#qui a tué mon père
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yungnitsch · 1 year ago
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excerpten uit Ze hebben mijn Vader Vermoord van Édouard Louis
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abridurif · 5 days ago
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Dire, se défaire
Je n’ai pas fait ce que j’avais dit ; je n’ai pas fait de confettis – pas vraiment, pas vraiment en grand nombre, pas comme je l’avais imaginé au départ : atteindre mon poids en confettis. Je n’ai pas fait ce que je m’étais promis. Je n’ai pas fait ce que je leur avais dit, aux membres du jury : détruire une partie de mes archives à l’aide d’un emporte-pièce, afin de les transformer en confettis. Je n’ai peut-être pas choisi le meilleur outil. Une table pour écrire, une autre pour désécrire. Assez vite, je me suis rendu compte que cela me prenait plus de temps de détruire une page manuscrite que de l’écrire. Un côté tâcheron que je revendiquais pourtant à cette occasion. Dans le même élan, je ne pouvais pas ne pas m’intéresser à l’histoire du confetti : fendre le mot, fendre la chose, me fendre de quelque chose que je ne connaissais pas encore, m’ouvrir à l’inconnu en me tenant au choix du plus petit. Une fois installé à la Villa Médicis, comme un coq en pâte, je devais faire comme si… là était ma place, mû par une mission plus grande que moi. Je m’étais alors imaginé convaincre les autres pensionnaires d’organiser un carnaval au printemps suivant, renouant ainsi avec cette tradition du carnaval à la Villa. Un bal masqué, avec une taxe à payer à l’entrée, j’ai assez vite abandonné l’idée, n’étant pas la bonne personne pour fédérer autour de ce projet qui me déportait là où je ne voulais pas aller. Et puis, comme je le redoutais, j’ai tellement été amené à parler de ce projet-confetti qu’à un moment je n’ai plus du tout eu envie de le réaliser. En en parlant à tout va, j’ai tué le désir. Comme antidote, je me suis tourné vers le grand frère Filliou et sa devise : Quoi que tu fasses, fais autre chose. De même, quand on écrit, il ne s’agit pas de devenir écrivain ou de se prendre pour tel, mais plutôt de concentrer ses efforts pour devenir autre chose, et ainsi s’adonner à sa propre métamorphose. Tout le monde, dans le microcosme de la Villa, s’était imaginé que l’ex-croque-mort, durant son séjour, se tiendrait à cette activité monomaniaque : celle de poinçonner ses archives, se délestant d’un monticule de papiers qu’il avait pris soin de glisser dans ses bagages. Au fil des jours, je me dédoublais, ou plutôt, je me désolidarisais de ce candidat-confettiste que j’avais tenté d’incarner au seuil du Palais. La tournure des événements m’a de toute façon obligé à bifurquer. Je n’ai pas fait ce que j’avais dit. Au fond, ce n’est pas très grave, je me suis débrouillé autrement. Mes deux parents étant morts à quatre mois d’intervalle, alors que je séjournais à Rome, je ne pouvais poursuivre mon travail de déblaiement, comme si de rien n’était. Dans les jours qui ont suivi la mort de ma mère, en février, j’ai écrit, sans me regarder écrire, cela m’a aidé à réaliser ce qui se passait en moi à cet instant ; de même, lors de l’agonie de mon père, l’écriture a été d’un réel secours. Façon d’être présent, en se dépouillant de tout artifice, de tout semblant, de tout faux-semblant. Fils assis à côté de son père, veillant sur lui. Père donnant le change jusqu’à la veille de sa mort. C’est dans les mois qui ont suivi qu’il m’a fallu leur faire de la place au-dedans. Cela ne se fait pas d’un coup de baguette magique.
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thebusylilbee · 28 days ago
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Le poète Mosab Abu Toha, qui a pu fuir Gaza quelques semaines après le début de l’anéantissement du territoire palestinien, publie un saisissant recueil de textes à la résonance aujourd’hui décuplée. Entretien.
« Dans le ventre de nos mères / Nous sommes hantés par la peur / De mourir / Avant de vivre »
Bien qu’écrit avant le carnage sans fin à Gaza, le recueil de poésie du poète palestinien Mosab Abu Toha, Ce que vous trouverez caché dans mon oreille (Éditions Julliard, traduit par Ève de Dampierre-Noiray), qui vient de paraître en français, résonne aujourd’hui avec une force décuplée.
Il montre la continuité entre le martyre inhumain que subit aujourd’hui la bande de Gaza, et les violences des années précédentes, que le jeune écrivain a vécues dans son être et dans sa chair, comme le montre encore la cicatrice d’un éclat de schrapnel qui l’a blessé à la base du cou.
Ayant pu fuir Gaza en décembre 2023, après les premières semaines de bombardement qui ont suivi le 7-Octobre, Mosab Abu Toha était récemment de passage en France. Entretien.
Mediapart. Un de vos poèmes s’intitule « Where is home ? ». Comment répondriez-vous à cette question aujourd’hui ?
Mosab Abu Toha. Lorsque j’ai écrit ce poème en 2022, ma maison était encore debout. Aujourd’hui, elle n’est plus qu’un tas de décombres. Et elle est située dans un lieu occupé par l’armée israélienne, et donc inaccessible. Non seulement ma maison n’existe plus, mais même l’accès aux décombres est interdit.
Nous avons perdu tant de lieux, tant de proches, dont nous ne savons même pas ce qu’ils sont devenus. Le mari de ma sœur a été enlevé alors qu’il se dépla��ait du nord de Gaza vers le sud avec ses enfants, et nous n’avons aucune idée de l’endroit où il se trouve.
Le cousin de ma femme a été enlevé alors qu’il se trouvait dans un convoi d’ambulances, après avoir été blessé lors d’un bombardement qui avait tué son père, sa mère et ses trois sœurs. Aux pertes réelles s’ajoute le fait que nous ne savons rien.
Quand on lit aujourd’hui votre livre, on a l’impression qu’il parle de Gaza maintenant, alors qu’il a été écrit avant le 7-Octobre et le carnage infligé à l’enclave palestinienne…
En tant que poète palestinien, je ne considère pas les poèmes comme un groupe de mots fixés sur la page, mais comme des choses qui se produisent au présent. Certains de mes poèmes écrits il y a plusieurs années, comme celui sur cette famille entière éliminée par Israël le 14 mai 2021, s’actualisent avec la disparition totale de milliers de familles depuis le 7-Octobre. Certaines des personnes dont je parle dans ce livre et qui étaient encore vivantes alors ne sont plus parmi nous, comme mes trois cousines germaines.
Si mon livre peut donner l’impression que c’est la même chose qui se passe aujourd’hui comme hier, c’est parce que je parle du même assassin – Israël – et de ses complices : les États-Unis et les pays européens qui arment et soutiennent Israël.
"Les Gazaouis n’attendent plus rien des Occidentaux ; ils ne s’inquiètent plus des frappes aériennes nocturnes ; ils attendent la mort."
Mais combien de fois les Nations unies ont-elles averti que Gaza était devenu, avant le 7-Octobre, un territoire invivable ? Qu’est-ce que le monde attendait des Palestiniens ? Sommes-nous destinés à vivre dans une cage et sous siège ? Nous ne sommes pourtant pas des animaux sauvages. La paix signifie-t-elle que nous devons juste accepter notre sort inhumain ?
Moi, j’ai 32 ans, je n’ai jamais vu un avion civil voler au-dessus de mon pays, puisque nous n’avons pas d’aéroport. Dans ma génération, je suis un des seuls à avoir trouvé du travail. Nous demandons juste à pouvoir vivre dans notre pays, à pouvoir en sortir parfois, à pouvoir y revenir, à pouvoir voyager, à pouvoir construire une maison, se marier, avoir des enfants…
Face à la masse de témoignages, visuels comme écrits, que nous avons sur la destruction de Gaza, sans que cela permette d’arrêter les massacres, comment continuer à écrire ?
C’est vrai que j’ai parfois envie d’abandonner. Je parle à tellement de gens à Gaza qui me disent qu’ils préfèrent aujourd’hui mourir que de continuer à vivre comme cela, en étant déplacés cinq fois, dix fois, vingt fois, et en étant privés de tout.
Beaucoup de personnes qui ont obéi aux ordres de se déplacer ont vu que cela n’empêchait nullement d’être tué et refusent de bouger à nouveau. Pourquoi courir en espérant sauver sa vie si, finalement, il n’y a que la mort devant ? Les Gazaouis n’attendent plus rien des Occidentaux ; ils ne s’inquiètent plus des frappes aériennes nocturnes ; ils attendent la mort.
Mais si je continue à écrire, c’est parce que je veux honorer toutes ces personnes dont l’histoire n’est pas racontée, dont les visages ne sont pas connus. C’est vrai qu’il est difficile d’écrire aujourd’hui, comme les survivants de l’Holocauste ou du génocide arménien, qui espéraient que leurs témoignages empêcheraient l’horreur de se reproduire. On voit ce qu’est devenu l’espoir du « plus jamais ça ». Mais cela fait maintenant quatorze mois qu’Israël est engagé dans un génocide, et comme poète, je me sens tenu de montrer ce que cela signifie.
