#sans valeur
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abridurif · 7 months ago
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Le journal est une forme d’écriture désœuvrée. On n’y cherche pas la représentation. C’est la vie même qui s’y déverse. Encore plus que dans les lettres, parce que les lettres qu’on écrit peuvent subir l’influence de leurs destinataires. Le journal a une pureté qui procède de son impureté. Il n’y a pas de sujet noble ni dérisoire dans un journal intime, n’importe quoi peut être livré aux pages du cahier. Il le faut. Tenir une main courante prend du temps mais cela permet aussi d’en conserver l’esprit ; l’esprit du temps. C’est important de déposer les réflexions et les faits, parce que sinon tout s’évapore. Il ne reste rien d’il y a trois jours. Si j’écris chaque jour ce que j’ai vu, en regardant simplement autour de moi, en saisissant ce qui se passe, c’est parce que je sais que tout s’évapore. Si j’écris ce qui se passe en moi quand je regarde une image fixe, un tableau, un film, c’est parce que je sais que mes impressions vont se désintégrer. Mon esprit est plein de déchets. Ce sont les résidus de pensées nées dans la solitude ou dans une conversation. Un peu comme dans notre galaxie où gravitent des millions de déchets. Dans l’infiniment grand, cela représente un problème de sécurité. Tandis qu’à mon échelle, c’est bénin. Inoffensif, mon journal est dur, pourtant. Dur et pas beau. Mais nous n’avons pas à nous demander si c’est laid ou si c’est beau, à vrai dire. Le sentiment d’avoir créé quelque chose qui a de la vie est supérieur à ces deux notions de laid et de beau. Pour moi, c’est le seul critère en matière d’art. Et ce qui a de la vie ne cherche pas à devenir une œuvre d’art, cela advient. Ou pas. Gaëlle Obiégly, Sans valeur, Bayard Éditions, 2023
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mega-adam-blr · 1 year ago
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La réciprocité.
La réciprocité ce concept qui m'est si cher, qui m'a sauvé. Recevoir ce que l'on mérite... Ce n'est pas donner dans l'espoir de recevoir mais c'est avoir conscience de sa valeur et de ce que l'on mérite. C'est choisir des relations où l'on ne se contente pas de miettes d'amour... C'est être en osmose avec l'autre parce qu'on est sur la même vibration et qu'on reçoit autant d'amour qu'on en donne. C'est aussi avoir le recul d'analyser nos relations et de savoir dire stop quand en face on a pas de réciprocité. C'est fuir la médiocrité des relations à sens unique... C'est arrêter de se dévaloriser en se donnant sans recevoir de considération. C'est savoir mettre fin à des situations où l'on s'investit sans jamais que nos efforts soient vus. Je pense qu'on récolte ce que l'on sème et que si ce n'est pas le cas c'est soit qu'on sème (s'aime) mal soit qu'on sème au mauvais endroit. Je vous souhaite d'apprendre à semer aux bons endroits afin de récolter ce que vous méritez, et d'avoir la lucidité d'arrêter de semer quand vos efforts ne paient jamais. Quand on en prend conscience, et qu'on change ce qui peut l'être, alors apparaissent des fleurs d'amour et de bonheur sur notre chemin, c'est cela que je vous souhaite.
Cynthia Chevalier. Le chant de l'âme
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luma-az · 1 year ago
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Le serre-tête licorne
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 19 août 
Thème : Vulgaire/mot-valise
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Tu me fais honte ! Tellement honte !
Quand je pense à toutes ces années que j’ai passé à essayer de t’inculquer des valeurs ! Des manières ! Et toi tu jettes tout ça aux orties pour te comporter comme un délinquant ! Une trainée ! Une… trailinquant ! Exactement ! Oui, j’invente des mots, et alors ? Il faut au moins ça pour être à la hauteur de tes idées grandioses !
Non mais je te jure. Te filmer dans cette tenue, quelle indécence ! Avec ce stupide serre-tête de licorne ! Et des paillettes partout ! Heureusement que les voisins ne t’ont pas vu, tu imagines ce qu’ils diraient ? Qu’est-ce qu’ils penseraient de moi, je te le demande ! Que j’élève mes enfants pour devenir des… des gens vulgaires. Voilà ce qu’on va penser de moi ! Tu es content de toi ?
Maintenant tu arrêtes tes bêtises, tu nettoies toute cette peinture que tu t’es barbouillé sur le visage et tu vas mettre une tenue correcte ! Je ne veux plus jamais te voir comme ça, j’espère que c’est bien clair !
Comment ça, tu filmes encore ? Ça veut dire quoi ça encore, « en live » ?
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aurianneor · 7 months ago
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Travail, le tout ou rien.
Dans l’Antiquité grecque, romaine et orientale, le travail était vu comme un mal nécessaire. Si c’était possible, on imposait aux autres de le faire pour soi. Les premières références au travail en Mésopotamie représentaient des Dieux qui imposaient leur tâches aux hommes, parce qu’ils étaient plus forts. La valeur dans l’Antiquité n’était pas le travail mais la connaissance, l’information et les arts.
Dans la société médiévale, le privilège des nobles était de ne pas travailler et il leur fallait éviter d’avoir des marques du travail: mains calleuses, bronzage, etc. On commence à parler du travail quand le noble force le faible à faire une corvée. On ne parlait pas de travail pour l’artisan, celui qui fabrique. Jusqu’à la Révolution Industrielle, l’artisan avec son réseau fabriquait l’intégralité d’un produit et il était payé pour le produit fini. Par exemple, on achetait un lit. Le prix était fonction de la qualité, il n’y avait pas de notion de temps de travail.
