#médiocrité des relations
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mega-adam-blr · 1 year ago
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La réciprocité.
La réciprocité ce concept qui m'est si cher, qui m'a sauvé. Recevoir ce que l'on mérite... Ce n'est pas donner dans l'espoir de recevoir mais c'est avoir conscience de sa valeur et de ce que l'on mérite. C'est choisir des relations où l'on ne se contente pas de miettes d'amour... C'est être en osmose avec l'autre parce qu'on est sur la même vibration et qu'on reçoit autant d'amour qu'on en donne. C'est aussi avoir le recul d'analyser nos relations et de savoir dire stop quand en face on a pas de réciprocité. C'est fuir la médiocrité des relations à sens unique... C'est arrêter de se dévaloriser en se donnant sans recevoir de considération. C'est savoir mettre fin à des situations où l'on s'investit sans jamais que nos efforts soient vus. Je pense qu'on récolte ce que l'on sème et que si ce n'est pas le cas c'est soit qu'on sème (s'aime) mal soit qu'on sème au mauvais endroit. Je vous souhaite d'apprendre à semer aux bons endroits afin de récolter ce que vous méritez, et d'avoir la lucidité d'arrêter de semer quand vos efforts ne paient jamais. Quand on en prend conscience, et qu'on change ce qui peut l'être, alors apparaissent des fleurs d'amour et de bonheur sur notre chemin, c'est cela que je vous souhaite.
Cynthia Chevalier. Le chant de l'âme
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christian-dubuis-santini · 3 months ago
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Pour Lacan, ce que découvre Freud dans le Witz n’est rien d’autre que la loi qui permet de structurer des manifestations de l’inconscient aussi diverses que le rêve, le symptôme, l’acte manqué, le lapsus… sans oublier le trait d’esprit lui-même (qui est la traduction qu’il privilégiera pour "Witz"). Dans son séminaire Les formations de l’inconscient, il insiste par trois fois pour que les analystes présents relisent Le mot d’esprit et sa relation à l’inconscient de Freud (non sans signaler au passage la médiocrité de la traduction française)...
On se souvient que dans cet écrit, pour tenter de discerner le comique, l’humour et leur rapport au trait d’esprit à proprement parler, l’inventeur de la psychanalyse fait plusieurs fois appel à la sophistique du marieur juif: un marieur défend contre les critiques d’un jeune homme, la jeune fille qu'il lui propose:
«La belle-mère, dit celui-ci, ne me plaît pas, c'est une personne méchante et bête.»
«Vous n'épousez pas la belle-mère, mais la fille.»
«Mais elle n’est plus jeune ni belle non plus.»
«Peu importe, moins elle sera jeune et belle, plus elle vous sera fidèle.»
«Il y a bien peu d'argent.»
«Qui parle d'argent! Est-ce l'argent que vous épousez? C'est bien une femme que vous voulez!» «Mais elle est bossue!»
«Que voulez vous! Il vous faut donc une femme sans défauts?»
Il s'agit, en réalité, d'une demoiselle plus très jeune, sans argent ni beauté, nantie d'une mère repoussante et gratifiée au surplus d'une grave difformité. Ce ne sont pas là des conditions attrayantes pour un épouseur. À chaque défaut, le marieur trouve des arguments qui permettent de s'en accommoder: il ne concède comme seul défaut que la bosse, défaut dont tout le monde doit convenir.
Voilà encore l'apparence de logique, caractéristique du sophisme, et destinée à couvrir la faute de raisonnement. La demoiselle n'a évidemment que des défauts, les uns sur lesquels on pourrait passer, et un dernier qui crève les yeux. Il est donc impossible de l'épouser. Le marieur feint d'avoir éliminé chacun des défauts par l'excuse qu'il leur trouve, bien que, malgré ses efforts il reste que chacun d'eux équivaille à une dévalorisation qui s'ajoute à la suivante. Il s'attache à chaque facteur isolément et refuse d'envisager leur somme.
Cette même omission est le nœud d'un autre sophisme, dont on a beaucoup ri, bien que l'on puisse douter de son caractère de mot d'esprit. A. a emprunté à B. un chaudron de cuivre, lorsqu'il le rend, B. se plaint de ce que le chaudron a un grand trou qui le met hors d'usage. Voici la défense de A. «Primo, je n'ai jamais emprunté de chaudron à B.»
«Secundo, le chaudron avait un trou lorsque je l'ai emprunté à B.»
«Tertio, j'ai rendu le chaudron intact.»
Chacune de ces objections en soi est valable, mais rassemblées en faisceau, elles s'excluent l'une l'autre. A. isole ce qui doit faire bloc, tout comme le marieur les défauts de la prétendue. On peut dire aussi que A. met un «et» là où ne serait de mise que l'alternative «ou bien - ou bien».
Ne vient on pas de vivre un moment comparable avec les sophismes des labos et des co-labos?:
«Le vague saint immunise à 95%»
«Le vague saint immunise à 75%»
«Le vague saint immunise à 50%»
«Il n’immunise pas mais réduit la transmission»
«Il ne réduit pas la transmission mais empêche les formes graves»
«Il n’empêche pas les formes graves, mais vous ne finissez pas aux soins intensifs»
«Il n’empêche pas que vous vous retrouviez aux soins intensifs, mais vous ne mourrez pas»
«Pas tout de suite…»
Cela n’est bien entendu pas sans rappeler la lettre que Freud envoya à Marie Bonaparte le 18 août 1937:
«Dès que l’on s’interroge sur le sens et la valeur de la vie, on est malade, car ni l’un ni l’autre n’existent objectivement; on avoue simplement posséder une réserve de libido insatisfaite, à laquelle quelque chose d’autre a dû arriver, une sorte de fermentation, aboutissant à une tristesse et à de la dépression.
Je crains que ce genre d'explication de ma part ne soit très formidable.
Peut-être suis-je trop pessimiste.
Une publicité me vient alors en tête, la plus hardie et la plus réussie des publicités américaines, elle dit ceci: «Why live if you can be buried for ten Dollars?»
(Pourquoi vivre, alors que vous pouvez être enterré pour dix dollars?)