Comment expliquez-vous l’inaction de la communauté internationale ?
Je pense que cela vient du racisme enraciné dans les cœurs et les esprits. Pourquoi l’Occident a-t-il de l’empathie pour certaines personnes et pas pour d’autres ? Pourquoi êtes-vous solidaires de certaines personnes et pas d’autres ? Comment pouvez-vous continuer à alimenter la propagande israélienne ? À parler encore et encore de bébés décapités ? Et pourquoi parler autant des victimes israéliennes et si peu des Palestiniens qui, même avant le 7-Octobre, ont été enterrés et décapités par des bombes israéliennes ? Les Palestiniens ne sont tout simplement pas perçus comme des êtres humains.
Et, en dépit du fait qu’une grande partie du monde ne nous considère pas comme étant des êtres humains, nous ne perdons pas notre humanité. Ce sont les Israéliens qui perdent leur humanité lorsqu’ils nous tuent comme cela, lorsqu’ils font exploser nos maisons, lorsqu’ils se filment en train de porter les sous-vêtements de nos sœurs et de nos mères, ou lorsqu’ils filment des vidéos où on les voit rire devant nos vies détruites.
"Je n’ai jamais rien vu de tel. Cela se passe en direct. Personne ne pourra dire qu’il ne savait pas."
Que tout cela se produise est une chose, mais que cela continue en est une autre. Pourquoi l’Occident continue-t-il de soutenir des personnes qui se comportent comme cela ? Je peux comprendre que des alliés d’Israël comme le sont les États-Unis affirment le droit de leur allié à se défendre.
Mais là nous parlons de personnes affamées, d’hôpitaux bombardés, d’abris scolaires anéantis, de gens assassinés seulement parce qu’ils se trouvaient dans la rue, et sur les corps desquels des chars roulent. Je n’ai jamais rien vu de tel. Cela se passe en direct. Personne ne pourra dire qu’il ne savait pas.
Au Cambodge, au Kurdistan, il y a eu des tentatives de dissimuler la volonté génocidaire. Mais là, les habitants de Gaza ont tout fait – ont fait l’impossible – pour montrer ce qui se passait, en dépit des coupures d’électricité, du réseau internet ou du téléphone.
Quand les habitants de Gaza réussissent à se connecter à certains réseaux, ils témoignent immédiatement de l’attaque aérienne qu’ils ont subie, ils consacrent l’énergie qui leur reste à télécharger une vidéo pour que des personnes à l’extérieur puissent la voir. C’est inimaginable.
Pensez-vous que la culpabilité occidentale vis-à-vis de la Shoah puisse expliquer le soutien sans faille aux actions criminelles d’Israël ?
L’Holocauste n’est pas mon problème en tant que Palestinien. Je n’ai tué aucun juif en Europe. Je suis solidaire de ce qu’a vécu le peuple juif. Mais lorsque mes parents ont été expulsés de leur terre en 1948, ils n’avaient ni radio ni télévision, ils ne lisaient pas les journaux, ils savaient à peine ce qui était arrivé aux Juifs d’Europe. Ils s’occupaient de leurs champs et allaient parfois nager dans la mer.
Si l’Occident se sent coupable vis-à-vis des Juifs, il a des responsabilités vis-à-vis des Palestiniens. Encouragez donc les Israéliens à faire la paix plutôt qu’à continuer de nous tuer par milliers. À chaque fois que j’entends un gouvernement occidental expliquer qu’Israël a le droit de se défendre, je me demande pourquoi on n’entend pas affirmer aussi que le peuple palestinien a le droit de vivre.
« À Gaza, on ne sait pas de quoi on est coupable », écriviez-vous. Jusqu’où peut aller selon vous la punition collective engagée par Israël au lendemain du 7-Octobre ?
Vivre à Gaza, c’est comme vivre dans un roman de Kafka. Je suis né dans un camp de réfugiés en 1992, mais je ne savais pas ce que cela signifiait, à savoir que je serais un réfugié à vie. Je ne pouvais pas imaginer que je serais blessé dans une frappe aérienne israélienne parce que l’Occident a persécuté les Juifs d’Europe.
Et c’est ce même Occident, et particulièrement les États-Unis, qui est complice de génocide, puisque lorsqu’on fournit des armes plutôt que d’exiger un cessez-le-feu, en réalité, vous êtes davantage qu’un complice, vous êtes aussi auteur de ce génocide.
La punition collective des Palestiniens a débuté en 1948 et continue donc de s’exercer depuis des décennies, il est donc difficile de s’imaginer jusqu’où elle peut aller.
"Célébrer notre résilience et notre capacité à endurer le pire ne nous est d’aucune aide."
La « somoud », cette « résistance-résilience » qui désigne la manière des Palestiniens et Palestiniennes de tenir à sa terre et de refuser l’occupation israélienne, en dépit d’un rapport de forces inégal, peut-elle persister, vu l’échelle des deuils et des destructions ?
Quand j’affirme que mon peuple tient bon et n’abandonne pas, même dans les circonstances les plus sombres, c’est pour désigner la manière dont les Palestiniens et les Palestiniennes sont capables de créer de la vie à partir de rien, même sous les décombres de leur maison.
Mais c’est vrai que les habitants de Gaza ont une limite, que la manière dont ils sont célébrés comme des héros peut masquer. Célébrer notre résilience, le fait que nous serions inébranlables, notre capacité à endurer le pire, et nous glorifier, ne nous est d’aucune aide.
Je n’écris pas pour qu’on me dise que ma voix est importante, que mes mots permettent de dire l’horreur, mais pour que vous fassiez quelque chose pour moi et mon peuple. Pour moi la langue est un outil, pas une fin. Ce serait peut-être différent si j’écrivais sur les animaux, les arbres, les oiseaux, les plantes, mais j’écris sur Gaza.
Je vous conjure ainsi de changer le monde, d’apporter la paix et la dignité à mon peuple. Nous n’en pouvons plus d’être réduits à la survie. Nous voulons vivre, aller au restaurant avec des amis, prendre un petit-déjeuner, regarder un match de football, emmener nos enfants au zoo. Je rêve de pouvoir attendre ma valise sur le carrousel d’un aéroport à Gaza, comme le font des millions de voyageurs dans le monde chaque jour.
Mais aujourd’hui je déteste le mot « paix », parce qu’il est vide de sens. Ce mot n’a plus de sens s’il n’est pas accompagné de justice. La paix sans la justice, ce n’est que de la merde. La « paix » que l’on attend des Palestiniens consiste seulement à mourir en silence, à mourir « pacifiquement », à mourir sans faire de problème.
Comment continuez-vous à écrire sur Gaza depuis que vous en êtes parti ?
Le paradoxe est que j’ai davantage accès à ce qui se passe à Gaza depuis que je suis parti que lorsque je m’y trouvais encore et que je n’avais un accès qu’aléatoire à Internet et au réseau téléphonique. Aujourd’hui, il m’est plus facile d’avoir accès aux nouvelles, de les traduire et de les partager. Il m’arrive d’être informé de nouvelles que les habitants et habitantes de Gaza ignorent. Lorsque j’appelle mon beau-père, qui se trouve dans le nord de la bande de Gaza, il me demande des informations sur ce qui se passe autour de lui. Je lui dis où se trouvent les chars, qui a été tué.
Depuis que je suis hors de Gaza, je ne peux rien faire d’autre qu’écrire. J’aimerais pouvoir protéger ma famille, mon peuple, mais je suis tellement impuissant. Imaginez que vous soyez un journaliste faisant un reportage sur un massacre, mais que vous connaissiez les gens qui sont tués : c’est ce que je vis aujourd’hui. Quand je m’informe sur les personnes qui sont mortes, je vois beaucoup de noms d’anciens élèves, de voisins, de cousins…
Comment avez-vous réussi à partir ?
J’ai quitté Gaza le 2 décembre de l’année dernière par l’intermédiaire de l’ambassade des États-Unis, grâce au fait que mon plus jeune enfant est citoyen américain et possède un passeport. J’ai pu partir avec lui. Ma seule valeur est d’être le père d’un citoyen américain, pas d’être palestinien.
Mais il ne faudrait pas croire que cette évacuation des personnes détenant un passeport occidental s’est faite par générosité ou par souci humanitaire. Cette évacuation n’a été motivée que par la volonté d’Israël de pouvoir massacrer à huis clos, sans risquer que la France, l’Allemagne ou les États-Unis protestent parce qu’il y aurait des morts parmi leurs concitoyens. Cela montre encore une fois que la vie des Palestiniens et des Palestiniennes n’a aucune valeur aux yeux du monde.
Qu’est-ce qu’on trouve aujourd’hui « caché dans votre oreille », maintenant que vous avez pu partir de Gaza et que le bruit des drones et des F16 s’est éloigné ?
