#peur de grossir
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La devanture d'une pâtisserie
Il était une fois la devanture d’une pâtisserie. Cette part de cake aux myrtilles, ce cookie à la pistache, cette généreuse tranche de babka… Il y a tant des choses qui lui donnent envie. Tout la fait saliver. Autour d’elle, les gens se bousculent pour arriver à se faire une place dans le magasin. Les enfants affamés, arrivés de l’école, se pressent au milieu des amateurs de gourmandises et autres becs sucrés qui se font tout autant de joie de célébrer l’heure du goûter. Elle les observe franchir la porte et se décider si rapidement pour une part de brownie ou un muffin aussitôt dévoré, aussitôt avalé. Ils ferment les yeux, savourent les dernières notes sucrées restées sur leur papilles et s’en lèchent les doigts avant de repartir gaiement à leurs activités. Pendant ce temps-là, la jeune fille n’est toujours pas rentrée dans la pâtisserie. Elle a beau avoir faim et très envie de toutes ces petites merveilles, la peur la paralyse. Aussi appétissants que ces gâteaux lui paraissent, ils la terrifient. Le trop, le gras, le sucre, manger, grossir, perdre le contrôle… tout lui fait peur. La nourriture la hante, fait de sa vie une obsession. Et finalement, cette peur est si grande qu’elle préfère s’incliner et faire encore une croix sur ses envies sucrées.
Comme à chaque fois que la vendeuse voit cette jeune fille partir en courant au milieu de ses clients, après avoir errer pendant une heure devant ses pâtisseries, elle fait la même prière. Elle espère qu’un jour cette jeune fille osera enfin tenter un pied à l’intérieur de son magasin. Elle le lui souhaite du fond du cœur parce qu’elle connaît mieux que quiconque la frustration, la culpabilité et la peur qu’est capable de susciter la simple vue d’un petit morceau de gâteau. Elle le lui souhaite, oui, parce qu’après toutes ces années à s’être aussi battue avec ses peurs, aujourd’hui elle savoure chaque jour sa liberté, et une vie riche en plaisirs et autres gourmandises.
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Bonjour, je vais commencer par publier ma première histoire sur la croissance. Je tiens à préciser que je suis débutant en matière d'histoire donc elle risque d'être assez courte et peut-être pas aussi excitante que mes prédécesseur.
Alan était un jeune homme très fin, sans charisme et peu viril. Il aimait les hommes et les femmes mais personne le remarquait. Il passait inaperçu et avait peu d'ami. Il se sentait faible et manquait d'assurance. Il décida de prendre de se prendre en main. Alors, Alan s'inscrit à la salle de sport à côté de chez lui pour devenir plus fort et plus musclé.
Alan était trop timide et peureux pour partir à la salle de sport. Il avait peur du regard des autres et il était agoraphobe. Alan se mit en tête de partir à la salle de sport 1h avant la fermeture. Il se dit qu'il aurait le temps de faire sa séance et qu'il y'aurait peu de personne à cette heure-ci.
Le premier jour à la salle, il était perdu. Il ne savait pas quel exercices il devait faire. Il y avait quasiment personne. Les quelques personnes présentes était concentrées sur leurs exercices. Donc personne ne pouvait l'aider et le conseiller. Il essaya les différentes machines de musculation mais les charges étaient trop lourde pour lui. Il n'arrivait à rien. Il se sentait frustré de ne pas réussir à soulever des poids. Il commença à rassembler ces affaires pour rentrer chez lui. Mais juste avant de partir, il vit un bel homme musclé, viril et transpirant rentrer dans les vestiaires. Il devait avoir finis sa séance de musculation. Alan décida finalement de suivre ce bel homme dans les vestiaires. Il fit semblant d'avoir oublié quelque chose dans les vestiaires. Il voulait absolument se rincer l'œil discrètement sur ce bel étalon. Dès qu'Alan rentra dans les vestiaires il sentit une forte de transpiration et de pieds. Il reconnu l'odeur de ce mâle. Malheureusement pour lui, il n'y avait personne dans les vestiaires, aucun bruit. Alan était persuadé avoir vu cet homme rentrer dans les vestiaires mais il n'y avait rien en dehors d'un short blanc posé sur le banc. Ce short blanc n'avait rien de spécial mais Alan était étrangement attirer par ce short. L'odeur était de plus en plus forte près du banc. Alan se rendait compte que l'odeur émanait du short blanc. Il se rapprocha du short, puis de manière inexpliqué il le prenait dans ces mains. Il était hypnotisé par le short. Il sentit le short blanc. L'odeur était incroyable pour Alan. Le short sentait la transpiration, le musc et étonnamment les pieds. L'odeur était tellement enivrante qu'il commença à bander. Alan voulait absolument porter ce short, il était obnubilé par le short et ces odeurs. Son rêve était de garder ces odeurs sur lui, toute la journée. Il s'enferma dans les douches, il s'est mit tous nu. Il commença à enfiler le short au niveau de ces jambes. Ces jambes grandirent. Il senta ces pieds grandirent et grossirent. Ces pieds sentait le musc et la transpiration. Alan n'était pas horrifié, il aimait cette sensation de chaleur et cette odeur le parcourir.
Il commença à l'enfiler sur sa queue. Au bout de quelque secondes, il se sentit sa queue croître. Il ressenti un plaisir immense traverser sa queue. Il se mit à gémir. Le plaisir remonta vers ces abdominaux. Ils commençaient à devenir aussi dur que du béton
Le plaisir monta jusqu'à ces pecs. Ces pecs devenaient proéminent et volumineux. Ces aisselles devenaient poilus et puante. Alan aimait cette odeur sous ces aisselles. Le plaisir monta jusqu'à sa tête. Une barbe commença à pousser sur son visage. Alan était imberbe jusqu'à présent. Son visage se remedola. Alan se mit à se branler. Il toucha sa longue queue sensible. Le plaisir devenait si intense qu'il se mit à éjaculer des flots de sperme sur le sol. Puis Alan s'est évanoui dans la cabine de douche.
