#troy gentile
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brokehorrorfan · 29 days ago
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Victor Crowley’s Hatchet Halloween Tales VI will be published on October 30 via American Mythology. The 32-page one-shot comic book features four more stories set in the Hatchet universe during Halloween.
The Goldbergs creator Adam F. Goldberg wrote a crossover in which the sitcom family meets Victor Crowley. Other stories are written by G.O. Parsons (Willy's Wonderland), S.A. Check, and James Kuhoric. Puis Calzada, Ev Cantada, and Gerardo Gambone illustrate.
Four cover variants are available: Main Cover by Roy Allan Martinez, Goldberg's Variant by Puis Calzada, Swamp Horror by Buz Hasson, and Old School Halloween by Ken Haeser.
In addition to your standard comic retailers, you can pre-order copies signed by Hatchet creator Adam Green from ArieScope Pictures. They’re $20 each or $50 for all four versions.
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aeonmagnus · 2 years ago
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Barry must be stopped. No matter the cost.
The Goldbergs 10x17, "A Flyer's Path to Victory"
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whatamigonnawatchtoday · 1 year ago
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Tenacious D in The Pick of Destiny
2006. Musical Fantasy Comedy
By Liam Lynch
Starring: Jack Black, Kyle Gass, Troy Gentile, Ronnie James Dio, Dave Grohl, Meat Loaf, JR Reed, Ben Stiller, Paul F. Tompkins, Tim Robbins, John C. Reilly, Cynthia Ettinger, Andrew Caldwell, Amy Pohler...
Country: United States
Language: English
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tvshowscouples · 10 days ago
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If you love Barry&Lainey (The Goldbergs) and you want reblog or like,this is the link of my reblog couples :)
thank you!
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gameofthunder66 · 2 years ago
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The Goldbergs (2013-2023) tv series
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-(finished) watchin' Series (10 Seasons)- 5/4/2023- 3 stars- on ABC (Hulu)
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contr8 · 2 years ago
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another beach day!!!! eye luv them
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jules-and-company · 5 months ago
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is your prof really neurodivergent if he doesn’t write farewell messages to his retiring colleague IN LATIN
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inlovewithaspiderguy · 8 months ago
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je confonds toujours les aventures du baron de munchausen avec l’imaginarium du docteur parnassus. et le fait que j’arrive à me rappeler le nom de ces deux films vaut une médaille en soi
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coovieilledentelle · 2 months ago
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🌿
J’suis descendu dans mon jardin (bis) Pour y cueillir du romarin. J’n’en avais pas cueilli trois brins : Qu’un rossignol vint sur ma main : …… extrait de la chanson de Jean-Baptiste Weckerlin ( gentil coquelicot )
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octoberbluegates-fr · 5 months ago
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Les six contes du solstice d'été sont bientôt terminés!
Click here for the english poll
Nous y sommes enfin! Les contes sont écrits et seront publiés la semaine prochaine en autoédition ^^ Il ne reste plus qu'à décider de quelle histoire sera le bonus, et pour cela, je vous laisse choisir!
Un très rapide résumé des contes pour vous aider :
Pas de repos pour le soleil
Un jeune sorcier jette un sort au soleil pour que le jour dure tous les jours aussi longtemps qu'au solstice d'été
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La couronne de fleurs et les sept roussalki
L'histoire d'amour d'une princesse et des sept jeunes filles qui la comprenaient le mieux, inspirée du folklore d'Europe de l'Est
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Le vampire qui se languissait du soleil
Un malheureux vampire, guidé par une gentille sorcière, part à la recherche du soleil qui ne le brûlera pas
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Les gâteaux au miel
Une petite fille, en rentrant chez elle le soir du solstice, est très heureuse de découvrir le royaume des fées.
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Le soleil qui ne se levait pas
Trois sorcières partent à la recherche du coq magique capable de réveiller le Roi Chêne.
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Le chat d'Hélios
Comment Hélios reçut et perdit son chat bien-aimé qui était un peu trop bon chasseur.