J’entends toujours les mêmes sons : le bourdonnement des drones, l’explosion des missiles, le bruit des F-16, les sirènes des ambulances, les pleurs des enfants de Gaza, les cris des habitants. Tout cela je continue à l’avoir dans mon oreille, dès que je parle à ma famille qui est restée à Gaza. Mais s’ajoutent désormais d’autres choses : le bruit du métro à Paris, celui des avions qui décollent et atterrissent à New York, la musique dans un restaurant…
Joseph Confavreux
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aisakalegacy · 2 months ago
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Printemps 1929, Hylewood, Canada (3/5)
Papa est malade, et ce n’est pas bon du tout, je suis très inquiet. Depuis le début du mois de février, Papa a perdu du poids. Il est très fatigué et il a développé une toux persistante. Je l’ai amené de force consulter un médecin à Kingston car sa toux ne s’arrangeait pas, et son état général ne faisait que s’aggraver. Je vais te dire tout ce que le médecin a fait, car peut-être que ça dira quelque chose à tes tantes qui pourront juger de si les techniques sont bonnes, ou peut-être juger du diagnostique… Il a effectué des râles pulmonaires et une radiographie du thorax, puis il a réalisé un examen au microscope des expectorations qu’il recrache quand il tousse. D’après lui, c’est la tuberculose. Il m’a expliqué qu’il existe plusieurs stade de la maladie. Seul le dernier est mortel. Pour l’instant, Papa n’est pas en danger immédiat, et le stade actuel de sa maladie peut durer plusieurs mois voire plusieurs années. Il parait qu’il y aurait un gars à Québec qui aurait survécu plusieurs décennies avec la tuberculose, et qu’au final on ne sait même pas si c’est la tuberculose qui l’a tué, ou si c’est son grand âge. Papa sera peut-être de ceux-là…
Tu comprends donc pourquoi je suis atterré de le voir s’ostiner avec Marie, et l’oncle Joseph, et Constantin, et Adelphe, et tout le monde. Papa agit comme s’il s’en fichait, il prétend qu’il se moque bien de ce que les gens pensent et de se retrouver seul, mais je sais que c’est faux. Je lui ai demandé pourquoi il n’écrivait plus à Adelphe. Je n’ai pas pu en obtenir grand chose, mais avant qu’il m’envoie chez l’yâble, j’ai pu en tirer suffisamment pour déduire que cela viendrait d’une vieille rixe avec Constantin et qu’il est persuadé qu’Adelphe s’est rangé dans son camp. J’ignore sur quoi la querelle portait, j’ignore qui avait tort (et vu son caractère de cochon, je suis prêt à reconnaitre les torts de mon père sans problème). Il est trop fier pour s’excuser ou faire le premier pas. J’espère que ton père et ton oncle sont moins idiots que lui…
[Transcription] Irène Bernard : « Date de naissance du demandeur » ? Lucien LeBris : 7 septembre 1905. Je ne comprends rien à ces formulaires. « Superficie de la surface cadastrale »… Est-ce qu’il faut compter ce qui est dans l’eau ?
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kilfeur · 11 months ago
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Claudia et la mentalité de la victime (Claudia and victim mentality)
Si il y a bien une chose que je trouve que la série met assez en avant c'est que Claudia se présente en tant que victime contre les dragons et les elfes. Et en cherchant de ce côté là, il y a des traits qui m'ont fait penser à Claudia ainsi que la mentalité de la victime.
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Le premier qui vient à l'esprit est souvent qu'ils blâment leurs malheurs sur les autres. Pouvant même avoir un élitisme moral leur donnant un point de vue noir et blanc. Ce qu'on pu voir avec sa discussion avec Soren. Le fait qu'elle dit que l'humanité a souffert et que les elfes et les dragons n'ont pas levés le doigt à part Aaravos. Ou bien quand elle dit que la magie noire a sauvé son frère. Mais qui aussi n'hésite pas à se montrer cruel contre Ibis voir même sadique quand elle affronte un dragon. Et c'est justement parce que la raison, "elle fait ça pour sauver son père". Mais c'est souvent parce qu'on justifie de tels actes qu'on ferme les yeux sur des actes horribles.
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Viren n'en a pas mené large car c'est aussi par son influence que Claudia ira plus loin et c'est ce que craint Viren dans son cauchemar. Soren a pu se détacher de Viren avant qu'il soit trop tard mais Claudia s'y accroche désespérément. Rien que le fait qu'elle ait ramené à la vie montrant ses cheveux devenir blancs suite aux effets de la magie noire. A tel point que ça la consume ! La mort de Viren va plus la mener dans le désespoir. Comme on peut le voir dans le teaser de la saison 6, où on voit son regard vide, elle a perdu son phare, n'entendant même pas les paroles de Terry.
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L'un des autres traits est aussi le manque d'empathie, lorsqu'elle provoque Rayla en montrant sa famille coincé dans les pièces mais qu'elle la piège pour sauver Terry. Et elle était prête à partir en laissant Rayla comme ça. Ou bien dans l'épisode où elle retrouve Callum, Ezran dans la mer des bannis. Ou elle joue la carte de l'empathie et ainsi les manipuler. En disant que si ça avait été Harrow, est ce qu'ils auraient pas été tenté ? Mais dés que le plan ne marche pas, elle menace de les tuer jusqu'à ce Rayla coupe sa jambe. Et que Callum annule son sort. Ce qui pourrait s'attribuer des intentions négatives à l'oppresseur où, elle voit plus Callum et les autres que comme des ennemis.
Dans ce cas qu'en est-il de ceux qui l'accompagnent ? Viren était à l'état végétatif ne pouvant pas faire grand chose. Et c'est justement ce qui inquiétait Claudia mais aussi la frustrait car elle voulait se dépêcher pour sauver son père. Elle n'a plus son phare ! Monsieur Bavetout, dans l'histoire courte, on a pu voir qu'elle essaie d'entrer en contact avec Aaravos. Et que l'un des seuls dialogues avec lui était 'L'être qui va émerger de ce cocon est celui qui te guidera vers celui qui a les réponses". "N'aie pas peur, tu es une mage noire puissante. Avec mon aide, il y a rien que tu puisses pas réparer pas même la mort". Ce qui n'aide pas spécialement !
Terry alors ? Il a été une influence positive mais le truc c'est que dans cette relation, c'est que leurs principes et les valeurs morales ne sont pas plus défiés ou bien changer. Terry a toujours cru qu'elle avait une raison pour agir ainsi et bien qu'il a pu l'arrêter quand elle a trompé Rayla en lui donnant les vraies pièces cette fois ci ou bien qu'il l'arrête pour qu'elle évite de tuer un dragon. Et ce sont que des petits moments mais ne changent pas pour autant la mentalité de Claudia pour autant. Et bien que Terry a tué Ibis et que ça l'a fait mal, il arrive à la conclusion, qu'il continuera à ressentir des choses. Quand Terry lui propose de se reposer, elle est sur la défensive ne comprenant pas ce besoin. Jusqu'à ce que Terry trouve la solution de créer un bateau, bateau qui a fait tomber Viren lors de la chute de la cascade.
C'est justement ça que je trouvais qui se diffère avec le Rayllum où justement leurs points de vues envers les humains et les elfes changent peu à peu, ce qui rendait leur couple solide. Quand Terry s'était présenté dans la saison 4, j'ai toujours eu cette impression que Claudia voulait remplacer ce vide qu'elle avait avec Terry et c'était agréable. Mais ça dure jamais longtemps. J'avais comparé Viren à un phare, Terry je le verrais comme un ancre qui a permit de garder Claudia. Mais cet ancre est rouillé va peu à peu se briser.
Et dans tout ça à qui ça profitera plus la détresse de Claudia ?Aaravos. Claudia est dans un état vulnérable. Et Aaravos l'utilisera pour justement avancer dans ses plans. La question est ce qu'il va faire exactement ? Va-t-il renforcer sa mentalité de victime en redirigeant sa rancoeur et sa colère sur des innocents ? Ou bien Claudia si elle a la possibilité de lui parler, lui crachera tout son ressenti en blâmant Aaravos pour la mort de son père mais dira que celle qui a perdu du temps à le sauver, c'était elle ?
If there's one thing I find the series emphasizes enough, it's that Claudia presents herself as a victim against dragons and elves. And when I looked into it, there were traits that reminded me of Claudia, as well as the victim mentality.
The first that comes to mind is often that they blame their misfortunes on others. They may even have a moral elitism that gives them a black-and-white point of view. We saw this in her discussion with Soren. The fact that she says humanity has suffered and that elves and dragons haven't lifted a finger except for Aaravos. Or when she says that dark magic saved her brother. But who also doesn't hesitate to be cruel to Ibis, or even sadistic when she confronts a dragon. And it's precisely because the reason, "she's doing it to save her father". But it's often because we justify such actions that we turn a blind eye to horrible ones.
Viren doesn't have it easy, because Claudia's influence will also take her further, which is what Viren fears in his nightmare. Soren was able to detach himself from Viren before it was too late, but Claudia clings to him desperately. Just the fact that she's brought him back to life shows her hair turning white from the effects of dark magic. So much so that it consumes her! Viren's death will drive her further into despair. As we can see in the season 6 teaser, where we see her blank stare, she's lost her beacon, not even hearing Terry's words.
