#support pour genoux
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Joint Support Knee Pads - Asperct
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chic-a-gigot · 1 year ago
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La Mode nationale, no. 264, 16 mai 1891, Paris. Robes de soirée pour mariage. No. 7. — (1) Toilette de soirée. (2) Robe de faille bleu-ciel. (3) Robe de crêpe crème. Bibliothèque nationale de France
(1) Toilette de soirée. Robe de mousseline de soie rose. Corsage drapé, ouvert en cœur, soutenu seulement par une épaulette drapée. Appliques de passementerie blanche autour de l'encolure. Jupe plate, coupée en travers par des passementeries blanches, plissée derrière à larges plis faisant la traîne. Petite coiffure chaperon, en mousseline de soie chiffonnée, ornée pat une petite plume blanche.
(1) Evening ensemble. Pink chiffon dress. Draped bodice, open in the heart, supported only by a draped epaulette. Appliques of white trimmings around the neckline. Flat skirt, cut across with white trimmings, pleated behind with wide pleats forming a trail. Little hood hairstyle, in crumpled silk muslin, adorned with a small white feather.
Métrage: 12 mètres mousseline de soie, grande largeur.
(2) Robe de faille bleu-ciel, à corsage drapé, retenu sur la poitrine par un galon d'argent. Touffe de plumes blanches sur l'épaule gauche. Jupe ronde, légèrement froncée tout autour. Coiffure formée par un oiseau couché.
(2) Sky-blue faille dress, with draped bodice, held on the chest by a silver lace. Tuft of white feathers on the left shoulder. Round skirt, slightly gathered all around. Hairstyle formed by a reclining bird.
Métrage: 18 mètres faille.
(3) Robe de crêpe crème. Corsage drapé, retenu par un gros nœud crème sur la poitrine. Manches flottantes, bouillonnées sur le bras, retenues par des nœuds sur les épaules et à la saignée. Jupe drapée à hauteur es genoux et plissée derrière. Un gros nœud retient devant la draperie. Coiffure de perles fines, terminée derrière par une aigrette.
(3) Cream crepe dress. Draped bodice, held in place by a large cream bow on the chest. Floating sleeves, bubbled on the arm, retained by bows on the shoulders and at the bleeding. Skirt draped at knee height and pleated behind. A large knot holds in front of the drapery. Headdress of fine pearls, finished behind by an aigrette.
Métrage: 20 mètres crêpe crème.
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shakeskp · 7 months ago
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Encore un bout de fic
Parce que je viens de le corriger et qu'il y a un truc thématique avec le bout que j'ai mis hier, un extrait du monstre nom de code "It was only a kiss", et plus précisément du chapitre 3 qui fait plus de 7000 mots - pas vraiment spoiler (c'est la conséquence directe et évidente de la toute première scène de la fic), et lisible sans contexte.
Content warning: la scène se passe à l'infirmerie du Temple, avec description de quelqu'un qui sort du coma et n'est pas au meilleur de sa forme (mais rien de gore)
*
Étant donné tout le temps qu'Obi-Wan allait passer dans la cuve à bacta, on l'avait rasé pour des raisons d'hygiène avant de l'y plonger. Cet acte avait semblé à la fois d’une violence épouvantable et d'une parfaite logique. Mais en suspension dans le bacta comme dans la Force, Obi-Wan n'avait pas eu l'air tout à fait lui-même, n'avait même pas paru là. Alors, quelque part, ça avait été supportable. Ses cheveux et sa barbe avaient repoussé lentement, informes, mais encore une fois, ça n’avait pas été tout à fait lui.
Maintenant qu’il était réveillé, assis dans un lit, c’était différent.
On l'avait rasé à nouveau. Ses yeux bleu-vert semblaient immenses, presque lui manger le visage. Ses joues creusées par l'amaigrissement inévitable rehaussaient encore ses pommettes déjà hautes et lui donnaient une apparence fragile qu'Anakin n'avait jamais associée à Obi-Wan. Il ne restait de ses cheveux que quelques millimètres de rousseur, et rien de sa barbe.
Pendant un instant déroutant, Anakin eut l'impression d'être revenu douze ans en arrière.
— Sois sincère, dit Obi-Wan d'une voix éraillée, un sourire aux lèvres. Est-ce que je fais toujours trop jeune ?
— Je suis à deux doigts de te proposer de devenir mon padawan, répondit-il, la voix tout aussi rauque.
Obi-Wan voulut de toute évidence rire, mais une grimace de douleur y coupa court. Anakin s'avança comme dans un rêve et, arrivé au lit, tomba à genoux.
— Anakin.
— Je suis désolé, souffla-t-il, la gorge serrée. Je suis tellement désolé.
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charlastorfrenchlove · 6 months ago
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One Shot Charlastor FR
Un court extrait :
Le corps d'Alastor était ensanglanté , son corps était douloureux et il savait qu'il n'en avait pour plus pour bien longtemps le simple fait de respirer lui faisait souffrir sans doute du à ses côtes perforées. Pourquoi il en est arrivé là ? Pour sa liberté ou sa soif de pouvoir ou peut-être bien les deux , la grande silhouette du roi de l'enfer se tient face à lui lui tournant le dos . Visiblement le démon de la radio a été beaucoup trop gourmand , peut-être qu'il a été bien trop  présomptueux d'avoir voulu manipuler la famille royale d'avoir voulu se jouer de la fille de Lucifer . Elle a été si facile à séduire et à mettre dans son lit , des mots bien choisit un sourire enjôleur et un constant soutient aura suffit à l'avoir .  Charlie était devenue sa petite marionnette , elle qui l'aimait d'un amour sincère . Il lui a suffit d'une seule erreur tout simplement parce que notre démon de la radio a paniqué et à cru pouvoir évincer le roi de l'enfer facilement tout en se servant de sa fille en tant qu'otage .
Hors Al n'avait pas prévu que Lucifer ne prenne pas peur du fait qu'il menaçait sa fille et lui a fait regretter à bien des égards d'avoir osé se servir de sa fille de la sorte , bien que Charlie avait gentiment retiré sa laisse Alastor n'avait pas vraiment estimé la puissance du roi de l'enfer .En d'autre termes il s'est clairement sur estimé et de loin . Quant à Charlie cette pauvre enfant ne pouvait que regarder les deux hommes qu'elle aime de manière différente bien entendu , son père d'un amour filiale et l'autre d'un amour passionnée . Complètement paralysée par la peur , la peur d'en perdre un des deux voir les deux .
C'est une fois le combat terminé que la princesse de l'enfer retrouve ses esprits , son père était légèrement blessé mais ses jours ne sont pas en danger par contre elle ne pouvait pas en dire autant de son amant au sol . Après quelques instants d'hésitation la démone blonde se précipite vers le démon souffrant se met à genoux et cale sa tête sur ses genoux caressant doucement son visage .Les paupières du démon rouge s'ouvre difficilement et ses pupilles se dirigent vers la démone blonde qui caresse sa joue affectueusement .
...
Alastor's body was bloody, his body was in pain and he knew he wouldn't last much longer; the simple act of breathing made him suffer, probably due to his punctured ribs. Why did it come to this? For his freedom or his thirst for power or perhaps both, the tall figure of the king of hell stands facing him with his back turned. Obviously the radio demon was much too greedy, perhaps he was too presumptuous to have wanted to manipulate the royal family and to have wanted to play with Lucifer's daughter. She was so easy to seduce and get into bed, well chosen words, a flirtatious smile and constant support were enough to get her. Charlie had become his little puppet, she who loved him with a sincere love. All it took was one mistake simply because our radio demon panicked and thought he could easily oust the king of hell while using his daughter as a hostage.
However, Al had not expected that Lucifer would not be afraid of the fact that he was threatening his daughter and made him regret in many ways having dared to use his daughter in this way, although Charlie had kindly withdrawn his let Alastor had not really estimated the power of the King of Hell. In other words he clearly overestimated himself by far. As for Charlie, this poor child could only look at the two men she loves in different ways of course, her father with a filial love and the other with a passionate love. Completely paralyzed by fear, the fear of losing one or even both.
It was once the fight was over that the princess of hell regained her senses, her father was slightly injured but his life was not in danger, however she could not say the same about her lover on the ground. After a few moments of hesitation, the blonde demon rushes towards the suffering demon, kneels and places his head on her knees, gently caressing his face. The red demon's eyelids open with difficulty and his pupils move towards the blonde demoness who caresses his cheek affectionately.
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ivo-oz · 9 months ago
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🩸🩸🩸
ℌ𝖊𝖊𝖇𝖊𝖘 : 𝕲𝖊𝖓𝖊𝖘𝖊
〖chapitre 3 〗
Attention, ce texte sera peut-être modifié à l'avenir afin de le perfectionner
Dans un sursaut, mes yeux s'ouvrent dans une salle sombre au mur de pierre. Toujours à genoux, je constate que ma situation n'a nullement changé. Les mains clouées à la froideur de la pierre, le sang s'échappant lentement des plaies béantes, peignant ainsi la pierre en rouge.
C'est drôle, il m'a fallu deux jours pour ne plus y penser.
Les premiers jours se sont remplis de cris et de pleur.
Ridicule !
La futilité de cette douleur me rend tellement honteuse.
Je ne penserai pas que l'humilier devant les représentants du royaume le pousserait à me souhaiter autant de mal. J'aurais préféré garder la mobilité de mes mains. Mais bon, si c'est le prix à payer.
Les blessures que je porte en moi sont plus grandes que ses clous.
Il est vrai que c'est la première fois que je suis confronté à de tels châtiments physiques, mais j'aurais dû me réjouir.
Non, ne crie pas, ce n'est pas de la douleur.
Quelle image de moi j'aurais si je me réabandonne à cette facilité ? J'ai subi plus grave, plus longtemps.
Ce ne sont que des plaies, elles s'effaceront.
