#pointe du défends
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Transcript of the French dialogue in IWTV S2 Ep6 - Like the Light by Which God Made the World Before He Made Light
Attack at Madeleine’s shop:
[The song the attackers are singing here is the "Chant des Girondins", which was the short-lived French national anthem under the Second Republic (1848-1852). Here are the lyrics sung in this portion of the show:
"La France appelle ses enfants, – Allons dit le soldat, aux armes ! C’est ma mère, je la défends.
Mourir pour la Patrie"
Which translates to:
"France calls to its children,
- Come, says the soldier, to arms!
She is my mother, so I shall defend her.
To die for the motherland"]
Woman attacker: Bonsoir, Madame Éparvier !
Madeleine: Allez-y ! Faites vos dessins très ingénieux !
Bald attacker: Arrête de les laver et on arrête de revenir, hein !
Woman attacker: On l’a ! On l’a, la pute !... Madeleine est pas bien, elle a attaqué, t’as vu ?... Crie tout ce que tu veux, hein. Tes voisins s’en fichent.
Madeleine: Arrête ! Non !
Bald attacker: On va voir ce qu’elle a donné à l’Allemand !
Madeleine: Tu suces du sang… T’es un v…
Armand and Madeleine discuss her turning:
Armand: Tu aimerais être l’une des nôtres ?
Madeleine: Non, je veux être avec elle. Et toi, tu peux aller te faire foutre.
Armand: They always think they’re different. Stronger. Superior. Jusqu’à ce que la solitude arrive.
Madeleine: Monsieur, ça fait longtemps que je suis toute seule.
Armand: Tu seras un monstre.
Madeleine: Si tu fais de moi un monstre, tu feras que me transformer en ce que je suis déjà.
Armand: Tu vas manger des humains comme tu manges ta pomme ? Un par nuit, aucune pitié pour l’enfant, la mère, l’invalide ?
Madeleine: Je suis un humain et j’aime ma nourriture. Quand je serai un vampire, est-ce que j’aimerai ma nourriture ?
Armand: Comment choisiras-tu qui tuer ?
Madeleine: Je tuerai sur les bords. Les faibles d’abord, et occasionnellement je me livrerai à mes appétits.
Armand: Et quand les derniers vestiges de ton époque auront disparu ? Les voitures, les coiffures, les croyances ? Comment continueras-tu ?
Madeleine: Jeune homme… There’s been a war. Claudia! He thinks there’s something left of my era!... Mais quel con ! [not captioned, but she’s basically calling Armand a dumbass.]
Armand: Comment vas-tu survivre à l’éternité ?
Madeleine: L’homme qui vivait en face… La Gestapo est venue le chercher. On a entendu un coup de feu quand la voiture a tourné au coin de la rue. Et la femme qui habitait plus bas, elle est morte de faim dans sa chambre. Elle portait des vêtements très chics. Elle devenait de plus en plus maigre jusqu’à ce qu’un jour, je regarde par sa porte et elle était là, un squelette dans des vêtements chics. Parfois, je le voyais dans leurs yeux, quand ils étaient sur le point d’abandonner. Et moi, j’ai survécu. Moi, j’ai suivi mes instincts. J’ai trouvé l’amour dont j’avais besoin, même quand c’était un amour dangereux. And I have again.
Armand: Et que feras-tu dans quelques décennies quand elle se jettera dans le feu ? Parce qu’elle le fera.
Madeleine: Peut-être qu’elle le fera pas. T’en sais rien. Peut-être que je suis ce dont elle a besoin pour survivre.
Louis and Armand at the Sacr��-Cœur:
Okay, this is a subtle one.
While Loumand kiss on the steps of the Sacré-Cœur, you can hear a man taunting them in the background.
He says: "Hé ! Mais vas-y hé ! Mais suce-le, tant que t’y es ! Sale pédé !"
Which translates to: "Hey! Well go on then! Why don’t you suck him off while you’re at it! Fucking faggots!"
This explains why Louis turns his head around for a second after kissing Armand...
Madeleine’s turning:
Madeleine: J’arrive pas à croire que mon dernier verre de vin soit un Chardonnay. J’aurais dû en prévoir plus.
Madeleine: La pièce tourne…
That's it for this episode! See you in a week for the next one!
Ep. 2 here
Ep. 3 here
Ep. 4 here
#interview with the vampire#iwtv#iwtv season 2#iwtv spoilers#amc interview with the vampire#amc iwtv#french dialogue
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Message d'une partie des membres transgenres de Tumblr et Automattic
Il nous tient à cœur que les personnes trans, et plus largement LGBTQ+, se sentent intégrées et accueillies avec bienveillance ici même. En tant que personnes trans travaillant chez Tumblr et Automattic, nous voulons avoir le sentiment que cette plateforme nous soutient pleinement et défend notre intégrité. Votre présence contribue à rendre Tumblr plus radieux et plus éclatant que jamais, et les personnes LGBTQ+ qui participent en interne à son fonctionnement se battent au quotidien pour y contribuer, et pour vous.
Le 20 février dernier, Matt Mullenweg (PDG d'Automattic, société mère de Tumblr) a répondu à la question posée par une utilisatrice au sujet de la suspension d'un compte, et ce, d'une manière qui a eu un retentissement négatif auprès de la communauté LGBTQ+ de Tumblr. Nous estimons que la réponse de Matt ainsi que ses commentaires suivants étaient malvenus et préjudiciables. Les équipes Tumblr ont pour principe de ne pas commenter les décisions liées à la modération, et ce, pour diverses raisons, incluant notamment le respect de la confidentialité des personnes impliquées et également d'un point de vue pragmatique considérant le volume de signalements quotidiens (plusieurs milliers). Le mauvais côté de ne jamais commenter la modération effectuée par notre équipe Trust & Safety, c'est qu'il est aisé de colporter des rumeurs et des informations infondées à leur au sujet, sans pouvoir y répondre.
Cela étant dit, nous tenions à clarifier certains points relatifs à l'incident qui se trouve être à l'origine de notre prise de parole :
L'explication derrière la suspension du compte de predstrogen n'est pas fidèle à la réalité, et a laissé penser que l'intention première de Tumblr était de trouver là une opportunité de bannir des personnes trans féminines de nos plateformes. Ce n'est pas le cas. L'exemple donné dans la question que nous vous partagions plus haut ne correspond pas à une définition réaliste de ce que nous considérons comme une menace de violence, et il ne s'agit pas d'un critère décisif ayant conduit à la suspension de ce compte.
Par la suite, Matt n'a malheureusement pas su prendre la mesure de la blessure ressentie par la communauté au regard de cette suspension. Non, Matt ne parle pas au nom des personnes LGBTQ+ qui travaillent chez Tumblr et Automattic, et nous n'avons pas été consultés dans l'optique de formuler notre réponse à cette décision de suspension.
L'an passé, certains labels communautaires "Adulte" et "Thèmes sexuels" ont pu être malencontreusement apposés aux billets de certains utilisateurs. Une équipe contractuelle externe et chargée d'attribuer les labels communautaires fût responsable de cette tendance à étiqueter de manière injustifiée des contenus trans. Lorsque notre propre équipe Trust & Safety a découvert ce comportement problématique (largement signalé par la communauté, encore merci !), nous avons immédiatement retiré à cette équipe externe la possibilité d'apposer des labels communautaires, et avons renforcé notre vigilance afin d'éviter que cela ne se reproduise. Dans le billet que nous avions rédigé à l'époque, les membres LGBTQ+ de l'équipe souhaitaient faire preuve de davantage de transparence sans que cela soit accepté par la direction. La raison évoquée pour mettre fin à notre contrat avec l'équipe externe n'était pas directement liée à cet incident et lui avait été attribuée à tort. Nous sommes profondément navrés que cette attribution malveillante et inconsidérée de labels ait pu avoir lieu, et avons été attristés de l'impact négatif que cet incident a pu avoir sur la communauté trans de Tumblr.
Les différentes étapes dans la transition d'une personne trans n'enfreignent pas nos Règles communautaires, et n'ont pas constitué un facteur décisionnaire justifiant d'une suspension de compte pour notre équipe de modération, ni lors des demandes d'appel ultérieures. Aucune action n'est menée à l'encontre de contenus relatifs aux phases de transition ou aux corps des personnes trans, à moins que ces derniers n'enfreignent directement nos Règles communautaires.
