#transfuge
Explore tagged Tumblr posts
hcdahlem · 7 months ago
Text
Des montagnes de questions
Dans cet essai éclairant et militant, Stéphanie Lux raconte comment elle est devenue traductrice littéraire et combien ses vingt années d'expérience lui ont appris sur cet exercice qui n'est toujours pas reconnu à sa juste valeur, celui d'une création.
  En deux mots Stéphanie Lux est traductrice littéraire. En retraçant son parcours et son expérience de plus de 20 ans, elle nous donne à réfléchir sur le sens de ce métier aujourd’hui menacé et pourtant indispensable dans le passage d’une langue à l’autre, notamment à l’heure de l’IA et de l’écriture inclusive. Ma note ★★★ (bien aimé) Ma chronique La traductrice n’est pas une machine Dans cet…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
vagabondageautourdesoi · 10 months ago
Text
Isabelle Lagarrigue - Promis,
Présentation du cinquième roman d'Isabelle Lagarrigue, Promis, juré. Une lecture estivale agréable, faite d'introspection, d'amitié et d'humanisme.
Juré S’il existe une littérature dite de plage, alors Promis Juré en fait partie. Ce roman choral avec ses chapitres courts et la simplicité du propos saura en toucher plus d’un. Qu’importe que l’attention soit carrément plus labile en période estivale, Isabelle Lagarrigue sait comment vous faire revenir sur ses pages ! Promis, juré de Isabelle Lagarrigue a pour toile de fond un procès pour…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
alexandredumontmanagement · 2 years ago
Text
J'ai pris un verre avec... Arielle Dombasle (Transfuge)
Arielle Dombasle s’est entretenue avec Fabrice Gaignault de Transfuge pour évoquer, autour d’un verre, la sortie de son film Les Secrets de la princesse de Cadignan (en salle le 13 septembre). Les Secrets de la princesse de Cadignan, un film réalisé par Arielle Dombasle.Au cinéma le 13 septembre.
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
walker-diaries · 1 year ago
Text
Tumblr media
0 notes
nicolasbaudoin · 1 year ago
Text
0 notes
mariannaszymanska · 3 months ago
Text
La cour de récré mondiale
Notre société mondialisée me semble bien étrange souvent. Chaque jour apporte son lot de sidération. Le matin, je me lève et j’ouvre mon appli France Inter. J’avoue, je suis une transfuge radiophonique, mes parents écoutaient RTL.
Vaquant à mes occupations matinales, mon oreille est agressée par cette info :
Trump veut faire de la bande de Gaza, une « côte d’Azur » du Moyen-Orient mais sans les Palestiniens  et sous contrôle étasunien !
« Ouaouhhhh ! » est la seule réaction de mon cerveau. Je suis sidérée. Même Netanyahou l’a regardé, hébété, lors de cette déclaration. Pourtant, il lui a bien maché le travail ces derniers mois, destruction totale de tous les bâtiments, défrichage. Efficace, le mec ! Il a, certes, laissé quelques Gazaouis. Mais bon, ils iront habiter chez les voisins ! (Humour noir)
Le monde ressemble de plus en plus à une grande cour de récré. C’est mon côté prof qui ressort, sûrement !
Donald joue aux billes avec Vlad, Manu et quelques autres. Pas de filles. C’est dégoutant les filles et ça ne sert à rien ! Ils jouent à d’autres jeux aussi, des jeux de garçons, comme à celui qui fait pipi le plus loin. Plus tard, au collège et au lycée, ce sera, celui qui a la plus grosse.
Donald adore inventer de nouvelles règles du jeu, on ne s’ennuie jamais avec lui. Parfois, les autres protestent car les changements lui profitent toujours. De plus, lorsqu’on le contrarie, il devient tout rouge et menace de frapper. Vlad est celui qui parle le mieux le «Donald », il l’observe depuis la crèche. Il s’approche doucement du petit gros et lui susurre à l’oreille :
« Tu as raison, ce sont tous des couilles molles, toi tu es le plus fort, c’est normal que tu sois le chef, mais laisse-leur un petit truc », en lui glissant un petit sac de billes discrètement.
