#médiocrité des relations
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La réciprocité.
La réciprocité ce concept qui m'est si cher, qui m'a sauvé. Recevoir ce que l'on mérite... Ce n'est pas donner dans l'espoir de recevoir mais c'est avoir conscience de sa valeur et de ce que l'on mérite. C'est choisir des relations où l'on ne se contente pas de miettes d'amour... C'est être en osmose avec l'autre parce qu'on est sur la même vibration et qu'on reçoit autant d'amour qu'on en donne. C'est aussi avoir le recul d'analyser nos relations et de savoir dire stop quand en face on a pas de réciprocité. C'est fuir la médiocrité des relations à sens unique... C'est arrêter de se dévaloriser en se donnant sans recevoir de considération. C'est savoir mettre fin à des situations où l'on s'investit sans jamais que nos efforts soient vus. Je pense qu'on récolte ce que l'on sème et que si ce n'est pas le cas c'est soit qu'on sème (s'aime) mal soit qu'on sème au mauvais endroit. Je vous souhaite d'apprendre à semer aux bons endroits afin de récolter ce que vous méritez, et d'avoir la lucidité d'arrêter de semer quand vos efforts ne paient jamais. Quand on en prend conscience, et qu'on change ce qui peut l'être, alors apparaissent des fleurs d'amour et de bonheur sur notre chemin, c'est cela que je vous souhaite.
Cynthia Chevalier. Le chant de l'âme
#réciprocité#conscience de sa valeur#relations d'amour#osmose avec l'autre#même vibration#recul#médiocrité des relations#sans considération#mettre fin à des relations#apprendre à semer#apparition des fleurs
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Pour Lacan, ce que découvre Freud dans le Witz n’est rien d’autre que la loi qui permet de structurer des manifestations de l’inconscient aussi diverses que le rêve, le symptôme, l’acte manqué, le lapsus… sans oublier le trait d’esprit lui-même (qui est la traduction qu’il privilégiera pour "Witz"). Dans son séminaire Les formations de l’inconscient, il insiste par trois fois pour que les analystes présents relisent Le mot d’esprit et sa relation à l’inconscient de Freud (non sans signaler au passage la médiocrité de la traduction française)...
On se souvient que dans cet écrit, pour tenter de discerner le comique, l’humour et leur rapport au trait d’esprit à proprement parler, l’inventeur de la psychanalyse fait plusieurs fois appel à la sophistique du marieur juif: un marieur défend contre les critiques d’un jeune homme, la jeune fille qu'il lui propose:
«La belle-mère, dit celui-ci, ne me plaît pas, c'est une personne méchante et bête.»
«Vous n'épousez pas la belle-mère, mais la fille.»
«Mais elle n’est plus jeune ni belle non plus.»
«Peu importe, moins elle sera jeune et belle, plus elle vous sera fidèle.»
«Il y a bien peu d'argent.»
«Qui parle d'argent! Est-ce l'argent que vous épousez? C'est bien une femme que vous voulez!» «Mais elle est bossue!»
«Que voulez vous! Il vous faut donc une femme sans défauts?»
Il s'agit, en réalité, d'une demoiselle plus très jeune, sans argent ni beauté, nantie d'une mère repoussante et gratifiée au surplus d'une grave difformité. Ce ne sont pas là des conditions attrayantes pour un épouseur. À chaque défaut, le marieur trouve des arguments qui permettent de s'en accommoder: il ne concède comme seul défaut que la bosse, défaut dont tout le monde doit convenir.
Voilà encore l'apparence de logique, caractéristique du sophisme, et destinée à couvrir la faute de raisonnement. La demoiselle n'a évidemment que des défauts, les uns sur lesquels on pourrait passer, et un dernier qui crève les yeux. Il est donc impossible de l'épouser. Le marieur feint d'avoir éliminé chacun des défauts par l'excuse qu'il leur trouve, bien que, malgré ses efforts il reste que chacun d'eux équivaille à une dévalorisation qui s'ajoute à la suivante. Il s'attache à chaque facteur isolément et refuse d'envisager leur somme.
Cette même omission est le nœud d'un autre sophisme, dont on a beaucoup ri, bien que l'on puisse douter de son caractère de mot d'esprit. A. a emprunté à B. un chaudron de cuivre, lorsqu'il le rend, B. se plaint de ce que le chaudron a un grand trou qui le met hors d'usage. Voici la défense de A. «Primo, je n'ai jamais emprunté de chaudron à B.»
«Secundo, le chaudron avait un trou lorsque je l'ai emprunté à B.»
«Tertio, j'ai rendu le chaudron intact.»
Chacune de ces objections en soi est valable, mais rassemblées en faisceau, elles s'excluent l'une l'autre. A. isole ce qui doit faire bloc, tout comme le marieur les défauts de la prétendue. On peut dire aussi que A. met un «et» là où ne serait de mise que l'alternative «ou bien - ou bien».
Ne vient on pas de vivre un moment comparable avec les sophismes des labos et des co-labos?:
«Le vague saint immunise à 95%»
«Le vague saint immunise à 75%»
«Le vague saint immunise à 50%»
«Il n’immunise pas mais réduit la transmission»
«Il ne réduit pas la transmission mais empêche les formes graves»
«Il n’empêche pas les formes graves, mais vous ne finissez pas aux soins intensifs»
«Il n’empêche pas que vous vous retrouviez aux soins intensifs, mais vous ne mourrez pas»
«Pas tout de suite…»
Cela n’est bien entendu pas sans rappeler la lettre que Freud envoya à Marie Bonaparte le 18 août 1937:
«Dès que l’on s’interroge sur le sens et la valeur de la vie, on est malade, car ni l’un ni l’autre n’existent objectivement; on avoue simplement posséder une réserve de libido insatisfaite, à laquelle quelque chose d’autre a dû arriver, une sorte de fermentation, aboutissant à une tristesse et à de la dépression.
Je crains que ce genre d'explication de ma part ne soit très formidable.
Peut-être suis-je trop pessimiste.
Une publicité me vient alors en tête, la plus hardie et la plus réussie des publicités américaines, elle dit ceci: «Why live if you can be buried for ten Dollars?»
(Pourquoi vivre, alors que vous pouvez être enterré pour dix dollars?)
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À tout ce que je laisserai Inachevé
Des phrases vous parleront
d’autres non
Rien n'est assez bien, j'finis jamais rien
Toutes les opportunités gâchées
Nos histoires mortes avant d'avoir démarré
Les heures laissées passées, les potes jamais rappelés les jobs que j'ai lachés, les portes que j'ai claquées
À toutes les vérités qu'j'ai pas osé m'avouer
Ma meuf me casse les couilles, j'ai pas les couilles de m'en séparer. J'attends qu'elle m'quitte, les bras croisés en attendant la suite
Incapable de faire des choix j'suis comme mes figurines
La tête dans les nuages à la recherche d'une vie cachée
J'compte plus mes relations inachevées
J'ai jamais rien fini sauf c'que j'ai entrepris d'gâcher
Complètement détaché, j'm'écoute raconter des histoires
Mode de vie nul, j'avale la pilule tristement
Incapable de voir que tous mes refuges sont mes tombeaux
La tête plein de doutes, à confondre rien foutre avec patience
La médiocrité commence là où les passions meurent
J'ai tellement misé sur mes faiblesses et mes failles
Si tu renonces, t'as rien, tu choisis pas
Et ça fait 15 ans qu'tout le monde se dit "ça va lui passer"
J'veux pas vieillir blasé, à 50 piges passées, l'envie d'claquer
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Il est difficile, quand on a pas été poussé à le faire, de s’élever au-dessus de la médiocrité générale de l’époque. Difficile de ne pas s’y laisser prendre, de ne pas s’y conformer, malgré notre volonté d’y résister. Toujours nous sommes les enfants d’une époque dont nous héritons des tares et des faiblesses. Si elle est grande, nous le serrons aussi. Le peuple ne donne le la de rien du tout. C’est celui, ceux qui dirigent qui le donnent. Ce sont les responsables de toute la médiocrité de cette époque. Ils ont le peuple qu’ils méritent. Leur pays a la gueule qu’ils méritent qu’il aie. C’est difficile, pour celui qui comprend cela, qui comprend que son époque a une telle influence sur lui, qu’elle le détermine en grande partie, qu’elle façonne ses rêves et ses angoisses… C’est difficile de vivre avec cette idée-là, et de devoir malgré tout « faire sa vie » à cette époque et dans ce monde-là, qui ne nous dit rien du tout, pour lequel on ne peut se battre. Car c’est cela qui est terrible : vivre sans aucune raison de mourir, donc sans aucune raison de vivre. C’est difficile, de trouver encore un sens et à soi et à ce monde. Et je refuse cet individualisme forcené qui voudrait que je trouve le bonheur en moi-même et pour moi-même. Je me regarde dans le miroir, moi pour moi, et non, non, je ne suis rien sans l’autre, la vie seule ne peut rien pour moi si elle ne contient pas l’autre, les autres. Seulement les hommes acceptent si facilement l’état actuel des choses, si, si facilement, si naturellement. Ils n’ont plus aucune exigence quant à la qualité de leur vie, de leurs goûts, de leur relations, de leur spiritualité. Consumérisme médiocre et abrutissant, c’est tout. Nous devons exiger de nouveau une certaine qualité de vie, qualité de notre caractère propre et qualité de ce que nous consommons. C’est urgent. C’est trop tard.
