#revue noir
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drowningparty · 8 months ago
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womenofwonder · 5 months ago
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Noir et Blanc, No 1215, juillet 11 à 17, 1968
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nununiverse · 1 year ago
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Revue Noire Ousmane Sow Senegal Sculpture
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korroding · 2 years ago
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My toxic trait is consuming the fan works before the canon
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bernkastel-ao3 · 1 year ago
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My idea for this is, first, to give myself something fun and unique to do that would have an element of surprise to it. It could also be viewed sort of as a gift, of an experience. From either myself or from you, which makes the poll element and the possibility that I won't know what I'll be encouraged to watch helpful to the experience.
Most of these are shows I've been meaning to watch, plucked out of my to watch eventually pile. The exceptions are Diebuster and Flip Flappers, which were added as a whim and which I've watched a few times before.
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chic-a-gigot · 6 months ago
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Les Modes : revue mensuelle illustrée des arts décoratifs appliqués à la femme, no. 6, vol. 1, juin 1901, Paris. Robe de promenade. Modèle Réjane. Cliché Reutlinger. Bibliothèque nationale de France
ROBE DE PROMENADE (Modèle Réjane). — Robe de promenade de deux draps, un noir et un bleu. — Jupe princesse. — Boléro indépendant sur chemisette en guipure; grand col en guipure de linon. — Chapeau marquis en paille noire et blanche, formé par deux boucles d’or où passe un ruban noir. En arrière, nœud de velours noir.
PROMENADE DRESS (Réjane model). — Walking dress made of two sheets, one black and one blue. — Princess skirt. — Independent bolero over guipure shirt; large collar in lawn guipure. — Marquis hat in black and white straw, formed by two gold buckles through which a black ribbon passes. At the back, black velvet bow.
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all-blues · 8 months ago
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Best anime recs?
Classic yuri anime that must be watched: Kannazuki no Miko, Strawberry Panic, Simoun, Revolutionary Girl Utena (serie + movie), Sasamaki Koto
Modern classic yuri: Boom Into You, Citrus, Asagao to Kase-san
Most recent ones that are on their way to become the newest yuri classics: I'm in Love with the Villainess, Whisper Me a Love Song
Magical girl genre: Sailor Moon, Puella Magi Madoka Magica, Yuuki Yuuna wa Yuusha de Aru
Artistic and metaphorical ones: Yurikuma Arashi, Flip Flappers (both highly recommended)
I personally really like comedy yuri so my fav ones are: Yuru Yuri, Kiniro Mosaic and Yuyushiki. I also would add New Game! and Inugami-san to Nekoyama-san
The classics for the Girls and Guns genre: Canaan, Noir (El Cazador De La Bruja and Madlax to complete the trilogy), the most recent one is Lycoris Recoil, a less recent one is Akuma No Riddle
Original anime: Shoujo Kageki Revue Starlight, Princess Principal, Izetta: The Last Witch, Kill la Kill
Idol anime: Love Live! (I'm an original love liver so my favs are LL and LLS only)
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toutplacid · 2 months ago
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Pont-Marie, Paris 4e – pierre noire sur bristol, carnet nº 106, 2015.
Dessin utilisé dans le livre Le Jour, éditions Alain Beaulet, 2016. Tous les dessins originaux de ce livre seront en vente à 50 euros pièce le jeudi 14 novembre à la librairie-galerie Actualités, 15, rue Gay-Lussac, Paris 5e, lors de la soirée de finissage de mon exposition OBSERVATION, à partir de 17 h, soirée qui accueillera la revue Mon Lapin Quotidien, pour la sortie du n° 31.
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drowningparty · 10 months ago
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She whispers me things that she knows I will hear She tastes like light and I can't get enough Of her cynical humour, her laughing at fear...
She is the madman who gives me the signal, To dance without rhythm, to sing without melody… She calls the shots and for that, I forgive her…
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justforbooks · 2 months ago
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Montolieu est l’étape idéale pour les amoureux du livre
Montolieu (Aude) constitue une agréable escapade à quelques kilomètres de Carcassonne. Ce « Village du Livre & des Arts » rassemble 17 librairies et a séduit de nombreux écrivains par son charme. L’occasion d’une belle balade littéraire dans les rues du bourg.
C'est l'un des 8 villages du livre recensés en France. On y trouve des libraires de livres anciens et d'occasion mais aussi des professionnels des arts et des métiers du livre : relieurs, doreurs, graveurs, calligraphes, enlumineurs, fabricants de papier, imprimeries artisanales, éditeurs.
