#le transfuge
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J'ai pris un verre avec... Arielle Dombasle (Transfuge)
Arielle Dombasle s’est entretenue avec Fabrice Gaignault de Transfuge pour évoquer, autour d’un verre, la sortie de son film Les Secrets de la princesse de Cadignan (en salle le 13 septembre). Les Secrets de la princesse de Cadignan, un film réalisé par Arielle Dombasle.Au cinéma le 13 septembre.
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#Arielle Dombasle#Balzac#Honoré de Balzac#La Comédie Humaine#Les Secrets de la princesse de Cadignan#Transfuge
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Antoine Compagnon : "'Le Rouge et le Noir', c'est un roman sur l'échec d'un transfuge de classe" | France Culture
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9 juin
j’ai dit dans mes stories que ça y est j’étais prête pour mon one woman show, c’est quand que je pars en tournée? mais vraiment hier soir m’a donné une clé pour cette histoire de performance qui me trotte dans la tête depuis longtemps, je sais un peu plus clairement ce que je veux/peux faire et comment je peux y arriver. en attendant j’ai déjà envie de retourner à bruxelles, j’allais dire rentrer, c’est déjà chez moi. j’ai la clé de chez m. dans ma banane et ça me procure un grand sentiment de satisfaction. même s’il fait trop chaud pour faire des trucs. même si c’est que pour regarder the ultimatum sur le lit de m. toute la journée. au moins je serai pas ici. hier soir la danseuse argentine me disait que sa mère était poétesse et qu’elle avait attendu qu’elle meure pour oser s’y frotter. j’ai dit quelle chance d’avoir eu une mère poète et je lui ai dit que ma mère à moi ne comprenait pas ce que je faisais, que ça l’intéressait même pas en fait, ou alors elle le montre pas. elle m’a demandé ce qu’elle faisait et j’ai dit secrétaire médicale et le côté romanesque de mon cerveau disait en fait c’est cool, ça me donne un côté transfuge de classe sortie de nulle part, non? mais quand même, ça me rend un peu triste. de pas pouvoir partager ça avec elle.
14 juin
de retour dans le train et je commence à m’inquiéter un peu de pas réussir à rencontrer de gens. j’ai peur de les faire fuir avec ma solitude qui pue. dimanche soir en rentrant de la soirée de mon ancien groupe de théâtre j’écrivais avec r. d. en mangeant le dernier morceau de gâteau aux framboises et aux amandes dans la cuisine, on a discuté jusqu’à minuit et demi parce qu’il disait bon je vais me coucher mais il allait jamais se coucher et puis il a fini par me dire bonne nuit et j’ai dit nuit bonne et il a dit ci mer et je suis montée au lit en souriant. tout à l’heure dans la douche j’essayais quand même de me faire redescendre de mon volcan en faisant une liste de barrières de protection à mettre en place: ne pas m’oublier, ne pas me perdre dans la fiction, ne pas m’attendre à ce que tout se passe comme dans mes fantasmes, ne pas concentrer toute mon énergie dans cette histoire, ne pas me laisser engloutir par mon besoin d’amour et d’affection, garder ma dignité, rester légère, ne pas me laisser consumer, ne pas partir en flammes, ne pas oublier le reste du monde.
dimanche soir au théâtre j’ai passé la soirée à discuter avec shariel, on attendait marcelo mais comme il venait pas on est allé boire un thé glacé pas bon de l’autre côté de la rue, on avait plein de choses à se dire sur nos vies pathétiques qui vont nulle part. elle est dépressive comme moi et elle me racontait que chez elle ça monte et ça descend et ça remonte et ça redescend et puis elle m’a demandé chez toi aussi? et j’ai dit que moi j’étais tout en bas pendant très longtemps et maintenant ça fait que monter, mais pour combien de temps? elle se plaignait d’avoir 38 ans et de rien avoir fait de sa vie, alors je lui ai dit mais au moins tu vis pas avec ta mère et elle m’a dit but i live with my husband! je lui ai dit de se remettre à écrire, parce qu’elle disait que c’était la seule chose qu’elle savait bien faire. et elle a déjà publié des recueils de nouvelles, contrairement à moi. quand marcelo nous a enfin rejoint elle a dit qu’on devrait monter une pièce ensemble mais quand il nous a parlé de son idée d’histoire avec une bonne et sa maitresse et son mari qui est retrouvé mort j’ai commencé à me dire ohlala non merci. je veux bien traîner avec eux dans un but non artistique par contre. je leur ai dit que je partais m’installer à bruxelles mais je les ai rassurés en disant que ça faisait dix ans que je disais que j’allais partir. apparemment à la fête de noël du premier trimestre j’avais dit à alexandra que je partais vivre à berlin. pourquoi j’ai dit ça? je sais plus. j’ai jamais eu autant d’amis dans ce pays de merde et maintenant que tout le monde veut me voir qu’est-ce que je fais je m’en vais dans un autre pays où je connais personne et où personne veut me voir.