Avec la révolution industrielle, la qualité compte moins. On considère le prix. Tout est produit dans la division du travail, le travailleur se fait payer son temps. C’est la naissance au XIXème siècle de la valeur travail. L’employeur demande au travailleur de travailler le plus possible dans le temps qui lui est payé. L’église a modifié sa doctrine pour dire que l’homme pouvait se rapprocher de Dieu par le travail.
Au début du XXème siècle, le patron achète des heures, le travailleur devait donner son maximum. Avec la première guerre mondiale, une grande partie des hommes sont allés sur le front. Les femmes produisaient de l’armement. Pourtant, on constate que pour la majorité de la population en Europe, sauf en Russie qui n’était pas industrialisée, tout fonctionnait normalement: magasins, services publics, etc. Quand les soldats sont revenus du front, il fallait des salaires à plein temps pour les employer. En 1920, Bertrand Russel se demande pourquoi. Pourquoi demander aux hommes et aux femmes de travailler du matin au soir alors que d��après ses calculs de l’époque, la société fonctionnerait grâce aux progrès techniques normalement en faisant travailler les gens 4 heures par jour, 4 jours par semaine. Pourquoi le citoyen doit choisir entre travailler de toutes ses forces et de toute sa santé jusqu’à l’exténuation ou être destitué, perdre tout? Si le travail mène à la sainteté, pourquoi les nobles ne travaillent pas? N’aspirent-ils pas eux aussi à la sainteté? Que faire de ceux qui n’ont pas de travail? Dans les années 20, se multiplient les sans-abris dans les rues des villes européennes.
Pourquoi ne pas partager le temps de travail?
L’absurdité ne s’arrête pas là. Dans les années de l’après-guerre, l’économie a essayé de devenir une science. Les économistes ont démontré que l’évolution de la productivité vient essentiellement de l’évolution des méthodes de travail et pas du temps de travail. Pour produire plus de voitures dans la même usine, cela ne dépend pas de la charge d’effort des travailleurs mais des méthodes de travail.
Des les années 50, les économistes ont montré qu’augmenter l’effort des travailleurs diminue la productivité à cause du manque de concentration des travailleurs et des accidents du travail. Cela coûte à la société et pollue: les burn-outs, les anti-dépresseurs, les maladies liées à la sédentarité et la mal-bouffe, la garde des enfants dont certains deviennent délinquants, les trains et autoroutes nécessaires pour que les gens aillent tous au travail le matin et rentrent ensemble le soir, etc. La nécessité de travailler se paie aussi sur le plan humain: harcèlement, suicides, abus, acceptation de conditions de travail dangereuses, isolement, etc.
Pourquoi les emplois qui fournissent les plus grands services sont ceux qui ont le plus de travail et sont les moins payés: travailleurs en crèche, infirmiers, policiers, etc?
Le problème n’est pas économique. Pour gagner plus, il faut travailler moins.
Dans la société en général, on accepte communément qu’il faut travailler jusqu’à épuisement: regardez les infirmiers, les cuisiniers, etc. 75% de nos représentants sont des propriétaires immobiliers ou avec des actions en bourses, qui vivent sans travailler, qui sont les plus riches.
La valeur travail est une notion toxique. Celui qui travaille, c’est le serviteur et celui qui ne travaille pas, c’est le maître. Rien n’a changé. Forcer les gens à travailler pour survivre via le salaire, c’est utiliser par le biais du travail ce que la révolution française avait détruit en supprimant les privilèges.
Le travailleur est contraint de travailler, sinon il n’a droit à rien. Il faut avoir les exemples de gens destitués qui servent d’épouvantails pour pouvoir contrôler les autres. Travailler dur n’est pas une qualité, c’est pas un but et ce n’est pas viable économiquement. Se lever tôt et travailler tard n’apporte rien.
De plus, ceux qui détruisent les emplois en délocalisant ou en utilisant une concurrence déloyale (produits à l'étranger dans de mauvaises conditions sociales et environnementales) sont les premiers à traiter de fainéants ceux qui ont perdu leurs sources de revenu et qui ne peuvent pas trouver d'emploi.
L’objectif devrait être d’apporter quelque chose à la société, de rendre service, de créer des choses utiles, de faire attention à la qualité de son travail.
Le partage du travail et des richesses est nécéssaire pour supprimer la société des privilèges et des classes. C’est économiquement viable.
Mettre les gens au travail pour assurer le contrôle de la population, c’est anti-démocratique. En effet, comment s’occuper de la politique, de son alimentation, de l’éducation de ses enfants ou de ses aînés si on est épuisé par son travail. Priver les citoyens d’oisiveté, c’est les contrôler.