Dans les 17 librairies du village, on trouve principalement des livres d'occasion, avec du vécu… une histoire. Certaines sont spécialisées en livres jeunesses ou encore en littérature anglaise : il y en a pour tous les goûts.
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Après avoir visité Carcassonne et sa fameuse Cité médiévale, une étape par Montolieu (Aude), charmante commune située à une quinzaine de kilomètres, s’impose. Il s’agit d’un « Village du Livre & des Arts », autrement dit un bourg rural où sont installés des librairies et des commerces d’artisanat autour du livre.
Riche d’une longue histoire, puisque occupé depuis la Préhistoire, Montolieu est devenu un village du livre en 1990, à l’initiative de Michel Braibant, relieur belge installé à Carcassonne, explique l’office du tourisme du Grand Carcassonne. Son rapport avec les écrivains est toutefois plus ancien encore : le village en a inspiré beaucoup, comme l’autrice Anna Gavalda, qui a vécu à Montolieu quelques années.
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Au total, aujourd’hui, cette commune de 800 habitants compte 17 librairies de livres anciens, neufs ou d’occasion. « Certaines librairies ont justement des spécialités (BD, jeunesse, art, revues, journaux anciens…) », détaille l’office du tourisme. Les visiteurs peuvent aussi arpenter les 15 galeries ou ateliers d’art du village. Le bourg dispose par ailleurs d’un Musée des Arts & Métiers du Livre, où il est notamment possible de s’initier aux arts graphiques.
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Mais plus généralement, ce bourg pittoresque est l’occasion d’une agréable balade. Au détour de ses ruelles fleuries et de ses maisons anciennes, il est possible de découvrir l’église Saint-André, un édifice du XIVe siècle classé aux monuments historiques, l’ancienne manufacture royale de draps, ou encore la chapelle Saint-Roch, qui offre un magnifique panorama sur les environs.
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Situé sur les contreforts de la Montagne noire, au beau milieu des vignes, Montolieu ouvre sur de nombreux itinéraires de randonnée dans les gorges de l’Alzeau et de la Dure, avec ses ponts et ses moulins. « Oliviers, cyprès, variétés de cactus et arbustes fleuris mettent sublimement en beauté le paysage », assure l’office de tourisme.
Daily inspiration. Discover more photos at Just for Books…?
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francepittoresque · 2 months ago
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28 octobre 1905 : mort du journaliste et humoriste Alphonse Allais ➽ http://bit.ly/Alphonse-Allais Débarquant à Paris à l’âge de 25 ans, il devient collaborateur de la revue Le Chat noir et est bientôt célèbre pour sa plume acérée et l’humour absurde et caustique
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transparentgentlemenmarker · 10 months ago
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Edith Piaf n'est française que de moitié car sa mère est d'origine Kabyle/Berbère. Ses grands-parents maternels sont Auguste Eugène Maillard (1866-1912) et Emma Saïd Ben Mohamed, dont le nom de scène est Aïcha. Emma est la fille de Saïd Ben Mohammed, un acrobate de cirque né en 1827 à Mogador, aujourd'hui Essaouira, au Maroc et mort en 1890 à 63 ans à Montluçon, dont les origines sont controversées, kabyle d'Algérie selon la revue à potins Vedettes ou du Maroc selon l'actrice Arletty berbère du Maroc selon Albert Bensousan ou marocain, et de Marguerite Bracco, d'origine italienne. Emma est née le 10 décembre 1876 à Soissons où son père était en représentation. Elle est également une artiste de cirque, connue pour un numéro de puces sauteuses. Elle s'est mariée en 1894 à Auguste Eugène Maillard, rencontré en Italie lors d'une tournée et est morte à Paris en 1930 (à 54 ans). La mère de Piaf, Annetta Giovanna Maillard, fille d'Auguste Maillard et Emma Saïd, est née à Livourne en Italie le 4 août 1895 et est morte le 6 février 1945 (à 49 ans) à Paris. Elle est une chanteuse connue de cabaret, de « beuglants » puis de rue sous le nom de scène Line Marsa. Elle a commencé sa carrière comme écuyère de cirque et funambule. Elle a une réputation d'alcoolique et de droguée. Au sujet de sa mère Annetta, son fils Herbert dira : « Une grande artiste, mais qui n'a pas su forcer sa chance… Elle a chanté au Chat noir, au Mikado, au Monocle… », puis part à la dérive – « la dérive, le mot est gentil… », et à propos de sa belle voix, Arletty raconte : « C'était pas la mère qui avait la voix de la fille, c'était la fille qui avait la voix de la mère ».
