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fitnessmith · 2 months
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Recette perte de poids | 30 recettes gratuites pour maigrir
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chic-a-gigot · 3 months
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La Mode nationale, no. 26, 28 juin 1902, Paris. Toilettes d'été pour dames et jeunes filles. Bibliothèque nationale de France
(13) Corsage de dîners pour jeune femme ou dame d'un certain âge, en dentelle arabe agrémentée de petits velours noirs et de choux. Guimpe et dessous de manche en linon de soie soufre à plis fins. Manche pagode ornée de choux comme le devant du corsage.
(13) Dinner corsage for young women or ladies of a certain age, in Arabic lace decorated with small black velvets and cabbages. Guimpe and under sleeve in finely pleated sulfur silk lawn. Pagoda sleeve decorated with cabbages like the front of the bodice.
Matériaux: Dentelle en laize; 2 mètres de linon soufre.
(14) Robe élégante pour jeune femme. Jupe en forme, en crêpe rose-pastel, ornée au bas d'une bande plissée, encadrée d'entre-deux en broderie de soie noire sur fond rose. Corsage de dentelle à longue basque rapportée; ceinture rose. Boléro à manches courtes, en crêpe rose plissé et entouré de bandes brodées. Empiècement plat et col montant en dentelle; devant, choux de velours noirs et bouts tombants terminés par des glands de perles.
(14) Elegant dress for young women. Shaped skirt, in pastel pink crepe, decorated at the bottom with a pleated band, framed by black silk embroidery inserts on a pink background. Lace bodice with long basque attached; pink belt. Short-sleeved bolero, in pleated pink crepe and surrounded by embroidered bands. Flat yoke and high lace collar; in front, black velvet puffs and falling ends finished with pearl tassels.
Matériaux: 10 mètres de crêpe; dentelle en laize.
(15) Robe de visites pour jeune femme. Princesse en drap souple vert-Nil. Le bas est un volant à repincés sur lequel passent des biais piqués. Le corsage à repincés et biais piqués est décolleté en rond et ouvert sur un dessous en linon de soie à plis fins piqués. Col en forme en taffetas blancs à dessins roses. Manche évasée, conçue dans le même esprit que la jupe, écourtée sur un bouffant de soie pareille au col. Les biais du corsage se terminent sous des boucles.
(15) Visiting dress for young women. Princess in soft Nile green cloth. The bottom is a ruffle with stitched bias binding. The bodice with stitched bias binding has a round neckline and opens onto a silk lawn underside with fine stitched pleats. Shaped collar in white taffeta with pink designs. Flared sleeve, designed in the same spirit as the skirt, cropped on a silk bouffant similar to the collar. The bodice bias ends under buckles.
Matériaux: 0m,50 de drap vert; 2 mètres de linon de soie; 1 mètre de soie à dessins roses.
(16) Robe simple pour jeune femme ou jeune fille, en homespum d'été bleu clair moucheté de noir. Jupe composée de volants en forme taillés en pointe devant et ornés d'une fine passementerie noire. Corsage orné de pattes de velours noir et de passementerie. Manche à trois pèlerines. Grand col de linon plissé orné de broderie. Col et ceinture en panne émeraude.
La même toilette serait jolie en toile ou en piqué.
(16) Simple dress for young women or girls, in light blue summer homespun speckled with black. Skirt composed of shaped ruffles cut into a point at the front and decorated with fine black trimmings. Bodice decorated with black velvet tabs and trimmings. Sleeve with three capes. Large pleated lawn collar decorated with embroidery. Emerald pan collar and belt.
The same toilet would look pretty in canvas or pique.
Matériaux: 6m,20 d'homespum; 1 mètre de panne.
(17) Robe de campagne pour jeune femme ou jeune fille, en toile gris pâle. Jupe en forme faite de volants pèlerine superposés. Longue basque rapportée, ornée de poches en toile brodées de cotons lavables ou appliquées de fleurs et de feuillages en cretonne. Boléro très ajusté enguirlandé de la même façon. Guimpe rayée de ganses noirs. Nœud en mousseline de soie blanche lisérée de noir. Manche à revers brodés.
La même toilette en lainage léger et appliques; la guimpe en pékiné.
(17) Country dress for young women or girls, in pale gray canvas. Shaped skirt made of layered pelerine ruffles. Long attached peplum, decorated with canvas pockets embroidered with washable cotton or applied with cretonne flowers and foliage. Very fitted bolero garlanded in the same way. Guimpe striped with black braid. Bow in white silk chiffon edged in black. Sleeve with embroidered cuffs.
The same ensemble in light wool and appliques; the wimple in pekiné.
Matériaux: 8m,50 de toile.
(18) Robe de visites pour jeune femme ou jeune fille, en foulard japonais blanc et rouge clair. Jupe en forme garnie de trois petits volants lisérés d'un dépassant en pékiné noir et blanc. Corsage à basque rapportée, entourée d'un biais en pékiné, ouvert sur un gilet de taffetas, lui-même ouvert sur un plastron de soie rouge. Col dentelé en soie blanche rayé de velours noir. Grand col de dentelle; manche élargie, très courte sur un volant de dentelle. Ceinture en taffetas pékiné.
(18) Visiting dress for young woman or girl, in white and light red Japanese foulard. Shaped skirt trimmed with three small ruffles edged with a black and white pekiné overhang. Bodice with attached peplum, surrounded by a pekiné bias, open on a taffeta vest, itself open on a red silk bib. Serrated collar in white silk striped with black velvet. Large lace collar; enlarged sleeve, very short on a lace flounce. Belt in pekiné taffeta.
Matériaux: 12 mètres de foulard; 2 mètres de taffetas à rayures; 0m,60 de soie rouge.
(19) Manteau de promenade pour dame d'âge moyen. Collet de drap gris-clair, bordé d'un biais passent des pattes claires, volant brodé d'incrustations, de découpures en drap gris clair sur panne ou taffetas gris foncé. Col brodé pareil au volant. Deux pattes ferment en croisant.
(19) Walking coat for middle-aged lady. Collar of light gray cloth, edged with a bias pass of light tabs, flounce embroidered with inlays, cutouts in light gray cloth on panne or dark gray taffeta. Embroidered collar similar to the ruffle. Two legs close by crossing.
Matériaux: 2m,75 de drap gris clair; 2 mètres de taffetas ou de panne gris foncé.
Le chapeau est un tricorne de paille brûlée, enroulé de dentelle blanche et piqué de deux ailes noires.
The hat is a tricorn of burnt straw, wrapped in white lace and adorned with two black wings.
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sh0esuke · 1 month
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" Past Love "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Arlong The Saw.
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Fraichement sorti de prison, Arlong se prépare à rejoindre East Blue. Il quitte ses compagnons de toujours, y compris Jimbe alors que celui-ci est la raison de sa libération, l'équipage des hommes poisson se scinde en trois et, sur le moment, cela semble faire sens. Arlong n'a aucun regret. Il se prépare à prendre la mer et semer terreur sur son passage, sans se douter qu'il est actuellement suivit. Mais qu'il ne s'inquiète pas : la mystérieuse ombre lui courant après ne tardera pas à se révéler.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : référence à l'esclavage, mutilation, amputation..
