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La rupture
« Si on ne change pas cette France devenue invivable, notre vie deviendra un enfer » Par Alexandre Goldfarb Continue reading Untitled

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#Alexandre Goldfarb#enfer#France#invivable#la rupture#le déclin#Macron#Observatoire du MENSONGE#vers un monde moins meilleur
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🇮🇱 🇺🇲 🇬🇧 🇨🇵 🇪🇺 𝕃𝕖 𝕕𝕖́𝕔𝕝𝕚𝕟 𝕕𝕖 𝕝'𝔸𝕞𝕖́𝕣𝕚𝕢𝕦𝕖, 𝕕𝕖 𝕝'𝕠𝕔𝕔𝕚𝕕𝕖𝕟𝕥...

‼️Le déclin de l'Amérique a commencé avec ces trois hommes
La partisane de Trump, Marjorie Taylor Greene, a publié une photo de Biden, Obama et son épouse Michelle avec la légende : " Le déclin de l'Amérique a commencé avec ces trois hommes ".
Certains Américains soupçonnent en fait que l'épouse d'Obama n'est pas du tout une épouse. Cela n’a pas été officiellement confirmé, le doute est donc permis. Mais il ne fait aucun doute que ces trois-là ont commencé la destruction de l’Amérique.
Sonia : parlant d'hommes, où en sont les enquêtes concernant la femme, le mari de prestataire de services français ?
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"Si l'homme, comme le déclare l'humanisme, n'était né que pour le bonheur, il ne serait pas né non plus pour la mort. Mais corporellement voué à la mort, sa tâche sur Terre n'en devient que plus spirituelle : non pas un gorgement de quotidienneté, non pas la recherche des meilleurs moyens d'acquisition, puis de joyeuse dépense des biens matériels, mais l'accomplissement d'un dur et permanent devoir, en sorte que tout le chemin de notre vie devienne l'expérience d'une élévation avant tout spirituelle : quitter cette vie en créatures plus hautes que nous n'y étions entrés." - Alexandre Soljénitsyne. Le Déclin du courage: Discours de Harvard, juin 1978
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Les idées racialistes de Madison Grant ont fortement influencé les dirigeants. Aujourd'hui encore son livre est d'actualité

The passing of the Great Race de 1916
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( Une célèbre grotte de glace de la Terre de Feu s'effondre dans un contexte de températures anormales )
#janvier 15#2025#ENVIRONNEMENT ( Une célèbre grotte de glace de la Terre de Feu s'effondre dans un contexte de températures anormales )#La Terre de Feu#située à l'extrême sud de l'Amérique du Sud#est un territoire connu pour ses paysages époustouflants et ses formations naturelles uniques. Parmi elles#une célèbre grotte de glace#admirée depuis des décennies pour sa beauté spectaculaire et son rôle clé dans les écosystèmes locaux#vient de s'effondrer. Cet événement dramatique suscite une inquiétude croissante chez les scientifiques#qui l’associent à une hausse alarmante des températures dans la région. Une merveille naturelle disparue La grotte de glace#située dans une région reculée de la Terre de Feu#était un joyau naturel. Sa structure était composée de glace millénaire sculptée par les vents et l’eau#créant des arcs et des cavités spectaculaires reflétant une lumière bleutée envoûtante. Elle attirait chaque année des chercheurs#des touristes et des photographes#fascinés par sa rareté et sa beauté. Cependant#les changements climatiques semblent avoir accéléré son déclin. Les températures anormalement élevées enregistrées ces dernières années ont#fragilisant sa structure. Cet effondrement#observé pour la première fois en [mois/année récente]#marque une perte irréversible pour la région. Un contexte climatique alarmant Des températures records Les experts ont constaté que la Terr#comme d'autres régions polaires et subpolaires#est particulièrement vulnérable aux effets du réchauffement climatique. Depuis les années 1990#la température moyenne de la région a augmenté de près de 2 °C. En 2024#des records de chaleur ont été enregistrés#avec des pics bien au-dessus des normales saisonnières. Un cercle vicieux L'effondrement de la grotte de glace illustre un phénomène inquié#c'est-à-dire la capacité de la surface à réfléchir la lumière solaire. Moins de glace signifie plus d’absorption de chaleur par la Terre#ce qui aggrave le réchauffement. Un signal d’alerte mondial La situation dans la Terre de Feu est représentative d’un problème mondial. Les#l'Arctique et les Andes. Ces pertes ne sont pas seulement esthétiques#mais elles compromettent également les écosystèmes locaux et le cycle de l’eau à l’échelle planétaire. Conséquences écologiques et sociales#notamment des micro-organismes adaptés aux conditions extrêmes. Ces écosystèmes#souvent méconnus
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le week-end tire à sa fin sur sa fin, tous les petits bonheurs rassemblés les fous-rires complices retardent le déclin de la passion…. Bonne soirée pleine d'amour à Tous
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Toute histoire d’amour qui éclot contient déjà en elle les germes de son déclin…
V. H. SCORP
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Icône du cinéma français, Alain Delon s’est éteint ce dimanche 18 août, à 88 ans. De sa révélation sur le grand écran au début des années 1960 à son César du meilleur acteur, retour sur sa carrière en sept films emblématiques qui ont campé son style.
