#production musicale
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Erik Stocklin and Colleen Ballinger in Haters Back Off! (2016) Staring in a Musicall
S1E5
Bethany's plan to stage a family production musical "Annie" goes off the rails when Uncle Jim takes over.
*Still bad...as always!
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Flashdance - The Musical en tournée et le 27/04/2024 à Paris à la Seine Musicale
Flashdance, The Musical, fait son grand retour et a démarré une vaste tournée française ! De janvier à avril 2024, la comédie musicale hommage au film culte des années 80 passe partout, porté par les tubes inoubliables comme What a feeling. A retrouver le 27 avril 2024 pour deux représentations à 15h et 20h à Paris à la Seine Musicale.
Vous aimez les musiques des années 80, les comédies musicales et la danse ? Bingo ! Vous avez trouvé la sortie qui vous correspond. Le spectacle Flashdance The Musical, adaptation du célèbre film Flashdance, est en tournée partout en France !
Ce film d'Adrian Lyne sorti en 1983, avec Jennifer Beals dans le premier rôle, devient rapidement l'un des films de danse les plus célèbres. La bande originale comprend deux nouvelles chansons devenues des classiques : « Flashdance… What a Feeling » et « Maniac ». L'adaptation scénique voit le jour en 2008 en Angleterre, où les chansons du film se mêlent à des compositions nouvelles. Philippe Hersen, le metteur en scène nous dévoile une nouvelle version de la comédie musicale qui arrivera à Boulogne-Billancourt le 27 avril 2024 pour deux shows.
Toutes les dates de la tournée française :
Samedi 20 Janvier 2024 : Le Colisee – Roubaix (59)
Vendredi 26 Janvier 2024 : Zenith – Dijon (21)
Samedi 27 Janvier 2024 : Centre de Congres – Le Havre (76)
Vendredi 2 Février 2024 : Arkea Arena – Bordeaux (33)
Samedi 3 Février 2024 : L’acclameur – Niort (79)
Dimanche 4 Février 2024 : Palais des Congres – Chasseneuil du Poitou (86)
Vendredi 9 Février 2024 : Reims Arena – Reims (51)
Samedi 10 Février 2024 : Zenith – Amiens (80)
Dimanche 11 Février 2024 : Elispace – Beauvais (60)
Samedi 17 Février 2024 : Le Palio – Perigueux (24)
Jeudi 22 Février 2024 : Zenith Omega – Toulon (83)
Vendredi 23 Février 2024 : Le Dome – Marseille (13)
Samedi 24 Février 2024 : Palais Nikaia – Nice (06)
Jeudi 29 Février 2024 : Zenith – Nantes (44)
Vendredi 1 Mars 2024 : Le Liberte – Rennes (35)
Samedi 2 Mars 2024 : Brest Arena – Brest (29)
Dimanche 3 Mars 2024 : Zenith – Nantes (44)
Jeudi 7 Mars 2024 : Narbonne Arena – Narbonne (11)
Vendredi 8 Mars 2024 : Zenith Sud – Montpellier (34)
Samedi 9 Mars 2024 : Summum – Grenoble (38)
Dimanche 10 Mars 2024 : Zinga Zanga – Beziers (34)
Jeudi 14 Mars 2024 : Zenith – Lille (59)
Samedi 16 Mars 2024 : Palais des Congres – Montelimar (26)
Jeudi 21 Mars 2024 : Zenith d’Auvergne – Cournon (63)
Vendredi 22 Mars 2024 : Zenith – Saint Etienne (42)
Samedi 23 Mars 2024 : Cite Internationale – Lyon (69)
Dimanche 24 Mars 2024 : Arcadium – Annecy (74)
Vendredi 29 Mars 2024 : Lann Sevelin - Parc des Expos – Lorient (56)
Samedi 30 Mars 2024 : Espace Mayenne – Laval (53)
Dimanche 31 Mars 2024 : Le Liberte – Rennes (35)
Vendredi 5 Avril 2024 : Ekinox / Ainterexpo – Bourg En Bresse (01)
Samedi 6 Avril 2024 : Summum – Grenoble (38)
Jeudi 11 Avril 2024 : Zenith – Caen (14)
Vendredi 12 Avril 2024 : Vinci Centre de Congres – Tours (37)
Samedi 13 Avril 2024 : Zenith – Orleans (45)
Dimanche 14 Avril 2024 : Zenith – Rouen (76)
Vendredi 19 Avril 2024 : Zenith – Toulouse (31)
Samedi 20 Avril 2024 : Casino Theatre Barriere – Toulouse (31)
Dimanche 21 Avril 2024 : Palais des Congres – Perpignan (66)
Samedi 27 Avril 2024 : La Seine Musicale – Boulogne Billancourt (92)
youtube
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CALL laboratorio gratuito di giornalismo musicale
Questo blog tramite il canale YouTube Ubu Dance Party apre una chiamata pubblica per un laboratorio gratuito di critica e giornalismo. L’invito è rivolto a giovani appassionati di musica, musicisti, amanti di concerti e ascoltatori entusiasti a cimentarsi con la scrittura, sperimentando la narrazione transmediale e le potenzialità dei social media. Il laboratorio, gratuito, si svolgerà…
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J'y pense... Une production FR de Great Comet... Amel Bent en Sonya... GIMS en Pierre (il a TOTALEMENT la voix pour je veux RIEN entendre)...
#natasha pierre and the great comet of 1812#ce post est une BLAGUE#je ne veux PAS de star de la pop dans ma production de La Grande Comète de Mil Huit Cent Douze#mais genre... Gims qui chante en russe quoi skkdjskdjdjsk#et amel pourrait 100% chanter Sonya Alone (Sonya Toute Seule pour la VF)#breeeef si jamais vous avez des suggestions d'artistes FR pas hyper mainstream allez-y#(et qui soient plus dans la comédie musicale que la pop)
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Cómo ser un mejor productor: Consejos prácticos para principiantes
El año pasado decidí que quería aumentar mi producción musical. No podía dar ningún concierto (gracias, COVID), así que ¿por qué no componer más música? Me propuse escribir 20 canciones en 20 días. Temas completos y acabados. No pequeños garabatos de ideas. No bocetos. Algo que pudiera poner en SoundCloud para que alguien lo escuchara de principio a fin. El objetivo era crear un catálogo de material que pudiera vender a editoriales o publicar yo mismo, con la ventaja añadida de (con suerte) convertirme en un mejor productor musical por el camino. Tenía un reto y un objetivo. Podía hacerlo.
Me puse a ello con toda la valentía de un explorador que se lanza a una nueva aventura. El primer día llegué a mi estudio y me senté a empezar mi primera pieza musical.
Y entonces cundió el pánico. ¿Podría seguir así 20 días seguidos y seguir paseando al perro? ¿Y si algunos días no me daba la gana? ¿Y si las melodías apestaban?
Entonces miré mis zapatillas de correr y me di cuenta de que Nike lo resume muy bien: Just Do It.
Es así de sencillo.
Al final del proceso, había aprendido mucho. No sólo sobre los aspectos técnicos de la producción musical, sino también sobre lo que se necesita para mejorar en el oficio y convertirse en un productor musical de éxito. Al escribir esto, espero inspirarte y ayudarte en tu viaje con nuevos trucos para que fluya la creatividad cuando te sientas desanimado.
No olvide consultar la sección de consejos al final para obtener algunas ideas adicionales.
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Pour l'instant je ne crée rien, mais la marmite est sur le feu. J'organise, je trie, je redéveloppe, mais tout cela prend du temps. Musicalement aussi, la pression monte. J'écoute beaucoup de neofolk et de martial / indus pour l'instant et avec le gros Korg 61 touches ça débloque pas mal de choses.
Je pense par exemple que je vais passer en composition via midi plus souvent aussi pour les synthé mais je n'en suis pas encore là. Je vais sans doute me prendre un nouveau bureau avec tiroir coulissant spécialement conçu pour synthé chez Thomann et bien arranger mon espace avant de me lancer.