En ce qui concerne les expériences négatives vécues par les personnes trans sur Tumblr, que ce soit en constatant la présence de contenus transphobes ou en interagissant avec des utilisateurs à l'ouverture d'esprit limitée à leur propre nombril, nous comprenons et partageons votre frustration. Nos Politiques, qu'elles aient été rédigées par Tumblr ou Automattic, sont établies pour garantir la liberté de pensée et d'expression. Et, bien que nous interdisions le harcèlement tel qu'il est défini dans nos Règles communautaires, nous savons par ailleurs que ces dernières ne protègent pas les utilisateurs contre propos insultants souvent utilisés à l'encontre des personnes LGBTQ+ ou considérées comme marginales dans nos sociétés.
Pour tenter de progresser dans la bonne direction, Tumblr souhaite prendre les mesures suivantes :
Prioriser les fonctionnalités anti-harcèlement qui permettront aux utilisateurs de se protéger plus efficacement contre de tels préjudices.
Établir davantage d'outils internes afin que nos équipes puissent identifier de manière préventive les cas de harcèlement et en limiter les effets.
Réexaminer les tags fréquemment utilisés par la communauté trans et qui ont été bloqués afin de faire notre possible pour les rendre de nouveau accessibles dès la semaine prochaine.
Une nouvelle fois, nous sommes navrés de ce qui a pu se produire par le passé et plus récemment, et nous continuerons à nous battre activement pour mieux faire entendre notre voix et pour éviter que des incidents similaires puissent se produire à nouveau. Nous sommes aux premières loges pour comprendre à quel point ce type de situation peut être difficile à vivre en tant qu'utilisateur de Tumblr, et tout particulièrement en appartenant à une communauté régulièrement ciblée et harcelée. Nous avons conscience qu'il faudra du temps pour regagner votre confiance, et nous allons faire de notre mieux pour y parvenir.
Nous sommes reconnaissants qu'un tel espace nous ait été offert par Matt (et par Automattic) pour exprimer nos préoccupations ainsi que nos divergences. L'engagement profond de Matt vis-à-vis de la liberté d'expression aura contribué à rendre ce billet possible.
Nous continuerons à nous battre pour faire de Tumblr un espace plus sain. Pour vous, et pour nous tous.
— Ce billet a été rédigé conjointement par plusieurs membres trans de nos équipes Tumblr et Automattic.
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Dernier post sur Mélenchon et après j'arrête avec lui mais je voulais juste dire que ce qui me frustre le plus, c'est que je le trouve impeccable sur les questions de la transidentité, clair (il me semble, les personnes concernées me corrigeront) sur l'islamophobie, excellent en débat, bon orateur, courageux face à certaines saloperies, quand Zemmour s'est foutu de sa gueule en disant qu'il était sourd et qu'il a répondu du tac au tac "je suis sourd de naissance. Vous avez un problème avec les handicapés ?", incroyable ! Et en plus, il aime la littérature ! Et il défend la Palestine ! Et il nous a tous donné espoir en 2012 ! Et si j'avais pu voter en 2012, j'aurais voté pour lui (mais j'avais 17 ans).
Son défaut, comme beaucoup d'hommes, et en particulier des hommes blancs âgés ET EN PARTICULIER (je parle d'expérience) des hommes blancs âgés lettrés, c'est qu'il est têtu et qu'il a trop d'égo et qu'il n'admet pas qu'il ait pu merder. Et je ne pense même pas qu'il soit antisémite, je ne pense même pas que ce soit une stratégie électorale, je pense juste à mon grand-père, qui s'appelle aussi Jean-Luc, un vieux militant communiste, qui n'a jamais admis qu'il pouvait avoir tort, qu'il pouvait s'être trompé au moins une fois dans sa vie et je pense qu'ils ont plus qu'un prénom comme point commun.
#papi tu n'as aucune chance d'aller sur tumblr mais je pense à toi#french politics#bref j'arrête avec méluche maintenant c'est trop
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" Odin, le grand dieu scandinave, crée le monde en l’extrayant du chaos; Thor, son fils, le défend contre les géants. Si Thor est très populaire, Odin inquiète : il connaît le destin des dieux, leur inévitable « crépuscule » – car ces divinités, conçues à l’image des hommes, sont aussi mortelles. Ce livre relate leurs aventures, leurs amours, leurs combats et leurs coups pendables. Tout un panthéon les accompagne, de l’ambivalent Loki à la sensuelle Freyja, du sanglier Sæhrímnir à l’arbre Yggdrasill, du géant Ymir au rayonnant Baldr… En leur compagnie, le lecteur part à l’aventure dans un monde de feu et de glace ou l’on retrouve nos très vieux questionnements sur la vie et la mort. Le combat perdu d’Odin et de Thor contre les forces du chaos, le Ragnarok, ne signe en rien leur disparition. Mis à toutes les sauces, de Game of Thrones aux Marvel Comics, ces super-héros, bien éloignés de la civilisation qui les a vus naître, façonnent aujourd’hui l’imaginaire occidental. Aussi cette mise au point, érudite et amoureuse, est-elle indispensable pour mieux comprendre et apprécier ce panthéon nordique, complexe mais terriblement humain."
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Eté 1929 - Champs-les-Sims
10/20
Tout ce que je te raconte, je n'y ai pas assisté. Il faut dire que la maison étant surpeuplée, il y avait toujours forcément quelqu'un quelque part. Et les murs mitoyens sont parfois un peu fins. Sélène et Cléo, qui finissaient de se préparer dans mon ancienne chambre de jeune fille, ont pu assister à toute la scène. Pour autant qu'elle ont pu, car pour ce que j'en sais, leur propre discussion a été plus qu'animée. Surtout avec la caractère tempétueux et excessif de Cléo.
Transcription :
Sélène « Tu n’as pas peur d’avoir froid à l’église ? L’hommage va durer un bon moment. »
Cléopâtre « Moi ? Froid ? Jamais. Et puis, il faut apporter à ces funérailles un peu du glamour parisien. On en manque cruellement ici. »
Sélène « C’est une robe Chanel ? »
Cléopâtre « Bien sur que non enfin ! Jamais je n’oserais porter une telle robe à des funérailles ! »
Sélène « Tu aurais peur d’y mettre de la boue de province, c’est ça ? La campagne ne lui conviendrait pas ?»
Cléopâtre « On dirait que tu me prend pour une citadine horriblement hautaine. »
Sélène « Et ce n’est pas le cas ? En même temps, avec un prénom comme le tien, c’était un peu prédestiné. »
Cléopâtre « En fait, je faisais simplement remarquer que je voulais pas confondre la nef d’une église avec une salle de réception. Venir avec la dernière robe à la mode aurait été… irrespectueux. Il fallait un peu plus de sobriété. »
Sélène « En effet, il est clair que ton accoutrement est un modèle de sobriété. Je suis certaine que seulement la moitié des invités se retourneront sur ton passage. »
Cléopâtre « Oh, tu sais bien comme je suis ! Je n’allais pas venir habillée comme un sac sous prétexte de ressembler à tout le monde. »
Sélène « Merci bien... »
Cléopâtre « De toute façon, quoi que je dise, j’aurais tord. »
Sélène « C’est bon, c’est bon. Ne te vexe pas. La ville t’as rendue si susceptible ! »
Cléopâtre « Et toi, à force de jouer sur un cours de tennis, tu confonds tes matchs avec la réalité ! Depuis quand es-tu adepte des passes verbales ? »
Sélène « En fait, je me suis entraînée sur Papa. »
Cléopâtre « Le pauvre... »
Sélène « Il se défend. Mais il rend vite les armes. Tu es vraiment certaine de devoir remettre du noir autour des yeux ? »
Cléopâtre « On ne porte jamais assez de khôl. Et puis, cela met en valeur mes yeux, ils ont presque l’air gris plutôt que bleus. »
Sélène « Mais tu pleures toujours aux enterrements. »
Cléopâtre « Je le sais bien ! Il faut dire que c’est toujours si triste... »
Sélène « Tu vas t’en mettre partout... »
Cléopâtre « Mais justement Sélène ! Je porterai mon malheur sur mon visage avec d’épais sillons noirs, ce sera si romanesque ! J’en répandrai partout sur mon mouchoir puis j’y laisserai éclater mes larmes. Ainsi, les gens oublieront ma tenue et ils verront à quel point je suis dévastée. »
Sélène « Cléo, ce sont les funérailles de Grand-Mère, pas les planches de la Comédie-Française. »
Cléopâtre « Tu présages toujours le pire de moi. A t’écouter, on pourrait croire que je suis insensible. »
Sélène « Tu devrais t’écouter parler Cléo. Je sais que tu ne penses pas à mal, mais ces envolées égotistes font vraiment ressortir le pire en toi. Tu ferais une superbe tragédienne, mais ici, tu seras au milieu de gens qui auront déjà bien assez à faire à pleurer sur leur propre perte pour s’occuper de la tienne. »
Cléopâtre « Il n’y a pas à dire, tu sais frapper là où ça fait mal. Tu viens d’infliger à mon égo un coup dont il ne se remettra sans doute jamais. »
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Arsinoé Le Bris#Lucien Le Bris#Sélène Le Bris#Cléopâtre Le Bris#Constantin Le Bris
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Un jour il est parti déclarer son amour à Poutine. Un reniement ? À quoi jouait-il ? Etait-ce une façon d'éprouver jusqu'à la rupture, l'outrance, notre capacité à le suivre encore, là aussi ? On les imagine bien, lui et son horrible pote russe, déchirés à la Vodka, torse nu par moins 15, en train de chasser l'ours du Kamtchatka à mains nues. La France manquerait-elle à ce point d'ours et de dictateurs décomplexés ?... Comme si Depardieu se cherchait, peu importe leur pedigree, des camarades de jeux, des affreux à sa démesure. Des camarades et la richesse d'une autre culture peuplée d'écrivains qui resteront éternellement des volcans : les Dostoïevski, Gogol, Pouchkine... En somme un autre pays qui lui ressemble, l'âme slave en bonus pour tout théâtraliser, tout rendre incontrôlable...