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e642 · 6 months ago
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J'ai toujours trouvé que les personnages âgées c'est quitte ou double. Soit elles sont profondément méchantes, aigres et malveillantes, soit elles sont profondément gentilles, douces et bienveillantes. Et là, je suis allée acheter une salade, j'étais derrière une mamie qui avait fait les courses pour 14 et elle m'a dit "passez devant moi". J'lui réponds merci grand sourire. Et elle rajoute que je suis trop belle et que je sens trop bon. Voilà, ça c'est les Monique que j'affectionne. Après on a parlé de notre top 3 salade d'aldi. Bref j'étais dans mon élément et j'adore cette sorte de douceur que certains seniors calquent sur nous, jeunesse, peut-être en pensant à leurs petits enfants. Je ne sais pas en vérité. Au fond, je déteste pas les gens, je déteste juste le manque de savoir vivre et être résultants d'un sacré manque de respect. C'est trop banalisé d'être désagréable. J'adore sourire aux gens dans la rue, dire bonjour, merci, bon courage. Les bases du vivre ensemble finalement. Je pense que ce sont des gestes, certes minimes, qui peuvent égayer et réconforter les gens. On est personne pour personne mais je vois pas pourquoi on devrait être quelqu'un pour être poli. Et ce qui me rend triste c'est quand les caissiers, femmes de ménages, vigiles, etc (tous les métiers méprisés par les trois quart de l'humanité) te remercient outre mesure de leur avoir dit une formule de politesse. Ça me fait de la peine parce que ça démontre qu'ils n'en reçoivent pas constamment. On a tous besoin de respect et de reconnaissance notamment quand le métier/l'activité/le service est pénible.
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perduedansmatete · 8 months ago
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dimanche ennui donc liste (certainement pas exhaustive) de moi à moi des artistes que j'ai déjà vu en concert, de ceux que je vois bientôt, de ceux que j'aimerais voir et de ceux que je RÊVE de pouvoir écouter en live un jour:
concerts faits dans un ordre totalement approximatif:
julien doré (petite, j'étais amoureuse de lui et je me souviens d'avoir eu mal au cœur quand il chantait winnipeg)
jeanne cherhal (petite aussi, j'étais absorbée car elle avait chanté quelques chansons suspendue à un cercle en l'air)
olivia ruiz (toute mon enfance)
la grande sophie
the dedicated nothing (ils ont fait un album on en a plus jamais entendu parler et je les avais vu dans une boutique longboard comme c'était des surfeurs mdr)
the dø (dans un festival paumé en vendée, j'étais la plus heureuse)
george ezra
the black lilys
radio elvis 2x
feu! chatterton 3x (j'ai l'impression de faire l'amour quand j'entends arthur teboul chanter en live, un des trois concerts était en plein air vers l'océan c'était beau et poétique)
grand blanc
jumaï
chevalrex
pr2b
clarika (toute mon enfance, dans la voiture avec ma mère)
the limiñanas (inattendu, jamais écouté avant de les voir mais si cher à mon cœur maintenant)
girls in hawaii (souvenirs d'adolescence)
genghar (concert avec mon père dernièrement, j'écoutais beaucoup adolescente aussi)
sallie ford 2x
norma 2x (elle fait fondre mon cœur j'aimerais qu'elle perce)
mattiel
the twilight sad
las aves
prudence (la chanteuse de the dø, on avait gagné un concours avec ma sœur!!)
