if everyone is allowed one batshit crazy theory mine would be that the tour montparnasse renovation was never actually supposed to happen and it was just a big pie in the sky to attract investors to get more help from private investment on more grounded projects in the neighborhood like the gare montparnasse renovations. It is easier to say "we are part of a grander plan to attract more businesses to this part of town" than asking for a simple maintenance job
in reality it seems much more likely it was convenient for the mayor of paris to drop the project when she secured her reelection and the 2024 olympics. At this point, covid would have happened and materials prices would have skyrocketed making it easy to scale down the project and say that the work will be focused on removing asbestos or to just silently drop it. I think they have gone with the second option because the deadline has been pushed back from 2024 to 2027 which is far too soon for any real work to be done. If I had to guess anne hidalgo will announce the dropping of the project in 2026 for the next elections so she can present as a financily responsible mayor
Aujourd'hui j'ai acheté ça x) il faut savoir que je suis très soigneuse avec mes affaires. Autant dire que ça va être difficile x) mais on va essayer x).
Kinshasa : le siège de la permanence de Maître Papy Mbaki vandalisé, les témoins accusent le député national Samuel Tanda d'être le commanditaire de ce saccage
Par Gilbert Ngonga
L’une des permanences de Maître Papy Mbaki, coordinateur adjoint de Ensemble pour la République de Moïse Katumbi situé au Quartier Camp Luka à Kinshasa a été sacagé ce dimanche par les jeunes qui se réclament proches du député national Samuel Tanda, directeur de cabinet du président de l’Assemblée nationale Christophe Mboso qui est un élément central du dispositif de Félix…
OROPHER; Né durant les années des arbres, il fut l'un des Iathrim de la cour de Thingol et Melian. Il passa sa jeunesse à Doriath où il épousa Arthanïs, la mère de Thranduil. En 750 du second âge, il devient le roi du royaume des bois, le grand royaume des elfes sylvain de la forêt noir. Il perdit la vie durant la guerre de la dernière Alliance contre Sauron.
ARTHANÏS; Née durant les années des arbres, elle était l'une des dames de compagnie de la reine Maïa Melian à Doriath. Elle était connue pour ses savoirs en magie que lui avait transmis Melian. Elle épousa Oropher et eut une fils Thranduil. Elle perdit la vie pendant le saccage de Menegroth. Homonyme de Galadriel.
THRANDUIL; Né au cours du premier âge à Doriath, il est le fils d'Oropher et Arthanïs. Après la mort de son père, il devient roi du royaume des bois aux côtés de son épouse Evranï, avec qui il aura un fils Legolas. Son caractère se noircit au décès d'Evranï, il n'a d'ailleurs jamais vraiment surmonté sa perte.
EVRANÏ; Née peu de temps avant la chute de Gondolin, elle fait partie des rares survivants à s'être exilés aux bouches du Sirion. Elle abandonna les exilés et prit la route vers Doriath, peu avant sa chute. Elle y rencontra Thranduil qu'elle épousa. Elle devient à ses côtés, reine du royaume des bois et eut un fils, Legolas. Guerrière notable, elle perd la vie pendant une bataille à Gundabad.
LEGOLAS; Né durant le Second Âge, il est le fils de Thranduil et Evranï, prince du Royaume des bois. Il passe sa jeunesse avec Thranduil, attristé dès le plus jeune âge par la mort de sa mère, Evranï. Vêtu de vert et de marrons, il est un guerrier expert au maniement de l'arc, connu pour ses exploits durant la quête de l'anneau. A la fin de sa vie, il part pour Valinor en emmenant Gimli avec lui.
"Je sens me brûler une soif sauvage de sensations violentes, une fureur contre cette existence neutre, plate, réglée et stérilisée, un désir forcené de saccager quelque chose, un grand magasin ou une cathédrale, ou moi-même, de faire des sottises enragées, d’arracher leur perruque à quelques idoles respectées, d’aider des écoliers en révolte à s’embarquer sur un paquebot, de séduire une petite fille, ou de tordre le cou à un quelconque représentant de l’ordre bourgeois. Car c’est cela que je hais, que je maudis et que j’abomine du plus profond de mon cœur : cette béatitude, cette santé, ce confort, cet optimisme soigné, ce gras et ce prospère élevage du moyen, du médiocre et de l’ordinaire."
Hermann Hesse, Le loup des steppes, trad. Juliette Pary, 1927.
"Je sais le poids des morts. Et je sais le mauvais sort. Je sais la perte et le saccage, le goût du sang, les années perdues et celles qui coulent entre les doigts. Je connais la profondeur des sables, j'en ai éprouvé la résistance, la matière meuble, équivoque. Je sais que rien n'est fiable, que tout se défait, se fissure et se brise, que tout fane et que tout meurt. La vie abîme les vivants et personne, jamais, ne recolle les morceaux, ni ne les ramasse."
Je suis un peu inquiète de la tournure que prend ma dermatillomanie. Non parce qu'on parle peu de ce problème car la plupart des gens qui en souffre n'est même pas au courant qu'elle en souffre mais ça a des impacts délétères sur moi et sur ma peau notamment. Je n'arrive pas à avoir un rapport sain avec mon épiderme et mes cellules épithéliales, c'est grave. Chaque aspérité est scrutée et grattée. Pourtant, je sais quelles sont les répercussions en plus de les constater depuis au moins 10 ans (5 ans de manière très active). J'ai le visage farci de cicatrices toutes plus en creux les unes que les autres. Mes jambes aussi, et alors mon décolleté n'en parlons pas. J'ai pris conscience de la gravité au moment où je m'interdisais de porter certaines choses par peur de laisser apparaître les dégâts, c'est à dire, une peau boursouflée, rouge, inflammée. Et c'est pas normal que j'ai recours à ça. J'hésite à consulter, ça me ruine un peu la vie. Il n'y a pas un jour depuis des années où j'ai pu passer une journée sans triturer ma peau mais jusqu'à saigner par moment ou créer de réelles importantes infections. Par exemple, je me souviens que quand j'étais petite et que je me faisais piquer par un moustique, je grattais au sang et ça durait des mois vraiment. Jme faisais piquer en août, j'avais le bobo encore en novembre quoi.. Pour moi, ça relève vraiment du surhumain de ne pas toucher. Je suis obligée de me prendre mes douches dans le noir et calculer quand est ce que je vois mon mec pour que ça puisse "guérir" (s'atténuer plutôt qu'on de le dise). C'est vraiment quelque chose qui, mentalement, me fait mal. Je saccage mon corps. C'est pas impossible que ce soit le seul substitut que j'ai trouvé pour éviter la mutilation mais quand même. Je suis fréquemment déçue de voir que je ne peux pas m'en empêcher. Je me sens rarement autant comme une merde que quand je sors de la salle de bain, la gueule rougie et gonflée et que je dois vite maquiller ça parce que je vais côtoyer du monde. C'est affreux cette sensation de d'auto saboter et de me dire qu'il n'y a que moi qui fait ca. J'espère un jour en sortir et vivre en paix avec ma peau, en acceptant sa texture et le fait qu'une peau parfaite c'est rare et pas dans l'ordre du possible. C'est peut-être une question de deuil ou de combler le temps. Si je faisais moins de rien dans mes journées, je ne trouverai pas le temps de saboter mon corps et le potentiel regard doux que je pourrais y mettre.