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lekintsugihumain · 1 year ago
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À tout ce que je laisserai Inachevé
Des phrases vous parleront
d’autres non
Rien n'est assez bien, j'finis jamais rien
Toutes les opportunités gâchées
Nos histoires mortes avant d'avoir démarré
Les heures laissées passées, les potes jamais rappelés les jobs que j'ai lachés, les portes que j'ai claquées
À toutes les vérités qu'j'ai pas osé m'avouer
Ma meuf me casse les couilles, j'ai pas les couilles de m'en séparer. J'attends qu'elle m'quitte, les bras croisés en attendant la suite
Incapable de faire des choix j'suis comme mes figurines
La tête dans les nuages à la recherche d'une vie cachée
J'compte plus mes relations inachevées
J'ai jamais rien fini sauf c'que j'ai entrepris d'gâcher
Complètement détaché, j'm'écoute raconter des histoires
Mode de vie nul, j'avale la pilule tristement
Incapable de voir que tous mes refuges sont mes tombeaux
La tête plein de doutes, à confondre rien foutre avec patience
La médiocrité commence là où les passions meurent
J'ai tellement misé sur mes faiblesses et mes failles
Si tu renonces, t'as rien, tu choisis pas
Et ça fait 15 ans qu'tout le monde se dit "ça va lui passer"
J'veux pas vieillir blasé, à 50 piges passées, l'envie d'claquer
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mrlafont · 2 years ago
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Il est difficile, quand on a pas été poussé à le faire, de s’élever au-dessus de la médiocrité générale de l’époque. Difficile de ne pas s’y laisser prendre, de ne pas s’y conformer, malgré notre volonté d’y résister. Toujours nous sommes les enfants d’une époque dont nous héritons des tares et des faiblesses. Si elle est grande, nous le serrons aussi. Le peuple ne donne le la de rien du tout. C’est celui, ceux qui dirigent qui le donnent. Ce sont les responsables de toute la médiocrité de cette époque. Ils ont le peuple qu’ils méritent. Leur pays a la gueule qu’ils méritent qu’il aie. C’est difficile, pour celui qui comprend cela, qui comprend que son époque a une telle influence sur lui, qu’elle le détermine en grande partie, qu’elle façonne ses rêves et ses angoisses… C’est difficile de vivre avec cette idée-là, et de devoir malgré tout « faire sa vie » à cette époque et dans ce monde-là, qui ne nous dit rien du tout, pour lequel on ne peut se battre. Car c’est cela qui est terrible : vivre sans aucune raison de mourir, donc sans aucune raison de vivre. C’est difficile, de trouver encore un sens et à soi et à ce monde. Et je refuse cet individualisme forcené qui voudrait que je trouve le bonheur en moi-même et pour moi-même. Je me regarde dans le miroir, moi pour moi, et non, non, je ne suis rien sans l’autre, la vie seule ne peut rien pour moi si elle ne contient pas l’autre, les autres. Seulement les hommes acceptent si facilement l’état actuel des choses, si, si facilement, si naturellement. Ils n’ont plus aucune exigence quant à la qualité de leur vie, de leurs goûts, de leur relations, de leur spiritualité. Consumérisme médiocre et abrutissant, c’est tout. Nous devons exiger de nouveau une certaine qualité de vie, qualité de notre caractère propre et qualité de ce que nous consommons. C’est urgent. C’est trop tard.
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fuckyouwitches · 2 years ago
Note
Toc toc toc ..?
C'est bon j'ai trouvé le doc. Mais j'ai ramé. Je te l'envoie sur WA. Dis donc, impressionnant le supplément d'abonnés, dont un compte que tu m'avais montré, que j'ai adoré et qui me suis en pensant te suivre. Pas de réactions de nos amis gôcho, et pourtant tu as tapé fort en reblogs héhé. Ah oui, tant que j'y pense j'ai vu très vite fait que ton diabloto faisait dans la provoc. Je sais que tu ne veux plus en entendre parler mais c'était juste pour te redire à quel point il ne t'arrive pas aux orteils et que tu es mille fois mieux sans lui. Mais je me demandais s'il n'a pas trouvé ton compte, vu le contenu de deux ou trois de ses posts. Bizarre ce mec, il me fait froid dans le dos tellement il est sombre.
Oh coucou ! Entre donc douceur !
Je ne sais pas de quand date exactement ce ask puisque je suis au courant pour le doc auquel tu fais référence. Navrée de ne te répondre que maintenant.
Qu'il n'y ait aucune réaction de gauchistes collabos, ne me surprends guère. Ils adorent épier, lire sans se manifester et puis geindre auprès de leur semblables névrosés, sans jamais se remettre en question. Quoique... Il me semble qu'il y a un compte qui s'est désabonné du tiens il y a quelques jours. Un compte qui avait rédigé, entre autres, une histoire d'amour entre une chance pour la France made in Algérie et un blanbec de chez nous. Peu importe, tu ne perds rien puisque je crois savoir quel compte est l'objet de ton ravissement. La qualité, doit être une exigence sur ces réseaux sociaux, capables de nous leurrer. Et j'en sais quelque chose... A ce propos, celui que tu nommes diablotin (doux euphémisme), tu le sais, n'occupe plus mes pensées depuis de longues semaines maintenant.
Je me demande de quelle sinistre maladie j'étais atteinte, pour lui donner mon cœur, sans aucune garantie et surtout sans méfiance. Tu sais, je vais te paraître prétentieuse, mais, même lorsque j'étais encore sa proie, il ne m'arrivait pas à la cheville. Tout n'était que d'immenses et habiles mirages. Des hallucinations auditives. Un mensonge en forme de philtre d'amour qu'il m'a lancé pour passer le temps. C'est parce qu'il s'est joué de moi, qu'il ne m'arrivait pas à la cheville. Ma sincérité n'avait d'égale que ma naïveté. Comparativement à l'homme qui est en train de posséder mon ��me aujourd'hui, celui qui me séduit chaque jour un peu plus fort, celui à qui je tente vainement de résister depuis 2 mois, il ne lui arrive pas à la cheville non plus. Chez Ô, tout n'est que lâchetés et impostures quand Baptiste est tout l'inverse. Le contraste est stupéfiant. Baptiste me voulait à la seconde où ses yeux se sont posés sur moi. Et il m'a conquise dans un contexte qui était en sa défaveur puisque je rejetais violemment l'amour. Je ne sais de quelles provocations tu parles, et ne le prends pas mal, mais je m'en moque éperdument. Ô est synonyme de médiocrité absolue pour toujours, à mes yeux ; la mienne pour m'être éprise de lui, la sienne pour tout ce qu'il est. Je le vois comme une bouffée délirante dont je fus atteinte. Une folie passagère. Une honteuse erreur.