cate hortl
clara luciani 3x
pomme 2x
franz ferdinand 2x
arctic monkeys 2x (dont une fois catastrophique à rock en seine, des amitiés se sont brisées, des crises d'angoisses, un son merdique)
the strokes (son merdique et problèmes techniques car rock en seine mais j'étais au max)
ledher blue
the cure (que dire de plus??? 3h de the cure en live c'est le paradis)
depeche mode (que des bangers, je m'en remets pas encore)
pi ja ma (choupette, je l'aime depuis la nouvelle star)
delilah bon (à la fin de son concert on a eu droit à tous les chants de manifs de gauchos sans aucune raison pendant 20 minutes et c'était génial)
kalika
fontaines dc (je veux les revoir)
ethel cain (c'était thérapeutique)
angel olsen
lucy dacus (très vite)
tamino 4x (je l'adore de tout mon cœur mais je fais une pause je l'ai trop vu)
ko ko mo 7x ou plus?? (découverts dans un festival paumé en vendée, depuis on les voit tous les ans)
jesse jo stark (trop sexy)
clemence violence
hachiku
jen cloher (lesbiennes australiennes je vous aime)
dynamite shakers
odezenne (j'ai pu chanter je veux te baiser en live c'était fantastique)
georgio (marque le début de la fin d'une amitié mais j'étais tellement heureuse ce soir là)
slowdive
frank carter and the rattlesnakes (ma sœur qui se fait une entorse dans un pogo)
the mysterines
yeule (premier concert toute seule, il m'a fait du bien)
sorry (chanteuse toute timide toute choupi mais génial et j'ai pu crier les paroles de there's so many people that want to be loved)
alexandra savior (écoutez là c'est un ordre)
sarah maison
sextile (concert génial soirée traumatisante)
wunderhorse (de vrais anglais qui s'en branlent de tout c'était cool)
no elevator
emma peters (j'écoute pas mais sympa)
skip the use (j'y allais en mode souvenirs, j'avais jamais écouté ses récents albums et le gars est trop chaud en live)
agar agar
nada surf (le chanteur est trop gentil <3)
hoorsees
adrien gallo (à défaut d'avoir pu voir les bb brunes... et j'étais aussi amoureuse de lui petite)
therapie taxi
nova twins (un de mes meilleurs concerts elles avaient une énergie trop folle)
la femme (mes meilleurs pogos)
tori amos (concert avec ma mère, icone)
l'impératrice 3x (2 fois sans que je veuille vraiment juste ils étaient dans des festivals et j'en peux plus leur scéno c'est toujours la même et c'est mou)
terrenoire
snail mail (mou)
parcels (j'écoute pas mais en concert c'est fou)
tame impala (l'impression d'avoir pris du lsd pendant 1h30)
gaz coombes (le chanteur de supergrass!!)
inhaler
idles (de loin mdr)
foals (mouais)
wet leg (absolument génial premier rang à crier toutes les paroles, tellement qu'il a plu et qu'on a fini le concert dans la boue)
yeah yeah yeahs
izia
the murder capital (amoureuse)
suzie stapleton
maddy street (une copine de ma sœur, c’est trop bien)
origine club renommé bonne nuit (à revoir c’est des vendéens et j’adore les vendéens pas fachos)
alice et moi
prochains concerts:
stoned jesus
dionysos (cadeau de noël pour mes parents, ils nous ont bercé avec)
air
ethel cain (encore)
mannequin pussy
cherry glazerr
lana del rey!!!!!!!!!
ko ko mo (pour la millième fois mdr)
eartheather (j'ai eu une place alors qu'il n'y en avait plus??? yaayyy)
artistes que j'aimerais voir:
yoa
the marias (ils avaient annulé la seule date qu'ils faisaient en france alors qu'on avait nos places avec ma meilleure amie, on leur en veut encore)
anna calvi
bar italia
the last dinner party
coco & clair clair
dora jar
king krule (on m'a empêché de prendre une place la dernière fois car apparemment il chante mal en live)
beach house
lebanon hanover
japanese breakfast
mitski
sally dige
deerhunter
tove lo (je l'ai raté à rock en seine...)
tv girl
sir chloe
hooverphonic
tomberlin
portugal. the man
last train
baxter dury
sophie meier
thao & the get down stay down
fka twigs
elita
yelle (je serai une femme accomplie le jour où je l'aurai vu)
artistes que je rêve de voir dans mes rêves les plus fous:
lush
soko (elle soignerait tous mes maux)
pulp
garbage
fiona apple (c'est beau de rêver)
the smashing pumpkins
courtney barnett (c'est une nécessité je connais tout par cœur)
siouxsie sioux
björk (ratée en septembre dernier...)
eels (mes parents y sont allés sans moi et sans me le dire????)
alt-j (j'écoute depuis trop longtemps pour ne jamais les avoir vu)
cults
pixies
iggy pop (icone, il faut, et je suis amoureuse de lui)
new order
interpol
massive attack (si je craque pour rock en seine...)
emiliana torrini
deftones
she wants revenge
hope sandoval
sigur rós
arcade fire (je crois que le chanteur est un agresseur sexuel. bon.)
the last shadow puppets
the white stripes mais bon... ou jack white
madonna...... mais je suis pauvre
si une âme charitable a tout lu et veut me fournir de quoi me payer des places de concerts je suis preneuse lol merci
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selidren · 1 month ago
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Eté 1926 - Champs-les-Sims
3/10
Et au fur et à mesure que la conversation avançait, il m'a parlé de beaucoup de choses, et j'en ai dévoilé moi-même de plus en plus. Je pense que tu ne le rencontreras jamais, mais il a cette manière de mettre les gens à l'aise avec lui que j'adorerais imiter.
