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fallenrazziel · 4 years ago

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Les Chroniques de Livaï #486 ~ MONDE, JE TE FAIS MES ADIEUX (mai 846) Livaï

L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.

Je reste les yeux fixés sur ma fenêtre sombre, à attendre quelque chose que j'ignore. Ma chandelle est réduite à un petit tas de cire fumant dans mon bougeoir et je sais que je vais devoir me lever pour en changer. Pas moyen de pioncer cette nuit, ce qui est pas nouveau. Il doit être minuit passée, et je peux penser à rien d'autre qu'à ce qui nous attend dans quelques jours.

C'est crevant de former ces bleus sans aucune base, et je me rends bien compte que je suis une exception ; devenir explorateur sur le tard sans avoir subi l'entraînement standard des cadets est quasiment impossible. Même s'ils y mettent tous de la bonne volonté, je me doute bien qu'ils seront pas d'une grand aide et que la plupart seront bons qu'à servir d'appâts. Mais ils restent confiants malgré tout...

Je sais pas si je le suis. J'aime pas ce que je peux pas contrôler, et je me remets toujours pas de ce coup de salaud, doublé de ce complot contre nous. Je sens que je vais devoir m'apprêter à supporter des tas de morts vaines contre lesquelles je pourrais rien. Mon esprit se prépare déjà à ces moments, et je crispe les poings en songeant que cela a été prévu par tous ceux qui nous ont collés dans cette merde.

J'ai besoin de marcher. Arpenter les couloirs de l'étage me paraît une bonne idée pour essayer d'évacuer le stress. J'me demande si tout le monde dort... Je me lève de mon fauteuil et vais chercher dans mon tiroir une chandelle neuve. Je débarrasse le bougeoir des restes de l'ancienne et plante le bâton dedans. Je fais craquer une allumette et aussitôt, une lumière palpitante se remet à danser sur les murs de la chambre. J'attrape le bougeoir, ouvre la porte et me retrouve dans le corridor.

Il y a personne, évidemment. La nuit venue, ce couloir est souvent tout à moi. J'y patrouille lentement, en faisant le moins de bruit possible, et parfois, je descends me faire un thé. Mais j'en ai pas envie, là... En fait, la solitude du bâtiment endormi me fout le cafard. J'ai besoin de voir quelqu'un, de parler à quelqu'un qui ne soit pas encore un fantôme. J'avance le long du corridor, ma bougie jetant des ombres mouvantes sur les murs, en quête d'un son inhabituel. Il me semble entendre un sanglot étouffé derrière la façade... Je suis pas sûr, je l'imagine peut-être. A tous les coups, ce sont des rats. Tttcchh, ces saletés...

Je fais quelques mètres et m'arrête devant la porte d'Erwin. Le chat attend devant, la tête levée, la queue fouettant l'air doucement. Je sais que ça se fait pas, mais... je pose mon oreille contre le chambranle et écoute attentivement. Il doit dormir, j'entends rien. Allez, autant aller jusqu'au bout. Je jette un oeil dans le trou de la serrure et constate vite qu'il y a un peu de lumière là-dedans. Il dort pas, évidemment. Même si on le voit rarement sur le terrain en ce moment, je sais qu'il a beaucoup à faire de son côté pour tout organiser. Il est allé à Mitras l'autre jour pour demander une audience, mais je crois qu'on l'a même pas reçu... Ces enfoirés... Fallait voir sa gueule pour comprendre que ça tournait vraiment mal pour nous.

Il a peut-être besoin de parler lui aussi... Dis-moi un peu, le chat : je fais quoi, je frappe ? T'as envie de rentrer, toi aussi ? Au point où j'en suis... Oh et puis merde, j'y vais, il aura qu'à me renvoyer s'il veut pas me voir.

Je gratte plus que je ne frappe à la porte, et pousse le battant avec lenteur en laissant mon regard se glisser en premier dans la pièce. Enfin juste après le chat ; il pénètre dans le bureau et se fond tout de suite parmi les ombres. Erwin est assis à sa table, dans un halo de lumière dorée, la tête penchée, sa plume à la main. Il ne m'a même pas entendu, il est trop absorbé. L'unique chandelle qui l'éclaire est à moitié réduite, mais je suppose qu'il en a déjà utilisé un certain nombre. La pièce est saturée de l'odeur de cire chaude, et seul le son de sa plume sur le papier se fait entendre.

Enfin, il lève les yeux vers moi et hoche imperceptiblement la tête pour me saluer. Sa bouche reste une ligne dure et droite et il ne prononce pas un mot. Je dérange ? Si c'est le cas, j'peux m'en aller. Il répond rudement que je peux rester si je veux. Ok, j'apporte un peu de lumière en plus. Je suis pas sûr que tu voies grand chose, là.

J'attrape une chaise et la place à côté de la sienne, à l'autre bout de son grand bureau. Erwin reprend son travail sans plus faire attention à moi pendant un moment. Mais je voudrais qu'il parle, il garde tout pour lui... Ah, au fait, t'es allé à Mitras pour quoi faire au juste ? Il me dit - toujours en écrivant - qu'il espérait négocier un délai supplémentaire pour la préparation de la reconquête, mais qu'il est resté sur le pas de la porte, comme un malpropre. Quand je pense qu'ils t'ont porté aux nues au lendemain de l'évacuation, ces faux-culs... Y a vraiment quelqu'un qui nous en veut, tu devines pas qui ? Moi, j'ai une idée, je suis sûr que t'as la même, pas vrai ? Il ne répond rien, mais je sais qu'il pense comme moi, même pas la peine d'en discuter.

Si ça peut nous arranger le coup, je peux aller éplucher quelques gueules, si tu vois ce que je veux dire... J'peux trouver ce connard et le faire couiner... juste un peu, non ? Erwin rétorque que cela n'arrangera certainement pas notre situation et qu'il ne peut de toute façon pas me demander de faire ça. Dommage, j'aurais adoré.

Erwin semble plus disposé à bavarder et me demande comment je m'en sors avec les recrues. Oh, te fais pas d'idée, y a rien de miraculeux dans le lot. Mike dit que je suis trop exigeant mais si on veut les coller face aux mochetés, faut un minimum ! J'espère surtout qu'ils seront disciplinés, qu'ils paniqueront pas face aux titans et suivront les ordres, sinon ça tournera mal. Qu'est-ce que je dis ?... Evidemment que ça tournera mal. Je suppose que t'en es conscient ? Il confirme que oui, mais que les choses doivent suivre leur cours.