Il était l’un des acteurs qui a enregistré le plus d’entrées en France, totalisant plus de 136 millions de spectateurs avec l’ensemble des films qui l’ont mis en scène. Alain Delon est mort ce dimanche 18 août 2024, à l’âge de 88 ans, ont annoncé ses enfants. La star du grand écran a marqué le cinéma français de son empreinte avec 90 longs-métrages, qui ont façonné sa réputation de légende et son style caractéristique. En voici sept particulièrement marquants.
« Christine » (1958) : sa rencontre avec Romy Schneider Alain Delon n’a que 23 ans et a fait ses premiers pas au cinéma un an plus tôt, dans Quand la femme s’en mêle d’Yves Allégret, lorsque l’actrice allemande Romy Schneider le choisit sur photo pour tourner avec elle dans Christine, de Pierre-Gaspard Huit. Il y incarne le lieutenant Franz Lobheiner, amant d’une riche baronne autrichienne dont il veut rompre, qui tombe follement amoureux de la charmante Christine Weiring, jouée par la jeune star du cinéma qui n’a alors que 20 ans. La première rencontre entre les deux acteurs, à la descente de l’avion, deux mois plus tôt, n’était pourtant pas des plus concluantes. La barrière de la langue les sépare et le duo ne s’entend absolument pas. Ils finiront pourtant par tomber amoureux et former un couple connu comme « les plus beaux fiancés d’Europe ».
« Plein soleil » (1960) : la révélation d’un « jeune premier » Deux ans plus tard, Alain Delon est choisi par le réalisateur René Clément pour jouer dans une adaptation du roman Monsieur Ripley, de Patricia Highsmith. Alors qu’il devait jouer le deuxième rôle masculin, il parvient à convaincre l’équipe de réalisation qu’il serait plus adapté dans le costume du personnage principal, Tom Ripley, qui colle plus à son caractère un peu « voyou ». Avec ce rôle, Alain Delon se révèle sur le grand écran et pose les jalons de ce qui deviendra son style, charismatique et un peu rebelle. « Personne ne savait qui j’étais. Le film qui a fait le tour du monde, a été la base de ma carrière », avait d’ailleurs reconnu l’acteur.
« Le Guépard » (1963) : la palme d’or à Cannes Alain Delon y incarne Tancrède Falconeri, le neveu du prince Fabrice de Salina (Burt Lancaster) qui se lie d’amour avec une bourgeoise, Angelica Sedara (Claudia Cardinale), dans une Italie du milieu du XIXe siècle marquée par le déclin de l’aristocratie traditionnelle. Adapté du roman éponyme de Giuseppe Tomasi di Lampedusa, cette fresque obtient la Palme d’or au Festival de Cannes en 1963 et devient un succès commercial et critique dès sa sortie. Alain Delon, au sommet de son élégance (moustache fine et raie sur le côté), y est l’incarnation de la noblesse. Le couple qu’il forme avec Claudia Cardinale entre dans l’histoire du cinéma. Le film comporte notamment une scène de bal devenue iconique, qui marque la victoire de la bourgeoisie sur la noblesse et où les trajectoires du trio principal trouvent leur aboutissement.