One of the other traits is also the lack of empathy, when she provokes Rayla by showing her family stuck in the rooms but tricks her into saving Terry. And she was ready to go, leaving Rayla like that. Or in the episode where she finds Callum, Ezran in the Sea of Castouts. Or she plays the empathy card and manipulates them. By saying that if it had been Harrow, wouldn't they have been tempted? But as soon as the plan doesn't work, she threatens to kill them until Rayla cuts off her leg. And until Callum undoes her spell. Which could be attributing negative intentions to the oppressor, where she sees Callum and the others as more than enemies.
In that case, what about those accompanying him? Viren was in a vegetative state, unable to do much. And this was precisely what worried Claudia, but also frustrated her, as she wanted to hurry to save her father. She no longer has her beacon! Sir Sparklepuff, in the short story, we saw that she tries to make contact with Aaravos. And that one of the only dialogues with him was 'The being who will emerge from this cocoon is the one who will guide you to the one who has the answers'. "Don't be afraid, you're a powerful dark mage. With my help, there's nothing you can't fix not even death." Which isn't particularly helpful!
What about Terry? He's been a positive influence but the thing about this relationship is that their principles and moral values aren't more challenged or well changed. Terry has always believed that she had a reason for acting the way she did and while he may have stopped her when she cheated on Rayla by giving her the real coins this time or stopped her from killing a dragon. And these are only small moments, but they don't change Claudia's mentality for all that. And although Terry killed Ibis and it hurt, he comes to the conclusion that he will continue to feel things. When Terry offers her a rest, Claudia gets defensive, not understanding the need until Terry comes up with the solution of creating a boat, the boat that knocked Viren over when he fell off the waterfall.
That's exactly what I found different about Rayllum, where their views of humans and elves gradually change, making their relationship strong. When Terry showed up in season 4, I always had this impression that Claudia wanted to replace the void she had with Terry, and that was nice. But it never lasts long. I'd compared Viren to a beacon, Terry I'd see as an anchor that kept Claudia. But this rusty anchor will gradually break.
And who will benefit most from Claudia's distress? Aaravos. Claudia is in a vulnerable state. And Aaravos will use her to further his plans. The question is, what exactly will he do? Will he reinforce her victim mentality by redirecting her resentment and anger onto innocent people? Or will Claudia, if she gets the chance to talk to him, spit out all her resentment, blaming Aaravos for her father's death but saying that the one who wasted time saving him was her?
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kaifougere666 · 2 months ago
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My main lore finally a plot for it's story.
French and English
ENG:
In my lore, gods have duties. They don't choose them. The Assembly assigned it to them. (the assembly is the upper gods and where the gods do their duties)
Morio Amos was a dimension traveler, meaning he traveled dimensions, took notes about it, and gave the infos to the assembly
Morio Amos was a demi-god, those, like gods cannot die. Unless the assembly decides so. (Essential part)
He got married to Marianne, a schizophrenic angel, and they had a son, Ludovic, who took a lot of his mother physically and more of his dad personality-wise.
Marianne was often abusive with her son, especially when she was drunk and when she had hallucinations.
Marianne and Morio had two other children, twins. Named Armonia and Toki.
Morio Amos died when the twins were 3, killed by the assembly, for some unknown reason.
Between the twins, Armonia was very interested in his father, and eventually took his nickname, Momo.
They didn't really know their dad, unlike Ludovic, who was already 680 years old when he died.
Marianne was careless with her children, and honestly didn't really care.
So they grew up, getting educated by Ludovic.
(As for Katsu, 5 years younger than the twins, she was created with Magic by Marianne and was kind of a clone of Momo in the early stages of her life.)
Momo looked like a copy of his dad, both physically, and became more like him mentally.
Momo went to magic school like any other god/demi-god and took back the duty of his father as a dimension traveler. He wanted, he needed to do it, to know more about his dead father and why the assembly killed him.
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FR:
Dans mon histoire, les dieux ont des roles/obligations. Ils ne les choisissent pas. L'Assemblée le leur a confié. (l'assemblée, c'est les dieux supérieurs, la où ils se situent mais également là où les dieux accomplissent leurs roles)
Morio Amos était un voyageur interdimensionnel, ce qui signifie qu'il voyageait dans les dimensions, prenait des notes à leurs sujet et donnait ces information à l'assemblée.
Morio Amos était un demi-dieu, ceux-là, comme les dieux, ne peuvent pas mourir. Sauf si l'assemblée en décide ainsi. (Partie essentielle)
Il s'est marié avec Marianne, une ange schizophrène, et ils ont eu un fils, Ludovic, qui a pris beaucoup de sa mère physiquement et davantage de son père au niveau de la personnalité.
Marianne était souvent violente avec son fils, surtout lorsqu'elle était ivre et lorsqu'elle avait des hallucinations. Marianne et Morio ont eu deux autres enfants, des jumeaux. Nommé Armonia et Toki. Morio Amos est mort quand les jumeaux avaient 3 ans, tué par l'assemblée, pour une raison inconnue. Entre les jumeaux, Armonia s'est beaucoup intéressé à son père, et a finalement pris son surnom, Momo. Ils ne connaissaient pas vraiment leur père, contrairement à Ludovic, qui avait déjà 680 ans à sa mort. Marianne était négligente avec ses enfants et honnêtement, elle s'en fichait vraiment. Ils ont donc grandi, éduqués par Ludovic.
(Quant à Katsu, 5 ans plus jeune que les jumeaux, elle a été créée avec la magie par Marianne et était une sorte de clone de Momo au début de sa vie.)
Momo ressemblait à une copie de son père, à la fois physiquement et est vite devenu comme lui mentalement.
Momo est allé à l'école de magie comme n'importe quel autre dieu/demi-dieu et a repris le role de son père en tant que voyageur dimensionnel. Il voulait, il avait besoin de le faire, en savoir plus sur son père décédé et sur les raisons pour lesquelles l'assemblée l'avait tué.
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lilias42 · 8 months ago
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Bon bah, une année de plus et maintenant, on est au quart de siècle ! Aux noms des dieux, si la vingt-troisième était très longue et difficile, la vingt-quatrième est passé à toute vitesse !
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C'était vraiment l'année des premières fois j'ai l'impression... première fois que j'ai passé un concours, même si je ne l'ai pas eu (j'ai réussi les écrits, pas les oraux) mais, ce n'est pas vraiment grave, c'était pour un emploi qui vraiment n'était pas fait pour moi et ne plus être dans cette voie m'a fait vraiment du bien.
Première fois que je ne fais pas une rentrée scolaire aussi vu que j'ai eu mon premier travail sur le long terme qui n'est pas un job d'été ou un service civique ! (et j'ai appris qu'il faut que j'aille au cinéma plus souvent l'après-midi, c'est toujours à ce moment-là que j'avais des appels pour un emploi et pour le coup, c'est celui qui m'a recruté ! XD) C'est pas dans ma branche de base mais, j'y suis plutôt bien depuis juillet, et ça me permet d'accumuler des sous pour reprendre mes études quand je pourrais / voudrais, ou alors me permettre d'avoir qu'un emploi à mi-temps pour avoir du temps pour préparer des concours dans mon coin. Ce sera peut-être pour cette année-là, même si je ne me suis pas réinscrite à la fac. On verra bien comment ça va tourner mais pour l'instant, j'aimerais continuer à me faire de l'expérience et voir ce que ça pourrait donner (surtout que je n'ai pas trop le courage de lire de gros livres en ce moment).
Sinon, je suis assez contente de ce que j'ai pu faire cette année du côté créatif ! J'ai pu expérimenté la BD avec celle sur Pan dont je suis toujours très fière, et j'ai fini mon UA avec berserkr!Rodrigue, une réconciliation générale chez les Fraldarius avec Glenn qui survit, et Lambert qui survit aussi pour se prendre toutes les claques qu'il mérite ! J'ai aussi mis ma version d'AM où Rodrigue survit sur AO3 ! Bon, ça fait un moment que je ne l'ai pas mis à jour vu que je me prend la tête avec le passage où Rodrigue et Alix avouent tout ce qu'ils ont sur le coeur à Dimitri vis à vis de Lambert et expliquent toute son histoire mais, je finirais bien par me débloquer. C'est surtout que je ne sais pas si je leur fais avouer à mi-mot à quel point ils en veulent à Lambert à cause d'une ligne que j'ai ajouté lors de la relecture, avec Rodrigue qui marmonne à Félix qu'il serait étonné s'il savait qui il haït le plus au monde, c'est à dire Lambert à cause de tout ce qu'il a fait et son inconscience qui a tué Glenn et Nicola. D'un côté, ça permettrait de répondre à la potentielle question "qui Rodrigue haït tant ?" mais d'un autre côté, ils viennent déjà de refaire le portrait de Lambert devant Dimitri - qui leur a demandé de lui raconté l'histoire de son père sans le ménager - alors, je ne sais pas si ça suffit et j'ai peur que ce soit trop dur s'ils disaient qu'ils ne pardonneront jamais à Lambert ce qu'il a fait et que même avant sa mort, leur relation s'était beaucoup dégradé à cause de son comportement. Je change d'avis tous les jours à ce sujet mais, je finirais bien par me décider... sinon, je laisserais le chapitre comme il est, il répond déjà à pas mal de question.