Il m'a alors parlé du fiancé de sa fille, ma cousine Anne. C'est une chouette fille. Nous ne sommes pas très proches car c'est quelqu'un de très solitaire, mais je l'ai toujours bien aimée et c'est réciproque. Et là, Oncle Adelphe a lâché le nom du fiancé. Jean. Mon Jean.
J'ai été si anéantie quand je l'ai compris que je me suis effondrée dans ses bras en pleurant et je lui ai tout raconté. Il m'a consolée comme il a pu, mais au milieu de mon chagrin, j'ai bien vu que lui-même était complètement déboussolé. Ma pauvre cousine est une victime autant que moi il faut dire. Ce salaud a couru après nous deux sans que nous nous en rendions compte ! Et comble de l'injure, Oncle Adelphe m'a dit qu'une voix atone qu'il était impossible de rompre les fiançailles, car Anne lui a avoué avoir "été avec lui". En définitive, c'est la même histoire qu'avec sa grande soeur Emma, mariée au plus vite pour cacher le scandale. Et si jamais elle était enceinte aussi ?
Il a voulu me revoir qui si de rien n'était. Mais j'étais dans un tel état que j'ai a nouveau fondu en larmes, presque au bord de l'évanouissement. Je suis allée chercher Oncle Adelphe. Il m'a dit de ne pas m'inquiéter, qu'il allait prendre les choses en main. Je n'ai jamais revu Jean. Il a épousé Anne trois semaines plus tard.
Je ne sais pas pourquoi Oncle Adelphe n'a pas dit la vérité à Anne, mais je pense le savoir. Ma cousine a été gravement touchée par le décès de sa mère, puis quand son père ne s'est pas occupée d'elle (longue histoire, que je te raconterai sans doute un jour). Je ne sais pas si il a eu raison, mais j'imagine qu'il n'a pas voulu lui briser le coeur à nouveau. Je ne pense pas que j'aurai agis différemment à sa place.
Transcription :
Adelphe « Bon, parles-moi un peu de lui. »
Arsinoé « Il est très gentil. Il est beau aussi. Cléo a même dis qu’il avait sans doute les plus beaux yeux qu’elle avait jamais vu, même plus jolis que les vôtres. Il est romantique aussi, très patient. Par contre, j’ai l’impression que notre famille lui fait un peu peur. »
Adelphe « Un sentiment qui n’est pas partagé par Mademoiselle Laroche il me semble. »
Arsinoé « Oui, le contraste est assez drôle. »
Adelphe « Ne t’inquiète pas. Ce n’est pas irréconciliable. Tout le monde ici semble se marier sans trop de considération pour le rang social, même si cela engendre parfois des conflits. »
Arsinoé « Cléo dit aussi que par ici, on aime bien aller piocher une pomme sur une branche voisine de l’arbre. »
Adelphe « C’est si bien dit, je reconnais là ta sœur ! Et elle n’a pas vraiment tort, je ne vais pas le contester. J’en déduis qu’il n’est pas d’ici. »
Arsinoé « Non. De Seraincourt. »
Adelphe « C’est fou le nombre de gens de Seraincourt qui s’installent ici ! Le fiancé de ma fille vient de là-bas lui aussi. »
Arsinoé « Anne s’est fiancée ? »
Adelphe « Oui, même si ce n’est pas encore officiel. Je lui ait donné ma bénédiction hier soir. Me voici bien parti pour devenir à nouveau grand-père très vite. »
Arsinoé « Félicitations mon oncle ! Je le rencontrerai au repas de fiançailles. »
Adelphe « Je me demande si tu ne le connais pas déjà. Il a travaillé chez nous il y a quelques années. Un saisonnier. »
Arsinoé « Oh, ce serait drôle en effet. J’en aurai des choses à raconter à Cousin Lucien ! »
Adelphe « Et bien voilà ! Parle-lui aussi de ton amoureux, je sais que ces choses là intéressent les jeunes hommes. »
Arsinoé « Je pense qu’il sait déjà tout. »