Baptiste, quelque soit la suite de notre relation, sera toujours synonyme de virilité, de lumière, de beauté, de plaisir, d'absolu, de magie. Baptiste me bouleverse. Il m'aime d'un amour fou et sublime qui me restera à jamais.
Enfin, pour conclure, je ne crois pas qu'Ô ait trouvé mon compte, ni même qu'il l'ait un jour cherché. Cet homme ne m'a jamais aimé tu sais, il n'aime que lui, ses pathétiques fantasmes juvéniles de mort et désolation, son ange déchu, ses délires narcissiques.
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ondessiderales · 15 days ago
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Madame Bovary
« Madame Bovary. Mœurs de province, couramment abrégé en Madame Bovary, est un roman de Gustave Flaubert paru en 1857 chez Michel Lévy frères, après une préparution en 1856 dans la Revue de Paris. Il s'agit d'une œuvre majeure de la littérature française. L'histoire est celle de l'épouse d'un médecin de province, Emma Bovary, qui lie des relations adultères et vit au-dessus de ses moyens, essayant ainsi d'éviter l’ennui, la banalité et la médiocrité de la vie provinciale.
À sa parution, le roman fut attaqué par le procureur de Paris du Second Empire pour immoralité et obscénité. Le procès de Flaubert, commencé en janvier 1857, fit connaître l’histoire en France. Après l'acquittement de l'auteur le 7 février 1857, le roman fut édité en deux volumes le 15 avril 1857 chez Michel Lévy frères. La première édition de 6 750 exemplaires fut un succès instantané : elle fut vendue en deux mois. Il est considéré comme l'un des premiers exemples d'un roman réaliste. »
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« Emma Rouault, fille d'un riche fermier, a été élevée dans un couvent. Elle rêve d'une vie romantique et brillante comme les princesses des romans à l'eau de rose dans lesquels elle se réfugie pour rompre la monotonie de son existence. Elle devient l'épouse de Charles Bovary, qui, malgré de laborieuses études de médecine, n'est qu'un simple officier de santé qui ne lui offre qu'une vie routinière, bien vite monotone et frustrante pour Emma. Charles a été le médecin du père Rouault et est vite tombé amoureux de sa fille aux manières raffinées.
(...)
Emma est déçue par la naissance de la petite Berthe, puisqu’elle aurait préféré mettre au monde un garçon voué à un grand destin. Elle s'enlise dans l'ennui et perd tout espoir d'une vie meilleure. Elle n'éprouve plus aucun amour pour Charles, qui pourtant ne lui veut que du bien. Elle ne parvient pas non plus à aimer sa fille, qu'elle trouve laide et qu'elle confie à Mme Rolet, nourrice vénale qui vit dans une pauvreté sordide. Elle laisse libre cours à ses dépenses compulsives chez son marchand d'étoffes et autres colifichets, M. Lheureux. Elle repousse les avances de Rodolphe et de Léon, puis elle finit par céder, se révélant une amante passionnée prête à quitter mari et enfant. Mais ses amants se lassent vite du sentimentalisme exacerbé et effrayant de la jeune femme qui rêve de voyages, de luxe et de vie aventureuse. »
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christophe76460 · 2 months ago
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Briefing Spirituel Quotidien (DSB)
23 Nov 2024
VISEZ L’EXCELLENCE ET REFUSEZ LA MÉDIOCRITÉ !!!
«‬‬ Tout ce que vous faites, faites-le de bon cœur, comme pour le Seigneur et non pour des hommes, »
‭‭Colossiens‬ ‭3‬:‭23‬ ‭LSG‬‬
RÉFLEXION & INSPIRATION
Aspirons à l’excellence et rejetons la médiocrité, car Dieu nous appelle à être des témoins de sa grandeur. Dans notre démarche chrétienne, nous sommes appelés à rechercher l’excellence dans tout ce que nous faisons. Ne nous contentons pas de peu, mais cherchons ce qui est bon, juste et pur. L’excellence ne se limite pas à la performance, mais englobe notre caractère et notre engagement envers Dieu.
La recherche de l’excellence doit se refléter dans notre vie quotidienne. Que ce soit dans notre travail, nos relations ou notre service à l’église, nous devons nous efforcer d’être au meilleur de nous-mêmes. La médiocrité peut nous séduire et nous pousser à nous contenter de moins que ce que Dieu a prévu pour nous. Pour atteindre l’excellence, nous devons prier et méditer sur sa Parole, et rester ouverts à la correction et à l’enseignement. Cette attitude transformera notre vie quotidienne en un acte de louange et de dévotion à Dieu.
Vous voulez continuer à dire, mon Goliath est trop grand ou vous voulez dire que mon Goliath est si grand que je ne peux pas le manquer pour le battre ! Engagez-vous à faire de chaque jour une occasion de glorifier Dieu par l’excellence. Que ce soit dans vos études, votre travail ou votre service, rappelez-vous que chaque effort compte. Dieu attend de nous que nous utilisions nos dons pour sa gloire.
Sois béni et rappelle toi que Tu es choisi !!! « Ce n’est pas vous qui m’avez choisi; mais moi, je vous ai choisis » (Jean 15 :16, LSG)
🙏🏼 PRIONS 🙏🏼
« Seigneur, je te prie de m'aider à viser l'excellence dans tous les domaines de ma vie. Je veux être un instrument entre tes mains pour accomplir ta volonté.
Seigneur, que ma vie soit un témoignage de ta bonté et de ta grandeur. Je désire honorer ton nom à travers mes efforts et que chaque pas que je fais me rapproche de l'excellence que tu désires pour ma vie. Au nom tout-puissant de Jésus, je prie. Amen et Amen »
N’oubliez pas de partager ce message
…/Power connexion/DG
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bienvenuechezmoi · 7 months ago
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Putain je viens d'apprendre que Stéphane Plaza n'est pas seulement auteur de violence conjugale mais le boug avait 3 relations en même temps (secrète évidemment) et c'est quand une meuf a commencé à comprendre la dinguerie qu'il est devenu violent.
Ptdr les zoms. Ravie de ma vie de célibat. Moi je ne touche aux mecs avec un bout de bois. True story un mec un jour à dit devant moi et d'autres personnes lors d'une conversation "moi je ne touche une meuf avec un bout de bois si elle a des poils" . Voilà c'était pour caler la médiocrité.