Bien que me lancer ne fonctionne pas. Il faut juste laisser bouillir le truc et puis ça déborde.
Pour l'instant on écoute des trucs et on empile les images.
Les productions arriveront sans doute d'ici à l'été.
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I just had the coolest idea ever. Imagine if you will a stage. But instead of a regular floor it is instead those little kid floor pianos. Entirely new ballets could be centered around both the beauty of the ballet and the beauty of the music. The music would only be played on stage by the floor pianos. If productions used other musicall instruments they would be publicly shamed.
#ballet#kid floor piano#random#idk how to tag this#idk#i am a genius#music#word vomit#3am thoughts#beautiful#ahhhhh#my brain is weird#I don't even know anything about ballet other than that one carebears episode
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Douglas R. Ewart & Ignaz Schick — Now Is Forever (Zarek)
Schick (l), Ewart (r)
When the Art Ensemble of Chicago arrived in Paris in 1969, their combination of free jazz, boundary-defying composition, sardonic humor and theater caused quite a stir. They and the other African American musicians who joined them were invited to share stages, parties and business endeavors with hippies, underground rockers, political radicals and record labels of varying degrees of sketchiness. One scene that did not rush to embrace them was the electronic music institution, Groupes de recherches musicales (GRM). Sure, there was that 1977 collaboration between Don Cherry and Jean Schwarz, but it took 46 years to make it to a record. One wonders what might have happened if the GRM had opened its doors to the first ambassadors of the Association for the Advancement of Creative Musicians (AACM). It might have sounded a little like Now Is Forever.
Ignaz Schick is one such wonderer. The German polymath’s own involvement with electronic sound was preceded by a youthful immersion in free jazz, and if you catch him in Berlin, where he now lives, he’s likely to bring an alto saxophone to a gig alongside his turntables and sampler. But Now Is Forever isn’t the product of wondering, but of action. In 2017 Schick took a break from a residency in Los Angeles to fly into Minneapolis for a couple of days, which he spent playing with Douglas Ewart. Ewart is a multi-instrumentalist, poet, sculptor and mask and instrument maker who grew up in Jamaica, then moved to Chicago as a teen, where he fell in with the AACM. He rose from being a student in the association’s school to being its chairman for a spell, and his integration of jazz sonorities, Afro-Caribbean rhythms and ceremonial staging carries on traditions initiated by the Art Ensemble in the 1960s.
While their encounter only lasted two days, there’s nothing rushed about the performances spread across Now Is Forever. Schick layers and ruptures classical piano recordings, orchestral surges, captured mechanical sounds and vinyl crackle into a seething, constantly changing backdrop. Ewart likewise moves between woodwinds, percussion and stern proclamations. His saxophone forays are like lightning rods, drawing and concentrating the powers flowing around him. His recitations direct the energy back outwards, projecting scorn towards phonies and environmental despoilers in general, Trump in particular, and the wasteful plasticity of contemporary living. He doesn’t just condemn, though; “Bamboo Paradise” suggests the titular plant as a sustainable alternative material against a backdrop of East Asian (maybe Vietnamese?) string samples. Spread across two CDs, the album is a journey, sometimes demanding, sometimes edifying, but ultimately asserting the viability of more encounters like this one.
Bill Meyer
#Douglas R. Ewart#Ignaz Schick#Now Is Forever#zarek#bill meyer#albumreview#dusted magazine#improvised music#electronic music#association for the advancement of creative musicians#AACM#art ensemble of chicago#groupes de recherches musicales#GRM
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LÉGENDES DU JAZZ
FREDDIE HUBBARD, UN GÉNIE MÉCONNU
‘’From the moment he played one note, you knew that was Freddie Hubbard. So he had a sound that was distinctive as Miles Davis, as Louis Armstrong, as Clifford Brown. I mean, he’s one of those trumpet players. He’s also an extraordinary powerful player - great stamina, great range. He swung very hard, was a beautiful ballad player {...}. He was quite a musician.’’
- Stanley Crouch
Né le 7 avril 1938 à Indianapolis en Indiana, Freddie Hubbard a commencé sa carrière musicale comme membre du groupe du Arsenal Technical High School à Indianapolis, où il a appris à jouer du tuba, du cor français et du mellaphone (une sorte de trompette), avant de fixer son choix sur la trompette et le flugelhorn. Freddie avait été initié au jazz par son frère Earmon Jr., un pianiste qui était un grand admirateur de Bud Powell.
Après avoir constaté son grand talent, le trompettiste Lee Katzman, qui avait joué dans l’orchestre de Stan Kenton, lui avait conseillé d’aller étudier au Arthur Jordan Conservatory of Music (devenu de nos jours le Jordan College of the Arts de l’Université Butler) avec Max Woodbury, le trompettiste principal de l’Indianapolis Symphony Orchestra. À l’adolescence, Hubbard avait participé à sa première session d’enregistrement en accompagnant les frères Wes et Montgomery. Il avait aussi collaboré avec le bassiste Larry Ridley et le saxophoniste James Spaulding. À la même époque où Hubbard participait à son premier enregistrement avec les frères Montgomery, il avait fondé un premier groupe nommé ‘’The Jazz Contemporaries’’ avec le bassiste Larry Ridley, le saxophoniste et flutiste James Spaulding, le pianiste Walt Miller et le batteur Paul Parker. Le groupe se produisait souvent au George’s Bar, un club très populaire sur l’Indiana Avenue.
UNE ASCENSION RAPIDE
En 1958, à l’âge de vingt ans, Hubbard s’était installé à New York. Hubbard avait connu un succès instantané en accompagnant les meilleurs musiciens de jazz de l’époque, dont Philly Joe Jones, Sonny Rollins, Slide Hampton, Eric Dolphy, J.J. Johnson et Quincy Jones. À la même période, Hubbard avait aussi partagé un appartement avec le multi-insrumentiste Eric Dolphy.
Sur la recommandation de Miles Davis, Hubbard avait signé un contrat avec Blue Note avec qui il avait enregistré son premier album comme leader en novembre 1960, intitulé ‘’Open Sesame.’’ Participaient à l’enregistrement le saxophoniste Tina Brooks, le pianiste McCoy Tyner, le bassiste Sam Jones et le batteur Clifford Jarvis. Six jours plus tard, Hubbard avait renvoyé l’ascenseur à Brooks en collaborant à son album True Blue. En l’espace d’un an, Hubbard avait enregistré deux autres albums, ‘’Going Up’’, avec McCoy Tyner et Hank Mobley, ainsi que ‘’Hub Cap’’, avec Julian Priester et Jimmy Heath.
Après avoir entendu Hubbard jouer avec le trompettiste Don Cherry, le saxophoniste Ornette Coleman l’avait invité à participer à son album ‘’Free Jazz.’’ En 1960-1961, Hubbard s’était également joint à Quincy Jones dans le cadre d’une tournée en Europe. Il avait aussi travaillé avec le batteur Max Roach.
En mai 1961, Hubbard avait collaboré avec John Coltrane sur son dernier enregistrement pour Atlantic, intitulé ‘’Olé Coltrane’’. Avec Eric Dolphy et Art Davis, Hubbard avait aussi été invité à participer au premier album de Coltrane pour Impulse, intitulé ‘’Africa-Brass.’’ En août 1961, Hubbard avait enregistré ‘’Ready for Freddy’’, sa première collaboration avec le saxophoniste Wayne Shorter, qui est considéré comme un des sommets de sa carrière. À la fin de la même année, Hubbard était devenu un partenaire régulier de Shorter lorsqu’il avait remplacé Lee Morgan avec les Jazz Messengers d’Art Blakey. Hubbard avait enregistré plus de dix albums live et en studio avec Blakey durant la période la plus productive du groupe. Les années 1960 avaient aussi été une période faste pour Hubbard, qui avait enregistré huit albums comme leader pour Blue Note, et plus d’une vingtaine comme membre d’autres formations. Hubbard était demeuré avec Blakey jusqu’en 1966, alors qu’il avait décidé de former l’un des nombreux petits groupes sous son nom. Faisaient également partie de la formation son ancien associé de Blue Note, James Spaulding, le pianiste Kenny Barron et le batteur Louis Hayes. Le groupe avait enregistré avec Atlantic.