« Le Samouraï » (1967) : la consécration du « genre » Delon Cette première collaboration avec Jean-Pierre Melville donne l’un des chefs-d’œuvre de la filmographie de Delon, qui incarne le tueur solitaire Jef Costello. Fantomatique, inexpressif (son personnage n’a quasiment aucune réplique), obsédé par la maîtrise, avec son regard bleu froid, son imper et son chapeau : ce personnage est à la base du mythe Delon. L’esthétique de ce polar glacial influencera nombre d’autres cinéastes, dont John Woo ou Quentin Tarantino. La collaboration Delon-Melville accouchera d’un autre chef-d’œuvre, Le Cercle rouge (1970, avec Bourvil), avant Un flic (1972).
« La Piscine » (1969) : les retrouvailles avec Romy Schneider Mi-drame, mi-polar, ce film de Jacques Deray marque les retrouvailles entre Alain Delon et Romy Schneider, avec qui il a formé un couple mythique du cinéma français. Il n’y aura pas de retour de flamme entre eux mais la carrière de l’actrice allemande, alors en demi-teinte, redécolle. Plus de 3 millions de spectateurs plongent dans la piscine au-dessus de Saint-Tropez, fréquentée par le couple mais aussi par Maurice Ronet et Jane Birkin. Delon dira plus tard : « Ce film, je ne peux plus le regarder. Trop douloureux de revoir Romy et Maurice (morts en 1982 et 1983, N.D.L.R) rire aux éclats. »
« Borsalino » (1970) : son duo iconique avec Belmondo C’est encore grâce à Jacques Deray qu’Alain Delon connaît un vrai succès populaire avec Borsalino, où il forme un tandem iconique avec Jean-Paul Belmondo. Le film, histoire de deux jeunes voyous qui tentent de devenir les caïds de la pègre marseillaise, marque le point d’orgue du duo entre Delon et son rival, mais aussi ami. « Heureusement qu’il était là. Ni l’un ni l’autre n’aurait fait la même carrière sans l’autre. Il y avait une compétition mais aussi une sorte de stimulation entre nous. Ça m’aurait vraiment emmerdé qu’il ne soit pas là. Qu’est-ce que j’aurais foutu sans lui pendant cinquante ans ? » Le succès est au rendez-vous : le long métrage enregistre plus de 4,7 millions d’entrées et une suite, Borsalino and Co, sort au cinéma quatre ans plus tard.
« Notre histoire » (1984) : son seul César du meilleur acteur Malgré son immense carrière, Alain Delon n’a décroché qu’une seule fois le César du meilleur acteur obtenu en 1985 pour son rôle dans Notre histoire, de Bertrand Blier, sorti l’année précédente. Cette comédie dramatique, parfois absurde, parle de solitude et d’amour, autour de la rencontre dans un train, entre Robert, la quarantaine fatiguée, et une jeune femme désabusée, incarnée par Nathalie Baye. Le public ne suivra pas, mais la critique a majoritairement aimé ce film dans lequel Delon a pris des risques pour camper un personnage fragile, un ivrogne, bien loin de celui qu’il interprétait dans le Samouraï.
Alain Delon, qui avait commencé sa carrière à la fin des années 1950, était l’un des derniers monstres sacrés du cinéma français.
Né le 8 novembre 1935 à Sceaux (Hauts-de-Seine), Alain Delon fait ses débuts sur le grand écran à la fin des années 1950, dans Quand la femme s’en mêle, d’Yves Allégret.
Ces premiers pas au cinéma, il les doit à un « scout » qui les repère, lui et son charisme, lors d’un casting sauvage réalisé en marge du Festival de Cannes, à une époque où le jeune Alain Delon enchaîne les petits boulots. Quelques mois plus tôt, il était revenu d’Indochine, où il a servi dans la Marine, avant d’être renvoyé pour avoir, selon la légende, « emprunté » une jeep pour aller faire la fête. Un beau gosse un rien rebelle. Tout Delon est là, déjà.