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elodieamet · 9 months ago
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Le décollage 
Pour retirer la graisse d'une poêle, il faut y passer de l'eau bouillante
Comment l’être nous met sur sa voie ? Comment un individu trouve-t-il son chemin, prend-il son envol ? 
Est-ce par l’inspiration ? Est-ce par ses lectures, par la musique, par sa poursuite d'un rêve ou d'un idéal ? On croit que c'est en rêvassant et en s'évadant que l'on va décoller...Mais en réalité pour décoller quelque chose, pour retirer la graisse d'une poêle, il faut y passer de l'eau bouillante.
Pour s'envoler, on essaie d'oublier la pesanteur en s'attachant à de nobles pensées, à de nobles désirs, à une espèce de philosophie spirituelle généraliste en jouant les précieux comme les actrices de cinéma mais on ne peut pas s'envoler sans se décoller, sans agir sur ce qui pègue en nous.
****
L’être est une flamme invisible, de très haute vibration, on pourrait dire très haute température. C’est la flamme qui brûle en nous et maintient notre corps au chaud. 
Lorsque nous avons besoin de changer de direction, de changer de relations et d’activités, nous allons avoir besoin que cette flamme intensifie son signal. Cela ne vient ni de notre décision, ni de notre désir, ni de notre volonté mais de notre BESOIN.
Pour intensifier son signal, faire grandir sa flamme et améliorer la connexion du réseau interne, l’être va créer en nous les conditions d’une asphyxie et nous rendre insupportable certaines personnes, certaines attitudes, certains environnements. Cette hypersensibilité va créer des états de conflit intérieur (des étincelles) et faire grandir la haine. La haine vis-à-vis de l’hypocrisie, la haine vis-à-vis de la soumission, la haine vis-à-vis des relations toxiques, c’est-à-dire vis à vis de tout ce qui nous maintenait auparavant dans cette force d’inertie et de consentement à la médiocrité. La haine va monter jusqu’à ce que la flamme ait atteint un niveau de combustion suffisant pour nous permettre de sortir de nous-même et effectuer notre transformation intérieure. 
On associe souvent l’Amour à un feu purificateur. Cette haine initiatique, cette insupportabilité des faux-semblant et de la médiocrité est l’expression CONCRÈTE de cet amour purificateur qui entame son processus.
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L��amour propre, l’intégrité et la dignité sont le commencement de l’amour véritable. 
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C’est l'amour propre qui rend l’être bouillant et décapant. 
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Tu ne trouves pas ton chemin en poursuivant un idéal mais en repoussant l’insupportable, pour créer ce dont tu as RÉELLEMENT besoin. 
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Une fois que tu as versé suffisamment d’eau bouillante sur ta poêle, la voie se dégage et ta poêle est propre. Tu peux alors enfin commencer à cuisiner dedans, des choses que tu aimes vraiment.
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yes-bernie-stuff · 1 year ago
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Le point de vue biblique - La vallée des larmes
Lorsque l’on considère la manière dont le christianisme s’est développé à travers les âges, nous devons admettre qu’il n’est plus aujourd’hui qu’une grande Institution religieuse. Ce n’est plus tellement la ferveur spirituelle de ses adhérents que l’on remarque le plus, mais plutôt la mortelle habitude qui s’est développée de devenir et de demeurer de bons chrétiens. C’est pourquoi, il ne faut pas avoir trop d’attentes.
Un ennui obligé
En observant le peuple de Dieu, on constate qu’il y a peu de gens qui vivent réellement une belle relation avec Jésus-Christ. La plupart ne font qu’obéir aux commandements, du moins en ont-ils l’apparence. Pour ceux-là, la Bible n’est pas un livre qui édifie et qui procure la vie. Bien au contraire, il semble plutôt leur rappeler la médiocrité de leur condition. Ainsi, la vie chrétienne est d’un ennui mortel, mais obligé. Ils ne sont pas assez fervents pour aller de l’avant avec Dieu, mais pas assez courageux, non plus, pour tout laisser tomber. Combien sont-ils à croupir dans nos églises sans trop savoir pourquoi ni pour combien de temps encore?
Encourageons-nous un peu !
Loin de moi l’intention de vous lancer la pierre si vous vivez actuellement une telle situation. J’ai moi aussi traversé des vallées de sécheresse et je sais à quel point c’est difficile. Quand je parle de vallée, je parle de ces moments où la vie chrétienne ne veut plus rien dire de significatif, de ces temps où l’on ne comprend plus le bonheur qui anime les croyants autour de nous. Et ce qui s’avère le plus agressant dans ces moments-là, c’est lorsque certains nous exhortent à un peu plus de consécration. Mais y a-t-il encore quelqu’un qui voudrait nous encourager un peu?
Prévu d’avance
Pourquoi croyons-nous qu’il est anormal de vivre des moments pareils? Serait-ce à cause de notre siècle où les performances individuelles sont tellement honorées? Ou est-ce parce que nous vivons dans une société qui tente, par tous les moyens, de s’affranchir de tout qui ne se justifie pas par un certain niveau de rentabilité? Nous tous, qui vivons dans ce troisième millénaire, détestons l’échec. Pourtant, la Parole de Dieu laisse une place considérable à l’échec. Presque tous les héros bibliques ont échoué bien plus souvent qu’ils ont réussi. La Bible les déclare «héros», non parce qu’ils étaient parfaits, mais parce que, malgré leurs faiblesses, ils ont persévéré avec Dieu. Voilà donc ce qu’est un héros selon Dieu!
Psaume 84:6-8
«Heureux ceux qui placent en toi leur appui! Ils trouvent dans leur cœur des chemins tout tracés. Lorsqu’ils traversent la vallée de Baca, ils la transforment en un lieu plein de sources, et la pluie la couvre aussi de bénédictions. Leur force augmente pendant la marche, et ils se présentent devant Dieu à Sion.»
La vallée des larmes (Baca)
Ce texte est un solide encouragement pour ceux qui vivent des peines et des chagrins continuels parce que le Psaume les dit «heureux». Dans le texte hébreu, le nom Baca signifie: pleurs ou larme. C’est donc bien de la vallée des larmes dont il est question ici. Que faire alors? Nous devons accepter les larmes comme étant permises de Dieu pour un temps et se confier en Dieu pour trouver en Lui un appui qui ne manque pas.
Réal Gaudreault, pasteur de l’Assemblée Chrétienne La Bible Parle, Saguenay.