C’est à cette époque que Hubbard avait commencé à se libérer des influences de Clifford Brown et de Lee Morgan et à développer son propre son. Il avait aussi remporté le prix du meilleur trompettiste de jazz décerné par le magazine DownBeat.
Pendant les années 1960, Hubbard avait aussi participé comme accompagnateur aux plus importants albums de l’époque, dont ‘’The Blues and Abstract Truth’’ d’Oliver Nelson, ‘’Out of Lunch!’’ d’Eric Dolphy, ‘’Maiden Voyage’’ d’Herbie Hancock, et ‘’Speak No Evil’’ de Wayne Shorter. Même s’il n’avait pas ouvertement adopté le free jazz, Hubbard avait participé à deux de ses albums-phares : ‘’Free Jazz’’ d’Ornette Coleman et ‘’Ascension’’ de John Coltrane, en plus de collaborer à l’enregistrement d’une des compositions les plus avant-gardistes de Sonny Rollins, intitulée ‘’East Broadway Run Down’’ (tirée de l’album du même nom), avec Elvin Jones et Jimmy Garrison, deux membres du célèbre quartet de John Coltrane.
‘’I don’t know how I met all these people’’, avait plus tard expliqué Hubbard. ‘’But a lot of them came to get me, too. They sought me out because they saw I wanted to experiment, and during that period, I was changing my style of the trumpet. I was trying to play the trumpet like a saxophone.’’
Le style de Hubbard avait changé après qu’il se soit établi à Hollywood dans les années 1970. En Californie, les trompettistes jouaient un rôle plus effacé et plus discret, et Hubbard avait dû s’adapter. Il racontait : ‘’You know, lifestyle out there is different from mine than in New York. I was in the Hollywood Hills, above the Bowl. I could look at the ocean on this side. I can hear the concerts free at the Bowl. And I had a big swimming pool. I had parties all the time, and the trumpet just was in the corner a lot of the time, when it should have been on my lips.’’
Hubbard avait connu son plus grand succès commercial dans les années 1970 lorsqu’il avait participé à une série d’albums pour la compagnie CTI Records de Creed Taylor, ce qui lui avait permis d’éclipser Stanley Turrentine, Hubert Laws et même George Benson. Même si ses premiers disques des années 1970, ‘’Red Clay’’, ‘’First Light’’ (qui avait remporté un prix Grammy en 1972 comme meilleure performance instrumentale par un artiste de jazz) et ‘’Sky Dive’’ avaient été plutôt bien reçus et étaient considérés comme ses meilleurs, les albums que Hubbard avait enregistrés plus tard (il avait même flirté avec le jazz-fusion en collaborant avec Red Clay dans le cadre de l’enregistrement des albums ‘’Straight Life’’, ‘’Sky Dive’’ et ‘’First Light’’) avaient été critiqués en raison de leur approche trop commerciale. L’album ‘’First Light’’ mettait en vedette les pianistes Herbie Hancock et Richard Wyands, les guitaristes Eric Gale et George Benson, le contrebassiste Ron Carter, le batteur Jack DeJohnette et le percussionniste Airto Moreira. En 1994, Hubbard avait renoué avec la chanteuse et compositrice Catherine Whitney, qui avait également collaboré à l’album ‘’First Light.’’
Après avoir signé avec Columbia, en 1977, Hubbard s’était joint au groupe tout-étoile V.S.O.P., aux côtés d’Herbie Hancock, de Tony Williams, de Ron Carter et de Wayne Shorter. Tous les membres du groupe à l’exception d’Hubbard avaient fait partie du quintet de Miles Davis au milieu des années 1960. Plusieurs des enregistrements en concert du groupe avaient été publiés plus tard. En 1978, Hubbard avait également collaboré à la pièce ‘’Zanzibar’’ du chanteur Billy Joel. La pièce était tirée de l’album ‘’52nd Street’’ qui avait remporté un prix Grammy l’année suivante comme meilleur disque de jazz.
PROBLÈMES DE SANTÉ ET DÉCÈS
Dans les années 1980, Hubbard avait fondé un nouveau groupe, cette fois avec Billy Childs et Larry Klein. Accueilli chaleureusement par la critique, le groupe avait présenté plusieurs concerts aux États-Unis et en Europe, souvent en compagnie du saxophoniste ténor Joe Henderson, avec un répertoire composé de pièces de hard bop et de jazz modal. Hubbard s’était également produit au festival de jazz de Monterey en 1980 et en 1989 (cette fois avec le vibraphoniste Bobby Hutcherson). Avec Woody Shaw, Hubbard avait enregistré deux albums pour Blue Note. Les deux hommes ont aussi joué en concert en duo de 1985 à 1987. Toujours en 1987, Hubbard avait co-dirigé l’enregistrement de l’album ‘’Stardust’’ avec Buddy Golson. L’année suivante, Hubbard avait de nouveau équipe fait avec Art Blakey à l’occasion d’un concert en Hollande, ce qui avait donné lieu à l’enregistrement de l’album ‘’Free the Wind.’’ La même année, Hubbard avait joué des solos de flugelhorn et de trompette sur deux pièces de l’album ‘’Reg Strikes Back’’ d’Elton John. En 1990, Hubbard avait fait une apparition au Japon dans le cadre d’un concert mettant en vedette le batteur Elvin Jones, le saxophoniste Sonny Fortune, les pianistes George Duke et Benny Green, les contrebassistes Ron Carter et Rufus Reid, et la chanteuse Salena Jones. Hubbard a également joué au festival de jazz de Varsovie, dans le cadre d’une performance qui avait été immortalisée sur l’album ‘’Live at the the Warsaw Jazz Festival’’, publié en 1992 par les disques Jazzmen.
Au début des années 1990, Hubbard, qui était déterminé à recommencer à jouer ce qu’il qualifiait de ‘’vrai jazz’’, s’était installé à Philadelphie et avait contribué à l’émergence de nouveaux talents en intégrant à sa nouvelle formation le contrebassiste Christian McBride, le saxophoniste Javon Jackson, le batteur Carl Allen et le pianiste Benny Green. Hubbard a également collaboré avec le New Jazz Composers Octet, avec lequel il avait joué et enregistré un album collectif dirigé par le trompettiste David Weiss.
En dépit de plusieurs problèmes de santé dont une blessure à la lèvre supérieure qui avait dégénéré en infection en 1992, Hubbard avait continué de jouer et d’enregistrer à l’occasion, même s’il n’était plus au sommet de son art comme il l’avait été au début de sa carrière. Découragé, Hubbard s’était mia à boire et avait contracté un ulcère qui avait failli causer sa mort. Hubbard expliquait: ‘’I started drinking Jack Daniel’s to feel good, you know ? Jack Daniel’s and Coca Cola. And I had an ulcer. I went over in London and I fell out. I’ve never passed out, but I lost four pints of blood. And the doctor said, ‘You’re going o clean up your body, because otherwise you’re looking to go.’ So I said, ‘Well, I’m not ready to go, so let me cool out.’’’
Refusant de se laisser abattre, Hubbard avait contribué à garder vivant le flambeau du jazz en contribuant à des cliniques et à des résidences dans de nombreux collèges américains.
Incarnation vivante du hard bop, Hubbard avait remporté plusieurs honneurs au cours de sa carrière. En 2006, la National Endowmnent for the Arts lui avait accordé la plus importante distinction remise à un musicien de jazz aux États-Unis, le NEA Jazz Masters Award. Au début des années 1970, il avait même supplanté Miles Davis dans les sondages organisés afin de désigner le meilleur trompettiste du monde du jazz.
