Tumgik
#un chamboul tout
coolvieilledentelle · 7 months
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Finalement, on aime à quatre-vingt-dix ans comme à quinze, l’âge ne change rien. C’est la seule émotion qui arrive toujours à tout chambouler. Peu importe le corps, les rides. Peu importe l’enveloppe, il n’y a que le cœur qui compte. Et tant qu’il bat, il peut aussi vibrer. Serena Giuliano- (Un coup de soleil)
Bonne soirée chers amis ....
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coovieilledentelle · 2 months
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L'heure du petit rafraichissement de l'après-midi
Finalement, on aime à quatre-vingt-dix ans comme à quinze, l’âge ne change rien. C’est la seule émotion qui arrive toujours à tout chambouler. Peu importe le corps, les rides. Peu importe l’enveloppe, il n’y a que le cœur qui compte. Et tant qu’il bat, il peut aussi vibrer. Serena Giuliano- (Un coup de soleil)
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taryanquotes · 8 months
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Insécurités
Tu vas te rendre compte que je ne suis pas essentielle à ton monde,que tu n'as pas besoin de moi, que je prends trop de place. Mes émotions et ce que je ressens prennent trop de place. C'est un tourbillon constant de pensées envahissantes qui chamboule tout le reste. Et si tu t'en rendais compte ? Et si j'en étais pas capable ?
Abandon
Comme l'impression que quelque chose d'horrible va arriver. Que tu vas m'abandonner. J'ai confidence en toi, mais ma tête et mon cœur, mes tripes, ont peur. L'impression de ne plus rien contrôler. Comme si du jour au lendemain tu allais te rendre compte que je ne suis pas celle que tu veux.
Peurs
J'ai si peur de tout. Le monde me terrifie. Le fait de ne pas être avec toi me terrifie. L'avenir me terrifie.
Insécurités. Abandon. Peurs.
- 23.01.2024 -
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firstfullmoon · 11 months
Note
salut Pauline! je me demandais si tu avais quelques recommendations de poètes contemporain·es français·es/d’expression française (mais pas québécois·es)? cet été j’ai lu le seul recueil d’Anne Marbrun édité ici et j’aimerais ouvrir mes horizons etc. je me suis dit que tu pouvais peut-être m’aider:) passe une belle journée/soirée!!
bonsoir ! alors j’ai du mal à trouver des poètes francophones contemporains qui vraiment me chamboulent (difficile de faire mieux qu’aragon et éluard dans mon cœur je suppose..!) mais j’aime beaucoup ce que fait anne lauricella - j’ai notamment lu sèves et veines aux éditions isolatos, une sorte d’hybride entre journal intime et recueil de poèmes, principalement des extraits en pagaille, dont j’ai souligné beaucoup, beaucoup de lignes ! j’avais aussi donné sa chance à kaddish pour un amour de karine tuil qui même s’il ne m’a pas fait grand chose te convaincra peut-être ! en tout cas je note anne marbrun si tu me la conseilles et je te tiens au courant dès que je trouve mon bonheur :-)
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sh0esuke · 3 months
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" Little Little "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Solas.
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Trouvant refuge auprès de Solas à Fort Céleste, l'inquisitrice juge qu'il serait bon de passer un peu de temps avec celui-ci. Elle pense passer un agréable moment, sans se douter d'à quel point la présence du jeune homme risque de la chambouler.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : aucun.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad, my account is in my bio, this is the ONLY ONE i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad, j'ai un lien dans ma bio, c'est mon SEUL compte.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟐,𝟑𝟏𝟔.
Musique : Little Little - Red Velvet.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
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« Mon cœur. »
Il murmure, l'expression soudain éclairée par mon arrivée. Je lui réponds dans un sourire.
Sa simple présence me ravit, je m'étais attendue à le retrouver; nous deux, l'un face à l'autre, nos souvenirs emmêlés, toutes nos discussions passées soudain ravivées sous la forme d'une complicité romantique, toutefois je dois avouer que je ne me suis toujours pas habituée à l'effet qu'il me fait. Solas me paraît à la fois à ma merci et à des kilomètres de là. Cela devrait me faire peur, instaurer une barrière entre nous, cependant cela ne fait que m'attirer davantage à lui.
La porte menant au hall de Fort Céleste se referme sur mes pas. Elle me transmet l'impression que nous sommes seuls, si on en oublie la foule d'alliés perchées au dessus de nous sur deux étages. Le brouhaha des aristocrates m'est à présent inaudible, ils ont beau se penser discrets, j'entends la moindre de leur opinion concernant mes plus récentes décisions au sujet de l'inquisition. Et il faut dire qu'ils ne me ménagent pas j'en ai bien peur. J'ai besoin de me détendre, de penser à autre chose. Il fallait que je m'éloigne de toutes ces attentes, ces demandes, tous ces yeux de biches rivés en ma direction..
C'est ici que j'ai trouvé refuge. Le coin intellectuel de Fort Céleste, où nos agents travaillent d'arrache-pied afin de nous donner les atouts nécessaires pour venir à bout de Corypheus et de son armée de démons. Ce qui se situe en haut m'importe peu, je dois dire.
Pour l'instant tout ce que je vois c'est lui.
Solas.
« Comment allez-vous ? »
Tout en le questionnant, je m'assois. Il n'y a qu'un fauteuil ⸺hormis le canapé près des escaliers⸺ je m'autorise à le monopoliser ce que Solas ne me reproche pas. Il s'est éloigné de la fresque pour me rejoindre, il zieute brièvement un parchemin sur la table dont il s'est saisi.
« Quelque peu exténué par nos récentes aventures, et vous ? »
« Un peu pareil.. »
Il arque un sourcil.
« Les... Les nobles de Val-Royeaux. » je confesse, plaquant mon coude contre la table et laissant ma joue reposer sur mon poing. « Ils m'en demandent beaucoup, je ne suis qu'une personne. »
« Ils ont d'hautes attentes. »
« Je crains de ne pouvoir les atteindre.. j'ai déjà tant de choses à gérer avec les Gardes de l'Ombre et les failles. Maintenant je dois écouter Joséphine et Vivienne me parler de la cour et de comment embellir Fort Céleste ? J'avais besoin d'une pause. »
« Je crains de ne pouvoir être une grande aide dans ce cas. »
« Je n'attends rien de vous, Solas rassurez-vous. J'avais... J'avais juste besoin de souffler. »
« Ici ? »
« Où d'autre ? » m'étonné-je.
Un brin de curiosité me pique, mais je sais qu'il n'a pas d'idée en tête. Il a dû penser que j'aurais préféré le jardin, mes appartements, voire le haut des murailles. Il est vrai que celles-ci offrent une vue splendide.
« Votre présence est la bienvenue, restez-donc ici le temps qu'il vous faudra. »
« Merci, Solas. » je réponds.
Il est devant moi, les paumes de ses mains plaquées sur la table et accompagné d'un fin rictus sur ses lèvres qui se veut tout sauf taquin. Il m'observe, je fais de même.
Cette même impression se saisit de moi, j'ai l'audace de penser qu'il m'est possible de l'atteindre. Nous partageons une connexion folle; elle se certifie par les baisers que nous avons échangés, que ce soit dans son monde à lui, l'immatériel, voire sur le balcon au sommet de Fort Céleste dans ma chambre. Je suis réconfortée par la pensée que personne n'a encore vu cet aspect de lui. Il n'appartient qu'à moi. Malgré tout, il me paraît tout aussi lointain. Solas est présent physiquement, mais je ne saurai dire ce qui se trame dans son esprit. Je ne peux qu'être intriguée.