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mask131 · 1 year ago
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The cosmogony of French fantasy
The title is not by me - this is actually the title of an article I want to kind-of-translate kind-of-recap here. "Cosmogonie de la fantasy française - Genèse et émancipation", "Cosmogony of French fantasy - Genesis and emancipation", by Marie-Louise Bougon. It was an article part of the "Worldbuilding" issue of the French National Library review (La revue de la BNF), back in 2019, and it brings a lot of interesting element for those who are curious about what fantasy literature looks like currently in France (since all the fantasy we talk about is mostly American or British).
Here is the rough translation/summary:
Fantasy only appeared quite late in France - and if the first translations of English-speaking fantasy only come from the 1970s, we will have to wait for the new editorial dynamic of the 1990s for a true "French fantasy" to appear and specialize itself - many talk of a "French touch" that makes these books clearly different from their English companions.
I) The first translations: a fragmented territory
The first translations in French of fantasy books started in the 70s. The decisions of publishing houses at the time made it quite hard for a reader to identify "fantasy" as its own genre. Indeed, most fantasy authors (especially British ones) were published by houses specializing in "general literature" - The Hobbit was translated as "Bilbo le Hobbit" in 1969 by Stock, before it took care of the Cycle de Gormenghast by Mervyn Peake, while in 1972 Christian Bourgeois releases the first French translation of the Lord of the Rings. Another part of fantasy books - more American, these ones, the inheritors of the pulp aesthetic, the sword and sorcery books - was rather translated in collections dedicated to either science-fiction, or fantastique. [N.o.T.: The French term "fantastique" designates a specific literary genre in which supernatural elements suddenly happen in an otherwise normal, regular and mundane setting identical to our own - as opposed to "merveilleux" which is about describing worlds where the magical and fabulous is mundane. Dracula would be "fantastique" while fairytales are "merveilleux".] There was the collection "Aventures fantastiques" by the editions Opta, or the science-fiction collection of Lattès.
Fantasy was perceived originally as merely a sub-genre of science-fiction - an idea that was kept alive by collections such as "Pocket science-fiction" or "J'ai lu - SF" that published a mix of science-fiction and fantasy works throughout the 80s. Outside of the short-lived collection "Heroic Fantasy" by Stan Barets at the Temps futurs publishing house (it only lasted from 1981 to 1983), we would have to wait for quite some time before publishers started to understand that fantasy was its own genre. In 1988, the Atalante creates the "Bibliothèque de l'évasion" (Library of evasion) collection. Fleuve noir creates in 1998 a fantasy collection called "Dentelle du cygne" (Swan's lace), that in 2002 was replaced by "Rendez-vous ailleurs", "Meetings at other places". These were for large formats - pocket formats also started their own specific collections. J'ai lu Fantasy in 1998, for example, and in 1988 the Pocket SF collection started to add sub-titles such as "Fantasy", "Dark Fantasy" or "Science-fantasy" to differentiate the works. However, despite all these efforts, the original decades-old confusion between fantasy, SF and general literature hindered the growth of the genre in France, since it never got a true visibility...
II) Cartography of the "great old ones"
If people only start to realize and understand the genre itself at the end of the 80s, it doesn't mean that there never was any French fantasy works until this date. In fact, the Callidor editions, specializing in "fantasy archeology", have made an effort to dig up and bring back to light the works that shaped the French fantasy - and for them, the oldest French work of fantasy would be the epic Les Centaures, in 1904, written by André Lichtenberger. In 2005, the author Laurent Kloetzer went even further than this - he claimed that Flaubert's Salammbô (an 1862 sensual, violent and Orientalist historical novel) was one of the earliest examples of French fantasy. Kloetzer notably pointed out the similarity between Salammbô's baroque style, and the one of Michael Moorcock's Gloriana, and how the way Robert Howard described bloody battles was quite close to Flaubert's own war descriptions. By retrospectively considering these works as fantasy, this would make the French fantasy a continuation of the merveilleux genre (see my mentions above).