Donald, admire Vlad, il l’a vu un jour faire du cheval torse nu : un homme, un vrai. Alors, Donald s’adoucit, prend la parole et à témoin, la cour entière :
« Bon, d’accord, je change un peu mes nouvelles règles ! 
Ouaiiiis !!! Merci Dodo ! C’est toi le plus fort ! » clament tous les enfants.
Quelquefois, le petit Manu se rebelle, il prend une chaise, monte dessus et déclame en feignant la colère. Manu, quand il sera grand, il veut être acteur :
« Donald, tu heurtes mon âme éprise de justice et d’égalité. Songe à tous nos camarades, ils méritent d’avoir autant de billes que toi. Au fond de mon être, je suis convaincu que tu es bon, altruiste… !»
Les autres le laissent déblatérer un certain temps, puis ils éclatent de rire :
« Hé, Manu, tu descends ! » (Réf de Boomer, ou plutôt de génération X !)
Il quitte alors son piédestal, l’air digne et indigné et s’en va donner sa contribution à Donald. Vlad, le roi de la discrétion, lui file en douce un petit sac, en lui tapant gentiment sur l’épaule, d’un air entendu.
Xi régulièrement, s’approche du groupe et demande :
- « Hé, les gars, je peux jouer avec vous ?
- Nannn, va jouer aux billes avec ta mère ! », gloussent-ils en lui balançant quelques billes en aumône.
Xi les ramasse la tête basse. Il retourne dans son petit coin de cour, argileux. Il façonne alors des billes en terre, en rageant intérieurement :
« Vous verrez, quand je serai grand, ce sera moi le roi des billes ! »
Dans, le coin des filles, une blonde intrigue particulièrement Donald. Elle s’appelle Ursula et elle joue aux Legos dans la cour.
« Comment, ose-t-elle ? peste Donald, C’est un truc de garçon et le seul jeu autorisé, ce sont les billes. » Bien que dans le secret de sa chambre, il construise des "côte d’Azur" en Legos.
A une récré du matin, Donald, entouré de ses acolytes, s’approche sournoisement d’Ursula et crie, bien fort pour que tout le monde entende :
« Hé, tu sais, que les Legos, je n’en veux pas ici et puis c’est pas un jeu de filles, donne-les moi ! »
Ursula aimerait hurler NON, toujours est-il qu’un seul oui quasi inaudible sort de sa bouche. Elle sait, en tant que fille que si elle n’obéit pas, les insultes et les coups pleuvront. Alors, elle serre les dents et tend son sac à Donald, violemment et en pleurant intérieurement.
Donald est définitivement le roi de la cour de récré.
Dans les prochains épisodes :
Jean-Luc et Olivier se réconcilieront-ils ou une nouvelle guerre des boutons est inévitable ?
Vlad harcèle le petit Zelinsky. Donald lui accordera-t-il sa protection ? A quel prix ?
14 notes · View notes
velvetvexations · 10 months ago
Note
Sorry but that "anti-essentialist transfeminism" is still essentialist. "Materialist transfeminism is a feminist current of thought that recognizes the reality of social mobility between gender categories such as man to woman, cis woman to trans woman etc. It considers gender transition as a gender transfuge which can be either a "promotion'' or a "downgrading"." I'm sorry to break it to the author, but going from being a cis woman to a trans man is not a "promotion". We have a worse wage gap than cis women, worse unemployment, higher rates of being denied service by institutions like banks and driver licensing services, and even higher rates of sexual assault. We also do not oppress trans women simply by being in a different social class to them, because we have zero access to institutions of power such as high economic positions (corporate boards/CEOs), law positions such as being judges, or political positions. In surveys we often experience similar rates of oppression to trans women and I think it's can't easily be declared that we have it strictly worse or strictly better. Even when we are slightly better off than trans women, if you tell me that only having a 70% wage gap instead of a 60% one makes us systemic oppressors, I will laugh in your [the author's] face, especially since we have a worse wage gap than cis women and "materialist transfeminists" don't take nearly the number of swings at cis women as they do at other trans people. Trans men can absolutely enact interpersonal and lateral aggression especially within trans communities, but rolling us in with cis people, especially cis men, is powerjacking us. I'm just incredibly fucking tired of so-called materialists not even bothering to look at the material conditions of trans men before making "materialist" claims about structures of trans oppression. That take isn't "materialist" and it isn't even "anti-essentialist", it's just tautological: trans women are trans women, and anyone who isn't a trans woman oppresses trans women because they aren't a trans woman. It sucks.