Freddie Hubbard est mort le 29 décembre 2008 à Sherman Oaks, en Californie, à la suite de complications dues à une attaque cardiaque survenue le 26 novembre précédent. Il était âgé de soixante-dix ans. Peu avant son décès, Hubbard avait enregistré un dernier album intitulé ‘’On the Real Side.’’
À la fin de sa vie, Hubbard avait développé des liens étroits avec la Jazz Foundation of America. Hubbard expliquait: ‘’When I had congestive heart failure and couldn't work, The Jazz Foundation paid my mortgage for several months and saved my home! Thank God for those people." À la fin de sa vie, la Fondation avait d’ailleurs assuré les soins de Hubbard par l’entremise de son fonds d’urgence. Après sa mort, les héritiers du trompettiste avaient demandé que des dons admissibles pour fins d’impôt soient faits en son nom à la Jazz Foundation of America.
Considéré comme un des trompettistes les plus importants et les plus innovateurs du bop, du hard bop et du post-bop, Freddie Hubbard s’était progressivement affranchi de l’influence de géants comme Miles Davis et Clifford Brown qui avaient été ses modèles au début de sa carrière pour forger sa propre personnalité musicale. Au cours de sa longue carrière, Hubbard a enregistré plus de cinquante albums sous son nom en plus de collaborer avec les plus importants artistes de jazz de son époque. Peu après sa mort en 2008, le magazine Down Beat avait qualifié Hubbard de ‘’trompettiste le plus puissant et prolifique’’ de l’histoire du jazz (il avait enregistré plus de 300 albums en tout et pour tout, tant comme leader que comme collaborateur). Le critique de jazz Stanley Crouch le considérait comme le trompettiste le plus important et le plus original des quarante dernières années. Crouch précisait: ‘’From the moment he played one note, you knew that was Freddie Hubbard. So he had a sound that was distinctive as Miles Davis, as Louis Armstrong, as Clifford Brown. I mean, he’s one of those trumpet players. He’s also an extraordinary powerful player - great stamina, great range. He swung very hard, was a beautiful ballad player and seemed to have very few limitations in terms of getting through material, whether the material was very simple material or very complex material. He was quite a musician.’’
Le trompettiste Wynton Marsalis considérait Hubbard comme une des principales influences. Il expliquait: ‘’All the trumpet players in the ‘70’s, you can hear Freddie Hubbard’s sound and everything worth playing. He’s such a phenomenal trumpet player - just the largeness of his sound, the velocity and the swing.’’
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SOURCES :
‘’Freddie Hubbard.’’ Wikipedia, 2022.
‘’Freddie Hubbard, Trumpeter born.’’ National Endowment for the Arts, 2022.
VITALE, Tom. ‘’Freddie Hubbard : A Jazz Icon Remembered.’’ All Things Considered, 11 août 2001,
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HSM (2006) rewatch pt 5
5: Audition time!
The ad cuts are taking me out hahaha
We see Sharpay give Darbus some sort of gift, we can guess she’s one of those students where the teachers think she’s the most loveliest thing on the planet but to other students she’s a nightmare
Ah, the first of the classic silly Chad shirts – “I come with my own background music”. How much time does he spend picking these out? And the watches from earlier?? If you think about it the only other guy with an outfit quirk is Ryan- /shot
Chad you’re a terrible spy
Obsessed with this kid who can’t speak because otherwise they’d have to pay the extra more. They actually try to dub over with a voice but it’s so faint it's not even subbed, looks like this kid just randomly grabs Chad’s hand to greet him it’s so funny, but Chad is just like “Oh, hi! :D”. Actually I am now proclaiming this guy is mute.
There’s an auto shop in this school???? So apparently some schools with a focus on trades do have these, huh pretty cool
I love Kelsi’s fit. It’s just so her <3
The first girl is me when I try to sing
Girl with the pink flower's singing skills are about right for the plays I did tbh, it was a small thing in a church hall and not a single one of us kids were actually good at it. But it was fun!
Hey what was with the 2000s and thinking bad opera singing was the height of comedy? We’re only missing their glasses breaking
Darbus: What... courage! To pursue a note that has... not been accessed in the natural world! Bravo, uh, brava! Darbus: Perhaps the spring musicale?
SAVAGE. Also, spring musicale? SO THERE IS A SPRING ONE. WHEN?? If you’re doing AUDITIONS for the winter one in JANUARY, when is the spring one supposed to be??
Mad respect to this ballet guy. Maybe they let him join the ensemble? This reminds me, I caught Billy Elliott on TV the other day and I'm planning on watching Jump In soon, I'm just watching the same old themes this month huh
Darbus: Well that was just... very disturbing. Go see a counsellor
HELLO??? 😭😭😭 I mean I see they were going for the originality points and tried to do some interpretative dance, honestly it’s not too far from GCSE drama productions that always seem to have something to do with peer pressure, drugs or a car crash lmao
Reaction montage because same:
OK now that Gabriella’s here I want to point out that Troy did actually come here of his own accord, of course he’d hoped Gabriella would be there as he was checking the audition sheet earlier, but I see this as being an “it’s less scary if it’s the two of us” thing, rather than him only being interested in the musical because of Gabriella. Sure, she sparked his curiosity as he realised how much he enjoyed the karaoke singing, but once he got to the theatre he wasn’t looking around searching for her - I think due to the sequels where Gabriella has to convince Troy to do the performance and he’s all reluctant at first, we kind of forget that initially, he was the one to take the first step, even if he’s too scared to actually audition here. I kind of wish they’d kept this and progressed it into the sequels so he’s more confident with his love of theatre going forward, but instead they keep repeating the whole “ahhhh I don’t sing” thing.
Gabriella: So you decided to sign up for something? Troy: Uh... no. You? Gabriella: No...
Hahaha Troy and Gabriella are basically like “No I won’t do it uh, unless you wanted to”
Haha, little callback to when she asked him why he's whispering and he said his friends don't know about the singing thing.
RYAN DID THAT CARTWHEEL ONE HANDED??? KING!!!!
Okay Sharpay and Ryan’s version of What I’ve Been Looking For is more fun than Kelsi’s original for sure, but look Kelsi wrote the song that way for a reason – it probably fits the vibe of the scene and the emotions of the characters at that point in the story. So to see your vision ignored, and your song reworked without consulting you, that’s a pretty big insult for an artist. Like, that’s her song! Her creation! Also Sharpay and Ryan don't have the chemistry for the roles for obvious reasons, and their choreography can be a bit… idk... literal? At the line “that you were always there beside me” they often look at each other like “Oh! Haha there you are!” which is a bit of a shallow interpretation of the song imo. Like I get their limitation because they’re siblings, but that’s just showbiz you can’t expect to fit every single main role you audition for? Anyway it’s B tier for me, catchy enough but nothing show-stopping.
I like how there’s little hints at conflicts between the two though, like Sharpay stopping Ryan so she can walk out first, bumping into him during the number and her telling him not to do the jazz squares but Ryan doing it anyway. He’s not completely subservient to her.
Sharpay is so mean to Kelsi and y’all wanna say she was the victim here? She’s an elitist that doesn’t encourage new talent or cooperation, she just likes to be on top.
Gabriella: I'd like to audition, Ms Darbus!
I feel like they could have portrayed Gabriella’s motivations a bit better because they’re a tad unclear for me – with Troy we had scenes about his conflict and we can see he’s genuinely curious about singing on stage, but Gabriella seemed pretty certain she didn’t want to do anything like that right at the start of the year, plus she’s got major stage fright. So what exactly got her to go to the audition? Did she guess Troy would be there? If anyone's got any thoughts or meta on that I'd love to hear it
Troy is so kind to Kelsi aw, taking the time to boost her confidence. It’s not like he knew she’d play them the music, he genuinely just saw someone being mistreated and wanted to boost them up. In the novelisation, Kelsi is freaking out because THE Troy Bolton is talking to her and turns out he's just a nice sweet guy who doesn't think he's above everyone else, it's sweet.