Je remarque la grande feuille qu'il garde sous la coude et je la tire un peu pour voir de quoi il s'agit. Je comprends que c'est un plan de formation. Les lignes tracées au crayon ne sont pas très visibles dans cette lumière chiche alors Erwin prend le temps de m'expliquer ce qu'il a prévu. Apparemment il est pas encore sûr des détails mais l'essentiel y est. Pas de formation de détection à longue distance cette fois, évidemment, ce serait inutile. Le but est de rester au plus près des réfugiés. Avancer en ligne droite, en rangs serrés ; les civils au centre, les explorateurs sur les flancs. Le flanc droit sera le plus exposé comme d'habitude. Je suppose que ce sera mon poste ? Il approuve, mais me précise que mon travail sera de patrouiller du nord au sud le long des flancs afin de m'assurer que personne n'a besoin d'aide. Aucun titan ne doit traverser les lignes de protection, sinon nos protégés seront sans défense. On sera assez ? Trois-cents explorateurs, en comptant les non-militaires, seront harnachés avec le dispositif et serviront de rempart. Trois lignes de défense qui devront rester en place, et mon escouade qui se déplacera périodiquement pour s'adapter aux difficultés qui se présenteront. Je vois... Mike sera où ? Erwin remonte sa plume et m'indique le fleuve. Trois ferries transporteront les civils les moins valides, ainsi que du matériel de réparation pour le Mur Maria. Les équipes de Mike devront se charger des ferries et s'assurer qu'aucun titan ne veut jouer avec. C'est pour ça que je me tape tout le boulot des entraînements avec les bleus, il est parti s'exercer avec ses hommes sur le fleuve pour être prêt le jour dit. Et la bigleuse ? Encore une fois, la plume se déplace et Erwin me montre le centre de la formation, où Hanji jouera le rôle de vigie et de relais pour transmettre les ordres. Et toi, tu seras en tête, je suppose.

J'arrive pas à réaliser combien de monde ça représente. Plusieurs milliers, j'imagine. Bouger cette masse humaine de façon disciplinée me paraît impossible... Erwin précise qu'il compte partir à la nuit par pleine lune afin de limiter les risques. Chaque civil portera une torche afin que les explorateurs puissent y voir un minimum ; le cas échéant, la lune sera une alliée pour nous. Pas bête. Faudra t'assurer que le temps reste clair. On pourrait prendre de l'avance sur l'ennemi, et atteindre le... Erwin me montre un lieu marqué d'une croix. Le premier avant-poste que tu as choisi. Un bourg assez grand, j'espère. Il répond qu'il est impossible de loger tout le monde dans des bâtiments mais que de toute façon leur repos sera de courte durée, les civils devront accepter de marcher aussi de jour. Nous aussi, on va devoir prendre des forces, sans ça, on s'écroulera de fatigue... Erwin a prévu un roulement des combattants afin d'économiser les énergies. Bien... j'ai l'impression que personne peut pondre mieux que ce que tu proposes, alors... y a plus qu'à tenter le coup... Bordel, j'ai mal au crâne, là...

Je le laisse écrire en silence pendant quelques minutes quand un détail me revient. Je l'informe qu'il nous faut vite du nouveau matériel. Les dispositifs des civils, enfin des nouveaux explorateurs, sont plutôt nazes, on voit bien qu'ils tiendront pas en expédition. C'est un coup à se tuer tout seul, comme un con. T'as des nouvelles de ton pote de la guilde ? Il confirme qu'une commande a été passée en début de mois dès l'annonce royale - eh ben, t'as pas perdu de temps - mais il ignore si Maja tiendra le délai, il est plutôt court pour du matériel de qualité. C'est pour ça que tu voulais du temps supplémentaire... Le problème, c'est qu'on l'a pas.

Il hoche la tête en posant sa plume et se met à lire sans plus faire attention à moi. Je peux pas le juger comme je le ferais pour n'importe qui d'autre ; personne n'est à sa place. J'ai foi en lui, mais je ne peux pas savoir ce qu'il a dans la tête à présent. C'est comme sauter dans le vide. La décision qu'il a prise était la meilleure mais elle va provoquer une catastrophe, c'est inévitable. Au moins il fait quelque chose, il essaie de faire en sorte que les choses changent. Tous ces civils veulent le suivre au combat, pouvait-il décemment tourner le dos et faire comme s'il ne voyait rien ? Moi, je peux le faire. Mike, Hanji, nous pouvons tous ignorer la situation. Mais pas lui. On a beau l'épauler du mieux qu'on peut, il reste seul face à tout ça.

J'aimerais l'aider plus, mais je sais pas comment. Tout ce que je peux faire, c'est rapprocher ma chandelle de lui pour qu'elle lui donne plus de lumière. Je regarde son profil dans la pénombre et distingue bien ses traits tirés, ses yeux plissés par le manque de sommeil, son poing serré sur le parchemin... Il ira pas dormir tant qu'il aura pas terminé, mais moi je commence à être fatigué. Ma tête pèse une tonne... Alors je la pose sur mon bras et fixe la flamme de la chandelle qui fond lentement entre mes doigts. Il n'en reste déjà plus qu'un petit bout... Le temps file à une vitesse... et on en aurait tellement besoin...

Je ferme les yeux quelques secondes et je sens le sommeil tenter de me choper sans crier gare. C'est la main d'Erwin frôlant mes cheveux qui me réveille en sursaut. Je l'entends me dire d'aller me coucher si je suis crevé, mais il est hors de question que j'aille me pieuter tant qu'il veille. Erwin, tu devrais aller dormir. On a besoin d'un leader en bon état. Il répond qu'il a encore deux pages à relire, et qu'ensuite il songera à se reposer. Ok, j'irai aussi quand tu auras fini. Ma bougie est presque consumée, et la tienne va pas tarder à s'éteindre ; tu seras obligé.

Je l'entends produire ce petit rire étouffé, contenu dans sa poitrine, dont il a le secret, et ça me réconforte un peu. Il a encore de l'espoir, alors je peux aussi essayer d'en avoir. Il reste quelques minutes de cire. Je me demande alors comment je vais réussir à marcher dans le couloir jusqu'à ma chambre sans lumière. Merde, j'avais pas pensé à ça ! Et voilà que la chandelle d'Erwin s'éteint ! Il doit me rester encore un peu de temps avec la mienne, assez pour retourner à ma piaule, je crois. Mais je veux quand même être sûr.

Erwin, tu promets que tu vas te coucher ?

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lucifer-saison5voirenligne · 4 years ago

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[Lucifer] — Saison 5 Épisode 1 Series Streaming VF/VOSTFR

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SYNOPSIS & INFO : Lassé et mécontent de sa position de "Seigneur des Enfers", Lucifer Morningstar démissionne et abandonne le trône de son royaume pour la bouillonnante et non moins impure Los Angeles. Dans la Cité des anges, l'ex maître diabolique est le patron d'un nightclub baptisé "Lux". Quand une star de la Pop est sauvagement assassinée sous ses yeux, il décide de partir à la recherche du coupable et croise sur sa route Chloe Decker, une femme flic qui résiste à ses charmes et lui met constamment des bâtons dans les roues.