Pour l'instant, je suis plus dans un moment où je dessine bien plus que je n'écris mais, je m'amuse bien en le faisant, c'est tout ce qui compte ! J'essaye aussi de m'y remettre petit à petit en écrivant une petite histoire tournant autour d'une pierre de résurrection dans l'univers de FE3H, et j'essaye aussi de mettre mes idées en place pour une histoire originale très inspirée de ma manière de voir les Fraldarius mais, dans un autre contexte et sans le boulet du canon au pied ! J'ai aussi ma BD avec Pyrkaïa qui explose Lonato qui suit son cours et même si je n'ai pas trop continué ces derniers jours pour des raisons persos, j'espère réussir à la finir ! Après tout ce temps déjà mis sur les schémas, se serait bête d'arrêter ! Au moins, j'ai fait trois planches cette semaine qui se déroule après la bataille, avec Ashe qui s'isole après avoir vu Lonato qui lui a hurlé dessus après la bataille, avec Pyrkaïa qui vient le voir pour parler. ça lui fera vraiment beaucoup de bien de parler avec elle, surtout que Pyrkaïa est certifiée adulte responsable et devrait trouver les bons mots pour lui, surtout comparée à Lonato qui ne s'est pas fait explosé pour rien. J'essayerais de vous poster des planches, même si je vais avoir un long week-end assez chargé...
Et surtout, je suis contente d'avoir pu discuter avec plein de gens ! Que ce soit IRL ou sur internet ! Que ce soit mes collègues qui sont sympas pour la plupart, mes amis de longue date IRL, ou les gens de Tumblr ! Surtout @ladyniniane ! Je suis vraiment contente qu'on continue à discuter depuis aussi longtemps ! J'aime vraiment nos conversations, et tes idées sont aussi incroyables que toi alors, je suis contente que ça continue et j'espère que ça continuera encore cette année ! J'ai aussi un peu plus parlé avec les personnes qui suivent mon blog ou que je suis (notamment @mwezina qui fait un travail incroyable sur l'étude des cartes de tarot et leur rapport avec FE3H, j'adore ce qu'elle fait !) et je croise les doigts pour que ça continue !
En tout cas, encore merci à tous pour cette bonne année de vie d'écouler et place à la première de mon nouveau quart de siècle !
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lepartidelamort · 6 days ago
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L’horrible Marine Le Pen dénonce le « racisme nauséabond » de la gauche qui dit que les Mahorais ne sont pas français.
Pour nourrir ses noirs fétiches, le RN veut instaurer l'esclavage des Blancs.
C’est l’extrême-gauche les vrais racistes.
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Mayotte en France précédemment :
Rennes : un homme grièvement blessé après une rixe au couteau dans un Mc Donald’s 
Père de famille tué dans l’Aveyron : « Il n’y a aucune excuse à ce qu’a fait mon fils » 
Brest : pour le ramadan, organisation de combats de moukères de Mayotte 
À Rennes, un pédophile de Mayotte viole une lesbienne
Toulon : après avoir refusé de donner une cigarette, il se fait arracher le pied par un SDF mahorais
Montpellier : poignardée au cou pour un téléphone par un Mahorais déjà connu de la justice
Châlons-en-Champagne : un primate mahorais agresse sexuellement une femme enceinte
Rodez : une jeune Française brutalement violée en pleine rue par un Nègre musulman de Mayotte
Le patriotisme antiraciste saucisson-pinard est une maladie mentale.
Marine Le Pen arrive même à nier que les cafres de Mayotte appartiennent biologiquement au peuple comorien et ce, peu importe comment on le mesure : génétiquement, linguistiquement, géographiquement, religieusement.
Un drapeau tricolore, et voilà !
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Nous sommes plus proches des babouins de Mayotte que des Allemands – source : souverainiste moyen
Je jubile à la vue de la réalisation de ma prophétie, ici annoncée depuis longtemps. L’émergence du nationalisme mahorais intégral est un processus irréversible, dernier clou dans le cercueil de Charles Maurras.
Notez-le bien et archivez-le : la droite antiraciste acceptera (au futur, pas au conditionnel) d’abandonner Beauvais ou Limoges avant Mamoudzou. D’ailleurs il n’y a rien à abandonner à Mamoudzou, ils sont déjà tous noirs et musulmans.
Mamoudzou, comme Londres en 1940, devient le coeur battant du souverainisme français, pas Paris – de toute façon déjà livrée à l’Afrique noire.
C’est marron et ça pue, véritable Haïti de substitution, c’est l’omphalos du Frexit. Ce lupanar aimante d’instinct tous les obsédés de l’Une-et-Indivisible dans leur défi lancé à l’existence des races depuis 1789.
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La seule chose qui pourrait susciter un flottement quant à cette passion obsessionnelle, ce serait d’exiger de cette droite antiraciste qu’elle choisisse entre Israël et Mamoudzou. Ce serait un dilemme, surtout pour beaucoup d’homosexuels patriotes.
Très souvent ici, nous engageons des discussions pour lesquelles la très grande majorité des gens ne sont pas prêts. Mayotte, et par extension la litanie de ces glorieuses îles à sauvages « d’Outre-Mer », en fait partie et en bonne place, même si le miracle mahorais, de par sa dimension islamique, se hisse en haut du podium.
Macron est arrivé sur place et je peux déjà dire que la barrique Marine Le Pen va hurler de rage contre « l’insuffisance » des montants de cash qui leur seront donnés.
Ces noirs au français approximatif sont très en colère contre les Blancs qui refusent de donner à ces glorieux compatriotes tout le pognon qu’ils méritent.
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Macron parle en babouin à cette occasion.
Il a une longueur d’avance sur l’alcoolo-tabagique.
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Entendez-vous jamais Marine Le Pen parler de l’Auvergne, du Béarn, de la Savoie ou de la Bretagne ?
Cela n’existe pas dans sa géographie mentale.
Sans cocotiers, sans rhum et sans nègres rigolards, cela ne peut pas intéresser Dalida.
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Après Dreyfus, c’est Mayotte qui a conquis l’âme de la droite française pour ne plus l’abandonner. Plus tôt vous le comprendrez, plus tôt vous vous émanciperez de cette entreprise humaine désastreuse.
Miousette ne sait pas.
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Vous n’êtes pas tenu de devenir un aliéné au service de la négraille pour complaire aux gens atteints par la névrose souverainiste qui se font élire avec ses voix.
Le racisme vous délivrera de toutes vos chaînes, de toutes vos entraves dont les escrocs du souverainisme essaient de vous convaincre qu’elles sont aussi légères que des plumes.
Rien ne vous oblige à être l’esclave des nègres et sûrement pas la rente électorale du gang lepéniste.
