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#le déclin de la grande race
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Les idées racialistes de Madison Grant ont fortement influencé les dirigeants. Aujourd'hui encore son livre est d'actualité
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The passing of the Great Race de 1916
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aurevoirmonty · 3 months
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« Le prince, roi, ministre ou Parlement ne peut pas plus faire un Français d’un Grec ou d’un Marocain, qu’il ne peut blanchir la peau d’un nègre, débrider les yeux d’un Chinois ou changer une femme en homme. […] Pour qu’un Français soit Français, il faut qu’il soit issu d’un Français et d’une Française, et de siècle en siècle. On ne devient pas Français, et d’ailleurs pas davantage Anglais, Russe ou Japonais. De telles choses ne sont possibles que dans le temps de la fondation, d’une nation neuve, en pays inhabité. »
Georges Vacher de Lapouge, Préface de 1926 à « Le Déclin de la grande race » de Madison Grant (1916)
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aigrefinmedia · 1 year
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L’Amérique négrifiée (Julius Evola)
Il y a peu, les journaux annonçaient que, selon certains calculs, en 1970, la moitié de la population de Manhattan sera noire et que, dans les cinq arrondissements qui constituent l’ensemble de la ville de New York, 28 % des habitants seront de race noire. Des évolutions dans le même sens ont été enregistrées dans d’autres villes et régions des États-Unis. Nous assistons à une négrification, à un abâtardissement et à un déclin de la race blanche face à des races inférieures qui se reproduisent plus rapidement.
Bien sûr, du point de vue de la démocratie, il n’y a rien de mal à cela, au contraire. Nous connaissons tous le zèle et l’intransigeance des partisans américains de la soi-disant « intégration raciale », qui ne peuvent qu’accélérer le processus. Non seulement ils prônent une fraternisation sociale interraciale totale et veulent que les Noirs puissent accéder librement à toutes les fonctions publiques et politiques (de sorte que l’on peut même s’attendre, à l’avenir, à un président noir des États-Unis), mais ils n’ont aucune objection à ce que les Noirs mélangent leur sang à celui des Américains blancs. Un exemple caractéristique de cette propagande est la pièce de théâtre « Deep Are the Roots » (en d’autres termes : des « préjugés » raciaux), que la radio italienne a éprouvé le besoin de nous faire entendre plus d’une fois.
Les « intégrationnistes » qui tirent ces conclusions aussi logiques qu’aberrantes du dogme de la démocratie égalitaire et qui, tout en parlant à tue-tête de liberté, prônent en fait un système véritablement coercitif (1), sont encore combattus, surtout dans le Sud, par certains groupes qui n’entendent pas donner leur feu vert à l’avancée de la race noire et à la « négrification » de leur pays. Mais ces derniers ne prennent pas la mesure du phénomène, en ce sens qu’ils ne le perçoivent que sous sa forme la plus matérielle et la plus tangible. Ils ne voient pas à quel point l’Amérique est « négrifiée » non seulement sur le plan racial et démographique, mais surtout dans sa civilisation, dans le comportement et les goûts des Américains, même lorsqu’il n’y a pas eu de mélange avec du sang noir.
Les États-Unis ont été comparés, non sans raison, à un creuset. Ils nous offrent en effet un cas où un type humain s’est formé, avec des caractéristiques en grande partie uniformes et constantes, à partir d’une matière première très hétérogène. En émigrant en Amérique, les hommes des peuples les plus divers reçoivent la même empreinte ; après deux générations, sauf dans de rares cas, ils perdent presque toutes leurs caractéristiques d’origine, reproduisant une unité assez homogène en termes de mentalité, de sensibilité et de comportement : le type américain.
A cet égard, des théories telles que celles formulées par Frobenius et Spengler, qui ont affirmé qu’il existe une relation étroite entre les formes d’une culture donnée et une sorte « d’âme » liée à l’environnement naturel, au « paysage » et à la population d’origine, ne semblent pas applicables.
Sinon, une partie essentielle de la culture américaine aurait été possédée par l’élément indigène, constitué par les Amérindiens, les Peaux-Rouges.Les Indiens rouges étaient des races fières, avec leur propre style, leur propre dignité, leur propre sensibilité et leurs propres formes de religiosité ; non sans raison, un écrivain traditionaliste, F. Schuon, a parlé de la présence dans leur être de quelque chose « d’aquilin et de solaire ». Et nous n’hésiterons pas à affirmer que si c’était leur esprit qui, dans une mesure appréciable, avait imprégné – dans ses meilleurs aspects et sur un plan approprié – le matériel humain jeté dans le « melting pot américain », le niveau de la civilisation américaine serait probablement plus élevé[2].
Au contraire, outre sa composante puritaine-protestante (qui, à son tour, en raison de son accent fétichiste sur l’Ancien Testament, possède de nombreux traits judaïsés et dégénérés), il semble que ce soit précisément l’élément nègre, dans son primitivisme, qui ait donné le ton dans des aspects importants de la psyché américaine. Il est déjà caractéristique que lorsqu’on parle de folklore américain, c’est aux nègres que l’on se réfère, comme s’ils étaient les premiers habitants du pays. Ainsi, le célèbre Porgy and Bess du juif Gershwin, qui traite exclusivement des Noirs, est considéré aux États-Unis comme une œuvre classique inspirée du « folklore américain ». Le compositeur a déclaré avoir vécu pendant un certain temps parmi les Noirs américains pour préparer cette œuvre.
Mais le phénomène de la musique populaire et de la musique de danse est encore plus visible et plus général. Fitzgerald n’avait pas tort de dire que, dans l’un de ses principaux aspects, la civilisation américaine peut être qualifiée de civilisation du jazz, c’est-à-dire d’une musique et d’une danse négrifiées. Dans ce domaine, des « affinités électives » très singulières ont conduit l’Amérique, par un processus de régression et de primitivisation, à imiter les Nègres. A supposer qu’il y ait un besoin de rythmes et de formes endiablés comme compensation légitime au manque d’âme mécanique et matérialiste de la civilisation moderne, on aurait bien mieux fait de se tourner vers les nombreuses sources disponibles en Europe : nous avons mentionné ailleurs, par exemple, les rythmes de danse de l’Europe du Sud-Est, qui ont souvent quelque chose de véritablement dionysiaque. Mais l’Amérique a choisi d’imiter les Noirs et les Afro-Cubains, et c’est à partir de l’Amérique que la contagion s’est progressivement étendue à tous les autres pays.
La composante nègre de la psyché américaine avait déjà été remarquée, en son temps, par le psychanalyste C. G. Jung. Quelques-unes de ses observations méritent d’être citées :
Une autre chose qui m’a frappé [chez l’Américain], c’est la grande influence du Nègre, influence psychologique naturellement, non due au mélange des sangs. La manière émotionnelle dont un Américain s’exprime, en particulier la manière dont il rit, peut être étudiée au mieux dans les suppléments illustrés des journaux américains ; le rire inimitable de Teddy Roosevelt se retrouve dans sa forme primordiale chez le Noir américain. La démarche particulière avec des articulations lâches, ou le balancement des hanches si fréquemment observé chez les Américains, vient également du nègre[3] La musique américaine puise sa principale inspiration chez le nègre, de même que la danse. L’expression du sentiment religieux, les réunions de réveil, les Holy Rollers et autres anomalies sont fortement influencées par le Noir. La vivacité de l’Américain moyen, qui se manifeste non seulement lors des matchs de base-ball, mais aussi et surtout dans son extraordinaire amour de la parole – le bavardage incessant des journaux américains en est un exemple éloquent – n’est guère dérivée de ses ancêtres germaniques, mais ressemble bien plus au bavardage d’un village nègre. L’absence presque totale d’intimité et la sociabilité de masse dévorante rappellent la vie primitive dans des huttes ouvertes, où l’on s’identifie totalement à tous les membres de la tribu.
Le passage se poursuit dans le même sens et Jung finit par se demander si les habitants du nouveau continent peuvent encore être considérés comme des Européens. Mais ses observations peuvent être développées.
La brutalité qui caractérise incontestablement les Américains peut bien être considérée comme un caractère nègre. Dans les jours heureux de ce qu’Eisenhower n’a pas eu honte d’appeler la « Croisade en Europe », ainsi que dans les premiers temps de l’occupation, nous avons eu l’occasion d’observer les formes typiques de cette brutalité, mais nous avons vu aussi que, parfois, les « blancs » américains allaient encore plus loin dans ce domaine que leurs camarades nègres, dont ils partageaient pourtant souvent l’infantilisme.
D’une manière générale, le goût de la brutalité semble désormais ancré dans la mentalité américaine. Certes, le plus brutal des sports, la boxe, est né en Angleterre, mais c’est aux Etats-Unis que se sont développées ses formes les plus aberrantes et qu’il est devenu l’objet d’une obsession collective, bientôt transmise à d’autres nations.
En ce qui concerne le goût pour les bagarres et les coups les plus sauvages, il suffit pourtant de considérer la majeure partie des films et des romans policiers populaires américains : le vulgaire combat aux poings y est un thème constant, manifestement parce qu’il correspond aux goûts du public et des lecteurs américains, pour qui il semble être le symbole de la vraie masculinité. L’Amérique, leader mondial, a en revanche, plus que toute autre nation, relégué le duel traditionnel au rang de vieillerie européenne ridicule. Le duel est une méthode de règlement des différends, selon des règles strictes, sans recours à la force brute primitive du simple bras et du poing. Il n’est pas nécessaire de souligner le contraste frappant entre ce trait américain et le comportement idéal du gentleman anglais, bien que les Anglais aient constitué une partie du peuple d’origine des États-Unis.
L’homme occidental moderne, qui est dans une large mesure un type régressif, est à divers égards comparable à un crustacé ; il est aussi « dur » à l’extérieur – en tant qu’homme d’action, entrepreneur sans scrupules, organisateur, et ainsi de suite – qu’il est « mou » et informe dans sa substance interne. Ceci est vrai au plus haut point pour les Américains, qui représentent le type occidental dégénéré poussé à l’extrême. Mais nous trouvons ici une autre de leurs affinités avec le Noir. Le sentimentalisme inconsistant, le pathos banal, surtout dans les relations amoureuses, rapprochent les Américains des nègres beaucoup plus que des Européens vraiment civilisés. Les observateurs peuvent facilement en trouver des preuves évidentes dans un certain nombre de romans et de chansons typiquement américains, ainsi que dans le cinéma et la vie de tous les jours.
L’érotisme américain, aussi pandémique que – techniquement parlant – primitif, a également été déploré par les jeunes filles et les femmes américaines. Ce qui nous amène à une autre convergence avec ce qui caractérise les races nègres, où le rôle parfois obsessionnel toujours joué par l’érotisme et la sexualité est associé au primitivisme ; ainsi, ces races – contrairement aux orientaux, à l’ancien monde occidental et à certains autres peuples – n’ont jamais connu d’ars amatoria digne de ce nom. Les performances sexuelles des Nègres, tant vantées, n’ont en réalité qu’un caractère priapique grossièrement quantitatif.
Un autre aspect évident du primitivisme américain concerne le concept de « grandeur ». Werner Sombart a réussi à mettre le doigt dessus en disant qu' »ils confondent la taille avec la grandeur« . Ce trait de caractère ne se retrouve pas chez tous les peuples non européens ou de couleur. Par exemple, un authentique Arabe de l’ancienne race, un Peau-Rouge, un Asiatique de l’Est ne sont pas trop impressionnés par la taille purement matérielle, quantitative, ostentatoire, y compris celle liée aux machines, à la technologie et à l’économie (à l’exception, bien sûr, des individus déjà européanisés). C’est un trait que l’on ne trouve que chez les races vraiment primitives et enfantines, comme les Noirs. Il n’est pas exagéré d’affirmer que l’orgueil insensé des Américains pour leur « grandeur » spectaculaire, pour les « réalisations » de leur civilisation, pue la psyché nègre.
Il convient ici de mentionner l’absurdité maintes fois répétée selon laquelle les Américains sont une « race jeune », avec le corollaire tacite qu’ils sont la race de l’avenir. Il est vrai qu’un regard myope confond facilement l’infantilisme régressif avec la vraie jeunesse. A proprement parler, selon la conception traditionnelle, cette perspective doit être inversée. Malgré les apparences, les peuples récents, parce qu’ils sont arrivés les derniers, sont les plus éloignés de leurs origines et, à ce titre, doivent être considérés comme les peuples les plus séniles et les plus décadents. Cette vision correspond d’ailleurs au monde organique[4]. Elle explique paradoxalement les similitudes de peuples prétendument « jeunes », au sens ci-dessus de tardifs, avec des races authentiquement primitives restées en dehors de l’histoire du monde, et explique le goût du primitivisme et le retour au primitivisme. Nous avons déjà évoqué la prédilection américaine, par affinité élective, pour la musique nègre et subtropicale ; mais le même phénomène se manifeste dans d’autres domaines de la culture et de l’art plus récents. Nous pourrions considérer, par exemple, la glorification de la « négritude » par les existentialistes, les intellectuels et les artistes « progressistes » en France.