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Toc toc toc ..?
C'est bon j'ai trouvé le doc. Mais j'ai ramé. Je te l'envoie sur WA. Dis donc, impressionnant le supplément d'abonnés, dont un compte que tu m'avais montré, que j'ai adoré et qui me suis en pensant te suivre. Pas de réactions de nos amis gôcho, et pourtant tu as tapé fort en reblogs héhé. Ah oui, tant que j'y pense j'ai vu très vite fait que ton diabloto faisait dans la provoc. Je sais que tu ne veux plus en entendre parler mais c'était juste pour te redire à quel point il ne t'arrive pas aux orteils et que tu es mille fois mieux sans lui. Mais je me demandais s'il n'a pas trouvé ton compte, vu le contenu de deux ou trois de ses posts. Bizarre ce mec, il me fait froid dans le dos tellement il est sombre.
Oh coucou ! Entre donc douceur !
Je ne sais pas de quand date exactement ce ask puisque je suis au courant pour le doc auquel tu fais référence. Navrée de ne te répondre que maintenant.
Qu'il n'y ait aucune réaction de gauchistes collabos, ne me surprends guère. Ils adorent épier, lire sans se manifester et puis geindre auprès de leur semblables névrosés, sans jamais se remettre en question. Quoique... Il me semble qu'il y a un compte qui s'est désabonné du tiens il y a quelques jours. Un compte qui avait rédigé, entre autres, une histoire d'amour entre une chance pour la France made in Algérie et un blanbec de chez nous. Peu importe, tu ne perds rien puisque je crois savoir quel compte est l'objet de ton ravissement. La qualité, doit être une exigence sur ces réseaux sociaux, capables de nous leurrer. Et j'en sais quelque chose... A ce propos, celui que tu nommes diablotin (doux euphémisme), tu le sais, n'occupe plus mes pensées depuis de longues semaines maintenant.
Je me demande de quelle sinistre maladie j'étais atteinte, pour lui donner mon cœur, sans aucune garantie et surtout sans méfiance. Tu sais, je vais te paraître prétentieuse, mais, même lorsque j'étais encore sa proie, il ne m'arrivait pas à la cheville. Tout n'était que d'immenses et habiles mirages. Des hallucinations auditives. Un mensonge en forme de philtre d'amour qu'il m'a lancé pour passer le temps. C'est parce qu'il s'est joué de moi, qu'il ne m'arrivait pas à la cheville. Ma sincérité n'avait d'égale que ma naïveté. Comparativement à l'homme qui est en train de posséder mon âme aujourd'hui, celui qui me séduit chaque jour un peu plus fort, celui à qui je tente vainement de résister depuis 2 mois, il ne lui arrive pas à la cheville non plus. Chez Ô, tout n'est que lâchetés et impostures quand Baptiste est tout l'inverse. Le contraste est stupéfiant. Baptiste me voulait à la seconde où ses yeux se sont posés sur moi. Et il m'a conquise dans un contexte qui était en sa défaveur puisque je rejetais violemment l'amour. Je ne sais de quelles provocations tu parles, et ne le prends pas mal, mais je m'en moque éperdument. Ô est synonyme de médiocrité absolue pour toujours, à mes yeux ; la mienne pour m'être éprise de lui, la sienne pour tout ce qu'il est. Je le vois comme une bouffée délirante dont je fus atteinte. Une folie passagère. Une honteuse erreur.
Baptiste, quelque soit la suite de notre relation, sera toujours synonyme de virilité, de lumière, de beauté, de plaisir, d'absolu, de magie. Baptiste me bouleverse. Il m'aime d'un amour fou et sublime qui me restera à jamais.
Enfin, pour conclure, je ne crois pas qu'Ô ait trouvé mon compte, ni même qu'il l'ait un jour cherché. Cet homme ne m'a jamais aimé tu sais, il n'aime que lui, ses pathétiques fantasmes juvéniles de mort et désolation, son ange déchu, ses délires narcissiques.
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RENONCER, VIVRE ET ATTENDRE : LA GRÂCE DE DIEU NOUS ENSEIGNE CES TROIS DISPOSITIONS
#Renoncer__vivre_et_attendre__La_grâce_de_Dieu_nous_enseigne_ces_trois_dispositions #Serge_Rossi Qc_0795
Deuxième partie de l’article (2/2)
L’ENSEIGNEMENT DE LA GRÂCE DE DIEU
La grâce de Dieu nous apprend à vivre chaque jour en opposition avec l’impiété et l’iniquité du monde ; elle ne nous enseigne pas seulement à arrêter de faire le mal, mais aussi à toujours faire le bien.
Quand Christ vit en nous, le changement est une réalité dans notre manière de penser et de parler, dans nos désirs, notre volonté et dans nos projets, dans nos relations et dans notre raison même d’exister.
NOTRE MANIÈRE DE PENSER ET DE PARLER
En Christ, nous renonçons aux idéologies, nous abandonnons les vaines traditions humaines et nous nous gardons des influences perverses des fausses doctrines, car nous nous instruisons par les Écritures qui nous apprennent la connaissance de Dieu et de Jésus-Christ.
Le changement s’opère aussi dans nos paroles qui considèrent toutes personnes comme une créature faite à l’image de Dieu et qui a droit au respect malgré sa médiocrité et ses impiétés.
Jacques 3.8-10 : « [...] mais la langue, aucun homme ne peut la dompter, c’est un mal qu’on ne peut réprimer, elle est pleine de venin mortel. Par elle nous bénissons le Seigneur notre Père, et par elle nous maudissons les hommes faits à l’image de Dieu. De la même bouche sortent la bénédiction et la malédiction. Il ne faut pas, mes frères, qu’il en soit ainsi. »
Romains 12.17-21 : « Ne rendez à personne le mal pour le mal. Recherchez ce qui est bien devant tous les hommes. S’il est possible, autant que cela dépend de vous, soyez en paix avec tous les hommes. Ne vous vengez point vous-mêmes, bien-aimés, mais laissez agir la colère, car il est écrit : À moi la vengeance, à moi la rétribution, dit le Seigneur. Mais si ton ennemi a faim, donne-lui à manger, s’il a soif, donne-lui à boire, car en agissant ainsi, ce sont des charbons ardents que tu amasseras sur sa tête. Ne te laisse pas vaincre par le mal, mais surmonte le mal par le bien. »
NOS DÉSIRS ET NOTRE VOLONTÉ CHANGENT ÉGALEMENT
La grâce de Dieu nous enseigne à marcher selon les désirs et la Volonté du Saint-Esprit. Cet enseignement nous fait entrer dans le champ de bataille de notre être intérieur qui nous pousse à renoncer à l’affection des choses de la terre et aux désirs charnels afin de vivre selon les désirs de l’Esprit qui sont opposés entre eux.
Romains 8.5-9 : « Ceux, en effet, qui vivent selon la chair s’affectionnent aux choses de la chair, tandis que ceux qui vivent selon l’esprit s’affectionnent aux choses de l’esprit. Et l’affection de la chair, c’est la mort, tandis que l’affection de l’esprit, c’est la vie et la paix, car l’affection de la chair est inimitié contre Dieu, parce qu’elle ne se soumet pas à la loi de Dieu, et qu’elle ne le peut même pas. Or, ceux qui vivent selon la chair ne sauraient plaire à Dieu. Pour vous, vous ne vivez pas selon la chair, mais selon l’esprit, si du moins l’Esprit de Dieu habite en vous. »
Par l’Esprit Saint, notre volonté n’est plus en errance ou dépendante des séductions et des mensonges du diable et de ses serviteurs.
Instruite par le Seigneur, notre volonté ne nous pousse plus à faire le mal ou ce que l’on a décidé pour satisfaire nos projets orgueilleux et nos convoitises mondaines. Au contraire, notre volonté s’adapte à la Volonté de Dieu afin de vivre pendant le temps de notre pèlerinage terrestre selon la sagesse de Dieu et la piété mettant en pratique des oeuvres saintes qui contribuent à donner honneur et gloire à Dieu.
Romains 12.2 : « Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l’intelligence, afin que vous discerniez quelle est la Volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait. »
Galates 5.16-17 : « Je dis donc : Marchez selon l’Esprit, et vous n’accomplirez pas les désirs de la chair. Car la chair a des désirs contraires à ceux de l’Esprit, et l’Esprit en a de contraires à ceux de la chair, ils sont opposés entre eux, afin que vous ne fassiez point ce que vous voudriez. »
NOS RELATIONS AVEC LES AUTRES SONT DIFFÉRENTES
La grâce de Dieu nous enseigne à nous édifier sur le fondement des apôtres et des prophètes dont le Seigneur Jésus est la pierre principale de l’édifice spirituel. Ce qui modifie nos relations avec les frères et soeurs en Christ.