J'aimerais me saisir de sa main et m'ouvrir à lui afin qu'il s'ouvre à moi en retour.
Je désire bien plus que de simples baisers coupables.
Je suis toutefois contrainte de calmer mes ardeurs. Je ne saisis pas pourquoi sur le moment ⸺la nouvelle de notre relation a déjà fait le tour de notre organisation, merci Sera, alors le fait que nous partagions un simple baiser dans un endroit publique ne devrait pas me gêner⸺ mais ne peux qu'accepter. Je cède et détourne le regard.
« Vous continuez d'observer ces fresques. » constaté-je. « Ont-elles un sens ? »
Il se racle la gorge puis passe ses mains dans son dos. Son inconfort m'intrigue.
« J'y travaille. »
« Elles sont splendides. »
« Très. Son artiste devait être talentueux. » dit-il.
Fort Céleste était ainsi lorsque nous l'avons trouvé. Abandonné, il nous révéla ses secrets, nous accueillit à bras ouverts et malgré mes difficultés à comprendre la raison de son existence ainsi que de son immensité, j'essayai de l'apprécier tel quel. Un château au fort caractère ayant surmonté vents et marées au sommet de cette montagne enneigée.. ça n'est pas tous les jours qu'il est donné de séjourner dans un tel lieu. Il frôlerait le sacré.
Les fresques aux murs ne me parlent pas vraiment. Outre leur splendeur.
Ce que fait Solas à les observer tous les jours m'échappe, j'aurais bien trop envie de m'enfuir par la porte de sortie, direction l'extérieur histoire de prendre un bon bol d'air frais. Mais après tout, ce côté mélancolique lui va bien. C'est tout Solas. Les vestiges du passé ont une grande importance pour lui, notamment ses racines, c'en serait presque admirable si il n'était pas autant sur la défensive à ce propos. Cela fait partie de son charme j'imagine. C'est un elfe fier, puissant, il n'a pas honte de qui il est voire d'exprimer son point de vue dans n'importe quel type de situation. Cela doit être la raison pour laquelle ces fresques le passionnent autant, il me semble qu'elles ont une nature elfique.
J'avoue que ça ne m'intéresse pas tant que ça. Contrairement à Solas, je n'apporte pas une bien grande importance au passé. Encore une fois; ça n'est pas la raison de ma venue ici.
« Oh, tien. »
Soudain, la silhouette sur le mur attire mon attention.
Fronçant les sourcils, je la pointe du doigt. Solas me suit. Elle se situe près de la porte de sortie, non pas celle menant au hall du château mais aux murailles. J'y vois un homme à la silhouette sombre. Il me rappelle...
« Il vous ressemble. »
« Queᅳ »
Solas tousse contre son poing.
 « Vous trouvez ? »
« Je dis ça comme ça. » me rattrapé-je. « C'est juste.. oui, j'ai eu l'impression qu'il vous ressemblait. »
« Je suppose que je ne suis pas le seul elfe de la sorte à Férelden. Il n'est pas rare que certains traits soient partagés au fil des générations. »
J'acquiesce.
L'homme sur la fresque a une allure effrayante. La dague qu'il conserve près de lui y est pour beaucoup mais c'est davantage le fait qu'il a été peint dans des couleurs sombres qui me donne cette impression. Il est fait de noir, fondu dans l'obscurité tandis que la lame dont il est muni est blanche au possible. J'ai du mal à savoir si il la tient de face ou dans son dos. La chose principale qui me frappe est, en effet, sa ressemblance avec Solas. La même droiture dans leur posture ⸺témoin d'une éducation aristocrate je suppose⸺ ainsi que de traits droits, géométriques. Ils sont tout deux dotés d'une mâchoire taillée, d'un menton puissant; sur la fresque celui-ci est visible puisque la tête de l'homme est de profil.
Néanmoins, cette ressemblance ne parvient pas à me convaincre autant qu'elle le devrait.
Je ne sais pas si la dague est une métaphore quant à la trahison, la tromperie fourberie ou un bien réel ⸺sûrement les deux⸺, mais j'imagine mal Solas ainsi. J'en rirai presque. Cette silhouette et lui ne partagent qu'une chose; leur splendeur. Rien de plus.
Mon regard dérive du mur. Je le porte sur lui.
Solas m'observe déjà, un éclat de surprise passe dans ses yeux. Je me pince les lèvres, penche la tête sur le côté.
« Solas ? »
Il se reprend.
« Mon cœur ? »
« Vous étiez perdu dans vos pensées ? »
« Brièvement, ça ira. »
Il se reprend, plaque la paume de sa main sur la table et s'y tient.
Des parchemins sont laissés à l'abandon, certains sont tâchés par la cire de bougies. Il y en a deux sur le meuble. C'est un bazar. Je ne sais pas ce que Solas fait de tout ce savoir, la bibliothèque de Fort Céleste semble le combler, c'est tant mieux, il a recueilli quelques documents dont une petite pile d'ouvrages sur le coin, ça se sent qu'elle a été utilisée. Je ne suis pas particulièrement intéressée par ce savoir. Il m'échappe, je le sais bien. Je préfère largement retourner regarder Solas. Et je crois qu'il s'en est aperçu.
Il esquisse un rictus gêné, je fais pareil.
Au creux de ma poitrine, je sens mon cœur se serrer. Contemplant Solas dans le blanc des yeux, consciente des sentiments romantique que je lui porte, je me trouve dans l'incapacité de l'ignorer. Nous ne sommes pas seuls, quelques yeux doivent êtres rivés sur nous, et peut-être même davantage d'oreilles. Ils attendent de me voir m'affirmer, ou de succomber, qui sait. Toutefois, alors que je fais face à l'homme dont je me suis terriblement amoureuse, plus rien d'autre n'est apte à m'ébranler.
Lors de ce bref instant, de cette pause bien mérité, Corypheus quitte mon esprit, le destin de ce monde ne repose plus sur mes épaules. Je ne suis qu'une simple elfe éprise d'un des miens et, l'espace d'un maigre instant, la réalité m'échappe.
Enveloppée par l'enlace des songes, je ne peux que m'imaginer aux côtés de Solas.
Pour toujours.
Et à jamais.
Cela suffit à me combler. Quelques minutes passées auprès de lui et voilà que je me sens revivre, je ne ressens pas l'envie de me remettre au travail, loin de là, encore moins de faire face à l'armée d'aristocrates dans le hall sans Joséphine pour me superviser. L'envie d'aller de l'avant s'est emparée de moi. Je désire faire de mon mieux, survire. Sauver des innocents compte, toutefois ici je ne songe qu'à Solas.
Il est omniprésent dans mon esprit autant que dans mon cœur. Il remplit son rôle d'amant à la perfection.
De part sa simple présence, il m'épaule.
D'une simple conversation, il me redonne de la force.
Alors évidement que je ne cesse de l'admirer, évidement que mon cœur s'emballe et que je tombe davantage amoureuse de lui ⸺bien que cela me paraisse impossible : je l'aime déjà à la folie⸺. Je ne peux que lui sourire bêtement. Si jamais je venais à lui faire part de mes sentiments, ici et maintenant, je...
Il lui faut du temps. Je me montrerai patiente.
