#sans lendemain
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Sans lendemain (Max Ophuls, 1939)
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edsmusicblog · 11 months ago
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fréhel 13/7/1891 - 3/2/1951
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fréhel - sans lendemain
1939
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aforcedelire · 2 years ago
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Sans lendemain, Jake Hinkson
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À la fin des années 40, Billie Dixon sillonne les coins les plus reculés des États-Unis pour tenter de vendre des films type série B à des salles de cinémas locales. Tout se passait pour le mieux, jusqu’à ce qu’elle arrive dans une bourgade paumée d’Arkansas, où un pasteur fanatique a interdit la projection de films, qu’il considère comme étant l’œuvre du diable. Et ça se complique d’autant plus quand Billie commence à être attirée par la femme du pasteur, la belle Amberly.
Ce roman est de façon générale très étonnant ! Au début je me suis dis que ça allait un peu vite (les 10/13 premiers chapitres, qui sont d’ailleurs assez courts), mais après ça prend un peu plus le temps ; et de façon générale, on est embarqué dans l’histoire et c’est super sympa. Par contre ça part en cacahouètes très (très) vite ! À part ça c’est très bien écrit, très fluide, et ça se lit vraiment tout seul. Je pourrais carrément le mettre dans le #challengegallmeister de mars : Billie sait ce qu’elle veut, c’est une femme forte qui n’a pas peur de tenir ses positions — et elle a le courage de ne pas cacher ses émotions et ses attirances. Et vu que ça se passe en 1947, ça peut aussi carrément fonctionner pour le thème d’avril.
Sans lendemain est un court roman d’à peine 250 pages, qui m’a vraiment plu, même si au début j’ai été étonnée de la rapidité avec laquelle les choses évoluaient. Je pense que je lirais les autres romans de Jake Hinkson, j’ai bien accroché avec son style ! Il valide également le thème de mars du Challenge Gallmeister, et peur aussi convenir au mois d’avril !
24/03/2023 - 27/03/2023
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vhscorp · 10 months ago
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Grave au fond de ton cœur, là, tout près de ton sein, que je ne veux plus d’heures, ni jours, ni lendemains, où je ne puisse avoir tes mains posées sur moi et ne puisse, le soir, dormir tout contre toi…
V. H. SCORP
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la-cocotte-de-paris · 1 year ago
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Edwige Feuillère and George Rigaud in Sans Lendemain (1939), dir. Max Ophüls
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dixvinsblog · 2 years ago
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Thierry Mathiasin -Au bout des chemins sans lendemain...
Au bout des chemins sans lendemain,avec ton sourire pour agrandir la mer d’oùje ne reviendrai plus,ni ne parlerai aux ombres du jour où j’ai cru au miracle le long du convoi des cris.Je maquille la nuit avec les rires qu’on a jetés aux bêtes,qui ont fait l’amour à des mendiants de lunes,des bars en enfilade où dansent les derniers poètes de l’amour floué.Les gouffres dont ont fabrique les étoffes…
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jeanchrisosme · 2 months ago
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Il y'aura toujours des rêves oubliés. Des promesses envolées. Des questions sans réponses. Des routes sans issues. Des musiques qui rappellent. Il y'aura toujours des âmes sœurs séparées. Des amitiés embrouillées. Des histoires sans lendemain. Des souvenirs douloureux. Mais il y'aura aussi et toujours des cœurs qui s’emballent.. Des regards plein d’amour et de désir. Des larmes de joie. Des sourires magiques.. Des souvenirs étincelants même avec le temps.. Des éclats de rire qui se répondent. Il y aura toujours des anges à nos côtés. Des amitiés plus fortes que tout. Des contagions de bonheur. Il y'aura toujours des fous. Plus fous que les autres, le sourire au bout des lèvres. Des fous plein d’envie, enivrés d’espoir, qui iront jusqu’au bout et il y'aura toujours des gens pour rallumer vos étoiles... Vous rendre la vie plus belle.