L’Église n’est pas un bâtiment, c’est un édifice spirituel composée de personnes qui vivent et qui persévèrent dans la sagesse et la piété. En effet, les chrétiens sont appelés à la liberté, non pas celle qui fait vivre dans le péché, mais cette habitation se construit dans la liberté et l’amour de Dieu, de manière à être des serviteurs les uns des autres portant les fardeaux de ses frères et de ses soeurs et accomplissant ainsi la loi de Christ.
Galates 5.13-14 : « Frères, vous avez été appelés à la liberté, seulement ne faites pas de cette liberté un prétexte de vivre selon la chair, mais rendez-vous par l’amour, serviteurs les uns des autres. Car toute la loi est accomplie dans une seule parole, dans celle-ci : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. »
Éphésiens 2.20-22 : « Vous avez été édifiés sur le fondement des apôtres et des prophètes, Jésus-Christ lui-même étant la pierre angulaire. En lui tout l’édifice, bien coordonné, s’élève pour être un temple saint dans le Seigneur. En lui vous êtes aussi édifiés pour être une habitation de Dieu en Esprit. »
Nos relations avec les personnes dans le monde changent également, car nous avons pris du recul sur ce que nous partagions autrefois avec elles.
Ainsi, nous affirmons en présence de notre famille ou de nos amis et collèges notre renoncement à toutes ces oeuvres qui s’opposent à la Volonté de Dieu dans le monde, telles que l’orgueil, l’égoïsme, l’immoralité sexuelle, les convoitises charnelles, l’impiété, la haine, la vengeance, la violence les jalousies, les sectes, les querelles et tout ce qui contribue aux œuvres de la chair.
Mais avec ce recul sur les choses du monde, nous ne sommes pas séparés des personnes ; au contraire, nous faisons en sorte que nos paroles et nos actes puissent faire connaître le salut au plus grand nombre d’entre elles.
Colossiens 4.5-6 : « Conduisez-vous avec sagesse envers ceux du dehors, et rachetez le temps. Que votre parole soit toujours accompagnée de grâce, assaisonnée de sel, afin que vous sachiez comment il faut répondre à chacun. »
NOTRE RAISON D’EXISTER CHANGE AUSSI
Quand nous vivons selon le train de ce monde, la raison d’exister de la plupart des êtres humains se résume par la recherche d’un confort existentiel par une position sociale et diverses possessions matérielles.
Le monde ne peut offrir que ce qu’il a à sa disposition sachant que beaucoup se querellent, se battent et s’entretuent pour sauvegarder leurs intérêts matériels ou pour acquérir de façon pernicieuse les biens des autres ainsi que leur énergie vitale.
Même s’ils professent la paix avec leur entourage, les disciples de Jésus ne cherchent plus le confort matériel et la sécurité dans les richesses terrestres, ce n’est plus leur priorité ; la recherche du profit n’est plus un désir à satisfaire, ni de se mettre au service de l’argent, car son attachement rend cupide et impie, éloigne de la foi en Christ et plonge les hommes dans les ténèbres et la perdition.
Mais lorsque vivons selon la grâce de Dieu et que nous marchons selon l’Esprit, notre raison d’exister n’est plus la même que celle du monde :
I Timothée 6.6-9 : « C’est, en effet, une grande source de gain que la piété avec le contentement, car nous n’avons rien apporté dans le monde, et il est évident que nous ne pouvons rien emporter, si donc nous avons la nourriture et le vêtement, cela nous suffira. Mais ceux qui veulent s’enrichir tombent dans la tentation, dans le piège, et dans beaucoup de désirs insensés et pernicieux qui plongent les hommes dans la ruine et la perdition. »
Nous recherchons les choses d’en haut, les choses spirituelles, qui ne peuvent pas se détruire, les choses dans les lieux célestes qui n’ont point de fin et que personne n’a le pouvoir de nous enlever.
Jésus a résumé dans une phrase la raison de vivre des uns et des autres : « Car là où est ton trésor, là aussi sera ton coeur. »
De plus, il est écrit que toutes choses et toutes oeuvres humaines sont destinées à disparaître lors de l’avènement du Seigneur :
Matthieu 6.19-21 cf. Colossiens 3.1-4 : « Ne vous amassez pas des trésors sur la terre, où la teigne et la rouille détruisent, et où les voleurs percent et dérobent, mais amassez-vous des trésors dans le ciel, où la teigne et la rouille ne détruisent point, et où les voleurs ne percent ni ne dérobent. Car là où est ton trésor là aussi sera ton coeur. »
II Pierre 3.9-10 : « Le Seigneur ne tarde pas dans l’accomplissement de la promesse, comme quelques-uns le croient, mais il use de patience envers vous, ne voulant pas qu’aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance. Le jour du Seigneur viendra comme un voleur, en ce jour, les cieux passeront avec fracas, les éléments embrasés se dissoudront, et la terre avec les œuvres qu’elle renferme sera consumée. »
Vivre dans le siècle présent nous amène à faire un choix :
Celui d’être attachés à des biens terrestres, en cherchant une existence matérielle et confortable et en voulant préserver une vie menée sous la puissance du prince de ce monde ou choisir de louer la gloire de Dieu en marchant et en persévérant dans la sagesse, la piété et la sainteté.
ATTENDRE LA BIENHEUREUSE ESPÉRANCE
L’apôtre Paul enseigne Tite et les chrétiens à une disposition d’attente, qu’il présente par deux perspectives spirituelles : La première perspective citée est l’espérance de la vie éternelle promise !
Mais que signifie la vie éternelle ?
C’est une qualité de vie dans une relation avec Dieu qui n’a pas de fin, et la nature de cette vie est spirituelle, qui transformera notre corps corruptible en un corps incorruptible par la puissance de Dieu :
Matthieu 19.29 : « Et quiconque aura quitté, à cause de mon nom, ses frères, ou ses soeurs, ou son père, ou sa mère, ou sa femme, ou ses enfants, ou ses terres, ou ses maisons, recevra le centuple, et héritera la vie éternelle. »
La vie éternelle est promise à tous ceux qui auront renoncé aux choses du monde pour le nom de Christ, qui se seront sanctifiés par l’Esprit et qui seront restés fidèles au Seigneur. Donc, les Écritures nous enseignent à attendre l’Époux de l’Église, la venue du Seigneur avec patience et persévérance et lors de son avènement, il manifestera la gloire de Dieu et le salut des saints par la résurrection des morts et le jugement des oeuvres de chacun.
Romains 8.22-25 : « Or, nous savons que, jusqu’à ce jour, la création toute entière soupire et souffre les douleurs de l’enfantement. Et ce n’est pas elle seulement, mais nous aussi, qui avons les prémices de l’Esprit, nous aussi nous soupirons en nous-mêmes, en attendant l’adoption, la rédemption de notre corps. Car c’est en espérance que nous sommes sauvés. Or, l’espérance qu’on voit n’est plus espérance, ce qu’on voit peut-on l’espérer encore ? Mais si nous espérons ce que nous ne voyons pas, nous l’attendons avec persévérance. »
LA MANIFESTATION DE LA GLOIRE DU GRAND DIEU ET DE NOTRE SAUVEUR JÉSUS-CHRIST
Les chrétiens ont la bienheureuse espérance de la vie éternelle, mais la promesse s’accomplira après la manifestation de la gloire de Dieu et de notre sauveur Jésus-Christ. Comment la gloire de Dieu sera-t-elle manifestée parmi les hommes ? Les Écritures ne nous donnent pas une description chronologique de ce que Dieu va faire lors de la venue du Fils de Dieu sauveur, mais nous avons plusieurs textes littérals non symboliques qui décrivent les principaux événements qui manifesteront le jour de Dieu.
Avec les textes suivants qu’il est nécessaire de lire et de relire pour soi-même ... Nous proposons aux lecteurs la chronologie suivante, qui nous paraît logique dans son accomplissement, mais nous ne sommes pas à la place du Seigneur, qui ne nous a pas révélé l’ordre dont les choses vont se déroulées lors de son avènement ...
LA RÉSURRECTION DE TOUS LES MORTS
Jean 5. 28-30 : « Ne vous étonnez pas de cela, car l’heure vient où tous ceux qui sont dans les sépulcres entendront sa voix et en sortiront. Ceux qui auront fait le bien ressusciteront pour la vie, mais ceux qui auront fait le mal ressusciteront pour le jugement. »
LA TRANSFORMATION DES CORPS DE CEUX QUI SERONT VIVANTS
I Corinthiens 15.51-55 : « Voici, je vous dis un mystère : Nous ne mourrons pas tous, mais tous nous serons changés, en un instant, en un clin d’oeil, à la dernière trompette. La trompette sonnera et les morts ressusciteront incorruptibles, et nous serons changés. Car il faut que ce corps corruptible revête l’incorruptibilité, et que ce corps mortel revête l’immortalité.