So, French precursors did exist - but they remained lonely and rare experimentations, that never got any true success upon their release. Nathalie Henneberg, an author of science-fiction (who often published under the name of her husband, Charles Henneberg) did made a few fantasy pauses in her SF career during the 1960s - Le Sang des astres (The blood of celestial bodies) and Les Dieux verts (The Green gods), republished by Callidor in 2018. However the most notorious example of this "primitive French fantasy" would be Jacques Abeille's Cycle des contrées, published in 1982 at Flammarion, then re-edited in 2012 by the Attila editions, and finally released in pocket format by Folio SF in 2018. This cycle, that describes the exploration of another world full of wonders and magics, took more than thirty years to be recognized as a fantasy works - and that despite Abeille having sent his manuscript to Julien Gracq, one of the greatest French fans of Tolkien at the time. If people did notice a similarty between fantasy books and Abeille's works, editors made nothing of it - one would have to wait for the more modern reedition for the "fantasy" aspect to be advertised. In 2011, in an interview, Jacques Abeille recalled a sentence one of his readers said to him: "As a kid, I watched Star Wars. As a teen, I read Tolkien. As an adult, I read you."
Abeille's new success in modern fantasy is however an exception, since other "precursors" of fantasy never regained such a late recognition: for example, Isabelle Hausser's Célubée, published in 1986 by Julliard, is still not sold as a fantasy work, and that despite being re-edited by Fallois in 2000 (with a Marc Fumaroli preface). Among other French early attempts, we can find Sous l'araignée du Sud (Under the South spider), a 1978 novel by Dominique Roche and Charles Nightingale, published by Robert Laffont. Unlike the previous works, this novel actually had a consciousness that it belonged to a new and "infant" genre. The back of the book doesn't use the "fantasy" word yet, but it does describe it as "a marvelous and terrifying fairy tale, in the line of Tolkien's work, in the heroico-fantastical tradition of the Anglo-Saxons, but this time written in French, in a rich and visual language, sparkling with humor."
In the 1980s, we see an hesitaton, an ambiguity between publishing/editing decisions that made the birth of this first fantasy completely invisible to the public, and a slow, creeping recognition by authors and publishers of a new genre. In 1983, Francis Berthelot's Khanaor duology was published in the Heroic Fantasy collection of Temps futurs - and in the preface the author clearly states its "fantasy" status. "No need to lie to ourselves, the same way general literature disdains SF, the SF disdains heroic fantasy. It makes it a sub-sub-genre, a doubly-poor parent of the Letters with a big L." This preface highlights the bad reputation of the genre at the time - for French people of the 80s, fantasy was just a sub-science-fiction, less thoughtful, less prone to reflexion, more turned towards adventure and entertainment. Despite all this criticism, fantasy will still manage to grow away from science-fiction, and find its place in the "genre literatures".
III) An expanding universe
It was around 1995 that a true turn of event happened, around the same time the first French publishing house entirely dedicated to fantasy were created (Mnémos and Nestiveqnen). Mnémos, originally conceived by Stéphane Marsan and Frédéric Weil to publish role-playing game novelizations, still edited during its first years French authors such as Mathieu Gaborit, Fabrice Colin, Laurent Kloetzer, Pierre Grimbert and Sabrina Calvo. Nicknamed "the Mnémos generation", these authors created a true boom and multiplication of the French fantasy works in the 2000s. Les Chroniques des Crépusculaires (The Chronicles of the Dusk-people), of Mathieu Gaborit (1995-96) and Le Secret de Ji, by Pierre Grimbert (prix Julia Verlanger in 1997) form the two first commercial successes of French fantasy.
This new fashion was certified by the creation in 2000 of the Bragelonne editions: this very prolific publishing house released translations of English works, but also promoted the writers of the "Mnémos generation", while discovering new authors. For example, Henri Loevenbruck with his Celtic saga La Moïra (2001-2002), or the Ange duo (already famous for their work on comic books and roleplaying games) with their cycle Trois Lunes de Tanjor (Three Moons of Tanjor, 2001-2003, re-edited in 2005 under the title Ayesha). Les Editions de l'Oxymore (The Oxymoron Editions), created in 1999, also allowed numerous French authors to start in the genre, via periodical anthologies - these anthologies contained short stories from authors now quite well-known, such as Justine Niogret, Mélanie Fazi or Charlotte Bousquet. The editorial expansion follows all the way throughout the 2000s, with new publishing houses opening regularly. Le Bélial', which created the Bifrost journal, published fantasy novels since 1998 (their collection "Fantasy", renamed "Kvasar" in 2011). The webzine ActuSF becomes an editing house in 2003, and dedicates its collection "Trois souhaits" (Three wishes) to French authors. Les Moutons électriques (The electrical sheeps) were born in 2004, and made famous Jean-Philippe Jaworski, while La Volte, around the same time, started the very noticeable Horde du Contrevent (Horde of the Counterwind) by Alain Damasio. The years 2010s also saw a few house apparitions - such as the Critic, Callidor and Scrineo editions - and there was also a very dynamic microedition market.
