller à l’étang pour patiner un peu ? Kléber m’a dit qu’il laissait toujours ses paires de patins là-bas pour éviter que sa mère ne les lui confisque. »
Arsinoé « C’est vrai que Kléber est malin, mais… tu es sur de toi ? On ne risque pas de se faire disputer vraiment très fort ? Et puis tu sais, Grand-Mère oublie pas mal de choses en ce moment, elle a peut-être juste besoin que tu lui rappelle de t’emmener en promenade. »
Marc-Antoine « Mais je n’étais pas en train de me plaindre ! Pas du tout ! Bon, après oui, on risque de récolter une volée de bois vert mais ça vaut le coup non ? »
Arsinoé « Bon allez, d’accord ! »
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EL APARADOR
Un gran aparador labrado; el roble añoso, fosco, cobró el afable porte de los ancianos; si abierto, de su sombra difunde una oleada como de vino añejo, de aromas seductores.
Abarrotado está de antiguallas revueltas, de alimonada holanda fragante, de guiñapos de niños o mujeres, de ajadas puntillitas, de pañuelos de abuela con figuras de grifos.
Alli se encontrarán medallones y bucles de pelo blanco o rubio, retratos, flores secas cuyo olor se confunde con olores de fruta.
Aparador de antaño, cuántas historias sabes, y queriendo contarlas, murmuras y rechinas cuando se abren despacio tus grandes puertas negras.
*
LE BUFFET
C'est un large buffet sculpté ; le chêne sombre, Très vieux, a pris cet air si bon des vieilles gens ; Le buffet est ouvert, et verse dans son ombre Comme un flot de vin vieux, des parfums engageants ;
Tout plein, c'est un fouillis de vieilles vieilleries, De linges odorants et jaunes, de chiffons De femmes ou d'enfants, de dentelles flétries, De fichus de grand-mère où sont peints des griffons ;
— C'est là qu'on trouverait les médaillons, les mèches De cheveux blancs ou blonds, les portraits, les fleurs sèches Dont le parfum se mêle à des parfums de fruits.
— Ô buffet du vieux temps, tu sais bien des histoires, Et tu voudrais conter tes contes, et tu bruis Quand s'ouvrent lentement tes grandes portes noires.
Arthur Rimbaud
di-versión©ochoislas
#Arthur Rimbaud#literatura francesa#poesía simbolista#aparador#tiempo viejo#reliquias#aromas#memoria#di-versiones©ochoislas
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“Pour beaucoup, et notamment les plus vulnérables, les présentateurs, les animateurs, les journalistes, bref, les "vedettes vues à la télé" sont des mentors déspiritualisés mais non désidéologisés par qui le média audiovisuel va imposer les codes d’une nouvelle culture totalement artificielle et foncièrement étrangère à celle du public rural. Dans le processus d’acculturation enclenché par la télévision, il n’y a pas syncrétisme, mais substitution pure et simple de la culture populaire au profit de la culture urbaine des classes dominantes […] En diffusant une culture de masse sur l’idée que toute nouveauté est, par essence, supérieure aux formes anciennes, la télévision donne au phénomène de mode une ampleur et une portée jusque-là inconnues. Elle fait couple avec la modernité, en ce sens qu’elles œuvrent toutes deux conjointement à une même entreprise de disqualification du passé qui vaut, en conséquence, condamnation esthétique de tout ce qui, de près ou de loin, s’y rapporte. Elle est un puissant agent d’uniformisation au service de la laideur fonctionnelle des cultures urbaines qui, pour pouvoir s’imposer, exigeaient que les traditions locales et les particularismes régionaux fussent humiliés, rétrogradés au rang de survivances anachroniques et de vieilleries méprisables.”
Patrick Buisson, La fin d’un monde. Une histoire de la révolution petite-bourgeoise, 2021.