Lorsque ce corps corruptible aura revêtu l’incorruptibilité et que ce corps motel aura revêtu l’immortalité, alors s’accomplira cette Parole de l’Ecriture : La mort a été engloutie dans la victoire. O mort, où est ta victoire ? O mort, où est ton aiguillon ? »
L’ENLÈVEMENT DES ÉLUS AU CIEL À LA RENCONTRE DU SEIGNEUR
I Thessaloniciens 4. 13-15 : « Nous ne voulons pas frères que vous soyez dans l’ignorance au sujet de ceux qui dorment, afin que vous ne vous affligiez pas comme les autres qui n’ont point d’espérance. Car, si nous croyons que Jésus est mort et qu’il est ressuscité, croyons aussi que Dieu ramènera par Jésus et avec lui ceux qui sont morts. Voici, en effet, ce que nous vous déclarons d’après la Parole du Seigneur : Nous les vivants, restés pour l’avènement du Seigneur, nous ne devanceront pas ceux qui sont morts. »
I Thessaloniciens 4.16-18 : « Car le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d’un archange et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement. Ensuite, nous les vivants, qui seront restés, nous serons tous ensemble avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur Jésus dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. Consolez-vous donc les uns les autres par ces paroles. »
LE JUGEMENT DES NON CROYANTS PAR LE SEIGNEUR
II Thessaloniciens 1.6-10 : « Car il est de la Justice de Dieu de rendre l’affliction à ceux qui vous affligent, et de vous donner, à vous qui êtes affligés, du repos avec nous, lorsque le Seigneur Jésus apparaîtra du ciel avec ses anges de sa puissance, au milieu d’une flamme de feu, pour punir ceux qui ne connaissent pas Dieu et ceux qui n’obéissent pas à l’Évangile de notre Seigneur Jésus.
Ils auront pour châtiment une ruine éternelle, loin de la face du Seigneur et de la gloire de sa force lorsqu’il viendra pour être, en ce jour-là, glorifié dans ses saints et admiré dans tous ceux qui auront cru, car notre témoignage auprès de vous a été cru. »
LES CROYANTS DEVANT LE TRIBUNAL DE CHRIST
II Corinthiens 3.6-10 : « Nous sommes donc pleins de confiance, et nous savons qu’en demeurant dans ce corps nous demeurons loin du Seigneur, car nous marchons par la foi et non par la vue, nous sommes pleins de confiance, et nous aimons mieux quitter ce corps et demeurer auprès du Seigneur. C’est pour cela aussi que nous nous efforçons de lui être agréable, soit que nous demeurions dans ce corps, soit que nous le quittions. Car il nous faut tous comparaître devant le tribunal de Christ, afin que chacun reçoive selon le bien ou le mal qu’il aura fait, étant dans son corps. »
DESTRUCTION DES CIEUX ET DE LA TERRE
II Pierre 3.10 : « Le jour du Seigneur viendra comme un voleur, en ce jour, les cieux passeront avec fracas, les éléments embrasés se dissoudront, et la terre avec les oeuvres qu’elle renferme sera consumée. »
HÉRITAGE DE NOUVEAUX CIEUX ET D’UNE NOUVELLE TERRE
Psaume 102.26-28 : « Tu as anciennement fondé la terre, et les cieux sont l’ouvrage de tes mains. Ils périront, mais tu subsisteras, ils s’useront tous comme un vêtement ; tu les changeras comme un habit, et ils seront changés. Mais toi tu restes le même, et tes années ne finiront point. »
II Pierre 3.11-13 : « Puis donc que toutes ces choses doivent se dissoudre, quels ne devez-vous pas être par la sainteté de la conduite et par la piété, attendant et hâtant l’avènement du jour de Dieu, jour à cause duquel les cieux enflammés se dissoudront et les éléments embrasés se fondront ? Mais nous attendons, selon sa promesse, de nouveaux cieux et une nouvelle terre, où la Justice habitera. »
Apocalypse 21.1- 4 : « Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre ; car le premier ciel et la première terre avaient disparu et la mer n’était plus. »
Lorsque le Seigneur Jésus viendra dans sa gloire, que nous soyons dans le séjour des morts, que nous soyons au ciel ou que nous soyons vivants, nous ne devons pas cesser de nous réjouir ! Quel que soit l’ordre dans lequel le Seigneur accomplira tous ces événements mentionnés dans les Écritures par les apôtres et les prophètes, nous devons garder dans notre coeur cette espérance qui se réalisera à l’avènement du Seigneur.
Romains 15.4 : « Or, tout ce qui a été écrit d’avance l’a été pour notre instruction, afin que, par la patience et par la consolation que nous donnent les Écritures, nous possédions l’espérance. »
LES ÉCRITURES DONNENT-ELLES DES INDICES DE LA VENUE DU SEIGNEUR ?
Dans l’Ancien Testament, la première venue du Messie avait été annoncée par le prophète Daniel, quand il explique la grande statue rêvée par le roi Nebucanetzar. Daniel donna l’explication de la statue au roi de Babylone qui révéla quatre empires qui vont se succéder à travers les siècles futurs (Babylone, la Perse, la Grèce et Rome). Puis le rêve révèle aussi la venue du Royaume de Dieu qui sera établi pendant le temps du quatrième royaume, qui sera l’empire romain.
Daniel 2.44-45 : «[...] Dans le temps de ces rois, le Dieu des cieux suscitera un Royaume qui ne sera jamais détruit, et qui passera point sous la domination d’un autre peuple ; il brisera et anéantira tous ces royaumes-là, et lui-même subsistera éternellement. C’est ce qu’indique la pierre que tu as vue se détacher de la montagne sans le secours d’aucune main, et qui a brisé le fer, l’airain, l’argile, l’argent et l’or. Le grand Dieu a fait connaître au roi ce qui doit arriver après cela. »
Puis il y a aussi la prophétie de Malachie, qui annonce la venue d’Élie, qui sera le prophète Jean, et qui prépara le chemin du Seigneur :
Malachie 4.5-6 : « Voici, je vous enverrai Élie, le prophète, avant que le jour de l’Éternel arrive, ce jour grand et redoutable. Il ramènera le coeur des pères à leurs enfants, et le coeur des enfants à leurs pères, de peur que je ne vienne frapper le pays d’interdit. »
D’après les paroles des apôtres, le Seigneur viendra comme un voleur dans la nuit, c'est-à-dire qu’il n’y aura pas de prophètes pour annoncer son avènement. En réalité, personne ne sera averti de sa venue et aucun prédicateur ne recevra de révélation nouvelle pour annoncer l’avènement du Seigneur comme imminent.
Toutefois, nous pouvons prendre en considération un texte de la lettre de l’Apôtre Paul destinée aux chrétiens de Thessalonique, impatients d’attendre l’avènement du Seigneur.
Certains d’entre eux avaient même arrêté de travailler, étant convaincus que le Seigneur était déjà là :
I Thessaloniciens 5.1-3 : « Pour ce qui est des temps et des moments, vous n’avez pas besoin frères qu’on vous en écrive, car vous savez bien vous-mêmes que le Seigneur viendra comme un voleur. Quand les hommes diront : Paix et sûreté ! Alors une ruine soudaine les surprendra comme les douleurs de l’enfantement. »
À l’époque de l’hégémonie de Rome, certains empereurs avaient institué la « Pax Romana » dans tout l’empire. Tous les peuples conquis par les légions romaines se trouvaient alors sous le protectorat de Rome. Mais ce n’est pas pour autant que ce protectorat avait donné le sentiment de paix et de sécurité aux hommes et aux femmes de l’époque.
Lorsqu’il s’agit d’affirmer une période précise, nous n’avons pas assez d’indices pour le faire, mais contrairement à ce que l’on entend sur la fin du monde, avec des visions catastrophiques et apocalyptiques, nous pouvons seulement considérer les paroles de Paul ainsi :
« Quand les hommes diront Paix et sûreté ! alors une ruine soudaine les surprendra ... » Cela peut être l’un des rares signes que la fin du monde serait proche.
En tout cas, aujourd’hui, un grand nombre de personnes parmi les nations du monde travaillent et recherchent à établir cette paix universelle, mettant en place des dispositifs idéologiques, politiques, juridiques, économiques, sociaux et sportifs ainsi que des institutions et des associations humaines.
En vérité, cette paix recherchée par les peuples n’est pas la paix en Jésus-Christ qui nous protège de la colère de Dieu et qui nous donne l’espérance, c’est une paix de nature humaniste sans l’intervention de Dieu qui conduit les hommes à la ruine et à la perdition.
Mais à tous ceux qui attendent la venue de l’Époux, nous disons comme l’apôtre Jean :
Apocalypse 22.20 : « Viens Seigneur Jésus ! »
Serge Rossi
Évangéliste prédicateur
Groupe privé : NOUVELLE NAISSANCE
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« Toutes les Églises du Christ vous saluent. » Romains 16.16
https://www.eglise-du-christ.org/
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Putain je viens d'apprendre que Stéphane Plaza n'est pas seulement auteur de violence conjugale mais le boug avait 3 relations en même temps (secrète évidemment) et c'est quand une meuf a commencé à comprendre la dinguerie qu'il est devenu violent.
Ptdr les zoms. Ravie de ma vie de célibat. Moi je ne touche aux mecs avec un bout de bois. True story un mec un jour à dit devant moi et d'autres personnes lors d'une conversation "moi je ne touche une meuf avec un bout de bois si elle a des poils" . Voilà c'était pour caler la médiocrité.