Il s’ensuit que les Européens, y compris les imitateurs des civilisations supérieures non européennes, font preuve à leur tour de la même mentalité primitive et provinciale lorsqu’ils admirent l’Amérique, lorsqu’ils se laissent impressionner par l’Amérique, lorsqu’ils se laissent stupidement américaniser et croient avec enthousiasme que cela signifie rattraper la marche du progrès, et que c’est un signe de libération et d’ouverture d’esprit.
Ce « rattrapage » comprend « l’intégration » sociale et culturelle du nègre, qui se répand en Europe même et en Italie, et qui est favorisée par les effets subliminaux des films importés (où l’on voit des Noirs et des Blancs se mélanger dans des fonctions sociales, comme juges, policiers, avocats, etc.) et de la télévision, dans des spectacles où l’on voit des danseurs et des chanteurs noirs mélangés à des Blancs, de sorte que le grand public s’habitue progressivement à la fraternisation interraciale et perd tout ce qui lui reste de sens naturel de la race et de sentiment de distanciation.
L’hystérie provoquée par la masse de chair informe et hurlante qu’est la négresse Ella Fitzgerald lors de ses représentations en Italie est un phénomène aussi triste que révélateur. Tout comme le fait que la glorification la plus flagrante de la « culture » nègre, de la négritude, émane d’un Allemand, Janheinz Jahn, dans un livre publié par Munti, une vieille et vénérable maison d’édition allemande (la patrie du racisme aryen !). Un célèbre éditeur italien de gauche, Einaudi, s’est empressé de le diffuser dans notre pays également, dans une traduction en deux éditions. Ce livre délirant va jusqu’à prétendre que la « culture » nègre serait un excellent moyen de faire revivre et de restaurer la « civilisation matérialiste » de l’Occident….
En ce qui concerne les affinités électives des Américains, nous voudrions nous référer à un autre point. S’il y a une chose qui semble positive et porteuse d’espoir aux États-Unis d’Amérique, c’est bien le phénomène d’une nouvelle génération qui a défendu une sorte d’existentialisme rebelle, anarchiste, nihiliste et anticonformiste : ce qu’on appelle la Beat generation, les Beats, les hipsters et consorts, dont nous reparlerons ailleurs. Eh bien, la fraternisation avec les Noirs et une véritable religion du jazz nègre, le mélange délibéré des races, y compris les femmes blanches ayant des relations sexuelles avec des Noirs, sont un aspect caractéristique de ce mouvement. Dans un essai bien connu, Norman Mailer, qui en fut l’un des principaux représentants, a même établi une sorte d’équivalence entre le nègre et le type humain de la génération en question, définissant même ce dernier comme un « nègre blanc ».
Fausto Gianfranceschi a très justement écrit à ce sujet : Il existe un parallèle entre la fascination exercée par la « culture » nègre, dans les termes décrits par Mailer, et l’effet du message de Friedrich Nietzsche au tournant du siècle. Le point de départ est le même souci de briser le conformisme fossilisé par la prise de conscience immédiate de faits vitaux et existentiels ; mais quelle confusion, quelle dégradation, si le nègre, comme on le voit aujourd’hui avec le jazz et l’orgasme sexuel, est placé sur le piédestal du ‘Surhomme’ ! »[5].
Pour la bonne bouche, nous conclurons par une déclaration significative d’un auteur américain loin d’être superficiel, James Burnham (dans The Struggle for the World) : « Il y a dans la vie américaine une tendance à la brutalité aveugle. Elle ne se trahit pas moins dans le lynchage et le gangstérisme chez nous que dans l’arrogance et le hooliganisme des soldats ou des touristes à l’étranger. Le chauvinisme de l’esprit américain s’exprime par un manque de sensibilité à l’égard des autres peuples et des autres cultures. Il y a chez beaucoup d’Américains un mépris ignorant pour les idées, les traditions et l’histoire, une complaisance pour les futilités d’un triomphe purement matériel. Qui, écoutant quelques heures la radio américaine, pourrait réprimer un frisson s’il pensait que le prix de la survie [d’une société non communiste] serait l’américanisation du monde ? Et malheureusement, dans une certaine mesure, c’est déjà le cas.
Notes :
1. L' »intégration » forcée est une violation flagrante du principe de liberté, et cette violation n’est qu’accessoirement une question de « race ». Aucune famille ne s’est jamais vu refuser le droit de ne pas accueillir chez elle des étrangers qu’elle n’aime pas ou de se tenir à l’écart d’eux (quelle que soit la raison de cette aversion) ; mais la fraternisation avec les Noirs dans la vie publique est imposée – ironiquement au nom de la liberté, d’une liberté qui est unilatérale. On déplore ce qu’on appelle la ségrégation – l’apartheid – alors qu’il s’agit du seul système raisonnable, qui ne nuit à personne : que chacun reste dans son domaine, parmi les siens. C’est incroyable ce que le « progrès » a apporté à la race blanche dégénérée : les Britanniques, qui jusqu’à récemment étaient en pratique des racistes extrêmes, au point de croire qu’au-delà de la Manche vivait ce qui était presque une humanité différente, et dans leurs colonies de se tenir hautainement à l’écart des représentants même « de couleur » des anciennes civilisations supérieures à la leur (Inde, Chine, etc.), ont à l’heure actuelle un système d’apartheid qui n’est pas le leur. ), ont, à l’heure où nous écrivons ces lignes, par suite de l’engouement « anticolonialiste », contraint leurs compatriotes de Rhodésie à faire sécession du Commonwealth, en appliquant des sanctions contre eux parce qu’ils refusent de se plier à l’obligation d’accorder à la masse de la population noire le droit de vote démocratique égal et sans discrimination, ce qui les aurait chassés de la terre qui n’avait été civilisée que par eux.
En ce qui concerne les États-Unis, s’il est vrai, comme certains le prétendent, qu’un complexe de culpabilité pour les torts causés aux Noirs dans l’ancien régime d’esclavage est la motivation des « antiségrégationnistes » – comme si tout le sang versé par les Blancs dans la guerre civile fratricide (officiellement combattue pour la liberté des Noirs) ne suffisait pas – pourquoi ne demandent-ils pas que l’un des cinquante États de l’Union soit vidé de sa substance et cédé, afin que tous les Noirs américains puissent y être déplacés, ce qui leur permettrait de se gouverner eux-mêmes et de faire ce qu’ils veulent sans gêner ni contaminer personne ? Ce serait la meilleure solution.
2. Un homme de lettres à prétention intellectuelle, Salvatore Quasimodo, a déploré les idées « racistes » exposées ici, et nous a accusés, entre autres, de nous contredire, car si nous sommes contre les nègres, nous respectons néanmoins les Amérindiens. Il ne se doute pas qu’un « racisme sain » n’a rien à voir avec le préjugé de la « peau blanche » ; il s’agit essentiellement d’une hiérarchie de valeurs, selon laquelle on dit « non » aux nègres, à tout ce qui les concerne et à toute contamination nègre (les races nègres, dans cette hiérarchie, se situent juste au-dessus des primitifs australiens, et selon une morphologie bien connue correspondent principalement au type des races « nocturnes » et « telluriques », ), tandis que d’autre part, étant donné ce à quoi la race blanche a été réduite à l’époque de l’expansion coloniale mercantiliste, nous serions certainement disposés à concéder une supériorité sur les « blancs » aux types supérieurs hindous, chinois et japonais, ainsi qu’à certaines souches arabes, en dépit du fait qu’elles n’ont pas la peau blanche.
3. On peut ajouter le caractère absolument nègre des mouvements des comédiens et des danseurs de variétés américains.
4. Bien entendu, on ne prend ici en considération qu’un aspect du nietzschéisme. Le degré de confusion qui régnait dans l’existentialisme américain se manifeste par le fait que, tout en faisant cause commune avec le Noir, certains étaient attirés par la transcendance de l’école ésotérique zen d’Extrême-Orient.
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ochoislas · 2 years
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VERSALLES
I
Oh, Versalles, en este marchito atardecer, ¿por qué con tu recuerdo de tal modo me acosas? El ardor del verano se aleja, y mira ya la antañona sazón pender sobre nosotros.
Quisiera ver de nuevo, del alba hasta la tarde, tus quietas aguas glaucas sembrar cobreñas frondas; otra vez respirar, entre oro amortecido, tu belleza transida cuando declina el año.
Hete los tejos cónicos, mofletudos tritones, los jardines compuestos que Luis ya no frecuenta, y tu pompa que arbola las cimeras y plumas.
Como flor de lis mueres, noble y triste, sin ruido; y tu onda restañada por mohientos bocales resbala, dulce, igual que un sollozo en la noche.
IV
Desamparan las Gracias el soto de Vertumno. Esta sombra que va, gimiendo en cada mármol, a rastras, y se aguanta con bello brazo laso, ay, es el Genio de luto de aquella antigua casta.
¡Oh palacio, confín supremo de terrazas, algo de tu belleza corre por nuestras venas; y eso es lo que te presta cierto acento inefable, cuando un sublime ocaso tus vidrieras enciende!
Fuiste fondo de glorias tantos días pasados, genios rielando bajo los lustros. Tardes de oro. Versalles... Pero ya la noche negra adensa.
Y mi pecho se encoge de repente, pues oigo, como un siniestro ariete contra muros del tiempo, sin tregua, retumbar en la sombra olas negras.
*
VERSAILLES
I
Ô Versailles, par cette après-midi fanée, Pourquoi ton souvenir m'obsède-t-il ainsi ? Les ardeurs de l'été s'éloignent, et voici Que s'incline vers nous la saison surannée.
Je veux revoir au long d'une calme journée Tes eaux glauques que jonche un feuillage roussi, Et respirer encore, un soir d'or adouci, Ta beauté plus touchante au déclin de l'année.
Voici tes ifs en cône et tes tritons joufflus, Tes jardins composés où Louis ne vient plus, Et ta pompe arborant les plumes et les casques.
Comme un grand lys tu meurs, noble et triste, sans bruit ; Et ton onde épuisée au bord moisi des vasques S'écoule, douce ainsi qu'un sanglot dans la nuit.
IV
Le bosquet de Vertumne est délaissé des Grâces. Cette ombre, qui, de marbre en marbre gémissant, Se traîne et se retient d'un beau bras languissant, Hélas, c'est le Génie en deuil des vieilles races.
Ô Palais, horizon suprême des terrasses, Un peu de vos beautés coule dans notre sang ; Et c'est ce qui vous donne un indicible accent, Quand un couchant sublime illumine vos glaces !
Gloires dont tant de jours vous fûtes le décor, Ames étincelant sous les lustres. Soirs d'or. Versailles... Mais déjà s'amasse la nuit sombre.
Et mon coeur tout à coup se serre, car j'entends, Comme un bélier sinistre aux murailles du temps, Toujours, le grand bruit sourd de ces flots noirs dans l'ombre.
Albert Samain
di-versión©ochoislas
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beatlesonline-blog · 2 years
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kn1dognose · 2 years
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Professionnel du chien à Perpignan. La rétine et la vision des couleurs du chien.
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Cours de dressage pour chien et chiot à Millas, Le Soler, Saint-Estève, Elne, Saint-Cyprien. Appeler le 06 56 72 29 85.
La vision du chien: La rétine et la vision des couleurs
Une grande partie de l'échange social étroit qui se produit entre les chiens et les humains dépend de la reconnaissance visuelle de gestes subtils et de signaux posturaux. Cette information visuelle fournit une base sensorielle pour une communication socialement significative et une interaction harmonieuse. Une autre fonction importante de la vue est de balayer l'environnement à la recherche de changements biologiquement importants dans l'environnement du chien, non détecté par les autres sens. La rétine
L'œil du chien est structuré de sorte que l'énergie lumineuse réfléchie puisse être efficacement collectée et concentrée sur la rétine, qui est composée de tissu neural sensible à la lumière situé à l'arrière de l'œil. Il existe deux types de cellules photoréceptrices situées dans la rétine :
Les bâtonnets (sensibles aux contrastes de lumière et d'obscurité) et les cônes (sensibles aux variations de couleur et détail).
La rétine d'un chien contient beaucoup plus de bâtonnets que de cônes, ces derniers ne comprenant que 3 % de toutes les cellules photoréceptrices présentes dans l'œil canin (Peichl, 1991).
La prépondérance des bâtonnets rend la vision du chien plus adaptée pour distinguer la lumière et l'obscurité et détecter les mouvements que pour voir les couleurs et les détails.