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Une proposition
Il était une fois une proposition. Elle en avait rêvé de cette robe et voilà que ce drôle de lutin semblait avoir la solution pour répondre à tous ses désirs. Quelques heures plus tôt, au bal, ses amies étaient apparues aussi resplendissantes les unes que les autres, arborant la même robe confectionnée par le plus grand couturier du royaume. C’était lui la véritable star de la saison, plus que le prince même qui n’avait toujours pas choisi qui deviendrait sa future reine. Ses parents avaient beau avoir invité toutes les plus jolies demoiselles du royaume, il n’avait voulu danser avec aucune. Elle, bien sûr, il ne l’avait même pas regardée. N’ayant pas assez d’argent pour s’offrir la fameuse robe du grand couturier, elle s’était rabattue sur l’une de ses vieilleries et personne ne l’avait remarquée de toute la soirée. De retour chez elle, elle n’avait fait que pleurer et c’est à ce moment-là qu’était apparu le lutin. Il lui avait aussitôt proposé une reproduction parfaite de la robe du couturier, à un prix des plus attractifs. Tout le monde n’y verrait que du feu, lui avait-il assuré, elle pouvait le croire sur parole ! Tentée mais hésitante, c’est alors qu’une fée arriva à sa rescousse pour la ramener à la raison. Pensait-elle vraiment qu’il était juste de reproduire l'œuvre d’un artiste pour son propre profit ? N’était-ce pas un peu du vol ? Et se sentirait-elle si fière de porter cette robe qui reposait sur un mensonge ? Après une rapide réflexion, la jeune fille admit que la fée avait raison et ne put que renoncer à la proposition du lutin. Ce dernier, tout colère, s’éclipsa alors en un claquement de doigt. Mais la jeune fille demeurait triste, alors la fée retroussa ses manches et, en quelques coups de baguette, transforma ses vieux chiffons en une véritable robe de princesse. Pas peu fière de son œuvre, elle la renvoya tout de suite au bal, dans une magnifique citrouille. À son arrivée, au milieu de toutes ses filles qui portaient les mêmes robes, personne ne manqua cette fois-ci son apparition. Pas même le prince qui fut aussi le premier à se précipiter pour l’inviter à danser.
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Neverwhere
Coucou mes p’tites patates gaimaniennes! Et tandis que nous arrive prochainement la saison 2 de l’adaptation télé de Sandman, j’ai bien envie de vous toucher deux-trois mots concernant une vieillerie des années 90, d’abord une mini-série télévisée, puis un roman et enfin un graphic novel, j’ai nommé; Neverwhere! Nous avons ici à faire à de l’urban fantasy, avec pour cadre une Londre à deux…
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Dans le genre "analyse trop poussée sur Goldman", c'est très intéressant de réécouter l'album de la tournée En passant en sachant qu'initialement, Goldman ne voulait pas refaire de tournées après ça et qu'il a finalement fait Un tour ensemble parce qu'il ne se sentait pas de dire à son équipe que c'était la dernière. (WARNING analyse trop longue en-dessous)
Mais il a pris cette décision des années après, donc si on considère que la tournée En passant était potentiellement sa dernière et qu'il le savait en la préparant, elle prend un tout autre sens.
Typiquement, le choix de jouer "Le rapt" qui est "une vieillerie, une chanson du premier album" pour le citer peut sembler étonnant, même si Goldman adoooore reprendre des vieilles chansons à lui et les moderniser (comme "Être le premier" dans la tournée Rouge). "Le rapt" est une chanson écrite du point de vue d'un mec qui kidnappe une fille, sans lui faire mal, sans l'agresser (c'est dit dans la chanson qu'il ne la touchera pas), simplement parce que :
"Mais j'en pouvais plus de vous croiser dans la rue / Sans un regard, comme si vous ne m'aviez pas vu"
Ou pour citer Goldman :
"si tu rencontres une fille dans la rue, tu passeras pour un fou si tu lui parles. Par contre, si elle t'est présentée par un ami commun, tu pourras lui parler tout à fait normalement."
C'est une chanson un peu cringe, un peu étrange, où on est clairement sur un personnage qui commet un crime, qui dérange. Je l'aime bien pour cela, parce que j'aime les histoires de personnages toxiques, sans pour autant les excuser.
Globalement, c'est une chanson sur l'incompréhension sociale, l'importance des codes sociaux, une problématique qui imprègne de nombreux textes de Goldman dans les années 80 par ailleurs (je pourrais faire un autre post sur les chansons de Goldman qui parlent de malaise social).