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« Nourris ma bête, Aryen maudit ! »
Démocratie Participative
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jogallice · 2 months ago
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0️⃣ La lettre d’infO (la quotidienne annécienne) 🤍
Sélection journalière à destination de 12 réseaux sociaux et de 3 messageries instantanées en provenance directe de la version 3 de mon infolettre 📧
1️⃣ Les Journées (j’adOre) 💛
Aujourd’hui, lundi 28/10/24, Journée internationale de la langue et de la culture créoles (depuis 1983) 🗣️ Journée mondiale du cinéma d'animation (depuis 2002) 🎥 et Journée mondiale du judo (depuis 2011) 🥋
2️⃣ L’actu (point trop n’en faut) 🧡
"Diffamation, insultes, haine" : plusieurs élu·es de la Ville d'Annecy ont porté plainte après des faits de cyberharcèlement. Une démarche est en cours pour demander la levée de l'anonymat de certains comptes sur les réseaux sociaux 🧐
Jugé pour viols, agressions et atteintes sexuelles sur une élève mineure, un ancien enseignant à Annecy a été condamné vendredi à une peine d'emprisonnement de cinq ans par la cour d'assises de la Haute-Savoie. Le trentenaire, marié et père de famille, fait également l'objet d'une interdiction définitive d'exercer une activité en contact avec des mineurs 🧑‍⚖️
Vendredi soir, à Annemasse, un jeune conducteur de 19 ans a renversé et tué un cycliste de 23 ans alors qu'il conduisait sous l'emprise de l'alcool et de stupéfiants. Mis en examen hier pour homicide involontaire aggravé, il a été placé en détention provisoire ⚖️
3️⃣ L’agenda (l’agendalp pour les ancien·nes) 🩷
🖼️ Dernière semaine❗️ExpO : Joël Burger ➡️ À travers son art, l’artiste invite le spectateur à plonger dans un univers onirique et poétique, où chaque toile raconte une histoire et suscite une émotion ℹ️ Jusqu’au mer. 30/10/24 🎫 Accès libre 📆 Lun. 28/10/24 ⌚️ 8h30-12h & 13h30-17h 📍 Mairie déléguée d'Annecy-le-Vieux (place Gabriel Fauré) 👨‍🎨
🖼️ Avant-dernière semaine❗️ExpO : Réparer le futur ➡️ La prospective ou l'art d'imaginer demain : quel est l'avenir de notre ville et comment penser cette ville de demain pour tous ? ℹ️ Jusqu'au jeu. 07/11/24 🎫 Accès libre 📆 Lun. 28/10/24 ⌚️ 8h30-12h & 13h30-17h 📍 Mairie déléguée de Seynod (1 place de l'Hôtel de ville) 👨‍🎨
🖼️ ExpO de l'association Artistique de Meythet ➡️ Exposition de dessins et de peintures ℹ️ Jusqu’au lun. 11/11/24 🎫 Accès libre 📆 Lun. 28/10/24 ⌚️ 8h30-12h & 13h30-17h 📍 Mairie déléguée de Meythet (rue de l'Hôtel de Ville) 🎨
🖼️ Avant-dernière semaine❗️ExpO : Portraits de Martine Richard, une artiste pour qui la peinture est une véritable évasion ➡️ Passionnée par la magie de l'aquarelle, elle explore la fusion des couleurs et de l'eau, créant des œuvres où l'émotion guide chaque coup de pinceau ℹ️ Jusqu’au sam. 09/11/24 🎫 Accès libre 📆 Lun. 28/10/24 ⌚️ 9h-12h & 14h-19h 📍 Le Mikado Novel (2 place de l'Annapurna) 👩‍🎨
🖼️ Derniers jours❗️ExpO : Pérou précolombien, un autre regard sur le monde ➡️ Découverte des cultures ancestrales du Pérou et du monde foisonnant et mouvant de la cosmologie andine ℹ️ Jusqu’au jeu. 31/10/24 🎫 6,50€, 3,50€ & 0€ (-12 ans) 📆 Lun. 28/10/24 ⌚️ 10h-12h & 14h-17h 📍 Musée-Château d’Annecy (3 place du Château) 🏰
🧒Les secrets du Palais de l'Île ➡️ Visite pour enfant à partir de 8 ans, accompagné d’au moins un adulte (activité en autonomie) ℹ️ Carnet illustré à demander à l’accueil 🎫 4€, 2€ & 0€ (-12 ans) 📆 Lun. 28/10/24 ⌚️ 10h-12h & 14h-17h 📍 Palais de l’Île (3 passage de l'Île) 🏛️
🧒 Visite du château tout public ➡️ À partir de 8 ans : découverte du château d’Annecy et ses différentes façades  ℹ️ La visite guidée est incluse dans le prix du billet d'entrée ⏱️ 30 à 45 min 🎫 6,50€, 3,50€ & 0€ (-12 ans) 📆 Lun. 28/10/24 ⌚️ 10h30 📍 Musée-Château d’Annecy (3 place du Château) 🏰
🧒 Vacances d’automne ou de la Toussaint ➡️ Fabrique ta lanterne d’Halloween ℹ️ À partir de 5 ans 🎫 Anim. et visite : 10€, 8€, 6€ (6-15 ans) & 0€ (-6 ans) 🎟️ Sans réservation 📆 Lun. 28/10/24 ⌚️ 10h30-12h & 14h-17h 📍 Château de Montrottier (Lovagny) 🏰
🖼️ ExpO : Rouge ➡️ Le travail de Marcel Savy oscille entre le figuratif et une abstraction guidée, lui permettant d’aller à l’essentiel tout en laissant place au rêve dans ses toiles ℹ️ Jusqu’au sam. 16/11/24 🎫 Accès libre 📆 Lun. 28/10/24 ⌚️ 14h-18h45 📍 Artekné (Centre Bonlieu) 👨‍🎨
🗣 Terribles épidémies (en écho à la fête d'Halloween) ➡️ À travers les ruelles de la Vieille Ville, remontez l'histoire de la peste noire et d'autres épidémies qui ont frappé Annecy. Apprenez comment ses habitant·es ont fait face aux fléaux au fil du temps ℹ️ Visite conduite par Whitney Hahn, guide-conférencière de la Ville d'Annecy "Ville d'Art et d'Histoire" ⏱️ 1h30 🎫 7€, 4€ & 0€ (-12 ans) 📆 Lun. 28/10/24 ⌚️ 14h30 📍 Esplanade de l'Hôtel de Ville 🚶
🧒 Visite famille : le château à petits pas ➡️ Découverte du contenu d’une mallette pleine de surprises conçues spécialement pour aborder le château d’Annecy de manière ludique et éducative ℹ️ Guidés par une médiatrice, les enfants dès l’âge de 4 ans, accompagnés de leurs parents, approchent différentes thématiques liées au monument et à sa période médiévale ⏱️ 1h15 🎫 0€ (inclus dans le tarif d’entrée) 📆 Lun. 28/10/24 ⌚️ 14h30 📍 Musée-Château d’Annecy (3 place du Château) 🏰
4️⃣ La météO (pour celles et ceux qui veulent vivre) ❤️
Qualité de l’air à Annecy (indices ATMO) : la formation d’ozone restera modérée en lien avec des conditions météorologiques de saison. Les niveaux de particules fines augmenteront un peu dans la partie centrale de la région en lien avec des conditions moins dispersives. La qualité de l’air devrait être bonne à moyenne 💨
Dans la cité lacustre et ailleurs, au niveau de vos déplacements, privilégiez vélo, trottinette, marche à pied, etc. et au niveau de vos activités physiques, privilégiez les parcs, les zones piétonnes et les rues peu circulantes pour vos activités de plein air 🌬️
L’indice de risque pollinique à Annecy est nul (niveau 0) ➡️ Ambroisies, armoise, cupressacées, graminées, saule, autre : niveaux 0 ➡️ Indice communal valable du 26/10/24 au vendredi 01/11/2024 inclus 🤧
5️⃣ Les dictons (maximes et autres proverbes) 💚
Trois dictons du jour pour le prix de deux : « À la sainte Simone, il faut avoir rentré les pommes. » 🍎 « À la saint Simon, l’éventail se repose. » 🪭 et « À la saint Simon, les raves au timon. » 🧑‍🌾
Et trois autres dictons du jour pour la route : « À partir de la saint Simon, tu peux semer tes melons. » 🌱 « Le jour de la saint Simon, l’amour peut chanter sa chanson, le vin sera bon. » 🍷 et « Raisin cueilli à la saint Simon, ne donne pas un vin bien bon. » 🍇
Un problème avec les mouches : « À la saint Simon, une mouche vaut un mouton. », « À la saint Simon, une mouche vaut un pigeon, mais passé la saint Simon, le pigeon ne vaut qu’un moucheron. » et « Quand on voit des mouches à la saint Simon, les fermiers peuvent chanter une chanson. » 🪰
Il faudrait savoir : « Quand saint Simon et saint Jude n’apportent pas la pluie, elle n’arrive qu’à la sainte Cécile (22/11). » et « Quand saint Simon et saint Jude n’apportent pas la pluie, elle n’arrive qu’à la saint Éloi (01/12). » 🤔
Pour celles et ceux qui aiment l’hiver : « Saint Simon et saint Jude, l’hiver est arrivé. », « Saints Simon et Jude passés, l’hiver effectue sa rentrée. » et « Simon et Jude à eux deux, font arriver hiver rigoureux. » ❄️
Pour celles et ceux qui préfèrent la neige : « À la saint Simon, la neige sur le tison. », « Quand Simon et Jude sont arrivés, souvent ils portent la neige à leurs souliers. » et « Saint Simon et saint Jude mettent la neige aux arbustes. » 🌨️
6️⃣ Les fêtes (rigolO est le calendrier) 🩵
Je vous souhaite une très bonne journée annécienne et un excellent automne à Annecy, dans les 33 autres communes du Grand Annecy, en Savoie ou ailleurs 🍂
Bonne fête aux Jude et aux Simon·e (je ne sais pas pourquoi mais parfois il y a deux prénoms le même jour dans le calendrier) et demain aux Narcisse 😘
⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Bon premier jour de la semaine à tous et à toutes 🌱
7️⃣ Cohérence (histoire de simplifier) 💜
J’utilise les chiffres 0, 7, 8, 9 et 10 pour rendre plus lisibles les différentes parties de cette sélection (simple utilisation n’ayant absolument aucun rapport avec les parties “officielles”).
JamesO InfO V1 : jusqu’en 2012 🅰️
8️⃣ Migrations en cours (à marche forcée) 🤎
Les parties 7, 8 et 9 ne peuvent pas encore être diffusées totalement pour des raisons techniques. J’y travaille actuellement de manière régulière.
JamesO InfO V2 : de 2013 à 2022 🅱️
9️⃣ Abonnez-vous (nouveaux tarifs en 2025) 🩶
Les parties 10, 11 et 12 sont exclusivement réservées à mes abonné·es et ne sont plus diffusées sur les réseaux sociaux et autres messageries instantanées. 