Je me régale de ces moments que nous partageons. Qu'ils soient à Fort Céleste ou sur le champ de bataille je n'en rate pas une miette. Même si je dois avouer être particulièrement friande de nos discussions ici. Cet endroit n'est pas particulièrement agréable sachant que nous sommes surveillés, mais la pièce de cet étage n'appartient qu'à nous. C'est spécial à mes yeux.
Je suis là, avec lui, et c'est tout ce qui compte.
Solas se penche dans ma direction. Il tend sa main et, délicatement, me touche la mâchoire. Le geste se veut délicat, il me caresse, ses yeux dans les miens. Je ne bouge pas. Figée sur le fauteuil, mes mains compressées contre mes cuisses, j'en ai le souffle court. Solas a un air curieux sur le visage. À nouveau, je le sens lointain. Mais son toucher me fait du bien.
Je ne saurai le décrire. Tout me paraît flou alors qu'il est si proche, je me sens transportée ailleurs, à l'instar de notre voyage dans l'immatériel. Je me perds dans son regard. J'aimerais y périr. Ses beaux yeux bleu, son éclat féroce et à la fois mélancolique, cela ne me fait que l'admirer davantage. Plus il me touche, glissant la pulpe de ses doigts sur ma joue, et plus mes sens se détériorent. De légers fourmillements me parcourent le corps, de mes mains jusqu'à mes jambes. Je n'avais encore jamais ressenti ça. Je me demande si c'est pareil pour lui... Je me demande si il est autant affecté par ma présence que je suis par la sienne.
J'aime à croire que oui.
J'aime à croire que mes sentiments sont plus que partagés, et tant pis s'il reste muet à ce propos. De sa part, j'accepterai même le plus muet des silences.
Ma main s'approche de la sienne, je la recouvre.
« Solas.. Je— »
Je suis incapable de finir.
Son regard s'adoucit, Solas plisse les yeux d'adoration et écarte ses doigts de manière à ce que je puisse les entremêler aux miens. Le geste est instinctif, je n'hésite pas et accepte son invitation. Nos mains fusionnent, la chaleur de sa main se lie à la mienne, c'est merveilleux.
Mon cœur est dans ma poitrine, je vais le vomir.
Cela ne fait pas longtemps que nous nous connaissons. Pourtant, il fait déjà partie de moi. Je l'ai dans la peau et ça m'en rend presque malade.
« Vhenan. »
Solas murmure. Il me paraît autant chamboulé.
« Restons comme ça, s'il vous plaît. »
Je l'aime. Je l'aime à la folie.
« Juste un instant de plus, Solas. Je vous en prie. »
Il hoche la tête. Un fin sourire courbe ses lèvres, de même pour ses yeux, c'est soudain, son teint s'éclaire et son pouce me caresse la joue.
« Très bien, vhenan, restons ainsi. »
Il fait de moi la femme la plus heureuse au monde. Le ciel pourrait bien nous tomber sur la tête...
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coeurencrise · 4 months
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Samedi 1er juin 2024,
Je me souviens de toi. Tu me paraissais immense. Homme de soixante-et-onze ans aux signes d'âge apparents. Des rides et des cheveux blancs. Une longue barbe. Tu cristallisais l'hiver en un faciès, alliant le ciel et la neige. Pourtant, aucune preuve de faiblesse ne transparaissait. N'importe quel mot sortant de ta bouche semblait décuplé par ton savoir. Tu m'as parlé de communisme, de tes œuvres architecturales. De ton fils. Je buvais tes paroles et ne refusais jamais ton vin, et encore moins tes cigarettes. Tu remplissais toujours mon verre, je finissais tes bouteilles. Mon cœur débordait de ta générosité, affûté par ta tendresse. Encore aujourd'hui, j'arrive à te trouver un air affable.
Que m'as-tu fait ? Ce soir-là, qu'est-ce que Mehdi a mis dans mon verre ?
De ses yeux aussi, je me souviens. De grands yeux. Globuleux, certainement. Comme s'ils avaient beaucoup à regarder et à transmettre, incapables de tenir en place. Son expression me hante. Personne ne m'a observé avec tant de lubricité. Il y avait quelque chose de véritablement pervers dans sa façon de me sourire et m'observer.
Un an après, j'ai lu Lolita. Peut-être que j'essayais de comprendre ce que tu pouvais voir chez moi. Je me suis projetée sur Dolorès. J'ai cru que je t'avais provoqué, que c'était ma faute. On me l'a souvent dit.
Lundi 3 juin 2024,
L’idée que les monstres possèdent un même et répugnant visage est fausse. Au contraire, ils ont l’air sympathiques. Ils le sont aussi. Le diable ne séduit pas en étalant ses mauvais plans. Il sait prendre son temps et jouer de sa musique. C’est son charme, l’envahisseur. Le début de tout anéantissement, la raison de finir par tout craindre.
Le mal est habile et rôde sur les traits des anges. Ce n’est pas pour rien qu’il est si divinement représenté. Regarde le tableau de Cabanel. On aurait presque envie de se jeter dans ses bras, de le sentir tout entier. Lorsque je suis allée le voir l’an dernier, j’ai de suite compris que Lucifer en personne pourrait me tenter, surtout avec une telle gueule.
C’était pareil pour toi. Les vieillards sont souvent pardonnés pour leur lubricité. Je suppose que leur apparence fait serment de faiblesse, mais toi, tu ne m’as jamais paru inoffensif. À quinze ans, je me doutais de tes penchants, et quand je regarde des types comme Matzneff, l’horreur me frappe du coup de l’évidence. Toi, tu semblais sortir d’une carte postale. Une caricature du père Noël, mais avec un bagage plus lourd, plus intéressant. J’aimais les gens intelligents, me sentir petite et bête. Je pense que c’est en partie pour ça que tu m’attendrissais et que je niais tant les faits se présentant à moi.
Je pense souvent à toi. Peut-être tous les jours. Et à ton fils et à ses amis et à mes anciens amis et aux hommes qui n’ont jamais cessé de me malmener. Quand j’ai peur de marcher dehors, je me rappelle que le vrai danger réside au plus près. Qu’il suffit d’un instant de confiance pour tout chambouler.
J’ai voulu croire que tu voulais mon bien.
Un baiser, c’est doux. Les lèvres sont comme deux petits coussins, deux parcelles de paradis. Nuageuses et veloutées.
Et puis, derrière, il y a trente-deux dents. Des bouts d’émail fixes et toujours prêts à déchirer, voire liquider. Une stature qui réduit aisément en bouillie.
Quand tu me faisais la bise, une certaine chaleur émanait de toi. La chaleur de ton corps, celle qu’il contient et qui menaçait de prendre l’intégralité du mien. Ça a quelque chose de dégoûtant, au fond. Déborder ainsi sur quelqu’un. Sur moi. Sur la petite amie de ton fils. Son ex, ensuite.
J’ai lu Ma Sombre Vanessa. Immédiatement, j’ai trouvé Jacob Strane affreux et prévisible. Nabokov a de nombreuses fois été cité au cours de cette lecture, dont son œuvre la plus connue, Lolita, et quelques vers de Feu pâle.