Mes vraies blessures, elles n'ont pas cicatrisé et pourtant, je les supporte. Succomber à de telles frivolités serait juste dévalorisant.
La vraie douleur n'aurait plus de sens.
Vous êtes en retard. J'en pouvais plus de lutter contre le sommeil pour m'éviter de m'ouvrir la peau davantage.
Un grincement métallique interrompit ma somnolence.
La porte est ouverte.
J'ai beau être dos à elle, je peux quand même sentir le son des talons frapper la pierre dans ma direction.
Un son grave, puis aigu, grave et encore aigu.
Une paire de bottes désassorties.
Ho, c'est Fides qui a été chargé de me libérer.
Tout en entrant dans mon champ de vision, Fides arrache les clous qui bloquaient mes mains.
J'ai . . .
Je n'ai pas crié,
j'ai pu me contenir haha,
mon sourire partit immédiatement quand je découvris les énormes trous béants que contenaient mes mains dorénavant.
On peut y voir à travers.
C'est répugnant mon dieu.
Mes mains
qu'es que . . . comment . . .
mon dieu.
—Mes excuses, Père Inhonoris a tardé à me donner les clés.
— Vous pouvez me soigner ?
— Je n'ai pas ces compétences, un médecin vous sera assigné dans deux jours.
— Vous vous moquez de moi, mes plaies vont rester ouvertes pendant cinq jours en tout. Je ne pourrai plus jamais écrire.
Un ange passe.
— Vous m'envoyez navrer, mademoiselle.
— Navrée ‽ Vraiment ‽ Ôte-moi ce mot de ta bouche quand tu me parles ! Mais quel genre de soutien hypocrite, tu penses me faire avaler ! Ça ne sert à rien de me mentir si mon état ne t'inspire que de l'indifférence !
Le souvenir de mes mains perforées aurait presque pu être oublié si mon sang ne s'était pas mis à accélérer dans mes veines.
Mon cœur hurle dans ma tête, m'obligeant à me taire.
— Pardonnez-moi Je m'exécute.
—Avez-vous du temps à m'accorder ?
J'aurais besoin de coudre mes plaies.
Bien sûr, je ne voudrais pas abuser de votre gentillesse.
Vous pouvez déléguer le travail à un de vos collègues si c'est trop demandé. J'espère que je n'ai pas manqué de politesse, vous savez, trois jours sans pouvoir pleinement dormir me font perdre pas mal de notions.
Comme la clémence par exemple.
Je sens l'air frais de la pièce effleurer les cavités de mes mains. Le sang a arrêté de couler et fait maintenant place au vertige et à la fatigue.
Toute pressée, elle s'engouffre dans l'ouverture de la porte.
Elle ne m'aide même pas à monter...
Haha, elle doit avoir peur de demander . . .
Haaaa, j'en avais besoin tout de même.
3 minutes plus tard, Fides accourut pour m'éviter un malaise sur les marches et se mit à m'aider à atteindre ma chambre.
Ho, le temps, et puis qu'est-ce que c'est au final ?
Que le soleil finisse couché une fois la fin des escaliers atteint. Alors ainsi soit-il
— N'ayez crainte, nous serons bientôt à vos appartements.
Hum
Mes yeux balaient le sol et les murs comme un pendule oscillant entre le conscient et l'inconscient. Un pendule se stoppant net lorsqu'une certaine odeur lui parvient.
Odeur de café . . . de miel.
Cela me sortit de mon vertige.
11h
— Que faites-vous ? Votre chambre se situe dans le couloir gauche.
Il est 11 heures, grand-père doit être dans son bureau.
— Ne me crois pas si bête. Je vais simplement dire bonjour à Papi.
— Vous entendez vous, c'est lui qui vous a châtié. Ne l'humiliez pas davantage, il risquerait de vous bannir.
— Tu n'es pas convaincante, cesse de mentir, bon sang.
Boitant en direction de la porte, je finis ma route en m'affalant sur la poignée de la porte.
Haha, tant pis pour la surprise.
L'iris de ses yeux dilaté, la rigidité qu'adopte son corps. Toute cette attention pour moi. Il s'efforce d'être calme et ça m'est tellement jouissif.
Je pousse la porte en m'aidant difficilement de mon épaule, mes mains étant inutilisables.
Grand-père est juste derrière.
L'encadré de la porte dévoile progressivement son visage et les émotions qui le parcourent quand il découvre le mien.
Finalement, je ne sais que dire, mon esprit m'échappe, des idées, des bribes me viennent, mais les paroles demeurent insaisissables.
Pourquoi est-il aussi surpris ? Pensait-il me soumettre ?
Tu ne me connais pas assez.
Que pense-t-il de moi ? Que penserait Inhonoris Cornecuus ?
Toute sa vie et son existence ont servi à bâtir cet empire, à se hisser au rang de roi. Être à son niveau est la seule motivation qui me pousse à me faire violence dans mes études.
Enfin, avec les blessures, ça va être plus compliqué.
En marchant ou plutôt vacillant vers lui, le sang pulsant dans mes mains m'empêche de continuer.
Aucun de mes muscles actifs ne m'épargne de douleur.
Je lève faiblement ma main et avec un grand sourire, le plus beau que je puisse faire, je le salue avant qu'un voile noir ne mette fin à mon geste.
SUITE (un jour . . . ) PRECEDENT
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verver · 25 days ago
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Épisode 5
En fin d'après-midi Ray se retrouva dans une salle obscure en compagnie de Sophie. Elle lui lui avait donné rendez-vous devant le cinéma pour voir un film indien , elle l'avait incité fortement à venir voir ce film. C'est l'histoire d'une femme chanteuse qui n'a d'autres choix que de chanter dans des productions de Bombay pour rester libre.
Soit ces femmes enchainent tous les films et elles acceptent les rôles de danseuses tout le long des tournages, soit c'est le silence au sein de la famille car artiste ce n'est pas un métier honorable. Depuis l'indépendance de ce pays peu de choses avaient changé concernant les mœurs, l'actrice devait chanter des histoires d'amour toujours passionnées et éternellement impossibles.
Le film avait conquis la salle et laissé Ray pensif.
A la sortie du cinéma sur le trottoir une bande de jeunes supporters de foot équipés de maillots blanc à rayures verte s'engueulaient à la terrasse d'un café voisin.
Ray prit Sophie par les épaules pour se diriger tranquillement vers le restaurant où il avait retenu une table.
La grande salle avait une splendide et vieille cheminée placée au fond et entourée de décors de faïence montrant des paysages de chasse . La table rustique qu'il avait retenu était uniquement à deux places séparées d'un petit bouquet de fleurs, Ray embrassa tendrement Sophie.
Ils choisirent la choucroute , plat fait maison avec un vin blanc.
En fin de soirée profitant du temps clément ils s'arretèrent un bon moment serrés l'un contre l'autre sur une petite place où se trouve un ancien puit.
Ils rejoignirent l'appartement, assis sur le canapé, Ray posa son verre et ôta d'un doux mouvement la veste de Sophie qu'il suspendit dans le vestibule.
Ray avait mis un vieux disque en route , quelques notes de piano, un peu légères au début se dispersèrent dans le salon, puis la voix à capella, chaude mais nue chantait pourquoi marcher quand on peut voler ?...
Les instruments se joignirent à la voix. Ray observait Sophie ses lèvres semblaient esquisser les paroles de la chanson.
Sophie posa la main sur la cuisse de Ray puis elle lui caressa les cheveux en l'embrassant, Ray répondit par un baiser brûlant, ses genoux se pressaient contre elle , il plongea ses mains dans la chevelure de Sophie. Il avait fait pivoté une de ses jambe et maintenant Sophie était couchée sur lui.
Tout près de son visage Ray murmura :
- Viens dans la chambre...
Après les premiers moments d'excitation et de fébrilité pendant lesquels le couple se caressait et se déshabillait maladroitement pour passer à cette étape délicate ou deux personnes cherchent à s'emboiter l'un dans l'autre en gesticulant l'un sur l'autre dans une mêlée de bras, de jambes, de draps qui se retrouvaient souvent au sol.
En général cela se terminait allongés, essoufflés étourdis de tant d'efforts et de passions.
C'était ce que vivaient Sophie et Ray ensembles depuis peu de temps.
Ray écoutait respirer son amie sur un rythme lent, il pensa qu'elle s'était endormie profondément.
Au petit matin ils s'installèrent dans la cuisine pour boire un café. Sophie prit une douche rapidement; elle avait un rendez-vous professionnel, elle était en plein enregistrement d'un morceau de piano .
Ray devait se rendre au commissariat comme d'habitude.
* * *
Après avoir fait la liste de ce qu'il voulait acheter, Gabin se dirigea vers le centre commercial. Depuis quelques jours il avait pris la décision de disparaître, il avait pesé le pour et le contre pendant un bon bout de temps avant de se décider . Il devait donc impérativement changer d'air dans les prochains jours.
En prenant l'escalier mécanique, Gabin relisait sa liste en vérifiant qu'il ne manquait rien. Quittant l'escalator, il fit des achats pour l'équivalent de quelques smic. Gabin avait acheté pour s'habiller de la tête aux pieds, plus un sac de voyage, il avait décidé de se faire livrer le tout à domicile.
Gabin se dirigea vers le marché couvert pour acheter des champignons, des courgettes et des tomates. Il avait la ferme intention de reprendre une tranche de foie et de l'agrémenter avec ces légumes.
Il prit une religieuse au chocolat et une boule de pain de seigle chez le boulanger.
Il regagna doucement son domicile tout en flânant d'un pas léger, content de partir de ce quartier de cette ville aussi.
Quitter le pays, il y réfléchissait sérieusement.
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sofya-fanfics · 10 months ago
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Une soupe chaude
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Fandom : Fairy Tail
Relationship : Natsu x Lucy
Je me suis inspirée d’un prompt du mois de Janvier de @creativepromptsforwriting​ : Une soupe chaude.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Lucy éternua et frissonna. Elle se moucha bruyamment et enfuit sa tête sous sa couette. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas été malade à ce point.