Aujourd'hui ou demain la France achèvera de le haïr son Depardieu. La France est devenue ce pays où l'on aime, avant tout, détester. Ce Depardieu, il a été pourtant celui de Bertrand Blier, de Pialat, de Truffaut, de Duras, de Barbara... Le Depardieu de "Valley of love"... Jamais un acteur n'avait été aussi grand, aussi humblement humain que le Depardieu de ce film-là (je l'affirme en toute subjectivité) ; la dernière scène du film, quand il revient sur le chemin poussiéreux vers Isabelle Huppert, est une scène qui vous dévastera et qui restera gravée en vous pour le restant de vos jours. Comme s'il n'était plus question de cinéma mais de la vie pour de vrai, faite cinéma. Jamais aucun acteur n'était arrivé à ça, plus jamais peut-être aucun acteur n'arrivera à ça. Lui, il s'en fout, comme s'il méprisait son propre talent, il dit : "acteur ce n'est rien, c'est faire la pute", il ne le pense sûrement pas à ce point mais il le dit. Par opposition il s'entoure, admire et défend le travail d'artistes qu'il estime être, eux, de vrais artistes : peintres, plasticiens...
Depardieu le russe est pourtant français jusqu'à la caricature : grande gueule, vigneron et pochetron, esthète et vulgaire, paillard et subtil, rablaisien, pétomane et amateur d'art, de provocations, de beaux textes, de désobéissances : homme hors norme, hors cadre, hors limite, hors identité, hors tout ...
Il a été adulé tant sa nature et son talent étaient grands et nous l'avons aimé, moi en tout cas, pour cette nature, pour ce talent ... Aimé, soutenu, encouragé à distance à être ce qu'il était, ce qu'il est ! Oui, c'est une certitude, nous avons nourri le monstre. S'il est coupable de quelque chose alors nous sommes un paquet de coupables-complices à l'avoir encouragé depuis nos fauteuils de salles obscures, film après film. Nous avons donc notre part, car si le public est une part de la magie, au final, le public est aussi une part du monstre.
Beau il le fut, insolent, imprévisible, inclassable ; oui monstrueux, il le reste... Monstrueux bouffeur de vie, d'espace et d'émotions : de dérapages calamiteux aussi.
Et bien sûr que la parole des femmes est importante, et bien sûr que notre compassion doit aller en tout premier lieu aux victimes. Et bien sûr que nous nous réjouissons que les temps changent, que toutes formes de violences, de harcèlements puissent être combattus...
Ce qui interroge, c'est pourquoi Fourniret ou Lelandais auraient-ils droit à un avocat, à un, plusieurs procès, et pas Depardieu ? Concernant Depardieu, c'est déjà réglé...
Il va devenir, il est devenu en quelques heures, le pire, le gros dégueulasse, le prédateur, l'ignoble porc Depardieu... Il n'aura plus rien de bien, plus rien d'humain. Plus droits de citer, de tourner, ses films déjà sont retirés des catalogues des chaines publiques en France, en Suisse...Plus rien, il ne va plus rien rester ? Mais alors pourquoi, ô public versatile, l'avoir idolâtré, si aujourd’hui, vous, les mêmes, sans sommation et avant tous jugements, vous le jetez aux chiens ? Lui, finalement, il n'a pas changé...
Je ne me sens pas le cœur de l'excuser ni celui de l'enfoncer ou de le détester... Pour la détestation de soi il a sûrement beaucoup trop d'avance sur ses pires ennemis. Un jour, je l'entendais dire dans un reportage à un journaliste : "vous croyez vraiment que ça m'amuse d'être devenu cette grosse baleine ?". Pas si indifférent que ça, finalement, à ses propres souffrances. Dans une scène du film Mammuth, il est au bord d'un plan d'eau, torse nu, énorme, et il coiffe avec une délicatesse infiniment féminine ses longs cheveux de naïade obèse. C'est un très beau plan, un tableau à la fois classique et dérangeant, une image très humaine et très assumée aussi. Courageux le Depardieu ; là ou d'autres acteurs se cachent en permanence, Depardieu se balade depuis toujours tripes à l'air, écorché vif, sans masque et sans fausse pudeur : souvent à la limite et malheureusement, parfois, au-delà de la limite. Ce goût dangereux et prononcé, cette volonté de jouer avec les limites. Je n'ai pas à prendre sa défense, je ne l'excuse de rien par avance mais comment s'autoriser à le juger ou à le condamner ? (bien avant les juges qui eux sont faits pour ça).
Mais que seraient les réseaux sociaux sans cet appétit morbide pour le lynchage en bande organisée ?... Bien souvent, les réseaux ne servent qu'à ça.
Si Depardieu est jugé détestable, je déteste au moins autant tous ces professionnels de la détestation.
À eux seuls, ils sont un autre visage de la guerre...
jacques dor
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saga: Soumission & Domination 314
Côme devient Bi et Ludovic me présente ses parents
Plusieurs semaines plus tard, alors que Côme est entré comme membre actif des Escorts hétéro, pour le plus grand plaisir de déjà deux de mes plus fidèles clientes et pour leur plus grand plaisir selon leurs retours, il demande à me voir.
Quand il arrive et que je le reçois au 4ème, il me demande si ça ne me dérange pas d'aller au bureau du 1er.
Je lui demande s'il a eu un problème avec la cliente. Sa réponse négative, si elle me rassure coté travail, m'inquiète plus coté personnel !
Je le fais assoir et lui demande si tout va bien. Je m'assure qu'il n'est pas mécontent de ce qu'il perçoit pour ses prestations et que notre relation avec son frère n'est pas en cause. Réponses négatives à tous ces points.
J'attends donc qu'il se décide à me dire ce qui ne va pas. En attendant qu'il se décide je fais 2 cafés et lui en tends un. Ce n'est que quand il l'a fini qu'il se lance.
Il commence par me remercier de l'avoir mis sur le coup et qu'il m'est très reconnaissant de ce qui lui arrive. Je lui dis que c'est réciproque et qu'il fait merveilles auprès des clientes.
Il me dit que justement il craint de me décevoir. Comme je ne vois pas en quoi et que je lui en fais la remarque, il se lance.
Il m'explique que faire du sport 2 fois par semaine avec mon groupe, ça l'avait méchamment travaillé et qu'il avait envie de céder à Jona et François mais que ce faisant, il allait rompre le contrat moral qu'il avait pris avec moi comme quoi il était hétéro car c'était pour ça que je l'avais embauché.
J'éclate de rire. Sans que ça le vexe, je vois bien qu'il ne comprend pas ma réaction.
Je le rassure et lui dis qu'il n'a de contrat que de " prestater " pour ma boite. Que ce qu'il fait par ailleurs, à condition que cela ne remette pas en cause sa santé et par ricochet celles de mes clients, cela ne regardait que lui. Il s'en défend et avance que je ne l'aurais probablement pas embauché sinon.
Là, je lui fais remarquer qu'il dit quand même une grosse connerie étant donné que mon secteur client gay est beaucoup plus développé ! Effectivement il prend conscience de l'énormité de sa réflexion. Je résume pour lui : il est en train de s'apercevoir que certains mecs ne le laissent pas indifférent et que ça le trouble étant donné qu'il était sûr d'être hétéro à 200%.