Le travail c’est la sainteté – Cathédrale de Perpignan: https://cathedraleperpignan.fr/le-travail-cest-la-saintete/
Le Temps des ouvriers – 4 épisodes – arte campus: https://campus.arte.tv/serie/le-temps-des-ouvriers-tous-les-episodes
Valeur travail (idéologie) – Wikipedia: https://fr.wikipedia.org/wiki/Valeur_travail_(id%C3%A9ologie)#:~:text=Au%20XIX%20e%20si%C3%A8cle,-Au%20d%C3%A9but%20du&text=%C3%80%20la%20fin%20du%20si%C3%A8cle,revenus%20se%20mettent%20en%20place
Roger & Me – Michael Moore – 1985: https://en.wikipedia.org/wiki/Roger_%26_Me
Éloge de l’oisiveté – Bertrand Russell – Wikipedia: https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89loge_de_l’oisivet%C3%A9
Pourquoi les personnes occupant un emploi “essentiel” sont-elles si mal payées ? – Bruno Palier- Sciences Po – Hal Open Science: https://sciencespo.hal.science/hal-03102794v1/document
Rythmes de travail… et cadences infernales – Work pace setting and control Pierrette Sartin – Erudit: https://www.erudit.org/fr/revues/ri/1970-v25-n2-ri2811/028126ar.pdf
Bullshit jobs – David Graeber – Wikipedia: https://fr.wikipedia.org/wiki/Bullshit_jobs
Moi, Christiane F., 13 ans, droguée, prostituée…– Christiane V. Felscherinow: https://www.babelio.com/livres/Felscherinow-Moi-Christiane-F-13-ans-droguee-prostituee/9577
Plus rien – mickey3d: https://youtu.be/phy1WOyQUYI?si=tfM6pjhRZ3oStzRK
youtube
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4-day workweek: https://www.aurianneor.org/4-day-workweek/
Work: https://www.aurianneor.org/work-work-1915-charlie-chaplin/
Donner ou pas donner?: https://www.aurianneor.org/donner-ou-pas-donner-donner-de-largent-a-un/
Le revenu de base, c’est possible: https://www.aurianneor.org/le-revenu-de-base-cest-possible-the-instrument/
Depuis que j’ai arrêté de travailler Et que j’ai recommencé à réfléchir, J’y gagne!: https://www.aurianneor.org/depuis-que-jai-arrete-de-travailler-et-que-jai/
Marche à l’ombre: https://www.aurianneor.org/marche-a-lombre-quand-l-baba-cool-cradoque-est/
Fée du logis, fait tout sans travailler: https://www.aurianneor.org/fee-du-logis-fait-tout-sans-travailler-legalite/
Le mépris, c’est pas automatique: https://www.aurianneor.org/le-mepris-cest-pas-automatique/
Rob the poor to feed the rich: https://www.aurianneor.org/rob-the-poor-to-feed-the-rich/
Les humiliés de la République: https://www.aurianneor.org/les-humilies-de-la-republique/
Comment regagner la confiance?: https://www.aurianneor.org/comment-regagner-la-confiance/
Liberté et vivre ensemble: https://www.aurianneor.org/liberte-et-vivre-ensemble/
Limiter la richesse individuelle: https://www.aurianneor.org/limiter-la-richesse-individuelle/
Vivre dignement: https://www.aurianneor.org/vivre-dignement/
L’ absentéisme au travail: https://www.aurianneor.org/l-absenteisme/
Ma valeur n’est ni marchande ni raciale: https://www.aurianneor.org/ma-valeur-nest-ni-marchande-ni-raciale/
La part du gâteau: https://www.aurianneor.org/la-part-du-gateau/
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christian-dubuis-santini · 26 days ago
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Science et vérité: de la différence entre connaissance et savoir
Il n’y a de savoir que de lalangue.
Le psychanalyste établit une différence notable entre: “connaissance” (S2) et “savoir” (S1—>S2)
«Le savoir ne s’acquiert pas par le travail, et moins encore la formation qui du savoir est l’effet.
Ce qui n’est nullement dénier le savoir du travailleur, voire si l’on veut, du peuple, mais affirmer que pas plus que les savants, il ne l’acquiert par son travail.
Galilée, ni Newton, ni Mendel, ni Gallois, ni le mignon petit James D. Watson ne doivent rien à leur travail, mais à celui des autres, et leurs trouvailles se transmettent en un éclair à qui a seulement la formation qui s'est produite de court-circuits du même ordre, et numérisables, même si l’ennui scolaire en a éteint la mémoire.
N’importe quelle mère de famille sait que la lecture est un obstacle à son travail, le premier manœuvre venu que c’en est l’échappatoire, l’ouvrier communiste, qu’il y prend ses lettres de noblesse.» (Lacan)
La différence entre le savoir et l’acquisition de connaissances, qui, elle, procède de l’apprentissage, est probablement ce qui fait que dans la psychanalyse, on enseigne ; on continue d'enseigner tout en sachant que c'est intransmissible.
Cela ne veut pas dire que l’on enseigne quoi que ce soit. Autrement dit que l’enseignement soit une transmission de savoir.
Il se pourrait même que l’enseignement soit l'obstacle principal à la conquête du savoir.
Il n’y a de savoir que savoir de lalangue, écrit comme ça, en un mot, car tout savoir véritable est marqué du sceau de la jouissance, et il ne saurait y avoir de savoir que joui.
Loin de se situer en opposition à la pratique , la théorie - ce qui s'appelle à proprement parler “théorie”, du Grec theoria qui veut dire vision - est ce qui naît de la pratique pour en éclairer les modalités concrètes.
Le plus important, dans l'enseignement, c'est ce qui se passe, la valeur du savoir tient de l'usage que l'enseignant en fait - et donc sa façon singulière d'en jouir, plutôt que de son “échange”…
Lacan est très sévère avec le discours universitaire qui se trouve dans un rapport radical d’antipathie avec le discours de l’analyste. L'acquisition de connaissances du discours universitaire est à mettre au compte de la passion de l'ignorance, le savoir concerne autre chose, ce bout de Réel dont, en tant que sujet, je EST affligé, et que seul le discours de l’analyste, qui est de structure mœbienne, permet d’amener au jour.
«Le statut du savoir implique comme tel qu’il y en a déjà du savoir, et dans l’Autre, qu’il est à prendre en deux mots, c’est pourquoi il est fait d’apprendre en un seul mot. Le sujet résulte de ce qu’il doive être appris, ce savoir, etmême mis a-prix, p.r.i.x., c’est-à-dire que c’est son coût qui l’évalue non pas comme d’échange mais comme d’usage. Le savoir vaut juste autant qu’il coûte beaucoup en deux mots et c.o.û.t. avec un accent, beau-coût de ce qu’il faille y mettre de sa peau, de ce qu’il soit difficile, difficile dequoi ? Eh bien moins de l’acquérir que d’en jouir. Là dans le jouir, sa conquête à ce savoir, sa conquête se renouvelle dans le chaque fois que ce savoir est exercé, le pouvoir qu’il donne restant toujours tourné vers sa jouissance. Il est étrange que ceci n’ait jamais été mis en relief, que le sens de savoir soit tout entier là, que la difficulté de son exercice lui-même, c’est cela qui réhausse celle de son acquisition.» (Encore – 20 mars 1973)
Lorsque Gérard de Nerval dit: «Le premier qui a comparé la femme à une fleur était un poète, le deuxième un imbécile», il pointe le statut de la vérité qui fait structure de tout discours.