Disclaimer : Fairy Tail appartient à Hiro Mashima.
@creativepromptfills
AO3 / FF.NET
Lucy éternua et frissonna. Elle se moucha bruyamment et enfuit sa tête sous sa couette. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas été malade à ce point. Elle avait été mal toute la matinée, mais elle se disait que ce n’était qu’un petit rhume et que ça allait passer avec des vitamines. Elle avait décidé de se rendre à la guilde et de voir parmi les annonces s’il n’y avait pas une mission simple pour lui faire gagner un peu d’argent. Mais elle n’avait pas l’énergie pour accomplir une mission. Il avait fallu qu’Erza la force à rentrer chez elle pour qu’elle se repose.
Dès qu’elle était rentrée, elle s’était mise en pyjama et avait dormi presque tout l’après-midi. Lorsqu’elle s’était réveillée, le soleil était en train de se coucher, mais sa fièvre n’avait toujours pas baissé. Elle soupira. Elle détestait être malade.
Elle était en train de somnoler, lorsqu’elle entendit du bruit dans sa cuisine. Elle ouvrit brusquement les yeux. Elle était persuadée d’avoir fermé sa porte à clé. Elle se leva et prit ses clés avec elle. Si quelqu’un s’était introduit chez elle, il était hors de question qu’elle le laisse s’en tirer. Elle sortit de sa chambre et se dirigea vers la cuisine, prête à faire appel à Taurus. Elle s’arrêta soudainement et écarquilla les yeux lorsqu’elle vit ce qu’il se passait dans sa cuisine.
« Natsu ! Happy ! S’exclama-t-elle. »
Natsu ouvrit ses placards pour sortir différents ustensiles de cuisine, tandis qu’Happy sortait des légumes d’un cabas.
« Lucy ! Dit l’Exceed.
-Désolé, dit Natsu. On ne voulait pas te réveiller. »
Lucy posa ses clés sur la table et s’assit.
« Qu’est-ce que vous faites ici ? Je croyais que vous deviez rentrer demain de mission.
-On a fini plus tôt que prévu, répondit Happy.
-Quand on est allé à la guilde pour te voir, Erza nous a dit que tu étais malade et que tu étais rentrée chez toi.
-C’est pour ça qu’on a décidé de te préparer de la soupe. »
Il lui montra tous les légumes qu’il avait étalé sur la table, tandis que Natsu prit un couteau et une carotte.
« Rien de tel pour aller mieux qu’une bonne soupe, dit-il. »
Lucy les regarda, perplexe. Elle n’avait pas la force de supporter leur trop plein d’énergie et de voir sa cuisine saccagée parce qu’ils essayaient de préparer de la soupe.
« Est- que vous êtes sûrs de savoir ce que vous faites ? Demanda-t-elle.
-Mais oui, répondit Natsu. Maintenant retourne te coucher, je t’apporterai ta soupe quand elle sera prête. »
Elle leur jeta un dernier regard et retourna dans son lit. Elle espérait seulement qu’ils ne transforment pas sa cuisine en champs de bataille. Elle s’emmitoufla dans sa couette et finit par s’endormir. La seule chose qu’elle se souvenait avant de tomber dans les bras de Morphée était qu’il régnait dans son appartement une délicieuse odeur de soupe.
******
Lucy ouvrit lentement les yeux et vit Natsu poser un plateau sur sa table de nuit. Elle s’assit et le chasseur de dragon lui sourit.
« Tu es réveillée, dit-il. Est-ce que tu es en forme pour manger ? »
Lucy acquiesça et Natsu posa le plateau contenant le bol de soupe sur ses genoux. Elle prit une cuillère et la plongea dans le bol. Elle pouvait sentir une délicieuse odeur. Avec un peu de chance, ça ne serait pas si mauvais. Elle jeta un coup d’œil vers Natsu, qui plaça la chaise de bureau à côté de son lit et s’assit. Elle porta la cuillère jusqu’à ses lèvres et goûta la soupe. Elle écarquilla les yeux, surprise.
« C'est délicieux ! S'exclama-t-elle.
-Tu as l'air surprise.
-Je ne savais pas que tu cuisinais si bien.
-Avec Happy, on vit seul. Il a bien fallu qu'on apprenne. »
Elle se sentait un peu idiote de n'y avoir jamais pensé. Elle mangea sa soupe et elle eut l'impression qu'elle se sentait un peu mieux. Une fois qu'elle eut fini, Natsu reprit le plateau. Lucy se rallongea.
« Je vais te laisser te reposer, dit Natsu.
-Tu veux bien rester avec moi jusqu'à ce que je m'endorme ? Demanda Lucy, les yeux mi-clos.
-D'accord, je reste avec toi. »
Elle sourit et ferma les yeux. Elle sombra peu à peu dans le sommeil. Pourtant, elle crut entendre Natsu dire :
« Je resterai avec toi jusqu'à ce que tu ailles mieux. »
Elle n'aurait pas su dire si elle l'avait imaginé ou non, mais cette idée que Natsu s'occupe d'elle la réconfortait. Elle finit par s'endormir, apaisée par la présence de Natsu.
Fin
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selidren · 9 months ago
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Eté 1916 - Champs-les-Sims
4/15
J'imagine que la plupart des chirurgiens avant la guerre avaient une valeur étalon de l'horreur bien moins élevée qu'aujourd'hui, sans parler bien sûr de toutes ces femmes qui, comme Juliette, se sont lancées courageusement dans la profession d'infirmière pour supporter les médecins. Rose travaillait la plupart du temps au village, autant dire qu'à part quelques rares et spectaculaires accidents domestiques ou mésaventures impliquant de vieux engins agricoles, il n'y a pas grand chose de bien sanglant à traiter pour un médecin de campagne. La population plus âgée est en revanche ravie de pouvoir compter sur un jeune médecin venu de la ville pour les aider à affronter les affres quotidiens des rhumatismes.
Rose m'a fait la description de blessures atroces et inédites. Selon elle, il arrive parfois qu'un ouvrier ou un paysan perde une main au travail, et la pratique de l'amputation semble vieille comme Hérode. Mais avec le déluge d'obus à shrapnels qui s'abattent sur nos soldats, elle m'a assuré avoir du (mais sans rentrer dans des détails plus scabreux), recoudre des visages dépourvus de nez ou sauver la vie d'hommes dont le bas du visage semblait s'arrêter dès lors à la lèvre supérieure. D'après les journaux, les allemands sont très friands de ces machines infernales qui défigurent des gens à vie.
Transcription :
Rose « Je suis navrée. »
Armand « J’imagine que nous avons tous perdu quelqu’un. Mais c’est vrai que penser à ce qu’ils n’ont pas eu le temps de faire donne un sale goût d’inachevé. De fait, je pense que ce que nous faisons ici, c’est essayer de donner une suite à d’autres histoires. »
Rose « Il est vrai qu’entre deux amputations, même au milieu du sang, des hurlements et des pleurs, tous ceux qui finissent ici ont plus de chance que leurs voisins. C’est triste, mais c’est aussi pour cela que j’ai quitté les hôpitaux de campagne. »
Armand « Tout cela rend plus humble je trouve. »
Rose « Venant de toi, cela veut dire beaucoup ! Je te revois à la faculté, tout pétri d’orgueil, le menton en l’air et la langue plus dégourdie que celle d’une commère. »
Armand « Et pourtant, je pense que tu te souviens de notre première leçon dans le théâtre d’anatomie. J’ai été le premier à tourner de l’oeil. Comme j’en ai eu honte… un médecin qui ne supporte pas la vue du sang ! »
Rose « Et pourtant oui… Rien qu’aujourd’hui, nous aurions maintes occasions de tourner de l’oeil, ou de renoncer face à l’afflux de blessures plus atroces les unes que les autres. Toi et moi, nous avons appris à prendre sur nous, afin de tenir. Nous en avons parcouru du chemin. Je ne pensais jamais que je finirai dans un endroit comme celui-ci. »
Armand « Ne m’en parle pas ! A Paris, l’essentiel de ma clientèle est composé de vieilles dames arthritiques ou de vieux messieurs trop fiers pour admettre que leurs genoux les font souffrir. »
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pauline-lewis · 11 months ago
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This is Us, le temps retrouvé
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Parmi les séries que je regarde, il y a celles qui commencent et se terminent, qui sont circonscrites dans le temps, qui occupent une heure de mon temps. Cela ne veut pas dire que je ne les aime pas mais simplement qu’elles sont de l’ordre de la pure fiction, qu’elles sont autres, qu'elles s'éteignent en même temps que la télévision. Et puis il y a les autres, celles qui vivent avec moi. Celles qui font que parfois, quand je cuisine ou que je brode, je me mets à penser à elles. Celles qui lancent entre nous des débats, des débriefs, des conversations impromptues plusieurs heures après avoir vu un épisode. Il y a eu Friday Night Lights et les moments de sagesse de Coach Taylor qui continuent de me guider (Clear eyes, full hearts, can’t lose). Il y a eu Halt and Catch Fire, Cameron et puis Joe — ah, Cameron et Joe —, et mon incapacité encore aujourd’hui à écouter So Far Away de Dire Straits sans avoir envie de pleurer. Et puis il y a eu This is Us — série qui m’a valu des débats sans fin, des conversations imaginaires avec ses personnages, qui a fendillé légèrement la paroi entre la réalité et la fiction. J’ai parfois pensé à Randall, à Kevin, à Jack, à Kate, à William (souvent, j’ai souvent pensé à William), à Rebecca presque comme si je les connaissais et qu’ils pouvaient traverser mon imaginaire pour débarquer dans mon salon, je me suis lancée dans des diatribes contre Toby comme si on avait dû nous-mêmes le supporter à un repas de famille.