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Le décollage
Pour retirer la graisse d'une poêle, il faut y passer de l'eau bouillante
Comment l’être nous met sur sa voie ? Comment un individu trouve-t-il son chemin, prend-il son envol ?
Est-ce par l’inspiration ? Est-ce par ses lectures, par la musique, par sa poursuite d'un rêve ou d'un idéal ? On croit que c'est en rêvassant et en s'évadant que l'on va décoller...Mais en réalité pour décoller quelque chose, pour retirer la graisse d'une poêle, il faut y passer de l'eau bouillante.
Pour s'envoler, on essaie d'oublier la pesanteur en s'attachant à de nobles pensées, à de nobles désirs, à une espèce de philosophie spirituelle généraliste en jouant les précieux comme les actrices de cinéma mais on ne peut pas s'envoler sans se décoller, sans agir sur ce qui pègue en nous.
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L’être est une flamme invisible, de très haute vibration, on pourrait dire très haute température. C’est la flamme qui brûle en nous et maintient notre corps au chaud.
Lorsque nous avons besoin de changer de direction, de changer de relations et d’activités, nous allons avoir besoin que cette flamme intensifie son signal. Cela ne vient ni de notre décision, ni de notre désir, ni de notre volonté mais de notre BESOIN.
Pour intensifier son signal, faire grandir sa flamme et améliorer la connexion du réseau interne, l’être va créer en nous les conditions d’une asphyxie et nous rendre insupportable certaines personnes, certaines attitudes, certains environnements. Cette hypersensibilité va créer des états de conflit intérieur (des étincelles) et faire grandir la haine. La haine vis-à-vis de l’hypocrisie, la haine vis-à-vis de la soumission, la haine vis-à-vis des relations toxiques, c’est-à-dire vis à vis de tout ce qui nous maintenait auparavant dans cette force d’inertie et de consentement à la médiocrité. La haine va monter jusqu’à ce que la flamme ait atteint un niveau de combustion suffisant pour nous permettre de sortir de nous-même et effectuer notre transformation intérieure.
On associe souvent l’Amour à un feu purificateur. Cette haine initiatique, cette insupportabilité des faux-semblant et de la médiocrité est l’expression CONCRÈTE de cet amour purificateur qui entame son processus.
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L’amour propre, l’intégrité et la dignité sont le commencement de l’amour véritable.
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C’est l'amour propre qui rend l’être bouillant et décapant.
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Tu ne trouves pas ton chemin en poursuivant un idéal mais en repoussant l’insupportable, pour créer ce dont tu as RÉELLEMENT besoin.
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Une fois que tu as versé suffisamment d’eau bouillante sur ta poêle, la voie se dégage et ta poêle est propre. Tu peux alors enfin commencer à cuisiner dedans, des choses que tu aimes vraiment.
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Le point de vue biblique - La vallée des larmes
Lorsque l’on considère la manière dont le christianisme s’est développé à travers les âges, nous devons admettre qu’il n’est plus aujourd’hui qu’une grande Institution religieuse. Ce n’est plus tellement la ferveur spirituelle de ses adhérents que l’on remarque le plus, mais plutôt la mortelle habitude qui s’est développée de devenir et de demeurer de bons chrétiens. C’est pourquoi, il ne faut pas avoir trop d’attentes.
Un ennui obligé
En observant le peuple de Dieu, on constate qu’il y a peu de gens qui vivent réellement une belle relation avec Jésus-Christ. La plupart ne font qu’obéir aux commandements, du moins en ont-ils l’apparence. Pour ceux-là, la Bible n’est pas un livre qui édifie et qui procure la vie. Bien au contraire, il semble plutôt leur rappeler la médiocrité de leur condition. Ainsi, la vie chrétienne est d’un ennui mortel, mais obligé. Ils ne sont pas assez fervents pour aller de l’avant avec Dieu, mais pas assez courageux, non plus, pour tout laisser tomber. Combien sont-ils à croupir dans nos églises sans trop savoir pourquoi ni pour combien de temps encore?
Encourageons-nous un peu !
Loin de moi l’intention de vous lancer la pierre si vous vivez actuellement une telle situation. J’ai moi aussi traversé des vallées de sécheresse et je sais à quel point c’est difficile. Quand je parle de vallée, je parle de ces moments où la vie chrétienne ne veut plus rien dire de significatif, de ces temps où l’on ne comprend plus le bonheur qui anime les croyants autour de nous. Et ce qui s’avère le plus agressant dans ces moments-là, c’est lorsque certains nous exhortent à un peu plus de consécration. Mais y a-t-il encore quelqu’un qui voudrait nous encourager un peu?
Prévu d’avance
Pourquoi croyons-nous qu’il est anormal de vivre des moments pareils? Serait-ce à cause de notre siècle où les performances individuelles sont tellement honorées? Ou est-ce parce que nous vivons dans une société qui tente, par tous les moyens, de s’affranchir de tout qui ne se justifie pas par un certain niveau de rentabilité? Nous tous, qui vivons dans ce troisième millénaire, détestons l’échec. Pourtant, la Parole de Dieu laisse une place considérable à l’échec. Presque tous les héros bibliques ont échoué bien plus souvent qu’ils ont réussi. La Bible les déclare «héros», non parce qu’ils étaient parfaits, mais parce que, malgré leurs faiblesses, ils ont persévéré avec Dieu. Voilà donc ce qu’est un héros selon Dieu!
Psaume 84:6-8
«Heureux ceux qui placent en toi leur appui! Ils trouvent dans leur cœur des chemins tout tracés. Lorsqu’ils traversent la vallée de Baca, ils la transforment en un lieu plein de sources, et la pluie la couvre aussi de bénédictions. Leur force augmente pendant la marche, et ils se présentent devant Dieu à Sion.»
La vallée des larmes (Baca)
Ce texte est un solide encouragement pour ceux qui vivent des peines et des chagrins continuels parce que le Psaume les dit «heureux». Dans le texte hébreu, le nom Baca signifie: pleurs ou larme. C’est donc bien de la vallée des larmes dont il est question ici. Que faire alors? Nous devons accepter les larmes comme étant permises de Dieu pour un temps et se confier en Dieu pour trouver en Lui un appui qui ne manque pas.
Réal Gaudreault, pasteur de l’Assemblée Chrétienne La Bible Parle, Saguenay.
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J'écoute une émission de radio sur Edward W. Said. Une femme cite Adorno, quelque chose comme : une des formes la plus haute de moralité (plutôt que *haute*, il faut sans doute entendre minimale, dans le sens de «de base») consisterait *à ne pas se sentir chez soi chez soi* («not to feel at home in ones own home»).
Le US go home me taraude. C'était joyeux de le crier à la manif et aussi «yankee go home» prononcé à la latino par L : «yanqui go home». Mais passé le goût du slogan, il reste celui de la terre volée. Renvoyer les yanquis sur d'autres terres usurpées ? Et nous comment habiter ici ?
Je lis la thèse d'Amélie-Anne Mailhot et c'est elle qui me fait réfléchir à cette question politique de la maison. Elle cite Barnabé Vachon, un innu de Pessamit:
«Je dois chanter dans une tente pour nourrir ma famille. (…) Ce que je vais chanter… je ne l’aurais pas chanté ici, dans cette maison de bois. Si le blanc ne m’avait pas sorti de ma tente, j’aurais chanté dans ma tente, étant donné que c’est ma vie, ma tente, pour subvenir à mes besoins. Je trouve ça étrange qu’on ait pris ma viande puisque c’est la façon dont je survis. Moi mon affaire c’est le bois. Moi je n’emploie pas de règles, j’emploie ce qui est dans ma tête. J’aime la façon dont je suis, moi qui suis en vie.»
La dépossession de l'empire vise à ne reconnaître ni permettre «d'autres modes de vie qui ne soient rivés à ses structures». Rivés à ses structures. Or il faudra bien que quelque chose de l'empire entende, que quelque chose de l'empire lâche pour nous permettre de lousser les écrous, que quelque chose recule et c'est un autre mouvement qu'un simple go home!, une bifurcation à emprunter pour quitter sa voie de l'effacement.