« Ma sombre Vanesse, aux zébrures carminées, Mon papillon adorable et béni… »
Je ne sais plus trop. Disons que Nabokov m’a toujours rampé sous la peau. C’est la première plume qui m’a transcendé de par sa virtuosité. Lolita m’a hanté, aussi. Il… Elle, m’a fait questionner la légitimité de ma position, et à quel point j’ai pris part à tout ça. Est-ce que je me rendais compte que c’était une sorte de jeu ? Oui. J’avais quinze ans et j’ai toujours été précoce, alors je m’en doutais bien. Je pense que j’aimais les hommes plus âgés, le fait de plaire. J’avais besoin d’une échappatoire, de trouver une utilité à ce qui faisait de moi une adolescente triste et franchement pitoyable. Il m’est arrivé de préférer te parler plutôt que traîner avec ton fils. Trouves-tu que je t’ai provoqué ? Et est-ce que ça fait de moi le problème ?
Mais jamais, jamais je n’aurais cru qu’il m’arriverait ça. Que je serais forcée dans cette spirale qui, je suppose, m’a retourné le cerveau. D’abord, il y a eu l’autre, deux semaines plus tôt. Qui avait mis ses doigts en moi, s’est tordu entre mes jambes. Qui a dit qu’il m’aimait, qu’il n’avait jamais vu de fille aussi parfaite que moi. J’avoue avoir été flattée. Moi, je me détestais.
Je n’avais envie de rien, pourtant. Ce que l’on pense être une réaction positive n’est qu’une façon de faire glisser la chose plus facilement. La mouille devient alors comme de la rouille. Horripilant, n’est-ce pas ? Pour surmonter la peur, je sais que le corps se raidit. Au fil des années, j’ai aussi vu jusqu’où ma mémoire allait pour me détourner de la honte et de la répression.
Ton locataire… Ah, je ne sais pas. Je ne sais pas ce qu’il m’a fait. Je ne sais pas ce que tu m’as fait non plus. Ni toi, ni les autres. Vous êtes une image floue dans mon esprit, un nombre d’heures que je me passe encore et encore. Un épisode en replay ? On n’oublie rien de rien, finalement. Cette peur gravée dans mon ventre, cette éclipse qui sous mes paupières s’imprime à peine on me touche. Je suis encombrée.
La mécanique du viol, je dois dire qu’elle est vraiment spéciale. Elle m’étonne sans cesse.
Les années se sont écoulées et qu’est-ce que j’en ai perdu, du temps. Tellement à essayer de me réparer, d’enfouir ce souvenir et même à l’accabler d’autres impasses. On a dû me voir comme une fille facile mais moi, j’ai surtout cherché à recréer quelque chose. Rejouer la scène et me convaincre que ce n’était pas si désagréable. J’ai cru à ma mascarade, cru à l’idée que moi, ce que j’aimais, c’était les monstres.
Je n’ai jamais su dire non, ni penser à moi. Longtemps, j’ai véritablement cru que mon corps était un objet qu’il fallait user. Un torchon fait pour essuyer des marées de foutre et d’illusions. Tu sais, il m’arrive encore de penser que mon destin est scellé sur les trottoirs et que je pourrais tout foutre en l’air n’importe quand, mais je crois que ça a changé.
Aujourd’hui, j’ai vingt-et-un ans. Ça va faire six ans depuis, et j’ai envie de te le dire : non, tu ne m'as pas eue. Ni toi, ni les autres. Ni la mort, ni les envies de suicide, ni les tentatives, ni l’échec. La gamine que j’étais, je l’ai prise par la main pour la foutre à la porte. Je n’ai plus de temps à accorder à ce que vous m’avez fait, et mon cœur n’essaie plus de vous pardonner.
J’avance enfin. Mon existence ne s’est pas arrêtée et c’est franchement marrant de le constater. Quand je me réveille et que je me sens à peu près bien, je me surprends. Ça me révolte presque. Combat acharné qui a pris plus de la moitié de mes jours. Je ne suis peut-être pas vouée au déclin, ni condamnée à vendre mon corps. Je vais enfin bouger. Je vais partir loin de vous. Ne plus passer devant ta maison, ne plus redouter de vous croiser. Je vais vivre près de la mer et entendre les vagues me mener partout où vous ne pourrez jamais m’atteindre.
J’ai plusieurs fois écrit à votre propos. Désormais, ma plume dépeindra des miracles. Et quand je serai au sommet, j’humilierai votre condition un par un. Tout ce que vous avez tu, je le révélerai. Je vais éclore des milliers de fois. Ce sera ma vengeance.
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notsodumbww2captain · 8 months
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« On n’a plus besoin d’être chevalier pour assister aux réunions de la table ronde »
Je repense souvent à cette citation de Léodagan dans le livre V. Le titre de chevalier est bourré de symbolisme en partie insufflé par la décision d’Arthur de donner le titre à des pèquenauds en dépit de leur absence de titres royaux.En le supprimant, son beau-père recrute exclusivement les « utiles », délaissant les « purs » que l’Ancien Roi s’évertuait de défendre, il retourne à la situation du Livre VI. Mais ce qui est intéressant c’est que c’est le fait que ce soit le même système outre-Manche, à Rome (les gens en position de pouvoir sont soit incompétents et riches soit magouilleurs à mort) qui avait poussé Arthur à baser son appréciation du monde sur le mérite et le progrès, se défaire des liens préétablis. Hors, Léodagan le remarque deux répliques plus tard, cela n’a fait que rajouter des contraintes, abandonner les castes claniques au profit des discriminations divines. Parce que il ne faut pas l’oublier Arthur est avant tout un légionnaire paumé mais ambitieux, il est donc logique que malgré son amour du changement il continue à se référer à quelque chose au dessus de lui, ayant été mené à la baguette pendant des années par Borgia et autres décurions. En somme, le plus intéressant c’est que les deux systèmes antagonistes du Livre VI, Rome considérant la Bretagne comme un pays de tarés, les chefs de clans les romains comme des tarlouzes, se basent sur les mêmes principes que vient chambouler une victime chronique du système.
Et le pire c’est qu’il restera toujours victime mais ensuite de ses propres idéaux, incarnés par la Dame du Lac
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swedesinstockholm · 3 months
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24 juin
j'arrive à me faire pleurer from scratch rien qu'en pensant à lui maintenant. ce matin quand j'ai dit à la kiné que j'avais décidé d'aller à berlin elle m'a dit qu'elle pensait que c'était la bonne décision, que c'était une excellente décision, il était TEMPS lara. je me suis dit que si même la kiné qui m'a vue trois fois dans sa vie avait deviné à quel point j'avais besoin de partir d'ici, c'était la seule décision à prendre. et puis cet après-midi je l'ai dit à la secrétaire du dentiste et elle avait l'air nettement moins enthousiaste, elle a dit et tu vas déménager toutes tes affaires là-bas? comme si c'était une idée totalement saugrenue de partir vivre si loin. et puis le dentiste a mentionné la pharmacie hildegarde à bruxelles et j'ai été prise d'un horrible doute qui avait le même goût amer chimique dégueulasse que la substance que j'avais dans la bouche une fois qu'il a eu fini de recoudre le trou dans ma gencive avec du fil. alors je me dis que je peux y rester un an par exemple, le temps de sortir du trou. j'aurai pris de l'élan, je serai prête pour bruxelles. un an ça passe vite. un an c'est le temps qui s'est écoulé entre la première fois que j'ai vu r. et dimanche dernier quand il est venu à la maison. hier soir o. a mentionné une amie à lui qui est interprète au parlement européen et qui gagne beaucoup beaucoup d'argent et je me suis dit que je pourrais profiter de ma relocalisation à berlin pour devenir parfaitement germanophone et tenter de devenir traductrice ou interprète aux communautés européennes à bx. c'était déjà mon plan b au lycée (je me rappelle plus de mon plan a par contre, je crois que j'ai jamais eu de plan a, ceci explique cela) mais il n'est jamais trop tard pour le mettre en oeuvre.