Une différence structurelle importante entre le chien et la rétine humaine est l'absence de fovéa. La fovéa est une zone étroitement concentrée de cellules coniques et ganglionnaires située au centre du champ de vision de l'œil humain. Près de la moitié du cortex visuel humain est impliquée dans la représentation des informations provenant de la fovéa (Thompson, 1993). Bien que ne possédant pas de fovéa, la partie centrale de la rétine du chien présente une concentration de cellules coniques plus élevée que celle trouvée dans d'autres zones rétiniennes, les cônes représentant environ 20 % de tous les récepteurs qui s'y trouvent (Parry, 1953). Au lieu de posséder une fovéa, la rétine du chien contient des stries visuelles et une concentration de cellules ganglionnaires appelées la zone centrale. Les stries visuelles sont une concentration ovale allongée de récepteurs sensibles à la lumière et de cellules ganglionnaires situées le long de la partie centrale de la rétine. On pense que la bande visuelle et la zone centrale jouent un rôle important dans l'amélioration de l'acuité visuelle, de la vision binoculaire et du balayage horizontal. Peichl (1992), qui a comparé les stries visuelles des chiens et des loups, a constaté que les rétines de loup possédaient systématiquement une strie visuelle prononcée, alors que la strie visuelle des rétines canines variait considérablement (modérée à prononcée) entre les différentes races étudiées. Il a attribué ces différences aux effets de la domestication et de l'élevage, fournissant ainsi un soutien physiologique supplémentaire à ce que Hemmer (1990) a appelé le déclin de "l'appréciation de l'environnement" chez les chiens et autres animaux domestiques en raison de la dégénérescence sensorielle et neurologique résultant de l'élevage domestique.
La clarté de la vision nécessite qu'une image optique soit précisément focalisée sur la rétine. Cette fonction est réalisée par la cornée, le cristallin et le milieu aqueux dans l'œil.
Comme les humains, de nombreux chiens sont soit hypermétropes (hypermétropie), soit myopes (myopie).
Dans le cas de l'hypermétropie l'image est focalisée derrière la rétine, alors que dans la myopie l'image est focalisée devant la rétine. La myopie n'est pas une caractéristique générale de la vision canine (comme cela a parfois été suggéré), mais son incidence est relativement plus fréquente chez certaines races. Par exemple, Murphy et ses collègues (1992) ont découvert que 64 % des Rottweilers testés étaient myopes. Ils ont également déterminé que 53% des bergers allemands testés (population clinique) étaient myopes, mais, fait intéressant, parmi les bergers allemands participant à un programme de chiens-guides, seuls 15% étaient affectés par la maladie. Cette constatation suggère que les chiens ayant de faibles capacités de concentration ont été exclus de la population de chiens-guides en raison d'autres défauts de comportement survenus au cours de leur entraînement. Certes, des chiens comme le berger allemand et le rottweiler devraient être testés pour myopie avant d'être formé pour diverses tâches utilitaires nécessitant une bonne vue.
Vision des couleurs
Jusqu'à récemment, de nombreuses autorités canines croyaient que les chiens manquaient de vision des couleurs ou, au mieux, cela était considéré comme un aspect très faible de la vision canine. Cette opinion était basée sur les premières études sur la vision des couleurs réalisées par Smith (1912) et par Orbelli (1909, cité dans Windholz, 1989) avant lui. Smith a effectué une série d'expériences de discrimination couleur-brillance (primitives selon les normes contemporaines) avec des chiens et a conclu que, bien que les chiens semblaient présenter une capacité rudimentaire à discriminer les couleurs, cette capacité était "très instable et ne peut être supposée jouer aucun rôle dans l'existence normale de l'animal" (Smith, 1912).
Pavlov (1927) a également rapporté des résultats décevants à la suite d'un certain nombre d'expériences de vision des couleurs réalisées par son associé de laboratoire Orbelli, dont les premières découvertes étaient cohérentes avec les résultats de Smith. Au cours d'une série d'études sur la discrimination des couleurs, Orbelli n'a pas été en mesure de démontrer une réponse différentielle à la couleur, bien qu'il ait pu obtenir une certaine reconnaissance apparente des couleurs chez un chien - un exploit qui n'a été accompli qu'après de grands efforts et difficultés. Pavlov a rapporté, que les résultats obtenus par d'autres chercheurs, à la fois russes et étrangers, conduisent à la conclusion que la vision des couleurs chez les chiens, si elle est présente, n'est que d'une forme très rudimentaire, et qu'elle ne peut pas être détectée du tout chez la plupart des chiens. (1927) Après plusieurs efforts expérimentaux frustrés, Orbelli a conclu que les chiens ne différenciaient pas les couleurs mais réagissaient plutôt aux changements de luminosité dans les échantillons qui leur étaient présentés. Cependant, d'autres chercheurs au cours de cette même période - appliquant ostensiblement des contrôles de luminosité - ont rapporté des résultats contradictoires concernant la vision des couleurs chez les chiens. Une différence procédurale significative entre ces expériences et celles réalisées par Orbelli était l'utilisation de la méthode salivaire de Pavlov par rapport aux méthodes instrumentales dans lesquelles un chien est tenu de faire une réponse volontaire indiquant un choix entre les échantillons de couleur. Les expérimentateurs utilisant des méthodes de discrimination instrumentale impliquant une réponse volontaire ont découvert que les chiens possédaient en fait une vision des couleurs significative.
Stone (1921) a critiqué ces premiers efforts pour établir l'existence de la vision des couleurs chez les chiens, arguant qu'ils n'avaient pas réussi à contrôler adéquatement les différences de luminosité associées aux échantillons de couleur présentés. Il a suggéré que les études positives indiquant la présence de la vision des couleurs chez les chiens ont été confondus par des facteurs de luminosité incontrôlés, et ont conclu avec Smith et Orbelli que « le chien ne possède qu'une sensibilité très rudimentaire aux couleurs et dépend très peu, voire pas du tout, des distinctions de couleur dans la vie quotidienne » (1921). La question de la vision des couleurs chez le chien est restée controversée depuis.
Cependant, des études de vision hautement contrôlées menées par Neitz et ses collègues (1989) et Jacobs et ses collègues (1993) ont démontré que les chiens possèdent des capacités importantes à percevoir et à utiliser les couleurs. Neitz et ses collègues, par exemple, ont déterminé par une série d'expériences de discrimination des couleurs (par exemple, des discriminations d'appariement d'échantillons) que :
les chiens peuvent différencier les couleurs dichromatiques ayant des pics d'absorption spectrale à 429 nm (gamme bleu-violet) et 555 nm (gamme jaune-vert). La neutralité spectrale (absence de couleur) s'est avérée se produire à 480 nm (c'est-à-dire le bleu verdâtre).
La vision dichromatique des couleurs du chien permet à un chien de distinguer les objets bleutés des jaunes, mais les chiens sont incapables de faire la différence entre de nombreuses autres couleurs qui sont vives pour les humains, par exemple, le rouge, l'orange et le vert, des couleurs que les chiens perçoivent probablement comme des teintes et des nuances de jaune ou de bleu.
Les différentes couleurs que les chiens voient sont affectées par un ensemble d'entrées perceptuelles autres que la teinte saturée, par exemple, la valeur (clarté/obscurité) et l'intensité (luminosité/matité).
Miller et Murphy (1995) ont noté que les chiens sont incapables de faire la différence entre le bleu verdâtre et le gris. Cette observation est basée sur les conclusions de Neitz et ses collègues (1989) selon lesquelles la plage entre 475 et 485 nm (bleu verdâtre pour les humains) est spectralement neutre (c'est-à-dire incolore) pour les chiens. L'incapacité du chien à faire la distinction entre le bleu verdâtre et le gris se produit, d'une part, parce que la vision dichromatique d'un chien ne peut pas percevoir la teinte bleu verdâtre mais, aussi, parce que la valeur normale du bleu verdâtre est dans la gamme des gris. Ces découvertes actuelles contredisent une étude antérieure réalisée par Rosengren (1969), dans laquelle des chiens (trois cockers femelles) étaient apparemment entraînés à faire la distinction entre les teintes rouges, bleues, vertes et jaunes. De plus, elle a constaté que les chiens pouvaient distinguer ces différentes couleurs à partir d'échantillons de gris de valeurs différentes.
Contrairement aux rapports antérieurs indiquant l'existence d'une vision des couleurs minimale (voire aucune) chez les chiens, Neitz et ses collègues (1989) ont découvert que la discrimination des couleurs dichromatiques était rapidement maîtrisée par les chiens qu'ils ont étudiés (deux lévriers italiens et un caniche toy), notant que la discrimination des couleurs était évidente après une seule journée de formation. Ils ont conclu que "la vision des couleurs pour le chien n'est pas simplement une curiosité de laboratoire, mais peut plutôt fournir une source utile d'informations environnementales" (1989). Jacobs et ses collègues (1993) ont confirmé les découvertes de Neitz et al. au moyen d'instruments optométriques sophistiqués pour mesurer les taux d'absorption relatifs des photopigments contenus dans les cellules des cônerécepteurs du chien (photométrie de flicker par électrorétinogramme). Ils ont découvert que les chiens, comme les renards, possèdent deux cônes photopigmentés différents qui atteignent des pics d'absorption spectrale à 430 à 435 nm et 555 nm, respectivement. Dans le cas de la vision trichromatique, les cônes sensibles au bleu atteignent des pics d'absorption à 420 nm, les pigments sensibles au vert à 534 nm et les pigments sensibles au rouge à 563 nm. En général, la photosensibilité des mammifères est limitée à une étroite gamme de longueurs d'onde électromagnétiques entre l'ultraviolet et l'infrarouge, c'est-à-dire environ 380 à 760 nm (Schmidt-Nielsen, 1989).
Article annexe :
Les chiens voient-ils les couleurs?
Comment les chiens voient-ils le monde ?
Nos Tarifs  :
Tarifs éducation canine
Tarifs école du chiot 
Tarifs pension canine
Tarifs Taxi Animalier 
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lounesdarbois · 4 years
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Le racisme blanc dans les très rares cas où il est avéré est un racisme défensif. Il se défend d'un racisme offensif, du sémitisme d'abord, mais aussi de tous les dominions et supplétifs du sémitisme, sicaires casernés comme jadis leurs maîtres dans le Ghetto. S'installer aux frais de l'habitant, squatter, profiter, abuser, toujours au nom d’un “dieu de la vengeance”, d'un "juste retour des choses", posture doublement criminelle puisque mensongère, tactique du bluffeur en face du naïf. L'accusation de suprémacisme blanc cache le suprématisme anti-Blanc de toutes les races fanatisés par les sorts de la synagogue: faux récits historiques, pornographie, activisme anti-Blanc, etc. 
En des temps de raisonnement ultra-critiques découpeurs de cheveux en quatre, en des temps de culte voué aux seules certitudes rationnelles voici que les plus grossiers aberrants bluffs de poker-menteur passaient comme une lettre à la poste: "vous nous avez colonisés", "vous nous devez", "vous nous opprimez"... Ces masque de sorciers colons baffreurs sur le sol français passaient d'autant plus mal qu'ils crevaient les yeux, et que l'aveuglement des honnêtes gens devant l’escroquerie ne pouvait que renvoyer au Deutéronome chapitre 28 verset 28.
 Il y avait l'obscénité de lois pour des mémoires imaginaires pendant qu'agonisaient des Blancs qui criaient vers le ciel l'injustice absolue, la monstruosité d'une extermination véritable, très observable, très mesurable, très quantifiable, dont une seule journée de faits divers suffit à détailler le mode opératoire. Le seul racisme qui tue est le racisme anti-Blanc. Les Blancs sont la seule race qui diminue en nombre. Les Blancs sont la seule race à qui est déniée la qualité de race. L'antiracisme est le mode d'expression du racisme anti-Blanc. Et en définitive, le mot "racisme" lui-même, terme inconnu du Littré père de tous les francophones, n'est-il pas une pure escroquerie? La formation tardive de ces concepts spécieux pour professeurs d'université ne s'explique-t-elle pas par le besoin de ces derniers de se fabriquer un capital fictif pour vivre sur sur des rentes réelles? Le besoin d'embrouiller les choses, de recourir à Jacob "le boîteux" pour justifier des raisonnements tortueux, pour inhiber les traçeurs de lignes droites par la célébration forcenée de Bergson, de Sartre et d'Althuser en spéculant sur la crainte des foules pour tout ce qu'elle ne comprend pas, cette morgue faisandée du "penseur profond des potentialités complexes", toutefois penseur salarié d'Etat, qui disserte sur les stoïciens au lieu de vivre le stoïcisme, tout cela ne devrait-il pas alerter un fruste et sage bon sens? Lacan lui-même n'avouait-il pas à mots couverts dans son galimatias qu'il était effectivement un charlatan, qu'il dominait les foules crédules et qu'il les méprisait? 