Il me dit que c'est tout à fait ça et qu'en plus c'est sur Jona et François qu'il flash ! Comme ils sont en couple, ça le gène de s'immiscer entre eux. Même si ces derniers l'ont assuré que cela n'aurait aucune incidence pour personne. Je contourne mon bureau et pose mes fesses contre le plateau alors qu'il est devant moi prostré dans le fauteuil. (Enfin, prostrer un corps comme le sien c'est pas évident !).
Je le lève et lui relève la tête afin d'avoir ses yeux dans les miens. Je lui demande où il a bien pu trouver que s'il allait baiser avec Jona et François, cela mettrait en péril nos relations professionnelles et même personnelles ?
Je l'avais prévenu qu'il allait subir un siège en règle de la part de mes escorts, il avait oublié cela ? Que si je m'en doutais, cela voulait dire aussi que ce n'était pas de mon ressort mais qu'il était libre de vivre comme il le souhaitait.
Il tombe dans mes bras et 85Kg, c'est pas rien ! Il me dit que Jona et François sont des mecs vraiment bien, ce dont je ne doutais pas une seule seconde, que ce sont les seuls qui le font bander grave mais que ça l'effraie aussi.
Quand je lui dis qu'il aurait pu demander conseil à son frère, il me fait aussitôt jurer de ne rien lui dire.
Je le vois encore tourner autour du pot. Je sens bien qu'il n'en a pas fini. Nouveau silence puis il se lance. Il me dit qu'il est vierge coté cul et qu'il n'a jamais fait de pipe de sa vie. Il craint que sa première fois se passe mal et qu'il ne déçoive Jona et François.
Sous ses dehors de " grosse brute ", se cache un véritable mec sensible et prévenant. Ce dont je ne doutais pas vu son comportement avec Ludovic.
Je lui conseille de leur dire que ce sera sa première relation homosexuelle et de les laisser gérer. Je connais mes hommes, ils sauront faire en sorte qu'il en redemande !
Du coup il accepte l'apéro avant de rentrer chez lui.
Il profite du moment et que Ludovic ne soit pas là pour me parler de ses parents. Ludovic leur a tout déballé l'autre matin au petit déjeuner familial. Comme quoi il est homo, qu'il a rencontré un garçon qui lui plait (il n'a pas eu l'inconscience de dire deux garçons, un c'est déjà pas évident à faire passer), qu'il passera plusieurs nuits par semaine avec lui. Et que c'est comme ça que leur second fils est heureux.
Il me dit que ç'avait coupé court à toutes les discussions en cours. Le premier à avoir réagi est leur petit frère de 16ans qui lui a demandé qui c'était son mec, s'il le connaissait. Puis ses parents l'ont questionné pour savoir s'il était sérieux en leur disant ça. Devant l'assurance de leur fils ils ont dû convenir qu'il leur disait la vérité. Leur mère lui a dit que pour elle, ça ne changeait pas le fait qu'il était et resterait leur fils quelques choix qu'il fasse dans la vie mais que s'il pouvait éviter de virer mauvais garçon, cela la rassurerait quand même. Leur père les a surpris par le fait qu'il s'est inquiété du fait que le chemin de vie qu'il s'était choisi n'était pas simple et qu'il se mettait d'emblée des bâtons dans les roues.
Une fois la conversation terminée, Ils ont dit à Ludovic qu'ils souhaitaient rencontrer le jeune homme qui a fait craquer leur fils.
PH est plié en deux de rire. Il me dit que j'ai du pot que cela ne me soit pas arrivé avant. Mais le milieu d'où sont issus mes autres escorts n'est pas le même aussi.
Je demande si c'est indispensable. Côme me répond que si je veux pouvoir continuer à voir son frère et à l'héberger quelques soirs par semaine, j'avais plutôt intérêt à pointer mes fesses chez eux. J'essaye de refiler la corvée à PH. Il se défile et me dit que c'est mon choix que d'avoir placé Ludovic comme plus qu'un de mes simples escorts dans notre vie et donc que c'était à moi de m'y coller.
Pour m'encourager, Côme me dit qu'il sera présent ce soir là pour nous soutenir tous les deux.
Quand il est parti, j'appelle Jona et lui fais part de notre conversation pour Côme bien sûr. Il me dit qu'il lui avait déjà dit tout cela mais que Côme ne les croyait pas. Je lui dis juste de faire attention que c'est un puceau avec les mecs. Quand il me répond de ne pas m'en faire et qu'ils s'en doutaient avec François, je sais que je peux avoir confiance, je leur laisse bien ma mère après tout !
Rencontre des parents de Ludovic et Côme.
Je suis invité à l'apéritif le vendredi soir qui suit notre conversation. Je me change au moins trois fois avant d'y aller. PH est plié de rire de voir mon comportement. Il me dit que je n'avais pas autant stressé quand j'avais rencontré les siens. Je lui dis que j'étais jeune et inconscient à l'époque (il y a 3 ans déjà).
Finalement je reste en Jeans (de marque) et passe un blazer par-dessus un polo à manches longues. Style détendu mais classe, ce que j'imagine devoir convenir dans le milieu rural évolué. Je prends la 300C moins m'as-tu vu que la SLS.
Quand j'arrive, Ludovic est dehors avant que je ne mette un pied sur le sol. Il m'embrasse sur la bouche et me dit qu'il avait négocié ça avec ses parents. Je le remercie, c'est moins brutal comme contact. Il ajoute de ne pas faire attention à son petit frère qui est d'une curiosité maladive envers moi et me dit que Côme est là.
Je le suis, pénètre dans une entrée où trône une tête de cerf impressionnante. Vaut mieux ne pas être WWF ici ! Je le suis jusqu'au salon. Ses parents se lèvent pour m'accueillir. Je prends la main de madame et me penche légèrement dessus. Celle de monsieur est ferme sans être conflictuelle. Côme me salut et le petit frère se permet de m'embrasser sur la joue pour la provoque je pense. Ce qui lui vaut un regard noir de son père.
Je n'en mène pas large et pourtant j'ai rencontré des personnes autrement plus importantes qu'eux, mais aucune dans ces circonstances. Intérieurement je maudis PH de ne pas avoir accepté la corvée. Le père me sert un Martini (faut garder les idées claires ce soir) alors qu'il prend un whisky bien tassé.
La conversation est neutre, études, famille. Madame me demande si je suis de la famille d'Emma X. Je confirme que c'est ma mère. Elle manque de s'étouffer vu notre différence d'âge (entre ma mère et moi). J'ajoute rapidement qu'elle m'a adopté quand mes propres parents sont décédés. Excuses de sa part, je minimise l'impact. Mais j'ai l'impression que ça me rends plus " sympathique ". Le père entre dans le vif du sujet. Il me dit qu'il me trouve gentil mais que nous sommes jeunes, surtout Ludovic. Ludo se récrie que ce n'est pas une raison pour ne pas savoir reconnaitre les sentiments quand ils se développent entre deux êtres. J'ajoute qu'effectivement nous le sommes mais que c'est aussi le moment des expériences, des essais pour savoir nos véritables natures. Que je suis conscient que Ludovic pourrait me quitter d'ici quelques temps même si ce n'est pas ce que je souhaite. J'accepte le défi. Il me répond que ce n'est pas un jeu. J'ai loupé !! J'argumente sur le fait que je suis là pour son fils parce qu'il me plait énormément, que j'ai de forts sentiments pour lui et que c'est réciproque. C'est pas évident de se dévoiler comme ça devant des inconnus !! Surtout quand le petit dernier sort " ils sont amoureux ". Ce qui lui vaut d'être éjecté de la salle.
Je rappelle que j'ai 25 ans et que je suis conscient du trouble que je provoque dans cette maison. J'ajoute que si cela n'avait pas été moi, cela aurait été un autre, la nature de leur fils n'étant pas de leur ramener une gentille jeune fille.
Côme entre dans la conversation. Il dit à son père qu'il connaissait les penchants de son frère depuis leurs apparitions et qu'il ne l'avait encore jamais vu aussi épanoui et heureux que depuis qu'il me connaissait. Il doit avoir l'oreille du père car cela clos la discussion. Elle repart sur des banalités jusqu'à ce que la mère m'invite à diner. Côme me fait un signe d'accepter et je m'excuse pour m'isoler et appeler PH. Bref résumé, il me dit qu'il dinera seul que ce n'est pas un souci qu'il a pas mal de travaille. Je l'aime ce mec !
Au diner le petit dernier est de retour mais il a dû être briefé car il se retient de sortir des vannes vaseuses. Dans la discussion, quand le père apprend que je suis déjà dans le conseil d'administration des sociétés de ma mère, cela me pose. Et du coup quand Ludovic demande plus de liberté quant au fait de découcher du nid familial, il obtient satisfaction sous conditions qu'il réussisse tous ses partiels. J'assure qu'étant moi-même encore en 4ème année d'école de commerce, je veillerai à ce qu'il ne les loupe pas.