15 juin
ça y est j’ai vu r. et tout va bien, sauf que j’aurais aimé le voir plus longtemps que trente secondes et que j’ai déjà envie de le revoir. je viens de voir une affiche collée derrière le kiosque en bois du parc qui disait courage: having the strength to overcome your fears et c’est exactement ce que je viens de faire, j’ai pris mon courage à deux mains et à deux pieds, deux mains pour demander à r. si je pouvais venir au concert de fin de master de son amie musicienne au musée d’instruments de musique, et puis deux pieds pour sortir de chez m. et y aller. j’avais un peu peur de taper l’incruste parce qu’il devait y avoir que les amis et la famille et les profs mais tant pis, j’ai décidé de vivre dangereusement. je suis montée au cinquième étage du musée art déco dans un vieil ascenseur en bois vitré avec un type barbu qui allait au concert lui aussi et une fille très belle avec un sourire très gentil qui m’a rassurée nous a fait rentrer dans la salle et j’ai vu r. sur la scène avec sa guitare en train de faire les réglages. il parlait anglais avec un accent français avec le type qui s’occupait du son. il m’a vue assez rapidement et on s’est fait coucou avec la main. à un moment pendant le concert il m’a regardée pendant qu’il jouait et j’ai senti le bas de mon corps s’évaporer sous moi, j’ai pas tout à fait vomi du vagin comme le jour de mon faux date avec laura a. mais presque, et je rigolais toute seule parce que c’était littéralement sur la même place que ça m’était arrivé la dernière fois dans le bus, la place des musées est désormais doublement baptisée par mon désir ardent mais ardent mouillé, mon désir inondant plutôt.
j’avais pas du tout envie que le concert finisse parce que 1. c’était vraiment bien, à un moment ça m’a même plongée dans une petite transe euphorique, la pianiste (qui s’appelait lara) jouait un truc très beau un peu répétitif et puis les autres musicien.nes ont commencé à jouer par dessus, mais elle continuait à jouer la même chose dessous, les mêmes notes répétitives qui n’allaient pas trop avec le reste, mais elle tenait bon, elle continuait, et ça m’a complètement renversée. et puis les moments où elle jouait accompagnée de r. à la guitare, magie magie, c’est trop facile, les musicien.nes ont trop d’avantages sur le commun des mortels. 2. je mourais de peur. il est venu me voir assez vite et le bonjour redouté (hug? bise belge?) s’est bien passé et il connaissait tout le monde évidemment donc pas le meilleur moment pour m’attarder, il m’a dit qu’il gardait sa fille jusqu’à demain mais qu’après il était libre et il m’a proposé d’aller à une soirée de perfs samedi soir et puis il a dit enfin je sais pas si t’as un emploi du temps chargé et j’ai mis toutes mes barrières de protection à la poubelle non je suis là pour TOI r. (j’ai pas dit ça) et puis il m’a dit à vendredi et je suis partie en continuant à tripoter la lanière de ma banane qui pendait entre mes seins et j’ai dévalé les escaliers en bois qui craque, gonflée à l’adrénaline.
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« Les Américains, devant César, avoueront ce qu’ils sont : un résidu de bagnards évadés, de transfuges de tout, de planqués – un monde passé directement de la barbarie à la décadence, comme tous les empires des confins de la civilisation. »
Pierre Drieu la Rochelle, Journal, mars 1940.