à part ça pendant que le dentiste faisait des trous dans ma gencive j'avais de nouveau envie qu'il me touche le plus possible, je me concentrais sur sa main qui me tenait fermement mais délicatement la mâchoire, sur ses doigts dans ma bouche et ses autres doigts qui me frôlaient la joue, je sentais son ventre contre mon côté droit quand il a forcé pour extraire les racines et je disais plus près, plus près. j'étais presque déçue quand il a dit ça y est c'est terminé. ce matin la kiné m'a massé le ventre avec ses mains chaudes et c'était agréable aussi mais ça m'a pas fait le même effet de TOUCHE-MOI.
j'arrête pas de pleurer et c'est même plus juste à cause de r. je pleure parce que m. est montée au lit me laissant seule devant c ce soir et je sais pas quand je vais la revoir. je veux pas être loin d'elle et je veux pas être loin de r. même si j'ai vu r. que cinq fois en un an alors qu'on habite à trois heures de train, je veux pas faire baisser ce chiffre en partant encore plus loin. et je sais que m. m'aime, mais quand elle est montée au lit on aurait dit qu'elle en avait un peu rien à foutre. j'ai toujours l'impression que je suis beaucoup moins importante pour elle qu'elle ne l'est pour moi. j'espère qu'à berlin j'apprendrai à pas rester seule dans mon coin avec mon chagrin, que les soirs où j'irai mal j'arriverai à le faire savoir et qu'on regardera schitt's creek dans le lit de n. en mangeant de la glace au chocolat florida eis comme l'été dernier suite aux messages de r. peut être qu'emménager dans une coloc est la meilleure chose que je puisse faire en fait. j'aime pas être seule. et si j'arrête pas de pleurer c'est parce qu'un rien me chamboule et qu'aujourd'hui m. a eu son permis et demain elle aura probablement un travail et moi j'habiterai plus à la maison et l'ordre des choses sera chamboulé alors évidemment que je pleure. quand je suis rentrée du dentiste et qu'elle est rentrée de son examen de conduite on a descendu tout un pot de glace au chocolat dans la cuisine.
26 juin
at 33 she moved to berlin to get over a heartbreak. à une période la page wikipedia de sophie calle disait: elle s’est installée à new york pour sublimer sa douleur. moi je veux pas la sublimer ma douleur, je veux juste l'oublier. l'enterrer. faire une petite cérémonie pour lui dire au revoir, comme la fois où je m'étais coupé les cheveux très courts à berlin et le coiffeur hippie m'avait dit d'aller enterrer mes vieux cheveux au görlitzer park. adieu le sous-sol et le coeur brisé, bienvenue à la nouvelle moi fonctionnelle et sophistiquée. je connais pas l'étymologie de ce mot mais sophia = sagesse et j'aime bien lui donner ce sens-là. je veux être sage avec style. plus j'y pense et plus je me dis que j'ai envie de faire quelque chose de mon déménagement à berlin. she moved to berlin to get over her broken heart. ok, et après? m'inspirer de sophie calle et miranda july dans leur façon de jouer avec leur vie dans leur art et de tout entremêler.
dans all fours miranda july classe les gens dans deux catégories: les parkers et les drivers. la narratrice est une parker, c'est-à-dire quelqu'un qui ne sait pas se contenter d'une vie tranquille qui va tout droit, mais quelqu'un qui a besoin de Faire des choses parce qu'elle a besoin de reconnaissance. elle a besoin d'accomplir parce qu'elle a besoin d'être admirée. elle a besoin de se sentir comme le special snowflake. moi je crois que je suis une parker contrariée. quand j'étais en islande en 2015 j'avais écrit en grand i wanna live the spectacular way. je veux une vie spectaculaire ou rien du tout. finalement j'ai choisi rien du tout, mais d'une certaine manière ça peut aussi être considéré comme spectaculaire. tout ça pour dire que je veux me trouver un projet pour berlin. préférablement un projet qui me fera rencontrer des gens. je sais pas, devenir quelqu'un d'autre, suivre quelqu'un, m'investir à fond dans le petit boulot que je trouverai, trouver un sujet d'enquête, refaire un special show mais dehors, ou un essay film comme heart of a dog de laurie anderson. je l'ai revu hier soir parce qu'on en avait parlé avec r. quand il était là, je lui envoyais des petites vidéos de mes moments préférés et il m'a répondu merci, c'est tout, alors que je voyais qu'il était en ligne, donc en train d'écrire à quelqu'un d'autre. j'avais envie de vomir de jalousie et puis j'avais envie de vomir de honte de ma jalousie. j'ai passé la soirée à checker mon téléphone et à chaque fois que je voyais qu'il était toujours en ligne j'avais l'impression d'avoir un taille-crayon dans le ventre qui me taillait mon estomac en le faisant tourner sur lui-même.
she moved to berlin to have sex with a girl. she moved to berlin to escape her past. quand r. était là je me suis rendu compte à quel point je vivais imbibée dans le passé ici. il s'est moqué de moi parce que je faisais que dire que c'était mieux avant, avant y avait pas tous ces immeubles immondes sur la place et là-bas y avait une rue et le bar où on sortait quand j'étais au lycée et au fond de ma rue y avait une clairière et un petit bois où j'avais ma cabane et ils ont tout rasé pour faire des immeubles moches comme partout et avant la cuisine était noire et vert sapin et c'était la maison de mes grands-parents mais ils sont morts et puis je l'ai emmené au cimetière for god's sake. sans oublier ma spectaculaire collection de journaux exposés sur mon étagère pour toujours avoir le passé à portée de main. je les aurai pas avec moi à berlin.
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mcximoffss · 4 months
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( 2026 ) La tension est à son comble pour le pilote, les feux vont bientôt s'éteindre et tout le brouhaha s'évanouit pour lui et ne laisser place qu'à la piste, des dizaines de milliers d'yeux sont braqués sur lui et les dix-neuf autres pilotes de la grille de F1 de cette saison 2026 où le nouveau règlement technique et le marché des transferts des pilotes et autres membres d'écuries a rebattu les cartes pour une saison qui s'annonce on ne peut plus passionnante et à suspense. Et parmi ses yeux, pas mal de petits nouveaux et pas mal de noms connus, en effet avec le boom de Drive to Survive sur Netflix, et les courses qui se multiplient aux États-Unis, de plus en plus de célébrités ont décidé de s'investir dans la F1, la catégorie reine du sport automobile n'a jamais eu autant de nom connu dans ses paddocks, entre simples visiteurs curieux invités par les écuries, mordus historiques du sport, investisseurs et ceux qui travaillent sur des projets de fictions autour de ses univers de plus en plus attractif, les paillettes et l'odeur de pneus chauds s'entremêlent de plus en plus.
to the Checkered Flag est un forum célébrité centré sur le monde de la Formule Un afin d'aider à la création de liens entre les membres plus facilement. Il offre la possibilité de jouer des célébrités aussi bien réelles que fictives, mais aussi des personnages lambdas, tout ça autour du monde du sport automobile qui prend de plus en plus de place dans le petit monde des célébrités. La timeline du forum se trouve autour de la saison 2026 afin de chambouler un peu l'ordre établi actuellement dans la F1 suite aux changements de réglementations qui vont avoir lieu, mais aussi changement de pilotes. Un nouveau lieu de rp s'ajoute tous les mois pour chaque nouvelle course du calendrier.