Quand je les quitte, on ne se tape pas dans le dos (c'est pas le genre) mais il règne entre nous une entente cordiale. Malheureusement Ludovic ne me suis pas !!
Il sera avec nous le soir suivant. Racontant à sa façon le diner de la veille à PH. Là, je m'aperçois qu'il a beaucoup d'humour.
La rencontre avec Marc s'est passée idéalement. Mon mec a craqué devant son physique et Ludo s'est adapté avec un naturel suspect. Je saurais plus tard qu'il avait cuisiné PH pour ne pas faire d'impairs avec Marc.
Notre première nuit à 4 s'est terminée au matin, tous morts de fatigue et les couilles sèches. Heureusement qu'on était un vendredi soir ! Je crois bien que Ludovic s'est fait enculer par chacun d'entre nous et qu'il nous a tous pompé au moins une fois. Après sa prestation, les 22x6 de Marc ne lui ont pas posés de problème. Nous n'avons jamais été deux couples cote à cote mais un quatuor en train de faire l'amour. Je me suis surpris à penser que Marc était même beaucoup plus doux avec Ludovic qu'il ne l'avait jamais été avec nous autres (PH, Ernesto et moi). Une nuit de folie où les caresses ont succédé à des enculages de folie, me rappelant par bien des aspects les retours d'Ernesto à la maison, quelques cm en moins mais la douceur en plus. J'ai adoré mon 69 avec Ludovic alors que Marc m'enculait et que PH faisait de même à mon partenaire. Tout comme lorsque c'était moi qui l'enculait alors qu'il se faisait celui de PH pompant Marc. Je pense qu'on a dû tous juter au moins 4 fois dans la nuit. Ce qui est sûr c'est qu'on n'a pas débandé pendant des heures.
Au déjeuner du lendemain (petit, déjeuner sauté), Marc me dira combien notre choix l'avait ravi. Encore plus que tous ceux que je lui avais ramené exception faite de PH et Ernesto bien sûr.
Jardinier
workers team
~~
innocent crowd
~~
propaganda material
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Les erreurs de Rayla (Rayla's mistakes)
Oui vous avez bien lu, je vais parler de ses erreurs et pas de le sens que je vais la basher mais plutôt essayer d'apporter mon point de vue là dessus. Déjà j'aimerai parler du départ de Rayla, on pourrait croire ça comme un acte d'amour. Car elle souhaite protéger Callum et je peux comprendre mais de l'autre c'est un peu l'abandonner. Et comme je l'ai dit, je peux le comprendre Rayla s'est souvent montré protectrice envers ses proches. Mais le fait de partir comme ça en ne laissant qu'une lettre, c'est un peu vache.
Même quand elle revient, elle dit qu'elle sait que son absence l'a blessé. Mais se rend pas compte comment il est blessé par son départ. Après j'ai bien aimé son attitude envers Callum. Oui elle veut lui parler mais elle voit que ce dernier ne souhaite pas lui parler et n'insiste pas pour éviter qu'il y ait des tensions. Je la trouvais assez patiente bien qu'on sent que ses deux années sans le groupe l'a un peu changé. Quand elle a dit "On peut pas sauver tout le monde" à Soren. Je me demandais ce qui c'était passé pour qu'elle pense à ça. Mais apparemment elle aurait dit quelque chose qu'elle pensait pas vraiment d'après une interview. Dans les histoires courtes relatant ce qu'elle a fait pendant ces deux ans. On voit que la traque de Viren l'a fait souffrir. Elle est loin de ses amis, loin de Callum. Et ça lui fait mal surtout que pendant sa traque, elle n'a pas pu le retrouver. Et elle décide de rentrer chez elle, pas à Silvergroove mais à Katolis. Montrant que sa maison n'est plus à son village mais auprès de ses amis.
Lorsqu'elle vole la clé de Callum, ça m'avait choqué car j'aurai pensé qu'elle essaierait de lui parler mais bon après ça veut dire parler de sa famille. Et elle était pas prête pour ça ! Mais c'est un peu salaud de sa part, surtout quand Callum voit l'arc de Runaan, il va pas bien du tout. Quand Amaya lui parle, elle se défend en disant qu'elle a fait ça pour le protéger. Mais malgré des raisons compréhensibles, ça reste un abandon et cette décision les a tout les deux fait souffrir. Elle pensait qu'elle devenait forte toute seule. Mais c'est pas comme ça qu'on devient fort et Amaya l'a apprit à ses dépends mais aussi par le biais de l'amour alias Janai. Rayla alors comprend ce que veut dire Amaya par devenir plus forte. Ce qui la pousse à se confier à Callum. Et ça c'est bien, c'est un bon premier pas !
Rayla fait des erreurs mais elle apprend de ces derniers et essaie de faire de son mieux.
Yes, you read that right, I'm going to talk about her mistakes and not in the sense that I'm going to bash her but rather try to bring my point of view on it. First of all, I'd like to talk about Rayla's departure, which could be seen as an act of love. Because she wants to protect Callum and I can understand that, but on the other hand it's a bit like abandoning him. And as I said, I can understand that Rayla has often been protective of her loved ones. But to leave just like that, leaving only a letter, is a bit rude.
Even when she returns, she says she knows her absence has hurt him. But she doesn't realize how hurt he is by her leaving. Then I liked her attitude towards Callum. Yes, she wants to talk to him, but she sees that he doesn't want to talk to her and doesn't insist to avoid tension. I thought she was quite patient, although you can tell that two years without the band has changed her a bit. When she said "We can't save everyone" to Soren. I wondered what had happened to make her think that. But apparently she said something she didn't really mean it, according to an interview. In the short stories about what she did during those two years. We can see that tracking Viren has made her suffer. She's far from her friends, far from Callum. And that hurts her, especially since she hasn't been able to find Viren during her tracking. So she decides to return home, not to Silvergroove but to Katolis. Showing that her home is no longer in her village, but with her friends.
When she stole Callum's key, I was shocked because I thought she'd try to talk to him, but then that meant talking about her family. And she wasn't ready for that! But it's a bit dirty on her part, especially when Callum sees Runaan's bow, he's not doing well at all. When Amaya talks to him, she defends herself by saying she did it to protect him. But despite understandable reasons, it's still an abandonment, and this decision has made them both suffer. She thought she had to become strong on her own. But that's not how you become strong, and Amaya learned this the hard way, but also through love, aka Janai. Rayla then understands what Amaya means by becoming stronger. Which leads her to confide in Callum. And that's a good first step!
Rayla makes mistakes, but she learns from them and tries to do her best.
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Help ! C'est quoi les différences majeures entre PCF et France insoumise pour les européennes ? et que pensez vous d'Olivier Terrien ?
En me basant uniquement sur la propagande électorale (merci de m'avoir forcé à la lire, pour une fois), le programme du PCF pour les européennes me semble plus souverainiste que celui de LFI.
Le PCF propose notamment de relocaliser des industries en France et de sortir du marché européen de l'électricité (par contre, ils sont pour un fonds européen en faveur des services publics : l'Union européenne à la carte un peu...).
Avec la proposition de relocalisation (dont j'ai du mal à saisir l'intérêt dans le cadre d'un programme aux européennes, mais bon), on trouve aussi quelques autres propositions plutôt "productivistes", notamment celle de "lancer de grands travaux pour le climat", éléments qu'on ne retrouve pas (explicitement du moins) dans le programme LFI (il faudrait voir ce qu'impliquent pour eux la sortie des accords de libre échange toutefois).
On trouve forcément des préoccupations communes dans le programme LFI, notamment sur les prix de l'énergie (la solution ? "mettre au pas les multinationales" : pas hyper parlant pour moi j'avoue) et la protection de "notre" industrie (française ? européenne ?). Cette dernière passerait cette fois-ci par une sortie des accords de libre échange mais on ne retrouve pas la proposition de relocalisation. Même chose pour les services publics : il s'agit de les défendre mais LFI propose plutôt d'abroger les "règles d'austérité" qu'un fond pour les financer. Sur ces quelques points, c'est plutôt des différences de méthode qu'on peut relever.
On peut relever quelques différences un peu plus marquantes. D'abord sur l'écologie : le PCF propose de réduire la TVA sur l'essence (certes au titre des mesures pour le pouvoir d'achat) et un mix énergétique nucléaire / renouvelables ; LFI défend le tout renouvelable (on ne sait pas trop ce que ça inclut : l'énergie domestique, mais les transports aussi etc. ? aucune idée).