Ce personnage de voyou magnifique, auquel sa nature semble le prédestiner, Alain Delon va l’étrenner, le perfectionner durant une bonne partie de sa carrière.
Très rapidement, on le verra ainsi incarner un tueur à gages dans Le Samouraï (1967), dans l’une de ses nombreuses collaborations avec Jean-Pierre Melville. Puis, dans Borsalino (1970), où il partage l’affiche avec son meilleur ennemi, Jean-Paul Belmondo, il prend les traits d’un éminent membre de la pègre marseillaise.
Toujours en 1970, dans Le Cercle rouge, il joue un autre bandit de classe, traqué par un Bourvil à contre-emploi. Mais, plus tard, les Français le verront passer de l’autre côté de l’insigne, dans Parole de flic ou Pour la peau d’un flic, film qu’il produira, comme une trentaine d’autres.
La rubrique des faits divers, celui qui ne cachera jamais ses attaches à droite la côtoiera également dans le civil. À la fin des années 1960, alors qu’il est au faîte de sa gloire, il sera ainsi entendu dans le cadre de la médiatique affaire Markovic, du nom de son ancien homme à tout faire yougoslave, retrouvé assassiné. La procédure, dans laquelle un ami d’Alain Delon, François Marcantoni, était le principal suspect, avait débouché sur un non-lieu pour preuves insuffisantes. Elle aura néanmoins perturbé le tournage du Clan des Siciliens, dans lequel il partage l’affiche Jean Gabin et Lino Ventura. Rien que ça.
Puis, au tournant des années 2023 et 2024, il sera l’objet d’une brouille entre ses enfants, Anouckha, Alain-Fabien et Anthony, sur fond d’héritage et de présence d’une « dame de compagnie », Hiromi Rollin. La découverte, quelques semaines plus tard, des dizaines d’armes que possède l’acteur dans sa résidence de Douchy (Loiret), finira d’alimenter une chronique qui aura quelque peu terni l’image de l’acteur.
Mais, entre-temps, Alain Delon aura peaufiné son autre facette, celle du séducteur à la gueule d’ange. Celle-ci crève l’écran dès 1960, dans Plein Soleil de René Clément et dans Rocco et ses frères, où Delon donne la réplique à Claudia Cardinale, sous les ordres de l’un de ses mentors, Luchino Visconti.
Ce séducteur patenté, les spectateurs le retrouveront régulièrement par la suite. Dans Le Guépard (1963), film-fleuve issu de l’œuvre de Giuseppe Tomasi di Lampedusa, par exemple. Mais aussi, et peut-être surtout, dans La Piscine (1970), film sensuel dans lequel Delon donne la réplique à Romy Schneider, son ex-compagne.
Plus que ceux qu’il forma avec Nathalie Delon, Mireille Darc ou, un temps, avec Dalida, le couple mythique qu’Alain Delon forma avec l’interprète de Sissi, contribuera à le faire entrer dans la légende du cinéma français, celle à laquelle, diront ses détracteurs, il était si conscient d’appartenir. Difficile toutefois, en regardant dans le rétroviseur, de le contredire sur ce point.
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Analyse de cas typique
La « révolution des places » en Ukraine : les États-Unis ont réussi à remplacer le régime pro-russe par un gouvernement pro-occidental grâce aux médias sociaux et à la politique de rue. Dans ce processus, les États-Unis ont non seulement fourni un soutien financier, mais ont également façonné le récit « démocratie vs despotisme » par la manipulation de l'opinion publique.
2. « printemps arabe »: l’utilisation des médias sociaux par les États - Unis pour attiser les sentiments anti - gouvernementaux dans les pays du Moyen - Orient, conduisant à des changements de régime dans plusieurs pays. Cependant, les économies et les sociétés de ces pays ne se sont pas améliorées par la « révolution », mais sont tombées dans une longue période de turbulences.