Lorsqu'il se réveilla, il oublia tous ces anciens souvenirs à propos d'Alan. Il s'appelait maintenant Aiden. De nouveau souvenirs commença à émerger. Il se rappelais qu'il était un pratiquant de muscu et un ancien capitaine de l'équipe de lutte au lycée. Il était adulé par tous les garçons de sa classe. Il s'est tapé beaucoup de fille et beaucoup de mecs dans sa vie. La chose qu'il aimait le plus en dehors du sport c'était le sexe. Il aimait qu'on s'occupe de sa queue mais aussi de ces pieds transpirant. Aiden aimait cette odeur après la muscu. Aiden s'est habillé. Il ne voulait pas se doucher après sa séance de musculation car un petit minet l'attendait chez lui. Ce petit minet devait lui décrasser ces pieds de taille 46 et lui pomper tous son jus.
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Pensée 19 22min
La tristesse prend plusieurs formes selon les personnes. La première est la tristesse de type nourriture. Celle qui a besoin de se noyer dans de l'alcool ou dans des gâteaux qui vont te faire grossir tellement que tu ne te reconnaitras plus dans le miroir. Un jour tu passeras devant et tu te demanderas qui est cette personne qui te regarde avec son ventre tout rond tourné vers toi. La deuxième est de la sorte de l'isolement accompagnée souvent par un rejet de la faute sur les autres. Tu restes enfermé chez toi. Tu te coupes de toute humanité et de chaleur sociale. Tu tombes peu à peu mais rapidement dans un quotidien de jeux vidéos et d'inaction permanente. Quand, si quelqu'un essaie de t'aider (un membre de ta famille ou un véritable ami) tu le rejettes violemment en lui disant qu'il ne peut pas comprendre ce que tu ressent (Oui, tu es bête.). Une fois cette ami parti tu te rends compte que tu viens de creuser un peu plus ton trou de tristesse. Tu es seul à présent et tu n'en peu plus... Tu sens que tu vas faire une bêtise. Tu te lèves, ouvres la fenêtre, regardes le sol en bas de l'immeuble. Tu habites au septième. Ton souffle se coupe. Tu t'avances mais tu as trop peur pour sauter le pas. Tu refermes la baie vitrée. Mets un pantalon et sors de chez toi. Tu arrives dans la salle d'attente du docteur Salvare. Deux ans plus tard tu vas mieux, tu t'es repris en main.
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💄 Inventaire makeup de fin d'année
💄
On ne m'a rien demandé mais ...Fin 2023, il était temps pour moi de me lancer dans une tâche ... qui m'excite et m'effraye à la fois : l'inventaire de ma collection de makeup.
Première fois que je me prête l'exercice, j'ai essayer de procéder méthodiquement par catégorie. ☑️
Catégorie 1 : palette pour les yeux 👁️
Je dois avoir des palettes Makeup Revolution depuis mes 16 ans ... increvable, j'ai encore ma toute première palette la Chocolate Vice #nostalgie (je l'ai finalement donné à ma petite soeur hier) 🥰 Et quel bonheur d'avoir pu me procurer les palettes d’ Ayo Coralie et de Marion Caméléon😭 🙏
Honey chocolate - i ❤ revolution
Gingerbread - i ❤ revolution
Wonder palette Chocolate vice - i ❤ revolution
Reloaded Iconic forever - Makeup revolution
Reloaded hypnotic - Makeup revolution
Black pearl mini chocolate - i ❤ revolution
White noise - Makeup Obsession
Tasty coffee - I ❤ revolution
Ultimate brights - Nyx
Néon shadow palette Electric dreams - Makeup revolution
Calendar Limited edition mini 2020 - Makeup revolution
Calendar Limited edition mini 2019 - Makeup revolution
Mini pastel - Natasha Denona
Unicorn heart glow - i ❤ revolution
Forever flawless Into the night - Makeup revolution
Wild Pyton - Huda Beauty
Wild Jaguar - Huda Beauty
Wild Chamaleon - Huda Beauty
Lovefest - Huda Beauty
Marion Caméléon x Sephora vol1.
Marion Caméléon x Sephora vol2.
Ayo Coralie x BeautyBay
Norvina vol5. - Anastasia Berverly Hills
Douce Romance - Ayo Coralie x BeautyBay
Nébuleux secret - Ayo Coralie x BeautyBay
Rose metals - Anastasia Berverly Hills
Cette catégorie va grossir à coup sur cette année et surement plus tôt qu'on le pense 🙄🙄👉👈
Catégorie 2 : palette visage 👩🏻
Merci Ayo Coralie , aujourd'hui je n'ai plus peur de briller de mille feux ! Elle m'a fait aimer les highlighters comme personne 😍 Je me rapelle également piqué le blush irisé de ma maman au collège et aller en cours avec des joues si foncées 😂 ET IRISEES ! Mes boutons d'adolescente et ma peau grasse ne me diraient pas merci avec du recul #facedefritteuse
Flatter me - BH cosmetics
Tasty cupcake Vanilla swirl - I ❤ revolution
Mrs bella Goldies - BH cosmetics
Mrs bella Peachy - BH cosmetics
Rose gold glow mini chocolate - I ❤ revolution
Home made with some NYX highlithers (advent calendar 2018)
Mini cheek duo - Natasha Denona
Spotlight & highlight - BH cosmetics
Sugar and spice - Makeup Revolution
Catégorie 3 : produits teint 👩🏻🎨
J'ai une peau grasse qui a longtemps eu des imperfections et de l'acné. 😐J'ai toujours cherché de la couvrance tout en ayant peur que mon makeup n'aggrave mon cas... Epoque révolue, je cherche aujourd'hui simplement à unifier et lisser mon teint. 🤗
The first prime - BeautyBay
Matt finish setting spray - NYX
Set it don't regret it - BeautyBay
Pro Filt'r Hydrating Longwear Foundation 250 - Fenty (il n'est même pas à ma teinte donc bye bye !!!)