A.-A écrit en s'appuyant sur la pensée de Julie Cruikshank « (...) on doit, pour faire échec aux manières décontextualisées de considérer et d'évaluer les récits selon une conception occidentale de la connaissance, se mettre en rapport avec ceux-ci, c'est-à-dire s'exposer et se mettre en position de vulnérabilité dans l'échange ». Pour entendre il faut être prêt à se faire déplacer, la conversation est une mise en relation où aucun jeu n'est fait d'avance, c'est engageant, c'est exigeant. L'autre jour nous remontions à pied de la BanQ, B, E et moi. L'air était doux, ni lui ni elle n'avaient emprunté de livres, B dans une distance de lectrice secrète, E petit Mat errant loin de la lecture. Je crois qu'il s'agissait surtout de la marche, du parcours pour y aller et en revenir qu'on a si souvent fait ensemble le nez en l'air. Et comme la mémoire s'active avec le corps, étaient remontés à B des souvenirs d'école. Ce soir là j'étais bien mais fatiguée et je n'ai pas eu la force de me mettre en relation avec son micro-récit, pas la force d'occuper justement cette position de vulnérabilité, je n'ai pas renvoyé la poque de ses réminiscences formulées pourtant sans ressentiment. L'école représente pour B de longs moments d'ennui et de déception, elle y a acéré son intelligence et son désir dans une attente critique vive mais parfois désespérée «la vie, ça ne peut pas être juste ça?». La grande médiocrité de l'école des enfants nous a défaits tout autant qu'unis, drôle de double escalier du regret et de la colère. Colère d'un lieu sans vérité, ma tristesse impuissante. Le rapport au chez soi des enfants est trouble, je me demande si ça vient de cela en plus de la maison familiale cassée. Chez eux oui c'est parfois Montréal, dans certaines configurations et selon certains usages de la ville. De ceux que je partage et que je connais : marcher sur Clark jusqu'au quartier chinois boire un bubble tea l'été; sillonner l'éternelle avenue du parc du PA jusqu'à la papeterie et baisser nos yeux embarrassés en tendant une pièce face à la drôle de joie des innu.es qui l'habitent sur son envers, et mendient, de misère mais pas que, peut-être parce que c'est toujours plus beau que de débourser des sous pour toute, dans un geste de proposition de relation qui n'est pas anodin... aller les nuits trop chaudes s’asseoir sur les marches de l'église orthodoxe de la rue Hutchinson pour guetter la vie de la seule tour qui nous attire avec son drôle de dépanneur percé dans le mur aveugle du rez de chaussée. Chez eux c'est chez leur père, et c'est chez moi j'imagine, dans cette maisonnette de coop, un abri sûr, touchons du bois, le bois déforesté dont je ne sais rien. Chez soi c'est très mineur et quand même très fort quand un grand ciel poudré nous rattrape, ou qu'une brunante opacifie la vie juste ce qu'il faut pour la rendre habitable.
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Si une entreprise est nouvelle dans le marketing entrant ou de contenu, il est facile d'être submergé par l'idée de produire le bon contenu - articles, vidéos, rapports de recherche, publications sur les réseaux sociaux, etc. Ne vaut-il pas mieux laisser cela aux professionnels ? Pas du tout. La vérité est que le marketing n'est pas aussi compliqué que vous avez été amené à le croire. Cela peut sembler être la situation parfaite - "Je n'ai pas vraiment besoin de lever le petit doigt autre que de faire un chèque, et je verrai d'excellents résultats." - mais quand les sociétés engagent des agences pour gérer leur marketing, elles entrent souvent sans le savoir dans une relation inefficace et obsolète. La relation traditionnelle agence-client n'est généralement qu'une voie coûteuse vers la médiocrité. Cela est vrai pour six raisons principales. Les blogs fonctionnent mieux quand vous écrivez sur des sujets qui intéressent vos acheteurs. Raison n°1 : nous avons atteint l'âge de la saturation des contenus Le fait est qu'à ce stade, le marketing de contenu n'est pas une idée nouvelle. Ce qui se passe actuellement est ce que beaucoup appellent la saturation du contenu. Bien que de plus en plus d'sociétés de tous les secteurs adoptent le marketing de contenu, il devient de plus en plus compliqué de se démarquer. Dans la vie et le marketing, il faut être différent pour se faire remarquer. Si vous externalisez la réalisation de votre contenu comme tant d'autres organisations, il y a de fortes chances que votre produit fini soit aussi comme tout le monde, et la majorité du contenu génère aujourd'hui des résultats médiocres. Raison n°2 : Le contenu est l'âme de votre entreprise Embaucher une agence pour produire le contenu dont le site Web de votre entreprise a besoin va à l'encontre du véritable esprit du marketing entrant. J'aime dire que votre contenu représente l'âme numérique de votre entreprise - la façon dont les consommateurs apprennent qui vous êtes et ce que vous faites. Permettre à quelqu'un d'autre de créer quelque chose d'aussi important peut être une perspective dangereuse. Imaginez qu'une personne vienne vers vous et vous dise : « Pourquoi devrais-je travailler avec vous ? Préférez-vous qu'ils vous parlent — ou à quelqu'un qui ne connaît pas vraiment votre entreprise ou votre industrie ? Vous mettez votre sang, votre sueur et vos larmes au sein de votre entreprise. Vous connaissez chaque pouce de votre industrie. Vous ne voulez pas être celui qui répond à cette question ? J'entends tellement de gens se plaindre que leur contenu est sans âme - qu'il n'a pas de personnalité. Eh bien, il y a une raison à cela : c'est car quelqu'un d'autre parle pour vous, et parle pour votre entreprise. Si vous externalisez le contenu, il est quasiment garanti qu'il sera fade car la personne qui l'écrira n'aura rien de nouveau à dire. Ils ne connaissent certainement pas une industrie comme le ferait un véritable initié. Ils pourraient s'éloigner de la recherche générique. Ils n'auront pas la perspicacité ou l'expérience pour prendre des risques ou partager une nouvelle perspective. Il est compliqué pour une agence ou un rédacteur indépendant d'accéder aux idées d'experts réels au sein de l'entreprise. En conséquence, le contenu qu'ils produisent ne se démarquera pas et ne représentera certainement pas une entreprise avec passion et précision. De plus, de nombreuses agences ne produisent que trois ou quatre articles par mois pour leurs consommateurs. La réalisation de contenu n'est pas quelque chose pour vous de simplement tremper vos orteils dans l'eau. Vous devez y aller à fond. Quand vous le faites, vous pouvez obtenir des résultats étonnants, en supposant que vous ayez les bonnes personnes à bord. Vous devez posséder le processus. Vous le faites en internalisant ou en possédant votre réalisation de contenu en interne. Raison n°3 : L'externalisation ne semble que moins chère En supposant que vous suivez la méthodologie Ils
demandent, vous répondez, vous devez produire en moyenne trois éléments de contenu par semaine pour répondre aux questions de vos acheteurs de manière régulière et cohérente et apaiser les moteurs de recherche. Cela représente environ 150 contenus écrits par an. Si quelqu'un allait sous-traiter cela, disons qu'il prévoyait de payer 250 $ par pièce. Cela finit par coûter 37 500 $ pour l'année. Je sais ce que vous pensez - n'est-ce pas moins cher que d'embaucher un gestionnaire de contenu, dont le salaire serait supérieur à 40 000 $ ? La réponse est non - et voici pourquoi. Au-delà de l'écriture réelle impliquée dans la réalisation de contenu, vous devez penser à certains des autres détails. Quelqu'un doit déterminer les sujets. Quelqu'un doit préparer ces 150 éléments de contenu pour la publication. Quelqu'un doit ajouter les images, optimiser chacune pour la recherche, les promouvoir dans les publications sociales et faire tout le reste. Si vous demandiez à un pigiste de le faire, le pourrait-il ? Si vous demandiez à votre agence de faire tout cela, factureraient-elles plus ? La beauté de l'internalisation de votre contenu est la suivante : non seulement il est plus facile de dicter vos propres meilleures pratiques, mais un rédacteur interne peut aussi faire beaucoup d'autres choses pour vous. Ils pourraient mener des campagnes sur les réseaux sociaux, éditer des messages écrits par d'autres membres de l'équipe et interviewer des dirigeants et des experts en la matière, tout en nouant des relations plus profondes avec votre équipe. Raison n°4 : Une équipe interne connaîtra vraiment votre entreprise Il peut être compliqué de se disputer avec des experts en la matière très occupés. La seule façon d'y parvenir est d'avoir quelqu'un qui est suffisamment mis en place pour rester constamment au-dessus d'eux pour les accompagner dans la réalisation de contenu et/ou planifier des réunions et transformer ces réunions en contenu. De manière universelle, un expert en la matière sera certainement plus réceptif si cette personne est un membre de l'équipe - quelqu'un qu'il connaît et avec qui il est à l'aise. Afin de tirer le meilleur parti de ces experts, afin d'inciter les membres de l'équipe à produire leur meilleur travail, un écrivain doit établir des relations avec l'ensemble de l'entreprise. Ils doivent naviguer dans les différents besoins et styles de l'exécutif A et de l'expert en la matière B, qui peuvent avoir des