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ÉTUDE BIBLIQUE~JÉRÉMIE 52
👉Jérémie 52:1-16
Ce chapitre 52 ne fait plus partie des « paroles de Jérémie » (chapitre 51:64). De même que le chapitre 39, il expose les événements qui ont mis fin au royaume de Juda, et il reproduit à peu de chose près le chapitre 25 du deuxième livre des Rois.
L'heure du jugement a sonné ; il frappe à la fois Jérusalem, son temple (versets 17 à 23), son roi, ses habitants. La ville est prise, Sédécias et son armée cherchent en prenant la fuite à échapper au filet qui se referme. Mais ce n'est pas aux Chaldéens, c'est à Dieu qu'ils ont affaire.
Conduit à Ribla auprès de Nebucadnetsar, le roi de Juda a les yeux crevés, punition réservée aux vassaux félons, et, lié de chaînes d'airain, il prend le chemin de l'exil. Jusqu'à la fin de sa vie misérable, il gardera comme dernière vision le spectacle atroce de ses fils égorgés.
Un mois plus tard, le chef des gardes revient à Jérusalem pour brûler et démanteler systématiquement la ville rebelle et faire un tri parmi la population. Le verset 15 mentionne des transfuges. Quelques-uns avaient donc écouté Jérémie.
Ces choses ne sont pas écrites (et répétées) à cause de leur intérêt historique, mais pour l'instruction de nos âmes, afin de nous servir d'avertissement (1 Corinthiens 10:11). « Vous donc, bien-aimés, sachant ces choses à l'avance, prenez garde… » (lire 2 Pierre 3:17-18).
👉Jérémie 52:17-34
En assistant au pillage de la maison de l'Éternel, en regardant les Chaldéens briser et emporter ses belles et puissantes colonnes, nous sommes saisis de tristesse en pensant à ce qu'est devenu le témoignage d'Israël au milieu des nations. Mais que sont en comparaison les sentiments de l'Éternel devant la destruction de la maison sur laquelle Il avait mis son nom, et la ruine de Jérusalem (lire 1 Rois 9:6-9) !
Quelle valeur prennent par contraste les promesses du Seigneur au vainqueur de Philadelphie ! « Celui qui vaincra, je le ferai une colonne dans le temple de mon Dieu… et j'écrirai sur lui le nom de mon Dieu et le nom… de la nouvelle Jérusalem… et mon nouveau nom » (Apocalypse 3:12).
Chers amis, en terminant la lecture de ce livre de Jérémie, demandons au Seigneur qu'Il nous donne de faire partie de ces vainqueurs, c'est-à-dire de garder sa Parole et de ne pas renier son nom, jusqu'au moment de son retour.
Dieu ne permet pas que le livre s'achève sur un triste tableau. La grâce dont Jojakin est l'objet de la part du successeur de Nebucadnetsar (versets 31 à 34) est un témoignage des soins dont l'Éternel ne cessera d'user envers un faible résidu de son peuple.
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Caroline Fourest, #MeToo and the art of moderation
In her new book, Le Vertige MeToo, Caroline Fourest offers a convincing ethics of understanding about this liberation of speech on sexual abuse, while pointing out its excesses. The book has just received the Transfuge award for the best political essay. Seven years after the appearance of #MeToo, Caroline Fourest’s book is not another feminist manifesto, nor a detailed position on this or that…
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Transfuge de carcasse [2]
Ok, donc : quelque chose avait changé.
C'est très bien, cela change, que quelque chose change. Jamais rien ne changeait depuis jamais. Parfois, il s'agissait d'aller vers le pire, parfois, ça l'était moins. Parfois aussi, il y avait une pause. Bon, rien ne changeait. Véritablement. Jusque là.
Je ne m'en suis pas rendue compte en m'asseyant dans le train. Pas plus en en descendant, ni les jours passant. En revanche, mon estomac se collait progressivement à mes poumons. Tout s'est rapproché pour ne former qu'un seul bloc. Le tout, mon bloc, débloque et vibre à présent environ 20 heures sur 24. C'est beaucoup.
Ce bloc, durcit par la digestion et les contrariétés, donne une impression de pesanteur intense. Je ferme les yeux, j'appuie dessus du bout de mon doigt, j'essaie d'avoir mal, ça marche : j'ai mal. Je visualise un morceau de béton, incrusté de cailloux et de morceaux de plâtre, humide, un peu friable sur les bords. Je déglutis, je sens le parcours de ma salive, puis celle-ci tache le béton. Rien de plus. J'ai mal, l'amalgame se tend et vibre. C'est le début d'un nouveau symptôme anxieux : les aigreurs d'estomac.