Of course, French youth publications also stayed very rich and prolific - finding a true audience after the Harry Potter phenomenon. Two famous French series played on the idea of "the adventures of a young wizard" - the Tara Duncan series by Sophia Audouin-Mamikonian, started in 2003 and a mass commercial success, and also started in 2003 the saga of the "world of Gwendalavir" by Pierre Bottero. While these works all evoke the Potter-phenomenon (teenage characters promised to a great destiny and magical powers in a fantastical parallel world), they do keep an original voice, find their own themes and specificities, and thus gain a faithful audience. In the Fantasy forum of the university of Artois, Pierre Bottero was the most frequently mentionned French author when participants were asked "Who is your favorite author?", making him a good rival of English-speaking fantasy authors.
If French fantasy managed to build itself, and to singularize itself - and if the genre became even more visible thanks to the recent mediatic success of the Game of Thrones TV series, Jérôme Vincent (director of ActuSF) made a quite disappointing observation in a 2017 interview. He noted that the "wave" expected did not happen. "The big cinema blockbusters all belong to either science-fiction or fantasy, the great TV series are all tied one way or another to fantasy, that's the same thing in comic books and video games, and that's without talking of role-playing games... [...] But it seems that is no effect, no repercusion of this onto fantasy literature." In order to ameliorate the visibility and the sales of fantasy books, since 2017 publishers created the "Mois de l'imagination" (Month of the imagination), a way to rival the "literary new year". While it is too early to establish if this worked or not, it is quite a hopeful sign to see that in "fantasy reading recommandations", French names start to pop up alongside the great English ones. As Estelle Faye wrote, "French fantasy seems to still suffer from an inferiority complex" - but we can only hope authors and readers will manage to fight it off.
IV) A world of its own ?
Is there a "French touch", a specificity to French fantasy? This question, frequently debated by fan forums, became the subject of a podcast produced by the website Elbakin.net, in which was noted the lack in France of huge cycles carried over several volumes (a very prominent feature of English-written fantasy). French fantasy authors prefers one-shots, short series (rarely more than a trilogy), or series of distnct novels merely sharing a same world (for example, the works of Lionel Davoust that take place in the Evanégyre world). This formal difference would however be due to the "fear" of editors, who do not dare putting in the world too-ambitous projects. Due to this format specificity, it seems that there is a lesser importance of the worldbuilding in French fantasy - which might be why its authors had a hard time building an audience in the beginnings. As David Peyron wrote it in Culture geek, fantasy fans tend to prefer the quality of the worldbuilding over the quality of the style. "If the quality of the world becomes essential, in return some traits such as the literary style, which gives its value to a cultural object in a classical system, are pushed aside." French fantasy, which is less of a worldbuilder and much more literary than its English counterpart, is as a result swimming against the stream. However, nowadays this particularly is accepted by the fans. Indeed, in recent reviews and articles, several French authors such as Jean-Philippe Jaworski or Alain Damasio are praise for their mastery of style - the first one because of how he writes like Alexandre Dumas, the second because of how versatile he can be with tones and genres. These literary qualities are obviously tied to the inspirations of the French authors, who do not have the "pulp inheritage" and rather take from French classics or swashbuckling novels. Of course, we also cannot ignore the theory that French readers are more sensible to the style when it comes to writing in their own language.
If we go towards themes, we can see several recurring motifs and traditions shared by both English-speaking and French-speaking fantasy. For example, Arthurian fantasy has sparked a certain interest in France - La Trilogie des Elfes (The Elf trilogy) of Jean-Louis Fetjaine (1998-2000), or Justine Niogret's Mordred (2013). However, French authors truly seem to express a taste for historical but non-medieval fantasy. Jean-Philippe Jaworski's Gagner la guerre (Win the war, 2009) takes place during a reinvented Renaissance, Johan Heliot's takes an interest in the rule of Louis XIV in his Grand Siècle (Great century) saga (2017-2018), Pierre Pevel choses the 17th century for the setting of his Les Lames du cardinal (The Cardinal's blades, 2007-2010), and finally Fabrice Anfosso takes inspiration from World War I in his Le Chemin des fées (The road of fairies, 2005). Urban fantasy also has a big success in France - especially one focusing on a reinvented Paris. There are numerous works reimagining the French capital as either filled with surpernatural beasts, either invaded by a scientific-marvelous touching to both the steampunk and gaslamp fantasies. For examples you have the Paris des merveilles cycle, by Pierre Pevel (Paris of marvels, 2003-2015), Un éclat de givre by Estelle Faye (A fragment of frost, 2014), Les Extraordinaires et Fantastiques Enquêtes de Sylvo Sylvain by Raphaël Albert (The Extraordinary and Fantastical Investigations of Sylvo Sylvain, 2010-2017), or Les Confessions d'un automate mangeur d'opium by Mathieu Gaborit and Fabrice Colin (Confessions of an opium-eating automaton, 1999).