Mm, I hadn't noticed that. You're right, the idea that being a trans man is an escape from misogyny is completely antithetical to how I view the situation, as I've stated many times before.
I'm really sorry for co-signing that, Velvet Nation! My eyes can sometimes glaze over long texts and not absorb everything it's saying.
23 notes · View notes
malevolat · 4 months ago
Text
Dans cet environnement orange, fait d'argile chauffé, qui avait été un temps, pour but d'offrir, à l'ouvrier loyal au parti et à la couronne, un abri parmi un magnifique motif d'habitation répété sur des miles, devenant avec la dépréciation de la livre sterling et du plus grand empire sur terre, un repère à transfuge de classes ou de races rêvant vivre la parfaite petite vie de quartier, le lieu, loin de la proximité des masses, où l'on se rencontre, de la crèche au supermarché, du collège au parc de l'ancien évêché, les dimanches après la messe anglicane, l'endroit idéal pour élever ses enfants sans en faire des abrutis misanthropes, où la cordialité la plus absolue, la plus nécessaire, était la plus amène transmission que cet environnement orange pouvait offrir à cette nouvelle génération d'habitants cosmopolites.
3 notes · View notes
chansonsinternationales · 7 months ago
Text
Antoine Compagnon : "'Le Rouge et le Noir', c'est un roman sur l'échec d'un transfuge de classe" | France Culture
3 notes · View notes
aurevoirmonty · 5 months ago
Text
Tumblr media
J'aperçois un gauchiste et son faciès infâme, La rage et la pitié se disputent mon âme ; Dois-je par un effort, que je crois surhumain À qui veut la couper tendre ma ferme main ? Il a son libre arbitre et plus de vingt ans d'âge, Devrait-il — c'est folie — échapper au lynchage ? Je songe à lui parler, mais que peut ma raison Face aux murs endurcis du fort de l'émotion ? C'est un homme et j'éprouve, en conscience avertie, Envers le sexe faible un peu plus d'empathie ; Rien ne semble imposer à mon esprit fervent, De quoi bien réprimer son mécontentement. Comment un homme blanc, vainqueur de toute époque Peut-il de son passé clamer « oui je m'en moque ! » ? Et comment, de surcroît, niant son sang guerrier, Peut-il à qui le veut gentiment se donner ? Certains diront « langueur », d'autres crieront « parjure ! », Peut-on à son pays faire plus grande injure ? Ses aïeux sont là-haut, et dédaignant son rang, Il fait fi des douleurs, des larmes et du sang, Ce sang qui lorsqu'il coule au-delà des frontières Engendre à ce dément d'innombrables misères, Mais quand il coule ici, provoquant quelque émoi, Au revers du bon sens le fait demeurer coi. Néanmoins, non content de sa froideur funeste, Il gronde, il parle enfin, il s'agace, il conteste ; Voyant certains Français ne voulant point mourir, Il voudrait empêcher ceux-là de discourir. Se croyant défenseur de la liberté reine, Quand l'un dit « détracteur » lui nomme plutôt « haine ». Faut-il donc être haineux pour préférer les siens, Vouloir les épargner de macabres desseins ? Faut-il donc être fou pour aimer sa famille, Du regard de ses sœurs conserver la pupille ? C'est ce qui m'apparaît si j'en crois cet infect Et que je prends pour vrai tout son verbiage abject. La charité chez lui est tout sauf ordonnée Et ne se voit jamais au Bien subordonnée, Préférant mille fois un continent lointain, — « Proche » a pourtant donné l'appellation « prochain » — Il s'agite toujours pour défendre « le monde », Mais quand à notre seuil le plus noir péril gronde, Pire que de se taire il œuvre à ses côtés L'aidant à s'affermir par tant d'atrocités. Il est devant mes yeux, cet ignoble transfuge, La rue est clairsemée, il n'a point de refuge, Ce ne sont pas ses mots qui le protégeront, Ni ses deux bras chétifs, quelle horreur ! quel affront ! Il n'a donc rien pour lui : voilà ! je crois comprendre ! Est-ce donc pour cela qu'il aime tant se vendre ? Est-ce par lâcheté, faiblesse, abattement Qu'il se meut chaque jour contre son propre camp ? À moins que consciemment, la Beauté il refuse, Et pour la dévoyer, chaque jour une ruse Naît comme une fleur noire en son pervers esprit ; Se sentira-t-il mieux si tout est avili ? Je le regarde encore et tout mon sang bouillonne, Ma Muse veut rimer mais ma fureur résonne : La plume ou bien le poing ? quel moyen retenir ? Un second traître au loin ! je n'ai plus à choisir !