Mettons donc qu'il n'y ait pas de racisme anti-Blanc. Il reste alors que les Blancs sont colonisés par d'anciens hôtes accueillis avec hospitalité, devenus au fil des années et des guerres des colons, que ces colons ont fait immigrer d'autres colons par millions chez des Blancs maintenus dans la peur et la division par leviers juridiques et fiscaux qui ont fait de nos sociétés de véritables enfers où désormais même les plus petites modalités de la "vie normale" sont devenues quasi-impossibles: travailler, épargner, se marier, élever une famille, acquérir un logement... tous ces droits minimums d’un homme élevé sur la terre de ses pères, voici qu'ils devenaient une sorte de récompense atteignable par à peine 1 Français sur 10 et après quelles conjonctions fabuleuses de chances! Mais les 9 sur 10 restants, très loin de penser à la révolte, trouvaient ces conditions parfaitement bienséantes: quelques petits malins leur avaient fait entrer dans la tête qu’il n’est pas beau de réclamer des droits, qu’ils avaient joué et perdu, qu’ils auraient peut-être plus de chance la prochaine fois, enfin n’importe quoi pour inhiber la révolte. A la vérité, chaque Français élevé dans le "tous contre tous" rumine très tôt l'amertume et le ressentiment envers d'aussi dures conditions et quelque part s'il en souffre pour lui-même il jubile un peu que son semblable doive en souffrir autant, et c'est cela qui nous tue, c'est cette concurrence absurde entre camarades de combat. Une fois la haine insinuée entre deux frères, la distance qui les éloigne va bientôt appeler dans l'espace vacant un travailleur étranger et alors commencera la société du Blanc colonisé. C'est peut-être pourquoi quelqu'un a dit un jour que la charité qu'il prescrivait à ses disciples n'était pas une décoration mais un commandement et une obligation s'ils voulaient vivre.
La religion chrétienne est la seule dont le nombre d'adepte diminue. Paradoxe: le martyr preuve de l'élection selon la hiérarchie chrétienne, est l'inscription en creux de la persécution, injonction et preuve si elle réussit, de l'élection des non-chrétiens, selon leurs hiérarchies respectives.
Tout au bout de ce cauchemar on se rendra compte que le mot "racisme", absent du Littré, n'existe pas, et que l'on se sera battu comme jadis au temps des idéologies, pour quelque chose qui n'existe pas. A force d'asséner ce mot, de l'invoquer, de lui souffler dessus depuis des camps opposés (prétendus racistes contre prétendus antiracistes) il avait pris apparence de vie mais on omettait l'essentiel: qu'il ne recouvrait rien, que son acception changeante à chaque décennie, et à effet rétroactif sur la décennie précédente, cachait sa nature d'origine diabolique car cette manière de traverser l'histoire par des sas refermés derrière soi et de prendre un nouveau masque était le propre du diable (et l'un des principes de la maçonnerie sous le masque du devenir perpétuel). 
L'avertissement de Dostoïevski tient dès lors de la prophétie pure: "On écrira encore beaucoup de livres, et on omettra l'essentiel : l'Occident a perdu le Christ, et c'est pourquoi il décline, uniquement à cause de cela". 
Regardons encore une fois les événements des derniers mois à la lumière du Deutéronome 28:28 et versets suivants, tout est là, du plus frivole au plus sérieux. Depuis l'invasion des perruches africaines en forêt de Sceaux, au +400% de consommation de cannabis entre 1996 et 2010, à la "hagra sur les babtous", au dossier ricanant du Monde sur "le sentiment de déclin des Blancs", au plug de la place Vendôme, aux fêtes du 14 Juillet de Macron, à l'incendie criminel de Notre-Dame, aux appels au meurtre d'un rap de sicaires fanatisés etc... L'euthanasie, l'avortement et la stérilité... Tout cela a un sens que si peu comprennent à l'heure de l'effondrement du sens. Même l'effondrement du sens a un sens disait Soral. Pensons que Soljenitsyne lui-même après tant de lecture, et de temps pour les méditer au goulag, malgré toute son érudition et sa capacité de raisonnement savant s'avouait forcé de reconnaître que « Si l'on me demandait de dire clairement quelle est la plus grande menace de tout le vingtième siècle, là encore, je ne trouverais rien d'autre à dire que : l'homme a oublié Dieu ».  
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claudehenrion · 3 years
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Le poids des mots, l’échec des idées…
  Les gourous successifs que le monde s'est choisi pour le guider (et qu'ils soient souvent élus plus ou moins démocratiquement est un motif supplémentaire de honte) semblent se donner un mal de chien pour le rendre inextricable et invivable ! Les idées qui circulent sont implicitement sous-tendues par cette grosse erreur fondamentale que nous serions devenus tellement riches (relativement comme en valeur absolue) qu'il nous serait aussi possible d'être extravagants et de nous comporter en enfants gâtés que rien ne vient arrêter dans leurs mauvaises idées 
 Les grandes idées qui menaient le monde jusqu'à l'époque de ce que mon maître  Jean Fourastier appelait “les trente glorieuses” –qui, à l'échelle de l'humanité, sont encore proches– ont toutes sombré derrière des ramassis de notions vagues, non définies et mal conçues, inutiles pour les “moins pires” et cauchemardesques pour toutes les autres, qui ne peuvent déboucher, à terme proche, que sur des séries de catastrophes prévisibles, voire annoncées. Un “retour sur images” s'impose, si l'on veut essayer de comprendre le pourquoi et le comment de la succession de “coups de pas de pot” qui nous ont conduit dans les impasses absolues dans lesquelles nous nous débattons.. sans oser regarder en face les mesures drastiques qu'il faudrait prendre de toute urgence pour avoir une petite chance de nous en sortir par le haut avant qu'il ne soit trop tard. Le regretté Georges Pompidou  écrivait, dans “Le Nœud gordien” : “Le matérialisme de la société d'abondance ne peut pas satisfaire les aspirations de l'homme : il ne donne pas un sens suffisant à la vie’’.
La perte (largement entamée) de la perte de maîtrise du langage a entraîné une perte corrélative de la compréhension du sens des mots et des notions qu'ils recouvrent (à moins qu'elle n'en ait été la cause !).  Ne sachant plus trop de quoi ils parlent, nos contemporains n'ont plus aucune chance de trouver des chemins vers ce bonheur que des faux gourous / vrais salopards ont osé nous promettre ! Des mots comme démocratie, religion, science, Histoire, Europe, France, famille, père et mère, art et beauté, bon et mal, nos Liberté, Egalité et Fraternité et depuis peu homme ou femme, tout simplement, veulent dire des choses différentes pour chaque français, par là-même privé de toute possibilité de pouvoir retrouver une forme d'équilibre moral et d'espérance : tout est mis ‘’En Marche’’ pour que les lendemains qui nous sont encore ouverts ne chantent plus jamais que des chants funèbres. Il nous reste encore un peu de temps pour nous ressaisir avant que tout ne soit définitivement perdu. Mais pas assez pour que nous flânions en chemin !
En fait, tout cela aurait pu ne pas être aussi grave : après tout, les mots, comme toute chose, naissent, évoluent, font des cabrioles et meurent. Nous avons tous en tête nombre de mots qui ont traversé le temps en changeant de sens à plusieurs reprises. (’‘drôle” est un bon exemple, qui est passé de lascar à gamin, avant de devenir bizarre, et enfin comique. Mais “République” n'est pas en reste : à une extrémité de notre défi à tout bon sens, ce mot peut signifier aujourd'hui  “tout et n'importe quoi qui pourrait déplaire à ceux qui se proclament républicains’’… Mais à l'autre extrémité, c'est à la fois un synonyme de ‘’démocratie revue et corrigée’’, de ‘’tolérance mal comprise’’, de ‘’bisounours face à l'islam’’ et de ‘’protection de la vie garantissant le meurtre de bébés presque arrivés à terme’’. Et tout ça ’'en même temps”, dirait Emmanuel Macron pour achever de nous confondre et de nous ‘’paumer’’). Le monde peut-être, mais la France, ça, sûrement, sont devenus fous.
Mais là où une évolution somme toute normale est devenue révolution (donc insupportable), c'est que, contre toute attente, les mots ont pris le pouvoir… et les mots les plus insensés (= “qui n'a pas de sens”) ont été plutôt plus rapides que d'autres à s'imposer –ce qui n'est pas  étonnant, en fin de compte : notre époque préfère les inepties dangereuses aux choses souhaitables ! Il serait vain de nier que le monde d'aujourd'hui est dirigé par les mots, et plus exactement des mots sans définition, sans raison d'être, et sans âme. Le grand visionnaire George Orwell, dans “la Ferme des animaux”, l'expliquait clairement : “Celui qui a le pouvoir n'est pas tant celui qui dit les mots que celui qui dit ce que les mots veulent dire”. Nous y sommes ! Le titre de “1984” était le fruit d'une erreur de calcul : il fallait lire “2021”. Espérons que de très nombreux lecteurs avaient corrigé d'eux-mêmes !
Car qu'on ne vienne pas raconter que des glissements sémantiques comme ceux qui affectent à répétition des mots comme mort, race, père, fascisme, liberté, et même Europe… ou France  ne sont pas comme orchestrés dans un sens qui veut influencer et faire évoluer les pensées, les idées, les croyances et les réactions des gens, dans le but d'apporter une pierre à l'immense processus de déconstruction en cours. Lorsque un pays de longue civilisation tombe à un point bas où son chef suprême, Emmanuel Macron, déclare officiellement, lors d'une réception à l'Elysée : “Votre problème,  c'est que vous croyez qu'un père est forcément un homme” (je n'invente rien, c'était le 20 janvier 2020), un an à peine après que sa ministricule (sans majuscule) Agnès Buzyn ait affirmé (sans en mourir de honte) que ‘'un père pouvait être… la propre grand-mère du nouveau né’’, on se demande comment on va pouvoir descendre plus bas dans la laideur, l'inconséquence… et l’imbécillité !
Comme le dit Georges de Vries dans son ouvrage “le Hold-up des mots”, toutes les réformes (?) dites sociétales, qui ne sont que dénaturation du sens des mots, nous conduisent très rapidement à la retransmission sur BFM-tv, en “prime time” d'un accouchement  par une femme devenue homme, portant barbe et faux pénis, d'un enfant “obtenu” par croisement des gamètes d'un autre homme et de deux femmes inconnues, sous le sourire bienveillant et attendri de Macron et de Schiappa. Dites-moi : que reste-t-il d'humain, dans leur “homme nouveau”… qui ne serait bientôt plus qu'une femme, par attrition (ce n'est pas péjoratif, mais c'est un regret !) ?
La crise de l'intelligence que nous traversons –et qui, pour le plus grand malheur de l'humanité, à l'air de vouloir durer plus que de raisonnable– nous empêche de penser autrement que par slogans. Le faux angélisme de “la France d'en haut” voit des complots contre elle sous le seul prétexte qu'elle ne prend que des décisions insanes. comme le prouve le fait que 68 % des français s'abstiennent de participer à ce jeu de massacre, que jusqu'à 88 % ne se sentent plus chez eux, et que, pour 75 à 91 %, nous sommes en plein déclin (sondage JDD-Sud Radio, 2 avril 2021).
La nation profonde est massivement attachée à … tout le contraire des cauchemars dystopiques que quelque centaines ou milliers de “fadas” (mes origines “du sud” remontent, dans la colère ou le chagrin !) qui se sont propulsés et incrustés dans la cabine de pilotage peuvent ainsi imposer contre tout bon sens et contre tout le monde. Tout est à reconstruire… mais surtout à repenser et à redéfinir.  Il nous reste un an pile pour redresser la barre, après, ce sera foutu. Chacun doit apporter sa pierre, même petite, à la reconstruction de ce que 50 ans de pensées perverses n'ont tout de même pas réussi à détruire complètement… La tâche est belle. Elle est noble, elle est grisante. Et tellement nécessaire !
H-Cl.
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lagrandebelleza · 3 years
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Objets et symboliques
Statue de Marforio au Capitole de Dubuisson Romane 6C et Boitte Loïk 6D
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Marforio est l’une des six statues parlantes de Rome. Celles-ci sont des satires inconvenantes et anonymes visant de nombreuses personnalités publiques romaines. On y retrouve régulièrement apposés des poèmes critiques, des mots d’esprit, etc. Ce phénomène existe depuis le XVIème siècle et continue de nos jours. C’est l’ancêtre du panneau d’affichage.  
Datant du 1er siècle après J-C, la statue de Marforio se situe actuellement dans la cour du Palazzo Nuovo aux musées du Capitole mais elle viendrait du temple de Mars, anciennement localisé dans le Forum d’Auguste. Quant à son nom, il proviendrait soit de “Mare in Foro” dont la traduction est “la mer dans un trou” soit de la famille Marfuoli qui habitait non loin de la prison Mamertine où on a découvert la statue.  
Lorsqu’on l’observe, on est directement happé par sa hauteur impressionnante. La fontaine est un véritable chef-d’œuvre pour les yeux des spectateurs. Devant la statue, on pense autant à la vie qu’à la mort ; nous, humains vivants et elle, figée comme morte. On y retrouve certains thèmes comme l’eau représentée ici sous la forme du dieu de l’océan, sûrement Neptune, et d’un fleuve, le Tibre. Une autre thématique est le coquillage que l’homme tient dans sa main droite. En effet, la coquille représente la sexualité. La pieuvre, quant à elle, symbolise la régénération grâce à ses tentacules que l’on peut apercevoir en son sein. Il est connu que lorsqu’une pieuvre perd un de ses tentacules, un autre repousse. Ensuite, les deux dauphins, situés de part et d’autre de la statue expriment, eux aussi, la régénération mais en plus la sagesse et la prudence. Les animaux projettent tous des gerbes d’eau de leur bouche, ce qui représente la source de la vie. Pour ce qui est de l’homme, en lui-même, sa stature musclée évoque force, énergie et vigueur. Sa barbe, pour sa part, suggère la sagesse, l’expérience ou encore la virilité et le courage. Finalement, le marbre utilisé, symbolise l’éternité tandis que sa fraicheur rappelle la mort et nous amène le sentiment d’un espace-temps figé.