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girafeduvexin · 2 months ago
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L'AU de Gravity Falls (Fraternité Falls ?) avec Ford et Stan en vieux militants de gauche français, ça va me faire ma semaine.
D'un côté, t'as Ford qui était militant au PCF dans les années 70, ancien soixante-huitard (il a tellement fait ses études à Nanterre), limite trotskiste, le gars expert en théorie marxiste, tu débats avec lui et il te sort 45 textes de Marx ou Benjamin qui te contredisent, l'intello de gauche avec ses pulls troués et ses millions de feuilles volantes, mais qui, contrairement à tous ses camarades, ne fait pas de la socio mais de la physique ! Étonnamment, il a cru au programme commun en 81, il a voté pour Mitterrand, et paf en 82, Stan le pousse dans le portail. Il revient en 2012, sous la présidence de Hollande "ah mais le PCF est encore là?" "C'est mort" "c'est à cause du PS, ces sales social-traitres !", il apprend a posteriori la trahison de Mitterand et le tournant de la rigueur "on peut vraiment pas faire confiance à un socialiste", il fume des clopes en rageant devant le Mystery Shack à chaque intervention télévisée de Hollande et il cotise toujours au PCF, malgré tout.
De l'autre, t'as Stan, peu politisé dans son adolescence, et qui passe à côté de mai 68 parce qu'à la rue à ce moment là, qui vit de débrouille, de galère, qui ne vote pas, ne s'intéresse pas à tout ça pendant longtemps parce que bah, ce qu'il veut c'est survivre jusqu'au lendemain et c'est tout. Et puis, il pousse par accident Ford dans un portail, et le voilà bien malgré lui installé à Gravity Falls. Et maintenant que la survie n'est plus un enjeu, sa conscience politique s'éveille et elle est évidemment marquée par ses années de galère. Ces hommes politiques qui parlent d"assistanat", qu'est-ce qu'ils connaissent à la misère ? Stan est pas très cultivé politiquement et il a pas le temps pour ça, il a un portail à réparer et un frère à sauver, mais les mecs en cravate qui parlent sans rien connaître, ça l'enrage. Et ils ont le culot de dire que c'est à cause de l'immigration qu'il y a du chômage en France ! Stan vote LO, NPA, il vote pour des gens du peuple sans jamais adhérer à un parti (mais il a quand même failli être sur une liste électorale locale !) et il emmerde les fachos, par principe, sans vraiment trop creuser derrière. Il entarte des politicards, il fait des manifs sauvages et il tabasse des fachos dès qu'il peut. Au Mystery Shack, à certaines heures, on peut entendre les Béruriers Noirs gueuler "LA JEUNESSE EMMERDE LE FRONT NATIONAL" et Stan corrige "la VIEILLESSE emmerde le front national".
En 2012, Ford revient, Stan et lui se disputent etc, y a l'apocalypse, ils se réconcilient. Ils discutent de tout, de rien, mais pas de politique, parce qu'il y a tellement plus important à ce moment là.
Et puis un soir, alors qu'ils regardent la télé, on annonce au 20h que Hollande va faire une intervention ce soir. Les deux frères sifflent entre leurs dents, sans se concerter :
"Sale traître"
Regards surpris l'un sur l'autre, puis sourires : évidemment. Évidemment.
Stan fume des roulées avec Ford devant le Mystery Shack. Il râle en disant que les hommes politiques ne comprennent pas le peuple, Ford l'accuse en souriant d'être populiste, Stan rétorque que Ford est un "sale coco de merde". Ils rigolent. La vie est belle.
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hedgehog-moss · 1 year ago
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do you have any recommendations for favorite french-language poetry? esp written by women?