Alexandre Charpentier
4 notes · View notes
innuit59 · 2 years ago
Text
Tumblr media
Nouveau départ , transfuge de skyblog, je vais essayer de m' accoutumer à ce nouvel espace; bonne journée à tous et toutes
6 notes · View notes
swedesinstockholm · 2 years ago
Text
9 juin
j’ai dit dans mes stories que ça y est j’étais prête pour mon one woman show, c’est quand que je pars en tournée? mais vraiment hier soir m’a donné une clé pour cette histoire de performance qui me trotte dans la tête depuis longtemps, je sais un peu plus clairement ce que je veux/peux faire et comment je peux y arriver. en attendant j’ai déjà envie de retourner à bruxelles, j’allais dire rentrer, c’est déjà chez moi. j’ai la clé de chez m. dans ma banane et ça me procure un grand sentiment de satisfaction. même s’il fait trop chaud pour faire des trucs. même si c’est que pour regarder the ultimatum sur le lit de m. toute la journée. au moins je serai pas ici. hier soir la danseuse argentine me disait que sa mère était poétesse et qu’elle avait attendu qu’elle meure pour oser s’y frotter. j’ai dit quelle chance d’avoir eu une mère poète et je lui ai dit que ma mère à moi ne comprenait pas ce que je faisais, que ça l’intéressait même pas en fait, ou alors elle le montre pas. elle m’a demandé ce qu’elle faisait et j’ai dit secrétaire médicale et le côté romanesque de mon cerveau disait en fait c’est cool, ça me donne un côté transfuge de classe sortie de nulle part, non? mais quand même, ça me rend un peu triste. de pas pouvoir partager ça avec elle.
14 juin
de retour dans le train et je commence à m’inquiéter un peu de pas réussir à rencontrer de gens. j’ai peur de les faire fuir avec ma solitude qui pue. dimanche soir en rentrant de la soirée de mon ancien groupe de théâtre j’écrivais avec r. d. en mangeant le dernier morceau de gâteau aux framboises et aux amandes dans la cuisine, on a discuté jusqu’à minuit et demi parce qu’il disait bon je vais me coucher mais il allait jamais se coucher et puis il a fini par me dire bonne nuit et j’ai dit nuit bonne et il a dit ci mer et je suis montée au lit en souriant. tout à l’heure dans la douche j’essayais quand même de me faire redescendre de mon volcan en faisant une liste de barrières de protection à mettre en place: ne pas m’oublier, ne pas me perdre dans la fiction, ne pas m’attendre à ce que tout se passe comme dans mes fantasmes, ne pas concentrer toute mon énergie dans cette histoire, ne pas me laisser engloutir par mon besoin d’amour et d’affection, garder ma dignité, rester légère, ne pas me laisser consumer, ne pas partir en flammes, ne pas oublier le reste du monde.