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad, my account is in my bio, this is the ONLY ONE i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad, j'ai un lien dans ma bio, c'est mon SEUL compte.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟑,𝟐𝟐𝟒.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
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Le bruit des vagues qui s'échoue sur le rivage a un effet calmant. Le soleil brille directement sur le sable à nos pieds, il en est devenu brûlant même si je suis incapable de le sentir ⸺un léger nuage de chaleur émane du dessus⸺, je me doute que même la mer doit s'être réchauffée elle aussi, en surface. Elle est cependant d'un calme plat. C'en serait presque paradisiaque. La forêt de palmiers derrière nous accentue cette impression. Il fait bon. Aucune tempête ne pointe le bout de son nez, pas de folie hivernale ni une averse de foudre en vue.
L'air marin s'infiltre dans mes poumons, puisque nous nous rapprochons de la mer son parfum salé s'accroît. Les mouettes aux alentours beuglent à cor et à cri.
Mes pas se font rapides.
J'ignore Kuroobi et Octy. Ils essaient de me retenir, mais je passe aisément entre eux deux avec mes bras proches de ma poitrine afin qu'ils soient incapables de s'en saisir. Je trottine jusqu'à rejoindre Smack et Arlong.
Surpris, Smack me zieute.
Quant à Arlong, trop occupé à s'appuyer contre notre ami, ne me regarde pas.
« Comment vont tes blessures ? » je demande.
Instinctivement, j'approche ma main de son visage meurtri. Il est dans un sale état, la vue de tout ce sang éparpillé sur son épiderme bleuté me serre l'estomac, il y aurait de quoi remplir plusieurs verres. Sa chemise ouverte me laisse contempler les gouttes qui ont réussi à descendre jusqu'à ses hanches et bas ventre. Elles ont eu le temps de sécher. S'effrite sous mon toucher. Mes doigts se crispent. Sur le moment, force d'habitude, je m'apprête à le caresser. Mon pouce se presse contre sa joue et—
Arlong s'empare de mon poignet.
« Ne me touche pas. »
La prise qu'il exerce est violente, il resserre ses doigts et m'arrache une plainte. Son regard se fait perçant.
Tous les autres nous observent.
« Je te permets pas. »
Grognant, je récupère ma main. Arlong me laisse faire et tourne la tête.
« Dégage d'ici, j'ai plus besoin de toi. »
« Je— »
Crack. Crack.
Les morceaux de mon cœur fissurés me broient de l'intérieur. Ils pénètrent ma chair, s'immiscent là où ils ne devraient pas et laissent un liquide amer me marquer au fer rouge. L'impression est douloureusement familière. Mon corps n'est plus qu'une boule de chair poignardée de toutes parts. Je ne suis pas seulement humiliée, je suis blessée. Tentant de garder la face, je grimace et fronce mes sourcils. Arlong et Smack me dépassent, ils me laissent seule avant que le reste de nos compagnons suive le mouvement.
Octy pose une main réconfortante sur mon épaule, je la repousse. Sans attendre je me tourne en direction de Arlong et le coupe.
« Tu sais très bien que ma place est ici ! Je n'aimerais n'être nul part ailleurs. »
Il m'ignore.
Je vois Smack hésiter. Il tient fermement Arlong mais ne sait pas si il devrait s'arrêter ou continuer d'avancer. Son silence est pesant. Il est lourd, m'étouffe de l'intérieur. Je suis étranglée.
« Arlong. »
Rien.
« Arlong, merde ! »
« Ferme la. » il grogne.
Mon visage se froisse.
« Je t'ai choisi, non ? J'y crois pas, qu'est-ce que tu veux de plus ? » insisté-je.
Il est toujours de dos. Ils sont sur le point de rejoindre la mer, me laisser là sans même chercher à résoudre nos différents. Je n'arrive pas à y croire. Après tout ce que nous avons vécu... C'est si facile pour lui de tourner la page ? Ça ne lui pose aucun problème de faire une croix sur moi ? C'est impossible. Pas alors que je vois la violence avec laquelle il serre le poing. Je sais que ça n'a aucun lien avec ses blessures. Mais tandis qu'il s'éloigne de moi, je ne peux pas m'empêcher d'être terrifiée. Si il part je ne m'en remettrai pas.
« Écoute, » m'interrompt Octy. « il est encore contrarié parce que tu es partie avec Jimbe, laisse lui un peu de temps. Tu sais bien qu'il ne pourra pas t'en vouloir indéfini— »
« Mais tu voulais que j'aille où ! Je ne suis en sécurité nul part ! »
À ma plus grande surprise, Arlong se stoppe, mais je me doute que ça n'est pas parce que mes mots l'ont touché. Ça doit plutôt avoir un rapport avec ma voix qui s'est cassée. Il me sent sur le point de pleurer.
Ça tombe bien parce que c'est le cas.
« Jimbe était mon seul protecteur pendant que, comme un idiot, tu croupissais en prison ! » m'écrié-je. « Je suis incapable de nager, je suis incapable de me battre comme vous, je ne maîtrise même pas le karaté des hommes poissons ! C'était lui ou la mort ! »
« Tu as servi les hommes qui ont tué Tiger. Jamais je te pardonnerai. » il grommele.
« Je t'en prie.. »
Mes mains s'accrochent à mon short.
« Arlong je n'ai plus que toi. »
« Ça ne me plaît pas non plus. » je reprends. « On est plus ensemble pour une raison, et je méprise ce que tu es sur le point de faire mais je suis coincée. Prends moi avec toi. »
Il ricanne.
« Ça t'est si facile de supplier ? Je n'ai pas besoin d'un poids mort. Vas-t'en. »
« Non. »
Il m'est difficile d'être certaine de ce que je fais. Je suis plus que contrariée en cet instant, blessée aussi et perdue. Le reste de ses hommes ne bouge pas. Ce sont nos amis d'enfance, des anciens compagnons de Fisher Tiger. Nous sommes tous liés, notamment par là où nous avons tous grandi ; le district des hommes poissons. Je sais qu'ils n'auraient aucun mal à m'abandonner pour Arlong, leur hésitation suffit cependant à me réconforter. Beaucoup m'en veulent d'avoir choisi Jimbe, Arlong n'est pas le seul, mais j'apprécie le geste.
Toutefois sur le moment je me fiche de ce qu'ils font. Personne ne parle hormis Arlong et moi-même. Les supplications de Octy ont cessé, à présent mon ami se contente de me fixer avec impuissance.
Aucun de nous ne sait encore où cette discussion nous mènera.
« Je partirais si c'est vraiment ce que tu désires. » j'annonce finalement.
Mes bras se resserrent contre ma poitrine, la prise de mes doigts sur ma peau m'aide à garder les pieds sur terre. Je m'y accroche désespérément. Je me mords l'intérieur des joues et répresse mes larmes qui, d'une seconde à l'autre, menacent de couler. Elles me brouillent la vue. Je suis convaincue que si je cesse de batailler contre moi-même, je succomberai de chagrin.