Et puis j’ai pleuré, j’ai tellement pleuré devant cette série, j’ai parfois cru que comme dans Alice au Pays des Merveilles j’allais inonder le salon. Il m’est arrivé plus d’une fois de me féliciter d’avoir réussi à me retenir de verser des larmes pendant tout un épisode avant de capituler, à la dernière minute, devant une traitrise des scénaristes (un speech de Kevin, des images de joie simple au ralenti et — ça a marché à tous les coups — l’usage sournois de To Build a Home de The Cinematic Orchestra).
J'aime vivre avec la fiction, la laisser infuser en moi sur le temps long. J'adore retrouver un livre chaque soir dans mon lit, remettre les pieds dans cet autre monde laissé la veille. This is Us a ainsi traversé toutes les saisons avec nous jusqu’à devenir un rituel du week-end, de décembre à décembre, une série regardée avec les chats sur les genoux et une tasse de thé dans la main. Partout où la vie me menait cette série venait faire écho à ma réalité, à mes émotions. Il y a parfois eu des liens étranges, des échos qui multipliaient mes larmes. Quand j’étais particulièrement perdue, un épisode où Kevin explique le sens de la vie à ses nièces m’a remise sur le bon chemin. L’année dernière, j’ai fini mon bilan annuel en citant l’épisode dans lequel William encourage son fils à se laisser aller, à ouvrir ses fenêtres, à moins s’angoisser. Je m’y suis accrochée si souvent par la suite.
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This is us raconte la vie de triplés et évoque au fil de ses six saisons beaucoup de thématiques très différentes : l’adoption, être le seul enfant noir dans une famille blanche, le rapport au corps, l’échec et la réussite, le traumatisme de la guerre, les violences conjugales, la mort, l’amour et le couple, le deuil, le divorce, les addictions, la maladie, et tout ce que nous laissons derrière nous. Mais ce qui m’a le plus touchée dans cette série (et qui m’a fait verser autant de larmes) c’est la manière dont elle parle du temps qui passe. Par son dispositif scénaristique, bien sûr — la série alterne entre l’enfance des triplés et leur présent — mais aussi par la façon très concrète dont elle regarde ses acteurices vieillir.
Il y a, au cœur de son histoire, un deuil formateur qui scinde toutes les existences en deux et l’on peut dire que toute la série montre comment chacun·e essaie de s’en remettre en tentant d’avancer et de laisser le passé être le passé. En archivant la vie de famille par les nombreux flashbacks (et scènes dans lesquelles on voit Jack, le père, filmer ses enfants), la série permet à ses personnages d’arrêter de revenir sans cesse en arrière. Toute la série essaie de nous réconcilier avec la notion de futur. Aller de l’avant cela ne veut pas forcément dire que l’on trahit le passé, que l'on se laisse aller à l'oubli, que l'on fait disparaître nos fantômes.
This is us est aussi une ode à tous ces petits moments, ceux dont Rebecca parle beaucoup dans la dernière saison : ces samedis après-midi à ne rien faire de particulier, simplement à vivre, à être ensemble. Ce sont ces petits instants dont Willam parle lui aussi, en nous disant qu’il faut les attraper, les chérir, qu’ils deviennent plus fragiles avec le temps. Ce sont aussi ceux que Jack évoque avec ses deux fils en leur expliquant qu’il ne faut pas désirer grandir trop vite, que plus on vieillit et plus on veut arrêter le temps. Ces petits instants ce sont aussi ceux que je vivais moi-même en regardant cette série, ces goûters de week-end que nous partageons à deux, blottis l’un contre l’autre, que j’essaie si souvent de garder quelque part dans mon cœur, ces instants tellement ordinaires qu'on oublie parfois de les chérir. Par moment, je trouvais les images que faisaient naître la série si fortes que j’en venais à me réconcilier avec le temps qui passe. Quand Kevin dit à Kate qu’il aimerait arrêter le temps pour que la santé de sa mère ne décline pas, elle lui explique que les bons moments ne pourraient alors plus advenir. Je me suis accrochée à cette idée-là.
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La famille est peut-être le lieu où l’on voit le temps passer avec le plus de clarté puisque tout le monde y vieillit, y grandit, que les dynamiques se modifient sans cesse autour des mois et des années qui défilent. This is Us s’articule autour de la récurrence annuelle de Thanksgiving, de ces moments pendant lesquels toute la famille repense invariablement au père absent tout en faisant vivre sa mémoire. Les fêtes de fin d'année sont pour moi le moment où je songe systématiquement à mes grands-parents, à l’odeur de la cheminée à Concarneau, à celle de la mousse tapissant la crèche à Douarnenez. Noël se configure et se reconfigure aussi autour de celleux qui ne sont plus, autour de celleux qui grandissent et vieillissent. Et ce sont des pensées si fragiles, parfois si sensibles qu’on ne veut pas les laisser grandir en nous. This is Us est venue recueillir toutes ces impressions, leur a donné une forme fictionnelle rassurante ou douloureuse. À plusieurs moments, les morceaux « rapportés » de la famille Pearson s’amusent de leur propension au drama et aux larmes. Mais leurs larmes existent pour que les nôtres puissent enfin couler. Beaucoup de mes pensées sont venues se loger là, dans ces épisodes parfois douloureux, et dans cette façon dont la série prenait au sérieux des angoisses que je n'osais même pas me formuler.
Et puis il y a cet endroit de la fiction où nous commençons à nous regarder nous-mêmes à travers les personnages et qui a été particulièrement évident pour moi avec cette fratrie de trois et cette famille soudée. J’ai souvent pensé à mes big three à moi, à nos propres cris de guerre, à nos enfances et nos conversations d'adultes.
Quand, à la fin de la série, Randall dit à son frère et sa sœur que quand il pense à sa famille, il les voit toujours, elleux et leurs parents, j’y ai retrouvé quelque chose de ma réalité. De doux, de sensible, de précieux, une pensée que j'ai tenue dans mes mains comme un petit feu, comme ces souvenirs fuyants que William nous invite à attraper en faisant des gestes avec ses longs doigts.
This is us est, évidemment, une série sur la famille, sur les souvenirs partagés, sur les petites rivalités et les bonheurs immenses, sur ces liens ordinaires qui deviennent, parfois, avec les bonnes personnes, vraiment extraordinaires.
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yumewan · 1 year ago
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Je me présente, Philippe, blanc au pelage doux mais pas trop non plus, je ne saurais pas dire pourquoi. J’aime bien faire ma toilette mais pas trop non plus comme les autres chats. J’aime traîner dehors mais pas trop non plus, je préfère dormir sur les genoux des humains qui me prêtent leur toit. Je porte fièrement le collier rouge que mon ancien maître m’a accroché autour du cou, mes nouveaux propriétaires me l’ont laissé au cas où je me perdrais car j’ai autant de sens d’orientation qu’une vache. Je ne sais pas d’où sort cette rumeur que les vaches ne sont pas capables de se repérer mais je n’ai jamais osé m’approcher de l’une d’entre elles du champ d’à côté pour demander si c’est la vérité vraie.
Tout est bien, j’ai à manger, une grande maison servant de terrain d’exploration même si j’ai compris qu’il ne faut pas que je me rends dans certaines pièces sinon je me fais gronder ou porter jusqu’à mon coussin. J’ai de nombreux endroits pour dormir, les genoux de l’humain le plus âgé et du plus jeune, les autres ne savent pas vraiment me supporter sans se gratter énormément les bras. Aussi on m’ouvre la porte lorsque j’ai une envie pressante ou une soudaine envie de me détendre le bout des pattes sur un arbre, je me sens comme un roi. Mais ce week-end quelle horreur ! J’ai entendu des cris stridents à m’en tordre les oreilles ! Il y avait des bruits de pas partout, je ne les avais pas vu au départ ces monstres. Ils sont plus petits que les humains de ma maison et à peine plus grands que moi. Ils se trémoussent, me miaulent dessus dans une langue incompréhensible et en veulent à mon pelage doux mais pas trop non plus. Ils me courent après lorsque je me trouve dans leur champ de vision, je ne peux plus venir manger tranquillement.
Même si les humains de mon toit leur ont appris à ne pas me courser ou à tirer mes précieux poils, je préfère plutôt rester dehors ou sur le bord de la fenêtre, j’y suis plus tranquille pour méditer et roupiller.
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grand-mechant-loup · 1 year ago
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Je vais te faire mal...
«  Je vais te faire mal tu sais ? »
Comment j’en suis arrivé à prononcer cette phrase ?
Cela fait 6 mois que S et moi sommes ensemble, quoi que cela veuille dire. Nous nous voyons régulièrement, le plus souvent que nos emplois du temps nous le permettent, nous faisons l’amour toutes les nuits que nous avons en commun et c’est incroyablement bon.
S est ouverte, et nous avons rapidement trouvé l’un et l’autre ce qui nous procure du plaisir. Pour autant, je sens que la communication est difficile pour elle. Mais pas tout le temps. Elle parle aisément de sa faculté à éjaculer par exemple (j’ai pour ma part assez rapidement identifié ce qui pouvait l’amener à cette effusion). Mais quelque chose n’est pas dit et je sens qu’elle aimerait aborder le sujet. Cependant cela ne viendra pas d’elle.
Un jour elle me dit qu’elle a lu quelques jours auparavant une nouvelle érotique. J’essaie de la questionner mais elle ne m’en dit pour le moment pas plus.
Quelques semaines plus tard je reviens à la charge et lui demande de quoi parlait cette nouvelle. Elle tourne un peu autour du pot, et ne me répond pas vraiment.
«  C’était sur un blog. Il y en avait beaucoup. Si je la retrouve, je te l’enverrai. »
Et de fait elle finit par me l’envoyer.
La nouvelle parle d’une femme qui participe à un jeu entre adultes. Plusieurs hommes sont assis à une table. La femme est sous la table. Une cloche retentit et à chaque tintement, la femme doit sucer un homme de son choix et si possible le faire jouir. Les hommes de leur côté ne doivent pas laisser transparaître leur trouble éventuel.