dimanche soir au théâtre j’ai passé la soirée à discuter avec shariel, on attendait marcelo mais comme il venait pas on est allé boire un thé glacé pas bon de l’autre côté de la rue, on avait plein de choses à se dire sur nos vies pathétiques qui vont nulle part. elle est dépressive comme moi et elle me racontait que chez elle ça monte et ça descend et ça remonte et ça redescend et puis elle m’a demandé chez toi aussi? et j’ai dit que moi j’étais tout en bas pendant très longtemps et maintenant ça fait que monter, mais pour combien de temps? elle se plaignait d’avoir 38 ans et de rien avoir fait de sa vie, alors je lui ai dit mais au moins tu vis pas avec ta mère et elle m’a dit but i live with my husband! je lui ai dit de se remettre à écrire, parce qu’elle disait que c’était la seule chose qu’elle savait bien faire. et elle a déjà publié des recueils de nouvelles, contrairement à moi. quand marcelo nous a enfin rejoint elle a dit qu’on devrait monter une pièce ensemble mais quand il nous a parlé de son idée d’histoire avec une bonne et sa maitresse et son mari qui est retrouvé mort j’ai commencé à me dire ohlala non merci. je veux bien traîner avec eux dans un but non artistique par contre. je leur ai dit que je partais m’installer à bruxelles mais je les ai rassurés en disant que ça faisait dix ans que je disais que j’allais partir. apparemment à la fête de noël du premier trimestre j’avais dit à alexandra que je partais vivre à berlin. pourquoi j’ai dit ça? je sais plus. j’ai jamais eu autant d’amis dans ce pays de merde et maintenant que tout le monde veut me voir qu’est-ce que je fais je m’en vais dans un autre pays où je connais personne et où personne veut me voir.
15 juin
ça y est j’ai vu r. et tout va bien, sauf que j’aurais aimé le voir plus longtemps que trente secondes et que j’ai déjà envie de le revoir. je viens de voir une affiche collée derrière le kiosque en bois du parc qui disait courage: having the strength to overcome your fears et c’est exactement ce que je viens de faire, j’ai pris mon courage à deux mains et à deux pieds, deux mains pour demander à r. si je pouvais venir au concert de fin de master de son amie musicienne au musée d’instruments de musique, et puis deux pieds pour sortir de chez m. et y aller. j’avais un peu peur de taper l’incruste parce qu’il devait y avoir que les amis et la famille et les profs mais tant pis, j’ai décidé de vivre dangereusement. je suis montée au cinquième étage du musée art déco dans un vieil ascenseur en bois vitré avec un type barbu qui allait au concert lui aussi et une fille très belle avec un sourire très gentil qui m’a rassurée nous a fait rentrer dans la salle et j’ai vu r. sur la scène avec sa guitare en train de faire les réglages. il parlait anglais avec un accent français avec le type qui s’occupait du son. il m’a vue assez rapidement et on s’est fait coucou avec la main. à un moment pendant le concert il m’a regardée pendant qu’il jouait et j’ai senti le bas de mon corps s’évaporer sous moi, j’ai pas tout à fait vomi du vagin comme le jour de mon faux date avec laura a. mais presque, et je rigolais toute seule parce que c’était littéralement sur la même place que ça m’était arrivé la dernière fois dans le bus, la place des musées est désormais doublement baptisée par mon désir ardent mais ardent mouillé, mon désir inondant plutôt.
j’avais pas du tout envie que le concert finisse parce que 1. c’était vraiment bien, à un moment ça m’a même plongée dans une petite transe euphorique, la pianiste (qui s’appelait lara) jouait un truc très beau un peu répétitif et puis les autres musicien.nes ont commencé à jouer par dessus, mais elle continuait à jouer la même chose dessous, les mêmes notes répétitives qui n’allaient pas trop avec le reste, mais elle tenait bon, elle continuait, et ça m’a complètement renversée. et puis les moments où elle jouait accompagnée de r. à la guitare, magie magie, c’est trop facile, les musicien.nes ont trop d’avantages sur le commun des mortels. 2. je mourais de peur. il est venu me voir assez vite et le bonjour redouté (hug? bise belge?) s’est bien passé et il connaissait tout le monde évidemment donc pas le meilleur moment pour m’attarder, il m’a dit qu’il gardait sa fille jusqu’à demain mais qu’après il était libre et il m’a proposé d’aller à une soirée de perfs samedi soir et puis il a dit enfin je sais pas si t’as un emploi du temps chargé et j’ai mis toutes mes barrières de protection à la poubelle non je suis là pour TOI r. (j’ai pas dit ça) et puis il m’a dit à vendredi et je suis partie en continuant à tripoter la lanière de ma banane qui pendait entre mes seins et j’ai dévalé les escaliers en bois qui craque, gonflée à l’adrénaline.