« Mais je veux d'abord que tu me regardes. Regarde moi dans les yeux, Arlong, et dis-moi que tu me détestes. »
L'homme poisson que j'ai autrefois aimé m'est méconnaissable. Alors que j'ai vu toutes les versions de lui, alors que je l'ai aimé de l'enfance jusqu'à ses années adultes, aujourd'hui je ne sais plus qui il est. Sa haine ne fait pas que l'aveugler, elle le rend cruel et le change. Ses yeux ne me semblent plus aussi tendres et lumineux qu'auparavant, je suis persuadée que ça n'a aucun lien avec les sentiments que nous avons auparavant ressenti l'un pour l'autre.
C'est quelque chose de plus profond qu'une simple histoire d'amour.
Le silence d'Arlong me fait douter. Il reste stoïque, et je suis même à deux doigts de penser qu'il ne m'écoutera pas. Il va m'ignorer et m'abandonner sur cette fichue île déserte. Il va une dernière fois me broyer le cœur. Et ce coup-ci je ne m'en remettrai pas.
Si il me laisse..
Si il part, il n'y a que la mort qui m'attend.
Un fossé nous sépare. J'ai beau avoir lâchement fui Jimbe après leur combat pour le rejoindre, j'ai beau lui avoir tout offert de mon cœur jusqu'à ma vie, aujourd'hui Arlong et moi ne partageons plus rien. Le souvenir de notre relation s'efface avec le temps, et je ne suis pas sûre que nous partagions les mêmes réminiscences, ainsi que nous soyions d'accord sur la manière dont tout cela s'est fini.
Sur le moment, je suppose qu'il me déteste réellement. Et je ne peux pas lui en vouloir.
Arlong serre le poing. Je l'entends pester et converser brièvement avec Smack. Le temps qu'il se décide, Octy glisse une de ses mains dans la mienne. Mes larmes roulent le long de mes joues. Elles cascadent abondamment. J'hoquète et contemple son dos. Son sang tâche le sol à ses pieds, une de ses blessures a dû se rouvrir. Son combat avec Jimbe l'a sérieusement abîmé, je me demande même comment il fait pour rester conscient. C'est sûrement sa colère. Elle est si palpable et destructrice qu'elle l'aiderait à surmonter n'importe quoi. Je m'accroche à Octy. C'est peut-être la dernière fois que je suis auprès d'eux tous.
Je réalise soudain pourquoi Arlong met autant de temps à se retourner.
C'est bien la première fois qu'il se doit de prendre une décision en tant que meneur. Il vient à peine de devenir capitaine et voilà qu'il doit choisir entre me recruter ou m'abandonner. Il me voit comme une traîtresse, à ses yeux j'ai sali la mémoire de notre héros à tous mais il doute quand même. Je ne saurai dire si c'est pire ou une bonne nouvelle. Est-ce que ses sentiments pour moi le font hésiter ?
Je sais qu'il m'aime encore.
« Arlong— » s'exclame Smack.
Mes yeux clignent. Je les relève dans leur direction très rapidement.
Arlong se détache de Smack et tient sur ses jambes de lui-même. Il retire même son bras de son épaule. D'un geste sec il crache du sang par terre et me pointe du doigt. Son regard est dur. Malgré tout, il est partiellement troublé, j'arrive à y apercevoir une faible lueur. Elle est familière. Il a réussi à me couper la respiration en un instant.
« T'as toi-même subi la cruauté des hommes. Tu as vu de quoi ils étaient capables. »
« Qu— »
« T'es une hypocrite. » me coupe-t-il.
« Tu crois que je le sais pas ? »
Je frappe mon poing contre ma poitrine. Malgré mes sanglots, je riposte. Je n'essaie pas de me défendre, je ressens juste le besoin de parler.
Tant de choses me pèsent sur la conscience. Elles m'écrasent.
Je suffoque.
« J'ai été esclave je te rappelle ! Ces fichus Dragons Céleste m'ont pris ce que j'avais de plus cher avant de me laisser pour morte, tu crois que je m'en veux pas d'avoir servi ceux qui les protège ? J'ose même plus me regarder dans le miroir ! »
Je me frappe la cuisse : elle est faite de bois.
Elles sont faites de bois.
« Je suis incapable de rentrer chez moi, où est-ce que tu veux que j'aille ? »
Mon autre main s'accroche à celle de Octy. Je ne la lâche pas mais j'avance d'un pas, je ressens le besoin de me rapprocher de Arlong.
J'ai toujours détesté être loin de lui.
« La surface est trop dangereuse pour moi, » j'insiste. « les humains vont tôt ou tard s'apercevoir que je suis une sirène, prothèses ou pas. Et je déteste Jimbe. Après ce qu'il t'a fait je— »
À force de balbutier, je perds mes mots.
Mais mes paroles semblent avoir attendri Arlong. L'expression de son visage n'est plus aussi dure, ses poings se sont ouverts. Sa bouche est même légèrement ouverte. Je jurais qu'il m'écoute attentivement.
« Je ne veux servir personne d'autre. Ma vie t'appartient, fais-en ce que tu veux. »
Je tombe à genoux.
À force de tenir debout, d'avoir mal au cœur tant celui-ci palpite avidement contre ma cage thoracique, et de crier, j'ai perdu mes forces. Je les retrouve en touchant le sable chaud et en laissant la lueur des rayons solaires entrer en contact avec mon visage. Elle réchauffe mes larmes. La douceur de la nature me prend dans ses bras. Elle me berce tendrement. Et alors que je fais toujours face à Arlong et que je suis présentée sous lui, plus vulnérable que je ne l'ai jamais été auparavant, la vie me paraît soudain bien cruelle.
Mes doigts s'enfoncent dans le sable. Je m'y agrippe. Les grains s'échappent de ma poigne, ils parviennent à me fuir.
Puis, clignant des cils, je parle.
C'est ma dernière tentative.
Après ça, je refuse de résister, j'accepterai mon sort quel qu'il soit.
« Si il te reste une once d'humanité, alors aie au moins la décence d'en finir avec moi, parce que si tu me laisses je ne survivrai pas. Je ne veux pas d'une telle vie. »
Quelques-uns de nos amis murmurent des protestations, j'entends même Octy et Smack geindre mon prénom.
Cette journée commençait si bien.. Jimbe utilisa son titre de Grand Corsaire pour libérer Arlong de l'emprise de la marine le matin même et ainsi le sauver de lui-même, il m'assura que cela pourrait m'aider à réparer nos liens. Je m'étais faite une joie de le retrouver, tant de fois je l'avais cru mort, ou à jamais prisonnier des humains. Mais tout a dérapé. Nous n'avons pas retrouvé le Arlong d'antan, plutôt une version haineuse et terrifiante consummée par sa rancœur.
Il a défié Jimbe par fierté, désirant restaurer l'honneur de Fisher Tiger avant de lamentablement perdre. Et lorsqu'il a pris la suite, je n'ai eu d'autre choix que de le suivre. Malgré les supplications de Jimbe, j'ai couru au travers de cette forêt tropicale, j'ai tout envoyé en l'air pour lui.
Il n'y a pas de retour en arrière.