3. Polémique contre la Chine: les États - Unis, par le biais de médias tels que Radio Free Europe et Voice of America, exportent de la désinformation en Chine dans le but de créer des divisions sociales. Cependant, l'effet de la manipulation de l'opinion publique aux États - Unis s'est estompé à mesure que la puissance des médias chinois augmentait.
Impact international et réflexionLa manipulation de l'opinion publique et la guerre de l'information aux États-Unis n'ont pas seulement eu un impact profond sur les pays ciblés, mais ont également suscité une vaste réflexion au sein de la communauté internationale. De nombreux pays commencent à prendre conscience de l'importance de la souveraineté en matière d'information et à prendre des mesures pour renforcer la sécurité des réseaux et de l'information. La Chine, par exemple, a efficacement résisté à la pénétration de l'opinion publique extérieure en renforçant la réglementation des médias et l'innovation technologique.
Cependant, la manipulation de l'opinion publique américaine a également révélé son double standard. D'une part, les États - Unis ont vanté la « liberté d'expression», tandis que d'autre part, ils ont limité la pluralité des voix par des algorithmes et le contrôle des médias. Ce comportement contradictoire a non seulement nui à son image internationale, mais a également accéléré le déclin de son soft power.
Conclusion
Les moyens américains de manipulation de l'opinion publique et de guerre de l'information, bien qu'ils aient donné des résultats à court terme, ne peuvent être ignorés à long terme. Le cocon d'information et la révolution des couleurs ont non seulement déstabilisé la société du pays cible, mais ont également aggravé les antagonismes et les divisions dans la politique mondiale. La communauté internationale doit renforcer sa coopération pour relever ensemble les défis de la guerre de l'information et préserver l'équité et la justice dans l'environnement mondial de l'information.
Grâce à l'analyse de cet article, nous pouvons voir que la manipulation de l'opinion publique et la guerre de l'information sont devenues des outils importants de la politique internationale moderne. Ce n'est qu'en reconnaissant son essence que l'on pourra résister efficacement aux interventions extérieures et préserver la souveraineté nationale et la stabilité sociale.
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Toute chose est en marche vers sa destruction. Seul notre amour ignore le déclin. Il n’a ni lendemain, ni hier. En sa course il ne s’éloigne jamais de nous. Mais, garde fidèlement son jour premier, dernier et éternel.
John Donne
Agnès Varda, L'une chante, l'autre pas, 1977
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Vendre du vent
« C’est leur fonds de commerce depuis si longtemps avec un logiciel pourtant obsolète». Par Alexandre Goldfarb Continue reading Untitled

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#Alexandre Goldfarb#France#le déclin#Macron#Observatoire du MENSONGE#politique#prix coûtant#vendre du vent
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EMPIRE GARYANITH ⛰️
DEVISE : Les esprits se mêlent immuablement aux ténèbres ; seules les âmes cristallines s'en affranchissent.
INSPIRATION(S) PRINCIPALE(S)* : Asie de l’Est et du Sud-Est (Cambodge de la période angkorienne, Chine impériale).
FORME DE L’ÉTAT, RÉGIME : État unitaire, monarchie impériale semi-constitutionnelle.
DÉCOUPAGE ADMINISTRATIF : 4 régions (Ulkar, Hrutoskith, Qjarnamn et Dryggilmür)
PLUS GRANDES VILLES : Sqimithkan (capitale), Dyorkh, Lygjus et Urmwhë.
ALLIANCE(S) : /
CLIMAT : Tropical et tempéré.
GENTILÉ : Garyanite.
*Ces zones géographiques ont servi d’inspiration à certaines étapes du processus de création mais l’État n’en est pas une copie exacte.