Jacques Baudou described with enthusiasm the originality of French fantasy, whose main specificity is - according to him - a tendency to go to the margins. "The best works of French fantasy [...] operates a subversion of the codes, they practice the art of mixing, and as thus come off as greatly original literary objects". It seems indeed that, due to its late apparition, French fantasy benefited from a certain look-back on its own genre, making it easier for French authors to play with or subvert its codes. Anne Besson, however, nuances this opinion: she points out that the small number of French fantasy authors (compared to the mass of English-speaking authors) makes the differences in tones, themes and motifs much more obvious - which creates what is merely a feeling of a greater diversity.
Another element of French fantasy that seems to be born of its "lateness" is its reflexive dimension: French authors have a strong tendency towards the commentary and the erudition. For example, the fantasy anthologies of the Editions de l'Oxymore include between its short stories things such as critical files or textstaken out of classics of French culture. These practices seem to be an attempt at legitimizing a genre that still has a hard time being recognized as "true literature" - even though modern days receive fantasy works with much more benevolence than before.
V) To the conquest of the world ?
If French fantasy grew enormously since the first experiments of the 70s, and if it now benefits from a much better visibility, its market stays quite weak. A proof of that: the numerous funding campaigns launched these last years by different actors of the genre. French fantasy also has a hard time crossing the frontier. Le Livre et l'épée by Antoine Rouaud (The Book and the sword, first volume released in 2013) was translated in English, German, Dutch and Spanish. Le Secret de Ji of Pierre Grimbert (Ji's Secret) was also published in English via Amazon Crossing in 2013. But these are exceptions to the rule. But there is hope for future French publications - for example the Bragelonne publishing house established a partnership with the British Gollancz, a science-fiction specialist.
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codumofr · 3 months ago
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Le Niellage, technique d’orfèvrerie qui consiste à appliquer ce qu’on appelle le “Nielle” ou “Niello” (du Latin Nigellus, signifiant “Noirci”). Le Nielle est un sulfure métallique de couleur noire qui est composé de cuivre, d’argent et souvent de plomb ou de borax. Employé comme une matière pour remplir la marqueterie (décor réalisé par un placage fait dans un matériau tel que le bois ou autres). Ainsi, la marqueterie de métal est remplie avec cet alliage fondu, la surface dite “Niellée” est polie pour éliminer le dépassement de métal qui a été ajouté. Il ne faut toutefois pas confondre le Niellage avec les émaux ou le damasquinage.
Parlons maintenant de l’histoire de la technique du Niellage. Inventée par les Égyptiens, elle est reprise par les Romains et se diffuse dans l’Europe à partir de ses derniers. Ce sont par la suite les orfèvres de la Renaissance en Italie et en Allemagne qui reprennent le Niellage comme une technique luxueuse et délicate pour embellir des objets précieux, des objets de cultes ou de la vaisselle d’apparat. La technique restera pratiquée jusqu’à l’apparition de l’Aquatinte au 18e siècle. On peut effectivement lire dans la Revue de Paris de 1835 que la Niellure n’est plus en usage depuis que Benvenuto Cellina tentera de créer de nouveaux objets d’orfèvrerie niellés, mais du fait de la grande complexité du procédé et de son faible taux de réussite lors de leurs productions, ne donnera rien de concluant. Elle nous parle aussi de deux orfèvres du nom de Mention et de Wagner qui remettent au XIXe, l’art de nieller au goût du jour grâce aux procédés russes qu’ils ont appris à réaliser dans l’atelier de l’orfèvre P.W.Beuth. Ce dernier la recette d’un moine du nom de Théophile qu’il explicite dans un article qu’il écrit en 1828, le nom de cet écrit est “Sur le nielle et l’art de le préparer.” Mention et Wagner iront jusqu’à perfectionner et mécaniser le procédé de niellage en 1829 et déposeront ainsi un brevet. La technique, comme on peut le voir, sera perfectionnée sans que son principe n'ait fondamentalement changé. Notamment, la quantité de métaux à utiliser sera perfectionnée pour favoriser une production de chaînes d’objets niellés et ainsi réduire les ratés. Toutefois, malgré ce perfectionnement et les améliorations apportées ne permettent pas au niellage de surpasser le procédé de gravure en taille-douce qui sera plus rentable et préféré de par la simplicité de sa réalisation.