Yes, sure! We might not have the same tastes (I like nature poetry mostly, and good old lavish alexandrine verse—I find the predictability of it very soothing) but here are excerpts of poems by 13 French-language poétesses :)
(I wanted to add a few men at the end but I spent too much time on the women, and the French male poets I enjoy are very well-known ones anyway, e.g. Hugo, Mallarmé, Prévert, Aragon... also André Breton's surrealist poetry)
• Sabine Amable Voïart, known as Amable Tastu (1798-1885)
D’où vient que l’âme humaine est ainsi disposée, Que jamais ses regards troublés et mécontens N’ont pu s’accoutumer à la marche du temps? Sur l’éternel chemin, chaque borne posée Nous attriste. D’où vient? je ne sais; mais toujours Le vertige nous prend à voir couler nos jours: 
Si vous reparcourez l’enclos où votre enfance Avez-vous souvenir, à l’âge où tout enchante, D’une voix qui vous plut, voix timide et touchante, […] Que, plus tard, cette voix résonne à votre oreille, De vos rêves déçus vous raillez la merveille, Vous prenant en pitié d’avoir si mal jugé… Elle est la même encor; mais vous avez changé!
• Louise-Victorine Ackermann (1813-1890)
(A la comète de 1861) […] Ah ! quand tu reviendras, peut-être de la terre L'homme aura disparu. Du fond de ce séjour Si son œil ne doit pas contempler ton retour, Si ce globe épuisé s'est éteint solitaire, Dans l'espace infini poursuivant ton chemin, Du moins jette au passage, astre errant et rapide, Un regard de pitié sur le théâtre vide De tant de maux soufferts et du labeur humain.
• Marie Dauguet (1860-1942)
Mon coeur est né sauvage et seul comme un merle, Que berça la chanson du vent, subtil orchestre, Ivre des noirs myrtils dont la forêt s'emperle, Grisé d'odeur de source et d'haleine sylvestre. […]
Et d'abord très souvent j'étouffe dans moi-même, Tout m'y semble étriqué, trop étroit et mesquin, Et je fuis l'infini pour l'infini que j'aime, Parmi le ciel, les eaux, les circuits des chemins.
• Alice de Chambrier (1861-1882) (she is Swiss)
J’ai vu comme l’on voit quelquefois dans un rêve, Une immense Cité près d’une immense grève, Avec des dômes d’or et des palais géants, Des temples incrustés de mille diamants […]
Plus tard j’ai repassé devant cette cité, Et voulant la revoir, je m’y suis arrêtée; Mais à peine mes pas ont foulé sa poussière Que devant mes regards elle s’est tout entière Écroulée—et n’est plus qu’une ruine immense Dont le cri des Vautours trouble seul le silence.
• Lucie Delarue-Mardrus (1868-1949)
1. Humanité sans force, endurante moitié Du monde, ô camarade éternelle, ô moi-même ! Femme, femme, qui donc te dira que je t’aime D’un cœur si gros d’amour et si lourd de pitié ?
2. J’aime, en quelque lieu que ce soit, L’heure où l’existence, pour moi, Redevient nocturne et muette.
L’heure sans lois et sans humains, Sans hiers et sans lendemains, Où je ne suis plus que poète.
La seule heure d’esprit total, Celle où, jusqu’oublier mon mal Je sens se fermer toute plaie,
Car je ne fus moi-même, vraie, Car je ne fus ce que suis, — Passionnément — que les nuits.
• Anna de Noailles (1876-1933)
Nature au cœur profond sur qui les cieux reposent, Nul n’aura comme moi si chaudement aimé La lumière des jours et la douceur des choses, L’eau luisante et la terre où la vie a germé.
La forêt, les étangs et les plaines fécondes Ont plus touché mes yeux que les regards humains, Je me suis appuyée à la beauté du monde Et j’ai tenu l’odeur des saisons dans mes mains.
• Renée Vivien (1877-1911) (English, mainly wrote in French)
Dans l’azur de l’avril et dans l’air de l’automne, Les arbres ont un charme inquiet et mouvant. Le peuplier se ploie et se tord sous le vent, Pareil aux corps de femme où le désir frissonne.
[…] Vêtu de clair de lune et de reflets d’argent, Le bouleau virginal à l’ivoire changeant Projette avec pudeur ses blancheurs incertaines. Les tilleuls ont l’odeur des âpres cheveux bruns, Et des acacias aux verdures lointaines Tombe divinement la neige des parfums.