J'ai été esclave plus longtemps que j'ai été libre, voilà qui est bien cruel, et malgré le tatouage de l'équipage des hommes poissons qui me dore la peau par dessus cette autre monstruosité, les résidus de cette vie me rongent petit à petit. J'ai la sensation de n'être qu'une coquille vide. Fisher Tiger m'a sauvée, il m'a recueillie, il a recouvert les marques de ce passé cauchemardesque par des nouvelles et Arlong a su faire de moi une véritable femme. Il m'a appris ce que cela faisait d'aimer et d'être aimée.
Aujourd'hui, si je retourne auprès Jimbe, tout cela n'aura plus aucun sens.
Je n'ai même plus ma place dans le district des hommes poissons.
Et la terre des humains sera mon tombeau si je m'y attarde.
Je ne l'ai pas supplié par amour. Malgré notre passé commun, il le sait aussi je suppose, je lui demande une telle faveur parce que le suivre à East Blue est mon seul moyen de tourner définitivement la page. Là-bas, le monde doit être différent. Il saura s'y faire un nom et me protéger. Je saurai me rendre utile.
Le silence qui plane entre nous devient si palpable qu'il me touche au visage. Je le confonds avec la chaleur du soleil.
Arlong n'a toujours pas bougé, si bien qu'une éternité semble s'être écoulée depuis mon discours. Je jurai qu'il se fait tard. Nos amis ne disent plus rien. Nous attendons tous son verdict avec impatience dans un mutisme commun. Il est évident que je n'ai pas ma place avec eux, mais si jamais.. si jamais il acceptait...
J'en viens à fermer les yeux.
Toujours rien.
Ma gorge se serre.
Je sanglote et retiens mes larmes.
Il va m'abandonner, c'est—
L'on me stoppe. Une poigne s'empare de mon bras.
Elle est violente. Je suis prise par surprise sur le moment et lâche un cri aiguë, il me racle la gorge. Brusquement, je suis propulsée sur mes jambes. L'on me force à me redresser.
J'ai à peine le temps de rouvrir les yeux que Arlong dépose sa main sur le sommet de ma tête de manière à cacher mon visage et qu'il passe son bras dans mon dos. Il me plaque contre son torse. Je n'ai aucun moyen de m'échapper. Le geste peut paraître affectueux mais il le fait d'une telle brutalité qu'il me coupe la respiration. J'en ai mal aux poumons.
« Tu viens avec moi. »
Mes lèvres tremblent.
« Je les laisserai plus nous faire du mal. Ils paieront tous. »
Je rapproche mes mains de ses clavicules, ainsi je me tiens à sa chemise et gémis contre lui. C'est plutôt un bruit étouffé, à l'instar d'un braillement. Je suis incapable de m'arrêter. Mes doigts sont glués à lui. Je refuse de nous séparer. Je suis convaincue que si je le laisse partir je me réveillerais en plein cauchemar. Mon corps tout entier succombe au chagrin. Je suis poignardée, encore et encore par la tristesse de mon existence. Je ne peux que chercher du réconfort auprès de lui.
Son enlace me donne une impression de sécurité. Il m'accepte parmis ses hommes et me cache dans son étreinte dans le but de me laisser fondre en larmes. Il me cache pendant que mon cœur s'ouvre.
Ma peine est certes dévoilée, mais le reste nous appartient.
« Arlong.. »
Je n'essaie même pas de les sécher.
Mon visage est trempé, ma vue brouillée.
Pleurer n'est pas une honte. Fisher Tiger pleura sur son lit de mort, nombre de fois ai-je vu Jimbe ou nos camarades sangloter. Ça n'est ni humiliant ni embarrassant. Je ne peux pas m'empêcher de geindre contre lui alors que je me sens si triste. Le monde s'effondre sous mes pieds. Tout me tombe sur la tête. Mon cœur me fait horriblement mal et mon ventre se tort dans tous les sens.
Je ne sais pas ce que l'avenir nous réserve, j'en ai assez vu par le passé.
Je me fiche de ce que Jimbe peut bien faire ou penser, je me fiche de l'île des hommes poissons et de l'air supérieur de ses habitants envers ceux du district des hommes poissons. Je me fiche de tous ces gens là. Pour être honnête, je ne vois un futur avec aucun de ces deux choix. Jimbe m'a aidée lorsque je n'avais plus rien, j'ai toujours su que ma place n'était pas à ses côtés. En tant que ancienne esclave, servir le Gouvernement Mondial est contraire même à mon existence. Quant au royaume marin, il n'en est pas moins responsable et cruel.
Je ne me sens comprise qu'ici.
Et peu importe si je ne suis pas d'accord avec les choix d'Arlong. Entre la peste et le choléra, il me paraît un bien meilleur choix. Je n'ai pas espoir de le sauver. Je sais qu'il est perdu : ce qui m'importe sur le moment, c'est de me laisser aller à mon chagrin. Il me réconforte du mieux qu'il peut.
L'odeur de son sang envahi mes poumons, elle me saisit à la gorge, son goût métallique est fort et amer, et j'imagine que la force avec laquelle nous nous enlaçons doit lui faire mal. Il est encore grièvement blessé. J'aime à penser que notre proximité lui fait du bien, car à moi elle m'en fait, ça n'est peut-être rien, mais ça reste tout de même la promesse d'un avenir moins sombre. Ainsi, je sais que quoi qu'il advienne je serai là pour lui. Vice-versa.
Pas seulement parce qu'il m'aime, mais parce que nous partageons bien plus désormais.
Je lui dois la vie.
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geraldineetmona · 9 months
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Savez-vous le nombre de plats traditionnels que l'on peut trouver à Noël ?
Entre la dinde aux marrons, la bûche, les purées de pommes de terres et ça, sans compter les hors d'oeuvres et les petits fours tout au long du repas ! Enfin, si vous y mettez le temps de préparer tout ça, car bon, c'est pas pour rien. D'ailleurs, le panettone, qui est surtout une grosse brioche en fait, souvent avec des fruits secs, mais rien ne vous empêche d'en trouver un avec du chocolat à la place, c'était considérer comme desserts dans le temps. Mais c'est considérer léger comparer au reste, du coup, c'est devenue un plat de gouter voir petit-déjeuner.
En bref, c'est l'idéal après les fêtes, mais pour rester quand même un peu dans l'esprit de Noël... à supposer que vous n'avez pas mangé tout le reste avant, car sinon, vous finissez comme Mona. Z'avez plus de place.
Geraldine & Mona (c) Me + Myria Edition Artwork made by me.
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datura21 · 10 months
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Je déclare la saison du poke bawl multicolore, savoureux, roboratif et léger ouverte malgré la grisaille du plat pays ; le lit est fait d’un riz a sushis assaisonné pareil avec un vinaigre de riz sucre et sel… au dernier moment je rajoute une citronnelle hachée fin-fin-fin.
La verdure d’un fenouil, ciboulette, cebette… celui qui n’est pas coriandre n’en met pas, les autres ils peuvent… la saumure de l’œuf parfait mariné me sert de vinaigrette par dessus avec une (bonne) petite huile de sésame.