Cette statue est marquante et ce, même avant le début du film. En effet, le héros, Jep Gambardella trône devant elle sur l’affiche du film, peut-être une volonté du réalisateur de mettre en avant la sagesse et la débauche de son personnage principal. Celui-ci est assis devant elle, comme un égal. Cela marque un contraste avec sa veste jaune représentant son déclin. Nous la revoyons ensuite lors de la dérive de Jep et de sa compagne dans les palais. Elle apparaît lumineuse alors que les Hommes restent dans la pénombre, une preuve de la supériorité de l’art et de la mort face aux êtres vivants. Grâce à cet effet de lumière, l’attention est portée sur la “Beauté” et non pas sur le héros.
Les clés de Roelandts Helena 6D et Pauline Deramée 6C
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La grande Bellezza est un film qui met en scène de nombreux objets avec des symboliques fortes. Ces symboliques sont parfois connues du grand public, parfois elles demandent une réflexion plus approfondie. Les clés, représentées à plusieurs occasions, sont un élément dont les messages sont nombreux et forts. On les voit, dans la scène, ouvrir les portes vers un jardin meublé d’une statue. Cette mise en scène peut laisser place à l’imagination du spectateur quant aux messages que délivre cet objet. Au cours des siècles, elles auront différentes significations propres à chaque peuple et croyance. Tout d’abord, dans la mythologie romaine, comme dans la plupart des religions, elles y sont importantes car elles sont associées à Janus, le dieu du passage et des portes. La religion chrétienne les considère comme l’accès au paradis, les posséder revient à posséder la vie éternelle. Les freudiens, eux, voient à travers ces clés un univers érotique où la serrure serait représentée avec le sexe féminin et la clé par le sexe masculin. Une vision des choses qui à sa place dans l’analyse de ce film, traite de la sexualité à diverses reprises.  A l’heure actuelle, la clé est davantage un symbole de connaissance, de richesse ou même de promesse. Celle-ci serait l’accès à l’intimité verrouillée par une porte.
Le tableau de la petite fille de Van Brusselen Sarah 6C
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Au sein du film, nous assistons plusieurs fois à des performances artistiques. Parmi celles-ci, nous y retrouvons Carmelina, une jeune fille de 12 ans, réalisant une toile face à un public épaté.
Malgré la facilité à réaliser ce tableau, celui-ci en révèle long symboliquement ainsi que sur la réalité de la vie.
A travers le tableau de la jeune fille, nous comprenons que celui-ci reflète la cruauté et l’indifférence du monde qui nous entoure. Il nous rappelle que la société nous ordonne d’entreprendre des actions déplaisantes et contrariantes sans tenir compte de nos pensées. Nous interprétons donc que chacun d’entre nous sommes assimilés à des“ poules aux œufs d’or ” dans le but d’amasser de l’argent pour autrui.  
La toile est composée de diverses éclaboussures de peintures qui soulignent également la rage et la souffrance. En effet, cet ensemble de traits colorés dévoilent la colère qui nous envahit lorsqu’on nous condamne à ne pas procéder à ce qui est de plus précieux à nos yeux, nous sommes contraints de suivre un chemin non désiré.
Cette peinture exprime donc l’absurdité et l’injustice de la vie à laquelle nous devons faire face chaque jour.
L‘Eglise de Honorine Cotton 6D
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Le chemin de la mort nous ramène souvent à notre transcendance et notre dernier travail sur soi, celui d’accepter de partir et de laisser notre place. C’est ce que rappelle souvent l’église à celui qui y rentre. Elle recèle le savoir de centaines d’années diffusées dans chacune des briques qui la composent. Elle nous rappelle que l’on n’est pas éternel, qu’un jour on finit par partir et même si notre transcendance ne se trouve pas en dieu, l’église nous écrase quand même et nous réduit à notre simple personne. Elle ne discrimine personne ; dans le film, elle accueille le cercueil du jeune tué dans un accident. Face à cette mort prématurée, la vérité est établie, on finit tous par mourir. Mais l’église n’est pas que la voie du trépas, elle est aussi un lieu de ressource, elle apporte la sérénité à notre esprit. Nous dévoilant et nous ouvrant le cœur, elle nous libère de nos émotions. Dans le film, elle touche de nombreux personnages, Jep notamment qui décide de changer de vie, de se consacrer plus à lui qu’aux futilités de la fête. Ainsi, alors qu’il disait qu’il ne fallait pas pleurer lors d’un enterrement, qu’il n’était qu’une scène, une pièce de théâtre simplement faite de mondanité. Les événements le rattrapent et face à l’imposante puissance de l’église, Jep laisse couler ses larmes réduisant ses sages paroles à de vains mots. Et l’église vient le bercer et le consoler pour le rendre plus fort et lui apporter un souffle de sérénité.
Le cercueil de Ambre Dellis 6C et de Honorine Cotton 6D
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Le cercueil est un peu notre deuxième enveloppe après notre mort. Ce coffre en bois y est d’ailleurs synonyme. Il permet de transporter le corps pour l’amener à la terre et lui offrir une protection dans le monde de l’au-delà jusqu’à la réincarnation de l’âme. D'ailleurs, cette réincarnation est aussi représentée par les fleurs blanches qui ornent le cercueil. Elles ajoutent une touche de pureté et de spiritualité pendant la cérémonie. Puis elles sont retirées pour que le cercueil soit emmené à la terre. La dernière touche de vie quitte le corps laissant place à la mort froide du bois sombre. L’ironie dans le film c’est que la mort touche la jeunesse, celle-ci qui est portée dans le cercueil par les personnes du troisième âge. Cela rappelle sans conteste notre société qui préfère garder un avis ancien tourné vers le passé plutôt qu’un futur qui sera dirigé par une jeunesse rejetée. Le cercueil dans cette scène ne représentera-t-elle pas tout simplement la jeunesse morte, suppliciée d’une société fermée et trop ancienne pour la comprendre et l’aider ?
Le Botox de Charly Stiers 6D
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Plusieurs personnes dont Jep se trouvent dans une sorte de salle d’attente où elles sont appelées les unes après les autres pour recevoir une injection de Botox. Des gens, victimes de leur état et nostalgiques de leur vieillesse, viennent utiliser ce procédé, soit pour paraitre plus beaux, soit pour ralentir l’évolution vieillissante de leur corps. En agissant de la sorte, ces personnes de milieux différents montrent, d’une part, leur non-acceptation de la mort qui s’affiche devant eux, et d’autre part, une remise en question de la vie, ceux-ci recherchant le bonheur voire un idéal leur permettant d’accéder à la jeunesse éternelle. En outre, chacune d’entre elles doit payer sept cents euros pour une injection, à l’exception d’une personne déjà venue antérieurement qui doit débourser mille deux cents euros : ce détail peut indiquer que, dans la vie, lorsqu’une seconde chance s’offre à nous, il faut la saisir et ne pas la gâcher, à ses dépens, ou bien qu’au contraire, il n'y a pas de seconde chance et, lorsque tu la rates, tu en paies le prix double. Au travers de ce produit, le Botox, nous pouvons percevoir un trait humain, celui de contourner les lois de la nature par la volonté de l’Homme d’échapper aux soucis de la vie comme l’addiction à l’alcool, la cigarette ou le sexe, ainsi qu’à l’inévitable, la mort.
La girafe et les flamants roses de Victor Verpoorten 6D et Clara Meurée 6C et Evaelle Adyns 6D
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Le cinéma de Sorrentino aborde régulièrement le thème de l’animal et plus particulièrement le thème la place de l’Homme ainsi que son insignifiance face à la Nature mère. Souvent synonyme de pureté et d’innocence, les animaux permettent d’accentuer le contraste face à ses personnages remplis de vices et de péchés. Chaque animal présent dans La Grande Bellezza possède une essence propre à sa race, son emplacement, son action ainsi que sa relation avec les héros contribuent à renforcer la discordance entre l’Homme et l’animal.
La girafe que nous pouvons observer après le spectacle de Romano symbolise pleinement l’absurdité et la désillusion. Ils ne s’en étonnent pas, comme si c’était normal que la girafe se trouve là, au beau milieu de la ville de Rome. L’absurdité de la vie fait que certaines choses incongrues passent inaperçues, ne nous étonnent plus tant on est blasé et qu’il n’y a plus de sens à notre existence.   De même la girafe peut être une métaphore de la disparition de l’amitié, de l’abandon. En effet, pour un tour de magie, l’artiste Arturo doit faire disparaitre l’animal et au même moment, nous assistons à une scène forte en émotions car nous devons nous séparer de Romano, un des plus fidèle ami de Jep, souvent dans l’ombre. Romano quitte Rome et dit adieu à Jep. La grandeur de la girafe peut également être associée à la carrière et à la renommée de Jep , alors quand celle-ci disparait en parallèle de Romano, on peut supposer que Jep ne serait pas celui qu’il est sans son bras droit.
Dans la mentalité générale, les flamants roses sont symboles d’exotisme dû aux innombrables représentations factices qui décorent nos jardins et nos maisons. Cependant, ces majestueux oiseaux sont d’une grande rareté et en voir de ses propres yeux à leur état naturel relève de l’exploit et d’une chance inouïe, comme un acte divin… le flamand rose est souvent associé à l’oiseau mythologique qui renaît de ses cendres, véritable figuration de la résurrection, le Phoenix. Lorsque Sorrentino nous filme ses plans très méticuleux et partage cette sensation d’accalmie, la présence d’autant de ces étranges oiseaux contraste avec la vieillesse et la sérénité de la sœur. A ce moment, le réalisateur nous berce vers une fin mélancolique et nous, spectateurs, commençons à digérer cette œuvre complexe avec une seule idée en tête, redécouvrir une nouvelle fois ce long métrage.
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Le siège en rotin de Victor Verpoorten 6D, Clara Meurée 6C et Evaelle Adyns 6D
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Le réalisateur Sorrentino est également connu pour ses touches provocantes dans ses films qu’il n’hésite pas à mettre encore en avant dans ce long métrage. Par exemple, le siège en rotin sur lequel est assise la Sainte durant la cérémonie religieuse peut être vu comme une provocation. En effet, ce siège fait certainement référence au film de Just Jaeckin ; Emmanuelle, le premier film érotique qui a marqué toute une génération. Dans ce dernier, on y voit une femme nue assise sur le même siège en rotin que celui présent dans La Grande Bellezza. Il y a un paradoxe entre le Sacré de la religion ainsi que la femme intouchable et la sensualité, l’érotisme que l’Eglise voit comme un péché tentateur. Cela permet également un retour à la réalité et remet la sainte au même piédestal qu’un simple humain. La sainte, certes, fait partie de la religion mais n’est pas pour autant un dieu et ce procédé nous permet de nous en rappeler.  
Les photos de Malou Hainaut 6D et Lisa Boutry 6C
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L’appareil photo nous permet de capturer la beauté de la vie à un moment précis. Les photos obtenues permettent de se remémorer des souvenirs et peuvent être une source de joie, elles peuvent procurer du bonheur et du bien-ê̂tre. Une photographie est une trace intemporelle des fragments de notre histoire, de notre vécu. Pourtant, elle peut aussi avoir l’effet inverse et nous faire ressentir de la tristesse ou de la mélancolie. Dans son film, l’auteur souhaite souligner le fait que la beauté nous dépassera toujours, qu’elle nous fera toujours ressentir des émotions, qu’elles soient bonnes ou mauvaises. Prendre des photos revient à̀ vouloir garder une trace, c’est refuser d’oublier.
Comme exemple, prenons l’homme lors de l’exposition qui nous montre son œuvre, il a pris des photos de lui chaque jour. Cela représente encore le temps qui passe, il faut une certaine dextérité pour avoir la discipline de se prendre en photo quotidiennement. Pour finir, on remarque une évolution du personnage, autant physiquement que mentalement, les traits sur son visage qui se durcissent, une certaine maturité notamment.
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cricri83149 · 3 years
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Terra © Christophe revertégat  Un monde plein de symboles Que l'on parcoure sans idoles Un monde ou prime la raison Quelle révélation !! On touche le sacré. On voyage par la pensée. Passes sous la porte basse. Oublies toutes les races Endroit imaginaire ? Retourne-toi, il est derrière. Devant mon miroir Autour de moi, c'est noir. Je glisse ma tête par la fenêtre. J'entrevois ce monde d'éphémère. J'entretiens ce royal art. J'enlève mon masque, mon avatar. Me retrouver, enfin Je ne t'oublie pas, mon enfant. Viens m'aider, ouvre la porte en grand laisses passer ce monde en déclin J'ai choisi de travailler et méditer. Je me rapproche de mon Humanité. Cette porte ouverte sur l'infini Ne peut que me faire dire oui.