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lanuitlennuie · 1 year ago
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J'écoute une émission de radio sur Edward W. Said. Une femme cite Adorno, quelque chose comme : une des formes la plus haute de moralité (plutôt que *haute*, il faut sans doute entendre minimale, dans le sens de «de base») consisterait *à ne pas se sentir chez soi chez soi* («not to feel at home in ones own home»).
Le US go home me taraude. C'était joyeux de le crier à la manif et aussi «yankee go home» prononcé à la latino par L : «yanqui go home». Mais passé le goût du slogan, il reste celui de la terre volée. Renvoyer les yanquis sur d'autres terres usurpées ? Et nous comment habiter ici ?
Je lis la thèse d'Amélie-Anne Mailhot et c'est elle qui me fait réfléchir à cette question politique de la maison. Elle cite Barnabé Vachon, un innu de Pessamit:
«Je dois chanter dans une tente pour nourrir ma famille. (…) Ce que je vais chanter… je ne l’aurais pas chanté ici, dans cette maison de bois. Si le blanc ne m’avait pas sorti de ma tente, j’aurais chanté dans ma tente, étant donné que c’est ma vie, ma tente, pour subvenir à mes besoins. Je trouve ça étrange qu’on ait pris ma viande puisque c’est la façon dont je survis. Moi mon affaire c’est le bois. Moi je n’emploie pas de règles, j’emploie ce qui est dans ma tête. J’aime la façon dont je suis, moi qui suis en vie.»
La dépossession de l'empire vise à ne reconnaître ni permettre «d'autres modes de vie qui ne soient rivés à ses structures». Rivés à ses structures. Or il faudra bien que quelque chose de l'empire entende, que quelque chose de l'empire lâche pour nous permettre de lousser les écrous, que quelque chose recule et c'est un autre mouvement qu'un simple go home!, une bifurcation à emprunter pour quitter sa voie de l'effacement.
A.-A écrit en s'appuyant sur la pensée de Julie Cruikshank « (...) on doit, pour faire échec aux manières décontextualisées de considérer et d'évaluer les récits selon une conception occidentale de la connaissance, se mettre en rapport avec ceux-ci, c'est-à-dire s'exposer et se mettre en position de vulnérabilité dans l'échange ». Pour entendre il faut être prêt à se faire déplacer, la conversation est une mise en relation où aucun jeu n'est fait d'avance, c'est engageant, c'est exigeant. L'autre jour nous remontions à pied de la BanQ, B, E et moi. L'air était doux, ni lui ni elle n'avaient emprunté de livres, B dans une distance de lectrice secrète, E petit Mat errant loin de la lecture. Je crois qu'il s'agissait surtout de la marche, du parcours pour y aller et en revenir qu'on a si souvent fait ensemble le nez en l'air. Et comme la mémoire s'active avec le corps, étaient remontés à B des souvenirs d'école. Ce soir là j'étais bien mais fatiguée et je n'ai pas eu la force de me mettre en relation avec son micro-récit, pas la force d'occuper justement cette position de vulnérabilité, je n'ai pas renvoyé la poque de ses réminiscences formulées pourtant sans ressentiment. L'école représente pour B de longs moments d'ennui et de déception, elle y a acéré son intelligence et son désir dans une attente critique vive mais parfois désespérée «la vie, ça ne peut pas être juste ça?». La grande médiocrité de l'école des enfants nous a défaits tout autant qu'unis, drôle de double escalier du regret et de la colère. Colère d'un lieu sans vérité, ma tristesse impuissante. Le rapport au chez soi des enfants est trouble, je me demande si ça vient de cela en plus de la maison familiale cassée. Chez eux oui c'est parfois Montréal, dans certaines configurations et selon certains usages de la ville. De ceux que je partage et que je connais : marcher sur Clark jusqu'au quartier chinois boire un bubble tea l'été; sillonner l'éternelle avenue du parc du PA jusqu'à la papeterie et baisser nos yeux embarrassés en tendant une pièce face à la drôle de joie des innu.es qui l'habitent sur son envers, et mendient, de misère mais pas que, peut-être parce que c'est toujours plus beau que de débourser des sous pour toute, dans un geste de proposition de relation qui n'est pas anodin... aller les nuits trop chaudes s’asseoir sur les marches de l'église orthodoxe de la rue Hutchinson pour guetter la vie de la seule tour qui nous attire avec son drôle de dépanneur percé dans le mur aveugle du rez de chaussée. Chez eux c'est chez leur père, et c'est chez moi j'imagine, dans cette maisonnette de coop, un abri sûr, touchons du bois, le bois déforesté dont je ne sais rien. Chez soi c'est très mineur et quand même très fort quand un grand ciel poudré nous rattrape, ou qu'une brunante opacifie la vie juste ce qu'il faut pour la rendre habitable.
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christian-dubuis-santini · 1 year ago
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Pour Lacan, ce que découvre Freud dans le Witz n’est rien d’autre que la loi qui permet de structurer des manifestations de l’inconscient aussi diverses que le rêve, le symptôme, l’acte manqué, le lapsus… sans oublier le trait d’esprit lui-même (qui est la traduction qu’il privilégiera pour "Witz"). Dans son séminaire Les formations de l’inconscient, il insiste par trois fois pour que les analystes présents relisent Le mot d’esprit et sa relation à l’inconscient de Freud (non sans signaler au passage la médiocrité de la traduction française)...
On se souvient que dans cet écrit, pour tenter de discerner le comique, l’humour et leur rapport au trait d’esprit à proprement parler, l’inventeur de la psychanalyse fait plusieurs fois appel à la sophistique du marieur juif: un marieur défend contre les critiques d’un jeune homme, la jeune fille qu'il lui propose:
«La belle-mère, dit celui-ci, ne me plaît pas, c'est une personne méchante et bête.»
«Vous n'épousez pas la belle-mère, mais la fille.»
«Mais elle n’est plus jeune ni belle non plus.»
«Peu importe, moins elle
sera jeune et belle, plus elle vous sera fidèle.»
«Il y a bien peu d'argent.»
«Qui parle d'argent! Est-ce l'argent que vous épousez? C'est bien une femme que vous voulez!» «Mais elle est bossue!»
«Que voulez vous! Il vous faut donc une femme sans défauts?»