Après ce passage sur l’histoire, nous allons pouvoir parler des différentes œuvres effectuées avec le niellage ou en ayant essayé de faire du niellage. Nous avons par exemple Maso Finiguerra, un nielleur de Florence qui en voulant contrôler son Triomphe et le Couronnement de la Vierge, créant la Taille-Douce. Au XVIIe siècle, la technique n’est plus utilisée que par les pays orientaux avec les Arabesques ou par les Russes avec Veliki Oustioug. Elle ne reprendra de la vigueur qu’avec le Damasquineur André Colomb au XIXe siècle dans une utilisation bien plus commune et à large échelle, notamment sur des objets de la vie courante comme des boîtiers de montre de poche de la fin des années 1800 jusqu’au début des années 1900.
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swedesinstockholm · 4 months ago
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14 août
encore au lit avant onze heures, j'aime mon nouveau rythme. merveilleuse journée allongée au bord de l'eau à lire jenny diski, à regarder les branches des saules pleureurs onduler au dessus de moi et les bateaux et les pédalos passer sur la spree et les mouettes voler au dessus de l'eau comme si j'étais à la mer, est-ce que j'ai encore besoin d'aller à la mer en septembre? j'ai enfin senti ma chance aujourd'hui. comment je peux avoir le droit de passer toute une journée allongée dans l'herbe comme si la canicule n'existait pas à me faire bercer par la brise en lisant et en mangeant des cookies? au milieu de la journée j'ai reçu un mail de point de chute qui me demandaient si je voulais faire une lecture au poetik bazar en septembre, cadeau sur le cadeau. je vais revoir l. et peut être je verrai r. et quand je retournerai à berlin ce sera l'automne et tout ira bien.
17 août
de retour au cimetière sur la presqu'île de stralau. à force de parler de presqu'îles j'ai l'impression d'être en vacances en bretagne. le bus m'a déposée juste devant l'entrée. parfois quand je prends le bus je me sens comme une reine transportée à travers la ville à moindre effort. surtout quand je suis assise tout devant le dos tourné à la plèbe.
une dame tirée à quatre épingles est en train d'arroser une tombe à côté de moi. elle porte des escarpins en python à lanières sur des fins collants noirs, une jupe bleue canard au genou, une blouse noire transparente qui laisse voir son soutien-gorge et un chapeau de paille avec un ruban noir. ça doit pas être pratique pour faire du jardinage. je me demande si elle s'est habillée exprès pour venir au cimetière. pour son mari mort, je sais pas. je me suis rendu compte que je disais très facilement le mot mort. il est mort. elle est morte. là où maman utilise des euphémismes comme il est parti ou elle n'est plus là. elle dit "depuis que loki n'est plus là" par exemple. dans des contextes plus formels, elle dit décédé. mon mari est décédé. c'est quoi ce mot. dcd. on dirait un acronyme. dans le texte sur ma famille que j'ai envoyé à la revue sève je dis d'entrée de jeu "il est mort" en parlant de mon père. je l'ai relu y a pas longtemps et je l'ai trouvé violent. cru. frontal. pas délicat du tout. je me suis dit mais pourquoi j'ai écrit ça? pourquoi j'ai écrit ça comme ça?
un jour maman m'a raconté que quand mon père était mort elle était venue le dire à ma maîtresse d'école pour qu'elle soit au courant et que quand j'avais dit mon père est mort! elle m'avait dit de me taire. plus tard elle a regretté de pas m'avoir laissée m'exprimer. quand je l'ai raconté à mes psys elles ont dit aïe aïe aïe. peut être que j'aime dire les choses comme elles sont en réaction à l'attitude de maman. peut être que mon amour de la franchise et mon refus du tabou viennent de là. depuis qu'elle sait que j'aime les filles par exemple elle m'en a pas parlé une seule fois. jamais. ça doit venir de son éducation, mais moi j'en veux pas de cette éducation. moi je veux dire, alors j'écris. bon voilà j'ai fini d'être pompeuse.