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cogitontos · 4 years
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Dictionnaire Nietzsche, passages notés.
(Mises à jours constantes)
Amor Fati:
"un acquiescement dionysiaque au monde, tel qu'il est, sans rien en ôter, en excepter, en sélectionner" (FP 16 [32], printemps-été 1888)
"Ma formule pour mesurer la grandeur dans l'homme, c'est l'amor fati" (EH, II, § 10)
"Nul n'est responsable d'exister de manière générale, d'être comme ceci ou comme cela" ; "On est nécessaire, on est un pan de fatalité, on appartient au tout, on est dans le tout" (CId, "Les quatre grandes erreurs", § 8)
Le philosophe rétablit l'innocence de l'homme par delà bien et mal: l'éclatement de l'instance volontaire en une multiplicité de pulsions dont aucune ne peut être le sujet de l'imputation; la régression à l'infini dans la recherche des causes rendant de nouveau impossible l'imputation, la critique de la simplification abusive de tout schéma causal ; le réel est un continuum que nous brisons par commodité et reconfigurons en séries d'étapes distinctes. L'unité de la volonté est donc trompeuse. Il n'y a pas d'instance indivisible en situation de face à face avec des possibles, mais une organisation de pulsions plurielles qui ne peut être imputé à aucune en particulier. Les actes ne résultent pas d'un pôle de décision mais sont des accomplissements pulsionnels spontanés. Nietzsche rétablit également l'innocence du monde et renoue avec sa représentation grecque présocratique, selon laquelle il n'y a pas d 'issue au tragique par l'action vertueuse, ni de rédemption par la qualité de ses actes : la notion de faute y est absente et la souffrance irréductible. L' amour du destin signifie qu'on se réconcilie avec le monde en renonçant à l'espoir consolateur d'un dépassement.
Connaissance:
"Théorie et pratique : funeste distinction, comme si il y avait un instinct propre de la connaissance, qui se précipiterait aveuglément sur la vérité sans se demander ce qui est utile et nuisible : et puis, tout à fait à part, tout l'univers des intérêts pratiques... " (FP 14 [142] cf 14 [143])
"Le conflit des systèmes, y compris celui des systèmes épistémologiques, est un conflit d'instincts très précis (formes de la vitalité, du déclin, des classes, des races, etc.)" (FP 14 [142], Printemps 1888). Parce qu'il juge que l'épistémologie elle même est imprégnée de valeurs, Nietzsche considère les différents courants qu'elle abrite comme des symptômes d'intensification ou de déclin de la vie.
Conscience:
"La conscience est la dernière et la plus tardive évolution de l'organique et par conséquent aussi ce qu'il y a en lui de plus inachevé et de moins solide." (GS,) § 11).
Descartes:
"Soyons plus prudents que Cartesius, qui est resté bloqué dans le piège des mots. Cogito n'est bien entendu qu'un mot, mais il signifie une multiplicité de choses" (FP 40 (23). Août-Septembre 1885)
"En ce qui concerne l'animal, c'est Descartes qui a été le premier, avec une audace digne d'admiration, à avoir osé l'idée de comprendre l'animal comme machina : toute notre physiologie s'efforce d'apporter la preuve de cette thèse. Logiquement, nous ne mettons plus l'homme à part, comme le faisait encore Descartes" (AC, § 14).
"Un La Rochefoucauld, un Descartes surpassent cent fois en probité le premier des Allemands" (EH III, § 3)
Devenir:
Tentant d’élucider la nature de la réalité, la tradition philosophique recherche pour chaque chose une prétendue essence  stable derrière son incarnation sensible. Une telle position revient enfaite le plus souvent à privilégier indûment un stade particulier au sein d’une évolution, en négligeant ce double fait qu’elle constitue d’une part le résultat du devenir, et qu’elle ne représente pas, d’autre part, le terme de ce devenir. Cette absolutisation arbitraire affecte tout particulièrement l’étude de l’homme et des facultés qui lui sont prêtées.
"Tous les philosophes ont en commun ce défaut qu'ils partent de l'homme actuel et s'imaginent arriver au but par l'analyse qu'ils en font. Ils se figurent vaguement" l'homme", sans le vouloir, comme aeterna veritas, comme réalité stable dans le tourbillon de tout, comme mesure assurée des choses" (HTH I, § 2)
"Mais tout ce que le philosophe énonce sur l'homme n'est au fond rien de plus qu'un témoignage sur l'homme d'un espace de temps très limité. Le manque de sens historique est le péché originel de tous les philosophes" (HTH I, § 2)
"les moyens d'expression du language sont inutilisables pour exprimer le devenir : il appartient à notre irréductible besoin de conservation de poser constamment un seul monde plus grossier de ce qui demeure, de "choses", etc. " (FP 11 [73] 1887-1888)
Philosophe-Médecin:
"À lire ces pages d'Ecce Homo et de nombreux passages de sa correspondance, on comprend que le fameux perspectivisme nietzschéen naît aussi d'une sensibilité trempée dans l'expérience la plus charnelle, dans un rapport au corps et à ses états changeants, où se succèdent, effervescences créatrices et déréliction."
Pulsion:
"on doit encore ranger la plus grande partie de la pensée consciente parmi les activités instinctives, et ce jusque dans le cas de la pensée philosophique ; [...] la "conscience" ne s'oppose pas davantage de manière décisif à l'instinctif, - la plus grande part de la pensée consciente d'un philosophe est clandestinement guidée et poussée dans des voies déterminées par ses instincts"
(PBM, § 3)
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unjourapreswalden · 4 years
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Marcher, h.d.T.
Henry David Thoreau, une attitude de flâneur excentrique: une provocation. 
La lenteur, aussi une provocation. 
Marcher, un acte de résistance? 
Et si marcher était le meilleur moyen pour penser le monde? Le confinement, qui nous a obligé à la sédentarité, n’a pas eu pour seul effet d’enfermer notre corps entre les murs d’un chez soi. Il nous a lentement fait glisser dans un état de torpeur avec diminution de l’activité pour certains, perte de sensibilité pour d’autres, évaporation du goût. Et pourtant, toujours conscients d’être là, bien là, définitivement là. 
Alors pour lui échapper, sinon échapper à soi-même, une solution: marcher. Faire le tour du jardin, celui du quartier, aller et venir dans un périmètre d’un kilomètre, s’arrêter aux nouvelles frontières: le sable, les parcs, les squares, le jardin des Plantes, la digue, les bois, les forêts. Faire demi-tour,  en n’ayant fait de l’expérience de la nature que la regarder.
Puis ouvrir un livre comme on s’apprête à entendre une promesse: Marcher, Henry David Thoreau, ed. Le mot et le reste, 2017
“Si vous êtes prêts à abandonner père et mère, frères et soeurs, femme, enfants et amis, prêts à ne jamais les revoir; si vous avez payé vos dettes, fait votre testament et réglé toutes vos affaires, vous êtes un homme; alors vous êtes prêts pour la marche.”
Existe-t-il plus grand bonheur que de posséder une bibliothèque bien rangée, sous un toit de planches en bois chaud, porté par quatre murs solides dont l’un d’eux, orienté vers l’ouest, est percé d’une petite fenêtre à carreaux de verre laissant toujours entrer l’humeur romantique des couchers de soleil? Une belle porte en chêne de l’autre côté qui s’ouvre sur l’atelier: “son cabinet de travail est en plein air”. 
Partons au bois travailler, écouter la chanson du merle amoureux et poser notre oeil sur la cime. Il faut suivre le soleil couchant, là où la lune trouve son berceau pour la nuit. Si nos origines sont à l’est, notre avenir lui s’épanouit sur l’horizon ouest. 
“Nous allons vers l’est pour prendre conscience de l’histoire, étudier les oeuvres d’art et la littérature, remonter à l’origine de la race. Nous marchons vers l’ouest comme vers le futur, avec un esprit d’entreprise et d’aventure.”
Pourquoi croyez-vous que les villageois sont fatigués? La dégénérescence qui les guette s’explique par un immobilisme mortifère face au voyage. Le village, lieu où convergent les routes, est chaque jour traversé de voyageurs à la conquête d’un soleil en déclin, sur le départ, plongeant derrière les terres. Les agités des villes sont les voyageurs, jamais les habitants. Les villageois s’épuisent à leur contact, ils n’en peuvent plus de côtoyer le voyage sans jamais voyager eux-mêmes. 
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aurevoirmonty · 24 days
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On sait que Platon disait qu'il était bon que les individus ne possédant pas de maître intérieur en trouvassent au moins un en dehors d'eux-mêmes. Or, à tout ce qui a été présenté comme la « libération » de tel ou tel peuple, mis au pas en réalité, parfois même en recourant à la violence (comme après la Deuxième Guerre mondiale), pour jouir du « progrès démocratique » qui a éliminé tout principe de souveraineté, d'autorité véritable et d'ordre venant d'en haut, correspond aujourd'hui, chez un grand nombre d'individus, une « libération » qui est élimination de toute « forme » intérieure, de tout caractère, de toute droiture ; en un mot, le déclin ou l'absence, chez l'individu, de ce pouvoir central que les Anciens appelaient egemonikon. Et ce, non seulement sur le plan éthique, mais aussi dans le domaine des comportements les plus quotidiens, sur le plan de la psychologie individuelle et de la structure existentielle. Le résultat, c'est un nombre toujours croissant d'individus instables et informes, c'est l'invasion de ce qu'on peut appeler la race de l'homme fuyant.
Julius Evola, L'Arc et la Massue
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flo-nelja · 5 years
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19th century bad apocalyptic poetry time!
OK, listening to the last TMA episode, I was remembered about something. I already read some old French poetry about humans being replaced! Not exactly what the episode describes, since it’s not that scary, has the beginning of life, the dinosaurs and their death, and describes being replaced by something better as a fate... not as terrible as it might be. But still, I wanted to post parts of it it.
Les Fossiles (Louis Bouilhet)
[...]
Seul, le sage est debout, au seuil de sa maison, Et d’un long regard triste il cherche à l’horizon, S’il ne voit pas venir, du côté de la terre, Le dernier ouragan plein du dernier tonnerre ! Déjà, sentant le jour de ses convulsions, Le vieux chaos mugit sous les créations ; La nature en travail écume dans sa chaîne, Et le vent inconnu qui souffle de la plaine, Comme ce cri d’adieu que l’Egypte rêva, Passe sur les cités, disant : « L’homme s’en va !… » C’est le commencement de la grande agonie ! Mourons ! les temps sont clos et la tâche est finie ! Montez tous à la fois, océans irrités ! Astres, détachez-vous des cieux épouvantés ! Et vous, formes de l’être, à jamais disparues, Gigantesques débris que heurtaient les charrues, Pressez-vous sur la terre, et dans vos lits poudreux, Faites nous une place, ô frères monstrueux !…
[...]
Ce n’est pas le vent seul, quand montent les marées, Qui se lamente ainsi dans les goémons verts… C’est l’éternel sanglot des races éplorées ! C’est la plainte de l’homme englouti sous les mers ! Ecoute ces clameurs de l’océan sans bornes Qui raconte à la nuit ses épouvantements ; Tu frémiras un jour, quand, sur les grèves mornes, La vague apportera nos pâles ossements. Ces débris ont vécu dans la lumière blonde. Avant toi, sur la terre, ils ont marqué leurs pas. Contemple avec effroi ce qui reste d’un monde, Et d’un pied dédaigneux ne les repousse pas ! C’était le peuple ardent, la race échevelée Qui lançait son désir à l’assaut de tes droits. Pour atteindre d’avance à ta sphère étoilée, Nos cœurs impatients brisaient nos corps étroits. Nous les voulions aussi, tes destins magnifiques ! Pour loger ton bonheur, ô frère glorieux, Le penseur a bâti des cités pacifiques, Le poète a rêvé des îlots merveilleux.
Ils allaient réveillant les âmes assoupies, Ils montraient de la main l’horizon souhaité, Et sous le manteau d’or des saintes utopies Le monde à son déclin couvrait sa nudité ! Ils ont bu la ciguë et vidé les calices, Sur le gibet infâme on a cloué leurs chairs ; Mais ils te souriaient au milieu des supplices, Et sont morts l’œil fixé sur ton calme univers ! Ne les méprise pas ! les destins inflexibles Ont posé la limite à tes pas mesurés : Vers le rayonnement des choses impossibles Tu tendras, comme nous, des bras désespérés. Ne les méprise pas ! tu connaîtras toi-même, Sous ce soleil plus large étalé dans tes cieux, Ce qu’il faut de douleur pour crier un blasphème, Et ce qu’il faut d’amour pour pardonner aux dieux ! Tu n’es pas le dernier ! d’autres viennent encore Qui te succéderont dans l’immense avenir ! Toujours, sur les tombeaux, se lèvera l’aurore, Jusqu’au temps inconnu qui ne doit pas finir. Et quand tu tomberas sous le poids des années, L’être renouvelé par l’implacable loi, Prêt à partir lui-même au vent des destinées, Se dressera plus fort et plus brillant que toi !