OK I know people laugh at them being able to sightread here, but they already heard how the tune goes as they saw Sharpay and Ryan’s audition, and this is essentially just the same thing slowed down, with some prompts from Kelsi. It’s not thaaaaat farfetched.
So for Troy and Gabriella’s version of the song? I’m sure this version suits that part of the musical more, they have great chemistry when singing it and they can sing well, so I can see why Darbus would consider them. It’s just that in my personal rankings I wouldn’t really listen to this so it’s C tier, but that doesn’t mean it’s bad. The song does exactly what it needs to do at this point in the story.
Aw Kelsi’s so excited! Even inviting them to her house for breakfast practice ^^
#high school musical#hsm#high school musical (2006)#hsm liveblog#troy bolton#gabriella montez#kelsi nielsen#sharpay evans#ryan evans#chad danforth#dori watches hsm#my posts
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Nos Cours de Génie Sonore pour Étudiants Internationaux offrent un programme reconnu à l’échelle mondiale, conçu pour les futurs professionnels de l’audio. Ces cours couvrent une large gamme de sujets, notamment le mixage audio, le mastering, la conception sonore et la production musicale, avec un accent sur l’apprentissage pratique et l’utilisation des outils de l’industrie. Que vous soyez débutant ou étudiant avancé, nos instructeurs experts vous guideront à travers chaque aspect du génie sonore. Rejoignez notre communauté internationale d’étudiants et acquérez les compétences nécessaires pour exceller dans le domaine en constante évolution du génie sonore.
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iBuyPower Y40 PC de jeu ordinateur de bureau Y40WI7N46T01 (Intel Core i7 13700KF, RTX 4060Ti 8 Go, 32 Go DDR5 5200 RVB (16x2), SSD NVMe 2 To, Windows 11 Home).
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Domination graphique : « Submergez l’opposition avec des visuels à couper le souffle rendus possibles par la carte graphique RTX 4060Ti de NVIDIA, diffusant des pixels en douceur pour un réalisme immersif. »
Mémoire HyperSpeed : « Accédez rapidement à de vastes réserves d’informations grâce à deux modules DDR5 5200 MHz de 32 Go, ce qui accélère considérablement les taux de transfert. »
Banque de données massive : « Récupérez instantanément les fichiers sauvegardés via le SSD NVMe ultra-rapide de 2 To, ce qui accélère considérablement les phases de démarrage. »
Mise à niveau du système d’exploitation : « Lancez des applications de manière transparente à l’aide de la dernière itération du système d’exploitation de Microsoft, Windows 11 Home, en introduisant de nouveaux paradigmes d’interface optimisés pour les écrans tactiles. »
Refroidissement personnalisable : « Configurez les dispositifs de refroidissement de manière flexible, dissipez efficacement la chaleur et maintenez les vitesses d’horloge pendant les sessions de jeu prolongées. »
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ETERNITIES + earthworm + AUGUSTÉ VICKUNAITÉ + SIMONAS NEKROŠIUS + ALANAS GURINAS
MARDI LE 05.03
ETERNITIES us earthworm us AUGUSTÉ VICKUNAITÉ lt SIMONAS NEKROŠIUS lt ALANAS GURINAS lt
TREIZE 24 rue Moret 75011 M° Couronnes / Ménilmontant
19:30 PORTES
20:00 ACTION !
P.A.F.6€
ETERNITIES us utah nyc " deep presence, resonant feedback, melodic drone, and overtone magic, in the fluid realm between intention and indeterminacy. We use harmonic tones from wind instruments played within feedback systems to create deep spectral drone. "
Duo composé de Katie Porter ( clarinette basse ) et Bob Bellerue ( electronics, feedback ).
Musicienne spécialisée surtout dans la musique expérimentale / contemporaine ( interprétant p. ex. les musiques de John Luther Adams, Jason Ajemian, Mike Kelley, Michael Pisaro, Larry Polansky, Stephanie Richards, Morris Rosenzweig, Arthur Russell, James Tenney, Maayan Tsadka, Christian Wolff, entre autres ) mais pas que ( " She exists mainly in the experimental realm, but can sometimes be found elsewhere. " ) , Katie Porter est aussi curatrice, passionnée par la création de communautés musicales - elle a cofondé p.ex. Listen/Space (Brooklyn) et est commissaire des Listen/Space Commissions, responsables de 46 nouvelles œuvres pour groupes de chambre mixtes.
Elle co-dirige également le Symposium biennal VU pour la musique expérimentale, improvisée et électronique (Park City, Utah) et travaille sur un projet de longue haleine ( jeu de mots intentionnel ) pour clarinette solo dans l'installation Sun Tunnels ( 1976 ) - en cours de restauration - de la land-artiste, Nancy Holt, dans l'Utah.
Plusieurs projets dont le duo RED DESERT ENSEMBLE ( “a finely poised musical partnership”- THE WIRE, ) avec le percussionniste/compositeur Devin Maxwell, qui a publié un album sur le label de feu Phil Niblock, XI.
Bob Bellerue est artiste sonore / noisician, ingé-son, technicien et entre autres choses, curateur, entre autres, et notamment LE responsable principal de l'immensissime festival de musiques oufissimo-interlopissimes, ENDE TYMES.
Sa pratique sonore tourne souvent autour des systèmes de rétroaction résonnante, utilisant des instruments, des objets, des enregistrements et des espaces amplifiés, en combinaison avec des composants électroniques et des logiciels écrits dans le langage de programmation de synthèse audio Supercollider.
Au cours des 30 dernières années, il a été impliqué dans la création et la présentation d'un large éventail d'activités sonores – entre noise, art sonore, musique expérimentale, percussions junk metal, gamelan balinais, bandes son pour la danse/théâtre/vidéo/art de la performance et installations vidéo / son.
Il a publié moult enregistrements, notamment chez Elevator Bath Records, iDeal Recordings, Banned Productions, Fabrica, P-Tapes, RRR Records, Love Earth Music, Prison Tatt Records, Los Discos Enfantasmes, Zelphabet, Peyote Tapes, No Rent Records ou sur ses propres labels, Anarchymoon Recordings and Sleepy Hollow Editions.
earthworm us uk Nouveau duo / projet collaboratif composé de Christi Denton, artiste sonore et compositrice polyvalente originaire des États-Unis et de France, et de Margaret Fiedler McGinnis ( US / UK ), auteur-compositeur et multi-instrumentiste connue pour son travail avec au mitan des années 90s MOONSHAKE et LAIKA ensuite, et plus récemment avec PJ Harvey & Wire ( excusez de peu).
Dans une pièce spécialement composée pour Le Non_Jazz aux Nautes, elles s'aventureront dans le domaine de l'improvisation structurée. Conçu pour faire écho aux pousses vertes tendres de la saison, SPRINGS promet une expérience sonore immersive. Denton et Fiedler McGinnis créent une partition graphique unique pour l'électronique réactive, la guitare et d'autres éléments qui n'ont pas encore été révélés. Cette approche innovante s’entremêle avec les battements de cœur des musiciens et d’autres rythmes organiques, créant une interaction dynamique entre les interprètes et l’esprit éveillé de la saison. https://www.christidenton.com/
AUGUSTÉ VICKUNAITÉ lt Performeuse / collagiste sonore, avec une formation en sciences physiques ( ! ). Elle utilise principalement des magnétophones à bandes pour jouer, enregistrer et créer des compositions instantanées à base de d'enregistrements de terrain divers, dysfonctionnements de la technologie vintage ou encore des sons d'instruments enregistrés dans des environnements naturels.
Sa performance contiendra des boucles de bandes audio et des collages effectués à partir de de bandes trouvées.
SIMONAS NEKROŠIUS lt Artiste interdisciplinaire de Vilnius, spécialisé dans l'art sonore et la construction d'instruments électro-acoustiques et d'objets sonores faits maison.