Pas de minimum de mots, un rp par mois ; Un recensement des membres actifs une fois tous les mois ; Pas de limite de multicomptes ; Double compte autorisé à partir d'un rp ; Pas de discord ou chatbox du forum par choix du staff au dela du projet.
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sheisblackangel · 1 year
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Prendre son envol, voilà quelque chose que j'ai toujours cru facile à exécuter. Comme un mécanisme qui s'enclenche tel un poussin qui se met à voler du jour au lendemain lorsqu'on entre dans cette étape qu'on redoute tant "la vie d'adulte". Être seule pour moi signifiait que j'allais prendre mon envol, être indépendante. Mais non ce n'est pas cela. Il est lent ce processus, se rapprochant plus d'un décollage d'avion et de son trajet jusqu'à sa fameuse destination. Ce trajet est mouvementé par de violentes turbulences comme pour nous, des épreuves et des épisodes de notre vie vont chambouler notre cœur d'enfant encore tout innocent mais excité par cette nouvelle aventure. Bien sûr, il n'y a pas que des choses négatives mais des choses positives heureusement pour nous. Pour prendre son envol, l'enfant en nous doit être secoué violemment pour lui faire prendre conscience qu'il doit se préparer pour cela et ne pas prendre à la légère cette étape. Certains enfants sont tellement endormis qu'ils ne ressentent pas ces secousses et se réveillent qu'à trente ans ou plus et certains malgré eux ont le sommeil léger et se réveillent plus tôt que prévu car ils vivent des choses difficiles qu'aucun enfant doit vivre.
Voilà les pensées que m'a inspiré mon vol. En tant qu'étudiante j'ai eu quelquefois des difficultés à être seule et à me trouver moi même. Ce n'est que ma première année, il faut que je me rend à l'évidence que ce n'est pas toute suite que je vais prendre mon envol pour de bon.
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equipe · 1 year
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Très cher Tumblr,
Oh, là là là là lààà ! Il y a tellement de réactions de-ci de-là sur le tableau de bord que c'en est presque enivrant pour le petit Brick fragile que je suis.
Le simple fait de vous en parler, ça me chamboule. Je ne suis en général pas du genre émotif, mais ce doux parfum du succès qui arrive à mes frêles narines me rend tout chose. Les yeux embués, je commence à voir la vie autrement, en couleurs, irisée comme un arc-en-c… EH ! Mais si j'ajoutais un emoji 🌈 en tant que réaction !?
Sommes-nous dans une réalité telle qu'une de mes merveilleuses idées ne soit finalement pas mise au rebut après une seule journée d'utilisation, et qu'on ne me renvoie pas ensuite illico presto en exil sur l'île Crabiland avec un bon coup de pied au si peu de remerciements ? Est-ce que cette petite chose - lancer un nouveau produit - va me permettre d'éprouver, enfin, de la fierté ?
Ma chère crabunauté, je ne sais pas comment m'y prendre…
Mais je sais quoi vous VENDRE !
Les réactions entrent en PRODUCTION juste par ici, sur l'Emporium ! Mon bro' Roberd s'est chargé de développer toute une série de magnifiques posters à l'effigie de la série (certes, incomplète) de réactions qui ont su égayer votre journée.
Seulement pour une durée limitée, vous pourrez réagir avec des objets à des trucs qui vous arrivent DANS LA VRAIE VIE ! Alors, qu'attendez-vous ? Le bouton "ACHETER MAINTENANT !" fraîchement apparu est là pour ça !
Émotivement vôtre,
Brick Whartley Président Intérimaire des Réactions Emojiesques - P.I.R.E. Ex-Président Intérimaire des Produits et Objets - P.I.P.O.
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ernestinee · 2 years
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Bon ça va ? Ça ne va pas ? J'en sais rien en fait on est en mars et au lieu de me réjouir du printemps qui va bien finir par arriver, je suis en boucle sur des trucs douloureux, que dis-je, sur un seul truc douloureux qui date d'il y a un an bientôt tout pile quand il a décidé que ce que nous étions chamboulait trop sa vie. Totalement d'accord avec lui. Quel chamboulement. Cela dit, ça reste chamboulé alors que nous ne sommes plus rien donc utilité zéro son ghosting de merde là. En plus je suis sûre qu'il n'est pas fier de lui donc franchement technique de merde le ghosting faites pas ça c'est nul.
Est ce que je laisse un évènement passé prendre l'ascendant sur tous les évènements du moment ? Absolument. Je suis en colère et je déteste ça. Pourtant il y a plein de trucs positifs en ce moment. L'amitié, le boulot, la fin de ma grosse formation qui dure depuis 3 ans et les projets que ça va pouvoir démarrer, la nouvelle formation qui se profile à l'horizon, le challenge que représente le spectacle de trapèze, les nouveaux apprentissages... C'est ça la vie peut-être on laisse des petits trucs prendre trop d'importance c'est normal d'être subjectif on n'est pas des robots. Enfin bref du coup je suis en mode colère tristesse nostalgie, même qd il se passe un truc chouette.
Je pense à tout ce qui n'est plus là. En plus il a fait mauvais pendant mes congés et ensoleillé juste après. En plus mon chat me manque tellement. Oreo et Muffin sont sympas mais bien sûr c'est différent d'un chaton d'amour qui a partagé ma vie pendant 17 ans. Ils m'ont quand même sentie triste depuis quelques jours et dorment près de moi la nuit, du coup j'ai un peu mieux dormi.
J'essaie de me focaliser sur des anciennes sensations. L'autre jour en voiture j'ai bien aimé les ombres entremêlées des branches d'arbres. Quand j'étais petite, je fermais les yeux et ça clignotait rouge noir rouge noir rouge noir super vite.
Bon, je conduisais, j'ai pas fermé les yeux.
Il y a aussi eu la mousse au chocolat de Michel et Célestin, ou Lucien et Augustin ? Qqchose dans le genre, une marque qui joue très fort sur le "comme si c'était fait à la maison il y a longtemps par la grand-mère" et ohlala leur mousse au chocolat c'est pépite.
Ah et il y a aussi eu un rêve familier que j'avais totalement oublié et qui est revenu. Depuis super longtemps, mais genre vraiment longtemps, depuis l'adolescence, je rêvais régulièrement que j'etais étudiante dans une école un peu cosy avec des vieilles boiseries, des petites classes où on étudie des trucs intéressants dans une bonne ambiance. Avant j'avais limite une seconde vie dans ce rêve, je le faisais souvent et il se passait des trucs absolument pas bizarres, j'étais juste étudiante, et ma petite vie d'étudiante avec des potes évoluait la nuit lors de ces rêves. Ça doit faire 15 ans que je n'avais plus rêvé de tout ça. Et la nuit passée hop me revoilà à l'école, toujours étudiante mais il y avait quand même la notion de "ça fait longtemps" pcq une pote me faisait la gueule pcq je n'étais plus venue depuis trop longtemps, et une autre - mon amoureuse - était super contente de me revoir. Je l'avais oubliée aussi mais elle m'a reconnue de dos pcq j'étais arrivée en classe avant elle et elle m'avait fait un bisou sur la joue en frôlant mes omoplates avec ses doigts. Puis alors qu'elle était assise, je me suis assise à côté d'elle en l'embrassant sur la bouche. J'ai encore la sensation du bisou là maintenant en écrivant. J'étais un peu deg de me réveiller du coup.