avant de partir j. m'a demandé où j'allais et je lui ai parlé de mon nouveau cimetière, j'ai dit i love writing in graveyards i'm a romantic et il a dit you write so much!! il m'a rappelé que je lui avais toujours pas dit de quoi parlait mon livre et j'ai dit ohlala my book is in a crisis. ils s'imaginent que je fais qu'y travailler toute la journée alors qu'en vérité je fais tout sauf y travailler parce que je suis trop occupée par mon journal qui est mon véritable livre et mon obsession. j'espère qu'il va oublier de me reposer la question. j'aime pas les non-dits mais j'ai des limites dans la révélation de mes secrets. dans la littérature ça va, dans la vraie vie c'est plus compliqué. parfois au lieu de raconter des trucs aux gens j'aimerais juste leur faire lire mon tumblr. comme à f. par exemple. je lui ai jamais parlé de r. j'aimerais bien lui raconter mais j'y arrive pas. je crois que c'est parce qu'elle me pose jamais de questions et quand on me pose pas de questions j'ai du mal à raconter des trucs parce que je me dis, inconsciemment, et si la personne n'en a rien à foutre? mieux vaut ne pas prendre le risque. peut être que c'est aussi pour ça que je ressens le besoin de publier mon journal sur tumblr. pour pouvoir raconter ma vie sans avoir peur d'ennuyer mon interlocuteur.ice. je force personne à me lire. mais je crois que c'est aussi une question de prendre de la place. raconter sa vie c'est prendre de la place et prendre de la place, ça me pose problème.
hier pour compenser ma non sortie de jeudi j'avais décidé de faire une excursion sur la côte baltique. je m'étais couchée super tôt pour être en forme, j'avais commencé à regarder when harry met sally mais j'ai abandonné à mi-chemin parce qu'y avait trop de bruit dans la cour (combien de temps je vais supporter ça?) alors je suis allée au lit et j'ai commencé le livre que n. m'avait passé avant de partir. je me suis masturbée en lisant la scène de sexe d'ouverture, comme un retour aux sources de mes débuts (la première fois que je me suis masturbée hors la douche c'était en lisant une scène de sexe dans lunar park de bret easton ellis). j'avais mis le réveil à 7h20 mais j'ai pas réussi à me lever alors j'ai pris le train d'après avec la correspondance. évidemment le train a pris du retard et la correspondance était loupée, ce qui rajoutait une heure à mon trajet de trois heures, et puis je suis devenue complètement claustrophobe quand deux familles se sont installées à côté avec leurs enfants insupportables et qu'ils ont commencé à déballer mille contenants de nourriture indienne dont l'odeur a envahi tout le wagon. j'ai pensé à tout ce qui pouvait encore se produire pendant le long trajet de retour et j'ai décidé de faire une miranda july et de couper court à mon voyage en descendant à la première gare dans laquelle on s'est arrêtés (dans all fours la narratrice ne va pas plus loin qu'une petite ville de la banlieue de los angeles alors qu'elle était censée conduire jusqu'à new york). j'ai poussé un soupir de soulagement en me retrouvant sur le quai à l'air libre.
il faisait très chaud à oranienburg et je commençais déjà à regretter les 23 degrés du bord de mer baltique promis par la météo de mon téléphone. j'ai marché jusqu'à la rivière et je me suis rendu compte que c'était la havel, la même qu'à pichelswerder le weekend dernier. mes deux meilleures amies depuis que n. est partie c'est la havel et la spree. merci d'exister rivières d'amour. je me suis assise sous un saule pour manger mes biscuits à l'avoine et j'ai tendu le bras pour toucher ses branches poussées vers moi par la brise, persuadée qu'elles le faisaient de leur propre volonté et qu'elles voulaient vraiment me toucher. j'ai marché le long de la rivière pendant un moment, longé le chateau (bof) jusqu'au petit port dont j'ai fait deux fois le tour en plein soleil parce que je savais plus où aller et j'arrêtais pas de changer d'avis. j'étais de nouveau la fille confuse, totalement paumée (sie laufen da verwirrt rum). la fille qui sait pas ce qu'elle veut. j'ai traversé trois fois le même pont avant de me décider à juste retourner m'assoir sous le saule pour attendre le prochain train vers berlin parce que j'avais trop chaud pour faire quoique ce soit, me maudissant pour mes décisions à la con.
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