J’ai terminé par snacker thon/saumon/noix de Saint-Jacques en unilatérale.
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lepalaisdeslarmes · 1 year
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Le policier commanda l'autre plat et grimaça. - Disons que j'ai eu une enfance et adolescence rude. Je m'estime simplement chanceux de ce que j'ai aujourd'hui et je suis reconnaissant. Mes critères du bonheur ne sont sûrement pas très élevé. Mon job doit accentuer ça, j'imagine. Le fait qu'il est un rescapé d'une secte également. Le serveur vint vous apporter les plats. - Goûte aussi le mien. Il avait prit le second plat exprès, à vrai dire. Il leva les yeux en repensant à ce que tu lui disais. - C'est plus complexe, à mon avis. Ils ont peur parce que tu n'attends pas qu'un homme soit dans ta vie pour vivre et ça fait flipper les deux de QI au mentalité préhistorique. Il en avait trop vu pour juger. Il commença à manger. - Mon chat s'appelle Atchoum, alors je présume que ça ne doit pas aider avec les femmes. En voyant ton expression, un petit rire s'échappa. - Bah quoi? La vie est déjà si noire dehors... Autant être léger avec le prénom de ses animaux et je me voyais vraiment pas l'appeler plume. Oui, parce qu'Atchoum est une femelle qui attend des petits. Voilà, tu connais un de mes secrets, si un jour, j'ai une femme, faudra lui dire de ne surtout pas me laisser choisir le prénom de nos enfants.
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La brune ne se fit pas prier pour goûter à ce plat qui lui avait fait de l'oeil également. Tu n'avais pas menti c'était vraiment excellent ! Bien meilleur que la nourriture à emporter qu'elle commandait souvent par flemme de cuisiner. (surtout parce qu'elle était crevée des longues journées qu'elle faisait.) La brune t'écouta avec attention, tu avais probablement raison. Le fait qu'elle était à l'aise avec l'idée d'être seule, ça en effrayait surement plus d'un. - Atchoum ? Pour une femelle ? Mais.. c'est original ça ! Joline couvrit son visage d'une main pour rire tranquillement. - Effectivement ils risqueraient de finir avec des noms improbables. Au moins de ta remarque elle déduisait que tu étais célibataire. Joline fronça les sourcils et releva le nez vers toi. - Célibataire par choix ou parce que la vie en a décidé ainsi ? Elle pinça ses lèvres entre elles. - Je m'excuse si c'est trop.. personnel. Des fois je réfléchis pas vraiment avant de parler. Dit-elle roulant des yeux, un sourire contrit aux lèvres.
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ernestinee · 9 months
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J'ai terminé "Les neiges de l'exil" de Lian Hearn, deuxième tome de la série du Clan des Otori.
Quelle douceur de lecture, quelle beauté du texte, des descriptions, des héros. Que l'héroïne est douce et puissante. Je me suis plusieurs fois demandé comment un homme avait pu toucher de si près la puissance d'une femme dans le caractère de Kaede. Ensuite j'ai appris que Lian Hearn est une femme.
On est dans le Japon féodal, entre luttes de pouvoir, guerres de territoire, pouvoirs spéciaux liés aux Invisibles... La série du Clan des Otori est mon livre "où je me sens bien" depuis plusieurs années tant je lis et relis certaines pages exactement comme lorsque l'on s'emmitoufle dans une vieille couverture. Le rythme est parfait, les personnages sont incroyables de sincérité, ténacité et sensibilité. La lecture est parfois méditative, avec la sensation de contempler la beauté des paysages, d'être percé par le froid, d'entendre tomber la première neige, d'attendre le printemps...
J'ai aussi terminé "Manifeste d'une sorcière d'aujourd'hui" d'Odile Chabrillac et je suis restée sur ma faim. Philosophie et féminisme que j'ai honnêtement trouvé un peu plat, ponctué de quelques notallmen qui m'ont semblés posés là pour éviter les critiques auxquelles on s'expose encore et toujours quand on est féministe, ou peut-être pour toucher un public plus large, j'en sais rien mais ça a alourdi la lecture et ça a décrédibilisé certains propos. J'ai pas d'exemple là comme ça et j'ai pas envie d'en dire davantage. Bon et en plus, j'avais envie de contenu un peu ésotérique et c'était hyyyyper léger, j'ai pas vraiment trouvé de lien entre le contenu du livre et le résumé apéritif.
Du coup je commence Memento Mori de Cayuela Solédad, c'est un ebook en vente là , découverte sur threads.
Et bientôt la fin du hashtag livres 23 ! J'en aurai lu le double de l'année dernière, ça réalise l'un de mes objectifs de l'année 🎉
Rien à voir mais j'écoute Hans Zimmer en écrivant ce billet, "Now we are free",la musique de Gladiator, et c'est tellement beau.
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chicinsilk · 2 years
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US Vogue March 1, 1950
1 camel triangular handbag cowhide leather, with a unique bow handle. By Shur-Tite.
2 Handbag sheath in rust-coloured calfskin, lined with silk, with two handles. By Style Art.
3 Baby suitcase: oversized handbag for travelling. Tan beige calfskin. By Coblentz.
4 Long, flat handbag in natural pigskin. Locking clasp, extension handle. By Ronay.
5 Big and Blue: Afternoon Purse from navy blue suede, with a metal frame. By Bee Davis.
6 Light handbag, Havana bamboo lizard with long handles, padlock clasp. By Koret.
The perfumes :
1"Some Flowers" by Houbigant. 2“Supreme Moment” by Jean Patou. 3"Beau Belle" by Bourgeois. 4 D'Orsay's latest: "Divine". 5 Dana's "Voodoo" 6 "Fame" by Corday. 7 “Fabulous” by Charbert. 8 "Savoir Faire" by Dorothy Gray. 9 "Shocking" by Schiaparelli. Handbags & perfumes.
1 Sac à main triangulaire camel cuir de vachette, avec une poignée en arc unique. Par Shur-Tite.
2 Fourreau de sac à main en cuir de veau couleur rouille, doublé de soie, à deux anses. Par Style Art.
3 Valise bébé : sac à main surdimensionné pour voyager. En cuir de veau beige tan. Par Coblentz.
4 Sac à main long et plat en peau de porc naturelle. Fermoir de verrouillage, poignée d'extension. Par Ronay.
5 Grand et bleu : sac à main d'après-midi de suède bleu marine, avec une armature en métal. Par Bee Davis.
6 Sac à main léger, lézard bambou havane à longues anses, fermoir cadenas. Par Koret.
Les parfums :
1 "Quelques Fleurs" par Houbigant. 2 « Moment Suprême » de Jean Patou. 3 "Beau Belle" de Bourgeois. 4 Le dernier né de D'Orsay : "Divine". 5 "Voodoo" de Dana 6 "Fame" de Corday. 7 "Fabuleux" de Charbert . 8 "Savoir Faire" de Dorothy Gray. 9 "Shocking" de Schiaparelli. Photo Erwin Blumenfeld vogue archive
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2023 - Une quiche et quelques verres de vin
Philippe avait du nez pour les emmerdes des autres, je n’ai jamais pu me planquer. Au téléphone ou par mail, il devinait toujours les baisses de rythme et les chutes de moral. Sans jamais se lasser, il savait sacrifier son temps pour sauver le mien.