Puis j'ai fait un autre rêve qui a aussi mis en scène une personne du passé. C'était une longue accolade très douce dont j'essaie de ne pas perdre la sensation parce que j'en avais bien besoin.
Bref mon inconscient a bien compris que j'avais besoin d'ancrage, de retrouver des racines, des socles, parce que trop de choses m'émeuvent en ce moment.
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e642 · 1 year
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Quand je pense à mon ex, je pense avec un "il", plus avec un "tu". J'ai réalisé aujourd'hui que je ne le tutoyais plus dans mes pensées, ni dans mes textes, ni nulle part ailleurs. J'ai souvent vu le tutoiement, dans ce contexte, comme une manière d'encrer encore cette personne dans le présent. Comme si je ne pouvais pas m'en défaire. Ce qui a été le cas. J'ai longtemps écrit dans l'espoir sournois et infondé qu'il me lise et me réponde. Maintenant, avec tout le temps qui s'accumule et atténue mes plaies, je ne peux plus m'adresser à lui directement. C'est forcément indirect. Certainement, le témoignage d'un événement clôturé. Encore l'année dernière, à cette période, je le voyais. Nous passions du temps comme deux amants esseulés qui ne semblaient pas avoir décidé de leur condition. Je ne voyais pas le problème que constituait entretenir une relation avec une personne que j'avais aimé et qui avait elle, cessé de m'aimer bien avant. Je pensais que c'était ça la définition d'être en bon terme. Et ça l'est peut-être, j'en sais trop rien au fond. Le fait est que, un an après, je réalise que le deuil a encore fait du chemin et que cette personne ne me chamboule plus. Rayée de mon existence elle ne l'est pas, en revanche, additionnelle, oui. Je me demande si ce n'est pas le fait de côtoyer quelqu'un depuis quelque temps qui me donne cette impression d'évolution dans le deuil. Peut-être que ce sont des oeillères qui finiront par me blesser lorsqu'elles tomberont. Car si elles existent vraiment, elles finiront par s'en aller. Tout s'en va. J'ai eu ce pic d'angoisse, ou bien même peut-être, de culpabilité, de réaliser ce détachement profond. De réaliser que je n'avais plus besoin d'avoir de ses nouvelles fréquemment. Que je n'avais plus besoin de savoir de quoi était fait sa vie, comment tintait son bonheur, d'estimer sa satisfaction. Sûrement parce que ça ne me regarde plus. Ça a été dur à digérer de comprendre que certaines fois, ça ne nous regarde plus, il faut partir en laissant l'autre en l'état, qu'on avait pas de place ou seulement pas la bonne. Pendant des années, je n'ai eu qu'un mot en bouche en pensant à lui: besoin. Puis j'ai appris à changer ça en envie. Puis finalement en indifférence. Je crois qu'on n'a plus grand chose à faire ensemble, à voir ensemble, à discuter. Ça restera, jusqu'à maintenant, la personne qui m'a le plus éveillée à l'amour, la passion, au nous. J'en resterai toujours profondément reconnaissante. Mais je crois que c'est fini. J'ai assez remercié, j'ai assez travaillé, j'ai assez mâturé. Quand on ne s'aime plus, il faut se laisser tranquille.
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claudehenrion · 6 months
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Changement, ou progrès ?
Oouuppss ! un ''machin-truc'' inconnu de moi a bloqué la parution de l'édotorial de ce jour. Une lectrice avisée, qui vit en Catalogne, me le signale, bientôt suivie d'autres... . Merci à elle et à eux tous..
Ces deux vocables ont ceci de bien pratique qu'on y met ce qu'on veut. Tout ''distinguo'' entre eux échappe à la plupart des gens, et c'est sur ce flou recherché que sont nés la plupart des malentendus qui expliquent le désenchantement du monde, notre désarroi actuel, et la violence par laquelle s'exprime le mal-être contemporain. Et, en plus, les français sont si désabusés que personne ne va avoir le courage de dire : ''Mais c'est tout faux, ce que tu racontes !''. Un més-usage de concepts indéfinis nous a mis dans notre situation actuelle, celle des ''Grenouilles qui voulaient un roi'' de la fable de la Fontaine...
Le refus de faire l'amalgame entre deux vocables si mal utilisés peut seul nous faire entrevoir la vérité --à l'opposé, souvent, de tout le discours ambiant, qui n'est que mensonges, lui. Pour montrer combien un concept peut en cacher un autre (ou plusieurs), et fausser des pans entiers de l'histoire du monde, un seul exemple suffira : le devenir écologique de la planète. Montesquieu, déjà, avait eu l’intuition que le climat avait une influence sur l’histoire, mais on sait maintenant, comme Jared Diamond l’a démontré dans son célèbre essai Effondrements, que plusieurs civilisations ont disparu à la suite de catastrophes écologiques : les Khmers d’Angkor, les Vikings, les Mayas… et bientôt, disent certains, nous-mêmes et la nôtre... si on a la faiblesse de croire le GIEC, l'affreuse Greta, et Macron... ce qu'il est sage et prudent de ne jamais faire...
Car chaque jour, des éruptions, des raz-de-marée, des tremblements de terre ou des incendies immenses nous font frôler un risque de chamboulement ''XXL''. Chaque jour, des espèces animales disparaissent, épuisées ou étouffées, et des forêts entières meurent, brûlées ou transformées en échangeurs auto-routiers, en ZAC ou en ZAD… Dans tous ces cas, ce sont des ''changements'' dont aucun n'est un ''progrès'', et notre intervention éventuelle se résume à la prière, à des discours incantatoires du genre ''plus jamais ça'', et à des ''marches blanches'', depuis peu. A ma connaissance, notre ''science'' (qui, dans ce cas, ne sait pas grand chose), ne peut pas prévoir avec certitude certaines catégories d’événements, ni dans leurs dates, ni dans leur dimension, ni dans les dévastations qu’ils sont susceptibles d’entraîner, hélas ! Il est arrivé, sans explication, que certains de ces changements révèlent ''progrès'', mais ce cas est loin d'être le plus fréquent..
Un exemple, d'actualité, hélas, de la relation ''trouble'' qui réunit ou sépare le changement du progrès : la guerre dépendit, plus qu’on ne le croit généralement, des progrès de la technologie aux différentes époques de l’histoire : le remplacement du bois par le cuivre, puis par le bronze, puis par le fer, puis par l’acier dans les armements a été la cause majeure du sort des batailles entre, suivant les époques, les sumériens, les égyptiens, les macédoniens, les perses, les grecs ou les romains, ce qui a dessiné la carte du monde antique et, au-delà, du nôtre… Cette remarque a continué à se vérifier, pour notre malheur, dans les temps modernes, où les piqués des ''Stukas'' de Goering et les ruées des chars Panthers II de Guderian ont vite écrabouillé l’Armée française, moins bien préparée, technologiquement, et dépendant, elle, des ''40 heures'' et des ''congés payés''.