Mais nous ne sommes pas là pour ça.
Il va falloir raconter ce qui a changé. Cela s'annonce compliqué, voire un peu complexe.
Donc. J'arrive, je retrouve mon monde. La chance fait que dans mon monde, je retrouve un libre symbiotique (je devais écrire "livre symbolique, mais je garde ce digital lapsus, évidemment) : La psychanalyse des contes de fées, de Bruno Bettelheim.
Tenue par la main par une âme sensible et puissante, je saute dans l'étang de ce livre sans m'accoutumer à la température. Je nage. Je m'étais déjà noyée mais je sais à présent y nager. Quelques dizaines de pages, des illustrations lumineuses, des échanges avec la main de l'âme sensible, ... Je ressors de l'eau. La fine et collante épaisseur qui entourait tout mon être s'est probablement décollée dans ce bain détergeant.
Je ne sais toujours pas.
Partie [2/3]
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Kamel Daoud - Houris -#rl2024
Rentrée littéraire 2024. Présentation du roman de Kamel Daoud, Houris, monologue féminin pour un témoignage dédié aux victimes oubliées de la décennie noire"
Rentrée littéraire 2024 Monologue féminin pour un témoignage dédié “aux victimes oubliées de la décennie noire” Prix Transfuge Roman Français 2024 Témoigner du sort des femmes pendant les années de la guerre civile Algérienne, la décennie noire des années 90, peut valoir à Kamel Daoud, la prison à vie, dans son pays d’origine. Houris, comme le lecteur, écoute la voix d’une femme, dans ce long…
#Avortement#Billet littéraire#Bric à brac de culture#Chronique littéraire#Chronique livre#Chroniques littéraires#Conditions des femmes#Exil#femmes#Guerre#Guerre civile#Guerre d&039;Algérie#histoire#Histoire contemporaine#Histoire de l&039;Algérie#Littérature francaise#Litterature contemporaine#Materrnité#Prix#Rentrée littéraire#roman#Violence à l&039;égard des femmes#Violences conjuguales#Violences envers les femmes#Violences masculines
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« C’est la girouette, le transfuge d’opinion, le transformiste politique »
ÉMISSION – La girouette, la recomposition politique, et l’extrême centre Samedi 15 juin 2024 FRANCE CULTURE Unions, fractures, clarifications, consolidations, c’est le grand chambardement : depuis dimanche, l’actualité politique français s’énonce en termes graves.. Mais une figure fondatrice de l’histoire politique et peu commentée émerge également : la girouette ! Avec Pierre…
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Écologie et biodiversité : « Avec le RN, le déni de science s’installe partout »
See on Scoop.it - Variétés entomologiques
Pour l’écologue au CNRS Philippe Grandcolas, ce discours, marqué par un «techno-solutionnisme aux allures de pensée magique», masque «une stratégie de désinformation» dangereuse.
par Julie Renson Miquel
publié le 2 juillet 2024 à 12h13
"Défense des pesticides malgré les risques sanitaires, localisme revisité à la sauce Le Pen, critique du pacte vert européen et de "l’écologie punitive"… L’écologue Philippe Grandcolas, directeur de recherche au CNRS, analyse les grandes lignes du programme du Rassemblement national (RN) concernant la biodiversité – thème totalement absent de la campagne des législatives –, alors que ce parti, rejoint par les transfuges LR d’Eric Ciotti, est la première force politique du pays, avec 33,2 % des voix recueillies lors du premier tour, et pourrait obtenir une majorité absolue inédite à l’Assemblée nationale."
(...)
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Critique : "Écouter les sirènes"le premier roman de Fabrice Melquiot - Transfuge
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Élisabeth Feyti:
"Est-ce que d'après toi on peut dire que le genre serait complètement arbitraire tellement il varie en fonction de l'époque, du temps, du pays, de la culture? Je parle au niveau collectif."
Chayka:
"Si je parle en termes de stéréotypes, effectivement, on sait que le genre change en fonction des époques.