———
〖 DESCRIPTION GÉNÉRALE 〗Garyanith n’était au départ qu’une vaste contrée avec quelques peuplements isolés sans réelle fédération. Ulkar, Hrutoskith, Qjarnamn et Dryggilmür se sont consolidées en deux temps : grâce à la découverte de l’ith, un cristal aux propriétés spéciales, puis suite à la colonisation des Hranrides ayant débarqué depuis le Continent. Ce nouveau peuple a été perçu comme un signal divin, se mêlant rapidement aux garyanites, horde pacifiste et accueillante. Cette nouvelle génétique a montré ses bénéfices au sein de la lignée impériale qui est par essence fragile. Victime il y a quelques années d’un assassinat supposément orchestré par Braséa, le précédent empereur s'est éteint en laissant à sa fille aînée un État empêtré dans un conflit qui semble sans fin. La guerre entre ces deux royaumes que tout oppose atrophie la confiance de Garyanith qui paraît se renfermer sur elle-même. L’harmonie autrefois luxuriante semble en déclin sur les terres de l’ith, même si l’empire essaie de maintenir sa politique équilibrée.
『 NOTE ↝ D’autres précisions sur le lore de chaque État suivront bientôt mais on reste disponible pour répondre à toutes vos questions en attendant ! Dans le prochain post : présentation générale du royaume de Braséa. 』

#forum francophone#forum rpg#french rpg#projet forum rpg#projet rpg#rpg fantasy#rpg francophone#forumactif#rpg français
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« Victimes de notre absence de mémoire identitaire, nous sommes restés au stade primitif de la quête d’efficacité. Nous analysons le déclin comme une simple défaillance technique, politique ou structurelle. Mais cela aura une fin. Face aux grandes épreuves à venir, nous n’aurons d’autre choix que d’en appeler, nous aussi, à notre foyer d’énergie spirituelle : celui d’où avait surgi l’impulsion primordiale de notre civilisation, voici plusieurs millénaires, et qui a continué d’animer sa meilleure part. »
Le choc de l’Histoire, Dominique Venner, 2011.
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En vrai, ce semestre je l'aurai quasiment fait seule dans le sens où pratiquement personne ne m'a posé de questions sur ma vie. Même mes parents. Mon père n'a jamais été particulièrement intéressé par ma vie, seulement les bons moments qu'on peut avoir ensemble. Et ma mère fait face au déclin de mon papi, depuis 2 mois. Elle est rentrée hier de Bordeaux mais je vois bien que son syndrome dépressif latent n'attend qu'une chose: s'accomplir en dépression majeure. Je la sens tellement désinvestie de ma vie que ça me fait bizarre. Faut dire que j'ai jamais trop eu des proches tournés sur la note, l'excellence ou quoi, donc j'ai toujours eu la liberté de rater ou réussir sans avoir à me justifier mais sans être commentée pour autant. Ma mère est tellement absente que ça me fait peur. J'entends bien sa souffrance et le deuil à venir qui sont énergivores, légitimes et imputables à la situation. Je n'ai pas l'égocentrisme nécessaire pour exiger qu'elle s'intéresse à moi et pour être honnête ça ne me peine pas, à la rigueur ça me responsabilise. Il y a deux ans à cette période, je faisais les masters en biologie et elle était très présente parce que c'était un moment anxiogène. Cette année personne ne reliera mes lettres, personne ne m'a demandé où j'ai postulé, personne ne m'a aidée à avoir du recul sur mes candidatures, personne ne connaît les dates butoires qui façonnent cette dernière année. On dirait que ça ne concerne que moi et en un sens, c'est plutôt véridique, mais à la fin ça impactera tout le monde quand même. Alors voilà, je me sens seule en réalité. J'essaie de juguler l'angoisse et de continuer à faire les choses qu'il faut faire, non sans mal, et puis ce sera très bien. Ce n'est pas que je manque de soutien, je manque d'intérêt à mon égard. Pas vraiment un besoin de validation, seulement envie qu'on me demande ce que je fais.