Il s'agit, en réalité, d'une demoiselle plus très jeune, sans argent ni beauté, nantie d'une mère repoussante et gratifiée au surplus d'une grave difformité. Ce ne sont pas là des conditions attrayantes pour un épouseur. À chaque défaut, le marieur trouve des arguments qui permettent de s'en accommoder: il ne concède comme seul défaut que la bosse, défaut dont tout le monde doit convenir.
Voilà encore l'apparence de logique, caractéristique du sophisme, et destinée à couvrir la faute de raisonnement. La demoiselle n'a évidemment
que des défauts, les uns sur lesquels on pourrait passer, et un dernier qui crève les yeux. Il est donc impossible de l'épouser. Le marieur feint d'avoir éliminé chacun des défauts par l'excuse qu'il leur trouve, bien que, malgré ses efforts il reste que chacun d'eux équivaille à une dévalorisation qui s'ajoute à la suivante. Il s'attache à chaque facteur isolément et refuse d'envisager leur somme.
Cette même omission est le nœud d'un autre sophisme, dont on a beaucoup ri, bien que l'on puisse douter de son caractère de mot d'esprit. A. a emprunté à B. un chaudron de cuivre, lorsqu'il le rend, B. se plaint de ce que le chaudron a un grand trou qui le met hors d'usage. Voici la défense de A. «Primo, je n'ai jamais emprunté de chaudron à B.»
«Secundo, le chaudron avait un trou lorsque je l'ai emprunté à B.»
«Tertio, j'ai rendu le chaudron intact.»
Chacune de ces objections en soi est valable, mais rassemblées en faisceau, elles s'excluent l'une l'autre. A. isole ce qui doit faire bloc, tout comme le marieur les défauts de la prétendue. On peut dire aussi que A. met un «et» là où ne serait de mise que l'alternative «ou bien - ou bien».
Ne vient on pas de vivre un moment comparable avec les sophismes des labos et des co-labos?:
«Le vague saint immunise à 95%»
«Le vague saint immunise à 75%»
«Le vague saint immunise à 50%»
«Il n’immunise pas mais réduit la transmission»
«Il ne réduit pas la transmission mais empêche les formes graves»
«Il n’empêche pas les formes graves, mais vous ne finissez pas aux soins intensifs»
«Il n’empêche pas que vous vous retrouviez aux soins intensifs, mais vous ne mourrez pas»
«Si vous mourez, l’État prend en charge la moitié des frais d’obsèques».
Cela n’est bien entendu pas sans rappeler la lettre que Freud envoya à Marie Bonaparte le 18 août 1937:
«Dès que l’on s’interroge sur le sens et la valeur de la vie, on est malade, car ni l’un ni l’autre n’existent objectivement; on avoue simplement posséder une réserve de libido insatisfaite, à laquelle quelque chose d’autre a dû arriver, une sorte de fermentation, aboutissant à une tristesse et à de la dépression.
Je crains que ce genre d'explication de ma part ne soit très formidable.
Peut-être suis-je trop pessimiste.
Une publicité me vient alors en tête, la plus hardie et la plus réussie des publicités américaines, elle dit ceci: «Why live if you can be buried for ten Dollars?»
(Pourquoi vivre, alors que vous pouvez être enterré pour dix dollars?)
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memoiredesarts · 3 years ago
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Nous vivons la fin de la société
Dans une société où personne ne se fait confiance. L’individualisme a été une solution de mauvaise augure, nous promettant de nous protéger les uns des autres, il nous a finalement plongé dans l’égoïsme.
Nous ne sommes plus dans ce qui définit une société.
Il est bien fait que les mortels d’aujourd’hui, par leur médiocrité, soit les derniers, pour que les siècles antérieurs n'aient jamais entendu parlé de nous. Pas un seul n’aurait atteint le niveau d’un macaque qu’on dresse à la récompense dans l’infamie des cliques immédiats. Moi-même j’aurais échoué. Bien que je me suis par nature tenu à distance, un peu plus loin de ce monde d’apparences, et à l’écart d'un ego public. Ma mission serait-ce cette communauté en exil, qui réapprendrait tout ce qui a été fait oublié par nos forçats, nous plaçant dans ces existences de masse inerte et insipide. Dans un monde qui essayerait de retrouver un sens, nous retournerions au contact direct des éléments et du vivant. C'est que j'appelle le vrai sens du monde réel. Si mes efforts de sociabilité dans cette société sont si atrophiés, et recroquevillés sur eux-même c’est que le dehors hostile, enferme tout à la fraternité possible. Personne ne veut réellement vivre pour l’autre, et personne n’a honte de ne vivre que pour financer sa mendicité. Comment peut-on parler de société. Je me demande d’ailleurs pourquoi se chercher encore les uns, les autres. S’ils allaient tous vraiment à fond, il faudrait ne plus adresser un regard à quiconque, si ce n'est de vous abandonner à jamais. Dans cette sous basse existence, peut-on encore faire croire que nous nous supportons, alors que les lieux communs sont confrontés à de la démoralisation systématique. Le portable est le dernier refuge de celui qui voudrait vous voir crever, seule cette vitre lui renvoie une image de l’humanité acceptable, c’est-à-dire fausse, dans laquelle toute sa mollesse se dirige. Quant aux lectures qui sont les refuges qu’ils me restent difficilement dans les lieux communs, elles ne sont plus que les seules vraies communions que je peux avoir avec un esprit. Les êtres cliniquement morts me parlent plus évidemment plus que la mort de l’esprit. L’éternel contre leur artificiel.
Une communauté indépendante de toute cette supercherie, n’est pas un retour au primitif survivaliste. Mais une reconquête de tous les savoirs, en partage et dans l’alliance. Deux choses impossibles dans une vision dirigée ici où chacun doit être seul contre tous, où n’avons plus qu’à pourrir encerclés dans la puanteur du conformisme. Nous n’osons plus rien, la satisfaction est désespérante, effrayés que nous sommes de tout, dans l’atmosphère d’un fascisme insidieux, à défaut d’une guerre de sang, c'est le mal qui triomphe.
« Le deuxième point remarquable de ces vaines attentes, c’était que tous les camarades qui prenaient congé de moi avaient toujours quelque chose à faire. Ce n’était pas qu’ils ne voulaient pas rester avec moi parce qu’eux non plus n’avaient rien à faire, au contraire, ils ne pouvaient pas rester avec moi parce qu’ils avaient justement un autre programme. Moi je n’avais rien de prévu. Mon seul projet, c’était, le plus longtemps possible, de ne pas devoir rentrer chez moi et de m’attarder le plus longtemps à l’université. » Fritz Zorn, Mars en exil.