On voit très bien que la question des rôles qui pourraient être attendus entre les hommes et les femmes, ça a beaucoup changé ces dernières décennies.
Mais une fois qu'on a dit ça, il faut bien aussi signaler que la question du genre est dépendante de la personne elle-même, qui va s'auto-déterminer elle-même à travers toutes ces déterminations.
L'arbitraire de l'identité de genre, ça vient précisément de la manière dont la personne va elle-même se déterminer."
Élisabeth Feyti:
"Est-ce qu'on pourrait pas dire que le concept d'identité de genre, ça ne tient pas?
Est-ce que la transidentité ne serait pas fondamentalement un refus du statut social que la société nous impose?"
Chayka:
"C'est une question que je me suis moi-même posée. Est-ce qu'il y a davantage de l'affirmation ou de l'infirmation? (…)
Le sociologue Emmanuel Beaupatie évoquait la question du "transfuge de genre", comme l'expression "transfuge de classe".
Parce qu'il y a précisément cette dimension-là de statut social.
Lorsqu'on va avoir la manière de catégoriser, et très souvent de hiérarchiser les hommes et les femmes, on va très rapidement tomber sur des questions de statut social, sur des rapports de domination. (…)"
Élisabeth Feyti:
"Si on pousse au paroxysme la réflexion: s'il n'y avait pas de rôles socio-sexués, de stéréotypes, de normes de genre, y aurait-il encore des personnes trans?"
Chayka:
"Pas sûre. A partir de ce moment, il n'y aurait pas vraiment de raison de catégoriser comme on le fait aujourd'hui.
Très souvent quand on parle de genre dans la société, catégoriser n'est jamais bien loin de hiérarchiser.
Donc la question des personnes trans irait dès le départ peut-être moins de soi.
On aurait des catégories qui ne seraient pas aussi figées, immuables, absolues, pour ne pas dire essentialistes."
Source: Méta de Choc: La transidentité: au-delà des apparences, avec Chayka — SHOCKING #28.1
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Virtuose du Hip Hop Ivoire, Bassa Zérehoué Diyilem alias DIDI B est le leader du célèbre groupe ivoirien Kiff no beat. C’est une force de la nature, une véritable inspiration musicale dont le style musical mêle le dirty south américain et le coupé décalé ivoirien. (Image) Né au village Ki yi (Abidjan), Bassa Diyilem y séjourne jusqu’à ses 10 ans. Il est l’union de deux talentueux artistes qui donnera la naissance de ce jeune prodige de la musique africaine. D’un père artiste (pianiste, comédien et arrangeur) Abou Bassa Bomou et d’une mère Pehoula Zéréhoué chorégraphe-danseuse tous deux transfuges du KIYI M’BOCK ; Bassa Zéréhoue Diyilem a.k.a DIDI.B, Mojaveli est un artiste née. Comme le dit l’adage « la pomme ne tombe jamais loin du pommier ». En 1995 seulement âgé de 3 ans, il fait sa première apparition sur scène via le clip death society du légendaire Meiway. Un clip qui a touché beaucoup de monde, dans lequel il interprétait le rôle d'un garçon qui découvrait le corps de son père, la mort dans l’âme. Meiway voit en lui un véritable prodige ; ainsi il l'a recontacté pour apparaître dans deux autres de ses clips « Ahissan » et « le dernier siècle ». Paul Madys le contacte dès 10 ans afin de faire de lui l’acteur principal de son vidéoclip « ARRETEZ ». Alors la porte du cinéma s'ouvrit devant lui. Il a été choisi pour jouer un rôle dans une série télévisée produite par l'UNICEF. En 2008, il a 13 ans il décroche le rôle principal du film « Les frères kadogo » de l’illustre réalisateur rwandais Joseph Muganga assisté de HENRI DUPARC. Le film obtient plusieurs prix et il est reçu par le président Laurent GBAGBO. La musique est sa passion la plus profonde, il a décidé de tout donner et de se lancer dans le genre Hip Hop. Son style si particulier, son "professionnalisme" en font le leader de Kiff No Beat, groupe qu'il forme en 2009 avec Black K, Eljay, Elow'n, Joochar. Il mène haut ce groupe qui se classe résolument parmi les