Adelphe « Alors parle-lui de ton métier Noé. C’est quelque chose de très important pour toi, et à ce titre, je ne vois pas comment ta lettre pourrait être barbante. Et au vu de ce que tu me dis de Cousin Lucien, il ne me paraît pas un goujat au point de t’écrire que ça ne l’intéresse pas. Tu sais, aussi nouveau et merveilleux que soit l’amour, il y aura tout de même une certaine routine au bout d’un moment, et tu n’auras pas grand-chose à raconter. Vous avez l’air de bien vous entendre, alors fais lui un peu confiance. »
Arsinoé « Bon, très bien. »
Adelphe « Allez Noé, je dois te laisser. Jean veut venir à la maison ce soir, et je suis le seul qui puisse jouer les chaperons. »
Arsinoé « Jean ? »
Adelphe « Jean Davires oui. Le fiancé d’Anne. »
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sinvulkt · 3 months ago
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✯✯✯ ꒰ঌ ⚔ ໒꒱ ✯✯✯ Chap 2 Chap 3
Edmond entrouvrit les mâchoires crispées de l’Abbé Faria et en retira le tissu qui avait servi à étouffer les cris de ce dernier. Puis, il y glissa dix gouttes du miraculeux liquide qui avait ravivé l’Abbé lors de sa crise précédente, il y a plusieurs années de cela. 
Le liquide coula le long de la gorge du mourant, secouant de violentes convulsions l’homme qui avait été le seul compagnon d’Edmond pour les douze dernières années. Une fois ces dernières passées, l’Abbé Faria s'immobilisa dans une torpeur morbide. Edmond essaya de ne pas s’en inquiéter.  Comme la dernière fois, il attendit patiemment au chevet de son seul et unique ami, ailes plaquées nerveusement contre son dos, guettant chaque bruit, chaque tressaillement qui pouvait annoncer sa résurrection. 
Les seuls bruits qui resonnèrent entre les murs furent les cris lointains des autres prisonniers : les porte-clés commençaient leur ronde. Edmond ne s’en soucia pas, trop occupé par l’état critique de son compagnon. 
Faria avait tenté de le prévenir qu’il ne survivrait sans doute pas à cette troisième crise. Il mourrait, tout comme son père avant lui, et le liquide opaque qui était autrefois si efficace, ne pouvait maintenant plus rien y faire. Malgré tout, Edmond se refusait d’y croire. Il prit les doigts glacés de l’Abbé dans ses mains, priant à qui voulait bien l’entendre de sauver cet être si gentil, si sage, qui n’avait jamais rien fait pour mériter ce triste sort.
L’espoir était tout ce à quoi il pouvait se raccrocher désormais.
Quelques minutes passèrent. 
Puis dix. 
Puis vingt.
Sous la paume d’Edmond, les doigts glacés de l’Abbé restèrent immobiles.
“Revenez, mon père ! Revenez !” il murmura, désespérément penché au-dessus du corps crispé. Ses plumes, herissées par sa détresse, retombaient de par et d’autre du vieil homme tel un doux linceul blanc.
Mais le temps passa, et l’Abbé resta de marbre. La demi-heure atteinte, Edmond prit la fiole dans ses mains tremblantes. Elle était encore au tiers pleine. D’après Faria, c’était son ultime chance.
Il s'apprêtait à en verser le contenu dans la bouche encore entrouverte de son ami quand des pas retentirent au-dessus du cachot. Trois coups suivirent bientôt. 
“Vivant ?”
Edmond sursauta. La fiole lui échappa des mains et se brisa à terre, déversant son précieux contenu sur le sol rugueux de la prison. Le porte-clés avait du finir son tour des cellules, et atteint les cachots. Par chance, ou par malheur, il avait commencé par l’Abbé.
Edmond n’eut pas le temps de céder au désespoir que le cliquetis de clé qu’on tourne dans la serrure résonna. 
“Eh l’Abbé ! Vivant ?”
Des années de pratique guidèrent Edmond à se cacher dans les tunnels, tout comme son esprit qui tourbillonnait furieusement pour trouver une solution. L’image de la fiole brisée dansait devant ses yeux, et il semblait à Edmond que juste en tendant la main, il pourrait modifier la cruelle réalité et remonter le temps.