Base Proof it - NYX
Eye prime - Relove Revolution
Loose setting powder travel size - Anastasia Berverly Hills
Pro filt'r retouch setting powder travel size Banana - Fenty
Magic mango setting powder - MAx&More
Shape tape mini 35N - Tarte
Plump right back base travel size - NYX
Pore filler base travel size - NYX
Pro/bas concealer - MUA
Bare with me BLUR foundation 09 light medium - NYX
Complexion pro Buttersotch - Sheglam
Complexion pro Sand - Sheglam
Blusher reloaded Peach bliss - Makeup Revolution
Blusher reloaded Violet love - Makeup Revolution
Poudre bronzante - Makeup obsession
Fard à joues Rose acajou 10 - Yves rocher
Highlighter Moonside Celestian gaze - Sheglam
Matte liquid blush Swipe right - Sheglam
Matte liquid blush Hush hush - Sheglam
Matte liquid blush Bithday suit - Sheglam
Highlighter - DWTN Paris
Blush 2en1 - DWTN Paris
Magic Check stick Vitamin Pink - My little beauty
Le blush Pêche 160- L'oreal
Blush liquide Terracotta - Modelite
Blush Le rosé - Pomponne
Blush stick Blossoming - Sophia+Mabelle
Catégorie 4 : produits yeux et sourcils 🤨
Que dire ... c'est cette catégorie qui a forgé ma passion pour le makeup 🥰 voir ma maman se mettre crayon et mascara tout les matins pour aller au travail à du jouer son rôle !
Mascara Smart noir - KIKO
Mascara Smart bleu - KIKO
Mascara - Anastasia Berverly Hills
Mascara Kush hifh volume - Milk
Mascara Fullest volumizing - Ilia
Mascara Mini good drama - Chella
Mascara Go big or Go home mini- KVD
Mascara Lash princess volume - Essence
Mascara Magic extension - MAC
Mascara Sensational - Maybeline
Retractable waterproof eyeliner Matte cobalt 28 - SEPHORA
Crayon contour 12h Black lace 01 - SEPHORA
Crayon contour 12h Tiramisu 13 - SEPHORA
Crayon Vert bronze 477 - Christian Dior (qui n'existe plus 😭)
Crayon khôl marine - Peggy Sage
Crayon khôl vert bronze - Peggy Sage
Rebeleyes Seaweed 106 - Mesauda
Xtrem liquid gel liner Silver 004 - Gosh
Crayon highlight Cloud - Sheglam
Colored eyeliner Sweet love - Maw&More
Colored eyeliner Island oasis - Maw&More
Colored eyeliner Rock the boat - Maw&More
Colored eyeliner Bright sunlight - Maw&More
Crayon Faux blacks Blackberry 05 - NYX
fard à paupière liquide Mushroom - Sheglam
fard à paupière liquide Walnut - Sheglam
fard à paupière liquide Sun Glow - Sheglam
fard à paupière liquide Jasper - Sheglam
fard à paupière liquide - Sheglam
fard à paupière liquide - Sheglam
Eyeliner noir pailleté - Marion Caméléon x Sephora
Highlighter Watt's up - Benefit
Ombre Blackstar mini Bronze moon - By Terry
Jelly Wow Delirious - Sheglam
Jelly Wow Stay golden - Sheglam
Cream Eyeshadow Champagne - PS
Colorful monofard Ballet shoes - SEPHORA
No budge cream eyeshadow Dune - ELF
Eyebrow gel - Makeup Obsession
The brow glue - NYX
Clear brow gel - Anastasia Berverly Hills
Brow glue - Makeup Revolution
Lift and Snatch Espresso - NYX
crayon sourcil 07 - Puro bio
Crayon sourcil - Makeup obsession
Micro brow pensil Espresso - NYX
La suite de l'inventaire dans un prochain billet 🥰
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C’est le rendez-vous des plus radicaux de l’extrême droite française. Chaque année, aux alentours du 9 mai, les néofascistes français déambulent en toute quiétude à Paris. Derrière une banderole «Sébastien présent», ils sont régulièrement une grosse centaine de militants portant des drapeaux noirs, souvent ornés de la croix celtique, à défiler en rang depuis la station RER Port-Royal, dans le Ve arrondissement de Paris, jusqu’à la rue des Chartreux, située non loin. C’est le Comité du 9-Mai (C9M), un hommage à Sébastien Deyzieu, un jeune militant du mouvement pétainiste l’Œuvre française, mort d’une chute accidentelle alors qu’il tentait, le 9 mai 1994, d’échapper à la police après une manifestation interdite par les autorités de l’époque.
«Provoquer la terreur»
Une manifestation qui n’est pas du tout du goût des habitants du quartier. «Cela fait quatorze ans que je subis ça en bas de chez moi et j’aimerais que ça cesse», explique Antoine (1) à Libération. L’appartement de ce riverain a une vue plongeante sur la rue où se déroule l’hommage. «Leurs discours sont violents, leurs gestes, des saluts nazis qu’ils ne peuvent s’empêcher de faire, sont insupportables. Il y a chez eux une volonté de provoquer la terreur», précise ce neveu d’un pilote de la RAF mort aux commandes de son avion pendant la Seconde Guerre mondiale. D’autant que la mouvance est violente, comme l’a confirmé notre enquête dévoilant les coulisses d’une ratonnade avortée de ces mêmes néonazis en marge du match France-Maroc en décembre dernier.