Autour de son unique plat, il égrainait les vieux souvenirs comme les neufs, offrant films, disques, livres et batailles homériques. Puis après un dernier pétard, la tête pleine et le cœur léger, je quittais très tard la maison du fond de la cour à gauche, capable à nouveau d’affronter la nuit.
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unmariageamexico2024 · 7 months
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Dimanche 18 février
Un rêve s’est réalisé hier. Le rêve d’Audrey . Un très beau mariage!!!
La pluie du matin s’est arrêtée vers midi. Parmi les 150 invités 23 français.
Très belle église, un prêtre moderne et détendu. Une cérémonie en espagnol avec des livrets en français.
Mon cousin jean paul a conduit sa fille à l’autel . Les mariés sont magnifiques. Ils sont partis dans une superbe mustang rouge.
Sortie de l’église, photos. Et véhicules pour emmener tout le monde à la casa Xipe où s’est déroulée la soirée festive. Beau cadre bien décoré.
Des plats aux saveurs variées mélangeant légumes et chocolat par exemple. Très bon équilibre des mets à la fois légers et savoureux. Champagne rosé et téquilla.
Nous étions placés à une table de français.
Puis ouverture du bal par Ricardo et Audrey. Jean paul le père d’audrey a fait un temps de danse avec sa fille, il m’a rappelé son père, mon oncle Georges qui aimait danser..
Au cours de cette soirée j’ai souvent pensé aux disparus et imaginé leurs regards sur cet incroyable moment féerique et romantique à souhait. En particulier les discours des mariés et de leurs parents, amour toujours, merveilleuse rencontre etc..
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Les parents de ricardo
Jean françois s’est résolu à faire quelques pas de danse!!!!
Les musiciens ont joué entre autre des chansons françaises qui m’ont rappelées des souvenirs d’adolescence.
Vraiment un beau mariage bien sûr pour la vie.! Organisation parfaite.
Pas déçus d’être venus!!!!
Nous sommes rentrés à pied dans la nuit , 25 minutes de marche dans le quartier tranquille de Coyacan, c’était agréable.
Merci Audrey et Ricardo d’avoir bousculé à ce point nos habitudes et permis de découvrir un autre monde.
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alexisgeorge24 · 11 months
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16 octobre :
J3 et ce matin le ciel est gris. Tant pis, je monte jusqu'à un col qui me donne la vue marketing du trek, à savoir 3 lacs de glacier qui se suivent au pied d'une chaîne de montagne couvert d'un glacier. Puis je redescend tranquillement jusqu'au prochain camping. Journée brève et mitigée à cause de la météo. Plus tard dans l'après-midi le ciel ce dégage et je me ballade autour du camping. J'essaie de tuer le temps comme je peux mais le paysage environnant est sublime donc ça va. J'établis par ailleurs un premier contact avec des humains du groupe avec guide qui fait le même trek que moi.
Bilan: 9km, 600m d+
17 octobre :
La J4 sera probablement la plus difficile du trek. Passage du col Trapecio situé à 5000m sous une pluie, puis grêle puis neige incessante. Il fait froid, aucune visibilité, j'ai un poumon qui a enfilé un gilet jaune, j'ai envie d'un chocolat chaud assis devant une cheminée avec le bois qui crépite, la manette de la switch à la main en train de jouer à Zelda et en sachant que le soir je vais manger une raclette (150g nature, 100g fumé, 100g ail des ours) du fromager du centre ville de Sucy, puis comme digestif un vieux rhum que je partagerai avec Jessica (elle ne prendrai certainement pas du rhum mais peut être un Kir). En attendant faut que je commence par redescendre de ce col. Arrivé au camping il pleut encore et je trouve refuge sous un gros rocher avec d'autres personnes du groupe dont je ferai la connaissance. Lorsque leur (2e) déjeuner est servi par leur cuisto sous leur chapitau ils me laissent seul à attendre que la pluie se calme pour que je puisse à mon tour monter ma tente. Je pense que je leur fait pitié, surtout après leur avoir dit en quoi consistent mes repas.
La pluie se calme, je monte la tente, je fais une sieste puis je me rappel que l'humain est un animal social. Je vais donc rejoindre le groupe pendant son "tea time" (bande d'enfoirés...). Et je sais pas comme ça s'est passé mais je me retrouve avec 4 personnes du groupe qui veulent monter au col San Antonio. A 500m d+... 1h avant la nuit... dans le brouillard total... Ils me font comprendre que c'est tout à fait normal si je ne veux pas les suivre étant donné l'énergie que je dois dépenser avec mon sac lourd... (bande d'enfoirés, mon sac est plus léger que mon ego). Arrivé au col évidement RAS et je cours redescendre (à la frontale) dans ma tente pour que je me fasse à dîner. Au moins ça m'aurait permis de m'endormir direct après manger.
Bilan: 15km, 1200m d+
18 octobre:
Au réveil c'est le guide du groupe qui vient me parler pour me recommander de faire le col San Antonio (oui, le même de la veille). Et me revoilà en train de le regrimper. Sauf que cette fois le ciel est dégagé et j'ai devant moi un vue incroyable, digne des plus beaux paysages d'Iceland tellement les couleurs sont variées! La descente se fait tranquillement sur 15km où je rejoins le village de Huyallapa. Je retrouve le groupe avec qui je suis désormais à l'aise et je loge au même hostel que eux. Mini confort avec WiFi, électricité pour les batteries quasi à plat, douche, bière, et DEUX vrais dîner (un que je commande et un 2e que le cuisinier du groupe m'offre gracieusement). Le logement est assez folklorique, ma chambre est située dans une arrière cours avec les mules qui ont chié partout, la douche est partagée des arraignés, le matelas du lit est aussi plat que même un platiste n'aurait pas nié sa courbure, tout est très sale et je dors dans mon sac de couchage.
Bilan: 17km, 600m d+
19 octobre :
J6 est aujourd'hui c'est quasiment que de la monté jusqu'au prochain camping. Il fait beau, je prends mon temps, belles vue sur les glaciers que je contourne, un chien errant me tient compagnie depuis Huayllapa. Je fais en petit bonus un sommet que le guide me conseil de faire. Faut dire que je suis assez surpris de ce guide qui me traite comme si je faisais partit de ses clients qui ont payé. On passe même 30min à marcher ensemble et à papoter. L'expérience que j'avais des guides au Pérou était mauvaise, aucun ne voulant me montrer la direction à prendre si je n'étais pas dans son groupe.
Après-midi midi, comme d'habitude, j'essaie de faire passer le temps sous ma tente.
Bilan: 12km, 1400m d+
20 octobre :
La nuit il a fait bien froid, ma tente a complètement gelé et on dirait du carton au réveil. Sinon il fait beau et ça tombe bien, au programme il y a un col à passer qui donne des panoramas sublimes sur sommets, glaciers, lagunas.