meilleurs du moment avec quelques distinctions, notamment le prix de la meilleure équipe RAP obtenu en 2013. DIDI B s’est souvent essayé sur des projets solos, en 2018 il lance le single « Mojaveli » titre éponyme, un egotripe dans lequel il fait montrer de son talent de rappeur ; punchline, flow et musicalité sont de mise. En novembre 2019 surfant sur le succès de son groupe, il sort un autre single intitulé « ASSINIE ». Chanson qui porte le nom d’une ville balnéaire, une presqu’ile au sud d’Abidjan beaucoup pisée par les touristes et par la petite bourgeoisie ivoirienne. « Quand ivoirien a réussi, il chill à ASSINIE ». Cette chanson devient l’hymne des fêtes de fin d’année de toutes les capitales d’Afrique francophone. Il fait partie avec le Sénégalais Dopeboy DMG des deux premiers artistes à avoir signé sur 92i Africa, la branche africaine du label de rappeur français Booba fondé en 2021. En parallèle à sa carrière solo, l'artiste avait lancé son label dénommé Africa Mindset, pour offrir une lucarne d'expression aux artistes en herbe. Le rappeur ivoirien fait son premier concert live solo à Paris le 4 février 2023, précisément à l'Élysée Montmartre.Didi B https://savoirentreprendre.net/?p=4060&feed_id=7165
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ÉTUDE BIBLIQUE~JÉRÉMIE 52
👉Jérémie 52:1-16
Ce chapitre 52 ne fait plus partie des « paroles de Jérémie » (chapitre 51:64). De même que le chapitre 39, il expose les événements qui ont mis fin au royaume de Juda, et il reproduit à peu de chose près le chapitre 25 du deuxième livre des Rois.
L'heure du jugement a sonné ; il frappe à la fois Jérusalem, son temple (versets 17 à 23), son roi, ses habitants. La ville est prise, Sédécias et son armée cherchent en prenant la fuite à échapper au filet qui se referme. Mais ce n'est pas aux Chaldéens, c'est à Dieu qu'ils ont affaire.
Conduit à Ribla auprès de Nebucadnetsar, le roi de Juda a les yeux crevés, punition réservée aux vassaux félons, et, lié de chaînes d'airain, il prend le chemin de l'exil. Jusqu'à la fin de sa vie misérable, il gardera comme dernière vision le spectacle atroce de ses fils égorgés.
Un mois plus tard, le chef des gardes revient à Jérusalem pour brûler et démanteler systématiquement la ville rebelle et faire un tri parmi la population. Le verset 15 mentionne des transfuges. Quelques-uns avaient donc écouté Jérémie.
Ces choses ne sont pas écrites (et répétées) à cause de leur intérêt historique, mais pour l'instruction de nos âmes, afin de nous servir d'avertissement (1 Corinthiens 10:11). « Vous donc, bien-aimés, sachant ces choses à l'avance, prenez garde… » (lire 2 Pierre 3:17-18).
👉Jérémie 52:17-34
En assistant au pillage de la maison de l'Éternel, en regardant les Chaldéens briser et emporter ses belles et puissantes colonnes, nous sommes saisis de tristesse en pensant à ce qu'est devenu le témoignage d'Israël au milieu des nations. Mais que sont en comparaison les sentiments de l'Éternel devant la destruction de la maison sur laquelle Il avait mis son nom, et la ruine de Jérusalem (lire 1 Rois 9:6-9) !
Quelle valeur prennent par contraste les promesses du Seigneur au vainqueur de Philadelphie ! « Celui qui vaincra, je le ferai une colonne dans le temple de mon Dieu… et j'écrirai sur lui le nom de mon Dieu et le nom… de la nouvelle Jérusalem… et mon nouveau nom » (Apocalypse 3:12).
Chers amis, en terminant la lecture de ce livre de Jérémie, demandons au Seigneur qu'Il nous donne de faire partie de ces vainqueurs, c'est-à-dire de garder sa Parole et de ne pas renier son nom, jusqu'au moment de son retour.
Dieu ne permet pas que le livre s'achève sur un triste tableau. La grâce dont Jojakin est l'objet de la part du successeur de Nebucadnetsar (versets 31 à 34) est un témoignage des soins dont l'Éternel ne cessera d'user envers un faible résidu de son peuple.
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