JamesO InfO V3 : depuis 2023 🆎
🔟 L’ours (nette préférence pour le dahu) 🖤
JamesO InfO
N° 1.171 du lundi 28/10/24
L’actu, les infos, les nouvelles…
Par JamesO Média (Presse & Édition)
Responsable éditorial et légal : J.-O. Gallice
📷 JamesO PhotO à Annecy le 24/10/24 📸
JamesO © AlPy News ® StudiO 147 ℗ 2SC ��
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ameretat-raw · 5 months ago
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Neuville Saint Vast • 17 mai 1915
Le 12 après-midi, on nous annonce que nous allons attaquer la partie du village que les Boches ont encore. Tête de chacun !!
On part sans sac, au trot, à travers les rues bombardées, et où les balles sifflent. On se croise, s'interpelle de tous côtés : « ça va-t-i1 ? Oui - Non. Ils ont des mitrailleuses partout. »
Ma section arrive en courant derriére un mur clôtutant un grand jardin, lequel borde une rue. Un côté de la rue est à nous, l’autre aux Boches. On s’épie de chaque côté ! Je suis placé en observation dans un petit pavillon à moitié effondré, dans lequel sont étendus les cadavres de 2 Boches : un officier et un soldat qui paraît un enfant de 16 ans. A travers une ouverture de ce petit pavillon, je regarde si les Boches songent à nous attaquer.
J'en vois assez distinctement 3 ou 4 derrière une barricade placée sous une voute de porte cochère.
Mais je suis repéré; car toutes les fois que j’avance la tête ou la main, paf! Un coin de la fenêtre saute, emporté par une balle. […]
Il paraît qu’il y a devant nous, dans la maison un mitrailleuse boche, et que par conséquent, on ne peut pas songer à entrer. En effet, un des murs du verger où nous sommes est battu par des balles.
Plusieurs sont tués ou blessés en suivant ce mur.
Personne ne sait plus ce qu'il y a à faire. Notre chef de section, un sous lieutenant qui est au dessous de tout n'est pas 1à. Les sergents sont partis, sauf l'un de la 3ème Section. […]
Il parait que l'attaque n'a pas marché sur nos côtés ; nous n’avons cependant pas d’ordre pour nous replier, et d’ailleurs, le repliement est des plus dangereux.
J'avoue avoir passé un sal moment je voyais le moment où les Boches, arrivant nous auraient fusillé contre le mur !
— Jean Meunier, mon arrière arrière grand-père, Lettres de Guerre
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calimera62 · 8 months ago
Note
L'illiad où tout se passe de la même façon sauf que Apollon sauve le bébé d'Hector au moment où celui-ci est jeté du haut des murailles.
Athéna: qu'est-ce que tu fiches?
Apollon: je viens de sauver un bébé de même pas un an de la mort et tu me demande ce que je fais?
Athéna:
Athéna: ok dis comme ça, c'est moyen.
Apollon: Pas très sage.
Athéna: donc que vas-tu faire maintenant?
Apollon: Tu te souviens de Trolius, mon fils, que Achilles à tué?
Athéna: oui?
Apollon: je garde celui-là en échange! *disparaît avec le bébé*
--un peu plus tard--
Apollon: Salut fiston =)
Asclépios: Pere?
Apollon: Dis bonjour à ton nouveau petit frère, Astyanax 
Asclépios: Père? Qui est la mère? ou tu as eu ce bébé toi-même? Tu l'as adopté?
Apollon: Des détails tout ça
Hermès: le bordel que t'as fichu frangin
Apollon: Ecoute si la vie d'un bébé leurs importe tant, c'est qu'ils ont rien à faire de leur vie!
Hermès: papa a dit ''même moi je tenterais pas de prendre un bébé des bras de mon fils"
Hermès: Artémis a averti qu'elle enverrait des tas de flèches sur ceux qui soutiendrait le meurtre d'enfant. Elle a rappelé que les grecs étaient doués pour ça. Elle l'a mauvaise depuis la fille d'Agamemnon.
Apollon be like
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Un très bon AU. Que j'approuve et accepte dorénavant comme canon (moi ? traumatisée par n'importe quelle scène de mort d'Astyanax et qui a plein de feels en écoutant Just a Man ? Naaaaah)
Hermès, mangeant du pop corn (parce que les Grecs anciens ont toujours été en avance sur leur temps) et observant les différentes réactions des Olympiens : Haha good for you bro
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pedanther · 2 years ago
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I feel that "during trial" really doesn't capture the spirit here:
Les grandes douleurs sont tellement vénérables, qu'il n'est pas d'exemple, même dans les temps les plus malheureux, que le premier mouvement de la foule réunie n'ait pas été un mouvement de sympathie pour une grande catastrophe. Beaucoup de gens haïs ont été assassinés dans une émeute; rarement un malheureux, fût-il criminel, a été insulté par les hommes qui assistaient à sa condamnation à mort.
There is something so awe–inspiring in great afflictions that even in the worst times the first emotion of a crowd has generally been to sympathize with the sufferer in a great catastrophe. Many people have been assassinated in a tumult, but even criminals have rarely been insulted during trial.
Great sorrow is so august that, even in the most unfortunate times, there is no case recorded when the first reaction of the mass has not been to sympathize with a great catastrophe. Many hated people have been killed by the mob, but rarely has anyone unfortunate, even a criminal, been attacked by the men who were present when he was condemned to death.
I appreciate that Dumas found a moment, even in the midst of tragedy, to slip in a satirical comment, but I guess the older translator didn't:
Villefort n'était plus cet homme dont son exquise corruption faisait le type de l'homme civilisé
Villefort was no longer the civilized man
Villefort was no longer the man whose exquisite corruption made a model of civilized man
The older translator has a track record of trimming the flights of poetry, but you'd think the climactic motive rant of a revenger's tragedy would be the place to let the poetry take flight (also why, in this of all books, take out a bit about masks?):
Vous m'avez condamné à une mort lente et hideuse, vous avez tué mon père, vous m'avez ôté l'amour avec la liberté, et la fortune avec l'amour! ... Je suis le spectre d'un malheureux que vous avez enseveli dans les cachots du château d'If. À ce spectre sorti enfin de sa tombe Dieu a mis le masque du comte de Monte-Cristo, et il l'a couvert de diamants et d'or pour que vous ne le reconnaissiez qu'aujourd'hui.
You condemned me to a horrible, tedious death; you killed my father; you deprived me of liberty, of love, and happiness. ... I am the spectre of a wretch you buried in the dungeons of the Chateau d’If. God gave that spectre the form of the Count of Monte Cristo when he at length issued from his tomb, enriched him with gold and diamonds, and led him to you!
You condemned me to a slow and frightful death, you killed my father and you deprived me of love at the same time as you deprived me of freedom, and of fortune as well as love! ... I am the spectre of an unfortunate man whom you locked up in the dungeons of the Château d'If. When this spectre finally emerged from its tomb, God put on it the mask of the Count of Monte Cristo and showered it with diamonds and gold so that you should not recognize it until today.
A final note: Neither Buss's translation nor the French text on Project Gutenberg contains the sentence which ends the chapter in the older translation; both end resoundingly on "Pray God that I have not already done too much!"
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philaet0s · 10 months ago
Note
Hello! I have really enjoyed reading your fics on ao3! You are one of my favorite fanfic writers! Thank you very much for writing them.
For the writer ask game.
🥝🍉🍔
(Sorry if i come off as akward or something, I barely interact online)
Hi!! That’s so nice of you to say, thank you!! 🥰
(my phone refuses to show the emoji in a way that isn’t ridiculously big so I’ll write the questions without the emoji)
1. Who are your literary influences, and have they shaped your own writing?
I don’t know how to answer that question tbh because I’m not sure what “literary influences” is supposed to mean 😅 so I guess I’ll just rant about writers I admire, I like doing that
I can think of two specific writers whose work I’m really a fan of. The first one that came to my mind is Virginia Woolf because after 3 and a half years in university studying English lit, my brain is wired to think about English speaking writers first aha. When I read Mrs Dalloway for the first time I was blown away by Woolf’s writing style, the way she uses stream of consciousness is truly spectacular. I wish I could do that lol
The second one, and probably my favourite writer ever, is a French writer, Edouard Louis. I’m sure that one of his books was translated to English, not sure about the others, but I’d really recommend the novel that made him famous; En finir avec Eddy Bellegueule, or, in English, The End of Eddy.
His books are autobiographical novels in which he writes about different topics (growing up gay in a conservative, working class environment in the north of France, reporting a rape to the police as a man, the impact of politics on the working class, and more). I love his writing style because it’s very “simple” in the way that it is accessible. He says that he doesn’t want to write about the working class in a way the working class can’t read. I’m also really interested in the topics of his books, having grown up gay in a conservative, working class environment.