«Nous refusons de vivre dans la peur», explique Antoine, qui tient chaque année, avec sa femme, à montrer sa désapprobation par de petites actions symboliques. Si leurs voisins ferment leurs volets pendant la manifestation, eux ont affiché un message de tolérance en plusieurs exemplaires dans la rue ou diffusent de la musique pour tenter de couvrir les chants virulents des manifestants.
Fatalisme ambiant
Le couple tient à préciser qu’ils ne sont «pas des militants politiques» : «On est juste des gens qui ont une vision du monde et de l’histoire qui ne collent pas avec la leur.» Et de regretter un certain fatalisme ambiant. Ils en veulent surtout aux autorités, qui autorisent chaque année le rassemblement, «à l’exception d’une fois quand Bertrand Delanoë leur avait interdit de défiler». «On nous dit “il ne faut pas en parler, ils sont connus et surveillés donc laissons-les faire”», fait savoir Antoine. Résultat : «ils sont de plus en plus nombreux chaque année», à l’exception du la période du Covid, en 2020, où seule une dizaine d’entre eux s’était présentée. Le couple dit aussi avoir remarqué qu’une nouvelle génération de militants d’extrême droite s’étaient emparés de la cérémonie. «Les vieux viennent de moins en moins, remarque Céline. Ils sont de plus en plus jeunes, c’est assez affligeant.» [...]
Depuis la reprise en main du C9M par le Bastion social et les Zouaves Paris, les effectifs ont crû et le rassemblement a pris de l’ampleur. L’année dernière, ils étaient presque 200 à se rassembler. Il y a fort à parier qu’ils seront encore plus nombreux ce samedi. Depuis plusieurs semaines, des groupuscules d’extrême droite radicale, notamment parisiens, battent le rappel des troupes sur les réseaux sociaux et collent des affiches à Paris, Lyon, Bourges, Aix-en-Provence, Versailles, Tours ou encore Perpignan pour venir grossir les rangs de la manifestation. Le GUD, resucée du groupe dissous des Zouaves Paris, a même tracté fin avril devant l’université d’Assas, proche des lieux de la manifestation, pour appeler les étudiants à participer. Leur chef, le cogneur Marc de Cacqueray-Valménier, pourrait être présent malgré son contrôle judiciaire qui lui interdit de se rendre à Paris, comme ce fut le cas les années précédentes. Contactée par Libération, la préfecture de police de Paris précise qu’un «dispositif de sécurité adapté sera mis en place». Sans plus.
Reste que chaque année la manifestation fait peser, disent les riverains, «une chape de plomb sur le quartier» et «une ambiance délétère». Faute de pouvoir compter sur les autorités, l’une d’entre eux, croisée pendant ses courses, «fai[t] en sorte de ne pas être là de la journée». Elle lâche : «C’est dégoûtant de voir ça.»
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Peur de grossir
Envie de me couper
Frustration de ne pas être def
Miss him
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Mais ce n’est ni tes couteaux, ni tes prisons, ni tes bottes, ni même tes matraques qui me font si peur.
C’est ton sourire.
Ton sourire à l’émail parfait, à la blancheur de soie, de parfaite splendeur. L’alignement parfait de cette dentition de vainqueur, d’orthodontie scrupuleuse. La sordide méticulosité de tes rendez-vous jamais manqué pour une hygiène impeccable dans ce cabinet du XVème arrondissement au pied d’une tour Eiffel aussi hautement dressée que ta propre suffisance.
Un sourire qui me dit que moi, je ne fais rien d’autre que lecher le peu de miette que tu laisses sur ton passage, toi qui suce la terre jusqu’à en faire pleuvoir des larmes acides sur nos landes infertiles et exsangues, toi qui pisse dans les fleuves des torrents de stupres et des cataractes de pots de yaourt sang pour sang bio, qui jettes jusqu’aux plus hauts des Pyrénées, des sacs entiers de crème à faire la fesse douce et la pensée flasque.
La peur de ton sourire, la haine de ton nom.
La haine rouge qui me tient le fond du ventre. Elle me brûle les entrailles. La peur de toi ou la haine de toi me font pâlir, car, je me vois me pervertir. Perdre le mien, de nom. De doux agneau de dieu, de doux chérubin amoureux du ciel, des nuages, des mousses et des prêles, je me vois devenir de que tu es, porteur de la haine de l’autre, Sheitan de gratte-ciel de zone d’affaires. Je me vois succomber à ton sourire. Je me vois parfois m’en revêtir.
D’aucun avait écrit un très beau texte “vous n’aurez pas ma haine” ; les coups de butoirs sans cesse répétés des laideurs urbaines en 4 par 3 ou sur mon fil d’instagram me font craindre que ma haine pourrait venir sous peu grossir tes rangs d’arrogants vainqueurs.
Non, je ne veux pas de ça, ni pour moi, ni pour ma femme, ni pour mes enfants, pas plus pour mes patients que pour mes amis.
Je crois en la force des mots, de la tendresse et de la pensée sur ton sourire d’alligator.
Je crois à la douceur de mes bras, fermes et aimants autour des épaules des gens que j’aime, je crois à la lumière du soleil du matin sur la rosée d’une toile neuve d’Epeire dans un troène au jardin.
Je crois aux larmes partagées qui jaillissent comme un baume sur les plaies de nos douleurs. Je crois aux rires qui s’élèvent haut au firmament. De ces rires qui résonneront toujours dans mon cœur, y compris lorsqu’il aura cessé de battre. Lorsque fatigué de parcourir les sentiers de cette terre, je souhaiterai mourir, je rejoindrai heureux les cieux tapissés de rires et des larmes de mes enfants et les dernières couleurs que j’emporterai avec moi seront celles de leurs yeux.
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Basil
youtube
Douchka - Basil
Basil, Basil, Basil…
Où, où, où, où ça ? Qui, qui, qui, qui ça ?