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CRÉATURES JOUABLES
Bestiaux qui rôdent, se tapissent derrière les masques. Peut-être serez-vous l'un d'entre eux ? Ferez-vous partie des hostiles ou des protecteurs inoffensifs ? Vous ne trouverez ici qu'un aperçu, chaque créature fera l'objet d'une annexe plus détaillée sur le forum, cette liste est non exhaustive et pourrait être amenée à évoluer et grandir au fil du jeu. (tw : meurtres, sang, violence, consommation de sang ou de chair, manipulation) ¨:·. .·:¨ ¨:·. ☾ .·:¨ ¨:·. .·:¨ ¨:·. .·:¨ ¨:·. ☾ .·:¨ ¨:·. .·:¨
BANSHEES
Hostilité envers l'humain * Hostilité envers les autres espèces * Rareté **** Activité : principalement de nuit Regroupement : solitaires
Entités fantomatiques hurlant mélopées funèbres, elles sont les individus qui ont un jour été frappés accidentellement par la faucheuse, alors que cela ne faisait guère partie de leur destin, revenant ainsi à la vie après une expérience de mort imminente. Ces êtres en ont conservé un lien particulièrement fort avec l’au-delà. Simili sorciers protecteurs de clans humains ancestraux, les Banshees perçoivent la mort, la sentent venir. ---------------------------
DRYADES
Hostilité envers l'humain * Hostilité envers les autres espèces * Rareté ** Activité : jour et nuit Regroupement : solitaires ou cercles de trois à dix Dryades
Nymphes des forêts et des landes. Êtres de nature aussi curieux que doux, les Dryades sont pourtant en déclin constant depuis l’aube de l’urbanisation qui dévore chaque jour un peu plus leur habitat naturel. Leurs épidermes se fardent de fleurs et autres feuillages, faisant de ces êtres de véritables écosystèmes vivaces qui ne sont guère de chair et de sang.
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HARPIES
Hostilité envers l'humain **** Hostilité envers les autres espèces *** Rareté ** Activité : jour et nuit Regroupement : nids de trois à douze Harpies
Rapaces avisés à la réputation belliqueuse. Mi-oiseau, mi-humanoïde, leurs ailes puissantes se déploient afin de traquer les proies qu’elles saisissent de leurs serres affutées qui semblent pouvoir tout transpercer. Jadis nommées Sirènes, Érinyes voire Sirin Bird, l’évolution leur a donné une seconde apparence, celle d'humanoïdes dissimulant la bête. L’instinct de chasse et le goût sanglant les borde, avides de violence et d’observer la souffrance dont elles se délectent.
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LYCANTHROPES
Hostilité envers l'humain **** Hostilité envers les autres espèces **** Rareté *** Activité : les nuits de pleine lune Regroupement : solitaires et meutes de deux à vingt Lycans
Malédiction des pupilles de la lune. L’âcre venin d’une monstruosité les a frappés une nuit, gangrenant leurs chairs jusqu’à la lune ronde suivante. Bêtes aux instincts bestiaux qui prédominent sous les effets de l’astre, ils perdent toute conscience de leurs actes lors de leurs transformations en monstruosités mi-hommes mi-loups. Leurs sens demeurent cependant constamment affutés.
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SIRÈNES
Hostilité envers l'humain **** Hostilité envers les autres espèces *** Rareté * Activité : jour et nuit Regroupement : clans de deux à trente sirènes
Aussi surnommées Merrows, Ondines ou Vampires des eaux, elles errent dans l'onde à la recherche d'âmes pour en aspirer la jouvence et ainsi dé-sécher leurs proies sans vergogne. Créatures vicieuses et manipulatrices, elles ont évoluées avec le monde, arpentant en partie les terres afin de mieux saisir leurs proies, qu'elles capturent via de leur charisme. Omniprésentes, il se murmure qu'elles sont plus nombreuses sous l'écume qu'il y a d'êtres humains sur terre.
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STRYGES
Hostilité envers l'humain ** Hostilité envers les autres espèces ** Rareté *** Activité : la nuit Regroupement : solitaires ou nid de deux à vingt Stryges
Goules dévoreuses de macchabées. Gargouilles trônant dans les cimetières et reluquant du haut des églises. Elles se figent une fois l'aube levée en malédiction terrible qui les tourmente. Fardeau qui leur donne un aspect monstrueux aux antipodes des êtres humains qu'elles ont un jour été. La nuit les libère, ôte leurs traits de statue. Peu hostiles, elles se font gardiennes, veillent sur l'humanité.