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❍❍❍ TV MOVIE ❍❍❍

The first television shows were experimental, sporadic broadcasts viewable only within a very short range from the broadcast tower starting in the 1930s. Televised events such as the 1936 Summer Olympics in Germany, the 19340 coronation of King George VI in the UK, and David Sarnoff’s famous introduction at the 1939 New York World’s Fair in the US spurred a growth in the medium, but World War II put a halt to development until after the war. The 19440 World MOVIE inspired many Americans to buy their first television set and then in 1948, the popular radio show Texaco Star Theater made the move and became the first weekly televised variety show, earning host Milton Berle the name “”Mr Television”” and demonstrating that the medium was a stable, modern form of entertainment which could attract advertisers. The first national live television broadcast in the US took place on September 4, 1951 when President Harry Truman’s speech at the Japanese Peace Treaty Conference in San Francisco was transmitted over AT&T’s transcontinental cable and microwave radio relay system to broadcast stations in local markets.

❍❍❍ Thank’s For All And Happy Watching❍❍❍

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ultra-louise · 5 years ago

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BTC à VDS, le bâton pour changer le paysage financier mondial

En 2008, les États-Unis ont plongé dans une crise financière en raison de la politique de taux bas de la Réserve fédérale, de l’évasion du système bancaire parallèle et de la principale erreur des algorithmes de notation. En 2009, la Réserve fédérale a annoncé qu'elle étendrait sa politique d'assouplissement quantitatif et a sauvé la crise financière provoquée par les banquiers américains sur la base de la dépréciation de la monnaie fiduciaire entre les mains des citoyens. Tous ceux qui possédaient des dollars étaient passivement impliqués dans l’activité de sauvetage. Les gens ont compris à ce moment-là que la valeur de notre monnaie légale avait toujours été contrôlée par les capitalistes, et la structure financière du monde avait un besoin urgent de changement.

Début 2009, le bloc Genesis de Bitcoin a été créé. Il a résolu notre problème de confiance grâce à la technologie de la blockchain, afin que tout le monde dans le monde puisse réaliser des transactions point à point sans institutions centralisées et reprendre le « contrôle » de leur argent à partir d’agences centralisés. Le Bitcoin est en passe de changer le paysage financier mondial, dans le but de passer d'un système séparé de contrôle des devises pays par pays à un consensus décentralisé qui détermine la valeur des devises.

Il semble maintenant que Bitcoin puisse effectivement aider les gens à prendre le contrôle de la monnaie auprès des institutions financières centralisées. Cependant, en raison de son manque de scénarios d'application et de la faible vitesse de confirmation des transactions, il est impossible pour Bitcoin de devenir la monnaie électronique comme décrit dans le livre blanc, mais plutôt une monnaie refuge comme l'or qui ne peut pas vraiment circuler dans le monde entier. L'avènement de VDS a repris le flambeau abandonné de Bitcoin pour changer le paysage financier mondial.

VDS utilise sa fonction d'échange de résonance pour offrir aux utilisateurs de Bitcoin un canal d'échange unidirectionnel décentralisé, afin que chaque utilisateur puisse convertir son Bitcoin en Vollar (la monnaie circulant dans l'écosystème de VDS) sans chercher de contrepartie. Le commerce de résonance est la façon dont VDS prend le bâton alors qu'il achève l'échange sans obstacle de Bitcoin à Vollar.

Après avoir reçu le bâton par la fonction du commerce de résonance, VDS a repris la mission de Bitcoin avec un mécanisme de minage adapté à la circulation de la monnaie électronique et ses scénarios d'application commerciale intégrés.

Par rapport à Bitcoin, VDS a un meilleur mécanisme de minage adapté à l'argent électronique, ainsi qu'un intervalle de bloc plus court et une taille de bloc plus grande. Ce paramètre résout efficacement le problème de Bitcoin dans la confirmation lente des transactions.

Dans VDS, la chaîne de relation unique établie par le réseau de timbre et fiducie, et les futurs contrats intelligents d'entreprise de blockchain aideront à transformer Vollar en argent électronique. Le réseau de timbre et fiducie est un système de promotion de la fission interpersonnelle à plusieurs niveaux basé sur la blockchain, qui résout dans une certaine mesure les problèmes de confiance entre les personnes d’expansion et impliquer davantage de personnes dans l'écosystème. Les futurs contrats intelligents d'entreprise blockchain sont un réseau de vente consensuel, où les promoteurs reçoivent des commissions pour la consommation des VID effectuées dans le cadre de son système de timbre et fiducie. Le réseau de timbre et fiducie a attiré d'énormes groupes de personnes à rejoindre, et le contrat intelligent d'entreprise blockchain a construit un grand réseau d'affaires décentralisé en implantant des relations interpersonnelles dans le cadre du système de timbre et fiducie. Le réseau de timbre et fiducie intégré et les fonctions de contrat intelligent d'entreprise de chaîne dans VDS établiront un empire commercial sur la blockchain. C'est un exemple de la combinaison organique de flux de trésorerie décentralisés et de scénarios commerciaux, qui a résolu le problème du manque de Bitcoin dans les scénarios d'application, c'est pourquoi Vollar, contrairement à Bitcoin, peut être utilisé comme monnaie électronique en circulation. Dans VDS, nous avons un réseau dynamique et en développement continu de relations de valeur qui peut accueillir des milliards de VID et nous fournir des revenus à long terme dans le processus. Nous pouvons participer au modèle d'affaires pour créer vos propres flux de trésorerie d'entreprise.

L'émergence du Bitcoin a aidé les gens à saisir la valeur de leurs actifs, mais en raison de l'absence de scénarios d'application et de la lenteur des transactions, le Bitcoin ne peut pas devenir la monnaie électronique qui circule dans le monde. Parallèlement à la pénétration croissante des institutions de centralisation, ce dont nous avons un urgent besoin, c'est d'une monnaie électronique décentralisée. VDS a pris le relais de Bitcoin de manière décentralisée grâce au commerce de résonance et a utilisé un mécanisme d'extraction qui accélère la transaction, ainsi que le réseau de timbre et fiducie et le futur contrat intelligent de la blockchain pour résoudre le problème à la source que Bitcoin ne pouvait pas devenir un monnaie électronique universelle. Tenant le bâton de Bitcoin, VDS continue de remplir sa mission de changer le paysage économique mondial.

#crypto-monnaie

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mlou-alex · 5 years ago

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#15 [Chili] L’île de Chiloé – Un séjour en Bretagne, mais en moins bien

Cinquième plus grande île d’Amérique du Sud, Chiloé offre pour beaucoup une accalmie salvatrice dans un roadtrip animé d’activités incessantes. Pour d’autres, il s’agit même d’un lieu isolé où passer les vacances. Promenade à cheval sur les falaises bordant la côte du Pacifique, randonnées dans les forêts brumeuses, ou simplement le plaisir d’une belle assiette de poisson avec vue sur l’un des nombreux lacs du coin. Bref, le CV est vendeur. En revanche pour nous, le séjour sur Chiloé a davantage eu des allures de purge.