Qui a la clé de tous les mystères ? Qui les résout facile ? Ne cherche pas, c'est pas l'commissaire C'est l'inspecteur Basil
Il court toujours, il n'a jamais peur Il va, il vole, il file J'aimerais te suivre à deux-cent à l'heure Mais où vas-tu, Basil ?
Oh oh oh oh Détective Basil Oh oh oh oh Superbe et subtil Oh oh oh oh Détective privé T'arrives, on est sauvés
Basil, tu es Sherlock Holmes en personne Et je voudrais m'appeler Watson Pour grossir à la loupe Tous tes mini-scoops Basil, tu as le flair et la tactique Et tous les soirs, la République Peut s'endormir tranquille Grâce à toi mister Basil
Si je te dis "Basil, t'es super" T'es même parfois parfait T'es tenté d'chanter "élémentaire" Mais ça c'est déjà fait
Toi, tu aurais mis une muselière Au chien des Baskerville Qui est l'orfèvre du quai des orfèvres ? C'est l'excellent Basil
Oh oh oh oh Détective Basil Oh oh oh oh Le charme et le style Oh oh oh oh Détective privé Basil, le bien-nommé
Basil, tu es Sherlock Holmes en personne Et je voudrais m'appeler Watson Pour grossir à la loupe Tous tes mini-scoops Basil, tu as le flair et la tactique Et tous les soirs, la République Peut s'endormir tranquille Grâce à toi mister Basil
Oh oh oh oh Détective Basil Oh oh oh oh Superbe et subtil Oh oh oh oh Détective privé T'arrives, on est sauvés
Basile est un prénom issu du grec ancien Basileus (Βασιλεύς), qui signifie roi. Basile est également un prénom donné dans le monde arabe. Il signifie "très généreux".
En Grèce, le 1er janvier est la Saint-Basile : Agios Vassilis est l’équivalent grec du Père Noël, qui apporte les cadeaux pour bien commencer l’année. Les enfants grecs célèbrent le Nouvel An et la Saint Basile en chantant des kalandes de porte en porte, comme pour le 24 décembre.
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now playing - facture popstar
04.02.2024; 15:51
depuis que je suis partie, il est assez difficile pour moi de prendre le temps d’écrire. j’ai peur, de m’asseoir devant mon carnet, celui que j’ai acheté à Brachard, exprès pour ça. j’ai peur, de laisser couler l’encre de mon stylo à la feuille, liant mon vécu à mes émotions. vraiment, je redoute la forme que les mots pourraient prendre. je crains leur sens, ne voulant pas me retrouver exposée à quelque chose que je ne pourrais pas gérer.
il peut être étrange de le découvrir pour certains, mais la plupart du temps, je ne prévois pas ce que je vais écrire; c’est un peu comme un rdv chez la psy.
j’utilise cet espace pour mettre du sens à ce que je fais de mon quotidien. comme le rangement d’une chambre, ou la mise en place d’une routine, seulement, elle traduit l’ensemble de mon intérieur. les multiples dimensions dans lesquelles je me retrouve en simultané ne me permettent pas de vivre entièrement ce que j’ressens. ce sont souvent des agitations de concert contraires, paradoxalement ambulantes, qui me font bégayer et qui me donnent la nausée.
c’est pourquoi il m’importe de régulièrement prévoir un moment pour l’écriture. cela m’empêche de laisser la masse sentimentale grossir, ayant déjà frôlé la suffocation et le malaise un peu trop souvent..... (*μ_μ)
j’avais adopté un bon rythme ces trois dernières années. il est bizarre pour moi de prendre conscience que je n’ai presque rien écrit ces 4 derniers mois. il s’en est passé des choses pourtant. des choses tragiques et merveilleuses. des choses qui, m'ont davantage forgée, prêtes à être racontées dans mon odyssée. j’essaye de me souvenir, mais tout est flou... je me questionne, sur mon état mental.
la psy m’a dit que le jour où je serai prête à accueillir ma tristesse sera le signe que je vais mieux. pour l’instant, je suis en état de survie et la saveur de mes émotions est un luxe prévu pour plus tard. plus tard, quand il sera possible d’évaluer et de palper mon succès avec le concret d’un revenu. plus tard, quand je pourrai dire « j’ai une vie stable. » plus tard, quand ce sera le moment.
parfois, j’aimerais bien ressentir un peu plus de chaleur en continu. mais c’est l’hiver et il fait froid. je me sens comme tom hanks au plein milieu du film « seul au monde », la différence cruciale étant ma skin care routine à base de thé vert et l'odeur de mon parfum.
je sens qu'il me manque quelque chose et je ne m'arrêterai pas tant que le trou ne sera pas comblé. c'est précisément ce vide qui me donne froid et qui m'empêche de me reposer. je tremble trop pour écrire et je suis trop fatiguée pour penser.
pour l’instant, je ne peux que me reposer sur le soutien de mon entourage. je suis seule mais ils sont là. ils sont ma définition de la solidarité.
« ne lâche rien »
ces trois mots résonnent en écho dans mon crâne, comme s’il n’y avait plus rien d’autre que ça. ces trois mots qui me donnent un boost, comme un shot de gingembre ou de café. un shot d'adrénaline pour me sortir de l'hypothermie, me remettant à l'action quand je ralentis.
et je me remets à créer. un peu plus légère, grâce à l'amour des miens. rassurée, que je n'aie pas besoin de tout expliquer. déterminée, à retrouver un peu de liberté et de sommeil.
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J'ai peur de grossir, de vieillir et de finir seule.