Maintenant, pourquoi reprendre cette chanson en 1998 ? En imaginant que Goldman s'imaginait tirer sa référence à ce moment là et quitter la scène, il est facile d'interpréter le texte différemment. Cette distance impossible à franchir entre deux individus, on la retrouve aussi entre une star et son public et je ne peux pas m'empêcher de penser que ce passage :
"J'ai aimé votre désarroi, votre peur / Je me suis réchauffé à votre malheur/J'ai brisé l'apparence toute glacée/J'ai même trouvé une larme inespérée"
est très raccord avec la relation qu'entretient Goldman avec la célébrité et l'image. Dans le film de la tournée Traces, que je vais analyser, il le faut, il parle de son image et à quel point ça le bouffe, vraiment. Sans trop en dire, dans Traces, il imagine ce qui se serait passé s'il avait choisi de tout arrêter en 89 et qu'il avait volontairement disparu. Et on a donc des passages où il se demande ouvertement s'il est possible d'échapper à sa propre image, si un monde où ne se souviendrait que de ses chansons et pas de lui est envisageable.
En ayant ça en tête, ce passage du "Rapt" peut parler de ce rapport compliqué à la scène, d'autant plus que dans la version live en 1998, il chante ce moment là seul à la guitare et le public réagit, en criant, en faisant "ouhouh". Et le rapport s'inverse ! Il dit "Vous pouvez rentrer chez vous, il est déjà tard" et le public dit "nooon" car il se met dans le rôle de la fille kidnappée, mais pour moi, c'est l'inverse. Goldman adopte le rôle du public, qui veut plus, toujours plus derrière les apparences, qui veut tout savoir.
C'est sans doute un peu tiré par les cheveux mais ça l'est moins si on considère une autre chanson chantée lors de ce live, "Le coureur" qui raconte en gros l'histoire d'un jeune africain (ce n'est pas spécifié dans la chanson mais c'est dit en interview) qui est recruté (presque acheté) pour devenir un coureur de haut niveau, qui connaît la célébrité, l'argent, mais qui à la fin de la chanson :
"Puis le hasard a croisé ma vie / J'suis étranger partout aujourd'hui /Etait-ce un mal, un bien ? / C'est ainsi"
Dans des interviews, Goldman dit qu'il ne porte pas de jugement mais que le décalage l'intéresse, entre un mec qui court dans son village en Ethiopie et qui se retrouve soudainement propulsé devant des millions de caméras. Encore une chanson sur le décalage social, la célébrité, le regard des autres contre notre perception de nous-mêmes, qui donne une certaine tonalité à cette tournée et qui fait, selon moi, écho au "Rapt". De nouveau, il chante ce passage seul à la guitare.
Elle est particulière cette tournée, parce que Goldman prend plus de risques (comme il le dit lui-même dans le DVD) en choisissant de jouer et de chanter seul à la guitare à plusieurs reprises, vraiment face au public, antithèse absolue de la tournée Rouge où il y avait toujours d'autres personnes sur scène et souvent, beaucoup de gens. La dernière chanson de la tournée En passant est "Pour que tu m'aimes encore", et Goldman change le début pour parler directement au public :
"J'irai chercher vos âmes dans les froids dans les flammes /Je vous jetterai des sorts pour que l'on m'aime encore"
Et ce final a encore une fois une autre saveur si on imagine qu'il avait été pensé pour clore la dernière tournée de Goldman. Plus fort encore, c'est le choix de l'avant-dernière chanson, "Sache que je", que Goldman explique comme ça :
"C'est une réponse au fait que je n'ai dit "Je t'aime" dans aucune de mes chansons. Beaucoup de gens me demandent pourquoi je ne fais pas ou peu de chansons d'amour."
(Il explique aussi qu'il dit rarement "je t'aime" dans sa vie privée, et ça, à la limite, c'est entre lui et son épouse.)
Dans beaucoup d'interviews sur cette chanson, il critique les chanteurs disant "je t'aime" à leur public, mots qu'ils ne pensent pas, selon lui. Finir sur "Sache que je" et "Pour que tu m'aimes encore", c'est finir sur un paradoxe ou une provocation : je ne vous dirai pas que je vous aime mais je veux que vous m'aimiez. Je ne vous chanterai pas des chansons d'amour, sauf une dernière fois. Ou, possibilité amusante, chanter "Sache que je" est une façon de désamorcer "Pour que tu m'aimes encore", de la rendre obsolète par avance : ne prenez pas cette chanson un peu niaise au sérieux. Rien n'est vrai. Inversement, on peut aussi dire que "Pour que tu m'aimes encore" annule "Sache que je" : oui, je prétends ne pas aimer les chansons d'amour mais c'est bon aussi d'être vulnérable, comme pour adoucir la froideur de "Sache que je" (d'autant plus quand "Pour que tu m'aimes encore" a CARTONNÉ deux ans avant).