Tout commençait plutôt bien. En fin de vadrouille sur la Carretera Austral, on emprunte à l’aube d’un jour pluvieux le ferry en direction de Quellon (sur la pointe sud de l’île). De là, l’accueil est particulier. Il nous donne le sentiment de débarquer dans le quartier portuaire d’une ville peu recommandable, un genre de Havre des années 60 avec un peu plus de couleur. Pourtant, après quelques minutes à lever le pouce, José et Viviana, un couple de locaux adorable, nous font grimper dans leur pick-up. Elle œuvre en tant qu’institutrice et lui travail dans le saumon, la première industrie de l’île pour ce pays deuxième exportateur mondial après la Norvège. Ils nous vendent la région comme le bijou décrit dans le Routard, même mieux encore. Automatiquement nous sommes ravis de cette rencontre et posons tout un tas de questions. Une ferveur rapidement douchée par notre première nuit à Cucao.

Le camping offre un espace dégagé et une vue magnifique sur le lac et les reliefs environnants. Le seul problème, c’est que nous sommes samedi soir… Et les Chiliens ne se contentent guère des bars branchés et appartements de leurs potes pour s’enivrer toute la nuit. Ainsi, nos voisins nous maintiennent éveillés jusqu’à 4 h du matin. De là, un chien errant, peu décidé à nous laisser profiter de ce répit, se met à gueuler de manière aléatoire à trente centimètres de nos oreilles, sans grande considération pour la pluie qui se met à lui tomber dessus, et sur nos vêtements en train de sécher dehors…

Le lendemain nous décidons de partir, mais ayant payé en avance les deux nuits, nous ne pouvons récupérer notre argent. On effectue donc la balade du jour avec la perspective de réitérer cette affreuse nuit. Par chance, les fêtards sont partis quand nous revenons. Le chien non. Pour lui ce soir, c’est match retour. Je gueule, je tape des mains, je menace de sortir avec mes bâtons pour le rosser, mais il finit toujours par revenir. Ce bâtard ne la ferme qu’à 5 h, lorsque les coqs prennent le relai.

La journée qui suit nous emmène à Castro, la capitale de l’île. Il n’y a pas grand-chose à y faire, mais l’architecture des églises inscrites au patrimoine mondial de l’UNESCO semble intéressante. Ce qui l’est moins, c’est le seul camping de la ville : une espèce d’arrière-cour sentant la merde de clébard occupée par trois punks à chiens plutôt sympathiques et la meute de huit canidés qui les accompagnent. Un peu résigné, on installe la tente et on part se balader. Épuisés, notre motivation dans les chaussettes, obnubilés par la simple envie de se jeter dans un lit, nous commençons à marcher. On croise un type ultra chelou, un autre avec la tête couverte de sang. Là, les souvenirs de la veille ressurgissent, les gémissements du chien, puis l’odeur des merdes autour de notre tente nous reste. On se retourne l’un vers l’autre et on s’interroge sur le pourquoi de notre démarche. Dix minutes plus tard, on est revenu plier la tente et on a filé dans l’hostal le plus proche. Pour 2,5 € supplémentaire par tête, on dispose d’une chambre, d’un lit, de sanitaires cette fois loin d’être insalubres et exempts de ces putains de chiens.

Cette île maudite ne nous offre pas grand-chose de plus. Si ce n’est un superbe lever de pleine lune sur le lac. Même avec ça, on s’empare le lendemain d’un ticket de bus pour la quitter au plus vite. Cependant, une fois arrivé sur le continent à Puerto Montt, on ressent une pointe de remords. Il existe une spécialité culinaire de Chiloé qui nous a échappé : le Curanto. Coup de chance, il est possible d’en consommer dans un des quartiers de Puerto Montt ! Cette île peu sans doute remonter dans notre estime, il n’existe rien de mieux pour cela qu’une belle assiette des produits issus de la pêche. Et… non. Encore raté. Devant nos yeux horrifiés, on nous sert une collection de moules gigantesques accompagnée d’une viande trop dure et d’une pâte de pomme de terre à la texture étrange. Non contente de nous avoir privés de sommeil et d’activités stimulantes, cette satanée île va jusqu’à nous chier dans la bouche.

Chau Chiloé !

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gaetmarieontheroad-blog · 5 years ago

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Visite du musée de la Yougoslavie et discussions avec des Serbes

L’ancienne génération est nostalgique de Tito et de la Yougoslavie. Un pays puissant bien que très strict. « La différence entre la dictature et le totalitarisme, c’est que la dictature est fondée sur la peur (des camps de concentration) alors que le totalitarisme est fondé sur l’amour. Tito n’était pas un dictateur, il était adoré. Il aurait eu des milliards et il les aurait tous légués à ses enfants que ça n’aurait dérangé personne. Aujourd’hui le pays est corrompu, les dirigeants laissent le trafic de drogues. Le pays a perdu ses valeurs. »

Ce sont des bâtons relais, fabriqués par les habitants de l’ex-Yougoslavie. Ils symbolisaient la jeunesse et traversaient le pays de main en main jusqu’à Tito le jour de son anniversaire. Le musée en regorge de milliers et de nouveaux sont déposés tous les ans sur la tombe de Tito.

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2223architecture · 3 years ago

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Nouvelle revue

De l’humour mais point de cynisme.

Un encrage dans les terroirs mais point de chauvinisme.

Un ton, un style, un point de vue particulier.

L’art de raconter les choses. De retourner aussi vers une certaine abstraction conceptuelle. Le modernisme il vaut l’avoir digérer pour en faire comprendre à ceux qui veulent entendre les pourquoi et les comment. La vérité est belle mais atypique aujourd’hui, elle est hors des canons modernes. La contemporanéité aussi est malade, on se projette alors loin, on écrit aujourd’hui pour voir éclore le second lendemain, on se doit d’avoir deux coups d’avance. On sait tout cela car on sait voir, écouter, entendre, goûter, sentir et ressentir. On a comme un sixième sens pour déceler le vrai du faux.

Demain, c’est l’instant.

On écrit de tout temps, pour aujourd’hui dans l’espoir d’être compris par un dernier esprit vivant, un dernier encore non totalement perdu, un sauf ou un sauvable.

On écrit au soleil, face au soleil, on efface l’ombre.

On sait ce qui est faux et qui est new age, on défend ce qui a toujours été vrai mais parodié et diffamé encore à cet instant. On continue.

J’écris on car la vérité n’est pas mienne. J’écris je quand je ressens et on quand je comprend.

Je suis là face à vous lecteurs pour batailler ferme contre une montagne de préjugés. Vous lisez, vous avez fait le plus grand des pas vers le solvable. Si les hommes et le monde doivent être sauvés, le sauf viendra ici maintenant, dès maintenant, là.

Cette revue est un relai, un bâton à se faire passer

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yes-bernie-stuff · 3 years ago

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Courons, courons !