“L’Abbé ?” le porte-clé appela une nouvelle fois.
Edmond avait refermé le passage juste à temps, car le geôlier avait passé sa tête par l’ouverture de la cellule. N’entendant toujours pas de réponse, et ne voyant que le vieil homme allongé, immobile sur son lit, l’homme descendit dans le cachot. Edmond l’observa par une petite ouverture entre les pierres qui scellaient le tunnel. Son cœur battait à tout rompre. Le porte-clé avait-il entendu les cris étouffés de Faria durant sa crise, ou les murmures de détresse d’Edmond qui s’étaient ensuivit ?
Le porte-clé s’approcha prudemment du corps de l’Abbé, puis, voyant qu’il ne bougeait toujours pas quand il l’appelait, le secoua. Ni secousse, ni injonction n’eurent de succès pour ramener le vieil homme parmi les conscients. À la différence de celui-ci toutefois, sa réaction ne fut qu’un juron, suivit d’une courte prière dans sa barbe, et d’un grand cri destiné à ces compagnons. 
“L’Abbé est mort !”
Un second geôlier descendit. 
“Ah ! Le pauvre bougre. Ses histoires de trésor vont me manquer.”
On fit venir le médecin, pour qu’il confirme cette mort. Ce dernier ne trouva pas de poul. Il était alors coutume de vérifier que le prisonnier n’avait pas faussé sa mort par un coup de fer rouge. Bien que réticent à brûler le corps présumément mort d’un vieil homme qui n’avait, de toute manière, aucune intention ou capacité de s’échapper, le médecin s'exécuta. 
L’odeur de brûlé monta furieusement aux narines d’Edmond. Elle resta coincée au fond de sa gorge, étouffante, écoeurante, tel un liquide mousseux qu’on aurait avalé de travers. Pendant un instant, Edmond crut qu’il allait vomir. Ses bras et ses ailes s'enroulent autour de son torse dans une vaine tentative de barrière contre le crépitement de la peau qui fond, mais le regard d’Edmond resta fixé sur la petite ouverture qui lui servait de fenêtre, comme hypnotisé par l’horreur de la scène qu’il épiait. Il frémit. Ses pensées retournaient sans cesse à la fiole brisée, à ce fol espoir qui lui avait simplement glissé des mains. 
Les porte-clés descendirent un sac - “le plus beau linceul du château d’If”, dirent-il, puis, une fois l’Abbé enfilé dans son cercueil de fortune, comme c’était l’heure du déjeuner et qu’ils avaient fort faim, optèrent pour se débarrasser du corps une fois s’être remplis la panse. Une fois qu’il furent parti, Edmond s’approcha du sac de tissus rêche qui cachait son ami. C'était si facile d’imaginer l’Abbé simplement endormi sous cette paroi de coton, et non parti au point de ne même plus ressentir la douleur du fer.
Un tiraillement déchira le cœur du jeune homme. Il se souvenait avec douleur des premières années passées seul, isolé dans quelques mètres carrés avec pour unique partenaire de conversation un mur de pierre, des ras, et une porte vivante— tel qu’il surnommait son geôliers. Sans l’Abbé, Edmond serait devenu fou. Et fou il deviendrait, s’il restait ne serait-ce qu’un mois de plus emprisonné dans la plus profonde solitude, si loin des grandes étendues maritimes qu’il ne voyait plus que dans vagues songes remontant de ses souvenirs. Il eût préféré mourir que de se retrouver à nouveau dans cette glaciale pénombre. Après tout, n'avait-il pas déjà abandonné la vie, quand il entendit Faria pour la première fois ?
Comme une poussée de fièvre, la soif de liberté dévorait le jeune homme. Ses ailes, trop grandes pour la petite pièce que formait la cellule de l’Abbé, se déployèrent à moitié, comme par anticipation de sentir le vent jouer dans ses plumes. Son cœur pleurait la disparition de son ami, mais sa raison lui assurait que s’il ne tentait pas de s’échapper maintenant, tout le savoir que l’Abbé lui avait confié serait en vain.  Faria n’aurait-il pas voulu qu’il fusse libre, qu’il récupère son fameux trésor? N’avait-il pas donné à Edmond des noms, des responsables aux quatorze années de souffrance passées ?