• Valentine Penrose (1898-1978)
Notre Père qui êtes aux cieux des doux matins bercés aux fleurs des laitues bleues, […] que votre nom soit sanctifié ! O Brume d’or dans les vergers, que votre volonté soit faite ! Sur la Terre comme au Ciel ; sur la terre élançant ses arbres au soleil, sur les labours luisants chevauchés de noyers, sur le sol des jardins de chaleur tout vrillés […]. Donnez-nous aujourd’hui notre Pain quotidien. Dans la fraîche cuisine où bourdonne une guêpe, où les fourmis montent leur noir petit chemin […] Et pardonnez-nous nos offenses… […]
• Louise de Vilmorin (1902-1969)
Pois de senteur en ma demeure Et sur mon cœur poids de cent heures
Je t’enlacerai, tu t’en lasseras
Étonnamment monotone et lasse, Est ton âme en mon automne, hélas !
• Andrée Chedid (1920-2011)
Échappant à l'enclume du temps L'Univers sème ses formes Véhicule ses songes S'invente des tumultes
[…] Enserrée dans son globe Empoignant son noyau La Terre emporte l'histoire Vers son immense dérive.
• Anne Perrier (1922-2017) (also Swiss)
1. Ô rompre les amarres Partir partir Je ne suis pas de ceux qui restent La maison le jardin tant aimés Ne sont jamais derrière mais devant Dans la splendide brume Inconnue
2. Lorsque la mort viendra Je voudrais que ce soit comme aujourd'hui Un grand soir droit laiteux et immobile Et surtout je voudrais Que tout se tienne bien tranquille Pour que j'entende Une dernière fois respirer cette terre Pendant que doucement s'écarteront de moi Les mains aimées Qui m'attachent au monde
• Marie-Claire Bancquart (1932-2019)
1. Un tremble c'est le nom du peuplier blanc : luisance furtive.
Éclair des feuilles leur vie scintille
instant après instant elles chuchotent que nous avons aussi des moments miroitants minuscules, étincelantes traces de nous sur le monde. 2. Je suis l’encolure d’un pays vêtu de toile et d’eau, longtemps ténébreux, maintenant étalé sur la nuit, croisé une fois pour toutes par le crépuscule, et qui entend les soleils célébrer leur courbe.
Je suis son oreille, et, dans son oreille, ce qui, bruissant, permet le bruit.
[…] Mais suis-je enclave, ou bien ce pays serait le creux nécessaire au violon, l’autour-de-moi facilitant mémoire?
• Hélène Dorion (1958 - ) (she's from Québec)
Autour de moi les notes lumineuses d'une feuille venue jusqu'à la branche pour remuer avec le souffle danse et boit l'eau qui la sauve au matin quand recommence son chemin vers le soir
et je marche aussi d'un pas qui repose dans l'infini j'écoute le monde qui bruit à travers les arbres seuls comme des êtres occupés à devenir leur forme singulière
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frenchlitclub · 2 months ago
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Voici nos livres du mois d'octobre pour les deux groupes:
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Groupe 1, lecteurs avancés:
Le Monstre, de Camille Bodin -
Résumé du livre:
"Albert aime Marie depuis l’enfance, mais tandis que son père l’a envoyé en ville faire des études, sa promise épouse un autre homme, le comte de Nulsen. Avant qu’Albert n’ait pu intervenir, les jeunes mariés partent pour la Sicile.
Sans nouvelles depuis des semaines, Albert décide de partir à la recherche de Marie. Alors qu’il passe la nuit dans un hôtel, Albert est réveillé par d'horribles cris. Le lendemain, la police lui apprend qu’on a tenté d’assassiner une femme dans son hôtel. Un temps soupçonné, Albert est innocenté par la victime qui a reconnu son agresseur : le comte de Nulsen. La jeune femme raconte son histoire à Albert et lui apprend que le comte est un monstre adepte du marquis de Sade, qu'il torture Marie et la retient prisonnière dans son château."