06/02/2022 “Courons avec persévérance l’épreuve qui nous est proposée…” He 12. 1L’exemple de Wilma Rudolph devrait nous encourager encore aujourd’hui. à… courir! C’était la vingtième de 22 enfants nés au sein d’une famille noire pauvre du Tenessee. Enfant,elle contracta la polyomyélite et fut obligée de porter un appareil orthopédique pour tenter de marcher. “Mes médecins affirmèrent que je ne marcherais jamais. Ma mère déclara que je remarcherai. J’ai choisi de la croire !” A treize ans elle fut recrutée, à sa deuxième tentative, par l’équipe de basketball de son école. Un entraîneur la remarqua et l’encouragea à s’entraîner pour devenir sprinteuse. Son courage et sa persévérance lui permirent d’obtenir une bourse d’étude universitaire et elle devint vite une sprinteuse de grande classe. En 1960 elle fut choisie pour représenter les Etats-Unis aux Jeux olympiques de Rome où elle se mesura à la favorite, l’allemande Yetta Minie, détentrice du record mondial du 100 mètres. Wilma remporta la médaille d’or puis récidiva dans le 200 mètres. Elle se retrouva en lice contre l’allemande dans le 4 fois 100 mètres, toutes deux en quatrième position du relais. Au passage du bâton Wilma le laissa tomber donnant ainsi un avantage à sa rivale. Mais elle ne s’avoua pas vaincue. Elle le ramassa et se lança dans un sprint effréné et désespéré. Elle rejoignit et dépassa sa rivale dans les dernières foulées, gagnant ainsi sa troisième médaille d’or olympique, et devenant la première américaine à gagner 3 médailles d’or aux mêmes Jeux olympiques. Elle passa le reste de sa vie, jusqu’en 1994, à parcourir le monde encourageant les jeunes athlètes et témoignant par la même occasion de sa foi profonde. Elle déclara un jour : “Après avoir quitté le monde de l’athlétisme, j’ai souvent demandé à Dieu ce que je faisais ici-bas, quelle était ma destinée. Sûrement ce n’était pas seulement pour gagner quelques médailles d’or ! La vie vaut davantage que cela !”

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ruppertmundysrevival · 4 years ago

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Troisième match | 5 juillet 2021

Pour exorde du face-à-face, les gaminets de fraîche date et képis battant neufs sont là ! Pétulance et liesse, don gracieux de LeRoy et son liant.

On se cale pour l’amorce, mais avant quoi, tout le monde – sauf LeRoy qui seul fait figure d’impedimenta au bon déroulement du bazar sympathique – trouve pour terrain d’entente d’abjurer la nouveauté et de s’en retourner aux us antérieurs, au respect de quel escadron cotise le garrocheux.

On donne le coup d’envoi ! Icelui nous est cadeauté avec, comme à presque toutes et quantes fois qu’il y est, les traditionnels et hiératiques attrapés de la balle au vol par Jules. Les Martres opèrent ex professo, recueillant maints points au bulletin.

Dupuis met en train la ronde des NSDB avec un coup sûr, et catalyse un point, de suite, avec Jacob qui pelaude la balle hors d’atteinte au champ. Le gymkhana se met en train et la tonique est prodiguée : 5 points !

Touchant Jacob, qui met en route cette deuxième manche en s’embringuant dans le relais au premier sous la diathèse d’une passe avec le gant, qui ne fut… pas nimbée de bonne fortune. Les Martres sont contenues, n’empêche. Le ludisme est méritoire de tous bords. Balance de l’état des lieux – tenez-vous bien : c’est 5 – 5 à l’issue de la coda de notre demi-manche ! Tout est à faire !

Dupuis entreprend le round avec l’approche du cri guerrier en giboyant le premier but, tactique qui émerveille et déconfit à la fois. Une balle, dont le point de chute est exogène au terrain, est gérée par Max, qui ce nonobstant rapplique en trois coups de cuiller à pot attester que sa boîte-boisson préserve toujours sa zone dans le champ. Trois retraits diligents et véloces aboulent une fin au tout, aucun point produit, pas même un coup sûr. Aboutissant : c’est 5 – 5, tout est à faire !

Bessette, LeRoy et Claude cachettent l’alternance à la batte des Martres, malgré un point de Masson-Goulet à graver dans la souvenance et à l’estampillage de leur recension. Suite logique : c’est 6 – 5 !

Raymond (le A) met en branle le cycle au marbre des NSDB en contusionnant le trait horizontal du champ clos ! Puis alors, Stevens missionne la sphère en direction du premier but et tout à l’orée de sa galopade, ledit Stevens sera sauf par une imprécise et rare quantité de millimètres ! Une deuxième balle de mauvais aloi à l’extérieur du domaine d’ébattement terrorise des spectateurs… qui ne lèvent pas l’ancre ! Jim permet subséquemment, de sa motion séraphique, le retour de trois coureurs prodigues ! Et juste en aval de ces points pris en bonne note, là ! Ensuite ! Chose rarissime ! Un retrait au marbre ! Vous avez bien lu ! Vos yeux ne vous jouent pas de facétie, que nenni ! Entéléchie de la joie ! Miracle de beauté ! Tantawy receveuse fait l’attrapée et répétons-le, c’est un retrait au marbre ! La manche, ensuite de quoi, se solde par un autre point. C’est 6 – 10.

S’emmanche la manche suivante, qui sera composée de trois prestes retraits, fors un saillant circuit intérieur de Lepage digne de… Lepage !, qui rev��tira quand même de sa signature un décoiffant point au tableau indicateur inexistant.

Le NSDB revenu au bâton ponctue le vade-mecum statistique de rien au-dessous du nec plus ultra du cinq points jalon ! Impétuosité de l’armada noire et blanche ! Seoir pour une nouvelle manche !

Mais la contre-offensive du feu du diable et au summum de la complétude advient promptement ! En outre d’être secondés par des enchevêtrements çà et là et par un panel épineux quant à la substantifique moelle du trait trahissant le non-retour, les Martres font provision de 5 points. C’est 12 – 15 ! On a toujours un match ! (Un match de balle pour certains, un match de hockey pour d’autres ! [Ains nous le savons à présent, quel match de hockey ce sera, à l’image de celui de la balle, presque une soirée tautologique !])

Revif des NSDB : Poulin, le capitaine, le paladin, nous met ça en route et en force ! Et Arthur prolonge le déferlement avec un triple ! Et vient ensuite un coup sûr ! Ça perdure ! Acutesse de la passion ! Carl ne raperche pas d’issue à son aria ancien de quatre ans, son impéritie dans le non-garrochage du bat derrière lui à la suite du cogner. On tâte de la sommation. Il fricote donc l’essai d’une cavalcade avec le bâton en main jusqu’au premier coussin. On éclaire sa lanterne de l’information que ça ne le fera pas. Le casse-tête clef de Carl se chronicise plénier, puis icelui se fait rétrograder à l’ermitage des joueurs. Mais l’équipe ne se laisse en rien aller : LeRoy, Jim, ça insiste, le NSDB est d’une inflexible et musculeuse volition ! Notons ici des échanges bizarroïdes indélibérés entre receveur et lanceuse qui font se glousser et se dérider la galerie. On ira, ultimo, s’aligner sur cinq points, chez le NSDB.