4 notes · View notes
maaarine · 2 years ago
Text
Tumblr media
Élisabeth Feyti:
"Est-ce que d'après toi on peut dire que le genre serait complètement arbitraire tellement il varie en fonction de l'époque, du temps, du pays, de la culture? Je parle au niveau collectif."
Chayka:
"Si je parle en termes de stéréotypes, effectivement, on sait que le genre change en fonction des époques.
On voit très bien que la question des rôles qui pourraient être attendus entre les hommes et les femmes, ça a beaucoup changé ces dernières décennies.
Mais une fois qu'on a dit ça, il faut bien aussi signaler que la question du genre est dépendante de la personne elle-même, qui va s'auto-déterminer elle-même à travers toutes ces déterminations.
L'arbitraire de l'identité de genre, ça vient précisément de la manière dont la personne va elle-même se déterminer."
Élisabeth Feyti:
"Est-ce qu'on pourrait pas dire que le concept d'identité de genre, ça ne tient pas?
Est-ce que la transidentité ne serait pas fondamentalement un refus du statut social que la société nous impose?"
Chayka:
"C'est une question que je me suis moi-même posée. Est-ce qu'il y a davantage de l'affirmation ou de l'infirmation? (…)
Le sociologue Emmanuel Beaupatie évoquait la question du "transfuge de genre", comme l'expression "transfuge de classe".
Parce qu'il y a précisément cette dimension-là de statut social.
Lorsqu'on va avoir la manière de catégoriser, et très souvent de hiérarchiser les hommes et les femmes, on va très rapidement tomber sur des questions de statut social, sur des rapports de domination. (…)"
Élisabeth Feyti:
"Si on pousse au paroxysme la réflexion: s'il n'y avait pas de rôles socio-sexués, de stéréotypes, de normes de genre, y aurait-il encore des personnes trans?"
Chayka:
"Pas sûre. A partir de ce moment, il n'y aurait pas vraiment de raison de catégoriser comme on le fait aujourd'hui.
Très souvent quand on parle de genre dans la société, catégoriser n'est jamais bien loin de hiérarchiser.
Donc la question des personnes trans irait dès le départ peut-être moins de soi.
On aurait des catégories qui ne seraient pas aussi figées, immuables, absolues, pour ne pas dire essentialistes."
Source: Méta de Choc: La transidentité: au-delà des apparences, avec Chayka — SHOCKING #28.1
3 notes · View notes
nicolasbaudoin · 1 year ago
Text
0 notes
spiritgamer26 · 10 hours ago
Text
Amerzone - le testament de l'Explorateur
Tumblr media
https://www.youtube.com/watch?v=5kYIzYbIVbo Amerzone – Le testament d’un pionnier vidéoludique Présenter Benoît Sokal ? Un peu comme expliquer qui est Miyamoto à un joueur de Mario Kart. C’est presque insultant tant le monsieur a laissé son empreinte — ou plutôt ses croquis — sur l’univers du jeu d’aventure. Et pourtant, s’il est universellement reconnu pour Syberia, peu se souviennent que tout a commencé par un hydravion rouillé, une légende ornithologique… et un journaliste un peu trop curieux. Sorti pour la première fois en 1999, Amerzone : The Explorer’s Legacy est le tout premier jeu vidéo écrit et dirigé par Sokal, alors jeune transfuge de la bande dessinée. C’était une époque où les point’n click commençaient déjà à sentir la naphtaline, et pourtant, ce premier essai portait une promesse folle : celle d’un univers poétique, mystérieux, avec un sens du détail digne d’un carnet de terrain naturaliste. Mais soyons francs : à l’époque, l’Amerzone avait du charme, oui, mais aussi les maladresses attendues d’une œuvre de jeunesse. Interface capricieuse, énigmes parfois trop simples ou trop floues, rythme étouffé… Autant de grains de sable dans un voyage qui méritait mieux. Un remake entre restauration d’art et archéologie vidéoludique Avec ce remake complet signé Microids, l’ambition est