Son travail est souvent associé aux notions de « ready-made » et de « DIY ». Il perçoit la créativité et les objets d'art comme un processus, réduisant ainsi l'importance des résultats finalisés dans ses projets. En conséquence, son travail a tendance à être indéterminé et transformateur au fil du temps.
https://www.youtube.com/@SimonasNekrosius
ALANAS GURINAS lt Jeune artiste interdisciplinaire, adepte des performances sonores et des installations audiovisuelles.
Dans sa démarche, il explore le son en tant que phénomène textural, les thèmes de l'éphémère et les relations entre divers objets et espaces audibles et inaudibles.
A slightly light tone ( Strained paper sheets, weights, vibro motors, various sound objects )
est une performance sonore acoustique live qui utilise le papier comme matériau principal pour produire du son. Différents types de papiers sont placés entre deux pinces en bois et, à l'aide de poids, sont tendus jusqu'à ce qu'ils trouvent leur état de résonance. En conséquence, différents tons, drones et textures générés par du papier en suspension sont produits. (La durée de la représentation est de +- 30 minutes)
Fly - Jo L'Indien
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Jessica Biel pour Eclat Magazine, Canada - Printemps 2003
FRENCH
AUX COTES DE Jessica Biel
Ex-vedette de 7th Heaven, Jessica est comblée : études supérieures, carrière en pleine ascension et un petit ami qui la dorlote.
Origines: Jessica est née au Minnesota le 3 mars 1982 et a grandi au Colorado. Elle vient tout juste de quitter l'Université Tufts de Boston pour poursuivre ses études en Californie où elle a acheté un condo.
Surnoms: Jess ou Jessie. Personne dans mon entourage ne m'appelle Jessica. C'est trop long et trop formel
Révélation: Le rôle de Mary Camden dans 7th Heaven décroché en 1996. (Désormais hors de l'équipe régulière. elle y fait quelques apparitions en tant qu'invitée.)
Où l'a-t-on vue? En adolescente rebelle dans Ulee's gold; la conquête de Freddie Prinze Jr. dans L'Amour à coup sûr; en étudiante sexuellement aventureuse dans Les lois de l'attraction.
Bientôt à l'affiche: En octobre, dans une reprise du classique Massacre à la tronçonneuse (1975). « Je suis fana de films d'horreur. Ç'a été génial de travailler sur ce projet. Le rôle et le tournage ont été les plus exigeants de ma carrière.
La proposition rêvée : jouer dans une comédie musicale à Broadway, comme Rent. (L'année dernière, elle figurait dans une production universitaire de Tommy.) *La musique a toujours occupé une place énorme dans ma vie depuis mon enfance. C'est ma plus grande passion.
Études: Aller à l'université n'est pas une question de diplôme mais, avant tout, une expérience. J'y apprends des choses que je n'aurais pas pu apprendre autrement. Enrichir mon esprit me rend plus forte..
"Quand mes cheveux m'ennuient, je change de couleur. Mais, je les teins aussi suivant les rôles. Pour l'instant, ils sont brun foncé et, dans quelques jours, je passe au blond."
Une peau superbe en cadeau : À l'âge de 12 ans, j'ai reçu de ma mère, à Noël, un ensemble de soins pour la peau. Je me souviens avoir pensé : "Me voilà une femme maintenant!". Je ne pourrai jamais la remercier assez de m'avoir montré comment prendre soin de ma peau. Aujourd'hui, je suis une vraie maniaque: nettoyant, tonifiant, hydratant, plus une crème pour le contour des yeux. Et j'applique tou- jours-toujours - une crème solaire pour la journée. »
Confidences : Mon petit ami (Chris Evans, la vedette de Pas encore un film d'ados!) a horreur du rouge à lèvres, alors j'ai adopté le baume.
Plein d'énergie : « L'exercice est un excellent antistress. J'ai l'impression de pou- voir me débarrasser de tous mes tracas si je me dépense à fond. Je fais du ballet tous les soirs-c'est épatant pour renforcer et étirer les muscles. Le jour, je cours dans Santa Monica, je-vais au gymnase ou je fais une séance de yoga bikram; j'adore ça!»
"Si vous êtes aussi fervente de la coloration que moi, il est important de revitaliser vos cheveux en profondeur. Une fois par semaine, je me couvre la tête de revitalisant que je laisse agir sous un bonnet. Parfois, je me fais donner un traitement professionnel."
Sport à gogo : J'aime presque tous les sports. Si quelqu'un joue à quelque chose, je le rejoins. J'ai joué au soccer pendant toutes mes études; j'aimerais bien faire partie d'une ligue adulte. »
Musique : « Je connais un tas de musiciens avec qui j'aimerais former un groupe. Je me fous de faire un tube vendu à un million d'exemplaires. Je veux simplement jouer de la bonne musique qui fait du bien.
Linge fétiche: Les maillots de corps pour hommes, blancs et très grands. Ça va avec tout.
ENGLISH
By the side of Jessica Biel
Former star of 7th Heaven, Jessica is fulfilled: higher education, thriving career, and a doting boyfriend.
Origins: Jessica was born on March 3, 1982, in Minnesota and grew up in Colorado. She has just left Tufts University in Boston to pursue her studies in California, where she bought a condo.
Nicknames: Jess or Jessie. Nobody in my circle calls me Jessica. It's too long and too formal.
Breakthrough: Landing the role of Mary Camden in 7th Heaven in 1996. (No longer a regular cast member, she made guest appearances on the show.)
Where has she been seen? As a rebellious teenager in Ulee's Gold; Freddie Prinze Jr.'s love interest in Summer Catch; and a sexually adventurous student in The Rules of Attraction.
Upcoming projects: In October, she will star in a remake of the classic The Texas Chainsaw Massacre (1975). "I'm a horror movie fan. It was great to work on this project. The role and the filming were the most demanding of my career."
Dream proposal: To perform in a Broadway musical, like Rent. (Last year, she appeared in a university production of Tommy.) "Music has always played a huge role in my life since childhood. It's my greatest passion."
Education: Going to university is not just about getting a degree, but primarily an experience. I learn things there that I wouldn't have learned otherwise. Enriching my mind makes me stronger.
"When I get bored with my hair, I change its color. But I also dye it according to the roles I play. Right now, it's dark brown, and in a few days, I'll go blonde."
A beautiful skin gift: At the age of 12, my mother gave me a skincare set for Christmas. I remember thinking, "Now I'm a woman!" I can never thank her enough for showing me how to take care of my skin. Today, I'm a true fanatic: cleanser, toner, moisturizer, plus an eye cream. And I always, always apply sunscreen during the day."
Confession: My boyfriend (Chris Evans, the star of Not Another Teen Movie!) hates lipstick, so I've switched to using lip balm.
Full of energy: "Exercise is an excellent stress reliever. I feel like I can get rid of all my worries if I exert myself. I do ballet every night—it's great for strengthening and stretching muscles. During the day, I go running in Santa Monica, go to the gym, or have a Bikram yoga session; I love it!"
"If you're as passionate about hair coloring as I am, it's important to deeply revitalize your hair. Once a week, I cover my head with conditioner and let it work under a cap. Sometimes, I get a professional treatment."
Sports galore: I love almost all sports. If someone is playing something, I'll join in. I played soccer throughout my studies; I would love to be part of an adult league."
Music: "I know a bunch of musicians with whom I'd like to form a band. I don't care about creating a million-selling hit. I just want to play good music that feels good."
Favorite clothing: Men's white undershirts, oversized. They go with everything.