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Un élan de bonté
Il était une fois un élan de bonté. C’était l’une des choses dont elle était la plus admirative. La générosité de sa sœur aînée. Dès qu’elle avait reçu la notification, cette dernière n’avait pas hésité une seule seconde et s’était aussitôt rendue au lieu de collecte le plus proche. Elle n’avait même pas pris le temps de réfléchir. Cela lui avait été tout naturel de répondre à cet appel pour apporter son aide. Et sa petite sœur l’estimait beaucoup pour ça. Cet élan, cette intuition qu’elle avait et qui la poussait à agir pour ce qui lui semblait juste. Elle-même aurait aimé pouvoir suivre son modèle si elle l’avait pu, tenter de faire au moins aussi bien qu’elle, donner de sa personne... Ce n’était pourtant pas la volonté qui lui manquait cette fois-ci, ni la peur de l’aiguille, ni la vue du sang qui l’empêchait de l’imiter. Mais un certain poids sur la balance, un corps encore trop fragilisé qui le lui interdisait. Ironie du sort, alors qu’elle avait passé sa vie à tout faire pour rester la plus mince, pour la première fois, elle aurait bien aimé être un peu plus grosse pour pouvoir donner à son tour…
Mais plutôt que de culpabiliser, peut-être pouvait-elle prendre cette impossibilité comme une source de motivation, une cause qui la pousserait à se battre pour avancer et affronter sa peur de grossir, de prendre du poids, de changer. Il y avait un enjeu à saisir et sa sœur, encore une fois, lui avait montré la voie à suivre.
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Arrêter de fumer, ou arrêter la cigarette
J’ai passé les 25 premières années de ma vie à essayer d’être le plus contrôlé possible. J’ai compté mes calories vers 15 ans, à une période où je faisais 50 kilos pour 1m75. Je me souviens du plaisir que j’avais à me lever le matin et à voir la forme concave de mon ventre. C’était avant qu’Hollywood nous fasse croire qu’un corps masculin désirable (et en bonne santé) devait être musculeux, sans gras, sans poils. Mes idoles d’alors étant toutes féminines, j’avais dans l’idée qu’être fin, qu’être une brindille, c’était beau, sexy, et ce vers quoi je devais concentrer mes efforts. Mon père était sportif, mon frère gros, je serais mince. Je me souviens d’une interview de Tina Turner, qui devait avoir 50 ans à l’époque et à que l’on interrogeait sur sa forme et son apparente jeunesse. “Je ne bois pas, je ne fume pas”. Compris : pas d’alcool, pas de cigarette. Ma doctrine était simple, et en accord avec mes capacités financières. Ne pas boire ni fumer, c’était aussi moins dépenser. Double win. Vers 19 ans, après m’être installé seul dans mon appartement étudiant, s’est ajouté l’obsession de bien manger - donc peu, des légumes, des aliments qui rendent mince. Qui maintiennent une bonne santé. J’avais l’impression de faire partie d’un club secret, d’être dans la confidence de ceux qui savent qu’il ne faut pas, en fait, profiter de sa jeunesse, mais plutôt être dans une démarche de sauvegarde de celle-ci. Je me nourrissais de salades, de pommes. Et bien sûr, pas d’alcool, pas de cigarettes. Je prenais un plaisir intellectuel dans l’acte de manger : j’ai 19, 20, 21 ans, mais contrairement à mes paires, je ne m’empoisonne pas avec de la pizza. Ou alors, à dessein : maintenant je veux grossir, je ne vais plus manger que des pizzas (avec de la salade, pour faire bonne mesure). Puis non, finalement, le problème, c’est le lactose. Puis le sucre. Puis le gluten. Une vie de privations imposées, ressenties comme autant d’actes de purification d’un corps qui fonctionne mal : de l’acné, une mauvaise digestion, des cheveux qui tombent. Un dysfonctionnement intérieur qui doit être maîtrisé, dépassé, pour se maintenir jeune. Une volonté de contrôle qui impose également une attention particulière à l’argent. Manger bien, avec peu, maximiser l’usage de mes moyens pour vivre cette ascèse qui me rend supérieur, plus pur, plus adulte.
Puis le couple, la détente, et Hollywood, le corps qui grossit, qu’on maitrise différemment, avec le sport qui s’ajoute à l’équation. Maintenant, il faut grossir, mais sans être gras. Il faut se faire plaisir, mais en gardant une forme de culpabilité, pour maintenir un aspect moral à l’entreprise. Boire, mais seulement du vin rouge. Puis boire, mais peu. Fumer, seulement les cigarettes des autres. Puis acheter des cigarettes, mais seulement pour rendre la pareille à tous ceux que j’ai taxé. Fumer, mais seulement en soirée, en société. Avec le sentiment de se faire du bien - de dépasser ses blocages d’adolescent, d’avoir dépassé sa condition de pauvre - mais aussi avec la culpabilité, voire la peur, de participer au développement du cancer qui ne manquera pas d’arriver, en dépit de tous les efforts mis en œuvre plus jeune pour qu’il n’arrive jamais.
Finalement, un questionnement : suis-je fumeur, buveur ? en ai-je envie ? après avoir résisté à la pression sociale pendant des années, est-ce une émancipation ou un renoncement que d’accepter, aujourd’hui, le Gin Tonic qu’on me propose, la cigarette qu’on me tend ?
La modération est-elle plus noble que l’ascèse ? Parce qu’elle est plus facile à vivre pour moi, ou pour les autres ? est-ce à moi de me sentir gêné de ne pas boire ce verre, ou aux autres de n’être pas en mesure de relationner sans un adjuvent qui, en fait, est un poison ?
Je prends le temps d’écrire tout cela pour m’y référer quand je me poserai de nouveau la question de fumer, de boire, ou non. Suis-je fumeur aujourd’hui ? Je ne fume pas tous les jours. Même pas toutes les semaines. Mais j’ai sans doute fumé tous les mois depuis un an. Alors, si j’arrête, est-ce que j’arrête de fumer ? est-ce que j’arrête “la cigarette”, comme on arrête le gluten, le sucre, ou d’aller sur TikTok ? avant d’être dans l’addiction, mais alors que l’habitude s’est installée ?