La femme n’a pas le droit de s’occuper de plus d’un homme à la fois sous peine d’être punie. Evidemment, elle fera ce qu’il faut pour être punie.
Ce que je relève, et que S me confirme d’ailleurs, c‘est l’aspect domination/soumission. « C’est quelque chose qui m’excite beaucoup. »
Je creuse un peu la question pour connaître son expérience dans le domaine. Elle me parle de contrainte, de cravache…
De mon côté je pratique volontiers la fessée et l’idée lui plait. J’émets l’idée de nous procurer une cravache et elle valide avec enthousiasme.
Il y a donc eu une nuit de découverte. De fessées d’abord qui m’ont permis de déterminer ce qu’elle était capable de supporter. Le fait est que mes mains ne semblent pas atteindre sa limite de douleur.
Nous passons donc à la cravache. Je demande à S de s’agenouiller face au mur, le cul vers moi. Elle tend les fesses. Elle est excitée.
L’expérience est nouvelle pour moi et pourtant je me glisse aisément dans mon nouveau rôle. Je teste un peu l’élasticité de l’outil et très rapidement je suis prêt. Je maîtrise le claquement efficacement. S gémit bruyamment à chaque coup qui vient lui brûler l’épiderme. Son corps ondule comme pour mieux appréhender la douleur mais jamais elle ne demande d’arrêter ni ne cherche à se soustraire à mes coups que j’intensifie pourtant avec une excitation non dissimulée.
Après cette séance, ses fesses garderont des stries qu’elle m’enverra en photo.
J’en garde un trouble que je n’aurais pas imaginé.
Quelques jours plus tard S doit se rendre dans une autre ville pour un voyage professionnel. Elle me propose de la rejoindre à l’hôtel. Je lui explique que je ne vais pas pouvoir prendre le train avec la cravache qui dépasse de mon sac. Cependant, j’ai l’idée d’un outil de remplacement. Elle me demande lequel mais je préfère le lui montrer le moment venu.
Le soir, nous sommes dans le lit de l’hôtel, je l’embrasse. Le moment est d’une tendresse rare. Nous sommes excités.
« - Je vais te faire mal tu sais ?
- Oui je sais.
- Tu en as envie ?
- Oui j’en ai envie. »
Je lui demande alors de reprendre la position de la dernière fois, à genoux, face au mur. J’ai déroulé ma ceinture en cuir, j’en ai fait une boucle dont je règle la longueur pour qu’elle ne soit ni trop longue, ni trop courte. Rapidement, je lui assène le premier coup. J’observe sa réaction. Elle gémit et tortille des fesses comme pour appeler un nouveau coup. Je m’exécute à cette injonction tacite.
Je multiplie les coups, je ne mesure pas vraiment la force que j’y mets. Elle gémit, elle crie. Parfois, je fais une pause et empoigne son sexe trempé pour y enfoncer mes doigts brusquement comme je sais qu’elle aime. Puis je reprends mes coups.
Quand j’estime que continuer pourrait la faire basculer dans une douleur prédominante qui l’empêcherait de penser l’acte, de l’intellectualiser et donc d’y prendre du plaisir, je m’arrête. Je lui demande alors de s’allonger. Je lâche ma ceinture et je m’applique désormais à lui donner du plaisir, comme pour la récompenser de sa résistance à la brûlure du cuir.
En très peu de temps elle enchaîne trois orgasmes. Elle éjacule abondamment à chaque fois et nous finissons la nuit dans une flaque. 
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lilias42 · 1 year ago
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On se remet au dessin en faisant la tête de Pyrkaïa !
Bon ! Je m'étais dis que j'essayerais de me remettre au dessin alors, j'ai dessiné Pyrkaïa, l'ancêtre de Catherine, dite la Flamme Passionnée et Brave liée au feu ! Son inspiration est surtout à trouver dans la période grecque et la cité de Sparte / Lacédémone.
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Bon, déjà, Pyrkaïa est très musclée ! C'est une sorcière qui s'entraine tous les jours à manier le feu et la chaleur, ainsi qu'une forgeronne qui manie le marteau toute la journée dans des ateliers où il fait très chaud (mais c'est pas elle qui va être gêner par la température) et qui sait se battre pour mener une bataille à elle toute seule à mains nues alors, elle a du muscle Déesse !
En plus, elle est vraiment très grande. Catherine est déjà la plus grande femme jouable du jeu avec son 1m75 mais, elle est limite petite à côté de Pyrkaïa qui fait tout de même 1m90 (ma fanon des Charon, c'est que toutes les femmes de la famille soit très grande, même si c'est souvent moins le cas chez les hommes). Elle est aussi grande qu'Hanneman, Raphaël ou Lambert et dépasse même beaucoup de ses contemporains, ce qui l'aide à obliger les hommes à l'écouter, vu que de toute façon, elle est plus grande et plus forte qu'eux donc, on ne peut pas la faire taire par la force.
Et voici comment elle aime s'habiller quand on ne lui dit rien et qu'on ne lui casse pas les pieds. Sa tenue est composé d'un chiton arrivant à ses genoux qui la laisse libre de ses mouvements, avec très peu d'accessoires ou de fibule pour le tenir mais là, la raison est assez simple : c'est que quand elle utilise ses pouvoirs et sa sorcellerie, elle s'enflamme et la température de son corps augmente beaucoup alors, elle fait fondre à peu près n'importe quoi. C'est aussi la raison pour laquelle, elle se bat toujours à mains nues, elle fait fondre ses armes alors, elle trouve que c'est du métal gâché. Elle préfère donc coudre certains pans de ses vêtements (ça peut arriver avec les vêtements grecques, surtout sur la fin) ou les attacher avec des nœuds, plutôt que de les accrocher avec des fibules qu'elles feraient de toute façon fondre.
Au début, elle était obligée de se couper les cheveux afin de les tisser, pour se refaire des habits qui supportent la chaleur qu'elle dégage quand elle se bat (ou juste s'énerve quand elle était jeune et qu'elle maitrisait encore un peu mal ses pouvoirs, et même sur la fin de sa vie, son contact devient vraiment brûlant dès qu'elle se prépare au combat). L'étoffe qu'elle porte ici par contre est un cadeau de son mari, un nabatéen qui est arrivé à fabriquer avec l'aide du dragon des flammes (celui qui a l'emblème de Daphnel) un tissu qui supporte les températures extrêmes. C'est pour ça que le motif sur le bas de sa tunique est le même que celui que porte Sothis, Rhéa, Seteth et Byleth, c'est l'étoile céruléenne telle que la représente les nabatéens.
Cela lui a aussi permis de garder ces cheveux très longs comme tous les sorciers car à cette époque, ils pensaient que la magie était stocké dans le corps (ce qui est vrai à Fodlan) alors, plus on aurait les cheveux longs, plus on aurait de place pour la stocker. Elle met donc la grosse majorité de ses cheveux en chignon avec une partie qui retombe dans son dos.
Son chiton est un peu particulier car, l'étoffe est en fait plus longue qu'elle en a l'air, assez pour faire un péplos (la tunique féminine grecque pour faire vite) et dans ces cas-là, elle ressemble plus à ça :
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(en bas à droite, vous avez à peu près l'échelle de taille entre - de droite à gauche - Pyrkaïa, Catherine et Shamir [Pyrkaïa rencontre la femme de sa petite-fille en parlant épée ^^])
La jupe est alors bien plus longue et tombe jusqu'à ses pieds ou un peu plus haut étant donné que c'est tout de même une étoffe principalement drapée alors, c'est assez facile pour elle de l'ajuster. Dans le premier dessin, sa jupe est relevé très haute, d'où la sorte de volant / côté bouffant qui est accroché sur ses hanches avec une première ceinture, puis maintenu près du corps avec une seconde ceinture. C'est pour ça qu'elle en porte deux même en péplos, ça lui permet d'ajuster rapidement ses habits en cas de besoin. Le pan de tissu sur sa tête lui sert à se protéger du soleil d'Almyra, étant donné qu'elle est née là-bas avant qu'une partie de sa cité migre en Fodlan afin de trouver de meilleures terres pour nourrir tout le monde. Elle laisse toujours deux mèches de cheveux s'en échapper, simplement parce qu'elle aime bien et ça permet de montrer sa chevelure blonde assez rare en Almyra, tout comme ses yeux bleux qui vont bien avec son teint assez sombre (elle a la couleur de peau de Cyril, et ça passe pour ses cheveux blonds vu que c'est rare mais, on a tout de même des femmes blondes en Grèce, c'est juste plus rare)
Si elle n'est pas tout le temps en chiton, c'est moins parce qu'elle aime aussi porter un péplos que parce qu'elle veut être tranquille dans sa vie de tous les jours. C'est une périèque (soit des libres sans être citoyen) vivant dans l'équivalent de Lacédémone puis une de ses colonies une fois arrivé en Fodlan donc, ça aurait pu être pire, c'est pas une hilote (donc une esclave avec un statut assez particulier car, Sparte est assez particulière au milieu des cités grecques, j'y reviendrais dans son billet) mais son principal problème qui va la suivre toute son existence longue d'environ 800 ans, c'est que c'est une femme dans une cité grecque. Elle n'a donc pas de statut autre que celui de mineur soumise à son père, puis à son mari (et à la cité si vraiment elle a plus personne). Bon, vu le caractère très volontaire, déterminé et fort qu'elle a - elle ne s'est pas tournée vers la maitrise du feu pour rien), c'est pas elle qui va faire la femme parfaite qui reste gentiment dans le gynécée à s'occuper de l'économie domestique et de la famille (surtout que n'étant pas fille de citoyen, elle n'a pas accès à l'éducation qu'on réserve aux femmes spartiates qui est très musclée pour qu'elles fassent des citoyens forts, même si étant fille d'artisan, son père tenant à elle et qu'il a vite remarqué que sa fille ira loin, elle a eu une bonne éducation, rien que pour avoir un bon mariage) elle va vite envoyer ça sur les roses, même si ça va être un combat permanent afin qu'on la respecte. Elle continue à porter un péplos dans la vie de tous les jours afin de ne pas devoir se justifier à chaque coin de rue. Etant donné que cela ne la gêne pas et que ses vêtements restent solides et mis de manière pratique, ça ne la gêne pas, même si elle a dû se battre pour avoir le droit de porter sa tunique comme les hommes.