Voici ce qui me semble être les faits relevés de l’égoïsme. Comment ne pas être concerné par ce passage. Aujourd’hui tout s’attache à faire croire que c’est celui qu'on abandonne le plus coupable, quand le plus réfléchi de l'histoire est le plus névrosé. Si le monde majoritaire était si bien, j'imagine mal comment il pourrait être aussi pire socialement.
Dans une communauté contrairement aux cyberrencontres, nous nous créerons des relations filiales. Il est primordial de sortir totalement des habitudes sociales superficielles de cette pauvre génération de rats. Je vous renvoie à Steve Cut pour illustrer ce que la plupart de mes rencontres ont voulu dire, je pourrais dire qu’elles étaient tout ce que le consumérisme a fait de mieux. J’ai toute ma vie souffert d'un décalage élevé, d'un complexe de supériorité, de mon besoin de connexion d'âmes sœurs, et je ne pense pas m'être mal débrouillé. Le monde moderne porte un monstre tout à fait implanté, qui, devenu plus gros et plus fort, a tout recouvert de rapacité. Sortir de cette société mauvaise mère, c’est l’espoir de redevenir des oiseaux chantants.
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mrlafont · 2 years ago
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Coincé dans la honte, dans la crainte, et la fatigue bien sûr. J’aimerais partir. Tout quitter. M’avouer vaincu. Je ne sais donc pas parler aux hommes. Ce n’est pas que je suis plus sensible qu’eux, c’est que j’ai surtout des tares qu’eux n’ont pas. Ce complexe d’infériorité absurde m’empêche d’avoir des relations normales et naturelles avec les autres. Après tout ce que j’ai écrit, pensé, compris, comment se fait-il qu’en moi rien ne change ? Comment se fait-il que j’ai encore la hantise de déplaire à tous ceux qui ont plus confiance en eux que moi ? Je trouve cela absurde, bête, rageant. À quoi bon avoir médité tout cela si ce n’est que pour le savoir ? Je voulais me comprendre pour changer, non pas me comprendre seulement pour me comprendre. Je suis resté le même, toujours aussi ridicule que lorsque j’étais adolescent. Je suis fatigué de moi-même, de mes erreurs, desquelles je n’ai rien appris, de ma médiocrité, à laquelle je n’ai pas su remédier. Je ne veux plus aucune ambition, aucun espoir. Ne souris plus niaisement. Ainsi peut-être je ne serais plus ridicule, mais j’aurais l’air blasé, et mes relations n’en seront pas davantage normales, plus naturelles probablement, mais pas comme j’aurais voulu qu’elles soient. Tant pis, tant mieux.
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lamouchequifete-blog · 3 years ago
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Saint Narcisse, film foutraque de Bruce la Bruce, 2020
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Le climax du film réside certainement dans un échange a la fois ubuesque et quasi cathartique. De mémoire (et mes excuses à mes potentiels deux lecteurs qui ne verront pas ce film), un des jumeaux protagonistes s'étonne de la relation de son frère avec le méchant libidineux père Andrew. Son frère lui rétorque de la plus fine des manières. Voici grosso modo ce qu’ils se disent :
- Mais c’est dégueulasse ce qu’il t’a fait faire !
- Oui mais nous aussi on a couché ensemble ! (entre frères donc)
Roulements de tambour.
- Oui mais nous c’est la famille !
Clap clap.
Ne cherchons pas plus loin de sens a cette oeuvre bordélique a souhait : Bruce Lee Bruce a voulu provoquer, nous dire qu’a l’ère des millennial, des LGBTQI+, tout est permis, même l’inceste. Les références bibliques et mythologiques, qu'elles soient pour souligner un anticléricalisme d’assez bas étage ou pour faire du pied à la critique intello ne nous ont pas poussé à réflexion. Les dialogues, tous plus illustratifs et poussifs les uns que les autres, nous enlèvent des rires bienvenus, à savoir si cela est volontaire.. Ce qui ne semble pas l'être en tout cas, c’est le traitement du personnage féminin. La gente féminine, lesbienne puis bisexuelle incestueuse en prend pour son grade, à force de maladresses dues a la médiocrité des dialogues, certes, mais aussi a la pauvreté du jeu des actrices vraisemblablement livrées a elles-mêmes sur le tournage, Brousse la Brousse étant peut-être occupé a donner un coup de main a son Apollon de personnage principal.
Enfin, malgré et gr��ce a tout cela, un OFNI à voir : dans le cadre d’un festival Queer, avec un public décomplexé et des boules de couleur à insérer dans des jauges pour évaluer ce truc, s’il vous plait ! Il n'y a pas de temps mort dans Saint Narcisse malgré ses 1h41 et le tout a réussi à nous divertir. Et c’est déjà pas mal !
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valeriehervo · 4 years ago
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Thérèse Hargot: «Moi, les hommes, je les aime!»
La sexologue et essayiste* répond aux livres d’Alice Coffin et de Pauline Harmange, qui font l’apologie de la détestation des hommes. Forte de son expérience de thérapeute, elle éclaire la complexité des relations entre les sexes.
Oui, tous. Je veux le clamer haut et fort. Moi, les hommes, je les aime! Je ne vous parle pas de certains hommes, de mon père, mes quatre frères, mes amis, mes deux fils, ni de l’amour de ma vie. D’ailleurs, je ne suis pas de celles qui auraient eu une enfance merveilleuse peuplée d’hommes admirables, ce qui justifierait, peut-être, une telle déclaration en pleine guerre des sexes. J’avouerais même avoir été profondément déçue par eux, et l’être encore souvent aujourd’hui. Et pourtant, je veux déclarer publiquement mon amour pour les hommes, les hommes en général. J’aime la gent masculine, j’aime le masculin. Les hommes me sont indispensables, je ne souhaite en aucun cas me passer de leur présence, de leur regard, de leur amour, de leur corps. Ni de leurs livres, leurs films, leurs musiques.
Les hommes nous donnent beaucoup de raisons de les aimer.
Prenons par exemple ce que l’on nomme souvent l’«égoïsme masculin» qui s’évalue désormais au travers d’une notion sociologique imposée par les féministes: «la charge mentale», ce «poids psychologique» que représente l’ensemble des tâches domestiques et éducatives, reposant principalement sur les femmes. J’aime les hommes parce qu’ils sont capables de dire «J’ai pas envie», et de ne pas le faire. D’abord, c’est vrai, ça m’a révoltée. «Moi non plus, j’ai pas envie de faire les machines, les repas, les courses. On s’en fiche de nos envies, tu entends ça? On doit le faire, c’est tout. Et il faut bien que quelqu’un s’y colle!», ai-je pu si souvent crier.