Il y avait, bien sûr, le plan alternatif de fuite que l’Abbé avait évoqué. Il était possible qu’une fois le cachot voisin vide, les geôliers y enferment un nouveau prisonnier. Mais, celui-ci serait-il vraiment aussi innocent qu’Edmond ne l’avait été ? Écouterait-il son plan pour s’enfuir, ou le vendrait-il aux porte-clés ? 
Non, il était bien trop dangereux d’attendre ne serait-ce qu’une seconde de plus. Edmond devait s’enfuir tant qu’il en avait encore l’opportunité. Et puis, s’il se faisait prendre, il n’avait de tout façon pas grand chose à perdre. La mort offrait une douce délivrance à l’enfermement à perpétuité. 
Edmond défit aussi vite qu’il put les nœuds du sac rêche. Si c’était là le meilleur linceul du château d’If, c’est que de linceuls, la prison n’en possédait pas. Portant avec difficulté le corps encore surprenamment chaud de son ami à travers les tunnels qui séparaient leur cellules, il compta les secondes. Il n’avait que très peu de temps avant que les gardes ne reviennent.
Plus d’une fois, les rochers acérés de l’étroit passage mordirent son plumage et lui raclèrent la peau. Edmond ne s’en soucia point. Son esprit était ailleurs, porté sur les milles façon dont sa tentative d’évasion pourrait se finir, tant en bien qu’en mal. Si les gardes l’enterrait, Edmond se laisserait couvrir de terre, ne s’enfuyant qu’une fois ces derniers partis. Si les gardes le jetaient à l’eau, Edmond utiliserait le couteau pour déchirer le sac de l’intérieur et nagerait jusqu'à la rive.
Tout à sa tâche, Edmond ne remarqua jamais comment les membres d’abord glacés de l’Abbé semblèrent se réchauffer sur le temps du trajet. Il ne remarqua pas le battement de cœur ; si faible que même le médecin n’avait pu en discerner le pouls qui pulsait pourtant sous ses doigts. Il ne remarqua pas la respiration tremblotante qui s’était emparé du corps paralysé et qui, silencieusement, discrètement, l’avait ranimé.
Simplement, il déposa l’Abbé sur son lit, déposa un doux baisé d’adieux sur les rides plissées par l'âge de son front. Une larme coula silencieusement le long de sa joue. Puis, Edmond reparti avec la vivacité de la jeunesse dans les tunnels pour se placer dans ce même sac dont il avait retiré son ami un peu plus tôt, récupérant le couteau de cartilage que l’Abbé lui avait appris à fabriquer au passage. Il recousu l’ouverture de l’intérieur de telle sorte qu’on ne distinguait pas le changement qui s’était effectué. Edmond passa l’aiguille dans le dernier trou juste quand les portes-clés, enfin repus, retournèrent au cachot.
Puis, comme une araignée-loup qui guette sa proie, il attendit.
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Vous pouvez aussi trouver ici un prequel, avec la pousse d'ailes d'Edmond.
Et un wingfic fanart inspiré du film.
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exilenpagaille · 3 months ago
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Bien arrivée à Paris. Hier nous sommes allées voir l’appartement que j’aurai à la rentrée qui est vraiment top, lumineux et finalement le rdc ne donne quasi pas sur la rue extérieure donc je serai tranquille. Marie s’est rendue compte que j’étais dans la même rue que de très bons amis à elle à qui on a rendu visite. Ils étaient super gentils, il ont trois enfant il me semble qui sont pas tellement plus grands que moi. C’est rassurant de savoir qu’il y a des gens sur qui je peux compter en cas de galère. On a d’ailleurs passé la soirée avec leur fils qui a l’âge de mon frère qui est vraiment très sympa, qui voyage beaucoup et qui est dans la photo/com du sport. Le midi avec Marie on a testé un restau coréen pas loin de chez moi donc je sens que je vais y aller souvent parce qu’il était excellent et trop mims.
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coolvieilledentelle · 1 year ago
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J’ai descendu dans mon jardin (bis) Pour y cueillir du romarin. J’n’en avais pas cueilli trois brins : Qu’un rossignol vint sur ma main : ...... extrait de la chanson de Jean-Baptiste Weckerlin ( gentil coquelicot )
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