C’est le déclenchement de la manche ouverte qui prend la suite ! Le NSDB procède aux retraits congrus et met la dernière main à une victoire des Nina, qui cumulent, tenez-vous bien, une fiche de 3 – 0 à vie, ergo l’équipe commençante est imbattue ! Les Martres reparaîtront certes alouvies la demi-quinzaine approchante, probablement même affamées d’adultes plutôt que de mousses. Prenez garde ! Prenons garde !

– Sieur Bessette

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christophe76460 · 2 years ago

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Pensez à vos enfants !

“Tous tes fils seront enseignés par le Seigneur et jouiront d’une grande paix.” Esaie 54.13

Quatre-vingt-cinq pour cent des enfants ��levés par des parents chrétiens fervents adeptes de la prière développent une foi solide avant d’atteindre l’âge de treize ans. Même si vos enfants ont passé cet âge, souvenez-vous que Dieu est appelé “le Rédempteur”. Il peut encore vous accorder une nouvelle chance ! Repentez-vous de votre faiblesse passée et dévouez votre vie au Seigneur : c’est le meilleur moyen de briser le cercle vicieux des fautes des pères transmises à leurs enfants.

“J’appréhende d’avoir des enfants qui grandiront dans ce monde dominé par le mal !” diront certains. Mais ce sont les enfants de la lumière qui repoussent les ténèbres. La promesse que Dieu vous a faite est : “Mon Esprit qui est sur toi et Mes paroles, que J’ai mises dans ta bouche, ne se retireront pas de ta bouche, ni de la bouche de tes enfants et de tes petits-enfants, dès maintenant et à toujours” (Esaïe 59. 21).

“Mais comment puis-je lutter contre les influences néfastes qui risquent d’entraîner mes enfants ?” Toutes les études psychologiques sur la famille démontrent que les enfants sont beaucoup plus influencés par leurs parents que par leurs amis, leurs enseignants ou même les médias. C’est vous, en tant que parent, qui formez leur caractère et déterminez la direction que prendra leur vie. Imaginez que vous participez à une course de relais, a victoire ne dépend pas de votre performance individuelle, mais de votre talent à passer le bâton au suivant. Vous ne saurez si la victoire a été acquise ou perdue que le jour où sera racontée l’histoire des générations futures.

David a dit : “Tu m’as instruit dès ma jeunesse... Et maintenant que j’ai les cheveux blancs, ne m’abandonne pas, ô Dieu ; alors je pourrai annoncer Ta force et Ta puissance aux jeunes et à tous ceux qui viendront après” (Psaume 71. 17-18). Ne laissez surtout pas tomber le bâton ! Que votre but, en tant que parents, soit d’élever des enfants qui conserveront l’héritage de foi que vous leur aurez transmis et qui sauront le transmettre aux générations futures. Si vous vous engagez à agir ainsi, Dieu vous épaulera dans votre mission, vous pouvez compter sur Lui !

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emiliexng · 7 years ago

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« Comparution immédiate ne veut pas dire incarcération immédiate »

Vendredi 29 septembre, Tribunal de Grande Instance de Lille - 9ème chambre correctionnelle

Sept affaires se sont succédé cette après-midi. Du vol d'autoradio au trafic de drogue, en passant par les violences conjugales, les comparutions immédiates sont l'expression d'une justice qui se veut rapide, efficace, mais aussi sévère.

« Pendant cette période, vous vous êtes illustré dans l'automobile »

15 heures, Jordan* entre dans le box des prévenus. Il a une situation familiale et sociale compliquée. Faute de logement, il habite actuellement chez son oncle, avec un de ses parents. Deux de ses proches, son père et son frère, ont fait de la prison. Il mène, au moment de son jugement, une formation avec l'appui de la mission locale. La garde à vue, et la comparution, tombent donc mal. Le prévenu est récidiviste, une procédure a été faite à son encontre à Dunkerque (Nord).

Le jeune homme de 20 ans est jugé pour plusieurs faits qui se sont déroulés l'année dernière, entre mars et septembre 2016. La présidente commence par rappeler les éléments qui incriminent le prévenu. « Le 16 mars 2016, vous avez été contrôlé au volant d'une Peugeot 206, la voiture n'était pas assurée et n'avait pas passé le contrôle technique » rappelle-t-elle avant de préciser « en plus, vous rouliez sans permis ». Deux mois plus tard, le 27 mai, Jordan est pris au volant d'une Clio recelée, elle a été volée lors d'un home jacking. Cette épopée se termine en juillet 2016 avec le braquage d'une voiture. S'ensuit un dialogue ubuesque :

- « Il vous manquait peut être un autoradio ? » - « Non, j'avais juste pas d'argent... » - « Oui mais l'essence, c'est cher, comment faisiez-vous ? Vous aviez donc des revenus ?!Comment en êtes-vous arrivé là ?! » - « Bah quelqu'un cherchait un autoradio »

« Je vais arrêter les bêtises » confesse le prévenu en baissant les yeux. La procureure insiste sur le caractère pénal de l'infraction puis ironise « pendant cette période, vous vous êtes illustré dans l'automobile ». Elle somme le prévenu de prendre ses responsabilités. « Avec vous, on fonctionne avec le bâton et la carotte » se désole le parquet.

Jordan est condamné à 9 mois de prison avec sursis, associé à deux ans de mise à l'épreuve, encadré par le juge d'application des peines (JAP). « La balle est maintenant dans votre camp » conclut la juge.

« J’ai pas confiance en moi, j’ai grandi dans la violence, j’arrive pas à me contrôler ; j’ai grandi dans la rue ! »

Eric*, 32 ans, est en liberté conditionnelle depuis sa sortie de prison, il y a un an et demi. Le prévenu a un lourd passé de délinquant : son casier judiciaire comporte 23 mentions.Il est aujourd'hui devant le tribunal pour violences conjugales.

L'homme est accusé d'avoir donné un coup de poing dans la tête de sa femme et de l'avoir insulté. Des faits similaires se sont déjà produits. En novembre 2016, la jalousie pousse monsieur à agresser sa femme en la menaçant avec un couteau sous la gorge. Comment expliquer ces accès de colère ? « J’ai pas confiance en moi, j’ai grandi dans la violence, j’arrive pas à me contrôler, j’ai grandi dans la rue » justifie le prévenu.

« Je suis une femme et il doit me respecter en tant que telle » rétorque sa compagne, au bord des larmes. Il essaye de se dédouaner en expliquant les difficultés de sa liberté conditionnelle. « J'ai tenu un an », sous entendu sans commettre de faute, dévoile le prévenu. La présidente rectifie sèchement le propos d’Eric : « c’est Madame, qui a tenu un an ! »

La procureure insiste sur la dimension familiale « les enfants sont les victimes indirectes des violences conjugales ».