La vérité n’est pas à confondre avec l’exactitude ni le vrai.
Un énoncé peut être parfaitement exact — une formule de Lacan par exemple ! — cela ne signifie pas que le locuteur dit la vérité.
Il n’y a pas plus contradictoire à l’enseignement de Lacan que d’ânonner ses énoncés sans y mettre tout le poids de sa propre énonciation.
Il n’y a pas pire trahison de l’enseignement de Lacan que de rabattre ses énoncés sur la structure du Discours Universitaire, qu’il taxait lui-même de Discours du Maître perverti, celui de «la honte» que les soi-disant psychanalystes ont «à revendre»…
La vérité n’a pas de contraire, elle ne prend pas son statut de l’exactitude de tel ou tel énoncé mais des conséquences réelles à venir pour le sujet qui l’énonce.
Sans un risque réel pris par le sujet de l’énonciation — celui qui importe vraiment — l’énoncé peut être vrai, il n’en est pas moins exempt de vérité.
Le seul savoir auquel j’aie accès, c’est la fente dont se définit le sujet, le réel dont je “est” affligé.
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aurevoirmonty · 2 months ago
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« Le socialiste est celui qui sert le bien commun sans renoncer à son individualité, à sa personnalité ou au produit de son efficacité personnelle. Le terme "socialiste" que nous avons adopté n'a rien à voir avec le socialisme marxien. Le marxisme est contre la propriété privée, ce qui n'est pas le cas du véritable socialisme. Le marxisme n'accorde aucune valeur à l'individu, à l'effort individuel ou à l'efficacité ; le véritable socialisme valorise l'individu et l'encourage à l'efficacité individuelle, tout en estimant que ses intérêts en tant qu'individu doivent être en accord avec ceux de la communauté. Toutes les grandes inventions, découvertes et réalisations ont d'abord été le produit d'un cerveau individuel. On m'accuse d'être contre la propriété, d'être athée. Ces deux accusations sont fausses. »
Adolf Hitler, le 28 décembre 1938
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lisaalmeida · 6 months ago
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Combien d'hommes j'ai entendu dire qu'ils voulaient une femme intelligente dans leur vie !
J ' aimerais les encourager à y penser. Les femmes intelligentes Elles prennent des décisions elles-mêmes, ont leurs propres désirs et fixent des limites. Tu ne seras jamais le centre de leur vie parce qu'elle tourne autour de soi.
Une femme intelligente ne sera pas manipulée ou fait chanter, elle n'avale pas la culpabilité, elle prend des responsabilités.
Les femmes intelligentes remettent en question, analysent, argumentent, elles ne sont pas satisfaites, elles avancent.
Ces femmes ont eu la vie avant vous et elles savent qu'elles continueront à l'avoir quand vous partirez. Elles sont là pour vous prévenir, pas pour demander la permission.
Ces femmes ne cherchent pas un leader à suivre chez leur partenaire, un père qui résoudra leur vie ou un enfant à sauver. Elles ne veulent pas vous suivre ou diriger le chemin vers personne, elles veulent marcher à vos côtés.
Elles savent que la vie sans violence est un droit, pas un luxe ni un privilège.
Elles expriment la colère, la tristesse, la joie et la peur, car elles savent que la peur ne les rend pas faibles, de la même façon que la colère ne les rend pas ′′ masculins ".
Ces deux émotions et les autres, ensemble, la rendent humaine.
Et maintenant Une femme intelligente est libre car elle s'est battue pour sa liberté.
Mais ce n'est pas une victime, c'est une survivante.
N ' essayez pas de l'enchaîner parce qu'elle saura comment s'échapper.
Rappelez-vous que vous l'avez déjà fait avant.
La femme intelligente sait que sa valeur n'est pas dans l'apparence de son corps ou ce qu'elle en fait.
Réfléchis deux fois avant de la juger par âge, hauteur, volume ou comportement sexuel, car c'est de la violence émotionnelle et elle le sait.
Donc... avant d'ouvrir la bouche pour dire ce que tu veux à une femme ′′ intelligente ′′ dans ta vie, demande-toi si tu es vraiment fait pour s'adapter à la sienne.
* Gabriel García Marques *
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chic-a-gigot · 3 months ago
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L'Art et la mode, no. 45, vol. 17, 7 novembre 1896, Paris. Fibre Chamois. Soutien Durable. Economie. Solidité. Légereté. Bibliothèque nationale de France
Les nombreuses imitations sans valeur de la Fibre Chamois nous obligent de rappeler l'attention de nos Clientes sur ce fait, que tous les mètres de l'article véritable portent une petite étiquette rouge avec les mots Fibre Chamois en lettres blanches.
Si vous ne voulez pas être obligées de redoubler vos costumes entièrement, exigez de vos fournisseurs une facture constatant que l'on vous à livré de la Fibre Chamois véritable.
Fibre Chamois. Durable Support. Economy. Strength. Lightness.
The many worthless imitations of Fibre Chamois oblige us to call the attention of our customers to the fact that every meter of the genuine article bears a small red label with the words Fibre Chamois in white letters.
If you do not want to be obliged to re-line your suits entirely, demand from your suppliers an invoice stating that you have been supplied with genuine Fibre Chamois.