personnalités très différentes. Existe-t-il un moyen pour un écrivain externalisé de bien faire cela ? Oui, mais voici ce qui doit arriver : Les écrivains extérieurs devraient essentiellement s'intégrer au sein de votre entreprise. Ils devraient apprendre à connaître votre peuple et établir des relations. Ils devraient se familiariser avec votre produit ou service, vos processus, votre méthodologie, votre technologie. En d'autres termes, ils devraient essentiellement devenir des employés. Si vous travaillez avec une agence extérieure, vous paierez certainement plus et obtiendrez moins que si l'écrivain était un employé direct. Raison n°5 : Vous pouvez contrôler votre propre destin Si vous êtes une entreprise de 100 ou 200 employés, vous pouvez certainement imaginer absorber un autre salaire dans vos dépenses, mais que faire si vous êtes une entreprise de 10 ou 20 employés ? Je dirais que l'emploie d'un gestionnaire de contenu est davantage cruciale pour une très petite entreprise. Pensez à ceci : les nombreux entrepreneurs se sont lancés en affaires parce qu'ils aiment contrôler leur propre destin, et s'ils réussissent, ils le font bien. Si vous avez un rédacteur dans le personnel, les PDG n'ont pas à essayer de planifier du temps sur le calendrier d'une agence pour créer du contenu. Ils peuvent franchir le bureau ou envoyer un message rapide pour avoir une conversation avec un écrivain qui est toujours là pour l'équipe - et ils ne paient pas de supplément pour chaque réunion. Le gestionnaire de contenu est là
pour aider à bâtir la marque, à faire connaître et à faire de l'entreprise un leader dans son secteur. Ils peuvent encourager tous les membres de l'équipe à produire du contenu autour de chaque secteur d'expertise. C'est pourquoi les marques individuelles et les sociétés se développent beaucoup plus rapidement lorsqu'elles internalisent du contenu. Raison n°6 : la réalisation de contenu est un voyage de longue haleine La réalisation de contenu n'est pas quelque chose que vous faites pendant quelques mois puis arrêtez. C'est une pratique continue. Le modèle traditionnel agence-client pour la réalisation de contenu ne tient pas compte de cela. Pensez-y. À moins que vous ne prévoyiez de travailler avec l'agence pour toujours, vous partez du principe que vos efforts de réalisation de contenu peuvent être terminés à la fin de votre contrat. Il y aura toujours plus d'articles à rédiger. Vous aurez toujours de nouvelles choses à dire. Vous aurez toujours de nouvelles questions. Il y aura toujours de nouvelles technologies et de nouveaux sujets qui surgiront dans chaque industrie. De plus, les plates-formes et les canaux peuvent changer. Un bon gestionnaire de contenu interne se tiendra au courant de ces développements et apportera des ajustements pour positionner votre entreprise afin de rester pertinente, d'actualité et en avance sur la courbe. Et au fil du temps, au fur et à mesure que votre équipe créera du contenu, vous construirez une bibliothèque systématique et organisée des connaissances collectives de votre entreprise. Comment gagner avec le marketing entrant L'essentiel est le suivant : la relation traditionnelle agence-client n'est pas configurée pour produire la qualité et la quantité de contenu dont vous avez besoin pour gagner des affaires. L'approche la moins chère, la plus intelligente, la plus authentique et la plus efficace consiste à apporter votre réalisation de contenu en interne et à vous approprier le processus. Embaucher un écrivain à temps plein pour gérer la d'ampleur partie du travail. Cela devrait être quelqu'un qui a la capacité de apprendre votre industrie, établir des relations au sein de votre équipe et organiser et élaborer des stratégies pour ce qui est produit et publié. De plus, demandez aux membres de votre équipe de rédiger aussi du contenu. De cette façon, ils partagent leur expertise, répondent directement aux questions des consommateurs et apprennent vraiment ce qu'ils vendent. Ces voix uniques sont essentielles pour se démarquer et diffuser avec précision votre entreprise. Pour en savoir plus sur l'intégration de votre marketing de contenu en interne, prenez rendez-vous avec l'un de nos conseillers qui pourra vous guider tout au long du processus. Grâce à notre coaching et à nos formations, vous obtiendrez enfin le soutien dont vous avez besoin pour développer votre activité en ligne et générer plus de revenus tout en augmentant votre trafic, vos prospects et vos ventes. Vous cherchez un webmaster pour la réalisation de votre site web ? faites un devis gratuit sans engagement en suivant ce lien
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Pour Lacan, ce que découvre Freud dans le Witz n’est rien d’autre que la loi qui permet de structurer des manifestations de l’inconscient aussi diverses que le rêve, le symptôme, l’acte manqué, le lapsus… sans oublier le trait d’esprit lui-même (qui est la traduction qu’il privilégiera pour "Witz"). Dans son séminaire Les formations de l’inconscient, il insiste par trois fois pour que les analystes présents relisent Le mot d’esprit et sa relation à l’inconscient de Freud (non sans signaler au passage la médiocrité de la traduction française)...
On se souvient que dans cet écrit, pour tenter de discerner le comique, l’humour et leur rapport au trait d’esprit à proprement parler, l’inventeur de la psychanalyse fait plusieurs fois appel à la sophistique du marieur juif: un marieur défend contre les critiques d’un jeune homme, la jeune fille qu'il lui propose:
«La belle-mère, dit celui-ci, ne me plaît pas, c'est une personne méchante et bête.»
«Vous n'épousez pas la belle-mère, mais la fille.»
«Mais elle n’est plus jeune ni belle non plus.»
«Peu importe, moins elle
sera jeune et belle, plus elle vous sera fidèle.»
«Il y a bien peu d'argent.»
«Qui parle d'argent! Est-ce l'argent que vous épousez? C'est bien une femme que vous voulez!» «Mais elle est bossue!»
«Que voulez vous! Il vous faut donc une femme sans défauts?»
Il s'agit, en réalité, d'une demoiselle plus très jeune, sans argent ni beauté, nantie d'une mère repoussante et gratifiée au surplus d'une grave difformité. Ce ne sont pas là des conditions attrayantes pour un épouseur. À chaque défaut, le marieur trouve des arguments qui permettent de s'en accommoder: il ne concède comme seul défaut que la bosse, défaut dont tout le monde doit convenir.
Voilà encore l'apparence de logique, caractéristique du sophisme, et destinée à couvrir la faute de raisonnement. La demoiselle n'a évidemment
que des défauts, les uns sur lesquels on pourrait passer, et un dernier qui crève les yeux. Il est donc impossible de l'épouser. Le marieur feint d'avoir éliminé chacun des défauts par l'excuse qu'il leur trouve, bien que, malgré ses efforts il reste que chacun d'eux équivaille à une dévalorisation qui s'ajoute à la suivante. Il s'attache à chaque facteur isolément et refuse d'envisager leur somme.
Cette même omission est le nœud d'un autre sophisme, dont on a beaucoup ri, bien que l'on puisse douter de son caractère de mot d'esprit. A. a emprunté à B. un chaudron de cuivre, lorsqu'il le rend, B. se plaint de ce que le chaudron a un grand trou qui le met hors d'usage. Voici la défense de A. «Primo, je n'ai jamais emprunté de chaudron à B.»
«Secundo, le chaudron avait un trou lorsque je l'ai emprunté à B.»
«Tertio, j'ai rendu le chaudron intact.»
Chacune de ces objections en soi est valable, mais rassemblées en faisceau, elles s'excluent l'une l'autre. A. isole ce qui doit faire bloc, tout comme le marieur les défauts de la prétendue. On peut dire aussi que A. met un «et» là où ne serait de mise que l'alternative «ou bien - ou bien».
Ne vient on pas de vivre un moment comparable avec les sophismes des labos et des co-labos?:
«Le vague saint immunise à 95%»
«Le vague saint immunise à 75%»
«Le vague saint immunise à 50%»
«Il n’immunise pas mais réduit la transmission»
«Il ne réduit pas la transmission mais empêche les formes graves»
«Il n’empêche pas les formes graves, mais vous ne finissez pas aux soins intensifs»
«Il n’empêche pas que vous vous retrouviez aux soins intensifs, mais vous ne mourrez pas»
«Si vous mourez, l’État prend en charge la moitié des frais d’obsèques».
Cela n’est bien entendu pas sans rappeler la lettre que Freud envoya à Marie Bonaparte le 18 août 1937:
«Dès que l’on s’interroge sur le sens et la valeur de la vie, on est malade, car ni l’un ni l’autre n’existent objectivement; on avoue simplement posséder une réserve de libido insatisfaite, à laquelle quelque chose d’autre a dû arriver, une sorte de fermentation, aboutissant à une tristesse et à de la dépression.
Je crains que ce genre d'explication de ma part ne soit très formidable.
Peut-être suis-je trop pessimiste.
Une publicité me vient alors en tête, la plus hardie et la plus réussie des publicités américaines, elle dit ceci: «Why live if you can be buried for ten Dollars?»
(Pourquoi vivre, alors que vous pouvez être enterré pour dix dollars?)
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Nous vivons la fin de la société
Dans une société où personne ne se fait confiance. L’individualisme a été une solution de mauvaise augure, nous promettant de nous protéger les uns des autres, il nous a finalement plongé dans l’égoïsme.
Nous ne sommes plus dans ce qui définit une société.