Jusqu’au jour où j’ai compris la raison de mon énervement: ils s’autorisent ce que je ne m’étais jamais autorisé à faire, m’écouter, vivre mes envies. Quitte à dépérir intérieurement, quitte à m’épuiser littéralement. Imaginer ce que les autres attendaient de moi, imaginer ce qui leur ferait plaisir, imaginer ce qu’il serait bien moralement de faire et m’y conformer, pour tout ça, j’excellais. Dans les faits, j’attendais toujours un «merci», un «tu es formidable» et de mes enfants, un «tu es une super maman». Je me pensais généreuse, dans le don de moi-même, «femme-courage», «femme-dévouée», «femme-aimante», alors que j’étais totalement centrée sur ma quête de reconnaissance, mon besoin de validation: «Dites-le que je suis quelqu’un d’aimable!», parce que dans le fond, la seule à en douter, c’était moi. «Si tu changes, si tu t’investis davantage dans les tâches ménagères, si tu me remercies et si tu reconnais tout ce que je fais pour nous, alors moi j’irai mieux», penser cela était mon erreur.
Vivre avec un homme à l’état d’esprit différent du mien m’a permis de comprendre que le changement, c’est à moi de l’opérer. C’est à moi d’arrêter de culpabiliser, à moi de lâcher-prise, à moi d’accepter l’imperfection, à moi de me rassurer quant au fait que je suis aimable. En vérité, la «charge mentale», c’est une création de l’esprit dont souffrent les femmes «control freak», angoissées par l’idée de mal-faire, ne supportant pas que les choses soient faites autrement qu’elles les avaient pensées, empêtrées dans leur besoin de réassurance narcissique empêchant, de ce fait, à l’homme de s’investir à part égale dans le foyer. Ce n’est pas une création d’un patriarcat, le problème n’est pas chez les hommes, il est à résoudre chez les femmes.
Prenons, pour autre exemple, le rapport des hommes à la sexualité, qu’il est devenu commun d’appréhender, quant à lui, au travers des «violences sexuelles». Je passe mes journées à écouter la vie sexuelle des Français dans le cadre de mes consultations et, depuis mon poste d’observation, mon amour pour les hommes ne cesse de grandir. Ce que l’on dit d’eux est faux. Premièrement, les garçons sont aussi nombreux que les filles à avoir été victimes d’agressions sexuelles alors qu’ils étaient mineurs, sans compter l’exposition massive bien qu’illégale de la quasi-totalité des garçons à la pornographie, souvent dès l’enfance, et qui conduit aux mêmes conséquences psychologiques, relationnelles et sexuelles désastreuses. Les corps, les cœurs, les imaginaires des hommes sont aussi blessés, voire certainement plus encore que ceux des femmes.
Deuxièmement, la sexualité masculine est considérablement plus psychologique que nos mères et nos éducatrices n’ont cessé de nous le faire croire: «Les garçons ne pensent qu’à ça, eux!», «Ils ont besoin de ça, eux». Ce sont des femmes qui perpétuent des idées fausses sur la sexualité masculine et des stéréotypes sexistes qui bloquent l’évolution de la sexualité au sein des couples. Leur besoin de tendresse, de sensualité, d’amour est aussi important que celui des femmes. Troisièmement, les hommes souffrent d’être sans cesse sollicités sexuellement par la publicité pour provoquer l’acte d’achat nécessaire à la société de consommation. Biberonnés à la culture porno, ils sont parfois rendus esclaves de leurs pulsions sexuelles. C’est un fait. Un fait qui n’excuse en rien leurs comportements irrespectueux. Seulement, les hommes ne sont pas des «porcs», certains le deviennent.
Je pourrais vous parler de mauvaise foi, de paresse, de médiocrité, d’humour vulgaire, d’orgueil, de volonté de puissance, de violence… Les hommes sont des êtres fondamentalement imparfaits, c’est indéniable. Et voilà pourquoi ils sont infiniment aimables. Ceux qui se targuent d’embrasser la cause féministe, ce sont des hypocrites. Moi, les hommes imparfaits, je les aime! C’est leur humanité que j’aime car elle me permet d’accueillir la mienne. Sur ce terrain-là, nous sommes parfaitement égaux.
Le problème fondamental des féministes postmodernes est de penser que les hommes sont responsables de la souffrance des femmes et de leur situation au sein de la société. Chacun de leurs défauts ou grave manquement au respect des femmes est alors monté en épingle pour prouver leur culpabilité. Elles se pensent victimes d’une domination masculine et agissent en fonction de cette grille de lecture manichéenne, infantile. Dire «Les hommes tuent les femmes. Sans relâche. Ils les violent. Sans cesse. Ils les agressent, les harcèlent, les enferment, les exploitent» et placarder dans la ville «Papa a tué maman» est à la fois une généralisation mensongère et une stratégie perdante.
Le féminisme revanchard, vengeur et justicier nous condamne à percevoir dangereusement les relations entre les hommes et les femmes, à être en perpétuelle alerte. Et la peur, justement, provoque l’agressivité. Ce pseudo-féminisme ne produit rien d’autre qu’une surenchère de violence. La vengeance ne résout rien, jamais. C’est pourquoi la justice existe.
C’est à chacune et à chacun que revient la responsabilité de son bonheur. Les femmes ne s’aiment pas assez, voilà pourquoi elles éprouvent tant de ressentiments envers les hommes. Le changement, c’est d’abord en soi-même qu’il faut l’opérer pour l’incarner. «Nous ne pourrons pas corriger quoi que ce soit dans le monde extérieur, que nous n’ayons d’abord corrigé en nous», disait Etty Hillesum: les hommes nous suivront. Car être adulte, c’est quitter sa posture de petite fille, celle de dépendante affective, de victime, de donneuse de leçon, de rebelle. Nul besoin de rabaisser l’autre pour trouver sa juste place, il suffit d’avoir confiance en soi. Être adulte, c’est admettre la différence et y voir une opportunité de croissance. L’acceptation de l’altérité, c’est elle qui permettra à l’amour d’exister et la guerre des sexes de cesser, enfin.
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