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shalomelohim · 4 years
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- Boker Tov / Bonne Journée - 
Les 10 principales prophéties bibliques de 2020
Le déclin de l’Amérique
Il n’y a vraiment pas de pouvoir de la fin des temps dans la Bible autre qu’un Empire Romain ressuscité qui sera le siège de l’Antéchrist. Ainsi, les observateurs de prophéties ont toujours su que l’Amérique devait décliner.   Cette année, nous avons vu le capitalisme être attaqué et le socialisme et le mondialisme annoncés.   Certains dirigeants politiques progressistes mais trompés saluent même le marxisme, y compris de nombreux membres de l’équipe Biden.
La montée de l’anarchie et de l’esprit de l’Antéchrist
Nous voyons une anarchie effrénée dans Matthieu 24 et dans certaines parties de l’Apocalypse, bien que le contexte des deux soit les Tribulations.   Donc, encore une fois, nous voyons les événements des Tribulations jeter une longue ombre sur l’âge de l’Église.   Ici, en Amérique, littéralement « tout l’enfer se déchaîne » et notre République et la primauté du droit se désintègrent sous nos yeux !   À la racine de cela se trouve l’esprit de l’Antéchrist.
Les efforts de paix au Moyen-Orient
Nous pouvons débattre de l’aspect pratique de ces événements en l’Amérique et l’Europe devraient-elles même s’immiscer en Israël avec des efforts de paix ? Néanmoins, ils préparent le terrain pour les accords de paix proposés par l’Antéchrist.   Et, l’année n’est pas finie, donc d’autres efforts de paix pourraient avoir lieu avant la fin de l’année. Mais, je me souviens des paroles obsédantes de Jérémie 6:14 : 
« Ils pansent à la légère la plaie de la fille de mon peuple : Paix ! Paix disent-ils ; Et il n’y a point de paix. »    
Les attaques croissantes contre les chrétiens, le christianisme, les églises, etc.
Grâce à la Covid-19, les églises et le Christianisme en général sont devenus de gros inconvénients en 2020.   Les églises ont été soit fermées, soit marginalisées à partir de mars.   Les chrétiens d’Amérique ont été harcelés et même arrêtés pour avoir voulu simplement pratiquer leur foi et se réunir pour le culte.   Les croyants du Moyen-Orient et d’Afrique ont été massacrés par milliers.  Yahshua a dit qu’un jour viendrait où nous serions haïs à cause de son nom (Matthieu 10:22).
Apostasie croissante et loups parmi le troupeau.
Une saine prédication Biblique s’estompe avec une montée de l’amour pour l’expérience, l’émotion et la doctrine malsaine. Il y a même l’amour de la « doctrine des démons »  (I Timothée 4:1).   La Réforme néo-apostolique continue de monter en flèche. Un enseignement nouveau, mais très faux dans les églises et les séminaires, est la théorie marxiste critique de la race.   Dans le même temps, la prophétie biblique a disparu de la plupart des chaires, ainsi que le soutien à Israël.
Douleurs de naissance pré-tribulation.
Les pires douleurs de naissance sont dans les Tribulations, mais nous voyons une préfiguration de ces horreurs maintenant dans l’ère de l’Église.   Les catastrophes naturelles sont sans précédent dans le monde.   La destruction est déchirante à regarder et la souffrance est indescriptible.   Cela augmentera à un tel niveau dans les Tribulations que ce qui se passe maintenant est minuscule en comparaison. Mais, le décor est de nouveau en train de se préparer.   Toute la terre gémit.
Le déclin continu et rapide de la culture.
Partout, le mal est appelé bon (Ésaïe 5:20).   L’aberration est célébrée.   Netflix semblait honorer la pédophilie avec son long métrage et son film « Cuties ».   La Californie a adopté une législation pro-pédophilie, supprimant le statut de crime pour les relations sexuelles avec des mineurs.   Le caractère actuel de l’humanité est décrit dans Romains 1 et II Timothée 3, et tout est prédit pour une dernière génération.   Le marécage de Washington est plus sombre que jamais !
La montée d’une forte illusion.
Tant d’illusions sont apparues en 2020, c’est incalculable.   Quelle personne pensante veut que toute police soit abolie ? Ou pense que l’Amérique est une nation raciste ? Ou détruit l’économie à cause d’un virus ?   Ou ses jeunes pensent-ils que l’Holocauste est un mythe ? II Thessaloniciens 2 suggère qu’une telle illusion est envoyée parce qu’il n’y a pas d’amour de la vérité.   Cela amènera alors les gens à tomber dans les mensonges de l’Antéchrist.
Un état de surveillance de Covid-19 (84) aggravé et une préparation au Nouvel Ordre Mondial.
L’intrusion du gouvernement et la « recherche des contacts » ont abondé en 2020. Les gens ont même dû « s’inscrire » à l’église pour pouvoir être retrouvés.   Les objectifs pour alléger les restrictions gouvernementales, les verrouillages, les quarantaines et même les masques faciaux ne cessaient de changer.   De toute évidence, la société est en train d’être préparée pour l’Antéchrist ici en 2020.   Partout dans le monde, les gens sont transformés en robots engourdis par l’esprit.   Beaucoup se recroquevillent de peur.
Le désir d’un sauveur.
Avec le monde en effondrement, des millions de personnes recherchent un seul homme surhumain pour ramener la paix et la prospérité.   Il attend dans les coulisses !   La plupart ont rejeté Jésus-Christ.   Ils applaudiront pour une courte saison l’Antéchrist.
C’est ma courte liste d’événements importants en 2020 qui ont une signification pour la fin des temps !  Cela pourrait être considéré comme une liste déchirante, mais elle annonce un événement imminent auquel de nombreux croyants aspiraient, le retour du Roi des rois.  
Gardez un œil sur la Grande Réinitialisation en 2021. Récemment, le responsable du Forum économique mondial, Klaus Schwab, a déclaré qu’il travaillait sur des puces implantables capables de lire nos pensées. Si vous pensez que les choses « reviendront à la normale » en 2021, détrompez-vous.
Il y a donc plus d’incertitude à venir, car même les résultats de l’élection de 2020 sont en jeu.  
Dieu nous secoue, essayant de nous réveiller pour que nous levions les yeux.   S’il est prouvé que quelque chose est une garantie en 2020, c’est que ce monde s’estompe et n’est pas notre maison.   Mais, les croyants en ont un glorieux qui les attend.
Source : Pleins Feux
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notincy · 4 years
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Les revers de l’économie américaine se répètent
La crise financière de 2009, la pire depuis la Grande Dépression, a été dure pour tous les Américains. Mais sans doute aucun groupe n'a senti sa piqûre plus que les Afro-Américains, qui étaient déjà le segment de la population le plus vulnérable sur le plan économique et financier. Aujourd'hui encore, une décennie après le début de la Grande Récession, les Noirs ne se sont pas encore complètement remis et restent dans une situation financière précaire. Pire encore, Wall Street et les décideurs commencent à craindre qu'un nouveau ralentissement ne se profile à l'horizon J'enseigne une classe à l'Université de Floride appelée Black Wall Street », dans laquelle nous explorons la question du capitalisme en ce qui concerne les Afro-Américains et examinons les données historiques sur le revenu et la richesse. En un mot, les chiffres montrent que les Noirs sont terriblement derrière d'autres groupes et ne sortiront peut-être jamais de leur ornière si les dirigeants politiques ne font pas quelque chose rapidement. Le Dr Martin Luther King Jr. a souvent parlé de justice économique. AP Photo «Il existe simplement» L'idée que les Noirs sont particulièrement sujets à l'instabilité financière dans l'économie américaine n'est guère une nouvelle révélation. Le Dr Martin Luther King Jr., par exemple, a souvent souligné le sort particulier des Afro-Américains dans sa croisade pour les droits civils. En 1967, lors d'un discours à Harlem, il a déclaré: «Si un homme n'a ni travail ni revenu, il n'a ni vie, ni liberté, ni possibilité de rechercher le bonheur. Il existe simplement. " Les données avant la Grande Récession de 2008-2009 racontent une histoire austère. En 2007, la famille noire moyenne gagnait 55 265 $ US, soit 64% seulement d'un revenu de ménage blanc non hispanique de 86 732 $. Pour le cinquième le plus pauvre des familles afro-américaines, la situation est encore pire. Ils ne gagnaient que 43% du revenu de leurs pairs blancs en 2005. De plus, plus de 20% des Afro-Américains gagnaient moins de 15 000 $ par an en 2008, soit près ou plus du double de celui des Blancs, des Asiatiques et des Hispaniques. Les Afro-Américains sont également beaucoup plus susceptibles d'être au chômage. Dans les années précédant la grande récession de 2008, par exemple, le taux de chômage des Noirs était généralement d'environ 10%, soit plus du double de ce qu'il était pour les Blancs. Entrez dans la grande récession Bien sûr, la crise financière a été difficile pour tout le monde. Des millions de personnes ont non seulement perdu leur emploi, mais ont également dû faire face à la perspective de défaut de paiement sur les prêts étudiants et les dettes de carte de crédit impayées, et même sur la saisie de leurs maisons Et encore une fois, la Grande Récession a frappé les Noirs plus durement que les autres Américains en raison de leur vulnérabilité financière. Le taux de chômage, par exemple, a culminé à 10% en 2009 pour tous les Américains. Pour les Afro-Américains, il dépassait 16% - contre un peu moins de 9% pour les blancs. Les revenus des familles afro-américaines ont également souffert plus que les Blancs ». Le ménage noir moyen gagnait 50 654 $ en 2010, soit 61% d'une famille blanche. Et même aujourd'hui, bien que les revenus des Noirs se soient rétablis, les Afro-Américains ne gagnent toujours que 63% de ce que les Blancs gagnent. Couplé à la valeur nette et aux chiffres d'accession à la propriété qui ne se redressent pas et ont même régressé depuis la fin officielle de la récession, cela signifie que les Noirs sont toujours vulnérables aux futurs ralentissements économiques. En 2016, un ménage afro-américain avait une valeur nette moyenne de seulement 138 200 $, contre 933 700 $ pour une famille blanche. Ce nombre est particulièrement élevé du fait que la grande majorité des milliardaires américains sont blancs Cela peut s'expliquer en partie par une forte différence dans le taux d'accession à la propriété - l'une des voies clés pour assurer la stabilité financière à long terme. Pour les Noirs, il n'est que de 42% - contre 48% en 2004 - contre 73% pour les Blancs. Comme c'était le cas lors des récessions passées, les maisons avec le moins de capitaux propres et de valeur sont mûres pour la forclusion et les propriétaires de ces maisons ont moins de possibilités d'utiliser leur maison comme garantie en cas d'urgence. Ce manque de capitaux oblige également les Afro-Américains à contracter plus de dettes de carte de crédit que les Blancs. Ainsi, même la moindre urgence en cas de ralentissement économique se traduirait par une capacité affaiblie de respecter ses obligations financières. Dismal Data Si ces tendances se poursuivent, la richesse médiane des ménages noirs - par opposition aux moyennes ou moyennes mentionnées ci-dessus - passerait de 1 700 $ en 2013 à zéro d'ici 2053. Pour les blancs, la richesse médiane devrait passer de 116 000 $ à 137 000 $. Je crois que le lien central qui relie tous ces points de données est les politiques racistes qui sont ancrées dans le tissu financier, économique et éducatif américain depuis le début. Les exemples incluent les lois de Jim Crow en ce qui concerne la séparation légale par la race dans les institutions publiques et la redéfinition des politiques concernant le logement, qui ont en outre permis la mise en place de barrières juridiques pour entraver la mobilité ascendante des Afro-Américains. Si ces problèmes ne sont pas résolus, je crains que les Afro-Américains n'aient pas une autre chance de devenir des acteurs économiques égaux dans ce pays. Plus ils glissent financièrement, plus il sera difficile d'inverser le déclin. Une autre récession pourrait la rendre irréversible. Et selon les mots du Dr King, les Noirs existeraient simplement. Navigation après La vraie compassion est plus que de jeter une pièce à un mendiant; il en résulte qu'un édifice qui produit des mendiants doit être restructuré. » Chance que Nancy Pelosi et ses semblables comprennent ce qui précède: 0. Heck peut-être négatif. Isotope_C14 John Mc La tendance n'est pas le destin L'indifférence est l'opposé de l'amour, pas de la haine. Kasia Habituellement, dans ces types d'histoires, les scores asiatiques montrant qu'ils surpassent fortement les blancs sont supprimés ou sérieusement minimisés. Si les noirs sous-performent en raison du racisme blanc, les Asiatiques surperforment-ils en raison de la bienveillance des blancs? Ou les Asiatiques ont-ils réellement une agence? L'AOC a récemment, et de façon quelque peu surprenante, mentionné que les Blancs devaient payer des réparations pour le New Deal en redécoupant de la même manière que les Allemands avaient (soi-disant) payé pour l'Holocauste. Surprenant qu'elle tenterait de détruire la marque New Deal quand elle-même pousse un Green New Deal. Elle pourrait tout aussi bien l'appeler la solution finale verte »: Les gens pensent que les réparations sont des réparations