Il est bien fait que les mortels d’aujourd’hui, par leur médiocrité, soit les derniers, pour que les siècles antérieurs n'aient jamais entendu parlé de nous. Pas un seul n’aurait atteint le niveau d’un macaque qu’on dresse à la récompense dans l’infamie des cliques immédiats. Moi-même j’aurais échoué. Bien que je me suis par nature tenu à distance, un peu plus loin de ce monde d’apparences, et à l’écart d'un ego public. Ma mission serait-ce cette communauté en exil, qui réapprendrait tout ce qui a été fait oublié par nos forçats, nous plaçant dans ces existences de masse inerte et insipide. Dans un monde qui essayerait de retrouver un sens, nous retournerions au contact direct des éléments et du vivant. C'est que j'appelle le vrai sens du monde réel. Si mes efforts de sociabilité dans cette société sont si atrophiés, et recroquevillés sur eux-même c’est que le dehors hostile, enferme tout à la fraternité possible. Personne ne veut réellement vivre pour l’autre, et personne n’a honte de ne vivre que pour financer sa mendicité. Comment peut-on parler de société. Je me demande d’ailleurs pourquoi se chercher encore les uns, les autres. S’ils allaient tous vraiment à fond, il faudrait ne plus adresser un regard à quiconque, si ce n'est de vous abandonner à jamais. Dans cette sous basse existence, peut-on encore faire croire que nous nous supportons, alors que les lieux communs sont confrontés à de la démoralisation systématique. Le portable est le dernier refuge de celui qui voudrait vous voir crever, seule cette vitre lui renvoie une image de l’humanité acceptable, c’est-à-dire fausse, dans laquelle toute sa mollesse se dirige. Quant aux lectures qui sont les refuges qu’ils me restent difficilement dans les lieux communs, elles ne sont plus que les seules vraies communions que je peux avoir avec un esprit. Les êtres cliniquement morts me parlent plus évidemment plus que la mort de l’esprit. L’éternel contre leur artificiel.
Une communauté indépendante de toute cette supercherie, n’est pas un retour au primitif survivaliste. Mais une reconquête de tous les savoirs, en partage et dans l’alliance. Deux choses impossibles dans une vision dirigée ici où chacun doit être seul contre tous, où n’avons plus qu’à pourrir encerclés dans la puanteur du conformisme. Nous n’osons plus rien, la satisfaction est désespérante, effrayés que nous sommes de tout, dans l’atmosphère d’un fascisme insidieux, à défaut d’une guerre de sang, c'est le mal qui triomphe.
« Le deuxième point remarquable de ces vaines attentes, c’était que tous les camarades qui prenaient congé de moi avaient toujours quelque chose à faire. Ce n’était pas qu’ils ne voulaient pas rester avec moi parce qu’eux non plus n’avaient rien à faire, au contraire, ils ne pouvaient pas rester avec moi parce qu’ils avaient justement un autre programme. Moi je n’avais rien de prévu. Mon seul projet, c’était, le plus longtemps possible, de ne pas devoir rentrer chez moi et de m’attarder le plus longtemps à l’université. » Fritz Zorn, Mars en exil.
Voici ce qui me semble être les faits relevés de l’égoïsme. Comment ne pas être concerné par ce passage. Aujourd’hui tout s’attache à faire croire que c’est celui qu'on abandonne le plus coupable, quand le plus réfléchi de l'histoire est le plus névrosé. Si le monde majoritaire était si bien, j'imagine mal comment il pourrait être aussi pire socialement.
Dans une communauté contrairement aux cyberrencontres, nous nous créerons des relations filiales. Il est primordial de sortir totalement des habitudes sociales superficielles de cette pauvre génération de rats. Je vous renvoie à Steve Cut pour illustrer ce que la plupart de mes rencontres ont voulu dire, je pourrais dire qu’elles étaient tout ce que le consumérisme a fait de mieux. J’ai toute ma vie souffert d'un décalage élevé, d'un complexe de supériorité, de mon besoin de connexion d'âmes sœurs, et je ne pense pas m'être mal débrouillé. Le monde moderne porte un monstre tout à fait implanté, qui, devenu plus gros et plus fort, a tout recouvert de rapacité. Sortir de cette société mauvaise mère, c’est l’espoir de redevenir des oiseaux chantants.
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Coincé dans la honte, dans la crainte, et la fatigue bien sûr. J’aimerais partir. Tout quitter. M’avouer vaincu. Je ne sais donc pas parler aux hommes. Ce n’est pas que je suis plus sensible qu’eux, c’est que j’ai surtout des tares qu’eux n’ont pas. Ce complexe d’infériorité absurde m’empêche d’avoir des relations normales et naturelles avec les autres. Après tout ce que j’ai écrit, pensé, compris, comment se fait-il qu’en moi rien ne change ? Comment se fait-il que j’ai encore la hantise de déplaire à tous ceux qui ont plus confiance en eux que moi ? Je trouve cela absurde, bête, rageant. À quoi bon avoir médité tout cela si ce n’est que pour le savoir ? Je voulais me comprendre pour changer, non pas me comprendre seulement pour me comprendre. Je suis resté le même, toujours aussi ridicule que lorsque j’étais adolescent. Je suis fatigué de moi-même, de mes erreurs, desquelles je n’ai rien appris, de ma médiocrité, à laquelle je n’ai pas su remédier. Je ne veux plus aucune ambition, aucun espoir. Ne souris plus niaisement. Ainsi peut-être je ne serais plus ridicule, mais j’aurais l’air blasé, et mes relations n’en seront pas davantage normales, plus naturelles probablement, mais pas comme j’aurais voulu qu’elles soient. Tant pis, tant mieux.
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Saint Narcisse, film foutraque de Bruce la Bruce, 2020
Le climax du film réside certainement dans un échange a la fois ubuesque et quasi cathartique. De mémoire (et mes excuses à mes potentiels deux lecteurs qui ne verront pas ce film), un des jumeaux protagonistes s'étonne de la relation de son frère avec le méchant libidineux père Andrew. Son frère lui rétorque de la plus fine des manières. Voici grosso modo ce qu’ils se disent :
- Mais c’est dégueulasse ce qu’il t’a fait faire !
- Oui mais nous aussi on a couché ensemble ! (entre frères donc)
Roulements de tambour.
- Oui mais nous c’est la famille !
Clap clap.
Ne cherchons pas plus loin de sens a cette oeuvre bordélique a souhait : Bruce Lee Bruce a voulu provoquer, nous dire qu’a l’ère des millennial, des LGBTQI+, tout est permis, même l’inceste. Les références bibliques et mythologiques, qu'elles soient pour souligner un anticléricalisme d’assez bas étage ou pour faire du pied à la critique intello ne nous ont pas poussé à réflexion. Les dialogues, tous plus illustratifs et poussifs les uns que les autres, nous enlèvent des rires bienvenus, à savoir si cela est volontaire.. Ce qui ne semble pas l'être en tout cas, c’est le traitement du personnage féminin. La gente féminine, lesbienne puis bisexuelle incestueuse en prend pour son grade, à force de maladresses dues a la médiocrité des dialogues, certes, mais aussi a la pauvreté du jeu des actrices vraisemblablement livrées a elles-mêmes sur le tournage, Brousse la Brousse étant peut-être occupé a donner un coup de main a son Apollon de personnage principal.
Enfin, malgré et grâce a tout cela, un OFNI à voir : dans le cadre d’un festival Queer, avec un public décomplexé et des boules de couleur à insérer dans des jauges pour évaluer ce truc, s’il vous plait ! Il n'y a pas de temps mort dans Saint Narcisse malgré ses 1h41 et le tout a réussi à nous divertir. Et c’est déjà pas mal !
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Culte de l'Excellencs du 11 08 2024.
Thème
DIEU T'APPELLE A L'EXCELLENCE
( Évêque Dr Floribert Mawit)
Dieu est un Dieu d’excellence et il nous appelle à l’excellence.
Ce n’est pas le travail qui est important, c’est la qualité du travail qui est le plus.
I- Quelques réalités de l’excellence :
1. La performance.
2. Le dépassement de soi (se situer au-dessus de la moyenne).
3. Le succès.
4. La prospérité.
5. La victoire.
Dieu t’appelle à t’améliorer tous les jours.
L’excellence nécessite un effort, une amélioration quotidienne, une discipline personnelle.
II- Quelques vérités de l’excellence :
1. Le royaume de Dieu est un royaume de beauté, d’harmonie, d’excellence.
2. Dieu est excellent par son caractère, ses projets, ses conseils.
3. Dieu bénit les choses qui le glorifient.
4. L’excellence se manifestent dans les œuvres (actes pour le Seigneur, dans la société, dans les relations).
5. L’exigence et la distinction.
III- Quelques synonymes du mot excellence :
1. Splendeur.
2. Grandeur.
3. Valeur.
4. Le mérite.
5. La beauté.
6. La perfection.
IV- Quelques types d’excellence :
1. Au niveau de l’esprit (Exode 31 : 1 à 6).
2. Au niveau du cœur (Matthieu 5 : 8).
3. Au niveau des actions.
V- Les avantages de l’excellence :
1. La distinction par rapport aux autres.
2. L’attraction des regards.
3. Renforce l’estime de soi.
4. Attire la faveur de Dieu.
5. Attire l’approbation des hommes.
VI- Quelques obstacles à l’excellence :
1. La mauvaise image de soi (Gédéon, Jérémie, Moïse dans la Bible).
2. La surestimation : estimer ses compétences au-delà de ses réelles compétences. Elle empêche l’effort, l’amélioration. Elle vous bloque dans la médiocrité.
3. L’ignorance.
4. Les types de fréquentations, le milieu de fréquentations.
5. Le péché.
VII- Les clés de l’excellence :
1. L’éducation et l’instruction.
2. La mise en pratique de la Parole de Dieu.
3. Avoir des modèles, des mentors.
4. La consécration à l’œuvre de Dieu.
5. Le choix d’un bon environnement.
Il existe 3 types de personnes dans la vie avec qui vous marchez tous les jours : Les méchants, les égoïstes et les inconscients.
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