Pour ses fiertés, il s'agit de vaisseaux qui traversent tout son corps mais, ça fait comme si elle était craquelé, un peu comme j'ai essayé de le dessiner en haut à droite du deuxième dessin. ça fait vraiment une peau assez épaisse et dure (limite pierreuse à l'aspect) qui est séparé par des veines assez sombre quand elle n'utilise pas sa magie mais, qui se mettent à briller et surtout brûler quand elle commence à l'utiliser ou à s'énerver. ça la rend assez résistante à des coups d'épée vu que sa peau est solide et que de toute façon, elle dégage une telle chaleur qu'elle va surement faire fondre la lame de métal ou réduire le bois en cendre dès qu'on l'attaque. Elle a aussi ses orbes où sa magie se concentre et qui sont également extrêmement chaud. C'est de là que partent ses flammes quand elle attaque ou se défend, ou alors quand elle entoure son corps de flammes pour impressionner son adversaire. Elle ne se voie pas très bien ici mais, son oeil gauche est très souvent enflammé en permanence, même si elle peut l'éteindre au besoin.
Son autre fierté la plus importante est son sang qui est très chaud en permanence et qui ressemble plus à de la lave à la fin de sa vie. Faites vous toucher par une seule goutte de son sang, et vous serez brûlé au dernier degré, si elle ne s'en sert pas pour vous enflammer au combat. Pyrkaïa le fait rarement mais, elle peut faire tomber quelques gouttes de ses blessures sur le sol, histoire de montrer de quoi son sang est capable et prévenir son adversaire que si elle s'énerve, il n'a aucune chance de s'en ressortir sans séquelles alors, il ferait mieux de s'enfuir. Elle peut être très dure et ne machera pas ses mots mais, elle préfère éviter devoir finir par tuer quelqu'un alors qu'elle aurait pu trouver d'autres solutions. Pendant sa longue vie, elle a vu que c'est souvent quelque chose qui empire la situation plutôt que l'améliorer alors, elle évite un maximum de devoir en arriver à tuer quelqu'un, surtout avec sa sorcellerie où si elle ne tue pas, laisse gravement brûlé et handicapé à vie donc, Pyrkaïa est très prudente avec son utilisation et se contente souvent de sa force et de son endurance surhumaine pour se battre.
En fait, elle est une personne qui détesterait Lonato de toute son âme et n'aurait aucun problème à le défoncer quand il attaque GM : il prend la décision pour tout le monde sans consulter son peuple, les emporte dans sa décision stupide et les fait tuer stupidement en faisant souffrir ceux qu'ils croisent car LUI était en colère. Elle le traiterait surement de connard irresponsable, surtout qu'étant grecque, elle hallucinerait de voir qu'une seule personne peut décider pour tout un peuple sans passer par le vote, qui n'est même pas élu et verrait cette situation comme une tyrannie bonne qu'à être renversée, surtout que les rois de Lacédémone sont extrêmement contrôlés et ont encadré par les lois de la cité et peuvent être puni s'ils se comporte mal, c'est qu'en expédition militaire qu'ils ont beaucoup de pouvoir (ils sont même deux issus de deux familles différentes à Sparte, comme ça, ils se tirent dans les pattes et c'est les éphores et la gérousia qui dirigent la cité en période de paix)... et Déesse, ce serait vraiment la galère autant pour Lonato que pour GM si elle atterrissait en plein milieu de la mission contre lui ! D'un côté, elle serait un excellent élément pour arrêter Lonato vu que comme côté GM, c'est surtout des mineurs et qu'elle sent que Catherine est de sa famille, elle irait se battre pour les protéger mais de l'autre, elle n'aurait aucun état d'âme à affronter des civils, vu que quand c'est la guerre dans le monde grec, c'est les citoyens qui vont défendre la cité selon l'idéal du citoyen-soldat et là, on prend tout le monde vu qu'il n'y a pas d'armée professionnelle (sauf plus ou moins à Sparte mais, là encore, c'est un cas à part) et techniquement, c'est pas un problème pour un grec d'attaquer quelqu'un qui s'enfuit du champ de bataille, c'est même à ce moment qu'on fait des dégâts (cf cette vidéo et allez voir cette chaine, elle est géniale sur l'histoire militaire), même si elle, elle les laisserait s'enfuir sans trop de souci s'il n'y a pas de risque qu'ils reviennent. Et il y aurait surement de belles incompréhensions entre une grecque qui connait le système de la cité avec une certaine forme de démocratie pour tous ses voisins, et des prises de décisions collégiales ou collectives (on vote la guerre à Athènes par exemple, c'est l'ensemble des citoyens qui disent si oui ou non, on fait / continue la guerre ou non), à des monarchies, ça passerait mal et elle aurait beaucoup de mal à comprendre pourquoi ils acceptent cela, même si elle reconnaitrait qu'il doit y avoir des avantages si les habitants de Fodlan ont adopté ce système plutôt qu'un autre.
Pour sa palette de couleur, c'est assez varié étant donné que les grecs adoraient les couleurs vives et que c'était un symbole de richesse d'avoir de belles couleurs. Elle est cependant issus d'un milieu relativement modeste, même si elle n'a pas trop de problème d'argent (elle a réussi à posséder sa propre forge d'où elle tire ses revenues) alors, Pyrkaïa aborde des couleurs relativement courantes et abordables. Pour les tissus que lui a offert son mari, je pense que c'est plus dans les tons de bordeaux avec des motifs blancs à la nabatéenne qui s'accorde avec ses cheveux blonds, ou des bleus qui vont bien avec sa peau sombre et font ressortir ses yeux et ses flammes qui sont devenus bleus tellement elles sont chaudes. Sinon, elles ressemblent énormément à Catherine pour ce qui est du visage et de son apparence générale.
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0nalia · 2 years ago
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OneShot Eustass Kidd x Reader 🍋🤫
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retrouvé son capitaine en privée, pour boire et parlé était quelque chose qu'elle avait l'habitude de faire avec killer, mais cette fois elle se retrouvé avec Kidd.
tout commence dans un bar d'une ville, tout l'équipage buvez et riez aux éclats, certain collé a des filles de passage, Reader, Kidd, Killer, Wire, et Heat assis ensembles a la même table. la proximité entre killer et Reader contrarié légèrement Kidd.
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Kidd tira par surprise Reader sur ces genoux tenant sa chope en mains, les trois amis regarda la scène en silence.
Reader : que-ce que tu fait !? Kidd : Quoi ? tu veux t'assoir au sol peut-être ? Reader : j'était très bien a coté.. dit-elle en boudant. Kidd : tu es mieux ici, de plus tu n'as pas grand chose sur toi a par cette tenue. Reader : que-ce qu'elle as ma tenue ?! ces juste un short et un t-shirt ! Kidd : hmpf. si tu le dit.
il poussa Reader hors de la table sa faisant trébucher de justesse au centre de la pièce.
Reader : Hey !! ca va pas ?! Kidd : je me demande combien de temps il te faudra pour réclamer quelque chose de chaud. dit-il en ricanant sous l'incompréhension de ces compagnons. Killer : Ah, oui ces vrais, sur cette îles les nuits sont plus froide que les journée, tu va attraper froid Reader si tu reste comme sa. Reader : hmpf ! sa devrais allez, je supporte plutôt bien le froid, puis il y a des boissons pour se réchauffer ! Kidd : tu fera moins la maligne dans pas longtemps. dit-il d'un ton sarcastique.
après quelque pinte, et le temps passé, Reader c'était mise entre Heat et Wire sous le regard narquois du capitaine. il avait raison et elle savais qu'elle allez le regretter si elle ne trouve pas de source de chaleur. sont idée principale était d'allez gratter un peu de la chaleur au près de Heat, mais celui-ci fût en quelque minute emporter au loin avec une fille de passage. le sourire de Kidd grandissais a vue d'œil, tendis que Reader se frotter légèrement les épaules. Reader se lève d'un coup de sa place attirant l'attention de Killer et Wire qui discuter de leur coté.
Reader : Je déteste quand tu as raison, car tu as tendance a beaucoup trop te venter plus tard ! grr Kidd : Hahaha ! allez viens là. il tapote sa jembe avec un sourire de vainqueur. Reader : ah non ! je veux juste ton mentaux ! prête le moi !! Kidd : Tsk ! pas question ! Reader : Pourquoi !? tu et toujours bouillant toi toute façon ! Kidd : pas question que je tombe malade a ta place ! débrouille toi si tu ne veux pas venir ici ! Reader : Qu-!
au même moment quelque fille de passage sont venue près de la table et commencé a vouloir flirter avec les garçons ignorant royalement Reader, qui de sa colère passa directement a la contrariété puis au dégout. un noeu a sont estomac se format. soudain une idée lui passa par la tête, elle se faufile derrière les filles, tandents sont bras pour attraper une poignée de fourrure et tiré un bon coup dessus, objectif atteint ! elle as volé le mentaux de kidd, mais maintenant ces le plan numéro 2 qui se joue, La fuite avec l'otage !! car oui Kidd tien tellement a sont mentaux qu'il ne s'en sépare que dans de rare occasion.
Kidd : Ces quoi se bordel !
sur la surprise les fille se sont écarté laissant a la vue de Kidd une petite Reader courir avec un mentaux de fourrure beaucoup trop grand pour elle, il se lève et fit un sourire carnassier, Killer et Wire l'ont fixer quelque seconde puis se sont fixer a leur tour.