Une autre différence sur le "volet social" : le PCF propose des augmentations de salaire et des retraites (mais encore une fois, je peine à voir le lien avec les compétences de l'UE) là où LFI n'a pas vraiment de propositions "sociales", à part celle d'une allocation destinée aux jeunes.
Une autre différence : le PCF propose la reconnaissance de la Palestine comme Etat en outre du cessez-le-feu, là où LFI s'en tient au cessez-le-feu.
Après, les mesures proposées restent extrêmement vagues, voire parfois en décalage avec les compétences de l'Union européenne (OK pour taxer les super-profits, LFI mais avec quelle compétence fiscale de l'UE au juste ? Il me semble qu'elle est particulièrement restreinte, mais bon je ne suis pas spécialiste de la question) donc j'ai du mal à me faire un avis net sur la "qualité" de ces deux programmes. Et puis, il m'en reste un bon petit paquet à lire...
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La variole du singe, l'Afrique et le lanceur d'alerte
Plus de 300 morts liés à la variole du singe depuis le début de l'année en République Démocratique du Congo. Des centaines en 2023.
C'est grave.
Regardez ceci maintenant.
Vous allez me dire que c'est encore un de ces comploplos débiles et vous allez me demander où est-ce que je suis encore allé dénicher ce phénomène et pourquoi est-ce que je vous fais ch... avec ça.
Et bien je suis allé le chercher là :
Et je me fous pas de votre gueule.
C'est du top niveau-là.
Une enquête poignante.
Un documentaire co-produit par la RTBF, co-financé par France Télévision, diffusé sur des grandes chaînes, récompensé par plusieurs prix, porté aux nues par la critique....
Et le monsieur que vous voyez là est le héros du film. Un lanceur d'alerte. Un chercheur audacieux qui n'a pas hésité à affronter de puissants lobbies. Le premier auteur de 2 études démontrant les incroyables propriétés d'une simple tisane (aux côtés de la fondatrice de la Maison de l'Artémisia, Lucile Cornet-Vernet, mais aussi du célèbre Pr Christian Perronne).
Il a eu droit à pas mal d'articles élogieux dans toutes sortes de médias.
Un héros donc.
...
Enfin.
Les 2 fameuses études sur les tisanes d'Artémisia étaient falsifiées à 100% (les résultats cliniques, les résultats de labo et même les listes de participants étaient bidonnées). Mais bon, c'est pas grave, à part l'Express, aucun média généraliste n'a jugé utile de signaler ce "détail". Du coup, on va dire que c'est comme si le problème n'existait pas.
Le documentaire qui l'avait rendu célèbre, je me suis penché dessus, et c'est une grosse daube complotiste. Mais là encore, les médias qui l'ont financé, diffusé et promu, font semblant de ne pas être au courant. Dons là aussi, c'est comme si le problème n'existait pas.
Et puis son rôle dans la pandémie de Covid. Dans les premiers mois, il avait été invité à Madagascar et avait conseillé le pouvoir en place pour promouvoir un "remède local" à base d'artémisia, pour combattre le Covid. De beaux discours sur le thème du "remède africain". Ouaip.
Alors pas mal de médias ont expliqué à quelle point cette stratégie, misant tout sur un remède bidon, avait provoqué un désastre sanitaire. Mais on a "oublié" que le chercheur vedette à la base de ce désastre avait été promu par des gens bien de chez nous, notamment des grands médias.
Célébré à la fois comme un lanceur d'alerte et comme un grand chercheur, ici en Europe. Présenté ensuite comme un héros en Afrique, notamment dans son pays d'origine, la RDC.
Il a eu droit aux tapis rouges, les politiciens ont cherché à l'avoir de leur côté, il a multiplié les interviews et a pu monter un business de "remèdes" naturels africains...
Tout en diffusant ce genre de thèses :
Voilà donc notre grand lanceur d'alerte, notre scientifique audacieux.
Et je pourrais continuer comme ça un moment.
Mais revenons à notre épidémie de variole du singe. Certains pays ont lancé des campagnes de vaccination. D'autres pas.
Quelle a été l'influence d'un homme présenté comme un scientifique génial et un héros dans de nombreux pays d'Afrique, interviewé dans des journaux, courtisé par les gens de pouvoir ?
En fait, je ne sais pas.
Et vous non plus.
Mais le ce qui est sûr, c'est que les conséquences dramatiques de la variole du singe sont désormais impossibles à occulter...
...Alors que ce monsieur en riait il n'y a pas si longtemps sur les réseaux sociaux, en ramenant le problème à un énième complot de Big Pharma, de l'OMS, de Bill Gates, des médias, etc.
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DVDvision - La Collection Épisode 8
L'histoire de DVDvision vol.1 continue ! Et voici l'épisode 8 de la série, quand le rédac-chef se retrouve à travailler 24h/24 pour sauver le DVD de Crying Freeman, et est trop épuisé pour signer l'édito !
Numéro 8 - Janvier 2001 -
116 pages
Editeur : Seven Sept
Directrice de publication : Véronique Poirier
Rédacteur en chef : David Fakrikian
Rédacteurs principaux : Yannick Dahan, Christophe Lemaire, Stéphane Lacombe, Benjamin Rozovas, Rafik Djoumi, David Martinez, Sandy Gillet, Nicolas Saada, Nicolas Rioult, Guillaume Delbos, Gael Golhen.
Sommaire : Gladiator making of DVD, Films ados, DVD en séries.
DVD : Le Pacte des Loups, Les Rivières Pourpres.
Notes : Ce numéro fut le plus vendu de DVDvision, montant à 34 000 exemplaires. Nous venons alors d'embaucher à temps plein Benjamin Rozovas, qui prend en charge le cahier multimédia, et grâce à ma rencontre avec Nicolas de La Mothe, qui dirige alors les projets à Gaumont Columbia Tri-Star, je signe le dossier de couverture sur Gladiator, qui est une véritable plongée dans les coulisses de l'adaptation d'un blockbuster américain en DVD Zone 2. C'est donc la deuxième fois en 8 numéros qu'un film de Ridley Scott fait notre couverture. Lié au DVD, Le Pacte des Loups, forcément très racoleur, et à la superbe couverture retravaillée par Joel Casano, ce numéro tombe à point.
Il correspond aussi à une énorme période d'effervescence pendant laquelle je me retrouve à travailler littéralement jour et nuit, ce qui explique que Leonard Haddad signe le très drôle éditorial de ce numéro. Bien que présent quand il l'a rédigé, je n'avais ce soir là plus la force d'écrire, donc je l'ai laissé à mon ordinateur le faire à ma place.
La raison ? Alors que la date de sortie du Pacte des Loups de Christophe Gans approche, l'odyssée du DVD Crying Freeman, commencée en 1999, sur lequel je donne un coup de main au concepteur Sébastien Prangère (également le monteur du Pacte des Loups) prend une tournure surréaliste.
Au cours de la conception, j'ai décidé de mon propre chef, au vu de l'abondance de matériel, que le collector serait un double DVD-9, alors qu'à l'origine, le produit était budgétisé pour un DVD-10 (double face). Ce qui, en plein milieu du bouclage du magazine, me vaut d'être convoqué en compagnie de Sébastien Prangère dans le bureau de Victor Hadida, qui m'incendie à juste titre, (après tout, c'est son argent que je suis en train de dépenser). Les ventes sont alors estimées à 5000 ex., et faire deux DVD-9 risque de réduire fortement les bénéfices possibles du projet. Je défend mon choix avec une énorme mauvaise foi, argumentant des raisons techniques, et Victor fini par valider à contre-coeur.
Après avoir reporté la sortie une première fois pour refaire le master en HD, (sur lequel j'ai supervisé l'étalonnage qui ensuite a été approuvé par Christophe), nous ratons la nouvelle date de sortie, quand la compagnie chargée du transfert HD nous livre un DVD master dans lequel il manque environ 40 secondes de film ! Elles étaient pourtant présentes sur la copie interpositive que nous avons remasterisée. Il faut donc tout refaire ! Et pour couronner le tout, malgré nos efforts et nos nuit blanches passées à les aider, la compagnie chargée des menus est incapable de nous livrer un produit fini qui correspond à nos attentes sur le deuxième disque des suppléments.
Le coffret Crying Freeman de 2001, originellement estimé à 5000 ventes, est monté à 100 000 exemplaires à sa sortie.