~~~~~~~~~
Groupe 2, lecteurs débutants:
Le Fantôme de l'Opéra, de Gaston Leroux -
Résumé du livre :
"L’Opéra est hanté. On ne peut pas expliquer autrement les événements étranges qui s’y produisent : la chute d’un lustre, le personnage au visage inhumain que des machinistes ont aperçu dans les coulisses, la voix que la jeune chanteuse Christine Daaé entend dans sa loge. D’ailleurs, un billet signé « Le Fantôme de l’Opéra » a exigé du directeur la réservation permanente d’une loge, et une pension mensuelle. Cette présence mystérieuse terrorise tout le personnel. Un jour Christine Daaé disparaît des coulisses. Son amoureux, Raoul de Chagny, devra échapper à bien des pièges terrifiants pour la tirer des griffes du «Fantôme»."
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ernestinee · 4 months ago
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"Dans une histoire d'amour, on n'est jamais deux face à face, jamais isolés dans un imaginaire libre et généreux. On est tous les autres et toutes les autres qui ont aimé avant nous. Une longue chaîne de forçats menaçants qui nous tirent en arrière et nous lestent de leurs vieux conflits, leurs vieilles fripes, leurs masques grimaçants, leurs cœurs dévastés, impuissants. Nos mères et nos pères, nos grand-mères et nos grands-pères, nos arrière-grand-mères et nos arrière-grands-pères Ainsi de suite...
On porte, sans le savoir, leurs peurs et leurs angoisses, leurs rancœurs et leurs haines, leurs élans brisés et leurs blessures ouvertes, leurs espoirs déçus et cette scie meurtrière: on ne m'y reprendra jamais plus, jamais plus, jamais plus. Comme si l'amour n'était qu'une guerre en plus, un règlement de comptes impitoyable, une histoire de succession jamais fermée. Tous ceux qui murmurent à nos oreilles sans qu'on les entende: "J'étais là avant" nous bousculent, s'installent dans nos vies, y déroulent leurs histoires et nous bouchent nos plus beaux horizons."
Je termine ce soir la lecture de "J'étais là avant" de Katherine Pancol. J'avais déjà essayé de la lire, dans "Les yeux jaunes (ou verts ?) des crocodiles", et dans un autre livre au titre aussi tarabiscoté et je n'avais pas accroché. Babelio a dit "Oh j'avais bien aimé les yeux verts (ou bleus ? 'fin bref) des crocodiles et là j'ai été déçu".
Du coup j'ai foncé.
Le résumé parle ici d'une femme qui aligne les hommes sans lendemain et se sauve dès qu'ils montrent des signes d'amour, puis elle tombe sur un homme qui lui aussi, s'ébroue dans des relations problématiques, et justement celui-ci est digne d'intérêt et là comme ça on dirait un navet romantique à lire en vitesse le dimanche après-midi avec la F1 en fond sonore, mais pas du tout. Car les personnages sont complexes, on se retrouve à arpenter le passé de l'un puis de l'autre et comprendre d'où viennent leurs fonctionnements, leurs blessures, et c'est finalement une grosse réflexion (ou peut-être que je réfléchis trop et je devrais me contenter de lire ?) sur les fantômes du passé, sur les blessures qu'on hérite de nos parents et plus particulièrement de nos mères, sur les moyens de se détacher de "ce grand ennemi" et une conclusion superbe sur ce qu'est l'amour.
Je l'ai démarré en ayant envie d'un bouquin un peu chill et du coup au début j'ai eu du mal à entrer dans l'histoire qui n'était pas ce que j'attendais, arrête de me parler de sa mère et parle-moi de son coupleuuh. Mais j'ai été assez vite touchée par ce récit de vie finalement, et j'ai trouvé l'analyse et la réflexion intéressantes.