claire : faire redécouvrir Amerzone dans une version qui honore l’intention originale tout en répondant aux attentes modernes. Et spoiler : le pari est (presque) réussi. Les décors ont été soigneusement redessinés, les textures peaufinées, et l’ambiance graphique respecte avec brio la patte de Sokal. On a l’impression de feuilleter un carnet de voyage interactif, et cette sensation est renforcée par un travail sonore discret mais raffiné. Côté gameplay, on respire aussi un peu mieux. Deux niveaux de difficulté, un système d’indices progressifs (fini les gros murs de texte incompréhensibles), et des énigmes revisitées pour mieux s’enchaîner. Rien de révolutionnaire, mais une belle preuve de respect envers les joueurs. Un récit toujours aussi contemplatif… pour le meilleur et pour le moins palpitant Alors bien sûr, on ne va pas vous mentir : le jeu reste figé dans une certaine temporalité narrative. Les rebondissements sont rares, les dialogues parfois un peu plats, et les puzzles n’atteignent jamais les sommets de complexité d’un Myst. Mais ce serait rater le propos. Amerzone, c’est moins une aventure trépidante qu’un pèlerinage intimiste, une plongée dans les regrets d’un explorateur et les merveilles d’un monde oublié. Héritage assumé Sokal nous a quittés en 2021, mais ce remake prouve que ses mondes n’ont pas fini de nous parler. Amerzone – The Explorer’s Legacy, c’est un peu comme relire le premier roman d’un auteur devenu culte : on y sent les tâtonnements, mais aussi le feu sacré. Et grâce à ce lifting soigné, ce feu peut briller à nouveau — et peut-être toucher une nouvelle génération de rêveurs. Amerzone – Le testament d’un monde oublié L’histoire d’Amerzone : Le Testament de l'Explorateur ne cherche pas à réinventer le fil narratif de l’aventure graphique. Non, ici, on part sur un classique des classiques : un journaliste muet, un vieux scientifique mourant et une dernière mission improbable – le tout dans un phare battu par les vents, bien sûr. En deux phrases mal articulées et une poignée de souffle, le professeur nous confie son ultime souhait : ramener un œuf d’oiseau mythique en Amerzone, une contrée imaginaire d’Amérique du Sud, vaguement située entre l’Amazonie et une peinture de Rousseau. Et parce qu’on est un héros de point’n click, on accepte sans poser de questions, sans même prendre le temps de vérifier si on a du Wi-Fi ou une assurance-vie. On grimpe dans un hydravion prêt à rendre l’âme, direction l’inconnu. Une jungle de souvenirs et de ruines Amerzone, c’est surtout un voyage dans un monde en train de disparaître. La modernité y a tout saccagé : villages à moitié engloutis par la végétation, temples éventrés par l’oubli, et quelques reliques d’un passé colonial et autoritaire que l’on devine derrière chaque statue brisée. Ce n’est pas un récit trépidant, non. C’est une aventure contemplative, un peu lente, souvent silencieuse, mais qui gagne en étrangeté et en charme à mesure qu’on s’enfonce dans la jungle. Et comme Sokal ne faisait jamais les choses à moitié, il a peuplé l’Amerzone d’un bestiaire fantastique sorti d’un rêve de naturaliste sous LSD : girafes de rivière, tapirs-lézards, oiseaux monumentaux... Le tout servi sans ironie, avec un sérieux presque ethnographique. C’est beau, étrange, et ça fonctionne. Une narration figée dans le temps Mais attention : ce n’est pas le sommet scénaristique de Benoît Sokal. L’histoire est simple, parfois même trop linéaire, et manque de rebondissements marquants. On sent que c’était une première œuvre, un galop d’essai plus qu’une fresque mûrie. Les dialogues sont rares, les personnages secondaires quasi absents, et le joueur se retrouve souvent seul face à des ruines qui ne parlent que par fragments. Et