La même constatation s'est appliquée, à la fin de la seconde guerre mondiale, à la rupture que fut la première bombe ''atomique'' larguée par la Forteresse Volante B-29 ''Enola Gay'' sur Hiroshima : par une immense ironie du destin, une violence technologique absolue s’avérait être le chemin le plus rapide vers la Paix, ce qui pose la question : ces changements techniques furent-ils autant de progrès ? En tout cas, il est indéniable que la géographie politique du monde actuel est bel et bien un reflet de ces divers ''changements'' dont certains devinrent des ''progrès'' : bien des crises actuelles trouvent là leur origine (cf. le respect convenu –sans raison réelle-- des frontières de '45).
Le changement, qu’on le veuille ou non, s’est donc imposé comme un facteur fondamental de l’évolution de la société, et par conséquent, des rapports de l’Homme avec son environnement, avec son présent et, donc son devenir dont il est à la fois le signe –la vie et la mort n’ont d’autre facteur séparateur que le changement, et non le progrès !– et la preuve, une évolution n’existant que s’il y a présence de changements ! Un changement est perceptible dès lors qu’il se manifeste, alors qu’un progrès peut mettre des années à devenir simplement perceptible (au hasard : la boussole -plusieurs siècles, les principes de Babbage -un siècle, ou l'intelligence artificielle -25 ans et plus).
Un ''changement'' se définit comme le passage d’un état A à un état B, sans autre conséquence que la création d’une différence perceptible, qu’elle soit positive, négative ou nulle quant à ses résultats et à ses conséquences, ou, plus simplement, comme le passage à quelque chose de différent… Au contraire, un progrès est un changement qui marque une amélioration mesurable par rapport à une situation précédente. Un changement n’engage à rien, alors qu’un progrès, comme son nom l’indique, (du latin pro-gressio = pas vers l’avant) constitue une amélioration identifiable, quel que soit le domaine dans lequel il s’est exercé.
Un exemple concret ? La perte d’un organe sensoriel spécifique (suite à un accident ou au simple vieillissement) est un changement, et non des plus drôles, annonciateur d'autres problèmes à venir... On ne peut dire en aucun cas que cela puisse être catalogué comme ''progrès''. En revanche, l’acquisition d’une orthèse –une paire de lunettes dans le cas de la vision– représente indéniablement un progrès dans le processus de vision. Si une prothèse est possible –une main artificielle, par exemple– le progrès est encore plus visible.
Une remarque connexe sur cette opposition entre Changement et Progrès, qui n’a peut-être pas directement sa place ici, mais que je ne peux m’empêcher de faire : sans doute est-ce pour cette raison que c’est devenu une habitude uniformément monomaniaque chez la plupart des hommes politiques de tous les pays que de proposer ''le changement'' comme seul programme… laissant, un peu plus tard, tous leurs électeurs profondément déçus – à tort, car s’ils attendaient des ''progrès'' là où on ne leur avait promis que le ''changement'', ils ne doivent s’en prendre qu’à eux seuls ! Cette erreur de langage permet d'expliquer le gouffre qui sépare tout discours politique (qui propose des changements) des besoins réels des populations (qui ne veulent que des progrès).
Ce mauvais usage systématique – je n’ose pas écrire ''volontaire'' – de deux concepts que l’on fait croire synonymes alors qu’ils sont antagonistes, est certainement largement responsable du désamour que nous constatons depuis quelques années pour la politique et les politiciens, la démocratie et, plus généralement, la res publica. Depuis Giscard, qui a vu (sic !) dans les yeux de la France ''un désir de changement'' (il était fortiche, le gars ! il disait, d'ailleurs, ''la Fronche'' et ''un déjir de chongemont'', ce qui est nettement mieux !), tous les candidats à l'élection présidentielle nous ont promis ''le'' (pas ''des'', ce qui serait ''moins pire'') changement. Même Obama, qui n'était pas à ça près, l'a fait ! Mais pour un ''politique'', le sens exclusif du mot changement est : ''Ote-toi de là que je m'y mette'' … et cela aide à comprendre leurs gros mensonges, devenus chez certains une seconde nature..
Résumons : d'un côté, des professionnels du flou, de l'à-peu-près et du mensonge, qui promettent ''le changement'' (dont, au fond des choses, personne ne veut : il vient déjà tout seul, plus que nécessaire !). En face, des électeurs qui croient entendre des promesses de ''progrès'' (cette sorte de Graal espéré par tous) et qui se révoltent, bonne foi contre mauvaise foi, lorsqu'ils se rendent compte qu'il a eu plein de changements (par exemple, toutes les lois ''sociétales'', perverses à en mourir, ou la sanctification d'un soi-disant ''droit à l'avortement'' qui est une redéfinition des ''principes'' relatifs à la vie et à la mort) qui sont terribles dans leurs conséquences (NDLR : c'est la dernière fois que je le dis sans courir de risques disproportionnés),. Et certains s'étonnent de cet état de fait ! N'allons pas chercher plus loin : avec le diptyque ''changement-progrès'', nous tenons une des causes majeures de nos dérives actuelles, immenses. Et de notre malheur profond...
H–Cl.
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heartpeeler · 7 months
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c’est un peu bizarre mais j’ai vraiment l’impression que j’ai les pieds en plein dans un moment clé de ma vie. je ressens vraiment qu’il se passe plein de choses en moi et autour de moi. c’est juste super dingue, parce que je me rends compte que ma vision de moi même et de l’amour et de l’âme sœur prend une nouvelle dimension et j’avais plus eu ce genre de chamboulement depuis tellement longtemps. ce qui se passe, ce que j’ai vécu et ce que je vis, c’est comme si tout ça prenait enfin un sens. et c’est bizarre parce que en même temps ça ouvre la porte à plein de trucs qui me donnent le tournis mais dans tout ça et tout ce que je sais pas y a ce truc qui est devenu une réelle certitude. j’en avais parler, je le savais, mais c’est autre chose de clairement le ressentir. j’avais jamais ressenti la certitude de ma vie, genre oui, je sais et y a pas de doutes, pas vis à vis de ça. et je me fais confiance, je sais que je suis pas folle et que j’invente pas un truc, je le ressens c’est réelle, c’est ma vérité. les tirages qui pop up alors que j’en regarde plus depuis des mois, les signes et les expériences que je vis en ce moment et mes discussions avec line… et tout ça qui arrive à un mois du printemps ? c’est complètement dingue et ça me fais me sentir si vivante
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lisaalmeida · 1 year
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« Toi t’es différente..T’as un truc qui change, qui chamboule tout, ce truc qui transperce l’âme, tu vois de quoi je parle?
Puis t’as ce regard dans la face, qui interpelle les gens
T’as ce sourire ….celui qui a l’air de dire « j’emmerde tout le monde, puis j’emmerde la vie aussi »,
T’as cette façon de marcher aussi qui trahit ton sourire.
Toi t’es un ouragan.
Tu laisses des séquelles et des traces sur ton passage, et ça partout où tu vas..
Puis toi t’es comme la pluie aussi.
T’es belle à regarder, ça devient même tout drôle des fois.
Tu pues l’humanité, tu pues la nuit.
Tu sens l’espoir et tu sens la vie.
Et t’es là, tu débarques, tu sèmes des petits bouts de toi, puis tu t’en vas.
Bordel. T’es tellement de choses à la fois.
Tu donnes envie à un flemmard de se bouger le cul, à un fumeur d’arrêter de fumer, à un amoureux brisé d’aimer.
T’es comme un vieux souvenir qu’on arrive pas à effacer.
T’es ancré dans le regard des gens, t’es ancré dans leur réalité. »
Anna Gavalda
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