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coovieilledentelle · 2 months ago
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La vie n'est pas facile. Elle est faite de bouleversements, et d'intempéries, de joies et d'illuminations, et c'est ce qui la rend aussi fantastique. Se réjouir des belles choses, qu'elle y dépose, autant que des imprévues, qui nous bouleversent l'esprit, c'est l'apprécier à sa juste valeur. On rit. On crie. On pleure. On sourit. On s'éloigne. On se retrouve. On s'embrasse. On s'enlace. L'existence est un tourbillon émotionnelle, mais sans cela, elle ne serait pas réelle. Je vous souhaite une belle soirée
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vhscorp · 8 months ago
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Une des pires blessures qui puissent exister, c’est la honte de soi-même, ce sentiment terrible et destructeur d’indignité, de non-valeur, de nullité, qui conduit à se cacher sans cesse, à s’isoler, à ne jamais se sentir à sa place, qui parfois même amène à penser qu’on aurait préféré ne pas exister…
V. H. SCORP
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abridurif · 7 months ago
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Comme je l’ai déjà dit, la perspective que mes affaires soient archivées m’effraie. Il vaudrait mieux les détruire avant. Mais elles me servent ; toutes ces pages, photos, tous ces documents accumulés, il me les faut parfois pour écrire. Car je ne me souviens pas de tout. L’écriture est une mémoire externe. On sort de soi des faits, des impressions, des réflexions pour les archiver. Nous disposons ainsi d’une base de souvenirs. Mais je ne peux m’empêcher d’y voir aussi une déchetterie. Je m’explique : l’écriture, la disposition à écrire des phrases, quelle qu’en soit la valeur, plutôt que les garder pour soi, la volonté de publier un écrit, c’est les jeter dans la poubelle publique. Dans mon cas, écrire n’a rien à voir avec le besoin de laisser une trace. Les papiers archivés dans des boîtes, classeurs, valise ne sont pas voués à me survivre ; ils me sont utiles au présent. Ils me servent à réfléchir à toutes sortes de choses. Le sens des situations subsiste mais souvent les détails des souvenirs s’estompent ou, au contraire, il ne me reste qu’un détail et ce détail fait écran à la totalité. Que faire de mes archives pour qu’elles ne passent pas en d’autres mains ? Les détruire ? Ou les garder en espérant pouvoir tout liquider avant ma mort ? Gaëlle Obiégly, Sans valeur, Bayard Éditions, 2023
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kilfeur · 1 month ago
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Quelque chose que j'ai bien aimé est comment le trio Terry, Aaravos et Claudia et celui de Callum, Runaan et Rayla se contrastent. Aaravos manipule Terry avec l'accord à contre coeur de Claudia malgré ses moments de sincérités et de manipulation avec elle. Et s'impose justement entre la relation de Claudia et Terry. Runaan en revanche, est silencieux et ne s'impose pas vraiment. Tandis que Rayla souhaite ramener Runaan chez lui même si ce serait sans elle. Les seuls moments où justement il s'impose c'est celui du bannissement de Rayla ou quand Callum l'agace à répéter les mêmes choses car il était nerveux. Et même dans le combat entre Claudia et Callum, il préfère attendre avant de décocher sa flèche pour décider du sort de la jeune fille. Montrant que justement, il le reconnait à sa propre valeur.
Something I liked was how the trio of Terry, Aaravos and Claudia and that of Callum, Runaan and Rayla contrast with each other. Aaravos manipulates Terry with Claudia's reluctant agreement, despite his moments of sincerity and manipulation with her. And imposes himself right between Claudia and Terry's relationship. Runaan, on the other hand, is silent and doesn't really impose himself. Rayla, on the other hand, wants to take Runaan home, even if it means without her. The only time he imposes himself is when Rayla is banished or when Callum annoys him by repeating the same things because he was nervous. And even in the fight between Claudia and Callum, he prefers to wait for him before shooting his arrow to decide the girl's fate. Showing that he recognizes Callum for his own worth.
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jamie-007 · 10 months ago
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« J'ai entendu ma mère demander du sel aux voisins. Mais nous avions du sel dans la maison. Je lui ai demandé pourquoi elle demandait du sel aux voisins. Et elle m'a répondu : —Parce que nos voisins n'ont pas beaucoup d'argent et souvent ils nous demandent quelque chose.
De temps en temps, je leur demande aussi quelque chose de petit et peu coûteux, pour qu'ils sentent que nous aussi nous avons besoin d'eux. De cette façon, ils se sentiront plus à l'aise et il leur sera plus facile de continuer à nous demander tout ce dont ils ont besoin ».
Le respect de la dignité humaine est sans doute, un des plus nobles sentiments.
Et c'est exactement ce que j'ai appris de mes parents... construisons des enfants empathiques, humbles, solidaires et d'autres valeurs à mettre en valeur..!!!...✨
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camisoledadparis · 1 month ago
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saga: Soumission & Domination 357
24h du Mans moto-3
18/04 suite :
En attendant nous passons notre temps entre mater la course et se balader le long du circuit. Bon d'accord je mate aussi les petits culs quand ils sont bien mis en valeur par les pantalons ou les combis en cuir. On croise quand même un bon nombre de petits mecs qui accompagnent leurs pilotes !
Ils sont reconnaissables à différents détails : une différence d'âge limite père/fils, des physiques disparates avec souvent un des deux typé " crevette ", et pour celui-ci une tenue plus soignée que celle du motard de base qui privilégie le confort à l'esthétisme. Ils répondent sans pudeur par un grand sourire à mes clins d'oeil quand nos regards se croisent.
On se retrouve tous pour diner. Bon ça prend une bonne demi-heure pour que nous soyons tous réunis mais nous sommes au complet pour nous restaurer. Nous choisissons la " gargote " en fonction de sa capacité à nous recevoir tous.