A la fin du délibéré, Eric est rappelé. Son visage porte les stigmates de son passé. Il part, dès la fin de l'audience, en prison pour 18 mois. « Vous êtes proche de la rédemption » tempère la juge.

Mandat de dépôt oblige, direction la prison de Sequedin. «Fais un bisou aux enfants » professe le prévenu à sa femme, en guise de réparation.

« J’suis consommateur mais pas vendeur »

Deux hommes, à l’allure fatigué et débraillé, sont jugés pour trafic de drogue et recel. Ils sortent à peine de garde à vue et nient en bloc les faits, malgré un dossier à charge contre eux. L’infraction a été repérée au métro porte de Douai à Lille avec cinq doses d’héroïnes et huit doses de cocaïne. L’un des prévenus se défend de tout trafic «Je suis consommateur mais pas vendeur ». Contrairement aux précédentes affaires, les prévenus restent impassibles voire désinvoltes.

L'avocat défend tant bien que mal ses clients et tonne que « comparution immédiate ne veut pas dire incarcération immédiate ! »

La procureure rappelle ensuite que le trafic de drogue est un réseau bien ficelé. Elle ajoute que les profils sont les mêmes et que la came « c’est une chaine », un business où chacun a son rôle. Elle termine son réquisitoire en prenant à partie le tribunal : « ils sont là devant nous mais d’autres [dealeurs] ont déjà pris le relai ».

Les prévenus sont reconnus coupables et sont condamnés à huit mois de prison avec mandat de dépôt. « Le tribunal a estimé qu'une condamnation sévère était nécessaire » justifie la présidente.

*Les prénoms ont été modifiés

Emilie-Xuân Nguyen

#justice journalism

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luciefee · 5 years ago

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C'est très intéressant, et cohérent, de voir ce sabre "de la lignée Skywalker" utilisé un peu comme un bâton de relais. Un "témoin" qui passe d'un personnage à l'autre au gré de la volonté de la Force.

On sait que la Force a besoin d'équilibre et la scène ou le sabre se scinde en deux est très révélatrice. Même si Rey en est la nouvelle utilisatrice, comme nous le montre l'épisode VII (et comme tu l'expliques très bien @red-applesith ), l'objet "hésite" car le but ultime c'est l'équilibre entre le côté lumineux et le côté obscur, donc (normalement, mais c'est encore trop tôt dans l'épisode VIII) entre Rey et Kylo. Ils sont parfaitement égaux mais ils n'arrivent pas (encore) à se rejoindre, à trouver un terrain d'entente.

Je suis personnellement vraiment curieuse de savoir comment le sabre va être réparé, mais je ne suis pas certaine qu'on le saura...

The Skywalker saga is coming to an end and I spent virtually four years hiding in the shadows to avoid the discourse (™). Well, to that I say no more! Rey isn’t a Skywalker! Finn is important even if he’s not a Jedi and Ben Solo is going to redeem himself!

And to rest my case below is a long thread about the Skywalker Lightsaber, the place of each character in the sequel trilogy and their narrative function. Buckle up!

First, let me postulate that–in-universe–the Skywalker lightsaber, throughout the trilogies, is the mythical sword of power, the Excalibur of a galaxy far far away. Some characters are meant to care for it for a short period of time while others are meant to wield it.

On a meta-level, we can advance that the Lightsaber stands for the Skywalker saga itself. This is why salty fans complain that toys packaging read “Rey’s lightsaber” instead of “the lightsaber that once belonged to Anakin then lost by Luke.”

It bothers them that A GIRL inherited/took the lead of Star Wars.

Without further ado, let’s jump into the meta and explore the symbolic function of the Skywalker Lightsaber in The Force Awakens and The Last Jedi.

In TFA, Maz Kanata is our Lady of the Lake, and perhaps it’s not a coincidence she lives by a body of water in a quasi-medieval setting. Like Obi Wan before her, she’s the custodian of the Lightsaber and her function is to bestow the magic laser sword to the protagonist.

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infotou-blog · 6 years ago

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Wilma Rudolph, La légende de la “Gazelle Noire”

Wilma Rudolph ne devait plus marcher, elle est devenue la femme la plus rapide du monde Elle est la première Américaine triple médaillée d’or sur une édition des Jeux. Wilma Rudolph est issue d’une famille très nombreuse. 17e enfant d’une fratrie de 18, elle est née prématurément et contracte la poliomyélite à l’âge de 4 ans.

Elle en garde une jambe gauche atrophiée dont elle ne retrouve totalement l’usage qu’après avoir porté un appareil orthopédique durant les cinq années suivantes.

À l’âge de 12 ans, alors qu’elle recommence à peine à marcher normalement, Wilma a également été victime de la polio et de la scarlatine.

Mais toutes les épreuves physiques qu’elle a dû endurer n’ont pu entamer son vieux rêve de devenir athlète.

Elle s’est d’ailleurs forgé un esprit et un mental de championne qui vont être ses précieux alliés.

Son ascension est extraordinairement rapide.

À 16 ans, elle est sélectionnée dans l’équipe olympique américaine pour les Jeux de 1956 à Melbourne d’où elle revient avec une médaille de bronze au relais 4 x 100 m.

Trois ans plus tard, elle remporte le premier de ses quatre titres nationaux consécutifs du 100 m. Son plus grand triomphe se conjugue cependant encore au futur.

Aux Jeux, Wilma Rudolph égale d’abord son propre record du monde en demi-finale du 100 m, en 11’’3.

Puis, placée au couloir un en finale, elle passe en revue toutes ses adversaires pour s’imposer avec 25 centièmes d’avance en 11’’18.

Ce n’est pas un record du monde officiel, puisque le vent soufflait trop fort, mais de l’avis quasi général, Wilma a couru plus vite que n’importe quelle autre femme auparavant.

Quelques jours plus tard, elle ajoute une deuxième médaille d’or à sa moisson en dominant son sujet dans le 200 m qu’elle remporte avec près d’une demi-seconde d’avance.

Et pour couronner son triomphe aux Jeux, elle enlève un troisième titre olympique au 4 x 100 m dont elle est la dernière relayeuse.

Lorsqu’elle hérite du bâton, Wilma compte deux mètres de retard sur l’Allemande Jutta Heine, mais elle va la passer dans les derniers mètres pour décrocher la victoire et sera accueillie comme une héroïne à son retour chez elle.

Elle ne participera cependant plus jamais aux Jeux Olympiques. Elle se retire en 1962 et deviendra plus tard enseignante et commentatrice.

En 1960, elle fut la grande star des JO de Rome.

Elle n’aurait jamais dû : victime d’une poliomyélite à 4 ans, elle était condamnée par la médecine à ne plus jamais retrouver l’usage de sa jambe gauche.

Elle y est parvenue, jusqu’à devenir une légende injustement oubliée. Parce que son œuvre dépasse le sport.

Rudolph Eldridge Wilma (1940-1994) USA. Elle est une figure légendaire du l'athlétisme féminin.