Ou tout simplement : n'essayez pas de me comprendre, ne présumez rien, je sais être paradoxal. Comme il est dit dans "Peur de rien blues" :
"Quand les rumeurs "vipèrent" /Quand l'image déteint / Il m'reste ce vrai mystère / Et ça, ça m'appartient"
Et c'est pour moi le message final de la tournée En passant.
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“De la France morte, quelques Français, il est permis de l'espérer, garderont l'héritage. Ils suivront l'exemple de ses héros et de ses saints. Ils s'enchanteront de la beauté de ses monuments. Ils méditeront les œuvres de ses écrivains. Ils seront ainsi consolés au milieu du désert. Leurs descendants trouveront-ils la même consolation? Cela n'est guère probable. Il est très possible en effet que, dans le paroxysme de la barbarie montante, toute cette sagesse et toute cette beauté, ou bien soient jetées au rebut comme des vieilleries inutiles, ou bien cessent d'être comprises et deviennent aussi énigmatiques et muettes que les statues de l'île de Pâques. Dans l'un et l'autre cas la France mourrait une seconde fois. Mais il est aussi de l'ordre des choses possibles qu'un jour les vestiges de l'héritage français soient exhumés des décombres, pieusement recueillis par quelque nouvelle civilisation, et réanimés par une nouvelle cité dont le peuple alors serait français comme nous-mêmes, autrefois, nous avons été grecs et romains”
Jean de VIGUERIE
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Je sors les vieilleries des boules à mites. 😁
Feu de forêt…
Huile, 18 x 24 (2007)
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Quand on s'identifie à des vieilleries
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12–11–24 La nuit est déjà tombée depuis longtemps. Après avoir assisté à une soirée de tournage d’une série très mouvementée dans laquelle des bagarres ont été évitées de peu avec une bande de types éméchés, je rentre dormir à Clamart où j’ai grandi. Quarante ans après, rien ne me paraît avoir changé. Ma clé ouvre toujours la grille. Un petit chien que je ne connais pas saute sur moi en aboyant joyeusement au pied de l’escalier qui mène à l’étage. Sur le balcon, c’est le gros labrador sable de mon oncle qui m’accueille. Son maître, le nouveau locataire le fait taire même s’il ne me fait pas peur. Je pousse la porte d’entrée vitrée pour pénétrer dans l’appartement de mon enfance. Son ordinateur posé sur les genoux, mon dernier fils est assis. Je l’embrasse. Puis je me penche pour embrasser également un homme à peine plus âgé que lui, à demi allongé sur une banquette étroite et plongé, lui aussi, dans son écran. Il m’arrête d’un geste : il n’aime pas les effusions. Visiblement, je les dérange pendant une séance de travail. Je remets en place le combiné du téléphone sur sa base blanche et m’échappe à l’étage. Celui-ci, autrefois constitué de deux petites pièces, est devenu un immense stock de vieux meubles. Un lot de tables de nuit, mêlées à des fauteuils, des tables à manger, entourées de leurs chaises rustiques, et deux chaises hautes de bébé. Étrangement, les meubles paraissent avoir été lustrés. Aucune trace de poussière, mais cet ami de vieilleries m’oppresse. Au fond de la pièce, mon fils médecin travaille à la lueur d’une petite lampe de chevet. Je lui dis qu’il faut se débarrasser de tous ces meubles quand j’entends la petite voix de ma mère défunte qui s’élève pour demander pourquoi si tôt alors qu’elle vient d’installer-là les meubles de sa maison. Dans l’ombre, elle se tient assise, blottie dans un fauteuil. Je ne l’avais pas vue. Je m’approche de mon fils penché lui aussi sur son ordinateur. Ses cheveux blond vénitien scintillent sous le halo de la lumière. Je crois apercevoir la silhouette d’une belle marocaine déshabillée, avant qu’il zappe sur un autre écran pour me montrer les candidates doctorantes qu’il auditionne pour l’aider dans ses recherches. Je me sens si fière de lui.
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