La nuit tombe sur le circuit et l'ambiance change. Malgré la fraicheur qui tombe, l'alcool ingurgité tout l'après-midi commence à faire des effets sur un bon nombre de spectateurs. Ça va des mecs qui cuvent sur un talus à ceux qui n'en sont pas loin mais gerbent le surplus sans compter les mauvais coucheurs qui interpellent ceux qui passent à leur portée dans le but inavoué de déclencher une bagarre.
Notre groupe décourage les emmerdeurs même si nous sommes moins discrets et que les couples qui le compose sont évidents, plus collés/serrés.
Mais nous tombons sur un groupe d'Anglais inconscients. Ils sont une 10aine et nous aussi puisque l'autre moitié de notre groupe nous suit à plus de 20 mètres derrière. Ils sont plein de bière et nous insultent. Même si nous leur faisons savoir que nous sommes tout à fait d'accord avec eux quand ils nous traitent de PD, ils n'en restent pas là et veulent vraiment se battre. Nous sommes dans une partie peu fréquentée du circuit et ils se pensent vraiment au-dessus de nous avec leurs physiques lourds !
On essaye de leur faire comprendre que ce ne serait pas raisonnable pour eux de continuer à nous chercher mais ils sont sourds, les oreilles bouchées par l'alcool ingurgité en grande quantité.
La première ligne anglaise laisse passer ceux qui étaient derrière. Eux sont armés de chaines. Moins drôle tout à coup ! Heureusement nous sommes tous équipés de cuir et les renforts vont nous servir.
Je pense qu'ils se sentent réglos en avançant un par un.  J'engage le premier qui se présente. Contrairement à ce que son alcoolisation pourrait le faire penser, il est encore très lucide ! On fait à peu près la même taille mais il me semble plus lourd.
J'attends qu'il fasse le premier pas. Il me fonce dessus. Je tente un truc qui devrait, si cela marche, l'arrêter direct. Il s'agit de frapper très fort avec le plat de la main situé à l'aplomb du bras sur le front de l'agresseur. Selon la théorie, car c'est évident qu'on n'a pas essayé ça entre nous, ça doit stopper un boeuf.
Je tente et frappe à l'endroit voulu. Ça marche !! Le mec tombe à mes pieds. Par contre le choc en retour est costaud.
Ses potes sont sidérés. Ça devait être leur leader car ils restent comme des cons sans réagir. Un des internes s'occupe du mec que j'ai couché. Il nous rassure tous, oui même moi. Le mec est juste assommé. Les copains nous rejoignent. Ça finit de dissuader les anglais qui repartent avec leur pote.
On rejoint des lieux plus éclairés en discutant de l'efficacité de ma riposte. Nos deux gendarmes ne connaissaient pas et trouvent ça plutôt pratique. PH et Ludovic sont un peu déçu que le reste de la troupe n'ai pas suivi et me reprocheraient même d'avoir été trop rapide. Ils se font remonter les bretelles par Marc et nos représentants de l'ordre public. On était là pour la course pas pour se faire un tableau de chasse.
Frank me dit avoir filmé la scène avec son smartphone. On s'isole et je mate la vidéo. On voit bien le geste. Je lui dis qu'il devra me l'envoyer pour que je le passe à notre prochaine séance d'entrainement.      
On s'approche de la zone du concert. La foule est dense pour écouter les Wampas. On passe un bon moment entre musique et " gesticulations ".
Un nouveau tour du côté de la piste et comme minuit est passé nous rentrons dormir un peu. Pas un chat sur la route, nous mettons 5mn pour arriver au château.
Notre hôte n'est pas encore couché. J'en profite pour lui donner son t-shirt. Il est tout content et nous accompagne pour l'en cas que nous avions prévus. Alors qu'il apporte les plats avec l'aide de quelques-uns d'entre nous, Frank branche son portable sur l'écran plat. Les professionnels (gendarmes) et même les autres regardent le geste que j'ai fait et l'analysent.
On critique le mouvement et je leur explique que si ça mis le mec au tapis, ce n'est pas sans douleur au poignet au moment du choc. Donc c'est le genre de truc à ne pas louper. Les médecins expliquent le phénomène. Ça ressemble au KO d'un boxeur. Le choc au front entraine un traumatisme du cerveau et une perte de connaissance. Les lobes situés à l'avant du cerveau contrôlent la parole et le langage, le raisonnement, la mémoire et divers autres fonctions dont et surtout les mouvements. Le lobe frontal droit gère les mouvements du côté gauche du corps, et inversement pour le gauche.
Donc quand on choque cette partie du cerveau avec une force suffisante, on obtient une immobilisation temporaire immédiate.
J'explique que c'est la première fois qu'on met en oeuvre cette parade. Ils rient et nous disent d'éviter de nous entrainer sur nous-même. Chaque choc à la tête provoque la destruction de centaines de neurones.
Ils nous disent aussi que ce n'est qu'en dernier recours que nous devrions avoir recours à cette parade. Les risques sont important pour le frappé d'avoir des séquelles importantes si le choc est trop fort.
On en prend note et les assurons que nous l'utiliserons qu'en arme ultime.
Nos faims calmées nous partons dormir un peu.
19/04 :
Réveils décousus sur une bonne heure. Je suis le premier debout et part vite plonger dans l'eau me réveiller et détendre mes muscles. Quand je sors de l'eau, le cuisinier m'apporte un café accompagné d'un croissant tout frais. Je lui dis de rester là et pars chercher son t-shirt dans le sac resté dans l'entrée. Quand je reviens il est toujours planté à côté de la table de jardin. Je lui tends le bout de tissu. Il le déplie, lit l'inscription et me remercie qu'il ne fallait pas. Je lui dis que c'est pour le remercier de nous avoir sacrifié son WE. Je m'approche de lui, retire le t-shirt basique blanc qui recouvre son torse et après m'être rincé l'oeil, lui dit d'enfiler le nouveau. La taille est bonne, c'est-à-dire 1 en dessous. Ça le moule bien et on devine le modelé de ses abdos. Pour les pecs, c'est évident et de profil même ses tétons sont visibles !