As for influencing, I don’t know how much they influence me. Perhaps Edouard Louis does in a way because reading his books made me want to add more elements about class into my stories
(I like joking that the man radicalised me, but honestly, the last few pages of his book Qui a tué mon père? would radicalise anyone, it’s a brilliant piece of political writing)
2. Are you a pantser or plotter?
After googling what pantser is, I can tell you that I am that! I usual have a general idea of the beginning, themes, and ending of my stories, and then I go with the flow for the rest. Once (for Live and Die) I tried planning everything, with a timeline and everything, but ended up not following that at all because I change my mind about things, or I think about an element that changes the trajectory of things, etc. I feel like a story is a living thing, it evolves as you work on it
3. What’s a headcanon that hasn’t made it to a published fic yet?
I’m thinking really hard about that question because I have put a lot of headcanons in my stories already aha, but I can’t find one specific thing, I’m sorry😅 I’ve been writing Snowbaz for so long, I’ve had time to cover my headcanons aha. All the ones I can think of I’ve already put in a fic
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lapleiade · 8 months ago
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"— Toute la famille de mon père est française, originaire de Solre-le-Château, près de Maubeuge. Au petit cimetière sont enterrés tous les miens. Nous avons été une famille extrêmement nombreuse. Tout cela est inscrit sur notre livre de raison, que je possède encore. On y marquait les naissances, la raison pour laquelle on avait donné tel nom aux enfants, et comment étaient morts les vieux. J'ai eu un ancêtre tué à Austerlitz, et ce jour-là, il lui naissait une fille, et on l'a appelée Souffrance. Une autre, née au moment des guerres de Napoléon, elle aussi, s'est appelée Victoire. Pendant quatre cent ans, des paysans appelés Degrelle ont cultivé le même champ. Dans le livre de raison, on a aussi gardé les lettres d'amour du fiancé à la fiancée. En même temps que de leur amour, ils se donnent des nouvelles du temps, de la récolte, ils disent : le blé, ou le seigle, seront bons cette année. Je pense, voyez-vous, qu'en France, au temps des rois, il y avait des millions de familles qui étaient pareilles à la mienne; et c'est pour cela que la France est un grand pays. [...] Quand on pense à ce qu'on a pu faire dans le passé, quand on pense qu'il y a eu les croisades, ces milliers d'hommes partis pour délivrer le tombeau du Christ, on ne peut plus désespérer des hommes : ils sont capables de tous les efforts."
Il parle avec un tel calme, avec une telle confiance en l'avenir... J'écoute ce jeune homme invisible, qui a appelé à son secours son enfance, son pays, qui m'a parlé avec tant d'émotion de la France, de son passé, de son héroïsme gracieux. Je l'avoue, je m'intéresse d'abord à la figure que forment dans le temps et l'espace les êtres humains. C'est de cela, quel que soit l'avenir, que je me souviendrai.
— Robert Brasillach, Notre avant-guerre
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luma-az · 1 year ago
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La légende d'Icare
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 20 août 
Thème : alignement/les ailes d’Icare
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Toutes les plumes ont été parfaitement alignées, cirées, et collées. Non, pas collées avec la cire, ça serait stupide. La cire sert à les imperméabiliser. Les plumes sont collées à la toile, qui est cousue sur les tiges de roseaux en forme d’aile. On met les bras dedans, et il n’y a plus qu’à tenir le tout pour planer. Non, le but n’est pas de battre des bras comme des andouilles en espérant s’envoler, c’est ridicule. Moi et mon père, nous avons grimpé au sommet de la plus haute tour du labyrinthe -  les gens oublient souvent que c’est un palais entier, pas seulement des couloirs – et nous nous sommes lancés. Les ailes servent à planer, pas à voler réellement. Mais c’est déjà extraordinairement grisant.
Je sais ce que les gens ont raconté de moi ensuite. Je sais que mon nom est devenu synonyme d’une ambition trop haute qui mène les gens à leur perte. Alors que ce n’est pas du tout ça qui est arrivé.
Déjà, même si je suis forcément plus jeune que mon père, je ne suis pas un gamin imbécile incapable de comprendre ce qu’il fait. Dédale a été enfermé après avoir créé le labyrinthe, au sommet de son art en tant qu’architecte, à un âge plus que mûr. Quand à moi, il me préparait pour prendre sa succession, autant dire que j’ai l’esprit carré et que j’aime les choses bien droites et bien alignées. Et j’étais largement adulte quand le roi m’a jeté dans le labyrinthe à mon tour.
Le truc qu’il ne faut pas oublier, c’est que toute la réputation de mon père reposait sur l’inviolabilité du labyrinthe. Un endroit si complexe qu’il est impossible d’en trouver la sortie. Le lieu idéal pour enfermer le monstre qu’est le Minotaure. Dédale a donc promis qu’il serait impossible d’en trouver la sortie… pour un minotaure. Qui est un monstre intelligent, mais qui n’est tout de même pas le couteau le plus aiguisé du panier, si vous me passez l’expression. Donc oui, on peut sortir du labyrinthe par la porte. Aucun palais, même le plus tortueux, ne peut suffire à vous retenir prisonnier si vous êtes un minimum dégourdi.
Mais mon père tenait absolument au truc des ailes pour sortir de là. Vous imaginez l’humiliation qu’il aurait subit s’il était tout simplement sorti par la porte ? Après toutes ses promesses au roi Minos et surtout tout l’or qu’il avait reçu pour son travail ? Parce qu’on ne peut pas nier que Minos payait ses dettes. Oui, il vous enfermait ensuite avec un monstre, mais il payait ses dettes.
Bref, Dédale et moi nous avons préparés nos ailes, nous avons grimpé la tour, et nous nous sommes jetés dans le vide. Alors pourquoi on a ensuite raconté que j’étais mort ? Si vous saviez…
On ne s’est pas enfuis tout de suite. On a d’abord testé les ailes. Il y a eu pas mal d’ajustements à faire, vous imaginez bien. C’était tout un travail de recherche et développement.
Et le Minotaure venait juste d’arriver dans le labyrinthe. Il n’était pas encore affamé et rendu fou par l’isolement. Il était si jeune, on venait de l’arracher au gynécée où il avait grandit. Il était si perdu…
Je lui ai fabriqué des ailes, à lui aussi.
Disons que ça n’a pas plu.
Et quand les flèches ont commencé à pleuvoir et que nous nous sommes écrasés en catastrophe, j’ai vu mon père qui continuait à filer loin, bien loin de ce bazar. Après tout, il m’avait répété de nombreuses fois que c’était une mauvaise idée. Il n’avait aucune envie de trainer dans le coin.
Ils ont remis le Minotaure dans son labyrinthe. Ils m’ont enfermé dans un cachot. Et ils ont raconté toute cette histoire sur moi qui serait mort. Je ne sais même pas pourquoi ils ne m’ont pas vraiment tué. Un moment de mansuétude de notre bon roi Minos, j’imagine. Il passe me voir, de temps en temps. Il me raconte le monde.
Vous êtes le premier étranger à arriver jusqu’à moi. Je veux bien vous donner mon secret pour fabriquer les ailes. Après tout, c’est ma fierté.
Mais je vous en prie, faites très, très attention où vous volez ensuite. Le danger, ce n’est vraiment pas le soleil.
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ltalaynareor · 8 months ago
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Althéiana Swan?
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Bonjour tout le monde,
Déjà première question qui est Althèïana ?
Pour vous répondre Althéiana est l'OC humaine de mon histoire La Secrétaire publiée sur AO3 et fanfiction.net. (Oui, je me fais honteusement de la pub 😁 )
Plus sérieusement, c'est la sœur aînée de deux ans de Bella Swan. Nous apprenons dès les premières lignes qu'Althéïana vit en Italie, à Volterra et qu'elle est la secrétaire des Volturi.
Quelles sont ses relations avec les Volturi ?
Au départ froide, mais elle trouve vite une seconde famille avec eux. A plus d'un titre évidemment 😉
C'est la compagne des rois ?
Oui en effet, Althéiana est la compagne des rois, mais aussi des reines.
(J'ai toujours trouvé horrible dans les fanfictions que les trois reines ou en tout cas celles vivantes soient littéralement obligées de partir ou tentent de tuer l'OC humaine qui est la véritable compagne des rois. Il me semble évident que si tu as passé des millénaires avec quelqu'un tu lui sois profondément attaché. )
Didyme est en vie ?!
Oui, Aro ne l'a pas tué. Parce que j'ai décidé qu'Aro n'avait aucun intérêt à le faire.
Quelles sont ses relations avec Bella et Charlie ?
Althéiana a d'excellentes relations avec son père. Toutefois, les relations entre les deux sœurs ne sont pas idéales et ne vont pas s'améliorer dans le futur. ( Oui, effectivement, je n'aime pas Edward, au demeurant, je n'apprécie pas Jacob non plus).
Avec Renée ?
Les deux se détestent avec la même intensité. Renée lui reprochant d'être l'une des causes de son divorce.
Avec les Cullen ?
Althéiana est une Volturi. Je ne ferais pas d'autres remarques.
A t'elle un don ?
Oui, elle en a un et elle en a très conscience. 😉
Deviendra t'elle un vampire ?
C'est la compagne de Caïus. Croyez-vous vraiment qu'il va la laisser humaine ?
J'espère avoir répondu aux quelques questions que les gens peuvent se poser en lisant l'histoire et si cela peut vous plaire. Voici le lien :
Bisous à tous.
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