pour l'esclavage, mais vraiment, économiquement parlant, les réparations sont pour les dommages causés par le New Deal et la redlining parce que c'est là que nous avons vu une aggravation de l'iniquité existante de l'héritage de l'esclavage, où nous avons tracé des lignes rouges autour communautés noires. Nous avons dit que les communautés blanches obtiendraient des prêts immobiliers et qu'elles auraient accès à la base de la richesse en Amérique et que ce serait votre héritage et nous avons donné à l'Amérique blanche l'héritage qui appréciait les heures supplémentaires, dont les gens bénéficient encore aujourd'hui et nous n'avons pas donné à Communautés afro-américaines et mexicaines, communautés portoricaines. … Il est important de raconter où nous en sommes et ce que font les autres parce que nous regardons, par exemple, l'Allemagne, et comment ils ont pu ou tentent de guérir après l'Holocauste. L'Allemagne a payé des réparations et ils sont passés par ce processus et ils ont eu ce processus de vérité. Et tant que l'Amérique n'aura pas dit la vérité sur elle-même, nous n'allons pas guérir. Bien sûr, il n'y a jamais eu de redlining pour les communautés mexicaines ou portoricaines car, pour la plupart, elles étaient considérées comme blanches à l'époque et si peu nombreuses qu'elles étaient sans conséquence. Mais avec les Blancs se précipitant dans le statut de minorité et comme il n'y a aucun moyen pour les Asiatiques de payer des réparations, il y a un gâteau de la richesse blanche qui diminue toujours et qui est maintenant englouti par non seulement les Noirs mais un nombre toujours croissant d'Hispaniques. Ainsi, l'idée que la mauvaise performance économique des Noirs est due à la redlining est minée par le fait que les Hispaniques ne sont pas aussi performants que les Asiatiques et qu'ils surperforment. C'est presque comme s'il pourrait y avoir une autre explication, plus controversée et plus cognitive, des performances économiques relatives de ces différents groupes. D'autant plus que partout dans le monde, nous constatons des performances économiques très similaires, la grande majorité de ces endroits n'ayant jamais souffert de la délocalisation du FDR. La nature hautement émotionnelle contre les débats nourris durera pour toujours quand ce sont probablement des combinaisons égales des deux qui déterminent la capacité cognitive, mais ce qui est indéniable, c'est que le classement des revenus correspond presque exactement aux scores de QI moyens des différentes races et ethnies. Quelqu'un doute-t-il vraiment que les capacités cognitives sont importantes? Quoi qu'il en soit, quelle est la meilleure société pour que les Noirs aient la chance d'être des partenaires économiques égaux? De toute évidence, s'ils veulent l'égalité, vivre dans une société entièrement noire garantirait qu'ils seraient par définition égaux, au moins sur le plan racial. Mais les Noirs vivant au bas des sociétés blanches riches ont un bien meilleur niveau de vie que les Noirs vivant dans les pays noirs. Ainsi, la situation idéale pour les Noirs serait de vivre en petite minorité dans une société blanche riche à condition que les emplois au niveau inférieur de capacité cognitive soient bien rémunérés, ce qui n'a pas été le cas aux États-Unis par le passé. C'était aux États-Unis au début des années 60, lorsque les blancs représentaient environ 90% de la population et les noirs environ 10%. En raison des pressions de la guerre froide pour feindre l'universalité du rêve américain, un nombre massif d'Asiatiques et d'Hispaniques ont été autorisés à entrer en Amérique. Étant donné que les Asiatiques surpassent les Blancs sur le plan économique, sans parler des Noirs; et en même temps sont immunisés contre les appels d'extraction de richesse de culpabilité blanche, les Asiatiques font des Noirs des acteurs économiques encore plus inégaux aux États-Unis. Les Hispaniques ne fonctionnent que légèrement mieux que les Noirs sur le plan économique et rivalisent donc avec les Noirs pour la bienveillance / réparation des Blancs, comme le montre clairement l'AOC. Il suffit de regarder la Californie pour voir à quoi ressemblera le reste de l'Amérique dans 40 ans. Ajustée au coût de la vie, la Californie affiche le taux de pauvreté le plus élevé des États-Unis. Mais les Blancs sont une minorité en déclin qui, avec les Asiatiques, détient la richesse et est desservie par une mer croissante d'hélices hispaniques. Les Noirs ne représentent que 6% de la population en Californie et sont en train d'être nettoyés ethniquement de leurs zones anciennement délimitées dans les grandes villes et expulsés vers les banlieues ou même hors de l'État. Dans 40 ans, les enfants américains seront stupéfaits d'apprendre que les Noirs vivaient à San Francisco, Oakland, Los Angeles, Chicago et Harlem. Si cette vague massive d'immigration non blanche n'avait jamais eu lieu, les Noirs seraient dans une bien meilleure situation aujourd'hui avec une population blanche à 90% - avec une grande partie de son racisme historique une chose du passé - pour eux-mêmes. Au lieu de cela, l'avenir de l'Amérique est de devenir un nouveau Brésil où les noirs seront à jamais des acteurs économiques inégaux. John Steinbach Stephen Jay Gould, écrivant dans Mismeasure of Man, a démoli le canard raciste de l'intelligence raciale différentielle et, en fait, l'existence de la race elle-même, montrant au contraire des supposées différences d'intelligence étaient le résultat de constructions sociales et de préjugés. L'idée que les Noirs sont intrinsèquement moins intelligents que les Blancs ou les Asiatiques est un mensonge raciste. flore Oh? La nature hautement émotionnelle contre les débats nourris durera pour toujours quand ce sont probablement des combinaisons égales des deux qui déterminent la capacité cognitive, mais ce qui est indéniable, c'est que le classement des revenus correspond presque exactement aux scores de QI moyens des différentes races et ethnies. Quelqu'un doute-t-il vraiment que les capacités cognitives sont importantes? Kasia, en tant que personne portant un surnom polonais, vous feriez peut-être mieux de jeter un œil à l'histoire des stéréotypes américains sur les groupes ethniques avant de nous parler des absolus des capacités cognitives. Vous pouvez également rechercher la composition ethnique d'endroits comme le Nouveau-Mexique, qui n'a pas reçu sa population hispanique au cours des années 1960. Et consultez les politiques de ce site contre l'agnotologie. Thuto Ce type de Blancs est intellectuellement supérieur à la mythologie des Noirs », c'est ce qui permet au racisme ouvert et institutionnalisé, une forme de racisme sans doute plus insidieux que le vil racisme de type ouvert KKK, de prendre racine. Les Noirs, selon vous, doivent se frotter les mains de joie à la perspective d'une éternelle soumission économique aux Blancs, à condition que ces Blancs soient moralement assez honnêtes pour engendrer un système économique suffisamment juste pour garantir que les emplois à l'extrémité inférieure de la capacité cognitive sont bien rémunérés. ". Étant sud-africain, j'ai ressenti l'oppression écrasante d'un système d'apartheid dont les piliers mêmes étaient des opinions que vous aviez exprimées ci-dessus. Ce sont ces vues, institutionnalisées comme elles le sont aujourd'hui, qui continuent de déclencher un coup de marteau constamment oscillant qui écrase les rêves économiques des Noirs 25 ans après la fin de l'apartheid, réduisant ces Noirs à la simple existence comme l'a dit le Dr King.> Être sud-africain Je ne doute pas de ce que vous dites, mais des exemples concrets sont toujours utiles, surtout pour ceux d'entre nous qui ne connaissent pas les détails de l'histoire torturée de l'Afrique du Sud. tegnost tarte de richesse blanche toujours décroissante qui est maintenant engloutie par non seulement les Noirs mais un nombre toujours croissant d'Hispaniques. lorsque vous utilisez l'expression engloutie »dans un article sur la façon dont une communauté n'a rien obtenu, vous révèle quelque chose de pas très positif ou perspicace en vous-même. Aucune mention de l'effort délibéré de saper les Noirs par des gens exactement comme vous qui ont une croyance extrêmement négative à l'égard des Noirs. Je suis heureux que votre commentaire ait été fait avec modération parce que les libéraux identitaires devraient savoir que c'est ce que pensent un grand nombre de personnes, mais contrairement à vous, vous avez peur de le dire à voix haute. L'humain le plus intelligent n'est pas beaucoup plus intelligent que l'humain le plus stupide. Les tests de QI reflètent souvent, sinon toujours, un aspect social, de meilleures écoles, un meilleur QI. Duh. Par exemple, vous-même pouvez avoir un QI très élevé, mais vos processus de pensée sont tout sauf intelligents, vous confirmez simplement votre système de croyances et vous vous tapotez le dos. Les politiques du site m'empêchent d'être plus précis, mais je peux certainement vous appeler raciste parce que c'est essentiellement ce que vous appelez vous-même. Pas assez dit pour réfuter ce commentaire révoltant mais je m'arrêterai maintenant de toute façon et laisserai de la place aux autres. David (1) Les politiques du site interdisent également les attaques ad hominem et insultent les autres commentateurs. alors Si vous ne pouvez pas appeler un raciste un raciste, alors les mots n'ont aucun sens ici. Et Kasia est un raciste, clair comme le jour. Citer des principes de longue date (et depuis longtemps démystifiés) du racisme scientifique, et nier l'histoire de la ségrégation et du colonialisme, sont clairement les mots d'un raciste et refuser de les appeler ne fait qu'aggraver le problème. Le besoin réactif de mettre fin à la discussion sur le racisme provient de la fragilité des blancs. Je ne fais que parler personnellement, cela m'a beaucoup aidé à en apprendre davantage sur ce concept et cela m'a rendu beaucoup plus capable d'entendre ces conversations plutôt que de m'arrêter à la simple mention du mot «raciste», et je vous encourage à apprendre également:> Si vous ne pouvez pas appeler un raciste raciste, alors les mots n'ont aucun sens ici. Tant que l'appel est fait de bonne foi, oui. Je me souviens très bien de la campagne de 2008, où le deuxième geste de tout Obot »était d'appeler quiconque ne soutenait pas Obama un raciste, tout comme quiconque ne soutenait pas Clinton en 2016 était appelé sexiste. Si la section de commentaires NC finit comme la section de commentaires de Daily Kos, incentive force de vente alors le ciel nous aide tous. tegnost FluffytheObeseCat Certains des sifflets racistes et des avances racistes intégrés dans le message: Ou les Asiatiques ont-ils réellement une agence? » … Il y a une tarte de richesse blanche toujours décroissante qui va être engloutie non seulement par les Noirs mais par un nombre toujours croissant d'Hispaniques. » C'est presque aussi sic qu'il pourrait y avoir une autre explication, plus controversée et plus cognitive, des performances économiques relatives de ces différents groupes. » Il y avait un certain nombre de «conclusions» similaires dans son article ci-dessous le dernier que j'ai cité. Ils sont tous trempés dans la même crappola à puce sur l'épaule, le moi et le mien sont inhérents et meilleurs qui apparaissent généralement dans les lamentations des racistes lettrés. Décrire ce modèle avec précision ne constitue en aucun cas une attaque ad hominem. Même ceci: que font ces tristes jackasses quand ils ne pleurnichent pas? Est-ce qu'ils font la lessive ou quelqu'un d'autre le fait-il pour eux? N'est pas en soi une attaque ad hominem. C'est juste une question amusante et pointue.> Ainsi, la situation idéale pour les Noirs serait de vivre en petite minorité dans une société blanche riche à condition que les emplois de niveau inférieur de capacité cognitive soient bien rémunérés, ce qui n'a pas été le cas aux États-Unis par le passé. Je me demande, si nous demandons à une personne noire, quel serait son point de vue. Certes, ils ont le droit de déterminer leurs propres idéaux? diptherio Est-ce?… .Peut-il être possible?… Ouais, ça ressemble à un suprémaciste blanc… … Ce qui est indéniable, c'est que le classement des revenus correspond presque exactement aux scores de QI moyens des différentes races et ethnies. Quelqu'un doute-t-il vraiment que la capacité cognitive est importante?… La situation idéale pour les Noirs serait donc de vivre en petite minorité dans une société blanche riche à condition que les emplois de niveau inférieur de capacité cognitive soient bien rémunérés… Oh oui, la suprématie blanche a confirmé! Réglez les phaseurs pour assommer les camarades, nous voudrons mettre celui-ci dans notre musée vivant des systèmes de croyance archaïques, avec les punaises d'or et les phrénologues. Kasia chewitup Ce n'est vraiment pas une question d'identité. Il s'agit de comportement. Statistiquement, près de 100% des personnes qui obtiennent leur diplôme d'études secondaires et qui n'ont pas d'enfants avant d'avoir pu se permettre d'atteindre le statut de classe moyenne. Quelque part dans tout cela, il semble que ceux qui apprécient l'éducation et la famille manifestent ce comportement. L'ethnicité et la couleur ne changent pas le résultat.
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