Quand il repart en cuisine je lui sors un " bonne chance maintenant pour éviter de te faire violer ". Il se retourne et me remercie du compliment.
Mes acolytes se réveillent dans le désordre et me rejoignent, les yeux encore collés, qui les cheveux en bataille quand ce n'est pas les deux à la fois.
Comme prévu, ce sont des sifflements qui sortent de toutes les bouches quand le cuisinier apporte les plateaux de bouffe. Mes amis attendent quand même qu'il les ait déposés avant de passer leurs mains dessus, justes pour apprécier le-t-shirt bien sûr !!
Nous arrivons à le faire bander même s'il n'est pas persuadé de baiser avec nous !
Donc petit déjeuner, douches, enfilage des combis et on saute sur nos motos pour rejoindre le circuit. Nous arrivons en milieu de matinée et la population debout, autour de la piste est encore dispersée. Nous sommes frais et propre par rapport à ceux qui sont restés toute la nuit dans l'enceinte du circuit. On fait le point sur les évolutions de la nuit, qui est en première place, qui en second ...
Il fait beau. Je retire mes bras du haut de ma combi et me met torse nu. Je suis imité par mes mecs (PH et Ludovic) et par la moitié de notre groupe. Ceux qui voudront nous chercher sauront à quoi s'attendre. Plus cachés sous le cuir, nos masses musculaires imberbes font dans la dissuasion.
Et c'est efficace car bien que nous ne nous retenions pas en geste tendre (sans non plus être collés tout le temps à se rouler des pelles) nous n'entendons plus les remarques homophobes de la veille et ne sommes pas pris à partie.
La journée se passe merveilleusement bien jusqu'au drapeau à damier.
Comme bon nombre de motards, nous envahissons la piste et attendons sous le podium la remise du prix et la douche de champagne. Ça parle toutes les langues autour de nous, Espagnol, Italien, Anglais bien sûr mais aussi des langues du nord, hollandais et plus septentrional encore type norvégien et suédois. Non je ne comprends pas toutes ces langues mais comme les diffuseurs agitent des drapeaux nationaux, j'arrive à deviner !
On n'est pas les seuls à être torse nu mais on est le groupe le plus homogène question muscles.
Comme j'ai loué jusqu'à demain matin, personne n'est pressé et nous laissons partir la majorité des motards avant de retrouver nos montures et rentrer au château.
Nicolas nous attendait. On se met à poil et directs dans la piscine. Comme c'est évident qu'on va baiser, pas la peine de s'encombrer de maillots ! Bonne détente musculaire et ça dérape vite. On sort de l'eau et ça s'embrasse de tous les côtés juste au moment où Nicolas arrive avec les bières fraiches.
L'un de nous veut l'entrainer dans notre délire mais il recule et me dit que son cuisinier est là et qu'il ne veut pas être en porte à faux avec lui. Je comprends. Je pars donc en cuisine chercher " l'empêcheur de tourner en rond ".
Je le trouve avec le t-shirt que je lui ai offert le matin même. Il est toujours aussi sexy. Je profite qu'il a les mains pleines pour passer mes bras autour de sa taille, lui faire un bisou dans le cou et lui dire que nous attendons qu'il nous rejoigne à la piscine. Il pose sa poêle se retourne (oui je l'avais attrapé de dos) et me dit que c'est impossible elle est réservée aux clients. Il m'énerve ! Je le bascule sur mon épaule et le porte jusqu'à la piscine où je l'envoi dedans. Puis j'avise Nicolas et lui annonce que son homme est dans l'eau et qu'on va se charger de lui apprendre à baiser des mecs. Donc, lui n'a plus de raison de se retenir, son chef cuistot ne saurait le faire chanter une fois dépucelé.
Le temps qu'on discute, les deux gendarmes et 3 autres sont dans l'eau à dévêtir le nouveau venu.
Quand il est éjecté de l'eau, il est donc tout nu et déjà bandant ! Comme quoi c'était bien la peine de me dire non !!
Nicolas est un peu gêné jusqu'à ce que Louis se mette à téter sa bite.
Moi, son cuisinier m'attire. C'est normal, je ne le connais pas ! Je dois pousser deux Bordelais pour pouvoir atteindre sa peau. Il est face à moi. Le mec est canon de corps (tête normale) surtout un bassin étroit qui porte une belle bite aux couilles rasées et pubis dégagé, raide comme un bâton.
Les deux " expulsés " me poussent dans ses bras et j'en profite. Tentative de roulage de pelle qui est finalement acceptée et même voracement acceptée. Ma bite vient au contact de la sienne et mes mains descendent de son dos pour attraper ses petites fesses. J'essaye de les écarter. Il serre ses fessiers et m'empêche quelques secondes d'accéder à sa rondelle. On continue à se mélanger nos langues et à frotter nos queues l'une contre l'autre.
Les copains me le laissent et sont partis chercher leur plaisir entre eux. Mes tétons durcissent contre les siens. Il lève ses bras pose ses mains derrière ma tête et appui histoire de me retenir au cas improbable où j'aurais souhaité le laisser tomber !
Il relâche ses muscles et j'arrive à séparer ses fesses et à poser un doigt sur sa rondelle. Je sens sa bite sursauter contre la mienne dès que le bout de mon doigt se pose sur cet endroit intime.
Je repousse ma tête, le fixe dans les yeux et lui dis " tu veux me faire croire que t'as pas envie de ma bite au fond de ton cul peut être ? ". Il m'embrasse dans le cou et me souffle que, faire ça chez son boss c'était pas évident pour lui.
C'est vrai, nous c'est facile, on est des clients mais lui, c'est Nicolas qui le paye.