Surnommée 'la gazelle noire ', elle fut la première femme à courir le 200 m en moins de 23 secondes (22s9 en 1960).

Dans son enfance, elle a surmonté plusieurs maladies graves, dont le polio, avant de devenir un athlète de haut niveau.

Triple championne olympique en 1960 (100 m, 200 m et relais 4 x 100 m), un triplé réussi par seulement trois autres athlètes (Fanny Blankers Koen en 1948,

Betty Cuthbert en 1956 et Florence Griffith-Joyner en 1988. Médaillée de bronze sur 4 x 100 m en 1956.

Egalement recordwoman du monde du 100 m en 1960 (11s3) et 1961 (11s2) ainsi que du 4 x 100 m (44s4 en 1960 puis 44s3 en 1961).

Malheureusement, le samedi 12 novembre 1994, atteinte d’une tumeur au cerveau, Wilma Rudolph s’éteignit à Nashville. Elle avait 54 ans. Lors des funérailles, son cercueil fut recouvert du drapeau olympique.).

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ontherousteagain-blog · 8 years ago

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Second stage: Yosemite Valley

Une étape imprévue. On est tombé sur un topo vraiment alléchant: 23 longueurs en Face Nord du Half-Dome, 650m de paroi verticale en 5.9 max pour peu qu'on accepte d'artifer, le passage mythique de la Thank God Ledge qui a fait la une de national geographic avec Alex Honnold. Bref on s'est regardé, les yeux brillaient, l'affaire était entendue, fallait y aller ! Une longue nuit de route et on débarque au Yosemite pour le petit-déjeuner après s'être allégés de 30 dollars. El Capitan brille au soleil, les cascades sont énormes grâce à un printemps pluvieux et ça grouille de monde. Tout baigne. On déchante vite en se renseignant un peu. A priori il faut des permis pour tout. Ça prend du temps et c'est beaucoup d'argent. Et on s'est donné 3-4 jours max pour plier l'affaire. As usual Nothing ventured, Nothing gained. On présente le projet au wilderness centre qui contre toute attente nous déroule le tapis rouge. Les grimpeurs sont rois dans la Valley. Permis tamponne et qques poo bag en poche, c'est parti pour une longue et superbe marche d'approche. On se fait doucher par le mist d'immenses cascades, on fait du piquet à travers la foule de touristes, on fait la rencontre d'un énorme rattle snake et on finit la journée en hissant la nourriture au sommet de la première longueur. Hors de portée des ours qui sont paraît il aussi gourmands que curieux.

On se souhaite bonne nuit. Elle fut courte. Partis léger, on a dormi léger. Les nuits sont aussi glaciales que les journées sont chaudes. On claque des dents toute la nuit Le lendemain alors que Mel est au premier relais je dis stop. Si on se lance dans la face ça fera 3 nuits sans sommeil. Et en plus la.ligne qu'on a devant les yeux différe quelques peu du topo qu'on a sous les yeux. On en discute et on décide de remettre ça au lendemain. Sauf que, on va manquer de nourriture et on aura pas plus chaud. Bien manger c'est sacré, grelotter c'est péché. Le plan est sans accroc, je redescends à la voiture, je remonte des provisions, un duvet pour Mel et des sous vêtements thermiques pour moi. Pendant ce temps Mel summit le Half Dome par la voie normale. On est en plein farniente quand un petit miracle se produit. Le téléphone bip. On a du réseau et même la 3G. On en profite pour enquêter sur cette tâche blanche qui raye la face au deux tiers. Google nous apprend que deux longueurs de notre voie ont disparu à la suite d'un monstre éboulement en 2015. La bonne nouvelle c'est que ça passe encore moyennant un pendule et un jeté de noeud. Si si comme Bonatti en face Ouest des Drus. Aléatoire sûrement mais on est là pour s'amuser. Les des sont jetés, demain on tente. Comment vous décrire ce qui va suivre si ce n'est par une liste à la Prevert car rien ne s'est passé comme prévu. Une ascension sans queue ni tête complètement anarchique!!!! Même pour nos standards déjà bien élevés à ce niveau là 😂. 2ème longueur: je jardine dans du lierre qui tient par l'opération du saint esprit (merci à lui) Hors voie. 3ème longueur et premier plomb. Dur dur de grimper avec 10kg sur le dos. Mais bon c'est le prix pour un bivouac de luxe. 11ème longueur: pendule ok 12ème longueur: jeté de noeud ok au deuxième essai: trop forte. 13ème longueur: fourvoyage (en deux mots ça marche aussi parce que je me suis vraiment mis dans la peau d'un petit ramoneur ) dans une renfougne abominable où je joue au coinceur humain. J'aime ça mais ça gagne pas du temps… 15ème longueur: Mel décide de façon unilatérale qu'elle a marre de porter un gros sac et qu'il est temps de s'alleger. Et vlan un chausson (le mien bien évidemment) et une pédale* en bas la falaise (heureusement que je ne suis pas gay sinon ?!) * outils pour grimper en artificielle et façon indélicate de désigner une personne homosexuelle. 16ème longueur: je trouve qu'elle a bien raison et ce coup ci c'est les 4litres d'eau que j'avais péniblement hissé jusque là qui explose en bas de la Face. 17ème longueur il fait nuit et on déguste nos délicieux bourritos sur la SandyLedge. C'est superbe mais la bouche est bien pâteuse d'autant qu'un névé ruisselle à quelques mètres de nous et qu'on dort en face d'une immense cascade. Une torture qui s'éteint avec le sommeil 18eme longueur: je me réveille bien motivé Un peu trop peut être car je plombe en testant mon deuxième coinceur. Retour au sol et Cheville HS. La ça commence à faire beaucoup. 18 à 23 ème longueur. Je sers les dents et Mel assure en tête. Summit On célèbre pas puisque le crux pour moi est à venir. Un paquet de miles et de D- nous sépare de la voiture. Je commence à cloche pied. Au fur et à mesure de la descente, je me retrouve équipé de la tête aux pieds. Jugez plutôt de la solidarité des ricains: -des Pain killers rouges fluos que j ai pas osé prendre. Marco si tu me lis même toi tu les a pas dans ta pharmacie pourtant bien fournie 😉 -des Bâtons de marche - de l'eau ENFIN - une attelle top qualité - et ma chérie m'a aidé à finir avec de bons jus de fruits Compare à la grosse heure que j'avais mis l'avant veille, ce fut 6 bonnes heures de descente. Une technique enseignée par mon papa (bonne fête encore !!) M'a vraiment aidé. Y aller par petites étapes, en se fixant de petits objectifs et grappiller du terrain pas à pas… Je suis désormais une star du clochepied. J'ai une cuisse qui fait le double de l'autre. (Muscle) Une cheville aussi.(oedème) mais ça c'est une autre histoire. Et on s'en fout puisqu'on a fait la face Nord du Half-Dome. Merci encore à la puce pour avoir assure sur la fin. Sinon j'étais bon pour un petit survol de la Valley !!!!

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