⭐⭐⭐⭐
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eaumerta · 11 months ago
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Back from the grave
Bonjour bonsoir à vous tous et toutes. En ce lundi (assez froid, je ne sais pas pour vous) je tenais à vous souhaiter une bonne année 2024. 💫 Je fais ce post afin d'écrire un peu à cœur ouvert, n'ayant plus et ne souhaitant plus être sur discord, il parlera sûrement aux partenaires que j'ai pu avoir avant la nouvelle année et que j'ai "lâchement" abandonnée du jour au lendemain sans un mot. Sachez que cela n'était pas voulu, je me bats avec de lourds démons (bien que cela n'excuse en RIEN mon comportement) depuis que je suis ado et les fêtes de fin d'années n'ont pas été de tout repos pour moi, bien au contraire. Certain(e)s connaissent déjà mon irrégularité globale, Sans rentrer dans trop de détails, une pause de la vie rpgique, voir même de ma vie irl, et du monde d'internet globalement m'a été imposée, pour mon bien. Je ne dirais pas que je vais à 100% mieux, mais je suis vivante et c'est le plus important. Ce message et donc pour m'excuser avant toute chose, sincèrement, j'aurais terriblement voulu vous prévenir, vous tenir au courant. Mais je n'ai pas eu ce luxe. Je ne bosse plus, je suis au ralenti, le temps d'aller mieux. Mon envie d'écrire est plus que présente, je bouillonne d'une rare envie de partager des écrits avec vous tous et toutes. Mais je ne sais pas, plus, où aller. Je ne veux pas imposer ma présence qui pourrait peut-être, être malaisante pour certain(e)s et je ne souhaite m'imposer nul part. De ce fait, si vous connaissez des forums (je recherche un peu de tout, du sombre city au surnaturel.) n'hésitez pas à balancer vos adresses, en commentaires ou par mp ici, je vous serais éternellement reconnaissante. Cependant dû à ma présence qui sera peut-être aléatoire et à mon inconsistance globale, je ne souhaite pas prendre de pré-lien ou de scénario, pour ne plus décevoir personne. Je m'excuse une nouvelle fois, autant pour ce message probablement brouillon, qu'envers les personnes que j'ai pu blesser sans même m'en apercevoir. Je regrette et culpabilise encore beaucoup, et vous êtes plus qu'en droit de ne pas m'accorder votre pardon, je le comprendrais. Il y aura aussi un changement de pseudo, chandelyer devenant Rage. Pour la rage de vivre, pour la rage de ne plus me laisser abattre, pour me battre.
Merci à vous pour la lecture de ce message, votre pardon, et peut-être votre aide.
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crimson-veil-rpg · 1 month ago
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Préliens Attendus
Hello hello, pas mal de nos petits membres attendent des préliens surnaturels (c'est à dire des liens top secrets qu'iels ne peuvent pas promouvoir sous peine d'être démasqué.es). N'hésitez donc pas à jeter un œil et n'ayez crainte, vous serez entre de bonnes mains !! PRÉLIENS UNIQUES ● Blake, espèce au choix Rejeton.e d'une mère qui a disparue du jour au lendemain en 1992 sans laisser de trace, c'est à Scarborough qu'iel semble trouver cet être qui lui ressemble comme deux goûte d'eau (lire plus)
● Eden, m, vampire Des siècles de sévices, de batailles menées et de vengeances à assouvir. Son chemin l'a mené à bien des tragédies, avant de sonner l'ultime jeu en partant en chasse d'Agatha. (lire plus) ● Koios, m, harpie Jeune harpie à la haine vorace des êtres humains, fuyard lors de l'attaque de son nid, il appréhende de retrouver son petit frère perdu de vue (lire plus) ● Valerian Carver, m, vampire Vieille âme née durant le XIVe siècle, il devient vampire afin d'échapper à la peste et pour suivre les trace de son père disparu qu'il tente de retrouver à travers les siècles (lire plus) CLANS ET FAMILLES ● Cercle de Dryades & Autres (4/6+ libres) Dryades pacifiques et nomades chapeautées par un couple adoptant quelques progénitures d'autres espèces abandonnés à la naissance, formant une famille recomposée et inter-espèces particulièrement soudée. (lire plus) ● Clan de Créatures Mixtes (1/5 libre) Famille recomposée de diverses créatures abîmées par l'existence, se sont alliées et se soutiennent de manière à s'assurer protection et êtres plus fortes ensemble. (lire plus)