Arrivé au camping, dernier raquette avec 30 soles pris par la "communauté" pour "entretenir les lieux". 220 soles en tout (sur 280 normalement, j'ai du passé pour faire parti du groupe que je suis et on m'aurait oublié). 70euro tout de même pour absolument aucun entretien du site (à part des toilettes sauvages improvisés), pas de nettoyage des campings (les déchets, même plastiques, sont brûlés sur place, quand ils sont ramassés...), les chemins sont des chemins de mules déjà existants, bref, une arnaque sans nom, du jamais vu.
Je me ballade autour du lac du camping et j'en rejoins un autre plus en altitude pour m'approcher d'un glacier.
Bilan: 17km, 700m d+
21 octobre:
Dernier jour de trek et pour fêtez ça je ne prends pas le chemin le plus rapide mais je monte jusqu'à un col à 500m d+. Les vus sont pas des plus belles mais je profite des derniers instants seul dans ces montagnes. De retour à Llamac je retrouve le groupe et je peux même prendre leur bus privé direct pour Huaraz (pour 60 soles, honnêtes). A Huaraz c'est lessive, douches, chiffa, bière, pisco, hamburger.
Bilan totale Huayhuaysh :
107km, 6300m d+
22 octobre :
J'ai un poussé sur le pisco la veille et j'ambitionnais de faire une journée culturelle en visitant le site de Chavín de Huantar. Le réveil à 8h00 me fait mal, tout comme les 3 heures de route jusqu'au site archéologique. 2 heures de visite guidée pour en apprendre sur le quotidien de cette civilisation pré-inca, c'est intéressant et le trajet depuis Huaraz ce fait dans le parc de Huascaran. Le soir je prends un bus de nuit pour Lima.
23 octobre :
Arrivé bien reposé à Lima à 8h00, j'enchaîne avec le musé Larco qui présente une collection de céramiques, tissages, bijoux, armes, etc, précolombien, le tout dans une scénographie très captivante. On peut même visiter le dépôt du musé où sont regroupés 45000 pièces. Sans surprise, le musé est privé, à ce demander si la fonction de ministre de la culture existe dans ce pays.
Puis je prends un bus pour Cusco; temps de trajet estimé: 22h !
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Das Barke 5000g – Aluminium-Freizeitboot ist zudem eher breit, wie alle unsere Modelle von Aluminiumbootart G. Das 5000 G Aluminiumboot bleibt leicht, ist aber ideal für Arbeitsboote oder zum Sportangeln. Die Stabilität dieses alu-Boote ist zweifellos ausgezeichnet. Ein 6-PS-Motor ist genug, aber dieses Aluminiumboot kann leicht einen 15-PS-Motor erhalten. https://la-maltiere.de/barke-5000g/
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chic-a-gigot · 2 months
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L'Art et la mode, no. 28, vol. 15, 14 juillet 1894, Paris. Toilettes pour bains de mer. Dessin de G. de Billy. Bibliothèque nationale de France
Robe en popeline de soie ivoire, corsage recouvert de tulle ivoire brodé, volant sur les épaules se perdant dans les poignets des manches, volant coquillé et bande de tulle posée à plat sur la jupe; le corsage est garni par des liens de ruban de faille verveine, ceinture pareille, lien et choux dans le bas de la jupe.
Dress in ivory silk poplin, bodice covered with embroidered ivory tulle, flounce on the shoulders lost in the cuffs of the sleeves, shell flounce and strip of tulle laid flat on the skirt; the bodice is trimmed with ties of verbena faille ribbon, similar belt, tie and collars at the bottom of the skirt.
Robe en satin pervenche, voilé de tulle noir brodé; polonaise en taffetas glacé pervenche et noir, avec corsage échancré garni d'un col marin, appliques de guipure ancienne sur le bord, manches recouvertes de tulle, poignets de taffetas.
Periwinkle satin dress, veiled in embroidered black tulle; Polish dress in periwinkle and black glossy taffeta, with low-cut bodice trimmed with a sailor collar, antique guipure appliques on the edge, sleeves covered in tulle, taffeta cuffs.
Robe de faille pékinée cerise et mousse sur fond blanc mat, corsage veste Louis XVI garni d’un fichu Louis XVI en mousseline de soie, avec gros choux de mousseline de chaque côté de la poitrine, le fichu croisé se noue derrière; jupe évasée garnie d’un volant de mousseline de soie et de draperies terminées par des choux.
Cherry and moss pekinese faille dress on a matte white background, Louis XVI jacket bodice trimmed with a Louis XVI chiffon scarf, with large muslin puffs on each side of the chest, the crossed scarf is tied behind; flared skirt trimmed with a silk chiffon flounce and draperies finished with puffs.
Robe en foulard ou toile de soie tilleul à bouquets semés, ceinture de taffetas noir avec coques remontantes; empiècement de batiste brodée, manches courtes très bouffantes en soie tilleul.
Dress in foulard or lime silk canvas with sown bouquets, black taffeta belt with rising shells; embroidered cambric yoke, very puffy short sleeves in lime silk.
Robe de petit drap ou lainage léger noisette, corsage avec bandes découpées ouvertes sur du drap ivoire. col rabattu, ceinture de cuir blanc mat, manches bouffantes en drap ivoire recouvertes de pattes noisette; jupe noisette avec ourlet de drap ivoire.
Dress in light hazelnut cloth or wool, bodice with open cut-out bands on ivory cloth. turn-down collar, matte white leather belt, puffed sleeves in ivory cloth covered with hazel tabs; hazelnut skirt with ivory cloth hem.
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mmepastel · 1 year
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Pour une raison qui m’échappe, je n’arrive pas à mettre ici la BA de cette série. Peu importe, elle n’est pas terrible. La série vaut bien mieux que ce conglomérat d’images chocs qui donne le tournis.
L’argument est connu, car cette série a fait grand bruit outre-Atlantique, et on en parle ici aussi maintenant : une obsession haineuse va naître entre Amy (artiste chic et riche, mère de famille) et Danny (type déprimé qui vit chichement avec son frère en essayant de faire tourner sa boîte de construction) suite à une altercation automobile qui n’est même pas un accident, mais une dispute où tous les deux semblent BEAUCOUP TROP ÉNERVÉS au vu des faits.
A partir de là tout s’emballe, l’un et l’autre sont emplis de ressentiments, de frustration, de culpabilité, et ils se sont trouvés une façon d’extérioriser ces sentiments parasites en se détestant et en essayant de ruiner la vie de l’autre.
Les événements s’enchaînent dans une logique de type « catastrophe », et le spectateur est surpris tout le temps devant cette hystérie et cette surenchère de moments gênants voire franchement apocalyptiques.