Je lui dis d'ouvrir une parenthèse que demain quand on sera parti, il l'a refermera tout comme son boss et il ne restera qu'un bon souvenir pour tous.
Je descends ma tête jusqu'à ses tétons déjà raidis. Je suce, mordille. Je l'entends gémir. Je descends encore et trouve son gland juste au niveau de son nombril. Il est circoncis et gonflé à en éclater. Je m'empresse de tempérer son extrémité. J'ouvre la bouche et après l'avoir mis dedans, je joue de ma langue. Léchages langue plate, tour de sa couronne, tentative de l'enfiler dans son méat, je m'occupe bien de son bout avant de me l'enfoncer dans la gorge. Je ressens son sursaut alors que son gland passe ma glotte. J'attrape ses fesses et les tire vers moi pour bien écraser mon nez sur son pubis. Sa bite rentre profond. A vue de gorge, elle doit faire dans les 21cm. Je m'étouffe puis recule pour respirer puis recommence. Je l'entends au-dessus de moi gémir que c'est trop bon.
Je me redresse et on se roule une nouvelle pelle. Il est encore plus chaud qu'avant. A son tour, il glisse contre moi et sans arrêt part directement chercher ma queue. Sa pipe est bonne mais pas du niveau de la mienne. Il s'y essaye pourtant et s'étrangle deux fois avant de se contenter de me téter le gland. Il l'aspire collant ses joues contre lui. Il gonfle ses joues pour avoir la place d'en faire le tour avec sa langue.
C'est pas mauvais non plus !
C'est lui-même qui se redresse et me tourne le dos tout en restant collé contre moi. Il roule du bassin jusqu'à ce que ma bite se calle entre ses fesses. Là, il contracte ses muscles et elle se retrouve emprisonnée alors que je suis toujours dehors ! Pas mal du tout !!
Je glisse entre elle comme un hétéro entre deux seins ! Mais c'est meilleur car plus de compression.
Je mordille son cou et lui souffle à l'oreille que j'adorerai lui défoncer la rondelle. Réponse : " pareil ", " enfin non, je veux ta bite en moi ". Bon on est sur la même longueur d'onde, c'est tout bon.
Je me kpote et lui enduit le trou de gel. Bon je lui enfonce quand même deux doigts bien profond pour graisser l'entrée. Ils rentrent facile. Je les remplace par ma bite. Je pousse doucement je lui laisse le temps de se détendre. J'accentue ma pression et mon gland pénètre son ampoule anale. Je cesse de pousser le temps qu'il s'habitue à ma présence. En fait j'attends et c'est lui qui relance la pénétration en se reculant.
Je termine d'un coup sec et pose mes hanches contre ses fesses. Dieu que c'est bon un cul nouveau ! J'y vais doucement les trois/quatre premiers assauts.  Je monte en puissance. Il encaisse bien et prend du plaisir sous mes coups de boutoirs. Sa rondelle se crispe par moment et amplifie mon propre plaisir. Je me couche sur son dos et lui affirme que je suis bien dans son cul mais que je ne suis sûrement pas le premier. Il tourne la tête, me sourit et me confirme le fait. Il ajoute que ce n'est quand même pas sa pratique habituelle et que sa dernière sodo remontait à quelques mois quand même.
Sans cesser notre emboitement mouvementé, on mate un peu les autres baiseurs. Il rigole de voir son patron dans sa position, avec un gendarme à chaque extrémité. Je fais un panoramique. Mes mecs sont bien occupés aussi. Ludovic est en train d'enculer le Louis de Frank avec ce dernier planté dans son cul. PH lui est occupé avec deux de nos bordelais. Kamal lui s'éclate la rondelle sur la méga-bite du Lad.
La baise est intense. Entre les gémissements on peut distinguer des " Fuck ", des " t'es trop bon toi ", des " plus fort ". Tout va bien !!
Quand la baise est finie, nous mettons tous la main à la pâte pour finir la préparation du diner et ce malgré les refus répétés de Nicolas et de son cuisinier.
C'est sûr qu'il ne faudrait pas que la DDPP se pointe pour une visite sanitaire. Voir des mecs en maillot dans la cuisine, ça passerait pas !
Soirée calme puis gros dodo en prévision des retours.
Jardinier
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hard--headed--woman · 8 months ago
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Et puisque je vois tous les partis de gauche et leurs sympathisants pleurer, se plaindre et manifester, je tiens à dire que je blâme totalement la gauche et en particulier LFI pour ce qui est en train de se passer. Au bout d'un moment il faut arrêter de pleurer parce que l'extrême droite avance considérablement et affronter la réalité en face : si les gens votent de plus en plus à l'extrême droite, c'est parce que la gauche (et la macronie, je ne l'oublie pas) est une immense blague qui a oublié ses valeurs de base, ne sait rien faire d'autre que dire "bloquons l'extrême droite!" et agir/parler/proposer des mesures juste pour provoquer celle-ci, qui n'a aucun argument solide pour quoique ce soit et débite un tas de conneries absolument incommensurable à la minute. Macron nous baise continuellement depuis 2017 et la gauche est remplie de clowns, évidemment que les gens se tournent vers l'extrême droite. Maintenant essayez de trouver d'autres convictions que "ouin ouin l'extrême droite est dangereuse bloquons la" et "légalisons tout et n'importe quoi sans réfléchir juste parce que la droite s'y oppose!" (façon de penser qui, d'ailleurs, a offert le pouvoir deux fois à Macron) et peut-être que l'extrême droite cessera d'avancer, parce qu'à ce rythme là après l'Europe on aura Bardella pour président bientôt.
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francaistoutsimplement · 1 month ago
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Bayrou ! combien ?
Dans le monde industriel ou commercial, on appelle çà des "consommables" le plus souvent des objets sans grande valeur....
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