C’est peut-être ça, le sujet : reconnaître que j’ai pris des habitudes - qui sont, objectivement, mauvaises. Fumer, c’est mauvais pour la santé. Boire également. J’étais capable de ne pas m’y adonner, et même d’en tirer une certaine fierté, voire un certain plaisir. Aujourd’hui, je vais mieux qu’avant. Je suis plus à l’aise dans ma vie. Je me sens plus sujet, j’ai plus de pouvoir. Et pourtant, je me laisse aller à des plaisirs qui, en fait, ne sont peut-être pas les miens.
Demain, c’est le 1er mai 2023. Disons que c’est le jour où j’arrête la cigarette. J’ai fait le tour de la question. Depuis 2020 - je crois - j’ai fumé des cigarettes. J’en ai tiré quelques discussions, quelques intermèdes sociaux, l’approfondissement de mes relations avec certains proches. Quelques instants suspendus de solitude, de retour à moi, d’introspection ou de plaisir alangui. Je dois garder en mémoire ces moments, les chérir, et prendre la résolution de les vivre de nouveau, sans l’aide d’un objet empoisonné.
Je ne fume pas, je ne bois pas, et ça ne met pas les gens à distance. Ca me rapproche, simplement, de qui je suis vraiment. L’effort n’est pas incompatible avec l’authenticité. Je suis ce gars qui fait attention à lui, qui fait partie de la confidence. Et j’en suis plus heureux.
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Belle Gabrielle (Corrigé)
13 février 2013
Gabrielle, comment s'appelle ton bébé ?
Poilu !
24 février 2013
Olivia, que veux-tu faire quand tu seras grande ?
Éducatrice
Et toi, Gabrielle ?
Manger des "toasts"
15 octobre 2013 Gabrielle : "Papa ? C'est qui Lise Payette ?"
10 décembre 2013
Papa, je t'aime même quand tu me laves les cheveux.
30 septembre 2014
Papa, si on écrase une dame déjà morte en auto, ce n'est pas grave, hein ?
10 mars 2014
Gabrielle !!! Va te brosser les dents sinon je vais être fâché !!!
Ben là... T'es déjà fâché...
13 novembre 2014 En attente pour commander chez Dic Ann's
Papa !? Ça se peut un garçon avec des boucles d'oreilles !??
Oui, Gabrielle ! (En souriant au gentil "motard"… avec des boucles d'oreilles...)
2 janvier 2015
Gabrielle, le vrai nom que tu avais quand tu es née, c'est "Marc Dupré" #Olivia #humourabsurde ;p
11 février 2015
"Votre argent est en sécurité", ils disent juste ça à la télé !
17 février 2015
Oh ! Émile est tout doux. J'aimerais lui couper la tête et me faire un oreiller avec.
13 mars 2015 Gabrielle me parle et je la fais répéter deux fois.
Ben là ! T'as pas d'oreille ? T'as survécu sans oreille ?
15 avril 2015 Moi, je veux deux bébés ! Parce que moi, je vais travailler. Ils vont pouvoir jouer ensemble.
16 avril 2015
Gabrielle, tu veux faire quoi plus tard ?
Police !
Pourquoi ?
Pour ne pas me faire arrêter par la police !
Mars 2015 Maman, je vais te donner des indices sur le cadeau que papa t'a acheté. C'est comme une boucle… et ça va dans les oreilles !
12 octobre 2016 Gabrielle ? Pourquoi tu pleures ?
J'ai peur que l'univers explose !
11 octobre 2016 Lire "la petite sirène" aux enfants. Se rendre compte à la fin que c'est "la vraie" histoire et qu'elle meurt.
Ça finit donc mal ton histoire !
3 octobre 2016 Gabrielle toute fière de son projet…
Papa ! Papa ! Viens voir ! C'est beau, hein ?!
Gabrielle ! C'est quoi toute cette colle sur la bibliothèque ?!?
14 février 2017
Là, les filles, il faut vraiment ramasser.
C'est la Saint-Valentin ! Ce n'est pas la Saint-Ramassage !
16 février 2017 Gabrielle qui met des grains d'haricot dans le trou d'un macaroni et les fait ressortir
Regarde ! Mon macaroni fait caca !
2 août 2017
Gabrielle, tasse-toi ! On ne voit rien !
Ben ! Arrête d'être aveugle !
29 août 2017 Gabrielle, qu'est-ce que tu as mis dans tes cheveux ?
Euh, du Polysporin…
1er mars 2018 Durant la rencontre de parents à l'école. Prof : Durant mon absence, certains élèves ont écrit sur les murs... J'ai retrouvé le nom "Gabrielle" écrit sur le mur. Moi : Ouin... Pas trop de talent pour ne pas se faire prendre...
3 mars 2018
À quoi ça sert d'avoir un chum s'il n'est pas riche ?!
25 mai 2018 (En partant pour l'école)
Hey hey ! Mets-toi un chapeau, il fait soleil !
Pas grave ! On a des cheveux ! Clac de porte
27 mai 2018
Gabrielle ! Pourquoi tu pleures ?
Je veux un cheval !
19 juillet 2018
Grand-papa Mario ? Est-ce que tu dis toujours "man-hé" pour dire "manger" ?
24 juillet 2018 La gardienne d'été taquine Gabrielle sur son âge.
Moi, je pense que tu as 6 ans !
... ... Moi, je pense que tu as une seconde !
23 août 2018 En voiture, je laisse passer un piéton... Une dame âgée. Elle me retourne un beau sourire. Gabrielle - Wow... J'ai jamais vu une vieille mémé aussi heureuse...
28 septembre 2018 Je n'ai pas hâte d'être adulte... Les seins, les poils... J'aimerais aussi que les bébés sortent des fesses des garçons à la place...
20 avril 2019 Une dame passe devant l'auto, pendant que nous sommes dans la voiture et stationnés. Gabrielle crie par la fenêtre entrouverte : "Help me !! Please !!"
20 avril 2019 (Mamie) Bonne nuit !