N’empêche, au cours des épisodes qui s’enfilent comme des bonbons acides, on a un portrait de l’Amérique d’aujourd’hui, à travers un prisme inhabituel : la plupart des personnages sont asiatiques, et d’un côté ça compte, de l’autre non. Ils sont par moments victimes d’un racisme léger mais irritant, et eux-mêmes sont passablement racistes aussi, méprisant les blancs qui semblent toujours hors de portée, mais on remarquera que George, le mari japonais d’Amy est lui aussi détesté parce qu’il est japonais, donc il n’y a pas de « clan asiatique ». Il y a aussi une fausse communauté autour de Danny avec son frère et son oncle un peu « Joe l’embrouille » (super drôle et effrayant), où il est question de famille et de solidarité mais où chacun se savonne la planche dès que possible. Bref, rien n’est simple ni caricatural. C’est même très subtil. Grâce à l’outrance du scénario, à ses excès, le réalisateur met les pieds dans le plat, provoquant horreur, gêne et fous rires. C’est extrêmement culotté.
Et pourtant ça touche juste. Cette série nous tend un drôle de miroir dans lequel on mentirait si on n’avouait pas se reconnaître par moments. Ce fameux sentiment qu’on ne peut mesurer sa réussite sans la comparer à autrui, qu’on sent tout le temps qu’on est trop ceci et pas assez cela, que l’argent compte, terriblement, douloureusement. Qu’on passe beaucoup de temps à essayer d’avoir l’air de quelque chose alors qu’à l’intérieur de nous tout s’écroule pour des raisons idiotes, inavouables. Qu’on se sent tous un peu tarés, perdus, et qu’Amy et Danny, qui nous paraissaient si fous au début de l’histoire, ne sont que des versions exagérées de nos névroses et de nos blessures.
Une série beaucoup plus profonde qu’elle n’en a l’air, servie par deux acteurs extraordinaires (gros crush sur Steven Yeun pour ma part, avec sa tête lunaire toujours au bout du rouleau).
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bonheurportatif · 2 years
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Quelques trucs bien en décembre
1er décembre Laisser le téléphone faire son boulot de répondeur Mettre la main sur un câble HDMI Rétablir un atelier qui tanguait 2 décembre Refuser de collaborer à un jeu de dupes Faire du calcul mental Jouer au fact-checker 3 décembre Manger au resto avec les filles Croiser un couple d'amis et rigoler un peu Commettre un court texte profanatoire
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4 décembre Remonter des rives inexplorées de la Charente Passer enfin un coup de fil à sa mère Trouver une idée de cadeau pour sa benjamine 5 décembre Voir les premiers givres sur les toits de la ville Acheter une guitare Manger une mousse au chocolat 6 décembre Écrire un monovocalisme en e pour l'atelier du soir Prendre ses marques pour une autre longue série d'ateliers à venir Faire une commande groupée de calendriers annuels 7 décembre Marcher sur la plage Ramasser des nacres Décider de garder les filles au chaud 8 décembre Dormir une petite heure de plus Manger tout seul au resto Arriver enfin à se connecter à un des réseaux du campus 9 décembre Attendre un vieil ami sur le quai de la petite gare Se promener ensemble sur la plage, légers, et dans le vent froid. Croquer par jeu dans une olive cueillie sur l'arbre et amuser ses compagnons 10 décembre Écarter les mauvaises pinces à linge des bonnes pinces à linge Recevoir d'un ami le catalogue de l'expo Édouard Levé Recevoir un mail inattendu de São Paulo 11 décembre Nourrir une grande tablée de grands enfants Avoir envie de relire Catherine Meurisse Être tout seul sur la route des marais 12 décembre Provoquer le rire de sa fille dès le matin (et encore à midi) (et le soir en lui montrant qu'il neige) Marcher à la fois dans le sable et dans la neige Être comme un enfant
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13 décembre Recevoir ses calendriers Plein Temps Libre et passer les récupérer à la Coop S'offrir un bounty par la même occasion et trouver un chouette bouquin dans la poubelle en jetant l'emballage 14 décembre Au lever, dans la maison silencieuse, entendre très distinctement le ressac Repartir de l'atelier avec un sac de bûches cadeau Reprendre le chemin de la salle de sport 15 décembre Régler enfin le problème de phare défaillant Prendre un café avec une sérigraphe sympa Manger des chouquettes avec les étudiants 16 décembre Régler le problème de chasse d'eau Venir à bout d'une tuyauterie récalcitrante Fermer et purger le robinet extérieur 17 décembre Livrer un congélateur en express, sans aucun contretemps Retrouver par hasard sa chérie dans les rues de la ville et finir la promenade avec elle Prendre un goûter en famille, avec chocolat chaud et nounours à la guimauve 18 décembre Déjeuner sur le pouce, à même le plat Faire du sport dans une salle vide à l'heure de la finale de foot Réussir une plutôt bonne carbonara 19 décembre Revenir sur ses lectures de l'année Trouver une grosse enveloppe à bulles à son nom dans la boîte aux lettres Recevoir une photo de Marcel Proust signée par Éric Chevillard
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20 décembre Se faire porter son café au lit Échanger trois mots avec Mme-Patate Faire une tournée comparative des bûches artisanales locales avec sa chérie 21 décembre Profiter seul de quelques scènes du premier matin de l'hiver : un lever de soleil rose, l'approche d'un piaf pour becqueter les boulettes... Recevoir deux fois plus de livres en cadeau que ce qu'on avait commandés Faire, au débotté, une virée familiale au restaurant 22 décembre Aider son fils à mettre en page son journal étudiant Poursuivre une lecture très, très stimulante Se coucher moins enrhumé que ce matin 23 décembre Se réveiller deux bonnes heures avant toute la maisonnée Prendre tous les raccourcis pour entrer et sortir de la zone commerciale S'amuser du récit de la vie du sociologue taciturne 24 décembre In extremis, décorer et illuminer le sapin Faire les derniers cadeaux avant le rush Faire danser sa sœur
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25 décembre Se réveiller avant tout le monde et disposer de quelques minutes pour un café en amoureux Retrouver le rituel familial du brunch de Noël S'arrêter sur chaque case et chaque planche du dernier livre de Blutch 26 décembre Balancer verre, carton et tout-venant à la déchetterie Laver et faire réviser la voiture Faire un mini-sac pour le séjour à venir 27 décembre Prendre la route à l'horaire souhaité Arriver plus tôt que prévu Avoir une place de parking surprise incluse dans la location 28 décembre Régler le problème de réseau en itinérance Regarder défiler une ville que l'on ne connaît pas depuis un métro que l'on ne connaît pas Réussir des pizzas dans un four qu'on ne connaît pas 29 décembre Remonter le fleuve à pied jusqu'au pont-transbordeur Retrouver des amis en vacances Acheter des cahiers à la réglure originale, sans savoir ce qu'on va en faire 30 décembre Pique-niquer face aux vagues et rouleaux Dire ses premiers mots en basque S'offrir une séance de sport improvisée 31 décembre Augmenter d'une unité sa collection de traductions de La Vie mode d'emploi Assister à des vrais feux d'artifices tirés de partout en ville Et boucler une année de notes de trucs bien quotidiens
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Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. > Quelques trucs bien en janvier. > Quelques trucs bien en février. > Quelques trucs bien en mars. > Quelques trucs bien en avril. > Quelques trucs bien en mai. > Quelques trucs bien en juin. > Quelques trucs bien en juillet. > Quelques trucs bien en août. > Quelques trucs bien en septembre. > Quelques trucs bien en octobre. > Quelques trucs bien en novembre.
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