pourtant… ce silence, cette solitude, cette lente dérive dans un monde mort… c’est aussi ce qui rend Amerzone si singulier. C’est une aventure sans punchlines ni explosions, où le seul enjeu est de redonner à un peuple oublié une trace de sa grandeur passée. Amerzone – Renaissance d’une relique Il y a des jeux qu’on ressuscite pour des raisons marketing, et puis il y a ceux qu’on restaure avec soin, amour et un brin de nostalgie. Amerzone appartient clairement à la seconde catégorie. Ce remake ne se contente pas de brosser la jaquette : il retouche en profondeur les mécanismes d’un point’n click un peu rouillé, sans jamais trahir l’âme originale de l’œuvre de Sokal. Les ajouts sont subtils mais efficaces. Les énigmes sont revisitées, les environnements densifiés, la navigation clarifiée sans que cela devienne un guide touristique balisé. On sent que les développeurs ont voulu rendre hommage à l’auteur et non simplement recycler une licence. Résultat : une aventure plus longue, plus agréable, mais toujours accessible – même les plus frileux face au genre n’auront pas de quoi paniquer, tant le système d’indices est bien pensé et intégré avec finesse via le journal du personnage. Graphiquement, l’Amerzone n’a jamais été aussi belle. Chaque décor a été retravaillé, chaque scène bénéficie d’un nouvel éclat, porté par un sound design immersif qui fait vibrer la jungle et les ruines comme jamais auparavant. Le système de déplacement par points fixes reste fidèle au gameplay original, ce qui plaira aux puristes, mais bénéficie d’une interface modernisée qui fluidifie l’expérience. Ce remake ne révolutionne pas le genre, c’est vrai. Il n’atteint pas la complexité ou la charge émotionnelle d’un Syberia, ni la liberté d’exploration des point’n click modernes. Mais il parvient à sublimer un jeu qui, en 1999, était plus une promesse qu’un chef-d'œuvre. Aujourd’hui, cette promesse est tenue.
Tumblr media
Read the full article
0 notes
cineclubpharos · 7 days ago
Text
"Au pays de nos frères" - Raha Amirfazli et Alireza Ghasemi - Drame - Iran - 2024
Benjamin - 7,5
Tumblr media
Synopsis :
Alors que leur pays subit l'invasion de l'armée américaine, une communauté d'exilés afghans tente de se reconstruire dans "le pays des frères", l'Iran. On suit ainsi le parcours mouvementé de trois personnages, à travers trois épisodes séparés d'une décennie. Mohammad, un jeune étudiant, se voit manipulé par la police, sous menace d'expulsion. Leila, une jeune mère recluse, doit cacher la mort de son mari à la famille qui l'emploie, de peur d'attirer l'attention des autorités. Enfin, Qasem, un père de famille vieillissant, apprend que son fils, qu'il croyait parti vivre en Turquie, est mort dans les rangs de l'armée iranienne en Syrie.
Analyse critique :
On est d'abord saisis par la beauté de ces deux jeunes adolescents, Leila et Mohammad, travaillant au milieu des plants de tomates colorés de l'énorme serre qui sert de refuge à cette communauté transfuge. Il se dégage d'eux une pureté et une innocence qui accentuent l'empathie qu'on éprouvera tout au long de leurs épreuves.
En relatant successivement les drames vécus par les protagonistes, les réalisateurs mettent en lumière la douleur silencieuse de cette population qui ne s'arme que d'humilité et de résilience. Ils ne montrent jamais les actes de violence en eux-mêmes, que ce soit la mutilation du jeune Mohammad, son agression par un policier, la mort du mari de Leila ou celle du fils de Qasem. On peut voir dans ce choix la volonté de montrer à la fois l'inconséquence et l'indifférence de la société vis à vis de ces drames qui touchent ces laissés pour compte, mais aussi le déni et la résilience de ces derniers pour aller de l'avant et survivre.
0 notes