Killer : Personnellement je dit pas plus de 5 minute. Wire : tu as confiance, moi je dit 2minute. Kidd : je dit as peine 30 Seconde.
les trois amis jette chacun un petit sac de berrie sur la table, car oui il ont parié combien de temps il faudra a Kidd pour récupéré sa veste, et en prime capturé Reader.
les pat de Kidd était bruyant, mais Reader les entendez parfaitement malgré tout le vacarme du bar et de ces compagnons. 1 . . . 2 . . . 3 . . . 4 . . . les pat s'arrête, Reader aussi, un mauvais présentiment se fit au creu de sont estomac, elle se retourne doucement caché sous le grand mentaux, se qu'elle vie était un Kidd a l'air en colère, le bras tendu vers elle... "Oh oh.." était sa seul pensé.
Kidd : Attiré.
c'était le seul mots qu'elle ne voulez pas entendre, le nombre de fois ou Kidd s'amusé a l'attiré pour la faire trébuché sur le navire, ou même "repoussé" pour la jeter a l'eau, était un des passe temps préféré de Kidd. jusqu'as que Killer lui disent qu'il chercher juste a attiré sont attention par moment.
Reader crie de surprise pensant finir contre le murs, elle ferma les yeux, mais rien ne vient, au lieu de sentir quelque chose de dure et senti juste une chaleur, et quelque chose de confortable. ouvrant doucement les yeux, elle pris enfin conscience de sa position. (L'illustration ci-dessus)
Kidd : Tu compte allez ou avec mon manteau comme sa ? je tes dit que tu ne l'aurait pas. Reader : il faut que je fasse pas quoi pour que tu me le laisse quelque temps ?! Kidd : a toi de voir. dit-il d'un air sarcastique poignant fermement sa cuisse de sa mains de chair. Reader : elle couine sur le moment posant ces mains sur les épaule de sont capitaine. elle se fixa dans les yeux, mais as un certain moment ces yeux dut attiré par ces lèvre, rougissant un peu elle regarde ailleurs. Kidd : hey ? tu as trouvé ta solution ? Reader : elle le regarda a nouveau, venant posé sa mains sur sa joue délicatement faisant attention au expression de Kidd au cas ou qu'il grimacerais elle partirais. dit moi se que tu veux alors. Kidd : arquant un sourcil quelque instant, un sourire provocateur sur ces lèvre se fit et a sont tour il perdis sont regarde sur les lèvre de Reader avant de la fixer de nouveau dans les yeux. le rougissement de Reader s'approfondissez, et Kidd ne pouvez retenir sont sourire.
les fin doigt de Reader, glissa sur la joue de Kidd, qui lui la regardé attentivement, elle passa ces doigt sur ces cicatrice avec un regard doux, Kidd était comme hypnotisé par cette instant, les deux resté là immobile au milieu de la salle. elle explora le visage de sont capitaine du bout de ces doigt jusqu'as tracé le contour de ces lèvres.
de là débuta un petit jeux de séduction avec Kidd, elle rapprocha délicatement sont visage du sien, jouant de la distance comme une hésitation de blottir ces lèvre contre celle de Kidd. il fut pris au jeux, le quel des deux allez craquer en premier, ils se sont tout deux perdu dans leur regard, les mains de Kidd pressa la fesse de Reader, qui vient collé sa poitrine au buste de Kidd, soupirant légèrement un souffle chaud se mélangiez entre les deux.
une simple phrase fit agir Reader d'une voix rock Kidd prononcé simplement sa pensé fasse a Reader, "Viens ici." et là comme si cela était un bouton déclencheur, elle vient collé ces lèvre au sienne, de la comme une dance, les lèvres blottie l'un contre l'autre se fit.
Kidd glissa légèrement sa langue sur les lèvres douce de Reader demandant l'entrée se qu'elle accepta ouvrant légèrement sa bouche. la mains de chair de Kidd se glissa derrière la nuque de Reader pour approfondir se baiser, explorant chaque recoins de sa bouche, elle s'accrocha a lui comme si tout cela était un rêve.
elle s'éloigna délicatement de Kidd glissant sa langue une dernière fois contre la sienne. le regard de Reader en disait long sur sont état mental actuel, il sourie d'un air taquin.
Kidd : Que-ce qu'il y a ? tu n'as pas l'air bien dans ta tête actuellement on dirait.
Reader ne prononcé pas un mots, comme si cela lui était instinctif avec lui, elle vient croisé les jambe au tour de sa taille se blottissant contre lui, légèrement surpris mais heureux de sa réaction il sourie.
Kidd : on dirait que nous allons rentrée plus tôt au navire.
sur ces mots il couvre la tête de Reader de sont mentaux la jetant sur sont épaule et pris la route vers les quai. le chemin était rapide avec les grand pat que kid avait fait. Reader était encore en cours de traitement des information de se qu'il ces passé au bar avec Kidd. quelque instant plus tard elle fit jeter sur un quelque chose de confortable. retirant le mentaux de Kidd elle pris enfin conscience de la situation, elle était dans les quartier privée de Kidd, il sorti alors quelque bouteille et les posa a coter du lit. prenant place a coter de Reader il la fixer un moment avant de rire.
Kidd : Tu as l'air complètement perdu, tu traite encore les information du bar ? Reader : Qu-.. Non ! enfin- . . Kidd.
kidd se stoppas net a sont nom dit aussi sérieusement de la part de Reader.
Reader : dit-moi.. depuis quelque temps tu ne fait que m'ennuyer ! pourquoi exactement ? suis-je juste un passe temps ? ou alors..-
Kidd la stoppa net dans ces mots l'attirant vers lui, collant de nouveau ces lèvre au sienne avant de se séparé.
Kidd : Jamais tu ne sera un passe-temps.
sont ton était plus que sérieux. le cœur de Reader bâter si rapidement et ces joue chauffé tellement. . .
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Hey !! si tu veux la suite, fait le moi savoir !! 🤭❤️‍🔥
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muzukashiidesune · 20 days ago
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太鼓 (taiko)
Nous sortons les tambours du van au petit matin.
Mes cheveux sont balayés par le vent de la mer — nous sommes au bord de la côte. Je dépose le tambour qu'on me tend dans les hautes herbes. Le temps de rattacher mes cheveux, tenter d'y voir quelque chose.
Le ciel est gris, mais il ne pleuvra pas. Keiko-san, leader non-officielle du groupe, paie bien attention aux prévisions météorologiques. Il ne suffirait que d'une bruine pour endommager le cuir des tambours.
Le coup de vent la fait rire, à mes côtés - cheveux pris dans ses lunettes, bashi de bois dans les mains.
Kubo-san, son mari, à genoux dans le van, me tend un deuxième shime. C'est le seul type de tambour que je peux porter à moi seule — et encore faut-il l'agripper correctement, les doigts bien placés autour des ferrures. Son poids est trompeur, douloureux. Surprenant, pour un instrument de si petite taille. Le cercle de mes bras suffirait à en faire le tour.
Le shime est le tambour que je maîtrise le mieux, que j'ai le plus pratiqué. Il a un son sec, aigu, qui ne laisse pas place à l'erreur. Vitesse et précision.
Plus loin, il y a Ryan et Kawamura, qui, à deux, portent le plus gros des sue. Mariko se dépêche d'aligner le support au dessous; les deux autres y abaissent lentement le tambour. Impossible de rouler le support dans l'herbe longue; il faudra recommencer la manoeuvre quand viendra le temps de monter sur scène.
Le sue a un penchant plus chaleureux. Le rouge de son bois, la profondeur de son son. Il est le plus pittoresque des tambours, celui qu'on retrouve dans les temples, lors des cérémonies. Ampleur et dramatisme.
Les oke sont déjà placés plus loin, sur une couverture verte qui protège leur peau de la flore murotoise. Ils émettent un son sourd, un peu agressant, qui peut vaguement rappeler celui du tambourin.
Je dépose mon shime à leurs côtés. Bien sages, tous les tambours attendront le moment de notre performance.
Le vent se calme, et le van est vidé.
Assis sur la couverture, Kuon et Difan attendent que le temps passe. Kuon est Vietnamien, Difan, Indonésien. On parle tous assez mal Japonais, ce qui rend la communication difficile — ou peut-être la simplifie-t-elle. Je leur souris; ils me le rendent.
Les neuf-dixièmes des interactions requises pour apprendre le taiko se résument à tac-tac-tac. Ou, en japonais, taku-taku-taku.
À mes débuts, le hall de pratique était un havre de chaleur et de lumière. Le plaisir d'être bien entourée, de parler un langage commun. Une raison de sortir au soir, quitter mon appartement vide, non-meublé, pour le velours assourdi d'une salle de spectacle, les rires et les encouragements. Dès mes premiers jours à Muroto, j'aurais taku-taku-takué jusqu'au bout du monde pour ces visages accueillants, dont je n'arrivais même pas encore à mémoriser les noms.
Il y a quatre membre-piliers au groupe: Keiko, Kubo, Kawamura, et Iku.
Soit, deux couples de quinqagénaires murotois qui ne parlent pas un mot d'anglais — cela ne les empêche pas de prendre les étrangers de la communauté sous leur aile depuis des années.
La fille unique du couple Kawamura a épousé un des professeurs d'anglais qui ont précédé Mitchell. Elle est déménagée en Australie, lorsqu'il a dû y retourner, pour le suivre; la cérémonie de mariage a eu lieu à Melbourne.
De son écran de téléphone, Kawamura me montre une vidéo de sa petite fille jouant dans la mer. Lunettes de piscine violettes, éclats de rire.
Il m'en montre une autre, et puis encore une autre. M'avoue souhaiter parler mieux anglais, pour pouvoir communiquer avec elle. Au fil des mois, j'essaie de lui apprendre des phrases simples. Sans fruit: il a la mémoire d'un poisson d'eau profonde.