Pendant ce temps, une fois les bons de précommande envoyés aux magasins, et après que j'ai organisé une démo de présentation pour la presse avec un avant/après, pendant laquelle tous les journalistes sont devenus fous en voyant la qualité du transfert HD du film, la hype monte. Très, très haut. L'éditeur a commencé à faire imprimer le coffret emballage. Qui passe d'un pressage de 6000 ex, initialement prévu, à 12000. Puis, deux jours après, nous apprenons qu'il y a 18000 précommandes. Nous renvoyons donc au calage le coffret, pour 24000 exemplaires. Mais la semaine suivante, on nous informe qu'il y a 32000 précommandes ! Le coffret va être remis au calage au moins quatre fois, pour un total de 80000 exemplaires, du délire total. Seul problème, si l'emballage est prêt, le DVD ne l'est pas !
Alors qu'il a vent des chiffres de précommandes, je devient le meilleur ami de Victor Hadida, qui convoque un meeting au sommet avec son frère Samuel, Christophe Gans et Sébastien Prangère, où nous décidons tous que vu l'attente, il est hors de question de sortir le disque tel qu'il est finalisé par la compagnie d'authoring. Victor va alors empoigner son téléphone, et sauver le projet, en embauchant TOUT le staff d'une autre compagnie d'authoring pour refaire le disque... en une semaine, sous la supervision de Sébastien et moi. Il paie donc littéralement cette société, pour que tous leur travaux en cours s'arretent, et que 100% de leur équipe travaille sur le DVD Crying Freeman 24h/24 !
Je me retrouve donc à travailler la journée au journal, et la nuit chez la nouvelle compagnie d'authoring, dormant dans la chambre d'amis de Sébastien Prangère entre 4 heures et 8 heures du matin, avant de reprendre le chemin du journal. En 5 jours, nous reprenons tout à zéro, reconcevant le menu, le disque de suppléments, refaisant tous les graphismes, ajoutant des bonus de dernière minute, et refaisant même deux fois la compression du film, après que Christophe réalise sur son téléviseur qu'une étrange teinte verte a fait virer inexplicablement les couleurs du master. (En vérité, on le découvrira des années plus tard, les tubes cathodiques de cette époque, différents du moniteur HD sur lequel nous avions validé le film, viraient au vert. Ils nécessitaient donc une teinte rouge dominante afin de rééquilibrer l'image, ce qui explique que tous les masters des années 90 à 2005 ont un "red push" donnant sur les écrans d'aujourd'hui une apparence rosée).
Pour passer le temps en attendant que les graphistes nous envoient les nouveaux menus sur internet la nuit, nous jouons à la Dreamcast à SoulCalibur avec Sebastien (et oui, nous sommes encore en 1801) !
Une fois le travail terminé, Sébastien a dormi pendant 4 jours, sans qu'il ait été possible de le joindre au téléphone... Une fois le DVD sorti, il sera regardé comme l'un des meilleurs jamais édité sur le marché, un exemple à suivre, qui atteindra les 100 000 exemplaires de vente au total, en pleine post-effervescence Pacte des Loups, un happy-end inespéré.
Qui a dit que la vie d'un rédac-chef était de tout repos ? Il s'est assurément trompé.
La citation de ce numéro : "David, mon ami !" (Victor Hadida - janvier 2001)
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«Petit» point sur le prix libre, tangente sur l’argent et le militantisme.
[ Initialement publié sur Instagram ]
Le prix libre, ça veut dire « tu paies ce que tu peux/veux ». Si c’est un prix « libre et conscient » ou « à partir de », ce n’est plus un prix libre, c’est autre chose. Oui, ça veut dire que tu peux donner rien du tout, comme tu peux donner 100 balles. C’est toi qui choisis en fonction de ton budget et de ce qui te sembles juste. C’est un système vertueux, qui marche à la confiance où chacun·es contribuent librement selon ses revenus. En général, à la fin on réalise que les comptes sont équilibrés, le cycle peut continuer et tout le monde est content.
Une part énorme des personnes handies, celles pour qui j’écris, sont contraintes à la précarité. Ça n’aurait aucun sens pour moi de créer et partager des connaissances uniquement avec des personnes qui en ont les moyens. Limiter l’accès à des gens qui auraient besoin de ces ressources (ou me faire de l’argent sur leur dos) n’est pas vraiment mon idée de l’entraide.
Ça ne vient pas du fait que je ne considère pas mon travail, que je ne pense pas que je pourrais le vendre, ou que les activités créatives n’ont pas de valeur. Au contraire, je suis très bien placé·e pour reconnaître la somme d’efforts que ça demande, ou les possibilités de capitaliser dessus. C’est juste une décision politique cohérente avec ce que je défends. C’est la raison pour laquelle je ne participe qu’à des projets où la gratuité existe même si ce serait financièrement plus avantageux d’agir autrement.
Le prix libre, c’est aussi l’outil qui permet à ce labeur d’évoluer dans les règles que je choisis. Je n’ai pas besoin de faire mes preuves, de lécher des bottes ou d’accepter des conditions dégradantes. Je n’ai pas non plus à gérer une foule d’intermédiaires qui s’engraissent sur mon dos en m’utilisant comme token.
Si j’ai envie de prendre 6 mois pour écrire un article, personne ne viendra me mettre la pression. Si je veux disparaître des réseaux des semaines durant, je peux le faire sans conséquence. Tout ce que je fais, je le fais à mon rythme, de malade, d’handi·e et simplement de personne qui a envie d’avoir une vie en dehors de son « taf ».
Avant que vienne l'idée de romantiser le truc, évidemment que la précarité est parfois ce qui empêche de créer. Ça paraît assez normal que beaucoup tentent d'utiliser ce qu'iels aiment et savent faire pour survivre. De mon côté, j'ai constaté comme tant avant moi, que c'était le meilleur moyen d'en être dégoutté·e. Je ne travaille pas (à défaut de meilleur terme) pour la thune. La thune me permet simplement de continuer mieux ce que je fais.
Je l’ai un peu soulevé·e dans « militantisme ou marketing : le piège de l’activisme performatif », mais je ne pense pas qu’il soit possible de conserver la même intégrité politique une fois l’argent en jeu. On fait des compromis, parce qu’on a besoin de reconnaissance ou que c’est la façon dont on a choisi de remplir son assiette. On en vient à rogner sur ses positions, entretenir une image lisse. Plus vite qu’on ne le pense, on se retrouve à être le rouage d'une machine qu'on maîtrise plus. Je pense que c’est un leurre de croire qu'on peut profiter allègrement du système capitaliste sans perdre quelques plumes au passage, même si c'est juste son éthique. Je parle depuis une place de précaire, de minorités tout ça, d’où j'ai quand même décidé que mon militantisme était trop important pour moi pour permettre ça.
Ma lutte est un refuge, fais de rage autant que de joie, pas un produit à (vous) vendre.
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C’est bien étrange
Quand l'autre n'achève pas son travail, je me dis qu'il est paresseux.
Quand moi je n'achève pas mon travail, c'est que je suis occupé….
Quand l'autre parle de quelqu'un, c'est de la médisance.
Quand moi je le fais, c'est de la critique constructive….
Quand l'autre tient à son point de vue, c'est un entêté.
Quand moi je tiens à mon point de vue, j'ai de la fermeté….
Quand l'autre ne me parle pas, c'est un affront.
Quand moi je ne lui parle pas, c'est un simple oubli….
Quand l'autre prend beaucoup de temps à faire quelque chose, il est lent.
Quand moi je prends beaucoup de temps à faire quelque chose, je suis soigneux….
Quand l'autre est aimable, il doit avoir une idée derrière la tête.
Quand moi je suis aimable, je suis vertueux….
Quand l'autre voit les deux aspects d'une question, il est opportuniste.
Quand moi je vois les deux aspects d'une question, je suis large d'esprit…
Quand l'autre est rapide à faire quelque chose, il est négligé.
Quand moi je suis rapide à faire quelque chose, je suis habile…..
Quand l'autre défend ses droits, c'est un mauvais esprit.
Quand moi je défends mes droits, je montre du caractère…..
Quand l'autre fait quelque chose sans qu'on lui demande, il ne se mêle pas de ses affaires.
Quand moi je fais quelque chose sans qu'on me le demande, j'ai de l'initiative....
Oui, c'est bien étrange ...
(Auteur inconnu de moi)
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Un homme vit sur une planète. Ronde blanche vernis avec un rond rouge, un carré bleu et un triangle vert, une antenne en spirale noire. Avec en son sein, un noyau noir vernis également. Dans son noyau il y'a sa pièce préférée, là où il se repose et dans la partie blanche le salon et toutes sortes de petites pièces essentielles pour un lieu de vie. Il y vivait dans une combinaison pyjama vermillon et rouge. Autour de sa planète, tout est blanc. Seul sur le plafond au-dessus d'elle, il avait réussi à installer une lampe, plus pratique pour voir ce blanc. Puis un jour, quelqu'un apparaît dans son noyau et malgré la visite de la planète et son somptueux intérieur style rétro futuriste, veut découvrir ce qu'il y'a au-delà du blanc. Mais le propriétaire de la planète lui en défend, lui dit qu'il va juste tomber comme le premier jour où l’inconnu visitait l’extérieur de la planète. Par chance, l’homme en combinaison l’avait rattrapé par le bras avant qu’il ne disparaisse complètement dans la blancheur.