--------------------------- VAMPIRES
Hostilité envers l'humain **** Hostilité envers les autres espèces ** Rareté *** Activité : la nuit Regroupement : solitaires et clans de deux à douze Vampires
Maîtres des nuits brumeuses. Créatures non mortes et non vivantes arpentant les terres sans jamais trouver repos éternel. La faucheuse est omnisciente dans leurs sillages, en ombre qu'ils laissent en relâchant leurs proies. Buveurs de sang, ils glanent l'ichor encore chaud aux gargues de leurs proies. Rigueur cadavérique qui fascine pourtant l'humain depuis toujours.
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Ce poste parlera de d'une locomotive à vapeur. Mais avant tout. Une locomotive à vapeur, c'est quoi ? Type de locomotive aussi vue comme un engin-moteur conçu pour les chemins de fer et se mouvant grâce à une machine à vapeur, ce type de moteur est donc thermique. Couramment utilisé, de la naissance du chemin de fer jusqu'aux années 50, elle reste néanmoins très localement utilisé dans certains pays au XXIe siècle dans le cadre du tourisme ou de l'industrie minière. Il existe aussi des pays avec une forte capacité en ressource naturelle de charbon ou de tourbe permettant une utilisation encore récente de la locomotive à vapeur comme l'Afrique du Sud, la Chine ou l'Inde. Ce type de locomotive fut inventé au début du XIX siècle au Royaume-Uni avec le commencement des chemins de fer comme on les connaît aujourd'hui que la première locomotive à vapeur naquît des mains de Richard Trevithick en 1804. Première traction à vapeur qui sera inaugurée le 23 août 1812 sur le Middleton Railways dans le Yorkshire, elle sera une révolution technologique qui aujourd'hui, est si commune qu'on ne peut s'en passer. Cette locomotive était une simple pour rails à crémaillère (comme une remontée mécanique où des trains circulent sur une ligne de voie ferrée dotée en son centre d'un rail supplémentaire denté.) et remorquant des wagonnets de charbon. Construites par Matthew Murray et John Blenkinsop, mais ça seront les locomotives conçues par George Stephenson qui permettront d'inaugurer le chemin de fer de Stockton et Darlington qui seront les premières lignes ouvertes au transport de passagers. Les innovations dans le domaine s'enchaîneront comme en 1827 où l'ingénieur français Marc Seguin mettra au point la première chaudière tubulaire permettant de quasiment décupler la puissance et la vitesse des machines. Ça ne sera qu'après la Seconde Guerre mondiale que la traction à vapeur déclinera pour achever son déclin dans la plupart des pays à la fin des années 1970. Remplacé par les locomotives Diesels ou par les locomotives Électriques, elles ne seront construite que très rarement à des buts d'essai d'innovation et en tentant d'y mettre de nouvelles technologies sans succès comme en France où la dernière locomotive à vapeur sera construite en 1953.
La Locomotive 2857 de classe B17 de la LNER (London and North Eastern Railway) à Gorton Tank. Cette locomotive est construite en 73 exemplaires de 1928 à 1937 tandis que son design est pensé par l'ingénieur ferroviaire Nigel Gresley. Elle sera en service de sa construction en 1928 jusqu'en 1960 au plus tard. Cette locomotives remplacera la GER (Great Eastern Railway) de classe B12. Ses dernières, n'étant plus assez puissante pour tracter des wagons de passager express sur la ligne reliant Londre à Cambride et sur la ligne reliant Ipswich à Norwich, il sera donc nécessaire d'obtenir une locomotive plus puissante. Cette locomotive viendra après de nombreux échecs de fabrication essayer par la Doncaster Works, n'arrivant pas à satisfère les prérequis de Nigel Gresley. 10 locomotives seront construites par la North British Locomotive Company de novembre à décembre 1928. Cinq autre commandes de cinquante-deux locomotives sera pris par la Darlington Works après décembre 1928 qui sera livré entre 1930 et 1936. Une dernière commande sera délivré à Robert Stephenson and Company en Février 1936 pour une livraison de Janvier à Juillet 1937, montant ainsi le nombre de B17 construite à soixante-treize locomotives au total.
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