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[✎ ITA] Weverse Magazine : Recensione : Se Guardassimo nel Cuore di Jimin, Questo È Ciò che Troveremmo | 30.11.23⠸
🌟 Weverse Magazine 🗞
Se Guardassimo nel Cuore di Jimin, Questo È Ciò che Troveremmo
__ Recensione del "Jimin's Production Diary __
__ di RANDY SUH | 30. 11. 2023
Twitter | Orig. KOR
Se dovessi descrivere Jimin in una parola, userei “accattivante”. Ha un aspetto ammaliante ed è un ballerino fantastico, ma ciò che apprezzo di più di lui è il modo in cui canta. La sua voce è diabolicamente seducente. La sua impronta canora è unica, delicata come il tratto raffinato di una penna ad inchiostro, eppure risoluta, e trovo ci sia una tumultuosa bellezza in tutto ciò— il tipo di carisma che non passa inosservato. Qualsiasi sia il brano che sta cantando, la sua voce vi dona quella che potremmo descrivere solamente come luce. Che si tratti di un leggero luccichio come di stella nel firmamento o di un lampo improvviso. Alla canzone “Angel Pt. 1”, colonna sonora dell'ultimo film della saga Fast & Furious, Jimin riesce a portare come una scossa improvvisa, anche se il suo a parte pentatonico non fa che ripetere la stessa melodia più e più volte. Ma quello è il potere della sua voce.
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I 10 anni di carriera di Jimin sono costellati da una serie di momenti mozzafiato ed iconici: la coreografia “333” al minuto 3:33 del video musicale di “FIRE”; i delizioso triplo attacco all'inizio di “Blood Sweat & Tears” rappresentato dai suoi passi di danza, la sua voce e la sua espressione facciale; le sue movenze, pari allo sfarfallio delicato di petali di ciliegio, in “Spring Day”; l'espressività della sua struggente performance in “Black Swan”; le varie esibizioni preparate per cerimonie di premiazione e spettacoli di fine anno come la cover di “Perfect Man” e la sua danza con i ventagli. Nel mondo idol, Jimin è un vero e proprio maestro ed è considerato uno degli artisti pop più grandi di questa generazione. Il modo in cui sa illuminare il palco, come per magia, è talmente impressionante che se effettivamente nel mondo idol esiste un ideale artistico cui aspirare, Jimin sicuramente lo ha già raggiunto.
Ma per arrivare a questo livello di perfezionismo, è evidente Jimin abbia dovuto fare i conti sia con le sue insicurezze che con l'impazienza. Se guardiamo ai vecchi filmati di retroscena delle sue esibizioni soliste e dei grandi eventi di fine anno, Jimin appare spesso angosciato - prima, durante e dopo la performance. E questo nonostante quelle fossero proprio le esibizioni che hanno suscitato maggiore entusiasmo. In un recente episodio di SUCHWITA con ospite TAEMIN (in cui Jimin fa un'apparizione a sorpresa), SUGA ha detto che quando Jimin sta per salire sul palco, gli altri membri dei BTS sono soliti “guardare e pregare [per lui]! Del tipo, ‘Ti prego, Jimin, cerca di non agitarti’.” Nonostante le performance di Jimin siano già assolutamente magnifiche, l'artista si pone standard sempre più vicini alla perfezione, caricandosi di tantissima pressione. È per questo che, a suo dire, sulle prove e le esercitazioni pratiche non transige, devono essere più che abbondanti. Ma questo suo perfezionismo sicuramente è un'arma a doppio taglio: è ciò che gli permette di allestire esibizioni mozzafiato, sì, ma è anche causa di una terribile ansia che non fa che consumarlo.
Con l'inizio del Secondo Capitolo dei BTS, Jimin ha rilasciato l'EP FACE, il suo primo album solista. Viste le traccie soliste scritte e pubblicate precedentemente nei progetti di gruppo, ciò che mi aspettavo dal suo EP erano brani similmente belli e coinvolgenti. Ma FACE è stata una vera e propria sorpresa, al di là di ogni aspettativa. Le canzoni non sono state commissionate individualmente a diversi autori, ma composte da un gruppo compatto di tre produttori – nell'arco di 10 mesi – in quello che è stato un processo creativo piuttosto intimo ed affiatato. Il risultato è stato un disco che, come suggerisce il titolo, offre uno sguardo al volto più naturale e vulnerabile di Jimin. Questo suggerisce anche che l'artista ha finalmente trovato le forze per fronteggiare le proprie insicurezze, la trepidazione e le difficoltà che possono sorgere nelle relazioni interpersonali, dalle quali, fino a quel momento, si era lasciato sopraffare.
Il Jimin’s Production Diary è un documentario - rilasciato su Weverse – che parla nel dettaglio del processo creativo seguito dall'artista. Come per l'album, il titolo di questo documentario è più che diretto ed esplicativo. Questo progetto, che rappresenta il presupposto creativo per la carriera solista di Jimin, ci mostra dunque chiaramente che lui non è solo un ideale artistico per giovani aspiranti idol o un interprete dal fascino diabolico, ma anche un essere umano: Jimin si è formato nei BTS, d'altronde, ha studiato musica, sì, ma anche come interagire con le/i fan, proprio alla maniera dei BTS, insomma.
Con il rilascio di FACE, Jimin è diventato il 3° membro dei BTS a contribuire al Secondo Capitolo del gruppo, nonché il 1° della vocal line. La rap line dei BTS è formata da RM, SUGA e j-hope, mentre la vocal line comprende Jin, Jimin, V e JungKook. Nonostante la suddivisione in questi due gruppi non sia poi così categorica, l'idea originaria per il gruppo vedeva i rapper concentrarsi sull'hip-hop ed i vocalist mirare ad un'immagine più simile a quella degli idol dei primi anni 2000. In un esperimento senza precedenti – almeno per il 2013 – unire questi due lati, la musica idol e quella hip hop, ha già portato ad una prima, elettrizzante reazione chimica.
Nei primi anni di gruppo, il compito di scrivere musica era per lo più responsabilità della rap line. Ancor prima del Secondo Capitolo, ognuno dei rapper aveva, dunque, già rilasciato minimo una mixtape e preso parte alla produzione album per i BTS. Dal canto suo, la vocal line ha dato il proprio apporto sia attraverso la stesura di alcuni testi di gruppo che il rilascio di tracce individuali. Ancor prima dell'evolversi del loro Secondo Capitolo, dunque, i membri dei BTS avevano già in programma di produrre e pubblicare delle mixtape soliste. E questa nuova fase delle loro carriere sembra aver presentato loro un bivio: pubblicare un progetto individuale di propria produzione, come una mixtape, o fare altrettanto ma con un po' di aiuto dall'esterno. Nel Commentary filmato per il suo documentario, Jimin ha confidato che l'idea che sta dietro all'album era mostrare tutto il suo potenziale in quanto idol.
Tuttavia, alla fine Jimin ha optato per scrivere musica che lo rappresentasse nel suo insieme [*e non solo come idol]. È sul finire del 2018 che ha pubblicato la sua prima traccia solista in acustico, “Promise”. Durante un V LIVE, successivo al rilascio, Jimin ha confidato che lavorare a quel brano lo ha aiutato a liberarsi di alcune emozioni che si teneva dentro da tanto. E FACE, in un certo senso, segue lo stesso principio, diventandone una sorta di sequel.
Ora che tutti i membri dei BTS hanno rilasciato i propri progetti solisti, possiamo constatare che Jimin è stato il primo e solo dei ragazzi della vocal line a pubblicare un album disvelativo insieme ad un gruppo ristretto di produttori.