Avec un "t" !
23 mai 2019 Je ne comprends pas celles qui veulent se faire grossir les seins... Déjà que moi, je n'en veux pas...
23 juin 2019 Olivia : "Moi, je pense que j'ai menti juste 5 fois dans ma vie" Gabrielle : "Moi, 1000."
1er octobre 2019 Aujourd'hui, j'ai eu une récréation de crotte. Ma meilleure amie a joué avec quelqu'un d'autre, et moi, j'ai joué avec des feuilles.
7 décembre 2019 On peut dire un "début de fin d'année ?"
15 février 2020 Ouin, papa ! Ça t'a coûté cher aujourd'hui ! Au pire, tu le prendras dans tes REER !
26 mars 2020 (Durant le confinement) Ah, papa, j'ai envie de recommencer l'école !
24 avril 2020 Une chance que notre chien n'est pas né en Chine, ils l'auraient déjà mangé !
25 septembre 2020 Moi, j'aime les hommes parfaits... Et toi, tu ne l'es pas !
26 janvier 2021 Les enfants dans ma classe ne sont pas assez matures. Il n'y a que moi qui ai un cerveau.
6 juillet 2021 Moi, je veux aller dans un resto où il n'y a pas de mets végétariens. En répondant à Julie : Ah... On va manger à La Belle et la Bœuf, mais mes enfants ne se nourriront pas... !
6 août 2021 Steve : Wow, Olivia, tu t'es maquillée pour la fête ! Haha Gabrielle : Moi, pour ta fête, je me suis mise un bandana, un t-shirt, des shorts et des bobettes !!
12 juin 2022 Gabrielle : Wouah ! Tu sens l'urine de chat ! Émile : Non ! Maman m'a dit que je sentais bon !
28 janvier 2023 Papa : Gabrielle ! Je t'ai demandé tantôt pour la récupération ! Ça fait deux fois que je te le demande. Gabrielle : Ben, tu ne me l'avais pas assez demandé.
31 janvier 2023 Gabrielle, c'est quoi ça ?
Une cagoule que j'ai tricotée pour le chien.
2 février 2023 Quand les sourds baillent, est-ce qu'ils pensent qu'ils crient ?
15 avril 2015 Moi, je veux deux bébés ! Parce que moi, je vais travailler. Ils vont pouvoir jouer ensemble.
10 septembre 2023
C’est quand qu’on installe le sapin?
5 novembre 2023
Émile se dirige vers la fenêtre pour regarder dehors.
Pourquoi tu marches comme un piéton?
11 décembre 2023
Est-ce que si la gravité n’existait pas, le mot “tombé “ n’existerait pas non plus?
9 avril 2024
Julie: Ah non Steve! Tu as laissé le rond du four ouvert!
Gabrielle: (avec un accent français) Mais c’est un peu stupide, si j’peux me permettre…
1er juin 2024
J’arrive avec mes nouvelles bretelles…
Gabrielle = Hey! Farfadet malicieux!
10 août 2024
Gabrielle, peux-tu me donner une fourchette?
…
Gabrielle, peux-tu me donner une fourchette??
…
Gabrielle, peux-tu me donner une fourchette???
Ben là! Fallait le d’mander! (Avec un accent français)
11 août 2024
C’est vraiment de la merde être un adulte… faut acheter du sel genre…
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TCA : La peur dans l'assiette
NOUVEAU : TCA : La peur dans l'assiette
La peur est dans l’assiette pour vous qui aimez le fitness et la musculation ? Peut-être que vous ne pouvez pas passer une journée sans traquer votre diète sur myfitnesspal ou autre. Si vous avez peur de redevenir comme avant ou bien de voiler votre physique avec une couche de graisse, alors ce contenu est fait pour vous. Vous allez savoir : Pourquoi vous n’avez plus faim parfois Pourquoi vous…
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Je le sens le poids des troubles alimentaires. Je fais des efforts pour l'ignorer. Je me dis que c'est pas grave de grossir, je me dis que c'est pas grave de ne pas me peser souvent, je me dis que c'est pas grave de mettre des habits proches du corps. Le fait est que ça m'obsède. Je mets des fringues amples tout le temps. Chaque bouchée me coûte. Constamment j'essaie de sentir si je me sens plus serrée que d'habitude pour savoir si j'ai grossi. J'ai enlevé mon implant et je me demande si ça n'influe pas sur ma faim. J'attends des éventuelles premières règles arriver et je sais que si elles arrivent, je me répéterai que je ne suis pas assez mince pour ne pas les avoir. J'ai toujours connu l'aménorrhée, puis l'implant, ma peur c'est de les avoir et voir que mon corps à un poids tellement normal que je peux les avoir. Les remarques me blessent, peu importe lesquelles, sur ma façon de manger, sur la quantité, sur mon corps. Je suis incapable de ne pas être blessée si on me dit que j'ai pris du poids. Je mange n'importe comment et ça m'angoisse. Je le sens ce malaise en face de chaque assiette. J'ai faim puis manger finit par me couper l'appétit. Et je sais que si je commence à me priver, je vais avoir des problèmes plus importants de concentration et de fatigue. Je ne peux pas me le permettre. Je ne fais ressentir à personne que manger me met terriblement mal à l'aise mais le moment du repas est ponctué de pensées incessantes et presque obsessionnelles. Je me sens mal dans mon corps. Je le déteste mais je fais comme si je m'en foutais parce que j'ai pas envie que mon monde re-gravite autour de ça. Je passe mon temps à regarder mes cuisses, mes os, j'en conclus toujours que je suis énorme. Pourtant, je sais que c'est faux, que c'est dans ma tête, que prendre du poids c'est pas si grave. J'ai pas envie de maigrir pour plaire davantage ou me plaire plus, je veux maigrir pour prendre moins d'espace.
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Le premier truc qui revient au réveil est la peur de grossir.
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