● Famille recomposée Bleak Outbreak (3/5 libres) Membres hétérogènes devenus famille. Intégralement des êtres humains membres des Bleak Outbreak, à vouloir libérer le monde des créatures infernales qui se tapissent dans l'ombre. (lire plus) ● Nid de Stryges & Autres (3/7 libres) Nid de pierres vivant au cœur d'un cimetière et à l'ambiance gothique à souhait, œuvrant majoritairement pour les Dawnbringers. Quelques autres espèces s'y sont greffées avec le temps. (lire plus)
● Nid de Stryges (1/5 libre) Nid de commères de pierres qui se doivent d'être au courant de ce qu'il se passe aux ruelles. Souvent alliées des Dawnbringers, elles portent assistance à ceux qui ont besoin de leur aide. (lire plus)
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jamie-007 · 9 months ago
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À 40 ans Franz Kafka (1883-1924) qui ne s'est jamais marié et n'avait pas d'enfants, se promenait dans le parc de Berlin quand il rencontra une petite fille qui pleurait parce qu'elle avait perdu sa poupée préférée. Elle et Kafka ont cherché la poupée sans succès.
Kafka lui a dit de le rencontrer le lendemain et ils reviendraient la chercher.
Le lendemain, quand ils n'avaient pas encore trouvé la poupée, Kafka donna à la petite fille une lettre "écrite" de la poupée qui disait : " S'il te plaît ne pleure pas. J'ai fait un voyage pour voir le monde. Je vais t'écrire sur mes aventures."
C'est ainsi que commença une histoire qui se poursuit jusqu'à la fin de la vie de Kafka.
Lors de leurs rencontres, Kafka lisait les lettres de poupée soigneusement écrites avec des aventures et des conversations que l'enfant trouvait adorables.
Enfin, Kafka lui ramena la poupée (en acheta une) qui était de retour à Berlin.
"Elle ne ressemble pas du tout à ma poupée", dit la petite fille.
Kafka lui remit une autre lettre dans laquelle la poupée écrivait : "Mes voyages m'ont changée."
La petite fille a embrassé la nouvelle poupée et l'a ramenée tout heureuse à la maison.
Un an plus tard, Kafka est mort.
Plusieurs années plus tard, la petite fille désormais adulte a trouvé une lettre dans la poupée. Dans la minuscule lettre signée par Kafka, il y avait écrit :
"Tout ce que tu aimes sera probablement perdu, mais à la fin l'amour reviendra d'une autre façon."
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iranondeaira · 1 month ago
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Le temps passe
Ma peine se fond dans ce mois d’octobre
Ma douleur s’accorde aux couleurs de cet automne 🍂
Comment vas-tu ?
Où es-tu ?
Que fais-tu ?
Penses-tu à moi , à nous ?
M’as-tu oublié ?
Es-tu mieux sans moi ?
Trouves-tu une quiétude ?
Comment arrives-tu ?
Comment un tel amour peut-il s'effondrer presque du jour au lendemain ?
Oui octobre est là et l’automne 🍂 sera une saison particulière
Où que tu sois même si tu ne me lis pas ... mes mots ... parfois comme les feuilles mortes j’imagine qu’ils se déposent devant toi ...
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coovieilledentelle · 7 months ago
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Il a mes Pensées… mon Cœur… mon Âme…mes yeux le regardent… et ne voient que lui…tout le reste disparaît… Quand la vie vous offre une personne spéciale, ne vous demandez pas combien de temps cela va durer, mais profitez de chaque instant, sans penser au lendemain. Un samedi soir bonheur chers amis ...
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