Ce soir, c'est au tour de l'inconnu d'éteindre la lampe au plafond pour que la nuit paraît. Il tend une perche avec un crochet pour tirer la ficelle qui déclenche l'arrêt ou le fonctionnement de l'ampoule. Il met du temps. Le propriétaire de la planète s'inquiète et va voir ce qu'il en est. Il le découvre en train de construire un escalier en tordant sa perche, il n'est pas d'accord il décroche son antenne et la pointe vers lui pour lui rappeler qu'en tant que chef de planète, il a tout bien calculer pour vivre parfaitement dessus et qu'il n'y a aucune issue. L'inconnu est déterminé à assouvir sa curiosité, ils marchent chacun à la poursuite de l'autre sur le blanc vernis, tendant leur antenne ou leur escalier pour appuyer leur propos. Soudain les deux semblant de bâtons se rencontrent, se touchent. Une vibration si forte s'émet dans l'escalier jusqu'au poignet de l'inconnu qu'il en sursaute et tombe dans le blanc. Il ne se passe rien. Le propriétaire de la planète s'assied, le dos courbé et se frotte le visage. C'est le soir, il devrait dormir. Il éteint la lampe et la scène se retrouve dans le noir complet.
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GreatTale Informations
Les Âmes dans Greattale.
Déjà, je vais vous présenter les âmes humaines.
[L'âme de bravoure]
Le porteur de cette âme, comme ça le dit il et courageux, et bravera les dangers peu importe ce qu'il se passe.
La bravoure se bat avec des gants ce qui lui fait avoir du combat au corps-à-corps.
C'est personne sont emplit de courage et de bravoure pour braver le danger.
[L'âme de Patience]
La patience âme cyan, représente, la patience d'attendre le bon moment en ne bougeant pas pour agir, au parfait moment
Se type de personne sont assez patient, ils attendent, et sont généralement des personnes qui attend
[L'âme d'Intégrité]
L'âme de l'intégralité, il attaque en subissant un effet de gravité, et en attaquant.
Les personnes qui possèdent se typent d'âme, s'acceptent comme ils sont. Et il accepte ce qu'il aime, même si ce n'est pas dans les normaux comme un homme qui fait de la danse avec un tutu.
[L'âme de gentillesse]
C'est âme au fond uniquement de se défendre avec un bouclier, et il soigne, et essayer d'apaiser l'adversaire en utilisant la clémence et la gentillesse, et ce sont des personnes assez généreux et naïf.
[L'âme de Persévérance]
C'est âme persévère, et combat sur 3 lignes, persévérant pour trouver le bon moment pour attaquer, par réélection et économie denergie il se déplace sur 3 lignes pu plus quand il a besoin.
Il attaque de façon réfléchie et il continue peux importer les obstacles pour a complir sont objectifs de persévérer vers son but.
[L'âme de Justice]
Une âme aux valeurs noble, défend la justice, et avec leur vision de la Justice, cette âme se défend normalement, mais tire sur c'est adversaire. Ce sont des personnes assez attacher a la philosophie de protéger les gens, et de respecter les lois.
[L'âme neutre]
Cette âme grise, symbolise l'absence de tout trai mais sont l'autre signification et que c'est neutre, peux importe la situation, la personne restera neutre, et son âme grise symbolise, une personne neutre aura plus de facilité à rendre un verdict objectif, qui sera juste pour tous, les personnes avec ces âme sont assez rares.
[L'âme de détermination]
Les personne attaque et esquive normalement, cet âme et la plus puissante de tous, et elle et extrêmement rare, cet âme peux prendre tout les trai des autres âme, et donc s'adapte et utilise les merllieur trai contre son adversaire, cet âme et si puissante, qu'elle peux surpasser pu même égaliser un monstre avec 8 âme en lui, se genre de personne peuve refuser de mourir et revivre
{Barrière de l'underground}
La barrière dans Greattale a été créée par 8 sages, des magiciens humain qui avais absorber une âme de boss monsterxchacun, ce qui leur a donné la capacité de faire de la magie et de créer la barrière.
Le sage de bravoure
Le sage Justice
Le sage d'intégrité
La sage patience
Le sage de gentillesse
Le sage de Persévérance
Le sage neutre
La sage détermination
{Les Âmes de monstre}
[L'âme de Monstre]
Les âmes de monstre sont faites d'espoir, de compassion et d'amour.
Les monstres sont magiques, mais leur âme ne permet pas de supporter la détermination, une détermination a la forte dose serait mortel pour n'importe quel monstre.
Mais une dose moins importe les fera juste fondre et fusionner s'il a plusieurs qui donnera les Almagalme.
Les montre preuve pas persisté après leur mort, et leur corps tombe en poussière.
Pour arracher l'âme d'un monstre vivant il faudrait une puissance incroyable.
[Âme boss monstre]
Ces âme sont identiques a se des monstres, mais ce sont des âmes qui persiste un peux plus que les âmes de monstre normal, qui parte directement en poussière, ce qui veut dire que les âmes de boss monster sont ce qui peive être absorbé pas un humain.
Pour arracher l'âme d'un boss monster vivant il faudrait une puissance incroyable.
{Informations lv et exp}
Exécution Point ou EXP est identique à l'original.
Plus on fait souffrir, plus on gagne de l'exp, et notre L.O.V.E.
Level of violence ou LOVE et identique a undertale
Plus on en gagne plus on a de facilité à faire souffrir.
{Informations dans Greattale}
Le Core ne pas était construit par Arial ça sœur dans cette AUs, et Gaster a un frère jumeau nommer Aster dans Greattale.
Flowey n'a pas Asriel dans cet univers.
La guerre n'a même pas 60 ans dans Greattale, la guerre et récente donc on en parle encore.
Papyrus comme Undyne peux revenir en génocide, même si Papyrus, et détermination comparé a Undyne qui fait ça pour tout le monde, Papyrus fait ça pour sa famille et ce sont amis, pour les défendre à tout prix.
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NORMAN FOSTER - Rétrospective au Centre Pompidou
Un planeur en suspension. Une voiture de collection. Un camping-car aérodynamique. Un dôme géodésique. Des sculptures de Brancusi. Un bronze de Boccioni… Non, ce n’est pas une chanson de Boris Vian. C’est le cœur de l’exposition Norman Foster », une exposition d’architecture qui excède largement les frontières du genre.
C’est la première fois que la discipline qu’on appelle « mère de tous les arts » a les honneurs de la Galerie 1, l’espace le plus prestigieux de l’institution parisienne.
Patron d’une agence de 1 800 salariés dont il n’est pas exagéré de dire qu’elle a remodelé, en quelques décennies, la face de notre monde et reconfiguré la manière dont on y vit, Norman Foster est présenté ici comme un démiurge qui n’aurait jamais renoncé à ses rêves d’enfant et qui aurait même mis toute sa puissance au service de leur réalisation.
Un garçon issu d’un milieu modeste, fils d’un comptable et d’une caissière, qui s’est hissé au firmament des architectes (il a reçu le prix Pritzker en 1999), a été anobli par la reine Elizabeth II (en 1999 également), qui collectionne les voitures prototypiques et pilote des avions dès qu’il en a l’occasion (il en aurait essayé soixante-quinze types différents, du planeur à l’avion de ligne).
L’entrée dans l’espace principal de l’exposition dévoile une diversité de maquettes et de manière de les faire que les étudiants en architecture apprécieront certainement. En filigrane de ces immenses modèles réduits qui côtoient des détails à l’échelle 1, c’est l’histoire professionnelle de l’architecte britannique qui se donne à lire : ses rencontres, particulièrement celle avec Buckminster Fuller, et sa principale rupture, celle avec la Team Four et Richard Rogers en 1963, point de départ de l’agence Foster + Partners.
Norman Foster se défend, dans une interview accordée au commissaire de l’exposition Frédéric Migayrou d’une «architecture intemporelle». Il semble surtout se servir de cette exposition pour réécrire son histoire de concepteur. Car cet événement, le starchitecte en est à l’origine : il l’a conçue et financée, en partenariat avec sa propre fondation, la Norman Foster Foundation, et des partenaires privés, Bloomberg, J.P. Morgan et JCDecaux.
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