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Credevo il processo creativo dietro ad un lavoro simile fosse stato fonte di considerevole stress e che l'avesse messo sotto pressione, ma il Jimin che ho visto nel suo Production Diary non mi sembra poi così turbato. Ovvio, questo tipo di progetto ha le sue difficoltà – e sono evidenti nel documentario – ma è altrettanto ovvio quanto Jimin sia felice e si sia divertito. Nel Jimin's Production Diary, vediamo l'artista impegnarsi seriamente sul lavoro insieme ad un gruppetto selezionato di persone di fiducia, invece che il mordi e fuggi di incontri con tante persone diverse, tipico di questo genere di progetti. Uno dei temi portanti dell'album di Jimin è la delusione che accompagna talvolta le relazioni interpersonali. Al contempo, però, l'artista sembra realizzare che è proprio grazie alle relazioni col prossimo che ha trovato la forza di andare avanti. Lo vediamo, infatti, tutto contento ballare insieme ai produttori sui beat cui stanno lavorando, ed esclamare pieno di entusiasmo quanto si sta divertendo. La parte migliore è proprio seguire man mano il membro dei BTS nella sua scoperta del piacere musicale. Nonostante la maggior parte del tempo lo si vede in luoghi mondani—come il suo salotto, l'appartamento del produttore Pdogg (che praticamente è diventato anche un po' casa di Jimin), lo studio presso la Hybe o la sala registrazioni—emotivamente parlando, Jimin sembra attraversare l'intera gamma emozionale umana, dimostrando d'essere più che un semplice cantante.
Il documentario ci offre anche uno sguardo su chi sono le altre persone che hanno aiutato a fare di FACE una realtà. I produttori della BIGHIT MUSIC, Pdogg e GHSTLOOP, ed EVAN compaiono praticamente in ogni scena, ed il modo in cui i quattro sono sempre seduti insieme a discutere e scambiarsi idee, procedendo poi a trasporle subito in note e testi, ricorda un po' il fare musica di una band. Dopo aver praticamente vissuto insieme per 10 mesi, Jimin ha addirittura rinominato il gruppetto come la Smeraldo Garden Marching Band, durante il gioco a quiz relativo al documentario. La BIGHIT MUSIC non è nuova a questo tipo di produzione completamente in proprio, specialmente in momenti cruciali—come nel caso di “FAKE LOVE”, ad esempio, il singolo principale dell'album dei BTS, LOVE YOURSELF: Tear (2018). È proprio questo il motivo per cui la musica dei BTS solitamente viene percepita come più ermetica ed introspettiva rispetto all'approccio usato tipicamente per il K-pop – i cui riconoscimenti presentano lunghe liste in cui compaiono tuttə coloro che hanno partecipato alla stesura dei brani ed un ampio catalogo di personale reclutato appositamente per il progetto. Il che è ancor più interessante e significativo, se consideriamo che l'album di Jimin è arrivato primo su diverse classifiche, inclusa la Billboard Hot 100.
Nel documentario, appaiono anche gli altri membri dei BTS. RM, ad esempio, entra in gioco quando il gruppo si trova in difficoltà con la prima parte del testo della title track, dà loro qualche saggio consiglio e poi esce di scena. RM aiuta Jimin a mettere ordine nelle sue emozioni, una volta trasposte su carta: “La cosa più importante è l'intenzione che sta dietro la canzone” dice, spiegando poi che un artista, innanzi tutto, deve essere ben consapevole e sicuro di ciò che vuole trasmettere; “Credo ci sia bisogno di una traccia, una storia” aggiunge, reiterando l'importanza fondamentale della narrazione; “Prova a buttare giù una bozza”, consiglia. JungKook, poi, compare in “Letter” - traccia dedicata alle/i fan – prestando, come sempre, un'incredibile performance nel ritornello. Un altro dei membri a comparire nel documentario è j-hope, il primo ad aver pubblicato musica individuale nel Secondo Capitolo dei BTS, con il suo album Jack In The Box. J-hope mostra il suo supporto, dando dei buoni consigli a Jimin nel momento in cui quest'ultimo sembra più incerto rispetto all'imbarcarsi per la prima volta in questa monumentale avventura solista: “Provaci. Fai questo tentativo, così poi vedrai” come si fa e su cosa concentrarsi per la prossima volta. Inoltre, nel video Commentary scopriamo anche che “Set Me Free Pt.2” si intitola così perché inizialmente SUGA avrebbe dovuto partecipare come rapper, e quindi il nome era un riferimento a “Interlude: Set me free”, una delle tracce della sua mixtape, D2.
Ciò che traspare chiaramente – e a più riprese – dal documentario è la tenacia di Jimin. Anche quando lo vediamo passare tutta la notte a contorcersi disperato nel tentativo di buttar giù dei buoni testi per il suo primo album, Jimin rifiuta di darsi per vinto. Proprio come prova e riprova le coreografie fino allo sfinimento, quando si tratta di scrivere canzoni, tiene duro fino alla fine. Ma la differenza principale rispetto al ballo, è che con i suoi testi non c'è dubbio Jimin si sia trovato faccia a faccia con le proprie emozioni e che abbia dovuto affrontarle. Nel Commentary, Jimin dice di essersi sentito un po' come un ragazzino “che tiene con costanza un diario personale” e tramite questo progetto ha potuto “mostrarne qualche pagina, una parte di me”. È un commento fatto con leggerezza, ma la sfida che ha dovuto affrontare con se stesso è evidente nel modo in cui dice “con costanza.”
È cosa risaputa che ognuno dei membri dei BTS adora esibirsi. Ed il motivo principale per il brivido e l'entusiasmo che provano sul palco è la presenza delle/gli ARMY. Quando scrivono musica, è in previsione del momento in cui potranno ritrovare il loro pubblico o arrivare ai cuori degli/lle ascoltatori—in altre parole, potremmo dire che si tratta di un esercizio di resistenza in previsione della futura gratificazione. A quanto sappiamo, quando il mondo ha dovuto chiudere i battenti a causa della soffocante pandemia da COVID-19, Jimin ha attraversato il periodo più difficile di tutta la sua carriera. Ma, ancora una volta, se l'è tenuto per sé – di propria volontà ed iniziativa – e questo, in un modo o nell'altro, gli ha poi permesso di creare FACE. Non è facile guardarsi dentro ed affrontare chi si è veramente. Non c'è dubbio, quindi, che dover andare a ripescare momenti emotivamente difficili per riviverne le sensazioni e poterne cantare sia doloroso. E sebbene non sia obbligatorio riversare tutta la propria anima nella musica, è proprio ciò che Jimin ha scelto di fare, e di farlo con estrema onestà—proprio come ha fatto RM con la sua mixtape omonima e SUGA con Agust D, quando i BTS erano relativamente ancora alle prime armi. Era qualcosa di cui sentivano il bisogno.
Ora che ho visto il Jimin’s Production Diary, trovo che il Jimin che ha rilasciato FACE sia molto diverso dall'uomo che era prima. Le insicurezze e la trepidazione non sono svanite, ma ora che ha avuto modo di sperimentare il senso di libertà che deriva dall'affrontare il proprio bagaglio emozionale, sono piuttosto sicurə che, quando sarà il momento di fare i conti con nuove sfide, non crollerà più come in passato. Non vedo l'ora di scoprire quale sarà la sua prossima mossa, adesso che è più orientato alla crescita personale che mai e si è creato delle basi solide da cui ripartire. Da grande fan della sua voce quale sono, la prospettiva [dei suoi futuri lavori] mi entusiasma molto, perché so che farà grandi cose con la sua voce magica. È con estrema sicurezza che mi sento di dire che l'unica persona al mondo che sa cantare come Jimin è Jimin stesso. Ho come l'impressione questo sia stato solo un assaggio dell'uomo che vedremo in futuro, del Jimin che sicuramente lavorerà con costanza incrollabile al suo prossimo progetto, forte di ciò che ha imparato nell'aprirsi e svelarsi al mondo grazie all'instancabile processo di analisi introspettiva che ha dovuto affrontare nello scrivere e promuovere quest'album.
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La scena del documentario che più mi è rimasta impressa è quella in cui, una volta finito di lavorare all'album, commenta: “Grazie a quest'opportunità, ho capito più chiaramente cosa dovrei e posso fare. E ora posso dire con sicurezza che ci sono tante più cose che vorrei provare.” Sebbene Jimin abbia già fatto tanto e sopportato ancor più, ha ancora sempre gli stessi occhi luccicanti da sognatore.
⠸ ita : © Seoul_ItalyBTS ⠸
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