Sa femme, Iku, petite et fine comme une aiguille, est d'un talent inouï pour le taiko. J'associe le son sec du shime avec le mouvement de ses poignets, si rapide qu'il se floutte sur vidéo.
Elle est la meilleure mentor que j'ai pu avoir: découpe les chansons en petit morceaux, digestibles, me les fait répéter plusieurs fois avant de passer au prochain. Je ne suis pas la meilleure élève — il m'aura fallut des mois pour réaliser que malgré tous mes efforts, son tambour resterait le plus difficile. En août, je me suis transférée, progressivement et silencieusement, de mon propre chef, vers la section des sue, plus lente, plus théâtrale.
Les conseils patients d'Iku me manquent à chaque pratique.
Kubo, le mari de Keiko, est mon nouveau professeur de sue.
Kubo a le calme solide des grands maitres d'art martiaux. Visage sévère, yeux doux. Tous les vendredis, il conduit une quarantaine de minutes, aller-retour, pour permettre au vietnamien Kuon d'assister aux pratiques. Ils habitent aux deux extrémités de la ville.
Tous les ans, Kubo courre l'ultra marathon de Kochi — 100 kilomètres. L'an passé, les bénévoles l'ont arrêté au 97e kilomètre, car la limite de temps était dépassée.
Et puis, Keiko. Aimante Keiko, terrifiante Keiko, au rire contagieux et à la poigne de fer.
Le van noir fait face à la mer; Keiko en ferme le coffre des deux bras, d'un mouvement sec et vigoureux.
Les montagnes, à Muroto, se jettent directement dans le Pacifique. Derrière le van vidé, leur vert forêt vire au gris dans la brume côtière. Reste que la vue est spectaculaire.
Assis sur la couverture, Kuon tapote sur ses cuisses, au rythme de "Yuu", une des chansons que nous performerons aujourd'hui. Enfin, "nous" — tout le monde sauf moi. Comme j'ai récemment déménagé de section, je maitrise pas encore la nouvelle partition. Pas que j'aie jamais maitrisé l'ancienne — enfin.
Difan, couché entre les shime, un avant-bras lui couvrant les yeux, ne tapote le rythme d'aucune chanson. Il est la plus récente addition à notre groupe, mais maitrise déjà toutes les cadences, tous les tambours.
En vérité, si je ne suis pas douée pour le taiko, ce n'est pas seulement par manque de talent — mais bien aussi, et c'est ce qui est si dommage, par manque de discipline.
Je n'assiste qu'à une pratique sur deux. Trop souvent, ces jours-ci, la pensée de sortir de mon appartement, meublé et douillet, pour aller consacrer temps et effort à apprendre un instrument pour lequel je n'ai un intérêt que très moyen, me coûte beaucoup.
À les voir, en uniforme noir et rouge, foulard serré autour du front — je m'en veux de ne l'arborer plus fièrement, plus assurément. Je me dis, comme après chaque performance, revigorée de succès et de courage, que je serai plus assidue aux pratiques, dès maintenant, dès aujourd'hui. Dès la semaine prochaine. Dès l'autre d'après.
Fin d'octobre, déjà. C'est difficile de s'en rendre compte, avec les feuillages qui ne changent pas. Montagnes evergreen, vent marin.
Je fais signe à Keiko de sourire, pour la photo. Kawamura lève les bras, et Ryan tourne la tête pour suivre du regard ce qui attire leur attention.
Iku ne m'entend pas, le vent m'avale.
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marinaetmoi · 23 days ago
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NETTOYEZ LE SOL SUR VOS GENOUX
NETTOYEZ LE SOL SUR VOS GENOUX.
Mélangez de l'eau et du savon dans un seau. Commencez par un coin de la pièce. A l'aide d'une brosse ou d'un chiffon, nettoyez le sol à genoux. Reculez jusqu'à ce que tout l'espace soit propre.
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J'ai déjà expérimenté cet exercice sur du parquet, dans un appartement typique des années 30, avec moulures aux plafonds et cheminées condamnées. J'ai pu y découvrir chaque veine de chacune des lattes du plancher. C'était très intime, ce rapport au sol. Comme baigner un enfant.
Mais là, je me suis dit que ce serait intéressant de le faire sur un autre support : du carrelage. En assez mauvais état. De la famille de ces carrelage de salle de bain d'hôpitaux. De minuscules carreaux de cinq ou six centimètres de côté, d'une couleur oscillant entre le brun bureau et le mordoré, le tout tacheté de bistre. Si, séparée, ces trois couleurs peuvent être presque élégantes et chaleureuses, il n'en n'est rien, et le sol paraît aussi triste et banal que celui qui recouvre les toilettes des petits écoliers parisiens. Dans nos écoles, les couleurs joviales s'enroulent autour des cages d'escaliers, des couloirs, se collent joyeusement aux portemanteaux. Le sol entier est fait d'un joli plancher en bois ayant, bienheureux, traversé les âges, peut-être même ayant connu la séparation des sexes dont ne subsistent que les "école des filles" et "écoles des garçons" sur les frontons des entrées.
Le bois a de cela de vivant qu'il grince gentiment pour signaler le déplacement du maître lors des contrôles de mathématiques. Il est vivant car il grouille sous les pas pressés pour descendre en récréation. Il est vivant car c'est tout simplement un prolongement de nos pas, de nos mouvements - bref, de nos émotions.
A l'inverse du vivant parquet de bois, le carrelage a cette froideur de mort, bien évidemment amplifiées par les lieux d'où j'ai mené mon auto performance. J'étais seule face à moi-même. Dans une salle de bain qui n'était pas la mienne - bien qu'ayant été colonisée par mes flacons de soins pour cheveux, la peau et même deux de mes parfums. J'ai d'ailleurs fait le pari de terminer l'un d'eux avant la fin de mon séjour pour pouvoir jeter le flacon. Si ce parfum fait encore actuellement partie de ma vie, il m'a été offert par une personne qui n'en fait dorénavant plus partie. Jeter le flacon serait alors une sorte de superstition à mi-chemin entre la bêtise et l'enthousiasme fiévreux. Un façon de mettre un coup de tête à la nostalgie qui, telle une femelle moustique, n'a de cesse de vibrer à notre oreille et de voler trop vite pour que l'on puisse l'attraper et la tuer. On ne tue pas la nostalgie, on ne peut que se concentrer de tenter d'en tuer ses souvenirs les moins fugaces.
Comme ce sol semblait vraiment très sale - il n'était que finalement très usé par endroit - j'ai utilisé une bassine d'eau chaude, du savon noir, une brosse à récurer et un chiffon pour rincer tout cela.
Je suis restée une heure. Chaque carreau avait son prénom. D'ici quelques temps, même un mois, j'en oublierai quasiment l'intégralité - rien de plus interchangeable que des carreaux. Eux, tels des élèves, se souviendront sans doute de moi toute leur vie. Tout comme l'ouvrier carreleur qui les a posés là il y a des années. 
Je n'ai pas réussi à ravoir toute la crasse - ou plutôt l'usure - accumulée par les ans. Mais j'étais fière de moi en voyant le carrelage changer de couleur, tout comme l'eau de la bassine, de plus en plus claire; comme mes pensées et mes idées.
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christophe76460 · 1 month ago
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Or, à celui qui peut vous préserver de toute chute {Jude 1:24}
Dans un certain sens le chemin du ciel est très sûr, mais à certains égards il n’y a pas de route aussi dangereuse. Elle est jonchée de difficultés. Un faux pas (et combien il est facile de l’accomplir quand la grâce fait défaut), et nous voilà par terre. Quel chemin glissant est celui sur lequel quelques uns d’entre nous, marchons ! Combien de fois nous sommes-nous exclamés avec le Psalmiste, « mes pieds étaient sur le point de fléchir, et mes pas sur le point de glisser ». Si nous étions forts, des montagnards au pied sûr, ceci ne serait pas un problème important ; mais en nous-mêmes, combien nous sommes faibles, même sur les meilleurs chemins, où nous sommes prêts à chanceler, et sur les plus doux sentiers nous sommes prompts à trébucher.
Ces faibles genoux que sont les nôtres peuvent à peine supporter notre poids plume. Une paille peut nous faire fléchir, et un petit caillou nous blesser ; nous sommes de simples enfants tremblants et apprenant à faire nos premiers pas sur le chemin de la foi ; notre père Céleste nous tient par les bras sinon nous serions bientôt par terre. Oh, si nous sommes capables de nous préserver de la chute, combien nous devons bénir la puissance patiente qui veille sur nous jour après jour ! Pensez combien nous sommes enclins à pêcher, combien capables à choisir le danger, combien nous sommes forts pour tendre à nous jeter nous-mêmes à terre, et ces réflexions nous ferons chanter plus tendrement que jamais : « gloire soit à celui qui nous préserve de toute chute ». Nous avons plusieurs malheurs, qui essayent de nous pousser à chuter.
Le chemin est rude et nous sommes faibles, mais en plus de ceci, les ennemis nous tendent secrètement des embûches, qui surgissent de leur repaire quand nous nous y attendons le moins, et travaillent à nous faire trébucher, ou à nous jeter dans le prochain précipice. Seulement un bras tout puissant peut nous préserver de ces malheurs invisibles, qui cherchent à nous détruire. Tel un bras engagé pour notre défense. Il est fidèle celui qui a fait la promesse, et il est capable de nous garder de la chute, c’est ainsi qu’avec un profond sentiment de notre extrême faiblesse, nous pouvons garder une ferme conviction dans notre parfaite sécurité, et dire avec une confiance joyeuse,
Contre moi la terre et l’enfer se liguent,
Mais à mes côtés est la puissance divine ;
Jésus est tout, et il est mien !
Matthieu 21:1-22:26 * Lecture Quotidienne de la Bible
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